""ssnbll?

Àslqcerü s1o;duroc srna, ep efieuetflue1

srres ss\ù e\ lstü âlxêleB e1 rp sâIqQlgc snld sel srnelre, pw se1 rcd
t"ButB rs§lcos oc suep arlgugd enhuoclnb tsugotuuvgy 'e4dwg,1 ep
sonbrlruer[1s1o1 sol ]o ocuolo!^ El er]uoc eFngar ew!iln un an4guoc
qu§" â1\oc'egrgdsesgp sât lo slyrsord sot ,srflrÊnJ sa, nod .tsl gp
\r\Ers â\uen1Ë eun.p elpleu elqueld rnet luer?F SLHIH sJtOtfVN s§T
'xns XnB plorl sed luo.u ;nb xnoc sno1 nod ,..r!§!e§
q su§!§e§c§ §otqBlquouu!.p luor#o sunH sefgelwsul sa1 2ed
sg?r.r1B âur\ra np sleclpuÂs sol 'ellrull onbgun etüuro, ailouuo§,tod
u§l\r§\rùtrl :'âÀra 'orlueur ue eutqr aclre^r.I ,11ng acedsg,t sueq
VLINH lVN :lO §NOUVA §3?
il0u ilr nrf rT
^,sl{l{No, xnu
 ffiffiâ*m§Y§
SËflp1*# tï" trT # HàÊ#L*r.fijii}ffi trJhffi # fl #trf} *: :ê,$àtr'i.-ti [E # trq. ffi tr {:f"i # §
Katrina Oslrander et N,4ax Brooke Eric Knight
i '
,s{q rî4.É æ H. H'T * ÉEi#}-# ËS#Érê ffi trt- :-',. -: , -' ,.
Ë ë,i æ P 4-§ l!$ fl f,ê "fiaf ffi §S Core5r Konieczka
Cary Astleford, Ryan Brooks, Daniel Lovat Clark,
Ë l4€ii * i.r ff"ïE i,:i æ *H§**'TÉ ÿ
Jeff Hall, Slerling Hershey et Creg KoleLes
N4ichael Hurlev
;:. "."1- ,
, ::.'"- 1.:: :q:
T:f:i !,= 1- : {.3àTtr C.: r*
Christine Crabb, Davld Johnson el NIark Lalhan'l
Chrisllan T. Peterscn
flsÉffiffitYï{}ru E3ff i*& tr*f##ë.iflTâ#ii§ Jl;}ffi :i :r:15 Ë !ti,lë4.:3
Chris Ccrber
Coo rd i naleu r t.tti-lZu.t', f.n, LtHo n'.rut' Scot F-ree"
0.,
*# ffi {,Hffi Tf '# tr
#i H}}'tr +{ I â? L} ffi lir} fl ilJ& s§,&&i* &' -l
Daniel Loval CLark avec Br-van Bornmueller, Zoë Roblnson
EDCE Studro, David Ardila el Chrls Bcck et Dominic Tauer. "Thc LibrarLans" Pim lVlauve avec Cerlof
Woudstra, Keesjan KLcef , Jan Cees Voogd, Joris \'bogd
ü:f,l &E {:Ë §'?'§ Ë"'} ru # HihË *ri : t 43,fl el Jeroen Brugman. "Dealh Slar Conlractors" Craig
fl É*::::::::::::::,{.'*iETHF**,}§}*$ Atkins avec Doug Ruff, Josh Jupp, \4ark Charles\'Torlh et
Chris Beck, CrystaL Nichols et DLlane NaLhan Wilklnson "Camers of lhe Apocallrpse" Darryl
NichoLs, assislés d'Evan Simonet Vergel avec Colvin Atchlnson, Sandy Vcigel, Ceorge F-isher,
Joseph Phelps et Angel c PhcLps. "CoreLlia's Finesl"
ffiIffi#fËËiLJffi,É}ff Ld.l Rainer Winslel avec I\,4atlhras Jelinek, \,'latLhias VÔgeLe,
{:l# &r {îF-Ë'r'l # f\ê # ffietr Ë'{ i êêqJ H N/anuel Vôgele, Erlk WinsteL et Tlmo Wlnstel "Slrange
Bnan Schomburg Assembly" Chris[ophcr Stetrenson avec Jay Ear]e et l\1lke
Cook "CameNight'Jake Kraieskl ar,'ec Lark Kraleski
tr *l§i$ô* F,ÉË',,&ffi L&. #* §-& Fred el Candy Jannej', Dylan Rose, Sean Nee, John
ffi 1 Ërffi #Y* S"Ê fr-ë iqffi'{:{ §'fl I ffi # Ë \,Vllliams, Paül Hanna, et Dan Durg n "Ah hah, So Thal's
Andrellr Navaro ll Thenl" Blake 'HT\4C' Bennelt avec Aaron Kaufman.
