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Exercice chaîne de cote fonctionnelle

1. LA COTATION FONCTIONNELLE :POURQUOI ? Un mécanisme est constitué de différentes pièces. Pour que ce mécanisme fonctionne, des conditions doivent être assurées (jeu, dépassement, retrait, serrage, etc...). La cotation fonctionnelle permet de rechercher les différentes cotes à respecter pour que les conditions soient assurées. Les cotes
obtenues sont appelées : COTES FONCTIONNELLES, elles peuvent être: Un jeu (appelé jeu fonctionnel) Un serrage (écrasement d’un joint par exemple) Une course (déplacement piston…) Une cote (longueur d’un ressort -> effort exercé) 2. COTE : CONDITION FONCTIONNELLE. restaurants strasbourg guide michelin Exemple : une clé pour
manœuvrer un écrou. Condition fonctionnelle : Pour que la clé puisse servir à manœuvrer l'écrou, il faut qu'il y ait un jeu entre la clé et l'écrou.
La condition fonctionnelle est représentée sur le dessin par un vecteur à double trait orienté. Ce vecteur est appelé : "COTE CONDITION". Conventionnellement, l'orientation adoptée pour les cotes conditions (C. solid state physics ashcroft C.) est la suivante: 3. SURFACES TERMINALES. Les surfaces terminales sont les surfaces perpendiculaires à
la direction de la cote condition qui limitent celle-ci. Exemple : la clé et l'écrou 4. SURFACES DE LIAISON. Pour assurer une condition (par exemple a) il est nécessaire d'avoir des surfaces de liaison (S. L.). Ces surfaces sont les surfaces de contact entre les pièces dont la direction est perpendiculaire à celle de la cote condition. 5. ÉTABLISSEMENT
D'UNE CHAINE DE COTES. L'ensemble de cotes qui installent une condition fonctionnelle forme une chaîne de vecteurs consécutifs dont le maillon de fermeture est le vecteur condition. Méthode de tracé : - Partir de l'origine du vecteur modélisant la cote condition. Cette origine touche une pièce ; tracer un vecteur ayant pour origine, l'origine de la
C.C. et pour extrémité la surface de liaison (S. L.) en contact avec une autre pièce. - Continuer en traçant un vecteur sur cette autre pièce... ainsi de suite jusqu'à ce que l'extrémité du dernier vecteur touche la surface terminale en contact avec l'extrémité de la cote condition. jojiwusotebazibogut.pdf Exemple : la clé et l'écrou (à compléter). NOTA:
Une pièce déformable ( ressort…) ne peut intervenir dans une chaîne de cotes. 6. COTES FONCTIONNELLES SUR UN DESSIN DE DÉFINITION DE PRODUIT. On reporte les cotes fonctionnelles relatives aux différentes pièces qui apparaissent lors de l'établissement de la chaîne de cote pour une condition définie. Les cotes fonctionnelles sont les
cotes qu'il faut contrôler. 7. METHODE DE TRACE DES CHAINES DE COTES. II. NECESSITE DE LA COTATION FONCTIONNELLE : Cet article est une ébauche concernant les techniques, les sciences appliquées ou la technologie. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets
correspondants. En dessin technique, la cotation a pour but de définir les dimensions et les positions relatives des surfaces d'une pièce, ainsi que les variations possibles pour ces grandeurs tout en garantissant le bon fonctionnement de la pièce dans son mécanisme. 65687169825.pdf Le but de la cotation fonctionnelle est de faire un choix raisonné
pour les tolérances, appuyé sur l'analyse fonctionnelle des formes, donc liés à une fonction technique effective.

