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Procedes Generaux de Construction D Un Parking Souterrain CET
Procedes Generaux de Construction D Un Parking Souterrain CET
LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles
TP2
Projet de PGC
ESTP
Avril 2003
Groupe 15
L’aménagement se fait à proximité d’un axe routier (route 2 X 2 voies), sous lequel
il
est permis de construire, à condition de laisser au moins deux voies libres à la
circulation des
voitures, et de maintenir le passage pour les piétons pendant toute la durée des
travaux. La
zone aménageable sous la chaussée est notée en bleue sur le schéma d’implantation :
le
trottoir adjacent (6 m) et les deux premières voies (5 m exploités réellement, 1 m
pour la pose
des barrières de chantier et le passage pour les piétons en galerie.) seront
coupées pendant une
partie des travaux permettant de maintenir la circulation sur le reste de la
chaussée comme
demandée par la commune.
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LAMBERT Benjamin
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Projet de PGC
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Avril 2003
Groupe 15
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ESTP
LAYE Pierre
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LEFEBVRE Charles
Projet de PGC
Groupe 15
Le second sous-sol est ensuite terrassé de la même manière que le premier sous-sol,
et enfin la
dalle plancher du second sous-sol est coulée et les rampes posées.
Vient ensuite l’implantation des différents réseaux (électricité, ventilation,
eau…) et les
finitions. (Peinture, marquage au sol, barrières, caisses de péage…)
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Projet de PGC
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Groupe 15
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Projet de PGC
ESTP
Avril 2003
Groupe 15
Barrières
La sortie et l’entrée du parking seront contrôlées par un système de barrière
automatisée à
relèvement horizontal, afin de pouvoir la relever sans problèmes de plafond dans
l’enceinte du
parking. L’entrée sera automatisée, et la sortie sera contrôlée par un système de
tickets
distribués par les caisses situées dans les cages d’escalier.
Ventilation
La ventilation du parking aménagé dans des sous-sols doit être obligatoirement
mécanique.
Elle doit avoir une efficacité telle que l'atmosphère n'y puisse jamais devenir
toxique ou
explosive.
Ainsi, le renouvellement de l'air sera assuré sur les bases de 600 m3/h par
emplacement de
voiture ; il devra pouvoir être porté à 1.200 m3/h pendant les périodes de pointe.
Ces derniers
chiffres n’étant que des minima, on s’arrangera pour qu'à tout moment la teneur en
monoxyde
de carbone ne dépasse pas :
- 50 parties par million par période de 8 heures,
- 100 parties par million en période de trafic intense.
Les installations de ventilation mécanique seront pourvues de commandes manuelles
prioritaires qui ne pourront être entravées par une manoeuvre contraire exécutée en
un autre
point du parking. Ces commandes seront protégées par une vitre et placées en un
endroit
facilement accessible par les Sapeurs-Pompiers.
Enfin, les gaines de ventilation seront en totalité construites en matériaux
incombustibles
coupe-feu de degré 1/4 h au moins.
Eclairage
L'éclairage du parking doit être suffisant pour permettre aux personnes de se
déplacer et de
repérer aisément les issues.
Tout devra être mis en œuvre pour assurer une bonne dégressivité entre la luminance
extérieure et celle du parking. Enfin, un éclairage de sécurité, alimenté par une
source
autonome, devra être installé.
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Protection incendie
Dans le parking, il faut un extincteur pour quinze voitures, un seau à fond rond et
un bac de
100 litres de sable (par niveau de parking). Les extincteurs portatifs utilisés
sont généralement
à poudre ABC de 6 kg. Il peut être nécessaire de les recharger au bout de cinq ans,
car au-delà
de cette durée l’additif perd de son efficacité et la poudre a pu se tasser.
Tous les véhicules équipés d’hydrocarbures liquéfiés ou gazeux seront interdits.
