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CHBIINIQUTS DU IIRBDIM

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NSlouvE, no sgnotNouHc
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CREDITS
DÉVELOPPEUR PRINCIPAL tLLUsrRAfl oNs tNTÉR|EuREs
Max Brooke N4att Bradbury, Dmitry Burrnak, Anlhony Devine, Tony
Foti, Nlariusz Candzel, David Criffith, David Kegg, Skott
ÉcRlruRE ÉT DÉvELoPPEMElrlr Kiander, Adam Lane, Jake lüurray, Beth Sobel, Eva Maria
J- SUPPLÉMENTAIRES Toker, Tilfany Turri I, Ben Zweifel et les archives Lucasfilm
T Tim Cox
RESPONSAELE DE PROOUCTION
RELECTURE ET R.ÉÉcntrune Ny'egan Duehn et Simone Elliot
Christine Crabb et David Johnson
CONCEPTEUR ÉCUTIF
DIRECTION DE I.A PRODUCTION JDR Corey Konieczka
Sarn Stewaft
PRODUCTEUR flÉCUTIF
CONCEPTION GR'IPHIQUE DE IA GAMME Michael Hurley
EDCE Sludlo, David Ardila et Chrls Beck
PUELICATION
CONCEPTION GRAPHIQUE DE TEXTENSION Christlan T. PeLersen
Chris Beck
TESTEURS
DIRECTEUR DE IÂ CONCEPTION GRAPHIqUE Coordinateur des pLaytesls : Zach Tewalthomas.'Bal-
Brian Schornburg
tlegroup Anchorage" :Williarn F. Hostman avec Peter
RESPONSAELE DE IA Newman, Stephanie A. Hostman, Jim Blanas, Tamma-
lyn E. Hostman et Eleanor N Hoslman. "Oota Coola,
DIRECTION ARTISTIQUE
LjbrariaNPC?" : Anthony'LibrarlaNPC" DeMinlco ÿ!ith H.
AndY Christensen
K. Llebecolt, Aian C bson, Steve Ceorge, Michael Kaze"
lrvin, Vlclor "Vlking" Orlo et Frank Sinarra. "Corellia s
DTRECTION ART|srlQuE
F nest' : Ralner W nstel avec Erik Winstel et Timo Wln-
Zoë Robinson
stel. 'Explorers on lhe Edge' : lsaac Priestley avec Darla
Prlestley, Jacob Byerly, Nate Tadema et Marlon Nipper.
ILLUSTRATION DE COUVERTURE
David Kegg et Ben Zweilel
TRADUCTTON FRANçAISE ET RELECTURE
Stéphane " Stupjdo » Bogard. I\4alianne
n Venantius o Feraud, Pierrick " Adso , Carry et Sandy
, julien, les Vauriens de Edge, avec l'aide
" Baskerville
précieuse d'Ernrnanue « N,4alachie, Cul le des Buttes
il
J
LICENCES LUCAS
DIRECTEUR CRÉAÎIF ÉDITRTcE sENtoR GROUPE NARRATIF
Michael Sigla n
Jen niler Heddle LUCASFILM
Leland Chee et Pablo HidaLgo

[ÀlITÂSY
['I,$HT
OÂMD§
EDOE
o & TM Lucasfilm Lld. Tous droits réservés. Aucune parlie de ce produil ne peut être reproduite_sans aulorisation
écrite spécifique. Fantasy Flight canres el le logo FFC sont o de Fantasy F ight Publlshing, lnc. Edltion lranÇaise
par Èdge, marque commerclale d'Ubik. Conservez ces informations pour vos archives. lmprimé en Chine

ISBN: 978-84 1 6351'36'9 Product Code: UBISWF04

Pour plus cl'informatjons sur la gamme §tor [,ÿors.. Fonce Er DEsrNÉE, télêcharger des conlenus annexes,
obtenlr des rêponses aux questlons concernant les règles, rendez-nous visite sur :
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I'l.oto..on pêsat loutoereni dans la main de SJ'jo ll entra une destination puis commença à retirer les cris-
L wu,o", .or,-" reste par 'ô po.ds d, sd\oir q- il (onre' taux kyber de l'holocron.
nait. Warde fajllit glousser quand la voix de son Maltre Warde se tenait sur la surface de la petite planète au
s'rns.'ua dans son espllt 'le sa\o:r osr le plus louro des paysage es(arpë Elle seflblart plutot oien choi5re. A
fardeaux. , Avait-elle réellement prononcé cette phrase ou l écart, mais pas éloignée au point d empecher quiconque
sonnait-elle comme le genre de poncifs indigestes qu'elle de trouver ce qu'il y avait caché. lbt ou tard, un explo-
aimait lul servir ?. ll faudrait qu'il lui pose la question ei'l rateur, un contrebandier, ou un fugitif découvrirait l'holo'
rentrant de sa période d'affectation au sein de la Crande .ron. eT s il qen mont.ait digne. le Cardien le guioera:i.
Armée de la République.
ll regagna le vaisseau où l'attendait Cel-
Vous avez parlé, Suljo ? demanda le jeune Mirialan.
- Or \ avarr-il de si urgent. Sulio ?
ll se détourna des commandes du vâisseau pour s'adres_
ser au Jedi, le tirant de ses songes. Ln eurse oe reponse. Wa,de lan(a un obiel au Jeune
Mirialan. Cel l'attrapa au vol.
Est-ce que je parlais tout seul, Cel ? Désolé, ie crois
-
que mon maltre déteint de plus en plus srlr moj- ll faudra Joli. Tu sais ce que ( est ?
que je te la présente quand on arrivera sur Coruscant.
Cel étudia l'éclat étincelant avant de ieter un regard
Bo_ 5a_g. Jr Md oe Jedi n'aLIats Jarlais (rL en
.Je interrogateur au Jedi.
-
rerLoTi'er Lrn. Jê \e-\ dirê. 'ron p,rs q.e je ne 505 pds C'est un cristal kyber. On pourrait dire qu'il contient
impressionné par un Chevalier ledl tel que vous... mais -
ute Partle de mon savoir.
un N4altre I
C'est très léger. Est ce que ça veut dire...
Débordant d'enthousiasme, l'adolescent lalssa sa phrase -
en suspens. warde sourit. un peu vieux pour entamer une . . que ie ne 5Lis pas t'ès sage ? Très drôle. J ai fail
formatlon, peut-être, mais Warde avalt le seftlment que la meme blague à rnon maltre quand i'étudiais. Bien str,
Cel Marcolf irait loln et que I'Ordre Jedi aurait tort de j'ai dû faire dix fois le tour du temple en courant, après ça.
ne pas le mettre à l'épreuve. Après tout, le ieune pilote je suis votre élève ?
Est ce que ça veut dire que Je
lui avait sauvé la vle sur Eriadu quand ces Séparatistes -
cod a. autani que vous voud.er I
avaient tenté de le tuer.
Une lueur d'excitation brillait dans ses yeux.
fholocron envahlt de nouveau son esprit, et par pur
réflexe, i se projeta dans le temps. llne vision du futur !ui Warde soupira. l\4algré le potentiel du ieune homme, il
apparut brièvement. Une gLrerre sans fin, qui faisait rage ne vou.a L pds lui dOnnêr de fdux esooirs.
à travers les étoiles pendant des décennies, entralnant a
mort de ses camarades, de son maître, de ses ami5, de Cel.
\e tembdlle pas. Tu es pl-rôl à8é pour entamer la
formation. Mais garde ce cristal pour moi. Pour l'instant,
ll secoua la tête. ll s-agissait iuste d'une posslbilité. Une
parmi tant d'autres, comme le répétaient les l\,'1altres Jedi. du moins. Un Iour, quelqu'un en aura peut etre besoin. S'il
s'en montre digre, donne-le lui. C'est la première mission
'. e a laisse,dir pa5 5p (on(reilse . que je te confie- Nous verrons comment tu t'en sors.
Pourtant. il sortit l'holocron de sa robe et l'étudia un ins-
D'accord
lant. Dans les cristaux kyber qu'll contenalt. Suljo Warde - I

a\d t enle'ne IoJle ra (onra q<ànrF de ld lorLe, J. en'e lls embarquèrent dans le vaisseau, les deux cristaux
gistrenrent cristallin qul lLri survivralt une fois qu'il ne kyber s'entrechoquant dans la poche de Warde à chacun
ferait plus qu uf avec elle. C'était une façon de proieter sa de ses pas. N4ême si quelqu'un trouvait I'holocron, il y avait
sagesse non seulement à travers l'espace, malS à travers peu de chances pour qu'il soit capable de l'assembler en
le temps. Dans l'avenir, qLr'il s'agisse de celui qu'll pressen- entier. N4ais ce n'étalt pas impossible. favenir qu'il avait
tait ou nol]. vu n'était pas forcé de se réaliser, du moins pas plus qu'un
Cet.e'o:>. \,\arcle <e.ot,cenlrd .-r hôiocror er s_ .ra 'autre à en crolre les maîtres. Pourtant, Warde n'arrivait
pas à chasser cette image. Confier son pouvoir à des suc_
leS o-tb.e. taniorar,oues de (es enb'\,ons de real té5
Son esprll s'attarda sur un groupe de silhouettes tapies cesseurs inconnus comportait un risque, mais les profes-
dans lombre, alrx lfaits flous mais au désespoir évident. seurs ne prenaient ils pas le même en. formant leurs êtu-
Lobscurité se rapprochait de tous les côtés. Soudain, l'une diants ? Au moins, le gardlen serait là, une reproduction
d el es se pencha et s empara de l'holocron qul étilrcelait au miniature de lul'même pour guider tous ceux capables
beaLr milieu des ténèbres. d'aoprerdre so' oon de o'escience.
Suljo ? Vous a lez blen ? Hé, Su jo Ure bis ."tte qLestron eglee. Warde 5e concent a pour
- I

rë\dLuer oe 50n esp/1. I s'eIarr prepa'e du rrieu\ oossible. À


Le .ledl se secolra une nolrvelle fois pour chasser es ves présent, il devait cesser de s'attarder sur des possibilités pour
tiges de la vision. se focallser sur le présent. Arbooine constituerait a clé de la

- Oui, je vals bien. Dcsolé de retarder notre arrivée,


mais nous allons devoir faire étape avant Arbooine. J'ai
victoire sur les Séparatistes au cours des prochains mois, et
ensuite, qui pouvait dire ce que I'avenir leur rêservalt ?
quelque chose à faire. Conduis rlous vers ces coordonnées
dès clue nous serons sortis de I'hyperespace
illqËtD ,to sIpf,où{t
NOUJnOOUJ'Nt
'eBe,{o^ tnêl rêAêUle rnod sl
arQ ueLlr aun,p llolJPn raluorlJe tuê^ op lets rr ê .ru
sê.resselou suoleurolur sêp ]uêsodsrp fd sêl pueqetor\ êlqo e atrsnlno selono êp stuEtrqEtl sêlrêprP q atsrsuor fd
êp soguuopJool sal QrQdnlo.r lê srê8uep sês q^erq rio^e sap ?tuo o^ el êno'soLuour-xnê Jaura^no8 os êp stuelrqeq
sQrdV ssrilêC ap ênbrtenbe êunl ellns LtnolSuê axaldutol un sap r sqp al qJSleLu al lo ê3Q s uos ?.rêr.llo.Dle,s.rnod ÿro^
€,nbsnl fd sêl êprn8 uêrpleB ol 'qIS êtQueld auua lue a]1êl -nod sês Osr rtn tuaLLrê^rlrurtsur trp^e JlolrelA 'alJol el q Qtrl
op sêÊuuop.lool sêl Ja^noJl g rêprP sêl rnod aJlne oun lsê uê -rqrsuas es êp sêluênbqsuol sêp t3 sêu13uo sop tuêllsuolul
êrnaurêp al?ru.lap Ps]êAnoll steul asoqt aun lsa pupqEror\ .rorurlueJ lê alqrsuêsur lu llolrehl luê.r rnb sêouue
rns Lnluê lsa,s 'ossolq tuot-LrêllolJouJ'ap.leM anb Jto^es sêi suep luepuêdêl rnêllauord^êp ^rns êunêJ un
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'aâeluêq uos ap êsoqr anb anb lê^nes êp J odsê,1 suep êÊe,(o êLL.rU.rOr lêD lreroprsuol apreM 'uarpreS al sêrde,c su e)rlq
nd?.J sIoJuêJ sêp lerauQurer l,nbsJol rnolêJ uos ê..rpuêl
Jnê JêUr1rJêl e td sêl surouruegu auoilxo uêrple8 êpJeM ê -1e,p luepuPurêp rnl uê selono^ap ?lnPunuJLUol El ap ê.IPl
op ]uêLUeJ^êr êl ]ed OuJatsuol êJrepuê8?l ênb êlqelorlJa
rssnP êlQuPld ôun pueqe.ror\ : êp]eM êp uorleu[sap êLr] ]ln,l
odu]êl laLl) ênb luel uê llolrer\ lêD ru.re uos OllelsuL l e^e
.r ünorop êp 1ê rêq^)l lEts ]] êuJQixnep fp ta]edu.rê,s ap uup
ll souol) sap ê.uan3 el ap ênbod?,| e u plrlqnd?] êlsod
'lpaf sopP.rPLlrPl sês êp xnêp lê êp.ieM êJ]uê tuêu]êtuorjJe ^lue^e un,p suorlepuol sêl rlqel9lre^e êpreM Ilo'êurooqrvp
ê]QUP d OU elu Ol eiJnS êrpuêr AS.red IUAIUêU]LUOI fd Sêl
êlqPtnopêr uf,p orteQLlt 'sournr êp sel un rêroldxê lua^ op sl
'sluêrxêu9^o sêp êrpp snld uo sr^ aun luo fd sal ênb lueuê1 êlerb rnèl êp uU el ?,nb êrnleu elluêr^nolQp
uter\ all.rnêLu un,p ênb ê.rlne,p uau êp lressrâE,s au lr 'rpaf êu fd sa tuop a?urlsêp es suep lueururalop a or un onol e
sêrlne sêp 1o erof ap stuelrqeLl sêp xnê^ xnv lrerqert ê êprEM ap uop êl lJos uos ap ]a8?tord ol nd sPd luo,u apJPM
êllê,nb n^OJd r o e sQrdp êuuêrproixrêN uort?8Qlqp êun ê.ltuol êp sro^nod sê ênb tuauuê.rdde slr 'u L!êql u3 rêq^) xnel
o^rtuê^ d odderl êul'r ,êrodo e l : ro^nod uos red êtrnpur uorl sul sêl rê^norl 1o paf.larlP^êtlJ np êro^ el lêle.llei lua^ op
-e]uêt el P QqLuolrns e apJeM ofb tuêuuê.rdde fd sêl 'salLpui uoDooq,l êp Lrê pJP8 ê red s?prn8 fd sê ',êpJEM êp êro1
sap lue^nor1 uê lê slue^r^rns sêp rê^e lueued uf sêuoll.llolne srLl,l êp alsê.r êl 1ê êlrol el êp ro^nod êr êrpuêrdde rnod
sêl zaql soqllrtsur P l ,nb JnêLnop el ap lê rnêd el êp tred rarl
sorl e sês e 0guol lre^e no nlrns
no soârUUr e lr,nb stg89p sal rêrpd?.r.tnod saJnsaLL] sêp aJpuard
tret.rod lr,nb roq^I op xfelsul srorl rlrs saluPSS €uuol sas
tuo rop fd sê 'êpreM ap êlue^ns uortputsêp el to sluaLuou
-q^o sal Jns snld oipuêrdd€ uê,p ugv e.rJof êp ênpuêdsns OJlsrâêruê e êpreM 'uollolor] | suep s]ê]lês sas rêrodrol
u,p ênb lQlnid uop ê) êp êluess nd el lueuârerJ )rua^e,l
ê lr^ el êp stuplrqeq sêl rnod sêlqed ed ê.loluo luos sêtle sês
o.rp?]d êp rnlal I lêuuorldêlxê.lo^nod un lrppqssod apreM
êp sallonbos sêl 'êlnor es rns sqnbo^ald e l,nb so6e^€l sellê
anb êurJo]ur sêl uorloloq,l 'apreM ap êssa8ps el ap lê rpêf
êpJBM Ap êlUe9Lp9p elluêr^r]olQp fd sêl 'êtrQueld ê1]êr rns
rro^es np alleldsloà êpreM olns êp uou np rpaf Jarle^
e plour êN olef lre10 êpreM êp uorteurlsap dqJ .- pd dd .r d.? e I b ./d plP6 -os]Po rLou-d.do? ll
êuLeUlord el ênb tuêr^nolQp slr 'lueSrpl aJ altne êun,p no fa Sè loèf .o.,olo. u .o drl'l lo- dt.d/no. -o el sdlo U
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ronbolqAp tuê^nêd fd sêl ênb êr]ol pl êp.r o^nod neo^
tuêu8edurolle, rnb suorleB lqo sê
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1ê.Io^nod np êrnleu el ]ns SosuodQ.l SaJdold SJnal la^norl
Td sêl lê êrlotslq,l rêluênllur.rnod luo^rop [d sê] )ê lnlrlred lQr?tur,l rns unuLuor tQr?]ur.l êp
?ll eror\ el rêsrlrtn,p uoSel e .rns f^ ne suo lepupLLl qlrJorr?dns eL ap alêl êu-rurol 'sèsnêurdq suo0sênb sêp rns
txolê.r sêp : uollÊ.IJeu El suPp glltE.rohl el JostMn raqruad ês tê'rnrtne ? llot l'tp Jêsnel êp Sêlqtldêtsns suotl
'Nonrr€?u ÿr 30 rÈar'r êp 1ê :rùrdt Enlrs sêp.rêluorlje 1uê^rop slr 'êpreM êLuLLrol rnl onb suop
f.'t lo SNHNoJ xalv,p sêurQur xnP sêluo4uol luo^noJlêr ês fd sêl 'êprpM otlns ap
sêuâedLuEl sêl slrep êJnluê^e allêt rêrâOlur,p uolel elJns
aro^ e lue^rns ul
êlro: Bl ap tnlsqo QlQl np suolletruê1 sêl
S IOSUOI Sêp : Sau8eduel sal SUep AIJOJ el Jarâ?luJ
to ?lLlProlA eL
rns aoxe tuêLUêllortuossa tsa ê.tntuê^e altol
'êrnlua^e allê) suep lueinâu slueltodul
alrol elred sOUSOrdLu
snld sol fNd sêp n5rêdp un: slnaleu soâeuuosJêd
sa[rnE,{oJ sua]ue,p Jed luessEd ua sêluelalurlg sêlod
tuês?]d q tualuoJlle fd sê ênb orlgLu xnE,nbsnl sQlos sleür sluE^optê^ sapuour sêp 'salau
suortPnlrs sa QluanlJul luo suors l0p sês luop arQ UeLu eld sêsnarquou êp rrno]]ed tuê^rop fd sêl 'êpreM êp êBel
e rns 1ê sêuol sêp oJ.lanc el luepuêd êpr?M olns êp L?q,lra^no.rtar rnod itI1ê 0t sê3pd'êp.rpMop otuoDSê.ld
a^ eL rns suorteurroJuL sap : aJnluo^e.J ap ouoluol : êrroj el êp ro^nod 1)) Oddolê^Op e r,nb ro^nod êl.rns le
'êrnlLro^e,l rarurêp a) êp uos ê lns alL]?^ el .lU^no)op êp uue êpreM
oftns rpêf .rêrle^êLlf np salert sêl rrs êp n6 sal tleJa].]p,l
0p sluaLr.tauQio sêp gurnsgr un : ornlua e.l op n5Jadv
êp ênbrqdEJ8oloq uorpJeS êl ro^es rnêl rns suorleu.rolLI
: sêlue^ ns suotleultoJUl sê sêtuPt.rodur,p lueLlrèluêr rpêf alp.to,l op êfbtlat asnêDQrd
Erê^no! faf np ê.rllehl êl 'uortlnpo]tur allal suec Tnonol êun 'uo.Do oll un tuê]^nolgp (td) srnênol sêFeuuos]ad sal
salesno rs suadsns ol Joqlg3 sno^ op snbsrJ uolllos Jl O. .
do sl' O.r 'V'llNr-Lsro l] r)aoJ /D?,14 /o/S dlol l
oDal ap Plap-ne eJnlf,âl el al^lnslnod : uollua]fv OO rd .r.
I'Od tLê -dloo \ ,T sd Nltouv3 no srnorNouH Ü
NOI-UrnoourNl
l

Arrlvés sur Moraband, les PJ aflrontent non seulement renlorts, après quoi i serait en mesure d'aider les habitanls
des ennemis bien langibles, rnais aussi leurs propres peurs, à régLer leur conllit et à é ire un préfel parrnl les leu§. [,4a-
exacerbées par L'obscurité ambiarte. Après avoir surmonté heureuserneft, les choses ne se passèrent pas ainsi.
les défis de Moraband, ils rencontrent un étrange ermile,
Après volr lalssé Marcof sur Arboone en Lul promet-
qui prometde les guider jusqu'au tornbeau de Warde. lles
lant de revenir, Warde lut entraîné dans la balailLe pour le
conduit à un ancien palals Sith, au cæur de ces terres déso
contrô e de la forteresse Séparatisle de Cato Neirnordia. Au
lées, où iL se révèle être le véritable Suljo Warde, toujours
lendemain de la prise de la vilLe suspendue de Jorra, Warde
vivant, rnais rongê par le côté obscur ll est persuadé que les ,u- è',e(-à à a garnt.On de (ô.'e dêrnêrê e. Con pdg iê
PJ sont venus Le tuer et qu'il ne peut échapper à son deslin.
de deux autres Cheva ers Jedl. Ma gré ses requêtes pour
Cependant, Warde est un redoutable adversaire qui n'a pas regagner Arboolne afin d'y fortifier la base républicaine, le
l'intention de mourir sans opposer une farouche résistance. Conseil Jedi déclda qu'il élait b en plus ulile à Jorra.
Pour obtenir le dernier crisla et parvenir au terme des CHRo-
NrouEs DU CaRDTEN, les héros doivent vaincre Warde ou lrou- I\,4aintenir le contrôle républlcain sur Jorra s avéra une
ver un moyen de le guider sur la voie de la rédemption. lâche éprouvanle qui porta un coup rude aux .ledi alnsi
qu'aux unités de clones slationnées sur pLace. Warde lul
À la fin de l'aventure, les PJ auront traversé la galaxie pour partlcullèrement éprouvé en raison de son don de pres-
découvrir l'histoire du Jedi, acquis un pouvolr de la Force cience. Un grand nombre de Neimoidiens vivanl dans la
unique en son genre, et lrlomphé d'un redoutable utllisa- viLle jouaient e rôle d'espions pour les Séparalistes, volre
teur de la Force tombé du côté obscur. soit en lui donnant Le de saboteurs. Les soLdats républicains furent soumis à de
coup de grâce, soit en l'aidant à trouver une éllncelle d'es- lréquentes altaques et rentalives d assassinat. Chaque fois
poir sur une planète désenchantée. lls auront aflronté les que Warde échouait à prédire un incldent, I se Le reprochail.
memes défis que Warde, el apprls de ses erreurs... à moins Peu après, il se mit à arrêter des citoyens sans aulre motlf
qu'ils ne les aient reprodultes. vaLable que ses prédictions. Plutôt que de limiter a violence,
cette initiative aggrava e ressentimenl de a populaton, qui
CONTEXTE DE se détourna de la République en faveur des Séparatistes
Pendant cette période, Warde devlnl de p us en plus ren'
L,AVENTURE fermé et unatique, morgénant ses [roupes et même ses
Suljo Warde était Chevaller Jedi à la fin de la République. camarades Jed. Ses a iés s'éLoignèrent de Lul, ce qui ne fit
Comme ious ceux de l'époque, il combattlt lors de la Cue[e qu'aggraver sa paranoTa, Voyanl des comp ots partout, i se
des C ones, et servit en tant que général dans la lulle vjsanl rnit à éviter les unités placées sous son propre cornmande
à maintenir la cohésion de la République face à la Confédé- menl, persuadé que les clones avaient l'intention de le tra
ration des Systèrnes lndépendanls. Warde développa une hir. Warde avait beau croire en la luslesse de ses prédictions,
grande matrise d'un pouvoir de la Force qui luj permettait, chacun peut contrôler son propre destin. En s'attirant es
dans une cerlaine mesure, de prédire les choix et les actes [oudres des autres, Warde changeait son avenir, et celui da ns
d'autrui. Au combat, il avait la faculté d'antlclper Les rnou I
leque entralt en conllit avec ses al iés devenail de plus
vernents de ses adversaires, ce qui renforça sa réputalion en plus probable, ce qui déforrnalt davantage ses visions.
de maître du sabre laser. À mesure qu'il perfectionnait ses Peul elre e côlé obscur de la Force avalt-il déjà commencé
talents, il parvint à puiser dans la Force pour se projeter de à aflecter Warde. Au fi du lemps, son étal empira.
plus en plus loin dans l'avenit jusqu'à prédire les répercus l
Lestenslofs culminèrent lorsqu'une délégation de dip o À
slons de certajns événements. En période de guerre, cette mates Séparatistes arrÿa à Jorâ pour tenter de négocrer
capacilé était extrememenl précieuse, car Warde pouvalt un cessez le feu pLanétalre. Après avoir prévu que es Sépa-
deviner non seulemenl les stratégies des soldats, mais auss! ratistes n'avaient aucune iftenlion d'honorer leur parole,
les diversions el les leintes des chefs Séparalistes sur lel et qu'lls connpta ent meme s'en servir pour lanceT une
ou te front. Crâce à ce pouvoir, ll parvlnt à sauver de nor(l' contre altaque, Warde tenta d'avertlr les aulres Jed. Ses
breuses vies et à renverser le cours de nornbreuses batailles carnarades lui conse Llèrenl de patienler et ins slèrenl pour
avant rnêrne qu'el es ne comrnencent. que es négociatlons soient menées jusqu'à eur terrne.
Même si Warde pouvait prédlre les décisions el les acles Furieux et cherchant à éviter une trahlson calaslrophique, I

des autres, son propre destln lul restalt inconnu. Après Warde attaqua es érn ssalres Séparalistes, faucha es gardes
avoir eu des visions menaçantes rnais Floues de son avenir, du corps droides et tua les Neimoidiens désarmés. Conster
el peut être de celui de son ordre, ll créa un holocrof pour nés par ces meurlres, les autres Jedi cherchèrenl à maltriser
préserver son savol( notamment les informations relatives Warde. Au cours du combal qu s ensulvrt, Warde ful griè'
à son pouvoir de prescience, et les enseignements des Jedi. vement blessé, rnals son pouvoir de prescience lui permil
Cependant, craignant qu'il ne tombe entre de mauvaises de triompher Il tua L'un des Jedi et laissa 'autre agonisant.
malns, ll répartil une parlje de ses connaissances entre trols Horrifié par ce qu'i élait devenu, Warde s'enfuit sur Cato
cristaux kyber au lleu de les lntégrer à L'ho ocron. ll en confia Neimoidla en abandonnant un de ses crislaux kyber perdu
un à son ami Ce Marcolf, un être sensibLe à la Force que au cours de la bataille I se projela dans son propre ave
Warde espérait incorporer dans l'Ordre Jedi. nlr et vil qu'lL rendrait son dernier souflle sur lvloraband, a
planète natale des S th. Ses visions étalenl elles exactes ou
Warde amena Ny'arcoll sur la pLanète Arbooine, à la
recherche d un lleu pour accueillir une base répubLicaine. troublées par le côté obscur ? lmpossib e de e savoir Tou-
jours est il que'anclen Jedl dlsparut. Étantdonné la gravité
Alors qu il comptait sur le soutien des aulochtones, il s'aper
de ses blessures, les autres Jedi Le crurent rnorl. lls ne s'ima-
çut que la vl le de Ouolas était l'objet d'une lutte acharnée ginaient absolument pas qu'l se rendrait sur Moraband.
entre les familles Helshar et Tumris. Warde savail qu'il devail
stabiliser la comrnunauté avant de pouvo r étab ir sa base, Ward a survécu sur Moraband. il y attend a mort, lour-
majs aussi que placer un des deux clans au pouvoir ne feralt menté par ses propres visions, jusqu'au jour où un groupe
qu'c\a.erbe es .ens o_5 I dèL oo don( de 'orrt e \,4d,- d'lndlvldus sensibles à la force mettra un terme à sa misé-
colf administraleur en attendant qu'il revienne avec des ,doee(5ence

INTROOUCTION
i1(nnD oo l:rFtoü{t
i NOt.t-lnooù-LNt
,
tue^e]edne sêruuê)op sap oluflsqo,l suep t9 e8?d ?tuos?Jd tso rErls êH uErUted êp
êprEM rêlnrsPq lel e rnb rno.r.lal P ênb sule'apJPM oltns luoJd êl uorlre.l q rêssed Jnod salrEssêlqu sêlrnossêr sêp
êp rêq,{)l elsul rê urêp ê puêIp sêl ênb q lsa,l SêUQLU rasodsrp op tuopua]]p sotdope ses to u?rqted tuêurêÊueql
xnê êrpuêJ I,s sLnd LllrS sap ê eteu atQUeld êlqetnopêr el n€ tuo.rLdsp to aluessreu .rnêl srndêp llolrp[\ ap ânol al snos
ap sê?uuoprool soL i _r^norQp p.roqe,p tuê^ op fd sê Jpos nlq^ tuo nb snpr^rpur sop splono op êssounêl el ap ortrEd
-rd9lêl sueC 'sarnssa q sês êp lrour lsê l ,nb êLUns?rd uo,l r-ro êpueJ8 êun puêrdurol êdnor3 ôl luaurêddolê^Cp urêld uê
pueqeror\.rns rnluê lsê,s r 'e poLU êN ole] rns teqLuol uos êruelsrs?r êp tuêurê^nolu tLtad un,p lêrlr êl lê xnênlodru
sQ.rde Qssêlqtuêu]a^erD opJeM êp ]]os ê lê^norop luoJnE êLuLuorl êunêl uf ]sê leqslêH L1o)l êp têpel slu êl uerqled
fd sêt 'senbluorq] sêp uu : lll aposldl,l êp tnq?p nv
UVHS]SH NVU HIVd
oQr qlQp ol r^ elro^nPs ap uotrour unrê^noJl no sêqel
uoLlrnsur luêLLrLLrêreddE s!,1?p sêp q êlel q^norlê.r lrel?,s at êâpd otLraserd tsa rplls aH Llo) êp Llord êl sejono
lr puenb êpreM êurLuol 'Olrd sues srurêuuê $nêl arnJlgp êp luord ne sêlrnossêr srnêl luorêrlesuol sêlla,nb lê xred
xror-ll un êJreJ lnej rnal ll sêluênbosuol sal JêluorJlP uê el arel luo]]nod sêou3rl xnêp sêl rnol un,nb a]Qdso s eul
tue^ropfdso t0 apJ€M ap]nêol np.rnolfe elura.]l? uos ]Le.l 'ê1ln êllêl suep êlQr uos rênol êp ênuLluol êlf suulnl
-]êssêr rnlsqo ?tql êl Qo ênbodQ,l p lrodsês?p êp êqtural LrE l êl lê êL rr.uel ps arluê ?lrle^L el rêllêr3êt e êtuêLuuto:)
oJnenD es êp r ua^nos êl apre8 eJrof ap ênpuadsns êl L^ El qoy 'ê es êp êlnlsndqrr nV seiono êp sêluanUui sn d
souoll sop orênD el luepuêd so]fssolq sêpuoJo..ld ap AS lu ^
sêl sêllrurel sêp êun,l êp êqlreLleu el lsê reqsloH r.lo)l
e êpreM oltns êllênbe eêlQueld êun'erplor!rêN otel rns td
sêl trnpuor sorüglueJ ap ollnsrnod el e : lJ aposldf] rvHs'trH Ho)t
elsrJl np.r edurê,s rnod uerll êi rêsrêAuê.1
' êp no tuê.rsQp sLr,nb ar Jruêlqo rnod llolrPL^ lê^e rê]oqello:)
Zt êâed OluêsOrd ]sê
suLuntJrpo,plllo,d al êSueqlo ua.ro^nod ê luellêu.roJd rnl
ap êss Êe,s l ,nb !êpglord luêulLlrol rêpD?p tue^rop fd sol
uê tuêuJênb un sreur 'llolJel^l Jêsla^uar q rêpre,p êJrurp uol
' I rel]tPs sêl rêur Jddo rnod sro^nod sês êp lrês ês lê lênrl
êl ap ê q ssod trp.ras I selofO.ù'rs so^ure tuos Jlol]ef,l lêC ta
I euuouunnuê^êptsêlnrsqo?telêl]ednduJolol Jlor]e^
êpJeM otlns r-ro rfol np aLun!aLUp rêAe tua os to sêquue
i ste^ êpreM êp sollosse suoDue sop un,l 'llol.r?l loJ ra^ sêsnoJqLuou êp srndêp uell uos êBu p I selono ^fos ap solllL!pJ
, -norl Jnod selono êp êlo)r.roqre allr^ el q êJpuar ês tuê^rop slr
sêtuess nd xnêp sap êun, ap aqlrpued al tsê sr]unl rpo
. !o aurooq.rv alQueld elrns êuQur sêlronod uos êp aAâode,l
.. . i 'r € êpreM êp uo tptuosqJdoJ êUol etgp tuopQssod slr,nb xnol stuuunr üloo
i' ap un, suep uêr e3 ê lueJ^nolop ua lros ']ê[qo,l Jns lueq
Luot ua tros 'aplEM ap uolloloLl,l êp uê ple8 êl tuê.[uo] Bt ê3ed ?tuas?rd
-uar fd sêt 'uolpJeâ np êâelrgqJ : t aposldf,l suec tsê llor.rer\ lêD êp lUord êl êlrol e luoLuurê lsuolur tues
'êSellrs uos supp sêQSs el p L,nb salqnoll rltn uê qluolo^ es êsodu| lê r o^nod ne êLllorllp.s rnb
xnea sal ruJJpd rar8r^eu luoJ^ap fd sêl 'arxeleÊ el sJê^erl lênJr ue]^t un fua^ap tsê ueleurn êl 'rnq,pJfolnv uo.rl
? sÇururOSSlp e opr?M onb rêq^I êp xfels rl sro.rl sal suep olor.l uos êp lo!tuêtod o tnot.rênbolq?p Jnod sê.]lessarqu
glnLurssrp Jro^nod êl lê ro^ps êl rns urpuJ el aJllau ]nod roq^)l xn€ts.D sop un,l Qguor e rnl opr€M tuoLuapueLu
êL]o! pl .rarueur op lre.l luoJpuêrdde ,{ s I opleM oltns np L!ol êp atsod uos ap snld u: êurooqrv atQupld p rns'sel
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IUnINI^V,'I30 pueqeror\ rns : ournLlur 010
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tse U LUeD np luoJd êl rêpre sêl êp êJlurp^uor al tua nêd nolQp luê^rop ld sêl arols^ur êlrap lnlg uê inod ?ddolê^Op
Td sêl tê rpêf arp.ro.l êp uol]L]edsrp el luau]êlQltês ê11ê13êJ lrp e l,fb anbrun ê)ro! el ap ro^nod un,p slaJlês sê lupu
ll êp]eM ep nLuO Juê^nos un êprE8 urureD el souol] sap êtuor uo.Dolol] un euuopueqe lê rpêf rê le êqJ anb luel uê
êriên3 e tue]np op.reM op sqtql xne rNês e nb êuoll tpplos sêuoll sap ê.uarD pl ap s.rollr^Jas nb ureLufq un lsa êpJeM
« N ll\tvg 3't » EIE-]|I 3ouvrvtofln5
19 oBed oluêsQ.rd lsa paf sêp suo trpe]l
reseH urêJUO,p lUord êl sarnssêlq sêllrê êp.lu^noJ ap uretl sa auÊrêsua rnêl tê êpreM êp sêlert sêl rns fd sal aprnB I
^
uê rl^nol9p sol lre^op ollê rs fd sêl ]uêurLuelou 'a)o! el ap 'ep.reM op anbrLldErSoloq uo tlê[o]d êun,p trêdse,l snos tuel
sJnêlesrlrln sêrtne sêl snot q puê19,s ?ll Llsoq ê]]êJ etp.Loul sêlrueuJ êS uo teQJ] es êp luêLuou.r ne êpreM olns êp siru
roN olef ap êlnqr el êp êlqesuodsor altq,p asntl€ êlla,nb a^nos sal snol apQSSod ll sonbrlsrqdos snld sê sêplorp sêp
'êp.rEMolns s.ra^ua êureU es.red ênb êOsd llq tsa,u uortrquJp,l Ipdnld pl anb tuê8rllêlur rssne suiolu np tsê uêrpre8 êl ral
luop êuuêrploulrêN êLUUI np êuuo.leq êun lsê JeseH utêJuo red tuêurordo]d q uosreJ op qnop êJ1O un,p sed assr8e,s êu
UVSVH NIEUNO Lnll uêr8 rnateQ.D uos ap 4 dsur 'sanâoloLl]or] sês êp lred
-nld pl êururol 'tso opteM ot nS êp uo.llo otl,l ap uêtpre8 al
9t aBed Qluêsord 1sê uerqrl lnp np luo]d al luaLuêlup p,
NSIOUV9 l'r
êp Jruêtqo,p r odsê,1 supp ênb ldLu ,s lr,nb êlqeqord tsê lr 'rpêt'
np êBetruoq, ? sQJd ap tuassol?tu ,s s L,nb ]u^nolop e lteuê 'N OùVC nO SSnO|NOùHJ Op SIUêLt_l
lr,s sreLL.r 'fd sêp sllllalqo sal lê êluasqrd El êJouEr lnq?p
l -êu9^Q sêl suep tuellodu.r alQr un luênol s]ue^ ns fNd sêl
nV p.r.rof rns êJrdluf,l ap lueluêsordêr êl tsê uerqrl rnp al
NV|AUT NOüU3 fno 11 SUnErUn SS9VNNOSUrd
\-
I
INTÉGRER LA FORCE
DANS LES CAMPAGNES
llo .r, oo, e 'ê ul,rsê avê' FoRcE ET DESTTNEE CHRo- AUX CONFINS
Unroues ou cenoreu pôui auss. aoaptêr a r\ jê-y oe ro ês
r'Ène oe re RÉBELLToN et Aux Corrrns or L'EMPIRE, et lour' DE L,EMPIRE
nir un bon raoyen d'lntégrer la Force dans une car.pagne.
CHRoNrouEs DU GARDTEN a beau avoir été spécifiquernent
Lavenlure se focalise sur un holocron, prélexte ldéaL pour
perrnettre aux personnages qui vlennent de découvrir leur conçue pour FoRcE Er DEsrNÉE, L esl facile de L'lncorporer
dans une carnpagne d'Aux CoNFrNs DE L'EMP|RE. faventure
senslbililé à la Force d'en apprendre plus slrr eux mêmes et
fonctlonne mieux si au moins un des PJ est sensibe à la
sur ihérilage des Jedl.
Force, et un ou deux pesonnages de ce genre peuvent suf-
Dans e cadre d'une campagne d'Aux coNFrNs oe r'Eusne fire à relier un groupe de renégats à l'aventure.
ou cle r'Ëne DE LA RÉBEr-LroN qul comprend déjà un ou plu
Lhêrltage de Suljo Warde (Les crlslaux kyber qu'il a aban
sieurs personnages sensibles à la Force, incorporer un ho o
donnés) représente une formidabLe rnotvation pour n'im
cron constltue un excellent moyen d'améliorer leurs pou porle quel Fugllif de la Force. De plus, les artelacls des Jedi
voirs. Un tuteur vlvanl Leur imposera t peut-être de quitter peuvent constituer une incroyable source de prolil, peut'être
leurs camarades, alors qu'un holocron se lransporte aisé mêrne sulfisante pour effacer l'Obligatlon d un personnage
ment, permettant ainsi aux PJ de se concentrer sur eur d'Aux CoNFrNs oE L'EMprRE, ou du moins pour payer une bonne
apprenlissage à la laveur d'une pause. partle de sa dette et lul accorder un sursis. D ailleurs, les pro
Lholocron de Warde permet égale[]ent d'expliquer com- jets contradlctoires que les PJ pourra ent nourrir vis-à vis des
ment es personnages acqulèrent une spécialilé de per crislaux pourraient provoquer une dynaraique intéressante
sonnage sensibe à la Force en cours de jeu aLors qu'ils au sein du groupe. Iun des rnembres pourrait par exempl-"
n'avaienl aucune connaissance préalable dans ce domaine tenter d'en lirer des enseignernents, tandis qu'un deuxièr.e
La découverte d un ho ocron pourralt révéLer une sens bi essaieralt de les vendre sur le marché noir et qu'un troisième
!ité lusqu'alors inconnue. Posséder 'holocron ne permet devjendrait obsédé par leur imporlance historique.
cependant pas aux personnages d'accentuer eur connexjon Étant donné qu'il est peu probabe que les P.l d'Aux
à a Force, rnais plutôt de puiser dans des aspects de leur CoNFrNs DE L'EMPIRE soient déjà en possession d'un holo-
personna ité qu'lLs igforalent peut êlre. Ce genre de révé- cron, il suffit de jouer la sectlon 'llouver l'holocron (cf. page
lation pourrait surveniT orsque les PJ exarn nent l'holocron l6) pour incorporer cette avenlure à une campagne d'Aux
ou tentent de l'ouvrir et s'aperçoivent que malgré tous leurs CoNFrNs DE L'EMprRE, en y apportant toutefois queLques char-
elforts, il ne s'active qu au contact d un ou de plusieurs per gemenls afin de refléter le fait que les PJ ne sont sûre..ent
sonnages en particuller. La slgnlfication dun lel phéno pas tous senslbles à la Force. Mais Les PJ d'Aux CoN.rNs DE
rnène pourralt leur échapper jusqu'à ce que le gardien leur L'EMP|RE pourraienl acquérir un holocron de blen d aulres
apprenne a nature de 'objel. manlères : en e Tecevant en guise de paiemenl de la part
Si l'un des joueurs déc de de créer un personfage sathari d un erap oyeur à court d'argeft, par exemp e, ou en e lrou
(cl. page 15), ceLul ci peul représenter un aulre .noyen d'im vant sur léLagère poussiéreuse d'un ferrallleur, Le gardlen
pllquer les PJ dans 'héritage de Warde. Le PJ satharl a peut- est rnolns enc in à aider des PJ à qui il lui est mposslble de
etre des amis ou de a famille habilant la ville arborlcole de dlstlller ses enseignements, mais ll fera ce qu' ljugeË féces-
Ouolas et qul ont besoln de son aide pour renverser le tyran saire pour se retrouver entre les malns d un ind v du suscep
nique Cel Marcoll. lib e de bénéfrcier de son savoir
Cefte aventure oflre de nornbreuses posslbilités d'explo
rer les bas"fonds de la galaxje tels qu ils sont décrlts dans
Aüx CoNF,Ns DE L'EMP|RE. Si les PJ venaient à s'impllquer
dans le conl il dArboolne, les rebeLles sathari ou les adeptes
de N/larcoll (voire les deux) auraienl besoin d'armes, de pro
vislons et d'équipemenls qu'iLs pourraient leur fournir. Calo
Neirnoldia esl un loyer d'activilés crimineLles ; s' s ne se
r.ellenl pas Onre n Hasar à dos, les P..l pourra ent 'utillser
en lanl que contact pour de prochaines missions. Depu s es
événernents de la Cuerre des Clones. la dernafde en armes
et autre.natériel de contrebande est ef constanle augrnen-
tation au sein du syndicat crimine de Hasa[ Les PJ pour
ralent s'al ier à e le, el devenir a nsi des ennemls jurés du
duc lrb an donl a sérénilé serail troublée par leurs activités
criminelles. Enfin, Moraband elle même regorge de précieux
artelacts Sith et le fait que L'Emplre en cache l'existence
depuls des années en fa t une cible d'aulant plus lenlante.
Bien sûr, un grand nombre de ces sinislres reliques peuvent
s'avérer dangereuses, mais c'est lout à I'alt le genre de défi
que de nombreux perconnages d'Aux CoNFrNs DE L'EMPrRE
sont prêls à relevet
ilq û, tE s:rE{oàH,
( NOIJJNOOAINI
.é_
.ltoAêc ne no uorlpâtlqo, € 1uêLUêlQllpled 'oluêlor^ el rorpuê3uê,nb
olrleror\ Pl êp uortesrlQn,l Jns slrêsuol sêIne,p rnod slNr-L lrPl êu alualor^ el 'sro|ed la lasel ê.rqes un la e oLuQuJ
-sro .tE sruol êp sêlâQè êp êr^rl np Bgt aSed el g sno^ zol ']uêLuênbrs^rld JêurJddns 1nêd êu uo,nb saururêlLp sêp 1a
rodoà sasoql sap ênbrls,{ur 1)êdse,l Jed sOdnlroord su orx sllgp sop rotuorJle tuê^nos tuê^rop êl.roJ ej êp suordurPul
sq lle srnêl tê elrol El ap sJnêtesrl[n sê] o.rluê an^ êp lurod sêl srel npr^rpur,nb tuel ua oluêsQtda.r lr,nb aleuouJ el q
l
êp sêluêrojlrp sêl ê.Inpert rnod (ro^oc np no uorteSLlqo,l ap auJ]ê] un êlllauJ I elnod rurêuuê Lrn rêuruddns êrd êl rnod
areld el q no luauro dLuor ua) êdror8 ê lnot p êr o^ 'sa3?u tê rnallrêL! êl.rfod 'xroLll sJna êp sêluênbosuor salrauJnssP
-uos]od sap oL].]ed auf p ?trlpror\ êp sê8Ql sal rênb ldde luê^rop T.l sêl : sluêruo^uolur sap lê saSeluE^E sap rêIod
êu..rou.r l ernod fn al l0or uos êp pJPSar fe êl ollr^ aun,p uJol t op rLUêuua un lueu8redo uê rnêu8rês puerS uê r 3v
.rnalP^ e têsêd luê^op sêllêqa8 sêl Jê ar^i^]lts rnod êrEs ?tr Pror\ e rns tl€dLur un Jo^e.rnod trluol np uoitesr qn,l q
sêlQu lso rnb ar arej tê êllaurluL) luauJêrQl]uol êrQLueLU sEd luêu8rêJlsêr ês êu rnb sJrle.r.reu sla#a sêp Jro^p lua^rop
êp .Iâe êrtuê êtrlurl el ]ê^noJl luo^rop oL eL slotl sêl êl.lo! fd sêp sênbrL-llo xrorll sal alrol el ap rnlsqo o19l np luos
e e salqrsuês sêrlo sêl ênb sallêqêr stupuEq[ro] sê ta o e ?JdiuLlro tre]]le,l ? la ?11 eion el q.rap.rolle tuêtreunos s r,nb
sJoq sol tuetne lnot êurêluol lPu.r np lê uêrq np uo 1sêfb êtueUodr.Lr,l rns rêqluêd ês luêr€r^ap s.rnênot sêl la fl l êl
el anbruelolu 1ê,!lê,p n^rnodQp ]sê r,s êLrrQu.r 'tupt.rodUJ sêluêr?Jl p sêllêuuo lourq sassê qLPl êp lê sêlloj ap
ldêluol un lsê J o^nod np ênb qlo,l NorTrr€lu vr rq rùf,r
solop fd sêp rênbrdlur,p êrQrueur el rns sêopr sêp ]a 'sa)ue
do d rurdwS.] ro sNHNoJ xnv.p .ê8âJLos.èo <è .nod
lrPlap no suortle sêurP!êl lueuJêluor slrlJuo] ap suortsaa
êrxe e3 e rêAuê solrlrqes -8ns sap 'alrleror\ e ras lrtn,p uo5El El rns slrêsuol xnêrquou
-uodsêr srnêL êp êelrod El sêruQLu xno.rou Lu.rolQp lua^rop sl ap ê]llo arftua^e a]]êl 'êurQqtr êl rêJSQlu rnod êJrfpordêl
'rpef suattue Sê ênb 1lê.r p surour lerouJ luêLlrêuÊedL!olle sêl êp no suo5êl sêp rêr] uê,p lrsroql luol^op ]a srna.ra sas P
un,p tuêDUQUQq [d sa anb ?uuop lue]: s]]ot sas raredor êp soluorluol ]uê^norlêr ês ld sê sêleJl sês lue^ ns ul Jnlsqo
uou no rlsroql op ulle rpef np sotle sop suorssnl]êdQ.r xne olQl Irp rêln)seq red uu e êurour-rnl êpJeM 'll aposldl,Llue^e
lê I ess rJnou lr,nb suorluêlu xne rql?lJ?r 1uê^rop fd sêl 's?l
uênLlu e apJeM ênb sapuour sê rLured êâe^o^ rnêl ap s]ol i:,,i",ï':",,':J,?;,':!*'llil#iltTr,"R:ï'::iiu
\
NOIIVUUVN Tfl SNVO
luluuow Tfl ussnlrn
tuêuon3 sal rnb sraSuep sêldrllnur sêl .rarluê lnol êdfoJ8 np slrollê xne
9r8leLrl sê laqaè üuo8e sap tnod lo uê uorselto êun lê 'êrLd no Td su elrêl êp sro^êc xne]o]ôatul,s lre.tJnod lrtlêlqo têl
ulf.l sla^uê aleuêur êun rêluêsQrdêr lrerrnod olQueld allêl leuqdLur uorLB êl suep sed êqluot au lr,nb rêrnssp,s êp uue
Jns fd sêl puê]]e rnb al oluatsxa,l raLnurssrp uê c oureqrP rê.roqellol ap uosrer auuoq êun Lsure luoine fd sêl 1ê ua preS
lsê,S ê.rrduf, anb Uoster ê dU s B rnod Non]r€lu \fl lo ruf.] êl : xner.r?dul stuaae,p sureur sêl êrlua xnêJa8uep luêurêul
do >d8eu .o5rêo sèo .è. to pr' oo pupqelo^ dld .a cl pl àp 0Jlxê lrerêI9^or ês êpreM op a8ptuQq,l anb oldlL]ol a.lpuêl
êlonb e 'uUUf uorl êq?è e .rnod êQtLle êsnêDOtd êun lêlO^?.r os olr^ luo]^êp fd sêl uorssêssod Es uê sroJ êun ê dLuêxa
ês lre.unod olla anbuQlPLU aurut np êuuoreq êun êr]Q n€êq red 'leuQdL!r êJlJol un,p êJ erlxê,| no rluêuuê gperB tneq un
e res€H 'ê?re dLuê.r e,l rnb êrdur:,1 tê anbrlqnd?È pl s.lê^ua c rêsrlnqns êl luêrerrnod slL 'uou s (gL ê8ed ltl uoJf,olof,
slarB slue!odLUr,p s.tnolnot tutnou nb LeseH uêruOp -oq.l Jo noJI uorllês e êp llj nE uoDoloLi.l llQnbte luaLu
sQrdne s]nolas]a^noJl su ouJuequ luêrernod ld sal êQ O^Ol -êlrle] luê^fad NornEsgu v! ro ruf.r êp sa8eLuoslod Sal
l!el? elp.Lor-trlêN olel rns sêllêqêà op aluasaJd e s sêlsttEl llLluol or oP luelep safbuPld
-edOS sal la^e ?ssed uos êp êsnel g êlQueld aual rns êuB sal 1ê soseq sa tuêurêleÊo uEUuol lr 'ênbr8Q]e]]s êsuodxo
rod es luêrluleLLt rnb'uerqrl )np ne rêllnoq ês êp luênbstl ê11êr êrtno tnole alqPprur]ol un raluêsordêr lnêd rnb êl
uo Llaq0u el êp sleplos sê 'erprouJ aN oleJ lns rêutultlq, êp 'sêuo J sêp êran9 pl ap lustep s0.lreltltLu sê)uess euuo) sap
no raurqoquJa,L êp uê,{our un .rêAnorl ? srêru.rêp sal.têt.tol êp opQssod uoLpreB ê 'lnol sQrdv êrrol el q salqrsuas sed tuos
lurod ne 'êurooqrv rns sêlêqal stuêBe xne sêulQlqoJd slê?l êu slr,s ouJQuJ aultedled e sluesoddo sal lê^E loroqElol q
êp rêsod lrpr.rnod sIeJ^êC lerles lueuêtnêr êl tuepuôdêl lo.rd lrel E tnot erês uorpJe8 êl pêf sêp uotllnrlsap el êp 1ê
'NOnlrSlU \rr ao rÈ3.',r êp sêÊeuuosrêd xnatqLltou ap sanblSol ol dLlll,l ap luêLuêuQ^e,l êp luernol np srol aun SleqLuol
oQprslrl)êlqo sêp êr]red t el lr^Qs a lê !o lnotJed êtuuer^1pl sêl rns gxe nal un suep ÿDM JDls êp sênbrls^ur sluêL!?l?
ras.ro^uê-r 'ê-rlno uf 'a lêqa8 êluerllv,l ? êrEurLU tê êllêr.rQlPuJ sêl Jêrodrolu,p uê^oLu uoq un ]olQ^e,s lre.rnod Nomsslu
aluelsrsse êun rurnol êp srêruJêp sat êllu e^uol 1uêlerlnod vr 90 3ùa,r ap êuSedLUEl oun suep Nr<ruvD no slnorNouHJ
[d sal '3nol uos êp ].JeLlteS sêl lueJoqr u: ênbrlqndQè €l .ror8?lur 'luênbosuor Jed ranbrpere sal ? êLlt.lorll rnb oltd
snos suotlluol sas sLd e r,s êurQu 'nuuota] le.rqdLul luel 'LUf,l rEd sQnbe]l luos slr : unLuu.rol lurod un truo êlJol el
uêsoJdêr un tsê Jlor.rel 1o êlrdruf.l Jed ênuêlop alQUpld e solq suas snpr^rpur sêl ta uorLlêqoà eL ap sêlqu]êLL] sê-l
oun lsê êurooqJv 'Nsrouvc no s:rnorNorH) suep lnalpu a Q]
un rênol ]nêd ênbrllele0 a l^Ll arênD el [n np q]â nV NOl1138rU Tn rO 3UI,1

POUVOIR DE LA FORCE :
PRESCIENCE DE WARDE
Gdlo Wd cl. pra,r pa t Ç.'rpremê-. doué po prêd ' la\ê AMÉLIORATIONS
Ùn . .- oo- Q-'il drle o'a 'o'.0êdoê re't dr oP 'a Les amé! orations de Presclence de Warde visenl essentielle
vle, au polnt de pouvoir devlfer cornrnenl réagiraieft les gens menl à augmenter son efftcaclté au combat. Chacune d'ele
avanl meme qu'iLs ne se solent posé la questior'1. Alors que confère à l'utillsateur de nouveaux rnoyens de prédlre les
Warde a depuis longternps quilté la scène ga act que, les PJ acles d ennernis potentiels ou renforce ces eflets ce qul
jui
peuvent découvrlr les arcanes de ce pouvoir en se lormant permet non seulement d'éviter ufe attaque avant qu'el e ne
grâce à l'holocron qu'l a abandonné.
solt ancée, mais aussl d'opérer une frappe préventlve.
Ma gré loute la puissance qu'lL conlère, ce pouvolr est à Amélioration de contrôle : Iorsqu il effectue un lest de
double tranchant. S'il procure une vislon de 'avenlr, il ne compétences visant à délerminer Ilniliatlve, l'ulilisateur
s'agit cependanl pas d'une vérité unique et absolue. Lave- cle la Force peut le combiner à un lest de pouvolr de Pres-
nir est volalile el lluctuant. D'ifnombrables facteurs, notam cience cleWar.le. I peut dépenserOpour alouter automat!-
ment les propres agissemenls de son utilisateur, peuvent quemenl * au prernler tesl qu'i eflectue lors de celte ren-
nf uencer les choix opérés par d'autres personnes. Ce pou contre [après e tesl d lnitialive]. LullLisateur peul 'act ver à
voir peut sauver la vie d'un etre sensibe à la Force, rnas plusieulS reprises et ajouler ainsl * au lesl en quesllon à
aussi soulever des questlons Lroublantes Comnlent !'utilisa chaque activatlon.
leur peut'll êlre str que ses propres choix n'ont pas poussé
Amélioration de contrôle : lorsqu'lL comblne un lest de
son adversaire à aglr comme il l'avait prédit ? Cea signi'
Presclence de Warde à un test d'lnjtlalive, 'utlLisateur peut
fiet-il que frapper de rnanière préventlve le rend cornpljce ? er test qu'il eflectue
dépenserO pour aiouter {i} au preTn
Par conséquent, ceux qul maîtrlsent ce pouvoir peuvent lors cle celte rencontre (après le lesl d lnitiativel. Lutilisateur
entrevolr une issue posslble qu'ils rlsquent de concrétl peut I act ver à pLusleurs reprlses el ajouter ainsl {j} au test
ser par leurs propres réactions face à cette vsion. I\,'lanier en questjon à chaque act vation.
ce pouvoir nécessite une sagesse et une rnaltrise de soi Amélioration de contrôle: une lols par rencontre, l'utilisa
lmrnenses, sous peine de se perdre dans un cerc e vlcleux
leur peul utillser e poLtvolr de base au prlx d'une manæuvre.
de prophéties auloréalisatrices.
Amélioration de contrôle : lorsque l'ut lisaleur comblne un
Si les PJ paryiennenl à la maîtriser, cette varlante du pou- test de Prescience de Warde à un test d' nltlat ve, s'il n'a pas
voir de la Force Prédlcuon [cf. page 296 du Livre de Règ es de utillsê a pour obtenlr O , chaque alL!é ajoute automatique
FoRcE Er DE$jNEE) peut leur procurer un avantage substantiel
à la lable des négoclations et au combat. lutillser contre un
rneft * aux résullats de son test d' nlllat ve. Sl L'ut llsateur
adversaire peul permettre à un personnage de prendre inllia
a .ri e O po .' oolê ir O. . peL -11Êd dl,'-re-l e [P
tuer une action avant !e début de !a rencontre, mals chaque
tlve et de frapper avanl que son efnernl n'ait eu a chance de
'
oègér'le. Lês r_il'sateu " oe'rol . oe{ o .\''' odr e I\ èn e,
enfemi présenl ajoute automatiquer(lent *
aux résultats de
son test d'lfiliative.
s'ils peuvent rendre justice avec intégrlté ou si Leurs prophé
lies les plus sombres tiniront par Les ronger Bien que leurs Amélioration de la durée : l'uti isateur peut dépenser(fO
thèmes soient similaires, les personnages peuvent apprendre pour que les bonus conférés par ce pouvoir s'appllquent à

à la fois Prédlctlon et Prescience de Warde, ces deux pouvolrs tous es lests pertinents pendant un non'lbre de rounds égaL

de a Force étant indépendants quant à leur mécanique au nombre d'arné ioratlons de Durée acqulses. ll ne peul pas
d. t\ê' Cef-e arnôlo'a 'On P US o U .
"O
POUVOIR DE BASE Amélioration dAmplitude i lorsqu'l comblne un test de
Prescience de Warde diffère de rombreuses capacltés pro Prescience de Warde à un tesl d'lnitiative, l'utilisateur peul
phétiques dafs la mesure où ce pouvolr se concenlre ttès clépenserO pour ajouler automatlquemenl *
ou t!
au pre
étroiternent sur une personne spécllrque. Au nlveau le p us mier test qu un alLié à portée courte ellectue lors de cette
basique, 'utlljsateur observe non pas l'avenir du cosTnos, rencontre (après le lest d'lnitlatlve). tutillsateur peut activet
mais a destinée d'un individu particuller. Cependanl, rnême celle améLioration à plusleurs reprjses et ajoutet ainsl *ou

les indlces conférés par le pouvoir prophétique de Warde n-' $ au test en questlon à chaque acljvatjon.
constituent que des probabilltés. Lavenlr change en lonctlon Amélioration de Portée : L'ut llsateur peul dépenser O
des choix des individus. La décision mêrne d'agir d'après ces pour augmenler la porlée du pouvoir d'un nombre de
visions ou de s'en abstenir peut altérer les résuLtats afnon- niveaux de portée égal au nombre d'amé iorations de Por-
cês. Leffet de base perr.et de dépenser des poinls de force tée acquises. ll peut activer cette arné ioratlon plusieu§ lois
de la manlère sulvante: pour accroltre d'autant La portée.
. Lutilisaleur peut dépenser O pour obtenir des indices Amélioration de Puissance : ors de son prochain test visant
<rr a 1an ê . oo'' u' i.oivid rd po'tèe -o]rê poLrra t une cib e (ou lmpllquanl dlrectement une clble en cas de test
se comporter dans un futur proche. En jeu slructuré, efleclué hors comba0 l'utilisateur peut dépenser O O pour
cette conna ssance ne s'élend pas au delà de la fin de obtenir autanl de n que d'améliorations de Puissance acquises.
la rencontre actuelLe. ll ne peut pas actvercette amélioration plusd'une fois.

INTRODUCTION
CHROXOI'EI PIJ GARI'CX
\
'sêlqeqordur tLel e tfot suolsr^ sêp q t el uê uo, ênb êl tsê u tsêp o onb oQpr,l
.rêuuoluel ês sed sreu sed luolos leA_t as êu nb sluoLLlêu rns luPtsisur ua ap.teM ap aluêDsêJd êp ê^ lelal Êl l€lulo.
0^Q sêp ralg^or tlop to tnêd êpreM êp êluêDsêrd ql rQ^ Jêsuêduol ap]olrollê,s lrop Tr\ ê 'tuênbqsuor red uo.l
el auQL! pupnb êlQ^A.r ollo steLU'sed êJtO,tnêd elêst EQt ês e lrês )l-lêl êu ôrrol pl ap I o^nod nEê^llolt tnêl ts sÊ]lsnll
êu uosr^ el 1uêllsqe u0,s l'leuu ne s êL!QLLr'lnole xnêrl luêluês as srnênolso onb êlqeqord lsê olQl êrtnp !n,C
-Qrd un ênl lsuol aluoull.ladur uoilsênb êun q uorlleQl uê
r u0^€ inêl êp
sa qplo.rlle a 3rêuQ p sônBe^ sêp -rêuleqlQp trer.tnod aBeu suors sêp q sÇltuoJluo) luos sl puenb snp pu sap xrol.ll
uos]êd ut,nb -to^es'aldurêxê rpd 'oqulaluol êuuosrod el ^
sêp luêLuêleâQ ^ puêdgp ou
s eLU 'sêtl?qdotd sop ênb sed
êp tohs re luêurtrêd lo trexê lptQp un êl:lo-lnêd erêl?^Q] urtsêp êl êfb lsa sJol4 -/DjS êp stuêrel snos sêLuQql sop
êllê'sed ês le?r ês êu uorsr^ êun rs êLUOt\ 'êpteM êp êluatl un,l rer 'alqefLUur sed tsê.u rntnl o ênb ê.lpua.rdruo) êp
sêrd q êlqrB altn,p osoqt êfblonb srnolnot tuôuua.tdde . .o lod Li lso
'5au tJl sd.tr p o u . I ud\p.. ,\ê u.rL
A
'r
sêSeuuos-rêd sêl ofb .ro.rnsse,s e olsrsuol uotlnos aun . \nor .d.l.ornoj t.o\Dèl 1 t0,. e ur-o!
"0._r..po
sNotllru]Ud I3 slgvslud
ê (l:r Elartuor zêftr:_.:
'ê üe[ ul.p]sal uos êp steÏns?r xne if, luêluênbqeuolne atnolelLrâs sfo ênb tsat u €qrold fp:.:
à.0 .o..dd Oa. ôtx'ê4LO lêleè0.-OdOd ,\aLOlt pdl.t .J' .dd leL,d.rtpeLut /d1OO\,tO lD Uel sas nbre allress ni êp s- :
qoriodaÈs tnzè^psno^ S è^letru p:t.èt uos ôp stâllllsgt xne *]ueurarb teurotnp êtno[e 9r[e ânbpq]ilDIu ero llLre p ênb E êp lLe: .
atqo rnod a èsr ln sed za^e u sno^ s
è^telru p tsêlun e êpJeMêp êtuêl)sard êp tsat un zeulquol sno anbgol rêtnole Jnod lDlD êsLê.::
@ rr0urror I @ r vssrndf
[ê^t]Erttu ,l (a teqrul,l
sardel a]tuoruêr êltêl êurLu.rêt9p io e sade) âIuol sêsrnble egrnc êp suorl
êp sro !r e Lrn,p lsêt râ urê.rd uêr ê11êl êp 9ollsêl JêrLuêJd erortêrxP,p àquJou ne PB? 'sasrnbre ôQlrod âp sLra l
nP ô no * rêlnolg îod O erlo e {} rêllrole rnod (D spuno.r êp êlqulou untuepuad -Pro l9Llre p êrqllrou nÉ le::
zâsLrêdop ê^rteIruLptsat Ln e 2âSUêdOp'ê [eûUl,p1Sê1Un€ s1sêt sêt srot ? luênbrtddp,s êolod âp xneê u êp êrqlla,
êprPM êp aruarsêrà 0p tsêl êp.reM êp êruarsard êp tsâl .r
o^nod êJrPd sgroJuol snuoq ur-r.p ro^nod np a?uod .
Lrn zêurqluor sno anbsrol un zêulqLuol sno ênbslo-J sê ênb rnod OO zêsuâdêC JAtUêUrBne lnodozêsLrêdÊ:
@ ronrndriv I
'sâsrnble êêlnc ap suorl 'sêsrnblP a?rnc ep suorl
erolêLr.re,p aqulou ne lPëa -Prol?ure,p arqLuou ne eE? 'êlq l elârluo) zênltê-:
spunoJ êp êJqurou un tuepuêd spunor êp ârq[rou un ]uepuêd sno^ ênb tsêt u eqroJd np s.,:
stsât sq snq e tuânbrrdde.s slsêt sâl srot g tuanbrldde,s 'al^nêouPul êur,p sasfbre alLessrnd êp sLa l
ro nod âl red soQluor snuoq I o nod al.red s?r?luol snuoq xrd nP espq êp .ro^nod ê ero gl|e p ânb êp tLrpt, !
E
sâ ânb rnod OID zasuêdgc sêt arb rnod OO zêsuêdÇC zêsLt[n ê]luoluêr red sroJ êun ratnole rnod zêsLêci:
OO
O lluno I @ trpurto: !
'sesrnbte êêIod êp suot:
ero Lo!!re,p ê.rquou ne teBÇ
'(â [e[L]1, êutLurêtOp]o p sâ-rdelêJluoluar ê]]ôl âp ÿo zên:l)êllêsro êê]]od êP xneê^ru ap aJquroL
anb tsôl rê Lrêld re d tuêuênb teLrolne Jêl]ofp Jnod O rêsuêdop zê noc] sno aprEM âp âluêDsêrd êplto nod un,p Jro nod np â9lod 2
êplsê1un eJêurqLlor ê12â nod sno ê^rterttu,ltêL Llrê]op glues^sêruêt?durot âplsê] unzêntrêllâsno^ ênbsrol râluêur8ne rnod (D zasuadoc
o r]0ufiiol I
'êluaslp atrnol
/' E Çnls npl^rpur un,p sluêLuassrBp suteqlold sêlJns sêllput sêp luâlqo rnodlDJêsuêdÊp zê rod sno
::i,'""ff iii @
",ilT,xiîli:g 'êJrel êp atqudarsns
sa
lr,nb êr er p?rd lnêd lê npr^putun,plno e êltoj Elêp stueure nour sâllo5]êd ê)JoJ elêp lnat€sttttn:.]
;i' ",ffi'*1i";5'"":Xli?'J: € I[UVIrr\ ]0 llNIESlUd t0 :lsvE t0 Uo^n0d
;i rrjÎB j j'::'"":ft i:à:: @ ouol op Jralql uâ +!: slnbeJ d
uoJ)oor-1, sLrep êlqruodsrc
aPreI ap af,ue!f,seJd
llu0l v'l t0 l.LuvdYl I : erJol el ep rlo^nod ap eruarseJoqJV
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Nftoùv9 no 39v-Udf,H,l
'sêuoll sêp êran) 'ap]eM êp rêq,{)l lelsul np tuarEdulê.s 1ê 'êJlnp êun,p
elrEd 93e^pr êpuou.r un 'erprorxrêN olel 'apjeM êp êlue^tns no ê.rQruPur aun.p Jlolter\ lualuo]JJe rd sêl ; uet^1 o.I .
uollPullsêp Pllrê^nor?p 1ê JlorPn ap rêq,{}l lelsl]] êt nuatqo
'ueqlPs xne opre lnêl rêuodde tuêltspp
luorne slr,nb sro] êun uêtq p uotssttll rnêl 9uêrx luolne slr ,ltos sLs xna e lUèUJo.s suOlSe)lO sdsna,qU.tOU èO SelOnO
uê lr.nb iono selono e rnol9s Jnol ap s]not ne Td sap sêpe
sp sluelrqEq sal led sêrqns solttsnful sêsnêrqurou
sap tuopuêdop sênssr srnêl1ê uotluê^rêtut,p sglllrqlssod sêl
sèl ênb rsure JlolrPh lèg èp èlnenr) êp lê rnêtrèj
allr^ Pl êp sluelrqEq sêp led nualnos lelauê8 lnesse un rê)
êp êu8Qr al luar^nor9p fd sêl I Jnad et op auâel ol .
-uel êp no sêurêJas suorleDoâqu sap .tauêut êp asst3e,5 Jt.nb
'rêrurêp or rêtuollJe.tnod xnê q tuolJ]o,s s?itllqtssod stnêrsnld 'sPlono èp èlo)[oq,e âllr^ el]uêuStJlte fd sal :selono r
'llolrehJ êJluol s9 le sap ralqulêsseJ ap ta suoqeL!.loJul sap 'srê3uep ep serldr!êr sleloJ sas slo^ell q ulul
rêuelâ êp uUe osrnâ.lnêl e elol,toqte ?tD el .taloldxê,p sêJqtl -aql Un iê,{e4 as tuê rop 1ê autooqlv aæueld oulelulol
luos Td sal 'selono lulane lô uorloloq,l nuêtqo Io e sQ]dv el rns luapuet ès rd sêl : snneq statluas sèp sloH .
êp.reM.led uorlesru êpreM oftns larle^èqJ np slto^
-ortur uos srndap êlll^ pl .tns ouSQl tnb 'Jlo)ten lêg êp uotssos -nod 5êl ênb tsure èIols(l.l luèl^nolgp'la uoJ)olotl.l
-sod ua tuêurêllênl]e .têqII xnelsu) sêl truolqo C la selono
gllrnb lro e sQrde olle ]sê ua.s ôpreM t-10 ro^no4 p lualsrsuol
èp uêrpreâ êl luèrtuoluèr fd sal : uttsgp np laddeJ .
§Jlllêlqo ÿnêl uorssrur .rnêl êtpuêJdêrtuê,p luapDOp fd sêl êpreM ottns èp nplêd uoDolorlltua]^no)gp
p a?lua61D al!o11 l]odsuElt np assê]l?p êp lpu8ts ne
luop uo5el el uolês sêJQrueur sêtuâl?JJrp êp.têlnorgp ês tnêd
ê.rldeql êl êposrd9,l êp êtsê] êl nêll e !o'selono ap êlolrl luêpuod?r fd sêl : (lauuondo) uottoJoq,l lo^no4 ,
-oqre allr^ êpue.r8 Pl êJpurêt]e .rnod lo]oJ el ap s]a8uep sêl lel : salue^!ns suotllês sêl puê.tduro) opos
-uo]ge ]uê^rop ld sêl 'oulooq.tv.lns êq Ure lnalsqldv êpleM -rdp rorLuard êJ aurooqlv'n^ 9lO e apreM [o trto]puê _tetu
ap æejl El luô no.rlê..r s| llo'êurooqJv êlqueld el srê^ aptnS -rèp ne è)uêu./uror olll slèr)ês sêl rèlltnol]è^op ua rnod
sêl lôfqol êpreM ottns ap rnlêl e,nbsnt êuQut sal tnb êluel sêressêlou ]aq,4) xnelsul sêp atQnb .tnêl luauleluê la
lexê êrluo)uor êun]ed êluau.trxol êpostdQ lêl'gudoidde
uo.Dolorl un.p uorssêssod uo qt?p sed tuos êu rd sêl ts i;;y;''§iil,i"",1i:i1i:J:",,i,,§J:1iixLilî0
rpêr rèrle^êu3 tapleM olll.s -
- Aln'p tùA a, a./lrelrLroJ 15ê,J ltuê\e.l AqteuùO) -
tT
t
'^l:. :{rIa tNTi
Données d'astrogation i système dArboo' sous'sec
teur dArlloo, région de la BordLlre Extérieure
Mesures orbitales : 413 jours par ani 28 heures
par jour
Couvernement : colonies gouvernées localement
Population:70 millions (Sathari 99 96, autres
1%l
Langues : Basic, arborien
Terrain : forêts. mers continentales
Villes importantes : Zeilo (capitale), Ouolas.
Porthor
Sites intéressants : villes arboricoles
Exportations : bois et menulserie
lmportations : te(hnologie
Routes marchandes: I Pe on de D opho\
Conditions Particulières : a-.Lne
Contexte : Arbooine est une planète isolée sans
intéret particulier, presque entièrement recoLrverte
de forets séculajres, denses et impénétrables, et
parée de petites calottes glaciaires aux deux pôles
Dépourvue docéans à proprement parler, Arbooife
abrite cependant d innombrables rjvières et lacs qui
de lâ
varient .!ê
w,riôht ia nêiitê mrre à la mer aontinentale. Elle

dangereux prédateurs
( orrme IourS paresspux. ven;mêu \.
Ar boorne ne ( omple qu'une se-le Jo.re ile vrê cjouee de
raison. Humanoldes d'origine aviaire les Sathari vivent sur
cette p.anëte oppuiS u're ete'n:le. Arors quAiboore faii Flle aLLtrà l.aLtent'on clu Haur Coarmâ,.tdeme,.l rep-bl,cd l
partie de la République depuis des millénalres.les 5aLnarl n"nannt tu Guerre des Clones en raison de sa proximité
sont un peuple insulaire qui a toujours retllsè de Jouer un !u"i iep"ron de Diophos, une route peu utilisée rrenant
rôle majeurdans la politique de la galaxie ; i"rpué sepuratisi". La Crancle Àrnrée de la Répu
Les etres doués cie raison sont relativement peu nombreux blique comptait l'utiliser en tant qu'avant'poste pour une
sur Arbooine i la République estime la population à envlron attaqLle-surprise en territoire Séparatisle, nlais la base
frrt
7o millions d'individus, éparpillés sur la planète' La colonie abandonnée lorsque le frorrt se déplaça'
'a plus v.tste et la plus oense e5t 7eilo. la (aDiiale. o.i Jbrile DeoLi\ cette epoque. Arboo,ne a de noL\edu dispêru
egaleirenl lunique 5paliopo"I dArbooille Dautres (olo're5 O"-fu_ri""" guto.f,qr". Ce ntorde oell, Jat.e partte oe
qonl dr5sèminees sur la surlace de la planele u,l-g-1:: lFnp,re. tesio,,es inpe,'ates i solt"l rare4renr orë'erre\.
9on]
nornbre dans les immenses elrits. D'autres encole sont.répar- C"rJ"Or1il Li" dernier, le Câmmandement itnpérial a
ties dans des villages constitués de maisolls eil llols' des i,f]rpàtne* que cei isolement et les innombrables
dômes de fer et de pierre, ou des campementt "il.
n"ctareide toreLs denses dArbooine pouvaietlt cacher une
La planète fut baptisée Arbooine par' un cartographe base rebelle secrète' En réponse à de récentes attaques
,spg61lç7ir en panne d'inspirdlion apres que le ron rebellec clall: la eg'oll deslo'te5irper'a'Psonl etêciepê
sathan se fut avéré lmprononçable en Basic (et sans becl chées pour explorer et sécuriser la planète'

EULTURE SATHARI

I -"s S"tnari -o.sr, l, i' ld sou e ê'pê' ê oorrP. de rd - un lien lamilial avec un élranger à a Lignée. À bien des
'etre
L'o- o g dl'' darboonê ( e''rd,-^e' 'ane i égards, celte relation ressemble à un mariage' car
s'avèrent cependaft très susceptib es, surtoul si l'on s'en élu est à présenl cons déré comme un rnembre du ctan.
prercl à eur clan. De même, l s onl tendancc à être t[ès el ses descendanls et sa farnl le aussi. Lintégratlof à une
tancu n iers. lamil e sathari nécesslle 'approbalion de l'ancien du clan
plupart des Saiharl altachent une lrnrnense importance Pour qu'un non salhar! puisse bénéticier de cet honneur,
La
à la famille et à a loyauté. Cornrne chez la r.ajorilé des lLfaut non seulement une forle amlllé, rnais aussi un degrê
espèces douêes de raison, e concept lamilial sathari esl cl intimité ou de conliance considérables. Ladoption de
basé sur ies llens de sang. Ny'eme sl cela n'arrive qLe très l'é u esl 'occasion d'une grande fête, qui se poursuil par
rarement, les Satharl croienl qu'il est posslble d'établir fois p usieurs lours après a cérérnonie
xlat&D txl s:trpI@HD
N!loùv9 no tgvltu!H,r
uorlelrdDq.ic
el suEp Ued ê ratdEpE -rLo^êp êp la dnol .tEi
dnol np t Be,p ênb tqtnld uo t| os aun rê^no,:
êp lue^E oLl-tQ qord un luaLLraf8uo -rapfl;
tuo,rQlord ueLlles Sap Oluolelu el tnq ne tot.
luo^ r.r€tllPs êt8otetls p aLr_tuJot onbJoloill E
sêprnsqP sluauraldod êp ê uoqdolel aun _lnoa:
elpuald êrQBue]l? o raJo êu|,nll SêOLU ue suo!
-snlsrp uê laLU.rol5uer] ês rnod luou_r ue,s slnd êL!l?:
ai suep luê^nos lLroluêLLtLuol suotlpsJa^uol sol lna:
edel ta Q]nsêur rnot p -rnot tsê .reqles a3e8uel êl
xnê,{ êllenb lLto t.tEUleS sê
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êp ?1r.rnl9s êlnol u0laquol trnêd tELllps uit : otÊqoJlv s-rouêp uê nod êrluotuo] uê uo êutooqJv êlQueld e êp ansst
êSpuuosJad êp 'êr ei^e au6uo,p êploupLlnq alQdsa êun tuos ueqlps sê-l
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.lnên8^ + B: oJnssalq op llnâS êun Jêr0u0B ouJcu_l ltel.tnod uo ldo êlla] nê[ ?] suep luau
-êtro]lo snld Janb ldu] sal tnod olQdsê êllêl têuuottlêlQs q
Slnanolsal ras rolne lnod lt êuBedul€l aun,p tnq?p ne N d
-uvc no §rnorNoùHJ êst tln lt,s êLuêut ac atQdsa,nb luel
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IUVHIVS STDVNNOSUTd
I

TROUVER THOLOCRON (OPTION N Eu


â .anL o'en dmeJ le-r ,o\aQe oo-r oeve oullê ê\rê.'Ês
APPEL DE DÉTRESSE
Il oe la lresc ence oe Waroe. .es I oo \p- o aboro de, o--
vrir l'holocron de ce dernler. Cette rencon[re est assez Cette rencontre peut commencer lorsque les PJ se rendent
flexible pour que Le IvlJ puisse Iintégrer facllemenl à une dans un autre système solaire. Juste après avoir quitté L'hy-
campagne en cours, presque partout où les PJ pourraienl perespace, leur vaisseau reçoil un appel de détresse auto'
se trouver. fobjeclil consiste à transmettre Iholocron aux rnatique via l'émetteur-récepleur subspatial. Loriglne du
PJ et à présenter l'idée que le s mple fait d'en posséder un signal se trouve à proximité et il ne faut que queLques
peut se révéler dangereux l\y'eme sl cette notlon n'apparall minutes au PJ pour l'atteindre. Une fois sur place, lisez ou
qu'à l'arrière plan pendant la rnajeure parlie de l'aventure, paraphrasez ce qui suit :
eLle revienl sur le devant de a scène à plusieulS teprises. Le
MJ peut incorporer des Tencontres supplêmentalres au lil
du scénario pour étofler celle ldée et rappe er aux PJ qu i s
ne sont pas es seuls intéressés par L'hérilage de Warde afin
d'enlretenir leur motivallor.
Laventure part du prlncipe que les attaquanls de cette
rencontre sonl des chasseurs de primes eanbauchés par
l'Empire pour éliminer léqulpage du transport. Ce dernier a
attiré l'attention de l'Er.pire en déco lant d'une statlon orbi-
tale à proxirnité de Cato Neimoïd a, soupçonné non pas de
sédilion, mais d'une acllvlté bier plus dangereuse encore. Si
le MJ a déjà créé des adversalres r(lajeurs pour les PJ, ll peut
modifier L'dentité de l'emp oyeur des chasseurs de primes
pour l'adapter à sa campagne ou remplacer ces derniers paI Avec un peu de chance, les PJ seront d'eux mêmes déter-
des servileuTs de I ennemijuré des PJ minés à porler secours à un sirnple valsseau marchand en
Lêc DJ pôuvênt vole d bo o de pLr orop p vdis ed- détresse. Cependant, s'ils ont déià commencé à basculer du
ou d'un appareil loué. Cependant, en cas de besoin, e côté obscur et ont besoin d'une rnotivation, le MJ peut leur
MJ peul adapler a renconlre de manière à ce qu'el e se indiquer qu en lanÇant une attaque'surprise, ils pourraient
déroule dans un spatioporl à proximilé duquel se trouvenl récupérer Le butin du transport de cLasse R/gger Cg (à pré
sent hors servicel el du valsseau éclajreur de classe Pofrrn-
es PJ au début de l'altaque.
der des assaillarts.

