1 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
SOMMAIRE
Dédicace :…………………………………………………………………3
Remerciement :………………………………………………………..4
Introduction :…………………………………………………………..5
2 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
A nos chers parents
3 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
Nous dédions Le fruit de ce travail, À
tous nos encadrant, nos parents, nos
amis en témoignage de l’amour et de
l’affectation Qui nous lient.
Remerciement
Avant de commencer ce rapport ; Nous
tenons à remercier tous les responsables
de m’avoir accordé ce stage au service
électrique de la calcination à
YOUSSOUFIA
Spécialement Mr YOUS et Mr CHAKIR
et aussi Mr ZAIMI
Sans oublier nos chers formateurs Mr
BOUCHTA et Mr KHIAR
Au terme de ce travail ; je remercie
Chaleureusement tous les responsables
4 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
de l’atelier électrique et bureau de
méthodes
Introduction
5 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
Nous avons passé notre stage à l’office
chérifien des phosphates (O.C.P) au sein du
service mécanique de la calcination.
Nous avons choisi cette entreprise comme
lieu de stage, vu la place importante quelle
occupe dans l’économie marocaine et par
conséquent le rôle quelle joue sur le plan
social et industriel.
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2012 /2013
31.12.200 équivalents
2
Activité du Extraction et transformation du phosphate.
groupe
PDG M. TERRAB MOSTAPHA
Filiales CERPHOS.IPSE.MAROC
PHOSPHORE.SMESI. MARPHOCEAN.PHOSBO
UKRAA.SOTREG.STAR
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2012 /2013
o Situation des unités de traitement.
Les infrastructures :
8 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
La division de traitement dispose d’une infrastructure
industrielle composée principalement des installations suivantes :
Calcination
La Division Traitement Gantour est organisée en IDG/TR/E
Séchage
Manutention
Quatre services principaux :
Gestion Flux
Magasin et Stockage
IDG/TR/P
Sécurité
La gestion du personnel est assurée pa
Etudes
r le service « Personnel » MNG/PS/A rattaché
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2012 /2013
à la Division Extract MNG/TR/C
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2012 /2013
0
[Tapez le titre du document]
Gaz chauds
Entrée du ELECTROFILTRE
produit G301
B205 G102
G101
Mélangeur
R337
C402
Injection d’eau de
CALCINATEUR refroidissement
R337
PRECHAUFFEUR
R336
G106 G103 G104 G105
B.V.
B.V. calcinateur
préchauffeur Y101
M101
POST
PREREFROIDISSEUR REFRO.
C501
Air de fluidisation et
de refroidissement
Sorte produit
Générateur calciné
B B 202 Air de fluidisation et
des gaz chauds 201201 de refroidissement
RS
11 ÉLECTROMÉCANIQUE
2012 /2013
Chapitre 2 : idée générale sur usine de
calcination
L’usine de calcination
L’usine de calcination se devise principalement en trois
secteurs :
o Secteur 1 : stock mécanisé et circuit clair
o Secteur 2 : unités de calcination et circuit calciné
o Secteur 3 : circuit humide et stérile
Chaque secteur comprend des installations et des
équipements qui permettent l’alimentation, le stockage, le
déstockage et le traitement du phosphate
I. stock mécanisé
C’est une étape intermédiaire entre l’extraction et le
traitement, c’est pour quoi il est essentiel d’analyse.
Un espace de stockage et de déstockage, le stock mécanisé
a une capacité de 200.000 m3, cette grand capacité est
pour gérer le travail, car le stock est alimenter trois usine
différent sont :
o Usine de la calcination
o Usines du lavage
o Usines du séchage
Le stock mécanisé est constitué de trois roues-pelles, trois
staker et 16 convoyeurs
a. Stacker
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b. Roue-pelle
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Présentation
La calcination a pour but d’élimination des matières organiques
contenues dans le minerai et l’enrichissement du phosphate.