Installations électriques
Elles devront être réalisées en tenant compte des dangers particuliers présentés
par les liquides
inflammables, l'humidité et le déplacement des véhicules.
On prendra soin de placer un interrupteur général multipolaire assurant la coupure
du courant
secteur en cas de nécessité. Celui-ci sera mis à la disposition du préposé à la
surveillance ou
des Sapeurs-Pompiers.
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Partie individuelle :
Exécution des parois moulées, terrassement, étaiement.
Exécution des parois moulées.
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Principe général
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Groupe 15
Pour pouvoir travailler en toute sécurité, le kelly doit reposer sur une plateforme
de travail
construite au préalable sur tout le tour du chantier, où le kelly travaillera. En
effet, l’appareil
ne serait pas stable à proximité de la saignée qu’il terrasse.
On réalise donc avant tout forage des murettes guide dont le but est de fournir un
guide au
chauffeur du kelly et une plateforme stable de travail. Voici le schéma de la
plateforme de
travail une fois la murette réalisée :
Pour travailler en parallèle avec les ouvriers chargés du bétonnage des tranchées,
le kelly va
terrasser les saignées en damier :
- on commence par terrasser une saignée de 6 m de large sur toute la profondeur
voulue.
- on laisse ensuite une bande de 6 m de terrain non foré.
- le kelly procède ensuite au forage d’une autre bande de 6 m.
Le terrain forme ainsi les 5 cotés du coffrage de la paroi moulée. Une fois les
parois coulées,
le terrain restant entre deux parois est à son tour terrassé puis coulé. (Les
parois existantes
servent de coffrage latéral, ainsi, on n’a pas besoin de joints.)
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Groupe 15
Le ferraillage et le bétonnage s’exécutent donc en parallèle avec le terrassement
du kelly. Le
ferraillage une fois constitué est disposé à l’aide d’une grue routière. (Ces
dimensions sont de
11 m x 0,6 m x 6 m). La cage d’acier doit laisser des espaces minimums de 15 cm
pour
laisser passer le béton.
Une fois la paroi ferraillée, on peut procéder à son bétonnage.
Pour ce faire, on utilise un tube plongeur de diamètre 25 cm. Ce tube est descendu
jusqu‘à la
base de la saignée. C’est le béton qui remonte à la surface, et non le tube. Le
bétonnage
devant être fait en une seule fois, on ajoute un retardateur de prise sur quelques
heures. Les
cadences de bétonnage seront de 40 m3 par heure. Le béton ne doit en aucun cas être
vibré.
La boue benthonique est récupérée au cours de l’opération. Néanmoins, elle s’est
chargée de
sédiments au cours de l’opération Elle pourra donc être retraitée en partie pour
être recyclée
en partie.
-
Temps de travail :
Murette guide :
L’exécution des murettes guides nécessite le creusement d’une pré-saignée de 1 m
par 1 m
sur la périphérie du chantier à la pelle mécanique, le coffrage des murets et leur
coulage.
Ce muret, a un volume de 0,3 m3 par ml de mur. Soit 222 x 0,6 = 133 m3 de béton.
A 60 kg d’acier au m3 de béton, il faut donc 8 t d’acier pour les murettes.
Cela peut se faire à une cadence moyenne de 10 ml par jour. (Le coffrage /
bétonnage se
faisant en parralèle avec le terrassement.
Ces opérations sont donc réalisées en 23 jours.
Elles nécessiteront
1 pelle mécanique et son chauffeur
3 camions pour le transport des terres et leur chauffeur
3 ouvriers pour le coffrage, le ferraillage et le bétonnage
133 m3 de béton (soit 9 toupies à 16 m3)
8 t d’acier
Le forage :
Le kelly va forer des saignées de 222 ml (périphérie du chantier) par 0.60 m de
large et 11 m
de profondeur. Soit 1466 m3 . Soit un volume de 1759 m3 avec un coefficient de
foisonnement
de 0,2. Avec une vitesse de perforation de 15 m3/h, seulement deux camions benne
(de charge
utile 15 m3) sont nécessaires pour assurer un travail continu du kelly. Le temps de
transport
est en masque avec le temps de forage du kelly. (une heure pour remplir un camion,
une demiheure de trajet pour chaque camion.)
