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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT
/ , , 8. 3
Introduction générale……………..…………….………………………..………………1
Chapitre N°I : Présentation de la ville…………………………….…………………… ......2
I -Introduction……………………………………………………………………………………...3
I-2-4-Relief………………………………………………………………………………..…….7
I- Conclusion………………………………………………………………………………………8
II. Introduction……………………………………………………………………………..…….10
II.1-Généralité :……………………………………………………………………………………….…….11
III..Conclusion……………………………………………………...………………………….…32
III.1. Introduction………………………………………………………………………………...34
A. Equipements scolaires…………………………………………….………………………35
B. Equipements sanitaires………………………………………………………………….35
C. Equipements sociaux………………………………………………………………….…35
D. Equipement administratif………………………………………………………….….….36
F. Equipements commerciaux…………………………………………………………….…36
III.5. Systèmes d’évacuation des eaux usées et des eaux pluviales ………………………….….38
Système séparatif……………………………………………………………………………39
III. Conclusion………………………………………………………………………………….52
IV.1. Introduction………………………………………………………………………………..54
IV. Conclusion……………………………………………………………………..……………..75
Introduction :……………………………………………………………………………………..77
V.1- Généralités……………………………………………………………………………….....78
a. Données de Base………………………………………………………………………...79
b. Données d’orientation…………………………………………………………………….80
V.2.2 - Le pré-diagnostic………………………………………………………………………80
Conclusion………………………..……………………………………………………………101
Introduction……………………………………………………………………………………..103
VI.1- Généralités………………………………………………………………………………..104
V.II.Conclusion………………………………………………………………………….……...123
CHAPITER VII Ouvrages et élé ments du réseau d’égout……………124
Introduction…………………………………………………………………………………...125
VII.1.1- Canalisations…………………………………………………………………….…125
1-Types de canalisations…………………………………………………………………..125
B- Bouches d’égout……………………………………………………………………….
C- Regards…………………………………………………………………………………
D-Les caniveaux……………………………………………………………………………135
IV. Conclusion…………………………………………………………………………….……137
Chapitre N°VIII : Organisation de chantier ………………………………....138
Introduction………………………………………………………………………….………….139
e- Volume du remblai………………………………………………………………………..146
VIII. Conclusion…………………………………………………………………………….…158
IX. Introduction……………….…………………………………………………………….…160
Conclusion…………………………………………………………………………..……….…163
Bibliographie
L’assainissement des agglomérations a pour but :
• De collecter et évacuer les eaux usées et pluviales en évitant les risques d’inondation ;
• D’assurer leur rejet dans le milieu récepteur après un traitement compatible avec les exigences
de la santé publique et de l’environnement.
Ces deux objectifs nécessitent un entretien efficace des systèmes de collecte et de traitement et leur
maintien en état, y compris l’évacuation « sans danger » des différents déchets qu’ils génèrent
(produits de curage : matières de vidange , refus de dégrillage , graisses , sables et boues ; etc…).
Comme tous les autres équipements dont l’urbanisation dépend ; l’Assainissement concourt au
confort des usagers ; mais également aux nuisances ; aux pollutions et aux déséquilibres écologiques.
En effet ; un système d’Assainissement est en perpétuelle évolution, et le problème majeur que l’on
rencontre en Algérie c’est la gestion, par ce que la majorité des agglomérations possèdent un réseaux.
Pour atteindre notre but (fiabilité des réseaux) il faut bien vérifier les conduite découlement.
3
Le chef lieu regroupe 60 %de la population communale et se situe à une altitude de 956 m au dessus
du niveau de la mer et entouré par quelque reliefs isolés tels djebels Hirèche.
I-2-1-Situation géographique [2]
La position géographique d’AIN FAKROUN définie par les coordonnées suivent:
X1= 877km X2=878km
Y1= 306 km Y2=307km
Elle est limitée
Au Nord par les communes de Sigus et El –Amiria,
À l’Est par les communes d’Ain Diss et Oum El Bouaghi,
À l'Ouest par la commune de Henchir Toumghani,
Au sud par la commune de El –Fedjoudj
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I-2-2- Situation climatique [1]
a -Le climat
Le climat de la commune de Ain Fakroun est celui des hautes plaines telliennes en général, les
reliefs s'élèvent bien vers le Nord Est lorsqu'on se rapproche de L'Atlas Tellien.
L'éloignement de la mer et la présence au Nord des reliefs élevés de la chaîne numidique faisant
obstacle aux influences maritimes fait que le climat Est homogène; faible nébulosité (vapeur+ nuages),
grande sécheresse de l'air entraînant un réchauffement du sol important, le jour et un fort
refroidissement la nuit. L'hiver est rigoureux, avec de grands froids les vents d'Ouest dominants et
glaciaux pendant presque toute la saison. Le ciel est presque toujours couvert de nuages sombres et
bas, poussés vers l'Est, donnant des chutes brèves de neige sans accumulation et suivies de près d'une
pluie de longue durée. C'est la période de l'année où la pluviométrie atteint son maximum. Le
printemps est caractérisé par des gelées blanches tellement importantes qu'elles causent certaines
années de grands dégâts aux cultures.
b-Les pluies :
Les précipitations dans cette région suivant le tableau 1.1 atteignent les 16.135mm en moyenne
mensuelle. Les chutes de pluies sont irrégulières, réparties sur une période courte et l’évaporation est
souvent
T ableau 1.1 : Précipitations moyennes forte. Mensuelles
c-Température :
Les différentes températures de la région étudiée de l’année 2013 sont représentées dans le tableau I.1.
Tableau I.2 : Répartition mensuelle de la température.
Mois Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Tmin(C°) 0.6 0,4 1,7 4,6 8,5 12 18 17,7 14,1 7,9 2,9 0.8
Tmax(C°) 10 7 12 17 25,8 33 38,4 35,2 27,3 22,8 15 9
Tmoy(C°) 5,3 3,7 6,85 10,8 17,15 22,5 28,2 26,45 20,7 15,35 8,95 4,5
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d- Evaporation :
L’évaporation mensuelle varie de 32 à 225.99 mm. Sa répartition mensuelle montre une irrégularité
du mois de septembre au mois d’Août. [1]
Tableau I. 3: Répartition mensuelle de l’évaporation
Mois Jan fev Mar Avr Mai Juin Jui Aout Sep Oct Nov Dec
Evaporation
42 97,65 85 122,89 110,55 198,21 225,99 189,41 119,54 56 32 21,88
(mm)
f- l’humidité :
L’humidité mensuelle varie de 42% à 74 %. Sa répartition mensuelle montre une croissance
irrégulière du mois de septembre au mois d’Août. [1]
Tableau I. 4: Répartition mensuelle de l’humidité.
Mois Jan fev Mar Avr Mai Juin Jui Aout Sep Oct Nov Dec
Humidité(%) 73 65 62 52 54 50 42 45 54 74 68 70
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Figure 1.2 : Carte géologique
I-2-4-Relief
La plaine de Ain Fakroun présente une topographie inclinée, en forme de quadrilatère, les altitudes
se situent entre 850 et 900 m, les pentes sont faibles et varient entre 0 et 3%, et les plaines sont
recouvertes d'un manteau matériels alluvionnaires du post pliocène.
I-2-5- Situation hydrographique(1)
Les ressources en eaux souterraines et superficielles dans la commune ne sont pas évaluées
actuellement. La carte topographique d’Ain Fekroun nous permet de constater l'absence totale d'oueds
permanents. Ils sont à secs presque toute l'année. On trouve des points d'eau dans plusieurs endroits
qui indique l'existence de réserves d'eau souterraines.
Les eaux Superficielles
Les sources d'information à travers lesquelles il serait possible de traiter quantitativement ce
secteur font malheureusement défaut. Les données disponibles signalent l'existence de deux retenues
collinaires: El Khauga et El - Quastania fortement envasée. Ces ouvrages mobilisent respectivement
20.000 m3 / an et 30.000 m3 /an destinées toutes deux à l'irrigation
de petites parcelles dans la plaine de Ain Fakroun. Ces retenues sont dans un état de dégradation très
avancé et sont irrécupérables.
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Les eaux Souterraines (source Ain Fakroun)
Elles sont mobilisées surtout aux moyens de puits individuels et de forages dont la répartition et
la suivante : 5 forages fonctionnels avec des débits variables qui se repartissent comme suit:
• D2 débit 22 l/s
• C8 débit 14 l/s (fonctionnant avec un débit de 9 l/s)
• E10 débit 06 l/s
• F1 débit 14 l/s
• F2 débit 16 l/s
• AN1 débit 01 l/s (en panne)
Un forage est en cours de réalisation prés de la gare
Quant aux capacités de stockage elles sont de l'ordre de 4600 m3 repartis comme suit :
• 1 bâche à eau de 600 m3
• 1 bâche à eau de 250 m3
• 2 réservoirs totalisant 2 x 1000 m3 l'un surélevé et l'autre semi enterré
• 2 réservoirs de 2 x 275 m3
• 1 réservoir de 7000 m3
• 1 réservoir de 500 m3
4- Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons essayé de donner un aperçu sur les différentes situations caractérisant la
commune de AIN FAKROUN en prenant en compte certaines variables jugées primordiales à
connaître avant d’entamer notre étude qui consiste à projeter un diagnostic d’un réseau d’assainissem
8
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II. Introduction
Pour l'analyse et le contrôle des phénomènes de ruissellement des eaux pluviales en zones
urbaines, il faut faire appel à une étude hydrologique détaillée qui permettra l'estimation des débits de
ruissellement pour une période de retour choisie.
Les données hydrologiques prises en considération dans les projets d'assainissement sont celles des
averses.
Les averses sont constituées par l'ensemble des pluies associées à une même perturbation
météorologique dont la durée, peut varier de quelques minutes à plusieurs dizaines d'heures.
Les averses sont caractérisées par un volume important et une forte intensité.
Les choix des périodes de retour convenable se fait à partir d'un calcul technico- économique du
coût d'entretien du réseau d'égout, et selon l’importance de l’ouvrage à réaliser.
Pour l'assainissement urbain, on adopte le plus souvent une période de retour décennal (10ans).
II.1-Généralité:
Hydrologie, science qui a pour objet l’étude de l’eau et de sa circulation sur la surface de la terre.
L’hydrologie étudie l’eau sous ses trois états (liquide, solide, gazeux) : l’eau liquide s’évapore, la
neige se sublime ou retourne à l’état liquide, la vapeur d’eau se condense et les précipitations tombent
en pluie ou en neige qui alimentent les cours d’eau et les glaciers. Ces derniers s’écoulent à la surface
des continents et ramènent l’eau à l’océan.
L’hydrologie est une science particulière car elle regroupe plusieurs sciences fondamentales très
diversifiées et à pour but général de répondre aux problèmes concernant la ressource en eau.
L’hydrologie offre à l’ingénieur des outils d’inventaire et d’analyse des données pour répondre à des
besoins soit sur le plan de la conception des éléments d’un aménagement ou sur celui de l’exploitation
des systèmes.
Etant donné que le réseau d’assainissement doit pouvoir évacuer aussi bien les eaux usées
domestiques que pluviales, il est important de connaître les quantités d’une manière assez rigoureuse.
Si les eaux usées découlent directement de la quantité consommée, les eaux pluviales ne sont connues
qu’après avoir fait une étude hydrologique appropriée qui permettra d’estimer les débits de
ruissellement.
L’estimation des débits des eaux pluviales a pour objectif de pouvoir dimensionner le réseau
d’assainissement et ces ouvrages annexes (station d’épuration, déversoir d’orage, bassin de retenue,
bassin piège…) ainsi que les conditions favorables à leur fonctionnement dans le temps.
Dans ce contexte, il y a lieu de définir certains paramètres qui sont les suivants :
Lors de l’étude d’une averse, il convient de déterminer les intensités moyennes maximales qui se
définissent par rapport à la hauteur d’eau tombée pendant une durée t, soit :
Analyser les données pluviométriques et faire le choix du type de loi à laquelle il faut ajuster nos
résultats.
La série a une période de fonctionnement de 1970 à 2011 qui a été fournie par
l’A.N.R.H (agence national de ressource hydrique) de Constantine.
L’analyse statistique des données pluvi ométr iques consiste à déter mi ner les
caractéristiques empiriques d’un échantillon d’une série d’obser vations de
précipitations mensuel les et maxi males j ournalières, de 42 années.
III.3.1. Les précipitations maximales journalières
L’étude consiste à faire un ajustement pour la série de données des précipitations maximales
journalières par une loi théorique afin de déterminer une intensité de pluie. Pour notre étude on passe
par les étapes suivantes :
Classer la série des précipitations par ordre croissant.
Calcul de la fréquence expérimentale.
Calcul des caractéristiques empiriques de la série de donnée.
Ajuster graphiquement la loi choisie.
Calculer le quantile et son intervalle de confiance.
Remarque :
1- Nous constatons que la série à l’état brute connaît des lacunes et des manques de données, pour
cette raison, nous avons complétés et corrigés cette dernière en utilisant le logiciel HYDROLAB avec
la méthode bouche trou :
2- signalons que le comblement des lacunes est effectué par l’utilisation d’autres stations
pluviométriques proche de la station de AIN FAKROUN qui présente des séries continues
telles que la station de Ain yagout et la station de Ouled Nacer.
Tableau II.2: série pluviomètre avec la lacune
Tableau II.3: série pluviomètre sans la lacune
Tableau III.4: Série des précipitations journalières maximales annuelles (1970-2011)
C’est un test non paramétrique qui utilise la série des rangs des observations, au lieu de la série de
leurs valeurs. Le test de wilcoxon est base sur le principe suivent : si l’échantillon X est issu d’une
même population Y, l’échantillon XUY (union de X et de Y) en est également issu,
On procède ainsi :
Soit une série d’observation de longueur N à partir de laquelle on tire deux échantillons N et Y : N1 et
N2 sont respectivement les tailles de ses échantillons, avec N = N1+ N2 et N1<= N2 .
On classe ensuite des valeurs de notre série par ordre croissant, par la série , nous ne nous
intéresserons qu’au rang de chacun des élément des deux échantillon dans cette série. Si une valeur se
répète plusieurs fois, on lui associe le rang moyen correspondant.
Wilcoxon a montré que, dans le cas ou les deux échantillons X et Y constituent en série homogène, la
quantité Wx est comprise entre deux bornes Wmax et Wmin , donné par les formule suivent :
W x= Rang x = 374
W max =464.61
W min =309.39
Conclusion ;
En résultat de vérification de cette série par test de wilcoxon, notre série donc est homogène.
