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Clément Marot est né en 1496 à Cahors d’un père poète et mort le 12 septembre à Turin, c’est un

poète français. Il est le poète le plus important de la cour de François Ier. Malgré la protection de
Marguerite de Navarre ( la sœur du roi), ses sympathies marquées pour la réforme ( transformation
du christianisme, en revenant aux sources et à la première forme du christianisme) lui valent
plusieurs emprisonnements et 2 exils.

La biographie de Marot est difficile à assurer sur des bases certaines car nous manquons de
documents d’archives à son sujet : c’est donc le plus souvent sur ses propres poèmes que l’on
reconstruit son parcours, quoique ceux-ci fassent l’objet d’une véritable mise en scène allant parfois
à la falsification.

En 1515, il publie ses 1ers vers dans la tradition de « Roman de la Rose » et des rhétoriqueurs. Il écrit
des rondeaux, des ballades, des épîtres et des chants royaux. Désireux de s’attirer la faveur royale il
s’adresse au roi dans une petite épître. Il assemble une succession de rimes formés du mot « rime »
et de ses dérivés, flattant ainsi le roi dans son faible pour la poésie. Ce dernier recommande Marot à
sa sœur, il devient alors son valet de chambre et écrit des pièces de circonstances, chante ses amours
et celle d’autres grands de la cour, il montre dans ces pièces, son art de solliciter sans ennuyer.

En 1526 et 1527, il va se retrouver en prison, d’abord accusé d’avoir mangé du lard pendant le
Carême. Il fut menacé de torture et grâce à un ami ainsi qu’à « l’épître de Lion et du Rat », il
intervient en sa faveur auprès de l’êvèque de Chartres. Il montre ainsi sa maîtrise de l’épître par sa
grâce et sa bonne humeur.

Il écrit ensuite « L’Enfer » une violente satire contre le Châtelet ( la prison où il fut incarcéré) qu’il
publiera seulement en 1539.

Entre 1527 et 1537, son crédit grandit à la cour, il devient poète officiel du roi et suit ses
déplacements. Il lui consacre des pièces de circonstances, à l’occasion de son mariage, de la
libération des ses fils de prison ou encore de la mort de la reine mère. Son art de quémander en
plaisantant lui vaut d’ailleurs de toucher de l’argent

Il écrit entre autres une épître pour adresser ses vœux à François Ier, le 1 er janvier 1532. Il saisit
l’occasion d’attirer l’attention du roi sur sa propre détresse, en dissimulant son angoisse et en
plaisantant sur sa propre misère. C’est ce qu’on appelle un badinage marotique.

Il est exilé à Venise puis écrit à la cour pour rentrer et obtient satisfaction.

En 1537, sa querelle avec Sagon lui fait échanger des poèmes satiriques. C’est une véritable guerre
de poème qui est lancée. Il va ensuite à Genève où il va traduire des psaumes de David. Il ne rend pas
l’émotion du texte biblique mais bâtit des strophes destinées à être chantées sur des mélodies à la
mode car il veut écrire des cantiques.

Il meurt l’année où parait l’édition complète de ses œuvres.


Kenza

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