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2008 2
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PARTIE I : AMENAGEMENT DU DEDOUBLEMENT DELA RN1
INTRODUCTION 1
PRESENTATION DE PROJET 2
1) présentation de projet 2
2) Objectif du projet 2
3) les contraints de projet 2
Annexe Photo
CHAPITRE I : ETUDE DU TRAFIC 3
I.1) Introduction 3
I.2) Analyse de trafics existants. 3
I.3) Différents types de trafics 5
I.4) Calcul de la capacité : 6
I.5) Application au projet : 8
CHAPITRE II : TRACE EN PLAN 10
II.1) Définition : 10
II.2) Règles à respecter dans le tracé en plan 10
II.3) Les éléments de tracé en plan: 10
II.4) Les conditions de raccordement 16
II.5) Combinaison des élément du tracée en plan 17
II.6) Notion de devers 19
II.7) La vitesse de référence : 20
II.8) Paramètres fondamentaux 21
II.9) Calcul d axe : 21
CHAPITRE III. PROFIL EN LONG 26
III.1) Définition 26
III.2) Règles à respecter dans le tracé du profil en long 26
III.3) Les éléments de composition du profil en long 26
III.4) Coordination du tracé en plan et profil en long 27
III.5) Déclivités 27
III.6) Raccordements en profil en long 30
III.7) Caractéristiques des rayons en long 30
III.8 Détermination pratique du profil en long 31
CHAPITRE IV. PROFIL EN TRAVERS 33
IV .1) Définition 33
IV .2) Les éléments constitutifs du profil en travers 33
IV .3) Le profil en travers de la RN01 34
CHAPITRE V. CUBATURE 35
V.1) Introduction 35
V.2) Cubatures des terrassements 35
V.3) Méthode utilisée 35
V.4) Méthode classique 37
CHAPITRE VI. ETUDE GEOTECHNIQUE 38
VI.1) Introduction 38
VI.2) Les moyens de la reconnaissance 38
VI.3) Conditions d utilisation des sols en Remblais 45
INTRODUCTION 97
GENERALITE 98
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Introduction
INTRODUCTION
Les infrastructures de transport, et en particulier les routes, doivent présenter une efficacité
économique et sociale. A travers des avantages et des coûts sociaux des aménagements réalisés,
elles sont le principal vecteur de communication et d échange entre les populations et jouent un
rôle essentiel dans l intégration des activités économiques à la vie locale.
La problématique qui est à la base des projets d'infrastructure routière est souvent liée à
l'insuffisance de réseau existant, soit par défaut, soit par saturation. Il est alors nécessaire, pour
bien cerner cette problématique, d'en préciser les contours, puis pour en dessiner les solutions et
d'en quantifier précisément les composantes. Ceci pousse à mener des études de dédoublement.
D où l importance de notre étude, qui consiste à faire la conception d un dédoublement d un
tronçon routier (RN01) de 3.5km qui se situe dans la Wilaya de Blida, et exactement entre les
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Présentation Du Projet
1- PRESENTATION DU PROJET :
Notre projet est situe dans la RN01 (l ancienne RN1) tronçon qui relie BLIDA et
CHEFFA.
Le début de projet au niveau du carrefour exactement entre les deux casernes militaires LA
C.F.T.I et LA REGION au PK53+500 jusque au le carrefour qui décent à l autoroute et la ville
de HADJOUTE au PK 57+000 sur une longueur de 3.5Km.
La route véhicule un trafic journalier moyen important estimé de 7500v/j avec un
pourcentage de 20% de poids lourds, selon dernier comptage (2006).
L itinéraire du projet se situe dans un relief vallonné, et se caractérise par une faible
sinuosité (E2), et des moyennes à fortes déclivités. Il est classé en catégorie (C2).
La vitesse de base de projet est estimée à 60 Km/h et 30 Km/h au niveau des carrefours.
2- OBJECTIF DE L ETUDE :
Notre objectif principal consiste à augmenter la capacité et le niveau de service de la route
existante par dédoublement (2x2voies) avec un séparateur (TPC).
Les profil en travers de la route existante se présente comme suit :
Une chaussée bidirectionnelle de largeur de 7m
Une largeur de 1.8m d'accotement.
Pour atteindre l objectif visé, notre travail a été structuré comme suit :
Etudier le trafic afin de justifier l utilité de l aménagement prévu.
Procéder à un dimensionnement des corps de chaussées neufs pour la partie projetée
Concevoir la géométrie en plan, en long et en travers du projet
Etudier l assainissement du réseau existant et prévoir un complémentaire s il y a lieu.
3-LES CONTRAINTES DU PROJET
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre I Etude De Trafic
I.1-INTRODUCTION :
L'étude de trafic est un élément essentiel qui doit être préalable à tout projet de réalisation
ou d aménagement d infrastructure de transport, elle permet de déterminer le type
d aménagement qui convient et, au-delà les caractéristiques à lui donner depuis le nombre de
voie jusqu a l'épaisseur des différentes couches de matériaux qui constituent la chaussée.
L étude de trafic constitue un moyen important de saisie des grands flux à travers un pays
ou une région, elle représente une partie appréciable des études de transport, et constitue
parallèlement une approche essentielle de la conception des réseaux routiers.
Cette conception repose, sur une partie stratégie, planification sur la prévision des
trafics sur les réseaux routiers, qui est nécessaires pour :
Apprécier la valeur économique des projets.
Estimer les coûts d entretiens.
Définir les caractéristiques techniques des différents tronçons.
I.2-L ANALYSE DES TRAFICS EXISTANTS :
L étude du trafic est une étape importante dans la mise au point d un projet routier et
consiste à caractériser les conditions de circulation des usagers de la route (volume, composition,
conditions de circulation, saturation, origine et destination). Cette étude débute par le recueil des
données.
I.2.1-La Mesure Des Trafics :
Cette mesure est réalisée par différents procédés complémentaires:
Les comptages : sont permettent de quantifier le trafic.
Les enquêtes : sont permettent d obtenir des renseignements qualificatifs.
a) - Les Comptages :
C est l élément essentiel de l étude de trafic, on distingue deux types de comptage :
Les comptages manuels.
Les comptages automatiques.
a.1)- Les comptages manuels :
Ils sont réalisés par des agents qui relèvent la composition du trafic pour compléter les
indicateurs fournis par les comptages automatiques. Les comptages manuels permettent de
connaître le pourcentage de poids lourds et les transports communs.
Les trafics sont exprimés en moyenne journalière annuelle (T.J.M.A).
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Chapitre I Etude De Trafic
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Chapitre I Etude De Trafic
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Chapitre I Etude De Trafic
2 voies 3 6 12
3 voies 2.5 5 10
4 voies et plus 2 4 8
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Chapitre I Etude De Trafic
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Chapitre I Etude De Trafic
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Chapitre I Etude De Trafic
l n (Qsaturation/ Q2009)
Qsaturation = (1 + )n Q2009 n=
l n (1 )
5724
ln( )
n= 1619.8 = 32.18 32ans Donc : n = 32 ans
ln(1 0.04)
D où notre route sera saturée 32 ans après la mise en service donc l année de saturation est :
Année : 2041
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre II Trace En Plan
II.1- D FINITION:
Le tracé en plan est une projection horizontale sur un repère cartésien topographique de
l ensemble des points définissant le tracé de la route. C est la représentation sur un plan
horizontal de l axe de la route.
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Chapitre II Trace En Plan
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Chapitre II Trace En Plan
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Chapitre II Trace En Plan
Pour notre projet (dédoublement de la RN01) situé dans un environnement (E2), et classé en
catégorie (C1) avec une vitesse de base de 60km/h, donc à partir du règlement B40 on peut avoir
le tableau suivant:
Tableau II. 1: rayons du tracé en plan
paramètres symboles valeurs
Vitesse (km/h) V 60
e)- Surlargeur:
Un long véhicule à deux (2) essieux, circulant dans un virage, balaye en plan une bande de
chaussée plus large que celle qui correspond à la largeur de son propre gabarit.
Pour éviter qu une partie de sa carrosserie n empiète sur la voie adjacente, on donne à la
voie parcourue par ce véhicule une surlargeur par rapport à sa largeur normale en alignement.
