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diáspora iraní

todos los iraníes que emigraron y sus


descendientes

El nombre diáspora iraní se refiere a todos los iraníes que han emigrado al extranjero, así como
a sus descendientes que todavía se identifican con su origen iraní.

Irán

+ 1.000.000

+ 100.000

+10,000

+ 1.000

Esta designación no incluye a los ciudadanos de otros países del mundo iraní que pertenecen a
la misma familia etnolingüística que Irán y que también hablan lenguas iraníes , ni a los parsis
siglo
de la India , descendientes de zoroastrianos que huyeron de la invasión islámica en el vii .
Esta designación está dirigida principalmente a los ciudadanos del moderno estado de Irán que
abandonaron su país desde el final de la Segunda Guerra Mundial hasta el presente.
En 2009, la diáspora iraní se puede dividir en dos grupos: los que abandonaron Irán antes de la
revolución de 1979 , entre 1950 y 1979, y los, mucho más numerosos, que abandonaron Irán
después de la revolución de 1979. Estos últimos se pueden dividir en dos grupos. : el primero
agrupa a quienes abandonaron Irán entre 1979 y 1995, y el segundo a quienes lo abandonaron
desde 1995.

La diáspora iraní rondaría los 2 o 3 millones de personas en 2007-2008.

Historia
La emigración iraní desde 1950 se puede dividir en tres oleadas principales que corresponden
aproximadamente al estatus socioeconómico y a las motivaciones para la salida, incluidas las
salidas forzadas y voluntarias. A pesar de cierto grado de superposición, las tres fases
proporcionan un marco para conceptualizar la diáspora iraní en su conjunto.

Primera fase: 1950-1979


La première phase significative de l'émigration iranienne moderne, commençant en 1950 et
durant jusqu'à la révolution iranienne de 1979, fut déclenchée par la lente reprise économique de
l'Iran au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le revenu des exportations de pétrole permit
un changement relativement soudain de la société iranienne, qui passa du traditionalisme à la
modernisation, motivant les familles de la classe moyenne et de la bourgeoisie à envoyer leurs
enfants à l'étranger afin d’y recevoir une éducation plus élevée et afin d'assurer une sécurité
socio-économique et l'accès au pouvoir politique au retour. Durant l’année universitaire 1977-
1978, environ 100 000 Iraniens étudiaient à l'étranger, incluant 36 220 qui étaient inscrits dans
des instituts d’éducation supérieure aux États-Unis; le reste étant principalement au Royaume-
Uni, en RFA, en France, en Autriche, et en Italie. Pour l’année universitaire 1978-1979, le nombre
d'étudiants iraniens inscrits aux États-Unis monta à 45 340, atteignant une pointe de 51 310 en
1979-1980. Selon l'institut de l'éducation internationale, les étudiants iraniens représentaient le
plus gros contingent d’étudiants étrangers aux États-Unis. Après la Révolution, non seulement un
grand nombre de ces étudiants choisirent de rester dans l'Ouest, mais leurs parents les
joignirent également. Étaient également inclus dans cette première phase des familles
étroitement liées à la monarchie comme certains membres du gouvernement, des membres de
l’armée ou des banquiers. Ces sympathisants royalistes se sont sauvés pendant la Révolution,
emportant souvent avec eux les capitaux liquidés encore à disposition.

En outre, un boom économique dans les émirats du golfe Persique dans les années 1950 et
1960 encouragea de nombreux Iraniens à l’immigration dans ces pays, et ce jusqu’aux années
1970, quand l’économie iranienne connut une croissance importante. Il y avait au Koweït
19 129 Iraniens en 1957, 30 170 en 1965 et au recensement du Koweït en 1970, il y avait
39 129 immigrés iraniens, constituant près de 5 % des 800 000 habitants de l’émirat.

Avec l’afflux de nombreux immigrants venus d’autres pays au Koweït, entre 40 000 et
50 000 Iraniens optèrent pour la naturalisation koweïtienne qu’ils pensaient nécessaire pour
conserver leurs gains économiques.

