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Ministère de L’enseignement Supérieur et
de la Recherche Scientifique
Université L’arbi ben M'hidi Oum el Bouaghi
Faculté des Sciences de la Terre et de l’Univers
Département d’Architecture
Présenté par :
Djaariri Boutheina- Djermane Houda
Sous la direction de :
Mr : BEN DADA TOUFIK
Jury d’examen :
Mr : Mazouz Toufik
I
REMERCIMENTS
Avec l’aide du Dieu tout puissant, j’ai pu accomplir ce modeste travail qui
est initiation à la recherche pour l’obtention du diplôme de Master2, accompli
sous la direction du Pr. BEN DADA TOUFIK. Ce travail a été réalisé au
département d’architecture de l’université d’El Arbi Ben Mhidi.
Nous remercions en premier lieu la personne qui ce travail n’a pas pu être
réalisé, notre encadreur, Mr. BEN DADA TOUFIK,. Nous le remercie pour sa
disponibilité, son suivi rigoureux, et ses nombreux conseils, sa gentillesse et
ses critiques constructives qui ont permis de mener à bien ce travail de
recherche …tout notre respect.
II
RESUME
Intitulé du thème du mémoire: Optimiser l’éclairage naturel pour le confort visuel
dans une école d’architecture.
Résumé
Avec les préoccupations grandissantes du développement durable, le secteur du bâtiment
doit répondre à deux exigences fondamentales : maîtriser à la fois les impacts sur
l’environnement extérieur, et s’assurer des ambiances intérieures saines et confortables pour les
occupants.
Dans les bâtiments éducatifs qui représentent une catégorie d’équipements, qui révèle
une importance clé, vu le rôle que joue l’éducation dans le développement des individus et des
sociétés, un environnement confortable et adéquat à l’éducation doit être assuré.
Le confort visuel est l’une des principales caractéristiques qui contribuent à la création
d’un environnement propice à l’éducation. Sur la performance d’apprendre et la qualité de ce
dernier doit être prise en compte lors des phases initiales de la conception.
L’objectif de ce mémoire est d’évaluer quantitativement, les performances lumineuses du
système d’éclairage dans les salles de classes et les salles de dessin, située dans une région à
climat semi-aride, afin de voir les différents points positifs et les points négatifs des dispositifs
de la fenêtre de ces salles pour avoir un confort lumineux à l’intérieur.
Dans cette recherche, on a étudié l’ambiance lumineuse et ses caractéristiques, pour avoir
Un confort lumineux à l’intérieur dans les salles de classes des écoles. Notre travail est
Structuré sur les notions de base des fonctions de la fenêtre et de l’éclairage naturel, et le
Confort lumineux dans les salles de classes.
Dans le but d’atteindre ces objectifs, l’étude est basée sur la méthode expérimentale à
travers la technique de simulation via le logiciel ECOTECT@ version 2011, Cette technique
permet d’évaluer les aspects du confort visuel quantitatif et qualitatif, dans les salles de classe
des blocs d’enseignement (blocs de TD) de l’université de Constantine choisie comme cas
d’étude.
Mots clés : confort visuel, bâtiments éducatifs, ECOTECT, confort lumineux, l’éclairage
naturel.
III
SOMMAIRE
REMERCIMENT ……………………………………………………………II
RESUME …………………………………………………………………….III
ABSTRACT ……………………………………………………………...….IV
…………………………………………………………… ﺨﻠﻣﺺ...………….V
SOMMAIRE ……………………………………………………………..….VI
Liste des figures ……………………………………………………………..VII
Liste des tableaux ……………………………………………………….….. IX
1. Introduction ……………………………………………………………………….......
2. Problématique …………………………………………………………………………
3. Hypothèse ……………………………………………………………………………..
4. Objectifs …………………………………………………………………………… ....
5. Demarche méthodologique ………………………………………………...………….
6. Structure du mémoire ………………………………………………………………….
Chapitre I:
L’enseignement supérieur en Algérie .
1. Introduction………………………………………………………………………...
2. Définitions des concepts……………………………………………………………
2.1Education……………………………………………………………………….
2.2Enseignement……………………………………………………………………
2.3Enseignement supérieur…………………………………………………………
2.3Batiment éducatif………………………………………………………………..
2.4Universitè………………………………………………………………………..
2.5Etude supérieur………………………………………………………………….
3. Typologie des établissements………………………………………………………
4. Rôle de l’enseignement supérieur …………………………………………..…......
5. Définition et concepts de l’architecture……………………………………………
6. Définition de l’école d’architecture…………………………………………..….....
7. Les missions de l’école d’architecture………………..…………..….......................
8. L’enseignement des écoles d’architecture en Algérie ………………………………
9. La politique et l’historique du l’enseignement de l’architecture en Algérie ……….
10. Les contraintes architecturales ………………………………………… .…………
11. Les raisons de la création…………………………………………………………….
12. Conclusion……………………………………………………………………………
IV
Chapitre II :
L’éclairage naturel dans les bâtiments.
1. Introduction ……………………………………………………………..…...
2. Définition …………………………………………………………
3. Source de l’éclairage naturel ……………………………………………
3.1. Le soleil …………………………………………...……………………..
3.1.1. Du système Soleil-Terre……………………………………….…………
3.1.2. La course solaire …………………………………………………
3.2. Le ciel………………………………………………………………………….
3.2.1. Le ciel uniforme …………………………………………………………
3.2.2. Le ciel serein ou clair normalisé ……… ……………………...
3.2.3. Le ciel couvert normalisé ……. …………………………..…
4. Les objets environnants ………………………………………….……..
5. Principes physiques de base ………………………………………………………
5.1.Le rayonnement électromagnétique ……………………………………
5.2.Le spectre visible ………………………………………………………..
5.3. La lumière et les limites spatiales ………………………………………….
6. Types d’influences sur l’éclairage naturel ……………………. ..................................
6.1.Influence du type du ciel ………………………………………………………
6.2.Influence du moment de l’année ……………………………
6.2.Influence de l’heure ……………………………………………………
6.3.Influence de l’orientation de l’ouverture ………………………………
6.4.Influence de l’environnement …………………..………………………..
6.5.Influence de l’inclinaison de l’ouverture …………..……………………
7. Apport d’éclairage naturel dans le bâtiment..…………………………..........
8. Dispositifs et outils de contrôle de la lumière naturelle dans le bâtiment: …….
8.1. Les baies…………..…………………………………………………………
8.2. L’orientation des baies ………………………………………………………..
9. Les types de l’éclairage ………………..……………………………………………
9.1. L’éclairage latéral ………………….………………………………………...
9.1.1. Types d’éclairage latéral ….. …………………………………………
9.1.1.1. Eclairage unilatéral ……………………………………………..…
9.1.1.2.Eclairage bilatéral ……………………………………………….…
9.2.L’éclairage Zénithal …………………………………………………
9.2.1. Éfcificités de l’éclairage zenithal …………….……..………………….
9.2.2. Types d’éclairage zénithal …………………………..………………..
9.2.2.1. Les toitures en dents de scie ou sheds ………………………
9.2.2.2. Les tabatières (skylights) …………………………………………
9.2.2.3.Les Lanterneaux …………………………………...……….………..
9.2.2.4.Les verrières et les dômes ……………………………………………
9.2.2.5.Puits de lumières ……………………………………………………..
9.3.L’éclairage composé …………………………………………………….……
V
10. Contrôle de la lumière naturelle .……………………………………………….……
11. Les dispositifs de contrôle solaires ……………….………………………………
12. Les technologies de contrôle solaire ……………………………………………...
13. Conclusion…….……..………………………………………...………………..
Chapitre III :
Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le
secteur éducatif.
1. Introduction ……………………………………………………… .........................
2. Le confort visuel… …………………………………………………………………
2.1.Paramètres du confort visuel dans le secteur èducatif……………………………...
2.1.1. paramètres physiques ………………………………………………..…..
2.1.2. paramètres propres à l’environnement ……………………………….
2.2. Caractéristiques propres à la tâche à accomplir ……………………………...….
2.3.Facteurs physiologiques …………………..……………………………….….
2.4.Physiologie de la vision …………………………………………………
2.4.1. La perception visuelle ……………………………………………………
2.4.2. Sensibilité temporelle de la vue ……………………………………….
2.4.3. La perception spatiale de l’œil humaine ………………………………
3. Les caractéristiques de base du confort visuel ………………………………....…
3.1.Eclairement ………………………………………………………………..…
3.2.Le facteur de lumière du jour ………………………………………….….…..
3.3.Luminance ……………………………………………………….…………...
3.4.Autonomie de lumière du jour ………………………...……………..………
3.5.Répartition lumineuse uniforme …………………………..………..….………..
3.6.Rendement des couleurs ………………………………..…………...…………..
3.7.Température de couleur ...........................................................................................
3.8.Eblouissement ………………………………………………..…..……………..
3.9.Ombre gênant ……………………………………………………………...
3.10. Transmission lumineuse …………………………………………………….
4. L’influence du type d’ouverture sur le confort visuel dans un bâtiment …………...
5. Mesure du confort visuel des ambiances lumineuses ………………………………
6. Dispositifs d’amélioration du confort visuel des ambiances lumineuses pour la journée
7. Définition d’une ambiance lumineuse …………………………………….……..…
8. Types d’ambiances lumineuses …………………………………………….………
9. Les paramètres qui influent sur les ambiances lumineuses ……………..………..…
9.1. Les couleurs ……………………………………………………..…….…….
9.2. Les matériaux ……………………………………………………….……….
9.3. La forme de la pièce …………………………………………………………
9.4. La structure …………………………………………………………..
10. Conclusion ………………………………………………………………………..…
VI
Chapitre V :
Etude de cas et simulation L’ECOTECT
1. Introduction ………………………………………………………………………
2. Présentation de la ville universitaire…………………………………………….
3. Situation de la ville universitaire………………………………………………...
4. Les composants de la ville universitaire…………………………………………
5. La situation de l’école d’architecture ……………………………………………
6. Analyse extérieur…………………………………………………………………
6.1 Conclusion A…………………………………………………………………..
7. Analyse intérieur…………………………………………………………………
7.1 Conclusion B………………………………………………………………….
8. Synthèse générale………………………………………….. …………………
9. La technique de simulation…………………………………………………….
10. Les ètapes du travail par « ECOTECT »……………………………………………
11. Choix du logiciel de simulation………………………………………………………
12. Etude expérimentale et interprétation des résultats………………………………….
13. Conclusion……………………………………………………………………………
Chapitre IV :
Analyse de programme et Analyse de terrain
1. Introduction ……………………………………………………………..
2. Definition………………………………………………………………...
3. Programme officiel…………………………………………………........
4. Définition et caractéristiques des différents espaces…………………….
5. Programme retenu……………………………………………………….
6. Prèsentation de la wilaya d’Oum El Bouaghi……………………………
7. Situation de la wilaya………………………………………………………
8. La situation de terrain……………………………………………………
9. L’envirenement immediat……………………………………………….
10. Justification et choix du site …………………………………………….
11. Accèe et accèssibilitè…………………………………………………….
12. Climatologie……………………..…………….…………………………
13. La morphologie et la forme du terrain…………………………….……..
14. Objectifs et intentions …………………………………….……………..
Conclusion générale
1. Conclusion générale ………………………………………………………………..
2. Rèfèrences bibliographies………………………………………………………….
3. Annexe……………………………………………………………………………...
VII
LISTE DES FIGURES
Figure II.1. Les différentes sources de la lumière naturelle ………….....…………..…………
Figure II.2. Rotation de la terre autour de son axe …………………………...…….…..….…..
