Supplément au N° 2347 du TéléObs Paris - Ne peut être vendu séparément - Ne pas jeter sur la voie publique.

Vertige de la Liste
© Léa Crespi, 2009
du 2 novembre au 13 décembre 2009

Umberto Eco
Le Louvre invite
 63 lectures
3 concerts
1 exposition
1 Chambre des merveilles
2 accrochages
5 conférences
8 documentaires
300 courts-métrages
1 spectacle
1 colloque
51 intervenants
Le Louvre invite
Umberto Eco
A
près avoir reçu Robert Badinter en 2005,
Toni Morrison en 2006, Anselm Kiefer
en 2007 et Pierre Boulez en 2008, le
Louvre invite cette année Umberto Eco à poser un
regard nouveau sur les collections du musée.
Écrivain qui a su atteindre le grand public,
mais aussi sémiologue dont les travaux savants
sont étudiés dans toutes les universités, es-
sayiste et éditorialiste international, traducteur
des auteurs français et anglais du XIXe siècle,
spécialiste mondial de James Joyce, grand
connaisseur de l’art contemporain, éditeur de
quelque deux cents préfaces d’ouvrages sur
les artistes les plus célèbres, ami et librettiste
de grands musiciens comme Luciano Berio,
Umberto Eco est ce qu’on appelait au XVIIe
siècle un « honnête homme ». Il est de ces sa-
vants qui délaissent parfois leur cabinet non
seulement pour comprendre les mutations de
leur époque, mais aussi pour y participer, en
être un des acteurs. Visiter sa bibliothèque c’est
2 © Léa Crespi, 2009
se promener dans la diversité du monde, dans
celle des langues et des disciplines, c’est aussi
rester coi devant le pan de mur consacré à ses
propres œuvres, qui propose plusieurs cen-
taines d’ouvrages, les siens, traduits dans des
dizaines de langues.
Cet éclectisme constitutif de sa personnalité
trouve son apogée aujourd’hui avec le thème
qu’il a choisi pour ses interventions au Louvre :
« la liste ». Ou mieux encore, le « vertige de la
liste », vertige et chavirement de l’esprit, tour-
billon métaphysique où vous entraînent ces lon-
gues « listes » littéraires, artistiques, musicales,
qui irriguent l’histoire de l’art et inspirent ses
acteurs. D’Homère à Georges Perec en passant
par Borges, Rabelais et Flaubert, nombreux
sont les écrivains qui ont dressé des listes ou
qui ont construit une partie de leur œuvre à
partir d’elles. Et au-delà des auteurs, ce sont
des pans entiers de la production artistique
qui trouvent leur cohérence dans le concept de
listes. Énumérations, répétitions, entassements,
accumulations : autant de notions qui existent
en peinture, en musique, au cinéma, en littéra-
ture, dans les arts vivants et, bien sûr, dans de
nombreuses œuvres du musée.
Umberto Eco dresse en quelque sorte la liste des
listes et cette double récurrence donne effecti-
vement un vertige dont on n’est pas prêt de se
remettre. De nombreux artistes accompagnent
l’auteur du Nom de la rose (roman d’ailleurs
empli de listes) dans cette virtuose promenade
interdisciplinaire : Ludovic Lagarde, Christian
Boltanski, Claude Closky, Giovanni Anceschi,
Laurent Garnier, David Kadouch, Rodolphe
Burger, Yuksek, Geoffroy Jourdain et les Cris
de Paris, les solistes de l’Atelier lyrique et les
musiciens de l’Opéra national de Paris, les co-
médiens Carole Bouquet, Valérie Dashwood,
Laurent Poitrenaux, Pierre Baux, les jeunes
slameurs de Canal 93, le collectif artistique de
la Comédie de Reims. À ces personnalités du
monde du spectacle et de la musique s’ajou-
tent écrivains, intellectuels, poètes et savants :
Olivier Cadiot, les membres de l’OuLiPo au-
tour de Marcel Bénabou et Jacques Roubaud,
Nanni Balestrini, Peter Weibel, Margit Rosen,
Carolyn Christov-Bakargiev, Hubert Damisch,
Patricia Falguières, Martin Kaltenecker, Jannic
Durand, Omar Calabrese, Anthony Grafton,
Françoise Barbe et Anne Bouquillon. Une liste
vertigineuse (comme il se doit) de personnali-
tés pour des événements, lectures, spectacles,
concerts, conférences, projections, expositions
qu’Umberto Eco a bien voulu organiser pour
nous et qu’il marquera de sa présence.
3

Ce que nous dit Umberto Eco
Portrait conférence inaugurale par Umberto Eco - lundi 2 novembre 2009 à 18h30 - auditorium
L
orsqu’on demande à Umberto Eco
quel livre il souhaiterait emporter sur
une île déserte, il répond : le Bottin !
Quel argument vient justifier ce choix ? « Je
pense que si je devais rester de longues journées
plongé dans la solitude, je ne manquerais pas de
lire tous ces noms et que, victime d’une sorte de
torpeur hallucinatoire, j’en viendrais à inventer
des histoires. » Premier effet de la liste et de
ses vertiges ? Umberto Eco affirme, comme
tout un chacun, en avoir constitué lui-
même. Ainsi, celle qu’il adresse à son fils –
alors jeune enfant – et qui énumère la liste
des armes conçues et utilisées par l’homme.
La liste ici tient lieu de mise en garde : elle
s’adresse à un pacifiste et prévient de la folie
des êtres humains. Dans sa propre biblio-
thèque, l’écrivain a l’embarras du choix :
« Victor Hugo a constitué des listes – voyez par
exemple celle des députés de la Convention dans
Quatre-vingt-treize, James Joyce en a établi
aussi dans Ulysse et dans Finnegans Wake.
Même Thomas Mann, qui est un écrivain “sé-
rieux” en a constitué lui aussi ! On pense tou-
jours que l’idée de liste est liée aux décadents ou
aux avant-gardes, mais on en trouve partout ! »
À commencer par le site Internet dédié à
Umberto Eco et sur lequel on peut lire la
liste de ses romans, de ses essais, de ses dis-
tinctions universitaires, des prix littéraires
qui lui ont été décernés. Un ensemble im-
pressionnant de noms, de citations, de titres
qui jalonnent le parcours d’un intellectuel
qui définit ainsi son activité : « Je m’ennuie
lorsque je ne fais pas plusieurs choses à la fois. »
Le grand public a découvert son nom à l’oc-
casion de la publication du Nom de la rose,
polar médiéval fondé sur ses concepts sémio-
logiques et ses théories du langage. Le Pendule
4 5
de Foucault, son second roman suscite le même
engouement, fondé cette fois sur une dénon-
ciation de l’ésotérisme. L’idée d’être devenu
à 50 ans une star de la littérature mondiale
amuse aujourd’hui encore Umberto Eco.
Non pas qu’il rejette l’idée même d’être lu par
le plus grand nombre. Mais c’est que, dit-il,
« en devenant un écrivain contemporain, je me
suis détaché du présent. Je ne lis plus d’auteurs
contemporains, je préfère me tourner vers ceux
des XVIIIe ou du XXe siècle. Ce n’est pas une
question de mépris, c’est simplement parce que
je veux me protéger, me préserver d’éventuelles
influences littéraires. »
Citoyen d’un monde fondé sur la connais-
sance, Eco arpente les registres de l’histoire
au même titre qu’il explore la planète. Le
voici par exemple devant la Joconde. Non
point celle du Louvre, mais celle du Palace
of Living Arts de Buena Park, non loin de
Los Angeles. Mona Lisa est figurée ici en
trois dimensions avec, assis en face d’elle,
Léonard de Vinci. Ce qui chez d’autres au-
rait suscité le ricanement, provoque chez
Eco cette réflexion lucide. « Ce palais des
arts vivants, dit-il, n’est pas là pour tromper
le visiteur. Sa devise pourrait bien plutôt se
résumer ainsi : “Nous vous donnons la repro-
duction pour que vous n’ayez plus besoin de
l’original.” » Ainsi une vérité est-elle posée
qui donne au faux ce qu’il est aussi, à savoir
le statut du vrai. Jeu de miroirs ? Pas seule-
ment. Car pour Umberto Eco il s’agit de dé-
busquer du sens « là où on ne serait porté à ne
voir que des faits ». On ne saurait mieux dé-
finir le rôle de l’intellectuel, cette vigie qui
sonde les profondeurs du monde mais qui
sait tout aussi bien brasser son écume. Dans
les années 60, Umberto a ainsi fréquenté les
membres du Groupe 63, pourfendeurs de la
communication de masse et partisans d’une
littérature expérimentale. Il s’est également
rapproché du Gruppo T, regroupant des ar-
tistes (notamment G. Anceschi, D. Boriani
ou G. Colombo) dont les œuvres étaient
fondées sur des recherches cinétiques. À
quoi il faut ajouter, pour parfaire ce por-
trait, ses propres travaux sur la scolastique
médiévale, sur l’art et l’avant-garde (dont
témoigne l’un de ses ouvrages majeurs,
l’Œuvre ouverte), sur la sémiotique, ou sur
la théorie de la réception (Les limites de
l’interprétation). À la différence de Picasso
qui affirmait « je ne cherche pas, je trouve »,
Umberto Eco, lui ne cesse de chercher pour
décrypter – et au bout du compte, il trouve,
lui aussi !
En somme, Umberto Eco est un homme
moderne qui passe sa vie dans les temps an-
ciens. On le sait passionné par la bibliophilie.
Il affirme posséder 1 200 volumes précieux et
rares. Il en a bien entendu dressé la liste et,
mieux encore, pour chacun, établi une fiche
décrivant en détail tous les éléments se rap-
portant à l’ouvrage en question. Mais parlez-
lui d’Internet. Avec le même élan, il évoque
« cette grand-mère de toutes les listes » dont les
tentacules se répandent sans discernement.
« Internet, dit-il, ne filtre pas. Ce n’est pas un
instrument de culture. La culture est un ins-
trument de conservation mais c’est également
un élément de filtrage. Internet ne filtre rien,
ne discerne rien. » Pessimiste, Umberto Eco ?
Là n’est pas la question. Umberto Eco est un
guetteur. Il faut l’écouter.
Bernard Géniès
De l’Antiquité
à l’art contemporain
exposition - du samedi 7 novembre 2009 au lundi 8 février 2010 - aile Denon
Alors que dans les départements antiques du musée des accrochages sont organisés sur le
thème de la liste, dans la salle des arts graphiques de l’aile Denon une exposition explore
ce même thème à travers des œuvres anciennes et contemporaines. Entretien avec Marie-
Laure Bernadac, commissaire de Mille e tre.
Bernard Géniès - Mille e tre, d’abord, pourquoi B.G. - À partir de quel moment l’art
ce titre ? s’empare-t-il véritablement de ce thème ?
Marie-Laure Bernadac - Comme on le sait, M.L. Bernadac - La véritable rupture se
il s’agit d’une citation du Don Giovanni de produit au moment où la liste est associée à la
Mozart. On se souvient que Leporello apprend notion même d’oeuvre d’art. Nous expose-
à Elvire que son maître Don Juan a eu en rons des listes établies par des peintres comme
Espagne mille et trois maîtresses. Cette allusion Eugène Delacroix, Johan Barthold Jongkind
s’inscrit tout à fait dans le propos de notre expo- ou Théodore Rousseau. Mais ces notations
sition puisque celle-ci évoque la question de la relèvent encore de l’anecdote ; ainsi, lorsque
liste, et qu’elle a un arrière-plan politique. Jongkind par exemple dresse la liste des dé-
partements français ou lorsque Delacroix note
B.G. - Comment avez-vous exploré ce thème ? des noms de couleurs. C’est au XXe siècle que
M.L. Bernadac - Avec passion ! Ce sujet est les artistes vont donner à la liste un statut artis-
idéal sous tous les rapports, tant du point de tique. En France, dès le début des années 70,
vue de l’art que de la littérature et du musée la notion de mythologie personnelle va s’im-
lui-même. Il est à l’évidence très représentatif poser à travers un certain nombre de travaux :
de la pensée d’Umberto Eco mais il se révèle on connaît par exemple les Albums-collections
également un très beau prétexte d’investigation d’Annette Messager et ses abécédaires, à
pour tous les départements du musée. Le pro- l’image de celui des Enluminures qu’elle réa-
pos pourrait être infini. Aussi, avons nous choisi lise en 1988. Christian Boltanski quant à lui a
de procéder en deux temps. Durant toute la du- travaillé à partir de listes telles celles des Suisses
rée de l’exposition, un certain nombre d’œuvres morts ou des Pensionnaires de la villa Medicis.
significatives seront signalées dans le parcours Gérard Collin-Thiébault, Paul-Armand Gette
du musée. Il faut rappeler en effet que la no- s’inscrivent également, parmi d’autres, dans
tion de liste apparaît dès l’Antiquité, comme en cette démarche. Les artistes américains comme
témoignent les plaquettes mésopotamiennes. Richard Serra, John Baldessari, Laurence
En Égypte, la liste accompagne aussi le défunt Wiener vont quant à eux mettre en avant des
dans sa tombe à travers les noms retranscrits éléments plus pragmatiques, des mots d’ordre,
de divinités, de batailles ou de dynasties. Au des « modes d’emploi » de l’œuvre d’art, etc. Il
Moyen Âge, ce sont les livres d’heures qui, sous ne faut pas oublier non plus, dans cet ensemble,
la forme d’abécédaires – dont nous montrerons les représentants du Land Art anglais, comme
plusieurs magnifiques exemples – véhiculent ce Richard Long ou Hamish Fulton. Nous ex-
principe de l’énumération. poserons aussi des œuvres de jeunes artistes
© 2009 musée du Louvre/ A. Dequier
contemporains, tels Dora Garcia ou Ryan
Gander. Sans oublier d’autres grands noms
comme Louise Bourgeois, Claude Closky et
Maurizio Cattelan.
M.L. Bernadac - J’ai eu l’idée de solliciter
Christian Boltanski et Jacques Roubaud qui
avaient déjà travaillé ensemble sur un ou-
vrage (Ensembles). À l’occasion de l’exposition,
Boltanski a imaginé une liste mêlant la notion
de célébrité et d’anonymat : il a mélangé les
noms de l’ensemble des artistes présents dans
les collections du Louvre avec ceux des 2 000
personnes qui travaillent aujourd’hui au mu-
sée. Il a aussi créé une série de photomontages
qui assemblent des visages d’artistes et ceux des
membres du personnel du Louvre. De son côté,
Jacques Roubaud a recréé, toujours à partir des
noms, un corps de listes thématiques aux tona-
lités ludiques.
Mille e tre. Commissaires de l’exposition : Marie-
Laure Bernadac et Pascal Torres-Guardiola. Salle
33, Arts graphiques. Des œuvres des départements
des Antiquités orientales et des Antiquités
égyptiennes sont également mises en lumière dans
leurs salles.
Les Habitants du Louvre
Coédition musée du Louvre/Dilecta. 112 p., 18 €.
Parution le 28 octobre 2009. Signature par Christian
Boltanski et Jacques Roubaud, le 16 novembre à
18h30 à la librairie du Louvre.
 Trésors «Œuvres ouvertes»
et collections Umberto Eco et la scène
italienne des années 1960
cycle de conférences à 18h30 - auditorium
suivies d’une discussion avec Umberto Eco
colloque - samedi 14 novembre 2009 - auditorium

