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Courants Linguistiques

Définir Linguistique ?
La linguistique est la discipline s’intéressant à l’étude du langage au niveau de l’écrit, oral, les aspects
syntaxiques et grammaticaux. Elle est une science humaine basée sur : l’observation, l’expérience et
le résultat; ce résultat n’est pas exact, n’est pas figé mais évolutif. Elle se distingue de la grammaire,
dans la mesure où elle n'est pas prescriptive(ne donne pas des normes) mais descriptive (elle décrit
l’état de l’homme)

Les écoles leurs principes et démarches ?


La langue de 18e siecle et de 19e siecle ?
Au 18eme siècle : séparation des pouvoirs et d’églises = liberté d’esprit, linguistique est une séance
Au 19eme siècle : un système colonial, découverte de plusieurs civilisations et continents
Comparaisons entre les écoles linguistiques ?
Quand la linguistique est apparait ?
La linguistique est apparait avant Platon, avec l’apparition de l’écriture avec les phéniciens à cause de
la diversité et selon le besoin de la communication surtout dans le domaine de la commerce.
1ere écriture était un découpage par des unité sonore (transcription phonétique) chaque son
correspond à un symbole (écriture symbolique) développée par la suite par les grec qui ont ajouté les
voyelles
Définition de la linguistique :
Introduction :
« la linguistique est un savoir très ancien( un acquis, un apprentissage : lire et écrire depuis
l’antiquité), mais c’est une science très jeune ( théorie basée sur l’observation, l’expérience et
resultat) ».
Selon le point de vue ou se place la linguistique est née vers le 5eme siècle avant jésus ou 19 eme siècle
avec grand comparatif, ou en 1916 avec Ferdinand de Saussure. Les réflexions sur les langues ne
sont pas récentes, depuis l’antiquité elles ont en effet suscité l’invention des écritures et plusieurs
analyses des structures des langues : les hindous, les phéniciens, les grec et les arabes ont jeté les
premières bases d’une analyse linguistique, toutefois la linguistique autant que science autonome ne
s’est constitués qu’au cours du 19 eme siècle.
Le Moyen Age :
Le moyen âge a connu de grandes réformes de l’orthographe activés par l’invention de l’imprimerie.
Ceci va stimuler jusqu’au 16 eme siècle l’étude de la phonétique (pas de blanc, et création de la
ponctuation). C’est l’âge grâce auquel et grâce au contacte avec d’autres langues.
C’est l’âge des premières comparaisons entre les langues, et la formation des premières
classifications des langues .En s’appuyant essentiellement sur une approche historique.
L’historisme est une théorie idéologique explicative qui tente d’analyser et d’expliquer tout les
phénomènes linguistiques mais aussi politiques sociologiques psychologique …Par référence à
l’histoire. Etudier une langue c’est se référer obligatoirement à l’histoire, c’est tenter de trouver sa
forme primitif (étymologie)
On veut lorsqu’on étudie le français se référer en latin, on décrivait le français selon les structures du
latin, or le latin est une langue casuelle : « une langue a cas elle a la particularité de voir la fin des
mots changés selon leurs fonctions ».Alors que le français est une langue à réaction « c'est-à-dire
c’est l’ordre syntaxique des mots qui est important et qui indique la fonction des mots. » (la langue
Française n’est pas une langue à cas)
Les années qui ont suivit la renaissance ont servit à collecter des données pour la linguistique
comparative tel que : Dictionnaires, texte, etc.…
La linguistique du 18 eme et du 19 eme siècle :
L’approche historique a dominé jusqu'à le sanscrit (d’origine indien) par le contacte de l’Europe et
de l’inde, la réflexion sur les langues entre dans l’âge de l’approche comparée.
A la suite du courant philologique qui étudie les textes écrits à des fins de descriptions historique le
langage devient un objet d’observation pour lui-même.

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Chez les grammairiens comparatistes au 19 eme siècle les grammairiens ont essayés d’expliquer les
langues en rétablissant des comparaisons entre les langues.
Louis Ferdinand de Saussure lui-même initie a cette démarche (comparative) va se révolter contre la
conception historique des faits linguistiques, dans son ouvrage « cours de la linguistique général » il
va souligner l’aspect structural de la langue. La langue selon lui est un système dont le signe
linguistique est l’élément fondamental.

I. De Saussure et le structuralisme :
Louis Ferdinand de Saussure de sa jeunesse à l’école des néogrammairiens (grammaire
comparatiste) a fait ses premiers recherches linguistiques sur l’indo européen il a essayé de trouver
le système phonétique de l’indo-européen dans sa mémoire intitulé « mémoire sur le système
vocalique en indo européen » sur le système vocalique en indo européen.

