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Objet :
TRAVAUX DE CONSTRUCTION D’UN CHATEAU D’EAU POTABLE DE 120 M3 ET SON
RACCORDEMENT A BOUCHFAA, PROVINCE DE TAZA DANS LE CADRE DE L’INITIATIVE
NATIONALE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN(INDH)
=Lot unique=
CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES
Marché N°.................
Marché passé par appel d'offres ouvert sur offre de prix N° 01/INDH/2014 du ____________ à ___ Heures en
application l’article l’alinéa 2 de paragraphe 1 de l’article 16 et l’alinéa 3 de paragraphe 3 de l’article 17 du Décret
n° 2-12-349 du 8 joumada I 1434 (20 mars 2013) relatif aux marchés publics et de l’Accord de Prêt N°7415 MOR
signé avec la Banque mondiale le 15 décembre 2006.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
PROVINCE DE TAZA
CERCLE DE OUED AMLIL
CAIDAT DE BOUHLOU
COMMUNE RURALE DE BOUCHFAA
MARCHE N° ………….
Objet : TRAVAUX DE CONSTRUCTION D’UN CHATEAU D’EAU POTABLE DE 120 M3 ET SON
RACCORDEMENT A BOUCHFAA, PROVINCE DE TAZA DANS LE CADRE DE L’INITIATIVE
NATIONALE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN(INDH)
=Lot unique=
Marché passé par appel d'offres ouvert sur offre de prix en application l’article l’alinéa 2 de paragraphe 1 de
l’article 16 et l’alinéa 3 de paragraphe 3 de l’article 17 du Décret n° 2-12-349 du 8 joumada I 1434 (20 mars 2013)
relatif aux marchés publics et de l’Accord de Prêt N°7415 MOR signé avec la Banque mondiale le 15 décembre
2006.
ENTRE LES SOUSSIGNES
Mr Ali EL MOUZAZI , Président du Conseil Communal de Bouchfaa , ordonnateur du budget communal
Désigné ci-après par " l’Administration "
D'UNE PART
ET ,
Monsieur : ……………………………………………………..
Faisant élection de domicile à : ……………………………………………………..
Agissant au nom et pour le compte de : ……………………………………………………..
Adresse du siège social de la société : ……………………………………………………..
Inscrit au registre de commerce de : …………………… sous N° ……………….…...
Patente N : ……………………………………………………..
Affilié à la CNSS sous N : ……………………………………………………..
Compte bancaire N (RIB su 24 positions): ……………………………………………………..
D’autre part :
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CHAPITRE I : DISPOSITIONS GENERALES ET DESCRIPTION DES TRAVAUX
Article I-1 OBJET DU MARCHE:
Le présent marché a pour objet : TRAVAUX DE CONSTRUCTION D’UN CHATEAU D’EAU POTABLE
DE 120 M3 ET SON RACCORDEMENT A BOUCHFAA, PROVINCE DE TAZA DANS LE CADRE DE
L’INITIATIVE NATIONALE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN(INDH) =Lot unique=
L'entrepreneur devra s'il ne les possède pas se procurer ces brochures au ministère de l'équipement ou l'imprimerie
officielle à RABAT. Il ne pourra en aucun cas exciper de l'ignorance de ces documents pour se soustraire aux
obligations qui en découlent
Article I -8 DEFINITIONS
En complément aux définitions données par le décret n° 02-12-349 sus visé et par le CCAG-T, on entend par
« ouvrage » : le travail à réaliser quelque soit sa nature (terrassement, chaussée, ouvrage d’assainissement, etc.
Clauses d’audit :
(iii). se livre à des «manœuvres coercitives» quiconque nuit ou porte préjudice, ou menace de nuire ou de porter
préjudice, directement ou indirectement, à une personne ou à ses biens en vue d'en influer indûment les
actions; et
C- CIMENTS
On doit utiliser pour l’exécution des ouvrages en béton armé du ciment PORTLAND artificiel de la
catégorie CPJ 45, répondant à la norme NM - 10- 01 - F – 001
A la fin des travaux les terrains seront parfaitement nettoyés et remis en état suivant les instructions de
l’administration. Cette remise en état ne donnera droit à aucune indemnité.
A) MORTIER:
Suivant leur emploi, les mortiers et bétons auront en principe les compositions ci-après :
L’Entrepreneur se conformera pour la mise en œuvre des bétons aux prescriptions de l’article 70 du cahier
des charges générales.
B_ BETON ARME :
L’Entrepreneur devra faire établir à ses frais l’étude des formulations des Bétons
L’entrepreneur devra faire établir à ses frais les plans du béton armé.
L’entrepreneur devra faire établir à ses frais l’étude du sol de fondation des ouvrages.
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Préalablement au coulage du béton, le ferraillage devra faire l’objet d’une réception par l’administration,
cette réception donnera lieu à l’établissement d’un procès-verbal.
Les plans devront recevoir le visa de l’administration, avant tout début d’exécution.
ARTICLE II-6 COFFRAGE :
Les coffrages des éléments en béton armé seront exécutés avec des planches propres ne comportant aucune
trace de laitance de ciment, si ces planches ont déjà été employées pour le coulage du béton elles seront
soigneusement grattées, en particulier sur la tranche. Le coffrage sera jointif afin de ne permettre aucune perte de
laitance de ciment lors de la vibration du béton. Les coffrages feront l’objet d’une réception par l’administration
avant le coulage du béton éventuellement avant la mise en place des armatures
Quant au coffrage de la cuve, il devra être réalisé avec des éléments métalliques.
