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GÉNÉRALITÉS
Electronique de Puissance
SUR
N°1 L’ELECTRONIQUE
DE PUISSANCE
(convertisseurs statiques) 1
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L'étude et la conception de ces dispositifs sont souvent La notion principale dans toute transformation en
appelées électronique de puissance.
électronique de puissance est celle de rendement. De ce fait
En effet, si ces dispositifs comportent des composants qui
l’électronique de puissance fait appel à la commutation. Les
fonctionnent à courant faible (partie de commande du convertisseur
composants de base le constituant seront des semi-conducteurs
qui permet le contrôle et la régulation des paramètres de la
fonctionnant en « TOUT ou RIEN ».
conversion), leur fonction principale consiste à faire commuter des
Les signaux de commande d’un montage,
courants souvent importants.
d’électronique de puissance, ne servent qu’à fixer les instants
La mise au point de semi conducteurs, permettant le contrôle
d’entée en conduction ou de blocage des semi-conducteurs qui
de courants importants, donne un essor considérable à cette
le constituent.
nouvelle technique, l’électronique de puissance.
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Le fonctionnement en commutation conduit à des modes de Pour étudier ces montages, il faut d’abord d’écrire leur
calcul et de raisonnement particulier. fonctionnement, c’est-à-dire déterminer l’évolution des diverses
variables pendant les phases successives d’une période (chaque phase
Suivant que les interrupteurs de puissance utilisés dans un correspond à la configuration que donne au montage l’état ouvert ou fermé de ses
montage d’électronique de puissance sont fermés (passants) ou interrupteurs).
ouverts (bloqués), le schéma équivalent diffère. En régime établi Durant chacune de ces configurations, on peut :
écrire les équations différentielles liant les diverses variables ;
de fonctionnement, ce schéma présente périodiquement la même
en déduire, aux constantes d’intégration prés, les expressions de
configuration. Le fonctionnement permanent d’un montage, en
celles-ci ;
électronique de puissance, est une suite périodique de régimes à partir de ces expressions, déterminer l’instant où l’intervalle
transitoires. Et le passage d’un interrupteur de l’état fermé à considéré se termine car les conditions nécessaires pour que le schéma
l’état bloqué, ou inversement, caractérise le début d’un régime équivalent utilisé soit valable cessent d’être remplies.
On passe alors à l’examen de l’intervalle suivant et ainsi de suite
transitoire.
jusqu‘à ce qu’on arrive au bout de la période.
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GENERALITES SUR LES CONVERTISSEURS STATIQUES Les grandes classes de convertisseurs statiques :
La mise en forme de l’onde électrique, afin de l’adapter aux
Définition : Les convertisseurs statiques sont des dispositifs à
besoins, a longtemps été obtenue au moyen de groupes tournants composants électroniques capables de modifier la tension
(groupe convertisseur moteur synchrone ou asynchrone -génératrice (ou le courant) et/ou la fréquence de l’onde électrique.
à courant continu, commutatrices, etc..).
On a l’habitude de distinguer deux sortes de sources de tension (ou
Les performances actuelles des composants de l’électronique
courant) :
de puissance (diodes, thyristors, triacs, transistors, etc..) leur permettent de
source de tension (ou courant) continue, caractérisées par la
réaliser de telles conversions. valeur U de la tension (ou I du courant) ;
On supprime ainsi les parties tournantes et on réduit la masse, source de tension (ou courant) alternative définie par les
valeurs de la fréquence f et de la tension Veff (ou du courant
l’encombrement et le coût de ces matériels.
efficace Ieff) ;
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LA COMMUTATION :
Ce processus de transfert est appelé commutation :
Le fonctionnement des convertisseurs statiques de I
I I
puissance est basé sur la commutation du courant entre des
I
Un aspect système relatif au passage d’une séquence l’auto-commutation (ou commutation forcée), lorsque
de fonctionnement du circuit convertisseur à une autre le convertisseur statique provoque le déclenchement
séquence. d’un interrupteur statique commandé quelles que soient
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les conditions externes (sources). 16
qui est telle que la puissance consommée par cet élément soit nulle. la caractéristique dynamique est déterminée par la façon
Ce qui permet de définir deux états : dont se font les transitions d’une branche à l’autre. Ces
* interrupteur ouvert courant au sein de l’interrupteur nul; transitions peuvent être soit spontanées, soit commandées.