Figure II.3. Rotation Terre autours du soleil …………………..……………….……..…..…...
Figure II.4. Coordonnée du Soleil ……..…………………………………….….……………..
Figure II.5. Schéma d'un ciel uniforme ………………………………….……..................…..
Figure II.6. Schéma d'un ciel serein normalisé …..………………………...…………...……..
Figure II.7. Le spectre électromagnétique ………….……………...………………....……….
Figure II.8. Le spectre visible ……………………………………………….……...…………
Figure II.9. Les masques solaires ………………………..…………....………...…….………
Figure II.10. Exemple de masque solaire………………………………………..…………….
Figure II.11. Immeuble à matériau réfléchissant …………..…………...………..….………..
Figure II.12. Influence de la végétation …………………………………………..……..…….
Figure II.13. Ouverture latérale dans différents types de ciel ……..………….…..….………..
Figure II.14. Ouverture zénithale dans différents types de ciel ……………….…...….………
Figure II.15. Exemple d'un éclairage unilatéral. ………………...………………........……….
Figure.II.16. Exemple d'un éclairage bilatéral ………….………………………..…….……...
Figure II.17. Exemple d'un éclairement d’une pièce par éclairage zénithal
pour un ciel ouvert ………………………………………….……..……….……
Figure II.18. Principe du Shed ………………………………………………...……………….
Figure II.19. Exemple d'éclairage zénithal de type tabatière ………………..………..………
Figure II.20. Critère pour les tabatières………………………..………………..……..………
Figure II.21. Les différents types de lanterneaux …………...……….…………..…..………..
Figure II.22. Schéma représentant les valeurs du FLJ …………………….……..…..……….
Figure II.23. Puits de lumière …………………………………………………..…….………
Figure II.24. Exemple de dispositif de controle de la lumiére (végétation) ……..…….……..
Figure II.25. Exemple de dispositif de contrôle de lumière (brise soleil) ……...…….……….
Figure II.26. Principe de lumiducs ………………………………..…………………………
Figure II.27. Principe du lightshelves …………………………...……………………………
VIII
Figure III.17. Skydome ……….……………………………………………………….…..….
Figure III.18. Une ambiance lumineuse inondée pendant la journèe………………………..
Figure III.19. Pièce avec couleur chaude ……………………………….………………..……
Figure III.20. Pièce avec couleur froide ………………………………….……………………
Figure III.21. Diagramme de Kruithof …………………………………….…………..………
Figure.III.22. Un éclairage déterminant la forme d’un espace……………………………...
Figure III.23. Eglise de la lumière …………………………….………….…...………………
IX
X
Introduction générale
1. Introduction
« L’architecture. C’est de la lumière dépensé » louis l Kahn
La conception bioclimatique des constructions basée sur l’optimisation de
l’utilisation des apports solaires lumineux naturels. Cette utilisation optimisée est guidée par :
la taille des ouvertures, leurs orientations, les matériaux de construction utilisés, le volume
du bâtiment ainsi que le contrôle des apports solaires lumineux et l’utilisation des stores.
Durant cette conception le critère principal, est de ne pas avoir un effet d’éblouissement, avec
une luminance équilibrée, là où se trouve l’utilisateur selon l’activité.
Construire Vite !, beaucoup !, et pas chère, a engendré une rupture de relation entre
l’architecture et l’environnement. La conception architecturale actuelle en Algérie ne donne
pas l’importance dans son processus de développement, les principes primordiaux du bienêtre
de l’usager. Donc on fait appel a d’autres moyens énergivores (auto-stores, éclairage
artificiel, climatisation, chauffage centralisé, etc.) qui cause principalement notre
environnement par l’émission du CO2, qui est due à la surexploitation de l’électricité
produite à base de l’énergie faucille.
Les décideurs (maitres d’ouvrages publics ou privés) ne sont pas sensibles à la
question du confort visuel et l’intégration des systèmes d’éclairage naturel.
2. Problématique:
Le confort visuel ne peut être obtenu qu’après une bonne conception architecturale, à
cela se conjugue la bonne intégration des matériaux qui répond aux critères de réflexion,
de transparence, La présence de la lumière naturelle est indispensable, particulièrement pour
assurer le confort visuel des occupants. En tenant compte de plusieurs facteurs qui ont des
conséquences sur le plan physiologique et psychologique des individus.
Ce travail s’inscrit dans une optique globale de recherche sur l’optimisation
qualitative, notamment le confort visuel dans les espaces éducatifs, précisément les écoles
supérieures. On va essayer de répondre à une question essentielle à la production d’une
architecture intégrée et des espaces sains et confortables :
Quelle est la stratégie architecturale à adopter pour assurer le confort
et la qualité visuelle au sein des écoles et dans les espaces éducatifs ?
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Introduction générale
3. Hypotheses :
Pour répondre à la problématique posée, on a émis les hypothèses suivante :
• La qualité de l’environnement lumineux est tributaire de la configuration
architecturale et urbaine du bâtiment.
• Les stratégies de conception peuvent améliorer le confort visuel intérieur et extérieur
dans les espaces d’enseignement.
4. Objectifs:
Partant de ces hypothèses, nous nous sommes fixés les objectifs suivants :
• Mettre en place les stratégies à adopter pour améliorer la qualité de l’environnement
lumineux.
• Minimiser la consommation énergétique.
• Réduire la pollution visuel .
• Diversifier les ambiances lumineuses et améliorer leurs qualité .
• Considérer la lumière comme un élément de conception architecturale et urbaine.
5. Démarche méthodologique :
La première partie de notre démarche consiste à présenter quelques aspects
théoriques du sujet, tel que :
Les concepts fondamentaux de l’enseignement supérieur
le concept de l’éclairage naturel et du confort visuel dans les bâtiments.
la présentation des notions de base qui nous semble indispensables pour
aborder ce sujet.
Dans la deuxième partie de cette démarche, sera consacrée à l’approche
expérimentale au cours de laquelle, des simulations d’évaluation des conditions de
confort visuel et de la lumière naturelle dans les salles seront étudiées.
6. Structure du mémoire :
Notre travail de recherche s’articule sur deux axes principaux : l’un théorique
et l’autre expérimental.
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Introduction générale
Introduction générale.
Conclusion générale.
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Introduction générale
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Chapitre I :
L’enseignement supérieur en Algérie
Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
1. Introduction :
“L'enseignement devrait être ainsi : celui qui le reçoit le recueille comme un don inestimable
mais jamais comme une contrainte pénible.”― Albert Einstein
L’enseignement est sans aucun doute le plus beau métier du monde. Loin d’être une
affirmation gratuite, cette assertion se fonde sur un certain nombre de constats. En plus d’être
noble et prestigieux, L’enseignement confère à ceux qui l’exercent une stabilité et un certain
équilibre. De toute évidence, le fondement de la société est la transmission; transmission du
savoir, transmission de la culture d’une génération à l’autre. Le rôle déterminant et
irremplaçable de l’enseignant dans cette transmission n’est plus à démontrer.
L’enseignement supérieur est le niveau le plus élevé des systèmes nationaux
d’éducation. Accessible après l’enseignement secondaire, il délivre une formation de haut
niveau auprès des étudiants, dans le cadre de diverses institutions : universités, grandes
écoles,…Il est au cœur des préoccupations économiques des nations modernes, qui voient
dans l’enseignement supérieur un moyen d’entrer de plein pied dans l’économie de la
connaissance.
Un école d’architecture et un établissement ou se fait enseignement de l’architecture et
ou les enseignants dans cette école permettent aux étudiants de découvrir et ressentir dans un
but de richesse, valorisation et étude ou création d’un cachet bien déterminé elle se propose de
former des spécialistes hautement qualifié dotés de vaste connaissances théoriques et
pratiques, les enseignants sont d’une même tendance, leur but est de propager certaines idées
L’architecture est l’art de concevoir, de combiner et de disposer par les techniques
appropriées, des éléments pleins ou vides, fixes ou mobiles, opaques ou transparents, destinés
à constituer les volumes protecteurs qui mettent l’homme, dans les divers aspects de sa vie à
l’abri de toutes les nuisances naturelles et artificielles. La combinatoire qui préside à
l’élaboration de ces volumes s’applique aussi bien à leurs rapports de proportion qu’à leurs
matériaux, leurs couleurs et leur situation dans un espace naturel ou dans un contexte
environnemental, ensemble qui crée une unité homogène ou non, de dimensions variées,
allant du simple abri à la métropole, et dont l’apparition provoque un effet esthétique ou non
selon sa réussite.
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
1. VITRUVE :
L'architecture est science, qui doit être accompagnée d'une grande diversité d'études
et de connaissances par le moyen des quelle juge de toutes les autres arts qui lui
appartiennent. Cette science s'acquiert par la théorie, la pratique consiste dans une application
continuelle à l'exécution des dessins que l'on s'est proposés, suivant lesquelles la forme
convenable est donnée a la matière dont se fait toutes sorte d'ouvrage, la théorie et démontre
la convenance des proportions que doivent avoir les choses que l'on veut fabriquer.
2. VIOLLET LE DUC :
l'architecture est l'art de bâtir, elle se compose de deux éléments à savoir la théorie et la
pratique.
3. BRUNO ZEVI :
trouver une méthode clair qui définisse l'architecture, c'est dans un espace
tridimensionnel et incluant l'homme que résiderait la spécificité de l'architecture : la peinture
existe sur deux dimensions, même si elle en suggère trois ou quatre, la structure vit selon trois
dimension, est comme une grande sculpture évidée à l'intérieur de laquelle l'homme pénètre,
marche et vit.
4. AUGUST PERRET
l'architecture est l'art d'organiser l'espace, son moyen d'expression est la construction.
5. HERMAN FINSTRELIN :
Construire est tout amour, procréation, lutte, mouvement, souffrance, parent et enfants
et le symbole le plus sacré de tout ce qui est sacré.
6. LECORBUSIER :
L'architecture est le jeu magnifique et magistrat de masse assemblée au jour. On met en
œuvre de la pierre, du bois, du ciment, on en fait des maisons, des palais, c'est de la
construction. L'ingéniosité travaille, mais tout à coup, vous me prenez au cour, vous me faites
des biens, je suis heureux, je dit : c'est beau viola l'architecture, l'art c'est ici.