ARTICLE II-7 MAÇONNERIE.
La maçonnerie de moellons, sera exécutée conformément aux dispositions des articles 73, 77 81 et 82 du
cahier des charges général et du D.G.A (édition 1956).
ARTICLE II-8 TERRASSMENTS
L’entrepreneur devra exécuter tous les terrassements nécessaires à la réalisation des fondations et de nivellement
des sols, des plates-formes, préparation du fond de fouille etc.
Les fouilles seront exécutées aux largeurs strictement nécessaires et feront l’objet d’un procès verbal de réception.
Aucun travail de béton ou de Maçonnerie ne pourra être entrepris avant accord de l’administration.
Les fouilles comprendront : L’extraction des déblais en terrain de toutes natures Y/C le rocher, le chargement ; le
transport, la mise en dépôt provisoire ou définitif et le déchargement , le remblaiement des fouilles par T.V d’oued
jusqu’à niveau du terrain naturel, les fouilles à quelle que soit la profondeur ou la nature de terrain y compris le tuf
attaquable à la pioche, l’épuisement des eaux de pluie ou d’infiltration, boisage étaiement blindages éventuels, jets
de pelles, nivellement des faces et des fonds et évacuation à la décharge publique ou aux endroits désignés par la
maîtrise du chantier et toutes sujétions.
ARTICLE II-9 MUR DE CLOTURE
Le mur de cloture sera construit avec la maconnerie de moellons en fondation et les agglos en élevation
conformément au plan remis par l’administration.
L’énumération des prestations indiquées ci-dessus et dans le C.P.S. clauses techniques n’est nullement limitative.
En fait, l’entrepreneur s’engage à fournir et à mettre en service un ensemble en parfait état de marche.
L’Entrepreneur assemblera les tubes par collage, entre eux ou entre tubes et raccords, jusqu’au diamètre 63 mm
inclus ; et par appareil électro soudage pour les conduites en PEHD de DN supérieur à 63 mm.
Le décapant et l’adhésif nécessaires à cette opération seront fournis par le fabriquant des tubes et (ou) des raccords.
L’adhésif sera titulaire d’une marque acceptée par l’administration
L’Entreprise veillera à la propreté préalable des surfaces à décaper, puis à encoller. Elle suivra en cela, et
scrupuleusement, les recommandations du fabriquant reprises dans le guide de pose. Pour l’assemblage des tubes et
raccords de diamètre égal ou supérieur à 75 mm, munis d’une bague de joint en élastomère, l’entreprise utilisera le
lubrifiant fourni par le fabricant de tubes et (ou) les raccords.
Avant la confection du joint lui-même, elle sera assurée de la propreté de la bague et de son logement, dans
l’éventualité où la bague n’aurait pas été livrée logée en usine. Pour les moyens et gros diamètres, dans
l’éventualité où la poussée longitudinale nécessitait des moyens mécaniques, toutes précautions seront prises afin
que l’outil ou le dispositif utilisé ne blesse la tranchée du tube en mouvement. Prévoir l’interposition d’une planche
entre l’extrémité du tube et l’outil.
Le collage des tubes en PVC et en polyéthylène entre eux avec les raccords, jusqu’au 63, peut être effectué hors de
la tranchée, la conduite n’y étant descendue qu’au fur et à mesure de la confection des joints.
Ouvrages annexes
Les accessoires de sectionnement et de protection de la conduite, tels que :
- Ventouses, Vidanges, Soupapes de décharges, Clapets anti-retour, Etc….
Devront être placés impérativement sous ouvrages en béton armé qui seront exécutés conformément aux plans
d’exécution.
Les principes à respecter pour la pose et le calage des conduites sont les suivants :
Les largeurs et les profondeurs de la tranchée seront déterminées par l’administration au cours d’exécution
selon la nature et la configuration du terrain
Avant tout commencement des travaux, l’entrepreneur devra procéder, à ses frais, à l’implantation des axes des
conduites et du nivellement du tracé. Les travaux d’implantation et de vérification seront faits par le topographe
agrée engagé par l’entrepreneur et à sa charge.
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Apres acceptation du procès verbal, l’entrepreneur aura la garde des repères matérialisant les tracés des
ouvrages et la correction des erreurs de nivellement..
Tous les travaux topographiques nécessaires pour l’exécution du projet et qui sont demandés par le maitre
d’ouvrage, seront réalisés par l’entreprise et seront à sa charge.
Apres implantation des ouvrages, l’entrepreneur est tenu de signaler à l’administration toute discordance
entre les cotes relevées sur le terrain et celles figurant sur les plans.
Les plans sont susceptibles de modifications sans que l’entrepreneur puisse prétendre à une réclamation ou
à une indemnité.
Pour le calcul des volumes des terrassements, les parois de la tranchée sont considérées verticales.
Si l’Entrepreneur estime nécessaire en fonction de la nature du terrain l’emplacement de niches pour la confection
des joints ou toute autre raison de donner une largeur supérieure à celle définie ci-dessus ou/et un fruit aux parois
de la tranchée, le volume de terrassement supplémentaire sera à la charge de l’entrepreneur.
La profondeur maximale de la tranchée ne doit pas dépasser la valeur pour laquelle la conduite ne peut plus résister
à la charge du remblai.
