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LAMBERT Benjamin

LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles

TP2
Projet de PGC

ESTP
Avril 2003
Groupe 15

Projet de Procédés Généraux de Construction


Parking souterrain
Pose du problème
Le but de ce projet est d’élaborer la construction d’un parking souterrain à deux
niveaux de sous-sol.
Les dimensions en plan de l’ouvrage choisies sont les suivantes :

L’aménagement se fait à proximité d’un axe routier (route 2 X 2 voies), sous lequel
il
est permis de construire, à condition de laisser au moins deux voies libres à la
circulation des
voitures, et de maintenir le passage pour les piétons pendant toute la durée des
travaux. La
zone aménageable sous la chaussée est notée en bleue sur le schéma d’implantation :
le
trottoir adjacent (6 m) et les deux premières voies (5 m exploités réellement, 1 m
pour la pose
des barrières de chantier et le passage pour les piétons en galerie.) seront
coupées pendant une
partie des travaux permettant de maintenir la circulation sur le reste de la
chaussée comme
demandée par la commune.

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Schéma de l’aménagement de la chaussée pendant les travaux :

En contre partie, la surface du terrain devra être aménagée en espace vert.

Solution envisagée : méthode générale


La méthode choisie pour la construction est celle d’un terrassement dit en taupe
dont
le phasage est le suivant :
Les parois du parking sont moulées directement dans le sol.
Les poteaux sont préfabriqués et insérés dans le sol, après avoir foré leur
emplacement. On
choisit de faire des poteaux préfabriqués plutôt que des poteaux moulés car ces
poteaux
portent les aciers d’attente destinés à reprendre poutres et dalles des différents
sous-sols. Il
n’est pas possible d’installer ces aciers d’attente avec des poteaux moulés.
La dalle plafond est coulée, en conservant des ouvertures pour les accès des
véhicules et du
personnel au niveau des trémies d’accès des véhicules et de la cage d’escalier.
60 cm de terre sont remis sur la dalle pour remettre la cote à 0. Cela permettra
d’aménager un
espace vert sur le carré de côté 50 m et de réaménager la route.
Le premier niveau est alors terrassé en taupe.
Pendant ce temps, en parallèle, la chaussée détruite pour pouvoir poser les parois
moulées est
reconstruite, et remise en service une fois terminée.
Cette phase nécessite des compétences de génie civil, et les engins associés. Notre
entreprise
sous-traitera donc cette partie des travaux à une entreprise de route.
Une fois le terrassement fini, la dalle de plancher du premier sous-sol est coulée
de la même
manière que la première dalle à même le sol.
Les rampes d’accès préfabriquées sont posées. On choisit de poser des rampes en
préfabriqué
car le coffrage le ferraillage et le bétonnage de ces parties obliques de l’ouvrage
est complexe
en chantier.

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Le second sous-sol est ensuite terrassé de la même manière que le premier sous-sol,
et enfin la
dalle plancher du second sous-sol est coulée et les rampes posées.
Vient ensuite l’implantation des différents réseaux (électricité, ventilation,
eau…) et les
finitions. (Peinture, marquage au sol, barrières, caisses de péage…)

Intérêt de la méthode choisie


Cette méthode a l’intérêt de ne déranger le voisinage que le temps du coulage des
parois et de
la première dalle. La suite des travaux s’effectuant essentiellement en sous-sol,
la gêne est
réduite.
De plus, une fois que la dalle plafond sera coulée, et que la chaussée détruite
aura été
reconstruite par dessus la nouvelle dalle, la circulation pourra directement
reprendre sur les 4
voies, limitant ainsi les problèmes de circulation du quartier. Seule une partie du
trottoir sera
occupé par l’enceinte du chantier, afin de laisser de l’espace aux engins de
chanter autour des
voies d’accès aux sous-sols.
Enfin, les parois moulées ont été dimensionnées de telle sorte qu’elles atteignent
le sol
argileux étanche. Les parois forment donc une cage étanche autour du terrain à
aménager.
Pour éviter les problèmes dus à la présence de la nappe phréatique, il suffira de
pomper le sol
au fur et à mesure du terrassement, et de le pomper le terrain qui se trouve au
niveau sous le
plancher du second sous-sol, afin d’assécher les terres.
Le dimensionnement des différents éléments du parking figure sur les plans fournis
en annexe.
La description détaillée des phases de la construction de l’ouvrage fait l’objet
des différentes
parties individuelles.

Dispositions constructives du parking.