Jasper Crocker, l\4all Armslrong el WiLL Flelcher.
â.r i æ. f ilT$ # fq ÂËË'i ËT i {aL§ "fi'Ëà.iT,â} iJ fl."î t Ë:I
John N/ Taillon re ir:q.Ë, f ê.lËq t S ffi
SophLe u Kinder ,
Dabat et Dom nlque u Capilaine
; l"-â.LË *Y+t&T'ë {} ÿd * Ë: Ej []} UTàf ˧ETX"§ ffi Ë: Jenson , Lacrouls, les Vaurlens de Edge.
.ioel Huslak el lvlark \4olnar
ix ili'#-i:Tlj !t"H Ëi T Ê? i*** :q [ "T,'{i Ë §
-i.-"."', r'.P.. r'. I. i '.:. -: ü' Sléphane Bogard, Sand-v JuLien cl Sélène l\4e5rnier avec
David Ardila,.lacob Alienza, Cristi Balanescu. Alberto L'aide précieuse de \'4alt u Fenrir DarkWolf » LaltroV
Bontempi, Jon Bosco, \4all Bradbury, Caravan Sludlo,
JB Casacop, Slephen Chang, Anthony Devine, Jose
Mikhall Elloso, Mariusz Candzel, CLark Huggins, Joel
Hustak, Jeff Lee Johnson, Jason Juta, David Kegg,
N/ark \,4olnar, Jake Murray, DavLd Auden Nash,
l\4lke Nash, RJ Palmer, Emilio Rodriguez, lVagali
VLLleneuve, Ben Zr,rietfel et les archives Lucasfilm

§^§§ffirutr§§ L&§§e§
ffi*ËtrfiT"flE$flH ffi#; a*mssmp*m ˧iffië#ffi &#Fæ§ru§§E'ffi&Yffiæ§ë â3H
FËL§ffit ë{ÉlË.**Ê* Jennrler Heddle L'y"E#Ë-ffi*ffi*Sé
Carol Roeder Leland Chee et Pablo Hidalgo

EDgE
tr,INTASÏ
l'il0HT
ttillt§
o & TM Lucasfilm Lld. Tous drotts réservês. Aucune partle de ce produil ne peut êlre reprodulle sans aulorisatiolr
spécifique. Fanlasy Flight Cames el le logo FFC sonl @ de Fantasy Flight Publishing. nc Eclil on franÇa se par
Edge, marque commerciale d'Ubik. Conservez ces inlormalions pour vos archlves. lmprimé cn Chlne

ISBN : 978 84 1 5889 87 B SKU : UBISWRll Print lD: 0032NOVl5FR

Pour plus d'informations sur la gamme StarWors.'Aux Courtrus oe l'Evptne, télécharger des contenus
annexes, olltenir des réponses aux questions concernanl les règles, rendez nous visile v a :

STARWARS.COM EDCEENT.COM

cRÉDrrs
LEs BARIOXS DE ilAL HT.,TTA
 *
#Ë
0, I """"""' ouol4 elnor el
grl"" """" "'sed êutllêp au uo,nb uolleltAut aun
621""""""' leu auJnol rnb a;rege au1
9e 1""""""' " sauueuepÂo1 sa11aldLu3
a(.1""""""' pJoq q anuê^uatg
6 t t """"""selqelnpou seJluo)uêU : 11 a.l1rdeq3
z t t """ " """""'xneasste^ la solnltLl?^ xnea^noN
90t' " ""' larJgler.x neê^noN
,01 """ " ' """ "'sarnure salla^noN
00 t " ""' " """ seu;re salla^noN
86 """""""' """"""""'sua,(r1e5 se1
96"""""""' solTrN sel
,6"""""""' 's1ue3 sel
t6"""""""' slnH sal
t6 "' "' " "" " satqdsa r"11anno5
g6" """"'sa8euuos;ed ap suolldg : a-r11deq3
11g
06 ""."""""" sêleluatuglddns suorlels 1e sapuoÿ\
W