L2
S=
2R
L : longueur du véhicule (valeur moyenne L = 10 m)
R : rayon de l axe de la route.
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Chapitre II Trace En Plan
1 1 1
K = C. L: K = L.R = =C.L
R C R
1
On pose: = A2 L. R = A2
C
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Chapitre II Trace En Plan
c).2-Eléments de la Clothoïde :
R KE
Sl Tk
R
X
Xm
T1
R : rayon du cercle.
L : longueur de la branche de Clothoïde.
A : paramètre de la Clothoïde.
KA : origine de la Clothoïde.
KE : extrémité de la Clothoïde.
R : ripage.
: angle des tangentes.
TC : tangente courte.
TL : tangente longue
: angle polaire.
SL : corde KE KA.
M : centre du cercle d abscisse Xm.
Xm : abscisse du centre du cercle M à partir de KA.
Ym : ordonnée du centre du cercle M a partir de KA.
X: abscisse de KE
Y : ordonnée de KE
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Chapitre II Trace En Plan
L = 24R R
1500 R 5000m
L R/9
R 5000m R = 2.5 m
L = 7.75 R
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Chapitre II Trace En Plan
L l. d. VB
L : longueur de raccordement.
l :Largeur de la chaussée.
d : variation de dévers.
R2
R1
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Chapitre II Trace En Plan
O1 L O2
c)- Courbe en C :
Une courbe constituée de deux arcs de Clothoïde, de même concavité, tangents en un point
de même courbure et raccordant deux arcs de cercles sécants ou extérieurs l un à l autre.
O O2
O1 R2
R1
R0
Po
P1 O (R1) O (R2)
P2
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Chapitre II Trace En Plan
Les rayons compris entre RHd et RHnd sont au devers minimal mais des rayons supérieur
à RHnd peuvent être déversés s il n en résulte aucune dépense notable et notamment aucune
perturbation sur le plan de drainage.
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Chapitre II Trace En Plan
Raccordement de devers :
En alignement droit les devers sont de type unique et ont des valeurs constantes (2.5%), en
courbe ils ont des valeurs supérieures (de 3 à 7%).
Le raccordement des alignements droits aux courbes se fait par des Clothoïdes :
Dans le cas où les devers sont de même sens le raccordement sera progressif à partir du
début de la Clothoïde jusqu au début de l arc de cercle.
Dans le cas où les devers sont opposés, le problème se pose pour passer du devers
d alignement droit au devers de l arc de cercle, donc il faut passer par un devers nul, ce
dernier peut être placé en général à une distance Dmin.
5
D min vB d Appelée longueur de gauchissement.
36
Pour les courbes en S, il est souhaitable de prendre le devers nul au point d inflexion.
Pour les courbes de raccordement de devers entre deux courbes de même sens le devers
peut unique peut être conservé.
II. 7 LA VITESSE DE R F RENCE (DE BASE) :
La vitesse de référence (Vr) est une vitesse prise pour établir un projet de route, elle est le
critère principal pour la détermination des valeurs extrêmes des caractéristiques géométriques et
autres intervenants dans l élaboration du tracé d une route.
Pour le confort et la sécurité des usagers, la vitesse de référence ne devrait pas varier
sensiblement entre les sections différentes, un changement de celle-ci ne doit être admis qu en
coïncidence avec une discontinuité perceptible à l usager (traverser d une ville, modification du
relief, etc.….).
a) - Choix de la vitesse de référence: Le choix de la vitesse de référence dépend de :
Type de route.
Importance et genre de trafic.
Topographie.
Conditions économiques d exécution et d exploitation.
b) -Vitesse de projet:
La vitesse de projet Vp est la vitesse théorique la plus élevée pouvant être admise en
chaque point de la route, compte tenu de la sécurité et du confort dans les conditions normales.
On entend par conditions normales:
Route propre sèche ou légèrement humide, sans neige ou glace;
Trafic fluide, de débit inférieur à la capacité admissible;
Véhicule en bon état de marche et conducteur en bonne conditions normales.
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Chapitre II Trace En Plan
Vitesse (km/h) V 60
Longueur minimale (m) Lmin 83.33
Longueur maximale (m) Lmax 1000
Devers minimal (%) Dmin 2.5
Devers maximal (%) Dmax 7
Temps de perception réaction (s) t1 2
Frottement longitudinal fL 0.42
Frottement transversal ft 0.16
Distance de freinage (m) d0 34
Distance d arrêt (m) d1 67
Distance de visibilité de dépassement minimale (m) dm 240
Distance de visibilité de dépassement normale (m) dn 360
Distance de visibilité de manœuvre de dépassement (m) dmd 120
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Chapitre II Trace En Plan
S0 1989.640 5334.570
S1 2289.48 5592.66 265
S2 2580.53 5594.45
VB=60Km/h L 5 d VB
36
RHN R RHd
d=?
d = d (- 2.5 )
1 1
d ( RHn ) d ( Rhd )
R RHd
d d ( RHd )
1 1
RHn RHd
L = A2/R A= LR = 145.37m
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Chapitre II Trace En Plan
On prend : A = 145.6 m
D où:
X
G ss01 = arctg = 54.755 grades Donc : G ss01 =54.755 grades
Y
X1
G ss12 = arctg = 99.608 grades Donc : G ss12 =99.608 grades
Y1
d)-Calcul de l angle :
= G ss12 - G ss01 = 44.853 grades Donc =44.853 grades
e)-Calcul de l angle :
79.998 200
= L . 200 = x Donc = 9.614 grades
2R 2 265
f)-Vérification de non chevauchement :
= 9.614 grades
/2 =44.851 / 2 = 22.4255grades D où : /2 pas de chevauchement.
g) Calcul des distances:
S1S0 = ( X
2
Y
2
) = 299.84 2 248.09 2 = 389.169m
S2S1 = ( X
2
1 Y
2
1
) = 291.05 2 1.79 2 = 291.055m
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Chapitre II Trace En Plan
h)-Calcul de la tangente T :
On a: L = 79.998 = 0.301879245
R 265
A partir des tables de Clothoïdes ligne N 432et 433, on déduire les valeurs suivantes:
R = 0.003792452 R = 1.005m
R
Xm = 0.15082264 Xm = 39.968m
R
X = 0.301192452 X = 79.816m
R
Y = 0.015162264 Y = 4.018m
R
T = Xm + (R + R) tg ( / 2) (m)
j)-Calcul de :
4.018
= arctg Y = arctg = 3.202grades donc : = 3.202grades
X 79.816
k)-Calcul de l arc:
R( -2 )
KE1 K E2 =
200
265(44.851 2 9.614)
KE1 K E2 = = 105.48m donc: KE1KE2 =105.48m
200
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Chapitre II Trace En Plan
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre III Profil En Long
III. 1- D FINITION :
Le profil en long est une coupe verticale passant par l axe de la route, développé et
représentée sur un plan à une échelle. Ou bien c est une élévation verticale dans le sens de l axe
de la route de l ensemble des points constituant celui-ci.
Eviter les angles entrants en déblai, car il faut éviter la stagnation des eaux et assurer leur
écoulement.
Un profil en long en léger remblai est préférable à un profil en long en léger déblai, qui
complique l évacuation des eaux et isole la route du paysage.
Pour assurer un bon écoulement des eaux. On placera les zones des devers nuls dans une
pente du profil en long.
Recherche un équilibre entre les volumes des remblais et les volumes des déblais.
Assurer une bonne coordination entre le tracé en plan et le profil en long, la combinaison
des alignements et des courbes en profil en long doit obéir à des certaines règles notamment .
Eviter les lignes brisées constituées par de nombreux segments de pentes voisines, les
remplacer par un cercle unique, ou une combinaison des cercles et arcs à courbures progressives
de très grand rayon.
L altitude du projet
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Chapitre III Profil En Long
Il est très nécessaire de veiller à la bonne coordination du tracé en plan et du profil en long
en tenant compte également de l implantation des points d échange afin:
D avoir une vue satisfaisante de la route en sus des conditions de visibilité minimale.
De faire coïncider le plus possible les raccordements du tracé en plan et celle du profil en
long (porter les rayons de raccordement vertical à 6 fois au moins le rayon en plan).