Pour toute sur profondeur dépassant 2,00 m, l’Entrepreneur doit préciser les mesures préconisées pour assurer la
résistance de la conduite.
La conduite sera posée sur un lit de pose en sable ou en gravier respectivement de 10 et 15 cm d’épaisseur
minimum.
Le remblai de la tranchée sera réalisé avec de la terre meuble tamisée et compactée sur 0,20 m d’épaisseur au-
dessus de la génératrice supérieure extérieure de la conduite et en tout-venant compacté au-dessus.
: Butées et ancrages des conduites
Ils seront constitués par un massif de béton pour s’opposer à la poussée de l’eau tendant à déboîter les joints, les
conduites seront ancrées sur massif en béton lorsque la pente est supérieure à 15 %.
: Regards
Les regards destinés à abriter les robinets - vannes de sectionnement, les ventouses et les vannes de vidange
exécutés suivant les indications du Maître d’ouvrage. Ils seront fermés par des tampons en fonte type PAM ou
similaire. Les tampons seront de type chaussée ou trottoir selon leur situation.
: Vannes de sectionnement
Les vannes de sectionnement seront des robinets vannes à opercule caoutchouc (OCA) dont le diamètre est celui de
la conduite qu’elles sectionnent.
Elles seront munies de tous les accessoires nécessaires, à leur mise en place et à leur manœuvre .
: Equipement des points hauts
Les points hauts seront équipés de ventouses triples fonction (dégazage sortie et entrée d’air à grand débit). Le
diamètre des orifices des ventouses sera déterminé par l’entrepreneur sur la base des caractéristiques du matériel
proposé et de la conduite de telle façon que la dépression maximale ne dépasse pas 3 mètres en cas de rupture ou de
vidange de la conduite.
L’équipement des points consiste en la fourniture le transport et la pose des ventouses ainsi que l’ensemble des
accessoires nécessaires à la mise en place et à l’exploitation.
: Equipement des points bas
Les points bas seront équipés de robinets vannes.
L’équipement des points bas consiste en la fourniture et la pose de robinets vannes ainsi que l’ensemble des
accessoires nécessaires à la mise en place (boulons, joints) et au bon fonctionnement des équipements .
: Traversée de chaussées et pistes importantes
Ces traversées comprendront les terrassements, la signalisation, les dispositifs de sécurité vis à vis de la circulation
selon la réglementation en vigueur, l’exécution de l’ouvrage de traversée conformément aux plans d’exécution
approuvés par l’administration.
La traversée de chaussée ou piste importante sera exécutée de façon à ce que la conduite soit enrobée dans le sable
0,10 m au-dessous de sa génératrice inférieure et 1 m de sable au minimum au-dessus de sa génératrice supérieure.
Le reste de la hauteur sera exécuté de manière à laisser une couche de pose de 0,30 à 0,50 m au minimum.
La conduite sera protégée par dallettes en béton n° 3.
: Traversée d’oueds et chaâbas
La traversée d’oued et chaâbas se fera en siphon. Pour les petits oueds et chaâbas, la conduite sera enrobée dans du
gravier à 1,5 m minimum au-dessus de sa génératrice supérieure. Pour les oueds et chaâbas importants, les
conduites seront enrobées dans un béton étanche, selon les plans types remis par l’entrepreneur et visés par
l’administration
: Traversée du réseau d’assainissement
Si la conduite traverse le réseau d’assainissement, l’entrepreneur est tenu de la protéger soit par l’enrobage dans un
béton étanche ou par tout autre moyen adéquat (buse en B.A, manche en polyéthylène,...).
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La conduite d’eau potable doit passer au-dessus des buses d’assainissement, une couche de remblai intermédiaire
bien compactée devra séparer les 2 conduites. L’épaisseur minimale de cette couche sera déterminée en fonction
des pentes des deux conduites et sera supérieure à 60 cm.
Au cas où la hauteur du recouvrement disponible au-dessus de la conduite d’assainissement ne permet pas de
respecter ces dispositions, la conduite d’eau potable peut exceptionnellement passer au-dessous de la conduite
d’assainissement moyennant une protection adéquate. Cette protection doit se faire par enrobage de la buse
d’assainissement par du béton hydrofuge étanche sur une distance minimale de 2 m de part et d’autre de la conduite
d’eau potable et par application d’une manche en polyéthylène. Dans le cas d’un tracé en parallèle des deux
réseaux, la conduite d’eau potable doit être posée à 1 mètre au minimum de la buse d’assainissement.
: Traversée des lignes électriques et téléphoniques
Ces traversées comprendront les terrassements, la signalisation, les dispositifs de sécurité vis à vis de la circulation
selon la réglementation en vigueur, l’exécution de l’ouvrage de traversée conformément aux plans d’exécution
approuvés par l’administration., la protection de la conduite avec consolidation du terrain pour éviter tout contact,
la réfection éventuelle des gaines d’isolation, déplacement éventuel de lampadaires, remise de la grille en plastique
signalant la présence souterraine de la ligne électrique ou téléphonique y compris fourniture et transport des
matériaux à pied d’œuvre, la remise en état des lieux, essais de réception et toutes sujétions de parfaite exécution.
: Désinfection des ouvrages
La désinfection des ouvrages a pour but la suppression des causes d’altération de la qualité bactériologique de
l’eau.
Le principal produit susceptible d’être utilisé est le chlore ou ses dérivés :
L’eau chlorée (chlore gazeux dissous dans l’eau).
