Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Nom
Prénom
Age
Adresse
Téléphone
E.mail
Situation de famille (marié, célibataire,…….)
Formation, diplômes.
Expérience professionnelles
Autres activités
II- GENERALITES SUR LE PROJET= ETUDES PRELIMINAIRES
1. Nature du projet :
Il s’agit d’une description brève du projet :
- Exploitation à créer ou exploitation déjà existante ;
- Location de terrain ou acquisition ou autre (exploitation familiale, ou création de
coopérative…)
- Cultures maraichères, sous serre ou en plein champ (espèces ,variétés, porte greffes);
- Cultures arboricoles (espèces ,variétés, porte greffes) ;
- Pépinière horticole…
2. Le processus de production :
En règle générale, les techniciens ont à choisir entre plusieurs procédés possibles pour
atteindre un résultat déterminé.
Dans de nombreux cas, le choix du processus de production sera dicté par des considérations
technique, économique, climatique, etc.…Pour le cas de ce projet vous allez dire, est ce qu’il
s’agit de
- monoculture ou plusieurs cultures,
- production sous serre, ou en plein champ,
- en pleine terre ou en hors sol,
- pour l’export ou pour le marché local .
-…
3. Le choix des caractéristiques des moyens de production :
Ce choix est naturellement lié étroitement à celui du processus de production et à son volume.
Dans l’agriculture, les choix des moyens de production dépendent de la nature du sol, de la
topographie du terrain, de la superficie cultivée, des différentes opérations culturelles (travaux
du sol, épandage d’engrais, etc…).
a. Besoins en moyens de production
(Voir liste détaillée des investissements en agriculture)
Nature de l’investissement Quantité Planning de réalisation
(durée)
Acquisition de terrain
Aménagements fonciers
Constructions
Equipements
Matériel
Etc
b. Besoins en matières premières
Nature des opérations Quantité Planning de réalisation
(durée)
Travaux du sol
Semences
Engrais
Produits phytosanitaires
Irrigation
…
Récolte
Transport
Main d’œuvre
…
SEMISMODE DE
SEMISDOSE DE
LA SEMENCEORIGINE DE
A UTILIISER.
PROFONDEUR
SUBSTANCE
SUPERFICIE
VARIETE
CULURE
ESPACEMENT
DE SEMIS et
b- PLANTATION, REPIQUAGE, TRANSPLANTATION:
Organe utilisé ;
Origine des plants, greffés ou non, leurs âges etc... ;
Profondeur de plantation et préparation du sol,
Piquetage, creusement des trous et tuteurage ;
Sélection des plants, habillage et traitements;
Espacement (densité) ;
etc...
c- PAILLAGE :
Type de paillage (couleur, épaisseur, largeur) ;
Quantité par hectare,
Surface couverte en % ; utilité (augmentation de la température du sol, éviter les
mauvaises herbes, éviter le contact des fruits avec le sol, etc...).
…….
d- MONTAGE ET INSTALLATION DES ABRIS-SERRE :
Type d'abris (caractéristiques largeur, longueur, hauteur, ouvertures etc... ;
Dispositions des bâches plastiques (transversales ou latérales).
e- TRAVAUX DU SOL :
Désinfection du sol (produit utilisé et contre quoi? quantité/ha, façon d'apport,
précautions à prendre etc...) ;
Labour profond ou moyen (profondeur du travail, état du sol, nombre de passage
matériel utilisé, vitesse de travail ; covercropage : (nombre de passages, etc.) ;
Nivellement: (matériel utilisé) ;
Epandage de fumier et fumure de fond etc... ;
Billonnage et traçage des planches.
……..