III.5 - D CLIVIT S :
On appelle déclivité d une route la tangente de l angle qui fait le profil en long avec
l horizontale. Elle prend le nom de pente pour les descentes et rampe pour les montés.
Imin= 0,5 % dans les longues sections en déblai : pour que l ouvrage d évacuation des
eaux ne soit pas trop profondément.
Imin= 0,5 % dans les sections en remblai prévues avec des descentes d eau.
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Chapitre III Profil En Long
l effort de freinage des poids lourds est très important qui fait l usure de pneumatique
(cas de pente max.).
Condition d adhérence.
Condition économique.
I max % 8 7 6 5 4 4
Pour notre cas la vitesse Vr=60 Km/h donc la pente maximale Imax =7%.
Les changements de déclivités constituent des points particuliers dans le profil en long ; ce
changement doit être adouci par l aménagement de raccordement circulaire qui y doit satisfaire
les conditions de visibilités et de confort, on distingue deux types raccordements :
Les rayons minimums admissibles des raccordements paraboliques en angles saillants sont
déterminés à partir de la connaissance de la position de l oeil humain et des obstacles d une part,
des distances d arrêt et de visibilité d autre part.
Elle consiste à limiter l accélération verticale à laquelle le véhicule sera soumis lorsque le
profil en long comporte une forte courbure convexe.
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Chapitre III Profil En Long
Pour g=10m/s
Il faut que deux véhicules circulent en sens opposés puissent s apercevoir à une distance
double de la distance d arrêt au minimum.
d1 : distance d arrêt.
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Chapitre III Profil En Long
Condition esthétique :
Il faut éviter de donner au profil en long une allure sinusoïdale en changeant le sens de
déclivités sur des distances courtes, pour éviter cet effet on imposera une longueur de
raccordement minimale et (b >50) pour des devers d<10%(spécial échangeur).
50
Rvmin 100
d (%)
Tableau III-1
Catégorie C2
environnement E2
Vitesses de base (Km/h) 60
Rayon en angle Route unidirectionnelle : (2x2 voies)
saillant RV
RVm1 (minimal absolu) en m 800
RVn1 (minimal normal) en m 2000
Rayon en angle Route unidirectionnelle :(2x2 voies)
rentrant RV RVm1 (minimal absolu) en m 1100
RVn1 (minimal normal) en m 1600
2
x2
l équation du parabole X - 2 RY= 0 Y .
2R
Pratiquement, le calcul des raccordements se fait de la façon suivante :
Donnée les coordonnées (abscisse, altitude) les points A, D.
Donnée le rayon R.
A D
T S
m n
B J
P1 X1 C
X2 P2
A
D
x L-x
ZD = ZA +Lp1 , n= ZD- ZD
Les deux triangles A SA et SDD sont semblables donc : m/n = x/ (L-x) x= m.3. L/
(n +m) XS = X+ XA
S ZS =P1 X+ZA
On prend (+) lorsque les deux pentes sont de sens contraires, on prend (-) lorsque les deux
pentes sont de même sens.
XB=XS-T Xc=XS+T
B C
ZB=ZS-T p1 Zc=ZS+T p2
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Chapitre III Profil En Long
M ZM=ZB+X p1-X2/2R
X1=Rp1 XJ=XB-R.p1
Dans le cas des pentes de même sens le point J est en dehors de la ligne de projet et ne présente aucun intérêt
par contre dans le cas des pentes de sens contraire, la connaissance du point (J) est intéressante en particulier pour
l assainissement en zone de déblai, le partage des eaux de ruissellement se fait a partir du point J, c est à dire les
pentes des fossés descendants dans les sens J (A) et J (D).
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre IV Profil En Travers
IV. 1 D FINITION :
Le profil en travers d une chaussée est une coupe perpendiculaire à l axe de la route de
l ensemble des points définissant sa surface sur un plan vertical.
Un projet routier comporte le dessin d un grand nombre de profils en travers, pour éviter de
rapporter sur chacun de leurs dimensions, on établit tout d abord un profil unique appelé profil
en travers contenant toutes les dimensions et tous les détails constructifs (largeurs des voies,
chaussées et autres bandes, pentes des surfaces et talus, dimensions des couches de la
superstructure, système d évacuation des eaux etc.…).
IV.2-LES L MENTS DE COMPOSITION DU PROFIL EN TRAVERS:
Le profil en travers doit être constitué par les éléments suivants:
a)-La chaussée :
C est la surface aménagée de la route sur laquelle circulent normalement les véhicules.
La route peut être à chaussée unique ou à chaussée séparée par un terre-plein central.
b)-La largeur roulable :
Elle comprend les sur largeurs de chaussée, la chaussée et bande d arrêt.
Sur largeur structurelle de chaussée supportant le marquage de rive.
c)-La plate forme :
C est la surface de la route située entre les fossé ou les crêtes de talus de remblais,
comprenant la ou les deux chaussée et les accotements, éventuellement les terre-pleins et les
bandes d arrêts.
d)-Assiette :
Surface de terrain réellement occupé par la route, ses limites sont les pieds de talus en
remblai et crête de talus en déblai.
e)-L emprise :
C est la surface du terrain naturel appartenant à la collectivité et affectée à la route et à ses
dépendances (talus, chemins de désenclavement, exutoires, etc.…), elle coïncidant généralement
avec le domaine public.
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Chapitre IV Profil En Travers
f)-Les accotements :
Les accotements sont les zones latérales de la plate forme qui bordent extérieurement la
chaussée, ils peuvent être dérasés ou surélevés.
Ils comportent généralement les éléments suivants :
Une bande de guidage.
Une bande d arrêt.
Une berme extérieure.
g)-Le terre-plein central :
Il s étend entre les limites géométriques intérieures des chaussées. Il comprend :
Les surlargeurs de chaussée (bande de guidage).
Une partie centrale engazonnée, stabilisée ou revêtue.
h)-Le fossé :
C est un ouvrage hydraulique destiné à recevoir les eaux de ruissellement provenant de la
route et talus et les eaux de pluie.
IV.3-PROFIL EN TRAVERS DE LA RN 01 :
Après dédoublement la RN01 est constituée de:
Deux chaussées de deux voies de 3,5m chacune ;
Un terre-plein central de 0.5 a 1.5m ;
Un accotement de 0.5 a 1m à chaque coté droit de la chaussée.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre V Cubatures
V. 1 INTRODUCTION
Les cubatures de terrassement, c est l évolution des cubes de déblais que comporte le
projet afin d obtenir une surface uniforme et parallèlement sous adjacente à la ligne projet :
Les éléments qui permettent cette évolution sont :
les profils en long
les profils en travers
les distances entre les profils.
Les profils en long et les profils en travers doivent comporter un certain nombre de points
suffisamment proches pour que les lignes joignent ces points le moins possible de la ligne du
terrain qu il représente.
V. 3 - M THODE UTILIS E :
Pour calculer un volume, il y a plusieurs méthodes parmi les quelles il y a celle de la
moyenne des aires que nous utilisons et qui est une méthode très simple mais elle présente un
inconvénient c est de donner des résultats avec une marge d erreur, donc pour être proche des
résultats exacts on doit majorer les résultats trouvés par le coefficient de 10 % et ceci dans le but
d être en sécurité.
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Chapitre V Cubatures
S2
Smo y
S3
S4
S1
P1 P2 PF P3 P4
l1 l2 l3 l4
Le volume compris entre les deux profils en travers P1 et P2 de section S1 et S2 sera égale à :
l1
V S1 S2 4S moy
6
Pour éviter un calcul très long, on simplifie cette formule en considérant comme très
(S1 S2)
voisines les deux expressions Smoy et .
2
l1
Ceci donne : V1 S1 S2
2
Donc les volumes seront :
l1
Entre P1 et P2 V1 S1 S2
2
l2
Entre P2 et PF V2 S2 0
2
l3
Entre PF et P3 V3 0 S3
2
En additionnant membres à membre ces expressions on a le volume total des
terrassements :
l1 l1 l2 l2 l3 l3 l4 l4
V= S1 S2 0 S3 S4
2 2 2 2 2
On voit l utilité de placer les profils PF puisqu ils neutralisent en quelque sorte une certaine
longueur du profil en long, en y produisant un volume nul.