L’hypochlorite de sodium ou eau de Javel (NaClO) en solution.
L’hypochlorite de calcium (Ca (ClO)2) qui se présente sous forme solide à forte teneur en hypochlorite (70% de
chlore actif).
Le chlorure de chaux (Ca (ClO) OH).
Un autre produit peut être utilisé : Permanganate de potassium (KMnO4).
: Désinfection des conduites neuves ou récemment réparées
1. A la fin des travaux, la canalisation doit être rincée soigneusement jusqu’à ce que l’eau sorte limpide de celle-
ci (turbidité 3 NTU).
2. Introduire simultanément la solution désinfectante concentrée par une pompe d’injection et l’eau de dilution
par ouverture partielle d’une vanne de sectionnement aussi proche que possible du point d’injection. Les débits
respectifs doivent être réglés de telle sorte que le désinfectant soit à une concentration convenable dans le bief à
désinfecter. Les concentrations du désinfectant à utiliser sont fonctions du temps de contact comme il apparaît
dans le tableau ci-après :
Désinfectant Concentration utilisée (mg/l) Temps de contact
Eau chlorée 50 en chlore actif 24 h
Hypochlorite de sodium 100 en chlore actif 12 h
300 en chlore actif 30 mn
Hypochlorite de calcium 50 24 h
Chlorure de chaux 150 24 h
Permanganate de potassium 30 24 h
3. Ouvrir de l’amont à l’aval de la canalisation les décharges qui s’y trouvent. Quand le désinfectant apparaît à la
première, on ouvre la seconde et on ferme la première. On ouvre ensuite la troisième et ferme la seconde et
ainsi de suite jusqu’à l’extrémité du bief à désinfecter.
4. On laisse le désinfectant au contact de la conduite pendant le temps convenable (voir tableau précédent).
5. On rince abondamment la canalisation en ouvrant les décharges dans le sens inverse que précédemment jusqu’à
apparition d’une eau claire et dépourvue de toute trace de désinfectant (odeur dans le cas des dérivés du chlore
et couleur dans le cas du permanganate de potassium).
6. On effectue des prélèvements de contrôle bactériologique afin de vérifier l’efficacité de la désinfection.
N.B : l’eau utilisée pour les besoins précitée sera à la charge de l’Entrepreneur (même pour les essais).
L’Entrepreneur s’acquittera des volumes d’eau utilisés avec le tarif préférentiel.
: Pressions caractéristique d’essais des équipements hydrauliques
Tout accessoire hydraulique susceptible de fonctionner sous la pression des conduites aura comme pression
d’essais en tranchée et d’essais en usine, celle de la conduite en liaison avec lui.
Si les pressions caractéristiques de ces accessoires sont normalisées on prendra la plus proche et dans le sens de la
sécurité.
L’Entrepreneur précisera le type de chaque accessoire hydraulique qu’il propose d’installer et joindra à son offre
toutes les caractéristiques techniques de ces équipements.
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: Tuyaux et raccords en fonte
Les tuyaux, raccords et pièces accessoires en fonte seront réalisés en fonte ductile et conforme aux normes ISO, en
particulier à la norme ISO sauf spécification contraire dans le CCTP. Les essais seront réalisés conformément aux
normes ISO.
: Tuyau et raccords en PVC
Les tuyaux et raccords en PVC seront réalisés et essayés conformément aux normes NF relatives aux tuyaux et
raccords en PVC pour le transport des fluides sous pression.
: Tuyau en Acier
Les tuyauteries acier d'un diamètre intérieur inférieur ou égal à 26 mm seront réalisées en tube sans soudure étiré à
froid conformément à la norme NFA 49.210.
Les tuyauteries acier d'un diamètre intérieur supérieur à 26 mm et inférieur ou égal à 400 mm seront réalisées en
tube sans soudure étiré à chaud conformément à la norme NFA 49,410.
Les tuyauteries acier d'un diamètre supérieur à 400 mm seront réalisées en tôles d'acier soudées longitudinalement
ou en spirale, R = 37/44 DN/mm2.
L'assemblage des différents tronçons de tuyauteries acier sera réalisé par brides ou joints de démontage type Viking
Johnson pour les diamètres inférieurs à 800 mm; pour les diamètres supérieurs il pourra se faire par soudure sur le
site; les soudeurs devront être agréés par l'administration. Dans la solution soudée, toutes les soudures seront
sablées à l'intérieur comme à l'extérieur et protégées contre la corrosion de la même manière que le reste de la
tuyauterie.
Les changements de direction pourront être réalisés par coupe biaise et soudure bout à bout pour les angles
inférieurs à 23; au-delà, des coudes normalisés séries 3 D ou des coudes en tranches de melon seront utilisés.
La liste ci-dessus n'est pas limitative. L'Entrepreneur s'engage à fournir un ensemble complet, en parfait état de
marche, établi en tenant compte de la technique la plus récente et muni de tous les organes nécessaires à son bon
fonctionnement, à la sécurité d'exploitation et à son utilisation industrielle normale dans les conditions requises.
: Manœuvres des vannes
Les vannes à commande manuelle seront manœuvrables par un seul homme sous la pression nominale (ouverture et
fermeture), des démultiplicateurs ou des by-pass étant installés le cas échéant. Le sens de fermeture est le sens
horaire.
Un indicateur d'ouverture est obligatoire pour les vannes à commande automatisée ainsi que pour toutes les vannes
papillons.