À eoRo DE L'ÉTotLE
UN AUTRE HIILOTRON ?
ARGENTÉE
Q r,. otoo.,o'n nê | 1^oo'o' uFu'È'rêd'qL, À Iarrlvée des PJ, 'Étoile ar€enlée est immobillsée par les
graves dégâts dus à L'attaque surprise. Sur ses sepl membres
lllau.r-r de SeuvtrccE au soMMEr ,\^_ rrlêr'l .'ê
dans e Krr DlNmAnoN de FoRcE Er DEsrNÈE, plusicurs d'équipage, deux sonl morts à cause de brèches dans la
options s'offrcnt au N/.1 pour débuter cetle aveflute. coque ou de l'explosion des syslèmes du vaisseau, et les
S ls n'onL pas encore aclivé l'holocron ni rcn.ontté son pi?_e5 r'o_t pas ' 'e1',o1de a.5:e 0e 5-r\,\ar ts. À loirs
gardien, le MJ peul décréler qu'il s agll directemcnt dc que la sagaciLé et La rapidité d'action des PJ ne pousseft le
ccu dc Wardc et enchainer aussilôl sur ceL[e avenlure. I\,4J à en décider autrement, les assaillanls tuenl le dernler

Cependanl, si le MJ a dêjà décidô quc ho ocron conte membre de l'équlpage au mornent où ils rnontent à bord.
nall un gardlen tout à lail dilférenl ou qu'ii a ètè crôô
par quclqLr'un d'arlre, il doit lournir ce ui de Warde aux LESATTAQUANTS
PJ séparément Possédcr p us curs holocrons pourralt Les assaillants ne sont pas que de simples pirates, mals des
s'avérer problémalique dans certaines caflrpâgncs chasseus de prirnes employês en secrel par le duc Erron
el dofncr l'mpression aux P.l que ces re iques sort
lrbian, un officier impériaL originaire de Cato Neimoîdia qui
répandues. ce quL est oln d'èlro le cas. Pour résoudre es d emoau.lés poL' é rn 1ê' equ pdge oê l'[lo ê a gen-
ce problème, l'holocron des PJ pourralt être pcrdu ou tée. L'équipe comprend quatre chasseurs de primes menés
vo c, et leur quêt-. pour e retrouver pourrail e5 fllefer par un humain nommé Nex Pavros. Reportez-vous au profil du
êgalernenl à ceLui dc Wardc. Ccllc recherche pourrait Chasseur de primes affilié (cl. page 404 du Livre de Règles
mênte lorrTrer a base d'une ou p usieurs aventurcs, aLr de FoRcE Er DEsrrNÉEl pour les qualre en remplaçant le pisto'
lcrmc dcsqueles es PJ apprendraient que leur bief se let disrupteur par un pistolet blasler lourd, sauf pour Pavros.
lrouve à bord de l'Eto e argentôe, et deboucheralenl
sur la renconLre présenLée icl Les chasseurs de prirnesont reçu l'ordre d'intercepterl'Étoile
argentée et de tuer la capitaine Aenet ainsi que son équipage.
Le duc lrbian est percuadé qu'il s'agit de contrebandiers à
la solde de la Rébellion depuis qu'ils ont quilté une statiof
**
êpJeM oltns êp uorlo oll,i :saluelllu!rs
sênalq sênb]eLLr op Qu..ro 'QtQl êp sê]tQL! luêl
op êu ezu nb êun.p lue êlurlQ PlÊLlr ua oqnt un
ê^no]:l os.rnêuQlu , v êrQ rêp qqler neêuuPd un
]uê.r^nol?p fd sal lnaleu p.ro,l I elixa .Io^e sQldv
'sênb rllê Q sêSrelllop êp êLurllr^ 'fd np Ssatls ap
turod L ê3Uu (È) anbeql ênb sipupt ?le dLUêr artQ
lrop tê l nrlQp tuaura elol tso rnaleulpro,l anb ênbLpur
: 4\'neêssre^ np sê^rrll]E sop lptsor rfb al êle[a tê êBeu
uJopuê,1 sreLu Jnêleurpro,l êlQluEur0p fd êl 'laqr9,p ser uf
Q) uaÂo61 anbluel?W op lsat un rantlallê tne] lr 'are1
êl rnod rnêtPurp..ro,l.rorLlor op allssêl0u uoJlolol.l,l ? Jêpollv
tnê1eurpro. sraA êuQLu sêl lê êrupssrnd ua auâp8 uorllet]]e,l
snld lêtqo.l êp luêl.llordder ês fd sêlsnld uorllêrp es suep
OJrlle luês ês xnê,p un,l 'lrdllot ne lræ p dnol un lalêt êp
tue^p neassre^ a!Jallrnb e êredord ês êdnorâ al rS uo.nololl,l
srê^ oprnâ ol l] alal ênbs.ro uoltlerlle êlrol aun s nd 'olrol
pl êp êluêsord el tuos trd)jrol ê suep rêJt?uqd q fd ra LL.rê.rd
êl neassre^ np 1d)ltol êl suep ênbrleLu.ro]Ur leuruJê] un
êJQUJêp ê^no]l ês -loru]op êJ sêauu€ sasna]qLL]ou êp e  lr slnê êp suolleot sê rêLu rdxê ? ÿnênol sêl ]êSernotuê
Ollelsut lollas luêurlreduol Ln suep Oqlpr lsê uo.DoloLl,l
trer^êp I snld êC ar^ el êp rnêle^ e tê Ollleror\ el êp êluEl
eLur..O JnêL ap sê^rord sêl roduir,l ]êlêddpr rnod Jotuord ue to êl8no^e oluolor^ ouol
êJLleJedsrp êreJ rnod slue r,\rns sap luêreUllaql slue lressp êp rnaroq, rns .rêls sr.ri lrop fl êl 'êuQrs el tue Llqp ul
sê ênb lrell1sa ll sêlelrpOu sêrntrurnol êp tê a^]êsuot ap 'a8epioqe, JaqlOdL!a,p luetual
soloq ap êQuruot 'ê?tse^qp luoLUêlelol lsê êlel el slue^ uê rnêtdnrsrp êp no ratselq êp srt sop JEd sÊLllnel ?tQ tuo
-r^Jns sal rênbeJl rnod los np sênbeld se lê suosroll sol
sê]lne srorl sêl anbelle êrQrurêrd el êp slol uo so dxê,1 red
QLlle.r..rp
tê sJaureluol sê ?lroJ luo saurrd êp srnêsseql sêl
'soreurpJo solelrd sêp auJUJol npasste^ JnêL .lns taJOlsueJ.l ?lrtnl! ta qlUq 'o raru?8u ,p s]ualu[]edLuor sap un, ap los êl
rns glet? tsê aLUQutenb un uoJloloLl,l a nLUrssrp Inb onbrtELrl
el êp uue uosreârpl El rê^ras?rd êp ônb telnld o]QtsÂLu 'rolu leulurrê] êl rns o eJ,rE lsê êLuQrs orl un osê rns 1lâ
un q aleJ luê^r]o]lat ês fd sal snlure^ no s0sseql ro^E

o]1ne un ]rd)llol ê suep I.roLU lsa ê8ed nbo,p sêu-rLl-roq sêp
sêl sQrdv ê3pd nb?,1 êp êtso] ê ]o^oLl?e,p uge tuês ês
unl sêLUUd êp srnêsseql sêp lnesse,l ap sa.rqpleu satuonb
soLuud êpsrnasseqlsê'êoluê3JeêlroE,l ?p.roqero^e ^rpsQrdV 'nPêssre^
asuo) sêl 1uêr^nol0p fd sêl êl luEl rnol ul
NOUlol()H,'t a8ed nbO.L êp êJqurau-l
JêiuJêp êl artleqe luêpuatua sa fd sal 'neêssn?^ ol QploqP
]êJluolua.l ês ap luêuuê fd sêl rs ..|oAE sQrdE ê1snf sêLr rd êp srnêsseqt sêl lo^e luaualuoll
ê rlf luêurêrQrlnlLUed êrQ^E,s uortrsodxa,p auQts ap ^êluaB êJ
Je,l otnqQp puenb slrour sfot truos êSpdrnbc,l êp sêrquraL!
'gIlEuuosrod rnêl ins aâetue^ep ê.rpuêrdde uê rnod a.rtQ tnad
sêl êssêrtgp êp leu8 s np uo tdêloJ sQp sêluellêluolop Qll
lê 'êleroLu êp êrQrteL! ua an^ ap lurod rnêl rêlsêlrueu êp -erlllê aun lê Otrp der êun to^e tuoss 3e,u fd sê ênb su orL.t V
olu€r.lr êun Jêssrel rnê1 rnod altelteds at q eleJ sa8euuoslêd
sDvdrnbg,l 30 r.UOS 3'I
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Olnenrl es lê^pd lreJ^êp spre^nl sêp un,l ]ênl 'sêlqele dLur slfanl sêp luêtos
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saLLrOiuel xne êsseql : lt aposldJ,l
dpLpQ,s ap êtuê:l lê neêssre^ rnêl êuBEBar êtsol al lequol
suep eLproLLlrêN oleJ.rts luo_rê^tJre rd sê pueno Ltotl np $nol np sQsrlerlnou no soulssesse luos sêulud êp stnês
pAS ap QUUo5dnos ê8ed nbq,l êp uorlnlOxê, euuopto
seLll sap xnêp surolu ne S op€lsnquê uê fd sol alpuêrd êp
rnb ue q.rl l|tp Ip uo luê]]e,l elt]te a?tuê8te ê tot:, uors€llo a.lpu orl.l el luêssrs es slr 'suosroll sêp aJQr]]êp sQB
oO. d ,a.d t."odO o .tUê Uè-nrl.JLla^ a. cl -1 Jp -nl9à ]uêurêlua8e uos )ê^e lêsue lrLUeJ ês rnod fd sê rts
l]elo, q ruêl ê rnod]êlrodluo, ap ep lop lê êluejuê êlue^e,p sêlnurLU srnê snld fê tuo slt,nb tLel np lê neêsste
uos op rpêf sap sê.r ols q sêl eladda os ]êuêV Orll npQtfâxa, êp rlred luêri sêurud êp s]nosser.ll sêl u ou]Ql
-reLLrun rns uolto otl Iluel^fotop u! êllne?sdLuol unlne rêssr€l ou lnod lê raJOJlê1ur,p rêrllQdurê sêl rnod srol el
op SOltnbnue sêp rssnp s eLlr 'sê e8Q sêS pueqlteul q aruêsord rnêl luêr^nol?p slr,nb sQp fd sê lênt êp ]uêluêl
sêp l ppuê^ o8ed nbê,] rnarl uos su€p o.rd!..rj, sed sll steplos sa qpluA^ op uou lê sêâeB e srnênt sêp tuEpuadêl
lrelrod êu têuêV lêred 1uêr!êrdord e sêlêqêà sêp luos sêLu rd êp srnêsseqt sêl 'sa)elUla lê sêlqe^ottdutl
sed luêrelO,u sl ,S sêllêUQteu.r sa^rêJd xne ta neês
srP^ np xneurnol xne êler8 r uêlqo lua^nêd fd sêl sê qessuqd uou sêq.luop êp oL!ed êlfêleLu
. b.or aJ-o .o-n .prpJJ.pu.èp I drpJ.Spol ua ê?nlrlsuot neêssre np uos eBrel el e sed luêssêr?lur.s êu
Or .O: è d lJb P P5 -,.P lODr J uPu.Osl Ë o I s I ateid ênbeue êun rnod tn€sse tol lêssed êJreJ êp uo luêlul,l
luo Sa!.lrtd êp s.lnêSseql sêl ']uênb?suol red êrelJE, lns uotl
-uêue,l rêr]]e sups êÀLeredsrp êrel sêl 1nê^ lr'rp ê 'srnêuedns
i s1-lNltvtl tnÙ sês êp xnornol ne rêddeqtQ..lnod uolll pUnI es snos ê]el qlo
L APPEL DU DESTIN
II ne fols i'holocron en leur Dossession. les PJ doivenl l'iden- toul son contenu. Comme son norn indique, Le gardlen veille
ll tlfier et l'activer Par bonheur. leur sensibillté à la l-orce suT ces confalssances et ne les révéLera qu'à ceux qu il estl
fait réaglr l'objet, même s'ils en ignorent La nature. N'lmporte rnera prets. lntel igence artificielle soph stiquée que l'of pour
quel personnage peut effectuer un test de Connaissance rait alsément prendre pour un êlre doué de raison, l'holocron
(Culture) Moyen O ) pour. ldenlifier L'holocron. Celui possède en outre des malrices en kyber, ce qui slgnifie que
,p gdro ê^ p.I 'ensible d d lor'.. Un oêu 'o.1n e )o'
_ Êd
qui y parvient améliore I dé d'aptltude de son test pour
l'actlver. ll s'agit généralernenl d'un test de Connaissan€e teur, le gardien se sert de la Force pour deviner les intenlions
(Culture) Difficile OO) conrrne décrit page I 9l du Livre de ceux qui yaccèdenl. Parconséquent, i est impossible de
de Règles de FoRcE Er DEsrNÉE. Si un personnage dispose duper e gardlen ou de le contralndre à dévoiler ses connais
d une Morallté inférieure ou égale à 30 (c'est à dire s'ii est sances avant que 'utilisaleur ne soll prêL. Les PJ seraient b en
tombé du côté obscurl, ajoutez I I I au test en questlon. avisés de le tralter avec tout le respect dû au Jedi qui Ia créé.

Le NIJ doit permettre à tous les PJ d'effectuer des tests La connaissance qu'a le gardien des évênements galac
de compélence pour identifier ou activer l'holocron, mais la tiques se limite à 'époque où ll a été aclivé en dernier, et
progressjon de l'intrigue repose essenlie lement sur leur dis Iholocron n'a plus élê utllisé depu s la ltn de la Cuerre des
cussion avec le gardien. À ce stade, un échec re devrait donc Clones, avant l'avèner(lent de 'Empire. Par conséquent, le
pas compror.ettre l'avenlure. Comme tous les holocrons, gardien ne sait rien de IEmpire nl de ianéanllssemenl des
ceiui ci possède un gardien holographique généré par ies Jedi ll n'a pas de ralsor de crolre que l'Ordre aulrefols puis
systèmes organo-technologiques et sensib es à la Force de sant a élé décimé, et ne s'ir'rqulète donc pas à eur sujet.
L'objet. De plus, en le construisant, Sulio Warde a discerné Les PJ peuvenl l'évoquer ou pas, directement ou au travers
certains détails sur ses futurs utiLisateurs, un savolr qu'il a de leurs questions. Si le gardien devail découvrir e sort des
transmis au gardien. Si, au début, les PJ se révèlent inca Jedi. il serail lrlste, mals déterrniné.
pables d'activer l'hoLocron, ce dernier finit par se déclencher
La personnalilé du gardien est lrès sim alre à cele de
au contact de L'un d'entre eux. Cette scène peut se dêrou Warde à 'époque ou I l'a créé. I est patlent, de bonne hur.eur
ler lmmédiaternent ou plus tard, quand les personnages et avlde de transrnetlre son savoir, mais peul se révéler très
ont repris leur vovage et que l'un d entre eux le manipule têlu si sa lierté venall à être blessée. I a éga ement l'habitude
nonchaLamment. Au tvlJ de décider quelle version aura le de finir les phrases des aulres [mais se trompe souvent, car ]l
plus d'impact. Cependant, l'oblet ne s'actlvera pas sponta ne peut imller le pouvo r de prescience de son créateur). Vous
nérneft au contact d'un perconnage tombé du côté obscur. lrouverez ci dessous quelques questions que les PJ sonl sus
ceptibles de poser et les réponses du gardien :
tE GARDIEN n Ou'est-ce qu'un holocron ? "
Ouand les PJ activent l'ho ocron, Llsez ou paraphrasez ce
qui suit i

" Ou'est-ce qu'un gardien ?


"

À ce stade, le gardlen répond à toutes les quesuons que


lesPJ posent concernant sa nature, l'holocron el l'ldenlité de
son créateur Le N4J doit se rappeler que le gardief ignore " Oui était Suljo Warde ?
»
ce qu'est devenu Warde après son dernier contacl avec Lui
sur le chemln dArboolre. I ne peut qu érnettre des supposi
tions quanl à la sulle des événements ('idée qu'll ail pu bas'
culer du côté obscur ne Lui vlent pas à l'esprll, par exemplel.
llholocron renferme une quantllé considérable d'lnforma
tions sur la nature de la Force alnsl que sur Les rnéthodes et
Les l'histoire des Jedi, rnais I activer ne sulfit pas à accéder à

rHÉRITAGE DU GARDIEN
CI{ROllqES IX' GARDIEX
{"'\ xllq D ,tq srpf,qul,
I N!toÈv9 no lgvltÈJH,t
I
.--i
êJQ rPl Ap SêlUAt?dUO) Sêp êU-rUrOl aluelrS 1ê leLSnd
^ uo luos
]uêrQprsuor fd sal epreM op uo,Ooloq,L op uo ssassod
slr,nb tuel'êrlno ul tL-0t sêÊed QuSrlnos êurLr]ol !êq^)l le1
-sul rêrLuêrd ê êrpu ê1le,p lue^e êp.reM êp a)uêosêrd êp
suoqellldde sê duJls ap ênb a.rpuordde tuo^nêd êu fd sêl
rêq^) xnelsu) srorl suep sêrlrEdqi e sêl ]a
i
uorlolor.l,l êp suorlELLr.rolur sêurel..rêl Ierlxê e Lr êllênbe rnod
uosrEr ê edDuud ellsê,1 sureuJ sasre neLu ap orluo êquJol êu
alrê^nolop es ênb l euB erl êprpM 'sauelJe srnal e rêpqlre
tuêssrnd s?urlenb rpaf sêl slnês ênb .rêrnss?,s .rnod aLuoL! rnl
uêrpre3 alluop olunlqs êp sJrlrsodsrp xnêrqLUou êp sn^rnod
]UêIOS SUOJTOIOU Sa anb UêrB êp.reM ap êlUêDSê.rd 'Oddol
ê^Qp e ,nb elol €l op ro^nod np storlos sal tueLLrLuelou
'sêluess euuol sês rê)llols.rnod uo.Dolorl,l qgrl P êprPM oltns
NOUfO]OH,] rt tOUVrUt
e rou3eâ I g snou-suo e.no/snou op sno^-zopuaue,nO
: lrns rnb êl zêsE.rqdp..red no zêsrl 1êu8rêsuê.tnê
lnod uêtpreâ ê ênb al rns no êpreM êp l]os ol .rlrs suotlsênb
sonblênb.rasod êp uoLserlo,l nê tuo fd sêl ênb srol êufl
EOUVTVi rq 3gvltu!H,'I « i 99Jl 919 snO^-zA^P lonbJnod »
sroJartne,p rpof salqet!lQ^ sêp êlqtssod snld np êrrErpQuJrolu ,l.red ê.rltêursuerl rnêJ sêl lnêd ft\ ê suo ]
al tuêLllo]ddeJ os s ,nb uue rêp nB sêl ernod uo]rololl, rperl srnêl lê rpêf sê lrs suonPultolu sêp.Iuê:tqo,p uotsel
'snuê^red luoras I slr,nb srol oun .laJedLuê,s lua^Lop Td sê -lo,l nê sed luo.u slr.S rotuorlr op tc QLlle,p .l ifal lfod
tuop !oq^l xfslsr-D sêl suep sênuêtuol tuos sa qelUluB s uo pre8 êl 'êrnluê^e êUêl sra^eri q ld sêllap ^.tosrS ap snld ul
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tuotoduol lê êLuler 'rpêf rêr e^
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Jeâ ê alqrssodLu tsê,r ênb tuêpuodQ.l rnl fd sal S ê.tpro,l eQll pl êp sdu-rêt np apJeM ol nS rê^E r Berêlur q luor^êr
rarÊQtur q rêLllrêrll Jnod luersnrol Jns rpêf êldurat un suep uarpre8 êl Jê^e rLBeJê:lur 'eJOuOB ul rnêle9]] uos ap Otrl
orpuêr ês êp rêpueuuoro-r .tnêl q oluepuol tg]nld etne lt -euuosrêd el ratrur .rnod êllol el suep ês nd rnb êpJeM
'1Ue10 Plêl so uo lo.lreqt uê loluêu un l erêJ a êLLruJol
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rpê[ ê]]leLA Un êLULIO] Alle.t:l sê :lê sa^Qlo sêp êLULuol ê]Qp : uortdêruol es led onbrdxa,s Qllxêldulol êl]êl êplorp
:) suor sol uêrpre8 êl ' pof srê lp^êql sêp spd tuos êu fd sêl un,p inlêl ênb uosrer êp Qnop ertQ un,p rnlêl q o8etu€^ep
) ênbsrnd ro^ola] so g stQrd sQBflsrnêles lqn xne,nb stueLr ê quossa] ludsê uos srnêll e,p : êllêllUllre êluêârllêtur
.\ êuB asuê.r sêl êlro^Op êu ,nb trel al ta uarp]eA np sa)ues aldurs oun q spd aufsOr ês èu aururerSoloq] êrnleu es
-sreuuol sêp anpuat?,1 srol el q têtuasordaJ êp 1tâe,s lt 'nêl JO ,r r.LO. .dt\dt t^l \tD u I d pLL f l\d a, b d..od I
np orpel al sueO êleqfos r,nb sê]rLur sêp suep uarp.leB u r.udnouorp d*J-a èo.êpre8è rJ. r. ."aoçy1" I
,")
/
HORS DES SENTIERS BAITUS
ôorès avoi'oé'ou,Ê- u e pér'e cle Ih5ro e oe Sujo Si les PJ n'ont pas encore expliqué l'avènernent de IEn]
Ilw",o" -", ld nalure de rnoocron. le PJ oo\en se pire ni la disparltion des Jedi au gardien, ce dernier pour-
renclre sur la olntalne planèle Arboolne afin cle sulvre La ra t égalemenl mentionner que l\,4arcolf est probab ement
trace de Warde et (merne s'ls ne peuvenl pas en avo r devefu ChevallerJedià l'heure qu'l est.
la certiludel de lrouver le premier crislal. En chemjn, ils
peuvert poursu vre la dlscussion avec le gardlen pour en
savoir plus surSuljo Warde et'hlstoire desJedl si le M.l le ARRlvÉE SURARBOOINE
souhaite. Ce dern er dojt se rappeler que Iholocron a été Arboolne est une planèle peu peuplée el lrès malorilairement
créé avant la chute de Warde du côté obscur et ne salt rien rurale. Ll n ex slc aucun syslèrfe de sL-rrvell a nce ou de contrÔ e
de la vie de son créateur ni des événeûrents galactiques du tralic pour accuel ir es PJ, et ce monde ne dlspose que
après le passage de Warde sur Arboo ne d'un spatloporl élémentalre situé à prox m té de la cap ta e
Stuée à l'extrémité est de la Bordure extérieure. aî1" o,o^ ,1.^ o"O.od,, loO.\ .dl ond.. Dl À ê.
Arbooine est reliée à a Passe CorelL enfe par une roule arr vée sur Arboolne lisez ou paraphrasoz ce qui suil:
bien rnoins connue, lÉperon de Diophos. La durée du tra
i
et oèpe o oL po nL oe clépdrl op D . an' 66--e q rA
booine est un monde isoLé, il devralt prendre au rnoins

) t une journée, voire p usieurs. S e MJ souhaite insister


sur la notion d éloignement, i peut corser la dlfficulté en
demandant un test d'Astrogation Moyen O l) poUr
élablir un lllnéraire. Lho ocron contient bien les coordon
nées d'Arbooine, mals ses inlormations sur les hypervoies
sont Largement obso ètes. ll peut ainsi ajouter ! E au
test d'Aslrogallon. En cas d'éche., les PJ arrlvent à desti
nation, rna s Le trajet prend deux fois p us de lemps que
prévu. En outre, à leur arrlvée, chaque PJ subit I point de
stress par i-5) obtenu lors du test, en raison de a nervosilé Le couverl forestier quasi impénétrable. haut de plus eurs
générée par le détour. centalnes de mètres, empêche es PJ de vérlfier Iemplace-
A un rnoment don né, I est probable que esPJ interrogent ment de Ouolas ou d'atlerr r à prox mité, ce qul les force à
le gardlen à propos du voyage de lvlarcoll et de Warde sur se poser plus loin et à effectuer le reste du voyage à pled.
I
Arbooine. À l'inverse, lls pourraient n'obtenir cetle informa- Séculaires el embroussaiLLées, es forêtsdArbooine sont coif
tion qu'après eur arrlvée seLon a ll.êquence à laquelle lLs féesd'une canopée qui ne aisse fitrerque de rninces rayons
consulteront l'holocron. Lorsqu'ils dernandenl des rensel de soleil. D innor.lbrab es espèces d'arbres et d'autres planles,
gnements supp émenlaires ou que le M.J décide qu est i propres à la pLanète, dominent la surface, qui abrlte une mul-
ter.ps pour le gardlen de eur en dire plus, lisez ou paraphra titude d espèces animales. Arbooine est suftout connue pour
sez ce qul suit: LTê vdlle ê d d,br.s odp seserrs L.s p .c d'r'ên spé-rers
mesurent plusieu15 centaines de mètres de large el atleignent
une hauleur gigantesque. Certaifs continuent de pousser, mals
meme ceux qui sont morts derneurenl debout grâce à la robus
tesse de leur lronc. Souvent, ces arbres sont évldés et aména
gés en abrls, les spécimens es p us larges pouvanl abrlter des
villes entières. cornme celle de Ouolas.

ÀrRnveRs
LA FORÊT SÉCUIAIRE
Pour attelndre Ouolas, es PJ doivent se frayer un chem n à
lravers es forets luxurlantes el redoutab es d'Arboo ne sans
s'égare. Bien que le trajet ne soit pas particulièremenl long.
la faune et la flore risque d'entraver leur progresslon, el zlg
zaguer en[re les mrnenses arbres et autres barrières natu
rel es peut s'avérer dlfliclle.
Pour que les PJ puissent lraverser cette zone et alteindre
Ouolas, Iun d eux doit effectuer un test de Survie Moyen
(|). En cas de succès, le groupe elfectue le trajet en une
seule journée et alteint Ouolas à a tombée de la nu t. La
Tablel-l : dépenser {3 , i+ , V et O dans Ies forêts
dArbooine présente des idées de cornplicalions supplé
mentaires et de récompenses dont e NIJ peut s'lnspirer

ljHÉRITAGE DU GARDIEN
çIIROf,OIE5 IX' GARI'EX
ill(nflD alo slpx(/at{:r
N3tOUV9 nO f9VftU3H,1
*-:z '-4
'0upssrlEdLUol êrluou.r ês Tr\ ê ts laddeUlg.s
êp 1ê.ra lê^Q.1 ês êp fd ne êluelll êpuorês aun lossieL lnad
rnb re ?p ur) .rolsnBQp el .rnod êu ooqrvp sêrqre spuErE sap
un,p êLUrf e suEp ÊqtPl'plu uos e,nbsnl êLU]l^ es êlrod
sue.rl l '0t0rE êrto,p surouJ v sê.lq.rp sê suep .têdLu J3 Jnod 'sdürêt êp
9u03 ru rluêleJ arlo SUes L lJeqEF ap êrnle?rl êun rêlrod su oLU ?tiour puerd selonO e,nbsnlâ8e^o
lnêd xnêssêred slno I so..r EluaL-uo ddns srnê rOlue sêrquêLLl êL 'SQltns êp spl u! ureuapual al êlueql Ono
sês ap tue^rês ês ul prEt snd ro]o^?p al tnod sêrqre es laluê]êJ lnêd lê rodurpl rnod r!_s lLorpuâ {.} ô l-J
sa suep Jêssq a êp êluêi êrnle?rl el ssorls êp no soins uit ê^fotl êdrol8 ô ]sâ]el]uêlp] td sê ls
,( ,1 sêlq êp lnas uos QSSed?p lue,{e ue oLr ueu êquot fd sêp
s1 pqr: 6gE ap 1ua errnbg,l I
un,nb sro] êunlê .rrrnou ês lnod osseUl xnêssê"red srno] .rnod seLono g ntrLrâ^ ârlo 1nâd ta ç êp l
iiq) ênbeql rfod anb su e '[) a||ce1 911n:g,up otê.rp.r êun.p , ap tuêu-rêrqurorua un,p {} aJ
I ?top tsê ê.rq.re,pl!0I aLu.ror_r0 un,p 9:10)
êun Jed tuêuralpr?u?3 trnpert ês nb all o^ lell ul,p lsal uleql :
? :rÂ''j'
D êrqure,p ]D..r? soÉ
n le c^!9 Lrn lua^nort sêl
ord uos e OllnlUJrp êp Op L êtnolp tset ol oteJ rnb o8euuoslêd fd
tnol (snssap D Qt nrlllp El suep êelduror ql?p tsê nbl xnês J,t"."d d.
'.".t .otodl.'r
sêred srno, êp uo!l?.Ds!O e e (o OO) ?soddo otruet!â!^ fd sêt tê satq tsêruol st n4 sêp no aqllerl a.i
êp no uolldauod ap lsal un rêntrêJlê trop fd anbeql )a u neê.p neassrn.r un a^no_r1 êSeuLtosrêd êl
rêp uê aqr]eLU nb aBeuuosJêd êl proqe,p tuesr^ uê t puoq lr
ênbelle lr pueno sarqr€ sêp luoll a .rns lo saqluerq sê êr1uê ]oroj el suep tlrêxa slr.nb sdurêl
t!êu-rêtQ-Dsrp rareldOp ês t es lpurue tal o.rL€trlos xnassê.lpd
êltLepuêd slê8uep sê.llne,p no xnêssê]ed
srro un luêrluoruêr slr 'fr\ np uorlQjtsrp Ano{4ë{È)
srno un Jed sQnbelle luos sê 'êJtuoluêr allêl êp srol
Td e V snld ap rnolun puê]d se ono
êsna lrOd snld êroluê êpelsnquê,1 ê.rplrêr rnod ê.rQL^Ll oun q,ibsni ê8eÂo^ ê:lô turplad ês td sôl
no ês !?leJ oun aururol xna.lê8uEp nê un,p sQrd no [dLr]€l
(aZ a8ed 'll) xnêur ua^ xnêssêred srno Lrn,p
uf Llqelo luo fd sê Ls) trnu pl nê l ro^e tnêd ê a Tt\ fp QtÊ
u !ê^ ne ?sodxa tsê Td êlênb zarêprsLof
nV fd sêp êlduod np tuêuroLu tno] q rua^rns tnod altuoluêl 'sêtqulo sê suep I njuê,s rb xrêLLr uê^
alla] rp^eli np sorB snld ê ar el u uê^ rnêlluêssre la sêrqrE eL! ue uf red np]oru tsê [d sap unl ]
sê srndap tuêddprj rnb s.rnasspql sêp tuos xnê^ êrlenb ?
sa]itleOrl sêLuroug sêJ ql prd?rlur rnê q lê ?lLror?J Jno q,nb fd ênbeLt) ç ssêr]s êtl tu od L ê3 tur
rsu o
Lê\ J"ê e'd ê',0. .,èl p è'O lSè è <ordâ. pp d .J lêrnteu auqLLrouglld Lrn no tuaurasrnd!;l l
o
so]edOJd xnêrLu sêl êurOLU
'ÿnaâe,(o sol snol.rrod aleuoLu
oun tuêtuêsOJdêJ 1ê au ooqlvp xnêrê3uEp snld sê slnal IIJJT t00l
-ep?rd sal lurJed luêldtuol xnau-Iua^ xfêssêrpd srno sal
lNr008uv,0 sEu0r sïr sNVo q) rl
A'(i)'ô ursruralo : tr-tr tlgvr
{ê8e^o^ rno
ral.rnol9 luêualdLurs êtrellnos Ls no) s êuuortdêlxo luaLQ ?.1
ês el^lns ep slsal xne slellnsgr srnêl rs ]êrou3r sa êp fd xne
ê.rtrlêurJêd ]nêd [L\ êl : So êuuolldo luos Sê] ê êrluê,p sêurel
.lal snossop-D sallrlqp sêrluotu0l op êlquJou u pl.lal un
a8e,(o lnê luepuêd 1uênllêJJa sr 'sluE^rns sop lo or^rns êp
tsêt rêrLuêrd np s.rol fd sêp slellnsql sêl tuêlos ênb slêno
stuapolord xfe snu
-êlqo stelfsar sêp uo lruol uê n no I ap êrnsêLu q ta lnJ
ne s9lrale stsêt êp êDos oun lopueu-top ]nêd lt êtnluê^e,l
op olued ê11êr q sdujêt êp sfld .rorlpsuol tuaLuê dLu s no
êldrrQd êl ap s.rê3uep sêl rêu8ilnos atrellnos fl,\ êl rS
.aulooqrv.p sl?JoJ sol suep (È) . {.}
O lo ô,
Jo§uod?p : t- 1 alqel sotuêsQrd sl te8Qu stêllê sêL I qns no
'snp]êd iuêuêlelo] la^no.rlêJ ês JnêlppQrd êrlne Ln no xnês
salBd slno un red sr^rnsJnod a.llO'(salotgl xneulue,p stêtl
ral sêp r'ro sêllêrnleu sgtr^er sêp sauotqlotne sêl ted sosod
sêâQrd sêp) sno.rl sêp suep rêquJot tuêre!nod ld sol têqlO,p
sel ul xnê,p unrelp p OIO allrg;Io o)uet!B!^ êp no
uolldâlrod ap §al un erêpueluop fr\ êl urlueLll lnoL ê]^Lns
-tnod rnod lualsrsu sll,s .ilts uêrB -rêsodar ês ? fd sal rê8el
notuê lnel l,s uorurdo uos ]otur.rdxê lnêd ua pJeS êl sleul
']sa] unrre 1rêrnbêr êu tê fd sêl rnod ]uêpr^? ]sê taSuep
aJ 0^êq sQrt tso orprêd ês op ênbsu êi tê's]uêurêdrnbQ
so]]nP,p 1ê luEslrl uotgq un,p runLu oLlrQrl.r 'se ono ap s10]ol
sal rêsra e.ll ap xnatê8uep luêL!êu.rejlxo lso lr ]el ltnu p
rnod dLuBl un.raluoLu luê^ op sll ureulêpuê êllue^e selono
sed luorpurêUe,u sêSeuuos]od sêl 'tsêl uos êlel fd êl LS
&
)

Ma gré leur lérocilé, les ours paresseux sont des créatures opt onnel es, e t\4J peut s'abstenir de Les intégrer s il prétère
€ouvernées par l'instinct. lls fuiront s'ils subissent une b es- pd - ê d.re.tê.]erl d 'drr \êê dê" DJ
d Ouolas. ' er ". A
sure Critique ou des blessules dépassant la rnoitié de leur il peut incorporer l'une de ces comp ications dès qu'un PJ
seuil de blessure. Cependant, lls ne tarderonl pas à revenir obtlent V à un test de Surv e.
pour tendre une nouvelle embuscade aux PJ. Des PJ Che
va iers en puissance devraient être assai lis par trols ours RIVIÈRE
paresseux lors de la première embuscade Les PJ arrivent à une rlvlère tumu tueuse qui traverse un
canyon profond ..ais élro t. Pour a traverser, i laut emprun
OURS PARES5EUX IRIVALI ler un pont de cordes très ancief et rnanifestement très ins
Les ours paresseux sonl de redoulabLes et de vicieux préda- lab e. S'is traversent un par un et se déplacent lentement
teuls originaires d'Arbooine. Ces beles colossales et hirsutes el prudemment, le ponl grince et oscile, mais tienl bon. En
possèdent six membres, ter.. nés par des grilfes acérées qu revanche, si plusieurs personnes traversent en meme lemps
Leur permettent de se dép acer dafs es branches et de tuer ou si L'une d'el es se préclpite, tous les PJ sur e pont dolvent
eurs proies. lls se servent des..olifs de eurpelagepourse eflectuer un test de Coordination Facile (l)
Amélorez a
camoufler el de eur lurtlvlté innée pour tendre des ernbus dilficu té du test d'un nombre de dés éga à asommedes
cades à eurs victimes. sans faire de distinction enlre a vie gabarits de tous es PJ sur e pont, el ajoutez un ou plus eurs
sauvage et les proies douées de raison. Par allleurs, les ours I si des personrages tentent de se dépiacer rapidement.
pd eSSerJ SOn sU'lOU' LOnr .( pOUr ôU' n o rU'c /ê_l^ eLse Chaque PJ échouant à ce tesl est éjecté du pont, mais le MJ
quitue entemenl leur proie. peul lui permettre de dêpenser {i} obtenu lors du test en

ærBæærtæ
. + D' I D' I D( J D' T D' I D
question pour se rattraper tant bien que ma V lndique que
le ponl s'elfondre en son mi ieu et provoque la chute des PJ

È.HHIHHH dafs l'eau, siluée à portée courte en contrebas.

;,.
ffiffiffi Sinon, les PJ peuvent su vTe le rebord du canyon jusqu'à
trouver un endroit où a rivière esl pus proche du nveau
dlr sol, voire descendre en rappe. Traverser es rapides sans
l'aide d'un pont n'est pas chose fac le et nécess te un test
d'Athlétisme Moyen Q ) Tout personfage qui échoue
Compétences: Calme 3, Discrétion 5, Pugilat 3, Survie 2
Talents : Adversité I (amé iore 1 dé de dilficulté de tous les au tesl est emporté par les I ots et séparé temporairen enl
tests de combat contre cetle cibLe) du groupe, s'élolgnant d'un nornbre de niveaux de porlée
Capacités: Cabarit 2, Ny'orsure empoisonnée [chaque lois égal au nombre de ÿ
Y générés. ind que qLre le personnage
que l'ou.s paresseux réussil une attaque contre une cibLe len est entrainé sous l'eau et rlsque de se noyer (vo r Asphyxie,
page 221 du Livre de Règles de FoRcE Er DEsrNÉE).
infllgeant ou non des dégats], le NIJ peul retourner I point
de Destin obscur du côtê umineux pour que cel e ci sublsse vorE 5AN5 TSSUE
les eflels d une expositlon au venin d'ours paresseuxl, Pré
Les PJ arrivent au sommel ou au pied d'une lalaise qul leur
dateur arborcole fles arbres et les branches sont consi
dérés comme un terrain normal pour les ours paresseux. baffe a loule Franch r cet obstacle nécess]te d'effectuer
,tj Par conséquenl, is peuvent s'y dép acer en tous sens sans un détour de plusleurs heures et de trouver une autre voie,
dépenser de manæuvre supplémentaire ni eflectuer de test) ou d'escaader a parol. Les arbres et es petites plânles
I Equipement : grlfles et dents [Pug]at ; dégâts 6 I critlque qui poussent çà el à sur ia paroi et Les sal ies offrent des
prises et des obstacles suscepllbles d'interrompre la chule
3 ; porlée au conlact ; .lur.e é I )
I
d'un persofnage. Pour escalader a fa alse, faLrt réuss r i
un test dAthlétisme Difficile Q t) ),
dont le MJ peul
OESTACLES NATURELS rédulre la difliculté si es PJ disposent de malérie d'esca
Outre les prédateu§, es conlrées sauvages dArbooine lade. Le L/lJ peut dépenser V ou (+ iE) iq) pour qu un per
cachenl de nombreux dangers que les PJ pourralent aflron, sonnage lâche prlse el lomlle d'une d stance courte ou
ler à lout mornent de leur voyage. Ces rencontres étant moyerne s'ii n'est pas sécurisé.

I . ou.- o .. rôar .rê. ên ^, ô a rdlê.\ ro r e o ellectue uf lest de Résistancc. En cas d'échec, e poison
llg,,." to, I oid.o ê..ro.s,.eo. pr,.rd.,..êr. provoqLrc lrnrnôd aternent la bessu[e Crilique suivante
de lelrrs griffes, eles peLrvenl injecter un venin dans eur [on ne jetle pas es dés sur a tab]e d,^ RésLt tat de b cs
victime el lransformer Lrne b cssure superfic elle en sen sLrre Critique) :
lence de mort. HeLrreLrserncnt. l'cllet morlel d! vef n venin neutralisant (Difficite t§§Ql : chaque lots que
de l'ours paresseux arbooinacn n'csl pas immédlat, car ce personnage subil au moins 1 potnt de stress ou de
'animal l'utillse pour alfaib r ct ralcnl r sa proie avant de
b essure, on ajoule 2 eLr nombrc de poifts subis
s'en saisir. La toxine demeLrre ccpcndant un ongmomenL
d' o'gdr '.I d . ' r nê ê, .dpc p' . a p u o e\ p^..b^d, r,,o ê.o.\êl o'or^ pdr*.ê.\. nd\
énergie Par conséquenl, e le est surtouf dangcacLtsc pour lcs châsseurs salhaT sulfisamment coLttageux ou témé
ralres pour apprendre ces rnéthodos d cxlraction les par
les voyageurs élolgnés de la civilisation
tagenl rarcmcnl. Cependant, un gr"rd nombre d'enlre eux
A n'imporle quel e dose, e verin esl .lot"À d'unc dlffi IulilisenL dafs leurs diiros. Sur es marches dc OuoLas. co
cLrllé lntimidante (0OO0) .ontre laquelle la vl.tlme poison, d'une rareté de 5, coùte I 50 crêdits par dose
xll(nnD no slrpxott{t
NStOùVg nO fgvftàlH,l
I
'xn€urue xnêrqL!ou ap .rê^erlJê,p areluêurqld solre srnol Jortq lue^nad slr r-10'ruo.]] np sê9pr^9 suorljoc
dns ê8elue e,l e rêl ê rel'sêL-ll.rol sêp tua^nos asr ln uo uU sê suep ênbsnl sêredsê spuet8 ap luaBeuQLue l.rellles sal
êllêt v s.rnolPp?rd sêrlne la xnêssêred srno sal rêl rê^rns êp pue.r8 rssne auou]'êrq.re un,p ê8el rnal al snos ê?r.llru êl r,!
lrnu op apreÊ el q arllou-rad êp uue srnê rolxa stolê.rtuol êun Jnod êlueuardJns êledsê,p uorssêrduJr êun luêAl) lê
sêp lê sauj.ro]aleld sap âuo ê êr essêlou lno!ns 1sê êllêrl xngo^ru sê]]ne sêl Jan8urlsrp ap sluaprs?r xnP luêllaLulêc
uq.re êJ?rull el ralos np]êAa o lo Jaqlnol ê rns sdLlrêl rnb sêOBeSOp sauoz sasnorqLlou op puê.rdruol selono
np roldua rnêl 1uêseq sluelrqeL-l sap oluofeur el rs êu.]onl
'saqrJot sêp ta stu€srnl suotqq sap red Qrnsse tsê ê8erepq,l linu el êp ]lP,llrldurê lualuêssrnJq rnê
la aqu.rnoIel]uepuêd a nlsndarl êp êrlp nLurs un tuêIêlo.rd
T nu el êp ê0qurotr eLV sauDPr ap neasQ.r êLs]o^eJt ? au]oL!
lr.rla êsuêurL!r.l ap sêl rnêl sal sêurlEr êp neês0l al suep sai.l
to oruoLor el êp êseq e ?,nbsnlêrQ urnl e tuêsnllrp 1uêu-rênll êleô sêp Qsnar) êLuQLL.r ]a êrqre, op sort.rpd sêulpUêl oprr\q
l8Qte]ls sQsodslp s.rlo.rlu sac a]q]e,l êp êLuD pl suep sêQs ]uêurêteâo luo r.reules sêt sreuJ surse8Plu ua no sluaLLraao
-odsrp êJqure,p sêllIual sapue]3 êp.red sQluêL..ro?.r tuos rêlos
uo s?8?uQ!.Lrp'spru sêp ? sêlqPlquas sêqolâ sêp luos sarnl
np suo^e.l so 'selono êp êrQrLUnl ap êlrnos êedDuud -lnrls sêp lrednld el aurooqrvp slDla suêLlue snld sap un,p
sarelrns sêrlne,p.rns lê arq,le, ap luorl ol suep sê?^PJô luos sê.rPln)e]uêt saqluerq sap nê lruJ ne orleq ]sê selono
'sarlolue sêrqQlol êp no êunel el êp suo leluêsoJdo.r xne slreJ1
êlqlâlllalul uoSel aP llsPB êl
sqe sl loLu sêp luo^ rnb 'sê8PLU sêl rnêuolxê,1 e la rnêuo]ur,
tuê red se ono êp ueules sêp 1]edn d el 'sêlqelnpouJ sêlelo^
e souuler uP,p sê]^næ sap 1ê slrloLlr sop Ê]d nls tuêuêl€ô? sapJol s.lnal op ]a ê.lrduJf, ta^e slreluol srnê êp uos er uê
luo suesrLe sa 'luêurêuuor^uê ê1 un luelêpolLral uê sêJ eu 'fd sêl rnod tuêurêsnêJnêH olrLurxo.rd e êlPUQdLlr uosru.reS
rp.roP]lxê êsullPUJ êun,p 1o tuêlet un,p ê^nord tr€J Jro^P,p
atrtêd aun,p tê JlolrPr\ lêD ',oll^ Pl ap lêqr np uortdêlxê,]
s1uêluor uoN sle êrluê ua 91d nls s oq rnal êp Qtrxêldürol q 'êurâuo,p reqles luos selono op stuelqeLl sal aulooq
el la glneêq rnêl rnod sênuuol luos sêloluoqre sê lr^ sêl
).' rv,p uortplndod êlqreJ El êp êuârour91 rnb êl 'sluel qeq all u.r
-i\ 'êqu!luol la êrqL!os êrQqdsolule êun xrp êp su ouJ êld!-rol .ra rEd tuouJordo]d q êllr^ el 'trp elê)
l luêorJ salQrd sêlrtad soL lê sêlroI?soua Pô sal Qo sar eu
I Der slauunl sêl suep loluol lal un,p Jrnol êp êlqissodLul ii:iiY§., :?,:i3 .:3ii3f ;liÎ#ti"1u'l:H IIJ
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lEqslêH sal lê sLLLrnI sêl luesoddo l lluol sa] aJlne, ? ê3e! r^ un.p no êll^ êun,p suo sr^ord sêp tê
I np ]]elo,l e luêrl ês 1ê srnêÊe,{o^ xne sêrqLuell sêp anol rnb sallêAnou sêp lualrodlol rnb'sluEDo3?u êp lê spueqlreu-r
'(29êSedlrl srJo)l l^fêpêurêlel :ra8o! !onêlun ssne êp oll Luel êun,p 1râe,s I sêsrpueqlJeLu ap soS.reLll [ra ê8Pd
luauuorluauJ sll sluapnrd rêrluour ês êp luêl rêsuo) Jnêl 10 lrl xr^ret o]]erb ap sQu8eduJo]re 'o?soddo uortrê] p el
ueJ^t un red aqu.rê^noB tsê selofo ênb lueurêle3? tuêLeu8 s suep luêleldop as rnb ueL-lles srnê8e^o^ êznop êp adnolâ
rnal o.rerf sêl lrlJed ap lue^e olsnl 'xne]Lue luêuJêArlelor un tuorluoluê] ld saL lQ]oj e suep urLL.raql un ]ue,{eJ! as uf
tuêrnêurêp fd sal anb luef r.rnor.red q êluets p eL onb rsu e (erraruruorrao autloltau) sunrgv o^
êllr^ El êp uorllê1p e fd xne ranbrpur lua^nêd sll luêuoLU
lrnol un ?urnolgs luo slr lo selono êp luêuuor^ olPrf sol
sêlelol sêrnleorl
[êu ooqrv ]ns no) selonO ? snpued?r nad stuêL! sêJtnp,p no (ZZ ê8pd Jrl xnossared s.rno sap Jed sQnbe]]e
adrnbQ sa]]ne,p no sênb Bo ouq]ê1strê[qo sêp ]êtêqle ? sgsod sed tuos êu sir 'no]] ê .]êroldxê ro rêprelle,s rnod tuêlsrs
srp tuaLuolP8a tuos o.rPrf sa tê ê qeooâQu lsê x rd êl « lues -ul,u fd sêl ênb surollr €'luEpuêdol'suotlAUê ses êp no
-rlE]]nêu uruê » êfbllr] o.rnssê q aun ]uêLl]êle poLuLUr êJ1ê.1 êituE,l êp JnorJQtur.l ap êlueuê^ord ua slue,{eJJa slrn.rq sap
no 'a]tuoluoJ el êp uq el P,nbsffslêJJa xne Jalsrsor.rfod sonl luenbo^? ua Jê^rloLU tre.irnod fn al anb uorspqp aun 'nol
-)êJlê stsêt xne n n au3p3 êsop êuf alntou,s nba8euuos
fl .rnol p saquJel sJnal aJpuêrd ap sosr^e uê q tuêreJês f sê-l
I 'rêd tnol (9 gtêr€rl strp?rl 00t ap xud ne selono g opQLuê.] los êl luêUluol rnb 'surelrêl rnod sêproueLUnLl 'so xnêrq
al luêLlrêle8o a^norl uo 'xnassoJpd s.rno,p uruê^ ne êlop:l -urou sêp n^ ne aluapr^Q êlqu.rês a.llue, êp ê.lnleu Pl
-ue,p sêsop buD tuêua eÊ? luapQsSod spuprl!.reLU Sol SêQloSr snssêp D lrJ)0p
sêuuêquLooqie solneunuu.rol sa red s?qlralllê.r sQ.rl sênbÉ aurLuol 'suepêp tupqllot uo noJt al « r J^nol?p , tue^nad (q)
-olour-llê1 slêlqo xnêrqurou ap luop'êseq op sosrpueLll.tpu] op arqLuou pup.r8 snld a luerQuo8 lo lsêl êl I luanolro rnb
sap luêrluo) êue^erel êlrlêd El sêllê^nou sêp .ro^P p êtcLl Td sêl 0lrsouLurnl
pltê êSellrnal np qtrsuap elrns êOseq q|nl
luo slt,nb lê qlneunut[]ol êllne aun,p 1uêuuar^ord D-xnêl ênb -gjrp êun,p ?tuou?..rBp êruelr8r^êp no uo0dê)]ad aplsat un
.\'/ luaurSeLL] ,s s : fd sal lo^e suorleurolur sêp no suê q sêp rê3 ranllêllê,p xna.p unleql e rêpueuêp 1nêd lr 'uourS SSê.r]s
ueLll9,p s luos olrerfsal êilseLsnoqluê la^e fd sêl ênes êp lurod L rqfs ê.rEj Jnal lê rêural êl suep adnorS êlraqurol
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lr.rJr) la tuêss tuê e.r .reqles sa 'sourer luê os ês êu srêrurêp êJrpl lnêd fn a ar^JnS êp 1sêi un,p sro oJguo8 {:6} un no ô
\ sal ênb su oLL.rv fd sê la^e suo ssnrsLp sap ïol êlored elluê^ un e êtrns tuê^nort ê ld sal rS sê]lQLU sofblonb rns olnop
nos snld al pua]d 'oueLf lu.r)] 'Qu1E: aurooqJv rns srêÊuerlo êtuêd ua pualsêp lQrol eL êp los êl suep asnaJl lê ê8rel ap
sêp ru^nor?p op êsud]ns sreu alelrLLre tsê ol.re | êl urel el êllQLu un,p êCJluê êun,p n^rnod rêurêl puErâ êl êurooqJvp
s eleu sa8e lr^ sJna êP s.rnêt€pqrd xnarquou sêp un,l êp ê.,l]ue,lJns ]uaquJol ld sêl
luauArol?,s rnb ueLltes sêrpr sêl LlrJed tuatdL!ol srnaAe,(o^ tn3rvoaud no ràrNv,'l
r-I
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srTEs REMARqUABLES ÉcuRtEs DE TARVtx


Les tanr'ix sont des créatures fiab es et originalres
dArbooine
La section suivante présente une sélection de sltes remar- que les Sathari onL domestlquées comme betes de somme
quables à Ouoas. Cette llste n'est pas exhaustive et rien el raontures il y a des milLénaires. Lécurie est située à plu-
n'empêche le NIJ d'ajouter de nouveaux lieux en fonctlon sieurs nlveaux au dessus du sol, car les larvix sonl des ani
des besoins de la narration el des activités des PJ. maux r.aloritairement arborico es. Les habitarts de la vil e
De par sor'r agencement exceptionne, Ouolas diffère à meltent souvent Leurs propres tarvix en pension à l'écurie,
bien des égards d'autres vl les que Les PJ peuvent avoir visi P'les o .e_ pdrosd e Lairs\ s''ê-rs rê_p .êso|d. (
tées. Doté d'une circonférence de plusieurs centaines de sions sont relativement rares. Les palefrenlers vlvent dans
mètres, l'arbre qui abrite OuoLas est gigantesque et encerc e des logements à proximité du bâtiment. Même sl ce dernier
la totallté de la vl le. La ville est agencée de manière rnalorl est dépourvu de sentinelles, a garde de nuil suryellle l écurie
talrement verticale, car l'arbre est bien pLus haut que arge. pendant ses rondes pour empêcher es vo s de lary x.
Bien que tous les habitants de l'arbre central re les Louer un tarylx coûte 25 crédits par jour. Remplacer un
considèrent pas comme de vrais résidenls de Ouolas, cer tarvix mort cotte 1 000 crédits.
tains cltoyens habitent dans de plus petlls arbres rellés au
tronc principal par des ponts de corde. Ces colon es satel TARVTX [RTVALI
liles se sont avérées nécessaires, car a populatlon de Ouo- Le larvix est une raonlure domestlquée répandue sur
las dépassail la capacité de I arbre d'orlglne, et ce, malgré la Arbooine. Ce mammilère arboricoLe possède quatre yeux à
laille glgantesque de ce dernier. l'avant de sa têle trapue, mais il mise davanlage sur son odo
; Pour évoluer entre les dilférenls niveaux, il laut emprun-
rat surdéveloppé pour trouver son chemln. Son épals pelage
noir ui offre une certaine protection contre les ours pares
te. des escaliers, des rampes, et des ponls sculptés à même
Seux el aulres prédateurs. Peu v-Âloces, les tarvix Sonl néan
le bois, ainsi que des échelles et rnème quelques ascen- moins robustes el liables, el tout aussi aples à grirnper aux
seurs tirés par des cordes. Pour ceux qui ont besoin de se
arbres qu'à arpenler e so de la forel.
déplacer rapidement, les tarvix représentenl un ntoyen de
transport confortable, du moins pour les individus hab-
tués à monter ces animaux. Les Sathari d'origlne, quant à
e,\. se Lonte'lienl de o aner deourr lÊs ' i\eau\ Srper eur'
jusqu'aux strates lnlérieures

ENTRÉE PRINCIPALE
Il n'exlste qu'une seule entrée au niveau du sol : une grande
barrière en mélal lnstallée devant I'arbre massil. Au moins Compétences : Athlétisme 2, Perceplion 2, Pug lal I
ufe sentineLle y monle la garde à lout moment. Ouolas Tàlents ; aucun
reçolt peu de visiteurs ; lever ou balsser la barrière n'est Capacités : Créallrre arboricole {les arbres el les branches
paS ufe sinécure et tourner la rnanivelLe nécessite un efforl sonl considérés comrne un terrain normal pour es laTVx.
considérable. La barrière est fermée la p uparl du temps, Par conséquenl, ls peuvent s'V dép acer en Lous sens sans
mais cet obslacle esl largernent symbollque, car eLle pour dépenser de manceuvre suppémentalre Ii
effectuer de
I rait difficilement er.rpêcher une troupe lmpériale de pénélrer tesll, Cabaril 2
dans a vi e. Si des marchands, fermiers ou voyageurs vont Équipement : grilfes el dents (Pugi at ; dégats 5 ; crilique 4 ;
\./, et viennent, la barrière reste ouverte pendant de courtes portée au contact)
périodes duranl la iournée, mais les gardes rechignent à
'ouvrir la nuit. sauf en cas d'extrême nécessité.
é;,
CONTREFORTS
A cause des prédaleurs féroces qul
grouillenl dans les lorêts d'Arboo ne, les ,
comrnLrnautés doivent rester consla rn,
n enl \u' leL' ga dê I irt .(.0.'t o ur
seul ours paresseux pourrail provo-
quer de norllbreuses rnorls et L'histoire
dArboolne est trulfée de ce genre
d'incidenls tragiques. Autrefois, des
,
remparts étaleft fécessaires pour
se protéger des raids rnenés par des ÿ
comraunautés rivales, mais ce genre
d'accrochage est quasiment inexistant
aujourd'hui. Les remparts sont sculp
les dd' s e -ro-, dp ld br. de O-olas à
intervalles irrégulierc pour perrnettre aux
gardes de surueiller les prédateurs grirn
peurs, le sol de la forêt el ies arbres

rHÉRITAGE DU GARDIEN
CHROXqEI DI' GAREIG
irJlqÈtD alo slploatrtt
Nfrodvg no 3gvfttlH,l
'snua^ xnea^fou sêl sQL!rp sêp.teâ sap
luêuod n anb lolalul,l op led ASal
Jaru.]op êr rê1rêle,p tuêtcl] ês sreut lêJ?rd ]sê lloueN ênb otêl ord tê srnêtr^ros sêp led Ols sse 'êxnl al suep I^ têlO.ld êl el
0uuoq êtnot uo tuapuodoJ sêp]E3 sal llolleN êplalns ne suott srerl spuE]S ç satQueld sêltne.p sQ]]odut sênbtâolouqlêl
'sênb sop tuêsod no êpreM oltns tuauuo lual! slt,S stLteleuêu stêlqo,p tê te,p sêr^næ,p a?lqfaLu luêuêqlu tsê êtnêuJêp
luetluouJ as êu srêrurêp sol anb sutout e fd xne sQlle, luêsr'llêi pl soluêlelpe s?tQudo.ld sêl lueê8o]]e,s uo to satQtd sap
sêpre8 sêl ênb olqeqo.td nêd lsê 'satnop S]nêl OrÊlEL\
l tuelnole uê tueuuotssa-rduJt qlap tuêLu tpq êl puet8e dno:)
lLolreiA iêsstotj êp alq ldêlsns tros êl -neêq e J oLrer\ 'êuBQl êp sêtuuêl?p sês ap rnol nV tueu
anb Lonb êrel êp tuêu8rell s r,nb ê)red tê stê3ue.ltQ sap êpnl -rLulnr lurod uos q êOnlrs tê'sElono ap soluêptso] sêpuelÊ
-rqell,l sed luo,u s r,nb êrred sroJ p q'xnauuo5dnos ltæ un,p snld sap êun,l 'lê,rord np .. oueLU ê êdnllo jlo)et\ laD
1uêrQprsuol sal sl ',lnq0p nv qtrsor.rnl.red ssne steL! êrnpQ)
otd el C luêur?Luloluol 'anuê^ Jnêl êp Ltostpl El anb Lsute ql l
rrrlüd no ùroNvlu 3't
uopr .rnêlrêurll?p êp tuopueLuap rnêl sll t'd sêp uotlredde.l
red sud.rns luos êrO req pl op snssêp ne sqtsod sêplp8 xnêp xnêrê3ueP snld sal
snuêlgp sêl ruêtar.Itod sO!ll.tllê19 uo ttalold êp sdute!t sêp
sêl lê 'sroôuE.l]o llolrns 'ÿnêlrsr^ ap nad I oSat selono
tê sonb llelou-r sêlnllêl sêp tuoLuL!etou 'selonO ? tuêulê el
-OUOB ê^nol uo, êfb xnêl ênb sqrue^e sfld uorltnilsuol êp
xneJoleu êp to sorSoouq)êl êp êgdrnbQ ?tQ e uosr]d e'l
'talQrd np sêuuêruolp.rp sê âQ] sasnêtqulou sêp êun,
tu êrluê ro^e,p squuo5dnos snpt^tput,p tê sênbtt od stuaptssrp
ap sreL!.rosgp êproq0p l allol llo).ret\ ap ê uueJ& el êp lnqQp
ê lue e ê?srlqn nod selono êp uosud e tuêLL]êle8O pua]duol
nb êlse snld ê.rntlnlls êun lsê êpleâ êp êtsod ledDuud al
aprpB ap §1nol xne tê strpdLUor xne sluêlelpe 'êll^ el êp ]natl
'olxê rnur np rnê.rQtut,l q sonlls tuos êpleB êp sdtol st[od aC
'll'r êrluol luêssr8e no luau]udxê,s Inb sluel qeq sêl
: I ns nb êl zêSeJqd€Jed no zêStl sElono op a
l e : uo leu Jêpuêqgrdde ta Bnot uos snos êllt^ e J uêtu eLU tnod tfêd €l
[sêp ]nêl uuuê tuêu8 ê]]e soJoq sa 'êutooqJvp^ stQlol sap .red
snu 1uêros slr,nb no sOno^Op lnol luatos nlslt,nb sap.lea
s.rê3uPp sêJJne xn?lê xfossôJed srno.l C nlg lns Jlo^e sQ.ldV sep yes es 1a14d a] llo)er\ op uorlluolur,l snos êOddo ê Op
lsê,s êl r^ pl op QtJnl?s e 'SêOUUE sênblonb sndêp tuep
srflonÙ sNvo ururrNsd uodêJ 'êtuaueurrêd ua lêllra JIls êp luêt^uol ll.nb slnêlep
-Ordsê ]pd eQU tsnlê[]ed uê tsê uo tletold êIêJ a el es êp
pre8êr ne sapreB op tueuêrdlns êtqutou un,p asods p selonO
,aruo r,
"-o "rrJor"
sêl 1ê lrlqreJlE sal 9Il9^u rnêl steu'llollelA lêsla^uê1 luotEl NOStUd I3 !OUV9 !O SdUO)
.rnod sal urel xnêp sol talQdool luate^êp sêllê S lal êp êuB
'rod aun suep Olneunuluol el luatluleul lêJqJd al steu uo ] al h pl êp solQlue sêl luêtuêsordêr a.rqLuou pue.t8 un luop
-pnlrs êllêl aDQJdde,u suelr sap untnV llollen led o?sd llo 'sa rterol9p sêrntdlnts ap êOu.lo lsê ê dL!ot np alpJ]ns ênbeq)
010 e êluênllurlfa ts êuou 'se ono q l nê[eu] êlo.t un lanot anbsêrd .rnêrJglur,l e ta êpe:eJ es êtnol lns tuêuludxê,s t..tpqtes
op luanurluol srJLury la reUslêH sêllrurEl sêl tnU,pJno[nV sêp sênbrtsrt.rp stuêlel sêl sreuJ 'salQUe d sêsnalqLUou êp
taJOrd ap êrln ê enbrpuê^êJ I olleL\ 'ê.tnoll ue lê sdLuêl saLuJou sêp preSêl ne suloul np 'êldLu s to ltad tuêutê^tlelêl
uê sq,{ed tuaret? slQdLu sêl ênb tuet lleJsltes ttetq rnb outooq tsê oldural ê-l selono op al tA e êlnot Jnod êLrrQuJ ap llts uêtq
rvp le]odur .noulo no8 np uo[]tpqu?q pl )a^V ]to^nod uos E^ uê l srpLlt atnleu el lê^e QltLutxold es ted saluelo.lt sol
ro^rosuol lo stuêprssrp sal têseJlQ lnod ouol e C Oitl qtsuas êsr pr.roleur .rqles oldLuêl al Olnuê êLuQLu ta alnas êun luêrx
es ap êtuê lsuolur uolesllltf,l e lê glneunuJu.tol el e sêlQ8 roj s xna^ srnêl q ]el luêutêno^?p êp tuP]ne lê^e atnleu
-uer10 sorPuarJêLu sêtnJq sêp q'xne,{ol sêplp3 sop c lêdde el 1ê sêrtolue s.lnêl luêrQ^?] slt,nb uarq s 'lêlnteu opuout êL
]U tê esn]ar ll atsod uos êuuopueqe JloLter\ ênb tuê]Q8txa iuau8rolêJ stun]?p sêp sludsê sêl onb tuê o]l upqtes sêl
sElono êp sluetrqEq sol 'oltdu_t3,l êp tuêuJêuQ^e,l 1a sauoll ulHlvs 31dl^t3l
sêp êlranD el ap ug El s?lde lê stpllel tu au op.teM
^o]
.rnolêr uos sQp êruQlqoJd ne onbULled uotl sltorpuê,p êruoâ al suep sêt e I tssne sEd luos
nlos êun .lê^norl op ltulo.rd lê êIetodLuêl letlstÊeu enb luel êu sêrQrluoJl sêl sreL! 'souDer xnp,fbsn[êLuOLu ]a êlqie,l êp
uê llol..rpl l lêD rue êuna[ uos Jtiqe]?,p uUp urelrlqfdQr le.l êsEq el q,fbsnlpuêtQ,s sêllrLUEJ sêp tuaulêuuo,{p.t ê 'r!s uêtF
-ougâ ap Êtuolne uos Enbo u ap.teM oltns'êlll^ el rastltqets sQrd suortdolxa sêrblênb € taJQld np Olol]dold El op snos
.rnod suesUed stnal tê sêlltulel sêl ê.llua luêlQtellQ s:)uêpDUt sêp ne êlsnl sQnl s xneê^ru sêl tujled 'luêLUêle)tllê^ Qredgs
stuaor^ êp'splono êp oluolne otnell snld el têl9Jd ap lnl 'êrqrP,l op 0llotu aun utlpul luêuuêldLUol s]êtl.tenb sê)
ets êl luarenbrpuo^êt suelt xnap sep sê]qutêLu sêl onb sJolv soldapp sês q lê Sêtqu]êrx sêS e êO rasol auoz olse^ êun
'!a^no llluol uê er?uQâOp êl1nl el uottelOuoB êun e Ll
êpQSsod sêl rureJ xnap sap êunlELlt tuouJanbrpo JQd ê3ueql
\ 'Olordrêtur eLu êlte un e no uottp]pllOp êun e at ns du.let at no ^ 1ê êrlqpt9 tuaurarep spd tso,u uotst^tp a]]êl ts êutOlA
'\',( lêt e Jueuêt-ledde aLuutol squ8tsgp tuos no 'lUpd alpuêJd ap s.rnalrsr^ sêp xnê^ xne spd êlres êu lt,s êLuQLu sluauêSolsap
sturp]]uo] luê^nos tuos sêlllueJ sêl op êun,L e êBeuStl ê..tdo.ld uortrsodstp e êp n^ ne tuop^O aLusllls un leqslêH sêp tê
j rnalrê êr luê^nêd eu rb selono êp stupltqeli salet sa oLUOI\ s.ruJn-L sêp sêlP^r.l selltLr]eJ sal ê]]uê ê?s lsê se ono a.lq.te,l
sa PDos sêJ elle,p 1ê anbrl od êp 'ê ulouolg.p êrQneu.l uê ôtu êp oLUD e êp ?t uJrxo]d I Onlts tsê tal?ld ^ip np rf êl lê sêrtne
-ourC8qq,l essêl sues luêtndsrp as lê selono ap ol^ pltueutLuotl sêl tuêqLUo drns sêQsrE snld sa sêlltuteJ sêl tuott]qe tnb
suurnf 1ê .r€ttrslêH sêlllLuel sêpueJB sa 'suo 1er?u?3 sap s ndaC
'spue]8 snld sêl p.lQuQS u! xneê^tu so snot e snpuêdsns 'êlli^
el otnol sra^ert € s?u uJqsstp luos sênbu?Llds sluaLUê3ol sêC
rlst^ro r11l^3Nn sNoStvl^t
LI
I

