UNIVERSITE MOHAMMED V DE RABAT

ECOLE NORMALE SUPERIEURE

RABAT

Filière Universitaire d’Education en

Science de la Matière Physique-Chimie
(FUE-SMPC)

Département Physique
TRAVAUX PRATIQUES D’EXAO
Semestre 6

PROFESSEURS ENCADRANTS :

-Lynda AZIZ
-Samira OTMANI

Année universitaire : 2020-2021

 Introduction

L’ExAO, est une expérimentation menée avec divers instruments de mesures et appareils de
laboratoire auxquels s’ajoute l'ordinateur. L'acquisition des données peut se faire
automatiquement. Les résultats sont présentés sous forme de tableau ou sous forme graphique.
Toute chaîne ExAO comprend les éléments suivants :

Un capteur : il mesure une grandeur physique. (Pression, Température…)

L’interface : elle convertit le courant électrique en signaux informatiques qu’elle transmet à

l’ordinateur.

Un logiciel ExAO installé sur l’ordinateur : il traite les signaux reçus et les restitue à l’écran
sous forme de chiffres ou de graphiques (ou de tableaux de valeurs).

Ce document regroupe l’ensemble des manipulations de Travaux Pratiques de Physique

pour le semestre S6 de la Licence FUE-SMPC. Il est composé de manipulations indépendantes,
relatives aux différents modules de physique de cette filière.
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TP EXAO S6 N°1 : ETUDE DU PENDULE PESANT

Objectifs :
Etudier les paramètres qui influent sur la période du pendule.

𝑙
Mettre en évidence la relation : 𝑇 = 2𝜋√
𝑔

Expériences :
a- Réaliser le montage suivant :

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b- Ouvrir l'atelier scientifique et cliquer sur l'icône acquisition.

c- Réglage du zéro :

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d- Acquisition des résultats

Vérifier avant chaque acquisition le réglage du zéro

1- Influence de l'angle à longueur constante et masse constante (m=100g, L=50 cm):

Faire une acquisition en cliquant sur la touche prévue à cet effet avec un angle de 10 ° (nommer l'expérience « α10° »
par exemple). Relancer une acquisition pour un angle de 20°. Enfin faire une dernière acquisition avec un angle de 30 °.
 Modélisation : le but de cette étape consiste à déterminer les paramètres afin de remplir le tableau ci-dessous

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α° 10° 20° 30°

T
Ɵmax
Remarque :
Afin de déterminer les angles, faire la correspondance indiquer sur le capteur utilisé (45°→5V)

2- Influence de la masse à longueur constante (m=200g, L=50cm) :

Reprendre le protocole précédent en faisant varier la masse. Prendre deux masses différentes et nommer les acquisitions
en conséquence (par exemple : 100g, 200g et 300g)

3- Influence de la longueur du pendule :

Reprendre le protocole précédent en faisant varier la longueur (mesurer la longueur L entre le centre de la masse et
l'axe de rotation). Prendre trois longueurs différentes et nommer les acquisitions en conséquence (par exemple : a40cm,
a20cm....)

4- Conclure

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TP EXAO S6 N°2 : ETUDE DE LA CHUTE LIBRE

Objectif :

Étudier le travail d’une force constante pendant la chute d'une bille en interaction avec la
Terre. La bille est lâchée sans vitesse initiale et soumise à son seul poids (on considèrera la résistance
de l'air négligeable par rapport au poids).

I Matériel :

 Nous allons travailler sur ordinateur. L'horloge interne de celui-ci est déclenchée par le lâcher
de la bille au niveau du dispositif de chute.
 Des capteurs optiques, situés sur le trajet de la bille, permettent de mesurer les dates (t) de
passage de la bille (voir schéma ci-dessous).
 De plus, ces capteurs sont doubles et permettent au logiciel de calculer aussi la vitesse
instantanée.
 Les hauteurs de chute, mesurées sur le support, doivent, par contre, être entrées au clavier.

