miraculeuse et qu'une étoile apparue dans le ciel pour diriger des mages vers une caverne, l'endroit de sa naissance. Le Mithraïsme aussi avait son pape qui siégeait à Rome ainsi que ses évêques, sa Madone ou Reine du ciel, ainsi que tous les rituels que nous retrouvons dans le catholicisme. Considérant que le Mithraïsme date de plusieurs siècles avant Jésus- Christ, le parallélisme est vraiment inouïe. Inutile d'entrer ici dans une analyse complète de ce sujet mystérieux, sauf de dire que les fondateurs du Mithraïsme avaient surement accès aux livres prophétiques de l'Ancien Testament qu'ils interprétèrent à leur façon, en adaptant les principes à leur religion à mystères qui détenait en général une ressemblance extraordinaire avec le christianisme. Il faut admettre qu'ils étaient plus informé sur le christianisme que la majorité des gens le sont de nos jours. Il fut ainsi très facile pour Constantin, qui était le chef des mystères Chaldéens du Mithraïsme, d'en intégrer les principes au sein du christianisme pour former sa nouvelle religion impériale et universelle diabolique et meurtrière. Les résultats de cette abomination monstrueuse sont que nous avons encore de nos jours, une fausse église, une fausse foi, un faux Jésus, un faux Dieu, un faux évangile, un faux salut, un faux baptême, un faux repas du Seigneur, bref, un faux christianisme qui aveugle les peuples avec ses prétentions depuis de nombreuses générations. L'influence néfaste de ce «mystère d'iniquité» (2 Thes. 2:7) pénétra rapidement tous les niveaux du christianisme jusqu'à nos jours. Tellement les principes sont ancrés dans la conscience des gens qu'il faut littéralement un miracle pour les délivrer de cet esclavage religieux babylonien que l'on retrouve à différents niveaux dans toutes les branches de ce christianisme contrefait: catholiques, protestants, orthodoxes, anglicans, épiscopaliens, luthériens, presbytériens, réformés, méthodistes, mennonites, amishs, adventistes, irvingiens, trembleurs, baptistes, darbystes, pentecôtistes, messianiques, charismatiques, mormons, témoins de Jéhovah, etc.. Ces nids de vermines ont remplis toute la terre de leur disgrâce qui déshonore le nom de Christ, et ils refusent tous de se corriger se croyant tous meilleurs l'un que l'autre, et ils périront tous autant l'un que l'autre au jugement dernier pour récolter ce qu'ils ont semé. Jamais au grand jamais une telle corruption abominable ne c'est vue en ce monde.
LE REPAS SACRÉ DE L'ALLIANCE
C’est souvent par un repas que sont scellés des contrats entre partenaires humains, on voit cela surtout dans les grandes entreprises pour former des alliances, et la religion dite chrétienne en est pas l'exception. En fait, le repas sacré de l'Alliance est devenu le pivot central d'une prétendue communion fraternelle qui scelle ou consolide les relations entre les croyants et aussi avec le divin, de même qu'avec l'administration de l'organisation religieuse qui en élabore les principes. Il est connu sous les noms de Sainte-Cène, d'Eucharistie, de Pâque chrétienne, et de repas du Seigneur. Dans la majorité des cas, il consiste à manger un tout petit morceau de pain et de boire une toute petite coupe de jus de raisin, puisque la plupart des prétendus chrétiens n'utilisent pas le vin car ils abhorrent l'alcool. Et dire que dans les cervelles hébétées cela est considéré un repas est le comble du ridicule. A ce baser sur une telle notion idiote les gens risqueraient de crever de faim. Mais comme les imposteurs et déformateurs de la vérité disent, ce n'est qu'un repas symbolique. Oui, mais ce l'était aussi pour Jésus et ses disciples qui mangèrent à leur faim en célébrant la Pâque. Cette petite cérémonie des religions prétendument chrétiennes est complètement téméraire et n'a aucun support biblique, sauf en apparence. Elle est superficielle et idolâtre dans son essence et dans sa forme dénaturée. Elle est une contrefaçon de la vérité conçue pour séduire les crédules et les ignorants pour en faire des pantins de la secte religieuse qui l'utilise à son avantage dans ses prétentions scripturaires. Il n'y a rien de sacré dans ce repas religieux, tout est profane et vulgaire dans ce rapport de relations mondaines d'apparences chrétiennes. Mieux pour le chrétien réel de rester chez-eux et de partager un bon repas et un bon vin avec sa famille ou ses amis, dans la reconnaissance de la grâce de Dieu et de ses abondantes bénédictions. Car pourquoi prostituerait-il sa foi en assistant à un culte religieux qui déforme la vérité avec un rituel captieux et idolâtre? «Sauvez-vous de cette génération perverse», dit le Seigneur par la bouche de l'apôtre Pierre (Ac. 2:40). .
Dans le catholicisme mithriaque ce repas est nommé
l'Eucharistie, ancien rituel de communion avec le dieu Soleil. Les papiste mangent leur dieu galette sous la forme d'un petit soleil dans lequel ils sont conditionnés à croire que Jésus habite corporellement. Le catholicisme est la seule religion qui mange son dieu à cause de la doctrine diabolique de la Transsubstantiation dans laquelle le prêtre prononce une incantation magique qui transforme le pain et le vin en le cops réel et le sang de Christ. Donc attention pour ne pas y briser un bras ou une jambe en mangeant la galette solaire, il faut l'avaler tout rond; et si elle colle au palais interdit d'y toucher, il faut la laisser fondre pour que Christ pénètre en nous dans son entièreté. Il est inimaginable que des gens puissent croire en une telle absurdité. Le protestantisme n'est pas mieux sauf sauf qu'il s'agit ici d'un rituel symbolique dans lequel, néanmoins, la présence de Christ s'y trouve d'une façon spirituelle imaginaire dans les éléments du pain et du vin. Chez les baptistes on voit les gens prendre un petit morceau de pain au signal donné, puis fermer les yeux en une supposée adoration, mais adoration de quoi et de qui, car il s'agit ici d'une pure idolâtrie d'un morceau de pain qui symbolise la présence de Dieu, et encore de quel Dieu puisque pour eux Dieu est trois personnes. A vrai dire, l'absurdité ne connait aucune borne, et comme nous l'avons déjà dit auparavant: «tous les cornichons ne sont pas dans des flacon». La notion que Christ est présent dans cette supposée communion divine, soit réellement ou symboliquement, est une claire indication qu'il n'est pas présent en ceux qui y participent. L'apparence est tout ce qui importe dans cette supercherie, elle donne aux gens l'illusion de participer à quelque chose de sacrée, ce qui leur donne un sentiment de bien-être qui satisfait leurs cœurs ténébreux. Ainsi ils sont convaincus d'être de réels chrétiens, lorsqu'en réalité ils ne sont que des fourbes, des imposteurs et des idolâtres qui s'imaginent obéir à l'injonction de Christ: «Faites ceci en mémoire de moi» (Luc 22:19). Mais tel ne fut pas l'enseignement de Christ à ses disciples. Par ces paroles qui anticipaient sa mort sur la croix, il leur disait en substance «comme je me