Une fois que les PJ ont lranchi la barrière et pénétré dans LE EIIRO
la ville, lls peuveft s'extasler devant les scuLptures rnillé
naires. Les nombreuses couches superposées de la vile
s'élèvent jusqu'au sommel de l'arbre, entrecro sées de â ccessoire de orécliection des aardes el chasseurs de
ponts, de plaleformes et de maisons. 11 ,,." ,. ê r i ê.r .rnê,r' 'ê nrn o êÊnn, pu.
due, adaptêe aux besoirs des Sathari. Elle consiste en
un bâlon creux ûrais robusle d'envlron un mèlre de long
GARDE DE QUOLAS ISBTREI et lcrminô par une pclile ame très aigu sée Le diiro esl
Traditlonnellement chargée de protéger et d'aider les hab lêger mals capable de coups prêcls enlre les rnalfs d'un
tants de Ouolas, a garde de la ville se contenle depuis utilisateur aguerri. PoLrr 'a léger encore, es lames de la
queLques années de faire respecter les édils absurdes el plupart des d ros sonl éga emenl creuses. Dans de norn
cruels de Marcoll et de caplurer es dissidents. t\lême si de breux cas. e les contlennent uf réservoir de vcnin extrait
nombreux gardes réprouvent la situation actuelle, d'autres d'un ounj paresseux, d'un zabros ou d un aulre spéci
demeurent larouchement oyaux enve§ le préfel et mcn dc panle ou d'an mal spécifique à Arbooire Par
savourent le pouvoir qu'ils exerceft en son nom. En général, conséquent. même si les blessures inf gées par es d i'
les gardes de Ouolas raontent des tarvlx pour elfectuer leurs ros sonl rareTTrenL grcves, l'arr|e esl néanmoins capable
patrouilles et parlir au corabat. ne ue.ê [\.\p^ p.ea,r.ê..r\d.ooo.pên.rr un rê.
de temps.
Un diiro peut coftenir jusqu'à Lrois doses dc n'im
porle quel poison (la plupart des alrtochtones ut I senl
oU .ê,l|n cloLr. pdreq.êU\ clpr'' p.g^ I A,adoJ.
allaque réLrssie conlre une cible (qu elle inf lge ou non
des déeâtsl, cette dernière suiiit éga emenl les eflels
d'unc cxpositlon au polson conlenu par le diiro.
Compétences (en groupe uniquement) r
Coordination,
En ralson de sa légèreté, lorsqu un dliro sublt uf ou plu
Corps à corps, Distance [armes Légères], Survie
Talents : aucun
sieurs niveaux de dégâts dus à un V ors d un lest de
cornbal ou aLrx elfets de 'atlr fiut Briseut il reçoil un
Capacités : PLaneur (un garde Ouolas peut pLaner sur Lrne
n \ê,u oê oeg'l c .pplê-rêt .t ê , . -able 5-4 : Ëqui-
courte distance en tombant. ll ne subit pas de dégâls de pement endommagé, page I 66 du Livre de Règ es de
chute tant qu'i reste conscient.l
FoRcE Er DEsrNÉEl.
Equipement :
pistolet à percussion (Distance [ar.nes
iégèresl ;dégâts 4;crilique 5 ;porlée courtel, diiro [corps à Le profil compet du dliro csl préscnlé à a Table
corps i dégâts 3 ; critique 5 I portéeau conlact ; Parade ll, l-2 Armes de corps à corps arbooinéennes
deux doses de venin d'ours paresseux (cf. page 22), arrnure [ci dessous).
matelassée (encaissement + 21, menoltes

CAPITAINE DE I.A 6ARDE Capacités : Contrainte (ajoute 1 dé de dilficulté à une


DE QUOLA5 IRIVALI attaque au Corps à corps ou à Distance larmes légères] afif
Les capltaines de la garde de Ouolas ont survécu à de nom d'infllger des dégâts étourdissants et de gagner Iattribut
breuses attaques d'ours paresseux et de pillards. Si cer Renversement; le capitaine peut dépenser {-} pour conlé
lains de ces officlers doivent leur posle à Marcoll et lui rer celle capacilé à un groupe de sbires de gardes de Ouo
demeurent loyaux, d'autres regrelleft l'époque où il n'était las sltué à courte dlstance pendant un roundl, PLaneur (un
pas encore au pouvoir capitalne de la garde Ouolas peut planer sur une courte dis-
lance en lornbant. I ne subil pas de dégâls de chule tant
: ,./ qu'il reste conscient.l
Êquipement : plstolet à percussion lDistance Iarmes
légèresl rdégâls 4 rcritlque 5;portée courle), dliro (Corps à
corps ; dégâts4 ; crilique 3 ; porlée au contact ; Parade l),
dix doses de venin d ours paresseux [cf. page 22], deux
doses d'antidoLe au venln d ours paresseux (ct. page 23),
Compétences: Coordinatlon 2, Corps à corps 5 , Dlstance armure matelassée (encaissement + 21, rnenottes, comllnk
larmes légères] 3, Sang lroid 2, Vlgiance I
Talents: Adversité I (améllore I dé de difficulté de tous es
tesls de combat contre cette cllrle)

TABLE 1-Z ARMES EE EORPS À EORPS ARBOOINÉENNES

!
Nom EompÉtente 0Égâts Eritique PortÉe Enc EmP. Prix Rareté SpÉtial
2 (Arbooine seu-
Diro Corps à corps +1 3 au contact 2 0 254 Defens ve I
lement) Parade 1

UHÉRITAGE DU GARDIEN
CIIEOHE]] U' GARI'IEX
fEtot v:, m 5ïpf,elllt
NStOtV9 nO fgVItUlH,l
-1.7,-ÿ,i1t;
luoras slr 'tuauê]JoAno luatuorJJe,l slr,s llolrer\ ro^e uorl êl e atQrueu êp'1uêLltê^rssal8o"rd l uê^lêlu lreJ^êp êl a sreu
-elêr êrntnl lnê puêdQp sêlluoluêl sêt op s.tnol ne êpnltlle 'suort)e srnêl êp puêdqp nêrl E a!o^nolQp êllal luop u05el
rnêl aO êJ d êl Jnod no JnêllrouJ ê Jnod 'selono ?ê el ]ol el sêLUQLU xnê led êldLuot êrpuêr uê,s a]^ luore.l^op slr '(ta
-uênJur,p êJuaLu.rad 1ê ^ l
ê8ed 'lll o r€rf sêp tuerourlr ue êl lê^e luelnlsrp uê taJprd
fd xne JlolJen ap Qtnenlt el .lêu8
' Inos sêosuêl So.]]uo]ua.r Sênblanb ê1uês9rd uorllêS ollaJ np êruuerÂt el tressqnsollê,nbS.tddEsedlUo.usl ,S ê lt^ el
asrnS rnêl q selono c uoiss u.r lnêl aJpuotdoJtuê,p sê.tqtl rns ou8Qr rfb rnêd ap teLU ll np otduol a]puê] ês.lnod ld
]UOS fd Sêl lê'aregurl uou tsê ê]nlua e,l êp êtled aua] xnE sdLlral8uol sedlnelêu r 'se ono C ao^ ue rnêl sQ]dv
(rt ê8ed 'uer^t ol lrl splono q JnolAs Jne
stnonb usuo]dx3 êp srnor ne suoQle srnêl êp erpuêdqp o lê,nb luetne,p Lro^ q
olsar n g êle] luo.r8e slrtuop a.rQrueLu el ouuol e rn êpleÀ\
uo llalQc êrJoJ el êp ro^nod al onb.rêqI)l elsul np uorssassod uo tueuJa-r!s lsê llouen Lol
lupsr rtn uê no (|) âtlreJ â)uEI!e!^ op æat un ]lrenl 'uêLlr rnal ê11ê lfod elalladder rnêl êuLroJ'êrlne êun,p no
lallê uê aJQtldsou]tp ê]]ar op êldruol ê.lpuêt ês 1nêd uo:el oun,p llolreA rotuolJe .ro^op tuo^ sl ,nb atpuêJdLUol
fd un xnê lê^e uorllerolur ê1no11ê fd sêl lo^e lars luêurêp del lualeJ^êp Td sêl ,l_rs uê g rnl uê srodsê SpUEJB
lreluol 1nol luêlr^Q ta 'lueuJapldel sênl sêl ]uêsJê^ul^ êp qrpld tre^e opreM onb OUUop luelo anbruuer^t tê JrlElrp
stuetrqPLl sêl êll^ el rns asQd qLuold op sd€Lll aun -u rssne rLo^es êl êp Quuol? luaLL]ole8o lsê êu-tLuer8oloql
. ^
.r o^nod ne sJno[no] tsê J or.rEr\ laD ênb ê.rpua]dde,p sr.ld.lns
tuêLranbts^rld rossaJ8e sal êr]e tuêrernod uarpJeS ê uoser ê1]ol snld E 1ê'ld sal
êp no sêJnêurLU suorll€JJur sêp Jnod sluetrtqeu sêl Jêu
-?3uour ap ure]] ua sêp.reB sap arpuê.rdrns tuo €l.Jnod (0t êâed tuelsls?l â'l : sQld suotl
lt
sll 'Sn d êC êluasQrd rnê uê tuêtoUlnll) 1ê xnêI sêl 'dalxê sanblanb el Ua^no rnæl e rêUpd rnod êrLo^ !êrp?urar ,\
rnod sQIErJlê dort tuêLualpEA s eu-r 'uotlenlts aUêl êp xnêtnêq
luossreq Io slep os sel luêlr^Q suê^olD so anb luo]
ênb.reL1]ê.r srnêle^rasqo sn d sêl fd sêl uotsuêss p lEur sQ.rl luos sluElrqeu sêl ênb 1uêp artQ trop I I ot]El,\ ê,
êp no uortPUrploqnsur,p êu8ts êrputoul np 10Jle, E- eo euc,tod\ep " J-5 ^ld ê.p.d.dda^Çur p .è spo o .dlod I
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T uolldof,rod op lsât un rêpueLL.rêp lnêd [r\ êl srELU
'êtuep^? ]sê olueuout rnêl sodold al e ê3ol rNDlU 11
rêlur sêl uo rs êpreM ottns ap no êill^ el êp luêLLl
-aurê^no3 fp rêlred e 1uêu3rulêr sluetrqeq sal .
: ld xne elltolo,l q êlnd e arllaLu
lua^nêd strue^Lns sêldluêxê sol llol.len op olnentl el ta
alllsnlur.l rêu8rlnos Jnod sên5uol sêlnot'urol snld sêQluas
?rd sê.rtuoluar sap snld ul uostet eL tu lnêldule,l êtnol
êQlqurê.p rsres ua sups êsteleuJ un 1uê^to5]od fd sêl anb
T
cons dérés cornme des ennemis, alors qu'en agissant discrè Cerlains habitants peuvent par er plus ouvertement si les
tement, ils auronl la possibilitê d'en savoir p us sur ui et de PJ parviennent à s'insinuer dans leurs bonnes grâces ou à les
gagner ses faveurs Bien sûr, I est possible que les PJ décident persuader qu'ils sont venus à Ouolas pour rnettre un ter[ne
de se rendre dlreclernent au manolr de lvarcolf. mals est f
à la lyrannle de Marco Pour ce faire, les PJ peuvent utili
peu probable que cette mélhode se révè e concluante sans ser leurs compêtences de Charme ou même de Négociation.
avolr préparé le terrain {cf Le tyran, page 24). Cependant, les actes sont toujours plus convaincants que
les discours: le moyen le plus efficace de gagrer le respect
En plus des rencontres présentées dans les pages sul
vantes, e lVlJ est encouragé à en développer d autres en
el eslime des habltants de Ouolas consjste à alléger eurs
souffrances. Dans un cas comme dans 'autre, des PNJ sul
fonction des activilés des PJ et des intérels des joueurs. fisamment et confiance pourralent évoquer la cruauté de
I pourrait éga eraent avoir besoln d'improviser pour faire lVarcolf et sa lransformation depuis des années, ain si qu'ex
face à des réact ons inallendues de a parl des PJ. Losqu'il prlmer leur haine envers le prélet.
développe de nouvelles rencontres, ll peut se reporter aux
inlormatlons sur Ouolas qui débutent page 23 et aux PNJ Au débul, [,4arcoll était un chel jusle el objectif, qui res'
présentés pages 31-32, qu pourralent apparaltre dans de peclait les croyances, l'hisloire el les désirs des citoyens.
f ombreuses circonstances. Au frl des années qui suivirenl Le départ de Warde, MarcoLf
devint de plus en plus lmpitoyab e, soumeftant es habitants
Coftralrernent à ce qui se passe dans les villes tradition- de Ouo as à des lois arbitraires et à des châtlmenls sévères.
ne les, pourse déplacerà Ouolas, ilfautévo uerà la verlicale. ll se mil à augmenter le nombre de gardes et es trans-
Afin de se rendre d'un endroit à 'autre, Les PJ dolvent gra- lorma en pantins à sa solde. Ceux qui .efusa ent de mettre
vir des rampes en co imaçon, des escaliers et des échelles, en pratique la politique tyrannlque de lvlarco f dém ssion
et r(lême utl iser des ascenseurs t rés par des cordes. Llne naient, se faisaient renvoyer ou se retrouvalent eux rnêmes
aureopior ors.ted o,e dp\rdr /.. â, rê pu.q.ô emprlsonnés
ces grands rnammlfères peuvent facilernenl grlrnper à lra
En lonction de leurs queslions, de leurs ifterLocuteurs et
vers Iarbre {cf. page 241.
de leur degré de discrétion, Les PJ risquent d'altirer I'atten
tion des gardes de a vllle, de la résislance ou de l\larcolf lu -
5E RENSEIGNER 5UR MARCOLF meme. Le N4J peut déter..iner que iE) (E) (E) ou ÿ aux tests
Les PJ vonl probablement interroger es habilanls de de compétences socia es v sanl à oblenir des inlormat ons
la ville, voire Les gardes, au sujel de Vlarcolf. A priori, il débouche sur une vlsite cles gardes ; {:} {:} {-} ou Ô à ces
y a peu de chances pour que des citoyens déb atèrent lesls pourraient mefer plus tôt que prévu à une rencontre
contre leur préfel en présence d'étrangers, surtout s'i s avec Pathran He shat le chef du rnolvement de résislance
s'irnaglnent que les PJ sont des espions à a solde de conlre le règne de Marco I [cl. Le résistant, page 30).
N4arcolf. Si les habllanls sont réticents à dire tout haut
ce qu'ils pensent tout bas, les PJ pourraienl apprendre LA VrE À QUOT-AS
beaucoup de eur silence. Lors d'une dlscLssion plus géné Les corditions de vie à OuoLas se sont détérlorées sous le
rale qui abordera I le sujel de Ny'arcolf, de La gouvernafce règne de Ny'arcoll. À l orig ne, la décls on cle Warde cl'étab ir
de a vllle ou de Suljo Warde, les PJ peuvent effectuer un I\4arco I à la lête de a vl le avait porté ses fru ts. Le conllit
test de Perception Facile O pour comprenclre que ouvert entre les Tumrls el es Helshar s'étail apaisé et la rou
leur inlerLoculeur évite volontalrernefl a question. S'lls tine avait repris ses droils Cependant, à mesure que Ny'ar-
ir demandent directemenl à quequ'un ce qu'il pense de co f a assis son pouvoir, i s'est mis à soumettre les habltants
Marco l, il rlsque de mentir à rnoins que les PJ n'alent déjà
,\ gagné sa confiance Pour voir c air dans le jeu de son inter
de Ouolas à des règes et à des châtlments injusles tout
en sappropriant les ressources qu'il désirait. Aujourd'hul,
Locuteur, e personnage peut effectuer un test de Sang- chasseurs, lermie§, artisans, tai leurs et aulres habitants de
froid opposé contre la Tromperie du PNJ, qui est géné Ouo as do venl travalller sans relâche ne seraiL ce que pour
ralernent Moyenne O a). survivre tandls que Marcolf exige sans cesse de nouveaux

LA I]ESTINATItlN III WAREE

Erlplus cl eiquèter sLrr Marro f Cl cle se prêparer à Iaf' Une so ution permanefte à lcur problème. Le fom de
Lhontcr. cs PJ peuvent inlettoger les habilants de Ouolas celle planèto ne leur dlsait r en, et ils n'ont p us songé
pour savoir où Warde comptait se rendre après son départ. à ui depuls des anfées. Le N/lJ peul déclder que chacun
La p upart des plus vieux rés denls de la ville ont pour e de ces personnages sc rappelle cette informatjon, mais
moins une mauvâlse oplnlon du Jed , qu ils accusenl d être aussi requérir un lest de Charrne pour es convaincre
responsable de la situalion acluelle, alotS que les p Lrs de se concentter alin de fa re remonter d'auss vieux
le
leunes pourraienl carrément ignorer son noaa. Ceul qu souvenirs.
confaisseft ne se sonl sûremefl pas souflés
:"t t:I ure lois convarncus cie discuter c1e warde, tous deux allir-
do ê on depa l de Ouo"' \oirê espe'o"r 9:
o.'tt .t ps.
semblalent ouables à l'époque,
arnvé rnarheu. cepefdant, ron Hershar erôài;ir;;;t;i ::1t_11," _'_tt^l: l:!,'i"ns échoué à apporter la paix el la
*i 11:li
eu p usieurs rois 'occasion cte discuter ar.i irior"îo i
'l: T:.!]l:t]:n1ent aLrx sarhar Helshar artribrre
;;;
rorçair de résoud re reu r quere re et rlexp iq uË,1;;l;t ::".0]1':^:ill?13't-T""ises
rraiesrépubicainesqui'autorrsaientainsïJre;ï.;.;;;..
tant que dirigeant temporairc de ouo as
::i,ii;::,ij:lJi,',[3ii:,:i:"J?:frfJ:i'djflîB:
son côté, Tumris est persuadé que warcle se hcha t cies
Warde leur a affirmé qu'i se rendaltsurCato Neimoidia habltants de Ouo as et que seule compta t sa misslon sur
er pror.etlanl de revenlr dès que possibLe pour lrouver leur planète, comr.e le prouvc sa disparlt on
t-
a
=0,,.,,",i3f ijli,'Jii'ii':,'%
.plôA è . ttôq Jo. ..o'P '..de ,r
uê B êl nl Pl orpuê.rd êp s nd tPplos
op ênBe^ êur'r ê.Dure^ êp Td xne 1êLLt ..'
,êo r_o d, cèdro Ê .t t"o red re.teq r,
"
alpurolo.r ap luêfurluor sêpleË sa 'tuep
uêdêl êrQrtuo tnol opteB el e êlel uaq
rs tuê lrnorqqp ês slr,nb alqeqord rêd tsa lt
'sêpjp8 ap adfoJ8 ll]êd un,p ]êqdluor]t luêtu
-êlDeJ tuê^nad fd sêl rS xr^ret sap tuaqlne^êql
Lnb xnal luêLuLLrelou xnorl sa .lns luêutêp dp.l
1uê^ure sêprp3 so sn d lê oBedotd ês êirêle,l snld
'êSuolord êstuouJêluolllE, snld [Td sêp]EqLuol np
êpntl]dp,] êp ta) saluelsuolrr sêp tuêpuodQp êQ^
LJe rnê êp s lQ.ld luêLuoul ê lê ll€xê êlqLlou lnê-l
prel snld spuno.r xr-têp su orx ne sênâQl ol sê.llne,p s
rns luo^U.le suol^uê sêl suep luorplLmotled nb sêplpÊ ^
xnêp 'punor un,p tnoq fV sl.loluêJ sêp tuêllêdde srêu
]êp sal 'sêpre8 sa tualpuêru no tuênbe]]e fd sêl lS
êlrnl EllLrauuê-rd s-rêu^fo sêl ênb luepuêd
.rêl0.rle a.llel ês no sêpje8 sol ê.lreJlslp êldujêxê red luêtpl
rnod sll fd sêp uortsê88ns êtno] q !ê^no rêtsê] trop fl^ êl
'srnolno] êLULLrol llolJen srê^uê sêptEB sal tua^nojdQ,nb
êlelOtsr^ rnêd e op uoste..l uê I sJnêisnld no un i qns stnol
o1 'uèra do r -. a.J .0,r,1 ($ o o) uotlDJeoJ pl
)- ro (? "o
ê O) rusuopueuuo) d d. .o êurreql o uorlr)
-JooJ 'luâuropueuruoJ ap JalluoJrnruo) lsal un r lgnbal
lrpunod [n êl êruLUê] p êl lêtuasQrda.r .rnod tuesstOqosop
rr ua tuênbsL slr,nb tuêLUrtCUl ol led sO^etllê ltos ',t ol.teL\
stê^Lra xnE,{ol lros luos sopleâ sêl Jel 'êlqeêâEst^ua nêd
e]Q^E,s uortdo ê11êr alqeliulpe,nb uê B ênbu led êlQtupuJ
ap uotenlrs el ]êlroLlr€sQp ap .lê]uêl luête]]nod fd sêl
rêsoddo I,s êp.taluêl sues slloLLt sêl
e ta sQllletnrq sêsnêrquJou sal q qlsrsse Io^E tnod ttluol
êp slu od t LunurLU LLr np lro5êt unleql 'luêu8 olq,s fo al.tol
u eu..r rêlord.rnêl sues ouQls allêl e luêlslssp fd sêl tS sqnl
oLlrQLu luos ufarsn d la 'saple8 sêl ted sqssê q luos xnê sêurBuo sês srndêp selonO êp êltols q,lluêlpllêJ
ê.[uê,p ê]qurou puelts un sololre luos suêIoIl so.ltne xnarq 'ê.rpuQLlrur un,p sal ar^ 'ale]rns es tns solfldlnls sêL tê
Luou êp anb rsure suEstlle sê snol lê êÊs.lads p lsê êlnol e sa.rlQLu êp sauretuat sêp tns ê^Ql9,s auuolol el sêLlluErq sês
'slioluêr sêp tuê êdde sêpreB sê sed tuêuuêt^têlu,Lt slt,S g,nbsnI puotQ,s rnb ]a a.rqrp, op lItæl êl suep 1uêutêtlêltp
Td sêp uortel ldur,l ap puêdQp stuêtuêuQ^o sêp êttns pl êêtdlnls auuo ol êun 'sê]tQJuV sêp Jê ltd np rnotne 'ê lt^ e
êp xneê^ru slneq sn d sêp un Jns nê I p uotlln]lsuo) e_l
êlnoj p êp seJlnoq sêl snos anBQl ol lna lualtLUt sues lre
sêrlre sêl ê3e]^no uos êrpuêrdêr êt €l rnl êp luêlrollê,s sêpre8 Lroil€stlPol ap sJnol uê « ê.r^nal » allêl
sa ênb slpuel .lêlliE^erl êp êsnlo-l lê s ]no sês ê]lêl su€stl.le rns raqLuol no êluprluol tnêl OUÊeâ ]lo^p sQJdp stuetrqeq
sêp un, .lêu8ro O,s p luaruoulu.rol no ua t luotol au slt,nb sêp êr-llnoq el op ape.lelseut êIot ap lêlled npuêtuê
luê]luouJ fd sê rS ê dLUêxê .rnal luoJ^tns sqlqL!êsse suêIol l .ro^e luê^nêd fd sê-l êutQL! ln êp saBeu sêp .tEd ral
sêl lê suesrlre sêl 'Llorl sod luêuuêrd slt,S êllsnlu êllêl q eldurêJ sêl .rnod sêIOlue sas ap tê allt^ El êp êIolslLl,l
êural un êJllaLu êp 1ê ruoNêlut,p uolsello,l luo [d sêl tuelelêr sJê lêJ seq sJnêtsn d êp uo[]nrtsêp el ?uuop.ro
e I luêL!LUalAà Oluolne uos lo Jto^nod uos têlluoLlt?ll
êp sua,{out xteê^nou op .laL-lllêL-ll ? s tx lso s I luêLes
-s pue.rA JlolreL\ êp e oueled el tê oEo,l onb a.lnsêu.l V
f utoJ.stH,l àt)vrrf
uo lluoJ lnê ? Q latnleu uê êÊetue^E
luesrp ros un,p l nol rnod t os 'jlolle^l êp êlp]o .led I os 'Ol3
rnêl e tuê^ras ês sêpleB xnarqLUou aC sqtoJle a.llO,p êu êd
snos llo)re[,\ E uor]lnpoid tnêl ap ê Ued êrnêleLr el ]ap?l
luo^rop srnal nlr..r8p sa êutê],.\ LIIpJ êp luêtnaLu sluel qeq,p
a]q!..rou pue]8 un uosres êp sl ntl lo stêtql3 stnêllêut sêp
. zêserqdelEd no zêsr
i,l trns rnb êl 'fd sêp
o?^ !p,l V êssêlsul lo^e xnp^erl sal lualdLLroluol sê3C snol ]uê^eâ as sêpr€E sês tê lloltELA anb stpuet stuEl qeq sêl tns
êp êll el êp suê^otD sêp !nolnp lnot sQuQn 8BV I oltEL\ sê^e131ê sê qrSupl sêtuênb?suol sêp E a li^ e êp sêttnossê_l
^
ap sl eqnos sêl uolês tldLlolle lso I,nb a.lnsse,s lê lre^e.ll sêp uorlsê8 oste^neu.r ps anb slo e utou êt êp êLrBtp atuell a^
-rns êLrnlne e slutnos lsê,u llo)]en 1uêfb?suol led sutosêq
Jnê êsr^radns [9a aâed p) sêp]eB altenb êp guSpdllrotle
selono êp êp.reB e êp êu etrder un llol.len êp « stoldxa, sêrdord sas e ê 1Jed êpue.rA ua luat^qns selono }a ou ooqrv
sêp suorleluêsoldêr sêp JEd lêteldLuêr sêl rnod sa8eul rns qs l€.rluêl luêLuêurê^no3 ap sEd luêLU senb êlstxê,u I
sêuuaDue,p Jalejla,p ureJl uê sues !e,p êurez p aun luêAnot1 tgord uos q êrpuê^ elrnod l os 'ê8esn êrdo]d uos .tfod I os
'êLLrQ qord tp sluêlsuol uou no luêtos sli.nô uo
fd sa llnpord rnêl êp Qt.lo[eL! e êlJeJ ]ê sopup.lllo tê s]odu]l
JUSTICE ËXPÉDTTIVE nombreux membres de la résistance partagenl ces craintes,
Fn traversânl es nres de Ouolas les PJ tomltent sur deux mais d autres ont hâte de décLencher la révolution et de ren-
gardes en lrain de molesler un cltoyen non arrné. Les pas verser le lyrannique Ny'arcolf.
sants poursulvenl leur che..in en détournanl e regard, trop Les PJ peuvenL enlendre parler de la réslstance de Pathran
eflrayés pour inlervenir Oue cette personne soil coupable ou entrer en conlacl avec lui de nornbreuses manières, par
d'une lnfraclion mineure, qu'eLle ait slrnplement violé 'un exemple en lnlerrogeant les habitants de la v lle ou en réus
des édils absurdes de Marco f, ou qu'elle se so t retrouvée sissanl des lests de compétence sociale, surtout après avoir
au mauvais endroit au mauvais moment reste à a discrét on gagné la confiance de quelques citoyens. S'l s ont exptimé
du Ny'J Ouoi qu'il en so t, cet accès de violence est lnjustifié, le-r oppos I o à \y'a o I ou dide des, lo\ôîs oopr'.îec e-
et les PJ onl i'ob igation morâle de 'lnterrompte. S'l s n inler agissant ouvertement contre le préfel ou ses gardes, Pathran
viennent pas, ils reçoivenl chacun I poift de Contlit. ou I'un de ses colaborateurs pourralt aborder les PJ pour
suggé[et une rencontre.
COÛT5 D'EXPLOITATION
Chaque semaine, Nlarcolf et ses sbires imposenl de nou- RENCONTRER PATH RIIN
velles taxes au peup e de Ouo as. En pratique, cela revient ni
plus ni rnoins à de l'extorsion. Si tous les habitafts souffrent La rencontre avec Pathran Helslrar a Lieu dans une vieile
de ces impôts, es r.archands el les géranls d'entreprise salle oub iée au cæur des galeries de Ouolas. Un membre de
la résistance guide les PJ à tËvers !e dédale jusqu à l'endroit
sont particullèremenl touchés, car jLs commencent à man
quer de marchandises à offrir aux gardes de N4arcolf où Pathran les allend. Peu fréquentée et peu surveil ée,
cette zone constitue un lieu de [assembLemenl relatlvement
Les PJ auront probablement vent de ces activités au str pour les rnembres de la réslstance. Lorsque les PJ ren
moins une fols au cours de Leur séjour à Quolas. Cest 'un contrent Pathran, lisez ou paraphrasez ce qui su t:
des principaux reproches des c toyens envers l\4arco l, et ces
exlorsions se produisenl si régu ièrement que les PJ pour
raienl mêr.e en être Les térnoins directs
ll est conseillé d'inlégrer cette rencontre au moment où
les PJ entrent dans un magasln, que ce soit pour acheter un
articLe ou pour oblenir des lnformations. ls pourraient sur
prendre un des gardes en pein rackel ou tomber sur Iun
d'eux en sortanl de létablissement. Les gardes pourralent
même interrompre La discussion des PJ avec e gérant du
magasin pour exiger e paiement hebdomadaire. Dans tous
.,/ les cas, ce dernler tente d'expliquer qu'il n a pas les moyens
de payer. Comme les PJ l'apprendront peut-être, ce a s'ex Le dérouler.ent de l'enlretien dépend de ce que les PJ
plique par le fait que l\4arcoll prélève sans cesse de nou- ont à dire et de ce que Palhran sait déià d'eux, ou pense
ve les contributions en crédlts et marchandlses, quel que savoir d après La réputation qu ils ont acquise pendant
soil le llénéfice ou le stock du gérant. À l'arrivée des PJ, !sez eur séjour à Ouolas Mélianl au début, ll se détend peu
ou paraphrasez ce qui suit l à peu, galvanisé par a perspective de recevoir une aide
exlérieure. cherche à vérlfier si es PJ souhaitent slncè
rement volr I\4arcoLf renversé et traduil en jusllce pour
ses crlmes, mals il veul égaLement en connaltre a raison.
Sachant quArbooine reçoit peu de visileurs élrangers, es
PJ doivent donc avoir une autre ra son de se trouver à Ouo-
dlsent a vérlté, Pathran se renfrogne en entendanl
las. S'i s
le fom de Sulio Warde. Même s'il en veul à Warde d avo r
établl Mlarcoll comme préfet, Pathran n'a pas de préjugés à
'encontre des utilisateurs de la Force en général et accorde
plus d'importance aux intentions el aux senllments des PJ
Si les PJ sabstiennent d'intervenir, les gardes har à propos de Marcoll.
cèlent le propriétaire en l'accusant de mentir el de cacher La discussion entre Pathran el Les P-l devrail se révéler ins-
ce qu'il doil au préfet, avant de commencer à détru re tl'uctive pour les deux parties. Dès lors que es Pl gagnent
Le magasin et les marchandlses et de l'arrêter Si les PJ sa conliance, Pathran répond honnêtemenl orsqu'l s l'inter
assistenl à celte scène les bras croisés, ils sublssent l rogenl sur ses motlvations ou la nature de la résislance. S'l s
poinl de ConfLlt. parviennent à l'impressionner et à le convalncre de eurs
propres motivatlons, ii les lnvile à relolndre la résistance. I
ne va cependanl pas jusqu'à suggérer un assaul contre Nlar
LE RÉSISTANT coLf, persuadé qu'il laut faire preuve de prudence. SeLon lu,
Pathran Helshar est le chef d'un petit mouvement de résis ia résislance doit se développer et obtenir des ressources
tance en plein développement. Si ce groupe n'a pas encore supplémenla res, ce pour quol i demande !'aide des PJ. Ces
agi ouvertement, c'est parce qu'Helshar craint qu'une action derniers représentent une aubaire inaltendue, susceptlble
prématurée n'entraîne des représaiLles contre les habi- d accélérer un processus qui auralt pris b en plus de temps
tants de la vllle, et partlculièremenl contre sa farnille. De en l'absence de pulssants utillsateurs de la Force.

,.:
I]HÉRITAGE DU GARDIEN
qIFOIqJES DI' CARDCI'
- .,/
\.\'.-1; I
(êlqo ê11êl a.rtuol lequlol êp slsêl sêl
snot ap ollnlujrp êp Qp L êlotQLuel L alslê^pv : slualpl
z êt^lns'a uottdat.lad z (sêpJnoi
Sêurel êluetsO Z (sêrQ8?l sêU.|e) êluetstc 'a sdlot q
sd]oJ'a uorteurp.loo]'a 1uêLuêpueuJLUoJ : solualgduroJ
'ê.rQLtue olll^ Pl
lns satuênbosuol ap saprno op lto^p,p ênbsL êtuêugdxa.p
enbueu.r uos sreLu'quuotluê1ut uêlq tê êlqp.touol.l l.leqles un
tsa,l s? lle sap êururol fd sêl êlQptsuol tê llot]pL\ ..Iês.Ja uê.]
e Jêpre,p êll,r.rq ue]qled ro^nod np eJêJnaLuêp llollen ênb
tUel.rêlrdurê,nb tuolêl êu suotttpuol Sê ênb tê êlUueJ,(1 el êp
0l rA PlJar^rlop errnod Qulle luêL!a^Qlnos un lnas ênb opens
-rêd tsa ue.rLlled'êrQu Jnol ap sJtsOp xne tuêuJorxtoJuol
llolrer\ êp Snol ne luêltêLunos as sê.lQll Ses anb stpuet
.reqslêH qoy êp têppl slu êl lsê leqslêH uetLlled xnananol al
l
lrvntul uvHsrsH Nvut{rvd
i [Za ê8ed p) xnês
tr -sêrEd srno,p u ua^ êp sêsop Zt oapd seJono âp uo^ol] np tnlêl zastltln'aluetsts?t el ap
xnap '(l + tuêurêssrelual srÊdo slueleqllol sê Jnod êr!€ssalÊu ê]Q^e.s nêl êp luo.td un tS
j' rnl tê o.rfrnol (t êpered
êl nu êJto^ ê01rLlr rl
: lleluol ne êqttod : t anbltut:g teqLrol np êluêuqdxo êun luo suê^otD sêl ap tJednld e
stcÊÊp : sdJo) c sdroJ) oflp {auuê^ou.r
êOtJod : q anbtul : 1 slq8op I lsêprnol llo]]en êp sêdnort xne êlel ênblgLUnL gtuou?dns Jnê
oJ8leur 'tuepuêdêJ lêJ?]d np Jroueul êl alluot tnessp un
saur]el êluetsrC) uossnuêd C têlotstd : luauodtnb3 rêtupl Jnod sêLruoslad sluêl xnêp uolt^uê,p ollol êun lês
(pu,rot un
-upo.oo ddtroo d lno p <èr s r.tlle soa) -lllqou IerJnod ueJqted'sqt le sas êp tê JeUSloH êlltLuel el
.red sOn]rêlJê tequot op slsat
sêt snot ? n.ratnote rnod
uo^oN luoruopueuuo] 9p lsol un êntlêllê uelqled uotlle
lO) êp urês ne trnol ll luop tladsê] ne algJJ Jlotlen ap sêpJeâ
sêl eJluor aJllPq ês êp lêsnlê] sleut 'suotleLuloJut sop lê
oUn,p x rd neJ i SelorO lnod ( tuollsuol alsêl lt,nb tuet êtnql
êp SteSOp êp sed tqns aU I tupqulot ua êluelstp at]nol lauoleLu np rat^ l êp lêldêllp sallne,p 1ê nuê^ luêuJoLrl
êl srol êun rBÊ q JêuBlUtêJ luête]]nod sutellal snpt^tput
êun rns roueld ]nêd rellslaH uerqledl lnêued : s-ol!)edeJ
sêl uolos er.reA uortel ldLut.p Olâêp ol IUS uêtq tj slueltqeU
sa.llne.p la^p lleluol uo luallua 9êlurap set anb alnsêLu
q tuêu_iuelsuol an o^0 JttloJa,l êtllo rlf s0JquJou.t sês
0p tlexê êJqLxou êl êlouBt oUJCLU tnl uelUtpd 'qttltqtsuês
9tnentl e no 01L0ulÊ1 el aurQuJ êp snp^rpur,p oLUloJur tuau.tê3lel lê lêDUJo uou
êurluol o lêuuotloul9 asso qtel êun rênbt dul lte.ljnod
neasor un uê êlsrsuol êluelstsot e onb Quuop lue13
a la slnq sêrdold s.rnêl atputêlle,p uêIorx un aLULUo:)
êrtb êluElsrsOr el luêrQptsuol êu Td sêl ênb lê autstoSê,1 sêOurBelur luê e.tne sl ,nb suo ldo sêtlne,p suep .tanb
0p a^êlêr uo le^rlout êllêl ls 'oLllue^êr ul sDQld sel rldLur,s op no uorssruJ .lnêL luêsslldLUo)te slt,nb juepuêd toll
êl sLrpp sêOLdo.rdde luêLLlêtQt nltl.tpd êujsersnoLlluf,l -srp uêrlnos un ruJnoJ.lnal êp 'jlollpl lêsJa^uê.1 ? Jêpte sêl êp
lê êlrlsnf e luêLULUelou ê lêuuotloLUQ olJol aun tênb up.lr.{led êrlure^uot êp fd xne êJmêutêd luotel]nod sê eDos
ldur t prnod uotsDop êIot llot]en êltuot luaLuêl sêruêlqdLuol êp slsêl sêp tê stuêLun8le sêprlos oO suo[e]
rê^no Jêl o^0r ês E ctstsuol seioro êp slupttqeq sol -Odo sorntnl sês êp sêseq sê lêtêf .]nod u lsêpuelt tuaLuol
rnod uo lnlos êrnêl êtl] € ênb 1uêLUalQluts luêsuêcl LJ nrlêr êp onb lr od ps lue^ nsrnod uê so?uup sarQlu.lap sêl ltpJ
sêl rS uossas el 'luepuad êQqluêllop qtQ e fd sêp un,l e,l allê,nb lêt.rÉe,p eranuttuol uotlestueSlo,l 'tuêuue[sqe uê,s
êp ?:lr e_ro[^l pl rs tno]]ns uotssnlstp ap êruê8 êl Je8e] slr,S uoûre,p ueld un Jêloqel? C aluels sqi el lêpte,p uotsel
-noluo f^ êl lê suorle^noLu stnêl êp êlnleu el rns ta8o] -lo,l tuo fd sê 'uelLlted êp êlueuuol el OUBeB lo^e sQldv
Jêlur,s luo e.r^op [d sêl so]uonbêsuot sap a lled êun
rêLllltsse luor^ap s '1lo)lEl/\ alluol 'luêuJa!ê^no JrSe ,t eBed'uollnlo ?U C sno^-zêl
-todet e:uelsrsg.r pl la^e uorl€Dosse êun,p sêtuanb?suol
e uprqlEd luêAernolua s ,s s eLU 'êluElstsgt el êp êu ô sa Jns snld lto^es uê _tnod ]êrodool e lQlQtul tnol luolne tê
uo, q spd sat]êl luos au fd sal sêiqetQptsuot sallêd unururor uê sl[]êlqo sop luautêtls tuo êluetstsQJ el 1ê fd
sap.rêsnel ap anbsir êsudêrtuê,p aluoB êl ênb tuopr^Q
sol 'sel sêl snol suec êL!tttâ?l I l)ê[qo un aLULuo] lloLtpr\
10,., .l ùo, tlpssa p 5L 1 Ud .r\, d.d ld â
't êp uo lnl lsap el tuê.lQptsuol sll.nb ê)ed ê!ol-uteul .totê]d
r'e. d . ro ^I ê 'upl sd, p\ uo lr uD'tr "6 oo apr" I r
! rnl Jio no^ tuo^nad 'xnê q luenb 'fd sel sa.tQtueLu sêslê^tp
êp slnq sJnal ê]putê e q fd sol Jêpte tnod oluelslsql el
lIllVU0li{ n UlSnlIn 3f,NVrSrSlU ÿt ulst' rn
f:

crToYEN DE qUOLAS [SBrREl d'ailleurs les utiLiser au gré des besoins de L'histoire, soit pour
servir de base à des rencontres supplémentalres, soit pour
Les habitants de Ouo as sont oppr rnés depuls des décen
pimerler 'expérlence des PJ pendant leur sêjour à Ouo as.
nies, mais lls ont gardé assez de force d'âme pour se relreller
si l'occasion devail se présenter. [Jn grand nombre d entre
eux sont enco[e assez vieux pour se rappe]er du lemps où ils I(O}I HELSHAR
'tê s rois.,aiônl pa\ a ÿrd n,êoêvdr\olI Koh, la vieile matrlarche du clan Helshat croitque e meiL
leur moyen d'assurer l'avenir de sa famile, et celul de
Ouolas, est d'endurer le règne de N4arcolf. Plus ou rnolns
consciente de 'lrnplication de son fi s Pathran dans uf pré-
lendu mouvemenl de réslslance, elle l'exhorte à éviter d'aglr
conlre le préfet. Sl Koh découvre l'intention des Pl de renver-
ser Ny'arcolf, el e pourralt le leur reprocher et Leur denlander
de changer d'avis ou de tenter de résoud[e leurs problèrnes
Compétences (en groupe uniquement) :
Coordlnation,
avec l\,4arcolf sans r(lettre en danger la vie des citoyens.
Corps à corps, Dislance (armes lourdesl, Survie
Tàlents : aucun Meme si Koh continue de jouer un rôe dans la rlvallté
Capacités : Planeur (un ciloyen de Ouo as peut planer sur entre sa tamille et Le can Tumris. elle s'en est assée et
une courte distarce en tor.bant. ll ne subil pas de dégâts de espère qu'un jour, lls pourront rég er ce dilférend. Sl les PJ
chule lanl qu'il reste consclent.) devaienl tenter de négocier une trêve, Koh les soutiendra t
Équipement : pistolet à percussion (Dislance Iarmes de toutes ses forces. Cependant, elle exclut d'ull iser les res
lourdesl ;dégâts 7 ;crtique 5;portée rnoyenne), diirc sources de a fami le pour essayer de renverser Marcolf.
(Corps à corps;dégâts 2 i critique 3I portée au contact; profi de Koh Elshar est basé sur celui
En cas de besojn, le
Parade l), fourrure et cuir épais (encaisse..ent + 11, une de 'Ancien de Ouolas.
dose de venin d'ours paresseux (cf. page 22)

ODIR TUMRIS
ANCIEN DE QUOLAS [RIVAL]
Bien plus jeune que Koh, le patriarche de la lamllle Tumris
Les anclens de Ouolas représentent souvenl les intérêls de la
n'en reste pas moins ur Satharl d'un âge avancé. Odir voue
ville, du préfet el d'aulres maisons. Traditlonnellemenl, ce sont
une haine fêroce à NlarcoLf et à Warde. Au fil des ans, il s'est
des rnernbres respectés de la comn'runauLé, meme sl MarcoLf
convaincu que sans !interférence de Warde, e clan Tumris
Les a largement ignorés ou margina isés au fil deS décennies.
aurait lriomphé de ses rlvaux et placé l'un des slens au poste
De ce fat, la pluparl sonl extTemer.ent mécontents de La
de prélel. Le désir de volr son c an prendre l'ascendant sur
slluation poliuque de Ouoas. Cependant, les myslérjeuses passe sa peur. Odlr pourrait être persuadé de s'en prendre à
capacités de lvlarcolf et, surtout, le soutlen que ui apporle
N,4arco f s'il sentait que la victoire était possible.
l'Ernpire, ont rendu es anciens exlremement prudents, et ils
n agiront que lorsqu'ils est metont le moment venu. Odir esl pret à iolndre ses forces aux Helshar, mais seu e
ment jusqu'au jour où Marcolf sera deslilué. Meme s'i nefail
pas partie de la rés stance clandestine, il parlage les objec
llfs de Palhran Helshar slnon ses motivations. Sl Odir devait
(
,l alller son clan à la résistance ou à a lârn lle Helshar pour
,.,) ler]verseT e prélet, jl saislrail strer.ent la prern ère occa-
s on pour revendiquer le pouvo r à moins d'en être ernpeché
d'une maniète ou d'une autre.
Compétences : Cor(lmandement 2, Coordlnation 2, Corps à
En cas de besoin, le profrl d Odir Tumris est basé sur ce ul
,,/ corps 2, Négociation 3
Talents : Sens de la rhétorique lpermet d'effectuer en tant de I Ancien de ouolas
qu'actlon un test de Commandement Moyen O O.
Chaque * obtenu permet à un alllé à porlée courte de se JYL KORLIs
débarrasser de I point de stress ou de I blessure. Chaque Jy fail partie des nombreux ferrn ers de Ouolas qui
Korlls
{:! additlonnel perrnet à un allié aflecté de se débarrasser gagnent leur vie en récoltant es immenses champignons
de I point de slress ou de I bLessure suppLérnentalre.l poussant à l'extérleur de a vllle arbor cole. Depuis quelques
Capacités : P aneur [un ancien de Ouolas peut planer sur années, Iÿarcolf récla.ne une part de p us en plus mpor-
une courle distance en tombant. I ne sublt pas de dégâts de tanle sur les réco tes. I garde es meilleu15 n]orceaux pour
chute tant qu'il reste conscienl.l sa lab e el vend le reste à 'extérleur tout en conservant les
Équipement: diiro (Corps à corps;dégâls 2: ctilique3: profits.
portée au contact I Parade 1), cinq doses de venin d'ours
pa.essêu" r[. page 221. fou.ru'e ei cu' epa's oLv'agF Pour cornpenser cet impôt, Jyl sest Tnise à louer son
[encaissement + I) entrepôt désormajs vlde à des voyageurs pour léqulvalent
de l0 crédits par charnbre el par jour. E le olfre l'hospitalité
à tous Les PJ ayant es rnoyens de payer et peut leur four
VINDICTE POPULAIRE nlr des inlorrnatlons sur la silualior locale, comme le confllt
entre les cans Helshar et Tumris. Jyl peut être convain
N/lême si toute a population de OuoLas est alfeclée, les indl-
cue de soutenir a résistance sans grande difficullé si PJ lui
vldus suivants ont parUculièrement soulfeft sous le ioug de
de_no1 re' qu r,s o' I bo_ p.ha", e d" 'eJ5s '
l\,4arcoll. Plutôt que d'être iés à des scènes concrètes, ces
PNJ (et leurs griefs) sont simpLemenl décrits, si bien que les En cas de besoln,le proli deJy Korlis est basé sur ce ui
P peuverr es'en(ortre a agusÊo. \y'i. Cêoerle oêJ' d. Ancien de Ouolas

T'HÉRITAGE DU GARDIEN
CHEOM'E] q' GAFDIEX
EtrOutD no slpttot{t,
Nlt0uv9 no 39vrrÈlH,t
'xnê.rns luêsQd tnb suoldnos sê lalQLla.l.tnod s^e.t^êc
luesi^ Td sêp êuêdluo{ op slsal xne I sJnê snld no uf tol
note,p fÿ\ ne Ollosuol tsê ll .rLtJ€d lêsslEl sêl e êlold elas
êllê selono e JaAnoI ês êp êur]r8?l uosrel êun luo slt.nb
lê êl.roj el ? sêlqrsuas snpt^rput sêp tu sê loqau sap tu tuos
au s r,nb s,{eJ^êC êrllr p^uot e luêuuol^red fd sê êluanllul
êlrol El op.lto^nod ne no êrJêdr.Lro{ ap êluêlodutot rna €
lUelnolêr uê'rs êluEluol snld uatq alqll 3un stêtulop sêl ap
t eJal (rpêf un,p ê lqno êâe]lQLl,l êp êLluêq)êr el ? êllol €l
? solqrsuês snp sêp tuos fd sal anb tro es e) oluo^ El
)ûs uêrB rênbetle,p
^rpurs.lêdoollLulols sês g lueuuopJo uê aluel
sisêr alno1 e puodQr to êlrote8o]lêtut un e luêIêLUnos as
fd sol ênbrnod êtssur s^er^êC aluolor^ e C Jolr^ap ênbstl
luêLuêluol],re,l ser êL lros êl ênb lêno uo ssrLLt lnêl uaiq q
rêuauJ rnod JêsserEqgp uo,s êp no xnêêl1uê,p un,l êpuol
e^rlor\ elrêllêdsêr ap 'stuetrqeq Sa .raaqlord ap uue xnptl
'odujl sal tuanbeJl fd sê anb êlqrssod tuêLuêleBQ tsê ll
raddeqlOrnle1uêlsrsrêd fdsal !oselnpslroluêJsêplêlêdde
lre]]nod s^Er^ao êuuoslêd uê êL!Qlqord êl la.lQE tte.lolQlold frr-'
a Lê s êLuo[,\ uorssrrx ]nal ap luêLuêss ldLuolle, ? êllelsqo un
aluasQrdêr rnb ar 'sopuaqqrdde l o e sêL sues selono êItnb
s,(pr^êC anb êlqeqord nêd lsê lr 'srêdoortLUrots sêp.lol.lle) as
q luêss ssn9r fd sêl rs êLUQLr.r'sPl êt suec sêllêqal sluaSE.p
t6e,s lr,nb ê.r!s lsa ê lê !o êrnsau el suep s^el^ao êp Qluo rd
el luêr^êp sorqq sêlla nolt ld sêp êluêsQld el ap xnellQdul
so ou.rJolur selono êp tuetrqeq un no lloller\ rs xneuodlul
§ê d uoi..e .'od 'd Yre I.du.o.\ <ud^o - / d-q*oL èc []uessrprnot? ê3eFOJ
:oluotrou aolrod : t ênbrl
xnvluJdu{t stl utrNoullu -ur r9 slcBqp r [sêjQBol
sêLlre] êluetsrcl rê]s9lq 1êl
ols d un ]Bd sauJJe sês sêlnol
:lê(t + tuauêssreluolrêDu]o,p
êLLrOlrun un rEd rêdoo]lLutols
ap atnLlre uos zêlelduêr 't
? êluês?rd es.rêssEd sêlte,r
S eU Jêdoo4urrols luo8.los
np qold ne sno^-zauodal
'ê.rQ urop êl:lêl -rêluêsgrdêl
rnod s,{er^oc le les lueu
:1ns rnb êl zoselqdered no zastl 's^el^oo lueuê1nêtl olno êllê (3lNr1sro 13 rruol
êl lua.lluoluêJ srêrurêp sêl s 'fd sê sra^ua qlne^ol el .Its êp sal8Qè op êt^tl np 80,
lne^Q.id rnêd el rs.lêu LuJêlOp êp uue s,4EJ^aC
lueuêtnêtl np 10, sê8ed lt) .redoo-ULlrots
uorlD.lêoJ e êrluol oQuê]]nluot êluêlgdulol op ]sêl un ru luaBJoS un srêdoo]lLU.tols lnêu
-9nbo] tnad ir 'êlreqnos êl lr,S fNd sal lê^E suo ttpJotut sltol puêrduol êleuQd[] ê)o1 a]]êl
êp tê selono g luêurêlroduol rnel op puêdop lnot : fd sêL
êruouap uorlelndod El s lêutulrêlop lrop lL oallne, suep selono q gLllodop ot9 P teu
êurLUol sel uf suec xneuodulsop êleuêu elsnos t qejl sa Qdur.rêDUlo un.red ?uaLU s.lêdooJlutJots êp tuêuaqtetOp
rpd assrug npr^rpur un,nb olqeqord tsê lt 'uottelfdod el tu.ted lLlad un 'uU oltol V sallêqêà sap]êqlel e luênbst.t s t,nb êl
Jaladder .rnêl tê sêuolr.llolne sêl zêqt oltdrul,l êp lnêd pl rêl
?]?uolou au elrêl êun slnble luo ld sêl ts êLl]oLu êc
'qL-llJeu êp êllos oun niluol lrlsu .rnod ênb lsure salleqaà êp êqlleqlê.] el q êlQueld e
luêt€,u slt,nb suloLu e rêluou?p Jns sê?^oldOp 9lO luo saleu?dUt satJol sêC êtQltos ol oqe]
sal q sed erat s9q,u D nlol 'llo)len êp êr]lpuuot t el luos ês êseq êuf Jêqlel êp nad stndop ouuo5dnos el I 'êutooqlv
s r,s'luepLodêl xneLgdl!l sêl lê^e a.tluoluêt êlnol ]alt^o e P QSSêrAlUr luêu.reJ^ steluel ]sê.s êu a]tdulf,l ênb s]olv
als suo) uorldo atnêllraLu el 'êulêluot so nb êl u! ê8Elue^pp
lso,u al ts sêlueuruuluL ssne lno] luos êluasgJd rnê êp ê.rpJoloJ q lg np .rêuuop.rnel
suosrer soreJ^ sê luêLlrurêpr^: 'êutooqrv .tns sê.te.l luêLua^ts rnod J^.1ês ua,s tnêd Tn êl s puJ '(a?tl tuoLuêllêIp sed tsa
-sêlxê luos srêSuPtla sê rel 'êllaqod ê)uet M lê^e uêtl unlne rnl au a lê s.rnêll e,p) uorssrLu lnêl Jtldutolle.lnod .la^aqle,l
luouuê lêr1uê,u sli,s êLuQul 'êl 1ê sltêdsns êLuLltol sotoprsuol
êp urosêq s€d luo,u fd sêl llollen )a^e luautêluo]lJe lro
luêLUQlrol tuorês Td sêl 'xner.r?du.rl sa .led sorQdêr stol oun luepuêd sudLlrol e fd sop JnotAS np tuêLuoLll
^'selono
tnol q ê?]âolu eJlo lnod ollêuuoldo êrtuoluêt aIêJ
êLpgt e ]ênbrdLuol
rne 1ê suoissnrsrp sêrdo]d s.lnê êrduo|êlul 1 e_t_lnod êl st^
êllêl 'uou fo aletprot êtQ uput êp l os êl ênb 'llotrer\ Qlluol Ë-f.Y§à*§Ëiâf
ua] elop tuo fd sôl rS .lafb perg, êp qt ssalQu e êp lueoql?
sPl ol 1ê êuoz el suep êl êqa.r aluasord ê lêntuê^Q aur.p.talnl
-s p rnod lloLren lê^e tuêuuê ]ê]]uê,s slt t!o 'lêJQtd np I oueu.l
al s.rê^ lrorp 1uê3l]Lp ês xner]?dL!l sêl êo^Ie rnêl sQC
ui,
l

I
LE TYRAN OÙ SE TRIIUVE LE ERISTAL ?

I'oO" -' r id, dec P, p- a" \dr dO-old'ê" oede.o. Blen str, pluLôl que de négocier ou de cornbatlre, les PJ
d oolê | 1., . .
r'r p.o, 'd 'on
a ld 1e oe t id e
oê Wd'dê peuvent se conlenter de vo er e cr slal kyber à tvlarcolf
la kyber la ssé en possesslon de Marco f. Depuis qu'ils ofL et de prendre leurs jambes à eur cou Ouel que soil
découverl le règne tyrannique de Nlarcoll en tant que pré eur plan, L'emp acemenl du crlstal est irnportanl pour
fet de a vlle, les PJ onl strernent ajouté sa destltution à la Iissue de cel épisode. La plupart du lemps, N4arco f
lisle de Leurs objectlfs. Dans e cas contra re, I s devront tout porte la pierre en pendenllt. La.uil, il l'enlerrne dans
de meme affronter l\,1arco f d'une faÇon ou d'une autre pour une commode au pied de son il Crocheter la serrure
obtenir e cristal. requiert un test de Maeouilles Difficile (000).
Leur stratégie et la suite des événernents dépendent
du cornporLernenl qu'ils auront adoplé à Ouolas Sils se
sont battus contre es gardes de Ouo as, ils sont cor-rsidérés ASSAUT ET SÉCURITÉ DU MANOIR
comme des enner.ls de la ville et de Marcolf en parl cullet de
cO.l. O. U^e .êr' O-f,ô Oa.tio-ô Â( oô ô. \t dgp,rblê A l. - Les PJ peuvent eslimer que la vlolence constitue le seul
velse, si es PJ oft gardé plofil bas, vojre ]vré des rnembres moyen d'affronter N4arcoll, ce en quoi is n'ont pas tort.
de La résislance, ils pourraient être b enverus chez Nlarcolf. Cependanl, comme loujours, si les PJ cherchent à provoquer
des rnorts ou des dégâts inutiles, e MIJ devralt leur inf iger
lndépendamment de ces c rconstances, les PJ rencontre- des points de ConfLit. S' s décident d aftaquer l\,4arcolf seu s
ront probablement Marcoll dans son domaine perché dans ou avec l'alde de la résistance sans rnême tenler de négocier
les cirnes de la ville arboricole. Le manoir du prélet est acces avec lui, ils subissenl chacun I poinl de Conflit.
slb e vla un large ponl el quatre gardes sonl postés devaft
'entrée à tout mornent D'aulres sont dlsséminés à travers Marco f est constammenl entouré de gardes. Au molns dix-
e ntanoir, prêts à réagir à toute menace enverc eur maitre. huil d'entre eux et un cap laine palrou llenl dans son dor.aine
jour et nuit, et un conlingent accompagne à chacune de ses
Ouand es PJ arrvent au rnanoir du préfel, I sez ou softles dans la ville. Les PJ pourralent décider d'attaquer son
paraphrasez ce qui sult: escoûe ou prélérers'infi trerdans son dornaife. Pourcette der
nlère oplion, il laut ellectuer des tests opposés de Discrétion
contre La Vigilance du capitaine de la garde (OO.
En oulre, cralgnant les tentallves d'assassinal, Marco f a
impoté des unilés de senseurs pour surveiller loutes es
,.'
fenêtres el Les entrées secondaires de son manoir. Pour fran-
chir ces syslèmes subtilemenl diss mulés, il faul d abord es
détecter au moyen d un test de Vigilance Moyen Q )
ou de Perception Oittlcite Ç | ). Désacliver uf e un té
requiert un test de Magouilles ou d'lnformatique Difficile
(0f 0. V o, 16) (E) <E) générés par ce test provoquenl le
déc enchement d'Lrne alarme tafdis qu'un PJ peul dépenser
i

.\, Ô ou {j} {j} {:} {3 pour désacliver l'nlégral té du systèrne


é ectronlque de sécurlté à partir d'une seL-rle lorcllof.