À Bahreïn, la part des Iraniens dans la population totale tomba de 8,4 % en 1941 à 2,3 % en 1971,
et ce en raison des différends politiques entre l’Iran et l’île devenue souveraine.

La population de Dubaï était de 100 000 habitants en 1973, dont 80 % étaient des immigrants.
Parmi eux, 50 % étaient des Iraniens récemment arrivés.

Avec le boom économique iranien des années 1970, l’émigration vers les émirats du golfe
Persique diminua. Cependant, Dubaï resta un centre important de l’immigration iranienne après
la Révolution.

De plus, parmi ceux qui quittèrent l’Iran durant cette phase se trouvaient des membres des
minorités religieuses, tels que les baha'is, les juifs, les Arméniens et les Assyriens. Prévoyant
des persécutions, un nombre disproportionné de ces populations quitta le pays dès que des
fissures commencèrent à apparaître dans le régime des Pahlavi. La plupart de ces candidats à
l'exil fuirent vers les États-Unis.

De la création de l’État d’Israël en 1948 jusqu’à la révolution de 1979, près de 67 000 juifs
iraniens optèrent pour le nouvel État[1].

Au total, près de 250 000 Iraniens émigrèrent durant cette période, notamment vers les émirats
du golfe Persique (80 000 en tout), Israël (67 000), les États-Unis (60 000), et l’Allemagne
(21 000), et 10 000 vers d’autres destinations.
Deuxième phase : 1979-1995
Une deuxième phase de l'émigration eut lieu après la Révolution iranienne. Des éléments
socialistes et libéraux furent les premiers à partir, suivis par de jeunes hommes désertant le
service militaire et la guerre Iran-Irak, ainsi que des jeunes femmes et des familles échappant
aux restrictions excessives. Au sein des familles laïques et libérales, le fait d’avoir une fille dans
sa famille dans l'ère post-révolutionnaire était un facteur décisif pour partir, en raison de
l’obligation pour les femmes de porter le voile, des possibilités éducatives diminuées, et
l'islamisation progressive de la société. Puisque la deuxième vague a inclus un grand nombre de
professionnels, d'entrepreneurs, et d'universitaires, elle a accéléré la « fuite des cerveaux » ; un
terme employé pour décrire l'émigration des éléments les plus instruits d’un pays, pour trouver
de meilleures perspectives dans d’autres pays. Selon le ministère de la Culture et l'Éducation
supérieure, avant la Révolution et la fermeture suivante de toutes les universités en 1980, il y
avait 16 222 professeurs d’université en Iran. Quand les universités rouvrirent en 1982, leur
nombre était descendu à 9 042. De même, il est estimé qu’un médecin et dentiste sur trois
(5 000) quittèrent l’Iran après la révolution. En plus de la réduction de la main-d'œuvre qualifiée,
les études estiment que la fuite des capitaux de l'Iran peu avant et juste après la Révolution se
situe entre 30 et 40 milliards USD. Beaucoup de membres des premières et deuxièmes vagues
d'émigration n'ont pas considéré leur départ comme permanent. En effet, beaucoup ont fermé
leurs maisons à clef, emballé quelques valises, et sont partis en vue d’un séjour provisoire, en
pensant qu’ils reviendraient une fois le gouvernement révolutionnaire renversé. Cependant, avec
le temps, la possibilité d'un retour permanent est devenue de plus en plus improbable.

