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Cumont Franz. Inscriptions grecques trouvées à Suse. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et
Belles-Lettres, 75ᵉ année, N. 3, 1931. pp. 278-292;
doi : 10.3406/crai.1931.76089
http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1931_num_75_3_76089
■■■■. COMMUNICATION
•
II
1. II Macchab., I, 13.
2. Mémoires de la Mission en Perse, XX, 1928, p. 85, n° 4.
3. Cf. Strabon, VIII, 6, £20, p. 378 C, à propos deCorinthe :"ûurenXstou?
T) ^tXta; Upo5oûXouç £xsxty)TO (to Upàv) éraipaç aç àvîti'Osarav xrj 0£w xal avôpe;
xal^uvaus;. Cf. XI, 14, § 16 pour le temple d'Anaïtis dans l'Acilisène et
XII, 3, § 36 pour celui de Ma à Comane.
280 COMl'TES RENDUS DE L 'ACADÉMIE- DES INSCRIPTIONS
1. Mém. Miss, de Perse, XX, 1928, p. 84, n° 4. Cf. sur cette forme de
Taffranchissementen Babylonie, Koschaker, Zeitsc.hr. der Savigny-stiftang,
LI, 1931, p. 429. et, plus complètement, Abhandl. Akad. Leipzig, X.LU n"l,
1931, p. 70 s.
INSCRIPTIONS GRECQUES TROUVÉES A SUSE 281
1. Les textes ont été cités, Mémoires, l. c.,p. 86. Ajouter Pline, H. N.,
VI, 135 : « Eulaeus circumit arcem Susorum et Dianae templum augustissi-
mum illis gentibus ». — Cf. inf'ra. p. 236, n. 1.
2. Sur la formule urclp utoiripta;, cf. Mém., p. 87.
3. Sur la date de cette mort (étédel93), cf. Holleaux, Cambridge ancien t
history, t. VIII, p. 201, note 2.
4. Frœhlich, Annales regum et rernm Syriae nummis illustrati, éd. de
1744, p. 42.
5. Babelon (Rois de Syrie, p. xc), la déclarait « toute gratuite».
6. Mémoires, p. 81 .
7. Polybe, XXV, 4, 8; cf. Tite Live, XLII, 12,3; Appien, Maced., XI, 2.
— Cf. Mémoires, i.c, p. 83.
INSCRrPTIONS GRECQUES TROUVÉES A SUSE 285
avec son troisième frère Antiochus IV Épiphane *. Sa
première union étant antérieure d'une vingtaine d'années
(196), elle devait être sensiblement plus âgée que ce
troisième mari, mais les charmes de l'épousée comptaient pour
peu de chose dans ces alliances dynastiques. Celles-ci
tendaient à la fois à préserver la pureté du sang de la race
souveraine et à conserver à la couronne l'apanage de la
princesse royale, en même temps qu'à satisfaire les sentiments
de la population indigène, laquelle regardait les unions entre
proches comme les plus saintes de toutes 2. Un intérêt
politique considérable put conseiller particulièrement le
troisième intermariage de Laodice. Si, comme on l'a
conjecturé3, Séleucus IV, quand il fut tué, laissait un fils encore
enfant, qui fut associé à la royauté par son frère et
successeur Antiochus IV, celui-ci se serait emparé du pouvoir
du consentement de sa reine, qu'il aurait épousée, et aurait
exercé une sorte de régence au nom du jeune prince son
neveu, qui était l'héritier légitime du trône.
AA1
Acad. /asc, 1930, p. 161 ; Yale Classical studies, II, 1930) et d'Avroman
(Miuns, Journ. hell. stndies, XXXV, 1915, p. 22 ss.).
INSCRIPTIONS GRECQUES TROUVÉES A SUSE 287
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