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II Manipulations :

1) Réaliser le montage suivant :

2) Mise en place du matériel :

a. Régler la verticalité du dispositif avec le fil à plomb.

b. Ajuster correctement le système de lâcher de bille afin d’avoir la bille face au zéro au
moment de son départ.
c. Mettre sous tension l'interface ESAO, puis l'ordinateur.
d. Sur l’ordinateur, aller dans Atelier scientifique/chute de bille/OK

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2) Réglages préliminaires :

a. Placer les capteurs et taper les valeurs des graduations (hauteurs) choisies. Tester ces
capteurs en passant lentement un doigt entre les capteurs (un signal vert indique que le
capteur fonctionne correctement).

b. Tester aussi le lâcher de bille en le déclenchant, sans la bille.

c. On lâche la bille et on réalise l'acquisition en cliquant sur la touche :

d. Les valeurs de l’acquisition s’affichent sur le tableau, au même temps le tracé de la courbe
s’affiche dans « graphique ».

e. Pour étudier l'influence éventuelle de la masse de la bille sur la vitesse de sa chute, on peut faire
l'expérience avec 2 billes de masses différentes. Le dispositif expérimental permet d'obtenir la
représentation graphique de la vitesse de la bille en fonction de la hauteur de chute. On lâche une
première bille et on réalise l'acquisition. Tout en restant dans la même expérience au niveau du
logiciel, on lâche une deuxième bille de masse différente et on réalise l'acquisition.
Questions :
1) Remplir le tableau ci-dessous pour les deux billes (mb=17g et mn=14g) :

Y(m) 10 15 20 25 30 35 40 45 50
T(s)
V(m/s)
V2(m2/s2)

W(J)

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2) Conclure sur l’influence de la masse de la bille sur la vitesse de sa chute

3) On veut ensuite représenter v² en fonction de x :
Sur le bas de la fenêtre, cliquez sur l’onglet tableau, puis faites apparaître la grandeur v².
Retourner alors dans l’onglet graphique et dans la fenêtre située tout en bas à gauche, choisir abscisse y.

3) Commenter l’allure de la courbe v²(y). Quelle conclusion peut-on en tirer ?

2) Le travail du poids a pour formule : 𝑊(𝑃) = 𝑚𝑏𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑔𝑦, avec mbille en kg, y en m et W en joules (J). Nous
cherchons à relier cette grandeur à v².
Représenter W en fonction de v²(y). Commenter également la courbe et proposer une conclusion.

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TP EXAO S6 N°3 : VERIFICATION DU PRINCIPE FONDAMENTAL DE

L’HYDROSTATIQUE.

I) Objectif :
L’objectif de ce T.P. est de vérifier le principe fondamental de l’hydrostatique donné par : la différence de pression
entre deux points d’un liquide au repos est donnée par la relation :
PB – PA = ρ g(hB – hA) = ρ g h

II) Matériel :
- Une éprouvette remplie d'eau
- un système multimédia 3B NET-log™
-Capteur de pression 3B
-Ordinateur avec logiciel 3B Net-Lab

III) Procédure d’acquisition :

1. Réaliser le montage suivant

2. Sur le bureau cliquer sur l’icône 3B-NetLab

3. Choisir « laboratoire de mesure » puis « créer un nouvel enregistrement » par la suite donner un nom a votre
enregistrement.
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4. Dans ce cas l’entrée des données correspond à « input A »

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5. Afin de définir la hauteur cliquer sur : formules/éditer/N-indice de valeur de mesure

6. Cliquer sur « Entrées OK » / « Démarrer ». On place l’extrémité du capteur juste au niveau supérieur du
liquide. On enfonce l’extrémité du capteur à une profondeur de 2 cm par rapport à la surface du liquide, et
ainsi de suite jusqu’à la profondeur 20 cm.

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7. Choisir la hauteur dans l’axe des abscisses et la pression « input A » en axe des ordonnées

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IV) Interprétation
1- Réaliser une modélisation afin de déterminer les caractéristiques de la courbe en utilisant la barre
suivante.

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2- Préciser à quoi correspond P0 qui est la pression pour une hauteur h = 0 cm.

3- Déterminer le produit ρ g.

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TP EXAO S6 N° 4: Solénoïde

Objectifs
- Etudier l'influence du courant électrique sur le champ magnétique crée par un solénoïde en
son centre.
- Déterminer expérimentalement la valeur de µ0.
Matériel nécessaire
- Ordinateur PC.
- Interface ESAO 3 ou ESAO 4.
- Adaptateur ampèremètre (Jeulin)
- Adaptateur Teslamètre (Jeulin)
- Solénoïde long à deux enroulements.
· Rhéostat 33Ω -5,7A.
- Source de tension continue 12V/8A
- Fils de connexion.
2 - Montage expérimental

Figure 1 : Montage expérimental

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3 - Manipulation
a- Réaliser le montage expérimental de la figure 1. Puis, mettre les différents appareils
sous tension et lancer le logiciel de l’atelier scientifique ensuite cliquer sur OK.

