d’Aide
SES mISSIONS
lA PRomotIon Et lA VAloRIsAtIon du tERRItoIRE, dEs PRoduIts
Et dEs sAVoIR-FAIRE AgRIColEs Et AlImEntAIREs FRAnCIlIEns ;
2
lE PlAn FIlIèRE AgRo-AlImEntAIRE
étAt-REgIon En IlE-dE-FRAnCE
l’état, à travers ses tRoIs dIRECtIons RégIonAlEs que sont la d.R.I.A.A.F.
Ile-de-France, la d.R.I.R.E. Ile-de-France et la d.R.C.E. Ile-de-France, a décidé de
mettre en œuvre un plan de soutien aux industries agro-alimentaires franciliennes.
Ce plan, qui a pris effet en 2007, s’étend sur 3 ans et se décline en plusieurs axes.
Ceux portés par le CERVIA Paris Ile-de-France, organisme associé
de la REgIon d’Ile-de-France, sont les suivants :
Qualité
la qualité est une préoccupation majeure des entreprises du secteur, en raison d’un contexte
technico-économique et réglementaire particulièrement difficile et à risque.
les premières actions portent sur lA mAîtRIsE dE l’hygIènE et la sécurité microbiologique des
procédés, en partenariat avec l’AFssA. l’objectif est de mettre à disposition des professionnels des
outils techniques et scientifiques pour mieux appréhender et mettre en œuvre les obligations de
résultats du « paquet hygiène ». le thème de la gEstIon dE CRIsE est également développé dans
cet axe. le but est de favoriser la mise en place des outils techniques et organisationnels nécessaires
pour anticiper et gérer une crise.
un soutien est également apporté dans le cadre de la réactualisation des guIdEs dE bonnEs
PRAtIquEs d’hygIènE avec une action pilote menée dans le secteur de la boulangerie/pâtisserie.
Enfin, une sensibilisation à la norme Iso 22000 est proposée aux industriels pour évaluer leurs
systèmes qualité par rapport à ce référentiel international de management de la sécurité sanitaire
des aliments.
Agro-alimentaire durable
l’objectif de cet axe est de favoriser l’appropriation du concept de développement durable par les
entreprises, et de leur fournir les premiers outils technologiques et de management. En particulier,
quatre thématiques ont été identifiées :
le bilan énergétique des produits,
la gestion de l’eau,
la problématique des emballages,
la gestion et la valorisation des déchets,
des diagnostics visant à qualifier le degré de prise en compte de paramètres liés au développement
durable dans l’entreprise seront proposés.
Innovation
Il vise à permettre aux PmE de mener à bien leurs projets innovants, en mobilisant les compétences
en matière de recherche industrielle et les financements régionaux. de façon complémentaire,
les entreprises intéressées seront sensibilisées à l’optimisation de leurs nouveaux produits. les
produits et procédés éco-innovants sont particulièrement encouragés.
Livret
Livret
QUALITÉ
QUALITÉ - GESTION
- ANALYSE desde CRISE
DANGERS 3
lE PlAn FIlIERE AgRo-AlImEntAIRE
EtAt-REgIon En IdF
Nutrition
la nutrition est abordée sous ses aspects réglementaires et scientifiques afin que chacun puisse
acquérir les principes de base et voir où se situe son entreprise dans l’environnement nutritionnel
actuel.
Individuellement, des audits nutritionnels permettent de déterminer les atouts et les faiblesses
nutritionnels d’un produit, intrinsèquement puis dans son univers concurrentiel. le bilan de l’audit
doit permettre à l’entreprise de définir une stratégie nutritionnelle pour son produit, que ce soit en
améliorant sa recette (reformulation éventuelle) ou par le choix d’un positionnement adapté pour
la recette en l’état. Enfin, l’expertise permet d’accompagner l’entreprise dans le développement de
produits nouveaux sur l’axe nutrition-santé ; il s’agit de s’adapter au projet et d’assister l’entreprise
aux différentes étapes du projet, de la création au lancement.
quAtRE AxEs ComPlémEntAIREs du plan de soutien sont portés par l’ARIA Ile-de-France,
Association Régionale des Industries Agro-Alimentaires, un des membres fondateurs du CERVIA.