Saussure a utilisé un raisonnement structural a propos d’une étude historique cet ouvrage constitue
le lien entre l’ancien théorie grammaticale historiciste et le nouveau raisonnement structural

Le raisonnement structural a été développé dans l’ouvrage « cours de linguistique générale » la base
de linguistique moderne dans laquelle Saussure va se révolter contre la conception historique des
faits linguistiques et souligner l’aspect structural de la langue Saussure a conçu plusieurs concepts
grâce auquel le structuralisme va naitre

1. La notion de signe linguistique :


Le signe linguistique selon Saussure est une entité double qui annonce un signifiant ( face acoustique
) et un signifié ( face conceptuelle )

L’association entre le signifiant et signifié est arbitraire c a d : que le signifiant n’a aucune attache
réelle de la réalité par rapport au signifié, mais conventionnelle

Le signifiant est imposé par la communauté linguistique il ne dépend pas de libre choix des individus
pour cela qu’il est conventionnelle

La langue selon Saussure est un système de signes linguistiques qui entretiennent entre eux des
relations d’opposition et de complémentarité sur deux axes :

L’axe paradigmatique : (l’opposition, les neufs parties de discours)

L’axe syntagmatique : (complémentarité)

La langue est découpée en unité segmentale, discret car le quantiniume est linéaire

(grammaire= gramma= lettre)

2. La notion de la linéarité de signifiant : (orale)


C’est la deuxième loi dégagée par Saussure le signifiant linguistique contrairement aux autre
signifiant se démoule dans une dimension spatio-temporel il se présente tout à l’oral qu’à l’écrit par
un choix d’éléments successifs, à l’oral il s’agit de la succession des sons et à l’écrit il s’agit de la
succession des lettres cette mot fondamentale de linéarité débauche sur la notion fondamentale
d’articulation : la 1 et la 2eme articulation (grammaire lexique)

3. La langue et la parole :
Saussure fait la dichotomie (opposition binaire) entre la langue et la parole :

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La langue est un fait social conventionnel, abstrait, collectif alors que la parole est un fait réel
concret individuel et accidentel (dépend de la situation) grâce à cette dichotomie plusieurs branches
de linguistique vont naitre :

4. Etudes diachronique/synchronique de Saussure :


Saussure introduit une dichotomie fondamentale entre des faits linguistiques, le linguiste selon le cas
peut opter pour une étude diachronique de la langue en s’intéressant de son évolution dans le temps
il va étudier les facteurs extérieurs et intérieurs qui provoquent cette évolution (les guerres la
diversité des cultures, (s= ^- hôpital= hospital)

Ces linguistes choisiront d’étudier l’aspect synchronique de la langue c a d : ils s’intéresseront à un


état stable de la langue par exemple : étudier le français contemporain

5. La valeur de signe linguistique :


Langue= système=loi clôt et indépendant

Selon Saussure la langue constitue un élément indépendant et clôt (on n’est pas besoin de l’histoire
de religion de l’histoire de l’idiologie, la sociologie, pour expliquer c’est quoi la langue il suffit à lui-
même) elle est constituée de signe chaque signe à une valeur à l’intérieur de système

II. COMMANTAIRE D’UN TEXTE LINGUISTIQUE


 Introduction :
Préciser la thématique
Plan + questions
 Développement :
Dégager les idées principales
Il faut se documenter
 Conclusion :
 Donner une synthèse :

Texte de Saussure fait à classe


Le passage nous présente une évolution dans la réflexion linguistique dans deux époques différentes
depuis l’antiquité jusqu'à Saussure on va expliquer deux parties d’une part une relative d’étude
avant Saussure et d’autre part une relative avec Saussure distinguent les transformations qui sont
ajoutés à la démarche linguistique et précise les caractéristiques de chaque époques

1ere partie : avant Saussure

La recherche linguistique avant Saussure était fondé seulement sur des théories imposés de façons
aléatoire sans aucune démarche analytique et scientifique on rend compte seulement de la langue
écrite cette étude s’est limité sur la segmentation des unités grammaticales et s’est focalisée sur les
parties de discours d’une manière plus ou moins globale, il s’est attaché à la comparaison avec les
autres langues

la grammaire c’est le travail sur la lettre ( gammaire= gramma = lettre) ; n’est pas récente

Le travail sur la notion de la structure n’est pas récent depuis l’antiquité la linguistique c’est un savoir
ancien et c’est une science moderne même de manière inexacte et aléatoire pas scientifique. En se
fondant sur la langue écrite,

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Les études sont focalisées beaucoup plus sur l’écrit que sur l’oral parce qu’on considéré que l’oral
est profane et l’écrit c’est un tri c’est pourquoi les études ont été plus grammaticales que
linguistiques, on a réussi à segmenter à des unités les distinguer des autres unités en catégorie
ordonnés ( les neufs parties de discours) d’où l’apparition de la grammaire comparative qui n’est pas
consacrée étudier la langue pour la langue elle-même mais aussi à établir des correspondances et les
rapports entre les langues et les comparer elle n’est pas un fondée sur une analyse scientifique mais
juste des pré jugements

(Lien de transition entre la 1 ère partie et la 2eme partie)