7. THEO VAN DOESBURG :
la nouvelle architecture est fonctionnelle; c'est à dire qu'elle se creè par la
dètermination exacte des demandes pratique .
8.ERICH HENDELSOHN
L'architecture est la seul expression tangible l'espace dont l'esprit humain est capable.
9.MIES VAN DER ROHE :
L'architecture a écrit l'histoire des âges et leur a donnés leurs noms ; l'architecture et tributaire
de son temps.
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
10.REYNER BANHAM:
L'histoire de toute œuvre architecturale est étroitement liée à l'histoire de terrain sur lequel
elle est bâtie.
11. REINHARD GIELSMAN :
L'architecture est l'enveloppe et l'abri, donc l'accomplissement et l'approfondissement des
besoins de l'individu.
12. HANS HOLLEIN :
L'architecture n'a pas de but, ce que nous construisons trouvera son utilisation.
13. RAYMOUD LOPEZ
L'architecture seul moyen pour nous d'imaginer les splendeurs, la force aussi de certaines
civilisation ; la plus belle, souvent la seule illustration de l'histoire du peuple lorsque l'écriture
ne se pouvait aisément reproduire et essentiellement un produit, une expression des
civilisations humaines.
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
millénaire .C’est dans ce même ordre d’idées que s’inscrit le campus universitaire de la ville
de Constantine.
L’école régionale devient en 1963, école nationale indépendante de celle de Paris, puis
en 1968, furent institués l’école nationale d’architecture et des beaux-arts et le diplôme d’état
d’architecture.
En Octobre 1970, la volonté d’élever la formation des architectes au niveau universitaire,
de mieux garantir sa qualité en se soumettant au critère de l’université pour le recrutement des
étudiants et des enseignants conduisant à la création de l’école polytechnique d’architecture et
d’urbanisme( E.P.A.U) ,établissement public d’enseignement supérieur doté de la personnalité
morale et de l’autonomie financière, et dont les missions essentielles sont :
L’enseignement de l’architecture et de l’urbanisme.
La recherche en matière de construction, d’habitat, de restauration et de rénovation.
La collecte et la centralisation de la documentation relative aux activités de formation
et de recherche au sein de l’établissement.
La réalisation dans le cadre des travaux pratiques à caractère pédagogique, d’études et
de projets pour le compte de l’état, des collectivités et des établissements publics."
Donc il est important de rappeler l’historique, à travers les différentes périodes, de la
mise en place des établissements de formation supérieure en Algérie :
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
Il est admis, de nos jours, que l’éducation des architectes est désormais une prérogative des
écoles d’architectures dont l’institution est, cependant, un fait très récent dans l’histoire qui
consacre avec licence, la professionnalisation de l’architecture, pour différentes raisons.
La multiplication et spécialisation croissantes des édifices et des technologies, et autres
développement associés extirpèrent ‘architecte de l’intimité d’un métier à caractère
artisanal et d’un apprentissage qui soumet le savoir au faire, pour le projeter dans un cycle
d’assimilation d’un savoir sur le faire.
Ce qu’une école implique, de fait, est une conception propre du vocable Architecte se référant
à l’acquisition d’une compétence à travers une structure théorique et théorisant bien articulée
qui permet d’appréhender et d’anticiper le phénomène architectural et sur laquelle repose la
construction intellectuelle du projet. L’enseignement de l’architecture n’es pas dénué de
valeurs intrinsèques, il intervient à l’intérieur d’un contexte local et extra local significatif à
plus d’un titre : tant sur le plan idéologique et politico-économiques, que sur le socioculturel
et environnemental.
Au-delà, il y a vivre et apprendre. Ce que nous sommes individuellement et culturellement est
partie intégrante de l’équation ;aptitude et potentialités professionnelles sont certainement
conditionnées par les convictions ,les valeurs propres à chacun .Nous comprenons les besoins
des autres dans la mesure où nous aurons recherché ,aspiré à une vie de plénitude pour nous-
mêmes ;nous pouvons contribuer à reproduire les institutions sociales que si nous avons
acquis une éducation large et ouverte ,une érudition utile ,eu l’opportunité de réfléchir sur le
cours des affaires humaines et porté le regard sur les confins des réalisation de l’homme.
A ceci ,ni le Bauhaus ni les Beaux-Arts ne peuvent s’y substituer.
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Chapitre I : L’enseignement supérieur en Algérie
La fameuse liste de Vitruve sur les aptitudes et potentialités d’un architecte a de quoi
désespérer les plus prosélytes : Talentueux avec le crayon, instruit en géométrie, connaît
l’histoire, a suivi les philosophes avec attention, comprend la musique, a des connaissances en
médecine, connaît l’opinion des juristes, et est familier avec l’astronomie et la théorie des
cieux.
Si l’ambition de l’architecte n’est seulement de loger des programmes mais de les commenter,
alors, son éduction ne peut se confiner à la trilogie : forme, espace et structure, évidés de leurs
significations environnementales, l’exercice d’un art purement plastique et le jeu de la
simulation et l’académisme de la production intellectuelle
11. Conclusion :
Violet le Duc à dit: « l'architecture est l'art de bâtir, elle se compose de deux éléments : la
théorie et la pratique »
Après l'analyse de l'évolution historique de l'enseignement de l'architecture et l'approche
thématique en générale, on a comme résultat: pour mieux comprendre et concevoir
l'architecture il faut que on assure les trois concepts : art – savoir et pratique.
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Chapitre II :
L’éclairage naturel dans les bâtiments
Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
bbbbatbâtiments
1. Introduction :
Dans l'architecture contemporaine, on constate un usage exagéré de systèmes
artificiels. On arrive ainsi à un point où l'ambiance intérieure théoriquement contrôlée
devient fréquemment plus inconfortable que l’extérieur : une architecture qui fonctionne
moins bien que le climat. Donc éclairer naturellement un bâtiment, est plus qu'une
solution technique à un problème d'efficacité énergétique ou bien même qu'une solution
esthétique d'intégration à l'architecture. La lumière naturelle doit être un composant
essentiel d'une philosophie qui reflète une attitude plus responsable et plus sensible de
l'être humain par rapport au milieu où il vit. C’est une des stratégies fondamentales dans
les conceptions bioclimatiques que ce soit solaire, passive ou de haute qualité
environnementale (HQE).
La conception des ambiances lumineuses confortables au sein des batiments en
utilisant la lumière naturelle qui répond aux besoins des usagers selon la tâche à effectuer,
exige une connaissance des différentes variables qui influent sur la qualité de la lumière
naturelle qui pénètre dans l’espace. Lorsqu’on parle de lumière, on considère qu’elle est à
la fois une particule élémentaire (photon) et une onde électromagnétique caractérisée par
une fréquence, une vitesse de propagation et une amplitude.
Dans ce chapitre nous allons essayer de définir le concept de l’éclairage naturel et ses
sources, en passant par les différents dispositifs de l’éclairage naturel en plus des
performances de chacune des techniques, leurs avantages et leurs inconvénients.
2. Définition :
Certains spécialistes dans le domaine ont, pendant longtemps, omis de considérer dans
leurs définitions et leurs calculs, l’éclairage direct provenant du soleil, ne prenant en
considération que la lumière diffuse du ciel. Parmi ces spécialistes, nous citerons
CHAUVEL et DERIBERE(1968) qui le décrivent comme étant « l’éclairage produit par
la voûte du ciel, à l’exclusion de l’éclairage produit par le soleil. Toutefois, dans certains
cas, on considère l’éclairage global, mais il doit toujours être précisé que c’est y compris
la lumière provenant directement du soleil ou réfléchie par des surfaces ensoleillées »
BOUVIER, (1981), de son côté, le définit comme étant « l’éclairage produit par la
voûte céleste et les réflexions de l’environnement, à l’exclusion de l’éclairement direct du
soleil ». Cette exclusion du rayonnement direct du soleil est réaliste lorsque la région
d’étude se caractérise par une fréquence quasi absolue de ciel couvert qui masque
totalement le disque solaire, comme c’est le cas au Royaume Uni par exemple. Mais ceci
est impropre dans une région caractérisée par un ciel clair, où le soleil brille une bonne
partie de l’année, comme par exemple dans les régions subtropicales, et notamment en
Algérie.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
bbbbatbâtiments
3.1. Le soleil :
Le soleil est la seule origine du rayonnement visible direct, défini
comme étant (la partie de l’irradiation solaire qui atteint la surface terrestre
sous forme de rayons parallèles et qui résulte d’une atténuation sélective par
l’atmosphère). Fig. II.1.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
bbbbatbâtiments
3.1.1. Du système Soleil-Terre :
La terre tourne à l’intérieur du système solaire d’une façon très
complexe et c’est au tour de l’axe équateur qu’elle tourne pour une durée
de 24H ce qui définit le cycle jour/nuit, alors qu’en même temps, la Terre
tourne aussi autour du Soleil ce qui provoque le changement saisonniers
pendant 365jours. Fig. II.2 et II.3.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
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convention, l’orientation Sud-Est a une valeur égale à zéro. La hauteur
angulaire du Soleil est l’ongle que fait la direction du soleil avec le plan de
l’horizon. Fig. II.4.
3.2. Le ciel
La lumière diffusée du ciel est une résultante de réflexion et de
réfraction des rayonnements diffusés d’abord du Soleil. On considère que la
voute céleste est uniforme bien qu’elle n’est pas à l’origine de la composition
spectrale du rayonnement diffus, de la composition de l’atmosphère et des
particules en suspension. En effet, la lumière diffusée du ciel est disponible
dans toutes les directions, génère peu d’éblouissement et ne provoque pas de
surchauffe. Mais peut être considérée comme insuffisante dans le cas d’un ciel
couvert en hiver. IZARD, 1994.Cette période hivernale, est la plus utilisé dans
les calculs du fait qu’elle est considérée comme le cas le plus défavorable. Elle
permet également un calcul plus simple que celui d’un ciel ouvert à cause des
problèmes liés au positionnement variable du soleil.
Parmi les principaux types adoptés pour le calcul de l’éclairage naturel
on cite :
3.2.1. Le ciel uniforme :
C’est un modèle de ciel dont tous les points ont la même luminance.
Fig. I.5. C’est le type de ciel le plus ancien et qui donne des calculs très
simples pour établir les abaques. Mais ce type n’est pas retenu pour la
normalisation internationale.
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représentent respectivement les pourcentages du flux incident qui sont
absorbés, réfléchis ou transmis. Par définition, la somme de ces trois
coefficients est toujours égale à l'unité.
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direct est souvent une source d'éblouissement et parfois de surchauffe du
bâtiment. De plus, sa disponibilité est épisodique et dépend de l'orientation des
ouvertures.