Ressources humaines
ACComPAgnEmEnt dEs EntREPRIsEs En gEstIon dEs REssouRCEs humAInEs
(attractivité, recrutement, motivation et fidélisation des salariés), développement des
connaissances et réflexion pour favoriser le partage d’expérience.
ACtIon déCouVERtE dEs métIERs Et dEs EntREPRIsEs AgRoAlImEntAIREs à
dEstInAtIon dEs JEunEs Et dEs ACtEuRs dE l’EmPloI
Il s’agit de créer du lien entre les citoyens, les travailleurs actuels ou en devenir, et les entreprises
du secteur, avec une approche par bassin d’emploi.
Performance logistique
REnFoRCEmEnt du systEmE logIstIquE (organisation, processus et système d’information)
des entreprises et amélioration de leur performance.
Le Guide
d’Aide
à l’ANALYSE des DANGERS
BACTERIOLOGIQUES
ACTION QUALITÉ
bACtERIologIquEs ......................................................................................................................p 16
* CERVIA/AgRoPARIstECh, ** AFssA-lERqAP
Livret
Livret
QUALITÉ
QUALITÉ - GESTION
- ANALYSE desde CRISE
DANGERS 5
hACCP Et séCuRIté sAnItAIRE
dEs AlImEnts
En 2002, une nouvelle sanitaire et de la salubrité Pour y parvenir l’opérateur
réglementation des aliments. En effet, c’est doit élaborer un PlAn
européenne ayant pour le fournisseur de l’aliment dE mAîtRIsE sAnItAIRE
objectif de garantir la qui doit dorénavant (Pms) EFFICACE, mettant
sécurité et la salubrité s’assurer que le produit en œuvre des bonnes
des aliments est mise en n’est ni préjudiciable Pratiques d’hygiène et de
application. le règlement à la santé ni impropre Fabrication (bPh et bPF)
n°178/2002 en constitue à la consommation. rigoureuses, ainsi qu’une
le fondement. Il s’étoffe de l’obligation de moyens tRAçAbIlIté et un plan
textes complémentaires devient une obligation de hACCP AdAPtés Et
et modifie en profondeur résultats. PERFoRmAnts.
l’approche de la sécurité
La méthode HACCP
la méthode hACCP (hazard
Analysis Critical Control Point)
que l’on pourait traduire par
analyse des dangers et points Les avantages de la
critiques pour leur maîtrise est démarche HACCP
décrite dans le texte CAC/RC P1-
1969 Rev 4-2003 du Codex
Alimentarius et dans la ContRAIntEs AVAntAgEs
norme Iso 22000.
optimisation du
procédé
6
PlACE dE l’AnAlysE dEs dAngERs
dAngER :
Agent biologique, chimique
ou physique présent dans
une denrée alimentaire
pouvant entraîner un effet
néfaste sur la santé.
Biologiques bactéries
Parasites
Virus
Allergènes
Chimiques
physiques
8
mAIs Au FAIt, C’Est quoI un dAngER ?
Les dangers biologiques (autres que bactériologiques)
lEs VIRus tels que, par exemple, les norovirus ou le virus de l’hépatite A,
peuvent être transmis par les aliments.
lA ContAmInAtIon dEs AlImEnts se fait de manière oro-fécale.
les virus peuvent donc être introduits dans l’aliment à tous les stades
de la production. la mise en œuvre de mesures d’hygiène simples est
importante.
les virus ne se multiplient pas dans l’aliment mais ils sont plutôt RésIstAnts.
la congélation ou le froid positif n’ont pas d’effet sur leur virulence.
