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ELEMENTS DE MACHINES

 Généralités sur la construction mécanique et les


éléments de machines;
 Notions de sécurité;
 Fonctions mécaniques élémentaires;
 Etude d’un mécanisme;
 Dimensions linéaires nominales;
 Tolérances et ajustements;
 Tolérances de formes et de positions;
 États de surface;
 Les liaisons.
Introduction

 un système mécanique est un ensemble d’


éléments et (ou) organes, liés entre eux
pour répondre à une certaine fonction
pendant une certaine durée de vie, en
toute sécurité.
Notions de sécurité
 la notion de sécurité est représentée de manière
générale par le coefficient de sécurité que l’on
définit par:
 le rapport entre la contrainte réelle agissant dans

s  lim l’élément de machine et la contrainte limite que le
 nom matériau constitutif de l’élément peut supporter .

 Dans la plupart des cas, calculer un


élément de machine, c’est vérifier que le
coefficient de sécurité est supérieur à l’unité.
Fonctions mécaniques élémentaires

 Considérons deux ensembles


mécaniques (S1) et (S2),

 Ils sont en état physique de liaison, S2


S1
lorsque, sollicités par des actions
extérieures, ils restent en contact
par certaines de leurs surfaces pour
pouvoir remplir une fonction
donnée.
Fonctions mécaniques élémentaires

 Lubrification,
 Protection et étanchéité
 Liaison
 Mise en position
 Guidage
Exemple

 Étau à serrage rapide


Étau à serrage rapide
Étau à serrage rapide
Étau à serrage rapide
Étau à serrage rapide
Étau à serrage
rapide
DIMENTIONS LINEAIRES
NOMINALES
En mécanique,
les dimensions linéaires nominales (ou
nombres préférentiels) désignent les
dimensions d'une pièce :

– longueur,
– largeur,
– diamètre des perçages,
– Etc.
Dimensions linéaires nominales
Tolérances & Ajustements

 Dimensions (choix)

 Tolérances

 Ajustement
Dimensions (choix)

 La normalisation impose de choisir parmi


les dimensions linéaires nominales

 Rappel: 
– «nominal » signifie que la dimension
réelle peut être légèrement différente en
raison particulièrement des tolérances.
Tolérances

la norme prévoit un choix tenant


compte de deux paramètres :

 la qualité des tolérances


 la position des zones de tolérances.
Qualité de tolérance
Il existe 18 qualités:

IT 01, IT 0, IT 1, IT 2 … IT 15, IT 16 .

Remarque:
- La tolérance la plus faible correspond à la qualité 01,
- La plus forte correspond à la qualité 16.
- La tolérance dépend de la dimension nominale, elle est
proportionnelle par paliers.
Qualité de tolérances
Position des zones de tolérances
C’est la valeur de l’écart fondamental

– Définition
– Désignation (contenant)
– Désignation (contenu)
– Position des zones de tolérance,
– Principaux écarts (contenant)
– Principaux écarts (contenus)
– Calcul des écarts
Écart fondamental
ISO
– Il est normalisé

– fonction de la
dimension linéaire
nominale,

– indépendante de
la qualité de
tolérance
(majorité des
cas).
Désignation (contenu)

Pour les arbres, par un symbole lettre


minuscule (une ou parfois deux lettres)  :

a, b, c, cd, d,…,z, za, zb, zc.


Désignation (contenant)

Pour les alésages par un symbole  lettre


majuscule (une ou parfois deux lettres) :

A, B, CD, D,…,Z, ZA, ZB, ZC.


