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Martin Thomas-Henri. De l’aimant, de ses noms divers et de ses variétés suivant les anciens. In: Mémoires présentés par
divers savants à l'Académie des inscriptions et belles-lettres de l'Institut de France. Première série, Sujets divers
d'érudition. Tome 6, 1e partie, 1860. pp. 391-411;
doi : https://doi.org/10.3406/mesav.1860.1038
https://www.persee.fr/doc/mesav_0398-3587_1860_num_6_1_1038
DE L'AIMANT,
---
i.aïQn»! -----
.
Photius , Questions amphilochiennes, q. 1 3 1 ,
etc. Pour la forme μαγνησσα, voyez saint
Grégoire de Nazianze, Poëmes, Prières à
p.t.De
liv.
Ptolémée,
de
traité,
tions
nov.
Médicaments
1.Des
Dioscoride,
Alexandre
siques
gel;
c. 9Ii;*123,
livres,
in-12); 1Berlius
80
687,
;laThériaque,
, Parties
VI,
Médicaments
collect.
liv.
Galien,
Voy.
Alexandre
p.amphilochiennes
c;p.1,2;
et g3,l.
1.Photius,
VI,
t.morales,
de
Théophraste,
12
Platon,
i3
III,
Plalon,
Géographie
, d'Aphrodisias
souffrantes,
etp.Proclus,
deSchneider;
simples
Des
et
Matière
53Traité
p.Mai,
3x5,1.
1(de
i4
;AàFacultés
II,
p.3i5
Lexique,
simples,
;Pison,
Ion,
Ion
,(éd.
Des
94
Tralles?)
,astrologique
1.23,
liv.
,q.médicale,
Commentaire
4i
,liv.
VII
1,(éd.
, p.gr.
Des
Parties
1.(éd
IX,
Lucien,
p.i3i
,t.naturelles,
I,53533
p.liv.
2,533
Π,Leyde,
Questions
Pierres,
gr.
i36
125).
t.gr.
;,S58,
p.(Script,
p.Problèmes,
III
souffrantes
d;
II,
d;de
3IX,
95,
de
454;
1en
v,
,et,Images
p.Galien,
Timêe
Spren-
p.Bâle);
Bâle)
quatre
sur
i653,
liv.
1.t.i48;
Ques¬
S25g,
123;
phy¬
211
48
vet.
Des
II,
4,
ce
I,,; la Vierge, v. 583, et à Némésius v. 198;
le faux Orphée, Des Pierres, Χ, ν. 3o2 et
320, et Tzetzès, Chiliade IV, hist. i38,
v. 4oo, et Chiliade VI, hist. 66, v. 621.
Pour la forme μαγνησία , voyez le roman¬
cier Achillès Tatius, I, 17, et Suidas, au
mot H ράχλεια.
3 Ion, p. 533 d, e.
Voy. Suidas, au mot 0ρά«λε<α, et Hé-
•
scholiaste
ken;
cod.
aux
Suidas
p.Lapidibus,
Magnete
Théophraste,
moins
zinc.
par
Avhixyf
ch.696,
31422-24
mots
LXii,
Voy.
Voyez
279,
Hésychius,
Helladius,
,dede
aulapide
etΊΛαγνήτις
Théophraste,
Schneider;
de
et
p.Yv.mot
et Beckmann,
un
Plutarque,
vraisemblance,
Etymologicum
Questions
Platon,
529,
290,
102-104,
t. vers
Ηράκλεια.
Theophrasti
IV,
dans
aux
de
,p.Ηράκλεια
p.ion,
attribué
Diogenianus,
Bèkker;
43;
platoniques,
mots
Photius,
54i.
Sur
Des
sur
etp.Magnum
Buttmann,
}Schneider,
i38,de
Pierres
Marbode,
que
Isis
Schwarze(De
ήράκλεία
etàHésychius,
pense,
Α,υΙιχή,
etSophocle
Biblioth.
c'est
dans
vu,
au
, S avec
Ruhn-
Osiris,
mot
l.sur
4De
7;
leetc.i, philoch.
