Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Nos impressions au cours de notre stage sont toutes bonnes du fait que le
personnel de ANAC notamment celui de la GAS n’a ménagé aucun effort pour
nous aider dans l’élaboration de ce travail. Ce stage nous a permis de connaître
l’importance de l’expérience professionnelle et de découvrir que la théorie est
différente de la pratique.
Malgré la bonne ambiance qui a régné durant ce stage, malgré l’encadrement et
la volonté manifeste du personnel à notre égard pendant nos recherches, nous
avons rencontré certaines difficultés. Au nombre de celles-ci nous pouvons
citer :
- l’absence de tâches à effectuer due au manque d’une politique rigoureuse
de suivi des stagiaires ;
- l’accès difficile à certaines informations parce que jugée confidentielle
par les agents de l’ANAC ;
- le nombre excessif de stagiaire qui ne favorise pas un bon encadrement.
- une mauvaise gestion du temps de travail.
- problème d’archivage des documents administratifs au sein de cette entreprise.
Les outils de pilotage au plan social interviennent dans les activités de
développement des ressources humaines, plus précisément sur le développement
des compétences.
Pour mieux comprendre cette fonction sociale, on peut la diviser en deux sous-
parties et les traiter séparément, étant donné leurs particularités respectives :
1. La communication et l’information : le rôle du directeur de RH, en la
matière, consiste à :
-L’hygiène et la sécurité
On en déduit que la gestion sociale des RH exige des connaissances dans des
domaines aussi variés que la sociologie, la psychologie, le droit, la gestion…Ce
qui rend le poste de Directeur des RH (DRH) encore plus important car lourd en
responsabilités.
La notion de valeur ajoutée élargie est par contre un concept nouveau qui vise à
mettre en évidence la richesse créée par l'ensemble des personnes occupées par
l'entreprise, indépendamment de leur statut. Elle correspond à la valeur ajoutée
classique majorée des charges liées aux intérimaires et au personnel mis à la
disposition de l'entreprise.
Dans une optique socio- économique tout comme dans celle adoptée par le bilan
social, la notion de personnel occupé par l'entreprise ne recouvre pas seulement
les travailleurs inscrits au registre du personnel, mais bien l'ensemble des
personnes travaillant dans l'entreprise sous l'autorité de la direction. Cette
conception amène l'analyste à revoir la définition classique de la valeur ajoutée,
qui reflète d'une manière incorrecte la richesse créée par la combinaison des
facteurs travail et capital. On peut dès lors regretter qu'il ne soit pas possible
d'isoler le montant des sous -traitantes générales de manière à leur donner un
traitement similaire à celui du travail intérimaire et de la mise à disposition.
Le taux de valeur ajoutée par rapport à la production totale est un ratio classique
qui s'impose dans l'analyse du bilan social, car il permet d'éclairer l'examen de
l'évolution de l'emploi, en prenant en considération les modifications du degré
d'intégration verticale de l'entreprise ainsi que le contenu technologique ou
intellectuel des activités.
En ce qui concerne son évolution dans le temps, une variation importante doit
s'apprécier en tenant compte du volume de la valeur ajoutée. En effet, les heures
prestées totalisent tant celles qui ont traits aux prestations directement
imputables à la production que celles affectées à la gestion de la structure.
La littérature existante sur les outils de pilotage social dans les entreprises
africaines est à la fois vaste et diversifiée. Cependant, un thème récurrent est la
sous-utilisation ou la non-utilisation de ces outils.
Les cultures nationales ont toujours exercé une influence notable sur les modes
de gouvernance des entreprises (D’Iribarne, 1989 et 2007 ; Hofstede, 1980 ;
Kamdem et Ongodo, 2004 ; Joannides, 2011, etc.). Les écarts de développement
entre nations peuvent trouver une explication dans les phénomènes sociaux et
culturels. En ce qui concerne l’Afrique, Zadi Kessy (1998) tente d’expliquer ce
fait en indiquant que les modèles de management des entreprises africaines sont
d’inspiration étrangère et peuvent s’avérer inadaptés aux réalités culturelles
africaines. La culture africaine est, selon lui, fondée sur la mentalité
communautaire (relations familiales) et la solidarité, tandis que le modèle
capitaliste est fondé sur l’individualisme et la recherche du profit. Cette pensée
ne traduit-elle pas aujourd’hui une réalité anachronique ?