Peu de virus ingérés suffisent à provoquer une InFECtIon.
dans des conditions bien définies, la cuisson et la congélation peuvent détruire ces
parasites. Fiches parasites disponibles sur le site : http://www.afssa.fr
RubRIquE : professionnels -> agroalimentaire -> fiches de dangers.
lA dIRECtIVE
EuRoPéEnnE,
2007/68/CE, précise les
lEs AllERgènEs
mesures à adopter pour
l’étiquetage obligatoire
des produits susceptibles
de contenir des
allergènes
un guIdE
sur la gestion du
risque « allergènes
alimentaires » a été rédigé
p a r l ’AC t I A e t l ’A d R I A
normandie (gratuit sur
Liste réglementaire des allergènes simple demande à
l’AdRIA)
Poissons soja
Crustacés Céleri
mollusques moutarde
oeufs graines de sésame
lait Céréales avec gluten
Fruits à coques lupin
Arachide Anhydride sulfureux, sulfites
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mAIs Au FAIt, C’Est quoI un dAngER ?
Les dangers physiques
Ce sont des débris de verre, fragments de métal, par exemple. Ils sont généralement
bien recherchés car ce sont des dangers concrets pour le consommateur et directement
reliés à l’image de marque de l’entreprise.
les meilleurs moyens de lutter contre les dangers physiques sont la prévention et
la vigilance : éradication des matières en verre ou utilisation de scotch protecteur,
utilisation de détecteurs de métaux plus ou moins sensibles par exemple.
Pour être
considérée comme
un danger, la bactérie
prise en compte doit
pouvoir entraîner un
effet néfaste sur la
santé (la bactérie rend
le consommateur
malade).
12
lEs dAngERs bACtERIologIquEs
Toutes les bactéries pathogènes
ne se comportent pas de la même façon ...
les dangers peuvent s’exprimer sous différentes formes. Ainsi, pour certaines
bactéries (salmonella,…), c’est la cellule en elle-même qui constitue le danger. Elle est
généralement relativement fragile. Pour d’autres (staphylococcus aureus, …), c’est la
bactérie qui, en se multipliant, va PRoduIRE unE toxInE.
les toxines libérées pourront avoir des propriétés variables selon les germes considérés.
Elles pourront, par exemple, être thermostables ou thermosensibles. Enfin, certaines
bactéries (bacillus cereus,….) peuvent sporuler puis germer modifiant, de ce fait, les
caractéristiques de résistance du danger étudié.
Pour d’autres bactéries (s.aureus, par exemple), le danger n’est réel que si la bactérie se
multiplie. Il sera donc intéressant d’apprécier le couple temps-température auquel le
danger sera soumis lors du procédé ou du stockage.
Livret
Livret
QUALITÉ
QUALITÉ - GESTION
- ANALYSE desde CRISE
DANGERS 13
lEs dAngERs bACtéRIologIquEs
t o u s c e s
paramètres sont
i m p o r t a n t s à p re n d re
en compte de manière
sPéCIFIquE PouR ChAquE
PAt h o g è n E co n s i d é ré. I l
est nécessaire d’identifier et
d’évaluer le danger, bactérie
par bactérie.
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l’AnAlysE dEs dAngERs bACtERIologIquEs
L’ analyse des dangers bactériologiques :
une succession d’étapes…
a) Caractérisation du produit et du procédé de fabrication
b) Identification des dangers bactériologiques
c) Appréciation de l’évolution des bactéries pathogènes
d) sélection des mesures de maîtrise appropriées
Caractérisation
du produit et
du procédé avec a)
établissement d’un
b) Identification diagramme de
des dangers à fabrication
étudier
évaluation
de l’évolution
de chaque c)
danger
sélection
des mesures
de maîtrise
d)
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dEbACtERIologIquEs
dEs dAngERs CRIsE - Fiche réflexe
Vous devez identifier toutes les caractéristiques du produit
oRgAnIsAtIon
pouvant avoir un impact sur le comportement des bactéries.