I
nventaires, nomenclatures, dé- veilles » et le musée moderne. Qu’il Lundi 9 novembre

nombrements, « pyramides de
choses précieuses » ou collections
de curiosités ne témoignent pas seu-
lement du goût d’une époque. Au-
delà, ces accumulations plus ou moins
ordonnées dénotent une orientation
de l’esprit, un mode d’appropriation
de l’univers sensible, des principes de
regroupement qui nous renvoient au
domaine de l’épistémologie. En outre,
« l’art du rangement » touche de près
aux « arts de mémoire ». Analyser les
procédés de sélection, la mise en scène
des Mirabilia, leur localisation et leur
agencement dans un espace spécifique,
site ou réceptacle, c’est confronter les
éléments d’une généalogie qui relie
le thesaurus, la « Chambre des mer-
Liber chronicarum. Nurembergae, 1493, BNF © BNF
s’agisse des trésors médiévaux, du livre
envisagé comme « musée virtuel » à la
Renaissance, des objets narratifs qui
saturent l’espace dans les tableaux de
Brueghel l’Ancien, ou du retentisse-
ment de la Wunderkammer de l’époque
baroque dans l’imaginaire historique
des XIXe et XXe siècles, on interro-
gera les métamorphoses d’un phéno-
mène qui intéresse autant l’histoire
de la culture que la théorie du savoir,
et dont les manifestations laissent
affleurer souvent la somme d’émer-
veillements, mais aussi d’inquiétudes
et de perplexités que la forme et la
nature du monde ont inspirées à nos
prédécesseurs.
Monica Preti-Hamard
Hartmann Schedel, Les êtres monstrueux,
Vertige de la Liste :
inventaires de trésors du Moyen Âge
par Jannic Durand, musée du Louvre.
Lundi 16 novembre
Pieter Brueghel l’Ancien
et ses « collections de savoirs »
par Omar Calabrese, université de Sienne.
Lundi 23 novembre
Le monde comme inventaire.
Listes et index à la Renaissance
par Anthony Grafton, Princeton University.
Lundi 30 novembre
La Wunderkammer a-t-elle existé ?
Inventaire d’un mythe
par Patricia Falguières, EHESS, Paris.
D
epuis les débuts de sa carrière d’in-
tellectuel, Umberto Eco voyage avec
une aisance vertigineuse entre ses
passions de médiéviste – pour la scolastique,
pour les préoccupations esthétiques de Thomas
d’Aquin, entre autres – et une immersion de
plain-pied dans la vie artistique de son époque.
Dans la société italienne de l’après-guerre s’af-
firmait un nouveau désir d’avant-garde, d’iné-
dit. C’est au contact d’artistes tels que Lucio
Fontana, Alberto Burri, Piero Manzoni, et
le jeune Gruppo T, qui expérimentait l’inté-
gration du temps et de la participation dans
l’œuvre, qu’Eco a forgé sa théorie moderniste de
« l’œuvre ouverte », avant de publier l’ouvrage
du même titre en 1962, traduit depuis dans le
monde entier. Si Eco, par la suite, en a nuancé et
critiqué les termes, c’est au profit de la rigueur
de l’aventure sémiotique qui l’occupa dans les
années 1970. L’Œuvre ouverte, le premier opus
qu’Umberto Eco consacre en 1962 à l’art de son
temps, propose une généalogie de la modernité.
Ce célèbre essai critique se fait aussi l’écho d’une
côté, l’art « programmé » de l’autre, donnent
à penser l’œuvre comme processus temporel,
« champ d’événements » ouvert au hasard d’un
devenir accidentel. Évolutive, aléatoire, la com-
position n’est plus une mais multiple : elle se dif-
fracte en un ensemble de données mobiles.
On mesure l’apport aussi raffiné que méconnu
de l’avant-garde italienne à l’histoire d’un « art
de l’information » qui, traversant toute l’Eu-
rope dans les années 1960, est perçu aujourd’hui
comme une anticipation de la culture numé-
rique, de son esthétique et de ses modes opéra-
toires. À Milan, le mouvement porte le nom de
Gruppo T, à Padoue de Gruppo N, les équiva-
lents italiens du GRAV et de François Morellet
en France. Dans le domaine poétique, c’est le
Gruppo 63, dont Nanni Balestrini est l’auteur le
plus radical, confiant dès 1961 la fabrication de
ses poésies à un ordinateur. Le débat réunit des
protagonistes de ce mouvement ainsi que des
grandes personnalités de la critique d’art qui re-
pensent aujourd’hui l’histoire de l’abstraction et
avec elle l’histoire de l’œuvre comme série, envi-
14h - Le temps des « œuvres ouvertes ».
Introduction par Umberto Eco.
14h30 - Informel et matiérisme : l’abstraction en
Italie dans les années 1950-1960, par Peter Weibel,
Zentrum für Kunst und Medientechnologie,
Karlsruhe.
15h - Projection. Une sélection d’œuvres et de docu-
mentaires sera présentée, parmi lesquels : Vincenzo
Agnetti et Gianni Colombo, Vobulazione e bie-
loquenza, 1970, vidéo NB, 10 min.
15h30 - Combinatoire et somatique : expé-
riences du Gruppo T, par Giovanni Anceschi,
designer et théoricien, Istituto Universitario di
Architettura e Arti Visive, Venise (IUAV).
16h - Poésie Programmée, lecture et perfor-
mance par Nanni Balestrini, écrivain, dessinateur
et poète, Rome.

L’Œuvre en scène
phase de création intensive dans l’art italien de ronnement, programmation.
sa génération : le matiérisme et l’informel d’un Marcella Lista
Gianni Colombo, Strutturazione fluida (Structuration fluide), 1960
mercredi 25 novembre 2009 à 12h30 - auditorium Aluminium, acier, verre et moteur électrique.
Museo di Arte Moderna e Contemporanea di Trento e Rovereto, Fondation VAF.
44,5x34x14,5 cm. © Archivio Gianni Colombo, Milan
16h30 - « Nouvelles Tendances » : l’art pro-
grammé et la théorie de l’information, par
Margit Rosen, historienne de l’art, Karlsruhe.
17h - L’espace participé : Gianni Colombo et l’art
programmé, par Carolyn Christov-Bakargiev,

B
ernard Palissy, céramiste de
génie au service de la cour
de France, obtient en 1563 le
titre d’« inventeur des rustiques figu-
céramiques ne mettent pas seulement
en scène un monde animal, végétal
et minéral stupéfiant de naturalisme
grâce à l’utilisation de la technique
commissaire de « Documenta 13 », Kassel.
Closky, Eco & Co 17h30 - Actualité des « œuvres ouvertes » : une
poétique de l’œuvre comme liste ?

