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REMERCIEMENTS
Au terme de ce travail, nos sincères remerciements vont à tous ceux qui ont
contribué directement ou indirectement à l’élaboration de ce projet.
Pour tout le temps qu’il a consacré, pour la qualité de suivi, son soutien moral,
ses encouragements continus et ses conseils précieux.
Finalement, nos sincères remerciements aux membres du jury pour avoir accepté
d’évaluer notre modeste travail.
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
Nous avons passé la période de cette formation chez l’entreprise «SAMI» à partir du 06
Février 2023 jusqu'à 27 Mai 2023. Pendant cette période nous avons fait le maximum pour
atteindre un bon bagage de formation.
C’est dans cette optique que s’est inscrit le projet de fin d’études que nous avions réalisé au
sein de l’entreprise SAMI, société spécialisée dans la conception et l’automatisation des
systèmes industriels. Le sujet s’intitulait :
Pour cela notre rapport de stage est reparti en des parties qui sont présenté comme suit :
Dans le premier chapitre, on va présenter d’une façon générale l’entreprise dans laquelle nous
effectuées ce stage et la mise situation de projet
Ensuite dans le deuxième chapitre, nous allons faire une étude bibliographique
sur les différents types des dérouleurs. Et une analyse fonctionnelle pour le troisième chapitre
Puis le quatrième chapitre, nous aborderons la partie calcul, dimensionnement et choix des
organes mécaniques.
Dans le cinquième chapitre, on termine par la conception des différents éléments de la machine.
Chapitre I
Présentation de
l’entreprise d’accueil et
mise
En situation de projet
I. PRESENTATION GENERALE :
S.A.M.I est une société d'automatisme et de maintenance industriel dont le siège social est
situé à Rue 18 janvier Grombalia. Fondée le 01/12/2015, notre entreprise est spécialisée dans la
mise en service de matériel industriel, les maintenances prédictives, préventives et correctives,
ainsi que dans les études, la conception, la fabrication et la mise en route des installations des
machines. Chez S.A.M.I, nous sommes fiers de fournir des services de qualité supérieure pour
répondre aux besoins de nos clients.
Le plan des unités de production ainsi que le bloc administratif est détaillé
ainsi :
Zone 1 : Magasin de stockage
Zone 2 : Atelier de production
Zone 3 : Atelier de soudage
Zone 4 : Atelier d’assemblage
Zone 5 : Atelier de peinturage
Zone 6 : Atelier de maintenance
V. ORGANIGRAMME DE LA SOCIETE :
Chef d’entreprise
M. Ones
Ressources humaines
Figure 6 : « Organigramme»
Chapitre Ⅱ
Etude bibliographique
« DEROULEUR MECANIQUE »
I. INTRODUCTION :
Un dérouleur de bobine de câble est un équipement essentiel pour faciliter l'utilisation
de bobines de câbles dans diverses industries, en permettant un déroulement efficace et
sûr du câble.
1. Problématique :
Rechercher et observer tous les enrouleurs de tous les types et trouver un modèle qui
convient avec le besoin du client.
Ce type de dérouleur est le plus couramment utilisé pour dérouler des bobines de câble
de grande taille. Il est généralement fixé au sol et possède deux axes verticaux autour
duquel la bobine est enroulée. Equipé de deux vérins hydrauliques à commande manuelle,
avec une capacité de levage qui dépasse les 2 T.
Ce type de dérouleur est équipé d'un moteur électrique qui permet de dérouler la bobine
plus facilement et rapidement. Il peut être utilisé pour les bobines de toutes tailles et souvent
utilisé dans les installations industrielles. Le dérouleur motorisé en porte-à-faux est largement
utilisé dans l'industrie de l'emballage, de la production de papier, de la fabrication de textiles,
de la métallurgie, etc. pour faciliter le traitement de grandes bobines de matériaux.
3. Bobinage :
Le bobinage consiste à enrouler du fil ou une matière souple sur des bobines, créant ainsi
un ensemble de fils bobinés. Cette technique est utilisée pour fabriquer des pièces de forme
cylindrique en enroulant des matériaux composites frais autour d'un mandrin avant de les
polymériser. Dans le domaine des composites, le bobinage désigne l'enroulement de fils ou
de rubans imprégnés de résine.