Strabon,
Simplicius
roastre,
sycliius,
au
I,Sextus
pas
thète
De
d'un
gène
attribué
Thèmistius
p#Brandis)
d'Aphrod.
sim, 510,
motMayv-ns,
30
l'Ame,
unVoyez
etc.
ouvrage
donnée
de
SEmpiricus
nom
q.226,
(Paris,
dans
àDémocrite
;au
XV,
Laërte
Clément
1,Quest.
1,2;
,Aristote,
3Phys.
motHpà«As<a;
Physique
1àp.les
deattribué
.ι,ce
Le
i64i,
263,
l'aimant,
(V,
rx°phys.
leGéoponiques
(etf.corps.
Contre
mot
d'Alexandrie
Photius,
38,
titre,
1par
26)
,Physique,
53de
f.in
etàσβηράγωγος
lep.Aid.
63Fabricius)
Aristote
-fol.);
les
et
Περί
mor.
même
mais
7θ3
Aid.
YEtym.
grammairiens,
d'un
Questions
,; XV,
leτVIII
II,,Alexandre
(p.
rjsStrom.
de
faux
une
par
ouvrage
(IX,
a3,
ι"λίθου,
452
Magn.
, ,Cas.
;n'est
dans
Dio-
pas
Hé-
am-
épi-
Zo-
10
4);
de;
II
locale d'une
ment de l'aimant,
ville consacrée
qui, suivant
à Hercule
eux, devait
et nommée
venir principale¬
à cause de
cela Hèraclèe; car c'est évidemment pour cette raison que ces
trois auteurs appellent aussi l'aimant λίθος ήρακλεώτις ou ήρα-
κλεώτης. La plupart des anciens, entraînés peut-être par l'au¬
torité de Platon, ont pensé comme lui sur ce point, et ont
cru que l'aimant venait surtout d'une ville d'Héraclée en ïonie4,
c'est-à-dire d 'Hèraclèe près du mont Latmus 5, en Carie, sur les
confins de la Lydie.
Quant à la dénomination de λίθος μα,γνήτις ,pour en rendre
compte, les uns disaient que l'aimant avait été découvert pour
la première fois dans le pays des Magnésiens6; d'autres di¬
saient qu'il l'avait été par un berger appelé Magnes, qui
s'était aperçu que la pointe de son bâton ferré et les clous de
ses chaussures se collaient à cette pierre7; c'étaient des por¬
teurs de pierre magnésiens qui avaient découvert la propriété
au
maise,
suiv.
in-fol.)
the,4321mot
même sur
Ion
Nature
Dans
Voyez
etmot,
ϋ,ράκλεια
Exerc.
Y, p.Iliade
p.le398
jElius
des
535
scholiaste
et Ρ, les
animaux
II
etlin.
; c.Hésychius
,Dionysius,
756
suiv.
auteurs
inSolinwn,
;dePhotius,
,(Utrecht,
X,
Platon
cités
eti4.
dans
Suidas
p.par
, l.774
Lexique
Eusta-
1698,
c., auet,
Sau- 7 Voyez Nicandre dans Pline , XXXVI ,
i6,sect. a5,n0 127, t. V,p.348, de Sillig;
Isidore de Séville, Origines, XVI, li, et
Vincent de Beauvais, Spec. nat. VIII, 9,
p. 5θ2. (Douai, 1 6 \U , in-fol.)
MÉMOIRES PRÉSENTÉS PAR DIVERS SAVANTS. 305
nov.
surde
nous
21 Lcoll.
Quest.
'Etym.
adeconservé
decelte
amphiloeh
Mai,
Magn.
anecdote.
une
1. 1,.(au
p.q. 125).
transformation
i3i (Script,
mot Maywpris)
vet.
ab- (Douai,
χλεια.
43 Spéculum
Consultez
16 1Λ, naturelle,
in-fol.)