Au total, plus de 300 000 Iraniens émigrèrent durant cette période, la moitié choisissant les
États-Unis (155 000) comme destination, 67 000 l’Allemagne, 38 000 la Suède, 21 000 le Canada
et plus de 8 000 l’État d’Israël. Un nombre indéterminé choisit la France, la Belgique, l’Autriche ou
encore l’Australie. Beaucoup quittèrent l'Iran clandestinement très souvent via la Turquie ou le
Pakistan avant d'obtenir un visa pour un pays occidental.
Troisième phase : depuis 1995
Une troisième vague d'émigration a eu lieu durant la dernière décennie, approximativement
depuis 1995. Cette vague se compose de deux types de populations très distinctes : des
individus qualifiés quittant les universités et les instituts de recherche, la suite d’une tendance
présente dans les vagues précédentes, et des réfugiés économiques provenant de la classe
ouvrière avec des niveaux d’éducation plus bas. À la différence des deux vagues précédentes,
cette vague a été provoquée par la crise économique en Iran, la détérioration de la situation des
droits de l’homme, la diminution des perspectives professionnelles et la tension durable entre
les factions réformistes et conservatrices. Tandis que certains parviennent à quitter le pays par
des méthodes illégales, telles que traverser clandestinement la frontière turque, d'autres
candidats a l’exil ont adopté des approches moins communes telles que prétendre être
homosexuels ou se convertir au christianisme, se sauvant de l'Iran en tant que réfugié, et faisant
une demande d'asile en expliquant que l'homosexualité ou la conversion de l'islam sont
considérées comme des actes punissables par la peine de mort selon les lois de la République
islamique.

En l'an 2000 seulement, les Iraniens ont soumis 34 343 requêtes d'asile, le taux le plus élevé
depuis 1986. Cinquante-cinq pour cent de toutes les requêtes iraniennes d'asile en 2000 ont été
soumises dans les pays d'Europe occidentale, dont le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Belgique,
l'Autriche, et les Pays-Bas. En 2001 seulement, il y eut une augmentation de 300 % du nombre
d'Iraniens demandant l'asile au Royaume-Uni et en 2004, les Iraniens étaient la principale
nationalité parmi les demandeurs d'asile au Royaume-Uni, totalisant 10 % de toutes les
demandes. En outre, en 2004, l'Iran s'est rangé au dixième rang des pays émetteurs de
demandeurs d'asile à travers l'Europe. À la fin de l’année 2005, le haut commissaire des Nations
unies pour les réfugiés (UNHCR) annonça qu’il y avait 111 684 réfugiés, demandeurs d'asile,
personnes intérieurement déplacées et autres en provenance de l’Iran dans le monde. Les pays
accueillant les plus grands nombres de réfugiés iraniens étaient l'Allemagne (39 904), les États-
Unis (20 541), l'Irak (9 500), le Royaume-Uni (8 044), les Pays-Bas (6 597), et le Canada (6 508).
La caractéristique distinctive de cette vague est l’augmentation des demandes d'asile faites en
Europe.

Les observations préliminaires indiquent que ces migrants viennent souvent des provinces en
dehors de Téhéran et qu'ils font souvent face à de plus grands obstacles à l'intégration dans
leurs sociétés d’accueil, particulièrement par rapport aux succès relatifs de leurs prédécesseurs
plus urbains dans ces mêmes pays. Étant donné que les pays de l'Union européenne l'ont rendu
plus difficile l’obtention de l’asile, les Iraniens qui ne sont pas identifiés en tant que réfugiés vont
souvent vers un autre pays, ou restent illégalement dans le pays, ou retournent en Iran.

Durant cette phase, plus de 300 000 Iraniens ont émigré, dont plus de la moitié vers les États-
Unis (170 000), 65 000 vers le Canada, 30 000 vers l’Allemagne, 23 000 vers la Suède, 21 000
vers le Royaume-Uni.

Statistiques (1950-2005)
Au total, près de 1 million d'Iraniens ont quitté leur pays entre 1950 et 2005. Les États-Unis ont
reçu près de 380 000 immigrants, l'Allemagne 120 000, le Canada près de 100 000, Israël 75 000,
la Suède 65 000, l'Australie 20 000, la France 20 000. Les autres destinations importantes sont
les Pays-Bas, la Norvège, le Danemark, la Belgique, l'Autriche ou le Japon.

Durant cette même période, de nombreux Iraniens ont également émigré vers les émirats du
golfe Persique.

Diáspora iraní actual


En 2007-08, la diaspora iranienne compte entre 2 et 3 millions d’individus, nés en Iran ou hors
d’Iran de parents iraniens, principalement en Amérique du Nord, Europe occidentale, Israël, pays
du Golfe et Australie.
Amérique du Nord

États-Unis
La communauté iranienne la plus nombreuse hors d'Iran se trouve aux États-Unis.