INTRODUCTION
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Préchauffage
C’est un procédé qui consiste à :
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le complément des calories est fourni par un générateur de gaz chauds relié à la
boite à vent du préchauffeur par l’intermédiaire d’une gaine. Par contre, en cas
d’excès (minerai à humidité faible ou moyenne <16% ou interruption
d’alimentation), une pulvérisation automatique d’eau est déclenchée par 4
vannes tout ou rien situées au niveau du freeboard et actionnées
successivement en fonction du degré de la température atteint : 120°C, 140°C,
160°C, 180°C.
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DÉPOUSSIÉRAGE PAR CYCLONES
Durant le séchage dans le préchauffeur R.336, les
gaz dans leur mouvement ascendant entraînent
avec eux une certaine fraction des particules du
minerai.
La fraction des plus fines poussières à faible teneur ayant échappée aux
cyclones est captée dans l'électro filtre G.301 et déchargé vers l'installation
de traitement des fines. Dans les classificateurs précités les particules les
plus grosses se sont séparées de celles les plus fines.
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CLASSIFICATION
Les classificateurs pneumatiques ont pour rôle de
séparer les particules les plus grosses des sous verse du
cyclone (généralement les plus riches) des plus fines.
Chaque classificateur est surmonté d’une goulotte
fluidisée par l’air d’un ventilateur dans le but d’assurer
une alimentation uniformément répartie du minerai
acheminé par gravité vers la base du classificateur sous forme d’un rideau
qui déborde de la goulotte.
Le rôle de l’électro filtre est de capter les poussières les plus fines en
provenance des cyclones.
LA CALCINATION
Alimentation du calcinateur
Le minerai séché et tamisé provenant du lit du préchauffeur ainsi que
les particules classées, sont transportées par un convoyeur à raclettes vers
l’élévateur à godets qui alimente le répartiteur.
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Principe de la calcination
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que les poussières qu’ils contiennent ne s’incrustent dans leur trajet vers le
préchauffeur. Ils passent ensuite par les cyclones qui recueillent leur
poussière et la déchargent dans le prérefroidisseur par l’intermédiaire de
goulottes.
REFROIDISSEMENT
But de refroidissement
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Refroidissement de 300 à 120°C par l’air piqueté de la soufflante
du refroidisseur n°1.
Prérefroidisseur
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Refroidisseur n°1
Refroidisseur n°2
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Caractéristiques sur les matérielles névralgiques
LA TABLE TOURNANTE
Étude de la table tournante C402
Le C.402 est une seule doseuse montée sur pesons dont la vitesse de
rotation varie en fonction de niveau dans la cheminée de cette sole. Et en
fonction du débit phosphate alimenté. Il se présente se forme d’un package
comporte un ensemble de b moteurs hydraulique HP.
But
Elle est fixée sur une bague intérieure de roulement, cette bague
contient une couronne dentée qui assure le mouvement de la rotation grâce
aux trois pignons d’attaque des trois moteurs hydrauliques monté sous la
table et espacés de 120°
Organes Caractéristiques
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Ø Extérieur: 264.6 mm
Largeur: 110 mm
Nombre de dents Z= 93
Ø Primitive : 1302 mm
Couronne de roulement
Largeur: 105mm
LA TABLE TOURNANT
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Après sa sortie du préchauffeur, le phosphate séché est criblé à 6 mm. Cette
opération est assurée par un crible vibrant constitué de trois grilles de séparation.
Amplitude de vibration : 0 à 4 mm
Fréquence de vibration : 25 Hz
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LE CONVOYEUR À RACLETTES C103
Il assure la manutention et l’alimentation de l’élévateur à godets
C501 en phosphate séché.
Largeur : 13.5 m
Puissance du moteur : 15 kW
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Les caractéristiques techniques de ces équipements sont les suivantes :
RÉPARTITEUR
Rôle
Description et caractéristiques
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marche l’élévateur C 501 est conditionné par l’existence d’un débit
minimum de fluidisation 1200 Nm3/h détecté par FSL 250, la fluidisation
typique qu’on noter au manomètre PI 236 et PI 237 en marche normale
le débit d’air de fluidisation est de 1500m3/h environ
L’ÉLECTRO FILTRE
Rôle
Une fois que les fines vont être évacué dans l’atmosphère ils
sont envoyés vers un système appelé électro filtre. L’électro filtre pour
but de capter les fines particules inférieures à 40 µ pour épurer les
gaz qui seront évacués vers L’atmosphère, la concentration des fines
dans les gaz ne doit pas être pas dépassée 5 g/m
Chapitre 3 : L’électrofiltre
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L’électrofiltre
1/ Principe de fonctionnement.