Position des
zones de
tolérance

A noter que l’écart fondamental est nul pour H et h et (± IT/2) pour JS et js.
Principaux
écarts
(alésages)
Principaux
écarts
(arbres)
Principaux
écarts
(arbres)
Calcul des écarts
 Contenant:

– Écart supérieur: ES = Dmax − Dnom


– Écart inférieur : EI = Dmin − Dnom

 Contenu:

– Écart supérieur: es = dmax − dnom


– Écart inférieur : ei = dmin − dnom
Ajustements

« Le jeu, c'est l'âme de la


mécanique. »

En mécanique, le jeu est l'espace laissé entre


deux pièces assemblées entre elles.
Ajustements

 On distingue le:

– Jeu dans un assemblage


de deux pièces uniquem
ent
(constituant un a3
ajustement).
a1

– Jeu ne constituant pas u


n ajustement
Jeu dans un assemblage de deux pièces
uniquement

 C’est ce que l’on appelle de manière générale un AJUSTEMENT

 On distingue 3 types d'ajustements:


– avec jeu;
– Serré (avec serrage);
– Incertain.

 CALCUL DU JEU
 Ajustements usuels normalisés
 Système arbre normal
 Système alésage normal
 Cotation
AJUSTEMENT
 Assemblage de deux pièces s'emboîtant
par des formes complémentaires.

Ces formes complémentaires peuvent elles


coïncider parfaitement ?

 Non, essentiellement, pour causes de


fabrication
Ajustement avec jeu

- Contenant plus grand que le


contenu;

- Jeu positif;

- Fonction: guidage
Ajustement avec serrage

- Contenant plus petite que le


contenu;

- Jeu négatif;

- Montage par déformation locale


des pièces

- Fonction: Assemblage
Ajustement incertain
- Lescombinaisons n'aboutissent pas à un jeu de même
signe.

- Cas rarement utilisé car il peut poser des soucis du


point vue industriel.
Calcul du jeu

Dans le cas d'un ajustement, le jeu est


donné par :

Jeu = Dalesage − darbre


Calcul du jeu
En réalité, le jeu résultant est compris entre les
valeurs extrêmes qu’il peut prendre, à savoir :

Jmax = Dmax − dmin


et
Jmin = Dmin − dmax
Calcul du jeu
D’où, l'intervalle de tolérance écart entre les
cotes extrêmes admissibles.
ITjeu = Jmax − Jmin = (Dmax − dmin) − (Dmin − dmax)
Soit
ITjeu = ITalesage + ITarbre

Remarque:
- la qualité d'un jeu, c’est-à-dire son incertitude, doit être
partagée entre les deux pièces
- Un jeu précis nécessitera des pièces d'autant plus précises.
Ajustements
normalisés
usuels
Système arbre normal
 système arbre
normal,
– l'écart fondamental
de l'arbre : h

(es=0)
Système alésage normal
 système alésage
normal,

l'écart fondamental
de l'alésage : H

(EI=0)
Cotation

Alésage : Ø40H7
Arbre:
Ø40g6

assemblage  : Ø40H7g6
Jeu et cotation fonctionnelle
 Jeux ne constituant pas un ajustement,
 Cotation fonctionnelle,
 Chaîne de côtes,
– Côte condition,
– Surfaces terminales,
– Conditions et contraintes;
– Exemple;
– Méthodologie.
Jeu ne constituant pas un
ajustement
 Pour qu’un mécanisme
fonctionne normalement,
des conditions doivent
être assurées:
a3
a1

– jeu,
– serrage,
– dépassement,
– Réserve de filetage de
montage,
– Etc.
cotation fonctionnelle

La cotation fonctionnelle
permet la recherche des
différentes cotes à respecter
pour le bon fonctionnement a1
a3

d’un mécanisme donné:

elle permet la détermination


des spécifications
fonctionnelles du système.
Côte condition
La cote condition cc est un vecteur qui exprime
une exigence fonctionnelle.

Par convention, la cote condition (cc) sera


représentée par un vecteur à double trait.

– Une cc horizontale sera dirigée de gauche à droite.

– Une cc verticale sera dirigée de bas en haut


a
3
a
1
a
3
a
1
Surfaces terminales
 Les 2 surfaces délimitant la cote condition sont
appelés surfaces terminales.