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Chapitre V Cubatures
V. 4 M THODE CLASSIQUE:
Dans cette méthode on distingue deux différents sous méthodes de calcul dont la première
est celle dite de GULDEN où les quantités des profils sont multipliées par la longueur
d application au droit de leur centre de gravité, prenant en compte la courbure au droit de profil.
Mais dans l autre méthode classique les quantités des profils sont multipliées par la
longueur d application à l axe (indépendant de la courbure).
Pour notre calcul automatique des courbures par le logiciel Piste + nous avons utilisé la
méthode de GULDEN et les résultats obtenus sont en annexe mais ici (ci dessous) nous
donnons le résultats final du volume de remblais et déblais.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre VI Etude Géotechnique
VI.1-INTRODUCTION :
La géotechnique routière est une science qui étudie les propriétés physiques et mécaniques
des roches et des sols qui vont servir d assise pour la structure de chaussée.
Elle étudie les problèmes d équilibre et de formation des masses de terre de différentes
natures soumises à l effet des efforts extérieurs et intérieurs.
Cette étude doit d abord permettre de localiser les différentes couches et donner les
renseignements de chaque couche et les caractéristiques mécaniques et physiques de ce sol.
L exécution d un projet routier nécessite une bonne connaissance des terrains traversés;
Et qui s exige des reconnaissances géotechniques.
VI.2-LES MOYENS DE LA RECONNAISSANCE :
Les moyens de la reconnaissance d un tracé routier sont essentiellement :
L étude des archives et documents existants.
Les visites de site et les essais in-situ .
Les essais de laboratoire.
VI.2.1-L étude Des Archives Et Documents Existants :
Les études antérieures effectuées au voisinage du tracé sont source précieuse
d informations préliminaires sur la nature des terrains traversés.
Les cartes géologiques et géotechniques de la région, lorsqu elles existent, peuvent aussi
apporter des indications assez sommaires mais tout aussi précieuses pour avoir une première idée
de la nature géologiques et géotechniques des formations existantes.
VI.2.2-Les Visites Sur Site Et Les Essais in-situ :
Les visites sur site permettent de vérifier et de préciser les informations déjà recueillies sur
les documents précédemment cités. Cependant, la connaissance précise des caractéristiques des
sols en présence nécessite des investigations in-situ permettant :
Soit la mesure de certaines caractéristiques en place.
Soit le prélèvement d échantillons pour les besoins d essais de laboratoire.
Dans la plupart des cas, ces deux éléments sont combinés.
VI.2.2.1-La reconnaissance in situ :
La première reconnaissance visuelle, permet d arrêter un premier programme de
reconnaissance
In situ en fonction des sols rencontrés et des problèmes géotechniques pressentis.
Le programme peut comprendre une gamme assez variée d investigation que l on
présentera succinctement dans ce qui suit :
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Chapitre VI Etude Géotechnique
a)-Les forages :
C est le seul moyen précis pour reconnaître l épaisseur et la nature des couches des sols en
présence, on y prélève généralement des échantillons de sols remaniés ou intacts pour les besoins
d essais de laboratoire.
Les forages permettent aussi de reconnaître le niveau des nappes éventuelles et le suivi de
leur niveau à l aide de types piézométrique.
Les forages peuvent être réalisés :
Manuellement : ce sont des puits creusés à la main ou à la pelle mécanique, la profondeur ne
d dépasse pas 3 à 4m.
Ils permettent la reconnaissance visuelle directe des parois du puits et le prélèvement
d échantillons intacts et/ou remaniés.
A la tarière : la tarière est un outil hélicoïdal que l on enfonce dans le sol et permettent de
remonter en surface les terrains traversés à la l état remanié.
La profondeur de la reconnaissance est limitée à une dizaine de mètres et la nature de sols
est identifiée visuellement.
A la sondeuse : on peut atteindre plusieurs dizaines de mètres de profondeur en utilisant des
tubes carottiers et couronnes diamantées.
Les couches de sols sont identifiées visuellement, des échantillons intacts ou remaniés sont
prélevés pour les essais de laboratoire.
b)- Les méthodes géophysique :
La prospection sismique : le principe consiste à mesurer la vitesse de propagation des
ondes primaires ou ondes P (les plus rapides) et à en déduire la nature du sol traversé.
Quelques valeurs de vitesses d ondes P en fonction de la nature du sol
Nature du sol Vitesse Vp (m/s)
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Chapitre VI Etude Géotechnique
La prospection électrique :
Cette méthode est basée sur la mesure de la résistance électrique d un volume de sol entre
deux électrodes placées en surface, elle permet de connaître les différentes couches de sols et
leurs épaisseurs, et en général de contrôler l homogénéité des terrains.
La méthode est bien adaptée pour les sols à fortes teneurs en eau.
c)-Les essais de pénétration :
Le principe consiste à enfoncer dans le sol un train de tiges muni d une pointe ou d une
trousse coupante à son extrémité et de mesure de la résistance du sol à l effort de pénétration.
Les types de pénétromètres sont utilisés :
Pénétromètre dynamique.
Le standard pénétromètre test ou SPT.
.Pénétromètre statique.
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Chapitre VI Etude Géotechnique
b) -Analyses granulométriques :
Les résultas de l analyse granulométrique sont donnés sous la forme d une courbe dite
courbe granulométrique et construite emportant sur un graphique cette analyse se fait en générale
par un tamisage.
Principe d essai : l essai consiste à fractionner au moyen d une série de tamis et passoires
reposants sur un fond de tamis un matériau en plusieurs classes de tailles décroissantes
But de l essai : c est un essai qui a pour objet de la détermination en poids des éléments d un
sol (matériau) suivant leurs dimensions (cailloux, gravier, gros sable, sable fin, limon et argile).
Domaine d'utilisation:la granulométrie est utilisée pour la classification des sols en vue de
leur utilisation dans la chaussée.
c)-Limites d Atterberg :
Limite de plasticité (Wp), caractérisant le passage du sol de l état solide à l état plasticité.
Elle varie de 0% à 100%, mais elle demeure généralement inférieure à 40%.
Limite de liquidité (WL), caractérisant le passage du sol de l état plastique à l état liquide
WL= (N/25)0.121
: teneur en eau au moment de l essai donnant n coups
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Chapitre VI Etude Géotechnique
N: nombre de coups
L indice de plasticité (Ip), IP = WL WP
d)-Equivalent de sable :
Lorsque les sols contiennent très peu particules fines, les limites D ATTERBERG ne sont
pas mesurables, pour décaler la présence en quantité plus ou moins importante de limon et
d argile, on réalise un essai appelé équivalent de sable .
Principe de l essai : l essai équivalent de sable s effectue sur la fraction des sols passant au
tamis de 5mm ; il rend compte globalement de la quantité et de la qualité des éléments les plus
fins contenus dans cette fraction, en exprimant un rapport conventionnel volumétrique entre les
éléments dits sableux et les éléments plus fins (argileux par exemple).
But de l essai : cet essai permet de mettre en victoire la proportion de poussière fine nuisible
dans un matériau. Et surtout utilisé par les matériaux routières et les sables à béton. Car il permet
de séparer les sables et graviers des particules fines comme les limons et argiles.
Cet essai révèle très intéressant au laboratoire et sur chantier grâce à sa simplicité, sa
rusticité, son faible coût et sa rapidité.
Domaine d'application:cette détermination trouve son application dans de nombreux
domaines notamment les domaines suivants :
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Chapitre VI Etude Géotechnique
But de l essai :l essai Proctor consiste à étudier le comportement d un sol sous l influence
de compactage (la réduction de son volume par réduction des vides d air) et une teneur en eau
c est-à-dire la détermination de la teneur en eau optimale et la densité sèche maximale, pour un
compactage bien défini.
Domaine d'utilisation:cet essai est utilisé pour les études de remblai en terre, en particulier
pour les sols de fondations (route, piste d aérodromes).
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Chapitre VI Etude Géotechnique
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Chapitre VI Etude Géotechnique
But de l essai : l essai Micro-Deval humide permet de mesurer la résistance à l usure des
matériaux dans des conditions bien définies. Cette résistance à l usure pour certaines roches
n est pas la même à sec ou en présence d eau.
