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ZAD AL MUSTAQNI' - Imam Al Hajjawy

Commentaire par Salih ibn Fawzan al Fawzan

CHAPITRE – DESCRIPTION DE LA PRIERE :

Fawzan : Après avoir expliqué les critères pour la prière, l’auteur explique maintenant la
description de la prière en détail. Il y a deux sortes de descriptions : la description complète et la
description basique. Cette différence est dû car la prière est divisée en conditions (shurut), des
actes qui sont des pilliers (arkan), obligatoire (wajib) et surérogatoire (sunan).

Hajjawy : Il est Sunna de se lever pour la prière lorsque le mot « Qadd » de l’iqama est
prononcé. Il aligne ensuite son rang.

Fawzan : C’est Sunna pour le ma’mum (suiveur) de se lever et se préparer pour la prière lorsqu’il
entend le mu’adhin dire « Qadd qamati as-salah ». Ceci est le point de vue de certains savants.
(Voir Al Muntaha al-Iradat d’Ibn Najar ‘1/204’) D’autres savants sont d’avis que la personne devra
se lever quand l’iqama commence, c’est l’avis prépondérant et le plus correcte. (Voir Al Mughni
‘2/123’)

C’est Sunna pour l’imam ou le suiveur d’aligner son rang. L’imam aidera les suiveurs à ce que les
rangs soient alignées et vérifiera. Il leur indiquera pour combler toutes les lacunes qui sont entre
eux et les rangées. C'est la responsabilité de l'imam. De plus, il leur demande d'aligner leurs
épaules et leurs chevilles de façon à obtenir une rangée droite et serrée. Shaytan se faufile dans
n'importe quel trou qui se trouve dans les rangs et profite de l'occasion pour distraire les
musulmans de la prière. Une rangée serrée et droite empêche l'entrée du shaytan parmi eux. La
leçon à retenir ici est que le shaytan ne pourra jamais influencer une communauté proche. Seul
l'individu égaré tombe en proie à ses murmures.

Hajjawy : Et il dit « Allahu akbar » tout en levant ses deux mains. Ses doigts sont
maintenus proches les uns des autres. Il lève les mains au niveau des épaules comme il le
fait dans la prosternation.

Fawzan: Quand l’imam a finit d’aligner les rangs, il dit le takbiratul ihram en disant « Allahu
akbar », le suiveur le fera également après l’imam, c’est un pilier de la prière

Il est recommandé qu’il lève les mains, les paumes des mains face à la Qibla lorsqu’il dit le
takbiratul ihram. Ses doigts doivent être serrés, pas d’espaces entre les doigts et ils doivent être
lever au niveau des épaules. Les mains sont levées au début du takbir et baissées après que le
takbir soit prononcée.
Il est mentionné que lever les mains signifie l’enlèvement du voile entre l’adorateur et son
Créateur.

Hajjawy : L’imam devra être entendu par ceux qui sont derrière lui, comme sa récitation
dans les deux premières unités des prières après les deux prières de l’après-midi. Les
autres devront être récitées à voix basse pour eux-mêmes.

Fawzan : L’imam devra dire le takbiratul ihram fort pour que ceux qui prient derrière lui puissent
l’entendre. Il devra le faire pour chaque prière. Pour la récitation du Qur’an dans la prière, il devra
la faire de façon audible pour les prières de nuit (Maghrib, Isha, Fajr). La récitation dans les deux
prières de l’après-midi (Dhur, Asr) sont faite silencieusement.

Hajjawi : Puis il serre son poignet gauche et le place sous le nombril en regardant le lieu
de prosternation.

Fawzan : Après avoir fait le takbiratul ihram expliqué plus tôt, il est recommendé de placer sa
main droite sur la main gauche, serrant son poignet gauche. Il les place sous son nombril comme
cela a été rapporté par Ali ibn Abi Talib (Radiya’Allahu anhu), il a dit : « Il est Sunna de mettre ses
mains en dessous du nombril lorsque l’on accomplit la prière. » [Hadith rapporté par Ahmad
(1/110), Abu Dawud (756), Ibn Abi Shaybah (1/343) et Al Daraqutni (1/286)}

Hajjawy : Puis il dit « SubhnakAllahumma wa bihamdika wa tabaraka ismuka wa ta’ala


jadduka wa la ilaha ghayruka. » Puis il récite isti’adhah suivit par la basmallah
silencieusement car ce n’est pas un verset de Al Fatiha.

