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Résumé du texte 

: la ville offerte : les


projets d’embellissement du XVIIIe siècle
de Nicolas Lamas

Introduction 
Commençant par la présentation de l’auteur
Nicolas Lemas : actuellement professeur agrégé
d’histoire en section européenne au lycée Paul
Claudel de Laon et chargé de cours de culture
générale de l’IEP de Lille.
Membre du comité de direction de l’association
des professeurs d’histoire et de géographie et du
comité de rédaction de la revue historiens et
géographes.
Ses travaux portent sur la construction au XVIII e
siècle, les utopies urbaines au XVIII e siècle et à la
belle époque ainsi que sur la bioéthique.
l’article étudié explique l’émergence de la ville
parfaite pendant le siècle des lumières en prenant
paris comme exemple.
Développement
Apres le développement vu pendant le siècle des
lumières, se développa une idée qui traite la
problématique de rendre la ville plus accueillante
et plus agréable aux étrangers.
Cette idée ne se base pas que sur les grands
monuments et les plans hippodamiens mais on
rajoute la possession de l’espace urbain.
Les faiseurs des projets imaginaient une ville à un
espace ordonné et facile de connaitre sans la
visiter.
En prenant Paris comme exemple, ils proposaient
de pallier la relation entre l’horizon d’attente et la
réalité de l’aménagement afin de la transformer à
une ville parfaite qui laisse sa tache pendant les
siècles à venir.
Ils voulaient exploiter la richesse de paris en
monuments historiques pour définir des axes
sémiotiques.
Leur point de départ était l’entrée de la ville qui
est encadrée par des arcs de triomphe puis il
viendra après une place demi circulaire, percée de
rues qui mènent à tout coté, histoire de lier la
périphérie au centre.
Mettre en valeur le patrimoine existant et rendre
visibles les monuments historiques et faire face
aux masures qui gâchent la vue.
Les monuments tels que le palais royale, les
colonnades du Louvre, la place de l’Etoile et l’arc
de triomphe …etc, Deviennent un répertoire
commun pour les faiseurs des projets.
Le concours pour la place XV a permis aux
participants d’indiquer comment ouvrir le tissu
urbain et remplacer les monuments, araser et
rebâtir des centres.
Ils ont donné de l’importance à l’aménagement
des flux, tout en utilisant l’aspect de la perspective
et donnant un sens à la circulation a travers les
beaux édifices rencontres en prenant en
considération la fatigue corporelle et visuelle, car
la vision du promeneur était une base chez eux.
L’organisation de Paris était à la fois labyrinthique
et de manière explicite et évidente avec un
repérage fort des lieux et des bâtiments publics.
Ils ont donné un sens à l’espace de déambulation
sans oublier qu’ils donné les même avantages aux
rues intérieurs qu’aux avenues.
Certains voyaient la ville comme une œuvre d’art
visuelle (gradation de lumière, harmonie de
couleurs.)
On précise que la peinture urbaine se différencier
des autres peintures, avec un style pittoresque.
Au final, on dit que les faiseurs des projets se
basaient sur la réalité du public : des étrangers et
aussi la population parisienne.
Synthèse :
On peut dire que l’image urbaine sert à ouvrir un espace à
la fois esthétique et sociale pour rendre la ville
accueillante et agréable pour les habitants et les visiteurs
Conclusion
L’auteur a su expliquer comment les urbanistes
utopistes et les faiseurs des projet voulaient
intervenir aux villes pendant le siècle des lumières
afin de construire des villes parfaites et a bien
transmis ces idées.

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