- Bernard Palissy, Plat ovale, vers 1580, terre vernissée,
musée du Louvre © RMN/Jean-Gilles Berizzi.
6 7
lines du roi ». Présentés sur la scène de
l’auditorium, un plat et une aiguière
du Louvre sont commentés par des
spécialistes et filmés en direct. Leur
image dynamique, projetée en temps
réel sur grand écran, leur fait écho. Ce
dispositif permet ainsi de visualiser
les détails les plus fins, d’analyser les
techniques élaborées par Palissy, mais
aussi d’expliquer la fascination qu’ont
pu susciter ces œuvres.
Grouillant de couleuvres, lézards,
grenouilles et autres coquillages, ces
du moulage sur le vif et à la finesse
des glaçures transparentes colorées.
Une telle « fossilisation » des élé-
ments témoigne également de la vo-
lonté d’imitation de la nature telle
qu’elle se manifeste à la Renaissance
européenne.
Les « rustiques figulines »
de Bernard Palissy
par Françoise Barbe, musée du Louvre,
et Anne Bouquillon, Centre de recherche
et de restauration des musées de France.
Récréations
soirée d’art contemporain - Faces à faces Débat avec Hubert Damisch et Patricia Falguières,
vendredi 13 novembre 2009 à 20h - auditorium École des hautes études en sciences sociales.
Dans des œuvres textuelles telles que Marabout, Les 10 premiers chiffres en ordre alphabé-
tique, Hydrastar, le travail de l’artiste Claude Closky s’emploie à détourner avec une subtile Dans le cadre de cette programmation, l’Institut
ironie les procédés d’inventaire, de classification, d’énumération. Une critique sur le mode culturel italien de Paris, accueillera, le 4 novembre
récréatif qui perturbe les systèmes d’information et le langage simplifié du marketing. à 18h30 une conférence par Umberto Eco, en pré-
Listes, séquences ouvertes, catalogues d’images, cette soirée ouvre le dialogue entre l’artiste sence de l’artiste Gabriele de Vecchi, et, du 4 au 20
et le sémiologue, entrelace textes et projections. novembre, l’exposition de l’œuvre du Groupe T,
Lectures par Claude Closky, Umberto Eco et Donatienne Michel-Dansac. Projections de Grand Objet Pneumatique, Environnement
John Baldessari, Robert Barry, Robert Breer, Martha Rosler, Paul Sharits, … à volume variable, 1959-1960, réalisée avec le
Première de l’œuvre de Claude Closky, Les miens/Biennales, éditions Al Dante, 2009. soutien de Enel France.
Renseignements et réservations : 01 44 39 49 39.
 Tentative d’épuisement
de l’œuvre de Georges Perec
« Je cherche en même
temps l’éternel et l’éphémère »
Résultat d’une contrainte volontaire ou
proposition littéraire en soi, chez Perec, la liste est
moteur du récit, parfois son essence même. Dans
la première partie de la soirée, les membres de
l’OuLiPo, amis et compagnons de Perec se prêtent
à l’exercice de la « liste », contrainte associée
à Perec et à Eco. Dans la seconde partie, Carole
Bouquet lit un montage de textes tirés de l’œuvre
de Perec, en particulier de la Vie mode d’emploi et
de Tentative d’épuisement d’un lieu parisien.
Qui était Georges Perec
S
on premier livre, les Choses (Prix Renaudot
1965), l’a immédiatement fait reconnaître
comme écrivain ; il s’inscrit dans la lignée
du réalisme classique, directement inspiré de
Flaubert (qui est d’ailleurs pastiché dans plus d’un
passage) et présente une « histoire des années 60 »
en évoquant l’emprise des objets dans la société
dite de consommation ; il raconte l’éducation
d’un jeune couple d’étudiants en sociologie,
leurs rêves de luxe et leur apprentissage de la
désillusion, avec le ton d’un constat précis appar-
emment neutre mais plein d’une ironie sans mé-
chanceté où toute une génération s’est reconnue.
Avec une intuition très sûre, Perec décida de « ne
jamais écrire deux fois le même livre », et se lança
dans l’exploration de contraintes formelles qui
lui paraissaient susceptibles de stimuler sa « ra-
contouze », préférant une avancée en zigzag (ce
qu’il appelle la « polygraphie du cavalier » dans
le jeu d’échecs). Auteur prolifique, il publie en
quinze ans une vingtaine d’ouvrages en effet tous
différents, qui lui donnent une place à part dans
l’espace littéraire, et une réputation d’artisan vir-
tuose des mots. La Disparition (1969), roman de
320 pages qui se prive de la lettre « e », constitue
un « chef-d’œuvre » au sens artisanal. Membre
de l’OuLiPo, Perec a composé un grand nombre
de textes à contraintes, ainsi « What a man ! »
dont la seule voyelle est le « a » (« Passant par
là, pas par hasard, marchant à grands pas, bras bal-
lants, Armand d’Artagnan, crack pas bancal, as à
la San A, l’agrafa… »). Ces exploits techniques
8 Listing cérémonie. © Cédric Scandella, Comédie de Reims, 2009.
lectures - lundi 16 novembre à 20h30 - auditorium
© 2009 musée du Louvre/ A. Dequier
n’entraînent pas l’adhésion de tout le monde, et
paraissent parfois puérils. Pourtant, en dehors du
pur plaisir du jeu, ils peuvent surprendre le som-
nambulisme ordinaire, et, par un « pas de côté »,
aider à voir ce que l’habitude nous masque, voir
« l’infra-ordinaire » que nous avons pourtant
sous les yeux tous les jours.
Ils peuvent aussi contribuer à élaborer un « ro-
man » total, la Vie mode d’emploi (Prix Médicis
1978), présentant un immeuble parisien dont
on aurait ôté la façade et dont les chapitres
raconteraient chacune des pièces, avec ses habi-
tants, ses décors, ses histoires, selon un processus
réglé (la « polygraphie du cavalier » étendue à
un échiquier de 10x10) avec une programmation
des éléments répertoriés dans des listes préal-
ables contenues dans un « Cahier des charges »
dont la lecture donne le vertige. Mais ce qui est
le plus étonnant, c’est qu’on peut très bien lire
l’ensemble du texte sans soupçonner une sec-
onde un agencement aussi réglé, et prendre
un plaisir simple à suivre les aventures prodi-
gieusement variées de ces personnages en quête
d’impossible. Ce gros livre plein d’inventaires
de toute espèce substitue à la logique temporelle
des romans habituels une organisation spatiale
telle qu’on devrait pouvoir d’un seul coup d’œil
voir tous les personnages et toutes leurs histoires
présents dans un seul tableau.
Les contraintes formelles ont encore un autre
effet : en 1975, Perec a publié W ou le souvenir
d’enfance, tentative pour composer une autobi-
ographie improbable, la sienne, celle d’un enfant
orphelin privé de souvenirs et de transmission.
L’étrange agencement du livre, en des ensembles
distincts, d’une typographie différente, bribes de
souvenirs, pseudo-roman à la Jules Verne, récit
d’enfance à Villard-de-Lans, description de l’île
W, brise la continuité factice d’une recomposi-
tion biographique, et rend sensible le scandale
du silence des parents, de l’absence de mémoire
et l’indicible horreur des camps. Ici encore, il
était impossible de dire directement ce que seul
le recours à des contraintes permet d’évoquer,
de biais, en rendant manifestes les cassures, les
blancs. Il est difficile d’évoquer avec plus d’acuité
l’impossibilité d’un deuil.
Cela a sans doute à voir, aussi, avec quelque chose
que j’appellerais la pudeur, au sens d’une décence
essentielle face aux choses de la vie et de la parole,
et qui caractérise la voix de Georges Perec.
Jean-Yves Pouilloux
Sous le même titre, Vertige de la Liste, un livre
composé d’une anthologie de listes réunies et
largement commentées par Umberto Eco et illustré
par des œuvres du Louvre et d’ailleurs, paraît le
28 octobre. Il accompagne et complète la réflexion
que mène Umberto Eco au Louvre sur ce concept
étonnamment riche de « liste ».
Coédition musée du Louvre / Skira Flammarion,
408 pages, 39 €. Traduction Myriem Bouzaher.
Signatures le 13 novembre à 18h et le 25 novembre
à 18h à la librairie du Louvre.
Des mots, des sons,
des images
Cérémonie sous la Pyramide
spectacle - mardi 1er décembre à 20h - sous la Pyramide
Yuksek
En quelques mois, ce jeune DJ, remixer
et producteur rémois, est devenu l’un des
chefs de file de l’électro internationale. Le
sampling est en soi une apologie de la liste ;
la démarche musicale de Yuksek en est la
démonstration la plus réjouissante.
Accompagné sur scène d’une dizaine de
musiciens, il conclura cette soirée
exceptionnelle avec un concert encore inédit.
Rodolphe Burger
Ancien leader du groupe Kat Onoma,
Rodolphe Burger émancipe le rock de ses
frontières primitives en allant à la rencontre
d’autres formes musicales, théâtrales,
cinématographiques. Avec sa guitare et ses
samplers, il mettra en musique ce grand
spectacle littéraire sous la pyramide.
Felix J., Abd El Haq et Franco Mannara
Compositeur-arrangeur, Franco Mannara
se plait à triturer avec virtuosité les sons et
les mots de ses partenaires de jeu. En trio
avec Félix J. et Abd El Haq, deux repré-
sentants emblématiques de la scène slam
parisienne, il aborde l’exercice de la liste avec la
créativité et l’énergie des cultures urbaines.
Vendredi 27 novembre 2009 de 19h à 21h
Lectures sonores
Parcours de performances littéraires dans les
salles du musée conçu par Ludovic Lagarde
et Émilie Rousset avec des textes réunis par
Umberto Eco.
Équilibristes de la parole, une douzaine
de comédiens et slameurs font entendre des
listes extraites du panthéon de la littérature
mondiale. Le parcours fera la part belle aux
salles flamandes et aux œuvres qu’Umberto
Eco a choisies.
Dans le cadre des nocturnes du vendredi.
R
encontre au sommet sous la
Pyramide : pour marquer en
beauté le terme de l’invitation
faite à Umberto Eco, musique et sons, voix
et images sont convoqués le temps d’une
soirée festive. C’est à Ludovic Lagarde qu’a
été confiée la mise en scène de cette cérémo-
nie d’un soir. Directeur de la Comédie de
Reims, Lagarde est un explorateur. Metteur
en scène de Bertold Brecht, Gertrude Stein,
Edward Bond, il a collaboré, entre autres,
avec la chorégraphe Odile Duboc, le com-
positeur Pascal Dusapin et des musiciens
comme Rodolphe Burger. En 1997, sa mise
en scène du Colonel des zouaves, d’après un
texte de l’écrivain Olivier Cadiot, marque
une étape déterminante dans son parcours.
Explorateur donc, mais aussi « mélan-
geur », Lagarde élabore des combinaisons
entre voix, rythmes, mouvements, sons et
lumières.
Pour la « Cérémonie de la liste », il a conçu
un dispositif à cette image. Une installation
vidéo de Cédric Scandella, la présence de
deux scènes pour les comédiens (parmi
lesquels bon nombre viennent du collec-
tif artistique de la comédie de Reims, tels
Laurent Poitrenaux, Valérie Dashwood)
et des musiciens, à quoi viendra s’ajouter,
en seconde partie de la soirée, un concert
de Yuksek, jeune star électro de la scène
rémoise : le dispositif prévu n’entend pas
créer de contrainte pour le spectateur.
Celui-ci pourra se déplacer à son gré sous
la Pyramide, des espaces bars ayant même
été prévus. Sur l’une des scènes encadrant
l’installation vidéo de Scandella – instal-
lation où l’on pourra notamment prendre
connaissance d’informations les plus di-
verses, transmises via Internet en temps réel
–, des comédiens liront des textes choisis par
Lu dovic Lagarde et Umberto Eco. Parmi
les auteurs retenus : Homère, Victor Hugo,
James Joyce, Roland Barthes, Olivier
Cadiot, Georges Perec et, bien entendu,
Eco lui-même. Installations musicales, po-
lyphonies vocales, samplings se mêleront
aux textes, manière de donner aux mots un
autre sens, une autre direction.
Au-delà, cette « Cérémonie » se veut une
rencontre entre Umberto Eco et une per-
sonnalité de la scène. Synthèse de tous les
événements et manifestations qui, au sein
du musée, auront marqué l’invitation faite
à l’écrivain italien, la soirée se veut égale-
ment la concrétisation d’une évidence :
celle de la force du texte, de ses énumé-
rations dont il entend faire « un objet »
préhensible. Ludovic Lagarde affirme
encore s’appuyer sur « les pouvoirs de la
littérature » pour donner forme au thème
de la liste (ici : les listes de textes, mais aussi,
pour certains : les listes dans le texte). Le
lieu, « impressionnant, émouvant », selon ses
propres mots, ne lui est pas indifférent. La
Pyramide est « l’emblème du musée », dit-
il, et en même temps, sous son espace, se
déploie une véritable agora dans laquelle
il entend faire résonner une autre histoire.
Une histoire d’aujourd’hui.
B.G.
« Listing cérémonie »
Spectacle mis en scène sous la pyramide par
Ludovic Lagarde
Collaboration artistique Umberto Eco
Musique live Rodolphe Burger et Yuksek
Création vidéo Cédric Scandella
Avec Valérie Dashwood, Pierre Baux, Laurent
Poitrenaux, Chrystel Tual, Camille Panonacle,
Samuel Réhault, les jeunes comédiens du
Collectif artistique de la Comédie de Reims, les
slameurs Félix J. et Abd El Haq, le musicien
Franco Mannara, et des étudiants de l’Ecole
d’Art et de Design de Reims.
Coproduction musée du Louvre,
Comédie de Reims.
Avec la participation de Canal 93, Bobigny
9
 Une Chambre des merveilles Sonate
et des Lumière
Cinéma
ou liste ?
concerts - auditorium
vendredi 6 novembre à 20 h - jeudi 19 novembre à 12h30
vendredi 25 novembre à 20h
du mercredi 4 novembre au lundi 14 décembre - salle audiovisuelle