Hésychius,VIII,
5oau. 19,motp. Ηρά-
5o2 '
396 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.
ner aussi à l'aimant le nom de λίθος λύδια, ou λυδική, nom
qui est celui d'une autre pierre.
Mais, suivant Sotacus1 de Caryste, l'un des plus anciens
écrivains grecs sur la minéralogie2, le territoire de la ville
ionienne de Magnésie ne fournissait pas de véritable aimant
capable d'attirer le fer. Il n'est donc pas étonnant qu'on ait
cherché hors de l'Ionie d'autres villes nommées Magnésie ou
Héraclée, pour y placer avec plus de vraisemblance la patrie
principale de l'aimant3, et qu'on ait eu recours à la fable de
Magnès, berger de la Troade ou de l'Inde. D'autre part, il est
certain que le nom de λίθος λνδική ou λυδή était celui de la
pierre de touche4, nommée aussi χρυσϊτις, ou βάσανος, ou
βασανίτης 5, et que le nom de μαγνητις λίθος désignait, comme
nous l'avons vu, une substance non magnétique, qui avait
quelque ressemblance avec l'argent. Tout cela doit nous ins¬
pirer bien de la défiance contre la pensée de trouver dans le
nom grec de l'aimant l'indication du pays d'où l'on tirait ce
minerai. Voyons donc s'il n'y aurait pas quelque autre explica¬
tion du nom de λίθος ηράκλεια, nom qui, pris pour un nom de
patrie ou du moins pour une indication de la patrie de ce corps
merveilleux, a pu donner occasion aux deux autres noms.
Pline6 fait évidemment allusion à une étymologie fort na¬
turelle, d'après laquelle l'aimant serait la pierre d' Hercule , ainsi
Onomasticon, liv. VII, sect. 102 ; Hésychius,
au mot Χρυσίτηδ, et Pline, XXXIII, 8,
sect. 43, n° 126, p. 1 10.
s Voy. Buttmann, l. c. [Mus. der Alter-
nius
VEtym.
349
n°
5,
16,4381i46,
p.sect.
,Voyez
Dans
Dyscolus,
de
687
Magn.
t.Sillig.
25,
V,
,Pline,
Sotacus,
Théophraste,
Pline,
dep.nos
auSchneider;
Hist.
355,
l. XXXVI,
128-129,
motc.dans
mero.
n°MacyvrçTts.
de 128,
Sillig,
Des
Pline,
p.Julius
ch.20,
Pierres,
t. xxxvi.
348-349
V,
etsect.
XXXVI,
Apollo¬
Pollux,
p. §§348-
38,
, 4-
et thamsivissenchafft , t. II, p. 52-102), qui
explique par quelle confusion le nom de
βασανίτης , légèrement altéré , est resté au
basalte,
6 XXXVI, 16, sect. 2 5, n° 127, t. V,
p. 348.
MÉMOIRES PRÉSENTÉS PAR DIVERS SAVANTS. 397
p.Sturz.
654321248,
Voyez
Au
L.
Aux
Questions
c.1.mot
mots
p.37.
10Sophocle,
YEtym.
Μαγνήτιε.
Ai-45.
etamphilochiennes
Èpàxkeios
suiv.
Gud.
Trachiniennes,
et p.au52j,1.
et mot
, Τq.aXdtéios
i3i.
NëiXos,
29,
v. 5i.
de, Des
p.Dioscorid
12,55g,
109s7 169,
SOdeurs,
Voyez
Voy.
Ibid.
Hist.
5, de
p.170
e,I,Théophraste,
des
309;
Strabon
Sprengel.
10,
%etMatière
pl.
5a,§6,
1IX,
72IV,p., , i5,
III
àcle
3médicale,
7&o,
aHist.
, SCas.
,S; 5,III,
51 2,p.de
des, n"
p.6,3ι4·
Schneider.
pl.S1IV,
334
5,IX,
,Comp.
p.5; ,67,
IX
8111.