: Protection contre la corrosion des appareils de robinetterie
Les appareils de robinetterie recevront en usine un revêtement intérieur et extérieur à base de laque ou de résine
époxy.
: Robinets Vannes
Les robinets vannes auront les caractéristiques suivantes :
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- corps fonte ou acier sans gorge d'étanchéité
- obturateur fonte surmoulé d'élastomère
- vis intérieure inox ou bronze
- commande par volant
- étanchéité de la vis par joints toriques remplaçables en service.
- joint d'étanchéité en élastomère fixé sur le papillon et interchangeable sans démontage du papillon.
: Clapets anti-retour
Les clapets anti-retour seront des types suivants :
- Clapets à manomètre caoutchouc.
- Clapets de conception identique aux vannes papillon, avec dispositif réglable ralentissant la
fermeture en fin de course.
- Clapet type DUOCHECK.
: Joint de démontage
Il sera installé pour chaque organe de robinetterie (vanne ou clapet) un joint de démontage permettant le démontage
et le remontage de l'organe de façon correcte et sans avoir à déplacer les tuyauteries adjacentes.
Ces joints de démontage pourront être supprimés dans le cas où un coude contigu à l'organe peut permettre le
démontage et le remontage dans les mêmes conditions. Ils auront la même pression de service PMS que les
appareils auxquels ils sont associés.
: Réservoirs anti-bélier
Les réservoirs anti-bélier auront une pression de service supérieure ou égale à la PMS et seront éprouvés par un
organisme indépendant du fournisseur à 1,5 fois leur pression de service. Ils seront équipés d'une soupape
de sécurité, d'une garniture de niveau protecteur et vannettes d'isolements, d'un manomètre et d'une
vidange.
Chaque réservoir sera fourni avec un plan d'encombrement et un procès-verbal d'épreuve.
Une plaque signalétique fixée sur le réservoir précisera le nom du fabricant, le volume du réservoir, la pression de
service, la pression et la date d'épreuve, le numéro d'identification du réservoir.
: Crépines
Les crépines de départ de réservoir et d'aspiration de pompe seront en cuivre ou en acier galvanisé, et la perte de
charge au débit maximum sera inférieure à 0,05 bar.
: Pressions
Pression de service
La pression de service de la robinetterie et de la tuyauterie est fonction des hauteurs piézométriques et des
caractéristiques de pompes proposées par le fournisseur.
Elle sera considérée comme pression de service pour le corps, et comme pression d'étanchéité pour les vannes et les
clapets fermés.
Pression d'épreuve
Les éléments sus - mentionnés seront éprouvés à 1.5 fois la pression maximum qu'ils pourront être amenés à
supporter.
Pression de manœuvre
Les constructeurs indiqueront pour les vannes à commande manuelle la pression de manœuvre maximale
d'ouverture et de fermeture.
: Manomètres - Vacuometres
Les manomètres et vacuomètres seront du type Bourdon avec amortisseur réglable de coup de bélier, leur diamètre
sera de 100 mm et ils seront raccordés avec des vannettes trois voies permettant la purge et l'étalonnage. L'étendue
de l'échelle sera 150 % de la PMS.
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: Ventouse purgeurs – clapets d’entrée d’air
Les ventouses, purgeurs et clapets d'entrée d'air ne devront pas entraîner de coup de bélier dans les tuyauteries et
seront munis de vannes d'isolement.
: Protection contre la corrosion des tuyauteries en acier
La protection intérieure et extérieure des tuyauteries acier sera réalisée de la manière suivante:
- D < 800 mm : galvanisation à chaud conformément à la norme NFA 91.221 ;
- D 800 mm : peinture époxy conformément à la norme C 210-78 de l'Américain Waters Works Association.
Dans tous les cas, les tuyauteries acier seront sablées intérieurement et extérieurement au degré SA 2 1/2 de
l'échelle suédoise préalablement à tout revêtement.
Les revêtements intérieurs devront être de qualité alimentaire et ne donner ni goût ni couleur à l'eau.
La protection des tuyauteries acier fera l'objet d'un planning communiqué à l'administration de manière qu'il puisse
éventuellement contrôler les conditions d'application.
Les éléments en acier galvanisé adaptés sur chantier seront regalvanisés à froid.
Les types de revêtements prévus peuvent faire l'objet de variantes à soumettre à l'agrément du Maître de l’œuvre.
: Normes concernant les équipements électriques
En l'absence de normes marocaines ou de spécifications propres à l'ONEP ou au distributeur d'énergie, les
équipements et installations devront satisfaire aux normes NF les concernant et, en particulier, aux normes
suivantes :
- NFC 13.100 relative aux postes de transformation MT/BT établis à l'intérieur des bâtiments,
- NFC 15.100 relative aux installations BT,
- série NFC 51.100 relative aux machines électriques tournantes,
- NFC 12.100 relative à la protection des travailleurs contre les défauts d'isolement.
- La réalisation d'un collecteur de terre en cuivre nu de 28mm² pour les stations de pompage et chloration
avec des boucles de sorties auquel seront raccordés toutes les masses métalliques, bâtis d'appareils ou de
machines, ferrures, les points neutres des transformateurs de mesure.
- La réalisation des connexions secondaires ci-dessus mentionnées.
Le collecteur et les conducteurs de terre doivent avoir une section appropriée aux courants de défaut susceptibles de
les traverser et être mis à l'abri des dégradations mécaniques. Les sections minimales utilisées ne devront pas être
inférieures à 28 mm² pour les collecteurs et connexions secondaires (matériel: cuivre).
