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Example d'application

Le bâtiment à 3 étages indiqué ci-dessous doit être conçu pour un


séisme de conception avec PGA = 0.3 g, et son spectre de
conception élastique est donné par la figure 6.9.5 (slide 33)
multiplié par 0.3). Effectuez l'analyse dynamique en utilisant le
spectre de conception mentionné ci-dessus. Prendre:
m3
 Hauteur de l'étage = 10 ft
k3
La rigidité totale de l'étage = 250 kips/in. m2
 Poids de chaque étage = 386.4 kips

1 tf = 0,3048 m m1 k2

1 Kip = 4.45 Kn
1 in = 2.54 cm k1

19
Matrice de masse et de rigidité
m=W/g = (386.4k) /(396.4 in/sec2)= 1.0 kip-sec2/in

1 0 0  500 − 250 0 

[ m] = 0 1 0  [ k ] = − 250 500 − 250
0 0 1  0 − 250 250 

500 − ωn 2 − 250 0 
 
[ k ] − ωn [ m] =  − 250
2
500 − ωn
2
− 250 
 0 − 250
2
250 − ωn 

20
Fréquences propres

[ ]
det [ k ] − ωn [ m] = 0
2

ω = 7.04 rad / sec


n1

ω = 19.69 rad / sec


n2

ω = 28.49 rad / sec


T = 0.89 sec
n3

n1

T = 0.32 sec
n2

T = 0.22 sec
n3

21
Modes propres
Coordonnées normalisées

[[k ] −ω n1
2
[m]]{φ1 } =0
500 − ωn12 − 250 0 φ11 
  
500 − ωn1 − 250 φ21  = 0
2
⇒  − 250
 250 − ωn1  
2
 0 − 250 φ
 31 

ω = 49.56 and φ = 1
2
Substitution
n1 11

22
Modes propres
450.44 − 250 0 1 
 
⇒  − 250 450.44 
− 250 φ  =0
  21

 0 − 250 200.44φ
31


Première équation donne 450.44 − 250φ21 = 0 ⇒ φ21 = 1.80
Seconde équation donne − 250 + 450.44φ − 250φ = 0
21 31

⇒ −250 + 450.44(1.80) − 250φ = 0 ⇒ φ = 2.24


31 31

φ11  1.00  1.00/2.24  + 0.45


       
⇒ {φ1} = φ21  = 1.80  = 1.80/2.24  = + 0.80
φ  2.24 2.24/2.24 + 1.00 
 31       
23
Modes propres ω
2
= 387.7
n2

500 − 387.7 − 250 0  φ 12 


 
⇒  − 250 500 − 387.7 − 250  φ  =0
  22

 0 − 250 250 − 387.7  φ 32




112.3 − 250 0 1 
 
⇒ − 250 112.3 
− 250 φ  =0
  22

 0 − 250 − 137.3φ 32


⇒ φ = 0.45 φ12  + 1.00 
22    
φ =
 22   + 0.45 
& φ = −0.80 φ  − 0.80 
 32   
32

24
Modes propres
φ31  + 1.00  + 0.80
     
φ 23  = − 1.25  = − 1.00 
φ  + 0.56 + 0.45
 33     
1.00 + 1.00 + 1.00 
[ Φ ] = φ1 φ2 φ3 = 1.80 + 0.45 − 1.25 
2.24 − 0.80 + 0.56
0.45 + 1.00 + 0.80
= 0.80 + 0.45 − 1.00 
 
1.00 − 0.80 + 0.45

25
Masse modale Mn et le facteur de participation Γn

{ φ n } [ m]{ι }
T
Ln
Γn = =
M n {φ n } [ m] {φ n }
T

Pour notre structure {ι}={1}

{ φ n } [ m]{1}
T
Ln
∴ Γn = =
M n {φ n } [ m] {φ n }
T

{ φ1} [ m]{1}
T
L1
Γ1 = =
M 1 {φ1} [ m] {φ1}
T

26
Masse modale Mn et le facteur de participation Γn
T
φ11  1 0 0 1
    
L1 = {φ1} [ m]{1} = φ 21   0 1 0 1
T

φ   0 0 1 1
 31    
T
 0.45 1 0 0 1
   0 1 0 1
L1 =  0.80   
1.00   0 0 1 1
 
1

L1 = 0.45 0.80 1.00 1
1

2 2
L1 = 2.25 kip - sec /in. = 27 kip - sec /ft
27
Masse modale Mn et le facteur de participation Γn
M 1 = {φ1} [ m] {φ1}
T