Le temps de forage est de 1466 / 15 = 98 h de travail effectif. A 6,67 heures de
travail effectif
par jour, le forage du Kelly va nécessiter : 98 / 6,67 = 15 jours de travail réel.
On compte 20 min pour poser 6 m de large de ferraillage (sur 11 m de profondeur).
Soit 20 x 222 / 6 =
740 min = 13 h = 2 jours (réels) de travail pour le périmètre. Le béton est coulé à
une cadence de 40
m3 / h. Soit 1466 / 40 = 36 h = 6 jours (réels) de travail.
Soit 8 jours réels pour le bétonnage et le ferraillage. Ces travaux seront réalisés
en parallèle avec le
forage du kelly.
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Terrassement
Dans l’élaboration de ce parking, on peut distinguer deux types de terrassement
différents : le
terrassement de surface qui précède l’exécution de la première dalle d’une part, et
les deux
terrassements en taupe des étages -1 et -2 d’un autre.
-
Terrassement de surface.
Terrassement en taupe :
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le terrassement en taupe s’exécute de la même manière pour le premier et le second
sous-sol.
On décrira donc ici la procédure pour les deux cas.
Le terrassement en taupe commence par le terrassement de l’accès du parking par la
mini
pelle. Le choix de la mini pelle a été fait car il permet de travailler dans le
parking qui fait
2,50 m sous poutre, 3m sous dalle.
Une fois qu’une partie suffisamment large a été terrassée, deux bennes et un
chargeur sont
entreposés dans l’étage terrassé. Ce matériel est descendu à l’aide d’une grue
routière
(capacité 100 t sur de petites hauteurs de levé et a proximité.)
Etaiement
La technique utilisée ne nécessite pas d’étaiement particulier : les parois moulées
sont tenues
tout le long des opérations par le sol ou les dalles. Les dalles elles même
reposent sur le sol
lors de leur bétonnage, et sont ensuite portées par les poteaux préfabriqués.
C’est l’un des intérêts de la construction en taupe.
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Partie individuelle :
Réalisation des planchers
Généralités
Les dalles que nous utiliserons pour constituer le premier plancher seront en béton
armé et
coulées sur le chantier. Les poutres seront en béton armé et la dalle de
compression sera en
béton armé.
Nous avons choisi de procéder en taupe. Ceci signifie qu’une fois le plancher
supérieur mis en
place, on terrasse dessous et on réalise le deuxième plancher. On renouvelle la
technique pour
le troisième plancher. Les engins de chantier ont accès aux niveaux inférieurs à
l’aide d’un
puit.
Dispositions à prendre en compte pour le travail des ouvriers en taupe
Puisqu’il s’agit d’un travail en taupe, c'est-à-dire en sous terrain, il est
nécessaire de prendre
quelques dispositions pour assurer la sécurité et la possibilité de travail des
ouvriers. Ainsi, on
devra assurer un système d’aération voire de ventilation (les engins de
terrassement dégagent
beaucoup de poussières et de gaz de combustion). De même, il faudra mettre en place
un
réseau d’électricité provisoire.
Mise en place des poutres
Les poutres prennent appui sur les poteaux préfabriqués. Ceux-ci ont été mis en
place après la
réalisation de la paroi moulée et de l’étanchéité. Il est à noter que les poteaux
disposeront
d’attentes de ferraillage à chaque niveau où les poutres viendront s’appuyer. Ces
aciers ne
devront pas excéder 16 mm de diamètre afin de faciliter la manutention et devront
être
protéger.