2 / Composants de l’électrofiltre.
3/Réglages internes.
6/ consignation d’équipement.
7/ Entretien de l’équipement.
8/ Incidents de fonctionnement.
1/Principe de fonctionnement
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I. Captation
Chaque champ est composé de cadres d’électrodes
émettrices raccordées à un générateur haute tension,
et de rangées de plaques de captation reliées au pôle
positif et à la terre.
Le gaz poussiéreux circule entre les plaques de
captation.
Dans le champ électrique crée. La charge des
particules, contenues dans le gaz est obtenue par
contact ou influence en présence des ions négatifs
générés par le courant d’électrons circulant à grande
vitesse entre les électrodes émettrices et les plaque.
Ce courant d’électrons est obtenu par une différence
de potentiel très élevée entre les électrodes et les
plaques.
Dans ce champ fortement ionisé, les particules de
poussières se chargent très rapidement (une fraction
de seconde) et se précipitent vers les plaques de
captation. Il existe également des particules polarisées
positivement qui vont se précipiter sur les électrodes
émettrices.
II. Nettoyage
1) Electrodes émettrices haute tension.
Pour chacun des champs, le moto-réducteur situé
sur la chambre haute tension entraine l’arbre
de frappage porteur de marteaux par l’intermédiaire
d’un renvoi d’angle.
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En tournant, les marteaux calés sur l’arbre et en
butée sur la chape se libèrent quand ils atteignent le
point haut de déséquilibre et viennent frapper chacun
leur tour, suite au décalage prévu, les enclumes
solidaires des cadres d’électrodes émettrices.
Le fonctionnement du moteur de frappage est
commandé de manière cyclique par une minuterie qui
est préalablement réglée en fonction des besoins.
2) Plaque de captation basse tension
Pour chacun des champs, le moto-réducteur situé
sur le côté du caisson de l’électrofiltre entraine
directement l’arbre porteur de marteaux.
En tournant, les marteaux calés sur l’arbre et en
butée sur la chape se libèrent quand ils atteignent le
point haut de déséquilibre et viennent frapper les
enclumes qui guident les plaques en partie basse.
Les poussières ainsi décrochées des électrodes et
des plaques tombent et sont récupérées dans les
trémies pour être ensuit évacuées par le système le
mieux approprié à leur nature et aux conditions
d’exploitation requises.
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Le variateur de tension permet le réglage de la tension
primaire et, de ce fait, la valeur de la haute tension
redressée.
La commande de ce variateur peut être obtenue
soit manuellement, par l’intermédiaire d’un
potentiomètre, soit automatiquement par
l’équipement de régulation qui analyse et corrige en
fonction de l’amorçage et de l’intensité absorbée.
En régulation automatique on n’a pas à intervenir
car l’équipement de régulation ajute
automatiquement la tension de fonctionnement à sa
valeur optimale.
Lorsqu’un claquage intervient (dépôt de poussières,
modification des conditions physiques des gaz ou
poussières, variation à la tension de réseau), il doit
être limité en intensité et en temps, afin d’éviter la
détérioration des électrodes émettrices d’une part, et
la mise en arrêt de l’installation d’autre part.
L’expérience a montré qu’en fonctionnement
normal, dans de bonnes conditions de stabilité, il se
produit dans l’appareil des claquages furtifs s’teignant
d’eux-mêmes et n’ayant aucune incidence sur la tenue
du matériel.
Par contre un amorçage prolongé au-delà d’un certain
seuil doit être immédiatement maitrisé en abaissant
rapidement la valeur de la haute tension appliquée à
l’appareil.
