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: DESCRIPTION ET TRANSMI
PUISSANCE SUR UNE LOCOMOTIVE DE LIGNE
I.1 DEFINTION
Une locomotive de ligne est une locomotive dont l’énergie de traction provient
d’un moteur diesel interne. On en distingue plusieurs types, selon la façon dont la puissance
fournie par le moteur est transmise aux essieux.
Perte
TRANSMETTRE
Puissance d’entrée Pe
UNE PUISSANCE
Mouvement de rotation (Ce,We) Puissance de sortie Ps
A) L’AMBRAYAGE
Elles sont munies d’aubages plans disposés radialement (voir fig. I.3).
L’une des couronnes est solidaire de l’arbre transmettant le mouvement vers les
essieux : c’est la couronne réceptrice ou « turbine ».
L’huile est mise en mouvement par la couronne motrice. Sous l’action de la force
centrifuge elle fuite les alvéoles constitués par les aubages et viennent heurter les aubages de
la couronne réceptrice. Cette couronne se met en mouvement sous l’effet de l’effort
d’entraînement auquel elle est soumise.
Il y a glissement entre la roue pompe et la roue turbine ; l’effort est transmis
progressivement jusqu’à ce que les vitesses de rotation de deux couronnes soient devenues
sensiblement égales.
D’un emploi à peu près général dès qu’il s’agit de transmettre des puissances supérieures à
370 kW (500 CV). Les transmissions électriques ont le gros avantages de permettre de
disposer de la pleine puissance du moteur diesel dans les limites très tendues de la gamme de
vitesses, autrement dit, ces transmissions permettent à un engin moteur, remorquant sa charge,
de circuler à des vitesses très variables en utilisant la puissance maximale ou presque du
moteur diesel, le moteur tournant on régime nominal.
Le moteur ;
L’embrayage ;
La boîte de vitesse ;
Le pont différentiel ;
L’arbre de transmission ;
Les demi-arbres de roues.
(Schéma 1.1)
Il existe deux types de système à vis et à écrou, dans certains systèmes c’est la vis qui joue le
rôle de l’organe moteur, dans ce cas le mouvement de rotation de la vis se transforme en
mouvement de translation pour l’écrou.
Dans l’autre système, c’est plutôt l’écrou qui constitue l’organe moteur. Dans ce cas, le
mouvement de rotation de l’écrou se transforme en mouvement de translation pour la vis.
B) LE SYSTEME PIGNON-CREMAILLERE
L’excentrique à came est un système constitué de deux objets, l’un menant nommé
« came » constitué d’un solide généralement en rotation, et l’autre mène, animé d’un
mouvement alternatif de translation, contraint par le solide menant.
La vitesse du moteur est souvent trop importante vis-à-vis de la vitesse souhaitée sur
l’arbre de sortie, par conséquent l’interposition d’un réducteur permet d’adapter cette
vitesse de rotation.
Généralement le couple résistant imposé par l’effectuer en sortie est trop important
pour le moteur.
Le réducteur permet donc d’augmenter le couple sur l’arbre de sortie.
Les engrenages cylindriques (ou parallèles) à dentures droites sont les plus courant, ils
permettent la transmission du mouvement de rotation entre arbres parallèles.