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En génératrice :
Elle produit un courant électrique dont la fréquence est déterminée par la vitesse de rotation de
machine.
En moteur :
Elle absorbe un courant électrique dont la fréquence de rotation est déterminée par la vitesse de
rotation de la machine.
La machine synchrone est principalement utilisée en mode génératrice, elle constituer de deux
parties :
II- Objectifs du TP :
Dans ce TP on cherche à réaliser un essai en charge et à vide, en court-circuit, dans ce cas-là notre
machine synchrone seras entrainer par une machine asynchrone, est cette dernière seras alimenté
par un alternostat, dont la tension sera redressée par un pont redresseur.
On identifie une loi linéaire de type Icc = βIex, avec β, la pente de la caractéristique dans
On identifier maintenant X :
sur l’intensité, et on mesure pour chaque valeur de Iex l’intensité I absorbée par le moteur.
On a : Pu = 1500 W.
U = 400 V.
N = 1500 tr⁄min.
I = 4.6 A.
cosφ = 0.68.
4.3 Manipulations :
FAIRE IMPÉRATIVEMENT VÉRIFIER LES MONTAGES AVANT LA MIS SOUS TENSION
1. On Relever les plaques signalétiques des deux machines tournantes sur votre copie. En déduire les
calibres des appareils de mesure nécessaires à chaque essai :
La Puissance Utile (Pu) 1500 W
La Tension Complexe 400V
La Vitesse De Rotation 1500 tr/min
Le Courant nominal 2.2 A
Le Courant d’excitation 2.9 A
Se placer dans les conditions nominales de vitesse Ns et au plus proche du courant nominal I=In sous
la supervision de l'enseignant.
Démarrer la machine asynchrone en variant notre consigne de vitesse au maximum.
La vitesse de synchronisme est de 1500 tr/min.
Observer une tension maximale qui apparaît, supérieure à la nominale.
Varier l'alternostat.
Avoir un courant d’excitation de 2.9 A.
Augmenter la charge pour augmenter le courant et diminuer notre tension jusqu'à la tension
nominale.
Le courant d'excitation diminue, donc le faire augmenter une deuxième fois.
Attendre 15 minutes, relever notre premier point de mesure, puis diminuer progressivement la
charge pour faire diminuer.
On obtient :
Relever ensuite les valeurs de E en fonction de (Iex) en diminuant (Iex) progressivement et on obtient :
Essai en court-circuit :
Au premier temps on va éteindre notre machine synchrone pour changer le mode de câblage pour
faire l’étude en court-circuit.
61
60
59
X(ohm)
58
57
56
55
54
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9
Iex(A)
5.3 CONCLUSION :
Le diagramme de Behn-Eschenburg permet d’introduire l’étude de la machine
- L’alternateur est à pôles lisses : les inductances relatives à chaque armature sont indépendantes de
la position angulaire.
- L’alternateur n’est pas saturé : de ce fait, les relations entre flux et courants sont linéaires. De plus il
est possible d’additionner les flux produits par les différents courants.
Cependant, du fait des nombreuses hypothèses simplificatrices, sa précision est très limitée. En
conséquence, il faut utiliser ce modèle de manière qualitative plus que quantitative.