La lumière diffuse du ciel est disponible dans toutes les directions.
Elle suscite peu d'éblouissement et ne provoque pas de surchauffe mais elle
peut être considérée comme insuffisante dans de nombreux cas. En outre, elle
crée peu d'ombres et de très faibles contrastes.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
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solaire est plus important à l'Est pendant la matinée et à l'Ouest durant l'après-
midi.
Les ouvertures orientées vers le Sud offrent donc la meilleure situation
puisqu'elles captent un maximum de rayons solaires en hiver et durant l'entre-
saison. En été, il est plus facile de se protéger du soleil au Sud puisqu'il est plus
haut dans le ciel. La façade Sud apparaît donc comme l'orientation privilégiée
pour capter la lumière naturelle. Lorsque le ciel est couvert, le rayonnement
lumineux est diffusé dans toutes les directions. Les baies vitrées verticales
captent donc la lumière de manière similaire, indépendamment de leur
orientation. Par contre, lorsque le ciel est clair, l'orientation de la baie vitrée
influence directement la quantité de lumière captée. Ainsi, une baie vitrée
perpendiculaire aux rayons solaires captera beaucoup plus de lumière que les
autres orientations.
Les espaces orientées vers le Nord bénéficient toute l'année d'une lumière
égale et du rayonnement solaire diffus. Pendant l'été, elles peuvent devenir une source
d'éblouissement, difficile à contrôler car le soleil est bas. Il est judicieux de placer des
ouvertures vers le Nord lorsque le local nécessite une lumière homogène, peu variable
ou diffuse, ce qui est préférable pour certaines activités comme un atelier de peinture,
par exemple.
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la montagne. La topographie, la végétation, la nature du sol et l'urbanisme
influencent entre autres les données météorologiques d'un lieu, chaque site est
caractérisé par un microclimat.
La lumière disponible dépend donc de l'environnement direct du
bâtiment par le jeu de différents paramètres : le relief du terrain, les
constructions voisines, le coefficient de réflexion du sol, la végétation,.... Ces
éléments ne doivent pas être négligés, la présence d'un gratte-ciel, d'un lac ou
d'un arbre peut radicalement transformer la lumière d'un espace. Lors de la
conception d'un bâtiment, il est donc important de mesurer l'impact de
l'environnement existant sur le nouvel édifice afin de profiter au mieux des
possibilités offertes par le terrain pour capter la lumière.
Le relief du terrain peut provoquer de l'ombre sur un bâtiment ou au contraire
favoriser son ensoleillement. L'éclairement d'un site en pente dépend de la géométrie
solaire ainsi que de l'orientation et de l'inclinaison du terrain. Les pentes Sud jouissent
d'une meilleure insolation que les terrains plats. Il faut prendre en compte les
caractéristiques naturelles du site et tirer profit du profil du terrain, que l'on pourra au
besoin remanier localement.
On appelle "masque solaire" tout corps empêchant le rayonnement solaire
d'atteindre une surface que l'on désire ensoleiller. En ville et en hiver, il est parfois
difficile de capter quelques rayons solaires à cause des bâtiments voisins qui leur font
écran. Fig. I.09.
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mois pour les lieux de la latitude considérée. Ils sont le support sur lequel doit être
établi le relevé de masque solaire.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
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Des éléments liés au bâtiment lui-même, tels que les murs de refends, les
surplombs, les light-shelves,....peuvent aussi provoquer un ombrage en fonction de
leur taille, de leur réflectivité et de leur orientation. La mise en place d'auvents ou de
surplombs fixes destinés à réduire les problèmes d'éblouissement et de surchauffe
pénalisera bien sûr la quantité de lumière captée par le bâtiment.
La végétation se distingue des autres écrans parce qu'elle peut être saisonnière,
ce qui est le cas des arbres à feuilles caduques, et que par ailleurs elle ne possède
qu'une opacité partielle. Elle se contente de filtrer la radiation lumineuse plutôt que de
l'arrêter. Fig. II.12.
Les ouvertures latérales permettent de voir qu'une partie du ciel. Par ciel
couvert, ces ouvertures verticales ont des performances lumineuses nettement plus
faibles que les ouvertures horizontales. En outre, la lumière pénètre latéralement dans
les locaux, ce qui peut créer des situations d'éblouissement à proximité des fenêtres.
Cependant, les fenêtres latérales se trouvant sur la façade Sud, transmettent un
maximum de rayons solaires en hiver, ce qui favorise l'utilisation des gains solaires,
tout en limitant les pénétrations estivales et les surchauffes qu'elles induisent.Fig. II.13.
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9. Les types de l’éclairage :
9.1. L’éclairage latéral :
C’est le type d’éclairage le plus utilisé et le plus ancien et qui répond à
trois besoins fondamentaux : la lumière, la vue et la ventilation. Une
intégration des dispositifs de protection solaire est souvent mise en place à fin
de réduire l’éblouissement grâce à la pénétration du flux lumineux indirecte. Il
est impératif de noter aussi que l’éclairage naturel latéral est accompagné de
l’effet du contraste qu’on peut diminuer à l’aide de l’éclairage bilatéral ou à
l’aide d’autres moyens tel que la taille des ouvertures, leurs dispositions ; etc.
De nos jours, l’utilisation de l’éclairage bilatérale est favorisée pour des
raisons de diminution des risques d’inconfort par maximisation de la quantité
d’éclairage indirecte. Ceci permet d’avoir une protection solaire suffisante ce
qui aboutit à un éblouissement moindre. En plus, de ça, la liaison entre les
espaces internes et externes améliore le confort des personnes.
On note ici que la manière avec laquelle on veut que le flux lumineux
sera réfléchi, dépond de l’activité qu’on va avoir au sein de l’espace et de sa
géométrie. Un espace relativement étroit provoque des réflexions sur parois,
par contre une pièce spacieuse telle que les grands plateaux, provoque une
réflexion par le plafond et le sol.
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ouvertures pour avoir un niveau d’éclairement suffisant plus loin. Fig. II.17.
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Figure II.17. Exemple d'un éclairement d’une pièce par éclairage zénithal pour un ciel couvert.
Source : DE HERDE A. et LIEBARD A. 2005.
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Les verrières et les dômes sont économiques par rapport aux autres types, et
sont les plus utilisés dans l’architecture moderne. Leurs emplois ne nécessite pas
une structure lourde et répond aux besoins pour un indice de vitrage égale à 10%.
L’inconvenant le plus important dans les verrières et les dômes est
l’abaissement, qui ne doit pas être dans un angle inférieur à 30° par rapport à la
hauteur de l’utilisateur de l’espace à fin d’éviter l’éblouissement. TERRIER et
VANDEVYVER, 1999.
Le patio, la cour, l’atrium sont quelques types de lumière du jour qui sont
considérées comme la meilleure solution d’éclairage et de ventilation des espaces.
Ces espaces généralement n’ont pas une liaison directe avec l’extérieur ou qui sont
profonds ce qui nécessite une optimisation ou une amélioration du niveau
d’éclairement ce qui permet d’apporter une meilleure distribution homogène de la
lumière naturelle. Fig. II.23.
La forme, le rapport l/h, la couleur des surfaces et l’indice d’ouverture sont
tous des paramètres définissent l’efficacité du puits. DE HERDE et LIEBARD,
2005.
Pour leurs dimensionnements, les spécialistes recommandent que la hauteur du
puits de lumière ne soit pas supérieure à la double largeur du puits et le ratio
optimal est égal à 1. PASINI et al. 2002.
L’inconvenant de ce type d’éclairage est que la quantité de lumière naturelle
diminue chaque fois que l’on s’éloigne de l’ouverture.
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Les effets négatifs de la lumière naturelle sont traités généralement avec des
dispositifs bien précis qui influent sur les autres fonctions des ouvertures telles que la
relation entre l’intérieur et l’extérieur.
Parmi les objectifs de contrôle de la lumière naturelle on peut citer (DE
HERDE et LIEBARD, 2005) :
- Limitation de l’éblouissement et l’amélioration des conditions de l’éclairage
intérieur.
- Suppression de l’insolation directe, par le bon emplacement des protections
solaires qui réduisent la quantité du rayonnement solaire entrant dans les espaces
intérieurs.
- Eviter la décoloration ou la dégradation de certains matériaux et objets.
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Chapitre II : L’éclairage naturel dans les batiments
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13. Conclusion:
La stratégie de conception architecturale influe sur plusieurs paramètres tels que
la qualité de la lumière naturelle dans les espaces intérieurs. Cette conception
architecturale doit prendre en compte toutes les composantes de la lumière naturelle et les
variables dépendantes des constructions plus précisément les ouvertures. Ces derniers
sont les éléments les plus importants dans la conception des ambiances lumineuses
intérieures du fait qu’elles permettent la pénétration de la lumière naturelle directe ou
diffuse.
La première étape de la conception architecturale est de choisir d’abord le type
d’éclairage latérale par les murs, zénithale par le toit, composé par les deux, …etc. Ce
n’ai que dans la seconde étape qu’on doit étudier les autres paramètres des ouvertures tel
que les dimensions, le type de vitrage, leurs orientations ; etc.
L’éclairage zénithal produit un éclairage plus homogène que celui produit par
les ouvertures verticales, et limite les phénomènes d’éblouissements mais capte male les
rayons solaires en hiver. L’éclairage latéral crée des situations d’éblouissement, cependant
les ouvertures de la façade Sud transmettent le maximum de rayons solaires en hiver. Le
choix entre ces deux derniers types d’éclairage, dépendent des conditions climatiques et
des caractéristiques des espaces et des activités qui se déroulent à l’intérieur.
L’orientation, la position, les dimensions, la forme et les types des dispositifs de
contrôle solaire, sont des facteurs qui influencent le type des ouvertures des façades.
Ces facteurs lors de la phase conceptuelle peuvent être, complémentaires comme elles
peuvent être contradictoires.
Finalement, il nous semble que la fenêtre est l’élément qui influe le plus sur la
lumière naturelle qui pénètre dans l’espace par son orientation, sa forme, sa position, et
surtout par ses dimensions. Le concepteur doit simuler la connectivité entre ces variables et
de prédéterminer les résultats pour chaque étape afin d’opter pour une ambiance
lumineuse confortable et éliminer au maximum les facteurs de gènes des occupants.
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Chapitre III :
Le confort visuel des ambiances lumineuses
dans le secteur éducatif
Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
1. Introduction
La perception de la lumière est l’un des sens le plus important de l’Homme et
joue le rôle d’interface avec l’environnement. Cet organe est sensible, non seulement
aux caractéristiques de la lumière mais aussi à ses variations et sa répartition. Grâce à
cette perception, nous pouvons appréhender facilement l’espace qui nous entoure ce qui
nous permet de se déplacer d’une manière aisé à l’intérieur de ce domaine. Donc l’œil
est une merveille de technologie naturelle capable de s’adapter aux conditions extrêmes
qui règnent sur notre planète, mais elle a ses limites d’adaptation et d’accommodation
ce qui a permis de définir les limites du confort visuel.