La première étape consiste à couler les poutres du plancher supérieur (1er
plancher).
Tout commence par le terrassement du sol. Ainsi, des petites tranchées
rectangulaires seront
réalisées entre les poteaux affleurants déjà. Ces tranchées permettront d’insérer
dans le sol les
coffrages dans lesquels seront coulées les poutres. Les dimensions des tranchées
seront de
50+5=55 cm pour la profondeur et 40+5=45 cm pour la largeur. Ces dimensions
tiennent
compte de la place que prend le coffrage de façon à ce que le sommet des poutres se
trouve à
la même cote que le sol. Cf. schéma suivant. Au premier niveau, toutes les
tranchées
nécessaires à la mise en place d’une dalle seront réalisées avant de passer aux
autres étapes
ceci afin de ne pas être dérangé par les engins de terrassement lors de la mise en
place du
coffrage, du ferraillage et du coulage du béton. Dès que l’on travaillera
réellement en taupe
(niveau -1 et -2), on terrassera entièrement le niveau avant de commencer à passer
à une autre
étape (on se trouve en effet dans un endroit exigu et assez mal ventilé).
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Pour réaliser le coffrage, nous allons utiliser des coffrages perdus constitués de
contre-plaqué
de 21 mm d’épaisseur. Ce type de coffrage est en effet rapide à installer et
suffisant pour
obtenir la poutre désirée.
Les poutres doivent disposer d’armatures métalliques en fibre inférieure afin de
reprendre les
charges (il s’agit de la fibre inférieure de la poutre qui est tendue dans ce cas
de figure). Il est
donc nécessaire de disposer le ferraillage en respectant les espacements calculés
par le bureau
d’études. On utilisera des ergots afin de maintenir les distances voulues lors du
coulage.
Il vient alors la phase de coulage du béton. On réalise celui-ci à l’aide d’une
pompe à béton
classique puis on le vibre en évitant les efforts dynamiques.
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Lorsque toutes les dalles du premier plancher qui devaient être réalisées sont
suffisamment
sèches (8jours), on commence à terrasser dessous jusqu’à arriver à la bonne cote
(2.50
dessous). Puis on procède de la même manière pour réaliser le plancher du niveau -1
et du
niveau -2.
Quelques remarques
Il est à noter que certaines dalles ne devront pas être coulées entièrement. C’est
le cas pour
tout ce qui concerne les réservations (rampe d’accès, cages d’escalier,
ascenseurs).
De plus, pour permettre la construction des rampes d’accès au parking, il faudra
prévoir des
aciers en attente.
On remarque qu’il n’est pas nécessaire d’étayer dans la mesure où ce sont les
poteaux qui
assurent la stabilité de la dalle supérieure tandis qu’elle-même assure la
stabilité de la paroi
moulée sous l’effet de la pression des terres.
Enfin, le dernier plancher n’est pas un radier dans la mesure où l’on travaille
dans un sol qui a
été asséché (Cf. méthode générale de construction) mais il faudra placer des
graviers (il s’agit
de matériaux roulés 20/40) drainant et des drains convergeant vers la citerne.
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Projet de PGC
5.46
5.46
7.41*7
6.9*5
7.2
2.84
6.9*5
7.2
13.84
6.9*5
7.2
13.84
10.75*7
15*7
16.84*7
Soit A= 50+61+61+50*7=522m
Donc
V1= 167.04
m3
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Ferraillage
Notons que la quantité de ferraillage reste à prévoir. Cela est du ressort du
bureau d’étude.
Néanmoins on peut estimer la masse d’acier à 60 kg par m3 de béton coulé pour la
dalle, 100
kg/m3 pour la poutre et pour les corbeaux. On a devra donc acheter
Pacier = 60*3396 + 100*167.04 + 100*34.2 = 224 tonnes.
