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Titre du projet : ...

Projet d’exploitation de 7 ha d’ananas, 25 ha de


riz et de 5 ha maïs
Responsable d’exécution : ……………………. KAMOFIB
Localisation du projet : ………………….............. Kolenten
RESUME DU PROJET

1.1 Contexte

Le spectaculaire progrès de la science dans le monde contemporain exige de nos


paysans non seulement un changement de mentalité mais aussi plus de moyens afin de
réussir une agriculture plus fiable et plus rentable. Malheureusement, le faible niveau
de vie des paysans pris individuellement, n’envisage guère un avenir prometteur pour
un tel changement.
C’est dans ce contexte nouveau l’entreprise KAMOFIB projette la culture d’ananas, de
riz et de maïs pour résoudre les multiples problèmes qui se posent à la population en
général et a l’entreprise en particulier. Un tel projet ne peut – il contribuer qu’à
l’amélioration des conditions de vie des bénéficiaires et partant de celles des
populations environnantes.

1.2 Objectif
L’objectif principal visé par ce projet est l’exploitation de 7 ha d’ananas (dont 2 en cours
d’exploitation sur fonds propres et 5 nouveaux ha faisant l’objet de cette demande de
subvention), 25 ha de riz (dont 15 ha en cours d’exploitation sur fonds propres et 10
nouveaux ha faisant partir de la demande de subvention) et de 5 ha de maïs (faisant partir
aussi de la demande de subvention)

1.3 Produits et clientèle

PRODUITS ET SERVICES CLIENTELE-CIBLE


Ananas Commerçants grossistes, Restaurants,
Hôtel, Industries,
Culture maraichère Commerçant grossistes, Restaurants, Hôtels
Riz Commerçants grossistes
maïs Commerçant grossistes

1-4 Localisation :

Situé dans la préfecture de Kindia, Kolenten est une sous-préfecture distant d’environ 38
km de la dite préfecture (Kindia). Sa population essentiellement constituée
majoritairement de musulman (religion traditionnelle) et de chrétiens, oscille autour
33448 habitants. Kolenten comme d’autres localités de la Guinée, connaît une saison
pluvieuse et une saison sèches. La zone choisie pour abriter ce projet, favorise un élevage
moderne et une agriculture diversifiée. A part l’élevage et l’agriculture, la population
d’ethnie Soussou pratique aussi le commerce et l’artisanat. Le type de famille la plus
fréquente dans ce milieu est la polygamie avec une espérance de vie de soixante ans.
1.5 Principales ressources

Compte tenu du potentiel de la zone choisie, la société KAMOFIB a dans cette cadre
choisie de se lancer dans l’agriculture depuis 2016. A ce jour, elle a son actif un certain
nombre d’investissement repartie comme suit :

 Un domaine de 35ha en 2016,


 Une acquisition récente de 100 ha dans la même zone cette année (documents
du domaine en cours de conception),
 2 tracteurs acquis respectivement en 2019 et 2020
 Une camionnette benne de 8 tonnes pour le transport des intrants et récolte
acquis en 2019
 Une Renault kangou acquis en 2020

Actuellement nous avons :

 15 ha de riz dont l’exploitation a commencé en début juillet 2020 dans une zone de
baffons plus propice à cette culture et nous prévoyons de mettre 10 ha de plus
faisant partir de l’objet de cette demande de subvention. A noter que cette zone a
été louée.
 Cultures maraichères (1 ha de piments, 1ha de gombo, 1ha d’aubergines),
 2 ha d’ananas en cours d’exploitation ;

Nous avions prévu d’entamer une exploitation de 7 ha d’ananas. Cependant compte


de la pandémie de la covid 19 qui a impacté négativement nos ventes des dernières
récoltes, nous n’avons pas dégagé assez de ressource pour faire les 7 ha. Il manque
donc 5 ha de plus faisant partir l’objet de la demande de subventions,

Pour l’exploitation du riz, il faut noter que depuis le début, les récoltes ne sont pas
revendues, mais reconduit en semence la saison suivante, ce qui explique la disponibilité de
la semence des 15 ha. A noter que l’objectif de départ était d’exploiter 30 ha cette année.

1.6 Nombre d’emplois créés

A ce jour, nous avons 15 personnes travaillants sur le site dont 7 de façons


permanentes

1.7 Coût du projet de 5 ha d’ananas supplémentaire d’ananas

No Désignation Montant
1 Achat de semences et intrants 281 175 000
2 Opération de préparation du sol 47 050 000
3 Opération de planting 13 500 000
4 Fertilisation, traitement et entretiens 22 950 000
5 Charges d'irrigation 57 980 000
6 Opération de récolte 44 500 000
7 Autres charges 17 500 000
8 Charges du personnel 82 800 000
9 Equipements et petits outillages 109 475 000
TOTAL 676 93SV0 000