• La variance :
i=n
(Pmax, j − Pmax, j )
2
i =1
σ Pmax, = …………………. (II-3)
j
n
D’ où :
42
(P max, j − 38 . 517 )
2
i =1
σ Pmax, = = 21,464 mm
j
42
Pmax, j
=21,464mm
• Le coefficient de variation :
σ P , max, j
CV = ……..……………………. (II-4)
Pmax, j
σ P max, j 21,464
CV = = = 0,557
Pmax, j 38.517
• Exposant climatique : b = 0.30 (d’après l’ANRH)
Tableau. II.6 : Caractéristiques de la série pluviométrique (1970-2011).
Designation Valeur
Pmax, j 38.517
σP 21.464
max, j
F(x) = f(y)
Avec:
Forme 1/ .
m − 0 .5
F(x) = ……..…………… (II-7)
n
Avec :
m : Rang de précipitation (1.2.3.4…….42) à partir de la série.
1 6
Avec : = σP ……………….…………………… (II-11)
a π max, j
1 6
= σ = (0,78)(21,464) = 16,741mm
a π max, j
1
X0 = X − y …….……………….. (III-12)
a
Fréq.
Fréqence U.Gumbel Val.théo. Borne inf. Borne sup. Valeur théo. Pér. Ret.
0,9 2,250 66,723 55,968 86,304 66,72 0,90 10,00
Figure1 : Ajustement à une loi de Gumbel
Pmaxj
160
(mm)
140
120
100
80
60
40
20
-20
-2,000 -1,000 0,000 1,000 2,000 3,000 4,000 5,000
(mode=28,64 gradex=16,95 taille=42 et I.C. à 95%)
+∞ 1 2
1 −
2
u
F (X ) = e du ……..……..…(II-17)
2Π u
Ou :
u =
X i − x ( variable réduite de GAUSS)
σ x
Avec :
N
LogX
i =1
LogX = …………….…………. (II-19)
N
42
LogX
i =1
LogX = =1.585mm
N
σ logxi =0.22( mm)
u (P%) = 1.0023
La droite de GALTON est :
p m a x j = 10 ^ ( 1.585+1.0023*0.22)
= 63.90 mm
p m a x j =63.90 mm
Tableau II.8: Récapitulation des résultants de la loi de Galton ,
Ecart type
σ logxi = 0,22
Taille
n= 42 Moy.log(xxo)= 1,529449294
xo= 0 E.T. log(xxo)= 0,21561892 I.C. à (en%)= 95 UGauss= 1,960
Valeurs Valeurs Ordre de Fréquence Variable Valeur Valeur Borne Borne
de
départ Classées classement expérimentale réduite expérimentale Théorique inférieure Supérieure
19,4 12 1 0,012 -2,261 12 11,0158 7,7583 14,045013
62 16,8 2 0,036 -1,803 16,8 13,8247 10,2627 17,091149
43 18 3 0,060 -1,559 18 15,6054 11,8966 19,006114
19 18 4 0,083 -1,383 18 17,0294 13,2217 20,535643
24 18 5 0,107 -1,242 18 18,2661 14,3826 21,866303
29 19 6 0,131 -1,122 19 19,388 15,4413 23,07715
30,934 19,4 7 0,155 -1,016 19,4 20,4332 16,431 24,210189
60 20 8 0,179 -0,921 20 21,4251 17,3718 25,290968
60,3 22 9 0,202 -0,833 22 22,3792 18,2771 26,336552
39 24 10 0,226 -0,751 24 23,3063 19,1563 27,359195
28,5 24 11 0,250 -0,674 24 24,2148 20,0166 28,368226
18 24 12 0,274 -0,601 24 25,1112 20,8635 29,371127
24 25 13 0,298 -0,531 25 26,0007 21,7014 30,374174
60 25,5 14 0,321 -0,463 25,5 26,8879 22,5342 31,382859
63 28,5 15 0,345 -0,398 28,5 27,7769 23,3651 32,402177
16,8 28,5 16 0,369 -0,334 28,5 28,6713 24,1971 33,436828
80 29 17 0,393 -0,271 29 29,5746 25,033 34,49138
12 30 18 0,417 -0,210 30 30,4901 25,8754 35,570399
30 30,935 19 0,440 -0,149 30,93469 31,4214 26,7269 36,678567
20 31 20 0,464 -0,089 31 32,3719 27,5903 37,82079
42 31 21 0,488 -0,030 31 33,3451 28,4681 39,002316
31 33 22 0,512 0,030 33 34,3452 29,3635 40,2291
49,8 33 23 0,536 0,089 33 35,3778 30,2808 41,509058
41 33,8 24 0,560 0,149 33,8 36,4479 31,2238 42,849845
31 38 25 0,583 0,210 38 37,5612 32,1966 44,259986
125 39 26 0,607 0,271 39 38,724 33,2038 45,749403
18 39 27 0,631 0,334 39 39,944 34,251 47,3298
33,8 40 28 0,655 0,398 40 41,2302 35,3447 49,015173
40 41 29 0,679 0,463 41 42,5933 36,4927 50,822514
56 41 30 0,702 0,531 41 44,0468 37,7046 52,772778
25 42 31 0,726 0,601 42 45,607 38,9922 54,89227
80 43 32 0,750 0,674 43 47,2952 40,3707 57,214681
39 49,8 33 0,774 0,751 49,8 49,1388 41,8596 59,784168
38 56 34 0,798 0,833 56 51,1746 43,485 62,660205
33 60 35 0,821 0,921 60 53,4534 45,2828 65,925571
18 60 36 0,845 1,016 60 56,0482 47,3043 69,700268
25,5 60,3 37 0,869 1,122 60,3 59,0699 49,6268 74,167511
33 62 38 0,893 1,242 62 62,6977 52,3749 79,626974
28,5 63 39 0,917 1,383 63 67,2513 55,7687 86,618379
24 80 40 0,940 1,559 80 73,3876 60,2567 96,266621
41 80 41 0,964 1,803 80 82,8403 67,0081 111,59323
22 125 42 0,988 2,261 125 103,964 81,5411 147,6155
Borne Fréq.
Fréquence U de Gauss Valeur théo. inf. Borne sup. Valeur théo. Pér. Ret.
0,9 0.001 63,94612969 53,31119 81,52878025 63,94 0,900 10,0
Tableau 2:Ajustement à une loi Log-normale
1000
100
x-xo
10
1
-2,5 -2 -1,5 -1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2 2,5
(xo=0,00 Moy.log(x-xo)=1,5294 E.T. log(x-xo)=0,2156 n=42 et I.C. à 95%)
II.5.1. Test de confirmité et d’équation à une loi théorique :
Test de kolmongorov-Semirnov
Ta = 1-(1-a/2)
h1h2 =
Pf – h1 Sx < P f < Pf – h2 Sx
AN : h1h2 =
Pf – h1 Sx < P f < Pf – h2 Sx
67.783-(0.2342*21.646)<P0.9<67.783+(0.0132*21.646)
Pf – h1 Sx < P f < Pf – h2 Sx
64.9956-(0.2342*21.646)<P0.9<64.9956+(0.0132*21.646)
Conclusion
t b −1
I t (15 min) ( p %) = I 24 ( p %)( ) ……………………… (III.21)
24
t b −1 p (10 %) t b −1
I15 min (10 %) = I 24 (10 %)( ) = 24 ( )
24 24 24
Avec :
I 15min (P%): Intensité moyenne de précipitation pour une averse de fréquence 10%.
t : durée de l’averse en heures, t = 0.25h = 15 min. pour une période de retour de 10ans.
I 1 5 m i n (10%) =67.783mm/h.
Pt = P0 (1 + T ) N …………………………………………. (III.1)
avec
Pt : Nombre d’habitants à l’horizon futur ;
P0 : Nombre d’habitants à l’horizon actuel ( P0 = 7900 hab) ;
T : Taux d’accroissement 1.3 % ;
N : la différence d’années entre la référence et l’horizon proposé (25 ans).
P2038 = P2013 [1 + (1.3/100)]25 = 10911 hab ; donc P2038 = 10911hab.
34
III.3 Estimation des besoins en eau potable
A. Equipements scolaires
Le tableau ci-dessous regroupe les besoins en eau potable pour chaque équipement scolaire.
Tableau III. 2 : La consommation en eau potable dans chaque équipement scolaire.
B. Equipements sanitaires
Le tableau ci-dessous Regroupe les besoins en eau potable pour chaque équipement sanitaire.
Tableau III.3 : Consommations d‘eau dans chaque équipement sanitaire.
35
C. Equipements sociaux
Le tableau ci-dessous: Regroupe la consommation en eau potable pour chaque équipement social :
Tableau III.4 : Consommation d’eau dans chaque équipement social :
D. Equipement administratif
Le tableau ci-dessous représente les besoins en eau potable pour chaque équipement administratif.
Tableau III.5 : Consommation d’eau dans chaque équipement administratif.
Nombre Consommation
Unité de Nombre d’unités Dotation
Equipement d’équipements (l/s)
Mesure l/j/U
2013 2038 2013 2038 2013 2038
Stade m² 01 01 700 700 15 0,121 0,121
Aire de jeux m² 02 02 300 300 15 0,052 0,052
Complexe m² 01 02 200 250 15 0.034 0.043
sportif
TOTAL 0,207 0.216
F. Equipements commerciaux
Le tableau ci-dessous montre les besoins destinés à la consommation en eau potable pour chaque
Équipement commercial.
36
Tableau III.7 : consommation d’eau dans chaque équipement commercial.
J. Besoins d’arrosage :
Le tableau ci-dessous regroupe la consommation en eau potable pour chaque équipement d’arrosage
Tableau III -8 : Besoins d’arrosage
37
H. Tableau récapitulatif
Le tableau ci-dessous récapitule l’ensemble des consommations domestiques et des équipements
de l’an 2013 ainsi que l’an 2038.
On doit majorer le débit de consommation car le volume d’eau fourni aux abonnés subit des pertes.
Le coefficient de majoration varie généralement entre 1.1 et1.3, on prend K=1.2,On trouve le débit
moyen journalier de consommation majoré :
Q max j = 1.2 * 20.1251 = 24.1501 l/s.
Q max j = 1.2 * 27.7848 = 33.3417 l/s
38
Pour notre projet ; le découpage de la zone à étudier se fait suivant la nature du sol a la densité des
habitants. Les routes et voiries existantes ; les courbes de niveaux, ainsi que les pentes et les contres
pentes.
IV.5. Systèmes d’évacuation des eaux usées et des eaux pluviales : [5]
L’établissement du réseau d’une agglomération doit répondre à deux catégories de préoccupation,
à savoir :
Assurer une évacuation correcte des eaux pluviales de manière à empêcher la submersion des
zones urbanisées et d’éviter toute stagnation après les averses.
Assurer l’évacuation des eaux usées ménagères, les eaux vannes, ainsi que les eaux résiduaires
industrielles. Il est permis d’imaginer un ou plusieurs réseaux de canalisations où l’effluent
s’écoule généralement gravitaire ment.
Trois systèmes d’évacuation susceptibles d’être mis en service sont :
Système unitaire.
Système séparatif.
Système pseudo séparatif.
Système séparatif :
Il consiste à réserver un réseau à l'évacuation des eaux usées domestiques et, sous certaines Réserves,
de certains effluents industriels alors que l'évacuation de toutes les eaux météoriques est assurée par un
autre réseau.
Système unitaire :
L'évacuation de l'ensemble des eaux usées et pluviales est assurée par un seul réseau
Généralement pourvu de déversoirs permettant en cas d'orage le rejet direct, par surverse, D’une partie
des eaux dans le milieu naturel.
Système mixte :
On appelle communément système mixte un réseau constitué suivant les zones en partie en Système
unitaire et en partie en système séparatif.
39
III.5.3 Système composite :
C'est une variante du système séparatif qui prévoit, grâce à divers aménagements, une dérivation
partielle des eaux les plus polluées du réseau pluvial vers le réseau d'eaux usées en Vue de leur
traitement.
- Dans ce projet le système d’évacuation des eaux usée et pluvial es de type unitaire
40
Tableau VI.10: Avantages et inconvénients des trois systèmes de réseaux
Système Domaine d'utilisation privilégié Avantages Inconvénients Contraintes d'exploitation
- milieu récepteur éloigné des - conception simple : un seul - débit à la station d'épuration - entretien régulier des
points de collecte. collecteur, un seul très variable. déversoirs d'orage et des
- topographie à faible relief. branchement par immeuble. - lors d'un orage, les eaux usées bassins de stockage.
- imperméabilisation importante et - encombrement réduit du sont diluées par les eaux - difficulté d'évaluation des
Unitaire topographie accentuée de la sous-sol. pluviales. rejets directs vers le milieu
commune. - à priori économique - apport de sable important à la récepteur.
- débit d'étiage du cours d'eau (dimensionnement moyen station d'épuration.
récepteur important. imposé par les seules eaux - acheminement d'un flot de
pluviales). pollution assez important lors
- aspect traditionnel, dans des premières pluies après une
l'évolution historique des période sèche.
cités. - rejet direct vers le milieu
- pas de risque d'inversion de récepteur du mélange " eaux
branchement. usées - eaux pluviales " au
droit des déversoirs d'orage.
- petites et moyennes - diminution du diamètre - encombrement important du - Surveillance accrue des
agglomérations. moyen du réseau de collecte sous-sol. branchements.
- extension des villes. des eaux usées. - coût d'investissement élevé. - entretien d'un linéaire
- faible débit d'étiage du cours - exploitation plus facile de - risque important d'erreur de important de collecteurs
d'eau récepteur. la station d'épuration. branchement. (eaux usées et pluviales).
- meilleure préservation de - entretien des ouvrages
l'environnement des flux particuliers (siphons, chasses
polluants domestiques. d'eau, avaloirs).
Séparatif - certains coûts d'exploitation - entretien des postes de
sont limités (relevage des relèvement et des chambres à
effluents notamment). sables.
- détection et localisation des
anomalies (inversion de
branchement, arrivée d'eaux
parasites, passage caméra).
41
En suite tableau III.2 : Avantages et inconvénients des trois systèmes de réseaux
L'utilisation de ces systèmes - utilisable en terrain plat. - coût d'exploitation plus élevé - entretien et contrôle régulier
correspond à des cas d'espèce et - adapté lorsque la nappe est qu'avec un système gravitaire. des postes de pompage et des
leurs avantages dépendent de proche de la surface. - risque de développement de vannes automatiques
conditions locales spécifiques : - pas de sur profondeur des gaz toxique et corrosif (H2S) d'isolement.
