INTRODUCTION

T .
T .
I I
Mécanique Electrique
U U
Electrique Mécanique

P méc a = T . P élec = U.I P élec = U.I P méc a = T .

GENERATRICE MOTEUR
Dynamo
Alternateur

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 INTRODUCTION
Welec Wméc Soit un un conducteur L , alimenté par une
MOTEUR tension U (donc traversé par un courant I) et
placé dans un champ magnétique B
Rappel 2: tout conducteur traversé par un courant I et
placé dans un champ magnétique B est soumis à une
force électromagnétique F, dont le sens est donné par la
règle des trois doigts de la main droite
La force F fait bouger le conducteur L
Rappel 1: tout conducteur se déplace dans un champ
L magnétique est le siège d’une f.é.m. E, dont le sens est
donné par la règle des trois doigts de la main gauche
B
E est opposé à U U=E+rI
r : résistance du conducteur
multipliant par I : U I = E I + r I2
avec E = BLV U I = B L V I + r I2
BLI= F
et
U I = F V + r I2
conversion
U I: F V: puissance
U Puissance mécanique
électrique
r I2 : pertes
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 INTRODUCTION
Wméc Welec Soit une Force F exercée sur un
GENERATRICE conducteur L placé dans un champ
magnétique B
Rappel 1: tout conducteur se déplace dans un champ
magnétique est le siège d’une f.é.m. E, dont le sens est
donné par la règle des trois doigts de la main gauche

V : vitesse de déplacement du
E=BLV conducteur (m/s)
Branchant un récepteur R aux bornes
L
du conducteur , un courant I circulera
B Rappel 2: tout conducteur traversé par un courant I et

F placé dans un champ magnétique B est soumis à une

force électromagnétique F, dont le sens est donné par la
règle des trois doigts de la main droite
I→
Si V = cte
F=BIL F=F FV=FV

FV=BILV FV=EI
F V : Puissance conversion E I: puissance
R mécanique électrique

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 MACHINES A COURANT CONTINU
historique

 Gramme, Zénobe (1826-1901), électricien belge, inventeur de

machines à courant continu, comme la dynamo .Il vint s'installer
à Paris en 1856 et, quelques années plus tard, il entra comme
ouvrier dans une manufacture d'appareils électriques. En 1867,
il déposa son premier brevet : il proposait des améliorations sur
des appareils magnétoélectriques. Deux ans plus tard, il inventa
le collecteur permettant de réaliser des appareils fonctionnant
avec un courant continu. En 1871, il présenta à l'Académie des
sciences la première dynamo. Il s'associa ensuite à l'ingénieur
français Hippolyte Fontaine (1833-1910) pour créer la société
électromécanique Gramme, spécialisée dans la conception et la
réalisation de machines génératrices de courant continu.

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 Constitution et principe de fonctionnement

• Inducteur = stator
Rôle: Créer un champ magnétique
fixe
Il peut être sous forme de:
 un aimant permanent:
Pour les machines de petite
puissance
 Bobinage:
Pour les engins les plus
importantes
• Induit = rotor:
Rotor bobiné relié à un collecteur
rotatif

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Inducteur (Rôle : Créer le champ magnétique)
La Force de Laplace:
F=B.I.L

Induit
(Alimenté  traversé par du courant)
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Principe

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 induit

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 induit Collecteur

Balais

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 Balais
• Les deux balais sont liées directement au courant
continu elles serrent a alimenté le rotor a travers le
collecteur.
• Elles sont en carbone pour emporter l’usure
puisqu’elles sont en contact dynamique avec le
collecteur.