Il existe deux méthodes de bobinage filamentaire : le bobinage par voie sèche, où le fil est
préalablement imprégné dans une machine appelée "l'imprégnatrice", et le bobinage par voie
humide, où le fil est imprégné au cours du bobinage. Les trajectoires de dépôt des fils
suivent des courbes idéales sur le mandrin, appelées "géodésiques", où les filaments trouvent
un équilibre stable.
Il y a deux grands types de bobinage filamentaire : le bobinage hélicoïdal, où le fil suit une
trajectoire en hélice sur le mandrin, et le bobinage circonférentiel, où l'angle entre la
génératrice et le fil vaut pratiquement 90°. Les machines de bobinage peuvent être
hélicoïdales, planaires ou polaires.
Le guidage en rotation de chaque bobine est assuré par une poupée et une contre
poupée, qui garantissent une bonne rigidité du mécanisme pour limiter les vibrations.
Le centrage sur la poupée et la contre poupée est réalisé par des éléments
d’adaptation spécifiques à chaque type de bobine. L’architecture de la machine doit
garantir une bonne coaxiale de la poupée, de la contre poupée et de la bobine.
2. Phase d’enroulement :
la bobine vide est amenée à proximité du poste par gravité, grâce à la pente de la
rampe de chargement, et transférée par un mécanisme à vérins hydrauliques.
Chapitre Ⅲ
Analyse fonctionnelle
« DEROULEUR MECANIQUE »
I. INTRODUCTION :
L’analyse fonctionnelle consiste à identifier, caractériser, ordonner, Hiérarchiser et
valoriser toutes les fonctions principales et les fonctions contraintes pendant son cycle de
travail.
La bête à cornes est un diagramme représenté sous forme de graphique. Elle permet de
savoir si un produit ou service répond aux besoins des utilisateurs.
Opérateur Câbles
Enrouleur de
bobine
3. Diagramme (Pieuvre) :
Le diagramme pieuvre ou graphe des interactions est un schéma qui représente la relation
entre un produit/service et son environnement
Normes et
Utilisateur
sécurité
Environnement Bobine
extérieur Enrouleur
de câbles
E Câbles
nergie
Fonctions techniques :
Enrouler les câbles
Contrôler la tension du câble
Modifier la position de la bobine
Changer de bobine
5. Diagramme (FAST) :
Nombre Désignation
1 Moteur
2 Poulie motrice
3 Poulie réceptrice
4 Système poulie
courroie
5 Palier
6 Axes bobine
7 bobine
8 Palier
9 Poupée
Chapitre Ⅳ
Dimensionnement et
Calcul théorique
I. CHOIX DE LA BOBINE :
L’enrouleur (ou bobineuse) permet de réaliser un touret (grosse bobine) de câble. Le
principe consiste à entrainer en rotation le touret (moteur) tout en guidant le câble afin de
réaliser un positionnement en couches sans chevauchements (spires jointives). La
synchronisation entre la vitesse de rotation de la bobine et d’avancée du guide est réalisée par
le choix des réducteurs mécaniques (voir figure)
𝑥→ 𝑦→
CM
Moteur Cr* 𝑧→
réducteur
: Cr
G
1. Structure de la bobine :
Les types des bobines utilisées pour enrouler le fil sont fabriqués et composés par :
Flasque
Tube guide
Fût
Tirants
Le choix des dimensions géométriques de la bobine donnée par l’entreprise nous impose
de choisir le motoréducteur capable de transmettre de mouvement de rotation de la bobine dans
les conditions idéales de système selon un cycle de fonctionnement et le régime de processus
de fabrication ou de préparation de chaque bobine en plein charge ( c'est-à-dire enroulement de
la câble au maximum pour atteindre en totale 1000 kg ).