* interrupteur fermé tension aux bornes de l’interrupteur nulle;
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TABLEAU DE CLASSIFICATION :
Si on néglige les phénomènes secondaires (courants inverses,
Amorçage
Spontané Commandé tension directe résiduelle), on peut dire qu’une commutation
Blocage
spontanée se déroule sur la caractéristique statique, donc suivant
I I
les axes, avec un minimum de pertes.
V V
Spontané
Ex : Ex :
Diode Thyristor En revanche une commutation commandée oblige le point
de fonctionnement à sauter d’un axe à l’autre, ce qui est à
I I
l’origine de contraintes importantes donnant naissance à des
V V
Commandé pertes elles mêmes importantes lorsque le temps de commutation
Ex : Ex :
Dualistor Transistor
augmente et/ou la fréquence de commutation.
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Régime statique :
Tout interrupteur statique qui assure véritablement cette
L’interrupteur étant considéré comme un dipôle avec une fonction a une caractéristique statique qui comporte au moins
convention récepteur, sa caractéristique statique, I= f (V), deux (2) demi-axes (ou segments) orthogonaux.
qui représente l’ensemble des points de fonctionnement
statique du semi-conducteur, comporte des branches situées a) Caractéristique statique à deux segments :
Ce sont des interrupteurs unidirectionnels en tension et en
entièrement dans les deux quadrants tels que V*I>0, l’une
courant. Deux possibilités :
très proche de l’axe des courants (état passant) et l’autre très
1) la tension, V, et le courant, I, sont toujours de mêmes
proche de l’axe des tensions (état bloqué). signes. On a des interrupteurs de type T (Ex. : le
transistor).
I
I 2) la tension, V, et le courant, I, sont toujours de signes
V contraires. On a des interrupteurs de type D (Ex. : la
V
Gustave SOW
diode). Electronique de puissance GE/ESP/UCAD
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a b a b
caractéristique statique à trois segments et des commutations d’amorçage
et de blocage commandées (ex : transistor en antiparallèle avec une
diode).
I Il est cependant important de noter que, quelque soit le fonctionnement
envisagé, toutes les possibilités des interrupteurs ne sont pas
V
complètement exploitées, et notamment la réversibilité d’une des
a b a b grandeurs tension ou courant si les deux commutations sont de même
nature (commandées et spontanées).
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V0 = (1/T) * V(t) dt Ap = (2/T) * V(t)sin(pwt)dt Bp = (2/T) * V(t)cos(pwt)dt Symétrie par rapport au milieu d’alternance: V(t) = V(-t)
0
0
tous les termes en sinus disparaissent.
0
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COMPOSANTS DE PUISSANCE
I
IM
INTRODUCTION SUR LES
ID
P N
COMPOSANTS DE PUISSANCE A
iD
K
VM
A K VD
IR VD
v=vD
Caractéristique réelle Caractéristique idéale
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Pont redresseur
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IC C IC C
Transistor IB
B B saturé
Zone linéaire
VCE VCE
IB IB
E E
NPN PNP
blocage VCE
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TD
Calculer :
Soit
Ieff , IFeff ,
Pact[i(t)*V(t)]moy ,
PFact=Veff*IFeff*cos(fF) ,
CONVERTISSEURS
Avec : = déphasage entre le fondamental du
courant et la tension.
Le facteur de puissance : FP .
Comparer :
Pact et PFact .
CONTINU-CONTINU
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CONVERTISSEURS CONTINU-CONTINU
CONVERTISSEURS CONTINU-CONTINU (suite)
Leur utilisation permet la conversion et le traitement de On peut classer les convertisseurs continu-continu (ou hacheurs)
l’énergie électrique dans des structures où n’apparaissent que en trois types représentatifs :
Tr
des sources d’énergie à courant continu. Les convertisseurs HYPOTHESE :
Vs est bien filtrée (a) Inductance
directs du type continu-continu sont des hacheurs. donc DVs = 0 ,
Côté sortie
E D
cha
rge
Vs
C
Vs et Is sont
Le principe du hacheur est basé sur l’ouverture et la constants.