2. Le confort visuel
Pour définir le confort visuel on va essayer d’abord de définir le «Confort».
(Roulet, 2007) le définit comme étant « une sensation subjective fondée sur un ensemble
de stimulus » ce sont donc les facteurs internes et externes qui entrainent une réponse
de l’organisme qui est la satisfaction des occupants. Donc le confort visuel fait
références aux conditions d’éclairage nécessaires pour achever une tache visuelle
quelconque et le plus important c’est qu’elle soit sans gêne pour l’organisme de cet œil.
Comme le décrit aussi MUDRI, 2002 « le terme de confort visuel est pris pour indiquer
l’absence de gêne qui pourrait provoquer une difficulté, une peine et une tension psychologique,
quel que soit le degré de cette tension »
Selon l'association Haute Qualité Environnementale (HQE), le « confort visuel
» est défini comme la dixième cible du projet de bâtiment. Ses exigences primaires en
matière d’éclairage sont les suivantes (ADEME, 2007) :
- relation visuelle satisfaisante avec l’extérieur ;
- éclairage naturel optimal en termes de confort et de dépenses énergétiques ;
- l’éclairage artificiel doit d’une part être satisfaisant en l’absence d’éclairage naturel et
d’autre part n’être qu’un appoint à l’éclairage naturel tant que celui-ci est disponible.
Donc assurer pour l’homme le confort visuel et bien plus difficile que le confort
thermique. Les études ont montré que les différences entre les individus peuvent être
très grandes et que, statistiquement, il n’est pas possible de satisfaire simultanément
plus de 75% des personnes, alors que ce maximum est de 95% pour le confort
thermique. Fig. III.1. Les appréciations doivent donc être redéfinies et nous
parlerons de:
confort optimal lorsque 75% des individus sont satisfaits ;
confort si 60% et plus des personnes sont satisfaites ;
d’inconfort lorsque plus de 75% des personnes sont insatisfaites (ou moins de 25%
satisfaites).
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Trois conditions doivent être simultanément observées afin d’assurer le confort visuel:
- un niveau d’éclairement adéquat ;
- des contrastes modérés ;
- un bon rendu des couleurs.
À l’instar du confort thermique, le confort visuel est, non seulement une notion objective
faisant appel à des paramètres quantifiables et mesurables, mais aussi une subjectivité liée à un
état de bien-être visuel dans un environnement bien défini. Ce confort dépend à la fois des
paramètres physiques, tel que l’éclairement, la luminance, …, des caractéristiques liées à
l’environnement et d’autres liés à l’activité au sein de l’espace ainsi qu’à des facteurs
physiologiques tel que l’âge.
Finalement, on peut dire que pour les habitations, le bon éclairage n’est pas simplement
exprimé en termes de quantité mais il ne faut pas qu’il soit la cause d’éblouissement, bien
dirigée et bien diffusé afin d’éviter les ombres dures. La difficulté réside également dans le fait
que, dans un climat lumineux similaire à celui de la ville d’El Eulma dans la wilaya de Sétif,
l’état du ciel change d’une heure à une autre et d’une saison à une autre. Une fenêtre assez
grande pour fournir une quantité suffisante de lumière dans la période hivernale ou un après-
midi d’un jour lumineux d'été, donnent un éblouissement intolérable.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
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raison pour laquelle son efficacité lumineuse est nettement supérieure à celles des
principales sources d'éclairage artificiel.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Nos yeux sont animés d'un mouvement perpétuel faisant en sorte que la vision
précise passe d'un objet à un autre, le champ visuel étant globalement contrôlé par
la périphérie de la rétine. Les mouvements de la tête complètent les possibilités de
perception visuelle de l'espace qui nous entoure, mais il reste toujours une zone
postérieure imperceptible par la vue et qui nécessite l'aide de l'ouïe pour nous
permettre de contrôler vraiment l'espace qui nous entoure. Pour cette raison, et tout
particulièrement dans les locaux où l'acoustique n'est pas très bonne, la position
relative des personnes par rapport à l'espace qu'elles occupent peut devenir
importante. La position des objets qui nous entourent se définit par la vision en
dirigeant la tête et les yeux vers ceux que nous observons. L'action des muscles
informe le cerveau de la direction d'observation par rapport à notre corps à partir de
l'expérience acquise et mémorisée.
L'appréciation de la distance est plus complexe et plusieurs mécanismes
interviennent alors : d'une part la déformation du cristallin pour la mise au point de
l'image, permet l'évaluation des distances très courtes, d'autre part la vision
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
binoculaire par l'interprétation des différences entre les images reçues par chaque
œil permet, le positionnement relatif des objets dans le champ visuel alors que la
convergence des yeux nous aide à apprécier les distances. Finalement, c'est par un
processus d'apprentissage que nous pouvons apprécier les distances à partir des
tailles relatives des objets et des expériences antérieures. Le seul inconvénient est
que ce système est peu fiable, surtout dans des espaces nouveaux ou à échelle
différente de la normale. Cet effet a été utilisé souvent en architecture pour produire
des sensations particulières chez le spectateur ou l'utilisateur.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
3.3. Luminance :
La luminance est la quantité qui décrit la clarté d’une surface (murs, bureau,
fenêtre translucide,…) mesuré par un luminance-mètre. Afin de caractériser
l’homogénéité ou la non-homogénéité de l’environnement lumineux, il est intéressant
parfois de mesurer la luminance de surface dans différente directions du champ visuel
de l’occupant.
Les luminances typiques pour les surfaces intérieures d’un bâtiment varient entre
1 et 100 cd/m2 et entre 1.000 et 10.000 cd/m2 pour les sources lumineuses qui sont
éblouissantes généralement si elles se situent dans le champ visuel de l’observateur. A
titre indicatif, le Soleil peut atteindre des luminances supérieures à 100.000 cd/m2.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
On note que pour un même niveau d’éclairement, la première situation est plus
confortable est désirable que la deuxième qui provoque une fatigue ou stress et donc un
état d’inconfort.
En générale l’éclairage des murs varie de 50% à 80%, celui du plafond de 30%
à 90% si l’on considère que l’éclairement dans la zone où s’effectue la tâche est égale
à 100%. On note que le facteur de réflexion est supérieur à 0,7 pour le plafond, et varie
entre 0,3 et 0,7 pour les murs, et entre 0,2 et 0,4 pour le sol. FLORU, 1996.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Étant donné que l'œil est conçu pour la lumière du jour, la lumière émise par les
sources artificielles devrait avoir la même composition spectrale que celle du soleil et
du ciel : c'est le seul moyen pour que la vision des couleurs ne soit pas altérée. En effet,
un corps coloré réfléchit sélectivement les radiations colorées qu'il reçoit : le système
visuel regroupe les différentes radiations réfléchies et donne une sensation de couleur.
La couleur perçue est donc intimement dépendante du spectre lumineux émis. A cet
égard, les lampes à incandescence ou à fluorescence ne donnent pas entièrement
satisfaction quoique de grands progrès ne cessent d'être accomplis dans ce sens. Par
exemple, dans une cafétéria éclairée par des lampes fluorescentes, on constate un
changement apparent de la couleur des vêtements, plus spécialement si ceux-ci sont
dans les tons rouges ou oranges à la lumière du jour.
Il est connu que la couleur de l’environnement influe sur le comportement
humain puisqu’elle est un élément important composant l’ambiance lumineuse.
Médicalement la couleur affecte de nombreux paramètres physiologiques humains, tels
que la tension artérielle, le rythme cardiaque, la respiration…etc. (DE HERDE et
LIEBARD, 2005).
Les couleurs claires jouent un rôle important pour l’éclairage direct come le cas
de la peinture extérieure des bâtis. Fig. II.07. En effet, la peinture sert à protéger le bâti
des rayons solaires et augmente la composante réfléchie dans le cas des plafonds qu’on
on peut éclairer au fond du local.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
3.8. Eblouissement :
L'éblouissement est dû à la présence, dans le champ de vision, de luminances
excessives (sources lumineuses intenses) ou de contrastes de luminance excessifs dans
l'espace ou dans le temps. Fig. III.08.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Figure III.10. Source lumineuse de haute luminance sous différents angles de regard.
Source: energie2.arch.ucl.ac.be
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Figure III.13. Eclairage diffus Figure III.14. Combinaison Figure III.15. Eclairage directionnel
d'éclairage diffus et direct
Source : guidebatimentdurable.bruxellesenvironnement.be/
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Ainsi dans les grands espaces les bandes de toiture translucides peuvent être
considérées comme gênants pour l’utilisateur lorsqu’ils se trouvent dans le champ
visuel. Ceci crée un état de l’inconfort par leur forte luminance pendant la journée quand
ils seront éclairés par le soleil. BOUVIERS ; (1981) montre que parmi les recours pour
éviter ce genre de problème est l’appelle à l’utilisation des tabatières du type sky-dome
qui éloigne la surface translucide du plan de toiture. Fig. III.17. Donc les claustras et
les brises soleil augmentent la part du facteur de réflexion interne. Autrement dit,
l’architecte a pour mission de multiplier les réflexions diffuses et de diminuer la
directivité de la lumière, c’est-à-dire adoucir l’éclairement naturel.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
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Au cours des années 80, d’autres équipes et laboratoires ont rejoint ce champ
d’étude, comme le Centre de Recherche sur l’espace sonore et l’environnement urbain
de l’école Nationale Supérieure d’architecture de Grenoble et le CRESSON. En 1992,
le Centre National français de la Recherche Scientifique a créé une Unité Mixte de
Recherche multi-sites sur les ambiances architecturales et urbaines.
Le terme (ambiance) est dérivé de l’adjectif (ambiant) qui est issu à son tour du
verbe latin (ambire) qui veut dire : (entourer, envelopper). Il indique ainsi le milieu qui
nous entoure, un contexte dans lequel on se localise. Dans la langue arabe, le vocable
qui nous semble être le plus proche est : ( )اﻟﺠﻮqui indique l’air qui est entre le ciel et la
terre.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
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La pénombre : par définition, la pénombre est la partie périphérique d’une tache solaire
ou état d’une surface incomplètement éclairée par un corps lumineux dont un corps opaque
intercepte une partie des rayons solaire. « Dialogue entre l’ombre et une lumière solide qui la
transperce par endroit ». La pénombre est devenue dans l’architecture de ces dernières années
une séduction des visiteurs plus qu’une prestation technologique, puisqu’elle produit parfois
des paysages lumineux avec des gradients d’ombre et de lumière.
L’ambiance luminescente «est l’omniprésence de la lumière qui tend à disparaitre
parce qu’elle est partout. »Reiter et De Herde, 2004.