Dans un soucis de rentabilité, il a été choisi d’organiser la circulation en sens
unique dans le
parking, ce afin de réduire la place dédiée aux voies de circulation.
Places
Les places ont été disposées à 90°, car la disposition en épi ne permettait pas
d’ajouter une
rangée de place supplémentaire. Les places à 90° sont alors moins encombrantes.
Afin de garder un bon rapport places / surface de parking, les dimensions des
places sont
celles de la ville de Paris, à savoir :
- 2,3 m X 5 m pour les places à 90° sans mur adjacent,
- 5 m X 2 m pour les places en créneau sans mur adjacent,
- 5,3 m X 2 m pour les places en créneau avec mur adjacent.
De même, les voies de circulation mesurent au moins
- 5 m pour les voies entre places à 90°,
- 4 m pour les voies entre places en créneau.

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Au final, le parking comprendra :


- 88 places au niveau -1
- 94 places au niveau -2
Soit 182 places pour une surface totale de 5660 m². Le rapport surface / places
vaut 31.
Piétons
Pour les piétons, un chemin continu de 1 m de large les conduits à l’ascenseur et
aux escaliers.
Rampes
Le sens des rangées adopté permet de disposer les rampes perpendiculairement à la
chaussée,
ce qui facilite l’accès au parc de stationnement pour les automobilistes.
Les rampes descendantes ont une pente :
- de 10,8% au premier sous-sol (4 m à descendre sur 37 m)
- de 9,2 % au second sous-sol (3,4 m à descendre sur 37 m)
Les pentes des rampes sont bien en dessous des normes dans un souci de confort pour
l’utilisateur, comme l’a suggéré la municipalité.
Les rampes ascendantes ont une pente :
- de 12,1 % au premier sous-sol (4 m à monter sur 32,8 m)
- de 10,4 % au second sous-sol (3,4 m à monter sur 32,8 m)
De plus un espace horizontal est aménagé en fin de rampe ascendante, notamment pour
la
rampe d’accès à la chaussée, afin de faciliter le passage sur le trottoir des
véhicules (pas de
démarrage en côte) et limiter la gêne occasionnée par les véhicules sortants aux
piétons. (Les
automobilistes ne sont plus tentés de « forcer le passage » des piétons pour sortir
de la pente.)
Accès piétons
La cage d’escalier regroupe l’escalier, l’ascenseur, et les caisses de paiement à
chaque étage.
Il a été placé vers le bas du parking de telle sorte que l’ascenseur et l’escalier
donnent
directement sur le trottoir. Cela évite aux usagers de se retrouver au milieu de
l’espace vert
aménagé quand ils sortent. (D’autant plus que cet espace vert est susceptible de
fermer la
nuit.)
Les marches d’escaliers ont les dimensions suivantes :
- giron : G = 0,26 m (0,60 < 2 H + G < 0,62)
- hauteur : H = 0,17 m (0,16 < H < 0,17
- largeur : l = 0,85 m
Il y a donc marches par niveau 24 marches au niveau -1 (avec un palier
intermédiaire)
Au niveau -2, il y a 20 marches.
Le stationnement réservé aux handicapés (2 places par étage) est placé à proximité
de
l’ascenseur dans un souci de confort.
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Barrières
La sortie et l’entrée du parking seront contrôlées par un système de barrière
automatisée à
relèvement horizontal, afin de pouvoir la relever sans problèmes de plafond dans
l’enceinte du
parking. L’entrée sera automatisée, et la sortie sera contrôlée par un système de
tickets
distribués par les caisses situées dans les cages d’escalier.

Ventilation
La ventilation du parking aménagé dans des sous-sols doit être obligatoirement
mécanique.
Elle doit avoir une efficacité telle que l'atmosphère n'y puisse jamais devenir
toxique ou
explosive.
Ainsi, le renouvellement de l'air sera assuré sur les bases de 600 m3/h par
emplacement de
voiture ; il devra pouvoir être porté à 1.200 m3/h pendant les périodes de pointe.
Ces derniers
chiffres n’étant que des minima, on s’arrangera pour qu'à tout moment la teneur en
monoxyde
de carbone ne dépasse pas :
- 50 parties par million par période de 8 heures,
- 100 parties par million en période de trafic intense.
Les installations de ventilation mécanique seront pourvues de commandes manuelles
prioritaires qui ne pourront être entravées par une manoeuvre contraire exécutée en
un autre
point du parking. Ces commandes seront protégées par une vitre et placées en un
endroit
facilement accessible par les Sapeurs-Pompiers.
Enfin, les gaines de ventilation seront en totalité construites en matériaux
incombustibles
coupe-feu de degré 1/4 h au moins.
Eclairage
L'éclairage du parking doit être suffisant pour permettre aux personnes de se
déplacer et de
repérer aisément les issues.
Tout devra être mis en œuvre pour assurer une bonne dégressivité entre la luminance
extérieure et celle du parking. Enfin, un éclairage de sécurité, alimenté par une
source
autonome, devra être installé.