L est une
fermeture régulière d’un interrupteur statique faisant partie inductance pure Inductance cha
(b) à l’entrée
rge
donc pas de
d’un circuit électronique placé entre la source d’entrée et la pertes.
source de sortie. tf = temps de
conduction de TR
R = rapport Inductance cha
cyclique =
tf / (to+tf) = tf / T
de l’interrupteur permet le contrôle de l’échange d’énergie.
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c
Si le condensateur de sortie, C, a une valeur On a :
h
a
r
Vs suffisante, il est considéré comme un circuit ouvert
pour Imoy et comme un court-circuit pour Ialt.
DIL = [E*R*(1-R)] / (F*L)
C g
E - VS = L * DIL / tf
e
STRUCTURES HACHEURS A
DECOUPAGE
SOUS MATLAB-SIMULINK
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D
D
V R Vs
V V R Vs
2 C V
1 2 C
1
V
V
E
E
T
T T
P T
P P
P
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On a :
i2 = I2M - (Vs/L2)*t et VT= Ve + Vs/m Vs/Ve = m*a/(1-a) ; I1moy = Vs*Is/Ve = m*a*Is/(1-a) ; I2moy = Is.
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Interrupteur commandable :
ASYMETRIQUES :
ITmax = m*Is/(1-a) +Ve*a*T/(2*L1) ; VTmax = ( Ve + Vs/m )
Diode :
(TYPE FORWORD)
IDmoy = Is ; VDmax = - ( Vs + m*Ve )
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La diode D3 associée à
l’enroulement n3, permet la
démagnétisation du
transformateur, à la suite de la
conduction de Tp.
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On a :
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On suppose ici les semi-conducteurs parfaits et les secondaires des transformateurs sans COMMMUTATEURS POLYPHASES SIMPLE ALTERMANCE (suite)
inductance (ce qui conduit à une commutation instantanée). Figure 1 : les cathodes des trois diodes sont au même potentiel, donc seule la diode dont la anode est
au plus haut potentiel peut conduire.
I-1) Montage // simple alternance à diodes : Figure 2 : les anodes des trois diodes sont au même potentiel, donc seule la diode dont la cathode est
Redressement triphasé simple alternance, P3 à diodes : On l’obtient lorsque au plus bas potentiel peut conduire.
les diodes ont une électrode commune et lorsque les enroulements
secondaires du transformateur d’alimentation sont en étoile.
Figure 2 Figure 1 74
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COMMMUTATEURS POLYPHASES SIMPLE ALTERMANCE (suite) COMMMUTATEURS POLYPHASES SIMPLE ALTERMANCE (suite)
On a : Chaque diode ne conduit que pendant T/3 de la période des sinusoïdes. La
tension aux bornes d’une diode Di quelconque est de la forme : VDi(t) = Vi(t) – uc(t).
V1(t)=VSM*sin(wt);
V2(t)=VSM*sin(wt-2p/3); I-2) Montage // simple alternance à thyristors (P3 à thyristors ):
V3(t)=VSM*sin(wt+2p/3);
D’où:
Uco =(3/p)*VSM*sin(p/3); iseff = IC/[3]1/2; Soit y l’angle
de retard à
Puissance côté continu, Pc : PC = UCO*IC;
l’amorçage des
Puissance apparente côté alternatif, Pap : Pap = 3*VSeff*iseff;
thyristors.
Facteur de puissance, Fp : Fp = PC / Pap
Puissance active côté alternatif, Pact :Pact = 3*[v1(t)*i1(t)]moy = PC
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COMMMUTATEURS POLYPHASES SIMPLE ALTERMANCE (suite) COMMMUTATEURS POLYPHASES SIMPLE ALTERMANCE (suite)
On a:
U’co =(3/p)*VSM*sin(p/3)*cosy; U’co =Uco*cosy
iseff = IC/[3]1/2; Puissance côté continu, Pc : PC = U’CO*IC.