 Les surfaces de contact entre les pièces sont


appelées surfaces de liaison.

 Si la cote condition est positive on parle de jeu,


dans le cas contraire on parle de serrage.
Établissement d’une chaîne de côtes

 Une chaîne de cotes est un ensemble de cotes


nécessaires et suffisantes au respect de la cote
condition cc.

 Contraintes à respecter:
– 1
– 2
– 3
– 4
– 5
Contraintes 1

• La chaîne de cotes
débute à l'origine du a1
a3

vecteur condition et se
termine à son
extrémité.
Contraintes 2

 Chaque cote de la
chaîne, commence et a1
a3

se termine sur la
même pièce.
Contraintes 3

• Il ne peut y avoir a3
a1
qu'une seule cote par
pièce dans une même
chaîne de cotes.
Contraintes 4

 La chaîne de cotes
doit être la plus courte a1
a3

possible, afin de faire


intervenir le moins de
cotes possible.
Contraintes 5

 Le passage d'une cote


de la chaîne à la a1
a3

suivante se fait par la


surface d'appui entre
les deux pièces
cotées.
Exemple
Relation vectorielle : J=a1+a3

Projection: J=a1-a3

Conditions extrêmes:
a3
a1
Jmin=a1min+a3max ; Jmax=a1max+a3min
 La différence conduit à la relation sur les
intervalles de tolérance

ITJ  ITa1  ITa 3

 Cette propriété impose de choisir pour les cotes


conditions des IT les plus larges possibles, afin
de réduire le coût des pièces entrant dans la
constitution de la chaîne.
Chaîne de cotes – cotation fonctionnelle
Rechercher la fonction à assurer sur
le dessin d’ensemble du système

Repérer les surfaces fonctionnelles -


les surfaces terminales et de liaison


Installer le vecteur cote condition J


A partir de l’origine de J , tracer le vecteur qui
aboutira à la surface de liaison située sur la même
pièce
Joindre, dans l’ordre indiqué par le sens de la condition, les
appuis consécutifs des pièces intermédiaires

Le dernier appui appartient à la dernière pièce, le dernier



vecteur va donc du dernier appui à l’extrémité de J
Tolérances géométriques
On en distingue quatre types :

– Tolérances de forme,
– Tolérances d'orientation,
– Tolérances de position,
– Tolérances de battement
Tolérances géométriques
de formes
Ligne Forme d’une ligne quelconque (profil ou contour)
quelconque

Surface Forme d’une surface quelconque


quelconque

Rectitude Une ligne quelconque du plan suivant une direction donnée, doit être comprise entre
deux droites parallèles distante de la valeur de la tolérance.

Circularité Le profil (que l'on espère assez proche de la forme circulaire !) doit être compris entre
deux cercles concentriques et coplanaires dont la différence des rayons est inférieure
ou égale à la valeur de tolérance. La circonférence intérieure est la plus grande
circonférence inscrite dans le profil tandis que la circonférence extérieure est la plus
petite circonférence circonscrite dans le profil.

Planéité La surface plane tolérancée doit être comprise entre deux plans parallèles distants de
la valeur de la tolérance donnée.

Cylindricité La surface tolerancée doit être comprise entre deux cylindres coaxiaux dont les rayons
diffèrent de la valeur de la tolérance. Le cylindre extérieur est le plus petit cylindre
circonscrit. La zone de tolérance n'est contrainte ni en position, ni en orientation.
Tolérances géométriques
d’orientation
Inclinaison La surface tolérancée est comprise dans une zone de tolérance définie par deux
plans parallèles distants de la valeur de la tolérance. La zone de tolérance est
contrainte en orientation seulement.

Parallélisme La surface tolérancée est comprise dans une zone de tolérance définie par deux
plans parallèles distants de la valeur de la tolérance et parallèles au plan de
référence. la zone de tolérance est contrainte en orientation seulement.