6 ,;
398 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.
donne la patrie d'une de ces plantes, et c'est l'Arcadie1, où
il n'y avait point de ville de ce nom. Mais, dans ces plantes,
il signale, soit la force et la grandeur de leur tige, soit des pro¬
priétés énergiques. La même remarque s'applique évidem¬
ride3,
ment auet àτΰάνα,κες
Xheraclium
ήράχλειον
de Pline4,
de dont
Théophraste2
une variété
et seulement,
de Diosco-
Xheraclium heracleoticum, venait d'une ville nommée Hèraclêe.
Le λίθόσπερμον se nommait aussi ήράκλει α, à cause de la dureté
de ses graines, disent Dioscoride5 et Oribase6. Un des noms de
l'épilepsie était ήράκλειος νόσος , ou ήράκλειον, maladie hercu¬
léenne , cest-à-dire maladie très-forte , contre laquelle il est difficile
de lutter, suivant l'explication d'Orion de Thèbes7et âe YEtymo-
logicum Gudianum8. L'épilepsie se nomme aussi ή μεγάλη νόσος,
la grande maladie 9, et Galien 10 dit expressément que le nom de
maladie herculéenne exprime la même idée. L'éléphantiasis se
nommait aussi ήράκλειον, parce que, dit Aretée11, il ri est point
de maladie plus grande ni plus forte. De tous ces rapprochements
je n'hésite pas à conclure que λίθος ήράκλεια, nom grec de
l'aimant, signifie pierre d'Hercule , c'est-à-dire pierre très-forte ,
qui dompte le fer. Cette explication, pleinement justifiée par
les faits lexicographiques qui viennent d'être énumérés, pourra
cation analogue.
Ce n'est pas que nous partagions l'opinion de Delaunay \
d'après laquelle les anciens auraient complètement ignoré que
l'aimant fût un minerai de fer. Cette assertion est trop faible¬
ment appuyée par ce seul fait, que Pline, après avoir parlé de
l'aimant à propos du fer, annonce qu'il remet à en traiter à
la place convenable , c'est-à-dire parmi les pierres 2. On sait trop
bien quelle est la bizarrerie des classifications minéralogiques
de Pline, qui, d'ailleurs, est loin de représenter fidèlement
toute la science antique. Mais cette même assertion est contre¬
dite par un fait significatif et par des témoignages positifs
d'auteurs anciens. Le fait dont je veux parler, c'est que le nom
de σώηρϊτις était donné par les Grecs au minerai de fer non
magnétique3, aussi bien qu'à l'aimant. Passons aux témoi¬
gnages qui tranchent la question. On lit dans Y Etymologicnm
Magnum k et dans Photius 5 que ce nom a été donné à l'aimant
à cause de son action sur le fer, ou bien à cause de la ressem¬
blance de son aspect avec celui du fer, ou bien, dit-on, parce
que l'aimant a été trouvé primitivement dans les mines de ce métal.
Jean de Lydie6 assure que le fer extrait d'une mine d'aimant
possède lui-même la propriété magnétique. Alexandre d'Aphro-
disias7 dit que l'aimant paraît n'être autre chose que la terre
4 Au mot Mαγνήτιε.
5 Questions amphiloch. q. 1 3 1 , p. ia5,
de Mai.
Abtheilung,
n°
sect.
Julius
321147,
Voy.
Mineralogie
Voyez
25,
Pollux
t.t.Hésychius,
V,V,
Pline,
Anhang
,p.p.Onomast.
186.
der
348
XXXIV,
Allen
vom
Comp.
au
deliv.
Sillig.
mot
Magnet,
, VII
2tor
i/j,
XXXVI,
StStypîrjs,
, Theil,
segm.
sect.
p. a45.
4a,
16,
99.
l\u
et 6 Des Mois, III, 20, p. Δι, et IV, 11,
p. 58, deBekker.