Remarques :
l’inversion de U’co suppose que la source côté continu de récepteur
devient générateur.
Si le récepteur côté continu est purement résistif :U’co = 0 pour y>=5p/6.
La tension inverse maximale qui peut apparaître aux bornes des
redresseurs est la même que pour le même montage utilisant des diodes.
La tension aux bornes d’un redresseur bloqué devient positive à partir
de l’instant où la diode correspondante s’amorcerait. Cette tension
directe prend (quand y est suffisant) une valeur maximale égale, en
valeur absolue, au maximum que peut prendre la tension inverse.
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Facteur de puissance, Fp :
Fp = PC/ Pap = Pact/ Pap le convertisseur statique consomme de la
puissance réactive.
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COMMMUTATEURS POLYPHASES DOUBLE ALTERMANCES (suite) COMMMUTATEURS POLYPHASES DOUBLE ALTERMANCES (suite)
Montage triphasé à commutation parallèle double alternances à Pour deux branches associées à
deux tensions successives du système
diodes, PD3 à thyristors : polyphasé, par exemple V1(t) et V2(t), la
commutation assistée de TH1 sur TH2
est possible sur une plage d’amplitude
p, correspondant à V2(t)>V1(t). De
même les thyristors du groupement
négatif appartenant aux mêmes branches
soit TH’1 et TH’2 peuvent commuter dans
la plage V1(t)>V2(t).
Les thyristors d’un même
groupement sont amorcés par des
impulsions déphasées entre elles de
2p/3. L’intervalle de conduction d’un
thyristor est de 2p/3.
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COMMMUTATEURS POLYPHASES DOUBLE ALTERMANCES (suite) COMMMUTATEURS POLYPHASES DOUBLE ALTERMANCES (suite)
Montages polyphasés à commutation série, Sm : (suite) Montages polyphasés à commutation série, Sm : (suite)
Montages à commutation série triphasé, S3 : Montages à commutation série triphasé, S3 : Analyse de la commutation
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wt є [y+(2k-1)*(p/p) ; [y+(2k+1)*(p/p)],
on a :
uc(t) = VM*cos(wt-2kp/p)
On a :
[uc(t)]moy = Uc = Uc0*cosy = (p/p)*VM*sin(p/p)*cosy Et on peut écrire en conduction continue :
Avec : p = indice de pulsation
VM = amplitude maximale de uc(t) .
uc(t) = Uc + ualt = L*[dic(t)/dt] + R*ic(t) + E (1)
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FONCTIONNEMENT DES COMMUTATEURS POLYPHASES, COMPTE TENU DE FONCTIONNEMENT DES COMMUTATEURS POLYPHASES, COMPTE TENU DE
LA STRUCTURE DU CIRCUIT CÔTE CONTINU (suite) LA STRUCTURE DU CIRCUIT CÔTE CONTINU (suite)
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L*[dialt(t)/dt] = uc(t) - Uc considérant que la valeur moyenne de ialt(t) est nulle dans
l’intervalle considéré.
Pour k=0 : wt e [y-p/p ; y+p/p] ; ialt(t)=(Uc0/Lw)*[(VM/Uc0)*sin(wt) – (wt – y)*cosy - siny]
On a : Le courant présente des extremums pour :
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LES CHUTES DE TENSION AU NIVEAU DES MONTAGES REELS LES CHUTES DE TENSION AU NIVEAU DES MONTAGES REELS
Entre la marche à vide et la marche à pleine charge, la chute de La chute de tension totale est obtenue en additionnant :
La chute due aux réactances, D1Uc ;
tension totale DUc est d’ordinaire faible par rapport à la tension à
La chute due aux résistances, D2Uc ;
vide U’co. La chute due aux semi-conducteurs (diodes, thyristors, etc..),
D3Uc ;
On calcul DUC avec une bonne approximation :
On écrira donc :
en prenant pour chute de tension DUc la somme des chutes
DUc = D1Uc + D2Uc + D3Uc
de tension partielles évaluées séparément; = U’co - Uc
en calculant chaque chute de tension partielle sans tenir
(avec Uc = tension en charge)
compte des phénomènes qui sont à l’origine des autres.