Les dimensions des bobines peuvent varier en fonction des besoins de l’utilisateur
L’étude qui suit sera réalisée pour un fil de diamètre d = 6.7 mm et la bobine de plus
grandes dimensions. :
Le cahier de charges imposées par l’entreprise indique les paramètres géométriques de la
bobine suivante :
Suite à une modélisation de système par ces composants il parait utile de calculer le
temps mis pour remplir la bobine par enroulement du câble en fonction de son diamètre et sa
masse volumique pour ne pas atteindre 1000 Kg, pour cela : on vous présente le modèle de
calcul de ce paramètre :
1. Calcul de temps :
Vitesse linéaire :
Maintenant on a besoin de la vitesse linéaire pour calculer la vitesse
angulaire. - Vitesse de la bobine = 300 tr / mn
- Périmètre de fût = 𝜋× Din = 𝜋× 500 = 1570.8 mm 1.5 m 1.5m =1tr
Vitesse linéaire maxi = 450 m/mn 7.5 m/s
2𝑉 2𝑉 2×450
La vitesse angulaire dans la première nappe : 𝜔1 = = = =19.6
Dint+ d 0.506 0.567
2×5
2𝑉
rad/s La vitesse angulaire dans la dernière nappe : 𝜔 n −=
ext = =10.05 rad/s
D e 0.995
60.𝐿𝑡 60 ×3205.12
Le temps nécessaire de remplissage de la bobine : 𝑇= = 300
=641 s 10mn
𝑉
2. Choix de motoréducteur :
Le choix d'un motoréducteur pour un dérouleur mécanique de câble dépend de plusieurs
facteurs, notamment la puissance nécessaire pour transmettre le mouvement de rotation de
dérouleur avec la vitesse requise et le couple nécessaire pour démarrer le dérouleur, avec
un rapport de réduction souhaité.
Etant donné que nous sommes en train d’étudier le cas ou la bobine de l’enrouleuse
démarre en rotation à vide qui bèze en virant 50 kg , un couple humain du 500 N.m peut
donner une vitesse initiale à la bobine , pour plus de sécurité dans les conditions le plus
défavorable nous allons opté à un choix de couple de 500N.m .
Suite à une étude expérimentale réalisé en d’autre industriel avec une coefficient de
sécurité très élevé soit 10 fois cela nous conduire à choisir un motoréducteur qui assure ce
couple dans les conditions idéale de fonctionnement et par coïncidence cette étude de cas
nous a exigé d’ajouter un autre paramètre ce n’est que le couple initiale de démarrage de la
bobine.
Remarque :
Après ce calcul, lorsqu'on utilise un moteur réducteur de puissance de 15 kilowatts, la
masse du moteur réducteur sera considérable (250 kg). Il n'est pas possible de le connecter
directement à l'arbre de sortie, donc nous avons ajouté un système de transmission par poulie
et courroie. De plus, nous fixerons le moteur sur le bras de la machine. Pour cela, il sera
nécessaire de revoir les calculs en respectant le cahier des charges :
𝑉𝑠 150 1
Donc le rapport sera r= = = étant donné que :
Ve 1500 10
4. Conclusion :
Le processus de calcul en tant on compte nous a amené Ce type de moteur par la suite d’une
discussion avec le responsable de l’entreprise et l’étude de 3 critères :
- Critère technologique
- Critère de durée de vie
- Critère économique
Dans cette partie nous sommes à limiter à calculer le diamètre de l’axe de rotation de
l’enrouleur dans les conditions maxi de charge avec les données imposées par l’entreprise
(matériaux choisi) et vérifier la flexion de l’axe supposée comme une poutre qui présente
deux appuis (palier de rotation), pour cela on vous présente la modélisation suivante :
Poids de la bobine
Pour assurer le bon fonctionnement et l'admissibilité des contraintes imposées sur l'axe de
rotation de la bobine. On doit passer par le calcul RDM et surtout calculer le d min de l'axe.