B.G. - Qu’entendez-vous par « Chambre des
merveilles » ?
Pascale Raynaud - Précédant les cabinets de
curiosités, les chambres des merveilles sont à
l’origine des musées. Élaborées par les princes
maniéristes du XVIe siècle, ces chambres écrins
traduisent le plaisir de posséder des objets et la
nécessité de mémoriser des lieux, des événe-
ments pour transmettre, éduquer. Pour Patricia
Falguières ces « lieux des lieux », renvoient à
une « logique du mémorable ».
B.G. - Que propose, pendant six semaines,
la « Chambre des merveilles » du Louvre ?
P. R. - Du Cinématographe ! Dans lequel
les chambres des merveilles trouvent un
curieux prolongement. Le dispositif ciné-
matographique semble en effet un éton-
position, mémoire et invention, énumération Entretien avec Pascale Raynaud,
et narration. commissaire de la « Chambre
des merveilles ».
B.G. - Le « Vertige de la Liste » saisit donc aussi
le Cinématographe.
P. R. - Oui, et ce dès 1895, car son premier geste
est d’opérer un inventaire fabuleux, effréné et
conquérant du monde, comme en témoignent
les catalogues Lumière : vues orientales ou de
France, métropoles, vues maritimes, chemins
de fer, rois et reines, danses, etc. Ces centaines de
vues de moins d’une minute, réalisées par Louis
Lumière et ses opérateurs, constituent un patri-
moine documentaire précieux en même temps Les jeunes voix de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris, le pianiste David Kadouch et les Cris
qu’elles sont le témoignage de la naissance du de Paris, sous la direction de Geoffroy Jourdain, sont invités à l’auditorium pour illustrer, à
langage cinématographique. Elles proposent leur façon, le thème du « Vertige de la Liste »
Les Cris de Paris © Julie Gallet.
parfois un véritable récit en un seul plan, l’arrivée
d’un train en gare par exemple. Peu à peu elles

nant écho aux présentations élaborées des
Wunderkammern qui, par les cadres et les mon-
tages, tendaient au récit ou à l’illusion. En pro-
jetant vues documentaires et fictions des an-
nées 1895 à 1908, la Chambre des merveilles
souligne ainsi le lien qui relie inventaire et com-
vont s’agréger et leur durée va s’allonger. Des
visionnaires, comme Georges Méliès, vont
s’emparer du dispositif pour s’aventurer au-delà
du récit, vers l’illusion.
Cornelis de Baellieur (1607-1671) : intérieur d’une galerie de tableaux et
Avec le concours de l’association Frères Lumière
et de Lobster Films
d’objets d’art, huile sur bois, 1637, musée du Louvre, MI699
© RMN / Hervé Lewandowski
À
l’époque où, en Occident, parvint à
maturité le système tonal, les com-
positeurs usaient de trois structures
antagoniques dont pas une ne brise le cadre :
la fugue, la sonate, la variation. La fugue,
exercice savant qui consiste à finir sans sueur
une tresse compliquée. La sonate, qui incarne
dans le développement d’un thème générateur
la forme par excellence. Et les variations, qui
et rigides, l’autre aux sociétés de la liste, béantes et
libres. On pourrait dire que, par essence, la mu-
sique triomphe dans les sociétés de la forme, que
l’énumération lui est étrangère. Voyez les œuvres
dont le vertige de la liste est le sujet même. Au
hasard, l’air du Catalogue de Don Giovanni (640
en Italie, 230 en Allemagne, 100 en France, 91
en Turquie, 1003 en Espagne) et la Complainte
du progrès de Boris Vian (un frigidaire, un joli
La flânerie plutôt que la marche, les fenêtres
plutôt que le mur.
Du coup, tandis que l’Allemagne traquait
l’humain, nous collectionnions les animaux.
Quel meilleur candidat au catalogue que
l’animal ? Du Rossignol vainqueur ou en amour
de Couperin (extrait d’une suite) au Bestiaire de
Poulenc et d’Apollinaire, du Carnaval de Saint-
Saëns au Catalogue d’oiseaux de Messiaen, la mu-

Trois questions à Le compositeur et DJ star investit l’auditorium le

temps de deux soirées mêlant cinéma et musique
pourraient tenir de la liste, mais en fait, crai-
gnent l’et cetera illimité dont parle Umberto Eco
scooter, un atomixer, du Dunlopillo, une cui-
sinière avec un four en verre, des tas de couverts
sique française a répertorié les bêtes. L’animal
n’étant pas ici l’autre mais soi fugitif. Un être

Laurent Garnier
Électrons libres
pour « Inventaire avant disparition ».

projection-concert - samedi 12 décembre à 20h30 et dimanche 13 décembre à 16h

B.G. - Vous êtes un habitué du Louvre ?
Laurent Garnier - Je suis en train de le devenir en effet
puisque j’ai déjà eu l’occasion de présenter, en colla-
boration avec les équipes du musée, un travail sur les
archives filmées Albert Kahn. C’est ce programme que
je reprends dans « Électrons libres ».
B.G.- Comment avez-vous procédé ?
L. Garnier - Je fais comme au cinéma ! C’est-à-dire
que je choisis des musiques destinées à accompagner
des images. Ma play-list pour ce travail est composée
d’environ 280 extraits : parmi d’autres, il y a John Lee
Hooker, Charles Trenet, de la musique concrète, de la
musique électronique, des morceaux que j’ai composés
ou de la new wave.
© Nick Ivins
10
auditorium
B.G. - Comment articulez-vous ces choix ?
L. Garnier- Les images sont celles d’univers dont la
plupart ont disparu. Pour le spectateur, le film est
donc une sorte de voyage dans l’espace et dans le
temps. Ma play-list est par conséquent une invitation
à l’aventure. Il ne s’agit pas pour moi de me substi-
tuer au propos du film. Bien au contraire, je dirais
que ma sélection musicale est là pour en souligner les
différentes séquences, telles ces images sublimes de
mer ou de danses filmées en Extrême-Orient. Parfois
c’est une scène précise qui peut m’inspirer, parfois
c’est une lumière ou un dégradé de tons. Tout se dé-
cide pour moi dans l’instant.
Avec le concours du musée départemental Albert-Kahn
et rentrent presque toujours dans le giron de la
structure. Même l’exemple le plus nu de la varia-
tion, le Boléro de Ravel, dont varient les timbres
mais non les notes, a la forme dans le sang. La
forme orgasmique du crescendo.
Umberto Eco fonde la démonstration du
« Vertige de la liste » sur l’Iliade, dont il dis-
tingue deux moments : la description du bouclier
d’Achille qui termine le XVIIIe chant, et le cata-
logue exhaustif des vaisseaux, peuples et chefs
qui occupe une bonne partie du IIe. Le bouclier
où Héphaïstos a gravé le cosmos et dont le disque
parfait assure l’intégrité. Le catalogue, dépourvu
de sens dramatique et de tout dessein. Dès ses
premières heures, la musique occidentale a con-
nu pareil antagonisme. Ici la messe, forme close
de source divine ; là les litanies, ruban oral, forme
ouverte à visage humain (celui de la Vierge en
l’occurrence). Selon Umberto Eco, ces types
universels opposeraient deux idéaux. L’un ap-
partiendrait aux sociétés de la forme, bâtisseuses
et des pell’à gâteaux…). Aria bipartite, chanson à
refrain : quoi de plus formel ? Le texte dit liste, la
musique dit forme.
Conclurons-nous que notre art résiste tout en-
tier à l’hypothèse d’Eco ? Eh ! pas si vite. Ce
ne sont pas seulement des systèmes et des idées
qu’oppose le théoricien, mais des sociétés. Alors
suivons-le. Confrontons une société de la mu-
sique formelle et une société de la musique ou-
verte. Vous devinez ? Un petit effort…
L’Allemagne et la France, bien sûr. L’Allemagne
disciplinée, patrie de la sonate. La France insou-
ciante, berceau de la suite. Hâtif, direz-vous :
la sonate ne vient-elle pas d’Italie ? Sans doute,
mais jusqu’au XXe siècle les esthètes se sont bat-
tus pour et contre les sœurs ennemies : à l’est
la sonate et sa noble famille (la symphonie, le
quatuor…), à l’ouest la suite et son joyeux cor-
tège (les « livres », le ballet…). De Marin Marais
à Darius Milhaud, nous avons fait des suites, des
galeries de portraits, des recueils de sensations.
libre d’humanité. Le couple francophile Berio-
Berberian interpréta dans son style le jardin zo-
ologique à la française en demandant à Umberto
Eco de lui fournir une liste d’onomatopées ven-
ues de la BD. Ce qu’Eco fit – les jeunes voix de
l’Atelier lyrique nous le rappellent.
Ivan A. Alexandre
Les Cris de Paris, Geoffroy Jourdain, direction.
Avec deux créations mondiales : HSESTTL
(commande du Louvre) et Asmarâ de Jean-Louis
Florentz. Le 6 novembre à 20h.
David Kadouch, piano (Haydn, Wagner/Liszt,
Moussorgski). Le 19 novembre à 12h30
Solistes de l’Atelier lyrique et musiciens de
l’Opéra national de Paris
Berio, Berberian, Weill/Berio, Mc Cartney/Berio.
Le 25 novembre à 20h.
11