²
Figure III.18. Une ambiance lumineuse inondée pendant la journée.
Source : http://vivons-maison.com/
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Figure III.19. Pièce avec couleur chaude Figure III.20. Pièce avec couleur froide.
Source : http://alphand-design.com/
Les travaux de Kruithof 1941 sont souvent pris comme référence dans le domaine
d’éclairage et peuvent être résumés de la manière suivante (Fig. III.21):
Une lumière chaude dont la température de la couleur est faible, est généralement
agréable si et seulement si le niveau d’éclairement reste modéré.
Une lumière froide dont la température de la couleur est élevée, est aussi agréable si le
niveau d’éclairement est élevé.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
9.2.Les matériaux :
Tout dépend de l’orientation de la lumière et de la position de l’observateur la
perception des matériaux composants d’un objet est chaque fois différente. Malgré que
la lumière est considéré comme un matériau de construction mais les matériaux solides
sont les clés pour comprendre le comportement de la lumière parce qu’ils affectent
directement les caractéristiques de la lumière : la quantité, la qualité, l’orientation, etc.,
et donc l’ambiance vécu.
Les matériaux ont deux caractéristiques fondamentales pour étudier la lumière :
leurs finitions (mattes ou brillants) et leurs couleurs. La combinaison de ces paramètres
aboutis chaque fois une variante d’ambiance qui satisfait le besoin du concepteur et/ou
de l’occupant de l’espace. Ceci est dû au rôle capital que joue la lumière naturelle qui
selon son intensité, son angle d’incidence, sa qualité, met en évidence la texture et la
couleur de ce matériau.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
9.4.La structure :
La structure influence le caractère d’une ambiance lumineuse, quand on prend
le cas de l’église protestante qui a été conçu par l’architecte Tadao Ando, on découvre
que l’espace d’entrée est défini par une lumière naturelle qui transperce un voile en
béton incliné de 15°, Oui !!! On accède à cette église du côté ou le mur en béton est
découpé formant une croix lumineuse et qui donne son nom à cet édifice « l’église de
la lumière ». Ces bandes lumineuses sont volontairement étroites pour augmenter le
contraste. Fig. III.23.
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Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
10. Conclusion :
Au sens général du terme, le confort consiste en «tout ce qui contribue au bien-être et à
la commodité de la vie matérielle». Le bien-être étant «la sensation agréable procurée par la
satisfaction des besoins physiques et l'absence de tensions psychologiques» (Mudri et Lenard).
Le confort est donc le résultat d'un processus physique et psychologique. Pourtant, tel qu'exposé
précédemment, la définition actuelle du confort visuel, tout comme celles du confort thermique,
acoustique et olfactif, s’adressent exclusivement à la satisfaction des besoins physiques.
L’individu devrait donc se sentir confortable à l'intérieur d'un espace dans lequel
l'éclairage ne provoque pas d'éblouissement et éclaire correctement les plans et les espaces
nécessaires au déroulement de ses activités.
Par l’usage diversifié des différentes sortes de baies et de leurs accessoires, fenêtres,
lanternes, voûtes diffusantes, canons à lumière, écrans, il est possible de moduler l’éclairement
de façon immatérielle, de réaliser une architecture de lumière, et d’apporter une ambiance dont
la sensation est subjective que ce soit d’ouverture, de grandeur, de tristesse, de chaleur, de froid,
etc.
Comme nous avons déjà montré et selon DE HERDE et LIEBARD les niveaux
d’éclairement recommandés pour les espaces intérieurs varient entre 500 et 250 lux pour les
plans de travail et les espaces des taches cognitives. Et entre 300 et 100 lux pour les autres
ambiances, seulement qu’il peut se diminue jusqu’à 100lux pour les espaces de circulation et à
50lux pour les zones de repos.
La lumière naturelle participe largement au sens donné à l’espace, au bâti, et à son
symbole. Pour un environnement lumineux adéquat à l’apprentissage, la lumière doit être
fournie en quantité suffisante (l’uniformité, la direction, la couleur, la quantité ; etc.) pour aider
la perception et améliorer la performance visuelle. Sans oublier que la couleur émise par les
objets et l’environnement a un effet sur l’état psychophysiologique et sur le système nerveux
de l’occupant de l’espace.
Un dernier facteur très important qui influe la perception de l’ambiance lumineuse et
sur le qu’elle se base les études de confort visuelle, thermique et même acoustique, c’est le
facteur d’âge. Nous ne sommes pas égaux devant le confort visuel. Les couleurs ne sont pas
perçues de la même manière d’un individu à l’autre. Aussi, les capacités visuelles sont fonction
de l’âge des personnes.
Page 63
Chapitre III : Le confort visuel des ambiances lumineuses dans le secteur èducatif
Page 64
Chapitre IV :
Etude de cas et simulation de L’ECOTECT
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Méthode de l’analyse
Analyse de l’exemple
Conclusion A Conclusion B
Conclusion
A. Analyse d’extérieure :
Page 65
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
3. Elle se compose :
* 44000places reparties sur 10 facultés
– Institut pour la conduite des technologies urbaines.
– Faculté de médecine
– Faculté de science politique.
– Collège des sciences de l’information
audiovisuelle.
– École d’architecture et de construction.
– Faculté des méthodes pharmaceutiques
Ingénierie……
* 38000lits reparties sur 19 résidences.
*Restaurant central.
*complexe sportifs « piscine .stade …
4. La situation de l’école
d’architecture :
L’école d’architecture est: situé au Nord-est du pôle universitaire d’une surface de
2.761.778 m2 (2,76 h), une forme
triangulaire, et il présente une pente orientée
de 3%.
5. Environnement immédiat :
L’école d’architecture est entouré par :
• Le pôle d’arrivé et de départ au NORD.
• École de biotechnologiques au SUD.
• Des cités universitaires à l’EST.
• Boulevard principale a l’OUST.
Page 66
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
6. Accessibilité :
Le terrain est limité par :
Une voie de circulation ceinturant le pôle
pédagogique au N et N.E.
Une voie piétonne au sud.
Un boulevard principal au N.O qui
représente l’élément structurant la ville.
L’accessibilité se fait par le bouvard principal
par l’intermédiaire d’un pôle d’arrivé et de
départ situé à la porte de la ville universitaire,
ou il y a des arrêts de bus. Ce qui rend
l’accessibilité à l’école facile on arrivant par
celui-ci. Figure V.1 :l’accessibilité de l’école d’architecture
7. Les accès de projet:
On trouve quatre accès principaux qui sont :
1) Accès principal de l’administration.
2) Accès principal étudiants.
3) Accès amphithéâtre.
4) Accès enseignants.
Pour le stationnement des voitures, on trouve un
parking, à côté de l’accès d'administration.
Page 67
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
8. La volumétrie:
L’école conçue selon 3 axes:
-Le 1er axe suivre la forme de la vois
mécanique.
-Le 2ème axe est parallèle au boulevard.
Le 3ème axe est parallèle à la voie piétonne.
on distingue plusieurs bocs de différents volumes
(cubiques, parallélépipédiques, cylindrique.) avec un
espace centrale qui relie les 3 axes avec des 3 blocs.
On remarque un jeu de volumes, par la différence des
hauteurs, et les décrochements.
9. System constructif :
Le système constructif qui utilisé : c est le système portique (poteau, poutre) en béton
armé.
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Conclusion A :
Les avantages:
L’école d’architecture occupe une bonne situation puisqu’elle se trouve dans un site
universitaire.
L’école d’architecture organisée autour d’un espace central.
Elle dispose d’une bonne accessibilité puisqu’il est desservi de tous les côtés par des voies.
Equilibre plus ou moins entre les bâtis et non bâtis.
Séparation entre circulation mécanique et piétonne.
Volume éclaté, sa forme épouse bien la forme du terrain.
Au niveau de la façade elle offre la transparence et l’harmonie, A l’intérieur ça se reflète
à travers l’éclairage, l’aération.
Malgré que la conception des ouvertures est très simple, mais elle joue très bien son rôle.
Les inconvénients :
L utilisations d’un seul système structurel (le système portique poteau, poutre en
béton armé).
B. Analyse de l’intérieure :
1. La circulation verticale
Page 69
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
On remarque que :
Il y a une séparation entre la circulation verticale de défiantes espaces,
chaque espace et leur cage d’escalier.
Il y a une défiance dans les démontions des cages d’escaliers.
L’utulisation des ascenseurs pour montre les livre.
L’utulisation des rampes pour les personnes a mobilité réduite.
Laboratoires
Bibliothèque L’administration
Ateliers Ateliers
Salles de TD Salles de TD
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Bureaux des
enseignants
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
1 ER Etage :
Amphithéâtres
Laboratoires
Bibliothèque L’administration
Ateliers Ateliers
Salles de TD Salles de TD
Bureaux des
enseignants
2 EME Etage :
Laboratoires
Bibliothèque
L’administration
Ateliers Ateliers
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
4 EME Etage
Laboratoires
Bibliothèque
Laboratoires Laboratoires
Bureaux des
enseignants
3. La circulation horizontale :
La circulation linière, ce fait par des galeries :
La circulation
linière, ce fait
par des
couloirs de
3,20m de
largeur
1) Atelier de dessin
La définition :
L’atelier est le lieu privilégié pour l'apprentissage du projet d'architecture ceci
explique l'importance donnée aux travaux d'atelier.
L’atelier doit être un espace de communication, d’échange d’idées et de
convivialité pour cela il faut inciter l’étudiant à y passer plus de temps.
Situation et surface :
Les ateliers situent sur 4 niveaux:
Au RDC : 20 ateliers (15 places)
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
2) Salles de TD
La définition :
Elles sont destinées aux travaux dirigés des modules théoriques
L’étudiant à un rôle assez passif, il reçoit des connaissances investies de toute
l’autorité de celui qui sait, du maître ; il n’a pas à parler, à discuter, ce qui justifie une
acoustique qui ne permet pas le débat, ou toute autre activité.
Situation et surface :
Les salles de TD situent sur 4 niveaux:
Au RDC : 20 salles de TD (30 places)
Au 1 ER étage : 20 salles de TD (30 places)
Au 2 EME étage : 20 salles de TD (30
places)
Au 3 EME étages : 6 salles de TD (30places)
L’orientation :
Les ateliers orientés (sud, sud-est et sud-
ouest)
Les démentions :
la surface d’un atelier : 45 m²
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
3) les laboratoires :
La définition :
Lieu où se manifeste les différentes expériences scientifiques (tel que les
matériaux) nécessaires pour enrichir les informations et améliorer les idées dans le
cadre pédagogiques.
Situation et surface :
Les laboratoires situent sur 5 niveaux:
Au RDC : 6 laboratoires (30 places)
Au 1 ER étage : 6 laboratoires (30 places)
Au 2 EME étage : 6 laboratoires (30 places)
Au 3 EME étage : 12 laboratoires (30 places)
Au 4 EME étage : 10 laboratoires (30 places)
L’orientation :
Les laboratoires orientés : nord-est.