TRAVAIL DE SOL
UTILISEMATERIEL
DATE
TRACTIONMOYEN DE
D'ELEMENTSNOMBRE
TRAVAILNATURE DU
SUPERFICIE
PARCELLE
CULTURE
D'EXECUTIO
N
f- FERTILISATION :
Nature de la fumure (de fond; de couverture, organique, minérale);
Date d'apport prévue (à quel stade de la culture);
Type d'engrais (Azoté, potassique, phosphorique etc);
Type d'épandage (localisé, généralisé) ;
Quantité utilisée en unité/ha ou par plante ;
Matériel utilisé (matériel ou épandeur d'engrais quel type).
FERTILISATION
D’EPANDAGEMOYEN
FUMURENATURE
APPORTEE (Kg) et
D’APPORTDATE
DOSE EN Kg/Ha
ENGRAISTYPE
SUPERFICIE
COUT Dh/Ha
QUANTITE.
PARCELLE
CULTURE
g- IRRIGATION :
Système ou mode d'irrigation (localisée, gravitaire, aspersion),
Source d'eau,
Salinité,
Quantité et débit (L/S) dose en m3/ha,
Prix unitaire,
Fréquence etc ...
IRRIGATION
D’IRRIGATIODATE
NOBSERVATIO
VEGTATIFSTADE
AVANTETAT DU SOL
UTILISESYSTEME
D’EAUSOURCE
D’IRRIGATIODUREE
COUT DH/HA
SUPERFICIE
DEBIT L/S et
DOSE m3/HA
PARCELLE
CULTURE
h- FERTI-IRRIGATION :
Description détaillée du réseau d'irrigation ;
Bassin d’irrigation (type, capacité, méthode d’entretien,….)
Canalisation avec les différents diamètres;
Pompes doreuses, venturis, manomètres, compteurs filtres, goutteurs etc.. ;
Débit des goutteurs;
Fréquences des irrigations;
Pilotage de l'irrigation (méthode utilisée)
…….
i- GREFFAGE :
Origine du greffon et porte greffe;
Objectif du greffage ;
Stades du greffon et porte greffe;
Type de greffage;
Cadence du travail ;
Pourcentage de réussite et etc...
j- TAILLE :
Type de taille (de formation, rajeunissement etc...);
Epoque de taille (période d'année et âge de l'arbre);
Matériel utilisé et précaution prise;
Cadence du travail (ex. nombre d'arbre tailleur ...);
k- TRAVAUX D’ENTRETIEN :
Greffage des plants maraîchers
Binage et Buttage
Ecimage ébourgeonnage
Effeuillage
Tuteurage
l- PROTECTION DES PLANTES :
Ennemis des cultures (Appellation locale) ;
Méthodes de lutte à prévoir: (produit, dose, date, fréquence, moyens …)
INVENTAIRE DES ENNEMIS DES CULTURES SUSCEPTIBLES DE
S’ATTAQUER AUX CULTURES DE VOTRE PROJET
TRAITEMENTMATERIEL DE
ACTIVEMATIERE
TRAITEMENTNOMBRE DE
TRAITEMENTEFFICACITE DU
COMMERCIALNOM
REMANENCE
VENDEUR
GROUPE
ENNEMI
COUT
I- Champ d’analyse
Calculer la rentabilité financière d’un projet, impose de délimiter en premier lieu, le champ
d’analyse. En effet, notre analyse, dans sa démarche se limite à des projets productifs ayant :
une durée de vie.
un niveau de production constant après la phase de montée en puissance.
a. La durée de vie :
Bien qu’il n’y ait pas de règle absolue pour déterminer l’importance de cette durée de vie, le
critère de durée d’activité de l’équipement lourd (donnée par l’étude technique) sert de
référence.
Exemple : Cas d’une plantation arboricole, la durée du projet correspond, en général, à la
durée de vie des plantations (soit 20 à 30 ans).
Sur la durée de vie d’un projet, il faut distinguer :
la phase d’investissement ;
la phase de montée en puissance après le démarrage du projet (généralement de la
première année d’exploitation).
le régime de croisière (production constante).
la fin du projet.
b. L’évolution de la production :
A chaque investissement, défini comme l’acquisition d’une technique, correspond un niveau
optimal de production (régime croisière). Celui-ci dépend non seulement de la technique,
mais de l’environnement socio-économique.