Se on 'heure de la journée, N/larcolf esl en traln d'exarni


AFFRONTER MARCOLF ner des comptes-rerdus dafs son bureau, de cllner dans la
sal e à rnanger, ou de s'exercer à I escrime dans ses jardifs.
Une fois venu le moraent de rencontrer Marcof. les PJ
Bien sûr, à la rnondre rencontre avec des inlrus, I appele
peuvent être accue llis comme lnvités ou lui être présen
irnmédiatement ses gardes, qui ne sont jamais à plus d'une
tés en lant que prisonnlers, qu'ils se solent laissês captu- pièce de distance. Pour en savoir plus sur a façon de gérer
rer ou non. I s pourraient même avoir à forcer l'entrée, selon
un aflrontement entre les PJ et Marcolf, reporlez vous à
la façon dont ils ont géré es rencontres précédentes et la Affronter le préfet, page 37.
réputallon qu'is ont acqulse aux yeux de l\4arcolf. Leurs
optlons et leur évenluel succès dépendent également des RÉVOLUlIO
ressources et alllés que les PJ ont acquis pendant leur séjour
Si les PJ se sont alliés à la résistance de Pathran He shar, ils
à Ouolas. lls ont la possibllité de combaftre lvarcolf seuls, pourraienlso iclter son aide pour ancer un assaut contre le
d'aider le groupe de résislance de Pathran Helshar à renver
domaine de N4arcolf. Jusqu'à présent, Pathran a fait preuve
ser le préfet, de tenter de négocier avec lul en échange du
de prudence, prifcipalement par crainte du préfet lui même,
cristal kyber ou de se contenter de le lui voLer
mais par le bials d'interactlons et de tests de compétences,
Ouelle que soit 'approche des PJ, mentionner Warde ne
les PJ pourraieft le convalncre de lancer une attaque en
manquera pas d'atllrer l'attention de N,4arcoll mais rlsque
règle, et de leur allouer une petite troupe de combattants ou
d entralner quelques problèn'res. MarcoLl éprouve de La rar-
cceur envers son ancief ami, qu'il accuse de l'avolr aban loule auLre forme de soutlen
donné dans ce lrou perdu pendant qu'il poursuivait de I est possibe qu'une attaque de grande envergure
pLus grands desseins. En découvrant que les PJ cherchent à déborde es défenses du manoir dans un pre.nier temps,
apprendre es enselgnernents de Warde, meme par e biais rnals dats ce cas, de nouveâux gardes arrivent en que ques
d'un holocron, N4arcoll rsque d'éclater de rage S il prend m nutes. A moins que Les PJ n'exlraient Nlarcoll rapidement,
conscience de la nature de l'obiet, [,4arcoll tentera de s'en la percée lourne à un affronterllent générallsé entre la garde
emparer par la ruse ou par a force. de La ville el les membres de a résistance, provoquant a

I]HÉRITAGE DU GARDIEN
CHF/ON'qJE DI' GARI'IEX
llitqùv9 m çllpf,oÈE,
Nlroàv9 flo !9vl.tùJH,l
.raq^)l elsul np
êSueqro uê tnotrns lnêle^ êp neêpel un rr.tl]o tnl tua^top
slr 'salqr8 sêuuoq sas suep s?Jtuo sroJ ouIl 'stnd Lnl êJtruol
êlerlos aluatqduol êp SlSa1 sap rssngr lua^rop fd sêl '.t U
'a^.red rnod oplpM êp stueu-têuStosuê xne nO slê]las xne
^
luale.lapolle rnb xnêl Snol Sla^uê ll.lnou lt,nb êtsnolpl El
tosredp lnel I 'sdLual iêru.rêrd un supC aEuptl)Q uê êsotll
ênblênb rê8rxa sues urosêq luo sl luop lelslt ê tu suotl
eultoJul sêl ru lrerurn0J.rnol ou lt 'salptplol sêluelsuol]ll
sop suep .rêrluoluêJ al luare^êp fd sol s auJon s.lnê^el
sêp rêp.rolle q aruaâ np sed luaurêlpJouoâ lsê.u I oller\
:ltns tnb al zêse.I1dP.led no
urDo9f r{ zasrl Jlorr€r\ lê^e alel e ale,r]ua^norlar os fd sa ênbsrol
'êlroj êp rê.redurê uo,s q tê]êlQtie sêL êp sêpreB sês c lêu ruêA ? uêrlê.rlu0,
uopro q Sed alrSoq,u llolreN !êuuop rnL êl êp luêSltlêl fd Sê rêluên lur,p sPd Pronbueu.r êu rnb êl 'llolJer\ iuaurJolur uê
rs lrorp êp luêr^al rnl uo]]oloq,l anb opens]ad lso lr 'êpleM slr rêsel sêrqes sêp luol^nolQp sJatulap sêl s .lê ltnol sal
ap rLuP uo luP.nb lue] uê'êl.rol el e glrlrqrsuês es êp suortel êp slo e luassêrdura,s rnb sep.reË xne SoLLr]e SJnel joquol
ldLur sêl sed puêrduol au lr,s êLUQL{ êuiOul-rnltnod altsOp op s?LUuJos luos fd sêl 'lalord êl JêJtuoluêr êp lue^v
al lr
'uor)olorl,l êp alualsrxê,1 aJpuêrddp € luor^ J ol]er\ rs
rnêLlnr El ap
stssn?_r sêlellos sêluê1 tuê^ e l,nb sQp,rê]odnJor sal sêpJe8 sap êro^uê lr 'suorle^
qduol ap slsal sop no 1uêuratjodLxor lnelled aLUrlsê uos - 1OLU Sê qEI JQ^ S.rnol rns êl pU arpuoru ê lualro^Qp fd sal
OUâeB etgp sEd tuo,u slL,s fd salJalOJe êr pl êrxQu t Er.rnod s 'luepuêdêJ êpueLuêp êldurs aun rns saluarpnE sap rêp
ll lnêS nl Jnod rêrOdnl?r t €.têlQJA]d lt,nb rpêf Jê le^ê[]J rolle,p opntrqeq, sed e,u rnb 'luessrnd 1a odnllo êururoq
np stê]]os sal JrJ^nolop q ênbuolnb rêpre,p rsQp unlne un lsa llorren tuêssnodoJ sal steplos sal selono q êa^tJl€
luêLr_rê1luls e,u ll Dr ?uuopueqe .|o^e,l ap apteM e luauj rnol sQrdP êlsnI lê]Qrd rp Joueur ne tuêpuêr as ld sêl rS
?UJJOUQ lnêA Ua JlOlJen êurooq.rv .rêtloJle srpLUeI sues
êlles êpuPr8 es su ep
aauruuot tsa,s êran8 el 1ê nua^êr sreLuE[]sê,u opleM L!s
uê B êure)lqndgr êseq êun t lqela lnod sElono êp tuêruêp
llolJer\ rêlluoluêl C,( lêL^uol » sê lnod.lop.loqe Solluê^fod
sêprP3 sop êJQrueuJ ê]lne aun,p rênbreuêJ luol ês no êlrol
UeLULUOI el lueuuor rnl uê.r trpd êp lup^e urlsêp puerâ un
el q 9trlLqrsuês rnêllualQ^9.r s r,nb tê'1uêuJou.r uoq un srndêp
srrxord lre^e rfl êp]eM êfb puêt9Jd lr 'êleupdlur êtuellrê^
selono g SluêSOrd luos slr,S ]êJ?Jd al lê^e ênbU led êrtuol
Jfs el êp alurEJr red luêurour a tnodrpêfsêl lêuuoluêu -uêr aun .rostue8lo luatE.l.rnod sl 'l olJeL\ êp srol sêl rê^erq e
êp tuPuê]sq€,s ua ]nol aurooqrv,p uolttollp pl sud el tuo
sluelrqeq sêl qprE no sQlrJolne sal ntlPqutot I o^e lnod stLrl
slr,nb srnd'fpetJf lns sutssesse sêp ? rêddeqlq,p tuptual
ouuê sêp aururol sorqpsuol oJotua sed luos êu fd sa ts
uê srLlre snuê^op tuos rnl ]a ôpJpM ênb onbtldxê ll êu?ul
ês llolrer\ 'ap..rPM êp lalns ne 1uêÊouêtur,l ld sêl s SUINO]NEà
uolleJsêrre Jnêl
êuuop.lo lê êJ ou êrQlol êun suep arlua lL luêutoul lênb 09 ê8pd sno^ zêlodêJ lêlquêsser tnêd r,nb salroj
ê.l.rodLur,u q rluaLu ap auuo5dnos SêlllolteL\ ts SteLu .lêull
sêl 1ê uerqted ap êruets sQ.r el Jns snld Jro es uê rnod
erPqêlla0lr0Ae êrprnl aJtuo xtol.ll al truofdsêl s9ttltq salsloao suos eJ sêp rnod tuoj al slr,s tnoLns fd xnp llluo:)
-eue sap tuPssrlâ.rnêl uê 1ê stuaLLressrq]lptlel sap luerllo êp slurod sêp i qns ê.r eJ êp ênbsu sêllnur st]oLu sop lrelêu
rnê uê0lrlerprolEl p.roqe,ptuêl t,s aut0uJ'selono ? oluês .Le.rluê rnb ê1lo^9r êun rêLllua lop l9 êSed gIlErol l elJas
-qrd rnal êp uosreJ e rênbrldxo,p JepueLuêp Jnêl Jed otuaul -!llln lJeluê, suep tLlqp oLu!!rol sêlue]]odu.t snLd êJotuê
-uJol il-rnloJ llolJer,\lrêrluoruêr ro no^ e luê5snod sal tnb ror?^€,s aLuQru ]uê ernod salrad sal al relpq e op solS ê
sJltoLr.r sêp tê 9trtuêpr lnê êp luo.lêllo^qp fd sa onb êl êp rns ênb tQtfld llolrplA Jr'rs luarluêluol ês [d so S sqsroJ]
dnolneêq puêdop uortesrê^uol el ap luêLuêlnol9p êl sl l sal suep sDd slr^D op 1ê luelslsor xnêlqutou ap lloul
Bt ê8pd 'o)uesslnd ua s.relte^oLlJ lletuê sêp lu n? o lêrtucuodxê uo)pl êp êrrol E ap no aLr-DSa,l
ureqlord ne sno^-zauodêr'luessrnd snld luellEquol un ap asrJl eu es ?rorlque e têlold êl ênb rênÊle tnad fl,\
uê llolrer\ roul.lolsue.l:l êp luellaurêd slrasuot sêp tnoil êl I ol.rel^l êlUêSOrdêr anb aleuêu-r el rêluêu?ne tnod
'uou Ito rêrodrolu so êp uo leluorJUol êllal lue^e 'êr]luê^e ê11êl êp a:lle ratu.lêJd ê rnodêlue^êl?puu
rêpDop trop fr\ a luanbQsuol .red I ol]ehl la^e Td sêp ouf la 9^or ês :lre.unod llotJet\ aJluot êlDel êIollt^ aun
suo llerêlur sêl .rns 10 al ols .l,l êp altns el rns lledLLI un s ELlr saBeuuostêd s-rnêl êp q].lor.rQdns el ro]lto^es srnênoI
lLreLra.tLts luorne sluêurê3ueql sêl lêtQdnl?t e lê o_Uald sê rêssrEl s olred tnel lt !t_ts uêtB Qt nlu] p sues QIS.]ê^
el rêr lêr rnod oldLUol êrpuêr uê,s luo,r^êp fd sêl êptEM pe,l cp rêqdLUoul luael.lnod êlUesstnd uê slêtls^êL]l
êp rlal 0sLlln luop e.rne,llolrer.\ : ê?u8od pl q tefb sêp 'tuepuodêl all el êp u9p un rêtuasQ]do] ]uêreJ^êp
-ueLLr l€lsl:) un'lnol êl rês.]ol .lnod olt^ e ap sluElqeLl 'SêUleldel sê luêLUê]Qlnl!ed SêpteE sas lê jlolrer\
sêp sop êl rns QIed 1ê rou Qrll]eur êl .tns lleluol un,p 'sQtuaur.rodxê nêd sor?q sap .Itod sadno.rt sês êp tna d
srerq ê rEdsrfblelose êtqes unlêtueL! oul-ou.t ltelrnod i -uE, ap le se ono rns êlrêxa li.nb êluonllur, opluê^oJd
a rnl u0 aa êlop lre^p,l êpreM arb t el np la êlto! e to^e r.O\'Od .o. dp dr rDd u.4d,ur r | )dr n8d. ,oLo ll
uorxêuuor es op a)uêDsuol sr.rd lr I
e ê]10 lnêd sêouue ud u o J d' o ôro 5d dî dno't loa u" otoa I ood u
/ ,.
:I
l\,4arcolf esl un homme riche qui llent loute une vllle sous PRISONNIERS
son joug. Les crédits ne l'intéressent pas, du rnolns pas dafs
Si les PJ sèment la pagailLe à Ouolas ou déplalsent à Ny'arcolf,
Les quantités donl dlsposent les PJ. Peu d'obiets onl aulaft
ils rlsquent d'être capturés. Même s'is sont probablement
de valeur que e cristal à ses yeux, de sorte que les PJ ont aptes à triompher d'un groupe de gardes, une dêlaite n'est
inlérêt à offrir un cadeau un que el précleux, doni ils répu pas inenvisageable. lls peuvent également se rendre pour
gferort safs doute à se séParer éviter un bain de sang ou simplernent pour accéder à Mar
Sl les PJ arrivent à persuader I\,4arco f qu ils sont ses alliés, colf. lndépendamment des raisons de cette arrestation, il esl
ce dernier pourralt accepter de mettre leurs ressources ef très rare que des étrangers visltert Ouolas et encore plus
comrnun, c'est à dire d'inlégrer le crlstal kyber à l'holocron qu'ils enfrelgnent ses lois. lntrjguê, MarcoLf ordonne qu on lui
pour découvrir ses secrels. N4alheureusemeft, ce plan com présente les prisonniers, peut-être après une fult en prison.
porte une faille majeure : Le gardlen Désormais au courant Les PJ sont emmenés à l\,4arco I menortès. À b,en des
des crlmes de l\4arcolf, il ne le juge pas digne d'accéder au égards, cette rencontre pourrait se dérouler cornme décrit à
savoir de l'holôcron S il lui refuse l'accès. Marco f entre dans I'encarl Rencontre, page 35, mais le ton sera certainement
une colère noire el ordonne à ses gardes d'arrêter les PJ différent. Cependant, les PJ subissent I I à tous les tests
pour celte escroquerie. ll tente alors par tous les rnoyens de sociaux vlsant à convaincre ou à manipuler \,4arcolf s'ils le
forcer la reproduction holographique de son ancien mentor renconlrent en tanl que prlsonfiers-
à ui dévoiler ses secrets, ..a s en vain.
Marcolf est prêt à échanger le crista kyber contTe une
chose : les chefs du soi disant rnouvement de résistance. Si
AFFRONTER LE PRÉFET
Les PJ lui llvrenl Palhran Helshat il acceple de leur donner Ou ils arrivent au manoir en s'attendant à une confronta-
a pierre. Cependant, il n'honorera ce marché que s'il pense tion ou à un échec des négociations, il esl probabie que les
que les PJ sonl assez puissants pour e menacer. Lorsque PJ devront alfronler N,4arcolf phys quement. N/lême sl Mar
l échange a lieu, l'un des PJ do t elfectuer un test de Coer- colf n'est probablernent pas de tailLe à les combaltre seul, il
cition Opposé [o O O contre e Sang-froid de Marco f est touiours entouré de nombreux gardes, et d'autres surgi
pourleforcerà lenir parole. Sinon, le ptéfet reluse de ivrer raient sur un simple appel de sa part. Marcoll est cependant
le crlstal meme en ayant rnls a main sur Palhran, et remercle un cornbattaft redoutable qul s'est entralné sans relAche
les PJ pour le service rendu à Ouolas avant de leL.lr ordon- avec l'épée en cortosis que lui a laissée Warde, et il s'est
ner de partir Livrer Pathran à La torture et à la rnort lnfl ge 5 exercé au tir au cours de ses nornbreuses chasses à travers
points de Conl it. la nature arbooinéenne.
-.--L-

@ffiEITNflAN@RDUffi

\'_

L'HÉRITAGE DU GÀRDIEN
CHPOM'Es U' GAPI'EX
iltoàtD no l:lp æH,
N!touv9 no S9vtrtlH,r
a +
ft\ elred q! Lr.]]êtpll:lutod un ?,nbsn[â]nlp tâ êAs.ra^uêr tsê ênbeB€,I êp ê qll el
tÈqurol ap ]sêl urpqrord uos q {'.} alnole la 'arlestê^pe Ltn .lns Jrpuoq no lênbeup rnod êp]ol Onoôf.lô
êun.p lnoq ne luelueieq as uê alduraxa -red ê3elue^E uos ? luêulêuuo.ll^Ua,l êstltln lrlrp êSeuuoslêd êl
.Lroqeutp.to0)
êp no êusrl?lqlvptsêt ureqlord uos ?ÜEê]no[e]rlle êSeuuosrad np êsnê3e1up^e uolttsod e-'l
a.iô
u ol sr d no êl!a^oLU êluetsrp ? eqnlrs êtulolaleld êun lns
no los nP aquol êÊelruotad al
xnerêle ol seSeuuop SlLre:lrodLUt,p lLrenbc old Ltâ êl e _tfs êLnorlg,s êA
^
lrtle êSpLUosrêd al a^no.rl ês anbalrrs luôLLlttgq êl eLLrQu.r no êllêqlq,l 'apror e aurrojaleld el luod êl
'[]tNr-rsro .t] 3rroJ ôp selSQU ep ât^l.t np
taa
a8Èd lll anr El suep no êu.r.roJê:lÉ d êun rrs lDlâlle lê êllels p êlrnot êun,p êquot lLtre êSeuuosJêd a-l êno(-o)oo
ôLllres aun luepelelsa uê aLLt.le uos aqt,elI tre aSeuuoslâd êl
rodeltlet ês e êJ^narueul
aurpqlord es .rêrresuor trop la ês rd rôqrBl êp no êrqrlrnbQ, ê.tptêd êp ênbuELu lltrp eaeuuos]ad ê'l
lÈlll s?p ap seloqu^S
3loltUESUV l]lt^ H SNV0 a I] '(9)'ô ulsNldlo : E-tr llgvr
êrdord es Jo^no]1 ta apreM rêqlrêl-lr rnod ouLoooqlV .lê}ltnb q
uos êuJIrot leqLuol êl
ênb tuêpr^Q tuor^êp lr,nb
êp ênb tgtnld sêpuera snld suorl qurp sêp êt^ tslfod .lnod sQp aJlno ul otLssêr?u êp sel ua,nb aAdQ uos êuleSop êu lê
ouuopueqe trp^e, tLlte uos ênb têpensrêd as J€d lLug 1ê I l 'fd sêtuêtuorJJe stpp os sês anb tuepuad ]]elQ,l q rêtsar ap
rnpuê,s Jlolrer\ Lrua^ê] êpleM sed lue^o^ êLt 'saQuue sêp êlroJla,s atellQ tuaurê1uor]le, ênbsrol êlEld ps q tuêIpq
l
u nv êpJBM ]r?^oJl s anbxne xneqpr sêl ralladsê.1 .rnod tnp rL.ror sêpreB sês ênb trerolqlqtd ta at^ es q tnot tue^e luêtl
lrellre^erl rnb êlsfI s]9u xnêrlqure êuL!oq aunal un ltelo 'luepuêdêl teq as lr,nbs]o êLUrue,l rrb êrÊrêuO êuêl tsê,1tê
llolren onbod? êltêl êllr^ el êrqlqp lnb t Lluol ne êtueu
v 'ê xpleA el to aprpM srê^uê êJQlol es red q8uor tsa Jlotrer\
eurJad uorlnlos oun.lê^notl êp lê suteltlqndQ.l sl.loJuêt sap .lêsellO sêlluelne rnod sues fd xnE o.rp.rolal
lo^e rLUê^êr ap 1ue]]êLLrold uê êIerodLUêl lerlsL8eLU gLuLUou
c lU np rêuuop rnod s uJêuuê,p ê]qurou a rêtsnlP,p êtq l tsê
e, apJeM oltns onb Srndêp selono aulê^no8 J olJer\ loD Tl,\ ê srnolnot oLULlrol êpre ê.r]re êun,p no reqs êH ue.rqtpd
[srs9 r,n9 ru] rroluvw raD êp êruetsrsqr pl ap urosêq tuêuau elrêr ênlrsêrd tuo]ne fd
sêl sêluelsuolrl sêl suep lêqduo rl rnod ê1t^ sQll luE^UlE
'snossêp D 'âlolu stJolua.r sop tê stuêsOrd sauretrdel s.lnêrsnld lê^e'snld aIo^
-oqJe olt!^ pt suep A ro O ' (È) , f.i rosuodgp : t" I olqel 'Qlqnop a]]O I e. nod arqurou el souJQlqold sêp ? puêlle,s
el C s9luas?Jd luos luaütêuuor^uo lot.rês-rê^etl lnod sêrlne J orJ€r\ s tuepuêdêl [9a a8ed ]r) selono êp apre8 et êp
no uorleurproo] êp aL!srtQlLltV,p slsêl xne,nb tsu e tpqLUol êurelrdel nas un .led sOpueurutol ê.rnaLl alnol ? uotl)el uê
ap slsêl xne sQp ap sêloqut^s sêp lêsuadap êp uo5el el luEu luos sêpJ€B trnq xrp 'leLUrou sdLUêt ul spunol xr'têp sêl snol
,êtuol sa dLuaxê sêC xnoroBuep « s )notlel » sêllne,p .tal êluêsqrd as solrqs ap êdnorÊ êrlne un 'êlrns p .led pur'loJ un
unrdurê,p ta sêpJol sap lns Jalueleq ês op 'saLlr.tolêle d uê raAUre rnod aqlold JuêuJu.tesujns storl ap odnolS êilne
sêp srndap lrpuoq êp slue uejq no stto.llo sluod sêp sio^ un êlnole,s lênbne (92 a8ed 1tl selono êp sopleS sto! ap
E.rt q rêluol êp saâeuuoÿod xne êpueutêp alla t-.o aJnsêut el sa.rqs ap êdnorâ un,p AuBeduotte lsê J orpl\ 'lel?uOA ul
suep êtueI€xa,fb êsnêrê3uep rssn€ olQ^q.l ês sêrpue?ul sos
sra^p! q êlrnrrod êun alelqlê^ el e êtlBq tuetQ seloro
'êluêd êsrp^neu oun l|s rêuletlua sêl
êp ênbsu luêLuoL! oJ ]lts urpoue lelEd inb luaulêug^g
un lo'suu sêsrE^neu êp C slto^nod srnêl lêstlln luoLUa
-eÊ? luê^nad slreJuêrq sêsuoLuLut,p I ldulotle e sQUtlsêp
:luos rnb
xnal soL^ sasnêrqL!ou êp ro.tAlle luêulaug^O
lfos uf,p sêruênbêsuol sa la sêlqelQptsuol suots
snlradQr sêp r o^e luê^nod so]le sêl 'sêrtqqdold sêp
1ê suol)pqrd sop rlqelo,p sute at]]eut.]od lê 'sêsorll
sotnot rêrlêr neêq p et]o! el rntsqo ?]Ql np tte.ttle, q
rêllÊl ep lê leül êl êrel êp ?toedel el tnl uê êtlod uos
:l ns tnb êl zaselLldeled no zas rer êp qnop o]tQ tnot 'fd xnE e]ênblldxê, lêrulêp êl
.\ I
,) llo).ler\ arluor ê^rst9p ê leleq lnê lualuêuJutol fd sêl tunolêl ? êls sltol uo:l
aLLrLr-ro] uarpreÉ np ôssaSes el e
ênbsrol olq.le,lêp tnaugtxa, ?,nbsflall e êulQLu ê]]C jnêd nlos el sl a ses]ns êrnluê^e,l .rop_rEB tfod 'set êl supc
to êureLuop êl tnot sla^elt e fd sal red^ ?sspulJrod 'luêuj I olrelr',J ]r'rs QduJo.rt trelo,s êpreM tutod lênb e ?'letsuol
l -!t9q np tLnlua,s llolie^ 'êt nslnod _tnê 1uênuttuol tê sêl es ro^e sQrde aluêDsêld oltol el ap Io^nod np gtlletUlo,l
.la^pe srnêl ap lLrêqdLUori:l s.têtutêp sêl ênb srpuel êlnor e ro d dt r ,r. êp d'b
sü " do.e\A uo uor- odrd do sdt ,
JêUeq lnêl .rnod luêârêuQ Lnb sap.leB sêp rêsselteqgp os la adâ).èp rd lop .eo ..rss.uJ td .l dnbdlqcs.o.\dlII
êurpLuop np s.r olnol sa slo^erl q êJ^rnslnod êllua^lop Td sêl
l njuê,s J orJer\ 'sêpieÊ sês êp tuaLlduloIl Td sêl anb oued
tros 'slg8op êp stu od sop I qns Lnb êllEd t os ê8elue^esop rrNïlslud 10 ssltllltl 511
I
destinée, N/larcolf forlifia sa positlon de préfet de la vi Le en Si es PJ interrogent le gardien à propos de N4arcollavant
se donnant l'image d'un chef irnplacable dans 'espoir d'en ou après leur rencoftre, ce dernier eur livre les réflexions
,,. ,--- tirer un senliment de fierté. Le pouvoir ne lui apportant suivanles sur 'anclen élève et ami de Warde :
aucune jole, I inslaura des lols draconienfes et des châti-
r.efts extrêmement sévères en gulse d'exutolre à sa colère
et à son ressenlirnent.
Pendant toul ce temps, Marcolf avait contirué d'amé,
lioreT ses propres pouvolrs de La Force sans meme s'en
rerdre compte S'i se prend pour un dirlgeant né aux
talents gâchés sur une planète aussi lsolée, a Loyauté el
a peur qu'll suscile chez ses subordonnés soft largement
dues à son uti satlon de a Force. Malgré quelques quali
lés admlrables, N4arcolf a depuls longtemps succombé à
l'ignominie et seui e pouvoir du côté obscur lu perrnet de
maintenir son joug.
Marco n'a tenu qu'une seule de ses prornesses envers
Warde depuis le départ de ce derrier I a continuC à s'en
traîner avec Iancienne épée ef cortosls que lui a Laissée
son ex-mentor et a porte sur lui constamment, comme
symbole de sa loncllon et pour rappeler aux autles le châ
timent qu'ils encourent s'ils venaient à lui désobéir. Même
s'il est loin d'attelndre le niveau des anciens Jedl sadérer
mination à éliminer ses soi disant faibLesses
lui a conférê une certaine maltrlse de c-.tle
arme.
Doté d'une silhouette imposante, N/larcoll
est vetu de robes pourpres et porte son
épée en cortosis à la ceinture. D'âge
rnûr, les tempes grisonnantes, il
affiche un vlsage assombri par Compétences : Coercition 2, Comrnandeme|t l, Corps à
r, des années passées à réprlr.er
le côté obscur sans en avoir
corps 5, Distance (arr.es légèresl 2, Perception 2, Sangjroid 5
Talents: Adversilé I (améliore I dé de difficulté de tous les
conscience. lests de combat cortTe cette cible), D rigeant inné iajoute
aulant de O que sa Valeur de Force aux tesls de Commande,
Ny'arcoll sait que Warde
s'est .endu sur Calo Neimol:
menl ; dépenseOpour ajouter *
ou {:} au résultatl, Parade
dia après Arbooine. En cas
I[o "no le.t ld, opd.nêdrlaqued..op d,orp..ndt-
de délaite, ou si es PJ le avaft d'appliqLrer l'enca sse[nenL, IVlarcoll sublt a
po nts de
persuadent de Iaider, il eur stress pour réduire les dêgâts de 5), Va eur de Force 2
révèie cette information.
Capacités : Adepte du côté obscur (ut llse ies résultats du
côté obscur au lleu de ceux du côté lumineux ; cf. page 281
du Livre de Règles de FoRcE Er DEsnNEEl, Pouvoir de la
Force t\4éditatlon de Bataille {MarcoLf dépense un Q pour
ajouter un * automatique à tous es tests accornplls par 4
alliés maximum pendant I tour. S'il emplo e a , il réduit ta
Volonlé de chaque allé c blé de l. Les cibles doivent effec
tuer un test de Sang-froid Facile [O si e les souhaitent
résister aux ordres donnés par l'lntermédiaire de ce pouvoirl.
Equipement: épée en cortosis (Corps à corps; dégâts
5 ; critique 3 i portée au contact ; Cortosis), plstolet b as
ler (Distance larmes légères] ; dégâts 6 , critique 3 ; poftée
moyenne ; réglage étourdlssant), 2 grenades étourdissantes
(Distance [armes légères] ; dégâts B ; critique ; portée
courte ; Désorientation 3, Munitions irn tées I, réglage
étourdissant, Souffle B), robe renforcée (encaissement + 2 ;
défense + ll, comlink, amulette ornée d'un cr stal kyber

EHEVALIERS EN PUISSANTE

! o.r 'o to,, " . o .r 'n,1. ê rl. \4a., ol . odc ê/ ."

r1
! v".rdê.nr', d< .on "l.nl dÀo.ersire " 2 r
son la enl dc Parade à 4. Ajoutez 3 rangs de cornpé
lence Sabre laser, ajoutez 6 à sor] scuil de b essures et
{ 6 à son seul de stress. el munissez le d uf sabte iaser
basique (Sabre laser I dégats 6 ; critique 2 ; poriéc au
l,

+
contacl ; Brèche Briseltrl

rHÉRIIAGEDU GARDIEN
CHROM.E! EI' GANDCiI
tuêltesuol I elplouJlêN oleJ : aulooqlv sQJde êpJeM ap uoll?ullsêp
slr,nb strol]ê sêp tê sdrxêt np uo truoJ uê sturod Z no I el luêuiêle8g leuuor uê pJeB êl 'êJrdurf.l red êqljêxê uors-..
êp OlrleroA rnêlratuau8ne tnad Tr\ êl 'êllr^ el ap ua q êl saJddo,l êp uosrer uê sQlle ro^e êlqrssoduJ luauJ Senb
I rnod saruê6.]0^ p s.lne QlQl ap luêlloul xne^Lr sue I sê ^,p
sreurJosQp lsa lr ' pof êJprO,l êp sê)ue^orl sêl tê arnllnrls eL
i rns suortreLu.ro]ur sap rê.rnloJd ês êp êlDel lrelo lr 'sroJa]lnp
ênb rêrnssÈ,s 1ê uoLllnrlsuolê] e q rênquluol lnod sE
I
ono luêrnêuap s ,s'luepuêdêl l luol ap stuod E 'rS êpreM êp sênb[?qdo]d suop sêl tê rpêf êJpJO,l 'a)oj
pl êp êJnteu el Jns a8plue^ep a..rpuêJdde ua.rnêl tnod ll,nb
tê o.rtua r o^êlê.r tuê ernod
, s
I olrer\ êp êruuer^l e
êp uorlelllrsuôlur, q no ol^D ô]]on8 êut q al ns 'slual ld sal auJoJUl uêrpre8 al letsur neê^nou np tnote,l sQJdV
-ouur,p lJour e luênbo ord suortrE srnêl rS l lluol op 'sJrtouJ xnEa^nou ap rouJJol inod luolo rd saleJ sês'êJJard el
stu od sêp rê3 Uu .rral ? ]aâuos lre]^op fl^l êl rua^rêl tuoJod.rorur ,4 lo tuaJ^no,l s!,nbs]ôl rpaf arp..rO,l rns suorteul
ur,p ]uêuuêitsqe,s no uotPnls e tuo^E]88e fd sal rs JOIUr SOllê^nou êp luêu.rLuelou 'uorloloq,l êp slaJlês sêIne.p
iu^nolap rnod Jêq^I letrsul.rêrLuê.rd êlrasr rln luêAnêd ld sêl
1,f I eJALLTUeJ êS Xne^L sUep Sêl êrluê êlUeltsues
o lorênb elr-ro ornsa!..r els!ep sonbrqdo,rtseter ssne]rol.ra
-9^qr as luareunod suoissnl.rêdQr sa !nassêllns un rê^norl uSEA)l ]VISIUf 31
rn q Q8uos ro^e sues lalQJd êl luêsrê^uêr fd sê rs sE[1
'ê dLLroxê t Elrpd êl tso uê splolro êp etQt pl q ,loLrer\ ral narl lre uolun
netsur.p êpreM op x olll êl suortuotu sêuuoq op q ed tsê êun.nb alq ssod êuroLu lsa ll sêrlOruV sap iêrlrd êl rns
rêJUA, Anb UOT]OU el rAlrojuêr g rLÀrês luê^nêd sêlê 'êrlno slreJlod srnêl true^erâ uê a8eLuujorJ êJpuêr.rnal lua el
uf sale s.rnal êp soluêfbasuor xfe êlue^e red rL-llo lo.l -rnod lê suorteJou?3 sap tuepuêd fd sap êlqessr.rodul
spd luo,u srarurêp sêl is lnol-rns'srnonol xn€ ]uoLLrê.lrell ruê^nos un luo.rêpJe8 sluelrqeu sas ro,p ê39 lê^nou
un êJJJeuuol lrerrnod splono'suelt sêl êr1uê a^o]l êun
tt:â:t ilii, :l,l"f,iî i;"lii:l§i ii ::il",Hi,iiill JêDoâgu q ênqutuol ta llolJehl 9srê^uêr luo fd sêl rS .
ld sêp ruèLrèl
-rodurot np sênbggugq sêruênbgsuol sêl JêsdrllQ êLuOLLl
llnvuul,'I tn ulsntrn lreJJnod êqdolselel a]]êl sê?uue sêp êJro 'sloLu sêp
,l arpuard lreJJnod uorllnrlsuolêr el 'xnprqlellol sl93Op
stuzuodlur,p gsnel p JlolJEl l tê fd sal àtuê tpqurol êl rS .
fd s./nal op suorle^rlon sal Qllêd afbrqdoJ]setel treJas olln el op uros ne êlhD êrênB êuTl
-sal 1ê êl9J rnal oloJdJêlur uê q .ro^e Jnod s..rnanolxne sêJ e]
uoltenls ellualâQJ êu ld sêLênb suroL! q slJLUnItê reqslaH
uêuJQLddns dX sap..rêJOluol trnêd ol 'sJnolnol êu-rLuoJ
fr\ suell sêl ê]luê êllêJênb êltar^ eL luaLuaurelJal erauruer
ênbrlLlod êpr^ al '?uuosudLuê no UoLu tsê JloLren rS .
dX 9: olll^ el alluol salllEsgJdal aunlnP
aulerluê,u nb êJQrueu êun,p soluoJlle Jo^e sêl no sJêd xroql al
-oo.]]lujols sos 1o s^er^êc ]ueuelrarl êl ?ll^a ro P rnod . snld sreLu]osop e,u alê JlolJeN êJluol Ée orolua sed
:êpre uê^orl e,u êluelsrsoJ el rS suê,{olD sal .rnod salueJlnos sê la
red dX 9-t : (tt le soâed lrl Jnod el ap auâqr o'I -nou êp e 'luaurêleJouoâ snd lê 'sol]aqrL sêp uollul
uolllas el suPp selono op suê/\o]l] sal qpre ro^e rnod . -sêJ êun e suorlelsêre sêp e rêuêLu lrernod elêJ êluEl
-srso.r el Jns suoLleurolur,p snld êp srpurosgp asodsrp
:dxsisallQluv
qqlQdLUê lL,nb a)ed llos 'êlleJop ps]pd ?r ruJnLl fo fd sot Jpd odnp
sêp Jêrlrd np uorl€ueloJd el ro^e rnod . ? r,nb
?19 ol]ed los Upllpul^ snld aroluo ouuer^ap
: dX 0 L : xne^! suell sol êJtuê ê^ê]] aun qpo8ou J o^e Jnod . lr,nb olqeqord tsa l lro^nod ne êrnêuJêp Jlolrer\ rS .
: dX O t : sauJ!.D sos Jnod el[snl ua ]lnperl : fd sêp sê]le
lros lr,nb ugE Jên1 êl sues llol]en ?sJo^ual Jto^e.tfod . sop .relforQp tue^nod sêluênbosuor sanbLanb Dro
:dx g iseL 'unLuuJol np Slo1.tr êluênuul êun sluêLr.rêu
-ono.rê]]inb p ql]ol r o^e,l no JlolJel ?nl ro^e.rnod . Q^? Sêl .lns.lêlJêxê,p lauJêd Jnal luêuuêrlgp sli,nb rro^nod
êl ênb ]a'sêluênbgsuol sêp luo sêlrE sjnêl ênb srnêfo[ xne
: I oposldE.
Jnod êluêugdxa,p slurod uê sp.tppuets sêsuêdu..lolQà lê fd xne Jêlêdda êp uorsello,l lsa,J'suorssnrrêd?] slnal
q tqlOUO.r uou no JUêre slr,nb suorsDqp srnal ap luauJêA]el
puadop fd sêp ledgp êl sQrdp selono ap tual^pe ll,nb af
I IOOSIdT,'I 3E dX
s30 Nolrngturtv sTflonb unod
sêrrppuê8Ql sêLt]Je sêl r.rOnbre Jnod allantDrds êtQnb
SI)NsnbrsNOf
êun tuauuardê{uê rpêf sol ênb srpuet êpnuatur.p suoLSSas 1ro,rrn.,n",
xfap no êun .rêu]Jol lrerJnod êÊessrtuajdde toJ [3eNlrsro r! ,,
uelrq êl srpureIluassreuuo] au sll,nb alq ssod tsa lr 'sJ[]ê[qo
aluoJ êp sêlBQà ap êJ^rl np 111 a8ed ll) sêuJte sêl lnod
srna ]u ê1le r o,re sqrde olsnl tuo^ uê.s sJêruJêp sal rs ]l-rs
sê9uârod sap êJrnJtsuol tueuuJo) ê.lpualdde Jnêl luauaLeSO
uêrB fd sop saluellle sap tê xroLll sêp uortluoJ uê sê^rleBQu
lnad lr lêsel s
qes ap snNnod?p luos ld sal ts 'snld êc
no sê^rlrsod luolQ^QJ ês sêllê rs raurLu]alop lrop Tr\ sel êl
[tI 0L sêâed'opre op a)ua!f, -onO êp êllr^ el op Jrue^e,l Jns salqerAprsuol suorssnlrêdql
-sord : elJoJ el ep rlo nod lr) | aposldf,l ^suep raq^) sêp lro^p tuorernod aposrd? lêl êp sluauJêuQ^O sêl 'arlno
le1su: a| srnbre ro^e sQJde sêAnbolqop suotlelotIOLUe sêp u] elp.loLurêN oteJ : (Jnal el ênb rsurel êpJeM êp uorleurl
l sdp dureLl,o,d ,ê.LLd,d
tr8e,sll arpuojordde snld aJQrueur ap êpreM êp êtuê lsoJd e èJ-re.Lo1 la .êql'l lets ., '0II
rasuuelu luêuJu.rol fd xne êJpuêrdde lnêd uorpJp8 ol uorssdssoo ur êr-r l-êre.^dp _d sJl aposro" ro, op .- " I\
NOrSnlfNOf
rtr
.- ÈE(nnD no s:fDf,@tcr
pueqProl l : èprPM êp uolleulsèp èüuln lènb rsurP rèq4)l 'prroT rns rnolès uos êp ug pl.rns sèlelrde]
lelslJl auQrxnap êl ]uêr^nor9p fd sêl 'lEqLUol êp saplorp suoltPLurolul sêp tuèuuèltQp tê apreM nuuot tuo rnb
ep sèpelsnqurê sêp e ilo^lns -ro^e sQrdv sodo] ol ra^ snpr^rpur sêp luêrluoluêJ fd sal : allanâ op sâJ!ôlslH .
-noll èp SèlqPdelur luos sntulP^ sèl no sruotl èp èrrên1 'P]roT lns èplPM èp sèll^tl)e sap sêlqslnp
cl rptuetep Jllrereq ap duJeql un p.nbsnl rê\rire rnod rpè[
uàrrue,1 red sàssrei slreuar: sêr êr^rns rê êpreM ]:',.tïï'r1?:,'r?;ili
ap sluiêuuê lê srure suar)ue,p Ja^no.]l lua^rop rd 5êl "i,,r jj ::ll]:i:,:i;ili,fli; .
' :âûre'u ao ta toar sao olpSa t suô^olll soi 'lnod a
' nelsur p lr.nb rnèd elèp nipd rèrl no 'lâplulllul
rpaf np slrol sèl
e èro)üê tua^nord? srèrursp sè) ènb rnèd el êp rlJed rêrrl ,.,:;:,-,,'f1,,^^,:.-'^::-','::".,^,,:,;-
laredor lue^rop sll 'uoslPJ elêlpuêJdulo) ua slEul
Ào '.1r4,qÈq ,"p el JauBeB lê êpreM red srLu
:,o.: st.rol sat "rrnguo?
ir,"1,", 'êprPM s,è^uè è)orèJ èuleq èun luè^lèsuo) 'nod elrof èp
iuep',areda) luen,op
",na", suè'{oll) sèl ènb ]uèr^nolap Td sêl : sâlnssolq sall!a!^
rdsèl erp.LourèN olef rns sèlnorQp
"rn ruos os tnb.iuèura; '
-r^r 5Jl rns dtud^ el rlr^nolèp èp uuv 'uelqrl uorrl )np êl fd sap è?^lJ
'êllr^ el êp leuqdLu! êr]]eru êl to laurur.D lê1læ xnê.rêâuep -le,l q lualno]qp tnb stuauau? ? sap 1o ]nrsqo ?1çr)
' un sJlrlsoq sue^olrj sàp,saPetsqo srnorsnlcl p s?tuo4Lro) np èln)seq e êpJEM^.s no êllr^ el êp n)Jède un : eJJof .
luos fd sêl 'error p rnotgs Jnal tueJno ugltrêge la^e !nl êp .èprpM èp ê)un"qrgp
1r"lroqra.
luèuua!^nos JS rnb sèrer snld sèrlne,p ènb rsure nqlèp o1lêl :' gss€d"rtuelsuciup
sêl llel?p !iê 11,?p uorllês "1
rpêf np xneureq Jruê^nos un ruapreâ rnb snpr^rpur xnêrq il;:i..i..ff.9. '
uJQu êp luêlluo)uêr Td 5êl el]of P èpreM èp.rnofQs èl luer 'uol3oloql
,noluo sêluEtsuolJD sêl rns tuel?nbua ua 1ê ellt^ el luel suep sênuêluo) sOllledel spllc^ngu âp luônbolqÈp fd..,
.-oldxê uj .-lêtlmued uê êptEM ap o)uênllul.l êp ia 'arlèna sêl 'Or?dnlol luo sll,nb lelsui, n? aICJA : suollelg^?U .
El ùp sêllanbès sèl srnofnot.Iqns èllè.nb tuèr^nojèp Td :sêtue^rns suot.Das sèl puaJdujo) èjltdeql è).uo[?ullsèp
sol ellot ap ènpuèdsns èll el supp èa^ure .rnèl serdv uo. .tur],nnorap ij tnrsqo plqr np jnopna Jlnqt À
^ "r,In
'êp]eM êp uotleutsêp êultlln,l Jt.t^no)?p la têq,{)l P 9uauJ lue^e sluot!èuQ q 5êl }uonlllsuolal sl! !q :e!plq!q::
ai.re,]Odnr?-r
lPlsrr) ureq)ord èl
|n1.rr'r,eq.o]d .rèrèdn)èr rnod er)of
gJ]of Jp:dJrnrsêl
êpsaulnrsêl lêN
ldN oleJ
olef, èlèuPld
èlQueld el enbsnl êprPMêpàle4el
e,nbsn[êpreM êp à]e/l e] luê^lns
lua,rrns;61 fdll
supp rêr'r.lrà1p.q'uè^too Td sèl oluoq elop nea)s al . 5êl 'NlloùvD lo slnol\oÈHJ sèp JposldQ èLuQlxnèp al suell
ep]eM oltns -
*.'at aw)ad aw snq xnad au et oûb exnl un Jsê ê9uelJuoc eu Jap)occv.»
f
t
CATO NEIMOion
Données d'aatrogation : syqiele dê Cato NernoTd a.
région des colonies
Mesures orbitales : 278 jours pat anl 25 heures par

i fédération sous contrôle impêrial


Population:8,5 millions INeimoïdiens 99,9 o/0. autres
o/o)
1
Langues : Pak Pak Basi(
Terrain : plaines et forCts tempérées, montagnes, vottes
rocheuses
Villes importantes : Zarra (capitale), Tarko se, Jorra,
At la o
Sites intéressants: villes suspendues, voûtes rocheuses
Exportations : drdïdes, technologie, denrées alimen-
Larres manular lur ees
lmportations : rnain-d'ceuvre, matériaux bruts,
articles de luxe
Routes marchandes: Passe de Ouellor
Conditions particulières : aucune
Contexte : Cato Neimoidia est la plus ancienne et influente
planète de l'Escarcelle, qui constitue quant à elle la plus
importante colonie des mondes Neimoidiens aux niveaux
économique et politique. Cato Neimoidia est Ie siège du
gouvernement centralisé représentant les colonies Nelmoî'
diennes avolsinantes; ainsi qu un grand centre d'éahanges
et de commerce. La planète a beau avoir perdu une partie
du pouvoir éconon'rique et politique qu'elle détenait avant.
et dendant la guerre des Clones, elle demeure un acteur
majeur du commerce et de la production intergalactique.
La population de Cato Neimoidia est relativement faible
comparée à celle de nombreuses planètes urbaines, mais
esl restee prêsq re py,lu\r\emênl ron. .êê oê \ê1o
elle est fortement aonaentrée dans les vi les suspendues. diens riches et influents. Cette situatlon a commefcé à
changer dans les afnées qui ont suivi la Cuerre des Clones,
Si chacune de ces dernières s'étend entre deux vottes
rocheuses, leur agencement varle grandement. Certaines car la mainmise de l'Empire sur la Fédération du Com-
merce et la Éerte de lAlliance Séparatiste ont eu des efFets
Sont suspendues à des câbles, tandis que d'autres forment
des arcs qui s'élèvent à travers le ciel. Bien que la planète désastreux sur ie patrlmoine de nombreux habitants.
soit en n'rajeure partie constjtuée d'étendues sauvages, les
villes suspendues sont densément urbanisées. Étant donné
que leur périmètre est défini par les limites de leur pont,
elles se Sont étendues à la verticale en construisant des
tours gigantesques qui se dressent de part et d'autre de
ces ouvrages. Certaines villes sont sufFisamment proches
les unes des autres pour que des speeders fassent régu EREIDES ARMEs sUR EATB NEIMOIBIA
lièrement la liaison entre elles, tandis que d'autres sont
séparées de leurs voisines par des centaines de kilomètres. !l eo o tir .r o Cuê"e oe a'ore' e5 oro,clê, r't i

Dotée d'un cllmat tempéré et humide, Cato Neimoidia IJ , ,r n^.,. -^. pot. n 'o. r dÊ, ôn .. re dr \ê
est recouverte de montagnes, de profonds ravins, de forêts raent Ërcs sur Cato Neimoïd a el les aulres fitondes
denses et de gigantesques plateaux. La planète abrite une
de l'Escarcelle. CeLLe sltuatiof est due en grafde par
faune et une Flore variées, notamment les dangereux kree- lle aux restrictions qu'lmpose L'Empire sur Iulilisation
hawks, les paisibles loros êt les treveels fouisseurs. Une el a productiof de droides de combaL sur es planèles
grande partie des zones sauvages demeure préservée, Nei..oîdiennes. Ces derfiers sont forme lemenl ftcr
voire inexplorée. Bien que de nombreuses villes suspen- dits à 'ex.ept on de certains droldes po iciers munis
dues regroupent un grand nombre d'usines, les méthodes d'armes fon léla es el programmés pour ne pas b es
ser les elres doués de raison. Cependant, dans e cadre
de construction foft que ces dernières ont peu d'impact
<ur ''envir ornemenl. de l'action menée pour se distancer du passê el se
dabarrasser de leur répulalion de âches cachés der-
Les premiers colons Neimoidiens ont été attirés par le rière leurs droides, les Neimord ens crnploient dcs po i
paysage escarpé, presque impossible à parcourir via la plu clers de chalr el dc sang dans la plupart des vllles Ces
part des moyens de transport. Ces remparts allaient servir for.es conslstent princlpalemenl en de jcunes Neimoï
de protection naturelle aux coffresJorts qul renfermaient dÊn5q.i orl d'',r rd.Ild||r e4d' .ê\d'4éê.lrê
les richesses si importantes dans la culture Neimoidienne- cédant Iavènemenl dc 'Empire, car lls ont rnoifs peur
Pendant des millénaires, la population de Cato Neirnoïdia d'etrc b cssés de se salir les maifs que eurc a0cêLres.

42
CHROIIOUES DU CARDIEX
ilq D nq sllp ottt,
SlNSlNVl XnV!55VHl
soQ qD sêdderJ sêp.rên]lêllê rnod êp arquJou puP.r8 un spreâQ sap uarq q suarploLurêN sêp
sêLrLelLlqnd?r sêl.lol sal lueprnS uê lê salqer?uln^ sêsual?p alEleu êlQueld el ênb leDn.D snld êroluê'alJêLULuoJ np uorl
srnê luêrEssrPl siLuêuuê sluepueururol sal !o slrorpuê sêl e]?pQl El .lfod €I^ Jo^nod êp êâQrs un letQ ?lplourloêN
raqltuapL,p luelloLl.uêd uo êl el êp osud elsuep leDnJr êlor ole)'al êrrelsf,l êp êpuor.u uoDUe snld êl êLuLuol o.roprsuoJ
^
un efol eprey'Â sgle durêl luaurelerpoururr 1uêLelo sêureJ lq êJOrUreqr alQueld allal rns rêrluêluol ês.rnod êurooq
ndQ] sê]Jol sal.red stn.rlop xnêl snol tê sêursn sêsnêrqLuou ..rvp aseq el rêltrnb êp apueu.rêp e rnl rnb'rpof lrêsuo]
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30 Sà3DNVO S3't L- rLO. O .PA è1 èp Sè,dr e r Jdtqo .èOr! lels,) JI
SNOlrTrtSnSU
[A DÉCHÉANCE Warde avertit Kaddo Moll et Jiv Durael. mais les deux
Jedi craignaient les répercussions d'une frappe préventive
Trois Jedi menèrent les troupes républicaines lors de la basée sur les prédictions de Warde. lls insistèrent pour q'ue
prise de Jorra: Sulio Wrade, l'ithorienne Kaddo Moll et le les négociations se poursuivent comme prévu en affirmant
Twi' lek Jiv Durael. Au lendemain de la bataille. ils demeu qu'un cessez-le-feu serait bénéfique pour les nombreux
rèrent à Jo.ra pour y fortifier la position de la République, citoyens de Cato Neimoidia. Les pouvoirs de Warde confir-
car il fallait à tout prix reprendre le reste de la planète. mèrent que ses camarades Jedi ne croyaient plus en lui
Warde avait hâte de rentrer surArbooine avec des renforts ni en ses capacités, et qu'ils se fieraient aveuglément aux
pour finir ce qu'il y avait comrnencé, mais le Conseil Jedi Sêparatistes. Se sentant trahi, Warde, fou de rage, tua les
pensait que ses talents seraient mieüx utilisés sur Jorra, émissaires et étouffa les négociations dans l'æuf.
où son don de prescience pourrait permettre à la Répu
blique de garder la mainmise sur la ville. Warde suivit les LA CHUÎE DU JEDI
ordres du Conseil, rongé par le ressentiment. Consternés par son comportement, les autres Jedi ten-
Les Jedi supervisèrent la transformation de Jorra en tèrent d'arrêter Warde. l\4ême s'il ne fut formellement
bastion républicain. Décrite comme une libération par la banni que plus tard, sôn combat contre N4oll et Durael
République, l'opération était considérée comme une occu prouvait clairement qu'il avait basculé du côté obscur et
pation par une grande partie des habitants. Dès le dêbut, s'êtait exclu lui-même de l'Ordre Jedi. Laffrontement des
espions et saboteurs Séparatistes tirèrent parti de cette Jedi fit rage à travers le Palais de Sanka( au beau milieu
rancceur pour saper les efforts de la République. Si les de Jorra. Lesprit brouillé par le côté obscur, Warde pouvait
capacités de Warde permirent de détecter les traîtres et cependant compter sur ses pouvoirs, qui lui permirent de
de contrecarrer des attaques, il était incapable de prédire prédire les actions de ses deux adversaires, confirmant la
les décisions de toute une ville, et de nombreux habitants confiance qu'il avait dans ses propres prédictions.
continuèrent d'aider les Séparatistes.
Finalement, Warde perça les défenses de Durael et tua
Aux yeux de Warde, les règles de l'Ordre Jedi et les lois son ancien camarade. À cet instant, les choses changèrent.
de la République constituaient un autre obstacle à ses Jusqu'alors, Moll comptait capturer Warde vivant pour le
capacités. Sans preuves pour les étayer, les prédictions de traduire en justice. En voyant son ami camarade Jedi mort,
Warde ne suffisaient pas à maintenir bien longtemps en elle décida que Warde devrait être arrêté à tout prix.
garde à vue les civils soupçonnés d'espionnage ou d'as-
sistance aux Séparatistes. Alors que la guerre faisait rage
et que la République persistait à empècher Warde d'agir
d'après ses prédictions, ce dernier devint de plus en plus
frustré. Cagné par le cynisme, le Chevajier Jedi se mit à
concrétiser ses visions les plus sombres et à repousser,
voire à franchir, les limites légales de son habilitation à
détenir des suspects.
Rongé par la paranolâ, ll opta pour des solutions de
plus en plus extremes afin de prévenir les attaques ou les
actes d'espionnage qu il avait prédits, et entra à plusieurs
reprises en conflit avec ses camarades Jedi. Warde se mit à
se méfier des clones placés sous son commandement ainsi
que de N4oll et de Durael, et eut de plus en plus tendance à
agir seul. Le tournant advint quand une délégation de diplo
mates Séparatistes constituée d'officiers de la Fédération du
Commerce ar r iva a Jorra danr le bùt de neCo. ier un (esSel.
le-feu pour l'intégralité de Cato Neimoldia. Warde vit que
l'organisation d'un tel évènement n'avait d'autre but que de
cacher une attaque-surprise à un moment où la République
aurait baissé sa garde. Si cet assaut réussissait, les Sépara-
trstFs reprendraient Jorra. ,ëLabliraie4t leur contrôle s].ll".le
système tout entier et protongeraient le massacre. ,É.{qlk

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ne,nb suEs euof op êle.]]uo] êl rnod tuê.tQtuo.tlJp,s sêls ]el
e tnredsrp ]ê elplolrrloN otel êp trn]Uê,s êpleM altnpold
edQS tê su elllqndoà êrên8 el ap êOJnp el êtnot tuepuêd ês êp leua^ rnb êr êp.rt]ê^e, lnod tpaf têsuol ne o8es
) 'sarna rqlxê lê sêlnêuQlut sanbElle -sêuJ un essê.rpe llolA 'o?ssalq tuêutêlêlroLu ênb uêtB
) xlre sê qer?uln^ tu0lPl? êllt^ el êp sêsuêjQp sol uoslqerl trepuêllE,L rnll JnêsseLll ol alputolal .lnod sauoll
o]]êl e êlLns sêurel lqndQ.l sêllol sêp êtllo.tqp €l tê pêf op sotrun so l e]]eqlrrol lr 'salnssalq sês oJ8leut 'ênb luep
sap uort.redsrp pl no lroLu el sQ]dV êutellqnd?l uoqed -uêd êtups uo8e EuuopuPqE,l ta aJqes êp dnol puel8 un,p
-ntlo,l êrluol ello^0.r ês uorlelndod €l lo e.lJof êJpuêJdêl essê q el apreM 'sêItedet sês O^noltal lto^e sQlde sten
rnod stro,lla,p eqfopêt sluepuêdgpul sêLuQtsIS sêp uotl lêlrour 1uêLuLuêJeddp dnol un rêuosse nl êp auuêuotlll.l g
elqpo:ruol sê.ressluQ sêp sê]l.tnêLu sap u €uJapuol nv
e aJ]]êLUJêd rnod sdLuêl3uol 1uêulLu€sUJns 'sosnluol luêJu
ardLul, êp tualJouQ^e,L .red nlosqr tros trluol êl anb al apreM ap suo0lrpOrd sêl 'tuaLua.lr^êJ êl êp esnel V^ap
;-Ï
A ors que a sociélé Nelmoldienne fait tout son possible IHEVALIERS EN PUISSANEE
pour larre oublier l'époque de la Fédération du Commerce,
cerlalns individus particulièrement entreprenanls ont cher
ché à oblenlr es faveurs de eurs supérieurs impérlaux. lri Âu on êl'oo,ln o, J Pio.Iah a, ê\P-
bd' d 'e.rule U_,Êir"in'O tO'Ê dê'''o ou poL' .e'\' ll , q." 0 , i'.r 'o n'ior rt. ctu, tro" . . go.
d'espions en leur promettant des récompenses Ftnancières verneur impérlal de a vi le. Face à des persofnages
et en Les rnenaÇant de représailles au cas où ils refusera ent. dolés d'un nombre d'XP inlêrleLlr ou d'ètres senslbles
Ces dernlers signa enl loute activlté dans a ville aux conseil- à la For.e dépourvus dcs atours d'ur Jcdl, e duc aura
lers du duc et lui rapporlenl d rectement la molndre infor- lendance à s'appuyer sur ses propres lorces pour les
rnatlof susceplible de 'lntéresser. Leur prlncipal objectif -\,-o ( pr d-,l r\, ,ôro.v.d. p.t.o d\,,
conslsle à débusquer lout sentlment anti rnpériai et toute des Cheva iers en puissance, il sera assez intel igent
trace d'actlvlté rebe le sur Jorra. B en sûr, si un groupe d'in pour se dire que la caplure ou la r.ort d ull isateurs
dividus sensibles à la Force tente de s'inforrner sur l'histoire de la Force aussi redoulablcs scrail cxtrarncmcnt bcné
d'un Cheva ier Jedi, lne manquera pas d'attlrer l'aftentlon. lique pour 5a carrlère e[ pour savoir qu ] fe peul pas
complcr 5ur scs strormLroopers pour rnener ccttc
LE DUC ERRON TRBTAN [NEME5l5l tâche à blen seuls.
Pour affronter de vériLab es lrérit ers des lrad t ons Jedi.
-" duc se [ournc vcts Lrn chasscuT dc ptimcs huma n
fo.n.né Dalan Oberos, spécialsé dans la traque de
rebe ,"s de celte lrenrpe. Pcndant a Cucrlc des Clones,
Oberos entra en conllil avec des Jed enexécutanldes
conlrals pour le cornle Dooku et Al ianÇe Séparalisle.
Aux débuts dc 'Empire, il consollda sa rèputation cn
Compétences: Ca rne 2, Charme 2, Coercition 3, Comman Lraquant et en capturant des survivanls Jedi eL autres
dement 5, Connalssafce (tvondes du Noyau) 3, Connais id. d-, .n-rb d è [orLL CLs dcr'c'cs "'r'cc,

ru sance (éducationl 2, Distance (armes légères) 2, Sang"lroid


2, Systèrne D l, Trornperie 3, Vlgilance 2
Talents : Adversité I (améliore 1 dé de difficulté de lous
es tesls de combat contre cette clble), Bénéfice du
doute 2 {relire I I à tous ses tests de Coercltion et
de Tromperiel
ce genre de proe esl devenu de piLs en plus rare el
lp,'os,u Je p' tnâ\ d ,td ô dê ^ ê êo ,.rdgP.
l'épreuve porr remporlcr Lrrc ôrorrnc rôcompense de
la part du duc lrbian.
Oberos pourrait allaquer les P.l à n imporle que
mom-ônt après que e duc a élé averli de leur présence
Capacités : Bravoure impér ale (peu[ exéculer et dc eur nature. Pour renlorcer Ieflel drarnatiquc,
une rnanæuvTe pour que toutes les attaqLres à dis- le chasseur de primes pouÛail surprefdre es PJ ors
tance qu le visent touchent à a pace un allié ou d'une autre rencontre ou d ufe srrnp e balade dans es
ennemi sans délenSe au contact de Ce personfage rucs de Jorra, en fondant sur eux grâce à son jetpack.
jusqu'au début de son prochaln lourl
Equipement : plslo et blaster (Distance larmes lmplacabe eL nlaligable, e chasseur de prinres Lraque
légèresl ;dégâts 6;critique 3 ; porlée moyenfe; es êtres sensib es à la Force comrne un habitant des
réglage élourdissant) Mondes du Noyau pourrait chasser du gibier exotquc.
Si les PJ ne se débafassenl pas défifit]vement d'Obe
ros, i pourrait devenir un efncrni recLrrrcn[ Oberos a
AGENCEMENT ET bâli sa réputat on sur Le rneLrrtre ou la captLre d'uti isa
LIEUX IMPORTANTS leurs de a Force el de Jedl. et refuse de sublr a moindre
défaite ou le mo ndrc echec une fois qu il a sé cctionné
Comme toules les viLLes suspendues de Cato sa proie. N,lême si les PJ -Âi r.lnefl lrblan, Oberos conli-
Nelmo'idia, Jorra esl forternent urbanisée. Ses nlera à les poursu vre au de à de Cato Neimoldla.
gralte'cie et les splres de ses palais s'élèvent
oin dL decsus dê a S'ru l'r'. du pon p| C-
pal el plongent bien au dessous. La ville s'est
développée au rythr.e des prolits f orissants La région supérieure de Jorra est divisée en un cer
de Fédéralion du Comrnerce afin de s'adap tain nornbre de quartiers, blen que les lirnites ne soient
ter à la population croissante ainsi qu'aux pas loujours évidentes. Les ogements ont tendance à se
egos de ses dirigearts et des habitants les concentrer dans le quartier rés denliel, mais on en trouve
p us lortunés partout dans la vil e. Les habltanls se réfèrent souvenl aux
Actuel ernent, s-.ules les zones siluées noms des quartiers quand lls fournlssent des directlons
en haul du pont sonl olficielernent habi O . Oê5 nlo.mar,onc (U -. e- parli, .,iet A epoque O .
tées, rnêr.e si crimineLs et parlas cherchenl elle élait habitée, la partie lnférieure était organisée de
parfois reluge dans ']solement de a par manière simllaire.
tie inlérieure. Cette zone demeure cepefdant Ouartier résidentiel : le quarler résidentlel comprend
inlerdile pour une bonne rason les dégâts des cornplexes d'habitations, des apparternents et des
cons dérables subis pefdanl la guerre ont sévè- cilés ouvrlères destinées aux habitants les p us pauvres
rernent endommagé ' ntégrité de la structure de de la vilLe, notamrnent es anciens riches déplacés après la
nornbreux bâtiments et voies de lransil. Faule guerre. Ce quartier abrite également un grand nombre de
de réparations el d'enlrelien depuls la in de la cantlnas, de cafés, de snacks el d'autres petlts magasins
guerre, la s tuation n'a Iail qu'empirer
bien achalandés.
xlll,llttl ald tlaEf,outa:,
5lÿ'l0rNvl xnv:lssvHl
le0p 1L0rpu0, êurerlxê ?lsnt?^ êp ]p]Q un su€p tuos suos
lsa.l suorllês sêrtne,p no (rg eSed lll sarnssalq sal Jouâ BLLr s.lnal la 'ênbilleleâ êrurolrol?, rns os rdura rnal nprêd
-los]nod uo lrnporlu êun,p u osêq e [r\ ê rS sa]uoulre Sêp lUO SUêrprOLulêN SOt SqlOUdOrd §nê IUêÀ]êSUOI Slr,nb UêrB
]uê^nos ]uêlsod ê?sr €D?ds al^næ,p ureur ap u osêq lue^e sêuolJ sap êJJan3 e êp ug e srndêp gurnot e alueql el luop
suaâ sêl !,ro
êSeLllule,p neêlqet un êtuqe eurof ap Çlel êl sêllrurel sêp ? ]uêuuêr]]edde s eled sêl ap ê.rqLlrou puetâ un
o r€8ed €lrouJas p
'luEpuêdêl sê eDroLuLlrol sareJle sêp suEp OrOdsord luele
luê e5uêLULLror slr,s rlred êp fd xne rêpupLuop lLe.t.lnod lê sê.rtne,p to arJêurLLroJ np uo lEropql el slrep sonbrldur xnêl
luaLuêssr qelq uos Jns ardrxf,l êp uotluollE,l .le.l
lte,p lêt :lnolJns 'sountroJ snld sa sêll uJel 1ê snp sêp saureLuop ta
^o
e êlsisuol lQrglur ledDuud uos 'suorurdo sa) luarlnos uedo sêrnêulapsê êtJqesreled nprarLenb a ^tpuL : sleled npralueno
l
rs 3ur0N sa ]n suortELluojur sap roSPl.red e stQ]d stuêll 'suorllesuErl sa salnol luêl rê^rns
sêp rê^nort ]uêrEUnod êrdrxf, q s?soddo fd sap stuel xfe lqdür SêleJlneêrnq sêl lê lue^e,nb sêÇLurue rssne snld
-rqeq sêp êlsêr êl
tnol ênb sJo8uerl? sap sr^ q sr^ slueuoLl] luos êu sêqlQll sês rnê[euJ êrbrLuouo]Q ê-rluêt un êtfaLLrop
rssne tuarosglEl np sluoll sal tê auuosrêd êl êfb uêLB
lr,nb uê € suoIr'r1]sur 1ê soloDos sêr]ne,p 1êrllrur un,p lê Jn
olq ssod ofb sêlQrlslp rssne suo[esJê^uo] sêl e]odrol rnê11êS np 'êreluEE uell np Stuetuês?rdêr sêp
lrualu PLr..t êp alrollê,s uedo 'jênlle êrE]?udord uos êrLd lêAe luê elrell sê]rEuêlled sês lê êl.rêuru]ol np uorleropol
-urf,l êp pre89,l p sêLllordêr ^urH
êp ass nlq ?Jel êl 1ê o.lnp]ad uorl Pl Qo ê r^ El ap auouoro, êp êlueurnot ênlleld el sro]
etndÊr alal 'nr.l,p]nolnv a)uelsrsqJ el ap sêlsAtlte,p êJQdêl o.llne I e1o e lrêuLuol ]êQrPnb êl : lgr)]âultuo) raluenc)
un 1ê utelLlqndorlue ]uêurluês np nê llnell un aLrJr-Lrol nuuol
sêru?uQq sap ê[.]ed êrnêleLU el o.rpuoôuo
tr€t? ?JPl e souolJ sêp ê.uêf3 e luepuêd s êrJlsnpur lê xnerl rnb êrduJf, nLl,prnolne 1sê,1 sreur 'sau sn sêsnêrqLuou sêp
rau.]Luol sJêuenb sêp uoqlas]êlur,l e luêL!êleldluê uos e
salielqUdo.rd luos xnelrêururol slQrglur srê^rC srêpêêd
êler8 êrlred êpue]8 uo s.rorl.rnol SêL.lnod oLL.rLUol SJêu^no sêl
sre 1ê sap.torp 'srnêtEU plo sop q,fllsnI suorl?.1 op s)j]ed sop
)- .rnod uo llalrp?rd êp r-rêrl un êrnêLLrêp sreLr 'sroJêrlne,nb qur uE
s ndêp tnot ap trnpo.rd ê Isnpu arlrenb uos 1ê rnêleu] uoil
surour lsê lr 'êllL^ E êp alred êrnalgrx E êLlLLrol soruuol?p
-elr.rqsl êp altuêt ult arnêu.lêp euof: lêugnpul Jolueno
sap srndop o lqelo Pr]oI ap uol]ftLlsu êun lsa eurol êp olel êl
i
vNuol30 f llr:, 31
lredlol'{g | êtJJnoS ', êJreulnB
\ srnotsrnêlap u! e q,nbsnltuêruolqeqord luo.ratsêr,{ 10
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sê?turt suorlrunn 'I eq]Q]g : la]Jnotl a? od
uo!]uot9p uê lua.rnourêp êp.reM êp suoJdnos sêp êseq elrns sol
-ore sraruuos rd srnêrsnld E rgdur que tuolurtuês al tê sol d9,p
:Z anbqul IOZ stgâgp: [so]Qâgl sou.uel oluelsro)
anbrLuraql rnêlEuolop'{srsolro)'Z+ luauêssrpluê
lUeIalJedluessed uê ê.runêu.r ne lo êdLLrsnpluo rnbsuosrel
êp sê].ros sêlnol e lualuêuuosudL!ê rnêl lua op sJaru.rêp saJ
't + a§ual9p) srsollor uê eglJojual lequlol ap êJnuJe
'(s!sol.rof :llpluol ne ê9trrod : anb[u) : 9 s]gâ?p
,
snuê]qp luos ,{ rb s-rê uuosud êp ra llrur np ued el ap uorse^9,p
: sdro) p sdroJl srsouo) uè s]èlèlueâ {[]ue^rns rno]
o rletuêt êlnot luêurêlQDuol lê luêLuênb Êo oql^sd .rê8pJn otQ p
np a^Be4rul,p neau?.D jêluJap êl lue^e ?^tllpq all?
e ]lês êll^ E ap etse] fe t]oddP] rPd uosid e êp luêurêlosr,l
sed tnêd êu rasel aJqes al : Jo^rpes?p êlte alqp es ap
uoSLrd el ap xneêrnq sêls ndêp tê leu LUrêt np 91unl9s op otsod
rasel srqes np ar8roug,l rêsrndQ rnod tequrol êp stsêl
ol srndêp êluetsrp q ?dnol o-ltê tnêd ênbrleLuolne utetl êl SnoS
sap ne sêurnr sê la êllL^ el êp lnEll a êrtuê 'tuod np êlluol
op srol snuolqo Q no {,} {.} asuadopl srsolro)
{}
ne êqrnoqop rnb onbrl?u8puJ ure.I êp êuunl un.ted trê s]nêl
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-Odns xnpê^ru sas êp lueuelL]o êâessurêile,p sêurojêleld sol -Jod: t anbtlul:B slp8gp: lsop]nolsourJel alueNlol
êgSrlPUUOSJOd UOISSntJAd e êU'qerel : IuAuiâdlnbg
el^ êuuêiroe êro^ red anb alqrssolle lsa,u olnltnlls êluesodtut
(soJêqo luesr^ auol el ap s.Io^nod êp slsêl sêp gllnlu
êuêl êlll^ el atnol luo0nos rnb leuorpuolu uosuot op olqel
-Jlp op ?p L êrorlgurel ô9^no.rd? atuplslsqu : sglllBde]
np npuêdsns lsê prof êp êre tuotruQd axêldulol Led luud êl
[oleluJou el onb
ons no Nostud sdtüêlêp surou] grlroul luêuua.td êlqD êun Jêlstd Jnod
sgnpolJo êr^rns ap stsêl sol : salelt sap ta^no]lêp no
ræ, g 1uêrt sêl êr dujl,l anb êr^rns 0p lnq êl suPp sênpâJ]ê slsal xne E f] aJrlor)
sluetrqeq xne "rêlêdder rnod êll el suep s oJ.led tual rnolted ouuor^aql rnalsrd '( 4\ un lns suolllunut ap unot e-
^
s]êdoolLl-tJols sê lê 'pns np uosud el lê sau.têsel sêl êr]uê loqurol sed lnêd êu) unol q sleutea '{êllllno]q êun,p
1UêurêrQ ln8?r luoural e step os sêp strenb sêl suê,{olLt sê xud ne eulle aun rêure8uêr no Jeure8?p lnad) ureLn
Jns lto^nod uos Jêllêdsêr êr el no alllpLu uos lêSglotd lnod ua oujrv '{êlqr) allol ê]]uol lequro) op slsol sal snol
Sêlqruodsrp srnolnol lua os s]êdootluuols êp êtqLUou u el âp ëllnlglrp êp sap z êrorleure) z Qltsra^pv: slualel
rêr un,nb uue saie]]odl!r sêurêsEt op Qulêl lsê ste ed êl 'z aluellSl^
êJ1ne, êpê r^ el snossa?nls
'9 prorJ-âues't (soplnol sarulE) olue§tc'ç lsolaBgl
sêunrq sal ta'010) ur-r,p srpled np ratrEnb êL ]uêqLuold sauJe) oluetsro '! sdJol e sdto): sotuoladuro)
1
rns lê luod np pns aluLod e s ndêp luê^Q o,s tuaul
-rteq êl ap s.rnot sal sreled 3l tuêLuêr?r ê11rnb ll sête.ll
neêJnq slrlêd êp 1ê stuets ss€,p sre q ê .red 'surlsêpue l
{ tê slr qnd sloddEr sês .r qetQ e 1ê lero tuêLlrou]a^no3
ne slê.rl0p sês rêr^rl q,nbsfl auroLU luel E 'suêtploLutêN
sluelrqEq sê lê^e nad lrBelêlu uerqrl êll^ p rns ê.Id
url,l êp alo]]uo] êi luê tu EU uerqtl uo.ll3 ênbê stndêp
' elnp s eled al ]sê e.r.rof q EUOdur ro^nod np ê8QrS al
lsrslt,llul soulgo Nytvo
'rE!no 5r\flvd
t' LE EELVÉDÈRE de p ateformes d'atterrissage privées Les P.J peuvent ten-
Perché sur le rebord de la viLLe suspendue, Le Belvédère tire
ter d'en uti iser une pour accéder plus rapidemenl à la ville
son nom de sa terrasse qul surplombe la brume. Accessible et conlourner les procédures de slatlonnement habitueies,
dlrectement depuis les docks, la cantina borde Ie pont. Alors mais ils devront lournlr une bonne explication à cela.
que la plupart des établissernents de Jorra sont lréquentés Ouand Les PJ enlament leur descenle, Lisez ou paraphra-
uniquernent par des Neirno-rdiens, Le Belvédère attlre des sez ce qul suil l
voyageurs, des marchands, et meme des louristes d'alfaire
en quêLe de divertissemenl.
Le rnur du fond esl percé d'ln'rrnenses baies vilrées qul
ollrenL une vue speclacuLaire sur l'extérleur. La décora-
lion inlérieure esl constiluée de souvenirs de la Cuerre des
CLones que certains habltants de a ville trouvent de très
mauvais goût. On y trouve tout et n'importe quoi, comme
des pièces d'armure ou de droides, des armes et des objels
de propagande ayant appartenu aux deux camps.
Sur e papier, a canlina est une co'entreprise de l'Autorité
du Spatioport de Jorra et de l'investlsseur KeLo Poy. E Le est
en fail contrô ée par le Syndicat de la Balafre et sert souveft
de lieu de rendez vous à des représenlants du cartel criminel
e- a le,rs pa _ê'aires et ( ielts e'raîgê's

ARRIVÉE
Bien que la ville tout entière soit construile autour d'un
énorrne pont entre deux des immenses arches de pierre de BAIES D'ACCOSIAGE
., Cdto \e n o dia. elle es. oLress tlle quê par voiê d'r e' r '. Blen que le trafic soiL moins defse qu'à l'apogée de Jorra, la
1
Les €igaftesques cables métalliques et poutres de soutène- vil e conunue d'attirer presque constamment marchands, négo'
ment qui la maintiennenl en place ne sont pas conçus pour ciants et autres visiteurs. Cato Neirnoidia r'esl pas un monde
être traversés ; s'y risquer s'avère extremement dangereux de a Bordure exlérieure i les PJ habitués à aLler et venir en att -
et constitue donc Le passe temps favori des gangs de s!!oops rant peu d'attention rsquent den etre pour leurs frais. Si les
de La ville. Pour atteindre Jorra, les PJ doivent atterrir dans PJ ont loué un moyen de transporl, l'arrivée en ville se déroule
I'un des spatioports de la viLle. sans accroc, tant que le capilaine qul les a conduits dispose de
i' De nombreux hangars de stationnement publics et pri
vês sont construils dans les parois du pont, mais quelques
paplers en règle. La sécurité du spatioporl effecLue un exarnen
supeficiel de I idenlificaUon des PJ et s'assure de 'absence
usines et résidences, et bien str le palals ducal, sont dotées oe.o,llrpod,loê. s' ês PJ dispose r de êJ' propre ÿdscêa,.

.i,,,, ,.%
re
I !
'tlNtJ_slq .Ll llùoJ ap
-
sal 'sêure sêp rê^nort tuare^êp sêple3 sêl rs dlAl sêpeuo]6
sê 3Qà op ê]^rl np 90, oa€d 'ipDut^old êltlod êp tuê8vl ap Sêp uorldêlxê, q sêle8Qllt luêLuêrQDUol tuos sapeuar8 Sol
go.rd ol zosrlrtn Trodo leds np QtDnrqs el rêtues?ldo] lnod slrprêlurtuos ad^t lnot op s tsnl sêllê sêutqelel sol splnol
'e p.louJrêN otel rns rnot?s uos ap ênbodo, êprEM rêlselq slalolsrd so sreLu êllr^ el suep s?suolne luos slnê1.1
c -9lur sêrq lel sal tê ,rêlselq slêlolsd sêl 's]uêuifad s]nêl
êp ÿruê^nos sêp aluPssreu!ol sed e,u lt tel '?ltsoLutue ellê) -lel sêrtne,p ]a totqo,l êp êll et el êp uortruoJ uo fl1ê I ap
red plueuêtuolqp lsa nl e luenb 'uerpJeô el fd sol êrluol
Atuêur9r8e O I O) rauuels np uolldalJod el e gsoddo
?lrllsoLl,l ap lotrssne tuPIDSns 'êpJeM oltns auJuJol uêtp.lp3 salllnoSEl op lsal un rênlraJJê,p a]llautiad .tnêl ltel^êp
l
êl êglluopl un,nbtênb ênb êtqpqo]d llol tsa I 'lllqnd nêrl un tolJo
ll.\ al lêr e uosêc êp turod L Qsuêdop no sêr.Ll]p sêp
suep lnolrns 9 rtle lso uo.ltolorl,l rs TL\ np 9J6 ne ltljuof tuorELllel sLr.nb Orell?p tuêulêlqelegtd e fd sêp un, tS .taSpl
êp sturod sop.ra8lllur rnal lrop lr€Ae.Jl Jno ênb luol êu tnb qtu salqPS sêlluop saqlue^e sêLu.le sêrlne iê sêpeual8 sêl 'sJêl
nl?s êp sluo8e sêp.ranl no Jassalq steut 'êtuêlot^ pl no 'alJol se q sêl tuêLuênbttEL!olne êtlêlQp lêuuels êl 'l€.1?u?3 ul
el ap sJro^nod sêp 'a eDos êruêtQdLLrot êp slsêl sêp êutluol
'uorlualop .rnêl sQrde lrlros ua,s ro uotlentts euol lat .lnod
^o sapr.re sêp rssne sreuJ êd^l ,..0
fd xne tua.rl]o,s suorlnlos srnêrsnld uo.Dolotl,ltruenbslluol ua sêp no sêLurE sêp luêLuêledDUud 1uêLll.leLlt"rr"or;l'.T::;3:iB
allanueul
sl
tnot êJoleSoJrê]ur,p allEs oun g.nbsnf luêtrolsa sê saple8 a Inol êun tuêntrêJla sêpreâ sêl ênt qequt,p ual êJluoul
sêl leSOllr,p u xnêla8uep êp uêu e,u talqo, arb otlute^uol au uêLuexê,1 rS Lreu q ]êuuels un q aleJ8 so8e8eq slnê
sêl rnod luaLuêp del tuêssÉE,u [d sol anb sutoul V sêp.]p8 ênb tsure lnol q JnoJ luêututexê sêl suêtptoLu aN Olunlqs
sêp suoJdnos sa loltssne êllto^? lle^folop uotloloq;l el apstua8exrêC êlueqlleutel êp q tuêualdut s no êl ofl
'alltnol pl op s.lnol ne uorloloLl,lluaul rqequr êrnl e.rnêl e ênp êltQ-tnêd 'atpuolordde snld êl tnol
anbrleLuolne luê^no]] sêp]e8 sêl ênb rnod.lnlsqo Olgt np aun rnod t.relg,l q suJ utepnos tuos slt alnol pl êp otsal
ul]sêc ap lurod un rêsuêd?p ]nad fr\ al 'ês]ê^u,l v lêtqo,l êl lê^p trod np ol.lnlos el tuês.tê^e.tl fd sêl ênb sJolv
ap êu.rol el êp 1ê allre] pl êp uoster ua I I êp oluêuj?r3E Jarouâr,ltnad lr
'tuê8e, êp uolldêrJod El q ?soddo salllno8pN ap lsol un 'êpels êl q sêtno[eL! suor]EltldLUo) sêp rêlt^O êtsnl no êled
rênlrêl]ê lrop tuêrtqp êl nb rd êl raddeqlo lnod uoltol -DUud onBulu,l e luaLUêtlo]rp Jêssed êtQlqld ll,S t.lodotl
^
-oq, ]uêLuêle8o tuê^norl slr 'fdsal 1uaIno] sêple8 sêl ts Eds np qt JnlOS el sJa^ert q uruJêl]l ur tuatetj ês fd sal ênb
'(slêqle srnol fo sQllns stnêl uo ês.leq_tnoqu.lê /{,s tuepuêd allouuoitdo êJluorua.r ê1]al lêJodrolu tnêd fl,\ al
Jnod no) ul]tQd np I llos ês rnod ut^ ap slod sêp ta êllol el Êrrrrrorrao rurNof Nrùl
op sJo^nod sêp'olerJoS êluêlodulol êp stsat sop JêStltln,p rHlnol utv,l vv5
uolsErlo, tuo ld sêl 'êluêlor^ e e a? qL!ê,p sed ]uê]nolê.]
]]edop rnêl ap tueLlrou] ne no Jnolos rnal
au s r aLuurol rê6o]]ê1ut sêl rnod an^ ? êp.tE8 uê fd sêl liu êp êQ.rnp E rnod êlup p,L q JêÂed tuê nêd fd sêl neasste^ np
-êlurPL! êp lualessê slr 'êrlno uf _rêsel sê.tqes sê la ,,soppu stoqes sêl iêtQ,p tue^e so^ed êrlQ tuê^rop trb lnof]ed sttpg.tl
êrB sêl rênbsquol op luêluêt sêpre8 soL afb slpuel neas 0q êp srprjsêp opueulêp Uod al 'ê]tno uf neêsse^npuotE
-sre Jnêl c slrprê1ur srêts€lq sêl lêfoddet êp xtoLll êl luo fd -nr rteurur,lta êurelLder np êruelrl el ellrJo^ lJod np êlQrluol ê
,.)