Domaine d'application: choix des matériaux utilisés dans les structures de chaussée.
NB: A défaut de ne pas avoir eu le rapport géotechnique nous n avons pas pu traiter la partie
géotechnique à l application de notre projet, et ceci parce qu il n a pas encore été réalisé.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
VII. 1- INTRODUCTION :
Les qualités que doit présenter, une chaussée moderne sont très nombreuses, les plus
importantes pour l usager sont : la sécurité et le confort.
La sécurités est assurée si le conducteur est en mesure de freiner à tout instant.
Le confort sera parfait, si le profil de la chaussée est exempt de toute irrégularité ; qui
risquerait d engendrer des oscillations verticales incommodes à la carrosserie ou à des roues.
La chaussée sera durable, si sous l effet du trafic, freinage et en virage restent possibles
dans les mêmes conditions durant de nombreuses années.
La qualité de la construction de chaussées joue un rôle primordial, celle ci passe d abord
par une bonne reconnaissance du sol support et un choix judicieux des matériaux à utiliser, il est
ensuite indispensable que la mise en œuvre de ces matériaux soit réalisée conformément aux
exigences arrêtées.
VII. 2. LA CHAUSS E :
VII. 2.1. Définition :
Au sens géométrique : c est la surface aménagée de la route sur laquelle
circulent les véhicules.
Au sens structurel : c est l ensemble des couches de matériaux superposées de
façon à permettre la reprise des charges :
VII. 2.2-les Différentes Couches De Chaussée :
a)- Couche de surface :
Cette couche en contact direct avec le pneumatique de véhicule et la charge extérieure, elle
est composée d une couche de roulement et d une couche de liaison.
Rôle de couche de roulement :
Encaisser les efforts de cisaillement provoqués par la circulation.
Imperméabiliser la surface de la chaussée.
Assurer la sécurité (adhérence) et le confort (bruit et uni).
Rôle de couche de liaison :
Elle a pour rôle essentiel d assurer une transition avec les couches inférieures plus rigides.
b)- Couche de base :
C est une couche intermédiaire, permet le passage progressif entre CR et CF, Elle reprend
les efforts verticaux et repartis les contraintes normales qui en résultent sur les couches sous-
jacentes.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Chaussée souple.
Chaussée rigide.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Qui constituent l immense majorité des route actuelles, elles sont composées en couche de
base et en couche de fondation de graves roulées ou concassées stabilisées
mécaniquement : hérisson ou tout-venant d oued en fondation, macadam ou tout-venant
concassé en couche de base, la couche de roulement a généralement reçu une imprégnation au
liant hydrocarboné,elles sont revêtues d un enduit superficiel monocouche ou bicouche, elles
sont exceptionnellement revêtues d un enrobé à chaud (béton bitumineux ) et couramment , pour
les route de sud ,d un enrobé à froid .
Certaines chaussées traditionnelles, dans les zones de climat semi-aride, sont constituent en
couche de base et/ou en couche de fondation d encroûtements calcaires (tufs), elles sont revêtues
d un enduit superficiel.
Ce sont des chaussées à couche de base traitée au bitume, l épaisseur totale des couches de
base et de surface en enrobés et supérieure à 20 cm, ce type de chaussée n existe pratiquement
pas en algérie.
Les chaussées comportant une couche de base et/ou une couche de fondation en sable
gypseux, on les rencontre fréquemment dans les zones arides.
c)- les chaussées rigides :
Elles sont constituées d une dalle de béton de ciment, éventuellement armée (correspondant
à la couche de surface de chaussée souple) reposant sur une couche de fondation qui peut être
une grave stabilisé mécaniquement, une grave traitée aux liants hydrocarbonés ou aux liants
hydrauliques. Ce type de chaussée est pratiquement inexistant en Algérie.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
BB ou ES BB
GB ou GNT M.T.L.H
GB ou GNT M.T.L.H ou
M.N.T.L.H
c)-Rigide
D.B.A.C
D.B.C
B.M
B.M
P.F.S P.F.S
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Tableau VII.1
Classe de T5 T4 T3 T2 T1 T0
trafic
T3 - T3+ T2- T2+ T1- T1 + T0- T0+
MJA (PL/J) 0 25 50 85 150 200 300 500 750 1200 2000
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
d)-Les matériaux : Les matériaux utilisés doivent être conformes aux exigences en fonction
de la couche de chaussée concernée et du trafic PL.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
N
100 ( p ) ( 75 50 log )
e 10
IC R 5
Avec:
e: épaisseur équivalente
I: indice CBR (sol support)
N: désigne le nombre journalier de camion de plus 1500 kg à vide
N = TH. %PL
T0
TH = (1 )n
2
T0 : trafics actuel (v/j)
n : année de prévision
P: charge par roue P = 6.5 t (essieu 13 t)
Log: logarithme décimal
L épaisseur équivalente est donnée par la relation suivante:
e = c1 e1 + c2 e2 + c3 e3
c1 e1: couche de roulement
c2 e2 : couche de base
c3 e3 : couche de fondation
Où: c1, c2, c3 : coefficients d équivalence.
e1, e2, e3 : épaisseurs réelles des couches.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Coefficient d équivalence :
Le tableau ci-dessous indique les coefficients d équivalence pour chaque matériau :
Tableau VII. 4
Chaque section reçoit l application d environ un million des charges roulantes qui permet
de préciser les différents facteurs :
C est le catalogue des structures type neuves et établi par SETRA .Il distingue les
structures de chaussées suivant les matériaux employés (GNT, SL, GC, SB).
Il considère également quatre classes de trafic selon leur importance, allant de 200 à 1500
Véh/J.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Tableau VII. 5
T5 T 4 107
n 1
1 -1
Tc TPL 1 365
Après immersion de quatre jours, le classement sera fait en respectant les seuils suivants:
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Tableau VII. 6
Une fois la valeur du trafic équivalent est déterminée, on cherche la valeur de l épaisseur
équivalente e (en fonction de Téq, ICBR) à partir de l abaque L.C.P.C.
L abaque L.C.P.C est découpé en un certain nombre de zones pour lesquelles, il est
recommandé en fonction de la nature et la qualité de la couche de base.
NB : pour notre projet, on ne peut pas calculer avec cette méthode puis qu on a un trafic
des poids lourds largement supérieur à 150pl/j.
f) -Méthode Du Catalogue Des Chaussées Neuves CTTP :
Les paramètres utilisés dans la méthode du catalogue des chaussées sont: trafic, sol support,
f.1)-Trafic : c est le trafic poids lourds (véhicules de charge supérieure à 3.5 tonnes)
Le réseau principal noté RP : il se compose de route reliant :
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Le réseau secondaire RS :
Il se compose du reste des routes qui ne sont pas en RP, son linéaire totale de 7.900Km.
RP1 :
RP2 : Pl/J/sens
0 50 100 150 300
TPL0 TPL1 TPL2 TPL3
Pl/J/sens
f.2)-Détermination des classes de portance de sols :
Le tableau VII.6 regroupe les classes des sols par ordre croissant de S4à S0
Pour les sols sensibles à l eau : la portance du sol support est déterminée par :
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Pour les sols insensibles à l eau : sols grossiers contenant plus de 25 % d éléments> 20mm,la
portance sera déterminée à partir des essais de chargement à la plaque ou des mesures de
déflexions(Wnat Wopm)
MPA 1/100mm
Les différentes expériences ont fait ressortir la relation: E (MPA) =5.CBR
Tableau VII.7
CLASSE S3 S2 S1 S0
E (MPA) 25-50 50-125 125-200 >200
Il existe différents type de couches de forme suivant le cas de portance du sol terrassé (Si) et
la classe du sol support visée (Sj).