Selon le recensement américain de 2000, il y avait 283 225 personnes nées en Iran qui vivaient
aux États-Unis, dont 115 000 dans la région métropolitaine de Los Angeles[2], surnommée
« Tehrangeles » ou « Irangeles » ou son quartier iranien « Little Persia », 27 000 dans la région de
San Francisco, 22 000 dans la région de New York et 20 000 dans la région de Washington
(district de Columbia). La Californie est l'État qui comprend la majorité des immigrés iraniens
aux États-Unis, totalisant 56 % du total. L'État de New York suit avec 6 %, le Texas 5,5 %, la
Virginie 3,8 % et le Maryland 3,4 %.

En incluant les personnes nées aux États-Unis et se reconnaissant d'origine iranienne, le nombre
total d'Irano-Américains atteignait 338 000 personnes en 2000[3], mais une étude de la
prestigieuse MIT en 2004 a avancé le chiffre de 691 000 individus[4].

Malgré ces études quantitatives Trita Parsi, président du NIAC (Conseil national irano-américain)
affirme en arguant de nombreux défauts dans la technique de sondage de l'US Census de 2000
que cette diaspora dépasserait le million de membres[5]. Aussi il faudra attendre le US Census
de 2010 pour avoir plus de précisions sur le sujet.

La diaspora iranienne aux États-Unis présente par ailleurs de nombreuses institutions et sièges
politiques représentant à la fois la communauté dans le système politique américain et une
force transnationale ayant une influence sur l'Iran[6].

Le prince héritier Reza Pahlavi, fils ainé du Shah d'Iran habite Washington et souhaite organiser
les réseaux de la diaspora afin d'avoir une incidence politique sur la République islamique[7]. Le
livre qu'il publia en 2009 suite à l'entretien qu'il eut avec Michel Taubmann, "l'Iran: L'heure du
choix"[8] est de cette manière explicite sur les objectifs de changement de régime qu'il envisage
pour l'Iran.
Canada
Selon le recensement canadien de 2006, il y a plus de 121 000 personnes d’origine iranienne,
notamment à Toronto (57 000)[9]. La communauté montréalaise compterait 16 000 personnes
d'origine iranienne[10]. La communauté irano-québécoise, qui compte environ 30 000 personnes
(2016)[11], est particulièrement active sur le plan culturel.

Europe
En Europe, vers 2007-2008, les principales communautés iraniennes sont en Allemagne (environ
150 000), Suède (80 000), au Royaume-Uni (70 000), en France (30 000) ou aux Pays-Bas
(20 000).

émirats arabes unis


En 2007-08, on retrouve une importante communauté iranienne aux Émirats arabes unis,
notamment à Dubaï, avec entre 300 000 et 400 000 personnes[12].

Les autres pays du golfe Persique comptent également d’importantes communautés


iraniennes : Koweït (15000), Qatar (20000).
Autres
En Israël, il y a en 2007 environ 135 000 personnes d’origine iranienne (48 000 nées en Iran et
87 000 nées en Israël)[13], tous d'origine juive.

En Australie, on compte en 2001 près de 20 000 individus d'origine iranienne[14].

Il y a également des Iraniens en Turquie (13 000 en 2001)[15], au Japon et aux Philippines (7 000
en 2000) [15].

Sur la diaspora iranienne actuelle

Une étude du MIT a montré que le


revenu d'un Iranien est de 45 %
supérieur à celui d'un Américain
moyen [réf. nécessaire].
Elle a aussi montré que les Iraniens
représentent l'ethnie qui fait le plus
d'études aux États-Unis avec 30 %
possédant une maîtrise, ce qui en fait
l'ethnie avec le plus grand pourcentage
ayant un master.
La Small Business Administration (SBA)
affirme que les immigrés iraniens aux
États-Unis se classaient dans les
20 premiers groupes d’immigrants en
termes de propriété de sociétés, et
contribuaient de manière significative à
l’économie américaine. Selon ce rapport,
il y a 33 570 immigrés iraniens qui sont
propriétaires de sociétés aux États-Unis,
ce qui représente 21,5 % de la
population active immigrée d’Iran. Cette
étude a également conclu que les
revenus générés par des sociétés
détenues par des Iraniens ont totalisé
2,5 milliards de dollars américains[16].
Un Irano-Américain sur trois a un revenu
annuel supérieur à 100 000 USD,
comparé à la moyenne nationale de 1
Américain sur 5[17].
Selon une autre étude effectuée par le
MIT, les scientifiques et ingénieurs
iraniens possèdent ou contrôlent des
actifs de près de 880 milliards USD[18].