Les démentions :
la surface d’un laboratoire : 72m²
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
5) La bibliothèque
La définition :
La bibliothèque (institution), lieu de dépôt et de classification des livres, des périodiques
et des autres documents écrits.
Situation et surface :
Le bloc bibliothèque contient des espaces
suivants :
Au RDC : espace internet et informatique
Au 1 ER étage : 2 salle de lectures pour les
enseignent
Au 2 EME étage : salle de stockage livres, prêt
livres et bureau gestionnaire
Au 3 EME étage : salle des devers et périodiques
et bureau gestionnaire
Au 4 EME étage : salle de lecture pour les
étudiants et bureau gestionnaire
L’orientation :
La bibliothèque orientée nord.
Les démentions :
la surface de la salle de lecture pour les étudiants : 727,92m².
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
6) Les amphithéâtres :
La définition :
-Vaste édifice de plan
-L’amphi théâtres est la partie la plus bruyante,
mais aussi la parie où l’on trouve le plus de
monde.
Situation et surface :
Les amphithéâtres situent sur 2 niveaux:
Au RDC : 4 amphis (200 places)
Salle de conférence
Amphi (300 places)
Au 1 ER étage : 3 amphis (200 places
L’orientation :
Les amphithéâtres orientés (nord et nord-est)
Les démentions :
La surface d’un amphi : 326 m²
7) L’administration :
La définition :
Un lieu qui regroupe les services de gestion et d’organisation de l’espace universitaire. Il
comporte les différents services utiles à l’institut.
Situation et surface :
Au RDC : 18 bureaux
Au 1 ER étage : 20 bureaux
Au 2 EME étage : 20 bureaux
Au 3 EME étage :
2 bureaux
Bureau directeur
Salle d’archive
Salle de réunion
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
L’orientation :
L’administration orientée : sud-est.
5. L'éclairage:
• L’éclairage latéral : pour les ateliers, les salles de TD, Les laboratoires.
6. Matériaux:
-Le béton armé. -Le vitrage
CONCLUSION B :
A travers l’analyse qu’on a effectuée, on constate que l’école d’architecture de Constantine
répond a plusieurs critères tels que :
Les avantages:
Bonne répartition des espaces.
Bonne circulation verticale.
Bonne circulation horizontal.
Les inconvénients :
Manque d’éclairage zénithal dans les galeries.
Le problème de labyrinthe
Mauvaise orientation des ateliers à cause de la pénétration des rayons de solaires.
On remarque que cette école d’architecture souffre d’un manque considérable en matières,
salle reprographie, Salle de traitement de livre espace de travail en groupe, des boxes pour les
étudiants et Salle de tirage.
CONCLUSION
L’école d'architecture doit tenir compte des facteurs suivants :
Créer une architecture qui s'intègre non seulement dans le contexte local et dans le
contexte naturel mais dans le patrimoine architectural universel.
Créer une relation entre l’espace intérieur et l’espace extérieur.
Contenir des lieux de rencontres, de débats, de projections et de présentation de
projets, lieux d'expression artistique.
Elle doit répondre aux besoins de pluridisciplinarité de l'enseignement de
l'architecture.
L'architecture de l'école doit participer à la formation des étudiants par l'utilisation:
1-de différents systèmes structuraux.
2-de différents types de matériaux.
Elle doit intégrer les nouvelles technologies
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
1. ECOTECT
ECOTECT est un logiciel de simulation développé pour la première fois par Andrew Marsh et
récemment approprié par la société américaine Autodesk. [Ibarra, 2010] ECOTECT a été
conçu avec comme principe que la conception environnementale la plus efficace est à valider
pendant les premières étapes conceptuelles du design. [Gallas, 2009] En plus des différentes
possibilités de calcul qu’il offre pour les analyses énergétiques, performance thermique,
consommation d’eau et évaluation des coûts, ECOTECT permet aussi d’avoir une idée précise
sur le rayonnement solaire (en visualisant le rayonnement solaire sur les fenêtres et les autres
surfaces, à n’importe quelle période de l’année), sur l’éclairage naturel (en calculant les
valeurs des facteurs d’éclairage naturels et les niveaux d’éclairement à n’importe quel point
du modèle) et aussi sur les ombres et réflexions (en affichant la position et le parcours du
soleil par rapport au modèle à la date, à l'heure et à l'emplacement choisis).
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
A 10h
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
A 12h
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
À 13.00h
A 16.00 h
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Calcule du diagramme solaire, le calcule de ce diagramme ce faire par rapport a une surface « plan,
fenêtre ou mur »
Positionnement du point de calcule Tout ce qui en gris c’est l’ombre .et tout ce qui en blanc
c’est les parties ensoleillé pendant la jouré ou les heures de 11 jusqu’ à 15h
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Page 83
Etude de cas et simulation de L’ECOTET
-La zone1 (près de la fenêtre) : L’éclairement reçu dans cette zone est situé entre 5159.95lux
et 1400 lux, et s’étend sur une profondeur de 3.3m (niveau très élevé).
-La zone2 (zone intermédiaire1) : La profondeur de cette zone est petite (occupe seulement
2.4m) et l’éclairement est compris entre 1400 et 700lux (niveau élevé).
-La zone3 (zone intermédiaire2) : La profondeur de cette zone reste réduite (4.8m) et
l’éclairement se trouve entre 700 et 500lux (niveau moyen).
-La zone4 (loin de la fenêtre) : Cette zone est située au fond du classe et s’étend sur une
profondeur de 1.5m et l’éclairement est moins de 400lux (niveau faible).
Interprétation :
La fenêtre divise la classe en quatre zones d’éclairement différent. La zone 2 est la seule zone
qui reçoit un bon niveau d’éclairement (1400-600lux), mais sur une petite profondeur (3.1m),
les trois autres zones sont mal éclairées : la zone 1 peut causer l’éblouissement à cause de son
fort éclairement et la zone 3 et 4 peuvent constituer un fort contraste par leur faible niveau
d’éclairement qui est 16 fois moins que celui reçu par la zone 1. On en conclut que, dans une
classe équipé d’une fenêtre seulement, l’éclairement est mal réparti. La lumière que reçoit la
classe va éclairer la surface qui se trouve près de la fenêtre, puis cette quantité d’éclairement
va diminuer vers le fond de la classe ce qui permet une mauvaise répartition de la lumière.
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Effet de l’orientation :
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Etude de cas et simulation de L’ECOTET
Conclusion :
Au cours de l’expérimentation et l’évaluation du confort visuel dans le secteur éducatif
de Constantine 03, on a pu mettre en évidence l’importance de deux critères essentiels qui
caractérisent la qualité d’un environnement visuel : la présence ou l’absence de
l’éblouissement et l’uniformité ou le non uniformité de l’éclairement que ce soit à
l’intérieur ou à l’extérieur de l’école.
Au cours de cette analyse, on a pu montrer que la configuration urbaine a une importance
primordiale pour définir la quantité de lumière nécessaire au confort de l’occupant.
Cependant, la pénétration directe de la lumière naturelle peut causer un état d’inconfort
pour les étudiants à travers les taches solaires.
Pour les ambiances lumineuse extérieures on a vu que la largeur de la cour par rapport à la
hauteur des bâtis environnantes, est un facteur très important déterminant la quantité de
lumière pénétrante et l’uniformité de l’éclairement. L’orientation Est-Ouest oblige une
présence d’un masque protégeant les occupants pendant des moments ou les rayons
solaires sont presque horizontaux.
En dernier lieu, l’évaluation du confort visuel dans les bâtiments en général et l’école
d’architecture en particulier, est une démarche qui permet non seulement la rénovation
des édifices mais l’amélioration de la conception des futures constructions également.
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Chapitre V :
Analyse de programme et Analyse de
terrain
Analyse de programme et Analyse de terrain
1.Programmation :
La programmation est un outil indispensable pour le contrôle de nos choix et de notre
discision ainsi que pour rependre aux critères d’efficacité et de rentabilité du projet.
(Le programme est un moment en avant du projet, c’est une information obligatoire à partir de
la quelle l’architecture va pouvoir exister, c’est un point de départ, mais aussi une phase
préparatoire).
Le programme est donc un instrument de réflexion pour l’architecte de telle manière qu’il
puisse aller dans la même direction que les objectifs assignés et les besoins exprimés aux
relevés.
De ce fait le programme est le fruit d’une adaptation thématique, au contexte et déterminer les
exigences et les besoins de tout ordre, activité, surface, qualité d’espace.
2. Le programme officiel
1- AMPHITHEATRES :
Amphithéâtres de 200 places : 04 1040m2
2- salles :
33Salles de TD de 30 places : 33 1980m2
01 Salle de Conférence de 300 places : 01 390 m2
3- bibliothèque de 350 places : 01 3835 m2
4- bloc administratif : 01 636 m2
5- bloc bureaux pour enseignants : 01 741m2
6- locaux techniques et structure annexe : 01 532 m2
7- labo de 30postes chacun : 20 1950m2
A-détail de la bibliothèque :
Salle de lecture de 350 places : 01 885 m²
Salle de lecture pour enseignants : 01 300 m²
Espace Internet et Informatique : 01 300 m²
Salle de revues et périodiques : 01 750 m²
Salle de stockage de livres : 01 450 m²
Espace Internet et Informatique : 01 100 m²
Bureaux de Gestionnaire : 05 80 m²
Banque de prêt des livres et revues : 01 270 m²
Circulation et sanitaires (30%) : 885 m²
b-détail de l’administration :
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Analyse de programme et Analyse de terrain
ARCHITECTURE :
Salle d’Exposition 01 320m2
Ateliers de 15 places 35 1050m2
Salles Amovibles de 60 places 06 540m2
Ateliers spécialisés de 15 places 07 260m2
urbanisme :
Salle d’Exposition 01 320m2
Ateliers de 15 places 17 525m2
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Analyse de programme et Analyse de terrain
3. Grandes composantes :
Espace administratif :
- Administration pédagogique.
- - Administration de poste
Espace pédagogique : graduation.
- Administration de recherche.
.
1. Partie pratique:
-Ateliers de dessin.
- Laboratoires
Page 90
Analyse de programme et Analyse de terrain
Page 91
Analyse de programme et Analyse de terrain
2-Les amphis : se sont des salles destinées au cours (le module) et à la projection
Caractéristiques :
- sa position doit garantie une facilité d’accès pour un ensemble des étudiants
particulièrement depuis une entrée principale de l’université.
- Espace calme qui doit être bien insonorisé (contre les réverbérations).
- Une bonne visibilité et bonne convergence totale vers le tableau. Pour les
amphithéâtres de plus de100 places il faut envisager l`installation d`une
Amplification sonore (pour les vidéo projections).