Les recherches linguistiques étaient plutôt focalisées sur l’écrit et on est essayé de travailler des
discours pour trouver l’origine de langue et les familles de langue et les rattacher plusieurs langue et
ce qui nous intéresse c’est comparer les langues et trouver les liens communs

Ce changement a provoqué une révolution Saussurielle qui est commencée à l’apparition des
structuralismes chez les sociologues les destruces Saussure était le charnière entre l’ancienne école
comparative et l’école de la linguistique moderne

2eme partie : avec Saussure : elle parle de rôle de Saussure

L’idée d’introduire les catégories (noms, verbes…) l’axe paradigmatique/syntagmatique existe déjà
avant on a étudié les structures uniquement pour la comparaison, la structure à l’intérieur de la
langue la langue rien que la langue, la langue c’est une mono clôture : un système clôt qui justifie à
lui-même qui n’est pas besoin d’évoquer l’histoire, la politique, l’idiologie pour décrire une langue.

Le structuralisme chez Saussure, c’est une doctrine, un mouvement, concept qui dit que la langue est
un système formé de plusieurs signes (linéarité) et chaque signes entretiennent des relations
d’équivalence par l’établissement des paradigmes, ou d’oppositions pour établir des classes
différentes : un mot et en équivalence avec les mots qui entrent avec lui dans le même paradigme
mais en opposition avec les mots qui constituent avec lui des syntagmes ce qui va nous pousser à
parler de phonème qui n’a de valeur que par sa relation d’équivalence ou d’opposition avec les
autres phonèmes.

Cette étude est en évolution de la langue et par la langue elle-même n’est pas coppée carrément à
l’histoire et propose une nouvelle démarche sans faire appel à la religion, politique, etc mais
uniquement à travers la langue elle-même puisque f De Saussure nous a parlés de la dichotomie
diachronie synchronie

En linguistique on ne travaille plus que sur l’écrit mais aussi sur l’oral

Les concepts de bases, ce qu’il a introduit – équivalence des positions, signe linguistique,

Conclusion :

Les langues avec Saussure a connu une révolution évolutive qui n’est pas Coppée avec l’histoire grâce
à lui plusieurs écoles vont naitre elle a connu une nouvelle vision dans l’analyse linguistique grâce à
des concepts produits et critiqués et développés par la suite par la linguistique moderne

III. Cercle linguistique de Prague (fonction- système)


Fondé en 1926 sur l'initiative de Vilém Mathesius, le cercle de Prague est dominé à ses débuts par
deux linguistes russes, N. Troubetskoï et R. Jakobson. La conception du langage qui est à la base de
leurs travaux met l'accent sur la notion de fonction (fonction du langage comme système de
communication, fonction des divers éléments à l'intérieur du système). Les Travaux du cercle
linguistique de Prague (8 volumes publiés entre 1929 et 1939) ont été surtout importants dans le

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domaine de la phonologie. L'influence du cercle de Prague a été considérable sur la linguistique
européenne, en particulier française (É. Benveniste, A. Martinet).

Cercle linguistique de Prague : commencé à 1926 - 1939 après les travaux de Saussure, (grand
héritier de Saussure) ils ont développé ses concepts et ses idées : Notion de système et notion de
fonction, valeurs

Une vingtaine année après ‘’ cours de linguistique général’’ de Saussure un groupe de linguistes de
l’Europe orientale se réunit dans la ville de Prague leur but était de réfléchir sur la tradition
grammaticale qui régnait à cette époque en Europe et donc Saussure se voulait le précurseur vers
les années 1900- 1913 en effet en octobre 1926 à lieu à l’université Charles de Prague une
conférence sur les uniformisations syntaxiques dans les langues occidentales le thème de cette
conférence présentée par l’allemand Becker était d’analyser les relations étroites et les
ressemblances qui pouvaient exister entre des langues qui n’ont entre elles aucun rapport historique
ni étymologique

Cad : selon les historicismes, on compare les langes par rapport aux histoire si elles ont le meme
origine il suffit d’analyser une langue pour dire que toutes les langues fonctionne de la même
manière Saussure a révolté contre cette démarche il a proposé d’étudier la langue pour la langue
elle-même sans se référer à l’histoire ni à l’étymologie Becker va démonter que les langues qui
n’avaient rien en commun ( pas d’histoire pas d’étymologie ) pouvaient avoir le même
fonctionnement le même système et les même structures syntaxiques ainsi on peut expliquer les
phénomènes linguistiques sans recourir au histoire on étudier les langues pour leur système et non
pas pour leur histoire

La conférence de Becker voulait étudier les ressemblances syntaxiques qui existent dans certaines
langues européenne sans se référer aux facteurs historiques à cette époque le public universitaire
était formé à l'école des néo néogrammairien de Leipzig (université de philologie en allemand) qui a
vu le jour au 19eme siècle, l’analyse de fait linguistique selon cette école reposait essentiellement sur
une interprétation diachronique et étymologique de la langue. L’apport fondamental de la
conférence censure (rejette) de remonter à l’histoire pour expliquer les faits linguistiques) cette
vision de fait linguistique il était pour l’époque 1926 révolutionnaire et très osée de prétendre que
l’on pouvait expliquer un fait syntaxique ou lexicologique sans se référer à son origine.