Coffrage
En raison de la technique de construction employée, il n’est pas nécessaire de
disposer de
tables coffrantes qui sont longues à monter. On aura donc besoin d’un contreplaqué
de 21 mm
d’épaisseur pour réaliser les dalles et les poutres. Puisqu’il s’agit d’un coffrage
perdu, il nous
en faudra environ 3000 m2.
Main d’œuvre nécessaire
•
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Temps Nécessaire
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Pour mettre en place un poteau préfabriqué cela nécessite 80 min par poteau, or il
y a 21
poteaux, il faudra donc 28 heures de temps effectif.
Nous partons du principe, que l’équipe de terrassement à bien réaliser les
tranchées
demandées afin de pouvoir commencer à installer les coffrages perdus des poutres.
Nous utiliserons deux camions malaxeurs camions avec chacun une pompe à béton qui a
un
débit théorique de 110 m3 par heure.
Le coulage et le ferraillage des poutres demande environ 167*15/60 = 42 heures de
travail
effectif (soit 22 heures pour chacun des deux premiers niveaux).
Le coulage et le ferraillage des dalles demande quant à lui environ 3396*10/60 =
566 heures
de travail effectif (soit 189 heures pour chacun des trois niveaux).
Après le coulage de la dernière dalle d’un plancher, il faudra attendre 8jours
avant de pouvoir
commencer à terrasser dessous.
Les corbeaux demandent environ 34.2*30/60 = 17 heures de travail (le ferraillage
est ici
complexe à réaliser), soit 9 heures pour les corbeaux des deux premiers niveaux.
D’où le tableau récapitulatif suivant :
Désignation
Poteau
Poutres
Dalles
Corbeaux
Temps effectif
(heures) pour tous
les niveaux
Nombre d'équipe
28
1
42
4
566
2
17
2
Planning journalier
Cf. tableau.
- 22 -
Temps réel (nb
jours pour tous les
niveaux)
5
2
43
2
TP2
ESTP
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Groupe 15
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Partie individuelle :
Prix
PRIX
SECS
GLOBAUX
M.O en heure
M.O en euro Fourniture Matériel Sous-traitants
TOTAL
1
2 450
49 000
11 500 15 200
33 500 109 200
109 200
QUANTITES
Totales
133
0,15
0,91
1 052
133
1,9
38
4,3
0,9
43
5 746
133
160
75
10
245
32 585
25
500
600
7,6
1 108
8 861
2 444
240
586 560
184
70
12 880
1 466
0,15
0,91
11 596
1 466
8
160
75
10
245
359 170
88
25
500
600
7,6
1 108
97 469
14
0,15
0,91
111
14
160
500
660
9 240
16
54 336
3 396
167
167
1,67
1,9
8
25
38
160
500
4,3
75
600
0,9
10
7,6
43
245
1 108
7 214
40 915
1 850
17,1
1,71
8
25
160
500
75
600
10
7,6
245
1 108
4 190
1 894
1 132
1 132
63
1,9
8
25
38
160
500
4,3
75
600
1
10
7,6
43
245
1 108
48 902
277 340
69 779
25
288 650
43
7 214
11 546
167
1,9
38
4,3
- 23 -
0,9
LAMBERT Benjamin
LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles
TP2
ESTP
Avril 2003
Groupe 15
Projet de PGC
167
1,67
8
25
160
500
75
600
10
7,6
245
1 108
40 915
1 850
171
17,1
8
25
160
500
75
600
10
7,6
245
1 108
41 895
18 940
1 132
1 132
63
1,9
8
25
38
160
500
4,3
75
600
1
10
7,6
43
245
1 108
48 902
277 340
69 779
25
288 650
43
245
1 108
48 902
277 340
69 779
11 546
1 132
1 132
63
1,9
8
25
38
160
500
4,3
75
600
1
10
7,6
Déboursé sec
Frais de chantier
Prix de vente travaux propres
Prix de vente total
- 24 -
3 221 045
386525,432
3 607 571
4244200,83