2-Partie pratique :
1- Les laboratoires :
Lieu où se manifeste les différentes expériences scientifiques (tel
que les matériaux) nécessaires pour enrichir les informations et améliorer
les idées dans le cadre pédagogiques.
2- Les ateliers : Un lieu où se manifeste l’enseignement de l’architecture et la
production des différents documents graphiques.
- Il doit y avoir un espace de communication et échange d’idées.
-Une orientation favorable (NO-NE) pour éviter la pénétration des rayons
solaires. On prend en considération que la lumière de dessin doit être de l’avant
gauche.
3-Partie didactique :
- bibliothèque : Elle se compose de :
1-salle de lecture: espace destinées pour choix des livres à la consultation ou la
documentation ; c’est un espace calme, spacieuse, lumineuse, aérée, avec un espace de
circulation.
2-salle d’internet et informatique: espace destiné pour l’enseignement de
l’informatique et les programmes appropriés à l’architecture, et la recherche.
3-salle de revues et périodiques : espace destiné pour lire tous se qui et périodiques ;
Des casiers spacieux avec soit un classement vertical ou horizontal, et des rayons
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Analyse de programme et Analyse de terrain
inclinés pour permettent de lire le bas de la page. Il doit être calme, lumineux, prêt de
la salle de lecture.
4-salle de prêt: un comptoir avec un fichier par carte (armoires à classement verticale
ou horizontales).a coté de cette espace un espace réservé pour le stockage des livre
5-salle de traitement du livre : c’est un espace qui à coté de la salle de prêt, pour la
plastification et reliure et le traitement des livres.
3-espace annexes : espace Qui compose de foyer et des espaces multimédia donc se
sont des espaces de détente et de loisir.
-espace de service technique : c’est un espace qui compose des Ateliers de
Stockage et Maintenance et des autre espace tel que : le Poste transformateur, La
Chaufferie, Bâche à eau.
4. Synthèse:
1-Une école d’architecture doit être située dans un site universitaire.
2-Elle doit être organisée autour d’un espace central : noyau de l’école.
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Analyse de programme et Analyse de terrain
Dimensionnement Et Programmation:
1-les ateliers :
Nombre des Atelier : 35.
Chaque atelier contient 15 étudiants.
Espace Nécessaire par étudiant : 2 m²
Donc: 215 =30 m²
+ Circulation ~ 20 %. 12 m². Surface totale :32 m²
Nombre : 30.
10 à 15 % des étudiants doivent trouver place dans une bibliothèque d’une école
supérieure.
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Analyse de programme et Analyse de terrain
1- AMPHITHEATRES :
Amphithéâtres de 200 places : 02 1040m2
2- salles :
32Salles de TD de 30 places : 32 1920m2
01 Salle de Conférence de 300 places : 02 390 m2
3- bibliothèque de 350 places : 01 3835 m2
4- bloc administratif : 01 636 m2
5- bloc bureaux pour enseignants : 01 741m2
6- locaux techniques et structure annexe : 01 532 m2
7- labo de 30postes chacun : 20 1950m2
A-détail de la bibliothèque :
Salle de lecture de 400 places : 01 720 m²
Salle de lecture pour enseignants : 01 300 m²
Espace Internet et Informatique : 01 300 m²
Salle de revues et périodiques : 01 750 m²
Salle de stockage de livres : 01 450 m²
Espace Internet et Informatique : 01 100 m²
Bureaux de Gestionnaire : 05 80 m²
Banque de prêt des livres et revues : 01 270 m²
Cartothèque:
Salle Audio-visuel.
Salle d'exposition:
Catalogue.
Magasin:
Relieur et conservation:
Salle de tirage.
Circulation et sanitaires (30%) : 885 m²
b-détail de l’administration :
Bureau de 12m2 20 312 m²
Bureau de 16m2 7 156m²
Salle de réunion, Archivage et divers 01 336 m²
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Analyse de programme et Analyse de terrain
ARCHITECTURE :
Salle d’Exposition 01 320m2
Ateliers de 15 places 35 1050m2
Salles Amovibles de 60 places 06 540m2
Ateliers spécialisés de 15 places 07 260m2
Boxes - pour les maquettes-
urbanisme :
laboratoire de recherche:
Poste graduation:
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Analyse de programme et Analyse de terrain
Situe dans la zone des hauts plateaux constantinoise au centre des wilayas de l'Est algérien,
elle s’étend sur une superficie de 7638,12 km2 a environ 90 kilomètres.++
8- La situation de terrain :
-Notre terrain d’étude est situé au nord – ouest du POS B, et à l’Ouest d’e la
ville d’OEB juste a coté de la RN10.
Université
de Larbi
Ben Mhidi
Le terrain
terrain
9- L’environnement immédiat :
Le terrain est limité par :
- Au nord par : Habitats individuelle.
- Au Sud par : Terrain vierge
-A l’EST par : Terrain vierge
-A l’ouest est par : boulevard sud
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Analyse de programme et Analyse de terrain
Photo : Au nord par : La route Photo : Au nord : Habitats Photo : Au nord par : La route
nationale N10 individuelle. nationale N10
Le
terrain
Page 98
Analyse de programme et Analyse de terrain
Le cadre bâti se trouve en bon état, toutes les constructions sont neuves et réalisé récemment.
Un site n’est obligatoirement pas adapté a tous les types de construction, avant de
choisir le plan de l’école, a part connaitre la surface dont o dispose, il faut aussi
connaitre la nature les caractéristiques du sol et sous sol.
11 –Accès et accessibilité:
Il est accessible à partir de 2 accès mécanique qui sont :
La route nationale N10
Boulevard sud
Page 99
Analyse de programme et Analyse de terrain
13-Climatologie:
L’ensoleillement :
Le site par sa situation géographique est bien exposé au soleil tout la journée, à cause de
l’absence des obstacles.
Le terrain ensoleillé en hiver et en été. On doit en profiter d’énergie solaire et d’orienté les
façades.
Les vents :
Les vents dominants : nord –est en hiver et sud –ouest en été
Les vents dominants froid, arrivent du côté nord ; nord-ouest
Les vents dominants chaud, arrivent du côté sud ; sud-est
Les vents
dominants
chauds
Les vents
dominants
froids
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100
Analyse de programme et Analyse de terrain
14-Objectifs et intentions :
Objectifs :
Créer un environnement confortable.
Minimiser la consommation de l’énergie et profiter de ce que la nature nous
offre.
Auto-orientation des usagers de l’infrastructure.
Maîtrise des différents flux.
Intentions :
Assurer le confort Visuel, mental, physique des étudiants dès l’entrée jusqu’à la
sortie dans les différents espaces.
Favoriser le contact le l’homme avec la nature.
Assurer une bonne intégration du projet au site qui permet un équitable
ensoleillement, ventilation et éclairage NATUREL des espaces.
Intégration des espaces de détente et de décontraction.
Utilisation des systèmes de production et de gestion de l’énergie, de l’eau et de
traitement des déchets.
Offrir une meilleure disposition des accès, des fonctions et des espaces qui
permet aux usagers de ne pas se perdre dans l’établissement.
Page
101
Conclusion générale
Conclusion générale
« Nos yeux sont fait pour voir des formes sous la lumière »
Le Corbusier
Conclusion générale :
Page 103
Conclusion générale
Page 104
References bibliographiques
Références bibliographiques
5- VITRUVE : Marcus Vitruvius Pollio, connu sous le nom de Vitruve, est un architecte
romain qui vécut au Ier siècle av. J.-C. (on situe sa naissance aux alentours de 90 av. J.-
C. et sa mort vers 20 av. J.-C.1). Son prénom Marcus et son surnom (cognomen) Polio
sont eux-mêmes incertains.
6- VIOLLET LE DUC : Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc est un architecte
français né le 2 janvier 1814 à Paris et mort le 17 septembre 1879
àLausanne.
7- AUGUST PERRET : Auguste Perret, né à Ixelles (Belgique) le 12 février 1874 et mort à
Paris le 25 février 1954, est un architecte français qui fut l'un des premiers techniciens
spécialistes du béton armé.
8- LE CORBUSIER : Charles-Édouard Jeanneret-Gris, né le 6 octobre 1887 à La Chaux-de-
Fonds, dans le canton de Neuchâtel, en Suisse, et mort le 27 août 1965 (à 77 ans) à
Roquebrune-Cap-Martin, plus connu sous le pseudonyme de « Le Corbusier », est un
architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres, suisse de naissance et
naturalisé français en 1930
9- VAN DOESBURG : Theo van Doesburg, pseudonyme de Christian Emile Marie Küpper, est
un peintre, architecte et théoricien de l'artnéerlandais, né à Utrecht en 1883, décédéà
Davos en 1931. Il est connu pour être le fondateur et principal animateur du mouvement De
Stijl. Il résida principalement à Utrecht, Weimar, Paris et Meudon.
10- ERICH MENDELSOHN : Erich Mendelssohn (Wallenstein21 mars 1887 ; 15 septembre
1953) est un architecte allemand, connu pour ses bâtiments expressionnistes, les
premiers du genre, autant que pour avoir développé un fonctionnalisme dynamique
dans ses projets de magasins et de cinémas.
11- MIES VAN DER ROHE : Ludwig Mies van der Rohe, né Ludwig Mies , le 27 mars 1886 à
Aix-la- Chapelle et mort le 17 août 1969 à Chicago, est un architecte allemand. Les
plans et projets de Mies van der Rohe sont caractérisés par des formes claires et
l'utilisation intensive du verre, de l'acier et du béton. Ses travaux posent les bases pour
la construction de grands bâtiments aux façades de verre (les gratte-ciel).
12- ADEME,Bâtiment démarche HQE,Brochureenligne,
a. www.ademe.fr/martinique/images/124.pdf. 2007.
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Références bibliographiques
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17- CHAABOUNI, Salma, « voir, savoir, concevoir une méthode d’assistance à la
conception d’ambiances lumineuses par l’utilisation d’images référencés », École
Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy, 2011.
18- CHAUVEL P. & DERIBERE M., L’éclairage naturel et artificiel dans le bâtiment
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19- DE HERDE A. et LIE BARD A., Traité d’architecture et d’urbanisme bioclimatiques,
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20- ELETRE J.J., Mémento de prises de jour et protections solaires. Grenoble: École
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23- IZARD J.L., Maîtrise des ambiances : contrôle de l’ensoleillement et de la lumière en
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24- LABORATOIRE CERMA, Lanterneau vertical : Jeux de taches solaires, Ecole
d’Architecture de Nantes. URL : www.audience.cerma.archi.fr
25- LITTLEFAIR P.J., The luminance distributions of clear and quasi-clear skies, Actes de
la CIBSE Natural Lighting Conference, Cambridge, p 267-283., 1994.
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Annexe 01
L’éclairage naturel dans les bâtiments
Annexe 01
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