Conditions de
Conservation entre 0 et +4°C
conservation
dlC : 3 jours
prévues et dlC
Conditionnement : bol plastique
Conditionnement
refermable
et emballage
Emballage : coque carton
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bACtERIologIquEs
dE CRIsE
Diagramme de fabrication d’une salade composée
Réception
CommunICAtIon
stockage Crème fraîche,
vinaigre,
Préparation des mP moutarde, sel
REAlIsER unEl’AnAlysE
Rinçage Refroidissement
Eau potable à 10°C en moins de 2h
Assemblage
manuel, dans le bol
plastique
distribution
Conservation
+4°C, 3 jours
Afin d’être exhaustif dans l’identification des dangers, il est conseillé de réaliser cette
étape en :
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bACtERIologIquEs
dE CRIsE
Exemple d’identification de dangers bactériologiques
CommunICAtIon
fini.
REAlIsER unEl’AnAlysE
la salade composée ont été reportés dans le tableau suivant :
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Livret
QUALITÉ
QUALITÉ - GESTION
- ANALYSE desde CRISE
DANGERS 21
REAlIsER unE AnAlysE dEs dAngERs
bACtERIologIquEs
22
dAngERs
AnAlysE dEsgEstIon bACtERIologIquEs
d’un RAPPEl PRoduIt
Exemple d’évaluation des dangers d’une salade composée
Attention, les différents signes représentent l’évolution des dangers lors de la
préparation d’une salade composée. Ils sont bien sûr dépendants de vos conditions
de travail. Cette analyse ne peut être totalement pertinente que si elle est construite
au regard de vos conditions de terrains spécifiques.
REAlIsER unEl’AnAlysE
l.monocy-
togenes salmonella s.aureus b.cereus
Réception + ++ ++ ++
stockage = == == =
Préparation mP + ++ + =
tranchage + + +
(saumon fumé)
lavage (légumes) -- -- -- --
Cuisson (riz) --
Refroissement xx
mélange (sauce) ++ ++
Assemblage = ++ ++ ==
distribution x == = ==
usage prévisible x == == ==
Possibilité Possibilité Possibilité Possibilité
bilan d’introduction et
de multiplication
d’introduction d’introduction,
maîtrisé par les
d’introduction et
de multiplication
maîtrisé par les bPh
A surveiller bPh A surveiller
Vous trouverez un modèle de tableau pour l’évaluation des dangers en annexe 4 p.34
24
dAngERs
REAlIsER unE AnAlysE dEsgEstIon bACtERIologIquEs
d’un RAPPEl PRoduIt
2) Salmonella (légumes,…)
similitudes avec listeria. Cependant, la température minimale de croissance de
salmonella est supérieure de plusieurs degrés. Il sera donc important de porter
une attention plus particulière au REsPECt dE lA ChAînE du FRoId. de plus, les
opérateurs peuvent être à l’origine de contaminations secondaires ( PoRtEuRs sAIns
ou mAlAdEs) qu’il est nécessaire de prévenir.
3) Staphylococcus aureus
l’approche est un peu différente de celle mise en œuvre pour listeria et salmonella.
En effet, pour s. aureus, le danger tient dans la capacité de la bactérie à synthétIsER
unE EntéRotoxInE. Celle-ci est thERmostAblE (un chauffage, même conséquent,
ne parvient pas à la détruire). Pour fabriquer l’entérotoxine, les s. aureus doivent
être présents en nombre élevé. Il est donc important dans ce contexte de veiller au
REsPECt dE lA ChAînE du FRoId pour éviter la multiplication de staphylococcus
aureus. le portage humain (mains, voies aériennes, par exemple) est la principale
source de contamination et doit être particulièrement surveillée.
les non spécifiques : le danger identifié peut être maîtrisé par les mesures d’hygiène
classiques (bonnes pratiques d’hygiène et de fabrication).