Des études en contrôle de gestion, par exemple, ont déjà établi que les savoir-
faire se diffusent avec un décalage temporel dans les économies en
développement comme le Sénégal (Bampoky et Meyssonnier, 2012) par rapport
à la France où elles se diffusent immédiatement (Alcouffe, Berland, Levant,
2003). Parmi les facteurs de contingence de cette diffusion lente en Afrique, on
note le défaut de qualification des travailleurs et une très faible instrumentation
et rationalisation de la gestion. Ceci est le résultat de l’histoire culturelle
africaine. La culture africaine de développement mérite ainsi d’être enrichie par
une ouverture aux vertus progressistes de la société capitaliste.
L’Afrique, mis à part quelques pays comme l’Afrique du Sud et le Maroc qui
ont une histoire assez particulière, n’a pas traversé les différentes étapes du
capitalisme pour progressivement disposer d’une société technicienne capable
d’amener, par elle-même, le progrès technique comme ce fut le cas dans les pays
émergents ou développés asiatiques (Chine, Corée du Sud, Inde, Japon, Taiwan,
Hong Kong, Singapour, etc.). Aujourd’hui, on ne peut plus refaire l’histoire ni
reconduire ou se cantonner sur les bases culturelles de la société africaine
féodale, dans un nouveau contexte de mondialisation de l’économie. L’intérêt
est de promouvoir un capital humain apte à adopter les innovations ou à innover.
Les fondements de la forme actuelle du capitalisme pourraient alors être adaptés
à la nouvelle société africaine.
CHAPITRE III
B- Objectifs
Nous nous sommes fixés pour la réalisation de ce travail un objectif général et
des objectifs spécifiques.
Objectif général :
L’objectif général poursuivi est d’attirer l’attention des dirigeants de ANAC
notamment ceux de la DRH sur l’importance de la mise en place du bilan
social en vue d’assurer une bonne gestion prévisionnelle des emplois et des
compétences.
De cet objectif général découlent deux objectifs spécifiques.
Objectif 1 :
Proposer à ANAC une démarche visant la mise en place d’un outil
d’information et de concertation en matière de ressources humaines.
Objectif 2 :
Proposer aux dirigeants de la DRH de l’ANAC un outil facilitant une gestion
prévisionnelle des effectifs.
Dans ce thème une revue critique du bilan social permet d'identifier deux
groupes de travaux. Le premier se situe dans les premières années qui suivent
l'avènement de la loi sur le bilan social (1977) : ce courant critique analyse les
insuffisances du bilan social et ses difficultés de mise en œuvre. Le second, le
plus récent (1990 -1995) porte sur des analyses des bilans sociaux à partir à
partir des traitements statistiques sur de grands échantillons.
On ne trouve quasiment plus d'ouvrages sur le thème du bilan social après 1985,
ce qui ne laisse pas de surprendre compte tenu des évolutions notoires en Droit
social et en Ressources Humaines.
Un second groupe de travaux apparait vers 1993dont le point commun est cette
fois ci l'analyse de bilans sociaux pour apprécier les performances sociales des
entreprises (ALLOUCHE ,1992 A.B.C- 1993, A.B) ; ou procéder à des analyses
de corrélation sociales entre performances sociales et performances
économiques (D'ARCIMOLES, 1994-1995). Le bilan social devient alors une
source d'information utilisée pour mesurer les performances sociales.
D'aucun pense que le bilan social est apparu aux États Unis depuis 1929 avec le
président Hoover. Ce dernier avait mis en place une équipe de chercheurs
chargée de la rédaction d'un rapport national sur les tendances sociales aux
USA.
EN FRANCE
En 1971, JACQUES DELORS, chef du service des affaires sociales, fut une
importante contribution théorique sous le titre « les indicateurs sociaux ».
· En 1975 ; une étude sur l'évolution de la situation sociale, mise en place pour
la réforme de l'entreprise.
« Le moment est venu de donner une base chiffrée au dialogue entre les
partenaires de l'entreprise permettant de mesurer l'effort accompli en matière
sociale et de mieux situer les objectifs ... »
rapport SUDREAU du 07 /février/1975 qui venait de proposer la création du
Bilan social dans l'entreprise.