Chaque claquage dans le filtre fournit une
impulsion à un intégrateur transistorisé et les
impulsions sont comptées.
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Selon que le nombre ou leur amplitude est supérieur
ou inférieur aux valeurs affichées, un circuit actif met
en service l’élément de réglage qui fait varier l’angle de
conduction des thyristors, provoquant alors la
diminution ou l’augmentation de la tension .La
variation s’effectue d’une manière progressive
proportionnelle aux phénomènes détectés et analysés.
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2/ Composants de l’electrofiltre
1-Tubes de suspension.
2-Plaque de captation.
3-Les grilles.
4-Fer plat en U de guidage.
5-Les cadres.
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Les frappes/ Marteau Les enclumes
(motoréducteur)
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Palier de guidage Accouplement
a doigt arbre d’entrainement
cheminée
3/ Réglages
internes
pour permettre de pallier des incidents mineurs,
amenant à remplacer certaines pièces , nous attirons
l’attention sur les points suivants :
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Par comparaison à la face avant et arrière des plaques
de précipitation, les cadres les cadres d’électrodes
émettrices doivent être en retrait de 30 mm par rapport à
l’axe du tube.
réglage longitudinal des traverses de frappage
Le réglage de la position des traverses de frappage,
dans le sens horizontal, sera effectué par le déplacement
avant ou arrière des tiges de guidage en rond 10 des
peignes de guidage.
Le réglage transversal sera effectué par le déplacement à
droite ou à gauche des mêmes types de guidage.
ATTENTION ;
Les cotes réglage et de positionnement sont précisées sur
les plans de sous-ensemble .elles doivent être respectées
avec une tolérance de (- +) 5 mm
Isolateurs
Veillez à ce que les isolateurs portent parfaitement sur
toute l’étendue de la couronne d’appui inférieure, et de
même pour la platine supérieure de celui-ci.
Ne jamais monter : d’isolateur sans interposition des
joints de protection évitant que l’isolateur soit en contact
avec une pièce métallique.
Remplacement d’un isolateur tronconique
Après consignation de l’appareil et ventilation de celui-
ci :
- Ouvrir la chambre haute tension défectueuse.
- Enlever le système d’obturation,
Caler l’ossature haute tension en mettant en place dans la
chambre haute tension correspondante le crochet support.
- Resserre les écrous de réglages pour soulager l’isolateur.
- Enlever la platine de l’isolateur (en deux parti).
- Enlever l’isolateur, conserver soigneusement le joint ou le
remplacer.
- Nettoyer l’emplacement des joints.
- Poser des nouveaux joints si nécessaire.
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- Poser l’isolateur neuf en respectant le centrage et les
consignes du paragraphe (isolateurs).
- Remettre la platine de l’isolateur (en deux parties).
- Desserrer les écrous du crochet support et enlever le
crochet support.
- Remettre en place le système d’obturation.
REMARQUES
Pour les isolateurs situés dans les chambres
réalisant le frappage des cadres d’électrodes
émettrices. il est nécessaire en supplément des
opérations précédentes de réaliser le
désaccouplement de la tringlerie de commande de
frappage (accès par porte de visite).
Desserrer la bague de butée et repusse l’arbre vers
l’accouplement intérieur du filtre.
Procéder ensuite à l’ouverture de la chambre et au
remplacement de l’isolateurs comme décrit ci-avant.
Pour le remontage exécuter les opérations inverses
et remonter l’arbre 38.
Resserrer la bague de butée en réalisant un jeu de
20 mm entre les deux plateaux de l’accouplement.
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Vérifier que :
o L’étanchéité des soudures est effective.
o Les rouleaux de dilatation (s’il en existe entre caisse
et charpente) sont libres pour un bon
fonctionnement.
o Les « U » de la grille de répartition sont
correctement espacés et propres (ou la bonne
propreté des tôles perforées lorsqu’elles existent).
o Les crochets support des cadres haute tension ont
bien été démontés et les systèmes d’obturation des
trous bien en place.