Suite à la conception nous avons opté l’hypothèse suivant :
Le calcul en 2 tranches
Condition de résistance :
Re
σMaxi ≤Rp avec Rp = S
Mfz Maxi
σMaxi = Igz
V
Le PFS donne :
RA + FO = 0 (1)
MRA/A + MF O/A + MA = 0 (2)
‖𝑀𝐴‖ = ‖𝐹𝑂‖ . AO
𝜋 .𝑑 4
σMaxi ≤Rp ; On donne (IGZ = 64 puisque c’est un axe plein et on prend le
coefficient de sécurité s = 5)
d = 42.5 mm
Mfz Maxi Mfz Maxi . 𝑑 = 32 x Mfz Maxi = 32 x 500000 = 66. 3 (N/mm²)
σMaxi = Ig z
=
𝜋 .𝑑4 3 3
2 π .𝑑 π× 42.5
V 64
Re 340
Rp = = = 68 N/mm² σMaxi ≤Rp La poutre résiste en toute sécurité
S 5
Le PFS donne :
RB + FO’ = 0 (1)
MRB/B + MFO’/B + MB = 0 (2)
𝜋(𝐷4 −𝑑 4 )
σMaxi ≤Rp ; On donne (IGZ = puisque c’est un axe creux, on prend
64
D
coefficient de sécurité s = 5 et on pose d = )
2
32 x Mfz Maxi . 2d 32 x Mfz Maxi .2d 64 x Mfz Maxi .d ≤ Re
π ( 𝐷4 −𝑑 4 ) π ( 16 𝑑 4 −𝑑4 ) π .15.𝑑 4 S
d min = 24.7 mm
D = 2d D = 2× 24.7 =49.4 mm
= 67.6 N/mm²
Re 340
Rp = S = 5 = 68 N/mm² σMaxi ≤Rp La poutre résiste en toute sécurité
Le diamètre de la première zone sera identique à celui de la deuxième zone car les deux
trous de la bobine sont égaux.
Après avoir effectué les calculs des diamètres, nous avons sélectionné les roulements
appropriés pour notre système, à savoir des roulements de type KB. Ces roulements ont été
choisis en raison de leur capacité à résister simultanément aux surcharges axiales et
radiales.
(Voir annexe F)
Dans cette section, nous présentons le principe qui permet de maintenir la position de
la bobine pendant sa rotation. Après avoir étudié différentes options, nous avons choisi de
fixer deux vérins verticaux sur les supports de base. Ces vérins créent un mouvement de
rotation du deuxième support qui maintient la bobine en position pendant sa rotation. Afin
d'assurer la sécurité du système en temps réel, nous avons calculé les dimensions des
vérins et sélectionné les caractéristiques du groupe hydraulique en fonction de la charge
imposée sur les axes des vérins. Étant donné que le système de masse avec une inertie très
importante l'utilisation des systèmes hydrauliques est une nécessité pour cela un calcul sera
nécessaire pour le choix de groupes hydrauliques (Voir la figure ci dissous)
Vérin hydraulique
Mouvement de
translation de vérin
Mouvement de
rotation de la bobine
Pour cela et selon les catalogues (voir annexe) les vérins choisisse portent les caractéristiques
suivantes :
Course : C=300 mm
Diamètre de tige d = Ø 25 mm
Diamètre de piston D = Ø 50 mm
Il faut maintenir un débit adéquat pour assurer la vitesse de sortie du vérin et le débit
de retour du côté de la tige.
Notre plan est d'exercer une force de 2000 daN sur le vérin et d'installer un distributeur 4/3
afin d'effectuer les deux mouvements nécessaires, à savoir l'extension et la rétraction des deux
vérins.
P = F (daN) / S (cm²)
Pompes à engrenages
Pompes à pistons
Pompes à palettes
Pompes à vis
- Pour notre système on a choisi une pompe à engrenages
Ce type de pompe est le plus répandu. La conception simple, le prix de revient faible,
l’entretien facile en font des pompes très utilisées en pompe de transfert ou d’alimentation,
pouvant fournir au plus quelques dizaines de bars de pression. Le problème majeur de ces
pompes étant dû à leur équilibrage.
En hydraulique ces pompes ont un rattrapage de jeu axial à compensation hydrostatique
qui va les équilibrer parfaitement, en limitant les poussées axiales destructrices. Il n’est donc
pas rare de trouver sur nos matériels des pompes à engrenages fournissant des pressions de 100,
140,200 bars. Enfin la possibilité de les faire tourner à vitesse élevée leur confère une puissance
massique très correcte avec des rendements de 85 / 90 %.