- topographies spéciales. canalisations. sur les refoulements de grande - contrôle de l'étanchéité des
- liaisons intercommunales. longueur. réseaux en dépression.
Spéciaux - équipements fragiles : pompe, - traitement des effluents
pompe à vide, vanne septiques (cas d'H2S).
automatique d'isolement, etc. - détection et localisation des
- les systèmes en dépression ne arrivées d'eaux parasites.
fonctionnent plus en cas de
fuite.
42
III.7. Schémas du réseau : [5]
Les réseaux d’assainissement fonctionnent essentiellement en écoulement gravitaire et peuvent
avoir des dispositions très diverses selon le système choisi ; leur schéma se rapproche le plus souvent
de l’un des types suivants :
43
SCHEMAS ET TYPES DE RESEAUX
S CHE M A P AR D E P L AC E MENT
S CHE M A P E RP E NDI C U L AI R E L AT E R AL
Fig n°4
Fig n°3
S CH E M A R ADI AL
Fig n°5
44
III.8. La méthode utilisée au calcul du coefficient de ruissellement
C’est la décomposition en aires partielles (toiture, chaussées, surface boisée,…) auxquelles les
coefficients élémentaires de chaque aire partielle sont connus.
Zones d’urbanisme Cr
Zones très denses 0.90
Zones denses 0.60 – 0.70
Zones moins denses 0.40 – 0.50
Quartiers résidentiels 0.20 – 0.30
Squares, jardins, prairies 0.05 – 0.20
45
Tableau III.13 : Coefficient de ruissellement en fonction de la densité de la population :
Cri = (AToits x 0,9 + ARoutes x 0,8 + ARestes x 0,2) /Ai ………………………………………… (III.5)
Où : AToits, ARoutes et AReste sont respectivement les aires élémentaires des toitures, routes et le reste de
la surface du sous bassin considéré. Les valeurs 0,9, 0,8 et 0,2 sont respectivement les coefficients de
ruissellement des toitures, routes et le reste du sous bassin considéré.
Les résultats de calcul sont regroupés dans le tableau III.14 :
46
Tableau III. 14: Coefficient de ruissellement pondéré.
47
Tableau III. 14: Suite des Coefficients de ruissellement pondéré.
48
Tableau III. 14: Suite des Coefficient de ruissellement pondéré.
49
Tableau III.15 : Calcul du nombre d’habitants pour chaque sous bassin :
sous Bassin Les surface partielle Ai (ha) Cri Di Nombre d’habitant P/ha
sb01 0,2428 0,6443987 470,791711 114
sb02 0,1944 0,7065844 516,224007 100
sb03 0,1072 0,4642724 339,193108 36
sb04 0,0912 0,5911184 431,865618 39
sb05 0,0983 0,6867752 501,751589 49
sb06 0,1048 0,466126 340,547331 36
sb07 0,1341 0,633557 462,870866 62
sb08 0,0689 0,4005806 292,66047 20
sb09 0,1043 0,3286673 240,12128 25
sb10 0,1036 0,5888031 430,174082 45
sb11 0,6444 0,8765518 640,400612 413
sb12 0,1681 0,5642475 412,233988 69
sb13 0,069 0,4656522 340,201177 23
sb14 0,1537 0,5499024 401,753591 62
sb15 0,1479 0,5890467 430,352054 64
sb16 0,1052 0,4688213 342,516492 36
sb17 0,0657 0,3937595 287,677037 19
sb18 0,1119 0,4806077 351,127526 39
sb19 0,0706 0,4461756 325,971754 23
sb20 0,0952 0,5366597 392,078597 37
sb21 0,0805 0,6626087 484,095768 39
sb22 0,0751 0,3478029 254,101572 19
sb23 0,2166 0,4607572 336,624935 73
sb24 0,1283 0,3803585 277,886391 36
sb25 0,1012 0,4644269 339,305984 34
sb26 0,1304 0,5958589 435,328984 57
sb27 0,1544 0,532513 389,049057 60
sb28 0,1154 0,4360485 318,572988 37
sb29 0,1476 0,4506775 329,2608 49
sb30 0,081 0,4502469 328,946208 27
sb31 0,0873 0,4273769 312,237598 27
sb32 0,1149 0,4283725 312,964974 36
sb33 0,2086 0,6069032 443,397847 93
sb34 0,0844 0,6611374 483,02085 41
sb35 0,1599 0,5186992 378,956823 61
sb36 0,0783 0,4600255 336,090362 26
sb37 0,0858 0,3918415 286,275764 25
sb38 0,0762 0,4805774 351,105389 27
sb39 0,0858 0,3685315 269,245694 23
50
Tableau III 15 :Suite calcul le nombre d’habitant pour chaque sous bassin :
sous
Bassin La surface partielle Ai (ha) Cri Di Nombre d’habitant Pi(ha)
sb40 0,1928 0,6366183 465,107423 90
sb41 0,2242 0,4099019 299,470525 67
sb42 0,5004 0,4146683 302,952812 152
sb43 0,2579 0,9148895 668,40978 172
sb44 0,2239 0,7477892 546,327851 122
sb45 0,2515 0,8640159 631,242 159
sb46 0,2155 0,7877494 575,522403 124
sb47 0,3075 0,6955772 508,182248 156
sb48 0,2102 0,8485728 619,959414 130
sb49 0,4501 0,8017107 585,722399 264
sb50 0,3416 0,7687061 561,609544 192
sb51 0,0937 0,7265742 530,828369 50
sb52 0,3686 0,7509767 548,656609 202
sb53 0,1871 0,9090861 664,16987 124
sb54 0,4049 0,7910842 577,958776 234
sb55 0,4444 0,5024977 367,120157 163
sb56 0,3541 0,6424174 469,344192 166
sb57 0,3252 0,5820418 425,234339 138
sb58 0,2727 0,7390172 539,919109 147
sb59 0,5093 0,6174161 451,078474 230
sb60 0,3743 0,7612877 556,18973 208
sb61 0,3218 0,6755438 493,546032 159
sb62 0,2242 0,7806869 570,362606 128
sb63 0,4584 0,1655759 120,968216 55
sb64 0,2606 0,5237913 382,677064 100
sb65 0,4528 0,7398189 540,504824 244
sb66 0,4642 0,7921586 578,743723 269
sb67 0,6466 0,8873337 648,277768 419
sb68 0,4459 0,8459072 618,011952 276
sb69 0,4472 0,8788685 642,093172 287
sb70 0,4614 0,319896 233,713049 108
sb71 0,4777 0,5444003 397,733808 190
sb72 0,2445 0,7197546 525,846033 129
sb73 0,4719 0,7245179 529,326055 250
sb74 0,2727 0,5704437 416,760874 114
sb75 0,2575 0,4874951 356,159397 92
sb76 0,4184 0,6512189 475,774486 199
sb77 0,435 0,8667586 633,245791 275
sb78 2,4536 0,7118764 520,090293 1276
51
Tableau III 15 :Suite calcul le nombre d’habitant pour chaque sous bassin :
sous
Bassin La surface partielle Ai (ha) Cri Di Nombre d’habitant Pi(ha)
sb79 0,284 0,6552817 478,74273 136
sb80 0,3303 0,3580381 261,579314 86
sb81 0,2955 0,488088 356,592564 105
sb82 0,8922 0,4859112 355,002214 317
sb83 0,34 0,8946471 653,62087 222
sb84 0,1448 0,7971685 582,40391 84
VI.11. Conclusion
L’horizon de calcul est fixé à 2038, soit une population future de10911 habitants. Il a été déduit
(84) sous bassins à la suite du découpage de la zone urbaine.
En outre, on a estimé le coefficient de ruissellement pondéré ainsi que le nombre d’habitants pour
chaque sous bassin.
52
53
IV.1. Introduction
Le réseau d’assainissement est appelé pour assurer l’évacuation des eaux de ruissellement et des
eaux usées d’origine domestique et industrielle .Avant de passer au dimensionnement des collecteurs,
il faut que l’évaluation des débits d’eaux usées et pluviales porte essentiellement sur l’estimation de la
quantité et de la qualité des rejets qui se caractérisent en fonction du type d’agglomération et des
diverses catégories du sol.
L’homme utilise actuellement différentes techniques pour l’évacuation des eaux usées. Une
fois les eaux usées rassemblées, leur transport se fait par des conduites jusqu'à la station d’épuration
où elles subissent des traitements avant de les rejetées dans un milieu appelé exutoire.
Les impuretés contenues dans les eaux usées, comprennent des matières minérales et des
matières organiques, des huiles ou des graisses qui sont entrainées par le courant liquide sous forme de
matières en suspension, décantable, flottants et colloïdales. Les eaux de vannes, les eaux de
ruissellement et les eaux industrielles, sont évacuées hors des agglomérations.
- Les eaux vannes et les eaux usées ménagères, ces types d’eaux sont évacués hors des
agglomérations.
- Les eaux résiduaires industrielles.
Ces eaux de ruissellement entraînent toute sorte de déchets minéraux utilisés pour le lavage des
cours et des voies publiques, de débris microscopiques des caoutchoucs venant de l’usure des
pneumatiques des véhicules et du plomb contenu dans l’essence. En outre, ces eaux de ruissellements
contiennent toute sorte de bactéries, et champignons en quantités considérables surtout au début des
pluies.
IV.4.4. Les eaux usées industrielles
Ces eaux proviennent de diverses usines. Elles contiennent des substances chimiques (Acide,
basiques et toxiques).
Elles doivent être traitées avant de les collecter dans le réseau d’assainissement.
Le débit d’eaux usées dans la canalisation est sujet à des variations, celles-ci sont essentiellement
influencées par la consommation d’e
Les quantités d’eau usées sont plus grandes pendant la journée que pendant la nuit. Toute l’eau
utilisée par le consommateur n’est pas rejetée dans le réseau en totalité, il est admis que l’eau évacuée
n’est que les 70% à 80% de l’eau consommée, c’est ce qu’on appelle le coefficient de rejet .
Ces besoins seront évalués pour l'horizon futur (10911 hab) avec la dotation nécessaire
Qpop = PF x D ………….…………………………(IV.1)
PF : population future.
D = 200 l/j/hab.
Tableau IV. 1: Résultats de calcul des besoins domestiques :
Coefficient de majoration ,
Remarque :
Pour notre étude, le coefficient de pointe Kp est estimé à partir du débit moyen, selon la relation
(IV.3). Les résultats de calcul pour l’évaluation des débits d’eaux usées domestiques, sont illustrés
respectivement dans le tableau (IV.2)
pte
Q eu : Débit d’eau usée de pointe (l/s) ;
Tableau IV.2 : Détermination des débits de pointe des eaux usées domestiques
Tableau VI.3: Détermination des débits des eaux usées des équipements pour chaque sous bassin.
nombre
SB type equip unité ms con Dot (L/j/U) Qeq (l/s) Qeu eq Q total
1 boutique U 900 3 0,03125 0,025 0,025
2 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
3 café Client 1800 10 0,2083 0,16664 0,166
4 boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
5 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
6 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
7 Restaurant Repas 1100 30 0,3819 0,30552 0,305
8 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
9 Marché cov m² 3030 5 0,175 0,14 0,14
10 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
11 ecoul prim Elève 922 25 0,2667 0,213 0,213
12 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
13 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
14 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
15 boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
16 Boulangerie U 3 500 0,0173 0,01384 0,013
17 café Client 1800 10 0,2083 0,16664 0,166
18 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
19 boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
20 coiffeur U 125 3 0,00434 0,003472 0,003
21 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
22 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
Tableau IV.3 (suite) Détermination des débits des eaux usées des équipements pour chaque sous
bassin.
nombre
SB type equip unité ms con Dot (L/j/U) Qeq (l/s) Qeu eq Q total
Café Client 1800 10 0,2083 0,16664
23 0,189
espace vers m² 500 5 0,0289 0,02312
24 Bibliothèque Lecture 50 15 0,0087 0,00696 0,006
25 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
Restaurant Repas 1100 30 0,3819 0,30552
26 0,328
espace vers m² 500 5 0,0289 0,02312
27 Boutique U 900 3 0,03125 0,025 0,025
28 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
29 Boulangerie U 3 500 0,0173 0,01384 0,013
30 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
31 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
32 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
33 Aire de jeux m² 300 15 0,052 0,0416 0,041
34 espace vers m² 500 5 0,0289 0,02312 0,023
35 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
Boutique U 900 3 0,03125 0,025
36 0,0388
Boulangerie U 3 500 0,0173 0,01384
37 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
38 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
39 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
40 Aire de jeux m² 300 15 0,052 0,0416 0,041
41 Stade 700 15 0,1215 0,0972 0,097
42 ce police Employée 30 25 0,00868 0,006944 0,006
Coiffeur U 125 3 0,00434 0,003472
43 0,17
Café Client 1800 10 0,2083 0,16664
44 Boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
45 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
46 Restaurant Repas 1100 30 0,3819 0,30552 0,305
47 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
48 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
49 espace vers m² 500 5 0,0289 0,02312 0,023
50 Boutique U 900 3 0,03125 0,025 0,025
51 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
52 Marché cov m² 3000 5 0,173 0,1384 0,138
53 ecoul prim Elève 922 25 0,2667 0,21336 0,213
54 espace vers m² 500 5 0,0289 0,02312 0,023
55 Café Client 1800 10 0,2083 0,16664 0,166
56 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
57 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
58 Coiffeur U 125 3 0,00434 0,003472 0,003
Tableau IV.3:(suite) Détermination des débits des eaux usées des équipements pour chaque sous
bassin.
Type nombre
SB equip Unité ms con Dot (L/j/U) Qeq (l/s) Qeu eq Q total
59 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
60 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
61 boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
62 Restaurant Repas 1100 30 0,3819 0,30552 0,305
63 Jardin m² 500 5 0,029 0,0232 0,023
64 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
65 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
66 Mosque Priant 1500 20 0,3472 0,27776 0,277
67 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
68 clinique Patient 50 20 0,0115 0,0092 0,009
69 ce police Employée 30 25 0,00868 0,006944 0,006
70 Marché cov m² 3030 5 0,175 0,14 0,14
71 boutique U 900 3 0,03125 0,025 0,025
72 Café Client 1800 10 0,2083 0,16664 0,166
73 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
74 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
75 boucherie U 12 50 0,00694 0,005552 0,005
76 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
77 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
Lycée Elève 784 25 0,226 0,1808
78 0,2152
complexe m² 250 15 0,043 0,0344
79 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
80 boutique U 900 3 0,03125 0,025 0,025
81 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
82 CEM Elève 544 25 0,157 0,1256 0,125
83 Restaurant Repas 1100 30 0,3819 0,30552 0,305
84 ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
- La méthode superficielle.