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 SYMBOLE

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 Schéma équivalent
Moteur Génératrice

Ue.i Ue.i
u ω
C.
M U.I G U.I

C.ω
I I

R E = ke . n . ф R
Ue U Ue U
r
E ↑ E ↑
U = E + R.I U = E - R.I
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 Types de moteur à courant continu

Suivant l'application, les bobinages du l'inducteur et de l'induit peuvent être

connectés de manière différente. On retrouve en général :

Des moteurs à excitation indépendante

Des moteurs à excitation parallèle

Des moteurs à excitation série

Des moteurs à excitation composée

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 Moteur à excitation indépendante
(moteur à excitation shunt)
(moteur à aimant permanant)

M
__

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Bilan des puissances MOTEUR
Puissance absorbée: Pa = U.I + Ue. i
Puissance utile: Pu = C u . ω
Pa U.I Peu Pu
Les Pertes:
 Les pertes joules inducteur:
Pjs = Ue . i = r . i2
 Les pertes joules induit: Pjr = R . I2
 Les pertes mécaniques: Pméc Pméc
Pjr
Les pertes mécanique sont proportionnel à la vitesse,
pour ce type de moteur la vitesse varie peu avec la charge
Pjs
 Pméc = Cte

Puissance électrique utile, Peu = C . ω

avec C : le couple électromagnétique

Le rendement : η = Pu / Pa = ( Pa – Σpertes ) / Pa

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 La vitesse
à partir de E = Ke . n . Φ et U = E + R.I
i (φ)
n = ( U – R.I ) / (Ke.φ)

S’il y a une coupure dans le circuit inducteur

M
i = 0 donc φ  0 et n  ∞

EMBALLEMENT DU MOTEUR

ATTENTION !
NE JAMAIS COUPER L’ALIMENTATION DE L’INDUCTEUR SI L’INDUIT RESTE ALIMENTÉ

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Le Couple
Le couple utile : Cu = Pu / ω Pa U.I Peu Pu
On appelle couple électromagnétique:
C = Peu / ω
Pméc
Cu = C – (pméc/ω) Couple de frottement: pméc/ω Pjr
Pjs
avec Peu = U . I - R . I2 = I ( U – R.I) = I . E
C = I . E / ω = I . E / 2.π. n = I . Ke . n . Φ / 2.π. n = I . Ke . Φ / 2.π

C = Kc . Φ . I avec Kc = Ke / 2.π

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 Problème de démarrage
à partir de E = Ke . n . Φ et U = E + R.I I = (U – E) / R
À l’instant de démarrage, la vitesse n= 0  E = 0
Id = U / R >> IN Exemple: P=1.5KW , U = 220V , IN= 7A , R= 4Ω
Id = U / R = 220/4 = 55A >> 7A

Il faut limiter ce fort appel de courant de démarrage

Parfois on donne le En
En insérant un courant admissible au
diminuant la
Rheostat,Rh démarrage:
IN ≤ Id= Iadmissible
tension (Ud)
dans notre exemple : dans notre exemple:
Id =IN= U / (R + Rh) Rh = (220/7) – 4 = 27 Ω Id =IN= Ud / R Ud = R*Id = 4*7=28 V

M M __ ~
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 Réglage de la vitesse

n = ( U – R.I ) / (Ke.φ)

Variation de U Variation de R Variation de φ

n
n2
n n
n n1
φ2
n UN R φ1
n1 n1 n φN
U1 R+R1
n2
n2 U2
R+R1+R2
I I I
U2 < U1 < UN φ2 < φ1 < φN
n2 < n1 < n - N’est pas économique
(pertes Joules importantes)
n2 > n 1 > n

+ Economiquement bon
- Techniquement mauvais + Economiquement bon
+ Techniquement bon
(on perd l’allure de la
caractéristique d’origine)
+ Techniquement bon
+ Procédé très simple - ndenen peut varier que au delà
+ n peut varier de 0 à 100% N

Le réglage de la vitesse en variant U est le procédé utilisé dans l’industrie:

C’est un procédé économique qui permet de varier n de 0 à 100%
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 Moteur à excitation Série
+
i=I _
n

n = (U – (R +Rs) . I) / (Ke . Ф) avec ф = Kф . I

nN
n =[U/ (Ke Kф . I)] - [(R +Rs) / Kф] I
Io IN
Attention, un moteur série ne doit jamais fonctionner à vide sous sa tension nominale.