Tableau VII.8
Classe portance du Matériaux de C.F Epaisseur de C.F Classe portance du
sol terrassé (Si) sol support visée
(Sj)
<S4 Matériau NT 50cm (en 2c) S3
S4 Matériau NT 35cm S3
S4 Matériau NT 60cm (en 2c) S2
S3 Matériau NT 40cm (en 2c) S2
S3 Matériau NT 70cm (en 2c) S2
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Tableau VII.9
Zone climatique Pluviométrie (mm/an) climat Teq( ) région
I >600 Très humide 20 Nord
La démarche du catalogue :
Détermination du
niveau de réseau
Détermination de la classe
de trafic PL à l année de Détermination de la
mise en service (TPi) classe du sol support
de chaussée (Si)
Choix d une ou plusieurs variantes de
structures de dimensionnement
Détermination de la structure
optimale de dimensionnement
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
a.3)- Constituants :
Granulats : la granularité du squelette minéral est de classe 0/10 ou 0/14 pour des épaisseurs
moyennes de couche de roulement de respectivement, 6 et 8 cm.
Teneur en fines : la fraction sableuse (passant à 0.080 mm) doit être comprise entre 6 et 10
%.
Lorsque cette valeur est insuffisante pour une bonne composition du matériau, il nécessaire
d adjoindre à la grave 0/D des fines d apport. Celles-ci doivent avoir plus de 80 % d éléments
passant au tamis 0.080 mm et 100 % de passant à celui de 0.2 mm.
Bitume : le bitume utilisé est, normalement, de classe 40/50. Dans certains cas (trafic modéré,
route en altitude, etc.), il est possible d utiliser un bitume moins dur tel que le 60/70 ou 80/100 si
le risque d orniérage n est pas trop à craindre.
a.4)-Fabrication :
Les bétons bitumineux sont fabriqués en centrales d enrobage continues ou discontinues.
a.5)-Mise en œuvre : Répandage : (finisseur), Compactage : (atelier vibrant en tête ).
Contrôle de fabrication :
Le contrôle portera sur toutes les étapes de la fabrication en centrale des bétons
bitumineux:- Stockage des matériaux, dosage des matériaux (granulat, bitume), température de
malaxage des enrobés.
Contrôle de mise en œuvre : le contrôle portera sur :
La température de Répandage.
La composition de l enrobé (pourcentage de liant et granulométrie).
Le contrôle de compactage (exécution des carottages et détermination de la compacité
des carottes d enrobés bitumineux).
b)-Grave Bitume (GB) :
b.1)-Définition : les graves bitume 0/20 sont des enrobés bitumineux à chaud (mélange à
chaud de granulats séchés et de bitume pur).
b.2)-Domaine d utilisation : la technique des graves bitumes est destinée à la réalisation des
assises de chaussée (couche de base et couche de fondation), Réseau RP1 : Classes de trafic
TPL3 à TPL7.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
b.3)- Constituants :
Granulats : les classes granulaires utilisées pour la fabrication des graves bitumes 0/20 sont
les suivantes coupures granulométriques : 0/3, 3/8, 8/14, 14/20, (Indice de concassage Ic
=100%).
Bitume : classe du bitume : 40/50 (pour le RP1).
b.4)-Fabrication :
Les graves bitumes 0/20 sont fabriqués en centrales d enrobage continues ou discontinues.
b.5)-Mise en œuvre et contrôle : la même chose que celui de Les bétons bitumineux.
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
Compactage : Le compactage doit être réalisé de façon énergique, pour cela, utiliser :
Les compacteurs vibrants ayant une masse par centimètre de génératrice vibrante
(M1/L 30Kg/cm).
Les compacteurs à pneumatiques de 3 tonnes par roue au moins.
Protection de surface :
a)-Grave non traitée devant supporter une autre assise :
Maintenir l humidité de surface, si besoin est, par arrosages légers mais fréquents.
Eviter la circulation des véhicules de chantier sur l assise.
Mettre en œuvre le plus rapidement possible la couche suivante.
b)-GNT devant supporter une couche de roulement ou provisoirement une circulation :
Outre les dispositions ci-dessus, réaliser directement sur celle-ci, un enduit superficiel.
Epaisseurs technologiques de mise en œuvre :
Les seuils technologiques après compactage, en une seule couche sont :
Epaisseur minimale =15 cm.
Epaisseur maximale =25 cm.
C.6)-Contrôle :
Contrôle de fabrication :
a)-Avant fabrication :
Contrôler le matériel de la chaîne de fabrication.
Contrôler l installation et les réglages initiaux de la centrale pour la GNT de type B .
b)- En cours de fabrication :
Contrôler l alimentation des concasseurs, la charge des cribles, la qualité de la production, et le
chargement et stockage des matériaux.
Contrôle de mise en œuvre :
Il s agit de vérifier que :
Les modalités définies lors des planches d essai sont bien appliquées.
La qualité du compactage.
VII.5 - APPLICATION AU PROJET
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
TOTAL 38 50
En raison de la faiblesse et la sensibilité du sol support il faut réaliser une couche de nivellement
(20TVO).
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
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Chapitre VII Dimensionnement Du Corps De Chaussée
8436.5 0.20
TJMA2009 =8436.5 v/j TPL2009= =843.65 PL/J/sens.
2
n 1 20 1
1 -1 1 0.04 -1
Tc = T PL 1 365 Tc = 1848.54 1 365
0.04
Tc =2.22 107 PL/j/sens.
Selon les Tableau VII. 5, notre trafic est classé en T4.
Selon les Tableau VII. 6, notre sol est classé en S3
25
50 TUF Couche de fondation
25
Après avoir déterminé l épaisseur de notre chaussée, et vue les différents résultats nous
constatons qu il n y a pas une grande différence entre les trois méthodes, nous avons opté
pour les épaisseurs obtenues à travers la méthode CBR, pour des raisons économiques.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
VIII
Chapitre VIII Carrefours
VIII. 1. INTRODUCTION
Un carrefour est un lieu d intersection deux ou plusieurs routes au même niveau.
Le bon fonctionnement d un réseau de voirie, dépend essentiellement de la performance
des carrefours car ceux-ci présentent des lieux d échanges et de conflits où la fluidité de la
circulation et la sécurité du trafic sont indispensables.
L analyse des carrefours sera basée sur les données recueillies lors des enquêtes
directionnelles, qui doivent fournir les éléments permettant de faire le diagnostic de leur
fonctionnement.
VIII.2- LES DIFF RENTS TYPES DE CARREFOUR :
Les principaux types de carrefour que présentent les zones urbaines sont :
a)- Carrefour à trois branches (en T) :c est un carrefour plan ordinaire à trois branches
secondaires. Le courant rectiligne domine, mais les autres courants peuvent être aussi
d importance semblable.
b) - Carrefour à trois branches (en Y):c est un carrefour plan ordinaire à trois branches,
comportant une branche secondaire uniquement et dont l'incidence avec l'axe principale est
oblique (s'éloignant de la normale de plus 20 )
c) -Carrefour à quatre branches (en croix) :c est un carrefour plan à quatre branches deux à
deux alignées (ou quasi)
Les carrefours giratoires sont utiles aux intersections de deux ou plusieurs routes également
chargées, lorsque le nombre des véhicules virant à gauche est important.
Les longueurs d'entrecroisement qui dépendent des volumes courants de circulation qui
s'entrecroisent, déterminent le rayon du rond point.
Page - 65 -
Chapitre VIII Carrefours
Une courbe de petit rayon à l'entrée dans le giratoire freine les véhicules et permet la
convergence sous un angle favorable (30 à 40 ). En revanche, la sortie doit être de plus grand
rayon pour rendre le dégagement plus aisé.
Re
Rg Le
La
LS
Ri
RS
lot
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Chapitre VIII Carrefours
Les points limites à partir desquels les conducteurs doivent apercevoir un véhicule
adverse
VIII. 4. 3 - Données De Base :
La nature de trafic qui emprunte les itinéraires.
La vitesse d approche à vide (V0) qui dépend des caractéristiques réelles de l itinéraire au
point considéré et peut être plus élevée que la vitesse de base.
Les conditions topographiques.
D après le B40 :
En catégorie 2 et environnement 2, V0 = 80km/h et VB =60Km/h. (4 voies).
a = 2.5m (distance entre l œil de conducteur du véhicule non prioritaire et la ligne d arrêt)
d p (VP) = 175m.
d p (PL) = 220m.
d p (t.à.g) = 185m.
d p (t.à.d) = 165m.