- de situer les capacités, les aptitudes actuelles et futures et, donc d'évaluer le
potentiel probable dérivé de la courbe de la performance.
L’audit social
L’audit social est un concept nouveau, né d’une demande récente à la fois
interne et externe à l’entreprise. Nous empruntons à l’un de ses fondateurs R.
Vatier (cité par CITEAU en 2008) la définition de l’audit social. L’audit social
est à la fois un instrument de direction et de gestion et une démarche
d’observation qui à l’instar de l’audit financier et comptable dans son domaine
tend à estimer la capacité d’une entreprise ou d’une organisation à maitriser les
problèmes humains et sociaux que lui posent son environnement et à gérer ceux
qu’elle suscite elle-même par l’emploi du personnel nécessaire à son activité ».
L’audit social se situe à plusieurs finalités et R. Vatier (cité par CITEAU en
2008) et PERETTI (2003) en distinguent trois (3) :
- l’audit de conformité qui s’attache principalement à vérifier les données
élémentaires et à authentifier les chiffres concernant les faits sociaux ;
- l’audit de pertinence qui permet d’apprécier la cohérence entre les objectifs et
les moyens affectés à leur réalisation et
- l’audit d’efficacité cherche cependant à détecter les écarts entre les objectifs
fixés et les résultats effectifs d’une action, d’une politique.
L’observatoire social :
Surprises par certains conflits qu’elles n’avaient nullement pressentis, des
grandes entreprises publiques et privées ont commencé à mettre en place à la fin
des années 80 de véritables observatoires sociaux. En multipliant les enquêtes
d’opinion dans ces entreprises, en traquant le moindre symptôme de
dysfonctionnement, en développant les synergies autour des réseaux
d’informations ascendantes, leurs responsables des ressources humaines
s’efforcent de mieux appréhender le climat social de leur organisation et de
détecter les risques de crise. L’observatoire social reste cependant un concept à
géométrie variable. D’une entreprise à l’autre sa finalité et ses modalités de mise
en œuvre ne sont pas nécessairement les mêmes. A travers l’observatoire social,
il s’agira pour les entreprises, soit d’établir une sorte de baromètre social de
manière à prévenir les conflits sociaux, soit d’évaluer les facteurs de motivation
et/ou de mécontentements des salariés, soit encore d’assurer une meilleure
visibilité de certaines actions de gestion des ressources humaines sur le
personnel et l’encadrement.
3.2.1 Définition :
En fonction des besoins des collectivités, des indicateurs seront privilégiés à
d’autres. La pertinence d’un indicateur prend du sens et de l’intérêt dès lors qu’il
peut être croisé avec d’autres indicateurs. Ces derniers permettent de dégager
des taux, des moyennes éclairant de manière synthétique la situation observée.
L’objectif est de garder la même méthodologie d’une année à l’autre afin de
comparer les résultats. Parfois, lorsque de nouvelles problématiques se posent ou
de nouveaux phénomènes sont à quantifier, il est nécessaire de créer des
indicateurs ex-nihilo. Le bilan social n’est pas figé mais évolue suivant les
besoins.
Enfin, pour affiner l’analyse, il est important de décliner le bilan social par
direction, parfois par service.
• emplois permanents
• détail des emplois permanents
• emplois en équivalent temps plein
• évolution des emplois.
Les effectifs :
• Personnel permanent
• Personnel permanent en équivalent temps plein
• Autres personnels non permanents
• Autres personnels gérés
• Effectif suivant le statut
• Effectif par catégorie hiérarchique
• Effectif par service, par direction
• Âge de l’effectif
• Âge par statut et par cadre d’emplois
• Ancienneté dans la collectivité
• Taux d’encadrement
• Effectif exerçant un encadrement par catégorie
• Effectif à temps non complet
• Effectif à temps partiel
• Effectif par lieu de résidence.
Les flux :
• Entrées et sorties
• Taux de recrutement
• Taux de sortie
• Taux de rotation
• Taux de remplacement
• Projection de départs en retraite
• Recrutement
• Situation antérieure des agents recrutés
• Recrutement sur emploi nouveau ou vacant
• Modalités de recrutement
• Mobilité interne
• Avancement de grade et promotion
• Agents au dernier échelon
• Mode de promotion
Rémunération :
Soulignons que la rémunération peut présenter une double nature, pour le salarié
d'une part, et pour l'entreprise d'autre part.