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b- Positionner les deux capteurs en abscisse et en ordonnée

c- Sur le menu affichage crocher « couleur » et « liaison »

d- Vérifier que le calibre de l'ampèremètre est de 10A.

e- - Régler le zéro de la composante horizontale Bx du champ magnétique. Procéder à la

vérification des lectures sur les adaptateurs.

f- Dans l'option Lancement de l’acquisition, placer la sonde au centre du Solénoïde et

faire varier le courant à l’aide du rhéostat, Puis valider la valeur de Bx correspondante
à chaque fois jusqu'à la dernière mesure.

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4- Traitement des résultats :

En se basant sur la courbe B=f(I) déterminer la valeur de µ0.

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On démontre que le champ magnétique au centre d’un solénoïde est donné par la formule :

Bµ0 N.I Avec N le nombre de spires du solénoïde, L sa longueur et I l’intensité du courant

L
qui le traverse 0 est une constante universelle appelée perméabilité du vide : sa valeur est : 0
= 4..10-7 U.S.I.
Grâce aux bornes rouges intermédiaires on diminue N et L mais le rapport n = N / L reste
constant
(Voir tableau ci-dessous).
L'intensité sera maintenue constante égale à 2A ; la sonde du tesla mètre au centre du solénoïde.

Entrées 100 - 100 70 – 70 50 - 50 30 - 30

N 200 140 100 60
L (cm) 40,5 28,3 20,2 13,8
B (mT)

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TP EXAO N°5 : Caractéristique de puissance d'une cellule solaire

1- Rappel
1-1 Introduction

Le modèle quantique de l’atome a été un outil indispensable au développement de l’électronique, en particulier

des semi-conducteurs. Les matériaux semi-conducteurs, comme le silicium, sont utilisés dans les capteurs
photovoltaïques. Ces capteurs absorbent l’énergie radiative et la convertissent en partie en énergie électrique.

Les capteurs photovoltaïques nécessitent des semi-conducteurs à large spectre d’absorption afin
d’absorber un maximum d’énergie radiative du Soleil et ainsi augmenter le rendement de
conversion. Sur leur diagramme d’énergie, les niveaux d’énergie possibles sont regroupés en
bandes. Si un photon a une énergie supérieure à celle de la bande intermédiaire ou « gap », les
électrons peuvent provoquer un courant électrique.

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1-2 Schéma électrique équivalent de la photopile en circuit fermé.

1-3 Caractéristique I(V) et P(V) sous éclairement d’une photopile :

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2- Description de l'expérience

Il s'agit de relever la puissance P d'une cellule solaire pour différents éclairements lumineux en fonction d'une résistance de
charge R1. Les allures de courbes obtenues sont ensuite utilisées pour déterminer les résistances de charge optimales Rmax avec
lesquelles on atteint à chaque fois la puissance maximale de la cellule solaire. Pour chaque éclairement lumineux (différents
angles d'inclinaison α de la cellule solaire), on mesure en outre la tension à vide et l'intensité du courant de court-circuit et on
calcule les résistances internes R0 de la cellule solaire : R0=U0/I0. Les résistances internes R0 sont comparées à Rmax.

3- Matériel requis
 Joule mètre et wattmètre
 Cellule solaire
 Lampe d'atelier
 Rhéostat à curseur 100 Ω
 Paires de câbles, 100 cm
 PC avec Windows 10
 Luxmètre.

4- Montage expérimental (voir schéma)

Placer la lampe d'atelier devant la cellule solaire, à environ 30 cm. Commencer par orienter la cellule solaire
perpendiculairement à la lumière incidente et la connecter aux douilles de 4 mm du champ OUTPUT. Raccorder la
résistance de charge aux douilles de 4 mm du champ INPUT.

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Remarques
1- La puissance de la cellule solaire varie aussi avec la température. Pour que la température reste à peu près
constante durant la mesure, il convient d'exposer la cellule solaire aux rayons de la source lumineuse déjà
15 min avant de commencer le relevé des valeurs mesurées.
2- Il est recommandé de déterminer l’emplacement optimal de la cellule en mesurant l’éclairement maximal
à l’aide du luxmètre.
3- Procédure expérimentale
a) Chargement des paramétrages
 Lancer le logiciel Cassy lab 2, ensuite cliquer sur « visualiser les paramètres de mesures »

 Cliquer sur « Joulemètre et wattmètre » et crocher sur « tension », « courant ». Afin de paramétrer ces
deux variables choisir « valeur moyenne », « relever : manuel » finalement crocher sur « ajouter une nouvelle
série »
 Cliquer sur « puissance » puis choisir « relever : manuel » et crocher sur « ajouter une nouvelle série »

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 Dans le but de définir la résistance, cliquer sur : calculatrice/ Formule, la page suivante s’affiche et vous
pouvez remplir les champs comme indiquer sur la figure.