I
VIEILLES BLESSURES
âIl de lrorver le oroc]air cr's-al kyop el de dë,oL- L esl probable que des PJ vêtus de robes s rnllalres à celles

Il v i ce qu l êsl adÿe1J de SJ -o W;rde, les P. dor\en. des Jedi, el parliclr ièrernent ceux qul portenl des sabres
explorerJorra et exhumer la vérilê sur les évènements qui aset découvrenl ce ressentlmenl assez lôt, tandis que Les plus
s'y sont produits. Pour ce falre, il faul parler aux habitants ..éfiants pourraient fe s'et rendre compte qu'au mornent où
ils col^.rnenceront à poser des questions sur Warde. Au bout
de la ville, même si certains dêtails sont contenus dâns
du comple, I animosité des habltafls dépend des activités des
des enreglstrements scellés et des archives impériales.
PJ et de eur tendance à parler ouvertement de eurs identl-
Cependant, dêcouvrir la vérité n'est pas tâche facile, car
tés ei de leurc objectlls plutôt qu'à les taire ll est presque cer
les souflrances causées par Warde conlinuent de hanter
tain que es PJ auronl réfléchi à la nécessllé de diss l^.uler leur
la ville. La plupart des habilants rechlgneft à parler de ce
sensibilté à la Force, surlout sur des planèles dotées d'une
genre de choses avec des étrangers, et d'autres pourraient présence impériale. A prior, s cacheront donc leurs sabres
même devenir méfiants. Pour obtenir leur coopération, les laser et s'abstiendronl d'ulil ser eurs capacllés de la Force en
PJ doivent gagner leur confiance ou recourir à l'lntimida publlc. Cependanl, les PJ ont pour but de sulvre la lrace d'un
lion. En fonction de leur progression, ils peuvent gérer Chevalier Jedi et d'apprendre ses secrets. Ce fa sanl, ls sLsci-
cette partje de l'aventure en inlerrogeant discrèternent la leTont sÛreaaent une certaine curios té quant aux raisons de
population. S'iLs se montrent molns prudents, ils risquent leur lntérêt. Ce serall probab ernenl e cas presque parloul,
de devoir se cacher d'une viLle entière prête à les anéan mais c'est parlicu ièremenl évident sur Jorra, où la haine des
tir à cause de leur relation ténue avec les Jedi d'autrelols. Jêot . o.< .t \d'ê ... Oe ld I or, . ô- tOU Out'Vi.
Les PJ doivent falre preuve de circonspeclion lorsqu'ils inte Dès que les PJ cornmencent à poser des questions sur
ragissent avec les lndividus soutenant Warde et 'Ordre Jedi. es Jedi ou sur Warde, lls évei Lent les soupçons des autoch
Même si ces dernlers peuvent les aidet ils onL passé des tones. Er généra , les PJ n'onl pas besoin de menlir 5ur le fait
années à nier et à cacher leurs véritables sentimefts à L'égard qu lls sont des ut lisaleurs de la Force, car le suiet est rare
de Warde et des Jedi. Aider Les PJ rlsque d'atlirer le cour- 'e ê.oq-À. V.' d .o,'d 'd popud o éo'ou/ê e'_o ê
roux de leurs compalriotes el l'altention du duc lrbian. Les PJ plus de rnéfiance el de cra nle envers ce genre de per
dolvent dêterminer si eur propre mission en vaut la peine et sonnages que les habilafts des vllles es plus dévouées à
jusqu'à quel polnt lls sont prets à protéger ceux qui rnettent l'Emp re. Par conséquent, toute question sur Warde suscl-
en danger eur propre sécurité pour leur porter secours. tera d'abord des ifterrogat ons On leur demandera ce qul
motive leur curloslté, puis on leur posera des questions plus
précises qui risquenl de les taire accuser de senslbilité à a
UTILISATEURS DE IJA Force et de soulien aux Jedi
FORCE À TORRN Les réacllors des c toyens de Jorra varienl selon qu'i s
estiment que les PJ s'inléressent slmp ernent à Warde ou
De nombreux habitants de Jorra se souviennent de la cruauté
qu'l s sont ses alliés (voire les al iés des Jedi en générall. La
de Warde et de ses mesures drastiques, et rnême lajeune €éné
maiorité des cltoyens font peu de dlslinctions entre un utili-
ration connall ces histoires terrifiantes. Lintervention d'autres
saleur de a Force et un Jed . Ces s tuat ons sont présenlées
Jedi pour libérer des prlsonniers ou empecher Warde d'agir a
dans es sectons Visiteurs indésirables et Des ennemis
été Largement oubLiée. De nombreux Neirnoidiens détestert
dans la ville (cl. page 511.
lesJedi et. dans une ceftaine mesure, lous Les utilisateurs de la
Force, qu'ils associent à Warde. Oue les PJ y soienl confrontés Pour en savolr plus sur la manière de gérer les questions
d'emb ée dépend de leur volonté à dlscuter ouveftement de sur Suljo Warde et les Jedi, reporlez vous à Ouestions et
leurs capacltés et de eurs sympathies. Esquives, page 53.

| ,esu e o.e e. Dl nn aoorô're_r od\an dge \.re Pus largemenl, deux approches s'offrenl aux PJ pour
ll s" o ., On \^d clL 1 r Cdlo \e *old a l. de\'o o I mener leur enquête à Jorra el ob)tenir la coopération des
mesurer Iimpacl de ses cholx moraux. C'est l'occason aulochtones. La première, eL la plus probable pour les PJ
pour es PJ de llrer des lecons des erreurs d'un Jedl aonsa ents des erreurs de warde. consiste à falre loul leut
accompi Pour es ndividus qui suvenl les tradlions possibe pour conlrbuer à résoudre les probèmes per
des Jed cette h stoire pourrail servir de mlse en garde.
sislants engefdrés par es acles de Warde et à apaiser
Cependant, cerla ns PJ risquent de fe pas consldérel es
!es soulfrances de la population. La deuxième est de tirer
actes de Wa _de comme des erreLrrs et de croire qu ulil -
partl de la crainte des Jedi pour forcer !es habilanls à coo-
ser la Force pour lancer des attaques prévenlives est jus
i'ê re gen oe'a'\on'.^ êr I peur. bren . r,. n e'têr d, pérer Si les personnages choislssent cette dernière voie
'
côté obscur, coflrme dars le cas de Warde Les Pl qu n en - a plus dangereuse , I est cerlaln qu ils recevTonL un
ont p.r. ron\.ipr Le r 5q,e oe \L\rê ld memo \o.e o.e grard nombre de polnts de Confllt et se rapprocheronl du
le Jedi déchu. côtê obscur. dans la foulée de Warde.
x!lqàV:' nq §Ipito.trr,
( t'- s:ll/'Jo-LNvr xnv !ssvHl
'êil^ el êp rnot ê lueLUaptdel
eJal sêure sallat op aluêsaJd el êp êlla^nou Pl 'tpof sêp Lrorlrarp êuuoq e supp spd un luoJo]s
êlerOlsr^ rnêd êun,p oQu8gidL! aoldnêd 1uêuêtloJ 'auuosrêd ê'llê) luep e uê,nb êrp?rd no elsul al llrpLll
lno!ns
uo[eJ?uJol88e êun suec lequ]or ap aJtuoluêl ê.lQrLuêld el -rêLp uê {r9 a8ed lll soJnssalq sâl rouÊlos suep tNd
sQp êrntEu rnal tuarPraL?^?J sêur]e sol'uo5e] alnot êp t3 sop un, sra sêJ!]]e rLtuês ês tuê e.r]nod fd sol raqlord
lroLu el la ar^ el êr1uê êluarQIrp el alrpJ tnêd ollaqlel lnêl dp..r uê sal tua^fad sreLu êsuodgr pl e tuêLuêtlarp fd
Suep rê^no.[a.] Sêl e Ossed sdluêt ol.ret 'louârqlêl ,( luê e.l sêl sed tuo.rêuQru au sll fd xne so ltn suo leLL|olut sêp
-Jfod alupssrnd uê sra le^aqJ sure1']êl 'Jêspl sa.rqes sop r urnol luêrer^êp êlroj e op s.t o^nod sol ]uepuedêf
rêlnLurssLp êp êlqrssod Iel e tfol lsa l,s aledDUUd alure 'tuêLUoreLduê uos e luerb êpnlrlrêl aunrne êrllo,u
t( ouJLUOl no êLuJe êlnês êurrxol rasel so.rqes sêp luêu]alq uo ll pord ta tuêLuÊs rqrd rasr plol ol op sed tourJod au
-eqoJd ]uêtrod t'd sêr 'proqe,O êlrlsou arxele8 êun q êlel allre^no.t 'luafbQsuol red lrllê[qo ]nê êluêsÊrdêr nb
ê.rnleu Jne rêlnu.rssrp ap lla€,s lt,nbsjol saltetuêLuolddns roq^l ptsr.]] al lê^e ttalp tlelLtol ap fê sed tuo,u fd
salnlujrp sap g luêlrnêu ês êluessrnd uo star e^aq] sêl sêl sêlrLur sues spd luos au sa lê sql ledel soluessrnd
aLlr^ P êp Jnêu91ur,l e sê eDos sêrtuoluê] sop ap tu0u.ro^rllall0 tuênl lsuol uo tr pq]d ]a êllrp^no.t rs
Qllnlulrp el 1uêLUêllêrntEU etatuouBne êluesstnd ua srêtle^ Z êiQts^u êl.rêoJ) I lnêd
-aql op êlUêSAld êldurs el 'uorllês allêl êp srnol np.rua^ fr\ o :lua!.rLrol êlrol êp lsêl un q êl?r3 rnlnl al r o^ no
Jns luê^nad stuaixatuolJe sap rs-fd fe saoldepe lequlol nuuor talqo un sJê^ sQprn8 o]]i) luo^nêd fd sêl rs Irol
op sê.rluoluaJ sêp lrurnol êp 9l ssel?u el alnole,s aluesslnd sardv tl^ ol lnod sonbtpurQqord Jara^e,s tirê^nêd
uê s.rorle^êLlJ sêp Jnod uortrPlndod el êp suortrEgl sap ênb
rsure rêpgloJd ap êrQrueL! lnal ap luoLl-to8rel puadop êpreM )::i:'i;j",:lrlxi'."-"-""'l:1,"1,:i.'"'J",Âl:Î;?0
op s?lr^rlle sêl rns luêlonbuê 1ê el)of luo]oldxo fd sal ênb
luepuêd lueuo^lns ]?qL!ol êp sarluoluêJ êp êJqurou êl
3)NVSSlnd N3 SUlnV tHf, IUIIS^[d l1 UlNlJ"NM^I
[t9 a8ed 'sâ lnbso lo suollsono ]l) sêltel sQrl suo leuJlolur sêp .ted ênb sêurpoue suortrsênb xne
uauJqlddns sallnlglrp sap e lua1]nêq ês op]eM ottns lueu luêpuodor êu sll gssed êl red êpreM ap tuêLuot]odLuol np
-Jêluor suorlsanb sal 1o 'eJrof êp stuel qEq sêl lê^e tuêtrErl asnPl q êrlied êpue]â uê 'srêâuerlo sêl sra^uê sluelJqLU sQrl
ld sêl anb$o I luêsslqns xnE!los stsot sal snof sêlluDlns luos erof ap suê^otr sal 'suêrploLurêN s
lne sêl ênb snld
êroruf uorlelndod el rured Snua^uorq Sa Sed luos êu [d sêl
'su osaq s.tna I lto^lnod
êp sr^er luos sluESrêrxrxol sal s
'lequo:) 'snuê^ xneê^
ne OJrougdns .rno ]uartuougp fa sêl ênb al ç,nbsnt nou xnE êple,l êp.r.rllo 1uêr^ au êuuosrêd 1ê 'spueqtr€Llr sêp
s!tolt np 'uorlrsodsrp rnêl q auJle êlonb êl]odLu,u êp êUJQLU tê SlUeSSed Sêp red SOrdO 1uêAnortêr êS ld sêl olQU
lueledu.ra,s ua jualsodL slr 'uorlelo^oJd êtpLIoLt el -e d êuêl êp soJeur8uo sed luos êu slr,nb ê]xêl9Jd ê durs
C,nb rnod êpup]8 zêsse tsê rpê[ sêl ta êp..]EM s.ra^ua êl snos uor)rdsns lê^p fd sal tualQpsuol sêuolLllolne sêl
s:luetrqeLl sêp êu eL.l r?l tuepuadêJ Td sêp suottle?l 'aQlqL!ê,c saleDraurulol suortresueJt sop ua,nb luêtstsuol
sêp puôdQp sluêLL.rêuQ^O sêp otrns pl
o l^ e rêlltnb êu srê3ue]lQ sêp lêAe suotllerêlut stnêl ap U€dnd e
ap luêuuopro rna inb selue5euêu salnol sêp onb lsutp : sauJouJ-xna rns sgLUrajuoJ tuauaâ]elluos suêtp.lou êN sal
'xno zêLlt rêpelureq ês la.rnl sua,(olD sêp luêro^ fd
sêl 'sênr sol tueluêdre ul tuêuronbrslLld lêssnodêl sêl
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spd tuoJ au lrednld e tê) at]ol pl cp stnatest tn sêp
'rpu^s np.rnalnl Pl e no sêglnoJnol salnol êp slnpsse xne
no pêf sêp êrtQ,p fd sal luêuuo)dnos sluplqeq sêl rS 'sualolr) su elrêr êp êluolrs np -rêllnaq ês tsutE luêtpunod
'ue qrl uol]: tnp stouJros np ênb fd sel suorssnlrêdor sê^erâ ap ]aulelluo ltexnod êpleM
sure 'êrleleE el êp tellpuls uos êp to]esEH u êluo,p êp sQr le sap tuos fd sêl ênb tuepuêlqd ÿnêLUnl all aluêl
uorlualle, rêrlle.p srl,rs luos Td sê s eul sêuolLllolne srxê,] uosrer êp onop ê]10 lnol êp ]uêutaSfl ê Illnlsqo
sêp Ued el ap suo leurolu sop.t uotqo.p êl lullp snld luo^nod.rnad el lê êurerl e'ol]]etpd êss nd e êl ênb êlteztq
luar^êp lrtuor!ê nos uoN êllt^ pl s.ro^ett e tuêL!êp del rssnv rpal êl Jnod luêllre^eJl slr,nb êro 'rnl ta^e lleluol ua
êSedoid ês êluês9]d Jnol op ê lê^nou e tê su oLuQl luos fd sêl ênb lê lue^L^ slnolnol lsa êpreM ênb altolt luoleJ
sêp êrQlol el lê rnêd e tuotDsrs sll llqnd uê lêsel ..rnod 'ld sal 1a uêrpreA al o.rtua uortps]a^uol êun e luêlslsse
sêrqes srnêl no êllo! el êp slo^nod s.tnol luêst tln [d sl ,s lno]]fs snpr^rpur sureuêl 'tuepuodaf ênb qdEJ8oiou
s8l rS [9q a3ed sê^rnbso lo suotlsâno lJ) a]uêls luêu.rarlsÊêruê un lnod uêtpteÊ êl (êrtLt atsnl e anbsatdl
êl suep .to.tnLU ês ap no suo le^rlouJ s_tnê rns rê30] ê.rpuerd Ie.]]nod lr S]eu uotlo or.tr un êUrtruêpr npt^tpul
rêJUrsal êp luanbst.l suê ploL!rêN so uol)eOJ uf un,nb êlqpqo.rd nêd lsê lI erprouraN otpl Jns Jnotqs uos êp
fd sol srêAuê suê proLUrôN sêp êlueu?u el la^e]88e ênbodo,l e apJpM êp êLuloluol a dol el lsê uê plEB êl
e aluepuêl e êpreM rns uortsanb alnot ênbtldulol aluapnrd êp uorlou
èS Lo P' ,lç Pi O. nO lUoJdl d.Uo.tuJ.-r è â
Ô êO S.nJlo. ll ,p çr iLrOl .ndl .Jdlo'dO fa 'o êlnol luèrLqno srêrurêp sêl rs lno!ns 'ld sêl red uortesrlln
-f ù uos ep suroLuo] êJlQ luê^nad sa.rln€,p lê^tlle,l luasslnd
êrrol el êp s.rnêlesrlln sa snês anb uêr€ uolto or.l,l tsa
3111^ Yl SNV0 Sllr{INNI Sl0 êpreM la^e [d sol ]uêuuê lorluê,nb ]uêpl^? snld al uo l al
NOdf o'IoH,1
,/ ).
COMITÉ D'ACCUEIL Si les PJ ne tentent pas d'apaiser le groupe ou d'éviter la
(RENCONTRE OPTIONNELLE violence, ils reçoivent chacun 3 points de Conflit pour avoir
cornbattu. S'ils attaqueft en premier, ils subissent 6 points
Cette rencontre peut avoir lieu à n'importe quel moment
de Conflit chacun. S'ils tuent ou blessent des citoyens pen-
une fois que les PJ ont dévoilé leur nature d'uti{isateurs de
la Force ou d'alliés de Warde. Alors qu'ils marchent dans la
dant cet affrontement, la difficulté des tests de compé
tence sociale visant à obtenir des informations sur Warde
rue ou sortent d'un bâtiment, une foule approche et leur
barre la route en brandissant des massues, des couteaux,
augmente de 1 . Cela devrait également entraîner des
conséquences narratives: il est possible que les habitants
des blaster, ou toute autre arme à portée de main. La foule
cherchent à se venger, que les Kreehawks pourpres (cf.
est constituée d'un groupe de sbires de quatre citoyens
page 571 attaquent les PJ ou que des patrouilles de stor-
Neimoldiens par PJ. Le chef de la bande commence par
mtroopers se rnettent à leur recherche, car si le duc lrbian
ordonner aux PJ de partir en les menaçant. Si ces derniers
se Soucie peu de ses sujets, il ne peut fermer les yeux sur
tentent de les contourner ou refusent d'obéir, le groupe
un bain de sang dans les rues de sa ville.
attaque. Cependant, les PJ peuvent éviter I'affrontement
en tentant d'apaiser la foule en colère ou en acceptant tout
simplement de partir. Les tests de Charme ou de Négo- crToYEN NETMOiDTEN [sErREl
ciation sont effectués en oppositjon au Sang-froid Pris individuellement, la plupart des citoyens de Cato Nei-
[ , pour un groupe de 4 sbires) de la foule. Pour simpli- n]oldia sont timorés, mais la peur est un puissant moteur.
fier, le MJ peut appliquer les résultats d'un seul test à tout Des rumeurs sur des Jedi ou des alliés de Suljo Warde
le groupe. Le MJ devrait aussi appliquer n selon les sug- peuvent surÏire à mettre le feu aux poudres-
gestions de la page 51 et d'autres circonstances. La com-
péten.e Coercition peut également convaincre la foule de
reculer, mais les menaces et intimidatlons confèrent entre
I et 3 points de Conflit en fonction de leur gravltê. Ouand
les PJ approchent, lisez ou paraphrasez ce qui suit:

Compétences (groupe uniquement) : Corps à corps


Talents : aucun
Capacités : Lunion fait la force fles groupes de sbires de
citoyens Neimoidiens disposent des compétences Sang'
froid et Calme tant qu'aucun membre du groupe n'a êté
tué ni neutralisé.)
Équipement: pistolet blaster léger (Distance
larmes légères] ; dégâts 5 ; critique 4 ;
portée moyenne ; réglage étourdis

Désorientation 2l


IT
iïqèü? no tltEf,oütft
s?hrolNvl xnv lssvHl
A
sêLro ) sêp arrênD el luppuâd êrrêu!.ro)
np uorter?pgl el êp luên ltt êrquêL! ur 1tel0 rpseH u ârr.ro lel pl^s fp lêql êl rnêLLrnt El sordp.p : e)
aro durâ L nb s8ueB sap
ê4elPB P
ap te) pu,{s a-t
d ,ao-t alava- leOO.Op |loo'lL.o , | 1,3" ,ll.elOO.O.
slar9tu sêl 1ê sâsr]da]tuê sê rns auou puê]!,s êlQrtuol Lros : erof êp art]plu alqEl ra^ ê ]sê teltpuls êl : ô
sQ:l
'a e -rns asudurê uos êssllqelg,u êr durl,l ênll tue^E e]]oI e sê êutu.I]) sê l
sê]no1 êp a ^
orluo) êl s rd t!êLLrêprder È tê sâuolf sâp êrràn, e sQrde nredde tsa ê4ele€ plâp tel puls^rlle
a:* i
'u3 qrl i l
lrp np sê.rpro sa snos sJêdoo]lLUrols sêp ôurplrder ]uês?ld q lsa ll êlsod ua ?tsôt lsa lâ ol s.rê^pe,l gltrout.lns
9il 9?9i".:",131".r/,r !1191!sll9l!!19!!9] 911:!3"!!!!lgq!l!g1g?1!or!!:ê!oL?:L!p-rT.sêeLlL,lr.Q
s?nt E sêl ta aBQ d Lr suep sêls lered?S sê]luss ut!
sâ ?rrlle e ênb qndqè El stput I Uuol ne êurâl un êrllaut nd luê prfp euot ap suo leDoSQU sa : ôô sêuol sêp
arrên5 El
atrprêtur êuoz êur,p I3e s lr srnol sou êC 'êLqetrqeLlLI
ên!ê^êp iretq allê'êrran8 e op ug pl v êQLllnot tuêL!êrnp sn d el al? e otrr el êp êrnê.rolLr art.red e : ,r.l
'uôii:nLtsuo:ai
uê s.rnolfol lsè ô : trêllnos dnornpêq e tê êtQue d el êp stuêuatuorlle sêr d sêp a.rtqgqtl ê Qtp È eroT : dt i
]Le*êlLOl P '-pDs,oL tLo. od. p dl .,-'èroD -l
êlsnl neêss e^ uos sr-rtp rnluê lsê,s eprp Sues êp Lr eq un gnbo^ord tê
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êuelp ne ?I^ luo suotleL)o8g! sêl : I
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l-.. 'uos qerl êp
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saouuo5dnos sauuosnad sêsna-tqLLtoll êp glQte e rnb apreMrelsêlOpqsnuê^luosuêÈIoTapsluettqeqsâ rlA
slP ns?r la sl0or aP su0!1d0 13lnS
vuuEr v rwEBs llNllldht0l 10 slslr sro srvrlnslu : tr-z llEvl
(9ç êBed ê$ap all!o!^ êun lll er]of I t E^r^ t rto ênbodQ. ellof P alepos olual
e êpreM lLessrPuuol Lnb uê)llec qêtL êp uou êl luêl^no)Qp -?duro) ap stsel sop slellnsgJ : !-z alqel el q sno^ zêl
fd sêt onb tuauru8rs siruotqo * * f no'ô {l f.} O tsê} rodo.r 'lsat ne sêlrssnqr sêp red sê?l?^Q] suo teul]olut sêl
np stsÏnsQ.r serlne sêp snld (sêleueLu sêp s LUO .Io^p lnod
u: Jns slrêsuol sop lnod Ordordde prê8nl fL\ol ênb uolentts
p]ppuets lruuol êp stu od op atqutou êl puardutol ê.rl]tLll o)l êp rnalelurpoLU êJtne tno:l ap snld uê 'lsêl ne I tuêtnole fd
[d lênb êlodur ,u q ] llrol êp stu od 9 ê8rllu êpreM ted êQ?tl sel s]êSuerlo,nb tuet ua srpLLr 'Ç) euue[o61 tsa a4eleg
rnêd € .rns rsu e rêsrl/\ (ld sêp rê8ue.rl?,p lnlels ne 0p tnol I el êp te)pu,{S al no sêuolJ sap êIênJ !?l lns lou8 osuê.1 ês
ê^rêsuol r,s ôLuQut)f]êp luêL!a EBq êDq?u?q tsê:l êl 'êpleM êp rnod slsêl ap ÇlntLI p el as lrtr,l nb fd nE UJuol êp stutod
r-Llou êl luauêllêr p luênbo^Q |o sêlueÂErl]ê ]uêutalq nlt ed a 1uêJ?luol sêleuêur sa êpnlqpu,p êLlrLuol steLr 'êlqls
tuos soreuauJ sêl lS sueÂo6 uollpJaoJ ap s$ot sêp
Q) sod tuêLuêlp3? tsa uorlltJao] pueqlteLuolut un tuêtlllêql
rssn9r e.rpnel Jnal 'êprEM êp êiduto) êl .tnod tuêsst8€ sl,nb
l [d sêl rs ê9r]doldds t os uo ]eDoÊeN ênb uêtq êt]adu_toJ-L
luanbrpur no suê^oll] sêl lueuuorlsonb uê luêlQ Or êl 'êltol e l0 0L!r.retlJ 1uêurêJQrln)Ued suo leLuioJut sêp Iuêlqo ?
ap srnalesrlqn sop aJlq,p squuoJdnos luos slt,s'sêleuaul xne luEsr^ êlEDos êluêladulol êp lsêl onb a]]odu.t,u C Jt.tnolêJ
1ê UOrlDlAOl E q lue.rnolêl uê luêLuêptdet snld uoq sluêLu luê^r'led [d sêl uor]pstue8]o êtrlêlrnssnld lto^ps uo.Iolno^
-êuBiosuo.r sap rêql uop lua nad êlneunLuutol e suep êO lll luêreunod slr 'er.rof rns êluan jur uos êp lnaldLue,l 1ê arlEle€
sur e êpreM anb .tnad e êp }led .to.t t ! stQld fd sêl 'uou S el êp lel pu,{S np otuêlsrxa,l sudde ]lo^e sQ..ldv sauoll sêp
ollanD e luepuêd ê lr^ el suep snuê^rns sluêuauo^Q sa Jns
srol êu eqrord e alleJ sf d tsêl ê êtpual êp uue'saJnssêlq
sê erÇuQ8 snld suolsênb sêp q lLuê:l ua,s luê^nêd slt seq
sol .r3uâ!os êp sarluoluêr sop aun,p uo ttêltp E suPp fd sêl
rê^o uê rnod -r^Jês uê,s e ?Se.lrolua tsê [A êl ' Q no 4;11u9, Uord êre] êp tuatJolla,s slt,S êpreM lrs sfld êJpuêJdde
Lra,p u!le sluelrqeq sêlto3o.r.1êlut red êlnop suEs 1uo..têluêul
êlqo uê uo tsanb ua tsêl ne tLanoqla s ,S sa e los sêluotqd -urol fd so LrSe.ro^nod rnod êlQlluol uotleuJtolut sues
Lr..tol sêlrns sgxe su our fd sêp rnod au.l?Llt alqeroB snld uatq
.ro Q^Qr as lnêd tsat (rg a3ed 'salnssolq sol louâlos
êl !) êpreM rns no sêuoll sêp ê ênC e tuepLtod tpaf sêp luêUl
?lneunLuLL]ot El êp êlueuuol el têuBEÊ q luêuuêt^red sêÊeu ê]-lodtltol êl rns suo lsênb sêp .têsod q luotaluoLl]uJol sl
-uosrad so S 'sêIolou êl]o! e êp srnêjes ltln sap luos fd sêl r-10 luauJoLLr ne eJpuêr^.rêlu uo lel0^01 êllêl 'sluêpnld sn d
.\ s nl luêrluouJ os slr,S uo llêJjp la^p êpreM êp sEd luêuuê
sntd no Jtuossrqns lê Of lf O altouuolldorxl ?t
^nos
ês êLr stuetrqpL.l sê ênb Eranb pu .lnal luotênbo^ord sll,nb
') ',y'-, Ulrp êp luos rnl rns ]êu8 êsuêt ês E tuest^ uolleDoâgN êp
tê aureq) êp slsêt sêl rpof ê red sQnbo^ord stCSOp sêp êtl 0l sourup,l a)ol el êp st o^nod sop tuaiuêIê^no luêsllltn
red auf JêredQ, tuê^ op fd sol êpreM rns sê tn tuouêlqeluo^ no rêse sêrqes sap tuêuod 'tpaf sêp oululol solllqeq luos
suo t€Llrolur sêp ênbu lEd êrQrueur êp Jtuêtqo,p uqV otQlol sl ,S êtrns El rpd Ossed lsê,s tnb ol êp êQpt êunlne luo.u
red rssne srpLu 'p.roqe,p srêSuprlQ sap êlueUgul la lnad slr 'rpêf lêsuol np êJpro Jns e]]of q npuêt tsê,s êp.leM
"red 'êpreM êp lêl]ed q luêltsqq stuettqpq saL snol ênltsêrd o[]fs ênb uêrpre8 ê lpd s?u|olut Olq luo fd so s êLuQn
'êrueuuol rnêl tuou8p8 au fd sêl ênb su orl.t V Qrbsu snd
.d dllr-.lO . o J.drê.'dp,p\ .,1( \.Oi P u.o . sJp, UJtqo s3^tnbss rr §tr*ffif.À§ffiffi&
LEs MAUVATSES QUESTTONS UTILISER LA MORALITÉ
En plus d'elre dlfFrcile, poser des questlons sur Warde se
révèle dangereux Non seulement les PJ rsquent d'atlirer
Dê'ddnl ,r ll, od,l'- oa .r ron, o' rp lô. P. pe rrc
des habilants en coère (cl. Comité d'accueil, page 52), I oblê i. ., rlor.rdtro.. . e.ecr1 rec pl .s apto.
mais le duc lrblan et Onrein Hasar fin ront sans doute par menL, plus fac lenlent et sans avoir besoin d'accomp lr
apprendre que des étrange§ se renseignenL au sujel du ledi des laches supp émefLaires s'ils rccourent à a coer-
grâce à eurs espions et lnformateurs cition ou à des menaces plulôl qu'à des fégociations
Si es PJ génèrent {È) à des tests vlsant à obtenir des infor Cecl est loul à ialt intentionnel : la vole de la cruaulé
malions sur Warde, Onrein Hasar s'inléresse à eux. (E) (E) el du nral pernret souvent d'oblcnir des résullals
signlfie que es PJ attlrent l'attentlof du dlrc lrblaf. Aucun immédlals. C'est d'a leurs ce meme cassetête qul a
d'e.. n'dgl 1_1Êddlê^ê I Lo_ re ê' pê'5onrager nat5 poussé \^/arde vers sa propre chute : respecler e pro
ils les sur.,/elllent. Le IVJ est ibre de délerminer les consé cessus égal ou é irniner somma rement loule menace
quences en se basant sur les évèfernents de la narrat on (cl. perçue. Le lvlJ peul se servir de ce dilemme poLlr éla
Le duc lrbian, page 45, et Le Syndicat de la Balafre, b ir un parallè e avec es aglssernenls de Warde une
page 57, pour queLques options). En outre, Les PJ pourraient o S qu( lr Dl a .ron' d..o .\r'_ d |r _.

rerfarquer qu'ils soft surveilés par des espions parmi La Cagner la conliance des cltoyens de Jorra requierl
popu ation ou par des racailes à a solde du syndicat beaucoup d'efforls de a part des PJ, el c est une utle
Uf V obtenu à un lest visant à oblenlr des lnformations incessanle en ra sof de la melia,rce que es hab tants
sur Warde indique que des membres du garg de swoops des éprouvent envers eux. Offrir de l'alde aux ndlvldus qui
Kreehafi,ks pourpres (cl. pages 57 58] abordent les PJ soil vous délestent et vous mèprlsenl nécessite une grande
pour connaître ieurs intentions, soit pour leur donner une cofvictlon cl une immensc verlu. I\4ême es peTson-
leçon, selon le genre de questions que les PJ auronl posées. nages dotés de lortes va eurs morales auront du mal
Ces derniers seront alors confronlés à deux groupes de à lendre a main à ceux qui a refusent. La lentation
sbires qu comprennent chacuf deux racallles chevauchant de répofdre aux plques el aux menaces par e rnême
des speeders, mais le MJ peut augmenler eur nombre si les coanportement esl lorte : ce paradoxe représenle
PJ se sont avérés dangereux. une bonne occasion d'inlerpréler son personnage el
d'aborder cerlaines des questions mora es qui sont au
CcCUT dE FoRcE ET DESIINÉE,
LES L|MITES DEs QUESTTONS
En posant des questions, les PJ peuvent obtenir des lnfor-
mations de base sur la situalion de Jorra el les évènemenls
qui ont eu ieu durant le séjour de Warde, rnas lls ne ras' oblenlr des lnformations sur Warde (c1. page 551. En plus de
lacililer ces tests, alder la popu alion de Jorra esl le princi
sembleront pas pour autant tous les renseignements dont
pa moyen d'apprendre L'ex stence de Tieka Dalken [cf. Ljne
ils ont besoin. une poignée d'individus sont au courant de
vieille dette, page 561 hormls les menaces et l'intlanidation.
tous les détais et i'emplacement des négocialions du ces
Les PJ peuvent découvrlr sof exlslence grâce à un Ô obtenu
sez-le-feu a été tenu secret pour des raisons de sécurlté.
lols d'un test de compétence soc ale après avoir elfectué au
Seuls ceux qui y ont assisté savent ce qul s est rée lement
passé et deux survivants connalssent 'endroit exacl de l'u moins une bonne action pour la vile el découvrent auto-
time batallle de Warde contre ses camarades Jedi : le vieux matiquemenl cette inforrnat on ef réussissanl un test après
capitaine stormtrooper surrommé « le Carain », et e cer d\oij a., o-p i l.ois ^ c-o (de(egê-rê
veau criminel Onrein Hasar. Pour découvrir leur identlté, les Cette section présente plusleurs façons d'ajder la com
PJ doiveft suivre une piste qu cornmence avec Tleka Da ken munautê et de gagner sa confiance, mais le M.l est libre
(cf. Une vieille dette, page 561. d'inventer d'autres scènes et rencontres à a mesure des
lntérêts el des capacltés des PJ. La manière dont ces der
SOIGNER LES BLESSURES fiers entreprennent ces lâches dépend de leurs propres
lnilialives et des besoins de la narralion. En percevanl la
parviennent à surmonler les doutes des habi-
N,4ême sl les P.l
rnéfiance de la popu alion, certalns groupes peuvent déci
tants de Jorra pour obtenir des inlorrnat ons de base sur
der de chercher des occasions de prouver leur borne
les activilés de Warde, glaner des renselgnements utiles
volor-rté. Slnon, le MJ peut se contenter d'incorporer une
nécessile de gagner la confiance de La populatlon. S'lls
ou plusleurs des siluations suivanles pendanl que es PJ
s'en tiennenl là, les PJ n'apprendront rien de bien utile. En
explorent a vi le. ll est même possible qu'un PNJ à qul les
accomplissant des tâches pour les cjtoyens et en apaisanl
PJ auraient dernandé des renseignements eur demande
les souflrances causées directemenl ou indirectemenl par
direclernenl de lui preter main-forle avant de eur lour-
Warde, les PJ peuvenl obtenir la coopération des habitants,
qul se montreront a ors p us encl ns à les aider. D'un point de
nir une réponse. Si les P.l onl l'occason d'aider la com'
munaulé en réparant les dégâts nfllgés par Warde rnais
vue mécanique, le MJ représente ce changement en retirant
décident de s'en abstenlr, le MJ doit leur iflliger entre I et
LesI des lests de compétence sociale dus au lalt que les
5 polnts de Conf it, seLon la gravité de la situation (cl. Table
P.l sont des étrangers et en réduisant a difficulté des tests
9-2 ; Pénalité de conflit communes, page 324 du Livre
vlsant à se renseigner sur Warde.
de Règles de FoRcE Er DEsrrNÉE).
Chaque fois que les PJ réussissent à résoudre un pro-
blème pour les habitants de Jorra, ou accomplissent un JUNKIES
elforl sincère ou convaincant dans ce sens (le Ny'J restant La consommatlon d'êplces est endémique parmi es survi'
seu juge en la matière), ils retirent le I imposé par leur vants de la Cuerre des Clones et la jeunesse désabusée de
slatul d'élrangers à tous les tests soclaux et rêdulsent de Jorra. Ce problème est bien trop vaste pour que les PJ
I dé la dilficulté des tests de compélence sociale visaft à puissent 'éradiquer (même si I'anéantissement du Syndicat

CHASSE AUX FANTôMEs


CIIROU'E]] U' GAPI'IEX
(' :lo?ltD nq llipf,qÈH,
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53ÿ'IQI.NVJ XnV IS5VHI
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un lsê slu uos ênb opEnsrêd lsê'êursn,p rêU^no un'uqol 19 a8ed et e arnSu JesEH u!ôruo,p tuord at lq oSPd
êp orQd êl 'ula8 (1q ê8ed l)l saJdrnod sMe!êêry sêp âue8 e q sno 'zolrodar ']e)rpu,{s ol Jns snld ..r o^es uê .rnod
np aJqurêLU nuêAêp uêrproLurêN êunêl un lsê lrMrêr) uqol oluel?dLUol op §lsol sollne,p.rol ssêlou sues'urosêq
sr{orrvr lnÈrrr sssrv nvhr luo slr tuop suo leur_rojL[ sêl sê]nol _ILr_rnol rnêl ap 1o
xna,p.lêqlorddeJ as ap xnarnaLl sro e tuoras sraru.rop
ul:).Jel nuêLu al Jnod I lluoJ êp slu od sol ôllr^ E âp stuetlqPrl sop ]]ednld e êp lrad§ê] êL
I q L Ap luasslqns s r 'anbuollênb uosre.r êun rnod rêlrod
lê êtueguol e luaurale pgurur luo]êuâeB sl 'luauuêr^
dpr sêl sed êu ap luêpDop ta slêfqo sê) luê]Qdnlo.r fd red I slr,s s eLu 'o.relle êlu LU aun sed tsa,u asr.rda.rtua
sêl rs rê^r]orlêJ sal êp r^er êr1o,p uêrptouriêN êl sed êqlêd o lêt aun 9lnPunLluol Pl Jop e.p uue o.r nIQp êl êp
-LLrê,U Plêl Sreur 'êiQDur?ug anb snld êleluêurluês 1fêleA
êrlo{nad tuorêpD?p slr 'lelrpu^s êl rns sQuSrasua.l
èun tuo (stuPpuêdqpul saurQts^s sêp uortP.rgpgJuoJ e red
a,]]o,s sQ.rdv uoltsonb el ap.rnalr fe tsê o.r8Qd Pl anb
solrnpord aJ.ranS ap suorle8rlqo uo ourluos êlsêpolu êun
ornp?p luêu.rêllar]or luêPrnod slL eJrof raluorlle
1ê'lPrq q luq ap rldL!ar arljol lrlêd un uollrPpgu un'slrd
olor.l xnor^ ap tueuêluol spedetep sJforsnld) uortsanb ua trop ênb sêLuQlqord sê ]uêr^norop ld so ênb ornsour v
stalqo sêl unJeu) slrp?rJ 009 a4lo rnêl r 'lPJef e sêrele apJ eM
sês tuêt]odder td sêt tS 'Oa)atlruJlo sa lnoâet^ ap êp ênbetlp,l êp êqdelsê] ats[e]ed9s aressiLug alfas
lsAI Un êILSSêl0u auou-rnl lrol-êrljol ne rêpollv suorlel el lsê leseH u aiuo 'adnor8 np Jêr.ll la êlulPpuol €l
-rldurol sêrlne,p no ssêrls np'prelêr np lueulerluê lêLl)O i op.t€M êp stuau]êss 3e sop otlorrp aluanb?suol el ]sê
lnol'sêurnr uê slos sêl 1ê srolnol sêl rêt^9 rnod (ll} lelrpu^s np êluessreu el sreur'lua^es êl suoS êp nêd
ua^ohl uolteulpJooJ êp no êursll?lqlv.p lsal un trêrnbêl 's.I'rêll e,o I lluor l'rp ureLUapual fP lro^nod ne Q^L]e lêu
rnb ol'êureLUop np los'snos nE,nbsnI uru]aLll un rê^erJ u-r.D la]]?l un a.rle eE Pl ap tPrlpu/Îs ne rssne sreu..r
as tua^ op t'd sê eleld rns srol êun [19 a8ed 'êJquros
êllr^ el srê^eJl v lrl luod al tuPsro^€rt uo êssPq ollr^ ?l i:i:'l 5 :iiili:""iT ilil :ï^:ilxi;iiï i Jl
êJpu olor proqe,p lnel r '.rLuo,ued rnod srnolnot luos
s r 'nl sQ]dP.p ]a oureLlop uos op^ los snos nP t.rol a.rJJol^
un suep sQ^..lasuol tuêlet? 'Iednld el rfod ar^ êuuê ruP lUUlng H 10 SlU81r,l0 S31
uos êp sJ uê^nos xnêOQ.rd snld sê le.ref êp suarq sêl
uosuonD uê r-ro êu lêpot\ uê luêurauleIua,p sn^]nod9p fd sê-l
?polord êl e arIêLUnos ês êp êrlurPAuol sê rnod sêJressalou
êJtê.p luanbsu [so]uroJ sap no) êlp los êluêl9durol êp slsêl sap
: al.roj el srê^uê êlueuQu êpuolord êun ê^nord? uorlelndod e
êp gl roleur El s êrxQLx 'uosugnD olro! El êp ro^nod êlrêsrlrln
tuoLuo p8q tuê^nad fd sol puedQJ os elle^nou pl 'tuênbosuol
]Pd stLruJ sJnêl luêlod êSeuuos.rad np sloJlê sêL anb anblpul
ssf Or O) uo^ohl aulropgl ap lsot un : sQssêLq sap rod
ntto,s q sdL!ê] np rêrlesuol luê nêd êurlêpol uê sÊuer êp
sclop t'd sèl êrQrlnSÊ] arQruPrx êp sPd surorx np 'sêressalqu
suros sêl sPd luê ro5êr êu sêr^ned snld sêl sêlDllJp sdurêl sêl
u: sênbPrprel sarpeleLx xne soluels s.rad srnêlnop sap luo^ nb
'souoJ sop o.ranD el ap sleq!.rol xne snp saursleurne]l êp
:l luo.rllnos erJofêp so39 sn d sêlsluelrqeu sêp êrqLuou pueJS un
ns rnb ê) zêserqdered no zasrl 'lp.ref
a.lluoluêJ adnoJS êl ênbsrol sllElur aroluo sêuuosrod rrr:IoJl^t totv
S]êJJA SêS SnOl rêJOdnlQr Ap UUe êSSeq êllr^ r?l êp sroSuep
sal lo^e.lq Jnod osnêSernol zêsse auuosrêd olnol Slê^ua
luesstSuuolêJ sQrl lrerês eref'stnol xnor^ sas op êqne,l v
sJnolnol luos sêlla rs 'sêr elje sês .rêJ?dnt?l op lo^essê,p
Jnad nê s.rnolnol^ e lelpt 1ê 'rol pl red tLpJotur tsê êsseq allL^
el q ]êporlv l epossod r,nb êl lnot]êuuopueqe,p tê sêuoLl
sap aJlang el luppuêd ornoLuop ouuelue uos Jêrle^o,p
0lrol 010 têlJê uo P le.r€f srnal rau.r srnol sêp s]ruê^nos sêp : lrns rnb êl zêselqde.rpd no zosr 'u[-]qS ê]luolua] adnolâ a
rêuuopuPq€ !,rp .lro^e,p :lue:llê]8êt uê leDrêLuLlrol rêrtrenb ênbsrol'atneunuJLLror el êp êurrlsa, luo]ouEeB fd sêl 'luêros
np uosrPiu ê]sêpou.r êun suep êllrure] es lê^e lr^ li ']uêsqrd salê,nb sa anb 'solulrnjlsap suroru solr^rlle sêp rêr]êxê,p
v o^rle]lnl suloLu uê q ]u leref êp uortpnlrs e êlrêLx uIrLls tuPnbu e^uol u: souolJ sêp êrar3 el êp sanbrs,{qd no
êrlred êpuer8 êun Jns ês u]urelu
uJof np uorleJapol el êp ^êp sal€tuaLu sallênbqs sêp aJolua 1uê4lnos ro alueql ap nê sed
PS rlqPl? 1nê aJrdurf, ênb sQrdV êllr^ El êp arnaLqju orI€d tuo,u nb xnol snol € puêJd uê,s rnb aârêuO,p êurêld êuuêrp
P SUPp êUreUJOp XnênldLr]OS Un lrEp?SSOd lê ALralUUIOJ np loLL.rLoN ounol êun 1sê u uqs 91nen.]r el I uorsuadord êurE1
uo ler0pol el êp.rêDUlotuel r.rq un sroJa]tne llelo e.lef oln)] -rêl êun,p 1ê luellrê lEL! snl)r un,p ê?loc êrluaprsgr rorlrEnb
snoutd suoglàr êl Suep êrQdo nb êu3o8ra^ SUes arid?,p êsnal€ep aun lSê
(rlNrsro I3 rlùoJ êp sa 3Qà ap ê]^rl np
90, ê8ed sâl!d?,p
elnp sre Pd o no saleuodirl Jaleao np lllord ê uruus opuaf êlqrssod Jnal
zas lLln)
sou.raset sê suep saiellp?Ll.t sê.1n] urnoJ sêp rê oA no uDêpglll lues eJ uê êlneunLuLlrol Pl e suorluêlut sêuuoq s.lna Ja^noJd
un Jê^o durê Jnod spuol sêrdord srnêl suEp rasrnd tuo^nêd tuo^nad slr sreLL.r êrleleE el êp
'(luê[]êpueJ8 lreiênqutuol
^
LI
,.)

bon gars qui subil slrnp emeft de mauvaises influences. ll de Tieka Dalken, une jeune Nemoidienne qui connais,
apprécierait l'alde de quiconque pourrait convalncre Tohn a[ Wa.dF pe co ne len ê.'. Wa oe 'a .d,\ee ains q-esa
de quilter le gan€. famiie a ors qu'elles élalent prises sous es tirs de l'ultime
Les PJ peuvent trouver Tohn dans les rues de Jorra, assaut répub icain contre la ville. Dalken était très jeune à
L'époque, mais cette expérience l'a profondément n'larquée-
occupé à vendre de L'épice ou à co lecter l'argent du rackel
de quelques calés, cantinas et rnagasins. Pour le convalncre Même après toul ce qui s'est passé, elle est persuadée que
Warde éta t foncièrement bon.
de quitler le gang, ll laul réussir un test de Charme ou de
Négociation Difficile Q t)), éventue Lement agrémenté Les PJ peuvent trouver Dalken dans son petit apparte-
d'un E pour a quaLité de 'argurnentation, notamment sl ment du quartler résldentiel. Bien qu'à un degré molndre
ele lnclut le nom de son père. Ben sûr, personne ne quifte que la moilié de la populat on de Jorra, Dalken se mêfie des
les Kreehawks en toute impunlté ; s les PJ persuadent Tohn étrafgers Cependanl, si les PJ onl gagné la confiance de a
de quitter le gang, is devront le prérnunir, ul el sa famile, commurauté, ou s'ils lul expllquent leur intérêt pour Warde,
contre d'éventuelles représai Les. e le leur raconte son hlslolre et leur indique le nom d'une
personne suscept ble de leur fournir des lnformations.
REÎROUVAILLES
Lorsque les P.l rencontrent Tieka Dalken, lisez ou paËphra-
Sanna Olpan n'a p us revu son fils Cren depuis que Sullo sez ce qu suit :
Warde 'a arrêté pendant la Cuerre des Clones en L'accusant
de conspiration conlre la Républlque. Sanna est percuadée
que son lis, qu n'étail guère qu'un enlanlà l'époque, n'avait
aucune inlention de ce genre, et déleste Warde. Sanna lgnore
si son fi s se trouve toujours dans la Prison du Sud (cf. page
471, dêsormais régenLée par les lorces impériales du duc
lrbian, et mêrne s'il est toujours vjvant. E e slgnale néanmoins
aux PJ qu'on peut reconnailre Cren à La cicafrice qui lul barre
e menton, séquelle d'un accident qu'll a eu dans sa jeunesse.
Les geôliers lrnpériaux n'ont iamais répondu à ses demandes
d'lnformatlon. Ny'ême si e e espère revoir son fis un jout
Sanna Olpan apprécierall d'avoir au Tnoins de ses nouveLles.
Plusieurs oplions s'offrent aux PJ pour en savolr p us sur
la situation de Cren. Ou'i soit en prison, morl, parti sur ufe
aulre planète ou devenu rnernbre du Syndicat de la Balafre
est laissé à a dlscrétion du MJ Voici que ques exernples de Mêrne sl Dalken falt de son mleux pour alder les PJ ef
la manlère dont les PJ pourraient découvrir le sort de Cren ; eur livraft toutes les inlormations donl elle dispose, ele re
cela étant, ILs risquenl d'avoir à poursuivre p usieurs pistes sa t vral.fent rien de plus sur ce qui s'esl passé. ELle n'était
avant de trouver ceLle qui es mènera à la vérité. qu'une enfanL à 'époque, el la r.ajeure partie de ce qu ele
. Plraler le système inlormatique de la prlson pour dêni- sart vjent d'aulres sources Dalken peut cependant eur lndi
cher les archives des prisor]niers requiert un test d'ln- quer les détails suivants:
formatique lntimidant Oat)-e. S'(e o.rre Warde a été impLiqué dans un afirontement qui a êclaté
g;rere (E) (ô-) (ë o. V oe se drre oe a
rl. "s o
prison identlfient Iorigine de la tentatve de piratage
pendanl des négocjalions avec des émlssaires Sépara-
tistes, et les Nelrnoïdiens l'accusent d'avoir saboté les
). el dépechent une escouade de stromtroopers (deux efforts de palx.
groupes de sblres de lrois stormtroopers chacun, plus
un sergenl sLormlrooper;cf. pages 407 408 du Livre Après l'incldenl avec a dé égation Séparal ste, Warde a
quitté Calo Neimoidia et n'est jamais revenu.
de Règles de FoRcE Er DEsnNÉE)
. Pénétrer dans la prlson requiert 'utilsation de tests de
. Warde a changé au fil de son séjour à Jorra. Tieka e
N4agoullles, de Discrét on et de Tromperie, en fonction
voyait de rnoins er rnolns souvent, et à ces rares occa
du plan d'act on des PJ. Les lests de Discrétion et de sions, il sembiait renlermé et lnquiet, et non plus aml
Tiomperie sont opposés à la Perception et au Sang- cal et optimiste.
froid de a clble. Déverrouil er les portes extérieures . La plupart des habitants de Jorra traitent Warde de cri
pour accéder à la prison ou aux cellules nécesslte un mlne et d assassin, mais Tieka pense qu'ils ont tort.
test de Magouilles lntimidant Of f) ou ." test Après avoir répondu aux questions des PJ, ou slls'inter
d'lnformatique Diffi cite Q | ). rogent sur d'autres contacts, elle Les envoie auprès de Tor
. Pour poser des questions dans la zone des docks, ll faut Haido [cf. page 60]. isez ou paraphrasez ce qui suit:
eflecluer un test de Charme ou de Magouilles Diffi-
cile Of O). Celle option n'est possible que si Cren a
été libéré de prison. {E} ou V oblenu à ces tests risquent
d'alt rer 'attentlon du Syndicat de a Balafre, surtout si le
MJ déclde que Cren s'est tourné vels le crlme.

UNE VIEILLE DETTE


En aidanl a cornrnunauté ou en recourant à des menaces
ou à 'lntimation, les P.l finlssenl par découvrir 'exlstence

cHAs5E aux FANTôMEs


cHlloxdEi lta, GÀPDtËr
!.-
xll(nnD no $llpf,ollH!,
53!"loINVi XnV 355VHl
sosnqesoc reseH e lnqu] inêL rêIed êp luêsnJar rnb sSupB lê 'lualQ.r?dnlQl e soprorp ap sopuEr-LrLlrol sêp 'êlslleledQS
sap uoLleurur lo,l no êldQ,p luerl uorsrolxa,l ouJuJol
al anbe]]e êrtuol El tuepuêd glrtnLu sdrol êi 1ê 'êOrole lê aAl
'sallau u.rir sglr^[]e,p salos salnol q ]uê]^rl as slr 'sdoo^,1s -!rq ê8Es^ np êrlred êpuerâ êun la e aluesLuo8e êquuop
s.rnêl lueLllne^êqJ ê.rle e€ Pl ap lP)pu,{s nP luassr?qo ueqe tnl êll: nêd êp lê'êpreM êp lnesse,L g tnlQ^rns reseH
sTMeqêêJy sê er]of êp s3ue8 sap ledfld €l êLlLlrol lnês !ques êp sre ed ne solqurêsse sê]eu-ro drp sal ruJ./ed
slêlroLu sro]]Pd lê sqgprsuolur sênbsrl erploLurêN oteJ rns nêJ-al-zassa:)
sêp luêuuard slr 'suêrp.LouLêN êp suonerouo8 sêluapor?]d ap srêlrpdrnod xnp uorlpdDr]]ed es lue^e êlsrleJedOS êluerl
sap « 9têqlgl » el êp 1ê êluêpnJd el g uotlleq.t uf sêuoll sêp lv,l suep sêurQts^s sroJl êp êorluê,lrêDo8ou e enq rluo) al o
arênJ el êp ureurêpuêl ne êuuêrp.1oLr-rêN alQdso,l.red sêrqns srnd êleLUoldrp Juê^êp êp 1ue^e sluoJl s.rnêrsnld.rns êUên3
sêl.rad sêsnêiqurou sal luêqlo.rdêr sl slênbxne sluêred srna êp 1.1ollê, ap anbrlsraol eL suep ..rnêteuJ alQ.r un enol ]esPH
ap êssalqreJ luesrp-ros el q luess SeoJ uortl pe.Âuo) ap l.rdso 'êrPlLltuJ uo les uPBlo aun suPp r^Jos srELlrPllre,u êllê,nb uarS
]ed luêssr8e sê.rquJêL! xnêrqLllou êO lpu?duj Bno[ ne sqs 'sêLxrxorl sêp red êcurLuop luaurê3rel uortesrue8ro êun suep
oddo no ê.r.rênE el.red sqrpld9p'stuêlor^ta s9Ïo^?r sêunol êp suortruoj sêlneq êp lrednrlo reseH 'sêuolJ sêp êJranD e
sBueB xne]quJou so LuJred tuotd!.Lrol sord.rnod s)lMEqaêr) sêl êp lnqop nv êssêunêl es or8leu-r 'êlraLULUoJ uolleJQp?l e
êp suolêlllo sê r^e.r8 luoLuêplde] lua]u rnl ô69terts el tê
Studtnod SrmvHrràv s31 uo tre lo8ou el .rnod .reseH ap al êrnleu êpnl tdel Erprpu aN
ole] Jns arQr.r.rel PS Jêtnq?p ]nod letPU êpuolu uos ellrnb
êleLr?dur rol elêp êluer8el] uorlelor^ uê'soure reseH êllnpe ê Ps êp tnq?p nv arle eB e ap lel pu^s np
sêp.Lpip sêp êpQssod reseH sêpJe8 xna]quou êp snLd u: êlutepuoJ e lê ^lêql el tsa reseH urêJuo êuuorplourêN el
'srêorlod êp no sêle^u sapueq êp ênbelle alnol ê.lluol luêLlt
-r19q êl 1uê3o1ord sêopu lq sêlJod xf3 sutelolou sêp tuo^
rnb sos leLuolne Olr.rnlos ap sêuJQts^s sac sre €d un,p ênb
rTr:iloN^s no sSNlDluo
assarêl.]ol aun,p aqloJd snld tsa rEsPH êp J o êl 'sêJtne
e.rJoI q suo IPUJ]oJur sêp rêLrelâ e luesr^ slsêl sêp q
sa êLuuJol osnonlsoleLu aluêprs?J êun.p re, l E lr.nb uêLB
sanbLqderSoloq sê3essêur sêp no sê.r erpoLuJêlur sêp er^ snuêtqo a no i-ô) êp alrns e! c êr]o-tnêd reseH êp uorluêIe,l
êQr?â tse sê]lpIe sos êp OlLroleL! el sluê8rn soLuQLqo.rd êp
rêrl]]e c sEd erêprel au 'êpreM rns suoitsanb sap luesod srê8
sel Lrô.nb srnêlrsr^ êp lr05êJ êu êllê 'Slnêll e Jed s.luellodLut uerto.p êdnorâ un.p no 'êt et suep sêSeuuosrêd êp aruêâ êl
sêL.LrQlqord sêp rnod ênb êureürop uos allnb au 1ê 'lêurLuul
ap êluêsqd el êp êlla^nou el ^ (snossêp D le)!pu^s np souÉ
êJduJê uos ê.rQB êlla 'ql êC sreled np .rêrUenb al suep Jroueu
-uo lll êp.reM oflns q ta al]ol Pl êp srnêtPsr ln xne olrod
a La,nb lQlqlur,l ap luernor ne luos reseH urê.ruo,p slueuêlnoLl
xnonlduros un alrqeq.reseH urê.ruo a lr^ el ap surol êrtenb
sêp ]uêuuar^ord lP]lpu^s np sorquJêLu sol anb srolv sêllo srê lLêsuor sê 'snuuol nêd luêlsêJ slrelQp sê s êLuot\
reseH êp êuoq pl c elgp spd tuê e19,u sêllê rs êu-loLu
êp.reM ap anbrprlel uorsD?p Pl €
lotêlueuJqp et c lEur np luêrerne soluolne sêl 'luanbQsuol sonqr.rlte aJle 1uê^nêd t.roddP.r sues tuaL!LUaredde sêurQ q
]ed sêlueaâqle,p 1ê suo lelar êp feasq] otse^ un JEd oqrla.l o]d xnaJquou op 'uorles ueSro ê11êl srê^e.rl C : êpJeM êp
'asJed?laêÿa p ruoptsê uoltpslu€âJo,l op uollrsodluol el ]uêLlrê]]odLrol np êlsel?u snld êl 1ê luet.rodLL.I snld êl lel
'ollrA el suep sarLeJl€ sordo.rd sJnêl .ror?3 rnod êt.rer ne lnqul -lnsor êl êrtq t Ernod êrJeleB el ap lel pu^s np êluatsixa,l
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'srnêllre,c 1uêLrêltêJpu su ou.r np êLlau u.Itl uorlestue6
sês ep 1a rEseH uLê.ruo,p sllêrlp sêrpro sal snos luêssrÊe
-ro.l luênbLIdur xna êrluê,p rnaLsfld Jpl 'lrq aâed saJns
xna êr1uê,p sureuêl sêllêurLLIJl suorlesrueSJo sêlrlêd 1ê -solq sol Jauâlos Qlneunuurol el JêprP rnod sloJJê
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-de, sues ê r^ uê êssed ês êu uêr rel luêLuêlfts e.lpua.rdde,l
NOIIVSINVDUO lelpu^sal 'tuêssel sl ,nbronO erof ernolQS.rnêl tuepuêd
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tesPH anb euJt]l ne êl do.ld luêLuêuuor 1êl suep ]sê,J sêl au..rouJ la iêIe) ne « Qtunlos op axel » êun no lnqul
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uo llotoJd ap no alrLod êp sOAUd luêlnl ^ua un luarpd sua^olD sap lê salrêurLlrol sêp Qlr elol lsEnb
-nld el 'arp]o lo^noN np otQue d ellunos luê8rêLuq êJrdur:,1 el allr^ el ap sêuuêlprlonb suorlerodo sê assilnol uê
ênbsrol la 'ullel op luêreJnoLLr 10 nptêd lnol luare^e slupl orQB rnb lelrpu^s al lsa,r'sreled uos êp srnol sal srndap
-rqeqsêl er.rof.rarlnlrt.red uo 'sourf.r uo tuarP]? erplouJrêN êlLr^ es êlduêluol ue qrl lnp êL anb s puel lel pu^s êl
olel êp sènpuadsns sêllr^ sal 'êrrêf8 e ap uLeuêpua nv Jnod luê lrE^Erl sir,nb aldu.rol sed auQur luêpuêr as êu
euJltl êl :lro^nod lê êssêqlu rrqnble,p lrerllêLu s.rê eêp sal ta s8ue3 ap sêrqurôru sêt 'sadderl sê]L]ad sêl
rad rfl rnb uo[do êlnês el s.]ê^ euJnot ês JeseH 'êsnêLnl 1ê anb uUe sorErpguralur.p srerq ai rEd lua^nos 'EJJof op
arqLlv suorlrqLue sês q aurêl un luêrur 'sê]nssê q saJdord sêllau u.r.» solr^rtle sêl salnot ênbse.rd alo]tuol ll erp.Loul
sês onb rsure êl.rêuJUJoJ np uorte]QpQl el ap 1o êuuêrp.loru aN otel ap tuESSrnd snld al lauLLLrJl lêtJel êl ênl lsuol
rêN êrnllnl el êp suortPtnL! sê sêuol] sêp êrênD el êp uu 'e rp-nD ê LdJ d,nè )ès èl lnol slê^?]l e tLrp.d.J.<l
el sarnssolq sos Jou8ros q êJ]ên8 el êp olsê] êi essed êllo à11èr l-L. ld sldldlLl qdi IJOO ê.,EleE P .rp lD. pL^S ê !
3uilflVg Tfl IO II':'IONAS 31
LI
t
/
et rancunlers, la piuparl des membres affichent uf mépris swooP BtKE FTARE-V MOBQUET
tota pour leur propre sécurité ainsi que celie de ceux qul
les entourent.
Le Flare-V Ny'obquet, l'un des swoops les plus rapides du
n o né. eql , onlL pour é re oi ficie à p ote.. ÉtanL oo.np
'
que sa vitesse et son manque de manlabillté en font un véhi
RACAT LLE |(REEHAWK [SElRql cule dangereux, 'utllisation du Flare V est gënéra ement
B asés,dopés à l'adrénallne, les jeunes membres des Kree limitée aux gangs et aux têtes brûlées.
hawks pourpres n'hésitent pas à se rnettre en danger pour
prouver eurs talents, ce qui en Iait des aclversalres aussi
redoutables qu'lrnprévisib es.