Perpendicula Perpendicularité d’une ligne (axe) ou d’une surface par rapport à une droite ou un
rité plan de référence.
Tolérances géométriques de
position
Spécification de Localisation de lignes, axes ou surfaces entre eux ou par rapport à un ou
Localisation plusieurs éléments.

Coaxialité/ Concentricité d’un axe ou d’un point par rapport à un axe ou un point de
concentricité référence.

Symétrie Symétrie d’un plan médian ou d’une ligne médiane (axe) par rapport à u_ne
droite ou un plan de référence.
Tolérances géométriques de
battement
Battement La zone de tolérance est limitée pour chaque position radiale, par deux circonférences
simple distantes de t situées sur le cylindre de mesurage dont l'axe coïncide avec l'axe de
référence.
Battement simple radial
La zone de tolérance est limitée dans chaque plan de mesurage perpendiculaire à l'axe
par deux cercles concentriques distants de t dont le centre coïncide avec l'axe de
référence.
Battement simple oblique
La zone de tolérance est limitée sur chaque cône de mesurage par deux circonférences
distantes de t. Chaque cône de mesurage a ses génératrices dans la direction spécifiée
et son axe coïncide avec l'axe de référence.

Battement Battement total d’un élément sur l’axe de référence.


total
États de surface
L'aptitude d'une pièce à une fonction donnée

des caractéristiques de son état de surface.

 les états de surface caractérisent des profils à une échelle nettement


inférieure à celle associée aux défauts géométriques (profil, cylindricité,
planéité, …)

 il existe de très nombreuses façons de caractériser l'état d'une surface.


États de surface
 On classe les défauts géométriques en
quatre ordres de grandeur :

– Défauts du premier ordre; 


– Défauts du deuxième ordre;
– Défauts du troisième et du quatrième ordr
e
;
– Désignation;
– Représentation sur un dessin.
Défauts du premier ordre
   Ce sont les défauts de forme (unité : mm) :
– Écarts:
 de rectitude,
 de circularité,
 de planéité,
 de cylindricité.
Défauts du deuxième ordre 
 Ondulation (unité : micron) :

– ligne enveloppe supérieure du deuxième ordre


passant par la majorité des saillies
Défauts du troisième et du quatrième ordre

–   caractérisent la rugosité de la surface.

 Les défauts du troisième ordre sont constitués par


des stries ou sillons

 les défauts du quatrième ordre sont des défauts


apériodiques constitués par des arrachements, des
fentes, etc.
États de surface
Pic maximal observé sur la longueur analysée. Si l'on pose un repère cartésien dont l'axe des abscisses est
Rp aligné sur la ligne centrale de la surface à mesurer, le pic maximal, lu sur l'axe des ordonnées, pourra
également être noté Rp= ymax (voir diagramme ci-dessous)

Rc Creux maximal observé sur la longueur analysée (voir diagramme ci-dessous). Rc : Rc= | ymin |

Rugosité totale. Elle correspond à la somme du pic maximal et du creux maximal observé sur la longueur
Rt analysée. Rt = Rp + Rc (voir diagramme ci-dessous)

Écart moyen, ou moyenne arithmétique des distances entre pics et creux successifs. "Ra" correspond à
ladifférence entre cette distance moyenne et la "ligne centrale". Ce paramètre "moyen" permet de
Ra donner une indication générale résumant les autres paramètres de rugosité d'une surface donnée, et est
par conséquent fréquemment utilisé.
Les liaisons

 Définition;
 Hypothèses;
 Nature du contact;
 Mobilités d’un solide;
 Les liaisons élémentaires;
 Exemples
Définition
 Liaison mécanique

On dit que deux pièces sont en liaison si


elles sont en contact par l’intermédiaire de
surface(s) ou de point(s).
Hypothèses

 solides indéformables,

 formes géométriquement parfaites.