Circuit haute tension (ht) :
Vérifier que :
Vérifier que :
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o La dilatation peut s’effectuer sur les traverses de
frappage des plaques.
o La ligne d’arbre est correcte.
o Les paliers et marteaux sont correctement bloqués et
freinés.
o Le calage des marteaux a bien été exécuté et que la
position du marteau est normale suivant le décalage
avec la chape pour éviter qu’il coince.
o Le moto-réducteur est lubrifié conformément aux
consignes du constructeur.
o Les boulons de fixation des enclumes sur les
traverses de frappage sont bien bloqués et freinés.
o Le presse-étoupe est suffisamment serré sans pour
cela bloquer l’arbre.
Alimentation :
Contrôle que :
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Les consignes indiquées ci-dessous sont valables
pour l’ensemble des champs d’un même électrofiltre
(voir le schéma de commande logique et le schéma
de principe des alimentations « haute tension » et
des sécurités).
Mise en service (heure H)
H moins 36 heures =
- Fermeture des portes de l’électrofiltre
- Mise sous tension réchauffage trémie s’il y a
lieu
- Contrôle : intensité absorbée par réchauffage
trémie
H moins 3 heure =
- Mise sous tension : ventilation isolateurs
- Mise sous tension : réchauffage isolateurs
H moins 1 heure :
- Ronde sur l’installation
- Verrouillage des serrures des portes
- Fermeture des sectionneurs « haute tension »
- Verrouillage des sectionneurs « haute tension » en
position fermée.
H moins 0,5 heure =
- Sélection « marche automatique »
- Mise en service de la chaine évacuation des
poussières et des frappage, réglage des minuteries
de frappage
- Déverrouillage des sectionneurs des alimentations
du primaire des groupes HT dans l’armoire
électrique
- Fermeture de ces sectionneurs
Heure = mise en service des groupes « haute
tension »
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Contrôles : Tension primaire groupes haute tension.
Intensité primaire groupes haute
tension.
Intensité secondaire groupes haute tension.
ARRET (heure H)
Heure :
- Arrêt des groupes « haute tension »
- Arrêt réchauffage et ventilation des isolateurs.
H plus 2 heurs=
- Arrêt des frappages et de l’évacuation des poussières
- Arrêt réchauffage trémie
Pour l’arrêt de courte durée (24 h)
On laissera le réchauffage des isolateurs (qui est
d’ailleurs régulé) ainsi que le réchauffage de la
trémie, lorsqu’il existe, en service.
Pour un arrêt plus long avec une visite interne,
arrêter le réchauffage des isolateurs et le
réchauffage trémie.
Isoler l’électrofiltre si cela est possible du circuit de
fumées.
Mettre à la terre les groupes haute tension suivant
consignes indiquées.
Ouvrir toutes les portes de visite pour améliorer la
ventilation
REMARQUE :
En cas d’arrêt de l’ensemble de l’installation, laisser
le ventilateur de tirage en service un certain temps
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pour améliorer la vitesse de refroidissement de
notre appareil.
Celui-ci représente une capacité calorifique
importante avec le « tonnage élevé de l’Equipment
interne ».
Consignation des résultats :
6/ Consignation de l’appareil :
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Ouverture des sectionneurs « basse tension » (dans
l’armoire air industrie)
Alimentant chacun des groupes haute tension.
Verrouillage en position ouverture de ces
sectionneurs et libération des clés des serrures de
sécurité. enlever les fusibles qui sont à conserver par
l’électricien responsable jusqu’à la remise en état.
Déverrouillage des sectionneurs haute tension en
toiture de l’électrofiltre à l’aide des clés précédentes.
Ouverture de la porte .ou des portes, permettant
d’effectuer à la mise à terre des champs par spéciale.
7/ Entretien :
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- Moteur du ventilateur de mise en pression des
isolateurs
-
Matériel mécanique :
- Réducteurs frappage électrodes émettrices
- Réducteurs frappage plaques
- Réducteur frappage grille de répartition
- Réducteurs des organes d’évacuation poussières
- Chaîne cinématique frappage électrodes émettrices.
Clavetage pignons et accouplement de frappage et
des appareils d’évacuation poussières.
- Palier arbres de frappage électrodes.