Becker proposait d’analyser le fonctionnement syntaxique de différente langue qui n’avait aucun
rapport historique selon un critère purement fonctionnel.

Certaine langue par exemple qui n’avaient aucun rapport étymologique pouvaient avoir certaines
ressemblances de fonctionnement syntaxique.

La conférence de Becker sera le point de départ d’une série de réunions mensuelle qui vont soutenir
l’école Prague.

Les principaux linguistes qui étaient à la tête de CLP : Jakobson, et surtout Troubetskoï

Jakobson avant d’arriver à Prague avait animé le cercle linguistique de Moscou en 1915

Après la révolution bolchevique il s’était réfugié à Prague où il a pu poursuivre ses travaux


linguistiques de son côté Troubetskoï appartenait à l’université de Moscou

A la fin de 1926 il écrit à Jakobson la lettre suivante :

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La lettre
‘’ nous devons ensemble tenter de combler le fossé contre nature qui existe malheureusement entre
l’analyse synchronique des faits de langages et la phonétique historique en considérant chaque
changement phonétique d’un mot du point de vue de système ’’ fin de lettre

Cad : pour les néogrammairiens tout changement dans la langue est dû à l’histoire et à l’étymologie,
ce qui amène à Saussure et après l’école de Prague à se révolter contre cette démarche historique

Troubetskoï demande à Jakobson de travailler ensemble et raccorder La phonétique historique qui


explique les sons à travers l’histoire à l’analyse synchronique et prendre en considération le système
globale comme il le préconise Saussure : étudier la langue pour la langue et pas la langue à l’histoire
ou à travers l’étymologie cela ne veut pas dire abolir la diachronie mais raccorder les deux la
diachronie et la synchronie car la diachronie est une succession des états synchroniques pour
expliquer les phénomènes linguistiques d’une langue plus de ça le souci de l’école de Prage est n’est
pas de faire que des études synchronique mais expliquer des phénomènes diachronique à partir de
système : le principe fondamentale de la langue : expliquer l’évolution de la langue pas en rapport
avec l’histoire mais en rapport avec le système globale de la langue ( il suffit qu’un élément change
de système tout le système va changer : la diachronie à l’intérieur de la synchronie )

Le but premier de chercheurs CLP était de raccorder les points de vues synchroniques et
diachroniques ainsi c’est dans une optique d’explication diachronique que le CLP a commencé ses
recherches il s’agit d’expliquer les raisons logiques qui font que tel mot ou tel catégorie grammaticale
a évolué, notons bien que le point de départ de CLP n’est comme on le dit très souvent, une volonté
d’étudier les phénomènes linguistiques en synchronie mais en contraire le CLP recherche d’abord
une explication de l’évolution diachronique logique et rationnelle

De 1928 – 1939 : le CLP va étudier à Prague une série de travaux publiés en huit volume rédigé en
français, allemand parfois en anglais.

L’arrivé de 2eme guerre, la mort de Troubetskoï, la fuite de Jakobson à Danémarque marquent la fin
d’activité intellectuelle de cercle.

Le CLP a publié également au début de son existence un manifeste dans lequel il résume les principes
théoriques sur lesquels que repose sa conception de la langue.

Le CLP ne s’est pas limité à étudier l’aspect oral de langage mais il a voulu donner une vision générale
de la langue (fonction des phonème dans langage)

Ce manifeste est connu sous le titre ‘’ thèse de CLP’’, les principes idéologie que qui explique la
démarche linguistique de CLP ces thèses résument la pensée collective de groupe, ils sont le
programme linguistique auquel on devait adhérer et dont on devait reconnaitre la validité pour
devenir membre actif de CLP.

Sur ces neuf thèses les trois premières concernent les problèmes de linguistiques générale, les six
dernières thèses concernent les langues slaves

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1. La première thèse :

a) Problèmes de méthode
Découlant de la conception de la langue comme système et importance de conception pour
toutes les langues humaines.

Cad : pour le CLP la langue est un système (héritage de Saussure)

- La langue pour CLP est un système fonctionnel mené (doué) de caractère de finalité
- Les moyens utilisés pour une langue ne sont toujours en vue d’une fin ou d’un but

Cad : quelque soit les éléments utilisés par une langue ont une fonction pour atteindre un but

Citation :

 ‘’la langue est un système de moyens d’expression approprié à un but ‘’ (Fonctionnalisme


et thérapeutique dossier de recherche )

Cad : la langue nous offre des moyens pour plusieurs fonction : s’exprimer ( émotion, pensée
poème ) communiquer ( j’attends une réponse feedback ton verbal ou actionnel ) informer (
j’attend pas une réaction)

 ‘’ on ne peut comprendre aucun fait de langue sans avoir référence au système générale
auquel se fait de langue appartient ‘’

Cad : la notion duel en français : singulier/pluriel en arabe on a trois, en engluais on a deux et pas de
différence entre : tu et vous : ce fait linguistique n’appartient pas au système donc il n’a pas de sens
Chaque élément de la langue n’a du valeur qu’à l’intérieur de système

Le travail linguiste est donc de rendre compte de l’état de langue actuelle (synchronie) qui offre
des matériaux complets sur lequel il va travailler et dont chaque locuteur a le sentiment direct.