2 : Boitier
3 : Orifice de refoulement
Q=CN
AN : Q = 28 1500
Q = 42000 cm3/min
P = pmax Q
P = 14 kW
T = C/n. (D/2)
Contrainte tangentielle :
= T/S
- Avec S : section cisaillée de la goupille
Condition de résistance :
La goupille est en matériau ductile dont Re = 240 Mpa. Il s’agit d’un assemblage
classique avecun coefficient de sécurité s =2.
n = 2 sections cisaillées
T = C/n× (D/2)
T = 500000/2× (50/2) = 10000 N
Les clavettes peuvent avoir plusieurs formes, selon les rainures dans lesquelles elles
doivent se loger. Plusieurs types de clavettes existent, mais on a choisi les clavettes parallèles
puisque elles sont : Economique, Démontable et remplaçable en cas d’usure, pour ces
clavettes il ya trois types comme la figure qui suit : (on a choisie le type A )
Si l’une de ces sollicitations est trop forte au regard de la résistance des matériaux, alors
la clavette risqued’être endommagée
Donc pour définir la résistance de la clavette, le principal paramètre mis en jeu est la
longueur L de la clavette.
Remarque :
Dans la grande majorité des cas, le matage est prépondérant sur le cisaillement. On ne se
contente donc de dimensionner les clavettes que par rapport à cette sollicitation.
On a monté une clavette sur l’arbre de diamètre D = 37,5mm pour transmettre un couple C
= 500Nm.
P ≤ Pm
‖F‖
Avec P = avec Pm = 108 Mpa
Sm
1. Introduction :
Étant donné que le besoin de cahier de charge exige la transmission poulie courroie sous
les contraintes suivantes
- Emplacement de système de transmission
- Choix de moteur réducteur
- Etude de prix
- Méthode de conception s’est le cas de détaillé le type de transmission dans les
pages qui suivent
On va choisir le système poulie courroies trapézoïdales car elles offrent une transmission
de puissance efficace et fiable. Elles sont durables et résistantes à l'usure et ont une durée de vie
plus longue que les autres types de transmissions de puissance, aussi Faible niveau de bruit
3. Calcul théorique :
Puissance de service :
ωd d ωD D V = 𝜔1. r1 = 𝜔2. r2
V
2 2
2πxNd
Avec : 𝜔1 = 60
2𝜋 x 300 200
V= 60
. 2
= 3.14 m/s
Calcul de l’entraxe :
𝐷𝑝 𝐷𝑝+𝑑𝑝
Si 1 < < 3 a≥ 2
+ dp
𝑑𝑝
400+200
Si 1 < 2 < 3 a≥ 2
+ 200
a ≥ 500
On choisie a = 700 mm
(𝐷−𝑑)²
Lp = 2 a + 1.57 (D +d) + 4
𝑎
(400−200)²
Lp = 2 x 700 + 1.57 (400+200) + 4
x 700
(𝐷𝑝−𝑑𝑝)
𝜃 = 180° − 2sin−1 2
xa
(400−200)
= 180° − 2sin−1 2 x 700
= 179.7°
Pa = Pb x KL x K𝜃
𝑃𝑠 10.5
nc = = = 2.57 Soit nc = 3
𝑃𝑎 4.08
Pour un démarrage direct, il suffit d’un boitier de démarrage classique, souvent vendu
avec des protections thermiques. L’alimentation du relais de commande est prise entre 2
phases ou entre phase et neutre. Elle présente un auto-maintient permettant au contacteur de
rester coller après avoir lâché le bouton de commande Le problème est l’intensité de
démarrage, lorsque le moteur est en triangle (6 à 8 fois l’intensité nominale).
La p ro te c t io n é l ec t r i q u e :
Comme sur chaque moteur, une protection magnétique (contre les court-circuit) et
thermique(contre les surcharges) doit être installée.
La mise en place d’un relais thermique sous le contacteur de puissance permet de
diviser par 2 le calibre de ce relais.
3. Circuit du moteur :
On a choisi le démarrage étoiles triangle car il est le montage plus adaptable tant que nous
avons utilisé un moteur asynchrone triphasé de puissance important et pour éviter
l'augmentation trop de l'intensité.
La commande est effectuée par des boutons poussoirs momentanés (S1 et S2).