Vertige en images
Vertige en musique
Deux séances de musique filmée en hommage à deux créateurs, Zbigniew
Rybczynski et Luciano Berio, qui sont, dans des domaines différents, des références
pour Umberto Eco.
Zbigniew Rybczynski :
Vertige dans l’image
Jeudi 19 novembre à 20h
auditorium
présentée par Élise Domenach,
maître de conférences en Études
cinématographiques ENS-LSH
En présence de Zbigniew Rybczynski
et d’Umberto Eco
En collaboration avec
l’Institut polonais
De ses premiers films à l’école de
Lodz en Pologne à ses derniers
clips réalisés à Los Angeles, toute
l’œuvre du réalisateur expérimen-
tal polonais Zbigniew Rybczynski
est une exploration, thématique et
technique, du collage, de la liste et
de la répétition, thèmes de prédi-
lection d’Umberto Eco… Un ciné-
ma héraclitéen où l’on ne se baigne
jamais dans la même image. Son
travail s’appuie sur une exploration
systématique des nouvelles techno-
logies alliant cinéma, vidéo, haute
définition et images numériques,
qui selon les films et quelquefois
conjointement, mettent au jour la
systématicité du mouvement ciné-
matographique et sa puissance co-
mique ou sont mis au service d’une
vision poétique du réel.
On retrouve dans de nombreux
films une relation forte de l’image
12
et de la musique, originale ou pré-
existante, comme dans l’Orchestre,
une réalisation dans laquelle
Umberto Eco salue (in Presque la
même chose) la réussite à livrer une
interprétation visuelle de la mu-
sique. Un des trois extraits de l’Or-
chestre que nous présentons, la
Marche funèbre de Chopin, donne
lieu à une véritable fantasmago-
rie que Paul Virilio compare à ce
que pourrait être la dernière vision
rétrospective d’un mourant sur sa
vie. Le Boléro de Ravel se présente
comme la montée d’un escalier in-
fini par une variété de personnages
représentant un résumé de tous
les types humains. L’ouverture de
la Pie voleuse de Rossini, filmée
dans la salle Mollien du musée du
Louvre joue, elle, sur la décompo-
sition des personnages à partir du
rythme trépidant de la partition.
Autre exemple de cette revisitation
du patrimoine musical, la mise en
image humoristique des varia-
tions du fameux Caprice n° 24 de
Niccolò Paganini.
En complément de ces documents,
cette séance donne l’occasion de
voir ou revoir le classique du court-
métrage qu’est Tango (Oscar du
court-métrage en 1983), construit
sur une accumulation hypnotique
Exploration musicale de la littérature :
Berio et Eco à l’œuvre
Lundi 23 novembre à 20h30
auditorium
Séance présentée par Umberto Eco et Martin
Eugenio Carmi © D.R.
Kaltenecker
Quand la télévision allemande a rendu hom-
mage à Luciano Berio il y a quelques années,
Umberto Eco était venu assister à la répétition
d’une des célèbres Sequenze dans le somptueux
auditorium de l’université de Bologne. « Nous
nous connaissons tout de même depuis 1955. C’était
à la RAI de Milan où je travaillais au second étage,
alors qu’au cinquième, il y avait le “Laboratoire de
Phonologie musicale”, voilà comment cela s’appe-
lait. Et là j’ai rencontré des gens comme Stockhausen,
Boulez, c’était un vrai foyer où beaucoup de choses se
passaient. » Une complicité intellectuelle naît aussi-
tôt : si Eco découvre le Cours de linguistique générale
de Saussure dans la bibliothèque de Berio, il lui
communique sa passion pour Joyce, auquel sera
consacré le grand chapitre final de l’Œuvre ouverte
(1961). On se retrouve dans la maison que Berio et la
de personnages dans une pièce chanteuse Cathy Berberian habitent Via Moscati, et,
– certains y ont vu une métaphore tout en goûtant une « cuisine arménienne fabuleuse »
de la crise du logement qui sévis- (Eco dixit), le sémioticien suggère au compositeur
sait alors dans la Pologne des an- de travailler sur le chapitre des sirènes d’Ulysse, ins-
nées 80. Un autre court-métrage piré précisément de la forme musicale de la fugue.
accompagne cette séance : Nouveau Berio élabore ainsi en 1958 dans son studio Thema
livre, split screen de différents points (Omaggio a Joyce), à partir de la lecture en plusieurs
de vue mettant en scène un livre langues (en français par Eco lui-même) d’un texte
qui passe de mains en mains. ensuite découpé, recombiné, rythmé, produisant
Christian Labrande une sorte d’empilement babélien de fugues verbales.
La question qui travaille les deux esprits est donc
Nowa Ksiazka / Nouveau livre, celle de la forme – fascination commune pour des
prod. : Se-Ma-For Lodz, Pologne, parcours imprévisibles et labyrinthiques, pour l’in-
1975, 10 min, couleurs, 35mm. formel, les allers-retours et les surprises ; rien, chez
Tango, prod. : Se-Ma-For Lodz, Berio, qui se réclamerait du « grand développe-
Pologne, 1975, 8 min, couleurs, 35mm. ment » dans la tradition allemande. Mais une autre
Capriccio n° 24, prod. : TVE, Espagne, problématique surgit : celle de l’ouverture vers
1989, 6 min, couleurs, HDTV. d’autres langages et l’intégration de la culture popu-
L’Orchestre-extraits, prod. : Zbig laire. Au décodage de la culture de masse chez Eco
Vision/Ex Nihilo, France, 1990, 57 à son intérêt pour la narration de la bande dessinée
min, couleur, HDTV. répond, chez Cathy Berberain, la Stripsody, collec-
- Chopin : la Marche funèbre tion d’onomatopées, et l’utilisation de la voix des
(extrait de la Sonate n° 2), 12 min. Swingle Singers dans Sinfonia (1986). Il s’agira doré-
- Ravel : le Boléro, 17 min. navant de mélanger les langages. « Berio, dit encore
- Rossini : ouverture de Eco, était un compositeur particulièrement stimulé par
la Pie voleuse, 10 min.
RÉTROSPECTIVE RYBCZYNSKI
au cinéma Le Denfert
samedi 21 novembre à 19h.
Organisée par l’Institut polonais et
l’Association française du cinéma
d’animation. Tarif unique: 5 €.
The Orchestra. © Zbigvision
tous les problèmes culturels de notre temps. Il a toujours
essayé d’établir un lien entre les problèmes proprement
musicaux et tous les courants de notre monde contem-
porain. Il est important de dessiner de cette manière la
figure du compositeur. »
C’est ainsi qu’a surgi en même temps la question de postmo-
dernité : faire entrer les affects et les clichés de la culture popu-
laire(laSequenzapourtromboneestleportraitd’unclown…),
mélanger les citations de Mahler, le jazz, déconstruire les
formes traditionnelles pouvait apparaître comme une ma-
nière de dépasser l’expérimentation moderniste. Plus tard,
dans son Apostille au Nom de la rose (1983), Eco récupérera
Joyce à son profit : « Finnegans Wake est déjà postmoderne, il
requiert, pour être compris, non point la négation du déjà dit, mais
une nouvelle réflexion ironique. » Berio est souvent allé dans ce
sens. Qu’aurait-il pensé de la thématique de la liste, proposée
par son vieux complice au Louvre ? Peut-être aurait-il re-
songé à son A-Ronne (1975) sorte de madrigal polyglotte où le
poème, répété vingt fois, s’appuie sur trois thèmes : le début, le
milieu, la fin… On va de A à Z, on recommence, une forme
naît de l’épellation.
Martin Kaltenecker
Sinfonia (extrait)
Réal. : Jaap Drupsteen, prod. : NOS, 1999, 15 min.
L’œuvre la plus célèbre de Berio pour son détour-
nement de la musique de Mahler qui éveille une
« multiplicité de références » aboutissant à une sorte
d’histoire musicale miniature où sont convoquées
des références à Bach, Brahms, Boulez, Schoenberg,
Stravinski, Strauss, Stockhausen…
Luciano Berio
Documentaire de Reuven Hecker, prod. : Belshir
International/GA&A/Arte France/ZDF/OFR, 2000,
10 min.
Stripsody et Sequenza III pour voix
Cathy Berberian
Répertoire d’onomatopées de la BD Linus sur un
texte d’Umberto Eco mis en images par le réalisateur
italien Carlo Ippolito.
Krazy Kathy (extrait)
prod. : RTSI, 1993, 10 min.
… Et d’autres archives de la RAI sur Luciano Berio.
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..........................................................................................................................................................................................

13 novembre A Tarif 20h Adresse

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..........................................................................................................................................................................................
Musique/voyage/musique
..............................................................................................................................................................................................................
Thomas Macho. 30 novembre à 20h30 Téléphone ..............................................................................................................................................................................................................
..............................................................................................................................................................................................................
Tarif
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Tarif ATarif A
Tarif
7 novembre à 12h30 Musique/voyage/musique
30
«Duos novembre Musique/voyage/musique
éphémères» à 20h30 - Téléphone
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à 12h3012h30 à 12h30 25 «Duos
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Courriel Courriel
Courriel
..............................................................................................................................................................................................................

Musique/voyage/musique -
..............................................................................................................................................................................................................

30 novembre
30 novembre à 20h30à 20h30 Téléphone
L’Œuvre en scène
..............................................................................................................................................................................................................
..............................................................................................................................................................................................................
7 novembre à 12h30 avec Vincent
«Duos Vincent éphémères» Ségal. Courriel ..........................................................................................................................................................................................
..........................................................................................................................................................................................

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..............................................................................................................................................................................................................

L’Œuvre
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et12h30 scène avec
«Duos deVincent
avec Vincent
éphémères» Ségal. Ségal. - Si vous avez moins de 26
26 ans, indiquez votre
votre année de naissance 19
Le
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L’Œuvre
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..............................................................................................................................................................................................................