Si en revanche, il est envisagé d’accroître régulièrement la capacité de production au cours de
la durée de vie d’un même projet, alors, les différentes étapes d’accroissement de la
production sont analysées comme une série de sous projets ayant chacun une phase
d’investissement, une phase de montée en puissance et un régime de croisière.
II- Chiffrage des différentes opérations dégagées de l’étude technique
A. Phase Investissement
Il s’agit de calculer le coût des investissements nécessaires pour le démarrage de
l’exploitation. Le détail des investissements et leur réalisation dans le temps ont été
déterminés lors de l’étude technique.
Dans cette partie, il y a lieu d’inclure :
les besoins en fonds de roulement (BFR). Il s’agit des besoins de financement
requis par les exigences du cycle d’exploitation. Ils correspondent à des besoins
durables qui ne peuvent être couverts par des financements bancaires à court
terme ;
et les imprévus monétaires.
Les Besoins en Fonds de roulement (BFR)
Pour fonctionner, chaque entreprise a besoin d’un fond dit BFR, c’est-à-dire les besoins en
argent, en matières premières, en produits finis à vendre…pour que l’entreprise couvre ses
fonctionne pendant une année.:
Parmi les méthodes de calcul du BFR :
Méthode 1 : BFR = Actif circulant – Passif circulant.
Méthode 2 : BFR = (a+b+c+d)-e
Avec :
a : Stock de matières premières pour avoir une production régulière et pour se
protéger contre toute rupture d’approvisionnements. le niveau du stock est calculé
par rapport aux achats annuels de l’entreprise, soit 15 jours, 1 mois, 2 mois ou 3
mois.
b : Stock de produits finis pour assurer une livraison régulière à sa clientèle. Ces
stocks sont calculés en fonction des ventes de l’entreprise soit 15 jours, 1 mois, 2
mois ou 3 mois.
c : Les délais accordés de paiement à certains clients pour une partie de son chiffre
d’affaires (1 à 3 mois).
d: Somme d’argent suffisante pour payer son personnel, ses fournisseurs, ses
factures d’eau, d’électricité et de téléphone, le transport et les petites dépenses.
e : Facilités de paiement accordéespar les fournisseurs de matières premières de
l’entreprise de. Ces crédits sont calculés par rapport aux achats annuels.
La formule générale du BFR est la suivante :
BFR = (a+b+c+d)-e
Remarque :
En raison des spécificités des activités du secteur agricole (cycle de production relativement
long), le niveau des besoins en fonds de roulement diffère des autres secteurs. Il y a lieu de
tenir compte de cette particularité dans l’estimation des BFR.
Les BFR augmentent au fil des années de fonctionnement de l’entreprise avec la croissance du chiffre
d’affaires. Ces BFR sont en grande partie financés par le cash flow.
Les Imprévus monétaires
On prévoit des imprévus essentiellement pour couvrir des éventuelles augmentations de prix
qui peuvent avoir lieu entre le moment de l’étude financière et de démarrage réel du projet.
On les calcule, en appliquant un pourcentage de 5% aux frais d’investissements
(infrastructure + équipements) + BFR.
Tableau du Coût des investissements
Nature investissement Quantité Prix unitaire Prix total (DH)
(DH)
Terrain
Aménagements fonciers
Constructions
Equipements
Matériel
….
BFR
Imprévus
Total
B. Phase d’exploitation
a. Dépenses d’exploitation
b. Recettes d’exploitation
Il s’agit de déterminer les ventes d’exploitation en multipliant les quantités produites par le
prix unitaire.
Les recettes augmentent d’une année sur l’autre jusqu'à atteindre l’année de croisière où les
ventes se stabilisent jusqu'à la fin du projet, sauf extension de l’activité.
Comme les dépenses d’exploitation, les recettes sont étalées durant toute la durée de vie du
projet (on parle d’un échéancier de recettes).