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Protection incendie
Dans le parking, il faut un extincteur pour quinze voitures, un seau à fond rond et
un bac de
100 litres de sable (par niveau de parking). Les extincteurs portatifs utilisés
sont généralement
à poudre ABC de 6 kg. Il peut être nécessaire de les recharger au bout de cinq ans,
car au-delà
de cette durée l’additif perd de son efficacité et la poudre a pu se tasser.
Tous les véhicules équipés d’hydrocarbures liquéfiés ou gazeux seront interdits.
Installations électriques
Elles devront être réalisées en tenant compte des dangers particuliers présentés
par les liquides
inflammables, l'humidité et le déplacement des véhicules.
On prendra soin de placer un interrupteur général multipolaire assurant la coupure
du courant
secteur en cas de nécessité. Celui-ci sera mis à la disposition du préposé à la
surveillance ou
des Sapeurs-Pompiers.

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Planning des travaux


Travaux préparatoires.
Les travaux préparatoires (étude géologique, installation de chantier, mobilisation
du
matériel…) ont une durée de 3 mois.
Parois moulées.
L’exécution des parois moulées est détaillée dans la partie individuelle qui lui
est consacrée.
Pose des poteaux préfabriqués :
Les dimensions des poteaux sont les suivantes : 0,32 x 0,32 x 6,50 (m) (les poteaux
sont
légèrement surdimensionnés en hauteur pour assurer un contact parfais avec les
poutres et la
dalle plancher du second.
Le forage des poteaux se fera à l'ai de d'une foreuse mobile. Le temps de forer un
trou
(profondeur 8 m) est de 40 min. Les 14 m3 de terre résultant de l’extraction seront
entreposés
sur le terrain en vue de son terrassement futur.
La pose prend 40 min. Cette pose se fera à l'aide de la grue routière utilisée pour
le ferraillage
des saignées. Le temps nécessaire à la réalisation d'un poteau est donc de 80 min.
Il y a 21
poteaux soit un temps total de : 21 x 80 = 1680 min. Soit un temps réel de 5 jours.
Les terres résiduelles seront évacuées lors du terrassement de surface.
Temps d'exécution : 5 jours
Ces travaux seront exécutés en parallèle avec les travaux du kelly.
Matériel nécessaire et ouvriers :
1 foreuse et son utilisateur
1 grue routière et son chauffeur (déjà comptabilisé pour l'exécution des parois
moulées.)
1 ouvrier
Terrassement de surface ;
Dalles et poutres plafond ;
Terrassement en taupe du premier sous-sol ;
Dalles, poutres, corbeaux du premier plancher ;
Terrassement du second sous-sol ;
Dalles du second plancher ;
Ces parties de l’ouvrage sont reprises dans les parties individuelles consacrées.
Reconstruction de la chaussée :
Cette opération pourra être engagée dés que la dalle plafond du parking sera sèche
et prête à
être chargée. (Trois semaines après que la dalle ait été coulée.)
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Cette opération nécessitera l’apport de matériaux pour la couche de fondation de la
route.
Pour ce faire, on utilisera la terre excavée par le terrassement du premier sous-
sol.
Il est à noter que le terrassement devra se faire en priorité de l’autre côté de la
chaussée, afin
de garder du terrain sous la dalle par dessus laquelle on reconstruit la chaussée.
Ce par mesure
de sécurité.
Il faudra ensuite exécuter le nivelage et le compactage des différentes couches de
la route
(couche de base, couche de liaison…), et le passage d’un finisseur pour l’enrobé de
la
chaussée.
Ceci pourra s’exécuter à partir du moment où la dalle sera prête à recevoir des
charges.
On estime la durée des travaux à deux jours :
Un pour la préparation du terrain, un autre pour la pose de l’enrobé.
La durée finale de ces travaux est de 32 semaines. Soit un peut plus de 7 mois de
travail.
Finition, démobilisation
Il faudra ensuite ajouter 3 mois pour la finition et la démobilisation de matériel
et du
personnel.
Il faudra donc au final un peu plus de 13 mois ( 6 mois et 32 semaines) pour
construire ce
parking.