1.7.1 Coût du projet de 10 ha de riz supplémentaire

A noté que le cout du projet de 10 ha d’ananas est estimé à : 100 000 000 Gnf

1.7.2 Coût du projet de 5 ha de maïs

Le cout du projet de 5 ha de maïs est estimé à : 100 000 000 Gnf

II – INFORMATIONS GENERALES SUR LE PROJET ET LE


PROMOTEUR

2.1 Le projet
2.1.1 Description et historique du projet

Compte tenu du potentiel de la zone du projet situé à Kindia, plus précisément à Kolenté, la société
KAMOFIB a choisie de se lancer dans l’agriculture depuis 2016. A ce jour, elle a son actif un
certain nombre d’investissement repartie comme suit :

 Un domaine de 35ha en 2016,


 Une acquisition récente de 100 ha dans la même zone cette année (documents du
domaine en cours de conception),
 2 tracteurs acquis respectivement en 2019 et 2020
 Une camionnette benne de 8 tonnes pour le transport des intrants et récolte acquis en
2019
 Une Renault kangou acquis en 2020
 Un forage

L’exploitation a commencé en juin 2016 par un demi hectare de gombo et 1ha de riz. L’année
2017 nous avons rajouter 1 demi hectare de tomate et agrandit le champ de riz à 1,5ha. Nous avons
connu un échec pour la tomate dont la récolte à pourri en majorité. Nous avons commencé
l’exploitation de l’ananas en 2019 avec un demi hectare. L’objectif de départ étant de réinvestir les
recettes acquis grâce à ces différentes cultures, nous avons depuis 2020, agrandit nos activités avec
à ce jour avec :

 15 ha de riz dont l’exploitation a commencé en début juillet 2020 dans une zone de
baffons plus propice à cette culture. A noter que cette zone a été louée.
 Cultures maraichères (1 ha de piments, 1ha de gombo, 1ha d’aubergines),
 2 ha d’ananas en cours d’exploitation ;

2.1.2 Objectifs du projet


Objectif général :

Nous avons des ambitionnes très fortes à savoir :


 Exploitation de 7ha d’ananas (dont 2 en cours d’exploitation sur fonds propres et 5
nouveaux ha faisant partir de l’objet de la demande de subvention)
 Exploitation de 25 ha de riz (dont 15 encours d’exploitation sur fond propre et 10
nouveaux ha faisant partir de l’objet de la demande de subvention
 Exploitation de 5 ha de maïs (faisant partir aussi de l’objet de la demande de subvention)
 Mise en place d’une ferme avicole d’une capacité de 5000 Têtes,

L’objet de cette demande de subvention concerne les 5 nouveaux ha d’ananas qui nous mènera
à 7ha, 10 ha de riz qui nous mènera à 25 ha et de 5 ha de maïs.

En effet, nous avions prévu d’entamer une exploitation de 7 ha d’ananas. Cependant compte
de la pandémie de la covid 19 qui a impacté négativement nos ventes des récoltes passées,
nous n’avons pas dégagé assez de ressource pour faire les 7 ha. Il manque 5ha faisant partir
l’objet de la demande de subventions

Nous ambitionnons d’implémenter la ferme dans un future proche (horizon 2 ans)

Pour récapitulatif notre projet s’articule ainsi :

Niveau
Activité d’exécution du Observations
projet
Exécuté à 100% Les récoltes sont prévues pour fin
Exploitation de 15 ha de riz septembre

Exploitation de 10 ha de riz Pas encore débuté Faisant partir de la demande de


supplémentaire subvention
Exploitation 2 ha d’ananas Exécuté à 80% Cette exploitation s’est faite en 2 phases,
 0,5 ha commencé en Août 2019
 1,5ha commencés en janvier 2020

Exploitation de 5 ha d’ananas Pas encore débuté Faisant partir de la demande de


supplémentaire subvention

Ferme Avicole de 5000 têtes Pas encore débuté Nous comptons commencé ce projet
après la finalisation du projet
supplémentaire d’ananas dans horizon 2
à 3 ans
Exploitation de 5 ha de maïs Pas encore débuté Faisant partir de la demande de
subvention
La réussite de ce projet aura un impact socio-économique certain à savoir :
• l’amélioration des conditions alimentaires et la ration qualitative de la population.
• Rendre le secteur agricole attrayant pour qu’il y ai plus de jeune dans ce secteur
• Lutter contre l’immigration et l’exode rural en favorisant la création de l’emploi
• Gérer des revenus à l’entreprise en vue de son auto promotion.
• L’employabilité de la junte féminine (A noter que nos travailleurs à temps partiel sont à
majorité des femmes)

2.1.3 Vision (le rêve du promoteur)


La Guinée étant le château d’eau de l’Afrique de l’ouest mon rêve est de mettre à profit ce
potentiel en exploitant les terres qui sont à majorités favorable à l’agriculture.
J’ambitionne de cultiver les terres disponibles avec les autochtones pour combattre l’exode rural
et assuré l’autosuffisance alimentaire avec le concours de tout un chacun sans distinction de race,
d’ethnie, de religion, ni de genre

2.1.4 – Mission (ce qu’il faut faire pour réaliser le rêve, cibles,
Pour réaliser ce rêve il me faut des moyens financier et technique me permettant de moderniser
l’activité agricole en augmentant les rendements.

