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Il y a beaucoup des essais de chargement de sols ont été développées par les ingénieurs
géotechnicien à travers le temps et c’est efficace.
Et même qu’il existe de nombreuses recherches et études en cours pour trouver de nouvelles
méthodes plus avancées
Au démarrage de tout projet les ingénieurs recherchent des caractéristiques de sol et parmi ces
caractéristiques la capacité portante du sol.
Et c’est l’a que les ingénieurs trouvent un problème d’abord le temps et la rapidité de
prélèvement d’un échantillon de sol et de son examen.
Conduisant aux résultats obtenus et l’étude de la sécurité de cette valeur, qui est à la base du
lancement d’un projet.
Le contrôle des couches mises en place peut s’effectuer très rapidement et sans le contre-poids
traditionnel d’un camion. Cette particularité facilite l‘évaluation rapide des éprouvettes et des
tests aux endroits exigus à accès difficile. Le procédé est indiqué pour les sols graveleux et les
tout-venants à Dmax de 63 mm Il est utilisé pour des modules dynamiques se trouvant dans
une fourchette de Evd = 15...70 MN/m².
L’essai dynamique à la plaque est décrit dans les Directives Techniques nationales allemandes
pour Sols et Enrochements TP BF-StB Article B 8.3 Edition de 2012. Une large gamme de
corrélations existe en rapport avec d’autres essais dynamiques se trouvant dans une fourchette
de Evd = 15...70 MN/m².
L’essai dynamique à la plaque est décrit dans les Directives Techniques nationales allemandes
pour Sols et Enrochements TP BF-StB Article B 8.3 Edition de 2012. Une large gamme de
corrélations existe en rapport avec d’autres essais.
L’avantage de cet essai tient à la rapidité et à la facilité de cet essai dans des endroits
difficilement accessibles avec un véhicule ; le Dmax des matériaux en place doit être inférieur
à 100mm.
Limites d’utilisation :
La profondeur d'influence de l'essai est plus faible que les autres matériels. Les valeurs ne
peuvent donc pas être comparées ;
Le TP BF-StB partie B 8.3. Limite l’utilisation de la plaque dynamique légère pour des modules
de déformation compris en 15 et 70 MPa [2].
Mode opératoire
L’utilisation de la plaque dynamique légère est confortable et très commode pour son usager.
Les mesures à erreurs sont exclues. Le système interne de contrôle de plausibilité pourvoit à
leur neutralisation.
Le logigramme illustré représenté à droite montre la réalisation très simple et rapide de chaque
mesure. La conduite à travers le milieu est intuitive et également facile à comprendre sans
connaissances préalables
Les résultats de mesures peuvent être imprimés immédiatement au chantier. Le point de masure
est protocolé par la saisie des coordonnées GPS, il est possible d’exporter les valeurs de mesures
par Bluetooth, par clé USB ou par câble sur tablette ou sur PC en vue de traitement et de
l’établissements de protocoles.
Manette de tenue
Tube de guidage
Plaque de
transmission de
charge avec manches
détenues
Manipulation facile
Sûr et précis
Fabriqué selon les standards techniques les plus récents exact, robuste, durable calibré
par une agence d‘étalonnage certifié
Utilisé 10.000 fois à l’échelle mondiale depuis 30ans
Essai CBR (California Bearing Radiotest)
L’essai CBR est un essai de portance (aptitude des matériaux à supporter les charges) des
remblais et des couches de formes compactées des ouvrages routiers.
Il s’agit de déterminer expérimentalement des indices portants (IPI, CBR) qui permettent
✓ D’établir une classification des sols (GTR)
✓ D’évaluer la traficabilité des engins de terrassement (IPI)
✓ Déterminer l’épaisseur des chaussées (CBR augmente ⇒ épaisseur diminue)
L’essai in-situ California Bearing Ratio (CBR) est déterminé avec une pression de terrain en
faisant pénétrer un piston cylindrique dans le sol à une vitesse donnée et en compare la
relation entre la force est la pénétration dans le sol d’un matériau standard [1].
Il est connu mondialement et la norme qui définit cet essai est NF P94-078.