Toute la boulonnerie des raccords utilisés doit être inoxydable par nature, en bronze ou acier cadmié.
Dans le cas de raccordement sur des pièces galvanisées, les dispositions nécessaires devront être prises pour éviter
l'apparition du couple électrolytique cuivre zinc.
: Régime du neutre
Le régime sera du type impédant.
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: Parafoudre
Cet appareil a pour rôle la protection des équipements MT contre les surtensions d'origine atmosphérique. Il est
constitué d'un éclateur ou d'une série d'éclateurs avec résistance variable. L'Entrepreneur fournira pour le poste de
transformation un parafoudre à résistance variable.
: Appareillage de protection, contrôle et signalisation
Tout appareil d'utilisation devra pouvoir être isolé du reste de l'installation par un sectionneur et sera protégé
individuellement contre les surintensités et les courts-circuits, les moteurs étant de plus protégés contre l'inversion
de phases et le manque d'une phase.
Les groupes électropompes seront protégés contre le désamorçage, le fonctionnement à débit nul et le manque
d'eau en aspiration.
Tout moteur d'une puissance supérieure à 5 kW sera équipé au minimum des dispositifs de contrôle et signalisation
suivants :
- compteur horaire ;
- ampèremètre ;
- voyant "défaut thermique"
Les boutons de commande et lampes témoins montés sur la face avant des tableaux seront d'un système modulaire
à perçage 22,50mm; la tête sera circulaire avec collerette métallique chromée vissée.
Les lampes témoins seront changeables par l'avant et un bouton de test permettra d'en vérifier le fonctionnement.
: peinture de finition
Tous les équipements et tuyauteries apparents recevront en plus du revêtement de protection contre la corrosion
deux couches de peinture de finition de la nature et de la teinte à décider avec le Maître d’Œuvre.
: robinet de puisage
Toute installation sera équipée d'un robinet de puisage permettant le prélèvement d'eau pour analyse.
Après 10 jours de remplissage au niveau maximal, on s’assurera que l’ouvrage ne présente pas de fuites,
notamment aux points de traversée des canalisations et aux raccords de béton, et que les traces d’humidité qui
auraient pu apparaître sur les parois extérieures au début de la mise en eau sont en voie d’assèchement.
La tolérance de perte admise après 10 jours de mise en eau sera au plus égale à :
Par heure V/10.000 (V étant le volume utile de réservoir).
En cas de fuites permanentes, l’entrepreneur devra effectuer les travaux d’étanchement nécessaires. Un
nouvel essai de remplissage sera entrepris pour vérifier l’efficacité de ces travaux.
Dans un délai de vingt (20) jours après notification de l’ordre de service de commencer les travaux, l’entrepreneur
soumettra à l’approbation de l’administration :
Le planning détaillé de l’exécution complète des ouvrages dans le délai fixé, Au cas où la cadence d’exécution
deviendrait inférieure à celle prévue au dit calendrier, le maître d’ouvrage pourrait faire application des
mesures prévues à l’article n° 70 du C.C.A.G.T même pour les délais partiel portés au plannings
Rapports d’étude de sol de fondation.
Les notes de calcul de résistance et de stabilité (de béton, de béton armé …)
Les plans d’exécution des ouvrages.
Etude des matériaux
Formulation des bétons par un laboratoire agrée par l’administration
Provenance des matériaux
La liste du matériel et des effectifs que l’entrepreneur compte utiliser sur le chantier
Les procédés d’exécutions, analyses, brevets et d’une manière générale toutes pièces Justificatives du mode
d’exécution des ouvrages.
Plan d’implantation et de délimitation de l’ouvrage à réaliser rattaché en N.G.M.
La nature des coffrages et le système de vibration.
Les échantillons de tous les matériaux entrant dans la construction.
Le schéma d’organisation matérielle et collective du chantier.
Les notes de calcul et les plans de ferraillage.
1- Rapport technique
Un rapport technique qui précise l’organisation du chantier et la méthodologie que l’Entrepreneur compte
adopter pour réaliser les travaux pour chacune des tâches élémentaires. Ce rapport comprendra une note détaillée
qui indiquera la composition et les caractéristiques des ateliers de production, le nombre, le type et le rendement
des engins ainsi que le rendement journalier des ateliers par poste de travail.
Le rapport devra préciser également les aménagements proposés par l’Entrepreneur en vue de protéger
l’environnement. Une description particulière devra être faite pour les mesures portant sur :
- Le contrôle des rejets de toute nature (Installation de chantier, entretien des engins, campement…
etc.) ;
- Les modalités d’évacuation et de traitement des déchets de toute nature ;
- Le contrôle et la réduction des émissions de poussière ;
- Le contrôle des implantations et du fonctionnement des éventuels campements ;
- Autres mesures.
2- Matériel
La liste des engins que l’Entrepreneur compte mettre en place pour réaliser les travaux prévus, avec leur
âge, état, rendement et disponibilité.
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La liste du matériel fournie par l’Entrepreneur n’est pas limitative et il ne peut élever aucune réclamation si
en cours des travaux, il est amené à modifier ou à compléter ce matériel. Si pour une raison quelconque,
l’Entrepreneur désire retirer du chantier une partie du matériel avant l’achèvement des travaux auxquels il est
destiné, il ne peut le faire qu’avec l’accord écrit du maître d’ouvrage délégué ; cet accord laisse toutefois à
l’Entrepreneur la responsabilité et les conséquences de ce retrait.