19
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Le
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L’Œuvre
7 novembre
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novembre
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à 12h30
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Si vous d’indiquer
avez
avez moins ici son
de 26 N° ans, indiquez votre annéeetdesanaissance et sa date d’expiration 19
..............................................................................................................................................................................................................
..............................................................................................................................................................................................................
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merci vousd’indiquer uneici carte son d’adhérent,
N° date d’expiration
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L’Œuvre Vierge.
de calendrier
de en
AL’Œuvre
la Vierge.
la Vierge.zodiacal
scène
en scènedu cycle Tarif 3 décembre
avec
3
Cavec
Vincent
décembre
décembre Vincent
3 décembre
à 18h
àSégal.
18h 30
Ségal.
3018h 30 merci
Si vous d’indiquer
merci
êtes
avez d’indiquer
ici
demandeur
une carte sond’adhérent,
N° ici son N°joignez une attestation.
d’emploi, et sa date et d’expiration
sa date d’expiration
de--ààMicrocosme,
18h à
30
Tarif
Tarif A merci
Si vous Sid’indiquer
êtes
avez
vous moins
avez ici
demandeur son
moins N°
dedemandeur
26 d’emploi,
deans, 26indiquez
ans, joignezindiquez
votre une votre
année et
attestation. desanaissance
année date d’expiration 19 19
de naissance
l’Opéra Conférence Si vous êtes
Si vous demandeur
êtes d’emploi, d’emploi,
joignez une joignezattestation.
une
et saattestation.
Tarif la
de
Le ALeVierge.
Tarif
Tarif calendrier
A zodiacal
calendrier zodiacaldu cycledu cycle 3
Conférence
Tarif Cnational
décembre
Tarif C Paris
18h 30
Microcosme, merci
Si vous Sid’indiquer
êtes
vous demandeur
avez une
avez ici
carte
uneson N°
carte d’emploi,
d’adhérent, d’adhérent, joignez une attestation. date d’expiration
8
A Conférence
3 décembre Conférence -à Microcosme,
18h -30Microcosme,
8 novembre
de
14 novembre
8 la
AdeVierge.
novembre
Tarif
novembre 8la Vierge.
ànovembre
14h
à
à 20h30
à 20h30
20h30 à 20h30 Concert macrocosme
Conférence
macrocosme
macrocosme
Conférence macrocosme
- Microcosme,
-àMicrocosme,
Si vous
merci
Achats
merci êtesd’indiquer
d’indiquer
de
demandeur
places
ici soniciN°
“A l’unité”
d’emploi,
son N° joignez une attestation. et sa date et sa d’expiration
date d’expiration
Lecture
8
LectureATarif A-- Frontières
novembre à 20h30de
Frontières de l’être
l’être 3
par décembre
3 décembre
Edgar
macrocosme Morin. 18h à 18h
30 30 Achats
Si vous de
Si êtes
vous places
demandeur
êtes “A
dedemandeur l’unité” d’emploi,
(moins
(moins
“A d’emploi, joignez
de
de 5
5une
joignez
manifestations)
manifestations)
attestation.
une attestation.
Tarif
Lecture
8 novembre Lecture
- Frontières
à - Frontières
20h30 de l’être
de l’être par
par Edgar
Edgar
macrocosme par Morin.
Morin.
Edgar Morin. Achats de
Achatsplaces “A places
l’unité” l’unité”
(moins de(moins
5 manifestations)
de 5 manifestations)
« Œuvreset
et de
de la
ouvertes
Lecture la -langue
langue» : Umbertode
Frontières Ecol’êtreTarif Conférence
par
Tarif Conférence
AAEdgar Morin. - Microcosme,
- Microcosme, Achats
Le de places “A l’unité” (moins àà de 5 hmanifestations) pl.x €=
Tarif A Le hmanifestations) pl.x € = €
Achats de Le places “A l’unité” (moins
..................................................................................... ............ ........... ................ .............. ..................
et
8 de
Lecture 8 la
novembre etGiraudeau
-langue
novembrede laà langue
Frontières 20h30 à lit de
20h30 l’être Tarif par Edgar
macrocosme Morin. Le à de 5 h à h pl.x pl.x = € =€ €
Amacrocosme
..................................................................................... ............ ........... ................ .............. ..................
A Tarif A € €
Bernard
et de
Bernard
et la scène la
italienne langue
Giraudeau
des années lit Fernando
Fernando
1960 Tarif Le
Le Achats
.....................................................................................
.....................................................................................
àà h
hmanifestations)
.....................................................................................
............
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............
pl.x
pl.x
...........
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................

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€ =
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..............
..............
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..................

Bernard
et de
Lecture
Pessoa.
Bernard
Bernard
Giraudeau
la Giraudeau
Lecture -langue
Frontières Giraudeau
- Frontières lit
lit
Fernando
de
Fernando
lit Fernando
l’être
de l’être 7
par
7
Tarif décembre
AEdgar
par
décembre Edgar
Morin. à
à 18h30
Morin.
18h30
Achats
Le de
Le placesde places
“A l’unité”
“A l’unité”
(moins à (moins
de 5 h de
à 5
.....................................................................................
..................................................................................... manifestations)
h
............
.....................................................................................
............ pl.x
...........
...........
............ pl.x€
........... =
................
................ € = €
€ ..............
................
..............€ ..................
..............
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7 décembre 7 décembre à 18h30 à 18h30
..................................................................................... ............ ........... ................ .............. ..................
Pessoa. Le
Le à h pl.x € = €
Dialogue avec Anselm Kiefer ààà hà pl.x =
..................................................................................... ............ ........... ................ .............. ..................

ColloquePessoa.
Bernard
et de et Pessoa.
lade Giraudeau
langue
la langue lit Fernando27 novembre 7
Dialoguedécembre
ATarif A avec à 19h à 18h30
Anselm Kiefer Le
Le Le Le àh
.....................................................................................
h h h
............
pl.x
...........
pl.x pl.xpl.x
€=
................
€ = € =€ =€
€ ..............
€ €
..................

Pessoa.
Tarif B Tarif
Dialogue
7 Dialogue
avec Anselm
avecbibliqueAnselm
Kiefer Kiefer Le Le
.....................................................................................
.....................................................................................
.....................................................................................
à h
............
............ ...........
............
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................
€
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..............................................
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..................
.............. ................................
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Ladécembre àmythe
18h30
.....................................................................................
.....................................................................................
............ ............ ..................
..................
Tarif B à hà pl.x €
€= €
frontière,
..................................................................................... ............ ........... ................ .............. ..................
Pessoa.
Tarif
BernardBBernard
Tarif B Giraudeau
Giraudeau lit Fernando
lit Fernando Dialogue
La frontière, avec mytheAnselm Kiefer
biblique Le Le Le .....................................................................................
à àh h h
............
pl.x pl.xpl.x
...........
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biblique Le
€=
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La frontière, La frontière, àmythe mythe
biblique
.....................................................................................
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........... ...........................
..............................................
.............. ................................
EntréeTarif
9libre
B Lectures Dialogue 7sonores avec Anselm ? Kiefer
Le à h pl.x Total 2
.....................................................................................
.....................................................................................
............ ............ ..................
..................

novembre
Pessoa.
9 BPessoa. à
novembre à 20h 20h 7
La oudécembre
mythe décembre
frontière, graphique 18h30
mythe à 18h30 biblique
..................................................................................... ............ ...........
Total €2
2=
................
2 =€
.............. ..................

ou mythe graphique ? Total = Total ..................

Tarif Le Le à àh h pl.x pl.x € = = € € €
9 novembre 9 novembre à 20h 2 à 20h ou mythe ou mythe
graphique graphique ? ?
.................. ..................
Total général général €
La frontière, mythe biblique
..................................................................................... ............ ...........
........... ...........................
..............................................
.............. ................................
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.....................................................................................
............ ............
Total 2 = ..................
..................

Concert
9 novembre
Concert (œuvre)
BTarif B(œuvre) à 20h dansou Dialogue
Le Dialogue
regard
mythe
lesregard
salles avec
d’Anselm
graphique
duregard avec
musée d’AnselmAnselm Anselm
Kiefer
? Kiefer Kiefer Total = €
€ ..................

Le d’Anselm Kiefer Totalpl.x général Total 2 général

= € = =€
..................
Tarif 2
Le Le à àh h Total
pl.x € €
Concert Concert(œuvre) (œuvre) Le regard Le d’Anselm Kiefer Kiefer
.................. ..................
€ €
9 novembre
L’Instant (œuvre)
Concert à
Donné –– 2Pattar, 20h 2
Pattar,
2
2
La
avec ou mythe
frontière,
La
Le regard Anselm graphique
frontière,
d’Anselm mythe mythe
Kiefer, Kiefer ?
biblique biblique Si vous vous désirez souscrire
.....................................................................................
souscrire un
.....................................................................................
un abonnement
abonnement (à (à partir partir de 5
........... ......................................................... ................................
Total
............ ............
5 manifestations),
manifestations),
général =
contactez-nous
€ ..................
..................
..................

L’Instant
L’Instant
16 novembre
Concert à Donné
L’Instant
Donné
(œuvre)
18h30 Donné
– Pattar, – Pattar, Accès avec
avec Le libre Anselm
Anselm
regard avec
avec Anselm
le
d’Anselm Kiefer,
Kiefer,
billet du Kiefer,
musée
Kiefer
Si
Si vous désirez désirez
Si voussouscrire désirez souscrire un abonnement un abonnement (à partir de de
(à partir deTotal
5 manifestations), général
Totalcontactez-nous
5 manifestations), 2Total
= 2 contactez-nous
contactez-nous = € € ..................
9 novembre
9 novembre à 20h à 20h ou mythe
ou mythe graphique graphique ? ?
..................
..................

Schönberg,
L’Instant Donné
Schönberg, Andre,
Andre, Webern.
– 2Pattar,
Webern. Dominique
avec
Dominique Anselm Cordellier
Kiefer,
Cordellier Si vous désirez souscrire un abonnement (à partir de 5 manifestations),
par télephone ou écrivez sur papier libre. (à partir de 5 manifestations), Total Total général contactez-nous
général= = €
Schönberg,
L’Instant
Concert Schönberg,
Concert Donné
(œuvre)Andre,
(œuvre) – Andre,
Webern.
Pattar,2 Webern. Dominique
avec
et Anselm
Le Brigitte
regard Dominique
Le regard
Brigitte Cordellier
d’Anselm
Donon. Kiefer, Cordellier
d’Anselm Kiefer Kiefer Si vous désirez souscrire un abonnement contactez-nous € ..................
..................

Schönberg,
Pieter Brueghel
Tarif D l’Ancien
D // Gratuit
Gratuit Andre, Webern.
*3
Dominique
et Cordellier
Donon.  Paiement par chèque (à libeller à l’ordre du « musée du Louvre»)
 Paiement par chèque (à libeller àà libeller
l’ordre
Tarif l’ordre àdu «
«(àmusée du Louvre»)
*3
Schönberg,
L’Instant
Tarif DL’Instant
/ Gratuit D /Andre,
TarifDonné Donné
Gratuit *3
Webern.
– Pattar, – Pattar,
*3
et
Dominique
avec Brigitte
avec
Anselmet Brigitte
Donon.
Cordellier
Anselm Kiefer,Donon.
Kiefer,  Paiement
Si vous  Paiement
Si désirez
vous par chèque
désirez
souscrire par
souscrire(à
chèque
libeller
(àunlibeller un(àabonnement
abonnement à l’ordre(àdu
du l’ordre
partir musée
dedu
partir «de
dumuséeLouvre»)
5 manifestations),
du 5Louvre»)
du Louvre»)
manifestations), contactez-nous
contactez-nous
Tarif D / Gratuit *3
et
Entrée
Entrée Brigitte
libre
libre Donon.  Paiement par chèque « musée
et ses «Schönberg,
collections
12 novembre
Schönberg,
12 novembre
Tarif novembre
D / Gratuit de savoirs
Andre, à *3 18h30
à Andre,
18h30 »
Webern. 30
Webern. Entrée novembre
et
Entrée
DominiqueBrigitte
libreEntrée
Dominique à 18h30
Donon.
libre
Cordellier Cordellier Paiement
Paiement
 Paiement parpar
par carte
cartechèque bancaire
bancaire (à libeller à l’ordre du « musée du Louvre»)
12
Conférence 12 novembre à
-- Les 18h30 à
fissures18h30 du 7
libre Paiement Paiement
par carte parbancaire
carte bancaire
12 novembre à 18h30 7dudécembre à 20h00 Paiement Nationale parpar carte  Visa
bancaire  Eurocard-Mastercard  American Express
Conférence Les fissures du La Wunderkammer
et Brigitte
etlibre 7Brigitte
Donon. à Donon.