- La méthode rationnelle.
IV.5.4.1. La méthode superficielle
La formule de Caquot est la formule la plus utilisée pour l’estimation des apports pluviaux des bassins
urbanisés :
i ( t ,T ) = a . tb
C : coefficient de ruissellement,
U = 1+0.287*b
V= - 0.41*b
W=0.95+0.507*b
Q = C.I.A ………………………………..……….(IV.5)
Avec :
C : Coefficient de ruissellement
Avec :
Vmax : vitesse au dessus de laquelle il y’a risque évident d’érosion des matériaux mis en œuvre.
sous
Bassin Aire (he) I (l/s/ha) Cri Q (L/s)
sb38 0,0762 180,543 0,48 6,60354077
sb39 0,0858 180,543 0,368 5,7005369
sb40 0,1928 180,543 0,636 22,1383271
sb41 0,2242 180,543 0,409 16,5553959
sb42 0,5004 180,543 0,414 37,4022989
sb43 0,2579 180,543 0,914 42,5577043
sb44 0,2239 180,543 0,747 30,1964125
sb45 0,2515 180,543 0,864 39,2312717
sb46 0,2155 180,543 0,787 30,619822
sb47 0,3075 180,543 0,695 38,5842959
sb48 0,2102 180,543 0,848 32,1817175
sb49 0,4501 180,543 0,801 65,0911858
sb50 0,3416 180,543 0,768 47,3652394
sb51 0,0937 180,543 0,726 12,2816542
sb52 0,3686 180,543 0,75 49,9111124
sb53 0,1871 180,543 0,909 30,7056521
sb54 0,4049 180,543 0,791 57,8235718
sb55 0,4444 180,543 0,502 40,2771212
sb56 0,3541 180,543 0,642 41,0432374
sb57 0,3252 180,543 0,582 34,1707237
sb58 0,2727 180,543 0,739 36,3839822
sb59 0,5093 180,543 0,617 56,7334893
sb60 0,3743 180,543 0,761 51,4262834
sb61 0,3218 180,543 0,675 39,2166477
sb62 0,2242 180,543 0,78 31,5726377
sb63 0,4584 180,543 0,165 13,6555503
sb64 0,2606 180,543 0,523 24,6068915
sb65 0,4528 180,543 0,739 60,4131542
sb66 0,4642 180,543 0,792 66,375984
sb67 0,6466 180,543 0,887 103,547585
sb68 0,4459 180,543 0,845 68,0259845
sb69 0,4472 180,543 0,878 70,8886924
sb70 0,4614 180,543 0,319 26,5735103
sb71 0,4777 180,543 0,544 46,9174928
sb72 0,2445 180,543 0,719 31,738647
sb73 0,4719 180,543 0,724 61,683527
sb74 0,2727 180,543 0,57 28,0634234
sb75 0,2575 180,543 0,487 22,6405436
sb76 0,4184 180,543 0,651 49,1760135
sb77 0,435 180,543 0,866 68,0123535
sb78 2,4536 180,543 0,711 314,958997
sb79 0,284 180,543 0,655 33,5846089
sb80 0,3303 180,543 0,358 21,3487403
Tableau IV.5 (suite) Calcul des débits pluviaux pour chaque sous bassin
sous
Bassin Aire(he) I(l/s/ha) Cri Q(L/s)
sb81 0,2955 180,543 0,488 26,0350228
sb82 0,8922 180,543 0,485 78,1240253
sb83 0,34 180,543 0,894 54,8778503
sb84 0,1448 180,543 0,797 20,8356732
IV. Conclusion
Dans ce chapitre nous avons calculé les débits de rejet de cette agglomération de différentes
natures : domestiques, équipements et pluviales tout en partageant notre agglomération en (84) sous
bassin dont chacun a un coefficient de ruissellement déterminé.
76
Diagnostic du réseau existant
Introduction :
En assainissement, l’objectif des études de diagnostic est d’acquérir une bonne connaissance de
l’état et du fonctionnement des réseaux, des installations, …, en vue de les réhabiliter, de les
restructurer, et de prévoir des extensions liées au développement urbain.
La ville de ain fakroun est une ville de création coloniale, donc elle possède un réseau
d’assainissement e qui s’avère insuffisant devant le développement qu’elle a connu en matière
d’urbanisme et de mode de vie des habitans.
Cette étude a pour objet de relever les problèmes et les anomalies que pose le réseau d’assainissement,
ainsi la détermination des zones d’insuffisance a fin de prévoir des travaux d’aménagement,
d’entretien et de réhabilitation
Diagnostic du réseau existant
V.1- Généralités
Un système d’assainissement urbain remplit trois fonctions principales :
- fonction de protection de l’environnement urbain, ou drainage des eaux urbaines, de temps de pluie
ou de temps sec ;
Le dysfonctionnement d'un réseau d'assainissement est une perturbation du service rendu, sans
son arrêt, entraînant une désorganisation de l'un ou plusieurs de ses environnements.
- l’obsolescence entraîne des mises en charge fréquentes, donc des risques d’inondations ou tout
simplement de débordement ;
- les trous, les fissures, la corrosion interne ou externe d’un ouvrage, etc ..., peuvent, selon leur
importance mettre en danger la stabilité structurelle d’un ouvrage, entraînant des déformations de sa
géométrie, ou même son effondrement ;
- ces mêmes dégradations structurelles, peuvent d’une part entraîner l’infiltration d’eau claire parasite,
et d’autre part, l’exfiltration des effluents.
Dans le premier cas, la dilution des effluents ne permet plus un traitement optimal au niveau des
stations d’épuration ; et, dans le second cas, la pollution d’une nappe phréatique, qu’elle soit exploitée
ou pas, est un critère qui prend de plus en plus d’importance.
Finalement, la panne d'un réseau d'assainissement est une rupture nette du service, entraînant des
désordres, et peut-être même des arrêts de fonction dans certains environnements. Une panne peut être
alors définie comme étant l'accomplissement final d'un dysfonctionnement. [6]
Diagnostic du réseau existant
En effet, tous les documents graphiques et les informations techniques s’y rapportant doivent
être coordonnés et complétés par des contrôles in situ.
a. Données de Base
Elles constituent l’ensemble des données nécessaires à un bon diagnostic, ce dernier étant l’acte
qui vise à déterminer, dans un premier temps, la nature et les causes d’un dysfonctionnement, et dans
un deuxième temps les conséquences qui en découlent.
- Bilan de traitement.
Ainsi, les données de base sont définies comme étant celles relatives aux facteurs de
dégradation, ainsi que celles traduisant un dysfonctionnement.
Les facteurs de dégradations sont de deux types : externes à l’ouvrage, ou internes à celui-ci.
Les facteurs externes comprennent tous les facteurs qui jouent un rôle dans l’apparition des
perturbations géotechniques, les contraintes de surface, ainsi que celles qui interviennent dans la
transmission de ces dernières à l’ouvrage : type de sol, qualité et fluctuation du niveau de la nappe,
qualité de l’interface sol-ouvrage, type de voirie et de circulation en surface, profondeur de l’ouvrage.
Diagnostic du réseau existant
Les facteurs internes de dégradation sont l’ensemble des données relatives à l’ouvrage pris hors de son
contexte environnemental : géométrie, matériau et type de construction, période de construction, type
d’effluent, fonctionnement (mise en charge ou non), …etc. [7]
b. Données d’orientation
Elles sont relatives aux conséquences que peuvent avoir les différents dysfonctionnements :
impact sur le bâti et les réseaux voisins, perturbation des usages en surface, pollution d’une nappe,
…etc. Elles sont qualifiées de données d’orientation car elles servent à définir les lieux et les types de
pré-diagnostic à mettre en place.
Dans notre étude, pour rester en cohérence avec le langage habituellement utilisé en génie
urbain, nous adopterons les définitions suivantes :
#. Symptôme : toute marque intérieure au réseau physique, comme par exemple les fissures, les
déboîtements, les effritements de l'enduit, ... .
Les symptômes et les signes sont ceux qu'interprète un diagnostic, par les auscultations, pour trouver
les causes d'un dysfonctionnement, ou d'une panne. [7]
V.2.2 - Le pré-diagnostic
Dans cette phase, et après recueil des données, un examen à entreprendre sur le réseau
d’assainissement et les ouvrages tout en procédant une mise à jour des plans et de cartographie des
patrimoines. Ce pré-diagnostic est destiné à découvrir les points faibles du système d’assainissement et à
appréhender la sensibilité des milieux récepteurs. [7]
Diagnostic du réseau existant
• Quantifier les fuites de pollution dans le milieu récepteur et les exfiltrations vers la nappe,
prise dans l’impact des rejets ;
• Détecter les apports des eaux parasites ;
• Rechercher l’origine d’éventuelles pollutions toxiques d’origine industrielles, des graisses,
et des métaux lourds ;
• Vérification de la présence de l’H2S aux débouchées des conduites de refoulement.
Car la libération de ce gaz provoque une oxydation et une fermentation de l’H2SO4 qui provoque à
son tour une attaque des matériaux constituant les ouvrages d’assainissement.
Cette phase d’étude représente un pas très important, car elle nous apporte les renseignements
nécessaires de tout ce qui concerne le fonctionnement des réseaux et des ouvrages annexes .
• L’étude démographique, nombre d’habitants, d’emploi sur une zone ayant des
caractéristiques physiques et socio-économiques homogènes ;
• Les consommations d’eau domestiques, des activités industrielles et commerciales ;
• La définition des coefficients de ruissellement ;
• La localisation des tronçons suspects, des ( ponts noires ), débordements ;
• La répartition des indications de la pollution. [7]
- 03collecteurs principaux ;
- 6 collecteurs secondaires ;
- La longueur totale du réseau est de 4620, 48 m
Diagnostic du réseau existant
La forme des colleteurs rencontrés est de section circulaire, de profondeur de 0,8 à 5,3m.
Les collecteurs évacuant à présent les eaux usées de la ville sont en béton de diamètre de
300 - 700 mm. Ce qui n'est pas suffisant vue le nombre d'habitant: 7900 hab.
(nombre statistique 2011).
-On a 151 tronçons des différents diamètres: comme illustrai dans le tableau suivant :
Tableau V.1 Caractéristiques des canalisations
300 3399,86
400 982,12
700 36,5
Le déversement des eaux usées et pluviales se fait directement dans le cours d’eau sans
prétraitement. Cette situation pose beaucoup de problèmes et il y a même des risques d’apparition des
maladies à transmission hydrique.
La majorité des regards sont dans un état lamentable (envasé), ceci est dû au manque d’entretien.
De plus, ces regards ne sont pas munis d’échelles et ils sont parfois sans dalles. Ce constat a été observé
au niveau des regards et des avaloirs du centre ville, ce qui provoque leurs remplissages par des débris et
par la terre.
La négligence exorbitante dans le domaine d’entretien et de maintenance a rendu une partie des regards
dans un état non identifie et couvert par les chaussées, et l’accumulation des débris sableux, et des
ordures publiques dans les regards non couverts
Dans le cas des crues le débit et le volume d’eau ruisseler au lieu que son évacuation se faire par ces
avaloirs le bouchage totale et l’insuffisance des bouches d’égouts causes de débordement d’eaux sur
les trottoirs et la création des cuvettes d’eaux sur les routes, ce qui gêne la circulation et les piétons
surtout,
Avaloir envasé 13 25
Nombre Total 73 73
!
Diagnostic du réseau existant
!5
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"# #
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V. 5.5-Etat
Etat des tronçons et des collecteurs :
Collecteur principal (CPI) :
Le collecteur principal I prend en charge les 82 logements, 300 logements, Marché couvert, écoule
primére, Deux espace verts, Parc, Aire de jeux, police communel, stade de APC
ce collecteur est lié au point de rejet numéro (Rej 01)
Collecteur principal (CPII)
Le collecteur principal (II) évacue les eaux de la partie sud de la cité el Salam,
La brigade de la Gendarmerie, Deux espace vers, jardin, centre de la santé, Mosquée, Il est
composé de 02 collecteurs secondaires, le diamètre variant entre 300 et 400mm
mm ce collecteur est
lié au point de rejet numéro (Rej 01).