Nature du contact

 Contact ponctuel;

 Contact linéique;

 Contact surfacique.
Contact ponctuel

 La zone de contact
est réduite à un
point
Contact linéique

 La zone de contact
est réduite à une
ligne qui n’est pas
forcément une
droite.
Contact surfacique

 La zone de contact
est une surface:
– Plan,
– Cylindre,
– Sphére.
mobilités d’un solide
y

Ty
Tx : Translation le long de l’axe x
Ty : Translation le long de l’axe y
Tz
x Tz : Translation le long de l’axe z
z

Tx

Ry Rx : Rotation autour de l’axe x


Rz Ry : Rotation autour de l’axe y
Rz : Rotation autour de l’axe z
x
z
Rx
Les liaisons élémentaires
A partir des trois volumes élémentaires (plan, cylindre, sphère) nous
pouvons définir toutes les combinaisons de contact possibles.

Plan cylindre sphère

Plan

cylindre

sphère
Appui plan
Linéaire rectiligne
Ponctuelle
Pivot glissant
Linéaire annulaire
Sphérique ou rotule
VOCABULAIRE TECH-
REP. NIQUE DES FORMES
DEFINITION GENERALE

A Alésage Forme contenante cylindrique ou non

B Arbre Élément contenu cylindrique ou non

C Arrondi Surface à section circulaire partielle qui est destinée à supprimer une arête vive.

D Bossage Saillie prévue sur une pièce afin de limiter la portée (surface d’appui)

E Chanfrein Petite surface obtenue par suppression d’une arête sur une pièce

Surface à section circulaire partielle destinée à raccorder deux surfaces formant un angle
F Congé rentrant

G Embase Élément d’une pièce destiné à servir de base

H Epaulement Changement brusque de la section d’une pièce par usinage

I Filetage Rainure(s) hélicoïdale(s) exécutée(s) à partir d’un cylindre ou d’un cône EXTERIEUR

J Gorge Dégagement étroit généralement arrondi à sa partie inférieure

K Lamage Logement cylindrique généralement destiné à « noyer » une tête de vis

L Méplat Surface plane sur une pièce à section circulaire

M Nervure Partie saillante d’une pièce servant à augmenter la résistance ou la rigidité

Entaille longue dans une pièce pour recevoir une clavette, une languette ou plus généralement
N Rainure un tenon

O Trou oblong Trou plus long que large, terminé par deux demi-cylindres.

P Taraudage Rainure(s) hélicoïdale(s) exécutée(s) à partir d’un cylindre ou d’un cône INTERIEUR
Éléments de machine

 Entité matérielle
remplissant une
fonction donnée
Organes de machine

 Entité fonctionnelle
composé de plusieurs
éléments remplissant
une fonction donnée
Lubrification
 entre deux surfaces en mouvement relatif se produit
de la friction qui produit de la chaleur, d’où:

– usure des pièces,


– consommation d'énergie.

 La lubrification consiste en l’ajout d’une substance


entre ces deux surfaces pour diminuer ces es effets.

 Cette substance peut être de:


– l'huile,
– la graisse,
– du graphite,
– ou autres.
Protection et étanchéité
 L‘étanchéité est le résultat de
l'interdiction d'un passage.

 L'étanchéité physique concerne


l'interdiction de passage d'un solide,
d’un fluide ou d’un gaz.

 Une enceinte est dite parfaitement


étanche si aucune quantité de fluide
qui y est contenue ne peut en sortir
et si aucune particule ou fluide ne
peut y entrer.
LIAISON
 Une liaison mécanique est, dans un mécanisme, la mise
en relation de deux pièces par contact physique
permettant de les rendre:

– partiellement solidaires,
– ou totalement solidaires.

 On parle alors de pièces liées et ce contact contribue


éventuellement à la transmission d’un effort entre les
deux pièces.
 En mécanique, on parle de:
– liaison,
– liaison cinématique
– ou liaison mécanique.
Mise en position
 La mise en position doit
définir complètement la
position d’une pièce par
rapport à une autre
Guidage
 Translation

 Rotation

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