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Partie individuelle :
Exécution des parois moulées, terrassement, étaiement.
Exécution des parois moulées.
-

Principe général

Le principe général de construction de parois moulées et le suivant : un kelly,


muni d’une
benne hydraulique, terrasse des saignées dans le sol aux dimensions de la paroi
voulue. Pour
éviter l’effondrement et le bouchage de cette saignée, le kelly procède à une
injection de boue
benthonique au fur et à mesure du forage. Cette boue dépose un cake sur les parois
de forage,
la rendant un peu plus étanche et plus stable. La boue doit don toujours être
maintenue au
dessus du niveau de la nappe phréatique.
Photo du kelly :

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Pour pouvoir travailler en toute sécurité, le kelly doit reposer sur une plateforme
de travail
construite au préalable sur tout le tour du chantier, où le kelly travaillera. En
effet, l’appareil
ne serait pas stable à proximité de la saignée qu’il terrasse.
On réalise donc avant tout forage des murettes guide dont le but est de fournir un
guide au
chauffeur du kelly et une plateforme stable de travail. Voici le schéma de la
plateforme de
travail une fois la murette réalisée :

Enchaînement des activités :

Pour travailler en parallèle avec les ouvriers chargés du bétonnage des tranchées,
le kelly va
terrasser les saignées en damier :
- on commence par terrasser une saignée de 6 m de large sur toute la profondeur
voulue.
- on laisse ensuite une bande de 6 m de terrain non foré.
- le kelly procède ensuite au forage d’une autre bande de 6 m.
Le terrain forme ainsi les 5 cotés du coffrage de la paroi moulée. Une fois les
parois coulées,
le terrain restant entre deux parois est à son tour terrassé puis coulé. (Les
parois existantes
servent de coffrage latéral, ainsi, on n’a pas besoin de joints.)

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Le ferraillage et le bétonnage s’exécutent donc en parallèle avec le terrassement
du kelly. Le
ferraillage une fois constitué est disposé à l’aide d’une grue routière. (Ces
dimensions sont de
11 m x 0,6 m x 6 m). La cage d’acier doit laisser des espaces minimums de 15 cm
pour
laisser passer le béton.
Une fois la paroi ferraillée, on peut procéder à son bétonnage.
Pour ce faire, on utilise un tube plongeur de diamètre 25 cm. Ce tube est descendu
jusqu‘à la
base de la saignée. C’est le béton qui remonte à la surface, et non le tube. Le
bétonnage
devant être fait en une seule fois, on ajoute un retardateur de prise sur quelques
heures. Les
cadences de bétonnage seront de 40 m3 par heure. Le béton ne doit en aucun cas être
vibré.
La boue benthonique est récupérée au cours de l’opération. Néanmoins, elle s’est
chargée de
sédiments au cours de l’opération Elle pourra donc être retraitée en partie pour
être recyclée
en partie.
-

Temps de travail :

Murette guide :
L’exécution des murettes guides nécessite le creusement d’une pré-saignée de 1 m
par 1 m
sur la périphérie du chantier à la pelle mécanique, le coffrage des murets et leur
coulage.
Ce muret, a un volume de 0,3 m3 par ml de mur. Soit 222 x 0,6 = 133 m3 de béton.
A 60 kg d’acier au m3 de béton, il faut donc 8 t d’acier pour les murettes.
Cela peut se faire à une cadence moyenne de 10 ml par jour. (Le coffrage /
bétonnage se
faisant en parralèle avec le terrassement.
Ces opérations sont donc réalisées en 23 jours.
Elles nécessiteront
1 pelle mécanique et son chauffeur
3 camions pour le transport des terres et leur chauffeur
3 ouvriers pour le coffrage, le ferraillage et le bétonnage
133 m3 de béton (soit 9 toupies à 16 m3)
8 t d’acier
Le forage :
Le kelly va forer des saignées de 222 ml (périphérie du chantier) par 0.60 m de
large et 11 m
de profondeur. Soit 1466 m3 . Soit un volume de 1759 m3 avec un coefficient de
foisonnement
de 0,2. Avec une vitesse de perforation de 15 m3/h, seulement deux camions benne
(de charge
utile 15 m3) sont nécessaires pour assurer un travail continu du kelly. Le temps de
transport
est en masque avec le temps de forage du kelly. (une heure pour remplir un camion,
une demiheure de trajet pour chaque camion.)
Le temps de forage est de 1466 / 15 = 98 h de travail effectif. A 6,67 heures de
travail effectif
par jour, le forage du Kelly va nécessiter : 98 / 6,67 = 15 jours de travail réel.
On compte 20 min pour poser 6 m de large de ferraillage (sur 11 m de profondeur).
Soit 20 x 222 / 6 =
740 min = 13 h = 2 jours (réels) de travail pour le périmètre. Le béton est coulé à
une cadence de 40
m3 / h. Soit 1466 / 40 = 36 h = 6 jours (réels) de travail.
Soit 8 jours réels pour le bétonnage et le ferraillage. Ces travaux seront réalisés
en parallèle avec le
forage du kelly.

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Le volume à bétonner est de 1466 m3. Ce qui représente environ 1466 x 66 = 88 t


d’acier.