L’Entrepreneur établira un échéancier d’acheminement du matériel sur le chantier ; les implications de cet
échéancier devront être en parfaite concordance avec le programme général des travaux.
3- Matériaux
L’Entrepreneur doit remettre une note qui mentionne la provenance des principales fournitures : ciment,
aciers, etc.…et leur conformité aux spécifications contractuelles.
Dans le cas où l’Entrepreneur compte utiliser des produits prêts à l’emploi (béton ou autres), il doit fournir
tous les renseignements utiles sur les fournisseurs (usines, fabricants) et sur la qualité des mêmes produits fournis à
d’autres clients pendant les trois derniers mois.
4- Organigramme du chantier
L’organigramme du chantier qui définit les unités de direction, de gestion, de logistique, d’études, de contrôle et de
production que l’Entrepreneur prévoit de mettre en place pour assurer la réalisation des travaux. Il sera accompagné
de la liste nominative et des curriculum vitae du personnel de direction, de maîtrise que l’Entrepreneur compte
affecter à chacune de ces unités avec mention de leur date de disponibilité et de leur fonction sur le chantier .
6-hygiène et sécurité
Une note qui décrit les mesures particulières prévues de manière à assurer l’hygiène et la sécurité sur le
chantier et à ses abords, tant pour les ouvrières que pour les riverains et les usagers de la route.
7-Environnement
Une note qui décrit la manière dont l’Entrepreneur compte prendre en compte les contraintes
environnementales et les mesures qu’il compte appliquer pour la protection de l’environnement tout au long du
chantier.
3- Panneaux de chantier
Une sous – construction fixée à chaque extrémité du chantier, à un endroit à choisir par le Maître d’ouvrage
(délégué), permettra de fixer 2 panneaux de signalisation indiqueront la nature de la réalisation, le nom des
différents intervenants (maître d’ouvrage, maître d’ouvrage, entrepreneur,…).
Les panneaux seront lisses et résistants aux intempéries, les finitions (teinte de fond, écritures ou autres indications)
seront soumises à l’approbation du maître d’ouvrage délégué.
Le coût des panneaux de chantier à installer est compris dans le prix de l’installation du chantier.
4 – Repli du chantier
Les frais du repli du chantier et des installations du chantier sont à la charge de l’Entrepreneur et ils sont compris
dans le prix de l’installation du chantier.
5 – Après la fin des travaux :
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- Les constructions et installations seront évacuées, les ouvrages bétonnés, les aires, réseaux et fossés seront
démolis par l’Entreprise et les produits évacués vers un dépôt définitif à trouver et à la charge de l’entrepreneur
(tout enfouissement in site est à exclure).
- Le maître d’ouvrage (délégué) se réserve la possibilité d’interdire la démolition de telle ou partie pouvant être
utile aux chantiers suivants.
- Le terrain sera modelé pour retrouver sa topographie initiale, puis scarifié sur une épaisseur de 0,60 m.
- Les terres prélevées initialement (terre végétale) seront alors remises en place par des moyens et méthodes
appropriées (pas de circulation des engins d’approvisionnement sur les terres régalées, et réglage par des engins
légers ou à chenilles marais) pour ne pas tasser les sols recouverts et les terres étalées et reconstituer la couche
initialement prélevées à l’identique.
6 – Mise en œuvre des dispositions du plan de gestion Environnementale
En outre, la remise en état des lieux en fin de travaux comportera un nettoyage général des emprises et des zones
d’occupation temporaire. Tous les déchets, matériel ou maté rieux sans emploi (chutes de ferraille ou de coffrage,
bidons, pneus, sacs de ciment, fonds de malaxeurs, etc.) seront ramassés et évacués en dépôt définitif par
l’Entrepreneur quelle que soient les difficultés d’accès pour leur récupération. La remise en état des lieux et le
nettoyage général sont inclus dans le prix d’installation.
L’Entrepreneur est responsable de l’exécution de ses obligations vis-à-vis des propriétaires des terrains.
S’il est dans l’intérêt du maître de l’ouvrage de récupérer les installations fixes, pour une utilisation future,
l’administration pourra demander à l’Entrepreneur de lui céder sans dédommagements les installations sujettes à
démolition lors d’un repli.
L’Entrepreneur préviendra le maître d’ouvrage délégué de la remise en état d’une aire et fixera une date afin qu’un
état des lieux contradictoire après travaux puisse être dressé.
L’Entrepreneur sera seul responsable des travaux et frais complémentaires afin de parachever la remise en état et
des actions de dépollution complémentaires.
ARTICLE III -8 : SIGNALISATION DES RISQUES POUVANT EXISTER POUR LES TIERS DU FAIT
DE L’EXECUTION DES TRAVAUX
L’Entrepreneur prendra à sa charge toutes les mesures d’ordre et de sécurités propres à prévenir les accidents, il
devra choisir les emplacements pour l’installation de ces chantiers, le stationnement de son matériel et le dépôt de
ses matériaux en approvisionnement. Si ces emplacements se trouvent sur un domaine privé, l’Entrepreneur devra
se munir d’une autorisation écrite du propriétaire. Pour l’usage des dépenses du Domaine Public, l’Entrepreneur
sera soumis aux règles du droit commun.