Collecteur principal (CPIII)
I: La pente (m/m) ;
rQ : Rapport de débit ;
NV ; non vérifié
Diagnostic du réseau existant
S 08 R17-R18 42,6 0,0426 0,0071 0,26 300 300 0,69 0,58 0,3 à maintenir
S 09 R18-R19 46,77 0,0468 0,0368 0,27 300 300 0,76 0,58 0,3 à maintenir
S10 R19-R20 53,92 0,0539 0,0375 0,19 300 300 0,29 1,75 0,89 à maintenir
*1
R11-R20 77,82 0,0778 0,117 0,17 300 400 0,23 3,1 1,57 à maintenir
S11 R61-R62 104,9 0,1049 0,051 0,23 300 300 0,48 2,08 1,06 à maintenir
S12 R21-R22 17,56 0,0176 0,021 0,14 300 300 0,13 1,29 0,65 à maintenir
S13 R22-R23 23,5 0,0235 0,0281 0,14 300 300 0,14 1,49 0,76 à maintenir
S14 R23-R24 27,88 0,0279 0,0406 0,14 300 300 0,72 1,81 0,92 à maintenir
R24-R25 34,21 0,0342 0,0193 0,18 300 300 0,85 1,25 0,63 à maintenir
*1
R20-R25 136,6 0,1366 0,0927 0,22 300 400 0,99 2,31 1,03 à maintenir
s15 R29-R30 16,15 0,0162 0,0008 0,14 300 300 0,69 1,19 0,61 à maintenir
S16 R30-R31 25,29 0,0253 0,0004 0,14 300 300 0,72 1,47 0,84 à maintenir
S17 R31-R32 30,24 0,0302 0,0339 0,15 300 300 0,76 1,65 0,84 à maintenir
S18 R32-R33 40,19 0,0402 0,025 0,18 300 300 0,85 1,44 0,73 à maintenir
S19 R33-R34 46,02 0,046 0,0187 0,2 300 300 0,92 1,26 0,64 à maintenir
S20 R34-R35 55,66 0,0557 0,0562 0,17 300 300 0,83 2,14 1,09 à maintenir
S21 R35-R36 65,51 0,0655 0,0412 0,2 300 300 0,91 1,85 0,94 à maintenir
S22 R36-R37 70,33 0,0703 0,0249 0,22 300 300 0,99 1,46 0,74 à maintenir
Diagnostic du réseau existant
S23 R37-R38 0,076 76,081 0,01 0,27 300 300 0,78 0,92 0,47 à maintenir
R38-R39 0,082 82,073 0,0825 0,19 300 300 0,3 2,61 1,32 à maintenir
R28-R39 0,701 700,72 0,1106 0,4 400 400 1,02 2,65 1,05 à maintenir
*1
S24 R25-R26 0,18 179,85 0,0228 0,3 300 400 1,02 1,67 0,85 à maintenir
S25 R26-R27 0,189 188,53 0,0407 0,34 400 400 0,63 1,6 0,81 à maintenir
S26 R27-R28 0,197 197,19 0,0133 0,34 400 400 0,63 1,68 0,85 à maintenir
R63-R28 0,497 496,63 0,0885 0,37 400 400 0,81 2,26 1,06 à maintenir
S27 R40-R41 0,015 15,232 0,003 0,19 300 300 0,69 1,56 0,85 à maintenir
*2
S28 R41-R42 0,025 24,556 -0,0004 NV NV 300 NV NV NV à rénover
S29 R42-R43 0,031 31,156 0,0273 0,16 300 300 0,2 1,42 0,72 à maintenir
S29 R43-R44 0,037 36,856 0,0789 0,14 300 300 0,14 2,51 1,27 à maintenir
S30 R44-R45 0,044 43,602 0,0386 0,16 300 300 0,2 1,99 1,01 à maintenir
S31 R45-R46 0,051 50,506 0,063 0,16 3ù00 300 0,21 2,26 1,15 à maintenir
S32 R46-R47 0,06 59,62 0,0536 0,18 300 300 0,26 2,11 1,07 à maintenir
S33 R47-R48 0,072 71,6 0,0127 0,23 300 300 0,48 1,43 0,73 à maintenir
*2
R48-R49 0,083 83,088 -0,0268 NV NV 300 NV NV NV à rénover
*2
S34 R49-R50 0,088 87,53 -0,0236 NV NV 300 NV NV NV à rénover
*3
R39-R50 0,789 788,7 0,0288 0,49 500 300 0,96 NV NV à rénover
S35 R51-R52 0,015 15,341 0,0138 0,14 300 300 0,13 1,06 0,54 à maintenir
S36 R52-R53 0,022 22,041 0,0184 0,15 300 300 0,17 1,2 0,61 à maintenir
S37 R53-R54 0,028 28,245 0,04 0,14 300 300 0,15 1,6 0,91 à maintenir
S38 R54-R55 0,035 35,005 0,0273 0,17 300 300 0,22 1,48 0,75 à maintenir
S39 R55-R56 0,041 40,857 0,0479 0,16 300 300 0,19 1,97 1 à maintenir
S40 R56-R57 0,054 53,727 0,0583 0,17 300 300 0,23 2,18 1,11 à maintenir
R57-R58 0,064 63,594 0,0474 0,19 300 300 0,32 1,87 0,95 à maintenir
S41 R58-R59 0,069 69,432 0,0221 0,24 300 300 0,53 1,24 0,63 à maintenir
*2
R59-R60 0,075 75,169 -0,0609 NV NV 300 NV NV NV à rénover
*3
R50-R60 1,269 1268,5 0,094 0,52 600 400 0,69 NV NV à rénover
S42 R62-R63 0,116 115,95 0,0129 0,31 400 300 1,05 1,05 0,53 à maintenir
!
Diagnostic du réseau existant
S51 R81-R78 12,6 0,0126 0,0093 0,14 300 300 0,14 0,86 0,44 à maintenir
S52 R92-R93 25,66 0,0257 0,0285 0,15 300 300 0,16 1,35 0,77 à maintenir
R93-R94 51,3 0,0513 0,0155 0,22 300 300 0,43 1,15 0,58 à maintenir
S53 R82-R83 31,7 0,0317 0,0236 0,17 300 300 0,21 1,39 0,7 à maintenir
S54 R83-R84 53,8 0,0538 0,0236 0,2 300 300 0,36 1,41 0,71 à maintenir
R84-R85 75,3 0,0753 0,0303 0,2 300 300 0,34 2,08 1,06 à maintenir
R85-R86 91 0,091 0,0059 0,25 300 300 0,61 1,42 0,72 à maintenir
S55 R86-R87 106 0,106 0,0428 0,24 300 300 0,53 1,91 0,97 à maintenir
R88-R89 8,5 0,0085 0,0232 0,25 300 300 0,59 0,56 0,29 à rénover
R89-R87 11,9 0,0119 0,0459 0,1 300 300 0,06 1,89 0,96 à maintenir
R87-R90 132,5 0,1325 0,0102 0,34 400 300 0,64 1,11 0,56 à maintenir
*3
S56 R90-R91 147,7 0,1477 0,0135 0,33 400 300 0,62 NV NV à rénover
Diagnostic du réseau existant
R115-R113 23,23 0,0232 0,0354 0,14 300 300 0,13 1,7 0,86 à maintenir
S76 R107-R112 123,9 0,1239 0,0115 0,26 300 300 0,68 1,74 0,88 à maintenir
R112-R113 149,2 0,1492 0,0187 0,34 400 400 0,68 1,18 0,6 à maintenir
*3
S77 R100-R101 353,6 0,3536 0,0363 0,43 500 300 0,69 NV NV à rénover
R101-R102 388,9 0,3889 0,0735 0,47 500 400 0,83 1,6 0,81 à maintenir
*4
S78 R144-R145 86,2 0,0862 0,0291 0,2 300 300 0,33 2,49 1,26 à maintenir
R145-R146 184,5 0,1845 0,024 0,31 400 400 0,53 1,88 0,96 à maintenir
R146-R147 323,6 0,3236 0,027 0,4 400 300 1,01 1,7 0,86 à maintenir
S79 R147-R148 342,6 0,3426 0,0072 0,4 400 300 1,01 1,8 0,91 à maintenir
*3
R148-R143 358 0,358 0,034 0,49 500 300 0,95 NV NV à rénover
S80 R142-R143 179,9 0,1799 0,0168 0,3 300 300 1,01 1,69 0,86 à maintenir
*3
R143-R149 551,4 0,5514 0,0238 0,42 500 300 0,62 NV NV à rénover
*1
S81 R113-R116 184,4 0,1844 0,0549 0,36 400 500 0,76 1,3 0,66 à maintenir
*1
R116-R117 199,2 0,1992 0,0304 0,33 400 500 0,61 1,75 0,89 à maintenir
*1
S82 R149-R117 631,8 0,6318 0,0246 0,5 500 400 0,99 2,18 1,11 à maintenir
S83 R102-R103 417,4 0,4174 0,0262 0,44 500 400* 3 0,71 NV NV à rénover
R103-R104 445,6 0,4456 0,0209 0,45 500 500 0,75 2,04 1,04 à maintenir
*3
S84 R117-R104 852,3 0,8523 0,1183 0,6 600 400 0,99 NV NV à rénover
/ R60-Rej01 1414 1,4135 0,0183 0,52 600 400 0,69 2,08 1,18 à maintenir
*3
R104-Rej02 1298 1,2979 0,018 0,7 700 500 1,08 NV NV à rénover
Diagnostic du réseau existant
Conclusion
L’objectif des études de diagnostic est d’acquérir une bonne connaissance de l’état et du
fonctionnement des réseaux, pour permettre de concevoir les améliorations à la situation présente du
système.
Sur la base de notre diagnostic, malgré les défaillances citées, l’ensemble du réseau
D’assainissement de la cité étude parait être relativement en bon état de fonctionnement malgré son
ancienneté.
La présence de quelques anomalies n’est pas uniquement liée à des problèmes de
Conception, constructions mais plus essentiellement à l’absence totale d’entretien et de gestion
efficace. Celles-ci vont, dans le temps conduire à la dégradation totale du système, et à mettre en péril
la pérennité et la durée de vie des ouvrages et des installations du système d’évacuation.
102
Introduction
Une fois que la totalité des débits fut déterminée, on passe au dimensionnement proprement dit des
ouvrages tout en respectant certaines normes d’écoulement
La conception d’un réseau d’assainissement est la concrétisation de tous les éléments constituant
les branches du réseau sur un schéma global.
Le système d’évacuation adopté dans la région d’étude est un système gravitaire avec un diamètre
supérieur ou égale à 300mm.
Ce dernier est caractérisé par un écoulement uniforme et à surface libre ; il doit aussi
Assurer une vitesse permettant l’auto-curage tout en évitant la dégradation des conduites.
La vitesse d’auto-curage qui empêchera les dépôts de sable, dans les collecteurs est de
L’ordre de :
0,6 m/s au moins pour le un dixième du débit de pleine section.
0,3 m/s au moins pour le un centième du débit de pleine section.
Si ces vitesses ne sont pas respectées, il faut prévoir des chasses automatiques ou des
Curages périodiques
La vitesse d’érosion représente la limite supérieure (entre 4 à 5 m/s), au-dessus de laquelle les parois
internes des conduites et des joints seront soumises à une forte érosion compte tenu du fait que les eaux
sont chargées. [11]
.
VI.3- Mode de calcul
Ce mode de calcul ou cette méthode a été établie en se basant sur l’approche théorique de Lakehal
et Achour [8] qui ont proposé une méthode de calcul des écoulements uniformes ,évoluant dans une
conduite circulaire partiellement ou entièrement remplie, pour le domaine turbulent rugueux. Lakehal et
Achour [8] ont, à leur tour, abouti à leur approche par la combinaison des relations de Darcy [9].
Avant entamer et vérifier nos calculs de réseau d’assainissement existant on considère
Les ‘hypothèse suivante pour une évacuation gravitaire
1 - L’écoulement est uniforme et à surface libre, le gradient hydraulique de perte de charge est égal à la
pente du radier.
2 - La perte de charge engendrée est une énergie potentielle égale à la différence des cotes du plan d’eau
en amont et en aval.
Les canalisations d’égouts dimensionnées pour un débit en pleine section Qps ne débitent en réalité
et dans la plupart du temps que des quantités d’eaux plus faibles que celles pour lesquelles elles ont été
calculées.
A partir des diamètres normalisés, on déduit le débit Qps et la vitesse Vps de la conduite
entièrement remplie.
Pour l’établissement de notre étude, on a besoin des paramètres suivants :
• Périmètre mouillé (P) : c’est la longueur du périmètre de la conduite qui est en contact avec
l’eau exprimé en (m).
• Section mouillée (S) : c’est la section transversale de la conduite occupée par l’eau
exprimée en (m²).
• Rayon hydraulique (Rh) : c’est le rapport entre la section mouillée et le périmètre mouillé
exprimé en (m).
• Vitesse moyenne de l’écoulement (V) en (m/s) : c’est le rapport entre le débit volume en
(m3/s) et la section mouillée en (m2).
• Rugosité absolue ε des parois de la conduite: Dans notre étude on adopte pour ε les
Valeurs suivantes : ε= 1,61 mm pour les tronçons en béton armé ordinaire en service et
ε = 2,61 mm pour les tronçons en ciment armé aussi en service 1,5 pour les tronçons en
ciment armé précontrainte. [10]
La rugosité des conduites sont pas comme celles en état neuf donc nous allons prendre en
considération ce facteur très important.
L’écoulement dans les collecteurs est un écoulement à surface libre régi par l’équation de
continuité :
Q = V.S …………………………..………………(VI.1
Avec :
Q : Débit en (m3/s).
D2
A= (θ − sin θ cosθ )
4
D
P = θ D et Rh = (θ − sin θ cos θ ) .
4θ
−1 h
θ est le demi angle au centre, exprimé comme suit (figure VI.1) : θ = cos (1 − 2 ).
D
0 , 3815
Qε 0,121
D = 1,539 ……….…….………………(VI.2)
10,33 gI
r hc = 0 , 6658 (tan 57 , 3 ° rQ )
0 , 4897
………..….………… (VI.4)
2,43
rV = 1, 015 0 , 393
……………………….………….…...(VI.08)
D 0c θ c
4Q
V = ………………...……….….(VI. 09)
D (θ c − sin θ c cos θ c )
2
c
- Puis, on calcule la vitesse Vps correspondant à la section pleine en appliquant la relation suivante :
V
V ps = …...…………………………….………….….(VI.10)
rV
- Enfin, on calcule les vitesses d’auto curage Vaut1 et Vaut2 correspondant respectivement à la fraction 1/10
du débit à pleine section (rQ = 1/10) et 1/100 du débit à pleine section
Vaut1 = 0,67 Vps 0,6 m/s et Vaut2 = 0,34 Vps 0,3 m/s.
Les valeurs 0,67 et 0,34, correspondant au rapport des vitesses rv, a été aisément estimé en utilisant
les relations (VI.4), (VI.7), (VI.8) et (VI.11). Cette dernière relation est représentée ci-dessous.
θ c0, 245
D0 c = ……..…………..(VI.11)
[(θ c − sin θ c cos θ c ) / 4]0,623
L’organigramme ci-dessous est proposé, afin de rendre facile l’utilisation des étapes mentionnées ci-
dessus.
En outre, la méthode exposée ci-dessus a été programmée dans le logiciel Excel afin de réduire le temps
de calcul.
Dans le cas où nous trouvons que le diamètre existant est adéquate avec le débit qui s’écoule nous allons
le garder en revanche on va rénover les diamètres insuffisant qui n’assure pas la bonne évacuation.