Fawzan : Cette parole est une Sunna. C’est connu sous le nom d’istiftah qui veut dire : « La gloire
est à toi O Allah et la louange. Béni soit Ton nom et exalté soit Votre Majesté. Il n'y a pas de
divinité digne d'adoration en dehors de Toi. " S’il dit une autre istiftah qui a été rapporté de façon
authentique du Prophète (Alayhi salat wa salam), cela est accepté également.

Puis il récite al isti’adhah qui est de dire « A’udhu billahi mina sh-shaytani rajim » et qui veut dire
« Je recherche protection auprès d’Allah contre Satan le lapidé », c’est une Sunna du Prophète
(Alayhi salat wa salam) [Hadith rapporté par Ahmad (3/50), Abu Dawud (775) et d’autres.] et
également dans le Qur’an : « Lorsque tu lis le Qur’an, demande la protection d’Allah contre
le Diable banni. » (Sourate An-Nahl – V98)

Après il dit la basmallah « Bismillahi ar-rahman ar-rahim » silencieusement.

Hajjawy : Puis il lit sourate Al-Fatiha. S'arrêter pour se souvenir ou se taire d'une manière
qui n'est pas sanctionnée par la charia, l'allonger, passer à côté des lettres doublées
(tashdid) ou d'une lettre ou ne pas le lire en séquence, le rendra invalide et il devra la
réciter à nouveau. Le suiveur est exclu. Tout le monde devrait dire 'amin' pendant les
prières vocales.

Fawzan : L’entière sourate devra être lu dans un flux sans retard. Si l'on s'arrête à mi-chemin pour
le souvenir ou reste silencieux d'une manière qui n'a pas été sanctionnée par la Shari'a, alors elle
est invalide. Il doit relire la sourate.

Un exemple d'une pause pour le souvenir pendant la récitation sanctionnée par la Shari'a serait de
chercher refuge en Allah quand le tourment de l'au-delà se lit et cherche la bonté d'Allah quand
l'ayat de miséricorde est lu.

Le silence toléré par la Shari'a inclut le silence quand l'imam récite le Coran. On pourrait
commencer à lire al-Fatiha et ensuite s'arrêter pour écouter la récitation de l'imam. Il complète
ensuite al-Fatiha après la récitation de l'imam. Ceci est permis et la sourate est valide.

C'est-à-dire qu'une personne qui reste silencieuse pour méditer sur quelque chose ou qui reste
simplement silencieuse sans raison valide interférera dans la fluidité d'al-Fatiha et les versets
deviendront en effet disjointes les unes des autres. Cette action la rend invalide.

Tashdid indique une répétition de la même lettre. Par conséquent, si l'on omet le tashdid, il omet
une lettre. Cela signifie qu'il n'a pas complètement récité al-Fatiha et qu'elle devient invalide. De
même, si l'une des autres lettres est omise.

S'il devait réorganiser la séquence par exemple en lisant le troisième aya, suivi par la première,
puis la seconde. Sa récitation est futile comme on devrait le lire comme cela a été révélé par Allah.

Cela signifie que l'imam et celui qui prie par lui-même sont affectés par leur erreur dans la lecture
d'al-Fatiha car c'est un rukn de la prière. Le suiveur n'est pas affecté par sa propre lecture erronée
car la lecture (correcte) de l'imam l'emportera sur la sienne.