Iraníes de renombre en la
diáspora

Pierre Omidyar, fondateur, PDG de eBay


Omid Kordestani, vice-président de
Google
Hamid Dabashi, Professeur de littérature
comparée et d'études iraniennes à
l'Université Columbia.
Andre Agassi, ancien joueur de tennis et
numéro 1 mondial. Son père Mike,
ancien boxeur, est né en Iran au sein de
la communauté arménienne et a
immigré aux États-Unis dans les années
1950.
Jimmy Delshad, maire de Beverly Hills
Yishmael Movassaghian, écrivain
politique, est né en Iran au sein de la
communauté arménienne, Europe.
Taher Movassaghian, (1944-1987),
chimiste, intellectuel iranien et ancien
champion d'Iran de lutte, Il est le fils de
l'écrivain Yishmael Movassaghian.
France.
Marjane Satrapi, créatrice de bande
dessinée, France.
Anousheh Ansari, première femme
touriste de l'espace, États-Unis.
Abolhassan Bani Sadr, premier président
de la république islamique d'Iran, réfugié
en France depuis 1981.
Reza Pahlavi, fils du dernier shah d'Iran,
États-Unis.
Farah Pahlavi, ancienne Shahbanou
(épouse du Shah), France - États-Unis.
Gholam-Reza Pahlavi, France
Ashraf Pahlavi, France
Shermine Shahrivar, mannequin, élue
miss Germany et Miss Europe en 2005,
Allemagne.
Aravane Rezaï, joueuse de tennis,
France.
Mahyar Monshipour, champion de
France, d'Europe, et du monde de boxe,
France.
Moshe Katsav, ancien président de la
république d'Israël, Israël.
Shaul Mofaz, actuel ministre des
transports d'Israël, ancien ministre de la
Défense et chef d'état-major de Tsahal.
Mansour Bahrami, joueur de tennis,
France
Reza Deghati, photographe, grand
reporter, chevalier de l'ordre national du
Mérite France

Notas y referencias

1. http://www.cbs.gov.il/shnaton58/dow
nload/st04_04.xls [ archivo ]
2. « Spotlight on the Iranian Foreign
Born (http://www.migrationinformatio
n.org/USfocus/display.cfm?ID=404) [
archivo ] », sur migrationpolicy.org,

1er juin 2006 (consulté le 7 août 2020).

3. US census
4. THE IRANIAN: Iranian-American stats,
Phyllis McIntosh

5. Trita Parsi, « Strength in numbers: the


relative concentration of iranian
americans across the United States ».
NIAC, 2003, p.6.
6. « regardcritique.ulaval.ca/accue… (htt
p://www.regardcritique.ulaval.ca/accu
eil/la_diaspora_iranienne_aux_etatsuni
s_la_puissance_du_spectr
e/) »(Archive.org (https://web.archive.org/web/*/
http://www.regardcritique.ulaval.ca/accueil/la_dias

pora_iranienne_aux_etatsunis_la_puissance_du_spe

ctre/) • Wikiwix (https://archive.wikiwix.com/cach

e/?url=http://www.regardcritique.ulaval.ca/accueil/l

a_diaspora_iranienne_aux_etatsunis_la_puissance_

du_spectre/) • Archive.is (https://archive.is/http://

www.regardcritique.ulaval.ca/accueil/la_diaspora_ir

anienne_aux_etatsunis_la_puissance_du_spectre/)

• Google (https://webcache.googleusercontent.co

m/search?hl=fr&q=cache:http://www.regardcritiqu
e.ulaval.ca/accueil/la_diaspora_iranienne_aux_etat

sunis_la_puissance_du_spectre/) • Que faire ?)