Il faut les classer en PRP (Programme Prérequis).
les spécifiques : elles permettent de contrôler les dangers non maîtrisés
systématiquement par les PRP. Ces mesures seront classées en PRPo (Programme
Prérequis opérationnel) ou en CCP (Point Critique à Contrôler).
utilisez le diagramme de décision des CCP/PRPo, adapté de l’arbre de décision des CCP
du Codex Alimentarius, se trouvant en annexe 3 de la page 32.
lorsque vous avez déterminé les mesures de maîtrise les plus appropriées, vous
devez les valider. (directives CAC/gl 69-2008)
26
APREs lA CRIsE
REAlIsER unE AnAlysE dEs dAngERs bACtERIologIquEs
6) validation des mesures de maîtrise
la validation est la suite logique de l’analyse des dangers, cette dernière s’arrêtant à
la sélection des mesures de maîtrise.
Pour valider vos mesures de maîtrise, vous devez apporter les preuves qu’elles
permettent de contrôler les dangers.
à ce jour, il n’existe pas de méthode universelle pour valider la performance des
mesures de maîtrise. néanmoins, vous pouvez vous aider des moyens suivants pour
constituer des éléments de preuve :
Valeurs recommandées par la réglementation et les gbPh (quand ils existent).
mesures dont l’efficacité a été démontrée par :
l’historique de l’entreprise et des analyses bactériologiques,
les usages de la profession.
méthodes quantitatives, en faisant appel à des experts hygiénistes (ex : centres
techniques, laboratoires spécialisés, consultants).
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Livret
QUALITÉ
QUALITÉ - GESTION
- ANALYSE desde CRISE
DANGERS 27
28
AnnExE 1
Paramètres de croissance
diarrhées
dans le tube
digestif des selles + sang bactérie sensible (sel, q, Aw,, ph,...)
oiseaux sauvages Viandes (volailles pouvant évoluer vers une forme
et domestiques , Fiévre « viable non cultivable »
porc, boeuf )
bovins et porcins, 40 - 42°C 6, 5 - 7,5 (stress lié au procédé)
Campylobacter nausées et Forme végétative > 0,987
petits ruminants, lait (30 à 45°C) ( 4,9 à 9)
spp vomissements bPh (lavage des mains,
et animaux de
compagnie Eau nettoyage désinfection)
syndrome post
infectieux, Cuisson > 65° C à coeur
sols et rivières syndrome de
(déjections) guillain barré
Porcs, volailles,
lapin, mouton,...
(y.enterocolitica) Viandes (porc,...)
oiseaux, Fièvre
Yersinia lait 28 - 29°C 7,2 - 7,4 Pasteurisation efficace
mammiféres > 0, 945
enterocolitica diarrhées (0 à 44°C) (4,6 à 10) (ex : 74 °C - 15 sec)
sauvages dont le Végétaux toxine préformée
lièvre Vomissements dans l’aliment
Produits de la mer bPh (chaîne du froid, lavage des
(y.pseudotuberculosis) mains, nettoyage désinfection)
( moules, crevettes, Complications
Environnement poissons,....)
(sol et eau)
AnnExE 2
modèlE dE tAblEAu PouR lA
CARACtéRIsAtIon du PRoduIt
AnnExEs 2
lister toutes
les matières premières
Caractéristiques
physicochimiques
(ph, aw, taux de sel,...)
dlC et conditions
de conservations prévues
Conditionnement
et emballage
usage prévu et
«raisonnablement prévisible»
oui non
la maîtrise est-elle
nécessaire pour garantir
la salubrité ?
non
non
oui non
AnnExE 3
oui
oui
Oui non
CCP PRPo
Oui non
étape 1
étape 2
étape 3
étape 4
étape 5
étape 6
étape 7
étape 8
bIlAn
34
AnnExE 4
lEs PoInts à REtEnIR :
méthodologie d’analyse des dangers adaptée de l’Iso 22000 et des
documents hACCP du Codex Alimentarius,