 D oltrqJo res choses ne peuverl ja.nais être:iTln ps
I Co"a. emil rrn grogne^lenL d'approbatior. Le Canx
visa sa cible avec calme, ignorant Ie chaos environnant.
. Autour d'eux, une fumee âcre montait encore des impacts
de blaster sur les cloisons et emplissait l'air de relents de
n^êLd.alcine.
Ces ga.rs tiennent vraiment à ce que notre ami sakiyen
. s'en sorte, heln ? demanda Nell à son équipier avant de jeter
' run dernier coup d'ceil derrière le mLrr. puis de rentrer vive'
menl la tête poLlr êviler une nouvelle salve.
Corran appuya sur la gâchetle de son pislolet blaster. Le
lir fit mouche et un malher-ireux Kiatooinien sorti pour ripos- Une goutte de sueur dégoulina sur sa tempe.
ter s'effondra. Le Cank émit un ricahement aigre ; ce son nu-
mêrlque amr:sail loujours Nell. ll suffisait au petil nrall'ailertt
rnaigrichon de regarcler le chasseur de primes a ses cÔtês
pour avoir l'impression d ôtrc invincible. Et sur Nar Shaddaa, ..regard
ce sentimenl étail plulôl [are.
PeL, à peu. .e cJl'r'' rre^r('l *lonolone J( s '|H(\(lt'lrls
d'air, le grondement des vaisseaLtx au-dessus Çl'cur eI L lll
bituel lohu-bohu de la Lune des Cotrlrebandiers rcpril, rerrl
plaÇanl le hurrlement des biaslers qLri avait empli la rLtr' Lttr
instant plLrs lôt.
- La voie c'st libre. siffla Conan On clevrait leur fon-
cer dessus.
Le duo se'aulrla de oâLimenl en odLin ent, Iatme au po'ng.
Uniques vestiges des lortiflcaliorrs improvisées de leurs adver-
saires, des poubelles renversêès et des panneaux d'afftchage
arrachés témoignaienl de l'acharnement.des cômbais.
Corran tendit le bras dans vrombissement de servo-
Lrrt
moleurs. Un scênner emergea des circuits et répandit dans
l'atmosphère une myriade de particules invisiblQs en quête
de lel' cible
- Alors ? fit Nell en donnant un coup de coude à son
équipier. Si les hommes de main de Ciarda lrouvent Razall
.
avant nous, on est morls !
Le c an Co,ensla av.r'l r s à ot'x .a te.e clu Sak'yen. asse
cher pour rembourser plus de deux fois les dettes de Corran
et Nell. De son côté, Ciarda, chef inconleslée des Jiramma,
n'avail pas offert de i.écompense. Les secrets que le Sakiyen
lur avait volés elaient bien trop importants pour courir le
risque de faire appei à des chasseurs de primes. Corensla,
par contre, paierait une petile fortune pour se lês procurer
Les scanners de Corran montrèrent les traces résiduelles
d'énergie rie la bataille qui se dissipaient dêjà. Mais aucune'
'o'n'e de \'e dacq les ervirons.