Cad : le rôle de linguiste travailler sur des états stables pas en évolution concrètes
compréhensible par le locuteur par son intuition que c’est correcte ne pas travailler sur des
langues artificielles

Le CLP considère la langue comme un système uni et ordonné d’éléments répondant à un but et
une fonction

b) Rapport diachronie synchronie envisagé par le CLP :


Il concerne les changements historiques subis par les langues au cours de leur évolution :
Citations :
«Les changements évolutifs historiques d’une langue ne sont pas des atteintes destructifs s’opérant
au hasard indépendamment les uns aux autres ».

Le système linguistique d’une langue est entrainé dans un processus de remaniement perpétuel pour
maintenir la fonctionnalité de la langue.

Un élément déterminé dans un ensemble linguistique n’évolue pas au hasard. Le linguiste peut
écarter la notion de l’évolution dans son étude, mais il y aura toujours dans l’étude synchronique
d’une langue la référence à des faits diachroniques. Cependant, Ce qui intéresse le linguiste c’est le
but d’un changement et non pas sa cause.
c) Les familles de langues :

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Les méthodes utilisées jusqu’alors par les grammairiens pour étudier les langues se situaient dans
une perceptive génétique (l’origine).Le but était de chercher le patrimoine commun à toutes les
langues.
Le CLP à la suite de Saussure fait apparaitre les lois de structure qui organisent un système
linguistique. On ne cherche plus une famille ancestrale (ancienne, origine) mais on établit une
typologie de toutes les langues, les langues vont être classées par types et non par familles
historiques. La typologie des langues va se faire en deux parties, on distingue les langues à parenté
d’origine c.à.d. les langues qui ont le même ancêtre comme l’italien, Romain, Espagnole et les langue
à parenté acquise ou d’affinité (intercompréhension) comme au niveau syntaxique le Français et
l’Anglais.
Liste des familles :
1- La famille des langues indo-européennes :
Dans cette famille il y a le sanskrit, le latin, le persan, le saxon.
2- La famille des langues sémitiques et arméniennes :
L’arabe, l’amazigh, l’hébreu.
3- La famille des langues finno-ougriennes :
Le finnois, le turc, Le coréen
4- la famille des langues amérindiennes :
sont les langues indigènes d'Amérique, parlées par les différents peuples amérindiens depuis
l'Alaska et le Groenland jusqu'à laTerre de Feu. Les linguistes qui en sont spécialistes sont appelés
américanistes.

Résumé de la première thèse :

Il y a trois idées : conception générale de la langue chez CLP


a) La langue a un but, une fonction et une structure
b) On ne peut pas faire la synchronie sans diachronie et la diachronie c’est un changement
naturel de la langue et n’a pas des conséquences néfastes et négatifs sur la langue
c) On classe les langues à partir de leurs système linguistique et leurs structure et ne pas à leurs
histoire ou leur origine

2. Deuxième thèse :
C’est la langue considérée sous son aspect phonique
le CLP fait une distinction fondamentale entre le son comme un fait physique (matière) mesurable et
le son comme élément minimale du système fonctionnel par lequel et grâce auquel nous pouvons
communiquer. Le CLP dans cette thèse va étudier les langues sous leur aspect oral. L’intérêt du CLP
va être porté sur une science nouvelle appelée phonologie.
La nouveauté du CLP est d’avoir invitée les linguistes à étudier l’aspect oral de la langue dans un
esprit, dans une optique de système et que les sons ont aussi un système.
Cette seconde thèse est fondamentale dans les acquisitions nouvelles que le CLP a apporté à la
linguistique du 20 siècle. Le CLP établit une distinction nécessaire entre le son et le phonème.
Selon le CLP, le locuteur vise en parlant l’image acoustique (référence) qu’il a auparavant entendu
chez d’autres locuteurs .on ne peut parler sans se référer à ce que les autres disent et à ce que nous
entendons
Ainsi, il y a importance des phénomènes acoustique-moteur (rapport avec le mental) dans l’analyse
linguistique, Cependant ces phénomènes ne sont pas le but d’un linguiste car ce qui l’intéresse c’est
la fonction distinctive des sons.
Le CLP étudie la phonologie synchronique d’une langue :
1- En dressant le répertoire de tous les phonèmes (par le biais des pairs minimaux phonèmes ou
variante).

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2- En étudiant les groupements ou en combinant des phonèmes ( voir comment les phonèmes sont
disposés les uns par rapport aux autres).
3- En examinant la fréquence respective des phonèmes et leur charge fonctionnelle.