Les tolérances établissent un compromis entre la précision requise pour un fonctionnement satisfaisant et les contraintes techniques et économiques de la fabrication. La cotation fonctionnelle Ce sont les tolérances maximales et minimales qui permettent le fonctionnement optimal d'un ensemble.
Exemple d'un boulon qui ne doit pas être sous contrainte de fonctionnement avant même d'être sous contrainte de positionnement. C'est sur le dessin de définition de la pièce que sont reportées les cotes. Quelques règles à respecter : Utiliser les mêmes unités pour toutes les dimensions Ne jamais écrire de cotes surabondantes ou plusieurs fois la
même cote Toujours écrire les cotes auxiliaires entre parenthèses Analyse fonctionnelle technique La cotation fonctionnelle découle de l'analyse fonctionnelle technique, et plus particulièrement des fonctions techniques élémentaires de contact souhaité ou non souhaité.
Ces fonctions techniques élémentaires sont aux interfaces des composants étudiés, et donnent lieu à des caractéristiques soumises à des conditions (CFG). Afin de capitaliser l'analyse fonctionnelle technique, un outil est utilisé : le tableau d'analyse fonctionnelle technique (TAFT) « Le TAFT un outil pour la capitalisation de l’analyse fonctionnelle
technique. », sur , 2007 Assemblages, chaînes de cotes et calcul des jeux/serrages/tolérances Exemple de jeu dépendant de trois pièces. Chaîne de cotes Voir aussi : Jeu (mécanique) La chaîne de cote est composée de la cote condition, qui est soit un jeu ou un serrage, et des cotes fonctionnelles. On doit établir la chaîne de cote minimale, c’est-à-dire
qu'il faut réussir à établir une chaîne de cote qui n'utilise chaque pièce qu'une seule fois. Il est primordial de bien tracer la chaîne de cote puisque le sens de chacune des composantes est important pour les calculs. Lors des calculs, les composantes (cotes fonctionnelles ou cote condition) s'additionnent si elles sont dans le même sens et se soustraient
si elles sont de sens contraires. Formule: J a = a 1 − a 2 − a 3 {\displaystyle J_{a}=a_{1}-a_{2}-a_{3}} ce qui donne I T J a = I T a 1 + I T a 2 + I T a 3 {\displaystyle IT_{J_{a}}=IT_{a_{1}}+IT_{a_{2}}+IT_{a_{3}}} J a m a x i = a 1 m a x i − a 2 m i n i − a 3 m i n i {\displaystyle J_{amaxi}=a_{1maxi}-a_{2mini}-a_{3mini}} et J a m i n i = a 1 m i n
i − a 2 m a x i − a 3 m a x i {\displaystyle J_{amini}=a_{1mini}-a_{2maxi}-a_{3maxi}} Intervalle tolérance (IT) Cote condition (CC) ITCC = Sommes des IT des cotes fonctionnelles CCmoy = Somme des cotes fonctionnelles moyennes Tolérances dimensionnelles C'est la forme la plus basique de cotation, il s'agit d'une double flèche pointant sur deux
lignes de rappels. Cette cotation indique la distance séparant deux points dans la direction définie par la ligne de cote. Cette valeur est accompagnée d'un intervalle de tolérance. pathfinder mind flayer race Toutefois ce moyen de cotation est insuffisant pour garantir la définition géométrique d'une pièce. modèle de dossier de sponsoring gratuit word
On utilisera alors le tolérancement géométrique. Tolérances linéaires La tolérance linéaire s'applique uniquement aux dimensions locales réelles d'un élément (mesure entre les deux points d'un bipoint) à l'exclusion de tout écart de forme. Tolérances angulaires La tolérance angulaire limite l'orientation générale entre deux lignes coplanaires.
Chaque orientation doit être respectée indépendamment des autres (principe d'indépendance). Cette manière d'indiquer un aspect fonctionnel sur un dessin de définition est extrêmement rare, la plupart des fonctions s'adressent à des surfaces et non à des lignes. Pour indiquer un aspect fonctionnel angulaire entre deux éléments d'une même pièce,
on utilisera de préférence une tolérance géométrique d'orientation ou de localisation (voir ci-dessous : Tolérances géométriques) Tolérances géométriques Article principal : Tolérance géométrique. Les tolérances géométriques permettent de définir les variations possibles des surfaces de la pièce. Elles se classent en quatre grandes catégories.
Tolérances de forme Rectitude des droites d'un plan Interprétation de la rectitude. Les tolérances de forme s'adressent, comme leur nom l'indique, à la forme de la surface cotée. On rencontrera les tolérances suivantes : Rectitude : chaque ligne de la surface obtenue par intersection avec un plan parallèle au plan de projection doit être comprise
entre deux droites parallèles distantes de la valeur de la tolérance (0,1 mm dans l'exemple des 2 figures ci-jointes), l'orientation des deux droites n'étant pas définie, Circularité, Planéité, Cylindricité, Forme d'une ligne quelconque, Forme d'une surface quelconque. Tolérances d'orientation Ces tolérances permettent de définir l'orientation de la
surface cotée par rapport à une autre surface nommée surface de référence. On rencontrera les tolérances suivantes : Parallélisme, Perpendicularité, Inclinaison, Orientation d'une ligne quelconque, Orientation d'une surface quelconque. Tolérances de position Ces tolérances permettent de définir la position de la surface cotée par rapport à une
surface ou un ensemble de surfaces de référence.
On rencontrera les tolérances de : Localisation, Concentricité, Coaxialité, Symétrie, Position d'une ligne quelconque, Position d'une surface quelconque. Tolérances de battement Ces tolérances permettent d'intégrer à la fois les défauts de forme et de position. On rencontrera : le battement circulaire, le battement total. Calcul des tolérances
géométriques Tolérance de perpendicularité La tolérance géométrique de perpendicularité aura comme but de définir une perpendicularité, entre deux surfaces, axes ou arêtes. Sa définition comporte une tolérance ainsi qu'une référence, une lettre majuscule dans une boite qui est attaché à la surface de référence.