T
 0.45 1 0 0 0.45
   0 1 0 0.80
M 1 =  0.80   
1.00   0 0 1 1.00 
 
0.45
 
M 1 = 0.45 0.80 1.00 0.80
1.00 
 
M 1 = 1.84 kip - sec 2 /in. = 22.1 kip - sec 2 /ft

28
Facteur de participation Γn
L1 2.25
Γ1 = = = 1.22
M 1 1.84

L2 0.65
Γ2 = = = 0.36
M 2 1.84

L3 0.25
Γ3 = = = 0.14
M 3 1.84

29
Poids effectif de la structure, Wn

{ φ n } [ m]{ι }{φ n } [ m]{ι }


T T 2
Ln
Wn = g= g
{φ n } [ m] {φ n }
T
Mn
g = 386.4 kip - sec 2 /in
W1 =
L1
2
g=
( 2.25)
2
* 386.4 = 1063.1 kips
M1 1.84

W2 =
L2
2
g=
( 0.65)
2
* 386.4 = 88.7 kips
M2 1.84

W3 =
L3
2
g=
( 0.25)
2
* 386.4 = 13.1 kips
M3 1.84
30
Participation massique de la structure en Nième mode,
PMn * Wn
PM n =
* W1 1063.1 W
PM =1 = = 0.917 = 91.7%
W 3 * 386.4
* W2 88.7
PM 2 = = = 0.077 = 7.7%
W 3 * 386.4
* W3 13.1
PM 3 = = = 0.0113 = 1.13%
W 3 * 386.4
⇒ ΣPM = 1.00
La plupart du code exige qu'un tel nombre de modes soit considéré
de sorte que ΣPM≥ 0.9. Dans notre cas, en effet, la prise en compte
du seul premier mode aurait suffi comme PM1≥ 0.9

31
L'effort tranchant à la base de Nième mode : Vbn

Ln
2
 An   An  Les valeurs de A pour chaque Tn
Vbn = g   = Wn   peuvent être déterminées à
Mn  g   g  partir de la figure 6.9.5 donnée
sur la diapositive suivante
Mode 1: Tn1=0.89 sec
 A1   1.8 1
Vb1 = W1  . = 1063.1*  g *  * 0.3 = 645.0 kips
 g   Tn1 g
 A2  2.71g
For Tn2 = 0.32 sec : Vb 2 = W2   * 0.3 = 88.7 * * 0.3 = 72.1 kips
 g  g
 A3  2.71g
For Tn3 = 0.22 sec : Vb 3 = W3   * 0.3 = 13.1* * 0.3 = 10.7 kips
 g  g

32
Tn1 = 0.89 sec
Tn 2 = 0.32 sec
Tn 3 = 0.22 sec 0.22 sec

0.32 sec

0.89 sec

CE-409: MODULE 9 (Fall-2013) 33


Forces nodales agissant sur la structure fn
Vbn
Premier mode { f n } = [ m ]{ φ n }
Ln
 f1n  φ1n   f11  φ11 
  Vb1     Vb1  
 f 2n  = [ m] φ 2n  ⇒  f 21  = [ m] φ 21 
 f  L1 φ   f  L1 φ 
 3n   3n   31   31 
 f11  12 0 0   0.45 129.0 
  645      
 f 21  =  0 12 0   0.80  =  229.3 
 f  (2.25 *12)  0 0 12 1.00   286.7
 31      