Organigramme Assainissement 2008
Données : Inconnues :
Q, I, . Dc, h, V et Vaut
On suppose
0 ,3815
Qε 0,121
D = 1,539
10,33 gI
On adopte Dc
2 , 62
D
rQ =
Dc
D θ c = cos −1
(1 − 2 rhc )
D0c= 1,539 c
D
2,43
rV = 1, 015 0 ,393
D0c θ c
4Q
V=
Dc2 (θ c − sin θ c cosθ c )
1 V 1
QPS V ps = QPS
10 rV 100
Oui
Vaut = 0,67 VPS
Curage
Périodique
VII.4.Calcule les débits et les pentes
Tableau. VI.1 Calcul des débits et des pentes pour sous bassins(01-22)
QCumule
L QSP Débit s CTN(m) CP(m) pente
Tronço Tronço (l/s/m Qtronco Qarriv Qcumules( I(m/m
3
n n (m) l) n (l/s) é (l/s) (l/s) m /s) AM AV AM AV )
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
Tableau. VI. 4 :Calcul des débits et des pentes pour sous bassins(56-69)
S70 R134-R135 27 13,6 0 13,58 0,014 904,24 903,11 902,94 901,81 0,042
R135-R136 27,5 0,5 13,8 13,58 27,41 0,027 903,11 901,93 901,81 900,63 0,043
S71 R139-R140 32 25,1 0 25,06 0,025 904,48 902,84 903,18 901,44 0,054
R140-R138 29,5 0,78 23,1 25,06 48,15 0,048 902,84 901,49 901,44 899,99 0,049
S72 R136-R137 28,5 16,2 27,41 43,6 0,044 901,93 901,53 900,63 900,13 0,018
R137-R138 29,1 0,57 16,5 43,6 60,13 0,06 901,53 901,49 900,13 899,99 0,005
S73 R138-R141 27 28,3 108,3 136,6 0,137 901,49 902,33 899,99 899,83 0,031
R141-R142 33,4 1,05 35 136,6 171,6 0,172 902,33 901,13 899,83 899,63 0,036
S74 R110-R111 28,1 14,4 32,69 47,07 0,047 905,95 905,46 904,45 903,96 0,017
R111-R107 28,1 0,51 14,4 47,07 61,46 0,061 905,46 904 903,96 902,4 0,056
S75 R114-R115 29 12 0 12,01 0,012 903,04 902,61 901,64 901,11 0,018
R115-R113 27,1 0,41 11,2 12,01 23,23 0,023 902,61 901,82 901,11 900,12 0,037
S76 R107-R112 48,55 25,1 98,78 123,9 0,124 904 902,33 902,4 900,68 0,035
R112-R113 48,79 0,52 25,3 123,9 149,2 0,149 902,33 901,82 900,68 900,12 0,011
S77 R100-R101 44,3 34,5 319,1 353,6 0,354 902,43 901,65 900,73 899,9 0,019
R101-R102 45,4 0,78 35,3 353,6 388,9 0,389 901,65 900 899,9 898,25 0,016
S78 R144-R145 23,8 86,2 0 86,2 0,086 903,73 903,28 902,73 901,98 0,074
R145-R146 27,15 98,3 86,2 184,5 0,185 903,28 902,49 901,98 901,19 0,029
R146-R147 38,4 3,62 139 184,5 323,6 0,324 902,49 901,67 901,19 900,27 0,024
S79 R147-R148 50 19,1 323,5 342,6 0,343 901,67 900,42 900,27 898,92 0,027
R148-R143 40,1 0,38 15,3 342,6 358 0,358 900,42 900,23 898,92 898,63 0,007
S80 R142-R143 29,4 8,35 171,6 179,9 0,18 901,13 900,23 899,63 898,63 0,034
R143-R149 47,7 0,28 13,5 537,9 551,4 0,551 900,23 899,53 898,63 897,83 0,057
S81 R113-R116 40 11,9 172,4 184,4 0,184 901,82 900,92 900,12 899,17 0,014
R116-R117 49,7 0,3 14,8 184,4 199,2 0,199 900,92 898,24 899,17 896,44 0,025
S82 R149-R117 45,7 1,76 80,3 551,4 631,8 0,632 899,53 898,24 897,83 896,44 0,03
S83 R102-R103 52,8 28,5 388,9 417,4 0,417 900 898,75 898,25 896,95 0,025
R103-R104 52,3 0,54 28,2 417,4 445,6 0,446 898,75 897,55 896,95 895,58 0,026
S84 R117-R104 41,2 0,52 21,4 831 852,3 0,852 898,24 897,55 896,44 895,58 0,021
/ R60-Rej01 34,5 / / 1414 1414 1,414 900,08 896 898,78 894,7 0,118
R104-Rej02 30 / / 1298 1298 1,298 897,55 897 896,15 895,4 0,018
- Abréviation : Calcul des débits et des pentes
L: longueur de tronçon(m) ;
I: pente (m/m)
ε: rugosité(m) ;
D : diamètre calculé (mm) ;
Dc : diamètre commercial/ existant
rQ : rapport des débits ;
rhc : taux de remplissage
h : hauteur de remplissage (mm) ;
Doc : rapport de diamètre
c : demi angle au centre (rad) ;
rv : rapport des vitesses ;
V : vitesse réelle (m/s) ;
Vps : vitesse à pleine section (m/s) ;
Vaut1 : vitesse d’auto-curage pour (1/10) du débit à pleine section (m/s) ;
Vaut2 : vitesse d’auto-curage pour (1/100) du débit à pleine section (m/s).
ε
sous Tronçons Q I D Dc D0c rQ rhc h θc rV V Vps Vaut 1 Vaut 2
3
bassin (m /s) (m/m) (m) (m) (m) (--) (--) (--) (m) (rd) (--) (m/s) (m/s) (m/s) (m/s)
S 01 R1-R2 0,00768 0,017 0,00161 0,12 0,3 3,85 0,09 0,21 0,06 0,94 0,63 0,73 1,16 0,77 0,39
R2-R3 0,01506 0,091 0,00161 0,10 0,3 4,77 0,05 0,16 0,05 0,81 0,54 2,14 3,97 2,66 1,35
R4-R5 0,01 0,048 0,00161 0,09 0,3 4,94 0,05 0,15 0,04 0,79 0,53 1,52 2,88 1,93 0,98
R5-R3 0,01387 0,071 0,00161 0,10 0,3 4,70 0,05 0,16 0,05 0,82 0,55 1,91 3,50 2,35 1,19
S 02 R6-R7 0,01489 0,002 0,00161 0,20 0,3 2,31 0,34 0,40 0,12 1,37 0,92 1,56 2,61 1,41 0,82
R7-R8 0,0254 0,007 0,00161 0,19 0,3 2,40 0,31 0,38 0,12 1,34 0,89 1,02 1,14 0,76 0,39
S 03 R8-R9 0,02964 0,069 0,00161 0,13 0,3 3,50 0,12 0,23 0,07 1,01 0,68 2,37 3,49 2,34 1,19
R9-R10 0,03476 0,062 0,00161 0,14 0,3 3,22 0,14 0,26 0,08 1,07 0,72 2,40 3,32 2,22 1,13
S 04 R10-R11 0,04041 0,039 0,00161 0,17 0,3 2,79 0,21 0,31 0,09 1,19 0,80 2,13 2,66 1,78 0,90
R3-R11 0,03327 0,111 0,00161 0,13 0,3 3,66 0,10 0,22 0,07 0,97 0,66 2,90 4,41 2,96 1,50
S 05 R12-R13 0,00656 0,098 0,00161 0,07 0,3 6,65 0,02 0,10 0,03 0,65 0,42 1,73 4,12 2,76 1,40
R13-R14 0,01246 0,098 0,00161 0,09 0,3 5,20 0,04 0,14 0,04 0,77 0,51 2,08 4,11 2,76 1,40
S 06 R14-R15 0,0215 0,003 0,00161 0,21 0,3 2,17 0,41 0,44 0,13 1,15 0,96 1,72 2,75 0,69 0,56
S 07 R15-R16 0,02984 0,023 0,00161 0,16 0,3 2,83 0,20 0,31 0,09 1,17 0,79 1,62 2,04 1,37 0,69
R16-R17 0,03751 0,037 0,00161 0,16 0,3 2,84 0,20 0,31 0,09 1,17 0,79 2,05 2,59 1,73 0,88
S 08 R17-R18 0,0426 0,004 0,00161 0,26 0,3 1,77 0,69 0,61 0,18 1,79 1,08 0,95 0,87 0,58 0,30
S 09 R18-R19 0,04677 0,004 0,00161 0,27 0,3 1,71 0,76 0,65 0,20 1,88 1,10 0,96 0,87 0,58 0,30
S10 R19-R20 0,05392 0,037 0,00161 0,19 0,3 2,47 0,29 0,37 0,11 1,30 0,87 2,29 2,61 1,75 0,89
R11-R20 0,07782 0,117 0,00161 0,17 0,3 2,68 0,23 0,33 0,10 1,22 0,83 3,82 4,62 3,10 1,57
S11 R61-R62 0,10487 0,051 0,00161 0,23 0,3 2,04 0,48 0,48 0,14 1,54 1,00 3,10 3,11 2,08 1,06
S12 R21-R22 0,01756 0,021 0,00161 0,14 0,3 3,40 0,13 0,24 0,07 1,03 0,69 1,34 1,93 1,29 0,65
S13 R22-R23 0,0235 0,028 0,00161 0,14 0,3 3,22 0,14 0,26 0,08 1,07 0,72 1,61 2,23 1,49 0,76
Tableau VI.7 : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB N°(14-29)
sous
Tronçons Q I ε D Dc D0c rQ rhc h θ c rV V Vps Vaut 1 Vaut 2
3
bassin (m /s) (m/m) (m) (m) (m) (--) (--) (--) (m) (rd) (--) (m/s) (m/s) (m/s) (m/s)
S14 R23-R24 0,02788 0,041 0,00161 0,14 0,3 3,24 0,14 0,26 0,08 1,06 0,72 1,94 2,70 1,81 0,92
R24-R25 0,03421 0,019 0,00161 0,18 0,3 2,59 0,26 0,35 0,10 1,26 0,85 1,58 1,87 1,25 0,63
R20-R25 0,13661 0,093 0,00161 0,22 0,3 2,07 0,46 0,47 0,14 1,52 0,99 3,15 2,20 2,31 1,03
s15 R29-R30 0,01615 0,018 0,00161 0,14 0,3 3,41 0,12 0,24 0,07 1,02 0,69 1,23 1,78 1,19 0,61
S16 R30-R31 0,02529 0,034 0,00161 0,14 0,3 3,25 0,14 0,26 0,08 1,06 0,72 1,77 2,46 1,47 0,84
S17 R31-R32 0,03024 0,034 0,00161 0,15 0,3 3,03 0,17 0,28 0,08 1,12 0,76 1,86 2,47 1,65 0,84
S18 R32-R33 0,04019 0,025 0,00161 0,18 0,3 2,56 0,26 0,35 0,10 1,27 0,85 1,82 2,14 1,44 0,73
S19 R33-R34 0,04602 0,019 0,00161 0,20 0,3 2,31 0,34 0,40 0,12 1,38 0,92 1,73 1,88 1,26 0,64
S20 R34-R35 0,05566 0,056 0,00161 0,17 0,3 2,64 0,24 0,34 0,10 1,24 0,83 2,67 3,20 2,14 1,09
S21 R35-R36 0,06551 0,041 0,00161 0,20 0,3 2,34 0,33 0,40 0,12 1,36 0,91 2,51 2,76 1,85 0,94
S22 R36-R37 0,07033 0,025 0,00161 0,22 0,3 2,07 0,46 0,47 0,14 1,51 0,99 2,15 2,18 1,46 0,74
S23 R37-R38 0,07608 0,01 0,00161 0,27 0,3 1,69 0,78 0,67 0,20 1,91 1,11 1,52 1,37 0,92 0,47
R38-R39 0,08207 0,082 0,00161 0,19 0,3 2,45 0,30 0,37 0,11 1,31 0,88 3,43 3,89 2,61 1,32
R28-R39 0,70072 0,111 0,00161 0,40 0,4 1,53 1,02 0,85 0,34 2,33 1,13 3,18 3,45 2,65 1,05
S24 R25-R26 0,17985 0,033 0,00161 0,30 0,3 1,53 1,02 0,85 0,25 2,34 1,13 2,82 2,49 1,67 0,85
S25 R26-R27 0,18853 0,021 0,00161 0,34 0,4 1,83 0,63 0,57 0,23 1,71 1,06 2,54 2,39 1,60 0,81
S26 R27-R28 0,19719 0,023 0,00161 0,34 0,4 1,83 0,63 0,57 0,23 1,71 1,06 2,66 2,50 1,68 0,85
R63-R28 0,49663 0,088 0,00161 0,37 0,4 1,67 0,81 0,68 0,27 1,95 1,11 3,42 3,87 2,26 1,06
S27 R40-R41 0,01523 0,003 0,00161 0,19 0,3 2,48 0,29 0,37 0,11 1,30 0,87 0,65 1,74 1,50 0,55
0,00161
S28 R41-R42 0,02456 0,002 0,24 0,3 1,91 0,57 0,53 0,16 1,64 1,04 0,64 1,62 1,41 0,42
S29 R42-R43 0,03116 0,025 0,00161 0,16 0,3 2,83 0,20 0,31 0,09 1,18 0,79 1,69 2,13 1,42 0,72
Tableau VI.8 : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB N°(29-44)
étude (ain fakroun ) afin de vérifier certains paramètres hydrauliques de chaque tronçon et
le fonctionnement du réseau.
bon état à part le cas de quelques tronçons qui nécessitent d’être rénovés faute de leur
Incapacité d’évacuer tous les débits apportés par les eaux usées et eaux pluviales. Les cas
D’anomalies présentes dans le réseau d’assainissement sont liés directement à la dégradation physique
de certains tronçons due surtout aux surcharges statique et dynamiques auxquelles sont soumis ainsi
VII.1.1- Canalisations
Elles se présentent sous plusieurs formes cylindriques préfabriquées en usine, elles sont désignées
par leurs diamètres intérieurs, dit diamètres nominaux exprimés en millimètre, ou ovoïdes préfabriqués
désignés par leur hauteur exprimée en centimètre ou des ouvrages visitables.
1-Types de canalisations
Il existe plusieurs types de conduites qui sont différents suivant leur matériau et leur destination.
125
1.3. Conduites en amiante – ciment
Les tuyaux et pièces de raccord en amiante - ciment se composent d'un mélange de ciment
portland et d'amiante en fibre fait en présence d’eau.
Ce genre de tuyaux se fabrique en deux types selon le mode d'assemblage ; à emboîtement ou sans
emboîtement avec deux bouts lisses. Les diamètres varient de 60 à 500 mm pour des longueurs variant de
4 à 5 m. Les joints sont exclusivement du type préformé.
1.4. Conduites en grés
Le grès servant à la fabrication des tuyaux est obtenu à parties égales d'argile et de sable argileux
cuits entre 1200° C à 1300° C. Le matériau obtenu est très imperméable. Il est inattaquable aux
agents chimiques, sauf l'acide fluorhydrique. L'utilisation de ce genre est recommandée dans les
zones industrielles. La longueur minimale est de 1 m.