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Chapitre VIII Carrefours
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre IX Assainissement
IX. 1- INTRODUCTION:
L assainissement des voies de circulation comprend l ensemble des dispositifs à prévoir et
réaliser pour récolter et évacuer toutes les eaux superficielles et les eaux souterraines, c est à
dire :
Les eaux souterraines comprennent d'une part, les eaux de la nappe phréatique et d'autre
part, les eaux d'infiltrations. Leurs effets sont nocifs si ces eaux détrempent la plate-forme, ce qui
peut entraîner une baisse considérable de la portance du sol.
la fondation.
Page- 70 -
Chapitre IX Assainissement
C est un secteur géographique qui est limité par les lignes de crêtes ou lignes de rencontre
des versants vers le haut, où la surface totale de la zone susceptible d alimenter en eau pluviale,
d une façon naturelle, une canalisation en un point considérer.
Les collecteurs sont constitués par des tuyaux enterrés alignés, entre les regards avec un
diamètre et une pente constante.
Les chambres de visites sont à prévoir aux changements de calibre, de direction ou de pente
longitudinale de la canalisation, aussi qu aux endroits où deux collecteurs se rejoignent.
Pour faciliter l entretien des canalisations, la distance entre deux chambres consécutives ne
devrait pas dépasser 80 à 100m.
IX. 3. 4 - Sacs:
Ouvrage placé sur les canalisations pour permettre l introduction des eaux superficielles.
Les sacs sont fréquemment équipés d un dépotoir, destiné à retenir des déchets solides qui
peuvent être entraîné par les eaux superficielles.
Page- 71 -
Chapitre IX Assainissement
IX. 3. 8 - Le regard:
Il est constitué d un puits vertical, muni d un tampon en fonte ou en béton armé, dont le rôle
est d assurer pour le réseau des fonctions de raccordement des conduites, de ventilation et
d entretien entre autres et aussi à résister aux charges roulantes et aux poussées des terres.
8%
0.5 %
Regard
125m
200m
Son rôle est de collecter les eaux superficielles ou internes et de les canaliser vers un
exutoire, point de rejet hors de l emprise routière; il peut également contribuer au rétablissement
d un écoulement naturel de faible importance, coupé par la route.
Page- 72 -
Chapitre IX Assainissement
La région de BLIDA est régie par un climat méditerranéen caractérisé par l'alternance
d'une saison sèche avec une saison froide, humide et pluvieuse.
Les pluies sont importantes en automne et en hiver, elles tombent d'octobre à Mai avec un
maximum en Novembre et un autre en Février.
Qa = K x C x I x A
C : coefficient de ruissellement.
Page- 73 -
Chapitre IX Assainissement
Où :
Pjmoy : pluie journalière moyenne (mm).
Cv : Coefficient de variation.
U: Variable de Gauss.
Ln: Log. Népérien.
Tableau IX.2: Variable de Gauss
Remarque :
Les buses seront dimensionnées pour une période de retour 10 ans.
Les ponceaux (dalots) seront dimensionnés pour une période de retour 50 ans.
Les ponts dimensionnées pour une période de retour 100 ans.
IX. 4. 3 Calcul de la fréquence d averse:
La fréquence d averse est donnée par la formule suivante :
Pt (%) = Pj (%). ( tc ) b
24
Page- 74 -
Chapitre IX Assainissement
3
2/ lorsque 5km A < 25 km : tc = 0,108 A .L
P
Page- 75 -
Chapitre IX Assainissement
Où :
Kst : coefficient de MANNING STRIKLER J : pente longitudinale de l ouvrage.
Où:
Qs: debit maximum
Kst: coefficient de rugosité de canalisation.
I: pente de canalisation. (m/m).
S: section transversale de l écoulement.
RH: rayon hydraulique (RH = Sm/Pm).
Sm = R2 / 2
RH = Sm / Pm
Pm = R
Page- 76 -
Chapitre IX Assainissement
IX.7-APPLICATION AU PROJET :
Pj moy u In(Cv2 1)
Pj (%) = . e
C v2 1
Pendant 50ans :
u =2.05, Cv =0. 32, Pjmoy=62.7mm.
62 . 7 2 , 05 ln 0 . 32 2
1
PJ (02%) =113.26 mm
P j ( 02 %)
0 . 32 2
1
e
Page- 77 -
Chapitre IX Assainissement
tc 0.127 A (Le temps de concentration pour les bassins versant inférieurs à 5 Km2)
P
A = 0 .127 0.07
tc 0.127 tc 0.021h
P 2 .5
A = 0 .127 0. 005
tc 0.127 tc 0.0045h
P 4
t c b-1 0.0045 0.32-1
It = I. ( ) = 3.71. ( ) It= 1269.79 mm/h
24 24
(Qa )a= K.C.I.A = 0.002778 x 0.4 x 1269.79 x 0.005 (Qa)a = 0.007m3/s
Pour le talus:
C = 0.3, p =100 %, I (10%) =3.71mm/h, b = 0.32, A=0.01 ha.
A = 0 .127 0. 01
tc 0.127 tc 0.00127h
P 100
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Chapitre IX Assainissement
Qa=0.102 m3/s
Calcul de débit de saturation (QS):
Qs = 80 x (R/2)2/3 x x R x (0.025)1/2
2
Qs=Qa 80 x (R/2)2/3 x x R x (0.025)1/2 = 0.102m3/s R8/3 = 0.00815.
2
Donc: R = 0.165m on prend R = 200mm D où: = 400mm
Sm : surface mouillée.
Pm : périmètre mouillé. h
B
R: rayon hydraulique R = Sm / Pm.
P : pente du talus P =1/n. e b e
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Chapitre IX Assainissement
eh
Sm = bh + 2 = bh + n.h2 = h. (b + n.h) Sm = h. (b + n. h)
2
h 1
Avec tg = = d où e = n.h
e n
Calcul du périmètre mouille :
Pm= b + 2B Pm = b + 2 h. 1 n 2
Avec : B = h2 e2 = h2 n 2 .h 2 = h. 1 n 2
h.(b n.h)
Calcul le rayon hydraulique : Rh = Sm / Pm =
b 2h 1 n 2
Qa = Qs =Kst.I1/2Sm.Rh2/3
h.(b n.h)
Qa = Qs = Kst.(I1/2).h. (b + n. h). 2/3
2
b 2h 1 n
h.(0.25 .h)
0.102=70. (0.041/2) h (0.25+h). 2/3
2
0.25 2h 1 1
h.(0.25 .h)
7.29 10-3=h (0.25+h) 2/3
0.25 2.83h
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Chapitre IX Assainissement
Les Regards :
IX. 8 CONCLUSION :
NB : on note qu en ce qui concerne les buses existant dans l ancienne route, on les prolonger
sous notre route.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre X Signalisation Et Eclairage
X.1-SIGNALISATION :
X.1.1 INTRODUCTION :
On distingue :
II est nécessaire de concevoir une bonne signalisation en respectant les règles suivantes:
Simplicité qui s'obtient en évitant une surabondance de signaux qui fatiguent l attention
de l usager.
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
Elle se fait à l aide de panneaux, qui transmettent des renseignements sur le trajet emprunté
par l usager à travers leur emplacement, leur couleur, et leur forme.
Panneaux de forme triangulaire, ils doivent être placés à 150 m en avant de l obstacle à
signaler (signalisation avancée).
L interdiction.
L obligation.
La fin de prescription.
Signaux d indication.
Signaux de direction.
Signaux de localisation.
Signaux divers.
Toujours implantés en pré signalisation, ils sont d un emploi peu fréquent en milieu urbain.
Ces signaux horizontaux sont représentés par des marques sur chaussées, afin d indiquer
clairement les parties de la chaussée réservées aux différents sens de circulation. Elle se divise en
trois types :
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
Lignes continue : les lignes continues sont annoncées à ceux des conducteurs auxquels il est
interdit de les franchir par une ligne discontinue éventuellement complétée par des flèches de
rabattement.
Lignes discontinue : les lignes discontinues sont destinées à guider et à faciliter la libre
circulation et on peut les franchir, elles se différent par leur module, qui est le rapport de la
longueur des traits sur celle de leur intervalle.
lignes axiales ou lignes de délimitation de voie pour les quelles la longueur des trait est
environ égale ou tiers de leur intervalles.
ligne d avertissement de ligne continue, les lignes délimitant les bandes d arrêt
d urgence, dont le largueur des traits est le triple de celle de leurs intervalles.