- Je crois c{u'on devrait prendre cette traverse, les tra-
queLlrs ont dû liler par là
.
l. passe devanL.
C'esL to' ,'e\per
Un profond malaise s'empara de Nell, trop tenace pour
. qu'il arrive à en faire abstraction. ll n'en fit pas part à Cor-
. ran : les enjeux êtaient bien trop ê1evés pour se laisser arrê-
', pat a l'oLS)e.
lls s'arrêtèrent net aLt ciélour c1e 'angle sUivant, devant
le mur de blaslers braqLlés sur eux. Derrière ses laibins, un
ênorme gastêropode brun, allongé sLrr Lln tralneau à reitul
sion, éiudiait-ses ongles avec desinvolture.
Une \roix grave et relentrssante résonna dans l'allée.
fait un bail, nes amis. . Vous ne tentiez quand même
'..,- de m et.iter. jo:père
Ça
Un frisson remonta le long de la colonne vertêbrale de
Nell lorsqu'il entendil les vocabLes rauques de la langue hult.
L:r Hrrll soLlriait d'un air toLll à fait menaÇant.
..*#r
1 . - Heu..,. salut, C..'. Ciarda; begaya l'humain. On n'a évi-
te personne. On etait juste occupés. Tu'sais ce que c'est,
pas'vrai ?
*
Occupés à chercher un certain SakilJen; à ce que ie vais.
(Ciarda avait adoptê un ton plus sec, sans la moindre trace
de cordialitê.) La peau de ce traître m'appartient. A moi, et à
moi seule ! Je ne tllérerai pas qu il finisse entre les pattes de
ces ordures de Carensla !.
Mème Corran. d'habiLude imper t urbable. tressaillit
Nell lit cogiter ses.nêurones à plein rêgime. ll y avait forcé-
menl un moyen de se tirer de ce mauvais pas, i{ en était str:
* Ciarda, j'ai une proposition à te fgire, lâcha-t-il soudain.
A travers ses lentilles impenétrables, Corran lui lança un
.
inquisiteur.
Nous avons bien conscience de Ia dêception qu'ont pu
-
engendrer nos précêdentes collaborations. Si tu nous auto-
rises à Lraquer Razall. c esl à toi que nous le livrerons VivanL.
et à titre gracieux. Tout ce qu'on veut en echange, c'est effa-
cer notre ardoise. Toul Ie monde y gagnera I
La Hult étudia longuement l'humain, apparemment impres-
sionnée par sa hardiesse. Lair vibraiL de violence refoulêe.
evez une journée pour le retrQuver. Passé ce dé.
- il Vous
tai, n'E a plus de marché qui tienne. [Les gardes du corps'
de la Hutt abaissèrent leurs .armes.) Allez, laissans faire les
'
professiohnets.
Ure lo s qu'ils se reLrouvêrenl seuls, Cotran pivol-a vers
Nell. perprere.
Si nous le remettons à Ciarda, chuchota ce d'ernier, cela
nous dêdouanera auprès d'elle. Mais avant, rien ne nous e m-
pêche de copier ces fichiers et de les vendre aux Corensla.
I e Cank hot ha la Iele en signe d approbalion
Une fois les portes refermées derrière les deux chasseurs
de primes, humarn el Cank, Ciarda, du haut de son trÔne,
baissa les yeux.sur l'individu en'chàine devant elle. À son rire
tonitruant s'ajoutèrent bientôt les.caquètements aigres de
ses sb;res.
- L iberez-te.
.
Ouand ies menottes lui furenl retirée$ le Sakiyen se frot
ta calmement les §oignets-.Puis il s'inclina devant la Hutl.
, - J'en conclus que tout s'est déroulé cornme prevu ?
. Ciârda s'esclaffa de nouveau.
informotions ; Cormn et Nell sont à
récupéréie§ ,fuusses
- En effet, nton ami. Les Corenslo ontnouveau à ma merci.