2.1.5- Localisation du projet

Situé dans la préfecture de Kindia, Kolenten est une sous-préfecture distant d’environ 38 km de
ladite préfecture (Kindia). Sa population essentiellement constituée majoritairement de
musulman (religion traditionnelle) et de chrétiens, oscille autour 33448 habitants. Kolenten
comme d’autres localités de la Guinée, connaît une forte saison pluvieuse et une saison sèches.la
zone choisie pour abriter ce projet, favorise un élevage moderne et une agriculture diversifiée. A
part l’élevage et l’agriculture, la population d’ethnie Soussou pratique aussi le commerce et
l’artisanat. Le type de famille la plus fréquente dans ce milieu est la polygamie avec une
espérance de vie de soixante, ans.

2.1.6 - Coût et nombre emplois créés


A ce jour nous avons 6 employés à plein temps. En fonction des activités de défrichage, de labour,
de semence, de récolte, nous pouvons recruter de la main d’ouvre à temps partiel ( des femmes)

2.2 – Le promoteur
2.2.1 – Nom et coordonnées
Barry ibrahima laho
Adresse : Koloma, Conakry,
Tel: 664 27 69 03
Email: kamofibsarlu@gmail.com

2.2.2 –Profil (formations reçues, stages pratiques…)


Diplômé en M.I.A.G.E de l’université la source de Guinée,
Stage de 3 mois au patrimoine bâti en 2014,

Depuis 2016, j’ai décidé de me lancé à mon propre compte dans l’agriculture et la
logistique. A noter que j’ai dans le domaine du transport j’ai acquis un parc de 8 véhicules
(6 pick up, 2 toyota prado, un camion frigorifique). Les recettes acquis dans le transport
cumulé avec un financement de Cofina de 360 millions (remboursé intégralement à date)
m’ont permis d’investir dans l’agriculture qui a toujours été mon objectif.

Parallèlement, j’ai défendu les couleurs de l’équipe nationale de basket ball pendant 4 ans
où j’ai été élu 4 fois meilleur joueur du pays.

2.2.3 – bilan personnel avec expérience antérieures et actuelles (valoriser les


réussites, faire part des échecs également)
En 2016 je me suis lancé dans la culture du gombo sur le demi hectare et 45 jours âpres je
me suis retrouvé avec des recettes équivalents au triple des dépenses effectuées.
Puis j’ai mis du riz sur un hectare en même temps que la tomate, gombo, piments sur un
demi hectare chacun, j’ai encore eu un rendement satisfaisant avec le gombo et piment
mais j’ai perdu la totalité des récoltes de tomate par manque d’expérience. Aujourd’hui,
nous sommes à 3 ha de cultures maraichère, 4 ha d’ananas (dont 1ha de plus en cours
d’exploitation) et 15 ha de riz sur une zone de baffons louées

2.3 – L’entreprise

2.3.1 – Forme juridique

SARLU

2.3.2 – Structuration et personnel


Ibrahima laho barry directeur général
Hamidou barry : gestionnaire
Almamy yatara : gardien
N’famara Keita : agronome
Abdoulaye barry : ouvrier
Lansana bissiri Camara : ouvrier
Moussa Camara : ouvrier
Mabinty camara : Ouvrière
15 personnes indépendantes dont la majorité sont des femmes

En fonction des charges de travail, nous pouvons prendre des ouvriers occasionnels

2.3.3 – Partenaires (techniques et financiers)


Boubacar Diallo technique,
Mohamed Hady,
Cofina : financement de 360 millions débloqué en 2017 et intégralement remboursé à date

III – ANALYSE DU MARCHE ET DE L’ENVIRONNEMENT


3.1 – Analyse du marché

3.1.1 – Analyse de la demande

Type
Segments de Quantité Besoins et
Localisation Nombre produits
clients demandée préférences
demandés

Grossites : plus Kindia, 4 avec lesquelles 30 Tonnes


de 90% des friguiagbé, nous avons par
commandes. Conakry commencé les commande
discussions. A pour
noter qu’il y a l’ananas
beaucoup Ananas, riz
d’autres maïs et
grossistes que cultures 5 tonnes
nous pouvons maraichère par
contacter s commande
pour le riz

Une
quantité
de maïs
suffisante

Hôtels et Conakry 6 Hôtels et plus Ananas et


restaurants restaurants en cultures
10% des négociations
maraichère
commandes
s

Exigences des clients : Les grossistes vendent le riz et le maïs en local et exportent une
petite quantité d’ananas vers les pays de la sous-région, notamment au Sénégal qui abrite
un certain nombre d’unité de transformation. Ils sont exigeant sur la qualité. Cependant la
demande étant aujourd’hui supérieure à l’offre, il est relativement facile d’écouler les
récoltes. La difficulté réside dans la réussite de l’exploitation (qui nécessite un suivi
permanent) jusqu’aux récoltes.