.

7. « Reza Pahlavi (http://www.rezapahlav


i.org/) [ archivo ] », sur rezapahlavi.org
(consulté le 7 avril 2023).

8. Reza Pahalavi, L'Iran l'heure du choix:


Entretiens avec Michel Taubmann,
Paris: Éditions Denoel, 2009, 254p.
(ISBN 978-2-207-26103-3)
9. http://www12.statcan.ca/english/cens
us06/data/topics/RetrieveProductTabl
e.cfm?
ALEVEL=3&APATH=3&CATNO=&DETAI
L=0&DIM=&DS=99&FL=0&FREE=0&GA
L=0&GC=99&GK=NA&GRP=1&IPS=&M
ETH=0&ORDER=1&PID=92333&PTYPE
=88971&RL=0&S=1&ShowAll=No&Star
tRow=1&SUB=801&Temporal=2006&T
heme=80&VID=0&VNAMEE=&VNAME
F [ archivo ]
10. (en) Barbara Black, « Iranian studies
launched with a minor », Concordia
Journal,‎3 avril 2008 (lire en ligne (http://cj
ournal.concordia.ca/archives/20080403/irania

n_studies_launched_with_a_minor.php) [

archivo ], consulté le 23 mars 2010)


11. Statistique Canada. 2017. Québec (htt
ps://www12.statcan.gc.ca/census-rec
ensement/2016/dp-pd/prof/details/pa
ge.cfm?Lang=F&Geo1=PR&Code1=24
&Geo2=PR&Code2=01&Data=Count&S
earchText=24&SearchType=Begins&Se
archPR=01&B1=Immigration%20and%
20citizenship&TABID=3) [ archivo ]
(tableau). Profil du recensement,
Recensement de 2016, produit nº 98-
316-X2016001 au catalogue de
Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le
29 novembre 2017. Consulté le 17
octobre 2018.
12. Travel Video Television News - Iranians
investing heavily in Dubai

13. http://www.cbs.gov.il/reader/shnaton/
templ_shnaton.html?
num_tab=st02_24x&CYear=2008 [
archivo ]

14. 2054.0 Australian Census Analytic


Program: Australians' Ancestries
(2001 (Corrigendum))

15. http://unstats.un.org/unsd/demograph
ic/products/dyb/dybcensus/V3_table4
.xls [ archivo ]
16. « SBA Report : Iranian-Americans with
one of highest rates of immigrant-o…
(http://www.payvand.com/news/08/n
ov/1171.html) [ archivo ] », sur
payvand.com (consulté le 7 avril 2023).

17. (en)

http://www.payvand.com/news/08/de
c/1117.html [ archivo ]

18. (en) http://video.google.com/videoplay?


docid=-1239439901918627893&q=ab
bas+milani&pl=true [ archivo ]
Apéndices

Bibliographie

(fr) Fariba Adelkhah, « Les Iraniens de


Californie : si la République Islamique
n'existait pas... », Les études du CERI,
n°75, mai 2001. lire en ligne (http://www.ceri-
sciencespo.com/publica/etude/etude75.pdf) [
archivo ]

(en) Let Me Tell You Where I've Been: New


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Arkansas Press, 2006.
(ISBN 1-55728-820-8)
(en) Exiled Memories: Stories of the Iranian
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(ISBN 1-56639-843-6)

(en) Politics and Poetics of Migration:


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(ISBN 1-55130-272-1)

(en) Keramat Poorsultan, The Tale of


Iranian entrepreneurs in the United
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educated group ? (http://www.sbaer.uca.
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f) [ archivo ], Frostburg State University
(en) The Making of Exile Culture: Iranian
television in Los Angeles, Hamid Nacify,
University of Minnesota Press, 1993,
302 p. (ISBN 0-8166-2087-3)

Articles connexes

Diaspora iranienne en France


Little Persia (un quartier de Los
Angeles)

Portail de l’Iran et du monde iranien


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