Et bientôt, notre clan entier saura que Ciarda a démasque
un traître avant que Noako ait pu mettre la main dessus /
Somme taute, cette journée s'est avérée particulièrement
rcnlabte pour nous !
Razall saisir un \,erre et por.a un toast.
I * À Ciarda, reine de la manipulation I
.Le Sakiyen vida sa boisson tandis que Ciarda se
r engorgea ir.
u Encore un jour banal sur Nar Shaddaa, songea l'es-
croc. Fait de complots hutts imbriqués dans d'autres com-
olots htttls. »
- J'imagine qu'il va falloir que je me fasse disctet quelque
temps, pour parachever le plan.
Razal ne senL;l même pas la lame qui s'enoara de sa vie.
*
Laisse-moi me charget de celo. mon chÇr Razalt. Tu en
as déjù beaucoup fait. ces derniers jours ..
 'q,Jê-odI ' j
lLôA sêll e - .r
? rêlqLUassoJ ap lurod ne lrpleluo,s aLUg tnal uotls; . :
rasod es ap luossal anA êp lurod ap uorlsanb '
- ls.
,i . saleroulLut,nlt sole8Qllt rssne 'saLrd salno sluenbrlerl srnolltau sal 'sdual np _
SêSldê"llu0,p solJos solnol lo so^ellsê,p olraL!Lt.tol êl rnOpo suBS luesrp-ros luoBrp lot op LUou ne.talle : -=
Jsd lu€ssBd uo apueqo..tluol el ? o -iêle-trd el op 'sarrdO,p 1se 1r r_ro,nbsnleluaueuuted uê topupLUOp as lrop g_ .: -
lE SQu]e,p lue.rl np rnlêl q sUed sop apuoLl.l np puolQ,s olnol ua seqrod se; trldLlal es tnod êrol êllêl _rS -:=.;
aluanlJUr rnêl êle"llsêlue orLldosoltLld aun,p urou rnêi -ue,s enbuo:rnb ' lnola,l Q lto.rp e,u lnu 'llnH at: - -
luaril tnb slergurolSuor sep 'srrptlel so ropuoJ lnocl srun sueC slrpQll ap enb 1ue1ne senbsr"r op aLUJOI uê . -
luos ês suell sol 1a saguSrl sol sltlqns snld sluaua1uo.r11e q xud e1 lso,) 'suorsello sêl lns tolnes ap ltuê1a., :
sep lnod gldo luo la lnouQlxo,l s.to^ so9UlnoJ luos os essrnd rnb osoql olnês el so)U?uOq sol JOlnLUnl lê s: -
soJnleQJl sêl 'uolllutlxe,l q,nbsnl enbserd sonlleqLUol -0p srs?p stnêl lAnosse rnod aruelur,p sJOrAtA s3- : .
ar19,s sqrde steul 'so lleleq uo oL.llu lê xnanllnunl gssed luosseJUo,s salndnl:s sues stêrpueqoJluol êp êlo,._. _
un q luêlu0LU0r sllnLl suell sêp seur8r.ro sel .anbrl:eleB aLrdu3,l ep arualp8ur olnol Jalrlg aLUQLu zo^r:,r :
ern3.lo,tua,p oLUul np sarrdule sap..rns luau8ql e11np.1 'luaurglddns lr1ad un lueuuo^oLU l: reÂed E QSocs I :-.-
IeN 0p suoreB sol rlo'llnH eteds3,l suep onuê^uatB sno,t enb luoLUoLU np 'aJrelstles e; ze,tnod snoA 'Tt .