Pour le salarié, elle est une source de revenu. Elle assure les moyens de sa survie
et son insertion sociale. Elle est aussi le signe qu'il reçoit de la part de
l'organisation qui l'emploie, signe qui témoigne de la satisfaction de son
employeur et joue d'ailleurs un rôle radical portant dans sa motivation au travail.
Ainsi, un employeur non satisfait des prestations de son employé peut ne pas
accorder une rémunération satisfaisante.
• Organes paritaires
• Moyens mis à disposition des représentants du personnel
• Conflits sociaux
• Avantages sociaux
Gilbert et Charpentier, pensent qu'il n'est pas tout à fait normal de parler de
performance au singulier quand il s'agit de l'entreprise. Car, cette dernière n'a
pas qu'une performance mais plusieurs (économique, financier, sociale etc.), qui
ensemble forment la performance de toute l'entreprise.
Lapenu et al. (2004) définissent les performances sociales d'une organisation par
rapport aux performances économiques et financières, comme celles qui
prennent en compte la nature des relations internes entre ses employés et des
relations qu'elle entretient avec ses clients et avec les autres acteurs avec qui elle
interagit. Plus globalement, on peut entendre par performance sociale : « les
effets de l'institution sur les conditions sociales : effet sur le niveau de vie
(pauvreté), logement, santé, éducation etc. » (Lapenu et al, 2004, p5)
Si favoriser le dialogue social est une étape clé pour piloter les relations sociales
en entreprise, encore faut-il avoir les clés nécessaires pour entreprendre ce type
de projet. Nous l’avons vu, piloter les relations sociales d’une entreprise
nécessite l’implication de différents acteurs et la mise en œuvre de processus
adéquat.
Afin de mener ce type de projet, la direction se doit donc de disposer des outils
dont elle a besoin. Il existe des formations qui sont justement pensées en ce sens
et qui donnent aux directeurs opérationnels et DRH des clés concrètes à mettre
en œuvre pour favoriser le dialogue social. On y abordera également les
connaissances juridiques indispensables à cette thématique.
Aborder ces questions et mettre en place des dispositifs adéquats pour piloter les
relations sociales en entreprise s’en ressentira aussi bien en ce qui concerne
l’efficacité des équipes que la qualité de vie au travail. Une entreprise a donc
tout intérêt à former ses directeurs opérationnels et DRH à ses questions puisque
les bienfaits s’en ressentiront à de nombreux niveaux pour l’ensemble de
l’entreprise.
1- Recherche documentaire :
Elle a consisté à consulter certains documents pouvant nous aider dans notre
quête d’informations sur ANAC et sur la notion de bilan social. Il s’agit des
documents obtenus auprès de la cellule informatique, des anciens rapports de
stages, des documents généraux obtenus dans les bibliothèques, les notes de
cours et l’internet qui nous a été d’une grande utilité et nous a permis de
disposer d’informations utiles se rapportant au travail.
2- Les entretiens :
Cette étape nous a permis d’échanger avec trois (03) responsables en charge de
la GRH à ANAC, pour accroître notre connaissance sur certains sujets
concernant notre étude. Nous avons à cet effet utilisé un guide d’entretien
comme support de nos divers entretiens (annexe n°3). Ces entretiens ont duré en
moyenne quinze minutes chacun et les données ont été noté au fur et à mesure
que l’entretien se déroulait.
3- Le questionnaire :
C’est un ensemble de questions fermées que nous avons administré à la
population cible. Il nous a permis de recueillir les informations désirées. Il
s’articule autour des grands axes de nos préoccupations que sont l’existence des
outils de pilotage social à AGENCE NATIONAL D’’AVIASION CIVILE et les
raisons du non utilisation du bilan social à AGENCE NATIONAL
D’’AVIASION CIVILE.
Satisfaction
Satisfaction Satisfaction
Taux de de la
de la de la
Mois satisfaction politique de
politique de politique de
globale (%) formation
santé (%) congés (%)
(%)
Jan 85 80 90 85
Fév 86 82 91 86
Mar 87 83 92 87
Avr 88 84 93 88
Mai 89 85 94 89
Les enquêtés en majorité sont constitué des hommes (14) soit 70% et les
femmes (06) soit 30%.