3. Troisième thèse :
Les différents modes d’une réalisation d’une langue :
Dans cette thèse, le problème étudie est de savoir sous quel aspect la langue se manifeste (devient
concrète).
Il y a trois manifestations possibles :
1- L’oral.
2- L’écrit.
3- Le rituel (geste)
Le CLP cherche les différentes fonctions que la langue peut procéder autrement dit sa variété
d’emploi.
Pour le CLP la langue possède deux fonctions :
1. La fonction de communication : qui est essentiellement tourné vers le signifié (sens) :
Exemple : Les œuvres théorique – la notice des médicaments.
2. La fonction poétique : Le message est tourné vers la forme (son).
exemple : la poésie.
Conclusion :
Le CLP qui est considéré comme le grand héritier de Saussure a permis à la linguistique de
déterminer une zone importante de la recherche en ce qui concerne l’oral. Le plus grand apport du
CLP à la pensée théorique linguistique est la phonologie.
L’exposé le plus complet de la théorie de la phonologie praguoise se trouve dans l’ouvrage
fondamental – PRINCIPES DE PHONOLOGIE- de Troubetskoï qui a analysé plus de deux cents
systèmes phonologiques des langues naturelles.

Le distributionnalisme
Dans l’épistémologie il y a 5 théories d’apprentissage :

1. Théorie transmissible : un maitre (qui détient le savoir) transmit le savoir à un apprenti (qui n’a
pas le droit de discuter de ce que dit le maitre l’erreur est sanctionné et impardonné ( normative)
2. Behaviorisme : (distributionnalisme) expérience de chien par Pavlov (sonne de cloche et le
moment de manger, saliver : stimulus réponse) apprendre par cœur des structures
(emmagasiner des structures) qui m’ont amène à réagir et donner des réponses d’une façon
mécaniques : habitude
J’observe le comportement des unités distinctif d’un corpus d’une langue et je déduis un schéma
je l’applique mécaniquement basée sur la forme peu importe le sens : le stylo mange,
Le savant aveugle (ambigüité)
3. Structuralisme : (approche traditionnelle) apprendre des structures pour pouvoir parler
4. Cognitivisme : (générativisme ) réagit contre ces méthodes traditionnelles ( distributionnalisme)
qui s’appuient sur ce qui est mécaniques mais au contraire à la pensée et à la mentalité et
l’intuition : il considère que le cerveau de l’enfant est vierge et enregistre d’une façon mentale ce
qu’on dit
5. Socioconstructivisme : je construis mon savoir par l’interaction avec les autres, j’apprends en
société (théorie de Chomsky est dépassé car elle est centrée ce sur ce qui est individuelle :
compétence - performance )

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A. Définition
Le distributeur est une variante du structuralisme, il a vu le jour au États-Unis vers 1930, les
principaux chercheurs de ce courant sont Bloomfield et Harris. l’analyse distributionnelle définit les
unités linguistiques par les restrictions qui limitent les apparitions à côté de tel ou tel autre unité
cette approche vise à dégager des classes d’éléments elle est fondée sur le libéralisme par
conséquent elle ne considère que les situations concrètes de la langue ( déjà réalisé), celle-ci ( la
langue) est considérée comme un stock d’énoncés matériels dans lequel il s'agit de repérer des
régularités et de construire des classes paradigmatique sans considérer la signification des mots livre
père cahier chat…. , qui figurent dans la même classe paradigmatique celle des noms, de même : le,
un, ce, constituent la classe des déterminants. La démarche distributionnelle est une pure
description.

la notion de classe est fondamentale parce qu'elle est plus aisée de manier des entités formelles
c'est-à-dire : la classe que des mots isolées et c'est pour deux raisons :

1. Analyser la distribution d'un mot isolé et une tâche infinie.


2. La notion de classe repose sur un critère purement formel ce qui permet d'écarter la diversion
sémantique
Au lieu de manier les environnements de chaque élément on choisit un environnement et on observe
les éléments qui peuvent y commuter, cette démarche repose sur l'opération de commutation.
Cad :
à l’origine c’est une théorie pour l’armé écarte le sens(les années 30 la guerre) : selon le
behaviorisme ou distributionnalisme : tient un ennemi tire sur lui, tu as un sn un sv construit une
phrase et la réaliser sans penser à son sens
phonétique : sons, individuel / phonologie : variation ( individuelle régionale ), social : au lieu de
travailler toutes les prononciation l’école de Prague a crié des classes ( un phonème) facile qu’à la
réalisation concrète : X+X+X+X réalisation concrète = 4X réalisation abstraite : symboliser crier des
catégories pour alléger le mécanisme de matériel pour englober entièrement la langue )
Distributionnalisme a hérité la notion de représentativité catégorique à l’école de Parage de
structurale.