Ces opération nécessiteront :


1 kelly et son chauffeur
1 grue routière
2 ouvriers pour le ferraillage et assister sa pose
1 ouvrier pour le bétonnage
2 camions et leur chauffeur.
1466 m3 de béton (soit 92 toupies à 16 m3)
88 t d’acier

Terrassement
Dans l’élaboration de ce parking, on peut distinguer deux types de terrassement
différents : le
terrassement de surface qui précède l’exécution de la première dalle d’une part, et
les deux
terrassements en taupe des étages -1 et -2 d’un autre.
-

Terrassement de surface.

Ce terrassement consiste à retirer 1 m de terrain sur toute la surface du chantier,


afin de
pouvoir par la suite aménager un espace vert à la cote 0 du terrain.
Cette opération va donc nécessiter un chargeur muni d’un godet de 3 m3, associé à
des
camions qui feront la navette entre le chantier et la décharge. Le chargeur sera
associé à une
mini pelle qui terrassera les emplacements réservés aux poutres.
Le volume de terrain à terrasser est donc de : (50 x 50 + 11 x 30) x 1 = 2830 m3.
Ce qui
représente un volume de terres excavées de 3396 m3.
3 camions de capacité utile 15 m3 seront utilisés pour le transport des terres.
En comptant 2 min par godet, un camion est plein en 10 minutes. Le voyage aller-
retour à la
décharge et le vidage de la benne prennent au total 30 min.
En 1 heure , on peut donc excaver 5 camions de terre, soit 75 m3. Le temps effectif
de
terrassement est donc : 3396 / 75 = 46 h. Soit 46 / 6,67 = 7 jours de temps réels.
(On distingue le temps réel du temps effectif : une journée de 8 heure de travail
ne comporte
que 6,67 heures de travail effectif.)
Quand une surface suffisamment grande aura été terrassée, le coffrage, le
ferraillage et le
bétonnage des poutres et de la dalle pourra commencer en parallèle.
Cette opération va nécessiter :
1 chargeur muni d’un godet de 3 m3 avec son chauffeur.
3 camions benne de 15 m3 avec leur chauffeur
1 mini pelle avec son chauffeur
3396 m3 de terre à ramener à la décharge.
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Terrassement en taupe :

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le terrassement en taupe s’exécute de la même manière pour le premier et le second
sous-sol.
On décrira donc ici la procédure pour les deux cas.
Le terrassement en taupe commence par le terrassement de l’accès du parking par la
mini
pelle. Le choix de la mini pelle a été fait car il permet de travailler dans le
parking qui fait
2,50 m sous poutre, 3m sous dalle.
Une fois qu’une partie suffisamment large a été terrassée, deux bennes et un
chargeur sont
entreposés dans l’étage terrassé. Ce matériel est descendu à l’aide d’une grue
routière
(capacité 100 t sur de petites hauteurs de levé et a proximité.)

Photo d’une grue routière :


Le chargeur procède ensuite au terrassement du niveau, en plaçant les terres
d’excavation
dans la benne.
Pendant les travaux, les appareils de terrassement resteront en sous-sol, afin
d’éviter de perdre
du temps à les sortir et les rentrer à la grue chaque jour. Cela représente une
sécurité
supplémentaire contre le vol.
Dés que possible, une nacelle d’accès sera disposée au niveau de la cage d’escalier
afin de
permettre un accès réservé au personnel, qui n’aura plus à partager le chemin avec
les
véhicules et bennes manutentionnées, pour plus de sécurité.
D’autre part, quand la surface terrassée le permettra, le sol devra être pompé de
son eau pour
favoriser l’appui des engins, et l’exécution de la dalle.
Quand une benne est pleine, la grue routière la remonte, la transvase dans un
camion benne, et
la redescend. Le fait d’avoir deux bennes permet de ne pas interrompre le travail
du chargeur.
Le rôle de la mini pelle est d’ assurer un terrassement précis à proximité des
parois et des
poteaux préfabriqués, et de ne pas les abîmer.
A nouveau, 3 camions bennes seront utilisés pour le transport des terres excavées.
Soit un
rythme de transport de 75 m3 / h. (Le chargeur terrasse 90 m3 par heure, il y aura
donc 10
minutes de latence par heure pour lui.
Il y a au total (50 x 50 + 11 x 30) x (2,50 + 0,40 + 0,5) = 9622 m3. Soit avec le
coefficient de
foisonnement : 9622 x 1,2 = 11546 m3. (En réalité, la quantité est un peu moindre
car la les
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poutres d’une hauteur de 0,50 m ne sont pas disposées sur toute la surface du
parking. Mais
on préfèrera faire des calculs arrondis par le haut pour être sur de respecter le
planning.)
Le temps de cette opération est donc : 11546 / 75 = 154 heures de travail effectif,
soit 154 /
6,67 = 23 journées ouvrées.
Ces opérations vont donc nécessiter pour chaque niveau :
1 chargeur et son chauffeur
1 mini pelle et son chauffeur
1 grue routière et son chauffeur
2 ouvriers pour aider à la manutention (en surface et en sous-sol)
11546 m3 de terre à déposer à la décharge.
Ces valeurs sont valables pour les deux niveaux à terrasser.