1.5. Conduites en chlorure de polyvinyle (P.V.C) non plastifié
Ces tuyaux sont sensibles à l'effet de température au-dessous de 0° C. Ils présentent une
certaine sensibilité aux chocs. L'influence de la dilatation est spécialement importante et il doit en être
tenu compte au moment de la pose. La longueur minimale est 6 m .
Pour les tuyaux en béton armé on a différents types de joints à utiliser (figure 7.1) :
126
3.2. Joint à demi-emboîtement
Avec cordon de bourrage en mortier de ciment, ce joint est utilisé dans les terrains stables. Il
y a risque de suintement si la pression est trop élevée. Il est à éviter pour les terrains à forte pente
3.3. Joint à collet
Le bourrage se fait au mortier de ciment, il n'est utilisé que dans les bons sols à pente faible.
127
Joint à collet (bourrage en ciment)
128
4. Différentes actions supportées par la conduite
Les canalisations sont exposées à des actions extérieures et intérieures. Pour cela, ces canalisations
doivent être sélectionnées pour lutter contre ces actions qui sont : Les actions mécaniques , les actions
statiques et les actions chimiques
4.1. Actions mécaniques
Ce type d'action résulte de l'agressivité des particules de sable et de gravier qui forment le
remblai et le radier des canalisations. Cette agressivité provoque la détérioration des parois intérieures
par le phénomène d'érosion due essentiellement à de grandes vitesses imposées généralement par le
relief ;
4.2. Actions statiques
Les actions statiques sont dues aux surcharges fixes ou mobiles comme le remblai, au mouvement de
l'eau dans les canalisations ainsi qu'aux charges dues au trafic routier.
4.3. Actions chimiques
Elles sont généralement à l'intérieur de la conduite. Une baisse de pH favorise le développement
des bactéries acidophiles qui peuvent à leur tour favoriser la formation de l'acide sulfurique (H 2S)
corrosif et néfaste aux conduites.
800 66 – 116
1000 66 – 116
1200 71 – 121
1500 150
129
6. Protection des conduites
Les bétons utilisés pour la fabrication des tuyaux et ouvrages d'assainissement subissent des
formes d'agression ; sous l'aspect de corrosion chimique qui entraîne la destruction des
canalisations ; sous l'aspect d'abrasion qui est une action physique non négligée du fait de faible
résistance du matériau et compte tenu de la vitesse limite maximale des écoulements dans le réseau.
Pour cela les moyens de lutte peuvent se résumer comme suit :
- Les temps de rétention des eaux usées dans les canalisations doivent être réduits au maximum.
- L'élimination des dépôts doit s'opérer régulièrement, car ceux-ci favorisent le
développement des fermentations anaérobies génératrices d'hydrogène sulfuré (H2S).
- Une bonne aération permet d'éviter les condensations d'humidité sur les parois et de réduire ainsi
la teneur en H2S.
- Revêtement intérieur des conduites par du ciment limoneux ou du ciment sulfaté avec un dosage
suffisant dans le béton (300 à 350 kg/m3 de béton).
130
- Pour les tuyaux circulaires, une face de désaxement est appliquée à l'assemblage sur la génératrice
inférieure de l'un des tuyaux, de manière à obtenir une ouverture de l'assemblage sur la
génératrice supérieure égale à 15 mm lorsque les diamètres nominaux sont supérieurs ou égaux à
300 mm, et 8 mm lorsque les diamètres nominaux sont inférieurs à 300 mm. Aucune fissure avec
suintement ne doit être constatée sur l'étendue du joint.
7.3. Essais de corrosion
Les eaux ménagères et les eaux industrielles évacuées par les canalisations en béton renferment de
l'acide carbonique dissous dans l'eau, de l'hydrogène Sulfuré (H2S) produit par les fermentations
anaérobies et des composés acides divers des eaux industrielles. Sous l'action de ces agents, le béton
est corrodé et ce matériau se détériore.
L'épreuve de corrosion se fait par addition des produits, après on fait un lavage à l'eau douce.
Après un séchage à l'étuve on pèse l’échantillon. Les surfaces de la paroi interne ne doivent pas être
altérées
VII.2-Les ouvrages annexes
L’attention est attirée sur l’importance des ouvrages annexes tant des points de vue constructif
qu’entretien pour l’exploitation rationnelle des réseaux d’égout.
Les ouvrages annexes sont considérés selon deux groupes :
- Les ouvrages normaux ;
- Les ouvrages spéciaux.
VII.2.1. Ouvrages normaux
Les ouvrages normaux sont les ouvrages courants indispensables en amont ou sur le cours des
réseaux. Ils assurent généralement la fonction de recette des effluents ou d'accès au réseau.
131
45°à60°
132
A. La bouche d’égout à grille seule
Les bouches d’égouts à grille seule s’emboîtent directement sur l’arase supérieure de la cheminée.
C- Regards [14]
Leur rôle est de permettre, l’accès aux canaux pour les ouvrages visitables. Ce type de regard varie
en fonction de l'encombrement et de la pente du terrain ainsi que du système d’évacuation.
Ils permettent aussi l’aération de réseau.
- Regard simple : pour le raccordement des collecteurs de mêmes diamètres ou de diamètres
différents.
- Regard double : Pour le système séparatif.
- Regard de chute : Pour les terrains à forte pente.
L’emplacement et la distance entre deux regards varient avec la topographie du site et la nature des
ouvrages. Sur les canalisations, les regards doivent être installés :
- A chaque changement de direction.
- A chaque jonction de canalisation.
- Aux points de chute.
-A chaque changement de pente.
-A chaque changement de diamètre.
C-1 Différents types de regards
133
On distingue différents types qui sont :
-Regard de visite
Pour pouvoir effectuer l’entretient et le curage régulier des canalisations, on prévoit les regards de
visite assez rapprochés, ils permettent l’accès à l’ouvrage l’installation d’appareil de ramonage et
d’extraction, la cuvette à un diamètre égale à celui de collecteur, c’est le type de regard le plus
fréquemment construite.
-Regard de ventilation
La présence d’air dans les égouts est la meilleure garantie contre la fermentation production du
sulfure d’hydraulique gazeux ; la ventilation s'opère par :
- Les tampons des regards munis d’orifices appropriés ;
- Les tuyaux de chute qui doivent être prolongés jusqu’à l’air libre ;
- Les cheminées placées sur l’axe de la canalisation.
-Regards de chasse
Ceux-ci jouent le rôle des réservoirs périodiques. Ils envoient un volume d’eau important dans la
canalisation pour entraîner tous les éléments qui sont disposés et qui risquent d’obturés la conduite
lorsque la pente d’écoulement n’est pas suffisante.
-Regard de jonction
Ils servent à unir deux collecteurs de même ou de différentes sections ; ils sont construits de telle
manière à savoir :
- Une bonne aération des collecteurs en jonction (regard) ;
- Les dénivelées entre les radiers des collecteurs ;
- Une absence de reflux d’eau par temps sec ;
- Les niveaux d’eau des conduites doivent être à la même hauteur.
Pour notre agglomération, les regards de jonction sont indispensables, ce sont les plus
rependus, car le terrain est accidenté, ainsi les pistes existantes suivent plusieurs directions,
d’où l’utilité de projeter des regards de jonction.
-Regard de chute
C’est l’ouvrage le plus répondu en Assainissement, il permet d’obtenir une dissipation d’énergie en
partie localisée, il est très utilisé dans le cas où le terrain d’une agglomération est trop accidenté. Ils
sont généralement utilisés pour deux différents types de chutes :
1- La chute verticale profonde
Utilisée pour un diamètre faible et un débit important ; leur but et de réduire la vitesse.
2- La chute toboggan
Cette chute est utilisée pour des diamètres assez importants, elle assure la continuité d’écoulement et
permet d’éviter le remous
D-Les caniveaux
Les caniveaux sont destinés à recueillir les eaux pluviales ruisselant sur le profil transversal de la
134
chaussée et des trottoirs et au transport de ces eaux jusqu’aux bouches d’égout.
E-Les Siphons
Les siphons sont des ouvrages destinés au franchissement d’obstacle, ils s’intègrent parfaitement
sur le réseau des lors que des circonstances particulières s’apposant à la réalisation des conditions
normales des écoulements (cours d’eau, voie ferrée….).Dans notre étude l’obstacle c’est le cours d’eau
Pour le calcul de cet ouvrage il faut que l'écoulement en amont soit fluvial. La présence d'un seuil élevé
(marge de sécurité) conduit à la formation d'un ressaut dans la conduite d’amenée. Les vannes utilisées
sur les conduites de décharges peuvent être manipulées en fonction du débit transité part le déversoir. -
Déversoir a seuil latéral et conduite aval libre
135
Ce type de déversoir diffère du précédent essentiellement par le fait que la conduite aval à un écoulement
libre, si pour le débit max. d'orage la charge sur la crête aval est nulle. Ce type de déversoir assurera un
débit aval constant quel que soit le débit déversé.
Dans ce type d'ouvrage, le débit d'eau usée transite à travers une ouverture pratiquée dans le
radier de la canalisation.
On a d'autres types de déversoirs comme :
- Les déversoirs à seuil frontal ;
- Les déversoirs siphoïdes ;
- Les déversoirs automatiques.
C. Dimensionnement des déversoirs d’orage
Pour notre cas nous optons pour la triple dilution, c'est à dire, une partie d’eau usée domestique pour
deux parties d'eau pluviale. Donc, le débit qui se dirige vers la station d'épuration par l'intermédiaire du
déversoir d'orage est égal à trois fois le débit de temps sec. Le débit restant sera rejeté vers l'exutoire par
caniveaux ou par conduite.
• Mode de calcul
Pour le calcul des déversoirs d'orage à seuil latéral et conduite aval libre.
On doit adopter :
Le débit total de dimensionnement qui est égal à la somme des débits en temps sec (QEU) et du débit
pluvial (QP)
Q T = QP+ Q E U
Débit de pointe transité vers le collecteur de rejet qui transporte les eaux vers la station de lagunage :
QST = 3.Q EU ;
136
B.2. les grilles et les degrilleurs
Pour éviter l'intrusion d'éléments susceptibles de perturber l'écoulement ; il convient de placer
les de grilleurs à l’entrée des déversoirs d’orage.
Leur rôle est de retenir les corps les plus volumineux transportés par les effluents pluviaux ou
par les effluents d'eaux usées lors de leur écoulement dans le réseau.
Ces ouvrages sont très efficaces en amont des bassins de dessablement, les déversoirs d'orage
et les stations de relevage .
Les grilles servent à retenir les matières grossières charriées par l’eau qui pourraient
nuire à l’efficacité du traitement. Elles se composent des grilles à barreaux placés en biais
dans le canal et sont en fer plat simple ou profilé ou bien en fer rond.
Pour éviter des inondations lors de l’engorgement de la grille par des pluies soudaines ou un
maniement est attentif, chaque grille est équipée d’un by-pass.
La vitesse d’écoulement entre les barreaux de la grille ne doit pas dépasser ( 0.5 à 1.5) m/s.
Les grilles peuvent être fixes ou mobiles, avec nettoyage installé à des profondeurs faibles.
On distingue des grilles verticales et inclinées. L’écartement (e) entre les barreaux de la grille
est fonction de la finesse de tamisage qu’on désire obtenir.
Dans certaines installations l’encrassement des grilles crée une perte de charge qui fait monter
le niveau amont.
Dans notre projet les grilles seront placées juste à l’entrée des déversoirs d’orage.
IV. Conclusion
Pour notre projet, les conduites utilisées seront en béton armé de profil circulaire vu les
avantages qu’elles présentent :
Etanchéité et résistance aux charges importantes surtout pour les remblais.
Pour les ouvrages d’accès au réseau (les regards) nous avons adopté des regards simples et des
regards de chut.
137
138
Introduction
L’organisation de chantier consiste à déterminer et à coordonner la mise en œuvre des
moyens nécessaires pour accomplir dans les meilleures conditions possibles les travaux à
exécuter, avant d’aller sur chantier et avant le commencement de la réalisation. Pour cela il
faut toujours commencer par une étude théorique et ensuite la partie pratique. Dans la
première on détermine le temps de réalisation avec précision, le matériel à utiliser, la main
d’œuvre nécessaire et les matériaux de construction nécessaires. Dans la deuxième partie on
passe à l’exécution des travaux sur terrain.
Le sous - sol des voiries reçoit l'ensemble des canalisations et réseaux qui concernent : l’eau
potable, les égouts, électricité, gaz et télécommunications.
Devant cette situation, avant de faire la pose de nos conduites, il convient de préparer une
étude très détaillée sur l'encombrement du sous - sol, afin d'éviter de détruire les revêtements
des chaussées et les autres conduites.
L’exécution des fouilles pour les regards et les tranchées est réalisée par une pelle
mécanique équipée en rétro de l’aval vers l’amont du réseau.
Le matériau utilisé est similaire à celui mis en œuvre pour le remblayage latéral.
L’exécution d’un remblayage de qualité doit être effectuée sur une hauteur minimale de 10
cm au dessus de la génératrice supérieure.
L’exécution de l’assis et de l’enrobage doit être effectuée avec des matériaux purgés des
éléments supérieurs à 30mm [11].
a-Profondeur de la tranchée
H =e+D+h (m)
D : Diamètre de la conduite.
h : Hauteur du remblai
b- Largeur de la tranchée
B = D + 2c
D : Diamètre de la conduite.
Si le terrain est instable, des travaux spéciaux se révèlent nécessaire : exécution d’un béton
de propreté, des berceaux ou même
m des dalles de répétition [11].
VIII.7- Pose des canalisations en tranchées
De plus, des règles de bonne pratique sont à respecter ; ainsi, il est conseillé :
d’éviter de poser les tuyaux sur des tasseaux qui concentrent les efforts d’écrasement
et les font travailler en flexion longitudinale,
de réaliser un fond de fouille bien rectiligne pour que les tuyaux y reposent sur toute
leur longueur,
de creuser le fond de fouille, lorsque les tuyaux sont à emboîtement par collet extérieur
sur tout leur pourtour, de façon à éviter que les collets ne portent sur le sol ;
de placer toujours les tuyaux sur des fouilles sèches ;
d’éliminer du fond des fouilles tous les points durs (grosses pierres, crêtes rocheuses,
vieilles maçonneries,…) qui constituent des tasseaux naturels ;
en sol rocheux, d’approfondir la fouille de 15 à 20 cm et de confectionner un lit de
pose bien damé avec des matériaux pulvérulents ou de procéder à une pose sur un bain fluant de
mortier ;
en sols mouvants, marécageux ou organique, de prévoir un appui en béton
éventuellement sur pieux, ou de procéder au remplacement du sol insuffisamment portant ;
en terrains ou l’eau peut ruisseler ou s’accumuler, de confectionner un appui en
matériaux pulvérulents capable d’assurer un bon drainage ;
de réaliser, si possible dans tous les cas, un appui de manière à ce que le tuyau repose
sur un arc au moins égal au quart de sa circonférence extérieure ; plus le diamètre est grand, plus
la surface d’appui doit être soignée [07].