Modulation des lignes discontinues : elles sont basées sur une longueur parodique de 13 m.
leurs caractéristiques sont données par le tableau suivant :
13 m
3m 10 m
T1 2u
3m 3.5 m
T2 3u
3m 1.33 m
T3 2u
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
Rapport Intervalle entre deux traits Longueur du trait (m) Type de modulation
Plein/Vide successifs (m)
10 3 T1
1/3
5 1.5 T 1
3.5 6 T2
1
0.5 0.5 T 2
1.33 3 T3
3
6 20 T 3
c)-Autre marquage :
Flèche de rabattement : une flèche légèrement incurvée signalant aux usagers qu ils devaient
emprunter la voie située du coté qu elle indique.
Flèches de sélection : flèches situées au milieu d une voie signalant aux usagers, notamment à
proximité des intersections, qu ils doivent suivre la direction indiquée.
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
Le blanc est la couleur utilisée pour les marquages sur chaussée définitive et l orange
pour les marques provisoires.
La largeur des lignes est définie par rapport à une largeur unité U différente suivant le
type de route, à savoir :
X.1.7-APPLICATION AU PROJET :
Les différents types de panneaux de signalisation utilisés pour notre étude sont les
suivants :
Panneaux donnant les indications utiles pour les conduites de véhicules (Type E14, E15).
En ce qui concerne l unité de largeur des lignes de signalisation horizontale elle est de :
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
SCHEMA DE SIGNALISATION
FLECHE DE RABATTEMENT STOP SUR CHAUSSEE
L axe de la chaussée
0.5m
6m
4.5
4.12 3.5 STOP
R 21
R8
Axe de
0.36 m Référence
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
FLECHE DE SELECTION
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
CHEFFA
60 30
5.25
(A24)
STOP
150m
SENSE INTERDIRT C1 SENSE OBLIGATOIR D1
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
X.2- CLAIRAGE :
X.2.1-INTRODUCTION :
L éclairage public doit assurer aux usagers de la route de circuler de nuit avec une
sécurité et un confort que possible, c est à- dire voir tout ce qu il pourra exister comme
obstacles sans l aide des projecteurs de la voiture ou de croisement ; ainsi que voir tous les
éléments de la route (les bordures de trottoir les carrefours……etc.).
Une bonne visibilité des bordures de trottoir des véhicules et des obstacles et l absence de
zone d ombre sont essentiels pour les piétons.
Il existe quatre classes d éclairage public :
Classe A : éclairage général d une route ou autoroute.
Classe B : éclairage urbain (voirie artérielle et de distribution).
Classe C : éclairage des voies dessertes.
Classe D : éclairage d un point singulier (carrefour, virage…) situé sur un itinéraire non
éclairé.
X.2.2- CLAIRAGE D UN POINT SINGULIER :
Les caractéristiques de l éclairage d un point singulier, situé sur un itinéraire non éclairé
doivent être les suivantes :
A longue distance 800 à 1000 m du point singulier, tache lumineuse éveillant l attention
de l automobiliste.
A distance moyenne 300 à 500m, idée de la configuration du point singulier.
A faible distance, distinguer sans ambiguïté les obstacles.
A la sortie de la zone éclairée, pas de phénomène de cécité passagère.
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Chapitre X Signalisation Et Eclairage
X.2.4-APPLICATION AU PROJET :
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Chapitre XI Impact Sur L environnement
Le terme "environnement" est à prendre dans le domaine des études préalables routières au
sens large. Ce domaine rassemblera toutes les thématiques qui décrivent les lieux de vie des
espèces animales et végétales.
L étude d environnement est une étude scientifique et technique multidisciplinaire, qui
permet d analyser et d évaluer les effets et les mesures par rapport à chacune des composantes
environnementales d un projet.
La construction d un aménagement routier est une tache délicate à accomplir et est perçue
aujourd hui comme étant une action susceptible de porter atteinte à l environnement. En effet
l extraction de matériaux, les déboisements, l utilisation des ressources en eau et l émission de
bruits engendrés par ce type de projets sont des actions qui peuvent altérer la qualité des
paysages ainsi que les ressources naturelles.
Le périmètre des zones d'influence pourra être défini en fonction des conditions aux limites
(unité biogéographique, ou bassin versant pour le milieu terrestre). Il peut aussi dépendre des
relations fonctionnelles entre milieu. Ainsi pour chaque périmètre seront définies les
caractéristiques à l'origine, et les impacts du projet pour chaque solution envisagée.
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Chapitre XI Impact Sur L environnement
XI.1.1- L eau :
La loi sur l'eau a renforcé les obligations des maîtres d'ouvrage en matière de précaution et
de protection de cette ressource dont on mesure de plus en plus la valeur.
Il est ainsi nécessaire de prévoir des dispositifs permettant de récupérer les eaux
superficielles provenant d'une plate-forme routière. L'importance qui sera donnée à ce thème
dépendra bien sur de la sensibilité du milieu récepteur. Les équipements à mettre en oeuvre
seront très limités lorsque les sols seront imperméables, en dehors du lieu d'exutoire. Au
contraire, ils devront être sophistiqués pour des zones très perméables et situées au dessus d'une
nappe d'eau souterraine. Il est ainsi d'en certains cas, nécessaire d'imperméabiliser totalement
l'emprise de la route, y compris les accotements. Dans ce dernier cas il est même nécessaire de
mettre en oeuvre des dispositifs empêchant le renversement des véhicules hors emprise (talus de
terre par exemple).
Autre donnée à prendre en compte, la pollution accidentelle. Elle est liée aux accidents. Les
matières principalement incriminées dans ce cas sont les hydrocarbures. Ils ne sont pas miscibles
dans l'eau, ils ont un pouvoir polluant très important. La protection contre ce genre de pollution
est réalisée par des bassins séparateurs qui permettent d'isoler les hydrocarbures de l'eau, très
souvent par des parois siphoïdes.
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Chapitre XI Impact Sur L environnement
L'impact sur les milieux naturels doit être apprécié sur l'ensemble d'un biotope ou d'une
zone écologique dès lors que l'équilibre de la flore et de la faune est menacé. Les zones sensibles
sont de plus en plus délimitées et protégées par des classements réglementant les usages et les
équipements réalisables à leur abord. Il s'agit des zones naturelles d'intérêt écologique
faunistique et floristique, et des zones importantes pour la conservation des oiseaux.
Les zones humides, marais et berges, constituent des biotopes riches en flore et en faune,
d'intérêt élevé et en régression. Ces zones sont biologiquement très riches. De plus elles
contribuent à l'absorption du gaz carbonique contenu dans l'air, leur production végétale est le
premier élément de la chaîne alimentaire des insectes et des oiseaux.
L'étude portera aussi sur les couloirs de migration des animaux. Cet aspect sera étudié tant
en ce qui concerne les dispositifs à mettre en œuvre pour maintenir ces migrations qu'en terme de
sécurité pour les usagers de la route.
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Chapitre XI Impact Sur L environnement
Les études de bruit doivent désormais prendre en compte un certain nombre de paramètres
qui ont une grande influence sur la transmission du bruit, en particulier les conditions
météorologiques les plus favorables ont lieu la nuit avec l'inversion des températures et par vent
portant.
Le bruit routier provient du bruit des moteurs et de roulement. Le bruit lié au roulement est
devenu la source principale émise par les véhicules en circulation pour la vitesse des PL. Deux
facteurs sont bien évidemment à l'origine de ce bruit: le revêtement routier et le pneumatique.
Les progrès réalisés dans le domaine des enrobés ont permis de diminuer ce bruit:
particulièrement pour les enrobés à faible granulométrie.
Les moyens pour lutter contre le bruit dans un projet routier peuvent prendre plusieurs formes:
Réduction de la vitesse.
implantation de la voie par rapport aux zones bâties, et isolation des bâtiments.
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Etude en APD du dédoublement BLIDA-CHIFFA
Avec le calcul d'un tablier d'un pont
Devis Quantitatif Et Estimatif
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200.0 220.0 240.0 260.0 280.0 300.0 320.0