Type de véhicule/Modèle : swoop/Flare-V


Constructeur: l\,4obquet Swoops and Speeders
Altitude maximale : 400 mèf r-.s
Portée des senseurs : aucune
Compétences (en groupe uniquement) : Distance (armes Équipace : I pilote
légères), Pilotage (espace), Pilotage (p anétalrel, Pugilat Charge utile : 5
'Iàlents : aucun Passagers : l
Capacités : aucune Coût/rareté : 5 000 crédits/4
Équipement : pisLo el b aster Léger (Distance Iarmes légèresl ; Emplacements disponibles : I
dégals 5 ;critique 4; porlée moyenne, réglage étourdissantl, Armes : aucune
coup de-polng (Pugllat ; déeâts 3 ; critlque 4 ; portée au
contact ; Désorienlation 31, vêlernents épais (encaissemenl
+ 1), sÿvoop bike Flare-V N4obquet avec pelnture criarde UTILISER LE SYNDICAT
En plus de la rencontre Le gang passe à l'attaque ! (cl.
page 6ll, le MJ ne doit pas hésiler à impliquer le Syndi
LOR KELN
cat de la Balalre dans d'aulres événements de cet épisode
(CHEF DES KREEHAWKS) [RtvAL]
{et rneme du suivanl) dans a mesure qu'il jugera adéquate,
Lor Keln est le chef borgne et crue des Kreehawks pourpres. se on es besoins de l'histoire et les actlons des PJ. Les per
I obélt d reclement à Onreln Hasar, qu'i ne rencontre que sonnages qui discutent de Warde ouvertement ou s'ex-
rarement. Ke n prend un p aisir pervers à nfllger de a dou posent comme des utilisateurs de a Force ne tarderont pas
leur à ses ennemis et à prolonger les cornbats de rnanière à recevoir de fréquentes visiles de membres du syndlcal:
irutile, préférant huntilier ses adversaires avant de porter e d'abord des Kreehaÿvks pourpres, puls des représentants
coup de grâce. plus puissants du gang.
Lors des prernlères rencontres, 'objectif de I'organlsalion
crirnine le consiste à découvrir a mission des PJ et à savolr si
elle empiète sur les affaires du syndicat Une fois au courant
de la relation des PJ avec Warde, Hasar voudra probable
ment les rencontrer en personne. Oue ce a implique de cap-
turer es PJ ou d'organiser un rendez-vous (soi disant) paci
Compétences: Dlstance (armes égères) 2, Piotage (ptané- fique dépend du comportement des PJ jusqu'lcl et du lait
laire) 3, Puglat 2, Système D 2, Vigilance I qu'ils aiert recouru ou non à la vlo ence lace aux tenlatlves
Talents : Advers té I farnéliore I dé de difficlrlté de tous les d'intimidation et aux queslions des Kreehawks.
lests de cornbal conlre cefte cib e) Cette aventure paft du principe que les PJ découvrent de
Capacités : Repousser la llr. te (au prix d'une broutille, peut plus amples délalls sur la déchéance de Wa[de au cours des
ajouler n a!x tests de Piiotage Iplanétairel en infigeant rercontres décrltes dans Histoires de guerre [cf. page 59).
volontairement 2 poinls de stress rnécanlque à son véhiculel Cependant, les groupes qui s'intéressenl au Syndicat de la
Equipement : pistolet blaster ourd personnalisé (Distance Ba alre ou qui continuent d'aftirer son attention pourraient
I
Iarrnes égèresl ; dégâts ; critique 3 ; portée moyenne ; rencontrer Onrein Hasar plus tôt que prévu et apprendre ces
régage étourdissant), vibropoing (Pugilat ; dégâts 4 ; cri- lnformations de sa part. Pour en savoir plus sur une rencontre
lique 2;portée au coftact;Perforant 1, Sanguinaire l), avec Hasar, reportez vous à l-autre rescapée, page 66.
vêtemenls renforcés (défeitse + 1 , encalssement + ll, swoop
bike Flare-V l\y'obquet avec peinture très crlarde

CHASSEAUX FANTÔME5
CHI'OI'OJEI DI' GARI'CX
i:finnÊl nq $[Ef,qËH,
s3l^lolNvl xnvlSsvH)
'êln1q9^ un suep tua^no]l as srê u..lop sal is fd sêl rns ellr^ e ua q sed luêssreuuor au lnb
=4
Lræ, rêpJp8 .rnod uêruol êp ]uêr^næ sdooMs sêp tuPul xnal .rnod lnolrns sdurê] êp dnotneaq êrpuêtd lnêd elJof
-n€^aql sêlLreler xnêc sordo no sLArns luos sl ,nb atdLuol op sêllorassed sol to sluod sol sênr sê rêsJo^erl sreLU pêd
tuapuêr ês sêSeuuosJêd sêL sQllns êp s€l u] o ) e ê]puêr ,(.s no rêpaêds un ronol tuo^nad fd sêl êrlsnpur
ualohl a)uet!â!^ êp no Oa) atlruJlo uolldo)rod êp JêUerb np I L êurslr,l suPp ]a^no]] al ap êlDulp uêLq
lc
tsê] un rêntlêlJo lrop fd anbeql 'êursn,l êp urL!aql êl rns sed lsê,u li 'opreH êp êrualsrxê,1 êp tuPrnol ne srol êuTl Tt\
's9lr^rlle sJnalrns lodder uf êrel rnl op to fd sol êr^rns êp np aluê.rolQ.rd el uolês suo le[]JoJur sop .rêuPlB rnod êluê1
'qdujol êp s1sêl sap lur?ssrssnoJ ua no {99 a8pd !) uêIleC
saJd.rnod slMeqêê..r) sêp SueA np ?pupuJêp E êllê'ull êllal
plêrl êp sreLq êl red opreH rof êp eJuotsrxo,l orpuêrddE
v ]uêr1?p êl rnb to 1uêtll.rêqlo] sl!,nb êl lto^es lna êll: oJnl tuê^nêd fd sêl uolenlrs êllor suep srL!.ro^e, êp tnê^ uê
rluauuê uos rns suolsênb sêp luesod uê êl L^ es luotoldxê
rnl lr 'luascrd
v n^9rd lre^e, lr êllrurol aurPlrlqnd?.r êro1lr^
sra8uerlo sêp ênb êOpr,L sed êD?]dde,u arjEle€ el êp terp
-u,{S np êtupa8rJrp pl .rESPH u êruo C,nbsnl aluourê] uo l oun,p rêIlord r o^nod sues 'nl êp.raouPls p as !p P opreH
eLU.rolur êllal'slêJlsrp luêLUêu..ro.rJxê sq.lluouJ luos os s r,nb
alnej êrdord es red êruJêl êp.reM êp uo[elnd?] el srol aun
ê)ed luau]ê.rlne opD?p uê.u fr\ ol ênb surour suê^olrlv srp^ uollnq!rtuol es êp rêJl lrernod lt,nb tuold êl 1ê ênbrlq
xnêJqujou ap I êpJeM rfod lQrgtur rnol 9Lc^ tuê e fd sa fdQë el op sQlrns êl tredDrtuE rJel lêuuosrêd tQrqtur .red
anb rnod sêlueql sapuEr8 êp e lr 'êrntuê^e,l êp êpets êl V ênred apuer8 uo trel?,1 alQr êl 9noI e lr,S êlqnop luo8E ]ê
rnêleuJrolur êLuurol apreM olins rnod o lie^er] e opreH rol
srràfsroNt souvotlt^
rêrou8r sa ap no aoJtuê,lJEd .rassPd êp êrp rnêl êp'êxêld
unSrvy[uocNt,l
-rêd preâêr un rê]a[]na êp lualuêluol ês srêL^no sê 'salê,p
uorlEprLurlur, no uorlll'lpQS
aun,l .red tuaJtua slr,s srnêLJQdns sê3e10 xne ta ê?ssneLll ap
zar ne soJ El c stêpaads no salla^eu rnod êSessurêlle,p
e ê treurold p el red lros ol anb lauEd êp fNd anbeql
arlure^uol lua^lop sJê u.tap sol luêlrellnos slr,nb suolleLu
sêurJolêleld sêp lo^e'luêLuêSreLll nP sê9^rês0r sê0l1ua sap
rotur sêl r uêjqo rno.l fd sa ra^E uorterodool e1 êfbld
tue^no..rt slr 'êursn,l êp arQUre,l red rnol ê luol [d sol rs -u.rol rnb al aIEl ês ap suosrPJ saJdord sas e un)eqJ apJ€M
Jalor]e sol op Jalual slolê1n01 sues tuêLUêllêuuosrêd o.rluoluêJ tuo lnb snpr^ pu sêl rarluolual
'ÿê3uep sêp lrlrê^e sal to o^norddlrsqp lr 'aursn,l êp êuoz ei .lnod solrpu,p ê ros aun lua^rns fd sal 'uorllês allêr suec
suep lua.rlua to luarouSr,l td sêl rs Jêq)rêql sêL auua olaS
^
-3El el êp tueluêsordêr un,nb oJpuane,p ta êrtsr3êr êlrêuBrs lLelgp ua oJrolsrr.l,l luêssleuuol
êp êpueLuêp.rnêl D rnloJ n€o]fq puerâ un êrQUJap,fleJlsru auQls êllal ap suroluÇl sal slnas sreLu 'uo llnllsêp rsenb
ru.rpe oplolp un rns luêqLuol slr 'uorlnlos êrQruJaJd el .rnod aun.p ErJol rsu e ra^nes ]a sluêuelltad sleqluol sal Jal
-r^9 nd luêreJne rnb xred êp suoLleDoâ9u sal ardLuoJêluL
lUeldO S l,S tuêurêÊreul êp s)ilop sol.rPd ttos 'êQttua p êtlod
el Jed lros rêiluê luê^nêd fd sê 'opr€H rêrluoluar rnod e onquluol e êp]eM ênb tuê^PS trednld el eJJoa ap urêu
-ua,p rêurlenb al € ulfs tuo êSeuuoLdsa,p 1a uortrpgs êp
'sênb leLu]olur sluesoduor sop ]a sêplorp
a qrssod
apuour el lnol Jasnlle e aluepual es la elouered es 'xnê
op salQrd sap luêu]êlPd luud trnpord I t :c el o]tue,p êJqurou rnod rpêf arpro,l ? aluarg]o1 atrol rêl
lneLl snld ol orpuotq.s e aulsn,l ê3lqo leluozLrorl êledsê,p
ênbupr.u al 'erof
êp sê.mllnJls sêp ol roleLu el êp sel al suPp eJlê,p opllop e ê.rdurf,l anb srndêp tno!ns'êLLr^.rnal
êullto3 sal]ez q saSue sêp uoês luêssêrp as rnb saguLul suep Lpêf np sot sap êsD9rd ta aleqolS uorsr^ êun
aLll op tê xne^r] 0p ]uêss lllBL sêllêlurt9 sêp tê êourn] el
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êp : lêLlsnpur êxêldLuol êsuêLuLur un lsa t t :O êu Sn,l 1ï. Tt: ! jidH:iiidi: JJi :,::fi :?fl i : g
"'J,1":
TUU3ND 30 STUIOISIH
'l
les mernbres du gang es suivent. S'iLs sont à pied, lls les Selon e temps que le MJ souhaite consacrer à cette
surveillenl de oln avant d'accélérer pour les dépasser et scène, il peut irntter ses exlgences à un unique test de cota
rePrendre leur traque. pétence ou ne révéler qu'une seule réponse ou inlormation
par test, l'uli ilé et l'exhaustivité du renseignement étant
délecté les racailles d'une quel,
Si les PJ révèlent qu lls ont
conque raanière, ces dernières lnterrornpent eur traque et a ors basées sur le nombre de {? générés.
s'enfuient sur eurs swoops. Cependant, elles ne tardent Vous trouverez ci-dessous une iste des renseignements
pas à reprendre leur filature, à rnoins que les PJ fe leur que lbr Haido est susceplib e de lournit ainsi que des lnfor-
échappent grâce â un test de Discrétion Difficite Qf ). mations générales sur Warde qui auront peut etre échappé
Reportez-vous à la section Le gang passe à l'attaque I jusque là aux PJ i
paee 61 pour savo r ce qul se produit si es PJ mènent es
racailles à l'usine de Haido
. Haido a rencontré Warde peu après la prise de la ville
par a RépubLique et ll est devenu son informateur. ll
l'ignore, rna s sl Warde la cholsl, c'est parce qu'll avait
RENCONTRER HAIDO prédil que Haido ne le trahirait pas.
Haido se trouve généralement dans son bureau, une plèce . Haldo a aidé Warde à débusquer des espions et insur
de taille moyenne, accessible par des portiques, qui sur- gés Séparatistes pendant plusieurs mois, mais esl
plombe e sol de l'usine. À 'arrlvée des PJ, I sez ou paraphra
devenu inquiet en voyant Warde se mettre à arrêter un
sez ce qul suit: nombre croissant de citoyens sans délenir de preuve
tangible.
. Haido n'éprouvait pas de loyauté particulière envers
la Répub ique, mais mlsalt sur une défalte de l'Alllance
Séparatisle ll espérail qu'enlrer dans les bonnes grAces
d'un Jedl lui serail profitab e après La guerre.
. Au fr du lemps, ses relations avec WaTde se sont espa
cées, car le Jed s appuyail davantage sur ses propres
pouvoirs que sur les nlorrnalions de Haido pour débus
quer les ennemis.
. Peu avant le déparl de Warde pour Cato Neimoidla,
Haido a découvert un espion Séparatiste nommé Zel
N'gol, qul avait pour mission de surveillerWarde Haldo
n'a pas eu l'occasion de prévenlr Warde avant la « catas-
Tor Haldo n'apprécie pas du lout a vlsite des PJ. I a trophe ». N'got habile loujours dans la vilLe, en haut
entendu dlre qu'un groupe posajt des questions sur Warde d'un irnmeub e situé dans le quartier résldentiel.
et redoulall que les réponses ne Les mènent jusqu'à ui.
Haido sait que Warde a toujours de nornbreux ennemis en . Haido ignore ce qui s'esl exactement passé durant
vllle, notarnmenl e Syndicat de la Balafre. ll salt aussi que es pourparlers de cessez le feu. ll sa I iuste qu'i s ont
le groupe criminel s en esl pris à d'anciers compatriotes, viré au cornbat et que Warde a quifté a planète aus-
alliés et sympathlsants de Warde par le passé mals en sitôt après.
ignore la ralsof.
Craignanl d'êlre identlfié comme un ancien al iê de Warde, TOR HAIDO [RrvAL]
Haido commence par feindre d'ignorer a raison de la visit.. Tor Haido esl un Neimoldlen d'Age moyen. Doté d un phy
des PJ et d'imaginer qu ils sont là pour parer afla res. S ils sique banal et d'un caractère elfacé, il lravaile comme
'interrogenl surWarde, Haldo répond de rnanlère évaslve en superviseur d'usine, ce qui lui convient parla ter.ent Pen
prétendant qu'il fe l'a jamais renconlré. Pour ul laire avouer dant la Cuerre des Clones, Haido a brièvernent servl d'in-
son rnpllcalion avec Warde ou pour qu'il fournisse d'autres lormateur auprès de Suljo Warde et de la République, mals
ifformations utiLes, les PJ doivent réussir des tesls de com Warde devenant de plus en plus paranoiaque eL vindicatlf, il
pétence soclale s'est mis à cralndre pour sa propre sécurité. Depu s le départ
du Jedl, il s'eflorce de d ssirnuler cette relation.
lis peuvent lenter de persuader Hâido de les aider
en effectuant uf test de Charme opposé à son Calme
(Ol). Cepenoant, Haldo en veut énormément à Warde,
dont le comporlernent l'a empeché de profiter de eur rela
lion ou même de son soutien à ia Républque. Par consé-
quent, es tests de Charme subissentll Les PJ désireux
de taire les raisons de leur intérêl envers Warde peuvenl ten
ter de le baratiner pour le pousser à révé er des informations
e" el ectu.' u test de Tromperie opposé à \01 Sang- Compétences (en groupe uniquement) : Calme I,
froid (| i) Rê.oJ' d des n endc.s pl .c dgre5s vêc r,êvê N,{agouilles l,
N'lécanique 2, Négociation l, Perceptlon l,
er son lien avec Warde au Syndlcat de la Balafre ou à IEm- Sang lroid I
pire, par exernple), confère E au test. Comme d'habitude, ce Tàlents : aucun
genre de procédé lnflige I point de Conflit aux PJ, à moins Capacités : a ucune
qu'is ne livrent une bonne exp ication quaft à a manlère Équipement : b aster de poche (distance larmes légèresl ;
donl eurs actlons bénéficleront à autrui. dégats 5I critlque 4 ; portêe courte;réglage étourdissant)

+ cHAssÈ aux FANTôMEs


gIROf,dEIS DI' GAPIIIEi
ilq tl tE sltptoiËH)
5l NSTNVJ XnV fSSVHl
+ ,/,1
ag^erÊ8e lsê.s erouerPd eS rêâuê^ ês rnod êuuar^êJ êpJeM , e êssed êrJjlql al t.rneuJ lr,s I unlelp trlluol êp slurod
anb êroA'sêlueBrueLu sês êr^nolop aJrdLu:,1 enb êluetsuol a tuass qns l.d sêl 'slue lrPssp sêl rpd qssê q tuêLuê^ErB ]sê
rnêd ?l suep t^ 'ênbodA êttêl srndap luppuêdêl sollrps opreH .roj rS êl'Dure^QIO e Jêql.rnêl ênb no xna êIua,p O!lloul
-?rdêr xne pddeqlQ to8.N êllr^ el arpuêrdar rnod tuarQlnl el enb sroj oun olre]]ar uê tuêllpq SueB np sê.rquJêur sol
suelr xnêp sêl ênbsrol luerqure soeql np trueluord .rêleuSrs 'str8rop sêl êIuê
sêl nd le,u opreH ênb lue^e allr^ pl e]]rnb 1ê so] essrLu? sol sed tuêlg rnal ou fd sa ênb rêrnsse.s rnod tuêL-Lr lgq np
eurssesse apJPM sreLLr 's9lr^rlle sês lu^nol?p opreH rot nêl
rnol êl luoJ sêrtne sêl to ollê,nb tuppuêd pord g êr^ ns sêl
'al-zassêl êp s]êlrPdrnod sa lue^e eirof rns ênb lqndoÈ el
êp ta ê8ereB êl suep ê.rêt e pêid êr11êl1] êp sêdderl sê.1têd
êp alulaIQ,l r qrPlle I enqrJtuor lr 'stuepuad?pul sauJQts^s sênblênb q euuopro u a)l 'tuêu.rt9q np a^lte.rtsrururpp êrl
sap uorler?p9j eL.rnod .rnotoqes srolJed ta uoLdsa,nb luet uê -redel q,nbsnItueuuar^]pd fd sêl rS êlnorel ra]]eqrnê êp
O^olduq pre lrêr^ un luaso.rd e lsê,1 lê 'souolJ sap êron3 tuêuate pqLurl tuêluêl 3ueâ np sêrqurêLU sêl iê opleH ap
Pl êp lnqap ne JLrL! ê39,p oLULUoLI ulr cf?p l€ta loa,N ez
neêrnq np ê?lrod auua,{ouJ q luê^no]l as salrod sêl êr^rns
sêl luassrnd sdooMs so onb rnod st o]le dorl luos sro nol
T9VNNOIdSI sal !'ro Iorpuê ur e sontrs tuos tê tqdêrtuê, .rns sed tuêuuop
au rnb aursn,l êp xneêJnq sêtlne xnp,nbsnt luas?rd npr^ pur
tnl la^9]le]uot ne êrlnE lnol lè oprpH êrnpuol êp raluêl luêAnêd fd sêl
fNd no fd sêl snol q.nb rsure Jule êSeuuosJêd ne (rtN '[a]^næueLU êun,P xtrd ne
n1s3o 1a r)uol êp salâQà êp ê.1^î np 991 aaed [?q)
-uâll?pl orlplpualul ll) a êrPipuorul êL1ue,p lnqDue.l ês rq el un,nblênll rs no) êruê3 ar êp tequrol êp slsêl sroJl
la^p 193?p êp sturod ç t êSrlJurtê asoldxê rfb'OtrurxoJd sQrde alrnrlop lsê ollê sreu 'srêAerl ne sonllêlla lequrol ap
stsêt sêl snotq II osodLUr opLeH .rol ap r€oJnq np êOrlr^
e êlqeLuLue lur ap nb I un,p no êqrnolrPl êun,p tualuas
-erqluê,1 onbo^o.rd teqluor êp tsêt un € 4\ no (E) (o <q) . êeq el xnêêJtuê,pun,l onttuofdsêl ênb s ol êun sê lal
.roL! salEJer sêp luêlll sreur lêlselq slêlotsrd srna op tups
au LllPUr oun su€p -srprnotq êÊpl3qr np tuê^ros ês s r 'tnq9p nV fd sêp êOl]od
no alra^no au]elD oun suep êlqD el êp êlnql el no'(rlN êp s]oq iêlsêr êp:lue^pssê uê ê8elup^e rnêl g ol lqou Jrêl
-rsro I] rlùol êp sêÊoà êp êr^rl np laa aSed'olnqtr ta assêlr^ rnêl luês lrln sl aolrod anÊuol q 'Jnês np
op sl939o 6-9 otq€I ll) êtqr) e tuan ês aLlafbel nEarnq ne êlel'puol np.JrLlr fp luêuaôreLll op ^rêdnssêtrod sêl
rns êLluolatPld Pl ap no olla]ossed el êp ]uêurêrpuol s ndêp JêJrl g luêluêLuLuol âue8 np sêrqurêur sêl sêt qs
'lê,1 anbo^ord êluetsrp C leqLuor êp ]sêl un e ô d! . op adnoJB enbeqr C êl rele.r êun alnoJe ft\ êl oluessrnd
ê1o rd êl allalg uê ]ê uê srê le^aq] op tL8€,s lr,s no tpquJol ol rnod sonop tuêLr
êjnlrqqA np êlnor el rarJEq luêr^ rnb a8elqL!êsse,p loqoJ ê]Qrlnl]]ed luos fd sêt rS (Bç ê8ed lll Td .red sdooMs
un,p luêurêleldgp ê ênbo^o]d o8elold êp tsê] uf ? a . sap lueqrne^êtll s)MEqêa» sê lLeler xnêp ap sal qs êp
'Q) êdnor8 un ta [Bg a8€d l]) ua) rol tuos stup lEsse sal
uaÂoa uotæulproof, êp no ausll
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êrnssêl€ êun sro e l qns alll anbrlnerplL{ .rnalleduJol
un ê1nrêd rnb'(rêpêêds un,p lneq np luaurêllênluê^o)
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: sêluP^rns sêl luos suorldo
sêl sê.rpln)etrêds lê saluelexa sêuQls sap Jêluê^ur rnod
srnênofsal lê^? JoJQdool p ?Sprnoluo tso ln êl npuol rel
au u êp s.lêsnêJl op êurQL! lê sênbrlLrql slrnpord ap sa^nl
:trns nb êl zêserqdered no zêsrl 'anbplle,l êp
ep 'êâelqurêsse,p serq ap luaLuê^nou ua sluelnoJ srdel ap
'sanbr lptglu solle.rossed êp êurold tsa êursn;l tequol êp to lnq0p nV uê)leC e)êr-L ap sQJdne êursn, ap asso.rpe,l tueu
alqo ua no êls d rna ]ue^norlêr uê rLUo^red red luêssrulJ
êâetolid êp slsêl xne s?p êp sê oqLU^s sêp rêsuêdqp .rnod sQl
'rlrqrssod sêsnê]qLuou ap ê]jlo êursn,l êp luaulêuuo.ll^uê,1
sreu êu sn,l rê^no.r1 e 1uêprel sê.tQtuJêp sêl^'sêllrele.t sêp
a.rntel!l el e ]uêddeurp fd sêl rs fr\ np Qrâ nV opreH.rolr€d
sêleurou urellot ep so 8QJ orel C luesr^ aluêlOdruol êp stsot srnêrsnld p ?noql? tuo fd
xne JrQqo tuepuadêl lrop dooMs un,p êredLuê,s rnb fd tnol sêl ênb srol our ra le êllê 'uou S oprpHêptJedel êptuêel
sop xne lêqle rarluard êl sQp sdooMs slnal luasrnltop au eqnos sl ,nb uorteluroJu, nuotqo tuo slt !o êLuQu] tuauroiu
sêl rpJeJ sê ênb rêlr^O,p lê srorurop sêl ? êrp.roto] q q np.tou ne êluaL!Lr-rol ênbelle,l 'êu sn,l q tuppuar os ua SupA np
-uop uUe (aAQ d un suep tuê] lle sêl no 'êldurêxa Jed 'slêlqo sêrqlLraLu sê .lo^tnbso q luêssrssnor êu fd sêl ênb suLoLu v
sêp luêllêl Jnêl srêrurêp sal rsl [d sap suor])e xne êllêJrp
leq e] q fd sêl.r0s
uorllegr ua,nb êllUJ p urerêl êl rnod êâetolld ap stsot sop
sPd q lrelsrsuol sês nllêr suorleuuoJUr sal Jruê]qo,p uo^oLrl
tuêntlêJlê,u fNd sêl anb rapDop tr]êd lr 'êtrEqnos êl fL\ êl sn d êl ênb Q[]rtsê tueÂe 'ulê) -rol 'lêql Jfêl ê)uêrled
rS sêurLlleLU sap sluaurê^no!-r sêl "red s?snet so] eluaLuQld lrnol
fp.rêd êt sêllrelpr sal sreLr 'fd sal .rauuordsa,p quuopJo
dfs slo8uep sêp uosrer uê I I êp s?tuêLu?]ôe 'rlNrrsro ^:luo
luêL!alnês lrP^e .lna JeseH u êruo êursn,l e lleluol rnê
rr rlÈoJ êp o 3Qè êp ar^rl np gra ê8ed lulOp êLULLrol 'êl rU
-l p ureJêt ne snp {arpt?ueld) o8etold op slsat sêp tJarnbol lê fd sa rêrntder êp uo[uêtu],1 supp ]ênbe e g ]uêtAld
de,s tê luê^Lre âueâ np sêrquralu sêInp.p sQrdp nod
aulsn,l êp rna1r0lur.l P rêlo^ sêlroJ suorlesuês êp ossêLuold
allol q .rêlsrsa.r c lelr np luo.rfe s)lMeqêê.r) sêl tê Jêlune] sl.roluêr sop tuapuêl]e la lêLlr rnêl luêlleluol sêl re)e.l
,{,s trprêso êze)irure) un lnêS sallalassed sêl tê sêu tlteu sêl '(6q a8ed sloJf,slpur spreSâU ll) êursn,l p,nbsnl o.]^rns
sêl arlua lêt^næueLU luêssrnd sdooMs sê ênb rnod êled sol q ssn?r tuo sa..rdrnod slMeqêêry sêl rS rn rns uortuêl
so,p fêd ênb êSeuQLU êu êLLê asuêLuLUr êr1O neêq e êursn,l 'te,l tuar]]e fd sal anb êrpuLe.D êp uosrer lie^e opreH JoI
l9t.l:to^ trnvH i enbvrrv,l v Sssvd DNvg 31
i::

au fil des années, el il a pris des mesuTes de p us en plus Mécanique de N'eot (oOIO Étant donné que Le com-
drastiques pour se protéger de ses ennernls polentle s et p exe est faiblement écLairé, Les I I
lests subissent à rnolns
lpour i instanl) irnaginaires. qLre les personnages ne disposenl de sources de lum ère ou

N'eot habite un immeub e délabré et abandorné dafs e de rnalérie pour leur permettre de détecter les plèges. Sl e
PJ éclalranl La voie échoue à délecter le déclencheur d'un
quartier rêsidentiel. Au fil du temps, il a prls possession des
p ège, celui ci s'active. Une lois que les membres du groupe
étages supêrieurs en les forlifiant sans cesse coftle toute
ont ident fiê un piège, I s peuvent l éviter en réussissant un
lntrusion. Chaque nult, !l dorl dans un apparlemenl différent
et a passé les derrières années à sécuriser e haut du bAt-
test de Coordination Difficile (f i ) ou le neutraliser
grâce à un test de Mécanique opposé à La compélence
ment au moyen de divers systèmes de sécur té et de pièges.
Mécanique de N'Cot (oOI.).
Lorsque es PJ arrivent devant l'édifice, lisez ou paraphra-
Er plus d'alerter N got sur a présence des PJ, déclencher
sez ce qui suit l
ji ur senseur risque d'activer un ou plus eurs des p èges sul-
vanls, sé ectjonnés par e NIJ :

Cartouche de gaz : le déc encheur active une carlouclre


de gaz asphyxlant. Tous les personnages à courle porlêe du
piège effectuent un test de Résistance Difficile Oa).
En cas d'échec, e PJ subit 3 poinls de stress plus pointI
par (ë) . Un V obtenu au lest signlfie que e personnage est
immobilisé pendant I round.
Charge étourdissante : e déclencheur est fixé à une
FUMÉE, MIROIRS ET PIÈ6E5 charge neutralisante, par exemple ufe grenade étourdls
Avant de pouvoir aflronter N'gol et de découvrir ce qu'il sanLe. Le personnage qui actlve ce plège el Lous ceux qul
sait, es PJ doivenl se faufiler dans 'lrl,lmeuble et survivre se tTouveft au coftact dolvenl elfecluer un test de Coordi-
aux nornbreux pièges qu' I contient. Se on la préférence du nation Moyen O|) poul" protéger eurs yeux ou plonger
MJ et Ienvle des joueurs, cette partie de I'aventure peut se à Iabri. En cas d'échec, le PJ sublt B points de stress p us I
conclure en un test de compétence olr deux, ou remplir la point par (E) el demeure désorlenlé perdant trois roltnds.
majeure partle d'une session. U- I obrp rd'ê es,'g'r'eq.' pêroLon ds.a' epen
dant 3 rounds [ou p]us longternps, au gré du MJl.
Corame de nornbreux bâliments à Jorra, L'lmrneuble est
accessibie par le rez de chaussée ou l'une des rorabreuses Charge explosive: la plupart des pièges de N'got ne sont
passerel es et rues qui surplombent et relient Les éd!fices de pas morte s, rnals certains peuvent l'être. Le MJ peut placer
une charge explosive sur e chemin des PJ pour eur corser la
a vllle. En empruntant uir passage surélevé, les PJ peuvent
pénélrer au 40" ou au 50. et dernier étage. N'got a sécurisé tache et compl quer leutS déclsions quant au comportement
à adopter lace au NeimoTdien. Tout personnage qul échoue
tous les étages à partir du 42", mais les PJ risquenl de ne pas
à un lest de Vigilance ou de Perception pour délecter le
s'en rendre comple el de passer du temps à errer à travers
piège subit 10 points de dégâts, plus 1 po nt par (-ô) , et V
ce dédale fantomatique.
inflige une blessure crtlque. Ces dégats sont cornme d'ha
S'lls passenl par un étage inlérieur, le MJ doit consacrer bilude réduils par l'encaisseraenl. En plus de blesser es PJ,
du teraps à créer une ambiance au cours de leur exp o- une charge explosive pourrail causer des dommages supplé-
ration de immeuble apparemment abandonné el fa re mentaires au bAtimenl el provoquer l'elfondremenl de cou-
r.onter la tension avant qu'ls re tornbenl sur le premier Loi15 entiers ou rendre es passerel es voisines instab es.
plège. Le bâtiment est désert à I except on de N'gol el de
que ques ve.mlnes. Horrnis le son de leurs propres mou ATTRAPER N'GOT
veTnenls, es PJ n'entendenl que le ruissellement de la
pluie, parfois interrompu par le vrombissernent d'un spee' I est possible que des P.l très rusés et dlscrets afteignent
der au dehors. N'got sans se faire repérer, rnals i est plus probable qu'ils
déclenchert l'un de ses systèmes de sécurilé ou de ses
Le nombre de pièges et de mesures de sécurité dofl pièges, ce qui l'avertira et lui donnera ie lemps de lui.
do venl Lriompher les PJ est laissé à la discrétion du PJ, Cependant, meme sl N'got détecte rapidemenl Les PJ, le
loul comme l'ordre dans lequel iLs apparaissent. Cette Neimoidien est vieux et lent, et do I se rnélier de ses propres
seclion ef présente quelques uns, mals le N,{J est encou p èges. Par conséquent, les PJ devraient avoir le temps de le
ragé à en invenler d'aulres pour barrer la route aux P.l rattraper. S'Ls esquivent toutes les ernbtches, is finissenl
avant qu ls n'alteignent enfin N'got. l\,4ême si certains par e trouver dans l'un de ses apparlernents, occupé à bri
étages sont plus sécurlsés que d'autres, les pièges sonl co er L'un de ses appareils. S'il est au couraft de leur pré-
disséminés à travers tout l'irnrieuble. P us ils sont dan sence, I lenle de lulr, probablement jusqu'à une passerele
gereux, plus les décislons des PJ seront dilficiles une lois élevée sltuée au 40'élage ou sur le tolt.
conlrontés au vieil lnfirrne.
Si N'gol quilte rarement son domiclle, i surveille cepen-
Le bâtiment est truffé de syslèn]es de sécurité conçus danl les transmissions ocales et pourrait êlre au courant de
pour signa er toule intrusion et pour déc encher une sérle la présence des PJ sl ces derniers se sonl fait remarquer.
de pièges censês les neutraliser ou es retarder, dont une Dans tous les cas, ll s il^.agine le p re en les voyant ou en
large garnrne de scanners, de fils de détente inlrarouges, de détectanl leur présence dans 'lrarneulrle, persuadé qu il
plaques de pression, etc. Lorsque es PJ s'approchent d'un s'agit d'agents mpéraux ou d'a liés de Warde bier décjdés
déclenchelrr, e l\,4J doil demander un test de Perception à de le lraduire en juslice. ll tenle immédiater.ent de s'en
(si es personnages recherchent aclivernent un plège) ou de fuir ou contlnue de fuir lout en dégalnant sor-r pisto el de
Vigilance (s'lls n'ont pas conscience du danger) opposé à la poche et en tirant quelques salves pour ralentir les PJ.

CHASSE AUX FANTÔMES


CHEOM'EI U' qAPDIEX
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QrlrL!|U r Allê1 sêlsrleredês sêp ued el op osnl aun uou 1ê olQl
êun gsner e rnb ar 'to8,N oqles al ênb Juplne su ouJ urs t elo srapedrnod êp otofbal el olupsstpuuol ps v .
np 'lres êu ouuosrêd sreuJ 'opreM alsêlQp.reseH urê.ruo . 1UêLuOlUOrlle UO Q.r9u?3qp
le^ol Otse] treJos rnl t L9-Hf ênb e uêrlêrluê,1 1ê gssed puJ lsa,s asoql anbanb sreur'nêJ
tuauJrglP slnaLunJ sop 'luepuêdaf rnl êp sguJnotgp êl zassêl êp srêuedrnod sap lnod als[e]ed?s uorleâ
luêruêleâo luos ês êllr^ e suep soseq ênbrlqndqà El a 0p êun orluoluêr luo rpof soltfe sal tê apteM oltns .
ap sluê8e sêl ]a sêuolr êp sgtrun sêl rnên8r^ ap 9lq
-nopê.r e Lpêf êl §rê^uê sluEtrqPq sep aureq Pl êplPM lêernc
êp uortuedsrp El to suorleDoâQu sap ê.l]ses?p aL sQ.ldv
lê llot\ oppe, 'rpêf sêpe-reLuEl sos ap t0 êp]EM
. êp
^ll sa ler ]uêLrLuelou 'ejrof e ênbrlqnd?È el êp sqtr^
: sagudordde seluot?drlrol ap stsêt sanblanb ssnqr no rtle sal lê lrê^rns êp oSre!lr tr€t? toa,N 'uordsê uêDuv .
êrueuuol aurPlrol oun Qlnelsur luê e slr,nb uoütpuo) e sê]lel : slue^rns sluêuJ
-uêLUQlddns suorlpuJrolur sap Jurnol Jnol tnêd uordso uêI]ue.
êu8rêsuêr sê iaJ^r tnad lo3,N lêZ lêrodool êp nlure^uol
'tLt H-L op no rese! ap sodoJd q
to8.N luaâor]ê]ur fd sol s tuo, no o?ueuuol es ou3e3 luo fd sal ênb soj aun
arlPlPE el êp telrpu^s np leql el lsê êl ê.rb ]uê^es suêâ
êp nod steul 'êJelllos sreul 'êluelr.rq sorEllp,p aL!L1rêJ fr\ np uorlorls p el q
êurl êJlo rnod anuuol lnolJns lsa êllê 'rnq,prnolnv sê]s11
'ê?udordde êluêtqduJol êrtne aun e no (i
O) plo.rt-âues
uos q sQsoddo ê.llo luêrer^êp suorleuJoJUr sep JaJ^ll êp
eredOs sêl lê^e uoltPll durl uos p olelS t es êl toA,N
'nêl êl-zassêr êp sJalredrnod sal rnod uoqeSqlQp p êp 1o3,N aJlur€^uol q luesr^ xnelos slsêl sal llluol ap
slulod a saleuêuJ xne no uo tep ur luL, c rrno)a.r 1ê I uuoJ
ê.rquJaur to stu€puodQpu soruQls^s sop uollprapQluof
êp lu od L êâiUur lauuoÿad lorQlur rnd red r luêLu 's.rnol
el red a?^oldLuo êleu]oldrp aun lplê JeseH ulê.ruO o
not êrxrxol sêlQuuorl luelsêr ua lnol êJlure^uor al êp
uerqrl lnp np olt^las sêlqpdel ajt? tLrêre.r^êp s r '[].roLu luêu.rêlqeqo.rd tuêro.D al
ne $êdoorlurrols ap ourelrdel srPLulosgp ]sê ll sê?uuP têl êprpM Qrtuoluar s eLue[ ]uo.u fd sêi ênb ol]ed tupp
srnêrsnld E I lr eJ]of q QtloJle?r aIQ,p lue^E a.uên8 el -uêdêJ êprEM lo^E fd sop uortelal el q tuert ueld êl otuês
i êp ug el q,nbsnlerof.rns uo llel uê olsêr ]sê | apreM -Ord ênb lranlQ lEdDUUd suolteu.rolul sês Ja8€lred ap
êl
oltns lêAe uo[eJoqello] ê1ror1o uê lrel re^erl 1ê sêuoll êtdallE lr 'sonbsu salJalLurLlr€r.rnod êp e uos enb no leu
êp 91run aun lrepueuuol ttt-Hl 'ênbod? êual v . np êrEJ rnl ap uorluatur.l sed tuo,u slr,nb luêpensJad al fd
sêl rs êrlPleB €l êp lerLpu.{s np no êpJeM êp 'aJdi!r:,1 op
1 JeseH ulêruo 1ê t Lt-H1 : e.lJoT
sallresqrdar sêp lu erl lr tuel sêulueu êp ê.red a]]ne aun
q srnolnol luêlrqe! 'erptoLuraN olel rns êpreM êp
]sêrêlred ?rêuêrup,l to3,N Qdp]llp.r tuo fd sal anbsroJoun
sêJnêLl sê.rQruJêp sêp 1ê srêuedrnod sêp suLolugl xnac .
'ê ll ê
uJ ol r_Ll
rrvs 1r,nè 3f
np uorleropol el êp urês ne sJnêucdns sês êp tred el êp lo^nes êl luêuuêr^
tleluol ap n5êr sn d E,u 1o3,N 'aqdortsPtEl êUat sQrdv . fd sêl anb êl C,nbsnl rêuuodure.D as lnad sreur !ê^êlar
'êpreM êp êlnel Pl red qlPllq ês Jnod olqlEl dort lsê ll rêder]]el os tnod LrêrprourêN
xnê êl 'alrellnos êl l,\ ol LS .rotnLlt tê alq lrnbo,l alplod
e 1uêurêluor]le,l ênb ê?pensrad lso eJlof op uortelfdod ^ luasL^ êl nb fd sop sofbeltp sap aun.l q ro 1oâ.N
Iel ln
e êlnot ênbsêrd Erprou]oaN otpJ ?lt nb e ltonb sQJde
'lequol nE nlq^rns P ap]eM lnas 'rpêf s o.rl sêl .rns êp]eqLrol êp stsêt sap uf,l q nualqo 4\lnol'Jêqulol êp
. onbsu raru.rêp ol .lênbrupd tuoJ êl no lo3,N luênbelle
fd sêl rs êrnld pl ap osrel e sluess 3 1ê lelo ste^neu
ua luos sluêLr.rê1.r?dde sol lue aJ sluod sêl uetl un,p
sê leleJ ep êluour uorsuol Pl ail êun no 1uêujlBq un têu3e3 rnod
ênbPllE oun no 'srcdoorlur-rols sêp red fd sêp Lrorl luod un êsio^eJt lr,nb sJole lo3,N
luêituoruar fd sêl rS
-etsêre êun 'êu PlrdEt ol lê^e u lsopuell sno^-7êp
gudorddE atuêtodLL.to) êp 1sa1 lênb ouodLul,u luenl
ual un "reseH rêrluoluêr q êlerprol Lro lelr^u 0uI
: sêLurol srnêrsn d rlQ^ar lnad uo l sodord êltêl 'fd lêllê uê Jê ied rnê êp 1o.rêluouêJ êp lo3,N êrlure^uol luê nêd
sap lucuêlrodLUol al lê uorlgnlrs el Lrolês xna lê^e ld sal arlno uf rêssalq êl sups tês ellnau el êp lê lout]esop êi
slro^ zopuêJ un êsrlreÊro TNd sêl êp Lrn.l ênb al.ros ua ap êl0el erês r 'uorproLuroN np JnênÊr^ êp nêd êl 1ê rnêtuêl el
êrel lnêd n^ luênt êl slr,s 0L tê êp slutod g luot^êlêr slt 1êslell
trluol
fn ol lr qnd uc opJeM êp ruou êl Quuo l -nau êl êp uue 103,N tuêuro eJB
uaur.lc luêurêtrê^no êrQdo luo fd sal rs uoster êltol luêssalq s t,s snld êc lruuol êp
sfld q 'uourS toâ,N êp luêurêtredde,l suep .rnateu slu od I luor^êlêl s| 'alualol^ el e aOlqua,p luêtnotêt Sll,S 'ÿnol
rp-ro un no pedElEp un suep suo leurtolur sêl êrnllu
-nol auuro] tLuuol ap sturod sêp erêÊrllur rnêl Bues ap ureq
e ols suol uo lflos êul êrlne êuf,p no alQrueuJ êun,p
un,nb ld sêl rUê^E trop fn êl sluoutês êp sdnot sêp atn no
xno lo^e lleluot uê luêrluê slr,nb no opreM lêAe leLu ês r,nb
to olr8erl tsa rêrurêp êr ênb tuêpr^p tsê lr 'urol ap
sOnbrldur qlQ luo respH u êJuO tê (tt9H1) ra)llel oujol ^êluêDsuol lua!]allel.tEd ro^e ua lê 'lo8,N rênl no rês
'.i ou elrdel êl tuêuLuol tuêuuê.rdde fd sê ênb ênÊU1 sêlq c lel! unlne.ito e luêrer^êp êu srêrurêp sêJ fd sêl luol
,) u , lnod lup]todLUr lsê r '1oÊ,N p rê^ure l E^ap lfêLl aLuJdxê,nb suorluê]ur Sêp uotpuol uê Slellnsot sêl lê|eu êp
leu un rs }uêql]oLll s r,nb cl ra^norl e eu êp snld aluêluol ês l,s no teqLUol êpslsê]sêp êpueLuêp lr,s.rêp lop lrop
uêrq luorne sl rêl..rEd rnl êp tue^e tuanl êL no uêlpl.oLu fr\ êL 'êluê ol^ el red ronbr doJ êp luêpDop Td sal rs sslqD srna
lêN al luêssêlq fd sal rs'êleloLu uorlelr dur êtnol êp ]uêler loÊ,N êp ÿrt sroru]êrd sêl ênb Jênb ldxê tLer^êp ft\ êl 'ê^r1
LdLLLUapUdd.rpLl ', .LOrtÔL rOl-r süp .rJd tqo .noo ai eûur,p lê[ un ]ênpêlJo,p ta lequrol ap sêl3Qr sê iêsrlqn,p ênb
lrL.ê) .r8.Ndpe ,rdqJr D p. Jedl.O ^d.dl Ù tol]ld fd sêlrnod êlLnu oJro aLL.Iu u.t aleuêL! êun,nb aluêsoJdêr
êu |'xnêh lsê [,nb ]upualureut lê lautan8 un sed lte]o,u 10Ë,N
'assêunêf es suep eLuQn oru.]ol ênp 1ê êuuoq uê tequror un C
"'uIthtSud Nt ulutl nêrl Jauuop inod anSuol sed §ê,u 103,N lê^e êtluotuar el
.
zEL N',GOT [RtvAL] Le I\'lJ doit resler ouvert à toute suggestion des PJ, mais si
ZeL N'got a serv d espion pour la Confédéralion des Systèmes ces derniers altirent l'allenlion sur eux ou iont part de leur
lndepeloa-rdurar IdCuêrreoesCor e,. ÀorÀsc,t es agê intérêt pour Warde, une so ution consiste à envoyer Th 3l 3
et usé par I'angoisse perr.anente dans laque le il vit depu s à leur recherche. Cependant, qu'il les traque par souci de
es aider ou sur ordre du duc lrblan est une autre affalre. Si
cetle époque. l\,4êrne s'il conserve un esprit vlf, N'got est fra
es PJ sont incapables d'élaborer un plan pour rencontrer le
g lê I
o .. po t de p,'l\,s o .e tên à surv' ,e. ma s éprouvÊ ll
capitaine slorn'ttrooper ou si leur proiet échoue, le MJ peut
prolond ressentiment à l'égard de la victoire de la Républlque
laire en sorte que le Camin conlacle discrèternenL Les PJ ou,
dans la Cuerre des C ones et du contrôle de l'Empire sur Cato
Neimordia, qu'il atlribue en grande patie à Suljo Warde.
si a siluation dégénère, qu'il les rencontre dans leur cellule
de détention. Ouand les PJ rencontrent le Camlr. lisez oLl
paraphrasez ce qui suit:

Compétences l,
: Ca me 1, Discrétion Dlstance {armes
légèresl I, lntormatique 2, MagouiLles l, Mécanique 2, Per
ception 1, Sang froid I
Talents : aucun
Capacités : aucun
Équipement : pislolet blaster de poche (Distance [arrnes
égèresl ;dégâts 5 ;critique 4 tportée courte;réglage RENCONTRER TH.313
étourdissant), 2 grenades élourdissantes [distance [arrnes
Le déroulemenl d'une rencontre avec TH 513 dêpend ar-
légèresl ;dégâts B;crilique ;portée courle; Dégats étour
gernent des circonstances qui y onl mené. Si les PJ se sont
dlssants, Désorjentalion 3, l\,4unitions imltées 1, Souffle 8)
relrouvés aux prises avec le duc sans que leurs véritab es
motivalions n'aient été percées à jour, TH 313 risque es
LE SOLDAT lrailer comme n'importe quel cr rninel ou autre racaille. En
revanche, s il esl au couranl de leur relation avec Warde, il
TH 313 a beau êlre p usblenvei Lanlqu'OnreinHarsarenvers pourrait se montrer p us bienvelllant et meme les aider au
Suljo Warde et la quCle des PJ, il n'est pas lacile à aborder. m eux de ses moyens sans s'exposer à des représail es de
TH-315, surnommé « le Camin , par ses car.arades et les a part de SeS SUpérieurS. I pourra t, pa. exemp e, leurper
Jedi qul es cornn'randaient, fait partie des quelques clones rnellre de s'échapper de détenllof, dorner de fausses lnfor
encore employés par le corps des stormtroopers impér aux. rnalions aux slormtroopers sous son commandement pour
D'aiLleurs, son statut de conrnandant est une rarelé. car a év ter qu'i s alfrontent les PJ, ou simplement leur raconter
plupart des soldals clones onl été mis à la retraite à la fin les dernlères heures de Warde sur Cato Neiûtoldia.
de la guerre, à L'exceplion de ceûains lnstructeurc. Le duc
TH-31 3 élait présent quand Warde a assass né les érnissaires
lrblan et d'autres dlgnitaires de Calo Neimoidia connaissent
Séparatlstes el cornbaltu ses camarades Jedi, si bien qu i peut
sa valeu( ce qui l'a aidé à conserver sa position. IValgré son
livrer un compte rendu détailé et oblectil de ces évènements.
vleillissement prématuré et ies douleurs phys ques qui 'ac,
Ses exp icalrofs comprennent les informations sulvartes :
compagnent, l'esprit de TH 3l a est auss affuté que jamais.
En tanf que capitaine, il ne répond de ses actes que devant Warde était appréclé par es soldats sous son comman-
le duc lrbian. Pour autant, il fe peut pas lalre ce qu'il veut, dement, rnals lL esl devenu de pus en plus tendu el
loin de là. Les actes de TH 313 sont épiés par e duc et par lunatlque au cours de son séjour sur Cato Ne modia
ses propres subordonnés, et alder les PJ pourrait Iui cotter C era - -n arl , ê et .,1 ,tratège td pn .e . md c pa'
blen plus que son commandement. exceplionnel, et iL était lrès affecté par les pertes qu'i
subissa t.
Après avoir appris l'existence de TH 31 3 grâce à Zel N'got,
il ne sera pas facile pour es PJ de le rencontrer, que ce soit Warde a trahi ses camarades Jedi ors des pourparlers
de manière lormelle ou " inopinée,. ll est probable qu'un de cessez-le"feu quj se déroulèrent au palals de Sankat
entretien avec un stormtrooper susc te quelques appréhen situé dans La zone inférieure de Jorra.
sions, même s'il détient des informations dont es person Warde a prédit que les pourparlers de cessez le feu
nages ont besoin. lls pourraient même le traiter comme un étaient Lrne mascarade et que les Séparatistes Lance
ennerni el projeter de e capturer pour l lnlerroger. Taient un assaut une fois que les forces républlcalnes
Le déroulemenl de cette rencontre dépend largemenl de de Calo Nelmoida auraient balssé leur garde. ll a tefté
la manière dont se sont comportés les PJ jusqu'lcl. S'l s ont d avertlr les autres Jedi, mals ils ont insisté pour pour
été repérés par es scanners du duc lrbian, ils pourraient se suivre les négocialions.
retrouver aux prises avec ses troupes, et peul etre rencon- Après l'arrivée de la dé égallon Séparatiste, Warde a
trerTH 3l3 au cours d un combat ou luste après. dttdq re ê_ Lë o rs ses n elbr^. (à a ,o r
"icsa ce
Sl prennenl l'initiative, ils peuvenl se rendre, déguisés
Les PJ
du Cam nl.
o. 10 . d-' .a5e'r ê' moê' dlê., e,'t\o\,er 11 _1e55dge ar Lap. Les aulres Jedi, Kaddo MoLl el Jiv DuraeL. ont élê lnca-
taine (éventueLlement basé sur d'anciens cod""s mllitalres de la pab es d'empecher Warde de tuer les dip ornates. rnals
Républlquel, s'infiltrer dans le cor.plexe, se la sser capturer par ils onl réagi en tentant immédiatement de Iappréhen
des soldats impériaux, ou imaginer un autre plan d'action. Oer LO S O- (O-llAl q I d r \' Wa dê a a.cass nÀ SeS

cHAssE aux FANTôMEs


cr*oiqEs tt GAtlrrEx
ilElqËtD alo s:rprgdH,
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lrt)nJtsu,nb li,nb êsor]l alnas el are,r êp ênu tuol t t9-HI 'ênllodq êUal
xnarê3uep ssnP rêrê^E,s s ndoc tJoLu e suep xred el Q^nor:l uguê e sêLure,p uou8ed
- lnod .rPseH têtluoluê"r 'sel -Lrol uêDUe uos ênb otQdsê lê 'puol aL oqlnol e.têlutap ê)
sêl snot suec arlElPE El êp puËnb êpreM ropre,p olqpdprur Q:tQ .r o^e,p êIê.râêr ll stuêLu
lelLpuÂs np sêr ElJe sêl la^P êu0^? sêp sprod êl snosrênbeJr.red uue nb uaq aLuLuoll
,êrolrêlur ro^e sQrde êrto tnêd un êuluor pof êl s.Irolnol lrelQp suol u LUeg êl 'sêuol) slep
'suosrP-r so..rlne,p lnod êllê q êtel 'los sal 1ê rpêf sapP.rEUJel sas êlluot êp]eM êp tequtot ê
luê^norlê.r ês slr,nb êlqrssod luêLu ]ê alsIe]edos uorleÊol?p el ap arlesseu ê sQ]de oLr.rQt\
ele8o lsê ll êpreM êp so]^tle
srolêrlfe,p rpêT sê êururol sluê el sê.rdord srnêl
sêl ..rns ê3Plue^ep arpuêrdde
raddo êAap q fd sêl aÊeJnoluê tê srnolsou êp êdurêrt auêl êp
uê,p uqe 'u ureD np snld ua no
srouranB ap snLd le I,u ,nb a1lêr8êr urLueS êl aleuououqrld
nêr ne 'reseH êp êql.rêLllar el
q rl]]ed ap ropDop assat oun ? ê.rlne,l e Lrêuuê un,p luess puoq ua lequol ne
lLrê^nad ^
trpssrldrxolle lr,nb sur€uJnulits sloldxa sop ta uoIe]^oL êp
fd sêl lêu LLrul adno.rS xnê.rê3
-uep un,p alueêÊu p el êLULuol suop sas ap !êsel êrqPs ne êpl€M êp osUtleu.r El op lua!.ralP3?
êUed rnê lr 'sêuoll sêp arên9 el êp anbod?, ep tê lpêl np lnl
tua!rtuêp,l rESeH urêJuo rfs
lê^e 1uêtnlsrp fd sal rs sapeJsuJel sês op 0llol t0 ar^ el Q^nes
sê-IElUAU?lddnS SêLll.rêqrAl
e rnl êpreM êp aluê lsêrd êp lio^nod el sasudo] sosfêlquJou
sêp ênb te repPnss p ua
sol ap êluêl 1oâ,N rs êLlon ap v lre,\rês la lrPssreuuol lr,nb rpaf sêl snol êp .rnêllrêu al
'anop luêulauloJlxê luelleqLuol un êLuuol êpreM lrer9prsuol
urLrrES ol ]uêLUê:l.rê^no saQu-r.rdxê sreureI e sê êu lr 'lpêf np
TIdTrJSSU soporlt?LL] xne tuenb sê^..]êsor sêfb anb 1 essLrnou u uJeD ê-l
3Urnv,] rs êL[rQuJ ]a s.lno.ladns srnêl êp sêrpro sê êsnel uê êrllêLuêJ
êp êpntrqPq rnod sed tuo e^e,u sêuo l sleplos sêl êllr^ e ]ns
sêlteluau?Lddns ênblqnd?àe êpêQrtuorê ruêtur€Lu Jnod op.reM êp sênbrl
srnaB]eql'sêSesnrllnur êrntu êl -serp sêrnsêLu
sê êrluol lrepuorS êrqlor el ênb srole rallêd
'(a+ tuaLuass eluêl .radoo]lu.l sal êl ap 0nuiluol e | êurlsê alneq ua trEuêl êl 1ê êprEM
rots ap êrnlrue (9 olJnos t luêu]Qu-r]ouo l eloJdde uLLLreD al sêuollsêpêrênDe tupp
sêqlrurl suorlrunl : êInol uad êpreM olns snos l^ras e 'u []eD êl qururourns 'ç Lt-Ht
êolrod :, ênbtrul : B slg8op
: [sa]Q8?l sau.!el êtuptsrCl uo l hvruul gre-xr
-elual!âe4 C sêpeuêrâ Z'(t u3d oourlr{u
or5 r N tvrtdvf,
o]Pu nSues a lueJolrêd : ]reluol
nE ê?lrod : z onbrtur:, sle8op I lç Hfrnod sêluanbosuor sêlla suorlle srnêl ap êrnleu
: sdlol c sdrol) êLuPo.tq^'(tuss el uoês trlluol ap s]urod, tê t êiiuê.luê^ro5êr slr 'xneuodLul
s P.rnotQ ê3e 8qJ 'ênbrleLuotnv sêrlne xnE urLUeJ np uorlelqdool e lua Q^Ol 'êlue rêAleLu no
: êuua^ouj ê?Iod r g onblul i g êprpâol! red 'fd sêl rS IouJ ap tQxe uos trerêu8rs rnb êl rpo[
steBop :lsêrQ39l sêruel êluEl sêp tups ltpdLLr,{s un oLlruo) QJQp suor ê]lQ I e.rnod lr 'luê^luo
slo) rrLlS uorlnodg.r e srêÊol uê lnp ê no srêdootlLluols sêpe]euJel sês tS Td xne lueued
rats?lq stalotsrd z: ouadlnba uê,nb uêu sor8 ênbslr t l9 Hl'ê]nlua e, ap ê[.]ed allêl luep
IpunoJ 'uêd tuêrtuoluo.r so.rêq sol ênb [Nd saJ]ne sê snol êulLuol
L tuepuêd OSrlrqourLUr tsê lr 'sdrol 'êrresseLU lêt un q i0t^ as êp sQ)]ol otQ luo
'êLuS 1O l
? sdrol êp no ]p 8nd ap
T rtlv,p tsêt un e 4\ no (q) (E) (E) luortqo
sêuoll sleplos sêJlne,p lê rnl luouJLUol ê_rouôr r 'uorxa Jql
a.r0uJ sQrde lê 'sOllrnorqurê êrorua tuos 99 a.rplo.l tueJ
tLt Hl sl êlr8erl fouêD : s?llredp) noluê sluêLuêuQAa sêp sruê^nos sos uo lntQxa q s LU
(9 tt HI êrluor
qt? € 99 êrpro,l puenb erof rns tuosq]d QtÊ tre,u rpaf
lequol êp slsêt sê §no] op ?lnlultp unrne,nb OAelnos orlred uê lsê 'luoLuol.rê^no QLu..rdxê
op Qp L ê]o lQurel
t 0l sJê pv : sluâlpl
l
Ë s EUrp[ p,l êu lr,s êLl.]Qtu êrrên8 el ap sluêLlrêuQA? sêl
l!
Y' a
dJ-et8r^ . ar,êdüorl 7oo.J Jed êlDulrp uortrsod oun suep êOle d ê qou êLuC êun trptq
SLaS a è)LP SsèU a (sop,no sdLlel
êprEM anb asuad pêf .rêrle^aql np êtnel pl tuêLlrarQrluê
aluets c z {sê.rQ3ol sêLUre) êlue}src z sd.ro:)
lros êr ênb sEd lro-it êu I sreL! '3ues êp urpq ê luêlr^Ê la
apreM luêtnorq sêrtne sêl ênb tê'truêuutêrOlltp tuêssEd
ês sêsoqr sêl ênb ?LLre ltute Ç lç Hl sêIesstu-t9 sêp lrEd
el êp uos Llert êun rêuuo5dfos êp uos er lle^e tpêf êl ênb
nlure^uol êlsêr tê êpreM ap suo tllpqtd xne QIJ slnolnol
tsa,s urLueS ê
'sêuo J sap êllanc e êp stuaL!êuQ^o sêllne
xnerqLL.rou êp
lê'êprEM êp anbe]]e,L êl]ê.13êJ lt,s or!On
ra le,p uorluêlu,l I p^e êpreM r-o olouâr
\,y'
\ .. q sdroJ '9 ]uêLr.rêpueurL!ol a êurs toiqlv : so)uotgdr[o) u LlrpO sêpptpLllel suêDue sês Jed sro] êun suroul
êl
êr dLlrf,l êp sluê8e xnêrqLuou êp ê êz o sues stELu I o^êp uos ne Oliêdsuert ?t? p tê sê lrelua sêsnêrqu.lou ap qns
) luêLUêsnê0uoDSUol lLldurolle lr 'luanb?suol .red lêL1l ê qel e êpreM sê EteJ ?t? tuo pêf np sêlnssêlq sêl ênb
n
l rOA un,nb lqlnld xna[rqu]e do.tl J'rêlprlstutLupe un êLltuJo) OpensJêd tsê rnêsseq) uos ap proq e êlQueld el
t It Hf
arQprsuor l,fb'uerqrl rnp al o.]Qn8 ê )Q]dde,u uule3 êl rêIrnb.rnod sdurat8uol zêssE nto^lns p êpreM s êruolr\ .
saÇuue sêrblênb e tuod np êspq pl êp sQuBLo ?
lr e proujrêN otel rns ?ttalleQ.r 010 e t l]os np dnol êâuE_l]Q^ snld soL sreed fp slos-snos sêl suep nêrl no E tuêLuol
un -led lro^êp uos rlduolle lo sotp.to xne Jtoqo : êIel l es uoljl?l saltssê q sê^e.rB êp rqns lê sêppreLLrel slrô lue
LE POI]IT IIE UUE DU EÀRDIE]I

fi o r quo ês -l (orr.. 1êr, d clê o.. I ld ve.'e sur I est possibie que les P.l commenceFt à se dernandeT s' ls
ll -.,'o"rn.n soê(. oN-rnutdd ê,tpo ioêq ô veu enl poursuivre eur quète el maltriser Prescience de
le gardien soit e plus surpris de tous Warde Ia créé et Warde a ors qu'ils atlrlbuent à la déchéance du Chevaller
a irnprimé sa psyché dans Iholocrot alors qu'il éla t au Jedià ull isationdece pouvoir. Le €ardien les encourage
sommet de sa carr ère de Jedi, avant qLte e côté obscur à persévérer, e[ les raisons qui Iy poussent sonl totale
de sa prescience ne le voue à la paranoia el à la haine. ment honnêles el bien inlenlionfées Le gard en se sou-
lÿ n. i lp ga oi"n r . t. .oog.dmr p. sd . ,i-ô\ o- vient de Warde à son apogee et n'a pas flanché, contrai
..ê, dlAt,ê-.1 ai .Ter.p...p or e AO. -O^o.er_. remefl à son créaleur. I croit que rnalgré la déchéance
égards I ressemble p us à unc ctéature douée de ralson de ce dernier, son pouvoir de Prescience peut se révéler
qu'à un drolde. Les PJ qui interagssentavec lu etl'nfor un pulssanl outl pour faire le bien, et leur afflrme que
mcnt dc leurs découverles peuvent déceler une sorte de a seu e manière d'éviter un Sorl Semblab e consiste à
lrislesse chez celle enllté ho ographlque lP( o.\'ir rÊ q.i d oten p. drr'.r d. ,ed.

Après avoir appris son dentité, les PJ peuvent demander En lant que témoin des négociat ons de cessez-le-feu,
à renconlrer Hasar en se présenlant directernent chez elle Hasar peut llvrer un compte rendu détail é du comporte-
ou en envoyanl un message par e b]ais de canaux crimi ment de Warde, du molns de son propre point de vue. Si les
nels ou égltimes, car elle se dlss rnule sous Iidentltè d une PJ gagnent sa coopération ou réussssentà ui fa re relater
lemme d'affalres bri lante rna s rec use. Hasar accorde peu son expérience par la ruse ou par la force, lisez ou paraphra
d'enlretiens prlvés ; la plupart de ses alfaires sont gérées par sez ce qLl suil:
des ntermédiajres et des subordonnés Cependant, en men
tionnant Warde, ils piqueronl sa curiosité. Sinon, ils peuvent
lu lorcer la main en s'inftltrant dlscrèternent ou de lorce
dans sa propriélé.

RENCONTRER HASAR
Onrein Hasar esl loujours accompagnée de ses deux
droides l\,4agnacarde lC 100 [cf. page 409 du Livre de
Règes de FoRcE Er DESINÉE]. Depuis l'attaque de Warde,
e le craint une trahison el se r.élie des gardes du corps
doués de raison. Même si es droîdes de combat sont ilé-
gaux sur cato Nelmoîdla, le statut, a richesse et le pou
\O r de tdsdr u'ro."À,p.t , ê d re. bô td dn dorne
qu'e ie n'apparaît presque jarnais en public, I lui est plus
lacile de jongler avec la lol.
Si es PJ organisenl un re|dez vous avec Hasar, elle est
I
aussi accompagnée de deux groupes de sblres de trols
racailes chacun (utilisez le profi de a racaille Kreehawk,
page 5Bl. Oue I'entrel en a I Lieu dans son domalne, dans
un entrepôl abandonné ou aLt Belvédère [cl. page 48), i est
certain que d autres membres du gang sont tapis en cou
lisse pour attaquer les PJ au mo ndre signe d'agressivité
de leur part. I doit êlre êvldent que Hasar esl prudente
et redoulab e, et que l'aflronter n'est pas une décis on à
prendre à la égère.
Hasar est à la fois calrne et intlmidante. Sa voix synthé En ouare, Hasar peut révéler aux P.l que e massacre a eu
tisée et menaçante trahit peu d'émotions. Prolessionnele lleu au pa ais de Sankar daIs la ville basse, et plus spéc ftque
accomplle, ele aborde cet enlrelien comme un sir.ple ren menl dans es sous-so s de la tour, les p us é oignés de la base
dez-vous d'affaires, qu'il a t été orgafisé à l'avafce ou que du pont. Parce q!e e élait fconsciente lors du dépaft de
les PJ la rencontrent de ..anière inopinée. Dans le prernier Warde el pendant une grande partie de la guerre, elle lgnore
cas, Hasar est prete à écouter les PJ et meme à coopérer où Warde s est rendu après e co.nbat. Elle aimerait cepen
avec eux, surtout si elie les croit capables de la rnener à dant beaucoup Le savoir, tant elle brûle de se venger de ce
Suljo Warde En revanche, si les persofnages pénètrent dans que e Jedi lu a infligé. ll est peu probable qu'e le partage
son manoir ou lu tendent une embuscade pendant une cetle information, r.als pourrait y consentir selon la manière
excurs on, el e se montre bien moins patienle. dont elle perçoit les PJ et la nature de leur intérêt pour Warde.

l.

CHASSEAUX FANTOMES
<I{ROf,OTE5 DIJ GARI'EI'
ilq D m §lEloal{t
( ",- 5!ÿ{QrNVJ XnVI5SVHI
+
arpuêlsap rnod êpelPlsa,p laugtPLU np no ê).ro! el êp sJ o^Irod sêp.Lorp sêp : sêuo:) sêp êJranD Pl ap sê8ttsê^ sêlqelnopê]
sJnêl rêsrlqn g êtrsrsuo) êsnê.rêBuep snld eL uo[do,l 'uours uors op rêIro.rJle tuauêle8o tuor^êp fd sêlsreLu 'slêlJo[r slêâuPp
srLU rnalsueprapre salêp anrure^uol luo, sll.s.r€s?H urêruo,p ap 9urês êldu?d uê rêLUrolsueJl ês tua^nêd ?]qElqp srelPd np
oJerpQu.rJalur,l red oluessreuuol Jlo^E uê êurour luarernod uorleroldxê, 1ê all^ el sJêAerl q êBe^o^ al tuod np ]uêurês
Td sal srelu 'allr^ el êp slêuruJr']] sap anb snuuol luos êu sê-r P.l nêrê3uPp puod r 'sourn.r êp lEtq, ptnpqè sêlrssrLusapeno
-QUtll salouuopueqe lêuunl un lê^nol êp rê]uôl no 'luêuJê8 srêlselq êp s.rl sêp ? snp s193op sêLu.rouo,p rqfs e tê sluoLrl
reql ap sêreq salrêsrê eJt 1ê trod np otrun)os êp 3d êl luêu-ral -êlUOJlle Sêp leltuel turod al nuo^ap tsê sreled êl 'êpreM
-Qrrsrp rê8uol trua nêd ld sal ]êtuourns êl rnod uqp o qetuq^ êp uos qP.r] e sQ.rdv srndap rêrouqlop ês ênb llel e,u lo
un anlrlsuol rêp?lre suaÂotl] xne o]!p.rêtu! tsa ê la,nbsLnd sêuoll sêp êrên3 el srndêp ouuopueqe lsê erof êp sJnêrl
rolels]oq no spL.red sênblênb
^ ap uorldêlxa,l e'aouuopueqe "9lur srêr1)enll sap ê]sa] ol êururol re)lues êp srelEd êl
/l 1UêSOrd e 15ê êlll SAUOIf Sêp AJJênD el luPrnp êÊ1SP^9p qt? erprourlêN oleJ o1lrnb e lL,nb sQrdP êp.rPM
P e]]of êp ?rlroru êual ossEq allr^ Pl suep rêrllnoqop Jnod êp uorleurlsêp êLuqn, r J^no)?p.rarQdso 1uê^nêd slr !o nêrl
9t9r êrtne,l êp Jr]]os 1ê luod np sêJnêraJu saqlnol snos sol nês ol tsa,l (sluenbueu slrplep sêl rêue 3 .rnod rêtQfbuo
rê§ê^eJl luê^rop fd sal ,e)lues op srsled ê ê.rpu ê1le rnod fd sal tuEssrel uê êpreM ourno[9s e [o ] orpuo rêrurap êl
rêqrrêql êp no) sêo1uêsoJd QtQ tuo rnl rnb sê^nêrd sêp
SUgU[OS n^ ne ê.rpuêr ap.ra.rQ33ns.rnêl tnêd uêrpJe8 êL ',saLuQLU
xnê led uorsnlluol
^,s ê11êl e sed luauuê êu s r,S re)uef
3'r'il^vr su3^vurv ltoJpuê têturêp ne
êp sreled êl : er.rof q oluênb?]j P lt,nb^.red
êJpuar as tue^rop slr,nb atdluor
1uêpuê.r os fd sol lflsqo
sdulêlâuol e lr OUrLural lsê,s nb QiQr np êprpM êp êlnql e
onbo^ord e rnb tuaL!êuQ^?,1 êp
^
tueBups tequrol êl êJpuêrdê.r .lnod luêL!êSuerQp o.rpuloLu
ne luoJollto^Ql es rnb sreu 'srulropuè rnq,prnolne leqLuol êp : i f lï3î[' :5,1'J] T:".if §':?ii,i::::i :î J l1il u
I
i
srNOH Tn f O n\r3fs 11
)ur urol '( t + êsuêJ?c 'a + tuêuassreluê) Ol n)Ulrp êp sQp ap tuEtfe rapp]8gp rnod ssêrts êp siurod a
oolroluêr êqor '([1ue^rns ]n01 np a^rleltLu,p neau0.D.rorurêp e,nbsnlrqns lfad eLlê uortDrooJ ap tsêt un ênllêllê urêJUO
êL lue^e o^rlreQ..r aIQ sPd tnad êu rosel êrqes êl : êr esrê^ pupfbl Z tueprL!rtul (êlq
êual êrluol lequro) ap stsat sal
l
pe,l ap.roseL orqes np arSrêLr?,1 rêsrnd?,p 1êurêd tuellresse, snot ap Qtnllllp êp qp L êrorlgLlp) L 9l!sJê^pv : sluglel
êp tPqllol êp 1sêt ur.r,p sroL no lE) lÉ) (È) êp no lPqL-Llol
a t ê rodurorl 't C êLuQlsIS , pto-lJ
op stsê]sês op s.rol snuolqo @ no {.} {.} {.} ap êsuêdqp ell SupS t uorte ro39N 'a {sêrQ8ql sêur.rel êruels O Z sd]ol q
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spd au q arQ upL-Lr êp rêroqp q rou8 Lllê.r ap turol sêlnol êur ue êureq êllal lê apreM êtsalap ala'rnq,prnotne
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lê uorle^loLU allêl êlnu.rss p êllê ronbrnod lso,l êrorul ên^ord lre^E êLlê,nb êr^ el sed luepuêdêl trA êu
'nsu .rfo q .rêsrlln sol êrQlord êl ê ' pêf êl .rê^norl reseH luessuoll lêurLurJr ê.rdLua uf,p êlo1 el q srPirl.rosQo
q .rêprE. êp tuêLUênbunqds tuasodord rnl ou [d sa s?.r têJ e rnl êp]eM anb so sêp 1o relJr el êp arEld PL e sênb u
ênb surou g 'luepuêdal êlQnb rnêl êr^ nsrnod rnod €t9L! SêSQtllold êp 91Op lSA SdJOI UOS êp êlSAr êl 'êl]êLUUrOl
uLoseq luo s r luop suorleLurolur sêl I urnol rrêl lê np uoqer?pQl E êp slalll stur?ssrnd snid sêl tuelêdder sêqol
arQdool ê a apreM q,nbsnl touou e tuê^fed fd sê sêsnênlduJos êp snos qqrel lua^nos sênbrl?urêq^l suoul
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Opul 'sêqBrlur t e^e rnl êpreM ênb sêllêtroLu ênbsêrd xnê^ sêS êltnl êp saQuue sêp sQ.rde êOdul tsê êsuB neêd es 1ê
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tlNVtgNl^ 1[ lt0s
[slsttrtrtt] uvsvH N tluNo
I

'1..

I Ouand es PJ atlelgnent la ville basse, llsez ou paraphrasez Comme pour la traversée de La vile, le N4J peut se conten-
ce qui sult :
ler de dêcrlre la descente des PJ à travers e palais ou deman
der des tests de cornpélence pour éviter Les sols lfstables, les
plafonds qui s écroulent el autres dangers. Au passage des PJ,
l'édifice grlnce dans le vent et des blocs de pierre se détachent
du pLafond. Les personnages dolvent avoir l'impression que le
bâtlment pourrail s'effondrer à La mo ndre secousse.

OANGERS ENDORMIS
Après l'attaque de Warde conlre la déLégation, e pa ais de
Sankar esl devenu le point central des alfrontements lors de
la tentative des Séparalistes pour reprendre la viLle. La struc-
lure du bâliment témoigne douLoureusement de l' ntensité de
ATTEINDRE LE PAI.AIS ces cor.rbals : les murs sont crbés d'i.npacts de b aster el
I n'est pas nécessalre de recourir aux iets de dés pour mettre es couloirs jonchés de carcasses de droides de combat. Nlals
en scène le trajet jusqu'au pa ais de Sankar, rnals Le NIJ peut parmi ces clernières, le dafger rÔde. À la fif des combats, cer
'agrémenter d une ou deux rencontres pour cornpliquer la talns droîdes soft restés au palais de Sankar conforraément à
tâche des P.J. Ouoi qu'il en soil, ll doit souligner les dangers Leur programmalion et à Leurs dernières direclives. Ll ne s'agis
que représente la simple expLoration des rulnes de la vllle. sait pas de droïdes de cornbat ordinaires, mais de comman
Après tout, s'il est dangereux de pénétrer dans n'importe dos BX et de droïdekas, assez rusés eL résistants pour sun/ivre
bâtlment dévaslé, il I'est encore plus d entrer dans une struc- à ces assauts. Faute d'ennernis à cor.battre, I s sonl entrés en
ture suspendue à un port endomrnagé au dessus d un à pic mode basse consorfmation et palientent en récupéranl des
de pLusieurs kilomètres. pièces el des ce lules énergétiques sur es drotdes déffuits qui
gisenl dans les cou oirs.
En ralson de a nature de la vllle basse, les PJ dolvenl lra'
verser des ponts et des passerelLes élevées, et gravir des La tenslon monte à mesure que es PJ explorent la slructure
escallers. volre des échelles. De nombreuses routes sont abandonnée et découvrent les stigmates de combats depuls
partiellernent eflondrées, ce qui Les oblige à emprunter des ongtemps terrninés, ef frnalement, es droÎdes atkquenl. lLs
raccourcls à lravers des tours en ruines ou à lalre dernl tour comprennenl neul coramandos et un
pour trouver un autre cherTrin. De nombreuses passerelies droideka (droide destroyer), les pre
et autres structures sonl à peine stables et les PJ voient des r.le§ opérant par trois groupes de
morceaux de ciment lomber dans l'ab1me sur leur pas trois drordes chacun. Si es person-
I
sage. Le NIJ peut demander des tests de VigiLance, d'Ath- '- nages sont particulièrernent aptes
létlsr(le, ou de Coordlnation pour éviter les embtches, rnals au combat ou s'i s'aeit de cheva
leur difficulté dolt être Moyenne au plus O ),
et les PJ Liers en puissance, il est conselllé
devraient être autorisés à dépefser t)
pour maintenir leur au l,4J d'ajouter deux commandos
prise e temps qu ulr allié puisse les secour r Nlourlr pré_ ennemis à chaque groupe de
TnaluréTaent sLite à une chute n'élanl pas Ltne morl sbires, et un ou deux drorde-
digne d'un héros en puissance, les PJ qui échouenl kas supplémenlaires.
à un test allerrissenl sur la plateforme du des- ,
50L-rs, vivants, mais peut êlre b essés et dans une
silualion pérllLeusc.