Couple au démarrage: C = Kc . Ф . I avec ф = Kф . I Cd = K . I2

Si par exemple le courant admissible Iad = 2 fois IN  Cd = 4 fois CN
Le moteur série a un excellent couple au démarrage
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Moteur Universel

+
i=I _

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Les avantages et inconvénients du moteur à courant
continu sont
  (+)
 
•Variation de la vitesse simple et peu couteuse,
•Couple de démarrage élevé,
 
•très utilisé dans les systèmes embarqués (ou la source est une batterie)
  •...
  (-)
•peu robuste par rapport au machine asynchrone,
 
•investissement important et maintenance coûteuse (entretien du
  collecteur et des balais)
•n’est pas recommandé dans l’industrie chimique ou il y’a risque de
 
dégagement de gaz explosif,
...

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07/05/2022 " machines à courant continu" B.REBHI 37
 GENERATRICE
Principe
Ue.i
G U.I

L’inducteur étant alimenté, il crée un champ

magnétique. Une source d’énergie mécanique
entraine l’induit  on récupère aux bornes de
l’induit une tension

C.ω

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 Types de Génératrice à courant continu

G
Génératrices à excitation indépendante

G
Génératrices à excitation parallèle le
(Shunt)

Génératrices excitation série G

G
Génératrices à excitation composée

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 Génératrice à excitation indépendante
Caractéristique à vide (I=0):
E début de saturation
C’est la courbe E = f (i),
avec n = cte G
E = ke . n . Ф(i)

i = 0  E= Er

Er i

U
Caractéristique en charge:

C’est la courbe U = f (I), avec n et i = cte

U = E – R.I I

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Caractéristique de réglage:
i U = Cte
C’est la courbe i = f (I), avec U=cte

Bilan des puissances

Puissance absorbée: Pu=U.I

Peu=E.I
Pa
Pa = C . Ω + u . i

Puissance utile: Pjr

Pjs Pméc
Pu = U.I

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 Génératrice à excitation parallèle (Shunt)

Amorçage
Le flux rémanent produit une f.é.m. de quelques volts, cette f.é.m. G
engendre un faible courant d’excitation et ce courant crée un petit
flux. Ce flux doit avoir le même sens que le flux rémanent ainsi le flux
résultant augmente, il s’ensuit une augmentation de E donc de i donc
de ф donc à nouveau de E etc.; la machine s’amorce et la f.é.m. prend
une valeur voisine de la tension nominale.
Si le flux a le sens opposé du flux rémanent la machine ne s’amorce pas
Dans ce cas il suffit de permuter les connexions entre induit et inducteur
Point de fonctionnement à vide:
r.i
Quand la machine s’amorce, quelle est exactement sa tension E A
U = E – R . i R.i peut être négligé devant E  U≈E
La tension aux bornes de l’inducteur: U = r . i  r.i = E
La solution graphique est le point A d’intersection de la droite r.i et
de la caractéristique à vide
La machine peut donc ne pas s’amorcer si:
-le flux crée par l’inducteur est opposé au flux rémanent
- la droit r.i est au dessus de la courbe à vide (grande résistance branché en série avec
l’inducteur i
- vitesse d’entrainement faible

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Caractéristique en charge:
U
U = E – R.I avec E = ke . n . Ф(i)
G.independante
Pour la G.independante i = Cte G.parallele

Pour la G.parallele i = (E-R.I)/r

I
quand la charge augmente I ↗ donc i ↘ et E diminue

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 Génératrice à excitation composé
U = E – R.I avec E = ke . n . [Ф(i) + Ф(I)]

G
quand la charge augmente I ↗ donc Ф(I) ↗ et E augmente
I

U i
G. à excitation composé

G. indépendante
G. parallèle

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