Facultatif
III- Détermination de la rentabilité financière du projet :
Tout projet présentant une somme des flux financiers actualisés positive est à priori
intéressant du point de vue financier.
Le TRI donne une indication sur le taux maximum d’intérêt que peut supporter un projet si la
totalité de ses besoins de financement est couverte par les emprunts.
Dans le cas de choix entre plusieurs projets ou de variantes de projets, celui qui dégage un
TRI supérieur aux autres sera retenu.
Ces indicateurs peuvent être calculés facilement à l’aide de logiciels informatiques comme
l’Excel par exemple.
IV-Evaluation de la rentabilité définitive des projets :
Comme on venait de le constater, la précédente étude de rentabilité financière du projet ne
prenait en compte ni son mode de financement, ni les amortissements, ni les considérations
d’ordre fiscal qui influent considérablement sur sa rentabilité définitive.
Cette évaluation sera étudiée à l’aide des critères comptables en l’occurrence :
L’établissement des comptes d’exploitation prévisionnelle en prenant en compte
l’amortissement, l’incidence de financement et les considérations fiscales ;
Le calcul de la marge brute d’autofinancement ou cash flow ;
L’établissement du tableau des ressources / Emplois.
1. Etablissement des Comptes d’Exploitation Prévisionnels
Les CEP seront établis suivant la durée de vie du projet en reprenant tous les éléments de
charges et de recettes calculées dans le tableau relatif aux flux financiers en y ajoutant les
charges liées aux amortissements, aux frais financiers et à l’impôt sur le résultat
d’exploitation.
L’objectif de la trésorerie prévisionnelle est de vérifier la présence d’un solde net de trésorerie
cumulée toujours positif. Dans le cas contraire (solde de trésorerie négatif), il est nécessaire
de revoir le schéma financier du projet en accroissant par exemple les fonds propres, le
montant des emprunts, en modifiant les dates de remboursement ou de mobilisation des fonds,
etc …. Une nouvelle itération est alors indispensable.
CONCLUSION GENERALE
Dans une synthèse, donnez les résultats de l’élaboration de votre projet, ses
répercussions sur votre avenir personnel, et aussi, quoique minime, ses retombées
économiques à l’échelle locale et nationale…
ANNEXES
Annexe 1
Liste des principaux postes de dépenses à prendre en compte dans l’étude Technique
I/ Dépenses d’investissements:
1- Dépenses préliminaires1 :
Premières investigations
Recherches et études techniques (nature du sol, analyse du sol, disponibilité et
qualité de l’eau,…..)
Etudes économiques
Etudes commerciales
Etudes financière (rentabilité)
Recherche de financement
Conseil juridique
Cout du terrain
Frais notariaux
Taxes et frais d’enregistrement
Aménagements fonciers (Epierrage, nivellement, Amendements, etc…)
6- Matériel :
Machines
Matériels de travaux agricoles et préparation du sol (tracteurs, charrues, cover
crop, …..)
Matériels de semis
Matériels d’épandage d’engrais
Matériels de traitement phytosanitaire
Matériels de récolte et de ramassage de récolte
Matériels d’élevage (traite mécanique, mangeoires, Bacs de réfrigération,……)
Matériels d’irrigation (motopompes, pivots, goutte à goutte,..)
Matériels de transport intérieur
Véhicules
Lignes électriques
7- Ingénieries-conseils :
3- Imports et taxes :
Droits de douane
Loyers
Entretien et réparations
Travaux à façon
Fournitures d’eau et d’électricité
Etudes, recherches et documentation
Rémunérations d’intermédiaires
Honoraires
Primes d’assurances
5- Transport et déplacement
Transport du personnel
Voyages et déplacement
Transport sur achats
Transport pour ventes
6- Frais divers de gestions
Publicité
Fournitures de bureau
Téléphone, courrier
Cotisations
Autres frais.
Annexe 2
V/ Plantations