3.1.2 – Analyse de l’offre et de la concurrence

N° Concurrents Produit Quantité Forces Faiblesses Observations


produite
01 Alsény SOUMAH Ananas 7 ha
NIGER
Une bonne Ne disposant
Alya SOUMAH
expérience dans le pas de
02 Ananas 5ha secteur de matériels
l’Ananas, comme
tracteurs et des
terres qui sont
louées pour
certains
03 Coleah SOUMAH Ananas 5ha

04 EFKT Ananas 3 ha
internationale
05

3.1.3 – Analyse de l’environnement

Dans les années 50, la Guinée était le plus grand exportateur d’ananas frais vers la France
où elle envoyait plusieurs milliers de tonnes par an.

Depuis, la production avait sombré, en lien avec les difficultés politiques du pays. Lequel,
depuis l’indépendance en 1958, avait été gouverné jusqu’à sa mort en 1984 par Sekou
Touré. Ce dernier, qui avait tenu tête à la France du général de Gaulle, avait nationalisé les
entreprises étrangères et planifié l’économie. La culture de bananes et d’ananas était alors
«contrôlée par la deuxième et troisième génération d’(agriculteurs) français», rapporte un
document de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international. Avec les
nationalisations, le départ des Français avait entraîné une chute de la production. Par la
suite, les problèmes d’électricité et d’irrigation avaient entravé le développement du
secteur.

Un débouché pour l’agriculture


Aujourd’hui, l’agriculture occupe «près de 80% de la population», selon des sources
officielles. D’où la recherche de débouchés rentables à l’exportation.

Ces dernières années, le marché mondial, dominé par le Costa Rica, était en pénurie,
notamment en raison de facteurs climatiques qui ont accéléré la raréfaction de la
production. A tel point que fin 2015, les fabricants internationaux de jus de fruits et de
conserves éprouvaient des difficultés à approvisionner leurs clients. Dans ce contexte, la
Guinée a sans doute une carte à jouer. D’autant qu’en Afrique, le marché (dominé par le
Nigeria, avec 900.000 tonnes par an) est essentiellement local : l’ananas y est surtout
consommé sur place.

Fin 2016, le Bureau d’exécution stratégique, placé sous l’autorité du Premier ministre
d’alors Mamady Youla qui a pour objectif d’accélérer la mise en œuvre d’initiatives phares
du gouvernement, a donc décidé de prendre le taureau par les cornes. Et ce en lien avec
Dalberg cabinet américain «de conseil en stratégie spécialisé en développement et
innovation».

«Pour nous, l’objectif c’est d’augmenter la productivité à l’hectare pour passer de 30


tonnes à 50 Tonnes à l’hectare (…). Et l’autre aspect c’est d’augmenter les superficies pour
qu’en 2020, on arrive à 1000 hectares», expliquait en juillet 2017 la ministre de
l’Agriculture, Jacqueline Sultan citée par le site guineenews.

Partenariat
Au niveau production, les autorités guinéennes entendent se donner les moyens
nécessaires pour approvisionner les marchés européens. Elles ont ainsi conclu un
partenariat avec les producteurs de Basse-Guinée (zone côtière du pays) et l’importateur
français VB International.

Ce dernier «s'est engagé à acheter une quantité importante provenant de producteurs


guinéens qui respectent les normes du marché européen précise le Bureau d’exécution
stratégique. Pour le gouvernement c’est une étape clé pour initier le retour de l’ananas de
Guinée sur les marchés internationaux». L’ambition, c’est d’enclencher la dynamique
d’exportation de l’ananas. A l’horizon 2020, le pays souhaite exporter 2500 tonnes par an.
Pour le riz :
La filière riz demeure aujourd’hui l’une des principales filières agricole en pleine expansion
en Guinée. Selon les estimations fournies par les résultats de l’enquête accès aux
statistiques rizicoles en Guinée, la superficie totale cultivée est passé 47 6000 ha en 2000 à
797 120 ha en 2010. Quant au rendement moyen, il est passé de 1,55 à 1,71 tonne par
hectare en 2009, pour toutes les écologies confondues, soit respectivement une
production globale estimée en paddy de 739 000 tonnes en 2000 et 1 366 208 tonnes en
2009.

D’après le Service National des Statistiques Agricoles (SNSA), la production du riz serait en
constante augmentation depuis le milieu des années 90. Si on s’en tient aux résultats du
recensement agricole de 2000 et de l’enquête accès aux statistiques rizicoles en Guinée,
sur une période de 10 ans, les surfaces rizicoles auraient augmenté de 67% et
l’augmentation de la production serait de plus de 84%.