L’essai est réalisé avec de l’eau, de l’air, de la fumée ou un mélange d’eau et d’air.
Les tampons doivent comporter un orifice, ayant pour but de faciliter leur levage ainsi que
l’aération de l’égout [16].
Les pelles sont des engins de terrassement qui conviennent à tous les types de terrains. Ce
sont des engins dont le rôle est l’exécution des déblais et leur chargement. Ils sont de type à
fonctionnement discontinu, c’est à dire que le cycle de travail comprend les temps suivants :
• Temps de fouille.
• Temps de transport.
• Temps de déchargement.
• Temps de remise en position de déblais.
Ces engins sont très répandus et utilisés à grande échelle grâce à leur bon rendement et à la
qualité du travail qu’ils peuvent fournir.
Pour les grands travaux de ce type, l’engin qui convient c’est le chargeur.
Les chargeurs : ce sont des tracteur sur les quels on monte à l’avant deux bras articulés,
actionnées par des vérins et porte un godet.
Ce calcul consiste à déterminer les quantités de toutes les opérations effectuées sur le terrain
pour la réalisation du projet, ensuite les multiplier par le prix unitaire correspondant.
V d = B .L .H
Vls = e.L.B
e- Volume du remblai
Vremb = Vdeb – [Vcondt +Vls]
F-Volume excédentaire :
Vexcé = Vf -Vremb
Type de sol Kf
Argile 1.25-1.3
Kf = 1,24.
h = Ct - Cd (m)
Avec :
Dans la plupart des cas on ajoutera 20 cm pour permettre le dépôt des corps solides
véhiculés.
h = Ct – Cd + 0.2 (m)
VIII.12.2-Volume des déblais des regards
• la cote du regard est : a = D + 0.6 (m)
Avec :
Avec :
Avec :
La bonne qualité des matériaux de ces ouvrages rend le système d’assainissement plus
fonctionnel. Ainsi. La dis possibilité des conduites sur le marché national constitué un facteur
très important.
159
, entretien et exploitation du réseau
IX. Introduction
- Collecter et évacuer les eaux usées et pluviales en évitant les risques d’inondation ;
- Assurer leur rejet dans le milieu récepteur après un traitement compatible avec les exigences de la
santé publique et de l’environnement.
Ces deux objectifs nécessitent un entretien efficace des systèmes de collecte et de traitement et leur
maintien en bon état. Pour cela, et dans le souci d’assurer la gestion technique et économique des
systèmes d’assainissement, la notion de gestion, maintenance et exploitation et les opérations
d’entretien et de contrôle à effectuer sur les ouvrages et les installations du système d’assainissement
seront élaborées dans ce qui suit.
L'organisation de l'entretien des réseaux doit être fondée sur une parfaite connaissance du réseau
dans tous ses éléments constitutifs et dans son fonctionnement.
Un programme de visite s'avère indispensable afin de mener dans de bonnes conditions des
opérations d'entretien, de curage et de contrôle des réseaux.
- Les caractéristiques géographiques et géométriques pour les réseaux : Situation en plan, type ou
section, cotes de sol et de fil d'eau, pentes etc.…, pour les bassins : surface, coefficient de ruissellement
et pente moyenne.
- La sécurité du personnel ;
- La maintenance du réseau ;
Par ailleurs, exploiter un égout, c'est le débarrasser de tout ce qui peut entraver son bon
fonctionnement. C’est à dire de tout ce qui peut empêcher le transit de l'effluent vers la station
d'épuration ou vers le milieu naturel.
Pour éviter la formation des matières dans les collecteurs, il faut la présence de l'air dans les
égouts. Cette présence est due à une inspection régulière où les tuyaux de chute et de descente des
immeubles ont une ventilation primaire à l'air libre.
Les ouvrages (canalisations) peuvent présenter des défauts d'étanchéité et même des ruptures dues aux
mouvements du sol, vibration dues à la circulation lourde et dues aux agressions chimiques.
Les défauts généralement se manifestent au niveau des joints. L'entretien consiste à réparer les
joints en mauvais état, supprimer les intrusions des racines, réparer les sections corrodées par des
déversements chimiques et procéder à l'étanchement des conduites tant pour les eaux provenant de
l'extérieur que de l'intérieur des égouts [12].
Le diagnostic des désordres constatés sur les canalisations non visitables est extrêmement difficile. Il
est pratiquement impossible d'avoir une vue directe pour examen par source lumineuse et miroir, sur un
tronçon de canalisation entre deux regards espacés de 40 à 50 mètres, lorsque le diamètre est
inférieur à 600 millimètres ou lorsqu'une anomalie est décelée au passage d'un engin de curage. On ne
peut pas savoir s'il s'agit d'un joint dégradé, d'une fissure, d'un branchement particulier en saillie,
d'un dépôt incrustant ou d'un corps étranger.
L'inspection des égouts non visitables est possible par l'utilisation des circuits fermés de
télévision. Le principe de cette technique est : une caméra tractée par un câble initialement passé entre
deux regards de visite donne de l'intérieur de la canalisation visitée une image visible sur l'écran du
téléviseur. Il est évident que ce matériel de visite des canalisations apporte beaucoup d'efficacité lors
de l'exploitation d'un réseau.
La détection rapide de la nature des anomalies ainsi que leur repérage précis ;
L'élaboration à moyen terme de programme de nettoyage des canalisations en fonction le leur vitesse
d'encrassement ;
Le contrôle de l'efficacité des têtes d'hydro curage et la détermination du matériel le mieux adapté au
nettoyage en fonction des déchets perturbant [5].
Les réseaux d'assainissement sont susceptibles d'apporter des nuisances au milieu naturel. Les
ouvrages pluviaux en système séparatif, les déversoirs d'orage en système unitaire, déversent toujours,
dés qu'ils fonctionnent, une certaine pollution dans les milieux récepteurs. Cette pollution, provient du
lavage des chaussées, de la remise en suspension des particules déposées dans les ouvrages de
mélange avec les eaux usées. Le contrôle du fonctionnement de ces ouvrages et du réglage de leurs
organes de manœuvre peut entraîner des améliorations très sensibles sur la qualité, la quantité
d'effluents déversés. L'amélioration de l'exploitation des ouvrages notamment au niveau du curage et du
dessablement répondant au même souci mais gaiement elle évitera que le réseau rappelle sa présence par
démonstration subtile mais désagréable. Le déversement des matières entraîne des perturbations graves à
l'activité des bactéries dans les stations d'épuration ainsi que des déversements d'eaux usées dans
les milieux naturels. Pour pouvoir respecter ces objectifs on doit surveiller :
- L'intégrité physique des ouvrages : la surveillance est réalisée par des visites périodiques des
ouvrages visitables et par télévision pour les canalisations. Ces visites pourront être complétées par
l'examen de la déformation des chaussées, par le contrôle des ouvrages annexes et par les réseaux.
- la quantité des effluents : la surveillance est faite par un contrôle général des effluents par station
de prélèvement mise en place pour de longues durées. Ces postes de mesure devraient permettre de
, entretien et exploitation du réseau
constater toute évolution dans la qualité des effluents par un contrôle ponctuel notamment au niveau
des branchements particuliers.
Conclusion
Planifier des taches multiples dans le but d’améliorer l’exploitation et la maintenance des
équipements et des installations des systèmes d’assainissement. Il faut réduire les fuites d’eau dans
les réseaux, tout en prolongeant la durée de vie des équipements, tel est l’objectif des gestionnaires
des réseaux.
CONCLUSION GENERALE
L’étude que nous venons de présenter tient compte du réseau existant car on maintien le
maximum de collecteurs, ce qui nous permet d’éviter beaucoup de travaux à l’intérieur de la
ville et aussi de réduire le coût de réalisation.
La suppression des rejets dans le milieu naturel a nécessité l’implantation d’un réseau
unitaire et gravitaire avec déplacement latéral, et tous cela pour améliorer les conditions
d’hygiène et de salubrité de la ville.
Hydrologique profonde, nous ont permis de déterminer les débits des eaux usées et les
débits des eaux pluviales par la méthode rationnel pour une période de retour de dix ans.
aux conditions de vie favorables pour la population exige une gestion rationnelle et un
entretien permanant de l’ensemble du réseau de la part des responsables du secteur.
Liste des tableaux
Tableau III.15 : Suite calcul le nombre d’habitant pour chaque sous bassin ……………..……….….51
Tableau III.15 : Suite calcul le nombre d’habitant pour chaque sous bassin ……………………..…..52
Tableau IV.2 : Détermination des débits de pointe des eaux usées domestiques…………….…….58
Tableau IV.2 :(suite) Détermination des débits de pointe des eaux usées domestiques……….……59
Tableau IV.2 :(suite) Détermination des débits de pointe des eaux usées domestiques………..……60
Tableau IV.3: Détermination des débits des eaux usées des équipements pour chaque sous
bassin. ………………………………………………………………………………………………..60
Tableau IV.3 (suite) Détermination des débits des eaux usées des équipements pour
Tableau IV.5 : Calcul des débits pluviaux pour chaque sous bassin………………………………...65
Tableau IV.5:(suite) Calcul des débits pluviaux pour chaque sous bassin……………………….…66
Tableau IV.5 : (suite) Calcul des débits pluviaux pour chaque sous bassin……………………...…67
Tableau IV.6 : Calcul des débits totaux …………………………………………………………….68
Tableau IV.6 : (suite) Calcul des débits totaux…………………………………………………...…69
Tableau IV.6 : (suite) Calcul des débits totaux…………………………………………………..….70
Tableau IV.7: Débit cumulé de chaque tronçon des eaux usées ……………………………….……71
Tableau IV.7: (suite) Débit cumulé de chaque tronçon des eaux usées ……………………………..72
Tableau IV.7: (suite) Débit cumulé de chaque tronçon des eaux usées……………………..….73
Tableau IV.7: (suite) Débit cumulé de chaque tronçon des eaux usées……………………..….74
Tableau IV.7: (suite) Débit cumulé de chaque tronçon des eaux usées……………….………..75
Tableau.( VI.1) : Calcul des débits et des pentes pour sous bassins (01-22)…………………………….110
Tableau. (VI.2) : Calcul des débits et des pentes pour sous bassins (23-41)…………………………….111
Tableau. (VI. 3) :Calcul des débits et des pentes pour sous bassins (41-56)………………………..…..112
Tableau. (VI.4) :Calcul des débits et des pentes pour sous bassins (56-69)……………………………..113
Tableau. (VI.5) : Calcul des débits et des pentes pour sous bassins (70-84)…………………………….114
Tableau (VI.6) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (01-13)………….116
Tableau (VI.7) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (14-29)…………117
Tableau (VI.8) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (30- 44)…………118
Tableau (VI.9) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (44-55)………….119
Tableau (VI.10) :Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB(55-66)…………120
Tableau(VI.11) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (66-77) ………...121
Tableau (VI.12) : Calcul hydraulique avec la résolution des problèmes du réseau SB (77-84)………..122
[7] Guellat Bilal .Lemouchi Samir (2011) ( ; Diagnostic et extensions d’un réseau
d’assainissement de la ville de Baghai (W. KHENCHELA ),Mémoire de fin d’étude
[8] Lakehal, M., Achour, B., (2007).Relation générale au calcul de conduites
coulantes en charge età surface libre. 2ème Colloque International sur l’Eau et
l’Environnement, Ecole Nationale Supérieure de l’Hydraulique ‘Abdellah Arbaoui’,
Blida. Et métaux » ;
[9] : Darcy, H.. . (1854)Sur la recherche expérimentale relative où mouvement des
eaux dans les tuyaux, compte rendus des sciences de l’académie des sciences, VOL.38,
TT. 109- 1021,Paris
[10] Meza.N. Les pertes de charge selon Cool brouk cours hydraulique générale
2010.Policope
11] Haddab.ali Mémoire de fin d’études d’assainissement, Diagnostic du réseau
d’assainissement de la ville de Bou-Ismail (W.Tipaza) ENSH 2003
[12] Touaibia Iman ;( 2008): Diagnostic et gestion du réseau
D’assainissement (collecteur intercepteur) de la commune de BLIDA. ENSH
.Mémoire de fin d’études
[1 3] : Bourai said, (2005). Ecole nationale supérieure de l’hydraulique, Blida.
Mémoire de fin d’étude d’ingénieur d’état en Hydraulique
[14] : Guerrée, H., Gomella, C., (1978). Les eaux usées dans les agglomérations
urbaines et rurales, Tome I, Eyrolles, Paris.
[15] : Mokhtari, E., (2007). Cours d’Assainissement, Centre Universitaire d’Oum el-
Bouaghi
Résumé
اﻟﻬﺪف ﻣﻦ اﻟﺪراﺳﺔ اﻟﺘﻲ ﻗﻤﻨﺎ ﺑﻬﺎ ﻓﻲ ﻫﺬﻩ اﻟﻤﺬﻛﺮة ﻫﻮ ﺗﺮﻛﻴﺒﺔ اﻟﻬﺪف ﻣﻦ ﻋﻤﻠﻨﺎ ﻫﺬا ﻫﻮ إﻧﺸﺎء
ﺷﺒﻜﺔ ﻟﺘﺼﺮﻳﻒ اﻟﻤﻴﺎﻩ اﻟﻘﺬرة ﺗﻤﻜﻦ ﻣﻦ ﺟﻤﻊ ﻛﻞ اﻟﻤﻴﺎﻩ ﺑﻤﺨﺘﻠﻒ أﻧﻮاﻋﻬﺎ واﻟﺘﻲ ﺗﺘﻼءم ﻣﻊ اﺣﺘﻴﺎﺟﺎت اﻟﺘﻄﻬﻴﺮ
.ﻟﻬﺬﻩ اﻟﻤﻨﻄﻘﺔ