C'est, des prières dans lesquelles on lit à haute voix. Quant aux prières silencieuses, l'amin est
aussi prononcé silencieusement

Hajjawy : Il récitera une autre sourate après cela ; pour la prière du Subh il devrait lire une
longue sourate du mufassal et pour la prière du Maghrib, il peut lire une courte sourate. Il
peut lire des sourates de mi-longueur pour le reste des prières. Il ne lui est pas permis de
lire quoi que ce soit d'autre que le mushaf Uthman.
Fawzan : Mufassal est le dernier Hizb du Qur’an. Elle est appelée de cette manière car elle est
composée de beaucoup de partitions entre les sourates et les versets. Mufassal commence de la
Sourate al Qaf jusqu’à la fin du Qur’an. D’autres ont dit que cela commence de la sourate al
Hujurat et une autre opinion cela commence de la sourate Al Dhukhan mais la première opinion
est majoritaire.

Le subh se réfère à al Fajr, les longues sourates dans le hizb du mufassal démarre de sourate al Qaf
jusqu’à la sourate An-Naba. Les sourates mi-longues commence de sourate Al Nazi’at jusqu’à la
sourate Dhuha et les sourates courtes commence de sourate al Sharh jusqu’à la fin du Qur’an.

La prière où la récitation du Qur’an n’est pas basée sur le mushaf de Uthman est invalide. Ce
mushaf a été compilé durant la vie de Uthman Ibn Affan et cela été avec l’accord de tous les
Compagnons du Prophète. Avant que cet effort soit fait, les gens lisaient différents Qu’ran avec
une autre récitation et écriture. Les Compagnons du Prophète (Alayhi salat wa salam) que si cela
n’était pas effectué cela causerait la division au sein de la Ummah.

Hajjawi : Puis il s’incline pour le ruku en disant le takbir en levant ses mains. Il pose ses
mains sur ses genoux avec ses doigts écartés et nivelle son dos. Ensuite il dit « Subhana
rabbi al-Adim ». Puis il lève la tête et les mains. S’il est l’imam ou s’il prie seul, il dit :
« Sami Allahu liman hamida ». Après être resté debout, il dit : « Rabbana wa lakal hamd,
Mila as samawati wa mila al ard wa mila ma shi’ta min shay’in ba’d » Le suiveur dira
seulement « Rabbana wa lakal hamd ».

Fawzan : Il s’incline pour le ruku (l’inclinaison) en disant le takbir, ce takbir est appelé
« takbiratul intiqal » c’est le takbir pour le mouvement d’être debout à l’inclinaison, c’est
obligatoire (wajib).

Lever les mains après le takbir intiqal est une Sunna.

Dire « Subhana rabbi al Adim » est wajib. Car il est dit dans le verset 74 de la sourate al Waqi’a :
« Glorifie donc le nom de ton Seigneur, le Très Haut. » et le Prophète (Alayhi salat wa salam)
a dit : « Dites cela pendant l’inclinaison » [Hadith rapporté par Ahmad (4/155), Abu Dawud (869)
et d’autres.]

« Sami Allahu liman hamida » veut dire « Allah entend celui qui le prie », le suiveur dira
seulement « Rabbana wa lakal hamd » (O mon Seigneur, toutes les prières sont pour toi).

Hajjawi : Il fera ensuite la prosternation en disant le takbir avec sept parties de son corps
qui touchent le sol. Il y a les pieds, les genoux, les mains et le front incluant le nez ; même
si elles sont couvertes par des matériaux en plus des membres dans la prosternation.
Les épaules doivent être éloignées du côté du corps et l'estomac des cuisses. Ses genoux
sont séparés. Il dit alors : "Subhana rabbi al-'Ala".

Fawzan : Après s’être remis debout et dit « Rabbana wa lakal hamd » il se prosternera avec sept
parties de son corps qui toucheront le sol mentionné par l’auteur.

L’ordre de la descente est d’abord que les genoux touchent le sol, puis les mains puis le front et le
nez. La personne âgée et malade peut placer ses mains sur le sol avant ses genoux pour que ce soit
plus facile.