Cette croissance pourrait être essentiellement la résultante des effets de deux (2)
principaux facteurs notamment :

i) l’extension des superficies de culture due à l’intervention accrue des projets et services
agricoles en matière d’aménagement des surfaces rizicoles (plaines et mangroves en Basse
Guinée) et (bas-fonds en Guinée forestière) et,

ii) l’expansion du marché du riz local due à l’amélioration des techniques d’étuvage du riz.

Malgré les efforts fournis dans la mise en œuvre des politiques d’aménagement rizicole et
de diffusion des itinéraires techniques et des variétés de semences améliorées, depuis les
années 80, la production du riz reste déficitaire. En effet, la consommation du riz per
capita en Guinée varie en fonction des régions naturelles. Selon les informations fournies
par le Service National des Statistiques Agricoles, la moyenne nationale est de 100 kg par
habitant et par an.

Les besoins annuels de consommation théoriques s'élèvent donc à environ 1 000 000
tonnes pour une population estimée à 10 millions d'habitants environ. Cette
consommation est assurée par la production locale d'une part (60%) et les importations
d'autre part (40%). Le riz constitue l’aliment de base de la population, avec une
consommation annuelle d’environ 100 kg/tête d’habitant.

Le commerce du riz local étuvé couvre l’étendue du territoire Guinéen. Il est plus intense
dans les mois qui suivent les récoltes en décembre. D’après les résultats du Projet d’Appui
à la Dynamisation des Filières Vivrières (DYNAFIV 2008), les producteurs mettent sur le
marché environ 120.000 tonnes de riz local par an, dont plus de la moitié fait l’objet d’un
commerce inter préfectoral.

Pour satisfaire ses besoins en consommation, la Guinée importe chaque année


d’importantes quantités de riz. Ces importations ont atteint près de 300 000 tonnes en
2009 (DND), alors qu’elles se situaient à 151 000 tonnes en 2000. En plus de ces
importations, la Guinée reçoit des aides alimentaires.

Selon les résultats du rapport sur le Renforcement de la Disponibilité et de l’Accès aux


Statistiques Rizicoles, le volume des aides alimentaires enregistrées pour l’exercice du 1er
novembre 2009 au 31 octobre 2010, est de 15 000 à 20 000 tonnes de riz, dont 6,404
tonnes dans le cadre de l'aide alimentaire du Programme Alimentaire Mondial (PAM).

Malgré une hausse du cours mondial (Prix moyen CAF de 210 $/tonne en 2000 contre
417$/tonne en 2009) et une dépréciation régulière du franc guinéen par rapport aux
devises étrangères, les importations de riz connaissent toujours un accroissement
important.

3.1.4 – Conclusion de l’analyse du marché et de l’environnement

FORCES FAIBLESSES

- Le domaine et équipements sont la - Peu d’expérience, car nous avons


propriété de l’entreprise, commencé le projet ananas en 2019
- Depuis 2016, les recettes sont
réinvesties dans l’agrandissement du
projet,

- Recrutements d’un agronome qualifié


et de travailleurs expérimentés

- Acquisition d’équipements modernes


et de qualités,

- Nous avons prévu la construction d’un


forage pour irriguer pendant la saison
sèche

OPPORTUNITES MENACES

- L’agriculture est un secteur à potentiel - La non maitrise de l’eau pour


qui est peu exploité en Guinée, l’irrigation, le vol.

- La terre dans cette région est très


propice à l’agriculture

 IV – CHOIX STRATEGIQUES

Domaines Guide de remplissage

- Pour l’Ananas nous pouvons avoir comme clients :

Les grossistes qui achètent plus de 90% des récoltes pour l’exportation
essentiellement

Les hôtels et restaurants

1. Marché
Stratégie du produit
Pour l’ananas nous misons sur un produit de qualité en investissant dans
engrais nécessaires et le forage pour l’irrigation avec un système de
tourniquets pour arrosage équilibré

Stratégie de prix

Le prix unitaire de l’ananas est compris entre 4500 à 6000 GNF. Avec la crise
sanitaire en 2020, il n’y a pas eu d’exportations ce qui a baissé le prix à 3500
GNF.

