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Introduction :
Dans ce TP, on s’intéresse à observer l’évolution de comportement d’acier à partir de trois
types acier naturel et acier écrouis (simplifié et réel) et cela pour une fe = 400 MPa.
Travail demandé :
1. Acier Naturel :
Hypothèses :
fe = 400 Mpa
ɤs = 1.15
Es = 210'000 MPa
On va aussi adopter le comportement elasto-plastique pour ce type d’acier et cela nous
donne les relations suivantes :
σ=
Es.ε si 0 ≤ ε ≤
si ε ≥ εlim 0.00173913
0,5 1 1,5 2 3 4 5 6 7 8 9 10
0,00
ε (‰) 0,0005 1 0,0015 0,002 0,003 0,004 0,005 0,006 0,007 0,008 0,009 0,01
σ
(MPa 347,82608 347,82608 347,82608 347,82608 347,82608 347,82608 347,826 347,826
) 100 200 300 7 7 7 7 7 7 1 1 347,8261
ε=
σ/Es si 0 ≤ σ ≤
si ≤ σ ≤
Nous allons déterminer les contraintes limites qui nous permettent de faire les calculs pour
déterminer les valeurs de déformations convenables (nous avons incrémenté la valeur de contrainte
avec 35 MPa chaque fois). Ces valeurs sont indiquées dans le
tableau ci-dessous. σlim1 (MPa) 243,478261
σlim2 (MPa) 382,608696
ε (‰) 0,18 0,35 0,53 0,70 0,88 1,05 1,23 1,41 1,88 3,97 10,34
σ (MPa) 35 70 105 140 175 210 245 280 315 350 382,6087
O A B
ε (‰) 0 0,0017 0,01
σ (MPa) 0 335,832084 382,608696
4. Interprétation :
Dans le premier graphe on remarque une similarité dans les courbes (acier naturel) et (écrouis réel)
de l’origine jusqu’à atteindre la déformation de 2‰ et de puis la courbe d’acier naturel reste
constante tandis que l’autre courbe se croit vers la limite de rupture.
Dans le deuxième graphe on remarque une correspondance parfaite entre le diagramme réel et le
diagramme simplifié ou ils coïncident dans les points qui correspondent à la limite élastique et la
contrainte de rupture.
Conclusion:
Dans ce TP on a eu l’opportunité de suivre le comportement de l’acier (naturel et écrouis) en
fonction de la relation contrainte-déformation. Dans les courbes obtenues il suffit de faire par
symétrie par rapport à l’origine pour suivre la traction de l’acier, car l’acier travaille bien en traction
et en compression. Le facteur majeur dont dépend la résistance de l’acier est le pourcentage du
carbone.