C'est-à-dire, même s'il devait se prosterner sur un sol recouvert de moquette, cela est permis, bien
qu'il soit préférable de se prosterner à même le sol. Parfois, il y a un besoin pressant d'un tapis
quelconque. Les compagnons du Prophète (Alayhi salat wa salam) avaient l'habitude de placer les
coins de leurs turbans et leurs vêtements pour se protéger, quand ils faisaient le sujud sur le sol
chaud par le soleil. [Hadith rapporté par Al Bukhary (1/107, 143) et Muslim (2/109)]

Tout en se prosternant, il devrait garder les parties du corps à part. On ne devrait pas toucher
l'autre. Ses pieds et ses tibias doivent être séparés et ses cuisses sont séparées de ses tibias tout en
se prosternant. Ses épaules sont écartées du côté du corps, c'est un moyen de prosternation
recommandé. (mustahhab)

Cependant, si l'endroit où vous vous trouvez est restreint, le fait de mettre les épaules à part sera
inévitablement un inconvénient pour la personne à côté de vous car il ressentira de l'inconfort, ce
qui ne sera pas permis. Il devrait rapprocher ses épaules de lui-même pour éviter tout
inconvénient à la personne à côté de lui.

Puis il dira « Subhna rabbi al-‘Ala » qui veut dire « Gloire à mon Seigneur, le Plus Haut », cela fait
des parties des actes obligatoires. Si quelqu’un dit à la place « Subhnallah », « Al hamdoulilah » ou
« la ilaha illa Allah » cela ne sera pas accepté car dans le verset « Glorifie donc le nom de ton
Seigneur, le Très Haut », le Prophète (Alayhi salat wa salam) a dit : « Dites cela dans votre
prosternation. » [Hadith rapporté par Ahmad (4/155), Abu Dawud (869) et d’autres.]

Hajjawy : Il lève alors la tête en disant le takbir et s'assied sur ses jambes avec le pied
gauche couché et le pied droit placé debout. Il dit alors "Rabbi ighfirli". Il se prosterne à
nouveau de la même manière que la prosternation précédente.

Fawzan : Il relève sa tête de sa prosternation en disant « Allahu akbar ».

Entre les deux prosternations, il s’assoit sur ses jambes, une personne est considérée comme ayant
omis un pilier de la prière s’il ne s’assoit pas entre les deux prosternations.

L’extérieur du pied gauche est placé sur le sol et il devra s’assoir dessus. Les orteils du pied droit
devra s’appuyer sur le sol tandis que la cheville est droite.
« Rabbi ighfirli » c’est-à-dire « O Seigneur pardonne moi » cela est dit durant la phase assis entre
les deux prosternations

Hajjawy : Suite à cela, il se lève à la position debout tout en disant le takbir en utilisant les
orteils de ses pieds et soutenu par ses genoux si cela est à sa portée. Il prie la seconde
rakat comme il l'a fait la première mais exclut le takbiratul ihram, la supplication
d'ouverture (istiftah), le ta'uthu et aucune nouvelle intention n'est requise.

Fawzan : Il décrit là, la façon de se relever pour se remettre en position debout. Les orteils des
pieds sont utilisés pour se pousser soi-même en utilisant les genoux comme support. Cela si
seulement il y arrive, s’il a du mal à le faire car trop frêle, vieux ou malade, ils peuvent juste utiliser
leurs mains pour se relever, cela est aussi acceptée.

En excluant le takbiratul ihram, l’istiftah (Subhnaka Allahuma wa bi hamdika…) qui sont dit
seulement dans la première rakat.

Hajjawi : Puis il s'assoit et met ses mains sur ses cuisses. Il recourbe le petit doigt et
l'annulaire de la main droite en faisant un anneau avec son majeur et son pouce. Il pointe
avec son index pendant le tashahud. La paume gauche repose sur la cuisse gauche. Il dit
ensuite : « Attahiyatu lillahi wa salawatu wa tayyibat, As salamu alayka ayyuha annabi wa
rahmatulahi wa barakatuh», AS salamu alayna wa ala ibadillahi salihin», ashadu ana ilaha
illah Allah wa ashadu anna muhammadan abduhu wa rasuluhu». C'est le premier
tashahud.