34
Forces nodales agissant sur la structure fn
Vbn
Deuxième mode { f n } = [ m ]{ φ n }
Ln
 f12  φ12  12 0 0   + 1.00 
  Vb 2   72.1    
 f 22  = [ m] φ 22  =  0 12 0   + 0.45
 f  L2 φ  (0.65 *12)  0 0 12  − 0.80
 32   32    
 f12   + 110.8
   
 f 22  =  + 49.8 
 f   − 88.6 
 32   

35
Forces nodales agissant sur la structure, fn
Vbn
Troixième mode { f n } = [ m ]{ φ n }
Ln
 f13  φ13  12 0 0   + 0.80
  Vb 3   10.7    
 f 23  = [ m] φ 23  =  0 12 0   − 1.00 
 f  L3 φ  (0.25 *12)  0 0 12  + 0.45
 33   33    
 f13   + 34.2
   
 f 23  =  − 42.8
 f   + 19.3 
 33   

36
Forces nodales agissant sur la structure, fn

Superposition modale :

129.0 + 110.8 + 34.2


{ f n } = { f1n f 2n 
f 3n } =  229.3 + 49.8 − 42.8 
 286.7 − 88.6 + 19.3 

37
Forces nodales agissant sur la structure, fn

286.7 k 88.6 k 19.3 k

i1 i2 42.8 k i3
229.3 k 49.8 k

j1 j2 j3
129.0 k 110.8 k 34.2 k

72.0 kips 10.7 kips


645.0 kips

Mode 1 Mode 2 Mode 3

38
Combinaison des model maximum
L'utilisation de techniques de spectres de réponse pour des
structures à plusieurs degrés de liberté est compliquée par la
difficulté de combiner les réponses de chaque mode.

Il est extrêmement improbable que la réponse maximale de tous


les modes se produise au même instant.
Quand un mode atteint sa réponse maximale, il n'y a aucun
moyen de savoir ce que fait un autre mode.

Les spectres de réponse ne fournissent que les valeurs pic de la


réponse, le signe de la réponse du pic et le moment auquel la
réponse du pic se produit n'est pas connu.

39
Combinaison des model maximum

par conséquent { u} max ≠ [ Φ ]{ q} max

Et en générall { u} max ≤ [ Φ ]{ q} max

Les combinaisons sont généralement faites en utilisant des méthodes


statistiques.

40
Réponse combinée ro
Soit rn la quantité de réponse modale (cisaillement de base,
déplacement nodal, dérive inter-étage, moment de membre,
contrainte de colonne, etc.) pour le mode n. Les valeurs r ont été
trouvées pour tous les modes (ou pour autant de modes
significatifs).
La plupart des codes de conception n'exigent pas que tous les modes
soient utilisés, mais beaucoup exigent que le nombre de modes
utilisés soit suffisant pour que la somme des poids effectifs des modes
atteigne, disons, 90% du poids du bâtiment. La vérification de
l'importance des facteurs de participation peut être utile pour
calculer les déviations et les rotations uniquement.

41
Absolute sum (ABSSUM) method
La réponse absolue maximale pour toute quantité de réponse du
système est obtenue en supposant que la réponse maximale dans
chaque mode se produit au même instant. Ainsi, la valeur maximale
de la quantité de réponse est la somme de la valeur absolue
maximale de la réponse associée à chaque mode. Donc en utilisant
la méthode ABSSUM
N
ro ≤ ∑ rno
n =1

Cette valeur limite supérieure est trop conservatrice. Par


conséquent, les règles de combinaison modale ABSSUM ne sont pas
populaires dans les applications de conception structurelle

42
Square-Root-of-the Sum-of-the-Squares
(SRSS) method
La règle SRSS pour la combinaison modale, développée dans la thèse
de doctorat de E. Rosenbleueth (1951) est

r ≅ ∑r
o
( N

n =1
no
2
)
1/ 2

La méthode de combinaison la plus courante et généralement


satisfaisante pour les analyses bidimensionnelles est la racine carrée
de la somme des carrés. La méthode ne doit pas être confondue avec
la racine carrée de l'analyse statistique car il n'y a pas de
dénominateur.

43

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