7 Questions physiques et morales , II, 23,
p. i4o-i4i, de Sprengel.
400 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.
pharmaciens
naient d'artificielle,
grecs, àendéfaut
soumettant
d'hématite
l'aimant
naturelle,
à uneenchaleur
obte¬
ment
distingue
le fer,desmais
aimants
les autres
ordinaires
aimants.
en C'est
ce qu'il
encore
attire
làiun
non-seule¬
aimant
21 Peut-être
XXXVI, 26,faut-il
sect.reconnaître
66, n° 192,aussi
p, 371.
un p. 25-26, et p. 47-52; Kopp, Geschichte
der Chemie, t. IV, p. 82-83 ; Hcefer, His¬
oxyde de manganèse dans la pierre d'Ala- toire de la chimie, t I , p. 1 29, et les noies
bande , lapis alabandiciis , minéral noir et sur le dans
Pline, chapitre
l'édition
xxv lat.
du fr.livre
de Panckouke.
XXXVI de
fusible que Pline (XjXXVI, 8, sect. i3,
n° 63, t. V, p. 3i8-3i9, dcSillig) met, on 4 XXXVI, 6, sect. 2 5, n° i3o, t. V,
ne sait pourquoi , à la suite des marbres* p. 39· Comp. XX , sect 1, n° 2 , t. III,
(Comp. Ropp, Gesch. der Chemiei, t. IV, p. 388.
p. 82-83 Braunschweig, 1847, iû-80.·.) 5 XXXVI, 1 4 , sect. 42, n° 147, p. 186.
3 Voyez Beckmann, Geschichte derErfin- 6 Origines, XV I , 20.
dungen,tAV,ρ. 4οι-42θ; Buttmann, Le. 1 XXXVI, 16, sect. s5, n° i3o, p. 34g-
408 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.
dum
des
votions
tions
et 32Kopp,
méd. 1 sciences
Je
Comp.
hist.
De
et etles
lat. leMedicamentis
d'Henri
II,
théories
Gesch.
répulsions
prouverai
physiques
de
255,Boot,
der
Estienne).
des
p. 474
Chemie,
magnétiques.
, ,anciens
dans
chapitre
Gemmarum
c. (éd.
1, mon
p.sur
t.cTAdr.Toll)
IV,
des
a53
lesHistoire
etp.attrac-
Obser-
(Coll.
lapi-
ι44·, peut-être
signifie
croire
différer
(Cornp.
p. 45349.
XXXVI
XXXVI,
L'auteur,
que
del'emporter
Isidore
employé
. ce, 20,
grec
16,
verbe
de sect.
sect.
Séville,
leque
sursignifiait
verbe
,38,
25,Orig.XV
Pline
et n°Pline
άιχφέρειν
n0'1a46,
simplement
suivi
129-180,
aura
p.I, 355.
,avait
4.qui
pu
MÉMOIRES PRÉSENTÉS PAR DIVERS SAVANTS. 409
1 Le même nom androdamas est donné 4 Vie d'Apollon. III , 46 , p. 1 33, d'Olea-
par Pline (XXXVII, 10, sect. 54, n° i44, rius.
p. 44o ) à une espèce d'agate blanche 5 Chiliade VI, v. 647-649·
comme de l'argent. 6 Indiques, dans Photius, Bibliothec.
44a.
2 XXXVII, 10, sect.54,n° α7,ρ.44ι- cod. 72 , p. 45 de Bekker.
7 XXXVII, 10, sect. 67, n° r8i,p. 457.
3 Uebersicht der alten und neuen Minéra¬ Comp. Solin, c. xxxvn, p. 48, de Sau-
logie, p. 200-201 . maïse. (Utrecht, 1689, in-fol.)
Sav. étrang. Ire série, t. VI, Ire partie. 52
410 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.
ciens1 ,Voyez
ci-dessus
ma , dissertation
p. 297-329. Du Succin, de ses noms divers et de ses variétés sav ant les an¬
,
FIN DU VOLUME.