Stratégie de distribution
2. Stratég
ie
La vente de l’ananas se fera essentiellement par vente bord champ lors des
marketi
récoltes avec les grossistes.
ng
Pour la distribution au niveau des hôtels et restaurants, nous allons utiliser
un camion frigorifique déjà à notre disposition

Stratégie de communication et de promotion du produit


Les canaux de communications sont divers et variés, pour ce cas précis nous
allons utiliser :
Les radios communautaires,
Les affiches ;
Les réseaux sociaux et site web en cours de conception,
Les forums

La question des débouchés ne se pose pas à priori, car la demande est


5-Stratégie supérieure à l’offre. Toutefois, nous inviterons nos clients à visiter notre site
par rapport à pour les rassurer sur la qualité de nos produits
la
concurrence

Le cycle de production de l’ananas étant sur une période de plus d’1an, nous
6-Stratégie allons le cumuler avec les cultures maraichères dont le cycle de production
d’autonomie varie entre 40 à 90 jours. Les recettes engrangées par cette dernière, va
financière nous permettre de supporter les charges d’exploitations, notamment les
salaires

V – PLANIFICATION OPERATIONNELLE
5.1 Plan des activités

5.1.1 Plan des ventes


Tableau 1 : Prévision de la vente:

La récolte va commencer à partir du 17 ième mois d’exploitation et va s’étendre sur 2 à 3


mois

Désignation Année 1 Année 2 Année 3


Vente d’ananas / bord champs 0 1 029 000 000 0
Vente de Rejet / bord champs 0 220 500 000 367 500 000
CHIFFRE D'AFFAIRE (CA) 0 1 249 500 000 367 500 000

Pour la projection des ventes, nous sommes allées sur la base de :

 58.800 têtes d’ananas par hectare au prix de 3.500 GNF par / ananas. A noter nous
avons considéré le plus bas prix possible, car il peut monter jusqu’à 6.000 GNF,

 3 rejets produit par tête d’ananas. Nous comptons replanter la moitié des rejets et
vendre le reste au prix de 500 GNF

5.1.2 – Compte d’exploitation prévisionnel

RUBRIQUES Année 1 Année 2 Année 3


Produits d'exploitation 0 1 249 500 000 367 500 000
Vente d’ananas / bord champs 0 1 029 000 000 0
Vente de Rejet / bord champs 0 220 500 000 367 500 000
Charges d'exploitation 281 175 000 0 0
Achat des semences 180 000 000 0 0
Achat des intrants 101 175 000 0 0
Marge Brute sur Matières -281 175 000 1 249 500 000 367 500 000
Charges externes 123 485 000 58 530 000 28 440 000
Opération de préparation du sol 47 050 000 0 0
Opération de planting 13 500 000 0 0
Charge d'irrigation 26 760 000 13 380 000 17 840 000
Opération de fertilisation 11 700 000 0 0
Opérations d'hormonage 0 6 250 000 0
Opération de paillage 0 12 500 000 0
Opération d'éthrélage 0 3 750 000 0
Opération Récolte 0 14 000 000 0
Opération de récolte des rejets 0 3 000 000 5 000 000
Activité post recolte (désherbage) 0 3 150 000 2 100 000
Activité post recolte (triple) 0 2 500 000 3 500 000
Achat des petits outillages 24 475 000 0 0
Autres charges 31 000 000 4 500 000 0
Frais de prestation du comptable 0 3 000 000 0
Frais de transport des intrants 10 000 000 0 0
Frais de communication 600 000 300 000 0
Transport du personnel 2 400 000 1 200 000 0
Location ou bail du terrain 18 000 000 0 0
Valeur Ajoutée -435 660 000 1 186 470 000 339 060 000
Charges de personnel 45 000 000 28 050 000 0
Gérant 6 000 000 3 500 000 0
Ingénieur Agronome 12 000 000 7 000 000 0
Gardiennages 0 1 800 000 0
Employés permanent (ouvrier) 27 000 000 15 750 000 0
Excédent Brut d'Exploitation (EBE) -480 660 000 1 158 420 000 339 060 000
Dotations aux amort & Prov 15 833 333 15 833 333 15 833 333
RE -496 493 333 1 142 586 667 323 226 667
Charges financières 0 55 440 000 0
Resultat Financier 0 -55 440 000 0
Resultat AO -496 493 333 1 087 146 667 323 226 667
Charges HAO 0 0 0
Resultat HAO 0 0 0
Impôts sur les sociétés 0 380 501 333 113 129 333
Participation des Travailleurs 0 0 0
Total des Charges 496 493 333 542 854 667 157 402 667
Résultat net (résultat de l'exercice) -496 493 333 706 645 333 210 097 333
Capacité d'Auto Financement (CAF) -480 660 000 722 478 667 225 930 667

5.1.3 – Le plan de production

ACTIVITES 1-2 3-4 5-6 7-8 9-10 11-12 13-16 16-19 FONCTIONS
Préparation de
Le Bureau
l’espace
Recherche des
Le Bureau
rejets
Mise en terre des
Le Bureau
plants

Entretien Le Bureau
Récolte Le Bureau

Commercialisation Le Bureau

Evaluation Le Bureau

5.1.4 – Le plan d’investissement

No Désignation Montant
1 Achat de semences et intrants 281 175 000
2 Opération de préparation du sol 47 050 000
3 Opération de planting 13 500 000
4 Fertilisation, traitement et entretiens 22 950 000
5 Charges d'irrigation 57 980 000
6 Opération de récolte 44 500 000
7 Autres charges 17 500 000
8 Charges du personnel 82 800 000
9 Equipements et petits outillages 109 475 000
TOTAL 676 93SV0 000
5.2 – Ressources humaines