- Palier arbres de frappage plaques.
- Palier arbres de frappage grille.
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Chaînes intérieure du racleur :
REMARQUE IMPORTANTE :
Vérifier que les brins de retour de chaîne (brins
supérieurs) ne viennent en contact avec les brins
inférieurs. En cas de « mou »excessif remplacer sur
les deux chaînes en parallèle concernées un
ensemble de deux maillons par le maillon spécial
« coudé » mis à votre disposition à la mise en route.
8/ Incidents de fonctionnement :
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Il y a donc lieu de noter régulièrement les valeurs
suivantes :
Intensité débitée dans chaque champ- mA
courant continu.
o valeur donnant le reflet de stabilité et d’émission.
Intensité absorbée par chaque groupe –
ampère courant alternatif.
o valeur qui reflète la « charge » du redresseur.
Tension aux bornes d’alimentation de
chaque groupe –volts courant alternatif.
Tension aux bornes du secondaire de chaque
groupe –kilovolts courant continu.
o Valeur correspondant à une image de la tension
appliquée dans l’appareil.
Alimentation de 2 champs par 1 seul groupe
en cas de panne d’un groupe haute tension
(option).
Dans la cas ou l’un des groupes « haute tension »
serait en panne, il y a possibilité d’effectuer
l’alimentation « haute tension » des deux champs à
partir d’un seul groupe transformateur-réducteur.
Afin de réaliser ceci, procéder de la façon suivante :
- Arrêt des groupes « haute tension ».
- Ouverture des sectionneurs « basse tension ».
(Dans l’armoire air industrie) alimentant chacun
des groupes transformateur-redresseur.
- Verrouillage en position ouverte de ces sectionneurs
et libération des clés serrures de sécurité (2 clés
repères X et Y)
- Déverrouillage à l’aide de ces clés du sectionneur
« haute tension du champ dont le générateur
« haute tension » est en panne.
- Positionnement du couteau de ce sectionneur sur le
plot alimenté par le groupe « haute tension » en
état de marche par rotation de 180°C.
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- Verrouillage du sectionneur dans cette nouvelle
position et libération des clés correspondantes (1 clé
repère X, 1 clé repère Y ).
- Déverrouillage des serrures bloquant les
sectionneurs « basse tension » (dans l’armoire air
industrie) en position ouvert.
- Fermeture des sectionneurs « basse tension ».
- Mise sous tension du groupes « haute tension «en
fonctionnement ».
- Contrôle sur les appareils :
Tensions au primaire et au secondaire
Intensités au primaire et au secondaire
Circuit haute tension :
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de répartition, ce qui donne des survitesses locales
provoquant parfois des vibrations d’électrodes
pouvant conduire à l’amorçage
Frappage stoppé
Cause :
Blocage de l’arbre signalé par le limiteur de couple
Moteur défectueux
Réducteur non lubrifié : joints détériorés
Câble électrique débranché
Chaîne d’isolateurs dans chambre de frappage
amorcée, condensation à l’arrêt ou manque de débit
d’air chaud
Un des éléments mécanique de la commande
desserré.
Cause :
Rejet a l’atmosphère :
(Visible au refoulement de la cheminée)
Causes :
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Porte de visite mal fermée (Pratiquement impossible dans
une exploitation rationnelle)
Mauvais conditionnement des fumées (provoque des seuils
D’amorçages inférieurs. Point de rosée trop faible)
ATTENTION
Il y a danger de mort à vouloir vérifier un champ au
changer un isolateur lorsque le second champ est en
service.
Le premier accumule toujours des charges
électriques par effet Capacitif.
Il y a lieu expressément de consigner tous les
générateurs et de Mettre à la terre ceux-ci ainsi
que les différents champs de l’ appareil
Chapitre 4 : travaux
effectués
I. Chengement d’un préssosta
PAGE 40
II. Chengement d’un arrét d’urgence
PAGE 41
Au
Conclusion
cours de
PAGE 42
formation à L’ECOLE PRATIQUE DES MINES DE
TOUISSIT .
PAGE 43