B. La méthodologie
La réflexion théorique des distributionnalistes réduite au strict minimum, si le structuralisme
européen s'intéresse à la langue indo-européenne comme depuis longtemps, le distributionnalisme
américain s'intéresse aux langues amérindienne connue et non écrites ce qui réduit la spéculation
théorique.
L’objet d'étude de distributionnaliste, c'est la langue qu’il aborde sous son aspect synchronique des
langues amérindiennes qui n'ont pas une l'histoire écrite.
Les unités d'une langue entre en relation syntagmatique et paradigmatique.
L’analyse de ces deux axes permet au distributionnalisme de dégager les unités minimales par les
processus de la segmentation.
la méthode distributionnelle est notamment décrite par Harris :
1. Partir d'un corpus : homogène, représentatif c'est un échantillon de la langue qui permet
d'analyser un nombre fini d’énoncés pour rendre compte de la totalité de la langue.
2. La segmentation : dans cette étape il s'agit de déterminer les unités permutables et de
constituer des classes paradigmatiques.
3. L'analyse en constituants immédiats : six cahiers, livre….. , ce groupe à l'intérieur d'une même
classe et si cette classe n'accepte pas les mots comme acheter, perdre…, mais que ces derniers
se groupe au sen d’une autre classe cela permet un début de généralisation la classe des mots

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sera appeler N et la classe des verbes se appeler V avec ses symboles N, V on peut formuler une
règle susceptible et capable de rendre compte de toutes les phrases de la langue.
Une phrase selon les distributionnalistes est considérée comme une séquence de symboles
catégoriels.N : nom/ V : verbe …. Et la phrase se réecrit
Det + SN + SV en suite on fait l’analyse Immediat ( ce qui est dedans ces catégories )
Echantillon :
J’ai acheté un livre
il vend des cahier

Paradigme : nom, déterminant, verbe

Syntagmatique : N : nom/ V : verbe …. Et la phrase se réécrit Det + SN + SV en suite on fait l’analyse


immédiat (ce qui est dedans ces catégories)

L’analyse en constituant immédiat


( la base de travail de la linguistique distributionnelle) est une procédure qui vise à dégager les relations
hiérarchiques qui existent entre les unités d’une phrase il s’agit de partie d’une séquence maximale
qui est la phrase passée par les constituants immédiats pour arriver aux constituants ultimes ( tout
petit ) :
3 niveaux :
 La séquence maximale : la phrase
 Les constituants immédiats
 Les constituants ultimes
Il est intéressant de noter que le modèle syntagmatique ( il travaille sur la forme et écarte le sens )
de distributionnalisme repose sur le découpage traditionnel en thème ( sujet qu’on parle) et prédicat
( c’est ce qu’on dit à propos de thème ) ( chez les distributionnalistes la grammaire est formelle) cet
empreint implicite va être à l’origine d’un certain nombre de confusion dans l’analyse en constituant
immédiats en effet, c’est le découpage en thème et prédicat est un découpage essentiellement
sémantique mais que le modèle syntagmatique se vue essentiellement fermé le résultat de cet
empreint est une négation de la différence que la grammaire traditionnelle faisait entre les relations
formelles ( sn= det + n…)que sont les fonctions grammaticales et les rapports de sens
Explication :
Analyse sémantique
Grammaire traditionnelle découpage d’un énoncé : thème ( sujet) + predicat ( propos) :
art + sujet + v+ art+ cod : le garçon mange la pomme
Dans le cadre distributionnel : sn +sv + sp …………
le modèle syntagmatique empreinte le découpage syntagmatique( le theme et predicat) et écarte le
sens : la pomme mange le garçon ( est acceptée)
le modèle syntagmatique se heurte à d’autre difficultés :
1. Il est incapable d’analyser des phrases ambigües exemple : j’ai vu manger le poulet : ( x
mange le poulet # poulet mange quelque chose )
2. Il est incapable de montrer la différence entre une phrase active et une phrase passive : la
pomme est mangée par le garçon : SN + SV (c’est un modèle mécanique )
3. Il peut engendrer des phrases à sémantiques : aucune signification : la pomme mange le
garçon
4. Il est incapable de faire la différence de sens entre des énoncés tel que :
 le taux d’inflation a baissé
 Le taux a baissé
 L’inflation a baissé
Dans les trois cas on a SN + SV (sn peut importe qu’est ce qu’il y a dedans les distributionnalistes
proclament que c’est une grammaire formelle et mécaniques et ne repose pas sur le sens d’où la
naissance de générativisme : les phrases : le garçon mange la pomme et la pomme est mangée par le

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garçon : sont confuses c’est parce que au fond dans l’intuition linguistique de l’énonciateur ces
phrases ont la même origine
Pour les distributionnalismes il y a deux dimensions :
 Syntagmatique : qui gère les relations sur l’axe horizontal : SN en relation avec SV
 Paradigmatique : gère les éléments qui peuvent substituer sur l’axe vertical
Les générativistes vont introduire une autre dimension c’est celui de la structure profonde (on ne
peut pas accepter le pomme mange le garçon : rejet fait de l’intuition de locuteur natif, la
compétence
Distributionnalisme est une application linguistique de behaviorisme qui est un comportement
mécanique (depuis un bagage emmagasiné au sein de société je peux produire des phrases)
C’est dans les années 50 il y avait une autre théorie d’apprentissage c’est le cognitivisme :