5.2.1 – Ressources humaines

Titre du Profil ou qualifications Principales missions Type de Durée salaire Statut


poste contrat (salarié ou
main
d’œuvre
occasionne
lle)
Durée Durée 1 200 000 Par mois
Gérant Expérience de 3 ans dans le Suivi et évaluation des activités déterminé du
domaine sécurité à Laguipres projet
Durée Durée Par mois
Ingénieur Travaillant à la chambre Etude, conseil et suivi des déterminé du 1000 000
agronome d’agriculture de Kindia activités d’exploitation projet

Durée Par mois


Gardien Expérience dans le gardiennage Sécurisé déterminé Durée 600 000
des plantations du
projet
3 Ouvriers Expérience dans les travaux Activité de labour, de défrichage, Durée Durée 600 000 Par mois
champêtre de plantage et de récolte déterminé du
projet
5.2.2 Organigramme (structure de l’équipe)

Insérer organigramme
Exemple pour un promoteur de pisciculture

DIRECTEUR GENERAL

Gérant Agronome

Gardien 3 Ouvriers

En fonction des charges de travail, nous pouvons prendre des ouvriers occasionnels

VI Projections financières

6.1.1 – Tableau des produits

Désignation Quantité produite Prix unitaire Montant total


Vente Ananas 294 000 3500 1 029 000 000
Ente Rejets 441 000 500 220 500 000
Total 1 249 500 000

Chiffre d’affaires sur 3 ans

Désignation Année 1 Année 2 Année 3


Vente d’ananas / bord champs 0 1 029 000 000 1 131 900 000
Vente de Rejet / bord champs 0 220 500 000 367 500 000
CHIFFRE D'AFFAIRE (CA) 0 1 249 500 000 1 499 400 000

6.1.2 – Les charges


ACHAT DE SEMENCES ET
INTRANTS

No Désignation Unité Quantité PU Prix total


1 Rejets u 60 000 600 180 000 000
2 Urée Technique sacs 12 380 000 22 800 000
3 NPK (Triple) sacs 12 220 000 13 200 000
4 Carbure de calcium kg 25 30 000 3 750 000
5 Dolomie et superphosphate sacs 10 160 000 8 000 000
6 Sulfure de potassium sacs 6 250 000 7 500 000
7 Insecticides nématocide kg 17 80 000 6 800 000
8 Insecticides foliaire litres 14 80 000 5 600 000
9 Fongicide simple kg 14 75 000 5 250 000
10 Herbicide selectif et total kg 15 120 000 9 000 000
11 Engrais organiques sacs 120 30 000 18 000 000
12 Traitement d'induction florale kg 17 15 000 1 275 000
TOTAL 281 175 000

LES OPERATIONS DE
PREPARATION DU SOL

No Désignation Unité Quantité PU Prix total


1 Prospection et délimitation u 2 100 000 1 000 000
2 Défrichement H/J 20 30 000 3 000 000
3 Dessouchage u 1 5 000 000 25 000 000
Ramassage, Calcination et
4 Nettoyage (manuel ou H/J 12 1 800 000
mécanique) 30 000
5 Labour 1 H/J 1 800 000 4 000 000
6 Labour 2 H/J 1 800 000 4 000 000
7 Hersage H/J 1 600 000 3 000 000
8 Aménagement du terrain H/J 10 30 000 1 500 000
9 Epandage d'engrais de fond H/J 10 30 000 1 500 000
10 Buttage H/J 15 30 000 2 250 000
TOTAL 47 050 000

LES OPERATION DE PLANTING

Désignation Unité Quantité PU Prix total


Application dolomie H/J 4 30 000 600 000
Calibrage des rejets H/J 12 30 000 1 800 000
Parage des rejets H/J 12 30 000 1 800 000
Trempage et désinfection H/J 12 30 000 1 800 000
Prestation Planting des rejets H/J 40 30 000 6 000 000
Regarnissage H/J 10 30 000 1 500 000
TOTAL 13 500 000

FERTILISATION TRAITEMENT ET ENTRETIEN

Désignation Unité Quantité PU Prix total


Desherbage manuel H/J 35 30 000 5 250 000
Epandage d'engrais de couverture H/J 15 30 000 2 250 000
Epandage d'engrais liquide H/J 10 30 000 1 500 000
Traitement herbicide 1 H/J 5 30 000 750 000
Traitement herbicide 2 H/J 5 30 000 750 000
Induction florale (TIF au carbure de
calci) H/J 8 30 000 1 200 000
Activité post recolte (désherbage) H/J 35 30 000 5 250 000
Activité post recolte (triple) H/J 40 30 000 6 000 000
TOTAL 22 950 000