îrrordnf rr ulo^nod .f :, :Jli,' 3;.,'!l Ji?o',:i':'J;î .?,?,î 11:": I
JJnH r3ud53,1 §TUTfg Ug§rUOld

LH §§IKTAINH M§
t't§uxQ[§§T[É
Les voyageurs chevronnés peuvent parcourir Pabol Hutla
el ses h5rpervores pour admtrer ses innombrables m-or
vei les el ses planètes êblor-rissantes, simple vernis esthé
trque masquanl üne corruplion omniprêsente La pltrpart
d'entre elles revendiquent la souverainelé de leurs lerri
loires sur 1e paprer, mais peu sonl réellernenl, libres dans
La pratique Beaucoup sont habitées par des espè.es
donl les membres subissent 1e joug de leurs puissants
mallres hr-rl-ts depuis des millênaires D'aulres sonl sou
mises anr kajidtcs par des accords commerciaux succes-
sifs, garanlis par 1a flolte stelLalre hutr- donl la menace
balaie loule ldée de révolle.
Nai Hutta, fo5,sr. 6, Conseil Suprême Hult, constitue le
cceur de la pol lique el des compLots hLllls Ses m;rais
fétrdes et son induslrie lentaculaire incarnent la dégé
nérescence typtquement associêe à ces créalures Rares
sonl les rndtvidus à avoir pu conlempler les immenses
champs de rurines de leur monde natal ou les lége ndalres
palars de eurs tnondes-trÔnes, en dehors des Hutls
eur mêmes el des esclaves qui v lravaillent lusqu'à leLlr
etuffimffi. æffiffiwffiffiffiwm-Y-ære
:;p:S
s§
.:
:;i§i
.
ffi&ffiffi ffiffi tu§wffiffi §
ffi et ourirage, Lrs Brnors or Nel Hurre, se pré
&.ê s..nt.. coÀrrnc unguidc rle La r-egion La p Lts cor
rorxpLle el anarchlqrrc de loule La gaLaxle : jEs
pace HulL 1l prcpose 0Llanlllê de renselgnenlenls
uliles tanl pour Les ioucurs que poLrr les \"lailres
de Jeu pass ounés par les Hults eI lertr ro5'aume
La première parlle foLlrnil aur \"1J 1.oLlles lcs
inlormalions nécessa rcs poLlr donnet'l,le aux
empires crjmine s hLltls el décrire les cLans et
kajidrcs, colrme obséquteux alliés ou comme
cO.tr qoi P ' ^dO ' ob e:.
Le deuxième chapttre lail olltce d'alLas
pour les lVlJ en quêle d'un lleu pour tm
planter Line carnpagne. ll dêlaille une di-
zaine de planèles avec leur hrsloire, leLrrs
sociétôs, leurs potnts d'inlérêl el dlverses
arnorces d'intrigues. ainst que des créa
lures indigènes el des delts.
mort. Les soldats des milices prrvées, artlstes, lnlendanls
el autres servileurs sont tssus des déserls de Klatoolne
et de Srilur-rr, ou des tropiques de Kintan et Vodran. Les
ouvriers des usines et trafiquants du marché noir d'Yle
sia et de Toydaria parlicipent au rar,'itatllerent des clans
hutls, tanciis que les guerriers de Sakl iortenl les chas'
seurs de primes et les assassins, s'accaperant es meil-
leurs conlrats.
Aux yeux de la plupart des étrangers, I'Espace Hutt
evoque surtout les giganlesqLres crtés'ier-ilcales de Nar
Shaddaa, êgalement connue sous le rotr cie Pelile Co-
ruscanl ou de Lune des Conlrebari er-s Les lours de ce
satellrte de Nal Hutta s'élèvenl iL;sqL; e' orbi:e llssse, do
tées à chaque êtage d'une rrulijilct^ cle tarrlirras louches
el de reparres de chasseurs oe pr-ln es L: lluparl des
contrebandiers se rendenl au i:rc rrs ,lre :ois iarrs leur
carrrère dans celte perle des pcris:ar:-rrles, qLje te soil
pour y trouver du trat,all, pJ r rfiL-l r:
I r? q Les tépara-
lions sur leur rraisseau ou ett !,tê|: lr'ii' :-eftrge sur poLlr
se farre oubLier un momenl.