Etaiement
La technique utilisée ne nécessite pas d’étaiement particulier : les parois moulées
sont tenues
tout le long des opérations par le sol ou les dalles. Les dalles elles même
reposent sur le sol
lors de leur bétonnage, et sont ensuite portées par les poteaux préfabriqués.
C’est l’un des intérêts de la construction en taupe.

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Partie individuelle :
Réalisation des planchers
Généralités
Les dalles que nous utiliserons pour constituer le premier plancher seront en béton
armé et
coulées sur le chantier. Les poutres seront en béton armé et la dalle de
compression sera en
béton armé.
Nous avons choisi de procéder en taupe. Ceci signifie qu’une fois le plancher
supérieur mis en
place, on terrasse dessous et on réalise le deuxième plancher. On renouvelle la
technique pour
le troisième plancher. Les engins de chantier ont accès aux niveaux inférieurs à
l’aide d’un
puit.
Dispositions à prendre en compte pour le travail des ouvriers en taupe
Puisqu’il s’agit d’un travail en taupe, c'est-à-dire en sous terrain, il est
nécessaire de prendre
quelques dispositions pour assurer la sécurité et la possibilité de travail des
ouvriers. Ainsi, on
devra assurer un système d’aération voire de ventilation (les engins de
terrassement dégagent
beaucoup de poussières et de gaz de combustion). De même, il faudra mettre en place
un
réseau d’électricité provisoire.
Mise en place des poutres
Les poutres prennent appui sur les poteaux préfabriqués. Ceux-ci ont été mis en
place après la
réalisation de la paroi moulée et de l’étanchéité. Il est à noter que les poteaux
disposeront
d’attentes de ferraillage à chaque niveau où les poutres viendront s’appuyer. Ces
aciers ne
devront pas excéder 16 mm de diamètre afin de faciliter la manutention et devront
être
protéger.
La première étape consiste à couler les poutres du plancher supérieur (1er
plancher).
Tout commence par le terrassement du sol. Ainsi, des petites tranchées
rectangulaires seront
réalisées entre les poteaux affleurants déjà. Ces tranchées permettront d’insérer
dans le sol les
coffrages dans lesquels seront coulées les poutres. Les dimensions des tranchées
seront de
50+5=55 cm pour la profondeur et 40+5=45 cm pour la largeur. Ces dimensions
tiennent
compte de la place que prend le coffrage de façon à ce que le sommet des poutres se
trouve à
la même cote que le sol. Cf. schéma suivant. Au premier niveau, toutes les
tranchées
nécessaires à la mise en place d’une dalle seront réalisées avant de passer aux
autres étapes
ceci afin de ne pas être dérangé par les engins de terrassement lors de la mise en
place du
coffrage, du ferraillage et du coulage du béton. Dès que l’on travaillera
réellement en taupe
(niveau -1 et -2), on terrassera entièrement le niveau avant de commencer à passer
à une autre
étape (on se trouve en effet dans un endroit exigu et assez mal ventilé).

- 16 -
LAMBERT Benjamin
LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles

TP2
Projet de PGC

ESTP
Avril 2003
Groupe 15

Pour réaliser le coffrage, nous allons utiliser des coffrages perdus constitués de
contre-plaqué
de 21 mm d’épaisseur. Ce type de coffrage est en effet rapide à installer et
suffisant pour
obtenir la poutre désirée.
Les poutres doivent disposer d’armatures métalliques en fibre inférieure afin de
reprendre les
charges (il s’agit de la fibre inférieure de la poutre qui est tendue dans ce cas
de figure). Il est
donc nécessaire de disposer le ferraillage en respectant les espacements calculés
par le bureau
d’études. On utilisera des ergots afin de maintenir les distances voulues lors du
coulage.
Il vient alors la phase de coulage du béton. On réalise celui-ci à l’aide d’une
pompe à béton
classique puis on le vibre en évitant les efforts dynamiques.