CHARGES
D'IRRIGATION

Désignation Unité Quantité PU Prix total


Carburant litre 3 198 10 000 31 980 000
Huile de moteur litre 52 30 000 7 800 000
Graisse litre 52 20 000 5 200 000
Entretien motopompe et
groupe électrogène u 52 50 000 13 000 000
TOTAL 57 980 000

LES OPERATIONS DE
RECOLTE

Désignation Unité Quantité PU Prix total


Hormonage H/J 125 50 000 6 250 000
Paillage H/J 250 50 000 12 500 000
Ethrélage H/J 125 30 000 3 750 000
Récolte des fruits H/J 350 40 000 14 000 000
Récolte des rejets H/J 200 40 000 8 000 000
TOTAL 44 500 000

AUTRES CHARGES

No Désignation Unité Quantité PU Prix total


1 Frais de prestation du comptable ens 1 3 000 000 3 000 000
2 Frais de transport des intrants mois 5 2 000 000 10 000 000
3 Frais de communication mois 18 50 000 900 000
4 Transport du personnel mois 18 200 000 3 600 000
TOTAL 17 500 000

CHARGES
PERSONNELLES

salaire brut
Désignation Unité Quantité nombre unitaire Prix total
Gérant mois 18 1 1 200 000 21 600 000
Ingénieur Agronome mois 18 1 1 000 000 18 000 000
Gardiennage mois 18 1 600 000 10 800 000
Employé permanent (ouvriers) mois 18 3 600 000 32 400 000
TOTAL 82 800 000

EQUIPEMENTS ET
PETITS
OUTILLAGES

No Désignation Unité Quantité PU Prix total


1 Forage u 1 45 000 000 45 000 000
2 Motopompe u 1 25 000 000 25 000 000
3 Cuve (5 000 L) u 2 7 500 000 15 000 000
6 Coupe - coupe u 25 20 000 500 000
7 Couteau u 25 15 000 375 000
8 Fût vide u 5 200 000 1 000 000
9 Bidon de 20 litres u 15 15 000 225 000
10 Daba u 25 25 000 625 000
11 Pèle u 25 30 000 750 000
12 Arrosoirs u 25 120 000 3 000 000
13 Plantoirs u 50 20 000 1 000 000
14 Gants paire 50 15 000 750 000
15 Bottes paire 50 75 000 3 750 000
Appareil de traitement
16 (Solo)
u 5 1 500 000 7 500 000
17 Cordeau m 25 20 000 500 000
18 Brouette u 5 500 000 2 500 000
19 Casier de récolte u 50 40 000 2 000 000
TOTAL 109 475 000

6.1.4 – Le plan d’investissement et plan d’amortissement

a) le plan d’investissement

No Désignation Montant
1 Achat de semences et intrants 281 175 000
2 Opération de préparation du sol 47 050 000
3 Opération de planting 13 500 000
4 Fertilisation, traitement et entretiens 22 950 000
5 Charges d'irrigation 57 980 000
6 Opération de recolte 44 500 000
7 Autres charges 17 500 000
8 Charges du personnel 82 800 000
9 Equipements et petits outillages 109 475 000
TOTAL 676 93SV0 000

b) le plan d’amortissement

duree de
équipement valeur vie année 1 année 2 année 3
Forage 45 000 000 10 4 500 000 4 500 000 4 500 000
Motopompe 25 000 000 3 8 333 333 8 333 333 8 333 333
Cuve (5 000 L) 15 000 000 5 3 000 000 3 000 000 3 000 000
TOTAL 15 833 333 15 833 333 15 833 333

6.1.5 – Le besoin en fonds de roulement


No Rubriques Montant
1 Equipement/Investissement 109 475 000
2 Fonctionnement 290 780 000
3 Intrants 281 175 000
Total global 681 430 000

6.1.6 – Le besoin en financement

Apport Besoins en
Montant
No Désignation Personnel financement
1 Achat de semences et intrants 281 175 000 0 281 175 000
2 Opération de préparation du sol 47 050 000 0 47 050 000
3 Opération de planting 13 500 000 0 13 500 000
4 Fertilisation, traitement et entretiens 22 950 000 0 22 950 000
5 Charges d'irrigation 57 980 000 0 57 980 000
6 Opération de recolte 44 500 000 0 44 500 000
7 Autres charges 35 500 000 0 35 500 000
8 Charges personnelles 69 300 000 0 69 300 000
9 Equipements et petits outillages 109 475 000 68 143 000 41 000 000

TOTAL 681 430 000 68 143 000 613 287 000


100% 10% 90%

6.1.7 – Le plan de financement

Origine des
No fonds Designation Coût total Sous total
Apport en numéraire 0

Equipement/Investissement 68 143 000


Apport en fond
1 0 68 143 000
propre Semences et intrants

Frais d'établissement de 0
l'entreprise
Equipement/Investissement 41 000 000
2 Emprunt semences et intrants 281 175 000 613 287 000

Charges de fonctionnement 290 780 000

Total investissement 681 430 000

ANNEXE : Quelques images

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