L’entrepreneur reconnaît disposer de tous les éléments nécessaires pour assurer ses engagements, déclare avoir une
parfaite connaissance des travaux à réaliser, de leurs conditions d’exploitation et de fonctionnement, et accepte, en
toute liberté et sans réserve de prendre, l’entière responsabilité de ces travaux qu’il aura à remettre à
l’administration en parfait ordre de marche, sanctionnés par tous les essais et contrôles jugés utiles par celle-ci.
Les descriptions et spécifications du présent document sont énonciatives et non limitatives
2- Ces prix sont réputés comprendre, en sus, les dépenses et marges touchant notamment :
-la construction et l'entretien des moyens d'accès et des chemins de service nécessaires pour les parties
communes du chantier ;
- le gardiennage, l'éclairage et le nettoyage des parties communes du chantier ainsi que leur signalisation
extérieure ;
- l'installation et l'entretien du bureau mis à la disposition du maître d'ouvrage si le cahier des prescriptions
spéciales le prévoit.
- Les frais de la signalisation ainsi que de l’installation du chantier sont inclus dans les prix unitaires du
marché.
3 - Dans le cas de marché passé avec un groupement conjoint, les prix afférents à chaque lot sont réputés
comprendre outre, les prix prévus aux paragraphes 2 et 3 ci-dessus, les dépenses et marges de l'entrepreneur pour
l'exécution de ce lot, y compris éventuellement les charges qu'il peut être appelé à rembourser au mandataire ainsi
que les dépenses relatives :
-ㄷ aux mesures propres à pallier d'éventuelles défaillances des autres entrepreneurs et les conséquences de ces
défaillances ;
-ㄹ et à toute autre sujétion induite par le fait de ce groupement conjoint.
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ARTICLE IV-2 : ATTACHEMENTS.
Il sera pris des attachements contradictoires entre le représentant de l’administration et celui de l’entrepreneur et
notamment dans les cas suivants:
a) Des travaux qui ne seront plus visibles après exécution
b) Des ouvrages qui sur la demande ou avec l’accord écrit de l’administration ne seront exécutés conformément
aux plans d’exécution
Le représentant de l’administration devra être averti au moins Quarante Huit (48) heures avant la prise
d’attachements.
Si l’entrepreneur refuse de signer des attachements ou ne les signe qu’avec réserve, il lui sera accordé un délai de
Dix (10) jours à dater de la présentation des pièces pour formuler par écrit ses observations.
Passé ce délai, les attachements seront sensés être acomptes par lui comme s’ils étaient signés sans aucune réserve.
Dans le cas du refus de signature ou de signature avec réserve, il sera dressé un procès-verbal de la présentation de
circonstance qui l’a accompagné.
a) Dommages à l’ouvrage, à ce titre sont garantis, pendant la durée des travaux et jusqu’à la réception
provisoire, les ouvrages provisoires objet du marché, les ouvrages et installations fixes ou mobiles du
chantier, les matériels,
Matériaux et approvisionnements divers, contre les risques d’incendie, vol, détérioration pour quelque cause
que ce soit, sauf cataclysmes naturels.
L’entrepreneur doit informer le maître d’ouvrage. De toute modification ou résiliation concernant les polices
d’assurance prévues par le présent article sous peine de l’application des mesures coercitives prévues à l’article 70
du CCAGT.
Si la notification de l'approbation n'est pas intervenue dans ce délai, I ‘attributaire est libéré de son
engagement vis-à-vis du maître d'ouvrage. Dans ce cas, mainlevée lui est donnée, à sa demande, de son
cautionnement provisoire, le cas échéant
Toutefois, le maître d'ouvrage peut, dans un délai de dix (10) jours avant l'expiration du délai visé au §
premier ci-dessus, proposer à l'attributaire, par lettre recommandée, de maintenir son offre pour une période
supplémentaire déterminée. L'attributaire dispose d'un délai de dix (10) jours à compter de la date de réception de
la lettre du maître d'ouvrage pour faire connaître sa réponse. En cas de refus de l'attributaire, mainlevée lui est
donnée de son cautionnement provisoire le cas échéant.
Le délai de garantie est fixé à une année (1 an) à compter de la date de la réception provisoire.
Pendant le délai de garantie, l’entrepreneur sera tenu de remettre au maître d’ouvrage les plans des ouvrages
conformes à l’exécution, de procéder aux rectifications qui lui seraient demandées en cas de malfaçons ou
d’insuffisances constatées et de remédier à l’ensemble des défectuosités, sans pour autant que ces travaux
supplémentaires puissent donner lieu à paiement à l'exception de ceux résultant de l’usure normale, d'un abus
d'usage ou de dommages causés par des tiers.
Page 62 et dérnière
MARCHE N° :…………………….
Marché passé par appel d'offres ouvert sur offre de prix en application l’article l’alinéa 2 de paragraphe 1
de l’article 16 et l’alinéa 3 de paragraphe 3 de l’article 17 du Décret n° 2-12-349 du 8 joumada I 1434 (20 mars
2013) relatif aux marchés publics et de l’Accord de Prêt N°7415 MOR signé avec la Banque mondiale le 15
décembre 2006.
PRESENTER PAR :
LE PRRESIDENT DU CONSEIL COMMUNAL DE BOUCHFAA ;
Bouchfaa Le __________________
APPROUVE PAR :
LE GOUVERNEUR DE LA PROVINCE DE TAZA
TAZA LE :