Conférence
Tarif Dpar
Tarif
Conférence Omar
/ Gratuit
D / Gratuit
Conférence Calabrese
- Les
*3 *3
fissures
- Les être fissures
du
Entrée décembre 20h00
a-t-elle existé ? Nationale
Paiement
 Paiement chèque
par  Visa
 chèque (à libeller
(à libeller
à l’ordreEurocard-Mastercard
à l’ordre
du  « musée
du « musée du Louvre»)  American
du Louvre») Express
du 7 décembre décembre à 20h00 à 20h00

12 novembre à 18h30 Paiement
 Nationale  parNationale
carte bancaire Visa Visa  Eurocard-Mastercard Eurocard-Mastercard  American  American
Express Express
monde
Conférence
monde :: peuvent-elles
- Les
peuvent-elles fissures être Dialogue
7
Dialogue
Entrée décembre
Entrée
libre libre avec
avec Anselm
à 20h00
Anselm Kiefer
Kiefer Carte
 Nationale
Carte n°
n° Carte n°  Visa
  Eurocard-Mastercard Date
Date d’expiration
 American Express
d’expiration
monde
12 12monde
Tarif GConférence
novembre
transcendées : peuvent-elles
novembre :à?peuvent-elles
- Les 18h30fissures
à 18h30 être être
du InventaireDialogue
7 Die
- décembre d’un
Kunst avec
Dialogue mythe
geht Anselm
à 20h00avec
knapp Kiefer
Anselm nicht Kiefer Carte
Carte
Paiement
 n°
Nationale
Paiement
(lespartroiscarte par carte Visa
bancaire bancaire  Eurocard-Mastercard Date d’expiration
Date
 d’expiration
American Express
monde
transcendées : peuvent-elles ?? être Dialogue
--Dialogue
Die Kunst avec geht Anselm
knapp Kiefer
nicht Crypto
Crypto (les n° derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le Datepavéd’expiration
signature)
transcendées
monde
Conférence
par Johan transcendées
: peuvent-elles
Conférence - Les
Galtung. - Les ? fissures
fissures être du du 7
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décembre
7 Kunst
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L’art Kunst
gehtàne 20h00
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disparaît knapp
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Kiefer pas nicht Crypto
Carte
 Nationale
(les trois derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le pavé signature)
Crypto
n°Nationale
trois derniers
(les trois  chiffres
derniers
Visa  Visa figurant
chiffres auEurocard-Mastercard
figurant
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Eurocard-Mastercard Date
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American
 American Express Express
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Crypto (les trois derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le pavé signature)
par
par Johan
Johan
transcendées par Galtung.
Johan
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-Dialogue
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Kunst L’art
par Patricia
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Signature n°(lesindispensable
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Tarif monde
Johan
A : peuvent-elles
: peuvent-elles
Galtung. tout
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L’art neavec
Anselm Anselm
disparaît Kiefer pasKiefer Carte
Signature Carte n° derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le
trois
indispensable Datepavéd’expiration
Date
signature) d’expiration
Tarif
par A
Johan AGaltung. Tarif tout
tout
unter à
G - ààAnselm fait
/tout
fait
L’art àgeht fait
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SignatureSignature
Signature
indispensable
(lesindispensable
indispensable
transcendées
16 novembre
Tarif
Tarif Atranscendées
A à 20h30
Tarif ? ? -tout
Die
avec Kunst
Die fait Kunst Kiefergeht
knapp
et knapp
Simon nicht Crypto trois (lesderniers
trois derniers chiffreschiffres figurantfigurant au dos au dedos la carte
de ladans carteledans pavélesignature)
pavé signature)
16 novembre
novembre à 20h avec
avec Anselm
Anselm Kiefer et Simon Signature indispensable
tout à /avec
fait /Anselm Kiefer neKiefer
et Simon et Simon La loi n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés s’applique aux informations transmises. Elle
par
16
Tarif
16
Tentative Johan
Apar16Johan
novembre
d’épuisement Galtung.
novembre Galtung.
à
à de 20h
20h à 20h unter
Schama.
avec unter
Anselm L’art L’art ne
Kieferdisparaît
etdisparaît
Simon pas pas La La
garantitloi n°78-17
un droit
loi n°78-17
dud’accès
Laduloi
6 janvier
6n°78-17
1978
et 1978
janvier de relative à pour
du rectification
6 janvier
relative1978
l’informatique,
à pour les données
l’informatique,
relative
aux fichiers
auxvous
à l’informatique,
fichiers
et aux libertés
concernant
et
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aux à exercer
fichiers
libertés
s’applique
auprès
et s’applique
aux libertésduaux
aux
informations
service
s’applique Relations
informations
transmises. Elle
avec le public.
aux informations
transmises. Elle
transmises. Elle
Concert
16 novembre (œuvre) à 20h 2 Schama.
Schama.
avec AnselmSchama. Kiefer et Simon
garantit
Signature
Sauf
La
garantitloi
un droit
Signature
opposition
n°78-17
un du
droit
d’accès
indispensable
écrite
garantit6
et
janvier
d’accèsun
de
votre
1978
droit
et de
rectification
deindispensablepart, ces
relative
d’accès
rectification
et à
de
les données
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l’informatique,
pour
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les données pouraux
vous
être
fichiers
vous
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concernant
communiquées
et aux
concernant vous
à exercer
libertés
à à des auprès
tiers
s’applique
concernant
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du
dans
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du
service
leauprès Relations
strictRelations
cadre
leinformations
service desavec le public.
missions
transmises.
du service avec
Relations du
Elle
le public.avec le public.
Concert
Tarif
ConcertATarif A(œuvre)
(œuvre)
Concert
2
(œuvre) tout
Schama.
Entrée tout
àlibre fait à fait Sauf
musée
garantit
opposition
du
un Louvre.
droit
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part,les données auxvous
êtreconcernant à exercer auprès du
strict cadre
servicetiersRelations
des missions
avec
du
le public.
16 novembre à 20h
2 2 Sauf
La
musée loiopposition
n°78-17
du Sauf
duécrite
Louvre. opposition
6 janviervotre
1978 part, de ces
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leinformations
strict dans
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missions
cadre
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du missions du
Elle
J.deet
etGeorges
C. Widmann,
Widmann, S. Kammer,
Kammer,1 décembre Entrée libre
l’œuvreConcert
J. C. (œuvre) Perec 2 S. 2 er
Schama.
Entrée
avec libre
avec
AnselmEntrée à 20h
libre
Anselm Kiefer Kiefer
et Simon
et Simon
Sauf
musée opposition
du Louvre.écrite
musée dude votre
Louvre. part, ces informations pourront être communiquées
garantit un droit d’accès et de rectification pour les données vous concernant à exercer auprès du service Relations avec le public.
*1 - Réduit : adhérents du musée, achat groupé, étudiants de plus de
à des
26
tiers
ans,
dans le
adhérents
strict cadre
Fnac,
des missions
personnel
du
du
J.
16 et
Concert
J.-E. C.J.novembre
novembre
16 Widmann,
Bavouzet et C. Widmann,
(œuvre) à– 20h S. Kammer,
à 20h
Widmann, S. Kammer, Entrée libre musée
Sauf du
La loiopposition
Louvre.
n°78-17 duécrite
La loi n°78-17 de
duvotre
6 janvier 61978 part,
janvier ces informations
relative
1978 àrelative pourront
l’informatique,
à l’informatique, êtreaux
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et
fichiers
aux libertés
et auxà des tiers s’applique
s’applique
libertés dans
auxleinformations
strict
auxcadre des
informationsmissions
transmises. du
transmises.
Elle Elle

lecturesJ. et C. Widmann, S. Kammer, Entrée Schama. Schama. ministère

*1
musée - Réduit
du de lad’accès
Louvre. :: Culture
Adhérents et rectification
de
duetlade Communication,
musée, achat groupé, guidesétudiants et vous
conférenciers,
de plus de achat
à26 ans, en abonnement.
adhérents Fnac, personnel du
J.-E.
par Bavouzet
etL’OuLiPo
J.-E.
J. Bavouzet
C.J.-E.
Widmann, Bavouzet –– Widmann,
Widmann,
2 S. 2– Widmann,
Kammer, Listing libre
cérémonie
garantit
*1 un
garantit
Sauf---opposition
Réduitdroit un droit etd’accès
Adhérents de
du rectification
musée, pour les pour
achat données
groupé, les données
vous
étudiants concernant
deconcernant
à exercer
plus de 26auprès
exercer
ans, du
auprès
service
adhérents duRelations
service
Fnac, Relations
avec le public.
personnel avec
du le public.
Concert Concert
Pintscher...
J.-E. Bavouzet
Pintscher...
(œuvre) (œuvre) – Widmann, Entrée Entrée
libre libre
*1
*2
ministère
ministère
*1
musée -
Réduit
Sauf*1
Jeunes
Réduit
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la
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et de
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musée,
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Communication,
Communication,
musée,
du
achat
26musée,
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deces
achat
groupé,
informations
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chômeurs,
guides
guides
groupé,
étudiants
pourront
être
et
et
étudiants
groupé,
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être
conférenciers,
conférenciers,
de
plus
ciaires
plus
de
communiquées
àdu
achat
achat
de
de
des26
26
plus
RMI
en
en
ans,
tiersà des
ans,
etde
adhérents
dans
de 26
tiers
abonnement.
abonnement.
le ans,sociale,
strict
dans
l’aide
adhérents
Fnac,
leadhérents
cadrestrict
Fnac,
personnel
descadre Fnac,
missions
handicapés,
personnel
du
personnel
des missions
du
du
du du

Pintscher...
J.-E.
J.
et Carole Bouquet Pintscher...
etDJ.Bavouzet
C. etWidmann,
C. Widmann, – Widmann,S. Kammer,
S. Kammer, Spectacle mis en scène sous la
ministère d’une
titulaires
*2
*1 --- Jeunes
Réduit
deministère
la Culture
carte
et
de la :Culture
de etlade
Cotorep
solidarité
Adhérents et dedu
Culture
la ouCommunication,
et de la Communication,
d’invalidité,
::musée,
Moins de
achat26 achat
ans,
guides
groupé,
etabonnement
enétudiants
chômeurs,
conférenciers,
guides et conférenciers,
bénéficiaires
de plus pourachat
dedules en
26RMIans,
abonnement.
bénéfi et
achat
ciaires
de
en abonnement.
l’aide
adhérents du tarif personnel
sociale,
Fnac, réduit.
handicapés, du
Pintscher...
Tarif
Tarif D / Gratuit
D // Gratuit
Gratuit
*3
*3
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*2
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*2 -
titulaires
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pour
la -Culture
solidarité
les
etJeunes
carte adhérents
solidarité
et deetlaou
Cotorep
la Communication,
Moins
carte
solidarité
: d’invalidité,de 26
Louvre
Moins de :26Moins ans,
ans,
achat
guides et conférenciers,
chômeurs,
jeunes.
chômeurs,
de abonnement
en 26
et ans,
bénéficiaires
bénéficiaires
chômeurs,
pour
achat
du en
RMI
bénéficiaires
les du RMI
abonnement.
bénéficiaires
et
et dede l’aide
dul’aide
RMI et
du
sociale,
sociale,
de l’aidehandicapés,
handicapés,
sociale, handicapés,
Pintscher...
Tarif
J.-E.DJ.-E. TarifBavouzet
Bavouzet D / Gratuit – Widmann,– Widmann, ministère ouCommunication, guides conférenciers, achat en abonnement. du tarif réduit.
*3 *3
titulaires
*2
*1
*4 --- Gratuit
Jeunesd’une
Réduit
*1d’une- Réduitcarte
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pour lesCotorep
etAdhérents
solidarité
: adhérents
Adhérents
duou d’invalidité,
:musée,
Moins de
ou26
du musée,
carte achat
Louvreachat
ans,
groupé,
achat en groupé,
jeunes abonnement
chômeurs,
étudiants
et pour pour
bénéficiaires
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de
étudiants bénéficiaires
26RMI
plus enans, et
deart.
26
adhérents
ans, tarif
debénéficiaires
l’aide réduit.
sociale,
adhérents
Fnac, handicapés,
dupersonnel
Fnac, personnel
du du
Tarif FTarif / Gratuit titulaires titulaires d’une
Cotorep carte Cotorep
d’invalidité, d’invalidité,
achat en abonnement
achat abonnement
pour les bénéficiaires
pour les du tarif réduit. tarif réduit.
*3