Une impulsion sur le bouton poussoir MARCHE (S2) met la bobine du contacteur étoile
(KM1) sous tensionet ferme son contact ; ce dernier alimente KM2 le contacteur de ligne. Le
contact KM2 étant maintenant fermé, il auto alimente la bobine KM2, démarre le cycle de la
temporisation et permet l'auto maintien du contacteur KM1. Nous pouvons noter qu'un
contact de KM1 interdit la mise sous tension de KM3.
Dans cette phase le moteur est couplé en étoile et prend de la vitesse.
Le temps préréglé du dispositif de temporisation s'écoule et les contacts de la temporisation
se déclenchent.La bobine KM1 n'est plus alimentée (le contact NC temporisé KM2 s'ouvre)
et de ce fait autorise l'alimentation de KM3 conjointement avec le contact NO de
temporisation KM2.
KM3 s'enclenche et permet au couplage triangle d'être effectif.
Nous pouvons noter qu'un contact de KM3 interdit la mise sous tension de KM1 (ce
dispositif est un ouexclusif appelé verrouillage électrique).
Une impulsion sur le bouton poussoir S1 (BP ARRET) arrête le moteur.
Est-on ajoute une lampe rouge pour donner une signale de fonctionnement du moteur
Porte-Fusible DF Electronics –
PMX 10X38
6 32 A / 690 V
1
Contacteur Triphasé Schneider –
LC1D18
18A – Bobine 230 V
4. Circuit de la pompe :
On a choisi le démarrage direct dans ce circuit car le pompe est de faible puissance et
cette solution et lemoins coûteux par rapport les autres solutions de démarrage d'un moteur
asynchrone triphasé
Dans le cas de démarrage direct le fonctionnement est plus facile et économique que les
autres types de démarrage. Le fonctionnement commencer par l'impulsion sur le bouton
poussoir "S1" pour alimenter la bobinedu contacteur "KM4" est ensuite la bobine fermée tous
les contacts ouvert du "KM4" .en fin par cette application on trouve que les trois enroulement
de la moteur soit alimentés directement par le réseau triphasé et chaque enroulement se
trouve entre une phase et un neutre. La protection contre les sur charge est effectuée par un
relais thermique.
On ajoute une lampe verte au bornes de la bobine du "KM4" pour donner un signal de la
fonction du la pompe.
5. Conclusion :
On peut conclure que le côté électrique dans notre système est plus simple que des autres
systèmes industriels mais ce n’est pas une raison pour marginalisé cette côte car elle plus
sensible et chaque panne est égale l'arrêt de tous le système
Chapitre Ⅴ
Conception de la
solution choisisse
Et étude de fabrication
I. INTRODUCTION :
Suite au calcul réalisée Dans le chapitre précédent on réalise la partie conception des
éléments le plus utiles de l’enrôleuse ainsi qu’un dessin d’ensemble a était réalisé pour
montrer l’assemblage et le désassemblage complète de l’enrouleuse
A l’aide SOLIDWORKS nous avons dessiné pièce par pièce les divers éléments de
notre machine en respectons les dimensions. Le mécanisme est représenté ci-dessous :
Armoire électrique
Moteur réducteur
Système poulie
courroie
2. Dessin d’ensemble 2D :
3. L’axe de transmission :
Angle intérieur : la soudure offre une très bonne résistance, mais a tendance à déformer les
tôles soudées. Angle extérieur : peu de déformation, mais l’assemblage est relativement fragile.
De tous les procédés d’assemblage des métaux, le soudage est probablement le plus
utilisé, autant pour de grandes séries (carrosserie, électroménager…) que pour des pièces
unitaires (châssis, cuves…). Il est donc nécessaire de normaliser la symbolisation des
soudures pour faciliter leur compréhension. Chaque soudure aura donc une représentation
symbolique qui devra définir sa forme, sa taille et le procédé de soudage utilisé
– Symboles de base ;
– Symboles de préparation ;
– Symboles de soudure (type et dimension) ;
– Symboles complémentaires (incluant les symboles de contour et de finition).
Soit par une section droite du cordon, Soit par une succession de petits traits
curvilignes en respectant les règles de projection du dessin industriel.