Fawzan : Après avoir terminé la seconde unité de prière, il s’assoit sur son pied gauche gardant
son pied droit droit comme la pendant les deux prosternations.

Un cercle est formé en collant son pouce et son majeur, il pointe avec son index sans le bouger,
c’est la façon de faire du Prophète (Alayhi salat wa salam) faisait. [Hadith rapporté par Abu Dawud
(989) et An-Nisa’i (3/37)]

Le fait de pointer son index signifie l’unicité d’Allah.

Le premier tashahud veut dire « At-tahiyatu lillahi » ce qui veut dire que toutes les glorifications et
prosternations sont pour Allah azzawajel. « wa salawatu » ce qui veut dire que toutes les prières
sont pour Allah « wa tayyibat » ce qui veut dire la bonté des paroles et des actions, « Assalamu
alayka ayyuha annabi… » ce qui veut dire ‘Paix sur toi, O Prophète et que la miséricorde d’Allah et
Ses Bénédictions soit sur toi.’ Puis « As salamu ‘alayna wa ‘ala ‘ibadillahi salihin » ce qui veut dire
que toutes les salutations soient sur les pieux serviteurs d’Allah parmi les anges et les hommes. Et
enfin les deux témoignages.

Hajjawi : Puis il dit : « Allahumma sali ‘ala Muhammadin wa ‘ala ali Muhammadin
Kama salayta ‘alay ali Ibrahim. Innaka hamidun majid. Wa barik ‘ala Muhammad wa ‘ala
ali Muhammad, kama barakta ‘ala ali Ibrahim. Innaka hamidun majid. ».
Fawzan : Ceci est inclus dans ce qui est dit dans le premier tashahud mentionné avant.
La traduction n’est pas nécessaire.

Hajjawi : Il cherche refuge auprès d’Allah (surérogatoire) des tourments de l’Enfer, les
tourments de la tombe, les épreuves de la vie, de la mort et de l’épreuve du Masih Ad-
Dajjal.

Fawzan : La traduction n’est pas nécessaire.

Hajjawi : Il fait des du’as qui sont authentiques et il fait le « salam » à sa droite « As salamu
alaykum wa rahmatullah » et il fait pareil sur sa gauche. S'il accomplit une prière
composée d'une troisième ou quatrième rakat, il devrait se lever immédiatement après le
premier tashahud. Il prie l'autre rakat comme le deuxième rakat ; en lisant "al-Hamd"
seulement. Après cela, il est assis en tawarruq pour le tashahud final. Les femelles font de
même, sauf qu'elles devraient s'asseoir compacter et abaisser leurs jambes du côté droit.

Fawzan : Faire des du’as qui sont authentique que l’on trouve dans le Qur’an et la Sunna, comme
par exemple : « Allahumma inni a’udhu bika minal ma’tham wal raghram. » [Hadith rapporté par
Al Bukhary (1/211) (3/154) et Muslim (2/93)]

Il devra se lever pour la troisième et quatrième rakat en disant « Allahu akbar » après le premier
tashahud, il commencera la troisième et quatrième rakat avec seulement al-Fatiha et pas de
sourate supplémentaire. (Voir al Mughni ‘2/281’)

« En tawarruq » Cela est pour distinguer le premier tashahud du second. Pour s'asseoir en
tawarruq, il faut placer le côté gauche de son extrémité arrière sur le sol et soulever le côté droit.
Le pied gauche passe sous le côté reposé à la fin de la lecture. Le haut du pied fait face au sol, le
côté intérieur est tourné vers le haut et il est courbé vers le côté droit. Le pied droit est plié de
manière à ce que le pied soit droit. (Voir Al Dar Al Naqi '1/213')

Les femmes font et disent tout ce que les hommes font sauf quelques mineurs différences.
Elles ne doivent pas pencher leurs corps comme les hommes mais elle se compacte elle-même.
Elle ne s'assied pas sur son derrière mais s'assied sur ses jambes avec les deux pieds vers la droite.
Le pied droit n'est pas maintenu droit mais repose sur son pied gauche.

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