BUT DE L'ESSAI
Déterminer un indice (l’indice CBR) permettant de calculer grâce à des abaques,
l’épaisseur des couches de fondation d’une route nécessaires à la constitution d’une
chaussée en fonction :
➢ Du sol sous-jacent,
➢ Du trafic et des charges par essieu prévus
➢ Des conditions hydriques futures que subira cette route.
L’indice CBR (I.CBR) exprime en % le rapport entre les pressions produisant dans le
même temps un enfoncement donné dans le sol étudié d’une part et dans un matériau type
d’autre part. Par définition cet indice est pris égal à la plus grande des deux valeurs
suivantes :
On applique ensuite une charge voisine de ce que sera la charge de service et on poinçonne le
matériau dans des conditions déterminées (vitesse constante et déterminée) tout en mesurant
les efforts (F) et les déplacements (Δh) en résultant : On obtient la courbe d’essai.
Une comparaison de ces résultats avec ceux obtenus sur un sol de référence (tout
venant de concassage) est ensuite effectuée. (Courbe ETALON).
Mode opératoire
L’indice CBR est déterminé pour des sols à vocation routière de manière purement
empirique.
Après avoir compacté le matériau dans les conditions de l’essai Proctor modifié, on lui
applique les conditions hydriques prévues :
Immersion pendant 4 jour dans l’eau,
Immersion pendant 2 jour dans l’eau,
Pas d’immersion : essai immédiat,
Etc.…
Le matériau à étudier étant placé dans un moule dans un état donné de densité et de teneur
en eau, on applique ensuite une charge voisine de ce que sera la charge de service, puis on
le poinçonne par un piston tout en mesurant les efforts et déplacements résultant.
Une comparaison de ces résultats avec ceux obtenus sur un sol de référence (californien)
est ensuite effectuée (voir définition de l’indice CBR ci-avant).
MATÉRIEL NÉCESSAIRE
✓ Moule CBR
✓ Dame Proctor modifiée
✓ Disque d’espacement,
✓ Règle à araser,
✓ Bacs d’homogénéisation pour préparation du matériau,
✓ Tamis 5 et 20 mm (contrôle et écrêtage le cas échéant de l’échantillon),
✓ Truelle, spatule, pinceau, etc…
✓ Eprouvette graduée 150 ml environ,
✓ Petits récipients (mesures des teneurs en eau),
✓ Balance portée 10 kg, précision ± 1 g,
✓ Balance de précision 200 g, précision ± 0,1 g (teneur en eau),
✓ Etuve 105°C ± 5° C (teneur en eau),
o Poinçonneuse CBR (piston de section 19,3 cm3 ; vitesse d’enfoncement 1,27
mm/min ; force maxi 50 KN) – voir à l’ETSHER le portique universel (cf.
fiche aide-mémoire 00-01),
✓ Capteur de déplacement (précision ± 0,01 mm) et support associé,
✓ Disque de surcharge (au moins 2 disques ou encore 4 demi disques),
o Disque de papier filtre (en fond de moule CBR pour éviter le départ des fines
du sol)
Compactage Arasage
Le but de cette opération est de placer le sol dans les plus mauvaises conditions
hygrométriques qu’il est susceptible de rencontrer dans la pratique.
On utilise une presse qui est munie d’un piston de poinçonnement de diamètre 4,96 cm
(section 19,3 cm2), et qui est pourvue d’un contrôleur de cadence ainsi que d’un
comparateur permettant de suivre les enfoncements au 1/100ième de mm près.
On place l’échantillon sur le plateau, bien axé sur le piston de poinçonnement. Les charges
annulaires sont remises en place (leur trou central laisse le passage au piston de
poinçonnement).
On amène la tige au contact du sol et quand l’aiguille dynamométrique de la presse
commence à bouger, on arrête le mouvement et on met le comparateur à zéro.
Puis la presse est actionnée à une vitesse constante d’enfoncement égale à 1,27 mm/min,
le mouvement étant régulé, soit de manière automatique, soit en suivant le cadencemètre
de la machine.
On effectue simultanément les mesures de l’enfoncement et de la force exercée et on note
(sans arrêter le poinçonnement) les forces qui correspondent aux enfoncements suivants :