En termes d’ancienneté, nous avons la répartition ci-dessous :
Des enquêtes effectuées, il ressort que la majorité du personnel enquêté est dans
la tranche d’ancienneté compris entre 10 et 15 ans représentant un taux de 30%.
Tableau 4 : Répartition par catégorie socioprofessionnel des agents enquêtés.
Le tableau nous montre que 07 agents enquêtés soit 35% affirment que la non
utilisation d’un outil de pilotage social est due à une absence de dialogue et de
concertation ; 08 soit 40% pensent qu’elle est due à une absence de fixation
d’objectifs et selon 05 agents enquêtés soit 25%, elle est due à l’absence d’un
outil de GPEC.
De ce tableau nous pouvons dire que les agents ne sont pas au courant qu’il y a
un outil leur permettant d’avoir les informations sur la GRH et la GPEC, car
60% répondent par la négation et 40% par l’affirmation.
EFFECTI POURCENTAGE
F
Meilleure élaboration de l’outil 15 75%
Meilleure compréhension de l’outil et de son 05 25%
utilité
TOTAL 20 100%
Source : Enquête de Septembre 2017
Il ressort de ce tableau que 15 enquêtés soit 75% affirment que pour une
meilleure utilisation du bilan social il faut une meilleure élaboration de l’outil et
05 enquêtés soit 25% répondent qu’il faut une meilleure compréhension de
l’outil et de son utilité.
Tableau 10 : Répartition des agents selon qu’ils ont reçu de formation sur
l’élaboration du bilan social :
A la suite de nos entretiens nous pouvons retenir que l’ANAC ne dispose pas
d’un outil d’aide à l’élaboration d’une démarche de gestion prévisionnelle des
effectifs.
Face à cette situation, nous pensons que la mise en place du bilan social à
ANAC permettrait aux gestionnaires des ressources de faire une gestion
efficiente du personnel.
Section 2 : Suggestions
Dans cette partie nous proposons quelques suggestions par rapport à la mise en
place du bilan social d’une part et par rapport aux difficultés auxquelles sont
confrontés les agents dans l’exercice de leur fonction d’autre part.
Conscients que nous n’avons pas abordé tous les aspects de la problématique de
la non utilisation du bilan social à AGENCE NATIONAL D’’AVIASION
CIVILE, nous pensons cependant que notre contribution pourrait servir non
seulement d’élément de résolution des problèmes identifiés, mais également
d’exemple pour d’autres études.
BIBLIOGRAPHIE
I-OUVRAGES
CITEAU J-P « Gestion des Ressources Humaines : Principes généraux et
cas pratiques », édition Armand COLIN, Paris 2008, 5ème édition.
MARTORY B., CROZET D. « Gestion des Ressources Humaines »,
édition F. NATHAN, Paris 1988, 3ème édition.
PERETTI J-M « Dictionnaire des Ressources Humaines », Vuibert, 5ème
édition, Paris, 287 pages.
PERETTI J-M « La Gestion des Ressources Humaines », Vuibert, 9ème
édition, Paris 2000, 284 pages.
II- MEMOIRE
IDOHOU E. et MONTCHO S. « Problématique de la mise en place du
bilan social dans les organisations : cas de la CNSS » Mémoire de fin de
formation pour l’obtention de la licence professionnelle, HECM,
Management des Ressources Humaines 2009-2010
III- AUTRES DOCUMENTS
Convention collective du travail applicable au personnel d’AGENCE
NATIONAL D’’AVIASION CIVILE
IV- SITES WEB
www.google.com (Moteur)
www. Wikipedia.com
www.mémoireonline.com
www.Go manager.com
ANNEXES
DEDICACE……………………………………………………………………I
REMERCIEMENTS………………………………………………………….II
I. INTRODUCTION.........................................................................................2
VI.CHAPITRE III...............................................................................................32
Section 2 : Suggestions....................................................................................40
IV. Conclusion.................................................................................................43
V. BIBLIOGRAPHIE......................................................................................45
ANNEXES……………………………………………………………………..
TABLE DE MATIERES………………………………………………………