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Groupe 15

Pour éviter de perdre du temps lors du séchage, on commencera le coulage du béton


dès que
possible. Cela signifie que l’on coulera avant la mise en place de tous les
coffrages. D’autre
part, on coulera les poutres dans un certain ordre. Ainsi, on réalisera les quatre
poutres qui
constituent les appuis d’une dalle avant de commencer une autre série. Ceci a pour
but de
disposer de tous les appuis prêts en même temps pour une dalle donnée.
Mise en place des dalles
Les dalles prennent appui soit uniquement sur des poutres, soit sur des poutres et
sur des
consoles courtes (corbeaux) pour les dalles situées sur la périphérie du parking.
Il est donc
nécessaire de couler des corbeaux dans la paroi moulée. Ceux-ci mesureront 30 cm de
large
pour 25 cm de hauteur.
Dès que les appuis d’une dalle sont secs (15 jours), on coule celle ci en ayant
pris soin de
disposer le coffrage perdu et les aciers (treillis soudé) pour la dalle. Il est à
noter que les dalles
devront avoir une pente de 2 % afin de permettre les écoulements de liquide. On
vibre le
béton à l’aide d’une règle vibrante. Ce type de vibration est recommandé dans la
mesure où la
dalle a pour épaisseur 40 cm et que les surfaces sont assez grandes. Après le
bétonnage des
dalles du plancher supérieur (1er plancher), il conviendra de prendre des
dispositions en
fonction des conditions météorologiques prévues. En effet, une forte pluie risque
de délaver le
béton tout juste coulé, le gel quant à lui peut provoquer un écaillage de la dalle.

- 18 -
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Lorsque toutes les dalles du premier plancher qui devaient être réalisées sont
suffisamment
sèches (8jours), on commence à terrasser dessous jusqu’à arriver à la bonne cote
(2.50
dessous). Puis on procède de la même manière pour réaliser le plancher du niveau -1
et du
niveau -2.
Quelques remarques
Il est à noter que certaines dalles ne devront pas être coulées entièrement. C’est
le cas pour
tout ce qui concerne les réservations (rampe d’accès, cages d’escalier,
ascenseurs).
De plus, pour permettre la construction des rampes d’accès au parking, il faudra
prévoir des
aciers en attente.
On remarque qu’il n’est pas nécessaire d’étayer dans la mesure où ce sont les
poteaux qui
assurent la stabilité de la dalle supérieure tandis qu’elle-même assure la
stabilité de la paroi
moulée sous l’effet de la pression des terres.
Enfin, le dernier plancher n’est pas un radier dans la mesure où l’on travaille
dans un sol qui a
été asséché (Cf. méthode générale de construction) mais il faudra placer des
graviers (il s’agit
de matériaux roulés 20/40) drainant et des drains convergeant vers la citerne.

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Quantité de matériel à commander pour l’exécution des planchers


Nous avons 21 poteaux de dimension 32*32 pour une hauteur totale de 6.50 m.
En ce qui concerne la réalisation à proprement dit des planchers, on a besoin :
Pour le béton :
► Pour pouvoir couler les poutres, d’un volume de :
V1=

hauteur * largeur * longueur


0,50 * 0,32* (A*2)

avec A = longueur totale des poutres sur un seul niveau.


5.46

5.46

5.46

7.41*7

6.9*5
7.2
2.84

6.9*5
7.2
13.84

6.9*5
7.2
13.84

10.75*7
15*7
16.84*7

Soit A= 50+61+61+50*7=522m
Donc
V1= 167.04

m3

Le béton est dosé à 2500 kg/m3 on en a donc besoin de 418 tonnes.


► Pour pouvoir couler les dalles, on doit couvrir une surface d’environ 2830 m2
pour une
épaisseur de 40 cm. Soit un volume de 1132 m3 par niveau.
Pour les trois niveaux, on a donc un volume de :
V2= 3396 m3
Le béton est dosé à 2500 kg/m3 on en a donc besoin de 8 490 tonnes.
► Pour les corbeaux, on a besoin au total (sur les deux niveaux) de :
V3= (hauteur * largeur * périmètre de notre parking) * 2
V3 = (0.30*.25*228.1)*2= 34.2 m3
Le béton est dosé à 2500 kg/m3 on en a donc besoin de 85.5 tonnes
► Au total, on aura besoin de 8993.5 tonnes, on en commandera donc 8 994 tonnes.

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Ferraillage
Notons que la quantité de ferraillage reste à prévoir. Cela est du ressort du
bureau d’étude.
Néanmoins on peut estimer la masse d’acier à 60 kg par m3 de béton coulé pour la
dalle, 100
kg/m3 pour la poutre et pour les corbeaux. On a devra donc acheter
Pacier = 60*3396 + 100*167.04 + 100*34.2 = 224 tonnes.
Coffrage
En raison de la technique de construction employée, il n’est pas nécessaire de
disposer de
tables coffrantes qui sont longues à monter. On aura donc besoin d’un contreplaqué
de 21 mm
d’épaisseur pour réaliser les dalles et les poutres. Puisqu’il s’agit d’un coffrage
perdu, il nous
en faudra environ 3000 m2.
Main d’œuvre nécessaire

Pour la mise en place des poteaux, il nous faudra un conducteur de grue et un


ouvrier.