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D2UC = RC * I
D3Uc = k* (UTH)I
avec : I = courant moyen côté continu.
Avec : k = Nbre semi conducteurs en jeu.
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D’où [6] :
D’où :
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LES CHUTES DE TENSION AU NIVEAU DES MONTAGES REELS LES CHUTES DE TENSION AU NIVEAU DES MONTAGES REELS
Durant l’empiétement on a :
NB :
UM = 2*VM*sin (p/m)
On a donc une chute de tension instantanée de :
Avec:
m = nombre de phases.
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Valeur moyenne de
la chute de tension D’où pour le P3 :
pour le P3:
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Remarque :
Influence de ce
1) l’angle d’empiétement, a, dépend de l’angle de retard à
l’amorçage y : phénomène
• a atteint une valeur maximale pour :
d’empiétement
y = 0rd (fonctionnement en redresseur pur) ;
y = voisin de p (fonctionnement en onduleur à commutation sur les ondes
naturelle)
électriques :
• a atteint une valeur minimale pour une valeur de l’angle
de retard à l’amorçage, y, voisin de p/2 qui est la limite
de fonctionnement en redresseur et onduleur à
commutation naturelle.
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Avantages :
réduction du prix du convertisseur;
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CYCLOCONVERTISSEUR
CYCLOCONVERTISSEUR
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INTRODUCTION
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INTRODUCTION (suite)
INTRODUCTION (suite)
On distingue deux grandes familles d'onduleurs autonomes :
Les onduleurs autonomes sont des convertisseurs destinés les onduleurs de tension (que l'on retrouve dans l'alimentation
à alimenter des récepteurs à courant alternatif à partir d'une des moteurs à courant alternatif et dans les alimentations alternatives
source continue. Ils sont généralement monophasés ou de secours).
triphasés. Suivant les applications, ils peuvent :
les onduleurs de courant (ou commutateurs de courant)
soit fournir une ou des tensions alternatives de fréquence et
d'amplitude fixe : c'est le cas en particulier des alimentations de les onduleurs à résonance qui se partagent en deux familles (Les
sécurité destinées à se substituer au réseau en cas de défaillance applications les plus courantes des onduleurs à résonance sont d'une
de celui-ci. part, le chauffage par induction et d'autre part, l'alimentation des
soit fournir des tensions ou courants alternatifs de fréquence et générateurs d'ozone).
amplitude variables : c'est le cas des onduleurs servant à
alimenter des moteurs à courant alternatif (synchrones ou
les onduleurs à résonance série où à résonance de tension,
asynchrones) devant tourner à vitesse variable. les onduleurs à résonance parallèles où à résonance de courant.
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Un onduleur de tension est alimenté par un générateur Dans les onduleurs en pont, chaque borne du récepteur est
continu du type source de tension : reliée à la source de tension continue par deux interrupteurs à semi-
En pratique, le caractère de "source de tension" du conducteurs. Ces deux interrupteurs forment un bras d'onduleur.
générateur d’entrée de l’onduleur est obtenu en Un onduleur monophasé en pont comporte deux bras tandis
plaçant en parallèle avec les bornes de cette source un
qu’un onduleur triphasé en pont a trois bras.
condensateur, C, de forte valeur.
Les courants absorbés par le récepteur découlent des tensions
En pratique, le caractère de source de courant du qui lui sont appliquées. Ces courants et la commande des
récepteur découle de la présence d'inductances série à interrupteurs fixent le courant qui est fourni par la source de tension
ses bornes d'accès.
continue.
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Onduleur
monophasé avec
des IGBT
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En monophasé : En triphasé :
c
o
c m
o
m
m
m a
a n
n d
d e
e
s
s 151
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ONDULEURS DE TENSION
T
T
tension
SOUS MATLAB-SIMULINK
1) Ch 1: 2 V olt 10 ms
2) Ch 2: 500 mV olt 10 ms
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Gustave SOW gustave.sow@ucad.edu.sn
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