Les cordons et les préparations ne sont pas dessinés ; seule la ligne de joint est représentée.
La forme et les dimensions de la soudure sont indiquées sous forme d’une cotation
composée d’une ligne repère ou flèche, et d’une double ligne de référence portant une série
de symboles et indications normalisées.
Il peut parfois y avoir plus d’une flèche sur un même symbole afin de pointer plus d’un
joint.
La lecture des symboles se fait de gauche à droite, chaque partie du symbole étant
toujours placée au même endroit.
soudure au chantier
4 5 x 30 x 20
111
ligne de
repère soudure épaisseur ligne de soudure procédé
périphérique cordon référence alternée de soudage
Le procédé de soudage à l'arc avec électrode enrobée est relativement simple. Un poste
à souder, généralement à courant constant, est connecté à une électrode enrobée et à une
pièce de métal à souder, ce qui provoque la création d'un arc électrique, libérant l'énergie
nécessaire pour fondre le métal d'apport (contenu dans l'électrode) sur le métal à souder. Le
flux recouvrant l'électrode sert à protéger le bain de fusion de la contamination
atmosphérique.
3 4
1 6
5
2
5. Règles de soudures :
60°
+1.6
g:0à 3 0
g s
En plus de la norme EN 83-100-3 qui nous donne la préparation de bord, il faut vérifier
avec le CODAP si un délardage est nécessaire.
Pièce 1
Pièce 2 a
Tolérance générale : ±1
Conclusion
CONCLUSION GENERALE
À travers ce projet de fin d'études, nous avons conçu un Dérouleur mécanique de câble pour
la société SAMI. Pour mener à bien notre projet, nous avons commencé par une étude
bibliographique afin de prendre connaissance des différentes machines disponibles sur le marché
et d'acquérir une vision globale. Ensuite, nous avons procédé à une analyse fonctionnelle
approfondie du système, ce qui nous a permis d'étudier en détail ses différentes composantes.
Enfin, la gamme d'usinage a été établie pour décrire les méthodes et les outils d'usinage
nécessaires à la fabrication des pièces principales de notre système.
BIBLIOGRAPHIE
Documentations :
1 : https://www.techni-contact.com/produits/7175-14306403-derouleur-industriel-par-axe.html
2 : https://www.tecalsa.eu/fr/produits/bobinoirs-enrouleurs-derouleurs-et-devidoirs/
3 : https://www.drouaire.com/produit/bobicab-3-r/
4 :https://www.positron-libre.com/cours/tableaux-formulaires/tableau-resistance-fil-cuivre.php
5 : https://roc.rossi.com/Catalogue/GearmotorsSelection.aspx?PS=4
6 : https://www.skf.com/binaries/pub43/Images/0901d1968094ddb3-Rolling-bearings---
17000_1-FR_tcm_43-121486.pdf
7 : https://experts-insitu.com/billet/cours-81-debit-et-pression-necessaires-a-un-verin/
8 : https://www.hydrokit.com/produit/verins-hydrauliques/verins-standards/verin-double-effet-
sans-fixations-25-50-course-300-mm-entraxe-ferme-440-mm-xrp16872-xpr61734.html
9 :https://pdf.directindustry.fr/pdf/duplomatic-oleodinamica/gp-pompes-engrenages-
exterieurs/14061-390279.html
10 :http://www.sciences-technologies.net/genie-mecanique/conception-mécanique/2-
transmissions-par-poulies-et-courroies.html?start=
Annexe
Annexe A
Fiche technique du moteur choisie
Annexe B
Dimensions de moteur
Annexe C
Fiche technique du réducteur choisie
Annexe D
Dimensions de motoréducteur
Annexe E
Position de montage
Annexe F
Choix des Roulements
Annexe G
Choix des vérins
Annexe H
Choix de pompe hydraulique
Annexe I
Choix de goupille
Annexe J
Choix de longueur de clavette
Annexe K
Calcul des courroies trapézoïdales (démarche à suivre)
Annexe L
Coefficient de service
Annexe M
Choix de section de courroie
Annexe N
Longueurs primitives de courroies
Annexe O
Puissance de base
Annexe P
Détermination de KL
Annexe Q
Détermination de Kθ