 Afin de définir la tension à vide et le courant de court-circuit choisir : paramètre /définir les fonctions et
faire entrer les valeurs mesurées

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 Le traçage des résultats se fait en cliquant sur : Représentation/standard

 Modélisation : afin de déterminer les pics cliquer sur Graph/calcul valeur du pic

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b) Relevé de la caractéristique de puissance

 Régler le rhéostat à curseur de manière que la résistance visualisée sur l'instrument d'affichage Résistance
de charge R1 soit égale à 1 Ω.
 Transférer manuellement la valeur mesurée dans le tableau avec .
 Respectivement augmenter la résistance de charge de 2 Ω et relever d'autres valeurs mesurées.
 Pour modifier l'éclairement lumineux, incliner la cellule solaire de 45° puis de 30° par rapport à la lumière
incidente. Recommencer l'expérience pour chaque angle.
 Pour chaque éclairement lumineux, déterminer la résistance de charge Rmax pour laquelle la puissance
maximale de la cellule solaire est atteinte.
c) Exploitation

1- Tracer la caractéristique courant-tension I = f (U).

2- Tracer la caractéristique puissance-tension et puissance-résistance.
3- Quels sont les facteurs qui influent sur la puissance fournie d'une cellule solaire ?
4- À quelle condition la puissance maximale de la cellule solaire est atteinte ?
5- Evaluer un ordre de grandeur du rendement de la cellule photovoltaïque, sachant que la relation entre
la puissance maximale de la cellule solaire et l'éclairement lumineux à température constante est donnée
𝑃𝑚𝑎𝑥
par la relation : 𝜂 =
𝐸.𝑆

On admettra que pour la lampe utilisée, un éclairement de 684 lux correspond à environ 1W.m-2.
L’éclairement E mesuré varie avec la distance lampe-luxmètre.

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TP EXAO S6 N°6 : Exemples d'applications de travaux sur

données expérimentales « Regressi »
1- Objectifs

Traitement des données expérimentales par le logiciel généraliste Regressi à travers

l’exemples d'étude du caractéristique I(V) d'une diode à semi-conducteur.

2- Matériel nécessaire
Ordinateur PC.
Logiciel généraliste Regressi.
3- Traitements des données
a- Le procédé consiste à faire rentrer au clavier les valeurs du courant I et de la tension mesurées
lors de l'étude classique de la diode.
b- Aller au Menu Fichier/Nouveau/Clavier, puis suivre la démarche proposée à l'écran Le
commentaire à taper sera dans ce cas : Caractéristique de la diode IN 4007. Introduire le nom
des variables.
Nom de la variable 1 = I Courant circulant dans la diode.
Nom de la variable 2 = V Tension aux bornes de la diode.

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c- Dans le Menu Graphe option Coordonnées, choisir pour abscisse la tension V et pour ordonnée le
courant l. Revenir ensuite à l'option Ecran pour afficher la courbe de la caractéristique l (V).
d- Effectuer la modélisation en cliquant sur « modélisation », choisir le modèle adéquat

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1410 598
1550 603
I(µA) V (mV)
1590 604
1710 608
0 150
1900 613
0 250
2080 618
0 10
2300 623
0 40
2410 625
0 0
2580 628
0 5
2790 632
0 80
3180 638
0 100
3450 642
1 280
3860 648
2 310
4150 651
8 350
4450 654
23 400
4650 656
30 415
5170 661
39 426
5540 664
66 450
5980 668
105 470
6470 672
187 498
7100 676
236 509
8690 685
295 520
9980 687
321 524
1,000·10⁴ 691
365 530
1,080·10⁴ 695
445 540
1,150·10⁴ 697
472 543
1,290·10⁴ 702
504 546
1,590·10⁴ 712
544 550
1,790·10⁴ 716
617 557
663 560
700 563
783 569
794 570
813 571
860 574
888 575
926 577
966 580
1050 583
1120 587
1210 591
1300 594
1410 598

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