Pintscher...
DPintscher... pyramide par Ludovic Lagarde *3
*2
titulaires
ministère
*3 Gratuit
- Jeunes d’une
ministère pour
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Cultureles et-- de
etdesolidarité
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Culturede 26
de 26 ans.
: d’invalidité,
Moins
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de la Communication,ans, chômeurs,
en abonnement
guides et
guides bénéficiaires
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et conférenciers, du RMI
bénéficiaires
achat enachat et de enl’aide
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tarif
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Tarif / Gratuit *3 -- Gratuit les 26ouans.
*3

Tarif DTarif
/ Gratuit
D / Gratuit
*3 *3
Tarif unique : 10 €
titulaires Gratuit *3 -pour
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Cotorep
*3 - Jeunes
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- de 26 ans.
d’invalidité,
- de 26 ans.
solidarité
: Moins: de
achat en abonnement pour les bénéficiaires du tarif réduit.
Moins
26 ans,
de 26
chômeurs,
ans, chômeurs,
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l’aide sociale,
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✄
✄
*3 - Gratuit
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Cotorep
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Cotorep
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ou d’invalidité,
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en abonnement
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réduit.
tarif réduit.
✄
✄
19 novembre à 12h30 *3 - Gratuit
*3 - Gratuit
pour lespour
- de les
26 -ans.
de 26 ans.
L’œuvre pérenne est L’œuvre pérenne est réalisée Président-directeur
réalisée grâce grâce audu musée
au soutiensoutien
du Louvre d’d’ ✄
David Kadouch, piano L’œuvre L’œuvre
12 décembre pérenne
à 20h30pérenne est
est réalisée
est réalisée grâce grâce
au soutien
au soutien d’ d’ Malfettes Listing Cérémonie et lectures sonores Iconographie

La L’œuvre pérenne réalisée grâce au de soutien d’ Stéphane

Henri Loyrette Laure Péan
La programmation
L’œuvre
programmation pérenne bénéficie
est
bénéficie réaliséedu mécénat
du mécénat
grâce au soutien
de d’ avec Camille Maurel et Laurence Martin-Brenneur
Concert La programmation
13 La programmation
décembre
LaBillL’œuvre
programmation à 16h bénéficie
bénéficie bénéficie
du mécénat
du etmécénatdu
Directeur demécénat
l’auditorium de
de de Histoire de l’art
Création chorégraphique
Création chorégraphique de La
de Bill L’œuvre
programmation
T.Jones
T.Jones et pérenne
et concertspérenne
concerts esten
bénéficie
(œuvre)
(œuvre) est
enréalisée
réalisée
du
collaboration
collaboration grâce
mécénat
avec
des
avec grâce au culturelles
le Festival
Festival
manifestations
le soutien
aud’Automne
de soutien
d’Automne d’àà Paris.
2
2 d’ Preti-Hamard
Paris.
Monica Œuvre et
Œuvre et Duos
Duos éphémères
éphémères avec avec 2
2
Tarif E le CréationCréation
soutien chorégraphique
de BillInventaire
chorégraphique
de partenariat
T.Jones etavant
de Bill T.Jones disparition
concerts
et concerts
(œuvre) (œuvre)
enParis-Première
collaboration
en collaboration
avec
Jean-Marc le avec
Festival
Terrasse le Festival
d’Automne d’Automne
2
àparticipation
Paris. àŒuvre
2
avec CharlotteParis. Œuvre
et Duos
Chastel-Rousseau etéphémères
Duos éphémères
Photogravureavec avec
- Impression 2 2
© Léa Crespi, 2009 de la
la SACEM. En
La
média
Billprogrammation avec Le Monde, et auFéminin.com. Avec
Avec la de
de l’Hôtel Fouquet’s Barrière,
BillLa programmation bénéficie
Lebénéficie du du
mécénat
Création
le
le le chorégraphique
soutien
soutien de la
soutien SACEM.
SACEM. de
En
En T.Jones
partenariat
partenariat
de la SACEM. et concerts
média
média
En partenariat avec
avec
média Le
Le(œuvre)
Monde,
Monde,
avec en collaboration
Paris-Première
Paris-Première
Monde, etmécénat
avec
et
Paris-Première le Festival
auFéminin.com.
auFéminin.com.
et de de
d’Automne
auFéminin.com. Avec la
2
àparticipation
la Avec Paris.
participation Œuvre de
la participation et Duos
l’Hôtel
l’Hôtel éphémères
Fouquet’s
de Fouquet’s
l’Hôtel 41 avec
Barrière,
Barrière,
Fouquet’s
2

avecBarrière,
Concerts BBI - 01 54 18 20
12
12 Création
le soutien chorégraphique
de la SACEM. de
En partenariat l’Hilton
T.Jones et
média Arc
concerts
avec
l’Hilton l’Hilton
Arc de de Triomphe
Le(œuvre)
Monde,
de Triomphe
Triomphe Paris,
en et le Saint
collaboration
Paris-Première
Paris, et
etParis,
le Saint
Saint James
avec
et le &
auFéminin.com.
James & Albany
Festival
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d’Automne
Avec - SPA
la
Hôtel -- Hôtel
2
à Paris..
participation
SPA Monique Œuvre
.SPADevaux. de et Duos
l’Hôtel éphémères
Fouquet’s Barrière,
****
**** 2
12 12 le soutien de lachorégraphique
SACEM. En Projection-concert
partenariat l’Hilton
média Arc Arc de Triomphe
Paris, le Programmation
et le
James
Saint &
James Albany & Albany
Hôtel SPA - . **** ****

Bill l’Hilton etavec

Arc de- Le Monde,
Triomphe Paris-Première
Paris,
enetcollaboration
le Saint et auFéminin.com.
James & Albany Avec
Hôtel la :àparticipation
- SPA .àLaurent de
70l’Hôtel etFouquet’s Barrière, ****
12 Création
Création
chorégraphique MediaObs
de Bill
deT.Jones publications
T.Jones
et concertsconcerts
(œuvre)
44, (œuvre)
rue en collaborationCycle
Notre-Dame-des-Victoires « Le
avec Louvre
avec -- invite
le Festivalle
75002 Umberto
Festival Eco
d’Automne
Paris »- Tel.
d’Automne avec44
Paris. Paris. Muraro
Œuvre Œuvre et Duos Duos Conception
éphémères
éphémères graphique
avec avec
: 01 88 97
2 2 2 2
12 MediaObs
MediaObs publications
l’Hilton
MediaObs Arc
publications de--Laurent
publications44, rue
Triomphe
44,Monde,
rue Notre-Dame-des-Victoires
Paris, et le Saint James & - 75002
Albany - Paris
Hôtel -- Tel.
- Avec
SPA 01 44 :88 97
4470
.participation ****

Le cycle Umberto Eco bénéficie du soutien de En partenariat média avec 19 novembre à 20h
le soutien
le soutien
de ladeSACEM.
la SACEM.
En Électrons
partenariat
En
MediaObs libres
partenariat
média avec
média
publicationsavec -avec
Le Le- 44,
44, rue
Notre-Dame-des-Victoires
rue Notre-Dame-des-Victoires
Garnier
Monde,
Paris-Premièreet littérature
Paris-Première
Notre-Dame-des-Victoires et auFéminin.com.75002
et auFéminin.com.
Jean-Marc Terrasse - 75002 Paris
Paris
75002
Avec Tel.
Paris
la ::participation
- Tel.
01
-etla
01
Tel.
44
44
Musique
88
Alexandre
88
01Hemardinquer
97
97de
filmée
70
88 de97 l’Hôtel
70l’Hôtel
70Fouquet’sNicolas Niro pour MediaObs
Fouquet’sBarrière,
Barrière,
www.mediaobs.com
MediaObs l’Hilton l’Hilton
Arc de Arc
- Triomphe
derue
Triomphe
Paris,Paris,
et le et
Saint
le Saint
James James
& Albany
de&la Albany
Hôtel -Hôtel
- SPA : -01 SPA . 88 . 97 70 **** ****
12 12 publications 44, Notre-Dame-des-Victoires
avec Gabrielle - 75002
Rouault Paris
Vigne Tel. 44
Christian Labrande
Zbigniew Rybczynski Tarif D Chambre des merveilles et Électrons libres avec Elsa Bouguen Secrétariat d’édition
MediaObs
MediaObs publications
publications- 44, -rue
44,Notre-Dame-des-Victoires
rue Notre-Dame-des-Victoires
Pascale Raynaud
- 75002 - 75002
ParisParis- Tel. -: Tel.
01 44
: 01884497887097 70
Exposition Mille e tre Didier Bras pour MediaObs
Musique filmée «Faces à faces» et colloque Marie-Laure Bernadac et
Marcella Lista Pascal Torres-Guardiola
Tarif F avec Camille Palopoli avec Pauline Guélaud

14 15
 Listing
Listing Cérémonie
Cérémonie //
Listing Cérémonie /
Soirée exceptionnelle sous la pyramide
Soirée
Soirée exceptionnelle
exceptionnelle sous la pyramide
er sous la pyramide
du Louvre // Mardi 1er décembre 2009 /
du Louvre Mardi 1er décembre 2009 /
du
20 hLouvre
/ / Mardi / 1 décembre
Musique / Vidéos2009 / /
20
20 h
h // // Musique
Musique // Vidéos
Vidéos //
Performances
Performances // Espace
Espace bar…
bar… // Spectacle
Spectacle
Performances
mis en scène /
par Espace
Ludovicbar… /
Lagarde Spectacle
//
mis en scène
mis en scène par par Ludovic
Ludovic Lagarde
Lagarde Eco /
Collaboration
Collaboration artistique
artistique :
: Umberto
Umberto Eco //
Collaboration
Musique live : artistique
Rodolphe : Burger
Umberto et Eco /
Yuksek
Musique
Musique live
live :: Rodolphe
Rodolphe Burger
Burger et
et Yuksek
Yuksek
// Textes
Textes : Homère,
:: Homère, Victor
Victor Hugo,
Hugo, James
James
/Joyce,
TextesGeorges
Homère, Perec,Victor Hugo,
Olivier James
Cadiot,
Joyce,
Joyce, Georges
Georges Perec,
Perec, Olivier
Olivier Cadiot,
Cadiot,
Umberto
Umberto Eco…
Eco… /
/ Tarif unique : 10
Umberto Eco… / Tarif unique : 10
Tarif unique : 10

Cérémonie
Cérémonie
Listing
Listing
Listing © Scandella
Cédric
© Cédric
© Cédric
Cérémonie / Comédie
/ Comédie
/ Comédie
Scandella
Scandella 20092009
de Reims,
2009
de Reims,
de Reims,

Coproduction Information : 01 40 20 55 55
Coproduction
musée du Louvre, Information : 01
Réservations : 014040202055555500
Coproduction
musée dude
Louvre, Réservations: 01
Information : 014040202055555500
Comédie Reims. www.louvre.fr
musée dude
Comédie Louvre,
Reims. www.louvre.fr: 01 40 20 55 00
Réservations
Comédie de Reims. www.louvre.fr

Louvre_NouvelObs_BAT.indd 1 22/09/09 12:23:46