Tolérance de coaxialité Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Tolérance de localisation Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Tolérance de symétrie Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou
incomplète. librarian exam question answer Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Maximum-matière Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Annexes Bibliographie Pierre Bourdet, Fabien Schneider, "Spécification géométrique des produits - Cotation et tolérancement ISO",
Editions DUNOD, octobre 2017 (ISBN 978-2-10-006919-4) Frédéric Charpentier, "Mémento de spécification géométrique des produits - Normes ISO - GPS", Editions AFNOR et SCÉREN, version en français, septembre 2012, (ISBN 978-2-240-03333-8)/ sur Frédéric Charpentier, "Handbook for the geometrical specification of products.

The ISO-GPS standards", Editions AFNOR et SCÉREN, version en anglais, février 2013, (ISBN 978-2-240-03385-7)/ sur Bernard Anselmetti, Langage des normes ISO de cotation Vol 1, Paris, Éditions Hermes Lavoisier, 2003, (ISBN 2746206641) Jean-Louis Fanchon, Guide des Sciences et Technologies Industrielles, Paris, Éditions AFNOR Nathan,
2004, (ISBN 2124941577) Frédéric Charpentier - « Décoder les spécifications géométriques. », Technologie – Sciences et techniques industrielles, revue N° 174 de mai - juin 2011.

Frédéric Charpentier — « Les nouvelles normes, une évolution nécessaire », Technologie – Sciences et techniques industrielles, revue N° 151 de septembre et octobre 2007. Frédéric Charpentier, Jean-Marc Prenel - « Les normes ISO-GPS - Une fracture dans l’apprentissage (deuxième partie) », Technologie – Sciences et techniques industrielles, revue
N° 165 de janvier et février 2010. Frédéric Charpentier, Jean-Marc Prenel - « Les normes ISO-GPS - Une fracture dans l’apprentissage (première partie) », Technologie – Sciences et techniques industrielles, revue N° 164 de novembre et décembre 2009. Frédéric Charpentier — « Les nouvelles normes, une évolution nécessaire », Technologie –
Sciences et techniques industrielles, revue N° 151 de septembre et octobre 2007.

Frédéric Charpentier, Jean-Marc Prenel, Jérémy Duménil — « Le TAFT, un outil pour la capitalisation de l'AFT », Technologie – Sciences et techniques industrielles, revue N° 148 de mars 2007. city_of_greyhawk.pdf LUBINEAU (c.), dE LUZE (M.), « Nouveautés en normalisation GPS », Journées européennes du tolérancement (JET industrie), Annecy,
24 mars 2009. Frédéric Charpentier, « Points sur la normalisation. Quels ensei- gnements ? », Journées européennes du tolérancement (JET éducation), Annecy, 23 mars 2009. ou ou Portail du génie mécanique Ce document provient de « .

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