LETæUR §U§FtrruM#ffi
A r oo,I o'U' 'iomênl. ê\ PJ a ro.g'o1- 1p polo.
de Sankar, théâtre de la chule de Warde du côté
obscur À leur arrivée, lisez ou paraphrasez ce qul sulL :

CHAsSEAUX FANTOMES
CI*OXOTEI OIJ GAND|ET
----:-_
x:IOüVar nO S:IDEH:'
( sfhro1Nvl xnvlSSvHl
,-.
(t tuêurêsrê^uêà : lleluol 'sotPl sQll luêuJosnernêq luos sopueLULllol sêploJp sal 'sê.lleu
ne êqtrod : E ênbuur : q slgÊop : 1e r8nd) lueserlÊ ênb u êrrêur sêp lê slêururrl sêp.red so^oldLL.ta'xnaJo8uep surour
-elqu pêrd '(t êr eurn8ues t lueJolrêd 'olêunr 'anbLleul sên8olouou srnêl ap sutelrat êlotua ê^noll uo, ênb srolv
-otnv : ênÊuot êotrrod : I ênb[u]:z L s:]93Qp:êuêlll.rvlsQ]E
uarlnos êp sql xne lo s0leDnJl
QlUl SQIêU.rnt Se)aplo.rp sprnol s.rêtsslq xnêp i luâuredlnbl ^Llle luanbQsUol .red
suoLssrur xne êolrur lrelo uorlestLrln .lnêl
(sel al suEp luêurêleld?C êr^næueur el
êr npord e s..rêrll snld lua etQ s L LE tequrol êp sêplorp sêl
rasrlrln sed lnêd êu e)êplorp êl ê sênbel]e sêl sêln01
luesr^ ênb xforaBuep ta stu€tsrs?.r 'sqsnr snld sêuo13 sop orJanD
êp ollnrll,up êp op un arorloue la a êp asuêlop aun êu3P3 El luepuad suissesse,p soJlluur,p luate^Jos sopupLlrLuol
e)lêp.LoJp êl 'lrlle êlsêr lr,nb luel:êr^næuELL.r êun,p xr.rd fe

sêploJp sê sêlsrleredas saplorp op a?LLUE, êp sênbrlêà
{.t a^rlles9p ês no e^ tle.sl rêL)noq ap Jnêllalo]d'(ê.rQruPLrl
altal ap sroJ aun.nb olqD onbPfl]aqlnol tnêd êu e)laplorp lsutgs] xs ooNvhrwof so.loào
al 'lsat ne nuêtqo {-.} red aun snd'êouod êuuê,{our e
'êlele,r
sêonlts sêlqD xnêp e,nbsnl .têsr^ ]nêd a.rQLUrêp êuêf sQ]â luêLua eurou 0tnLll
-91ur s9lêLunlsrêlselq sas q êlgr3 êseq êp st93op sap tuPaB allêl c êrQrueur êrlne êun,p êr^ to .rêpaads uorurel un
-ruur êluelsrp c anbeuE êun ]êlrod .rnod [ âtt]uJro
| I l| rns l]]êIe 1a]aderller ês rnod u^.lns
tsoc ap turod I rêurnolê.]
ouollll.rv,p lsol un..ranlloJlê tnêd E)loproJp un 'uortlP êun,p tnêd êtnql fd êL tlrop rnênol un 'êtreqnos êl fr\ a rS êp ol
xDd nel ê3ereq êp sr-L'(sêurxol lê suosrod sêl êrluol Osru suep rêlnrseq êJrel sêl êp ênbsu lues sa lEqLLrol êp lsêl^ un
-nLrLu : neê,1 snos no apl^ ol suep êr^r^Jns tnêd ta sEd lLoq e nuêtqo @ un.nb s puP] loqL!ot êre]^ sêl Jnod 4§..rêsuêdQp
êu lê sed ê8ueL! êu 'sed ardsal aul aplorc : s?Iledel tnêd fr\ ol lorurop êl êp qt LUrxord E luêAnol] os sa8euuos
LrnlnE: slualel rêd sêl pueno {rlNrrsro -Lr slroJ ap salSQè ap êr^rl np
t êluetsrsoè t uorlda) ioaz 6 tZ êBpd lll êlllqlrp urerêt un êurLuol sQrQp suol
rêd'a êLrêllrlrv: (luauranbrun adnorâ uo) soluolgduoS tuos êrl]no8 np sproqe sêl seqêrluor uê ê?l e^ el q,nbsnl
êsnêu 3 Lê^ êlnql aun tuol suepêp tuêqurot rnb sêBeuuos
Jêd soL trnJt?p tuet? rnot pl êp rnêuoJur neêAtu êl o.lJJnoE
@ffiæ osuêur-L Lrn rqluErj luê^ op fd sêj 'elaplo.rp np lê arod El
êp êglrod êlr]ol c êuuê^oL! êp.lêssed ap UBE lnol ê rêsrol
5=E=æg=5;39;l] .rnod lequ.ror np puno] aLuQrxnap al tuepuêd fd sêl êJpuêJd
rns êp luêlual slue^ sopueLLrLuot sêploJp sal êqlrod
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Ql^ltre uo tua.rnaLlrop sêurqleu sêlqelnopêr sêl êp nad saLL.uoua sop tuoqlordde fd sêl puenb leJole êSessed
'luêLUêsnêrnaH êlqPr?prsuol sêJreÿê^pe,p ê.rqLuou un,p un,p trSrns eIêplorp êl uorteu tsêp rnêl ê.rpurêlte,p lue^e
rsure rêqdLxoLl 1ê sra llnoq sos q ar9r3 salsod r sêp r.rqE, êtsnl ']êrurêp uê rê^orlsop êpio.rp êL tuê.rtuoluo] ld sêl
q tueJnêLuêp uê tnol rats€lq op so^les sotuessrnd ep rêrll 'sreied êl srê^erl c luêssêJBord sl ,fb alnsêu
tnad E)lêprorp êldurs un rnêtlêlJ9p Jêr!rnoq luess nd un red
€ sêsLdrns-sênbelle,p êJqLlou u eliêl un tuor qns fd sal teq
êOâOtord pardoJl I êsnê lrerlrur êuro]êle d ua rêrldop ês ap -uror ne luêlEl rnêl uolês lresse lê^l'rou un .rêluPl 1o rê qurês
srnd 'êtrr^ snld rêleldop ês rnod onor êur'r,p êLr.rJol elê.rpuê.rd
ser ês rnod être]]ar uo ê.]]teq êp tuatuat slr 'JrtlaJlê rnê êp
ap salqeder 1uêreta sluets s?r sêploJp sêJ sêptolrloJ sêlJ?d
?rl ou.r El luoplad no êlroJ uê sgssedrns luos sêplo]p sêl rS
slrnpoJd 1uê!et9'souolJ sap êJrê1rD el lueJnp anbllqndqà ?l
êp sêdnoJl sêlJed sglnopêr luêr.uêrQrlnlrlrEd 'se)lêplorC sêl
hvnrul (ua,r.oursro aorouo) v»Eo.Louo
(B altnos tuessrprnoto aBe3or 'I sagl
-rLurl suoQrunr\ 't uolteluêUosqC : êt.rnor aA]]od afbrtul
:
: B slgâOp: [sê]Q8?lsêLlrEl êluEtsrCl atuEsslprnotg opeuat8
'(i sa?lru.rrl suoorunr\ '9 êUlnos : ol]nor êOlrod : , ênbrlul
: B stC8?p : ISêJQBQL sêLLrJel êluels O) uortetruêLu8ert e êpeu
-êrB '(t aJEurnâues 'Z lue.rouêd L ope]ed : lleluo, ne ê01
-rod : a ênbrtr.r] : 9 stpS?p : sdrol q sdrof) êAd?oJqt^'(tu€s
srpJnoto aâelÊOJ:auuê^olu a9lrod: ênbürl : 6 stqS?p
t
I IsapJnol sêurel aluelsrc) rêlselq êu qerel : luourâdlnba
êrtuol
(sêurxotr 1ê suosrod sêl :lrns nb at zase.rL.lde.led no zêsr
Cslunurur : npa,l snos no ap^ êl suep a]^tÀtns lned la'sed 'sêprorp êp êdnor3 rarL!o.rd ê lualluoluêr fd sal pu!?nO
lroq au lê spd êôueLu êu 's?d ar dsêr au) êpro.rc : sgllledeJ
unlnP: slualel ê^[eûut,p ]sêt uos e fln tuêltqo 'O.ipd
\ [sêp]nol
Qrd uêrq sorqs op adnor8 anbeql to o^qertrul,p êsrn8 uê
t,y'', sour.rpl oluets O '(sarQBQl sêLurel êluelsrC 'uorlQrls C 'sdrol êluE â luês lrin sl 'lêLll?.p sEl u: ê^rlE l ul, rêu u.rêl?p
q sdrol'aurle] : ouâuronblun adnoJâ uo) salualgduroJ lnod êur^ el lues lrln fd sêl 'luêurêlerpollru.r aluêLlrLUol:leq
) uol ol tê sdurot c sêplo]p soL tua^ro:rodp fd sol etrssnQl
l êp sel u: (sêrqs sort ap adnor8 un rnodIOO) sêptorp
sêp uoll9Jlslo el q gsoddo oluel!â!^ op lsal un .rêntlêlla
lrer^êp alQl uo êSeuuos.rad ol 'luaqlordde,s srêrurêp sêl
g=g=E= pueno r o nol np êrquros u ol un suep fd xnE apelsnquê
@@æ g=g=
(E)B{E)l êun êrpuêl êp luêluêl sopueururol sêplorp sêl ':l.ledop
lgE(tD(,E G'G' nV sol e q sêp.LoJp sa snot sed ê:luorlle,u êdno]B êl
LE TOMBEAU TOURMENTÉ Au cours de leur exp oration, les PJ finissent par découvrir
Après avolr trlornphé du ou des droides deslroyers, es PJ Lecorps de Jiv Durael sur I'u n des ba cons. llsez ou paraphra
peuvent franchir les portes pour se rendre dans la salle de sez ce qui sult:
conférence, lhéAlre des évènements qui virent Su jo Warde
achever sa chute du coté obscur. Un frisson les parcourl
quand ls y pénèlrent, car des -Âmotions viciées lmprègnenl
cet endroit. La tragédie qui s'y esl déroulée hante ce ieu
maudit, même des années après que Warde a rompu son
Serment pour frapper ses aTals et ses ennern S dans un élan
de terreur et de désespoir.
Ouand les PJ pénètrent dafs la sal e de conférence en
Lisez ou paraphrasez ce qui sult:
ruines,

C est la dépouil e du Cheva ier Jedl Jiv Durae , un norn


que les PJ pourraienl reconnaîlre d'après eurs recherches à
Jorra. Crâce à un test de Connaissance (Xénologiel Facile
(), les PJ découvrent qu'il s'agit cl'un Twi'Lek, cornrne le
montre a forme de sa lête et les lenles dans le cartllage à
l'endroil où était fixé ses lekku. Un test de Connaissance
(Culturel ou de Sabre laser (Perception) Moyen Q )
révè e que le trou dans ses robes et sa poltrine correspond à
un coup de sabre laser
Dans sa main droite, Durael tient le deuxièrne cristal
kybet voléà Warde au cours du combat, ou peul être aban
donné par ce dernier à destinalion de tous ceux qui décide-
raient de sulvre ses traces. une lois a plerre récupérée, les PJ
auront accornpll leur object f sur Calo Neirnoidia. lls peuvent
Les traces du cornbat se isent parlout : le so et les égaLement extra re le crlstal ornant a polgnée détruite du
meubles sont couverts de marques de sabres laser el les sabre laser de Durae ; i s'agit d'une geml^.e de draglte (cf.
murs criblés d'rnpacts de blaster A mesure qu'lls traversent page 197 du Llvre de Règles de FoRcE Er DESINÉE].
'lmrnense salle, les PJ doivent prendre conscience de Iam
pLeur des dégâls et du nombre de morls causés pàr Warde.

CHASSE AUX FANTÔMES


CHROXqE5 IX, GAPDIEX
xEto?nut aE sltpf,oiÈH,
sll,llolNvl xnv fssvHl
]ros uos Jo8el]ed q sed uqe, E ê.r11êL1r êlrnod rorodnl?] êllnej
:tuo,u la op.reM êp slêqlo sêp suolal sap rê]]] ]uo^nad | 'êlrol 3l ap rnlsqo ?tqr np êssê.ralJol aur 'pueqeloL\ lns
[d saj anb ]nlluol ua uorp]eE ?l .rol^? Ieleqnos Lnb êl IUOUrêArlrêljê ê^norl ês lels ll.larulap al ls suLEur sês e^neuJ
tuêurosDg-rd -r ldu.rorr€ q Qultsap 'xnêLrl^ a lrêl uI suep êp êJluê luêre^no]]a] ês salê rs sêluEssreuuol sal .losnPl
,/| gLuraluo lso,s 0preM anb rsu e lsê,] u[sap êl]ed s?tllp 1UA e]]nod ênb lPLr êl êtnopêr 1ê r o^es ol ]êa?lold lnod
lua el? solle sês ênb ropenslêd a red ruu luo gÊuo-r e, n:uol qtq e uêrpreÊ al snld êO 't.ros êLUQur êl rqns êp.rol
rnb êlnop ol tê sQtrlrqEsuodsêr sêp neapJe] al aranb e -r^o Jnê rnod uê^oLu lnas al tsê,1 ênb lres I fd sêp uêlq êl
ap ssê]]s ol s eLu ê]ueoqlop es lue^p ap.reM onb êLUQLU Jnod s €uJ 'uorterulp? êrdord es .rnod s€d r0s uê q 1sa,u êJ
ap aluêlsuol e ua uarprea al ln ap]nolne rnêqleLl êr.1ol E! êp rLo^nod êl êp saluess nd snld sêl so]DedPr sê
êp tuel asnel luo rfb suors0?p sal tuos or tê alqelr^ êrpuêrdde luoJrnod sl ,fb ql tuolr]olu êl e,nb lso,u êl .raq^)
-QUl I eto orq!-ros snld e anssr,l s êu-rLuol.r Be,p QpDQp p lelsrJl Jarulap ol .r r^nol9p rnod pêf np sêlell sê êl^lns e
apreM 'e prour êN ole] rls SlueLSuPs sleqLLlor êp srolx otoqxa sêl ta êpreM êp êluêosord êp uorles lrlf,l .rns a8el
sêp sQrdV êlua lsard ps êp ênbQsuulur êluênbqsuol el -ue^ep ]eJe la so tnêd lr.nb fd sêl eLu]o]ul uêlple8 êl
uou lo suorsr^ sas êp uolluol ua solodo xtoql sotdold q
(BB a8ed eL sfo^ zatlodêl 'uo leu lsap
sês êp tElns?r ê :lsê olrJnlsqo,l suep êprEM êp êlnLll el
atlêl rs oql q êpJeM ?ssnod tuo rnb suos er sêl lê ol?ue d
'aro^ ouuoq êllal .tfs sn d ro^Es uê rnodl pueqeJon Jns I neêss e^ uos
eL .rns êrllêLlrêr sê êp so qtldaJsns s rêsuol sanb ênb suEp ErprolurêN olel tue]]!fb uo êrplrêr ês lreldurol'?ssaLq
'É'r, rirlto rnêt lnod uorprpa a 'êtQnb rnêl êp ]uêuroLl] un 'apreM !o tuaLualPâQ lies ll fd xne Oddeql? luê elne lnb
q luaqluPu slr,s alrol el êp .rnlsqo QlQl np lêlnlseq slrptqp sê rê qL!ol ap uarpreS fe têLlrJad tê stuêLr]êuQ^Q sêp
t'l\ dO.e\ _\ .o/a cèrde Ia.dnO.'-o. r-.'pt.nod ^d tI têtdL-Lrol sQ]d nêd g n5rêde un êrlio elsul êl 'luêfb?suol
sdld'll ptr,tl'.. rqrOO D r-.eJ.r saata.dOd" I red paT np ]]ed el êp otrarp uorluê^]êlul su€s sêluêu
odxa sês toq]osqE.p onurluol e totuJep êl lelsul êl lê^P
êpreM êp qlrurxord el êp lê uo xoulror El êp uos er ua sQ-lde
sltrlHdEud s]0 sul9NvE s]] êuror\ sonS?LQp sa arluor lnesse uos luPp?rqrd sarnêq
xne,nbsnl suorlEr.Lro,ru sê la^fou êp ?lnote e êpJeM
uou no êfo]] êl êp fd xne
td $nêl êp suorle^[ot! sêl Qt]ad êJqrl '.rlls uarE 'o.r? uEUr ê11êl êp uê preS êl a.rdLUoJrol êp
-sêl 1ê êlor rnêl oloJdtalur uêLq .r
o^e rnod srnêno[xne sê]reJ rnlsqo olol êtrêuloduê.p uqe loq^I xnEts D sêp lueuê^
uêLuolddns dX sop re^oJllo tnêd ft^,J êl srnolnol auJuJoJ -ord suo leur.rolul sap tuêuJonbrun rêqrosqe .rnod sn:uol
dx0L:sor lUOS SUOTIOIOU Sêl Onb.rênbrldxê rnêl lnêd aLUUe]Ëoloq,
-aqo ue eO sêurJd êp ]nêsseqr êl ?tuorjle ro^e Jnod . 'tuêlQrnbu uê,s fd sêl rs 1uêurêlrodurol uos anb snld sed
'êgtraJJE Sed tsê uê,u uêLpreB np Qt leuuosrêd el 'rnlsqo
: dX : lPêf sal lnod salul
I alol np aln!) es g sJnaLrQlsod stuêLuêuÊrêsuêJ surelJêl
-edu-r^s sas rêlo^Q.r sues 9 L9 Hl aJtuoruê] .ro^E rnod . op Êuô?rdLur t e, rêq,()l ets r) êl lê^e êp]PM êp uêrl êl
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ênbrtenbe êtQueld êun -rns êrpuêr ês êp sJolp èrQ8âns rnêl eld el 'pueqeror\ .lns êrpuê.r ês êp uorluêlur.l le^e
êpreM ênb tuo-r^norOp Td sêl : agrlqno olQueld e] ..
uêrpre8 êl êrdLul,l red sêoqrel qla luo pueqejor\ ap
sê?uuoproo) sal ênb rr^nol?p q sed luaprel ou sll onbu : sê1ue^rns suoqlês sêllnllur êrlrdeLl) èl
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rêq^)l lelsrJl aurQixnap np ê)€i3 lrê^nol?p ro^E sQrdv 'sê9ullsêp sêrdord s.rnêl rlldurol)e rnod 'LrosleJ el nprêd
'êpreM êrtc alQ^qr as êlruua,l qtrs sreled .ro^e uê.p lurod ne 'rn)sqo otQl al lê ?lrlrqedlnl el red
uêr)ue un Jurêlle Jro^e sQrde : êplPM ottns ap uos o_l r !ur lê ?âuo.r 'luP^r^ s]nolnol rpaT uar)ue,l ]uê.r^nol9p sli
'rê^nojl luêreJQdsê slr,nb êpJeM êp nPaqurol np êlPld Pl
'opreM ep e '?los?p tê ê]]srLrs êpuoLu êl rns pueqPror\ 'rl]!s êlQu
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-tdu snrc| êlclt.têd al pua/ u4 r?J ê.rlret/Lloc orb.,êsLtad l/e.!nod iro,
Mr. :T1' :t1\ ID
Données d astrogation : s),sième cle Horuset. regron de
la Bordure Extérieure
Mesures orbitales : 780 jours par anl 28 heures par jour
Gouvernement: aucun
Population : aucune population douée de raison
Langues : langue Sith (uniquement des inscriptionsJ
Terrain : montagnes, canyons, étendues désertiques
Villes importantes (ruines) : Dreshdae, Kaniset, Vardin
Sites intéressants : Vallée des Sombres Seigneurs,
palais Sith [ruines]
Exportations : aucune
lmportations: aucune
Routes'marchandes : aucune
Coirditions particûlières : vergence obscure (cf.
page B0J
Contexte : Moraband est I'ancienne planète des Sith,
mailres du coie obs.u. de la for(e e[ ennem's JL,res
du l'Ordre Jedi. Comme la plupart des vieilles pla
nètes, Moraband a reÇu plusieurs noms au fil des mil'
lénaires, notamment Horusar, Crevid et Korrivan. Cha
cun d'eux a longtemps eu des connotations maléfiques.
N,4oraband est une planète nimbée de mystère, dont les
nombreux secrets ont été perdus au fil du temps. On sait
que les Srth sont nes sur Mordband ava,1t de propager
leur malveillance à travers la galaxie. De nombreuses his-
toires évoquent la déprâvation des Sith et leurs guerres
de conquèlp. I es dernieres se sont dèroulëes il y a un mil
lénaire, et ont provoqué l'anéantissement cette espèce.
Pendant un lrll:er d'annëes, celle dernrere e5l re5lee
absente de la scène galactique, et les récits de ses atroci
tés se sont transformés en mythes et en légendes. Depuis
peu, l'Empire s'est efforcé de détruire toute référence à
Ny'oraband, et presque plus personne ne connan l'exis
tence de cette planète.
Jadis, Moraband était un monde luxuriant et verdoyant,
qJi dbr.tair oe norrbreLseç e5pè(es an:males et vëgetales,
des champs, des forêts, des pics enneigés, des ruisseaux
LA PIANÈTE MAUIITE d'eau fraîche et même des océans. Aujourd'hui, elle n'est
plus que l'ombre d'elle même. Dans leur cupidité, les Sith
oraband est une vergence, un endroit où la l'ont ravagée en pillant ses ressources. D'innombrables
Force est fortement présente. Même si ce champ guerres réparties à travers les siècles et ies millénaires
d'énergie imprègne et relie toute la galaxie, les etres ont achevé de défigurer la planète et d'exterminer toute
qui y sont sensibles peuvent la sentir de manière plus trace de vie. En outre, le côté obscur qui sature l\4oraband
intense à certains endroits et s'en sentir plus proches. empêche toute croissan.e. Meme après tant d'années,
Les plus puissantes vergences peuvent meme être Moraband reste imprégnée par ce mal qui éleint toute
détectées par des individus normaux. Ces der- ëtin(ellp 5u\.eptibre de donner la \,ie.
niers peuvent vivre cette expérience de nombreuses Mo,aband aDrilê un grand 1o,llbre de villes en.uincs
manières, en fonction de leur état d'esprit et de la 'et
d'anciennes nécropoles Sith. La plus célèbre de toutes
nature de la vergence, mais en règle générale, ils n'en est la Vallée des Sombres Seigneurs, censée contenir ies
comprennent pas la véritable nature. dépourlles dês plus g ands el de5 olus infàrnes Seigneurs
Moraband est une vergence du côté obscur de la Sith. Le côtê obscur règne sur cette vallée avec encore plus
Force. Celuici sature Ia planète au point de boulever- d inlcnsite que sur ,e resre de Mo.aband. À bien des êgards
ser ceux qui s'y trouvent. Il attire les parangons du côté la planète entière est un cimetière, un tombeau pour les
lumineux vers l'obscurité tout en revigorant ceux qui Sith, individuellement et collectivement. Même à prèsent
y puisent déjà leur pouvoir. Cf. Utiliser la Force sur qu'ils ont repris l'ascendant, il est rare qu'ils se rendent sur
Moraband (Vergence obscure), page 80. Moraband: Élle demeure, selon toute apparence, morte.

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un rêssed truê^nêd soroq sêl 'fr\ np 1ê fd sêp sêruarglqrd
sal uolas êtQuPld e rê^noJt êp .riodsê,p nêd luo fd sêL
'pueqPror\ .rnod sênbrLldPrSorlse sêguuoproor êp êtnel
'sasnau?1s^uJ sêluel
'suolJ l sêp suep nredsrp luo snpl^rpu sêl sreur 'saruuêlop
sêrQ urêp xnêp sap srnol ne lêsnroH ap êurQls/(s np êlJel
9l rllqel9,p ?,4esso uarq luo saLldPrSoIse sanbLono xneas
-sle sal snol êp sir-rêleurprot^eu sêp 'uorsuêlxê led 'la sêqu
uop ap sasPq sês êp pueqeJol^ êp uolle8o]]se,p sa?uuop
sêl satnot êrr1êr lr,nb rnod (sso8) sorellats sa)^ras sêp larl
'glo neê.rnÉ ê Jns uorssê]d lreJ êurour e êJdul,l êrxeleB :l ns tnb al zêsPlqdeled
el s]o^e]] q puPqeror\ e a^rlelêr uorteLlrJolur atnot..rêlellê p \o zas\.rL a8ed salrlQp sê Lêl sêLlêt atQupld altêr rns
oluêl e 'sêluêâP sêJ]nE,p ]a êleuqdurl glunlgs êp nearnB np êseq êp suorteu.rojur sap irurnoj lnad uarpreS êl rpêf sap
srErq al red autedlPd .rnê.rodurê,1 'lêllê ul uo0elursleJ êp êJOlS rl, ]l',rS SOltrlUêd lUOS êS rnb Xnêl S UTiOL-l mU,pJfOlne
ênbsL lnol]ê1r^O.rnod sêqlosr selpuqdur ?]d sa rqlrB sap q tuessreuuol ol suaâ ap nad rel fd xne uar.r ênbo^Q,u
sQlle ]uête slr,nb surour c'saguuop êp saseq sêl suep uorl pueqe]ol ] êp L!ou êl onb olqrssod tLel q tnot tsa ll
eLUJoJur aunlnP tua^norl êu sll 'êlQueld êllol reqlror-l)êr ap
lualuê1slr,s 'srnol rE,c n€ossrs^ lenb a!odu,lr,u êp rn al suep
ru rfatPu pror^eu êl suep êlQueld ê11êr rnod a?uuoplool
êunlne êlslxê,u Ll I olllQlqoJd XnalJQs ull q lualJnêLl ês sll
'pueqerol\ e,nbsnl1êterl rnê JasrueEto ? luoluouJuJol slt,fb
srol 'tuêLUêlerpau.rLl-r.]uêllre uê,s no 1uêpuaup fd sol ano
tuêuJoprdeJ riIPd
e rêlrlur sal lreJ^ap rfb êl lanb]euJê.r êrel ês Jed ruu êr1o
lnêd tuo]ne sl lEseH urêruo,p tê uerq.rl lnp np saJpnol
sêl rêtr^q e rssnQr tuo sêBeuuosJad sêl rs auron êLll.roLltêl
rnaL g 1ual]ed sJorurop sar'eJJo[ q Jno[9s rnêl êp s]nol
ne sru.rauuê sap 9Jr11E tuos as ld sal anb tê'1uêuta^noul
al rêr?l?lle arQlQ.rd fL\ êl rs sduêl8uol ts stndop a^no]l
I,s apreM êp r'rpoquJot ê onbsrnd pueqeroL\ rns êipuêr as
êp sdurêt al lnotr Jro^e tuênirlsa fd sa ênb ê qtssod lsê ll
IOUVTTU rUVdgO
uêsp.rqctered no zêsir 'uo.,oroq,r suep
êrard er ruêràl; ljs:]
atsê] nP ênbuolrnb rnod ru rpaf
un rnod luellrênrle trorpua un sEd lsa,u êJ êllo! el êp ênbsrol êpreM êp uorteu]sop êuuln [1uêu]êlqeqordl tê êllê^
) ]nrsqo gtQr êl red aouSordl!r srnofno] tsê pu€qeJol l
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?l sndop sourn.i ap sel un P alnpor o1o e pupqpro/\l .
qt!s xneoquol
xnêrquJou op aluqP otQu€ld PL s êurQLtr 'pueqeron rns

rlnsno
slnolsês ruU nlno^ e apJeM ronblnod ê.touBl uêtpleB al . III NÏtT dïn
UN LÉGER DÉTOUR
I n labsence de donnée5 aslrographiques por.ll Meme si les coordonnées de Delriss sont disponibles
LMoraband, les PJ nonl au.un moven de ldrleindre ni dans n'importe quel naviordinateur utilisé par les PJ, elles
de trouver le tombeau de Warde. Cependant, le gardien sont un peu obsolètes, car les astrographes ont tendance
peut les mettre sur la piste. Le temps qu'il faudra pour que à cootourner le système. Le MJ peut requérir un test d'As-
cela se produise dépend du moment où les PJ activent l'ho- trogation Moyen (O 0l pour élaborer un itinéraire. En cas
locron et consultent le gardien. de succès, il faut environ dix heures pour atteindre Delriss
La suggestion du Cardien varie selon que les PJ l'ont for
depuis Cato Neimoïdia. S'ils échouent, il faut six heures de
mellement informé où non de la destruction de I'Ordre Jedi plus, et si le test génère V ou ië) (§) (E) (4 , leur vaisseau
qu itte I hvperespace en frôlant le puits de gravité de la pla-
,,";;";; ;;steüli
et de I avènement de t,Em pire. s'it.
nèteet,subit un dégat critique [cf. pages 249-250 du Livre
ienore pourquoi it ;ur
n'existe aucune informaiiàn
de Regles de FoRcE Er DEsrlNÉE).
ùoraband, mais suggère de se rendre au Temple Jedi àe
Coruscant, persuadé que les Jedi peuvent les aide.. S'il est À ]'arrivée des PJ sur la lune océanique, Iisez ou
déjà au courant de la destruction des Jedi, ou si les PJ lui paraphrasez ce qui suit:
en ont fait part, le gardien présume que l'Empire a sup-
primé toute information sur l\4oraband, même s'il n'en sai-
sit pas la raison. ll propose alors de se rendre sur un loin-
tain sanctuaire Jedi situé sur la lune aquatique de la
planète Delriss et censé abriter les renseignements néces-
sales. LiseT ou pd,dphrasez re qui suit :

Delriss est une planète sans lntérêt et inhabitée, mais


ses coordonnées sont incluses dans la plupart des Iâviordi-
nateurs. Ce monde possède deux lunes: la première est
totalenrent aride, tandis que I'autre est dotée d'une atmos-
phère de Type I et d un ocèan qui recouvre toute sa surface.
Les PJ ne Ie sauront qu'à leur arrivée, mais le gardien a rai
(on de pêrsêr qre le , orple\e Jêot a su1e, J à ld ou.gê.
Cependant. ]es années n'ont pas été tendres_ avêt le bâti- ,T.*.
îênl. (omîe oie.lot
tls re oecou\ I I onl
, 5_
:1 ' rry,
'\"
DELRISS Â.''"
ëi
Situie cldn, lê regton de l'[\pdIston. Delriss esl. une pld- ' " ]-'tt
ro(arlleuse et inhosprLatiere
nete ro(artteuse inhosptLaliere dotee à:;'#
d'une ilil##
atmosphère 1
t" , ,,,|
de Tvpe lV. Bien qu'on y ait autrefois extrait des minerais lr
rares. ces mines sont depuis longlemps epuisees et ta pla-- . !\ i.
netê est inhabitee des millenaires. Une des deuÀ lures de=
la planète est un rocher ahde à..1'atmosphère rare, tan '
S-
1*
&.i:r'
clis que laulre dispose de (ondittn5 favorables à la vie.
Cette deuxième lune est recqJverte d'un ocêan qui abrite
de nombreuses espècesrinais aucune douée de raison.
Dénuée de traits remarquables ou de créatures douées
d'intelligence, et dotée d'un environnement qui ne peut
(onvenir qu'à dês organismes aquattques, (eUe lune a ëté
totalemenl ignoree par les rolons el ld gdld\ie. C e\l donc
le lleu idéal pour dissimuler un cloitre Jedi.
IlltoëtD no tltpf,o {:,
I
l
'- 5!nbtNouHl s30 NII
I
+ ii;
I
'êopuoui êlles aun ras.ra^ell.rf od sdLuêlâuol
zêsse ollnos lnêl IuêJêr luêAnêd sê8eluoslod sol rs -lro^
ap uue eluets sqà ap slsol sêp no 'uorlelrluê^ êp strnpuol
sap no sê?lurol sêi]od sop s,rê^ell e Jê ultet ês inod uotleu
p]ooJ êp slsêl sêp 'suosro r sê rr^no,p uue oLus t?lLllvp
no ênbruerQr\ op slsat sap J]Ofbêr lrêd lr 'êqlgt el rênbrld
uror rnêl rnod reSueq êL tuêLuêprdel luauSlalle ld sal ênb
.inod o^rlEr.reu arArueLr êp rêr?A pl no slaAuEp sal.latuoLurns
rnod eluolQduor êp slsêt sêp truepueujêp uê ]a8uolord el
1nêd fL\ êl aqoqdo.rtsnell atupqLue êltal tuaDOrdde slt,S
s]nênof sap Sê]uaro,tgrd sêp uortluol uê ff\ np uo tq]lsrp
el q ê?ssre tso êJrentlues rp uo leroldxê,I êp ê?rnp el
(Bl aâed i lnâd lnb o^nes
p) êxoldLUol np .rnolne êuJno] nb êrnte9.D êsso]8 aun,p
êrqLUo,l no sarl,uôJ sol .l9d luauJê^noLu un luê^ojtêde
fd Sol 'altne q sduêl êC ênbol el ap tuEtrêluolop tuêLll
'êru rÊ è tê 'sêtual sesso]8 êp tr lrel no ollnoÊ e ê1tnoÊ ne
ê nolO,S rnb'neê,1 êp tuetsuor trn.rq ê ted O qnoJ:l:luêLuêlnas
'êuâQ.r alua rs al
luêurêlênluê^Q tuêUêlord slr,nb êlQruJn
E êp uorldêlxo,l q .lnol un suep êLLrLLrot r ou l el lr 'êr pnl
luPs êl luê.roldxê fd sêl pueno 'ê es luaLlrêuuo]r^uê.1 q 1ê
uort sodxo,l q snp ste8op sêp lqns luo la sdurêt a lê^e sê?l \
-ou010p luos ês sê?puour uou sêuoz sa_re.l sal êulQt\ .tnê Jol
:1ns tnb êl zêsetqdeled
xa, ênb ]e1O Jnêllrêur uê sed
lsê,u êxêldL!ot np .rna.r?lur,l no zastl 'uueur-snos êxoldu.rol êl suep êQ^t.l.le tfa V
ro.r^næu€LU a Dul p snld êroluê
|-' raLlro,p sel uê (tupsreld su ou] ua q lê)Buol sn d uêrq a.rQ^e,s
^,p un oLutol o.lQtua
lso r.nb uêrq rs'sqr8êp 13ur^ êp êl8ue
\ lêlerl al rs oulOLr-t '1uêurtleq êl êrpura]]e.red lruU neêssrp êl
]no1 êrnlln.rls el 'lnol a lêsJol Jnod soqpuou suorllês 'lelnsQr np luêLlrurepuêd?pul (lrNrrsro Ia rluoJ êp sêl8Qà
sêp êrlua sonlLs no saq lêrs suos oll sop l?d s?nbo q luos
êp êr^ np 092 6ra sê8ed
l !)ênbl]]rr tqSQp t t qns lrêrpd
sotlne,p ênb s.lole'SêlqrsSêlte lê sn8rluol luos sr olnol la
sêllPs sêl êp aJquJou u el-rê) uTl êlred uê surour ne 'lês
de,l ' A êp ser ul
(-6) (È) JEd I sntd 'ênbrueloLu ssêrts êp
q tuatsêr sêuoz sênblêno sê]nJ sê lo^fou ap lueor) Lêrl stu od t trqns neêssre ê 'anoLllq ,S Oll) tueptulrut
-ernp êp Sonbeld sêl la SUoSroll sêl rapgl lre,r Lnb uorssêrd (aledsts) oâ4olld ap lsat un Jêntlêllêlrop êlo d ê 'êr e,l]uo]
Pl êp uos eJ uê êxêlduol np so t.red soJln€,p suep êorllgu ser a sup( pêf êxêldurol êl arplrêlle rnod êJLpssolQu
lsa,s neê,1 ]ê sopuou luos sro nor êp tê salles êp a.rquou lsê,u êluêlodllor op lsê] u|lne'feê,] sfos osrlrln êrlQ rnod
puer8 un sêruuêlqp xnêp srndêp uêrtêrtuê,p anbupLlr np n:uol o nlrqo^ un,p no nEêssre^ un,p luêsodstp fd sêl lS
tssne sreLLr 'ênbol El suep suorle.lqte sêp asnel e luêu Laredde,l :luau-rêLqeJnp JêSeurLUopuê,p
ênês uou 'oo8eLLrLUopuê luêuJê^e.tË lsa ê.lnllnJls e1
ênbsu rnb êl'sqlt)t os luêLUêl.rol luos uoLslfdQl e slnêloLu
Q ff ) rueplunut ausll?tqlv.p lsol sa Jpl'Ql rêsuol sed lsê,u Qpqlord êt sLeut sêpoLOd sêlrnol
u, no OO uê,(ol so lno8eht .o ro ènbluer?hl op tsol êp luepuêd npê,1 snos Jêr9do tuê^nod sêlQpout rnêrqutou
url allssêlqu sES un luou.tê ênuelu Jr^no lê ?lorJllol?,p êO êOnbr duror €.ros êLllq.] el steut 'êlteJe,l plal to.redde lnêl
q^r.rd lsa a.lrenllues êl lros ua lr,nb onO nea,l snos luelq 'êrertuol se) êlsuec sqlntgl p êp sed erêsod êu êxêlduJol
uê lnol ênbLslqd :luaLltê^nou.l un luênbtldl!t tfb slsêl xne ne,nbsnlrê3uold ê qrs.lêLuqns alnltqQ^ un no arqt!du.te uon
I I alfofe êOs!nssêrd uosreulqu.lol aun suep ênb tQtn d -esr rtn oun .rnod n5uol npêssre^ un luapQssod fd sal iS
a erteds uosrpuLqu-rol êun suep .rê3uold
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"ffrUflO sê?llrêsuol sreu 'sêirpssêleu spd luos êu sêOSUnssatd suos
[a]edsI) oBEtolld op æal un lrê nbêl ênbttpnbp ê8€sn un
-reurqulol sol a8esn lêl rnod san)uol tuoruêfbU lQds luêtos
rnod n5uol uou lêredd? un tê-r]euJv êâeu el ? êlnlln]ls e
au sa a,fb surolr E êlrnpQl sQ.tl Oltltqou êun lê^E steu neê,
êrpu êlle la soAsr.lnssêrd suosteutquot sap.lal!uê no ses un
snos rêsrlrtn sal ]ua^fêd slr 'neossreA.lnêl op ploq g sê e[eds
.tpd luêurêllêrp rêrluê lê feêsste^ lnêl rê|eLUe r tpêf êxê d
uol ê suep rêrlquOd .rnod fd xne luêrllo,s suottdo xnac suosreu qLuol sêp qfQp tuêpQssod sêâEuuos]êd so tS .lrol
np sed tuosods p êu sl ,s Êudo]dde lêLiglEu np luonble,p
tx3ldwol 3'I tlùo-tdx3 ld xne lêto88ns êLlrQLu lnod lê ênb ue?lo aunl aun lns onlts
]sêaxêdulotêl ênb anbrldxo ua p.leB ê 'êO^utp.tnêl lue V
rê nrspq ïEJ te^e,l iro êseq es lqrpJ€ tLe^e êsotll ênblênb s
\ êLULuol 'luêurêrEzrq or-lluad lêtluê lnol êIEnllues ol ênb.lte ) n^rnod?p nP sud fd sap
uf êrnleQ]] êssorâ oun p sênp sêrnlju8 êp no sêlns
lsê lr 'ê_rlno
rnod ênbrleLUo qord .latQ^e,s tfêd luêLUttpq êl supp lê.llAu9d
,,) -.roLU êp sêr€ltsêp agrruêp alpgJlq aluessteuuo) lê êrpurêlle ueoto,l êp êlejrns e snos êtlQLuo ) un,p sn d ?
Oi ) Anl s tuelo êlll p?,1 spqarluol uê stnêpuolotd sal rns êtupu
) ap lsal un ]uentrêlla a8puuosJêd un,nb spuEt o]lon8 êp
soLl.re sap e no sratsElq sep q snp slg8op êp êuÊrs unlne êlQ^Q] uorssê]dLL.r ênA êun êrljo n nb êuueut-snos êl?le êun q
t oorlue 'êO3rêLuu.r luêLuêJQtluê lso ê.tnltn_tls e-l a.lteJle allne
au (|f ) e11o!Jr1q (uorlernpl) oruessleuuo3 ap no
Q) êun tsa rêpQlre sreu s?t ntllrp êp dorl sues pêfê]len]
ua^ol olrollluvp lsal un suoLlerolel sapuEr8 op oaus
'Ieredde anbor el 'sEs un,p otl)aqlê] e g êxêldulol np ]nol lues np luaurole ^dLLtê,| C,nbsnf fd sê têptn8 tnad ua pJpA ol
a lrEl n€assrernê ênbsrol n^?rd anb lela orld ua 1sê êlrl
-rnrts el afb re
l luor^ap !nêuotur,l q tuêrtuo fd sal puefO
IA BIBLIOTHÈQUE En fouilant le hangat es personnages lrouvent éga ement
Cette retraite isolée abritait autrelols les archlves des les restes d'un drolde astro.nech de sér e R parmi les détri-
Jedl ainsi qu'une bibliolhèque où iLs étudiaient dans la tus. Son dôrne a été arraché de son corps, et son châssis est
solitude Ny'alheureusement, cette dernlère, comme la lardé de prolondes entailles. Réparer 'astromech endom-
majeure partie du complexe, a été inondée ily a plusieurs magé nécessite de réussir un test de Mécanique lntimidant
années, eL il ne resle presque rien de récupérable. D'an Qf f ) et de changer la rnajeure partie de ses banques
ciens parchem ns irremplaçab es ont été détérlorés et de mémoire, de sorte qu il ne conserye que peu d'informa-
des banques de mé..oire informatique ont été gravernent lions sur l'époque où ll servalt l'Ordre Jed . ll possède cepen-
endornrnagées par es années d'exposition aux eaux. dant r.rne excentric té qul sou ève le voiie su. son passé : iL per-
Ouand Les PJ pénètrent dans cette zone, Lisez ou paraphra- sisle à appeler tous les êlres vlvants des n Werron, [ce que
les PJ cornprennent de ses bips et de ses slfflernents, tout du
sez ce qui suit :
moins), mais si on lui demande pourquoi, il l'a oubLié.
Le Delta-7 est en mauvais élat. D'abord endommagé par
son changement de position, il a été dégradé par les lulles
d'eau et de carburant au fil des ans. Cependant, son naviordl-
nateur est toujours intact et contient es coordonnées de
Ny'oralrand, puisque ce complexe a échappé àatlention de
l'Ernp re, rneme sl Les PJ peuvent s'imaginer qu'une attaque
impér ale esl à l'orig ne des dégâts de la station. Les joueuE
Rêcupérer lout objel de va eur dans cette salle requlert auront peut-être 'idée de vérlier le navlordinateur du chas
ur test de Perception ou dÊ Connaissance (Éducationt seur Jedl. Dans le cas contraire, tout P.l dlsposant d un ou
plusieurs rangs en Pilotage (Espacel ou en Astrogation prend
oifficite (t) | ). Chaque PJ ayant réussi ce test trouve
conscience qu'iLs trouvercnl stremenl es inlormatlons dont
un ancien parchemin ou un datapad contenant des inlorraa
ils ont besoin dans e naviordinateur de l'appareil, à conditlon
tions intéressantes, mais peut etre pas d'une utilité mmé-
diate. Voici quelques exemples d ouvrages ou de documents
que état de ses syslèrnes lnternes leur permette d'y accéder.
susceptibles d être découverts: Ma gré sa décrép tude, e chasseur est inlact et en raeil
. Histoire du tenple Jedi vue por un étudiant Leur élat que le cor.p exe qul l'enloure Un test de Méca-
. nique Moyen tf ) reussl permet de le réactiver el d ac
Ménaires d une défoite : sauveniÆ du Conflit Séporatiste céder au navlordlnateur Les PJ peuvent a ors lélécharger
. Docur.entation technique complète de 'lntercepleur les coordonnês sur un datapad ou un ordlnateur potable.
léger Delta-7 de classe Aethersprite À défaut, un personnage disposanl d'Astrogallon peut se
contefter de les gardeI en mémoire.
. Série de songes et de poésies écrites par I'obscur phllo
sophe Jedi KeLin Dass Certa ns PJ peuvent vouloir réparer le chasseur Jedl et
repartlr avec. Réparer le chasseur requierl quelques heures
. Réflexions sur la Farne !ll : Résoudre ]e dilemme entre de travail et un test de Mécanique Difficile Ol). Sl e
pauvoi r et protectio n par e Chevalier Jedi Auri an Ny'J prélère refforcer a lension eL ne souha te pas que es PJ

lndépendamrnent du résuLtat du test, les PJ ne aient accès au chasseur à ce stade, le prédateur aquatlque
trouvent pas les informations qu'ils cherchent dans cetle peut altaquer avant qu'ils n'aient achevé les réparatiors. lcf
salle. Au moment rnêrne où is cornmencent à baisser les Sauve qui peut Ici dessousl.
bras, ils repèrent l'entrée du hangar. Cela ne saute peut Pour consulter le profi de l'lntercepteur Delta 7 Aethers
être pas aux yeux, aaais il conlient es rensejgnements prite, reportez vous aux pages 258 259 du Livre de Règes
donl iLs ont besoin. de FoRcE ET DEsrrNÉE.

LE HANGAR SAUVE qUI PEUT !


Le hafgar du complexe est à peine assez grand pour abrl Désormais dotés des coordonnées d'astrogatlon de
ter un cargo léger, ou peut être deux ou trois chasseurs. Ny'oraband, es PJ peuvent abandonner le sanctuaire. Cepen
Actue lement, un seul inlercepteur léger Delta de 7 dant. qu'ils aient l'intention de partir mrnédiatement ou de
classe Aethersprite lrone à l'intérieur. La zone est en consacrer pLus de temps à explorer la statlon, les clrcons
désordre : le sol
est jonché d'outiLs et de plèces de tances vont lorcer leur départ. Dès que les PJ ont récupéré
rechange, des tuyaux el câbles rompus pendent du pla es coordonfées ou alors qu'ils sont occupés à réparer le
fond- Ouand les PJ pénètlent dans le hangat isez ou Delta 7, un énorme prédateur aqualique allaque la station
paraphrasez ce qul suit: après avoir déteclé de la chair lraiche à intérieur r les PJ. Au
début de cette rercontre, llsez ou paraphrasez ce quj suit :

Z
FtN DE9 Cr.lRONrQUES
ctf of, cr.Es Dt, GARDaEta
: J[]S rnb ê) zêsprqdered no zêsll {sroJ
arQrurêrd el rnod ô.rnle?rl el .|o^alrêde 1uêutelqeqo.ld lêJ
êt0rl el êp rêsueprlosÊp as tuêLlltqq êl ..ro^ rnod sdulal
q êlsnf]rnluê.s e lê proq q rêluolu q luauuêr^red slr 'neês
-sre^ r nal s-rê^
luêluoj slL,s 'nol rnal e sêqLuel SrnêJ ê.rpuêrd
luê^rop Td sêl êt?rl êp êu8rl ei êp snld uê snld êp êtrel9.s
ellê.nb 1ê xnê,p rnolne êlnojl9,s uoJlels el ênb srolv
rlàfdsrsro srrnJ
'lrêreddÊ rnêl rêuâeâo] rnod uors
-sê.rd pl p sdLuê]8uol zasse al^l^lns lueJQdsê ue rllros
êp uue ses un rêlun..rdurê,p no êxêldr.uol êl rassêrpê.1
rnod neassle^.rnêl .rêsrllln,p êss13e,s ll,nb 'uorlua^ur .rnal
ap ueld lanb e]]odrur,u € êle.r8 rêddeqrQ.s êp fd xne
êlueql êuuoq êun iassrel liop fl êl : arnluê^P,l êp ê9rnl
-eu9]d ug el ]ênbo^ord sed ]uepuadêl lrop au luod êl
'neêssle^ rnèl ajpuralle nd lugle 5ll.nb lue^e srnêpuoJ
-ord sêl suep rêrquos e êruêLuu.rol 1ê ê8olop ês êxêld
-LUOI al 's?le] slsêl sap e snp spjelêl sêp luesslqns no
. neêssre^ rnal lueu8eâêJ uasdurat np tuap]êd Td sêl ls
'lnol np rauuorl)uo]
sêr.ure sêulPUêr 'f[\ np uor]qr)slp el e 'lê
neê.I snos s?n1lêgê al.lall!lJv,p stsal
elêllnp?.] tuauaSrEl gtDer lê rnêl
saosllrln êr1o rnod sênJuol
sêl rnol al ê.rel ]a uoltets
el el lns -ral!l .rnod uolselro,l
.r
ns ti 15ê Td Sap Un,l rs
rêrluê
(l§ all:e1 ep
-rurul un e.nbsn{l êOler ê^Belua] rpd L ap êlrnpor Ollr
aun lê^e tsêt al rôtqdqr trop otolld êl !addeqlQ,s
rtsêC tê arrol êp saj8QÈ êp êr^r-'l np 09U-6ta
neêssre^ ne anbrlul lg3Op un êSrllur tê ênbol el arproLu e
luêr^red arnteêrr el 'ê no ii) i5-) i+ ê]aua8 tsêt êt rs i§) iÉ)
]ed lurod I snJd 'ênbruerqur ssêrls ap slulod t lrqns nEos
-sre^ êl 'tsêt êl alpr Td êl rS J e,l suep tuenbE{l sêroqleLu -roo3
sês 'trpuoq êrnte?rl el qo êulQru tuêu.roul ne addeqlO.s aBnoq
ses êl
le êlelns el e êluourêr lrêrpdde,l serlns op sel ul Z ap
ê1rnp9l ?lnl Jrp è11êl luêro^ neê,1 snos sgsrlrtn artQ rnod
snSuo) xneêsstp^ sêt 1QQQQl lueprurnul (êlpdsll êÊel -n ld
-ol!d êp ]sêl un rênlrêljê lrop sêpueuuror xne a8euuos un sed
-Jad êl ad sop lra.redde.l ap êlrnÿnod el e êrupl ês ênbq red lluU lê êleld ua
enbe al]suour êl 'atrnjtqp tuos?rd e êurÊr]o.p êrord eS -L!Opuo êlla'ad sêl
,rêd êp êlual lê slnessp
'aloq el êp tuêLuê)eBe.l
sellêDUrêdns dort luolas sêJnssalq sêl 'lrua^led,{ tuê^nad
.rêsel sêrqes sêl rs
lê sêllrelo sês êp Jnâsslgdg,l JalJêd rnod
sluessrnd zêsse sed tuos êu srêlselq sê'l tuêsodslp sltluop
sdual êl suep sed slrlolu np'aJnle?ll êllêl êp têqduJoul
êp êlueqr êünlne luo.u lê JUêurauuosrer al rluêl êp uoslel
luo fd sêl 'neêssre^ rnêl ]êSeuuopuê.p êlqedet lssne lsê
ll 'rpêf arenlluEs êl rêSeuLuopuê,p êlqede) tsa lr,s '1nol
sQrdv uorlels el e enbe$e,s rnb êrlsuour al rêluor]je,p
anb ]gtntd rtred êp tuêplrQp fd sat ênb êtqpqord ]sê ll
tsê] ne nuêlqo 16) ied
tê ê.r.ral ê]tuol olej 9têJord
! snld 'ssarls êp tu{od t Iqns.(QQ)
tsê tsê1el êter rnb l^d enbeq3 uaÂo6 uolleulprool
êp tsêt un rôpueL!êp êp Tr\ ne ollrasuol tsê Il êJqrlrnbÊ.|
rêpjeâ rnod tuêInl Td sal 'er]8uet axêldulol êl ênb s.tolv
:--
,t)

- UN MONDE DE PEUR ET DE MORT


I Ine fois oblenues les coordonnées de Moraband, le monde
lld'origlne des Sith, les personnages peuvent enfin attelndre UTILISER II FOREE SUR MBRA.
le grand finalde 'aventure. Puisque les données d'astrogation
datent de p us de vingt ans, un test dAstrogation Difficile BANO [VEREENEE OBSEURE]
Çf ) est necessalre afin de ral ier promptemenl cetle pla'
nète interdite sans problèrne. Si les PJ réussissent Le lest, e I a planète [4oraband est une vergence, un lieu où
voyage ne prend que quarante huit heures, slnon il nécessile L la Éorce est exceptionnellement puissante. L'ancien
douze heures de plus. S ils échouent et obliennent en plus monde des Sith est imprêgné par l'ênergie du côté
lÈf {È) {È) ou V
leur vaisseau sappToche dangereusement obscur, qui affecte les utilisateurs de la Force de diffé-
d'une ombre gravifique el êmerge prémalurément de l'hype rentes manières. D'un point de vue spirituel, I'expo-
respace, ce qui lui infllge 4 polnts de stress rnécanlque et un sition constante aux aspects ]es plus sombres de la
dégât crllique (cf pages 249 250 du Livre de Règles de FoRcE Force est épuisante pour les adeptes du côté lumi-
Er DESTINEE). neux, qui doivent lutter avec acharnement pour ne
pas succomber â la tentation de puiser dans l'éner-
Le système Horuset, baptisé d après son éto le, cornprend
un champ d'astéroides et sept unes orbitant aulour d'une C:e de ce nexus du mal. Les adeptes du côté obscur,
quant à eux, voient leur puissance renforcée quand ils
unique planète, Moraband. S y rendre s'avère re ativement
se trouvent sur cette planète.
simple et ne requiert pas de tesl de cornpétence. Ouand Le
valsseau des PJ pénètre dans 'atmosphère, isez ou Sur lÿoraband. quand un personnage lance au moins
paraphrasez ce qul suit: un dé de Force, ajoutez automatiquement un Q au
résultat du jet.

UNE AITENTION
MALVENUE
Les personnages ne sont pas les seuls à rechercher l'hérl-
tage de Warde, et un des groupes intéressés les a suivis sur
tvloralland. Son plan conslste à suivre précaulionneusement
Les PJ el à leur lalsser faire tout le travail. Lldentilé exacte
des individus concernés dépend de ce qui s'est produit pré
cédemrnent dans l'aventure et des prélérences du l\4J.

Bien que es PJ sacheft que Warde a reio nl I\4oraband S Onrein Hasar apprencl dans l'Épisode ll que Les P.l sont à
après avoir fui Cato Nelmoidia, ils n'onl pas a moindre idée a recherche de Warde, eLLe pourrait leur permettre d'atteindre
de l'endrolt où se trouve sa dernière demeure. Léquipe eurs objectifs sur Cato Neirnodla sans interférer: Ele pourrait
peut se conlenler de se poser au hasard sur une zone déga- merne les aider discrètement afin qu'ils la rnènent au cadavre
gée puis d'entamer ses recherches à partir de là. Sinon, les de l'ancien Jedi. Onreln espère qu'en le conternplant, e e
membres du groupe peuvent limiter e périmètre des fouiLles pourra enfin tourner la page et oub rer sa halne. Si c'est el e qui
en récoltant des indices avanl d'atterrir. Néanrno ns, rnême suit les PJ (son profil se trouve page 671, Hasar est accornpa"
en procédant alnsi, les PJ d sposent de peu d'optlons et la gnée de deux gardes du corps droldes (cf. lvlagnacardes page
tache s'annonce dilficile. lls peuvent employer certains pou- 409 du Livre de Règles de FoRcE Er DEsrlNÉEI, d un lieulenaft
voirs de la Force, comrne Trouvail e, dont uti isalion dans de confiance (employez le profiL de Lor Keln page 581, a nsi
ce contexte est décrile page 82, dans la parlie La Force. que de s x petites frappes réparties en deux groupes de trols
Les scanneTs sont peu utl es pour trouver une lornbe par (utilisez le profil de la Racaille kreehawk page 58).
ticulière parml les innombrables ruines qu conslelent ( ,e\ P. è ili-e^' La:a'o,r corplp e Épisode ll -"-s
tvloraband, llien qu'll soit possib e de découvrir le chasseur qu e le soit mise au couranl du but de l'équipe, Le NIJ devrait
stellaire de Warde lcl page 85). Ouoi qu'] en solt, le N4altre employer à la pLace Le groupe responsable de 'altaque de
de Jeu peut toujours s aTranger pour que les scopes de l'ap l'Eto e argentée dans l'Episode L Nex Pavros, les chasseurs
pare I délectent des slgnes de vie ou un queLconque élé- de primes, ou tout autre ifdividu impllqué ayant survécu à
rnent étrange afin de pousser le groupe à se poser Au lVlJ sa Tenconlre avec les personnages peut revenir pour récla
de décider si ces s gnes sont en rapporl avec la présence de rner vengeance. Sinon, le Ny'J peut se servir d'un g.oupe simi-
Iancien Jedi ou s'l s'agit de simp es llusions produites par aire agissant pour le compte de l'Empire ou d'un ennemi
le côté obscur de a Force. Une aiguille dans une meule juré habiluel des PJ. Comme indiqué plus haut, il est pos
de foin maléfique, page 82, propose d'autres suggestions , o'e oe 'ée-o.over lp5 q .dt.ê , nacse .rs de p' ^ es oe Épi-
pouT mettre en scène a quête de a tombe sode l, r(lals le maîlre du jeu ferait bien de Leur adlolndre un
ou deux ndlvidus en renforl, voire p us sl les personnages
oùe-r5 o IaIte: rle ^i\paudê.r p,/dl,êrc pn p .tsqan. e

FIN DEs CHRONIQUES


ill(nflD aE çIDüOËH9
sfnÙtNouul sto Ntl
+
-4.
el êp.rnlsqo 01Ql êl lua]rne ?ule ltl,tuol un no ênpuêt uotl
-eDo8au aun ]ed sêl npoJd sa]]oJ suortoLlO sêl 'snld êC
ênpuêlleu uorlrêrp êun srndêp êsudlns-ênbelle eun
I rêluel ap tue^e sQ.rpuollo êrlJed uê srnur êp r.1qe.l q no 'sêop
o]0 sênle1s sêp o]Q.llêp satqQuotr sêl suep lêlnuJrss p as êp
tuêtual sluellressp sêl ']uêuJêluo]lle lêl un,p slol sDnos el
*.f ap lê lellr np nal ne JL]s dnol p anbsold êlt^ leqLlol un
'sauLnr uê sluêuJ 19q xnêlqulou êp ê0llêlsuol auoz oun sueo
ê.r es]a^pe un,p xnê^ xne raqlel as.lnod sêunp sêp êlQrl
el surour n€ no 'sQ]ênblqlop slol sênblonb sJnolnot etne
I]JêsOp u ald ua ouQuJ s eu-t sêqtlêqlêl s.lno loluaul
^u.tol ap uge êulnr aun,p sQ]d u]êl]e Jo^e luê^nêd sê6€u
-uosJêd sêl lPqurol ne sêlqesrlrlt suqp xnêJquJou êp tuêul
-olro] êrjJo ê8Es^ed êl 'npêssre^ lnêl rêsod.lnod êq8eâqp
luouJê^ lelar êuoz êun rsroql ]uêssrnd fd sê ênb uêl8
: llns nb al zês
puPq?.ror\.rns êrnpo.rd ês êp sêlqrldol
erqdered no zas 'êluêLLrurol êJluoluêr allêl pu€nO
sns salluoluêJ sê sêlnolêu8Q]dLur rnb êluessêJddo ]uêLU
êrQrlnlrupd êJQrldsoulte êun ralDsns lnod tntsqo QtQl np
êluasQrd el e 1uênÊnluor ês sêletntlêtrillre lê sênb Solo?3
/,.- sênbrlsr]Qllp]pl sêJ sêurnr êp sdueql sêp lê sêuBeluoru
'puPqe.roÿ\ tuatuêdrE
sasuoLuur,p'êrQrssnod ap saureld sêp 'êlqes êp sêunp sêp
slr.nb srndep anb Jnlsqo glol np oqrord rssne Ql?
I uo tuols suol alQueld El êp sluoLueuuo.r^ua Sêp ltednld pl
sreluel ]uo,u fd slnêl ênb sluêDsuor luêuruielsuol
oNVAVUOI,{ tns S3UINOINSü Sl'! ê.rlg lua^rop srnono{ sal sleu êl red sa?^olduta
'fl
sa^IleJjeu sênbrurl)êl sâl êrodlur nad 'a^lllugQp uf
'êrlurP^
êl e sLnd êpleMJa^nortêl elêpte, lnod ad nbQ,l 's0p9l9p soJresra^pe 5êp no slêql sêllg sêp tarluol
P êSuêdurolor êun rasodoJd êLuou-t no 'Td sê ranbellep -ual êururol 'sagllro ? suorleuDnlleq sop laluêulrJ
saJrqs ses qJauuopJo rssne ]nêd êl atLns e Jed lJelo,l g lêl
f -?dxe aLu?u la 'raqlêlexê,s sa^rteÊgu suo!1ouiq s.rnêl
-sêJ êp .rêr933ns Jnêl tê 'nqlOp rpêf ne,nbsnI otLnpuo] Jlo^e,l -rro^ ' noluo sal Inb inlsqo gtol np uorssêJd el Jrl
ap luepua)sopuor uol un,p -rêll.têu-teJ sal 1nêd êllêu LUul p -uês lua^rop fd sêl Jarlnltlpd uê.Io^nod un,p uotl
'êJlUOlUêr êllot 1Uêp-rOqe sêâeuuostêd sêl luop êrQtueLu el -ps!llln,l luolnoluê tnb saluelsuo.]D xne suoqdulsêp
to .reseH lê^e slletuol stuopQlo.ld sêl uolas êr^ uo stnol sas JêldÊpe lnêd ll xnêtl sêp onbggleul êlnteu el
-no1 lse lr.nb êopensrêd lsa alo,nb.rêrqno sues 'êlupê8uo^ suep êsrnd oapuuosrod ol luop ê]Qrueu-r el luenbo ?
êp r s9p uos 1ê apteM.lnod êu pq es op anpuêlo,l rêlg^?l sloLu sanblênb ]olnote tnad fn al '(olleJ ol êp qluol
tnêd êllê 'rsurV rapo8Qu q êto.td ê.ltuolu ês ê la,nb êlq ssod êtsnl ]sa lr.s êurgu no) puEqerol^ tns ?ntlêJJê lsêl
tsa r '(JêlQJ.re sal êp otuêt sed luaLuêldLuts e,u no) oluel un,p sJol nualqo lnlel3 O np l]ês ês fd un pueno
S SSe O]Jod ro^e lnal sQlde fd sêl t^tns E JpSeH utêJuO tS
uorsr^ ap dureql rnal ap satrurl xne lua^ro5têd sêâeu
uoJlo otl,l la êpleM rns suorl -uosrad sal ênb sJqlnJ sluêula nou sol no slodde sêl
euJrolu sapr ualqo tuolQdsa sI'luêL!Llapl^f luautê11êJp 'sornurJnu sol aJrD?p lnêd fn ol 'rg oEed el ap sê]l
rê tsdl êo ê"b lq n d r-8o],d-. sêl .1oo iê n dp) sêl I.d,èr -uoruêl sap.r!^ras as ep snld uf stue5eulu8 sa8est^
qrd slr.nb olqrssod êJnêuJêp lt 'sutoLltup?N sQllêlgp tuolne sêp lualua^Quq luênbo^p saâenu sol luop la sêllêrnl
sêl slr,nb sQp snssêp rêrl Jnê ? eJêlstsuol fNd sap uotlleoJ eulns srnalno) ep 1uêtpd as sIellg sêl tuop saâelo.p
ê.rQrurêJd el ênb êlqeqord tsê 'sQtlle Slnal êp Oqdulout tuo
l surolu?t orle luê^nêd fd sal 'êllnsuf ê8noi op o?]
no snlleq luo sêl so8puuos]êd sêl ts fd sol tê^e suo ltelêtut -urêl]sê oâes^ed np Ol!lerÊqlu!,1 ta loulel? alnlsnd-aJl
satuop?l4d sJnêl êp ta stue^u]e xneê^nou sep ?l luapt.t êp un llpuuol ôtQueld el 'proqe,p lnol pueqelol lns
IUOLuêllêr1uêssê puadop êltuoluê.1 e êp luêulêlnorQp êl suo5eJ sêlqe.rqurouur,p n5Jad êtlO lnêd rnlsqo glgl al
OldepP lo.redde.t.r sroqr êp a.tqtltsê fr\ ê 'êdrnbQ.l ap Q.rnl atqlp9Jr IE e Uol êlue^nod9,p êrQqdsoutte
rulêuuê un,p srnalr^.1ês sêp luos stLUouua sa s uê,{oL! .tase oun Ja?.D e .ruê^red teJ^êp fl êl 'sêJtstuoulqlddns
uouel un,p aodrnbq al€s]op a larnot aun,p êsodslp l : qu sêIuo)ual ta solulelo^g suoqdutsêp sanbpnb ue ofe
-rpolu tse ur8ual (rlNrrslo rl rlrol êp sêlÊQà ap êt^l'l r-tp uf pueqpJot j op Jlo nod aquos êl lue p ua ê4la!u
992-19a sê8Pd Jro^l-/olsaro êssell êp EZ HZ rê3qt o8tet uf Jnod soQJq[e] luos êJntuo e.l ap ê]ldeql êl suep satu
')nalauDH al$a Q^olduê ta]eddp,l 'sqtl e sJnê op 1ê sol^Ed -.rnql sê.rluo)uêr salla s?lâQr sêl lônoj urold êp slê!ê sal
xêN êp no.resEH uratuo.p tt8e,s lt,s sa8euuostad sap oled luêsslqns uê luêsrjtJeur el tnb xnal ênb stpuel 'a)ol el p
sarêd^q,p êrtros el sQ.tde luêLUêtetp?LuLL.I luê^ure sêlles salqrsuos sed luos êu rnb snphrpur sal.lnod aurgr! êluêp
ro^pe saL anb alqrssod tsa lr 'alt^tlle,p êlu?a al Jnod od nbo -r^9 lsê êpuou al ap ênbugleul arnpu el 'sl?ueld a$atr
1sê adno.r8 np er êl rs to lueued 1uêulanbltEuJeJp êO rd êp que,{e4Jê luoLuêL.llue! no quelqnol spodse sêl lns
oJdde snld tre.rês ^eu
êlelleds ê ltEteq êun,fb ê3nlf[ i êl tS oSES ra^ndde,p alpssè)au tsê [ rn]sqo ètol np êtâlêuJ.p
pa pueqetoll
ll
su]êlle,p auoz rnol op sq.ld lnol'sqsod luos ês fd sêl ênb èêquru luêulalpntèdtad auuujo {
sQrde sduJêl ap nêd uotluedde uos lte] tujauuê neassre^ ê-l
3t^tuuv,]
.")

Force et renforcent ses manilestations. Le phénornène peut d'allleurs fajre en sorte qu'un PJ différenl effectue e test lors de
prendre de nombreuses forrnes r les ombres s'intenslfrenl, e chaque phase de recherche. Alnsi, chaque membre du groupe
volume des murmures augmente, des combattants se rendent aura 'occasion de briler en exposant ses talents parlcu lers.
compte qu'ils tirent sur des adversalres illusoires... Si le com- En fall, aucun personnage ne devrait être autorlsé à employer
bat tourne à la poursuite au mlLieu des ruines, les PJ peuvent deux lols la même compélence consécutivemefl. Oue que soil
se retTouveT séparés, et céder faciLement à leurs propres le test effectué, sa difficulté esl Moyenne et comprend un dé
1,- peurs. lls peuvent par exemp e enlendre des cris el des pleurs amé ioré pour refléter 'hostilité de l\,4oraband sur le plan splri
t' puis se rendre cornple que ceux ci semblent provenir d'un tuel (oO. Nolez que le MJ esl libre d'augmenter le niveau de
lieu où gft e corps d'un de Leurs poursuivanls exempt de la difficullé s'l juge que la compétence empLoyée n'est pas toul
rnoindre blessure, cornme s'il était mort sans avoir combattu. à lait appropr ée à la tache entreprise. Si le test est réussi, le
personnage découvre un ind ce qui ..ène le groupe jusqu'à la
La Table 3-l : Dépenser {:}, (-6} , Ô et V sur
rencontre suivante. S'il s'ag I d'un échec, l'équipe tombe dessus
Moraband, page 82, propose quelques exempLes perrnel par hasard et se retrouve prise au dépourvu. Dans un te cas,
tanl de laire lntervenir l'atmosphère surnalurele de la pla
nète lors des lests.
chaque Pl subit J à son prem er test de a renconlre en p us
oe). o.sêqJêr.ê. no't1a ês d r. .la ,tp s-
Tout au long de l'exploratlon de la p anèle par les person
IJNEAIGUILLE trANs nages, le N4J et ses joueurs sont ibres d'empoyer a Table
UNE MEUI.E DE FOIN l
3- : Dépenser {:, , (E) , @ et V sur Moraband pour décl-
der de l'utiLisation des symbo es oblenus à L'issue des Lests.
MALÉF|qUE Bien sûr, ils peuvenl éga ement ut iser les options c ass ques,
La découverte de l'ulllme deslifation de Warde a rêdult e
décriles page 212 du Livre de Règles de FoRcE Er DEsrNÉE.
i
pérlmètre des recherches, rnals f'en reste pas rnoins une
énorme supeficle à expLoret La quele peut commencer de LA FORCE
diverses manières et le MJ doit se montrer attentif à toules Comrne toujours, es PJ peuvenl se lourner vers a Force pouT
les suggestions des joueurs. ll devrait également leur per les gulder Bien que la méthode soil parlicu ièrement appro
mettre d'effectuer un lest de compétence avec la difficullé prlée dans le cadre de la quêle de l'hérllage d un.ledl déchu,
adéquate plutôt que de releter slmplement leurs idées. elle peut s'avérer terriblernent dangereuse à cause de a ver
À la page suivante figurent les moyens les p us probab es que gence ténébreuse de Mloraband Les peEonnages peuvent
peuvenl utillser les PJ pour trouver le lieu du dernier repos de empLoyer les pouvoirs Trouvalle ou Prédiclion de la manière
Warde. Le l\4J ne doit cependant pas oublier que quelque solt habiluelle (avec une except on pour Prédictlon comme décril
p us loin), raais le NIJ doll garder à 'esprit la forte présence du
e succès de a méthode employée, les personnages doivent
obligalolrement finir par tomber sur l'errnite [cf. page 86). Bien côté obscur sur la planète. Les eflets mécanjques de l'utllsa'
str, i vaut mieux éviter de e dévoiler aux joueurs et les laisser tior de la Force sur N,4oraband sonl expliqués dans encadré
penser que leurs personnages s'en sonl soltls par eux-mêmes. page 80, mais il est lout à fa t possible d'lncorporer I inlLuence
pem cieuse des ténèbres de rnanière narlatlve, spécialernent
Durant cette paftie de l'aventure, les personnages enlre
prefnent eurs recherches tout en laisanl face aux rercontre5
sl un PJ emploie son a gratult pour obtenir O Dans ce cas, le
côté obscur peut lromper le pel5onnage, obscurclr ses visions
décrites ci et dans la section Les Secrets de Moraband (cf.
de !'aven r au point de le persuader que Warde esl déjà rnort,
page 841. Avanl chaque rencontre, qu'il s agisse d'un ép sode
ou le mener jusqu au tombeau d un seigneur Sith où il sera
de leur que|e du Jedi déchu ou d'un des dangers de l\y'oraband,
confronté à a tentation du rnai.
un des pe6onnages doit effectuer un lest pour faire progresset
les recherches. I peut s'agir d'un test de Survie, pour retrouver Sl es personnages ne d sposent pas de pouvoirs uliles
la trace de Warde, ou d'un test de Connalssance (culture) pour dans cetle slluallon, e lvlJ peut leur permettre de simple
identifierun polntde repère connu perrnetlanlde s'odenlersur ment s'en rernettTe à a Force pout es guider vers a lombe
la planète. Slnon, le personna€e peut enlreprendre un test de de Warde. Là aussl, il s'agit d'une enlreprise dangereuse du
Vigi ance pour rester altenlif aux indices subllls qul l'entourent, falt de 'lnfluence écrasante du côté obscL-rr sur a planète.
ou toul autre test que e MJ trouve perlinent. Ce dernier devrait Un PJ qui se risque à une tel e enlrepr se do I elfecluer un

TABLE 3-1 : BÉPENSER {:} , (ë) , ET V SUR MDRABANE

Le PJ subit I polnl de stress ou I po nl de Conflit, au choix du joueur

Le Pl est lcmporaiTement submergè par ses érnolions, ll esl désorienlé jusqü'à a fin de la renconlre ou
sub l2 points de Contlit, au choix du joueur.

Le côlé obscur rnfluerce les PJ : il les fait toanber dans un plège, leur impose de surmonter une tentat on, es
Oi+ëouV p ace dans ure situation difllci e lors de a prochalne renconlre ou leur pose un autre prob ème important.