Pour le coulage des poutres :

Deux chauffeurs de Bobcat + deux ouvriers pour la réalisation des tranchées


Quatre équipes de
Trois ouvriers s’occuperont des coffrages, trois autres du coulage et un
de la vibration du béton
Trois ferrailleurs qualifiés
• Pour le coulage des dalles
Deux équipes de
Deux ouvriers pour réaliser les coffrages
Trois ouvriers pour le coulage de chaque dalle
Deux ferrailleurs
• Pour les corbeaux
Deux équipes de
Deux ferrailleurs très qualifiés
Trois ouvriers

- 21 -
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Temps Nécessaire

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Pour mettre en place un poteau préfabriqué cela nécessite 80 min par poteau, or il
y a 21
poteaux, il faudra donc 28 heures de temps effectif.
Nous partons du principe, que l’équipe de terrassement à bien réaliser les
tranchées
demandées afin de pouvoir commencer à installer les coffrages perdus des poutres.
Nous utiliserons deux camions malaxeurs camions avec chacun une pompe à béton qui a
un
débit théorique de 110 m3 par heure.
Le coulage et le ferraillage des poutres demande environ 167*15/60 = 42 heures de
travail
effectif (soit 22 heures pour chacun des deux premiers niveaux).
Le coulage et le ferraillage des dalles demande quant à lui environ 3396*10/60 =
566 heures
de travail effectif (soit 189 heures pour chacun des trois niveaux).
Après le coulage de la dernière dalle d’un plancher, il faudra attendre 8jours
avant de pouvoir
commencer à terrasser dessous.
Les corbeaux demandent environ 34.2*30/60 = 17 heures de travail (le ferraillage
est ici
complexe à réaliser), soit 9 heures pour les corbeaux des deux premiers niveaux.
D’où le tableau récapitulatif suivant :

Désignation
Poteau
Poutres
Dalles
Corbeaux

Temps effectif
(heures) pour tous
les niveaux
Nombre d'équipe
28
1
42
4
566
2
17
2

Planning journalier
Cf. tableau.

- 22 -
Temps réel (nb
jours pour tous les
niveaux)
5
2
43
2

Temps réel (nb


jours pour un
niveau)
xxx
1
15
1
LAMBERT Benjamin
LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles

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Projet de PGC

Partie individuelle :
Prix

PRIX
SECS
GLOBAUX
M.O en heure
M.O en euro Fourniture Matériel Sous-traitants
TOTAL
1
2 450
49 000
11 500 15 200
33 500 109 200
109 200

QUANTITES
Totales

PRIS SECS UNITAIRES

133

0,15

0,91

1 052

133

1,9

38

4,3

0,9

43
5 746

133

160

75

10

245

32 585

25

500

600

7,6

1 108

8 861

2 444

240

586 560

184

70

12 880

1 466

0,15

0,91

11 596

1 466

8
160

75

10

245

359 170

88

25

500

600

7,6

1 108

97 469

14

0,15

0,91

111

14

160

500

660

9 240

16

54 336

3 396

167
167
1,67

1,9
8
25

38
160
500

4,3
75
600

0,9
10
7,6

43
245
1 108

7 214
40 915
1 850

17,1
1,71

8
25

160
500

75
600

10
7,6

245
1 108

4 190
1 894

1 132
1 132
63

1,9
8
25

38
160
500
4,3
75
600

1
10
7,6

43
245
1 108

48 902
277 340
69 779

25

288 650

43

7 214

11 546

167

1,9

38

4,3

- 23 -

0,9
LAMBERT Benjamin
LAYE Pierre
LEFEBVRE Charles

TP2

ESTP
Avril 2003
Groupe 15

Projet de PGC

167
1,67

8
25

160
500

75
600

10
7,6

245
1 108

40 915
1 850

171
17,1

8
25

160
500

75
600

10
7,6

245
1 108

41 895
18 940

1 132
1 132
63

1,9
8
25

38
160
500

4,3
75
600

1
10
7,6

43
245
1 108

48 902
277 340
69 779

25

288 650

43
245
1 108

48 902
277 340
69 779

11 546

1 132
1 132
63

1,9
8
25

38
160
500

4,3
75
600

1
10
7,6

Déboursé sec
Frais de chantier
Prix de vente travaux propres
Prix de vente total

- 24 -

3 221 045
386525,432
3 607 571
4244200,83

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