Rupture découpage entre le mécanisme et le mentalisme l’être humain n’apprend pas comme une
machine comme un chien ( des rections suite à un stimulus )mais il a la capacité de réfléchir et de
penser et construire son savoir

La grammaire générative et transformationnelle :


c’est une grammaire formelle le point commun entre le structuralisme et le générativisme c’est
l’insistance sur la forme c’est une grammaire générative idée selon laquelle on peut produire à partir
d’un modèle abstrait une quantité infinie d’exemplaire la grammaire générative calque son model
explicatif ( distributionnalisme est perspective , générativisme est descriptive) sur la génétique elle
donne une explication vivante de la production des langues c’est une grammaire universelle qui
cherche les universaux la grammaire générative cherche le modèle syntaxique qui permet de rendre
compte de la production et de la réception de phrase toujours bien formée les règles de production
et de génération des phrases doivent exclurent automatiquement les phrases malformés à partir
d’un ensemble fini de règle on peut engendrer une infinité de phrases cette créativité est définie
formellement par le caractère de récursivité

L’objet d’études de la grammaire générative n’est pas un corpus fini mais l’infinité des réalisations
possibles elle se base sur l’intuition que le locuteur auditeur natif à de sa propre langue (c’est la
différence entre Saussure et Chomsky : social # individuel (intuition : erreur pardonné)

1. Compétence performance selon Chomsky


la grammaire générative n’est plus qu’une grammaire explicative qu’une grammaire descriptive la
compétence de locuteur constitue la base de tout acte effectif de langage que Chomsky appelle
performance les productions individuelles sont toujours surveillées par des règles abstraites que le
locuteur a intériorisé au cours de son jeune âge

La performance selon Chomsky est donc individuel et correspond à des règles mentales abstraites
collectives et universelles (dépend de l’intuition de humain quelque soit la langue) la performance
est toujours guidé gouverné par la compétence la première est constituée d’un nombre infini de
réalisation la 2eme est constitué d’un nombre fini de règles l’étude de ce nombre fin ide règles rend
compte de la totalité des productions possibles de langage

La dichotomie compétence performance rejoint la dichotomie saussurienne langue parole


cependant la langue chez Saussure est conçue comme un stock (tiroir) statique d’éléments abstrait
(chez Chomsky est dynamique)

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La compétence chez Chomsky est un système dynamique de règles le couple compétence
performance renvoie à une autre dichotomie notionnelle: la structure profonde et la structure de
surface

2. Structure profonde structure de surface :


La structure profonde contient toute les informations nécessaires à la production correcte et bien
formée d’une phrase la structure de surface est la réalisation concrète de la phrase pour passer de la
structure profonde à la structure de surface Chomsky fait appel à la notion de transformation

3 transformations :

Des règles syntagmatiques engendrent des structures abstraites : les indicateurs syntagmatiques
sous adjacents les règles de transformation convertisse ces structures abstraites en phrase :

Structure profonde : sn+ sv (sp)

Tout le monde ici connait au moins deux langues à la voix passive le sens va changer ce qui a causé
une contrainte chez les générativistes : la voix passive une phrase et la voix active une autre phrase
pour résoudre ce problème on fait appel à la sémantique

Il existe 2 types de transformations obligatoire (accord) et facultative : passive

Les transformations obligatoires doivent nécessairement être appliqué leur résultat est la phrase
noyau

Les transformations facultatives transforment cette phrase noyau on passive négative interrogative
complexe emphatique …..

La base est les composantes syntaxiques + sémantiques+ phonologiques

Selon Chomsky la grammaire est constituée de 3 composants :

1. La composante syntaxique : elle comporte toute explication syntaxique de la langue elle


permet d’engendrer un ensemble infini de structure syntaxique elle contient toute
l’information nécessaire pour déduire conclure par des règles le sens et la prononciation
d’une phrase

Un savant aveugle : est ce qu’il s’agit d’un nom ou un adjectif (liaison)

Pour spécifier la prononciation et l’interprétation d’une phrase il est obligatoire de connaitre sa


structure syntaxique

2. La composante sémantique : c’est la 2eme composante son fondement c’est le lexique le


rôle de cette composante est d’interpréter les séquences engendrés par la composante
syntaxique
3. La composante phonologique : elle assigne une prononciation à la structure syntaxique
engendrée par la composante syntaxique la composante phonologique permet de prédire la
prononciation de la séquence en tenant compte de l’ordre syntaxique dans lequel les
morphèmes sont disposés

Conclusion :

La grammaire générative a connu beaucoup d’évolution très rapide et les rapports entre la
composante syntaxique et la composante sémantiques sont difficilement à déterminer

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