LecôtèobscurserenfoTce:retouraezunpointdeDeslnducÔté umineux vers lc côté obscur. S aucun


n est disponible, chaque PJ subLl 3 po nts d-" stress ou 3 points de Conf it, au cho x de chêque joL.reur

(,}{, Le PJ bénéhc e d un n utilisable pour son procha n test de Peur ou pour résisler à une us on du cÔté
obscur

Le PJ résiste à une l,usior du côta obscur que le groupe est ef train d'alironter, oLr peul améliorer ui dé
{l}U{.1!ouO de sof procha I test de Peur ou dc son prochain tesi visafl à rés ster à !ne lilusion

FIN DESCHRONIQUEs
'JUP^Predne sa?uu e 'sêllauuotloru? sossalq!eJ
sop 'pueqeror\ rns spêrd sa osod e Lnb solde êp.reM op slnêl to so rleB?u suorlouq s]nêl red sgsrlrâe{ tua^
sluêurolpidQp sel rautulralop no'qIS sal!p]Qunl sêxêldulol -nollê] ês fd sol anb trEJ al .rpd êqullsnlê.]lo lnêd Jnl
-l suêr)ue,p rêlJtuêpr 'olQueld el .tns êtruêloJ 9tl^ltle,p sêu3ts -sqo ?101 np suolsnllr sêl la e suoqreætrur.p no Jnad
sep JoL.ll.rêql .rnod (sarlne,p anb Lsuiel .lr^las uê,s luê^nêd êp slsêlop atrns El p 1!lJuol êp slutod êp uotltstnble,l
[d sal a]ue 3r^ 1o uoIdê].rad '[ê]nllnl) soluessreuuol êtA 'lsê snld rno luêD§uol xlollt un 1uêL!êlqell.lo^ lsê
'JnS :1uêuuê.rdLuor soQUdoJdde snld sê sallrêt?duol sal 'apuour Iêl un rns luourêrQrlnlrlled lro^nod un lêstl
srnonol sês Jed sOrOBBns sueld sol snot q Ia^no rêrluoul -qn rnod rnlsqo ?l9r êl ra^oldurê : osnolqqu?tr aluo8
ês lreJ^êp fr\ êL 1ê oqlroqlar el ap êrpel êl suep sê qEs ln 'Jê el êp af,uasgld el q sgnpêJJê xnetour xloqJ sal
luos sêlUêtQdLuor sêsnêrquou êC alq Ssod lsê Sal êtnleu SOI luPrl ua lrlJuol êp slurod êp ureS êl .rogtlsnf lnad fl
i' -Dedel srnal .rêrorOU.re,p êiqeder têlqo altne lênb êtJodLut,u al 'pueqerohJ rns soBeuuorad sêp rnolgs al luEJno
op no sJ tEtrod sJnosuos ap 'sêllêLUnlorllê19,p ro dural opleM 'sêrno]ua snld sol sJnod stnêl
1 êp êqu.ro] el rêAnorl rnod saluêlodLlo) lê suas sêrdotd rêluo4Je P lo salq€lnlsrp snld sêl xroql slnêl êr^r^ar
) -/' srnêl .rns JaldLuol luauraleBo soâeuuoslêd sêl
]uo fad q fd sêl luêrJoJ 'êprpM aJtuol leug lequot êl 1o sêr]l
-rêlllaj sal luernp s9.rluoluêJ irnlsqo qt9l np suors
srnbrssÿtf s3ooHrlhr 5s1 -nllr sal la sêLuoluE sol ênb ouos uê ê.lteJ rssne ]nêd
suorlrnlur so.rdoJd sês lns ê9puol 'uorurdo uos ]êuuop
fn ol uolsslu el ap ug pl lue^e rnl tup^ap lossêtp ês
luo^ rnb sanbsu xne êlel sudgur uos aureu no 'suoll
tnêd uê preD êl 'saq)aqlêr s.rnal luêruelua ld sêl lênbê suep 'eluêl xnE ra§rsqJ P ollledel es uê troJl êâeuuosrod
narlêLtrosênb êno neêqllo] un,p oqllêqlal pL etêtuelnol!
un lurod lanb € rêrluou tnêd êllf leloLrl xtolll un
ar10 lre êp paf el onb êrQâ8ns lr 'uorxêuor sQrdv pueqerol
ros uê anlBsuol Jnlsqo ol9l np oluonllur otuopr^9,I
Jns fpuê.r lsa,s êpreM ronbrnod êrpuê.rdL!ol q sed tuêmed êu qJ8lpru pueqeroÿ\ rns JolsêJ ap uolsll?p alduts el
uêrpreJ al slnallre,c uotl leds p es tê qt euuos]êd es op uoll
oloq,l OuSOrdur e lr lo ênbodq, oJluê OÊueql tuêurêt.roJ e Jnal 'êpJeM ap ê]luoluêl el assel êu
eQ.D UOS anb Td Sêl tual^ord I ',tuepuêdêf êuuêts el êonbel êdno]8 êl anb lue^e glrlerol op solSQJ sol ]a,(oldua
lsê,nb êllê rns 1sê,1 'lnol SQ.lde : êptpM êp ]êsuêd op olQ ueLU rnod srprq sanblênb êp srojolnol asodsrp Tl ol sluêp
el ênbuol nb ênb xnêrLu t!!?uuol uê ple3 êl 'pueqerohl tueu -9l9]d sâposrdo sêl suep anb sotel snld uêlq a.lel ês
-raluol salQilnlt]]ed sêouuoprool êp sed auua luol êu l€lsul op luênbsr] xneroLu xloql sol 'luanbgsuor red lues
]êrurêp ê ênb uaE uêrpJeD a na êurnol ês adnoJ8 o ont) -uâd êJle êJpuroLu np urol 'Qlrqequr 1ê Olosop êpuour
alqrssod 1Sê lr 'sêLl]]êLllo] Sos a]^Lnstnod êp uê,{olu êltne sues un rns .luê^norl ês sèSeuuoslad sal 'è.lnluè^eta
l=\ èp êJtrdeq) ê) êp èrupd èpuel8 snld el rueJ; ll
NOU)O'tOlr,1
I 'êsnêdLUo11 luêuJQl.lPt no
êluêrouolur 'ê3uerl? olnllal aun luanbo^o]d tê têuuels
lltlvu0I{ fl ulsntln
np 1uêuJêuuo lluoJ uoq êl la^e tua.iQJ.lêlu .lnlsqo 0101 np
suorsnllr sal ênb.rê.roprsuol tnêd fhl êl a no ië) ê.rauaB
,B a8€d pueqeJot op sæl]as sat
anb teu.roJul,p tsêt al S saq)lêtl:)ê.1 sa Jêtnqqp ênbêl
suep l rl?p oLltuJol 'utLl.têql uê sêrluoluêr sêp êrnpollur,p
srndêp trolpuo uoq un,p auOLU op tnot l8e,s I ]êsuêd
êrqrl êlsar tL al 'luepuodol aJreluaLuolddns êp e no êl pur
tuê^nêd Td so ênb êl afb neêsste^ uos êp ?u8tol? sn d
suPs 'alrLlJê,p 01tuêpr Llos slros QnLutssrp 'êpJeM q,nbsnl
lros ês paf êt ênb uarB Ol0 allcgJlo uolleâollsvp êdrnbq, êp a:lsêi al rêuêur lrprrnod êl e^no.l.[ .r o^nod uos
1Sâ1 un tuessrssn?J ua Ostlelo êttQ tnod ta êtQueld e êp
suep suorle]o QLLrE,p dfotneêq êp tuesodstp fd ufl lup^t^
.lnolne êl qro uo slnolnol ê^norl ês ê^Dplêd^q neêuue
êJlO un Sed 'rpaf np aquJot el lUêulêlduts tuêqltêqlêJ soôEu
uos êlqe.redor truêujal artuê]od sleu puEqEtor\ op ê3noJ -uosrêd solonb lLrdsê, ?rêpreStop fn al'suroLuueoN Tdsêp
êlqes êl suep q.r.rê1uê 0tltor! e aludslalllav g1-ellêc un
'opreM êp êrre Iêts lltêsseul o ll^nolop I luateJ^ap sl êluess euLror êun ourLl.rol 0roptsuot lsa êp.lpM l-to sol ênllqeq
sêLBQr sê l ns ?l e^no]l ap uo0estl[r-],1 'anbrtdo êUol sueC lnl
'êLUQlqOrd Un)ne 1uêrtuoluo.l êu 1ê'ateld rns luapua.l
sqo olQl np êluêËrê^ E ap êluaf lu ,l êuou.l no 'a9u tsêp
ês slr,s neassre^ I]êd un,p ênuql êl?Jt el ]uêltêl9p Td
s3l sQlrns ap sEr uIo | ) aItrgtlo anblleutoJuJ,p rnêl uorlolotl,l lê^e saBeuuosrêd sop uorxauuol el êuluol
's e q sêr1nE,p red .r8e tnêd lo^nod êl uouls uê pJeD ê la
lSOl un rontloJJê luê^nêd sli 'Jrlet.lod luêle^rnbo un no ltê.1
-edde .lnal êp srêuuets sê luêst tln sêSELtuoslad sê tS ê.rols[] uos )ê^e oluerlrLUeJ rnêl e êl tnod êllte norl
êlrol ^]asllelol 'apJeM ênb ê]Qu
el ap .ro^nod êl la^oldluê tltê^nad s
'nPêssrp^ un e JuêLltêJtElluol eld aurOu e lns luos sêSeuuosrêd sê ênb lueuêlu el,\
'lel?uJ êp sed ]uêuuo]dulot au lê êltêtd uê luos êlluouj
(qB êâedl qtrs sêp sorill êrluol
êl ]uêllatsuol nb suo llnrlsuol sap lrednld el : a qlssod
uêr el suep êtLlgp allal g a.t eltlu s êrQtuelu êp êaeuuos.lod
a.Jnêuap sreLu tuapi^o sed tsê,u atQueld el êp êleJ.tns e p
êl êtLrol nb rnrsqo otQl np a^ i pne no êllênst^ uo lelsêltuEU_l
urauo, .lê^no{ lêreddp uos ap utol uolt .t JnoL! .led tuU e
êun êurLuol no suorloLuo sêlroj êp ênbo^o.ld tnb sl uê^nos
lr,nb ê]lnpQp Uê 1UêLuêlqpuuostel tUê^nêd Slt '9ssêlq tuatUa^
ap ulepnos xnuJE un aLULi.tol ê eluau ê^nardQ êllot ê..|]lop
Q]]3 ] PlO r,nb tuê^es slt,s 'snld êC pueqetoN lns stnotnol
o^|o]l as êpreM ap êl ellêls tnasselll o otb uos eJ lê^e ]nêd fn al (rnênolnp xroL]t ne) ssaJ]s êp stu od E no ttjuol
.\ êp stuLod I oS Llu nl nll êquEtuêuloL! ê lêr'tl .]lds êsrJl êun
JêLUns d tua^nêd Td sêl 'tros ua lt,rb tono alQ ueLlt a]lêl
\/ asrê^erl êÊeuuosrêd ol anb ol]os uê ê]lej tnod A tasuadAp
êp luêqlroql el s r,rb a qeqold nad lsa | 'lrou lsa tpof
êl onb tuêsuêd sêSeuuos.lad sêl ênb Ouuop lupt? snld êC tnêd fl,\ ê ê]]no u: [tB ê8ed p] pueqeroht ap slêJ]os
sêp sênssr sêrlLroluê_r sêrlne,p stê^ adno.lS êl têuêLL] lnêd
êlDlJlrp tuêLuê^rssêlxê êrQ^?,s pLêl ê0 osêp êtQue d êIal
.l! lns êrQrlnlrlr€d at^ êp êLurol êun,p êlp_ll el.la^noll êp ê qts
rnb al !areBq,s êp onbsr] êBÉuuorêd êl 4§ no i-6) êtQu?8 l,s
'lsal np lel ns0r ê lros ênb lono 'a rln uooeLLr.lolur êunlne
sod !nolnol tsa lr,s orLrQLl.t iuepuêdêl oplpM êp êluês
-9rd el ap sêu8rs sêp rêlêrQp.tnod ênbtBolouqlêt uo^ou) luêrtqo,u fd al 'ênoLltQ lsêt ê s (gB ê3ed puoqeâe^ al
lll ê'lrurê xnêLOts,(LU np oLlJo.ldder ês tlê uottlêltp ouuoq
êrlne ]no] no s.lauuels slnêl ra,(o dLla lue^nêd fd sêl
el anb pur rnl ê)rol el ênb tuês oEeuuosJêd ê ssnOr 1sê tsêl
SUt \rrs êl S OO) uo^ol l uoltdê)rad êp no ploJJ-âues sp lsol
l-
lln PJ qui échoue au lest doit réaglr à l'l lusion cornme
LEs SEERETS DE si elle était réelle {ce qul devrait fourn r une belle occasion
MORABAND d'interprétationl, et subir 3 points de stress et 1 point de
Confit. Chaque {È} obtenu au test, que ce dernier se sot
Duranl leur quête de La sépuLture de Sullo Warde, les PJ vonl sodé par une réussile ou un échec, fait subir I point de
laire face à uf grand défi : le côté obscur va fenter de es stress au personnage.
séduire en leur proposant les secrets du pouvoir des anclens
Sith. Ces rencontres peuveft se dérouler dans n'importe
quel ordre et le wJ peut parfa tement en ignorer certaines,
LES BÊTEs DEs OMERES
mais il doit être conscient qu'elles sont pensées pour soull Cette rencontre peut se dérouler à n'importe quel stade
gner les thèrnes majeurs de celte aventure ainsi que Les dar de 'exploralion de Moraband par les Pl, mais unlquement
gers d'ur voyage sur I\,4oraband. de nuit. E le peut avoir lieu au moment où le groupe rnonte
le camp ou quand il explore une zone de rulnes consteLlée
Selon e temps que es ioueurs el le IVU ont prévu de d'abris et parfaltement adaplée à la rnise en place d'un piège.
passer sur Laplanèle, ce dernier peut aiouter d'autres ren-
contres impliquant des lLlus ons issues du côté obscut ou Une meute de Betes fantasmaliques répond à Iappel du
des artefacts Sith. S'i le souhaire, il peut au contraire en côlé obscur porrr prendre l'équipe en er.buscade. Lisez ou
paraphrasez ce qui suil:
omettre certalnes ou les modlfier, en partlcu ier s i a alfaire
à des PJ rnolns orlentés vers l'action ou déjà blessés. Dans
de teLs cas, il peut carrément supprimer les scènes d'affron-
tement: une Bête du côté obscur peul simplement harceler
l'équlpe avant de disparallre définitivement et des spectres
Sith de l\,4oraband peuvent se contenter de railler ou de ten
ter les PJ sans les attaquer.

MIROIRS ET FUMÉE
Tandis que les PJ cherchent e tombeau de Warde, le côlé
obscur essaie de les sédulre au rl,loyen d'illusions et de men La meule comprend deux beles par PJ, bien que le l\4J
songes. Ces tentatives peuvent prendre de nombreuses puisse falre passer ce nombre à trois pour corser la tâche,
lormes, et seules queLques unes sonl décrites cl-dessous. Le par exemple pour un groupe de cheval ers en puissance
MJ peut lancer cette rencontre à n importe quel moment, Ces créatures ne sonl pas nalurelles r issues du côté obscur
el peut même s'en servir plusieurs fois en falsant varier les de a Force, e les chassent pour inl iger de la soulfrance el
vls ons à chaque occurrence. Certaines llluslons gagneront non pour se nourrir. Les bêtes ne réagissent pas a i'intlmida'
à se voir adaptées à des PJ spécitiques, alors que d'autres lion cornme e font les animaux, pas plus qu'elles ne luienl
sont parlailes pour implquer 'lntégrallté du groupe. quand elles sont blessées. À vrai .lire, il n est rnêrne pas cer
. Mirage : une oasis luxuriante eL donl L'eau semble tain qu'eLles ressentent la douleut
I
dlvinement ralraîchlssanle apparalt. Blen qu'il s'aglsse Avanl e début de a renconlre, les PJ peuvenl lenter
d'une pure illusion ou d'un simple écho du ointain un test de Perception opposé à la Discrétion des bêtes
passé de N,4oraband, a tenlation resle terrible pour un (O O ). Souvenez vous d'ajouter I I au groupement de
voyageur assolflé. dés du fait de la capacite Ombre vlvanle des créatures ll esl
. ta tombe : une simple pierre tol^.bale, qui paraît bien également possibLe d'ajouter d'autresl lrnputabes à'obs
plus récente que les vestlges des alenlours. Les person- curilé ou aux abris. Sl Les personnages réussissenl, les betes
nages sont persuadés qu'll s'agit de la tombe de Warde. commencent le combat à portée moyenne, sinon c'est à por-
tée courte.
. Des visages familiers : les PJ rencontrent des amis,
Les bêtes encerc ent les PJ et se dép acent afin d'engager
des parents ou meme des êtres airnés, tous décédés
depuis onglemps. Ceux ci demandent aux person Le combal avec tous les personnages au contacl. Ensuite,
nages d'abandonner leur quête el de prendre un peu elles ernploent le taent Coup handicapanI el Iaftrbul
de repos auprès d'eux. Certa ns peuvenl Les suppller de
d'arme Enchevêtrement pour affaiblir eurs cibles avant de
se jeter sur es personnages les pLus vu nérables.
soulager leurs souffrances ou de leur rendre la vie grace
au pouvoir du côté obscur. Duranl la batal le, d'épaisses ténèbres s'ê èvent entre les
. Un désir profond : les personnages perçolvent leurs
jambes des PJ, au polnt de parlols occulter leurs clbles. llne
plus grands désirs respeclifs. Des désirs qui ne sont réa-
fols le combal terminé, es ombres refuent, rnals es corps
des créatures ne sont visibles nu le parl. Les personnages
llsables que s'is embrassent plelnemert le côté obscur
devraienl alors s'interroger sur la nature exacte de ce qu'ils
de la Force.
ont vu, voire sur la réallté de 'exlstence des betes.
. lndépendarnmenl de l'apparence prise par l'il usion, un
personnage peut la percer à jour en réussissanl un test BÈTE FANTASMATIQUE DE MoRABAITID [RIVALI
de Sang-froid Difficile O I l).
Se on l'importance Ces créatures chasseresses se nourrissenl de terreur p utot que
spécifique qu'ele revel pour le PJ, le N,4J peul modifier de chair. ll est lmpossible de dire s'il s'agit de bêtes peryerties
le test ou ajouler n ou L comme d habitude. Dans par le côlé obscur ou d'illusions produlles par la Force.
certains cas, la compétence Calme sera plus appro
prlée, afin de représenter la lentative du personnage
pour se maltriser pLulôt que d essayer de résisler acli
ÿeme'r_ du Po ,,0 r d- Lolé ob" ur.
'f ._

(J
FIN DEs CHRONIQUES
CIIROi'dJE B,, GAND|ET
illxnnD aE çllEf,oiEllt
s3nbtNouHl s!o NÉ
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'stuessrprnolo s1gBoc 'L aqrQJB : lleluol ne êotrod lê êrpurolê.r sêl qJnlsqo QtQl np atdêpe,l tuê6e-rnolua so-r]]eds
: , onblur l 9 slgBAp I Jasel ê.rqeSl sênbrleuroluel sê '« qlrs » sêp srnolsrp sê lue êp plollesqp rnê luêLlrêr ell
saJJLÉ no êrqL!o,p êrqes 'alertlods au€l :lueuadrnbf luolsoJrueLu no alnpLl snld luouJo qrsuas Qlrlerour êp .rnêle
(lsal ne lêqro,lêp xneLurou stêl]ê sêp snld uê lnêd êun,p tuêsods p fd suretJêl rS êlduJaxê uos êr^rns q suou8ed
opupJB sfld es êp êOJdsur ê]]ênoLllrs êun uê aLu]o]suerl ês LLrol sas lual la s.ro^nod spuerB ap luauêleâQ tuêuaLUoJd
npotueurêl êrnleu rnl salll « rnl zêLll
^ur » anuê^uêrq el lualreqnos rnl lê luessno Ê uê
êrllads al 'anoLIlQalq]]Pl s [a.]tsuoLU
elrêluêso.rdêr rnod qJorl?LuE tsê ?p un] ue,(o]^l.rna4 tuêllrênlle,l sê.rntpq.D so .rnlsqo QtQr ne ?quollns el?p € ?trl
Q3) prour ap neê ru seq sn d al ap?ssod rnb êSeuuosad êl rS
ap lsol un..IênllêJlê e.raâllqo,l rnod lleluor ne aJresrê^pe
un,p tequol ap lsat un,p (q) (È) fo lequor ap slsat sês ap êdnor8 al suep luêsoJd seq snld êl olrleroLu ap fea ru
un,p f.l f.l]êsuêd?p tnêd pupqprol^ êp qtrs artrêds unl np puêdgp uoLtle êrQ Luêrd rnê ta (aluessrnd uê sra E^êr-lJ ap
sê^o..r sêrquros (êrnteQrl el êp luêL!êssrelul,l sed luaslnpOl sel êl suep êlqnop êl no) fd sop rnlêl q lESq tsê sênb teursel
êu tup]oJJêd ta êUlQ,rB sau.up,p stnqu]]p sêl alualodurol uel so.rnt€Q.D sar ap êrqLuou ol Llt S sol.rpd s?ssrel suortolLr?,p
el e ê9Llosse luêurêleLu.rou ênbrlsrielrErpl el anb lglnld ta ÿ ua nos ap sêBrtsa^ ap r t]ed e rnlsqo Qtel a rEd sêtrnp
ord suo stl r sê duJ S êp luos êl : sêurqluel sap no sl ldsê sêp
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rnb tpqu]ol êp stsot sêl snotl ê.rosnllr o]nteQ]] r lê^e roA q uêu tuo,u suoltelsêllueur sal saluêJedde sol a]E pr\
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'Z rase arqps ', uo lgrlsrc L uo l lraoJ : solualgdllo3 luêrnoluê Lnb sêpuêËql salqr.uoq sêl 'uorsr^ el êp lêJnleu.lns
l:adse,l : sluaurêlê srorl êp uos eurquol elrêluêsoldêr rnod
sg.rorlgure tuos Olnrulrp êp s?p s orl (C C O) stlluJlo
rnad êp lsêl un rênllêJlê l op fd anbEql 'luêu]oL! êl V
sarqQuQl xne êrQLL!nl
e êp luêrxoLlr lrol ? rênlseq luare]]nod nb snp^pur
sêp rnod 1uêLuêle rods 'xnêrê3uep 1uêurêlqe,{oDur suLoLU
sed tuos uê,u sl êJroslrlll ê..rQtre.rE).rnal A.rSleur la suorlo oq
sêp suêrprEa sal anb sêLugluEl sop sn d sed tuos êu ol tlrep
uêdêJ srêrlnlrlred snpr^rpur,p êluêredde,l ê.rpuê.rd êL!oLu
tuê^nad tê !tS sap aruellle^leu.r el tuaurelur sll êlroJ el
êp rnlsqo ?lQl np sênss suorsnl sap luos seuselueud sa3
:trs rnb el zêserL-ldered nozêsr 'ê1rqOp arluoluêr el puenO
[rvruul oruvavuow ro Hlrs ru.urids êleuu êllreleq el êp srol êprpM êrllequjol rnod êLu.rol es êp
xnaru.r ne tros êdnor8 êl ênb uUe ênbÊolorll^sd 1uêuêluorlle
lueou ne Jêurnolê.]
êp tue e.rutqu os no sa]qQuQt op uorsoldxo êun suep Jadrs rnd un E rêlsêr uê xnaru ê.rlQ lnêd lnp^ lr 'lequror êl rnod
sgnop sQrt spd tuor?^e,s êu no sQssolq qlqp tuos sa8euuosJêd
srp ês 'los êl suep êJllEredsLp tnêd êrtlêds un 'ntu e^ sroJ
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-uold '(p or] êp uortesuês asno.rnolfop aun êSesspd ne tueaB
ul sduralBuol sindêp snrEdsrp qt S êp aluêredde,l ]uêuuord
lluL lnall fd sêl rês.rê^ert tuê^nêd slr,nb ta salqrBu€1ur tuos rnlsqo qtQr np suorsnllr soL êSpsspd ol ap s]for nV
sêr esrê^pe sal ênb.larlqno sed lLop au nê[ np ê]UeL! al
suonuedde sêl êd ssrp lê êssrâJns rêrurêp êl ênb êlqrssod tLel
LllrS sêrllads sêp êirosn lr êrnl e lnol lsê lr 'êrluoluêr êIêr êp sro qlnrulrp êp do.rl ê^nordÊ
'eOrJ OlLleder el]pd rf l p tuefb lrnperl ês all eleq e êp lênl êdno]8 al rS êtruJ.ra,l tuêr^no)Qp êu fd sêl ênb tue^e sdurêt
rds tlêdse;l lequrol un,p srol stêJJê sar alulQp tnad [[\ êp nod uU E rfod]ap.re8 El xnê u-r tne Ll êluetodLu snld
êl rêssnodal sê luê^nod ê)lol e êp xnaururnl lladsp,l rns el ap t6e,s lr,nb Quuop luelo sreu 'tuêLLrour lênb êlJodur,u
êsuêlul uorlerluêluol êun la 9luolo^ 0l_rol êun'surou_lue0N q o?nol aIQ tnêd allj Jnlsqo ?tQl êl red strnpo.rd sêrosnllr
rnêlfop el ru.lnêdel u luêluêssêJ êu sêllê'êrlrl êl ? lê Lros salqnop s.rnê )êAe lOlnld no'êlQUed el êp sluelLqeq suê rue
re.rêp sêqnop sornte?]r sêp sed tuos êu sarllêds sêl sallêAe aluessreuuol êreJ ap fd xne lau.r.rêd orluotuaJ a]]oJ
'sêlueuuor^ua sê^rlPBqu HrrS sro soHfï
suorlourO sêl urnuJixeLlr nE .rêsrlle su p tuêrQdsê lênb sl
eup.l êp lue^e êdnorA ne sêlnsur ta souêllre.l sanblênb {l a.reu n8ues ' t luêurêrto^êqlul : tletuol ne a?trod
rêlrnLl rnod onb luêtQre,s êu sêrnleorl sal 'tuês?rd tsa I 9 anbAut : 9 stq8Qp :tElSrdl slorl]a sal,|tB : luoruodlnbf
xnau urnl O19l np uoSuered un s no 0q q atnêuodns qlt (sê êrnleu
prour êp rnêLe^ êun luêpossod fd sa srot rs'tuepL-rêdêl sêrqQugt sêl rEd a?tlolJe sed luêLUa euJ.rou 1sa,u alqD e rs
êuQL! Onbrldde êrto lop DoJ Atr.rntsqo,l no satqQu?t sa
Jnod êp lsal lpd sotntoid xnêl êp snld uê 'sêrnle l sêl rpd sQnllêllê uoLl
np ênssr,l e sOBrJur tuêLuêllêntLraA? xfol ap snld ua I Uuol qrlsrC êp stsêt salsnol e EntuaL!ê1e39 êtno[v pueqe]ohl
ap slurod 9 surour np tro5êr êtdolle nb ld tnol êpleM êp
êp anbrtELUsetupJ sotaE sêl tues uortdol.rêd êp lê lequrol
êqurol el C,nbsnf ]êp n3 sal q tê o}o! e op sêto^ sêl lêu8 ^
rêsuê rnêl C luêurluelou 'luêr sQp sa8euuoslad sol anb al
êp slsêt sêl snot e I I êtnolel atue^ orquro : sgllledel
^ olp dqp as al ê,nb
(êrluoluêr El op êtso.l êl tuetfp
lnol rLrl]o e sêterd tuêrtuol! os Lltrs salQLu[]l sal ê]]os el êp
rêlJodLUol ês q s?ssnod lLo sol rnb sa^rle8au suotloLuO xne srol ênbeL-ll ssêJls êp lu od I t qns êlq]l e 'stqâQp sêp ê6rlur
rr^no,s E lueir^u sê uê tê tuetDr ?J sol uê fd sêl tpd stulLuol ênbe e,l rS teqLL]or êp lsê1 ureqrord np OInlU,up e
t ap
sl el9LU suêDue,p ranbo^? tuo^nod sLr 'snld êC .tnêllor!o]d tuaurêr Etuolo^ atuau]8nvl luedelrpueq dno3 s1ua1p1 :
êlqurês r,nb luêrellQp Irl sê]tlêds sêl '0E q a.lnêuolur Olrl a êluelr8r^'a tel
-eroLu êp rnêlE^ aun apQssod o8euuostêd un su oLU ne rS -Lând 'a uortqrls C 'L oLulef 't êu]srtqlqtv : soruolgdruo]
l

LE VAGABOND TIDENTMÉ DE
rÉTRANGER
I n p u'0". orê ê'ê' i ê! o. m'ê ê, ., ênê ou V I loo .e Les PJ devraient rapidement s'interroger sur l'identité du
Lde( p!l^pr, hps dep" ççc -d\on do t 1". pêrso,t1oge"
" mystérieux vagabond. Ouand ils lui den'randenl qui il esl,
ont réussl les tests de compétences et affronté es nor.breux lisez ou paraphrasez ce qur suit:
dange.s de N,,loraband llne lols qu'ils ont survécu aux diffé-
rents défis placés sur leur route, ls peuvent enlrn rencontrer
le rnyslérleux ermile En réalité, cet jndlvidu n'est aulre qLre
Su jo Warde : le Jedl a survécu à ses blessures et esl resté sur
lVoraband lout ce temps.
Warde est rnèconnaissab e, même pour e Cardien de
son holocron. Les années, Tnas aussi son exposition au
côlé obscur eL l'usage qu'l a pu faire de son pouvoir, l'ont
vleilli de manière surnaturele. Oui plus est, le côlé obscur
dissirnue avérté elalfecte Iapparence du Jed comme le Lermile n'est pas lrès loquace en ce qui concerne
reste de Moraband. Warde ressernb e donc à un humain âgé son identité et ses orlgines, et ne fail que déblalérer des
et décrépit qu s'alde d'un bâton foueux pour marchea ll réponses cryptiques, répétanl qu'll est un vagabond en
avance courbé comme s'il avait du mal à supporter e polds quêle de vérilé. Sl les PJ ins stenl pour oblefir des inforr.a
de sa barbe négligée el de ses longs cheveux gris Le v eil t ons, I explique succ ncternent qu' I s'est échoué sur « celte
lard est vêtu d'une longue robe dêchirée et sale, incrustée du planète » iL y a bien des années. Durant celte partle de
sab e rouge de lvoraband. 'aventure, le vieillard s'avère am ca, rllais réservé, serviable,
La manière dont les PJ rencontrent le vagabond dépend mais mystérleux. Le MJ devrail laisser les joueurs s'magl
de Leurs expériences sur la plafète et de a façon dont ils ner que 'ermlte est lou à cause des années passées seul
ont rnené leurs recherches. ll peul surgir un soir au ml ieu sur ce monde sinistre, mais qu l ne représente aucun dan
de leur carnp, apparaltre après un combal désaslreux pour ger Ouol qu'il en soil, le vagabond n'esl pas lrès bavard et
prodiguer des soins à L'équipe, ou simpe..ent se trou- se cortente de répondre brièvemenl à certa nes questlons
ver plongé dans une profonde médltation au somrnet d'un quand i n esl pas perdu dans ses pensées el ses souven rs.
rocher Ouelle que soit L'oplion retenue, l'ermile ne semble
pas surprls de la présence des personnages. Mais sl on le
lui demande, il confirme qu'il est ie seul être doué de raison
présent sur [,4oraband. Ouand les PJ le rencontrent pour la
prel^nière fois, llsez ou paraphrasez ce qui suit, en ajustant le
[eÀte d-t.itLons-ance\ exa(res :

^J

FIN DEs CHRONIQUES


ctfof,q.tt
€ Dl, GARD|Ei

rli-..rUl
IEtOlltD no $trpf,qüHt
s3nbtNodHl5!o Nll
un rassrfbsê,p atualuor os lr '« a olQueld ouor op o.rlolslll,l
sno -zêssieuuol » uortsênb e v êlQl el luêLuê durs êL.llol.l
r 'pueqeron rns lsê r,nb 1uênbrpur rnl sêSeuuos]ad sol s
êtsar np ,ol]nos ua,s sPd au êp 1o ê^no! os Lopuou onb
lns lro^es sPd au op uorssa.rdu , ouuop plPllrêrA êl « alaueld
auêl » rns nuê^ tsê êpreM ronbrnod sed lres êu r.nb puêloJd
ll arf]la^nol es.r LlPI sues to 1u€ssorQtu,p osoLll"puerÊ rêl
?^?r sues sreu 'arPd uê rnêl puoqeËe al 'pêf np sêJnêq
sêrQrurêp sêl rns suorlsanb sêp 1uêsod fd sal LS ol.lr.raLtrraJ
es g tuêre.ras slr onb.rnod rênbrldxê su€s sreL! str»?p tuêLLr
?sDQ]d e sal ap]eM lunoLx ap lup^e,nb anb ldxê êlrurrê,]
:J ns tnb al
zêseJqdeJed no zasrL 'sêlnop slnal 1uêt1.1êl.lê^no luêLLri.rdxa 1o
op.reM oJlQ,p.roâueJtQ,l tuouuoldnos sêSEuuosrêd sêl rs
'aquol el lurêlle ro^P,p lue^e
lros êr onb lonb ronbrldxa.p êsnla] prel rêr^ ol 'fd sêp êluel
SlSul.l QlSlen « Sno^ ênb S êl snp Sêp lnod allêleBeq
aun,p » er8E,s lr,nb rêuuule,p ê]uêluor
^Lpu ês ll salr^rês sas
ap ê3ueL-lro ua êr sQp Lnb êl ranbrpur,p asnla.r alru]ê]
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:lLns rnb êt TasEr!dEred
: l ns nb êl zêse]lldErEd no zêsrl uou no luêpueuap êl
no zasr êldo]d olquros êrnêL.l,l pueno trepuêue Â,s
sl .nb êrnpuol I sêl êp fd xne êsodord puoqe8e^ ê êp]eM ap r onbrnod ênbrdxê la êdno.rB np ê!^.u8, rns luêr^êr puoq
êqurol el ap luaLualE dLUê,] Ieuuol lr,nb qlQ^?] ..r o P sQ]dv e8s^ ê 'fd sêlJêsod rnl tuê^ op ênb sLronsênb sêlq?.rqL!ouLl
« êJlq,l sLerêLU E,l srolred 'rs êr,LlQlA nês sreLLreI sêp êLrn. q êsuod?r uê êrlQ ]nêd 'quuop luaLUoLU un v
suês êu..r êu ê[s eL\ sdLuê]Êuol srndêp srlrEd luos Dr nl9^ ]uo
nb xnol » : sêurl,{qLs sêserLld sênblêfb ratnole,p }ê êrrnos
'êreluêr!rJol 'êdnorâ êl suep luasgJd pro4,âues ap Suer lneq snld ne
oJtne sues alrns el g.rassed P srnd luellra^leu.r snpu un ?soddo êuêduro{ êp $al un ênllêgê êpreM ênb êlros
rêssrnbsa q sed zotrsgq,u 'uo!trlsoddo ua tsol Un,p t!8e.s lr uê arlej tnad I! 'uours 3sê1 np ollnrlJJrp el o.roluê roJ
lonb]nod ro^es lualnê^ srnênolsâl rS 'rlN[slo I] r]uoJ -olgurÊ Jnod ulsoc op lulod I rasuadqp luaualpJ]ed
êp solâ?r ap aJ^!l np 982 êâed 'olJol el ap sJlo nod lnod fN at ]a sgp êp tuêuradnoâ rnat C n n ratnote
op slsal xne Jalsls?u grpeluê,| suep gnbrpur êr.uurol lua^rop fd sal .rnlsqo ?1ol êl ..red nuêlnos lsa êp.reM
ro^nod ne Jalsrs?J êp apreM q ê]]lour]od lo srnbêr slsal êururol'luepuadoJ slueugur luauuêr^ap soâPuuosJêd
xne E n surour np ralnofe lnad êl OB êâed ]t]l?p
fl sêl lurod lanb e ênbrpur lsêl np lpllns al olguuoq sed
êuru.rol luênblldde.s puEqeion JnS olJol el Ja^oldUa lso.u alllura,l anb atduror ê.rpuê] ês êp uge (0 o o o)
rnod sêl8Qr sal 9llJO^ pl rêu]arsrp rnod sro^nod srnêl êprPM êp ouêduro{ el q ?soddo plolJ-âues op lsal
Jêsrlrln,p Jalesso truêrxolE8? luêAnêd sêSeuuoslod sê'l un rêlual luê^nad Td sal 'êJs?p êl nêl np êrl]eur al rs
'oueugls ol suep nA d êururor 'sPq,el nêrl lre 'xnouuo5dnos luêJQ^e,s saueul
êleuu êllreleq eJ ênb uue qlrs sreled ol suep anbsnt atrns -xnê srnênol sêl rs luau.]êleDgds 'nêl uos s]ê^e.rl e ro^
-Jnod êun rêsr^ordur lnêd nof np êjl]eur al 'sel ol supo êp adnoJâ np sêrquêu xne êlueql êun rêssrellnêd fN
'tualu êtruira.l anb alduol luapuêJ ês fd sal rs luêrugrnl al 'luepuêda] Iour aJtS gsual lsa rorurêp al ênbsrnd
,Pur_ard narl lre êleuU uolletuorluol el anb alqtssod lsa ll '!nl uê êpleM luêssreuuolêr sll.nb sêlueql êp nêd e I
'êolrêJJe erês uê êrnluo E.l êp êlins el luop orQrueur El ap lr '(tua^nort ês slr allenbel ]ns a]?ueld el n^ alqlsuaq
tuêDsuol aJle lrop TIA al 'lsol un oJpuaJdartuê.p no]êsu -A.rdtxol lsê rnb êrl oruÊUuo) tuauêrQrluê sed luo] rnt
-olne.p lue^v êlrssn?J êp solueql sos oJoluo JaJoll?ure,p au fd sal ls aurohJ squoqq sê8uosuêur sêp e.nb lolnld
uge urlsoo op lurod un rêsuêdop ap rêSeshua lreJ^ap se^rse^9 sasuod?l sêp ? l]nolat Inb aplEM êp êpnllllp,l
fN al ]a Nêl uos q I I êlnole puoqeâe êl 'êlQueld el red ênuêlnos êsQl]tod^q aun êtrura.l tuaroll sêâeu I
rns rnlsqo 91or np a)uan[ur aluEssrnd el quuop luel] -uosrad sal anbêdlluud np]red êrnluê^e,l êpêtsêrê I
lgN0sNl!{ nE t]t0^ lt ulut}l]]0
UIILISER IÀ tIIORAIITÉ

ll omme lermite esl la premiëre personne vivante que les . Curiosité ou Obsession peuvent encourager
l, PJ ren(ontrent 5ur Moraband (a lexceplion de celles un PJ à suivre l'ermite jusqu'à la tombe de
qui les ont suivis jusqu'ici), c'est I'occasion de centrer le jeu Warde en dépit de ses doutes.
sur la Moralité des personnages. Les joueurs risquent de
se montrer soupçonneux envers cet étrange lndividu et de . Cupidité peut forcer un personnage à vouloir
tirer des conclusions hâtives lmais peut être correctes) sur s'emparer des secrets de l'ancien Jedi malgré
son identité et ses motivations. Le MJ dispose de plusieurs les signes évidents de trahison ou de danger.
moyens pour garder l'aventure sur les rails : il peut emplo De plus, la moralité des PJ devrait rentrer en ligne de
yer les for.es et les faiblesses émotionnelles des PJ, et faire compte durant leurs interactions avec le vieux reclus.
ainsi en sorte qu'ils n'agissent pas selon les déductions des Si les personnages se montrent menaçants ou violents
ioueurs. Le maître du jeu et les joueurs devraient se con- envers lui, il est normal qu'ils accumulent un nombre
certer pour définir quelles émotions peuvent afFecter les de points de Conflit en rapport avec leurs actes. Bien
personnages. Voici quelques exemples : que les crimes passés de Warde puissent justifier certai
Compassion peut conduire un personnage à prendre le nes actions, les PJ n'ont aucun moyen d'etre certains de
vieil homme solitaire en pitié. I'identité du vieil homme. S'ils décident de le châtier sur
de simples présomptions, ils ne font que tomber dans
. Les alliés d'un personnage doté de la fai un piège identique à celui qui a scellé le sort du Jedi.
blesse Peur sont susceptibles d'attribuer sa Dans ce cas, leurs actions doivent être jugées en con-
méfiance à un excès de prudence. séquence. Ceci devrait les retenir d'agir en suivant leur
simple flair plutôt qu'à partir de faits avérés. Après tout,
. Obstination ou Ambition peuvent pousser c'est en agissant d'après son intuition et ses prédictions
un personnage à suivre Iermite, quelle que que Warde a provoqué sa chute, et le MJ devrait pren
soit l'issue dre le temps de le rappeler aux joueurs.

LEVOYAGE VERs I.A TOMBE de creuser une tombe dans le sol aride de la panète, il a
lransporlé le corps du Jedi iusqu à une crypte où il 'a
A moins que le [,lJ veuille étayer cette partie de ]'aventure,
lnhumé dans une chambre v de.
peut-être en employant des renconlres inutl isées lssues des
Secrets de Moraband [voir page 84], voyager jusqu'à la Benlô1, les PJ aperÇolvenl Leur destinallon, un ancien
tornbe de Suljo Warde ne prend que quelques heures. Che palais Sith. À ce mornenl'à, I sez ou paraphrasez ce qul suit :
minant Lentement, appuyé sur son bâton, I'ermite n]ène le
groupe à lravers le désert, une vaste étendue de sab e et de
roches, dont la monotonie est parfois brisée par une dune,
une crevasse ou un plateau.
Durant e voyage, le Vagabond reste silencieux, excepté
pour répondre aux commentaires et aux interrogatlons des
PJ. Les personnages peuvenl tenter d'en apprendre plus sur
le viei homme, Warde ou Moraband, mais les réponses sont
les memes qu'avant. Lermite ajoute cependant qu'lncapable

LE SORT DE SUUO WARDE


lla h. de Chroniques du Cardien. lê t'ryslé1eu/ é'r. gê' Banni de I Ordre Jedi, Warde resta sur Vloraband et cont -
Il." ,"ro" êt ê S.ro'r^a'op a\anr oê !ariaque' so-ooir i,ë d dl(ü -t .e\ d pn c fêpe-danl. alor. te-1e qre o.
aux PJ. Ces derniers do vent se défendre assez longtemps pouvolr semblait s'arnp ifier, e c0té obscur pervertit encore
pour triompher de l'anclen Jedi ou lui rnontTer ses erreurs plu s profondémenl ses visions.
et La voie de La rédemption. Ouel que soit le choix des PJ, Lancien Jed vil alors qu'un groupe de jeunes ndivldus
ils trouveront ce qu'lls sont venus chercher, rnals devront
senslbles à la Force viendrait le chercher pour s'emparer de
affronter la triste vér té, particullèrernent s'ils ont tué Warde son pouvoir. Certes, lL n avait pas lorl, mais le côté obscur a
et accompli ainsl sa sinistre prophétle.
obscurci la vls on de Warde en lui montrant unlquemenl I is
Bier qu'll n'en salslsse pas totalernent la raison et s'in sue la p us sinistre : celle où les P.-l le tuent. Persuadé que
terroge à ce sujet depuis des années, Warde consacra ce cet événemenl est inévilable, lL a 'lntention d'attaquer en
qu'il pensalt elre les dernlères heures de sa vie à se rendre prernler plulôl que de se la sser tuer sans se délendre. Sa
sur l\y'oraband, car il avait prédlt qu i y mourrail. Une lois culpabl ilé l'a mené à croire que la rnorl est e seul moyen
sur place, l'écho des voix des Slth parvint jusqu'à lui en ui de trouver enlin le repos, ma s son tessent ment envers son
promettant Iexpiallon. Dafs son dé ire, il succomba au côté amère destinée e pousse à s en prend.e à ses tueurs présu
obscur de la Force et accepta le pouvoir qu'on lui olfralt. ll més a ors même qu'iL leur force la main.
survécut, mals s enfonça de plus en p us dans les ténèbres.
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FIN OEs CHRONIQUES


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1uêuBro[ê] êl sêBpuuosrad sêl ênb al ?,nbsnllneLl êl srê^ rêp sêlrod sênbrlue sêl sêr.llreLU saSrpl sênblanb r^erÊ êp lue^e
Je8êr êLqLL]ês lê êJqueql êuf,p êrluêl ne êJQrurfl ap sl nd ainor al rar^ e êp Buol al auQur sê ]a aLl)reur es puêidaJ
pueJB un snos alQre,s urPpnos uolgq uos êp u osêq .ro^e ll xna tue^êp êssê.rp as nb tuêurt9q puer8 np rnoLratur,l
snld ê qurês êu 1ê 'sreurrosop êlr^ sn d arue^e ll êxêldluol ? qL-Lrnqlr tsa êprPM anb sê6EUuosJad xne a]€llqp êIura;l
êL SU€p IUOLUQpUOJO.Td OIUOJUO,S lr,nb SlOle êr^rnS a ap aUârS
I el rna 1ê sreled êl srê^ert ? fd sêl êprn3 aururou lrer^ ol
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Au cours de aflrontement, les PJ peuvent avoir des vlsions ;


AFFRONTER T/I'ARDE farallle et amis, vicl mes assassinées, leurs propres doutes et
Warde actlve son sabre Laser et attaque aussltôl, malgré les eurs propres peurs. LeS peTsofnages revolent en patticulier eS
prolestations et les queslions des PJ. Le Jedl déchu pense actes immoraux qu' s ont accol^.plis pour s'emparer de l'héri
que les peEonnages sont destinés à le tuer et qu il ne reste Lage de Warde (ce a peut inclure toutes es acttons qu les ont
rlen d'autre a faire que de combattre. I aftaque de manière menés à subir des points de Conl lt). Les membres du groupe
très agressive, sachant que sa fin est proche, et emp oie ses perçoivent égale[nent des aperçus de l'avenir : de brels cauche
talefts el ses pouvolrs de la Force afin de survivre le p us mars au courS desquelsi S Sont conlrontéS à eurS plus grafdes
ongternps posslb e. Warde ne fuit pas, rnême s'ilse retrouve peurs, ou des halluclnalions confirmant eurs plus grands
grlèvement b essé. Par contre, ll n'hésite pas à se dép acer doutes sur eux mêmes. De telles visions devraient s'appuyer
pour séparer les personnages, et peut user de son pouvoir sur les faiblesses morales ou les N4otlvations des PJ.
Déplacement pour en projeter un. Les visions commencent au début du secoud round de
Le combat contre Warde dolt s'avérer excltant et mémo- Ialfrontemenl et peuvent se renouve er à chaque début de
rable. En plus de laire la dérnonstrat on de la pulssance nouveau rour'rd, en partlculier sl les PJ dorninent Warde un
des pouvoirs d'un véritable cheva ier Jedi, e t\y'J peut se peu trop lacilernent. Oue le que solt la forme que prend une
servlr de l'environnement pour s'assurer que la rencontre vlsion (d'une simple image à un kaléidoscope d indicibles
reste tendue et lntéressante La bataille débute dans l'im horreurs), chaque personnage doit effectuer un test de
posante salLe centra e, dont le plalond est percé en son Peur Difficile {OO0) avec deux dés améllorés clus à l'n
centre d'un grand pults de lurnière (il se trouve à portée lenslté du côté obscur dans Le palals. Le rnaltre du jeu peut
moyenne de toutes les issues de a piècel. fintégra lté égalenrent ajouter n ou I
au groupen]ent de dés selof les
/lr,or\'dr 'eset Agauleoe hdl r idr
du palais est jonchée d'objets détruits, de statues effon O_c
drées et d'autres débris. Le complexe est bâti au somrnet Si un P.l êchoue au test. sa vision se manlfeste en tant
d'une ëminence, et les fenClres qui donnent sur la faLaise que spectre Sith de Moraband (voir page B5l. Ce der-
ffilrouvent à longue portée du sol en contrebas. nler effeclue alors lmméd atement un test d'initiative et
fefv ronr'teraent peul nlervenir de se joinl au cor.bal, atlaquant le personnage qui vient de
'o^ b'e 5ê\ 'd\or. d.rd I o oa .l « l'invoquer »
ê êlv.loote.o dge ê a ..ô OL-rand un pesonfage esl neutralisé au cours de a
essayer de rnetlre ef pralrqLle eurs idéeS bata lle lque cea soit dû à Warde ou à un Spectre), e
Speclre qui 'allaquait se dissipe et retourne dans 'esprL
partie du plafond du PJ lnconscient Le personnage subit I point de Confllt
poLrr CréeT une diversion, se précip pour chaque speclre qui disparalt de la sorte. Pour sa part,
ter dans !ne aulre pièce pour préparer Warde ne se préoccupe plus des adversalres neuLra isés et
1." "mbu- doê o. .P a..ê. d r.
concenlre son attention sur les autTes.
abri pour ef ja llir au rnomenl oppor-
etc. Chacune de ces oplions peut
)yer E ors des lests de combat SAUVER WARDE
êga ern€nl possrb c dc ptojeter des Bien que le Jedi déchu ait commls d horrlbles crimes, et ail
sur un adversa re, pour le bies élé lrorapê par le côté obscur de la Force, ses ir'rtent ons
ser ou le tenir à d siance. Si la batail c étaienl pures. Pendant a Cuerre des Clones, il voulail vral-
se dêp ace dafs les pièces surplom- ..ent e b en de la Ca axle. exacLement cor.me Tieka Dalken
bant les falalses, oblerir uf résu tat et TH'313 e croyalent. Warde n'a jamais vouLu devenir un
Ô à uf lest de combat pcut laire efnemi de la paix et de la justlce, mais i s'eslégaré jusqu'à
chuler une cib e en conlrebas sa chule traglque. I n est cependant pas iffécupérable, et si
les personnages s'avèrent es vér tables successeurs des Jedi
SOFd§RE§ du passé, ils lenleront de le ramefer dans a lumière.
AppJ[RlTr&[4§ Larédemptlon de Warde passe lorcément par le dialogue,
inquiétantes apparitons et es PJ peuvenl tenler de fombreuses approches. forlgine
ont harcelé les PJ depuis de la bataille actuelie réside dans Le la t que le Jed est per
arrivée sur I\4oraba nd i
suadë qu doil rnourir pour que es personnages pulssent
enaore p !s prc s'ernparer de son pouvo r. À ses yeux, c'est non seulement
qLrc la cornbat fa i inévltable, mais aussl a rnelLleure option Sl les PJ peuvent
parvenlr à le convaincre que e combat n'a pas à se finir pa.
ProleLées par
5e font efrayanlcs, son décès, cela ouvre la porte à une résolution pacifique de
s'arnplifient. des l'aflrontement. CependanL, pour parvenir à ce résultat, il laut
que les membres du groupe solent convaincus que Warde
de ténèbres rarnpeft
et des corridors baissera ies arr.es au ieu de redoubler d'effoTts en sachant
qu il a une chance de surv vre.
mènenl à a sa e prnclpale,
écLairs coueut de sang crè Les PJ peuvent r.lser sur l'humanité de Warde, et son passé
à l'exlérleur Le Ml est llrc dc de noble défenseur de la paix et de la justlce Par exen]p e, ils
ces élemenls comrne loile peuvent mentionner Tieka Da kef ou TH 313, et rappeier au
de iofd ou de les faire irtervenir directe Jedi comment ses actes ont aflecté posi[ivemert eur exis
ment dans a bataille. tence. Une aulre option consiste à ui exp quer comrnenl, par
J
( t'-
êrc0srq aJE4, oun suep sê8puuosJêd sêp
ore9a^pe iro ?!lle euluol apJe/vl Jluê êr aJE êp uue \7.
'!as?p np salqes salsuep luapJad as sêlurêrdLuê solonb
rapDQp lssne uêd fy{ al uo§seduol op o nord a.rE no
êl[snf a.rpuar luelnàt sl!§ ]apræp ap xnê e : sêunp sop
norlrur ne a6uaJ9p sues ua^no4 êl sel êl suPp ]a'êql
-laqlêJ ss e JqJed ua\nad fd sol Uesqp al suep êruol (a6 a8€d 'ePJeM ôP
-uê.s rnb sêlulaJdurâp a!q6 â8uol êun lsê rnl êp êlsêJ uolldrüopgu e'l .r o^) uosrer el E êuuêr^êr lpaI xnêl^ êl ênb
rnb ale4 êlnê6 el la xna.p urol uou luasrâ rêq^I lplslr? rnod tsêt nea^nou un .Issngr êp srote tulns ll O 0 O i)
ot 1o lasetarq6 uos nJpd $a pJefirêr^ êl ênb 1ê s?uâlos olueplrullul tuoLUêldurs tuêr^êp sreLu 'p orl âues êluêtod
9l9luo Tr.nb lual noæp s[ 'luollra^?J ês êllrp]eq el supp uJor es rns ê?xêpur snld trsê,u slsal sêp ?l nruJrp el « a?.lns
s?nl ?l? sed luo.u lnb sêâeuuogêd sêl pueno sossed su » tsê êpreM ap êurg,l auuosr]druo rnb ênbu9 eur ên8uPô
satlE sê6 ap s! €- sr slaJAaJ ap olqerle êJQ^e.s ap]eM el Lro tLrêLUolu np rl]]ed q 'sfld êo fl êp lnole un,p luêLu
'sel al suep la 'fd sap suol],e sal red e8ueql fl? tuouj ê durs ejrÊe,s r 'sed ês rlleu.r êu pafêl ênb sêluêtqdLuol
ilqerpErrroxr e n IE e lr,nb .rntry êl asnêdu]orl lretQ êp sel êl suec sqrdoJdde oluotqduror êp s8uer sos no
uolsr es anb a\glugEp ê nêrd elrsuree^ro5êl nql?p lpaf ênb lsr.rO]lerel êp s.rnêle^ sas rêsrlrtn,p êrltêu.rad rnal tnêd
al anb lê (sdno) ap êrnld êun q sgsodxo êruoru 'êlEeq | 'sê eDos sêtuolQduol êp slsêl sJnê Jnod fd sal lêlslsse
rlrol êp ueü&ugsqo luasry slr.nb no) s9s e..rlnêu lua^ lnêd p.rel ra êl anb ap lqp ll,S lue^eredf€ slrel tuo sê8eu
-no4ej as sêÊ"uuo6.rêd sal snol ênb êlueqt aun a§lxo I! ^
uoslêd sê onb xLollr sêp uorlluoJ ua uolsll?p Ps êrpuêld
tsulouruegN [16 aâed 'alllefeq pl ornpuof, rlo ) ae]?d
I Op fl êl : apleM êp êluêllsuol el .lallla^ql lnod ênbull
-sa6op ênb€lte êreruJap êun reluel rnod êpJÊ8 es luêu.l
9ds rnallluêpqp unlne êts xa,u I ]flsqo Q19) np aluanll
€lleuo|o\ râssrEq red tlug tê pueqerot rns rlnour ap u ,l q êLUqur rnl êp .rêls sor q êssnod nb êl 'rpêf xnê np
a
uoqualurl eapJeM lnq sè.rdv rpèf np tuo rèqduroul ,l .rnæl êl rêqlnol q uquê tuê^L.r.re fd sêl un nuêlqo ^luo
fd sq anb àEèrltod^q,l lns êspq ès a]luo:uar alta o
! sl .s no 'slsêl xne sêl ssn?i s-rnêlsnld no êur"r sQldv suolllP
sês êp 1rê]tnos luo fb snpr^ pu!,p no ap]eM êp sauJ l}^ êp
êLUrol e ê-rpuêtd luo^nêd suo lrrEdde sê3 -l o^nod uos rlo^
a rilroutd td stl l§ r3 'êlê..t êp sauôrp sed luos au sêÊeuuosrêd sêl onb no lê dxê
) Jnod rLrnoLlr trop l,nb pêf uê lue, q lueurl]Je uê Td xne
.l
1.. -rêsoddo.s êll luêressê Lllrq sêJllêdq sêl ênb rêprlop lnod
so.iolduê tuaurOUnururol a.rlo tuorpr^êp urtsêC êp slurod sêl fl a rêtuêsqrdêr al rnod êlro! P êp rnrsqo olor np ofb
ajlideqr êl supp tQt snld sotr]]qp suorluedde saL la e]nl aLLTQLU inl êprpM êp luetr sed luê au uorlrsoddo,l uollenlls
sqo Ql,or np oluanuur. tueJlsnll uê lê qJodsasap to npuol êIêr suEp'tuepuêdê3 oooo)^ ôluPpltullul Qllnlll
lsê lequrol êl lurod lanb e luPuâ nos ua 'saluP r^ suortdulsêp lrp e e puodsêrJol nb êl ep]€M êp p oll-8ues nP uollls
ap uê^ouJ ne tuêuJatuoJJJB, a]^r^ êre] e ruêNed llop al fl 'oddo uê sQSr eOJ tuos sole los sêluêtodLuol ap stsot sal
'sdnol sêp tuêSueqlo êpJeM lê fd sal anb s]olv s?p êp sral
'uel ap al rs aun ? ]au]nsq ês sed trEr^êp êu uo snlluor êllal rnl êrluo) luel:Ill ua lnol puolas ne uoslel
arntuo e,l op onbq€urP.rp êoÊode,l ênlrlsuor êllLeleq o11êl a.rpuê1uê êre,r êp 1uêrLrorodsêsqp lueluêt rêrLLrêrd êl sarqes

srnêlêlqL!êsuê rêll[-]or.rê^ luê^nad êpt€M lê fd un luau.la^11
-ereN êrlure^uot al e snuê^rPd sEd luos êu ld sê ênb luel
r1-ilvlvg vt gHmlf,No3 sêres.rê^pe sês .louruJ lo,p lê,{Essê,p ênunuol apJPM lanb
-eIe rnod uorlre,p Jasuêd?p sed 1uê^nêd êu slr,nb ogtu8ts
sêleDos soluêtaduol ap stsat srnal e snuoq n un rsure
rnb êl'êluotQdurol êp tset un tuêsslldurolre saBeuuos]êd
.iouBeâ ta laBueql tnod rnlnl êl ênb êDure^uol êL luê^lrêd
sêl anb lnel r 'sull sJnê e.r u?^rPd rnod fd sêp uo[ue]]€,
slr rêuuosrer êl q rêqlrêrll la êfbeIe rnol Jossêl rnod tlrolu
ê1nol tê QtJêluol l.rolJê un Iêrnbêr'(lueqrordde,p ê!nE,p
-oJd ua soBpuuos.têd sal S n^qrd lre^e,l lr êLuLUor rênl êl
ronb êLodur,u ap no) elêl tnot êp rpêt êl êr)ure^uol
lUO^ fd sol onb tê êqrord ]sê ug es onb.rêurep e têu ês
êpreM sê.rnssê q êp lLnês uos ap QrlroLu €l P l?Eq sêrnssêlq êrqreLU êl suep Q^P.r8 tuolrrQr]oJ sed tsê.u .rnlnl
êp ê]quJou un no ênbrllrl dnol un rqns e lr.nb srol êuTl ê9u êl ênb rê^nord rn ap êressorou ]sê 'la.rg sQsnPr e lr,nb slrol
rtsop es ap tê suolsl^ sas êp êlJed nllrop Lpêf el ê8eJ tLel sêl1ê sêSeLL]Luop sê .ra]pdQr rnod prP] dort êroluê sed lsê,u
tequlol ê ênb s.rolv uosello,l tuessruJfoJ uernal uo.ropLE lr,nb larluorlr nl tnêd uo 'a-rQLueLLr e]]al aC erptolurêN olel
sêl tnêd lr\ a ap]PM rê^nes êp ]uêpD9p fd sêl ênbsJol .rns uo lPlrlrs el rêJorl?uP e ?nqr]tuol E êdnor8 êl 'slJollo sas
'gnbulled ênssloun rns êrnluê^e,l êrnlluot ep alueql eun rns 9uêr! luo.l sqrlle sês la srute sas.rsple lnod
aun rauuop rnollo lrlluoJ ap slurod sêp lupJqugâ uorllE slroJJê sês'rpêf puerâ un sroJalne Ie1? JoruJêp al rS
êun lrldruolr?,p lulod al rns luos soâeuuosJad sJnal onb 'uosrer el q rauouJer al ap ro^essa no 'aprpM rênl 1ê orl
srnêno[ sêl rlrê^e lrop fn êl 's]notnol ourLriol unleql -lequro) : orxuJôlrp aullln un e êreJ êrleJ lue^lop fd sol
lrlJuoJ êp strurod g luêssrqns slr 'raDesseur êl ap lualuat 'slleJ?ur sauQu sal allloLULuol ap sa8euuos
-uor as la nqlgp rpêf ol lo^e JanbrunuJurol rnod toJJa -lad xne Jal!^Q Jnod no'xnê/{ sêJdord sês e lêslleuollel
unlne luo] êu sll.s lPqurol ne uu ortrlau êp apJeM êJ) salap JêIessa Jnod êrlo-lnêd'qreJ sêp uolsre^ oJdoJd es
t,l\ ,ure^uol e êlslsuol .r!o^ap rnal onb adnoJâ np soJqurau ê]^rl lê sê?ssed suollle sas op tuoLUalra^no alred rpaf êl
xne luêpr^g êrlered lrpi^ap l! 'sêruelsuoLrll sal sueo 'oâeJ IeJ alllqeq el onb sJolv olJol el ap rnlsqo olel êl
) rasseJqura e lrnpuol e.l rnb êl ap lê êpreM op lelns ne
\ 'êueul-lnlênb êJtne.p êuuosJod Jossalq ou rnod sluouJglg xnêrqurou êp qlnLunlre luo fd sol 'atenb Jnol
'1nol êp urol 'lnês nl9^ P ap]eM'alualo!^ op 1ê ?tnenJl èp sJnor nV leuu lequor np lplua) lurod un rè]sêr |l
ap alurêrdurê onbodg eltêr srndêC ê.rquros uarq alnoJ lrop êlrlerol^ el 'arnluê^e.l êp ê.lsêr al lnod auuo 1,
durant a batallle, et le [,4J ne doit pas hésiter à en dépenser Ouand Le N4J décide que e combat a assez duré, e Jedi
lol§ de chaque attaque de Warde, ou dès qu'il esl pris pour baisse intenl onnellemenl sa garde (même s'il est toujours en
cible, cec aFrn de représenter les fluctuations des deux côtés état de se baltre ou s'iL a presque vaincu tous les PJ et semb e
de La Force. .ur ê oo 1 oe gdg'ê ll ollre dtor§ -'e occosior êL\ pe§o_-
nages de le tuer toul en ançant un ultime assaut pour leur lor
Le combal ne dot durer que e leraps de ne pas deve
cer la maln. Cela signifie qu'à parllrde ce momentWarde cesse
nir ennuyeux. Néanrnolns, d'une mantère ou d une autre, l
d'ernployer les talenls Parer, Dévier et Recentrement ; et que
devrail se terminer sur une vlctoire des PJ. Même s Warde
s'avère parfaltement capable de surpasser es personnages
es PJ ajoutenl désormais nà leurs grouper.ents de dés lors'
qu'ils l'attaquent.
grâce à la pulssance du côté obscur, sa propre prédictof
devrait leur assurer la victolre. Ouand les b essures subies par le Jedi déchu excèdent son
seuil de B essures, il subit autornatiquement la b essure crit que
:) LA RÉDEMPTION OE WARDE « La Fin est Proche , (voir résultat l4l-150 page 225 du Livre
],: de Règles de FoRcE Er DEsrNÉE). Warde, désormais morteLe
Crâce à une bonne interprétatlon et à quelques lests de ment blessé, s'écroule aux p eds des PJ. Lisez ou paraphrasez
compétefces réussis, les PJ peuvent a der Warde à ce qul sull:
retrouver la raison et à laire son premier pas sur e che-
min de la rédemption. Bien qu i ait toujours énormément
à expier pour ses crlmes, Le Jedi cesse ses attaques dès
qu'iL prend conscience de ses erreurs el se rend compte
qu'i a élé trompé par e côté obscur. Lisez ou paraphra
sez ce qul sujt:

I
I

Warde peut disculer un moraent avec les personnages,


et mêr(le jouer un rôle durant leurs prochaines aventures. Si les PJ louillent le cadavre, ils découvrenl une pellle bourse
A un moment ou à un autre, avant que les PJ ne quittent conlenanl le cristal kyber qulls recherchent. Le sabre aser
Moraband, le vieux Jedl s'approche et leur lend le cristal du Jedi déchu se lrouve sur e sol, tout près du corps [voir Le
kyber (qu'ils L'aient réc a..é ou pas), et leur exp ique qu ii
sabre laser de Warde page 941. À 'intérieur du palais Slth,
eur a loujours été destiné.
lls découvrent également e campement de Warde, qui contienl
Sl le groupe demande à Warde de l'accompagnet e Jedi du matéde récupéré Ça et Là, de quo s'abdter et un datapad
refuse, expLquant qull dolt d'abord trouver la rédernptjon comprenant de nombreuses prophéties. Ceftaines semb ent
et qu'il n'a accompli qu un r.jnuscule pas en ce sens pour e faire référence à des évéremenls passés, tandis que les autres
non ê,1 Cepe-da--. l A.rôo ê oL o- Id d. d rêpr.êt 5e- Vé ) concernenl des slluallons futures. Ou i s'agisse d é ucubraiions
seau ou à atteindre un monde peuplé : i comple bien rejoindre d un vieiL homme so ltaire soumls au côté obscur ou d'une ter'
la civillsation et employer ses pouvoirs pour vaincre les maux rible vérlté ne dépend que du Ny'J. Cependant, es notes de
qu'a subis a galaxie en son absence. Bien que les personnages Warde sonl accornpagnées de références aux personnages, et
pulssent le rencontrer p us tard lors de eurs aventures, lls I'ont à ce qui pourrait leur arriver après celte aventure Les visions du
en quelque softe surpassé, et à I aven r, Warde les considérera Jedi peuvent servir d'accroches pourde lutures histo res, ou sirn
' o_1n e ses pair_ darS ê. \o ps dê d ror' e p emenl d é érnents d'ambiance particulèrement perturbants,
sutout si le mallre du jeu reste évasilquanl à leur fiabllité.

WARDEVAINCU
Warde en est venu à croire aveuglérnent aux visions et aux pré- suuo WARDE [NEMESISI
sages reÇus par le biais de la Force. Ceci expl que sa détermina
tion à penser que les PJ sonl ici pour le tuer, et qu'il s'agit d'un
acte prêdestjné etjuste. À moins que les personnages n'arrivent
à le convaincre que le lulur n'est pas gravé dans le marbre, l
falt en sorle que 'affronternent se finisse par sa propre rnort.

;.::"- '
FtN OÈ5 CHRONTQUES
\J i:roln :, no s:tiEï@tü,
(' sinbtNotHl slo Nt.l
sêJntuê e sêrntf] êp suep Orle.nb luel ua êrUeJedde,p
êlqrldolsns êrnoluap lê êrxeLEB eltuê dnod rnb êsuêJop sues
'suoL!9p sês Jêluoille pueqeJolN rns êurnolêJ lr,nb no glu sêrlê sêl rêpre ? êl^ es Erêltesuol s €LLr 'elosnjor ll -sêBe,{o^
nlosu,plêrnêd êp iuêLuluês uos êluorl.rns l,nb êl c.fbsn[ ÿno suep JêuAEdL!olle sêl ap a]]O lnad luorapueu]op rnl
) ê]]Q tnêd 'sroiu sap no saureLlos sop tuppued 'sQll]o^o no slr êp xnaurufl
'êlrol e QtQ) np êpleM ouêLuer
luo ld sal rs .
sêurnltou 'slpLlrolltnpt sêLqLrê] êp êroid el .IUa^êp lnêd fu (sêÊeuuosrêd xne
êl un xnê êrQlrêp pueqeror\ êp sêrllêds sêl .rêssrel e r u apre.l êp rêpueuap tnad r 'spr êl suepl apreM p aro^
-êrued sed au lê sollêlle }uêLuo.rQ lnl l-red ]arQ^e,s tuê nad 'Td xnp êrpuêrd uê,s tê êrlereddeQ.r lue^nêd sJêruJap
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OJèsuêdqp tnêd ll aqro.rd Jntnl un suep êreJ p auno) a?!od êseq êp s]e8qp sêl aâluur rnb tê luêLuênbQeLuolne êtjlnot nb
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ls stulod E ap pauol ne ênbele êun,p slg8op sêl arlnpo] .rnod
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'leuirou rnol uos q sroJ ounl lua^nos snld rlEE êsslnd êlqD q ê)ol 3p mq% es e leâO no Jnêug,rur O ap arqurou
nqr?p rpaf êl ênb uue puno.r np ug et e l"Nd op ê^rl un ê^lêsA es e êlnqe êuuê^olu aquod e,nbsnt ê9n]rs êlqrl
[
-eqrur,p neêuqrl un rolnofe tnod fn ol 'snld no saâ êun êDuo) rasei ajqes op lsêt un .lantlêJJê tnêd êpleM) êlqes
euuosred ê.rlenb êluorle êpreM rS xnêp no punoJ ep rêlusl (leE!u! iq np mêr e xneÊO slgâgp sêp a8ruur dnol
un êurad p uê sanbe$e slnêl êp arqurou al snos rêq êJ auuêÂour êa,rod e.nbsnl É notl ês lnêd nb êlqD aun Jns
-Luorlns lnad allo : lajJa ul Jt ol tuêuJênblteuorne alo^uêr opreM ' iQ i4 §) no 4§ arQU98
fd op êlQldurol êdrnbq ênbelle.p sar al !S sulod E ap êluelsrp e ênbere oun,p
êun ièluorlJp,p tr8e.s lr puenb sêur?lqord sêpal
stqS?p sel êJrnpA jnod ssêIjs ap sluiod t 1uêurêreluolo^rqns
iro^p lnèd srsèLuoN aun au]èur enb snor zeuenno ll lnêd êpJeMl t qiojlouje la!Àac [ep]eM ê]tuol teqLUor ap stsêl
sol snot ap ?Im_i.i!p ap sAp êrorloluel t glLs..ra pV : slualEl
I
t aruel6r^'9
slulvlNlwrtddns lvsht0l lE sun0l êr.rêduro{ t p!o4§u6't rasel êrqes'a êluetsrsO8', lel
-rBnd'ç uoudarad'9 axlsJ Z êursrtolqtv r safuol?duro:l
i:
tE SÂBRE TASER OE II'ARIIE

l'arme de Sulio Warde est celle dun mailre èpèiste, un


Lonjet avec teôuet de tenibles actes furenL perpétrës. Par
conséquent, il est normal que les PJ veuillent s'en empa
rer à la fin de l'aventure si le Jedi déchu a êté tué. La poig-
née est en métal, sertie de pierres précieuses provenant du
monde d'origine de Warde, Chandrila. Le cristal, véritable
cceur de l'arme, est un cristal dantari parhitement apparié
à son maître et qui génère une lame d'un vert brillant. Le
sabre laser bénéficie du profil suivant : (Sabre laser ; dégâts
9;critique I ; portée au contact;Brèche l, Briseur, Cris-
tal dantari [dêpenser O lors d'un test de Pouvoir de la Force
pouréliminer 2 points de Stressl). Le cristaldispose déjà de
tous ses mods et la poignée n'a plus aucun emplacement
de libre.

Ouand les PJ insta lenl e dernler crlsla kvber dans I holo


L,HOLOCRON cron, Lisez ou paTaphrasez ce qu suit:
Avec I'ajout du dernier crlstal kyber, L'holocron atteint son plein
potentleL. Dès que le Card en les juge prêls, les PJ peuvent
apprendre toutes es améliorations du pouvolr Prescience de
Warde. De pLus, leur maitre viftueL peut les instrulre dans a
pLupart des dornaines qu'un asplranl Jedi est censé aborder,
cornme l'artde fabaqueret de modifi er un sabre Lasef l'histoire
de I'Ordre. et rnêrne la construction d'un holocron.
Dans e futur e Cardien
peut faire oflice de conseillerauprès
des PJ, et es gulder sur la vole des Jedi. ll peut éga ement
savérer une source de nouveles aventures : il possède de
vastes connaissances et peut leur indiquer 'emplacement d'an
clens temples Jedi perdus, o! les renseigner sur les arcanes
de la Force et de no..breux autres éléments. Le Ny'J peut uli
liser e Cardien pour transmettre n'imporle quelle lnforn]allon
nécessaire à la progress on d'une intrigue. Si les PJ demandent
pourquoi l'holocron ne rêpond pas à ceftaines de leurs interro
gations, les explications sont toutes trouvées : il ne es juge pas
encore prêt à accéder à tout son savoir, ou a réponse en ques'
tion est encore scelLée dans le dernier cristal kyber
La conclusion de I'aventure peut avoir une dernière réper'
cusslon sur les PJ, rnais aussl sur e Cardlen : si les personnages
ATTRIBUTION DES XP
sont parvenus à ramener Warde du côté umineux de la Force, DE TÉPISODE III
le Cardjen s'avère très impressionné par eur lravail et voit en
Récompenses standards en points d'expérience pour
eux le potentie nécessaire pour dépasser ' ndividu qui l'a créé.
À l'inverse, si les membres du groupe ont tué le Jedl déchu, le
l'Episode lll:
Cardien est lroublé et leur enseignera es dernlères améliora- . pour avoir récupérê les coordonnées de l\y'oraband dans
tions du pouvo r Presclence de Warde avec appréhension. le sanctuaire Jedi perdu : 5 XP ;
. si les PJ sont parvenus à luirou à abattre leurs poursui-
vants sur Nloraband : 5 XP I
. pour avoir surrnonté chaque épreuve des Secrets de
Moraband : l-5 XP par épreuve ;
pour avo r battu Suljo Warde llt
pour avoir brisé emprise du côté obscur sur Warde r 20
XPi
pour avolr obtenu e dernier crislal kyber:
Comme toujours, le lvlJ peul octroyer des XP supplé..en
taires aux joueurs pour avo r bien lnlerprêté eur rôle et res
pecté les Mot valions de leurs PJ
ffi
E
t+4

lly a bien longtemps, dans une galaxie


lointa ine, très lointaine....
Le tem)s des Jedi est rëvolu, rnais leu searels deneLtrent. L:holocrôn de Sulia
Warde. Chevalier Jedi d autrefois, foit poiie de leur hérltage Sôn gardien ottend
des disciples di{Jnes d entreprendre un péûlleux vollage et de décauvt'ir les
m!,lstèrcs de la Farce ..
Plongez dans 1'action, sabre lascr au poiflg, dans a galaxle Star vvars. Les
disclples de la torce dolvent fairc cause cornrnLrne pour relrottveI l'herlage
.. d'un Chevalier Jedi d'autrcfois:un poLrvorr de la Force L1f que disslmué à
. ç,.;:r'.. fintérieur de tros cristaux kyber éparpillés dans la galaxie. N4ais(]omme les
' nêrOS \Onl dOO,( -dlc. C 1,, ,\ d un O
' ;Tt1,. Cette aventure complète comprend :

. Une quête épique à travers les étoiles, pour les personnages déflutants
co"l.,lP pour Ês vôlera' ,

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