Ourssolentlàpor-rrla:'e Lr rr - - lou erhapperaux
autorltes, La seule chose q,l l-l sse 'r'eirei es rrlsjteurs
sous ces élotles sans fot rlt ic .És- a-l - rr-opre tnorale.
Les joueurs trouver-onl au lrois:ème chapltre des règles
pour se frayer un chemin dans Les bas fonds mlteur de
1a galaxie en lant que HLtlis. Catrks, Niklos ou Saklt ens
Celte secl-jon comprend égalerrent des armes et amures,
ainsi que de l'équtpemenl eI des véhicu es et vatsseaur,
lous spécifiques à chaque espèce et culture de l'Es
pace Hutl.
Le ciernier chapilre propose ciirq rencontres modu
lables des ensembles d'élemenls qui recenseni les
types de défrs, personrrages el scènes caraclérisl ques
de la région EiLes sont classées selon lenr longueur, d'un
inlerlude de trente minLlles à une session entière, et
conÇues pour nécess ler le mtnrmum de préparatlon de
la parl du MJ ElLes peLtvent etre ulilisées pour éloffer
une parlie avec de nouveaux siles excilants ou constituer
une sêrie d'avenlures rnédites.
ri§
II
§
*t
* SIDVNNOSUEd 30
i orl.red allanb olrodu-ll,u q luaLLild op dnolneaq
ralnole lua^nod SaJluof ual sal'Al nôta^uo,p salrolsl r.l sêp
Jnod lredgp op lurod aLuuof, lr^tas ua,s ap no 'sllnH sap
Jlo^nod np la uorle^erdQp el ap ll1o8{ue^p un ld xne
rêuuop Jnod se llon lluod sa.toploue,nb luel uê .lostllln
sal ap Opr)Qp t-n al ano sJnol ua olnJua^e aun suep
ellnH leN êp suoreB sap sauiQl.ll sêl aplnll uo5eJ ap a]tnp
-orlur,p fL\ ne luêl]êLulod lê êu8edurel oun e saÇraQlur
orlg luêulolDel lua^nad salla 'allelnpoLLt atnllnJls rnal 3p
nual êldr.uol sn^Oldull sJUêLUasstpuoqat ap sêutêld steLU
sonbrssell luoulr.xoJedde sênôUlut sarlne la sanbtpes
sllnq sloldrxol sop losoll ap srnosseql sop'oledsa,l op
solErd sap lualuosord salll eInH eueloo8 el 'alqeJlgu
-adurr .rnæl uos e srarpupqêlluol sêp ounl el ap lna]]ês
3l ap sllurlsrp ualq xnorl sJa^rp lua^UlQp soJluolu0J saJ
s3'rs\fl noouu ssurNof N3u
: Surtdvt{f
^t
ap sJnasseql la srarpueqarluol
'sleuru"rr;r se; s;enbxne uorlgilsrp
?l lo êssalr^ e1 rnod sn5uor sa;nr
-rUg,t srnarsnld rssnE zaJo^norl
 snol 'sollo^erel sal 1a salro^ g
saË;eq sa1 'upr)i)uqn,p sSrnbse sa1
r anb slel sanbrun sarrellals xneas
ffi,:1:.,,'.:,.. . . -sleA op ourEznop oun lulgp lt 'uU
?r::t':',:: : -uI leugdur aredse,l suep slrpJalul
:;,,ÿ,. ,',:, erlQ.p salqtldersns sluetuedrnbg sra,r
i,:11,,,,,.::.:,:., '.,. -rp 1a sanbrlqu.raqÂr sle8peS sep enb
..:..:., :', ISUIe 'uot8gl a11ar q senbgtrgds solnLUle
,,,'..1 la saulle solla^nou ep lueualeS9 eluesgrd
, ,' ll solllN ap sa:gdse-snos burr sap oun,l no
,, ' , orBrrdsrad ueÂr1e5 'alqeÂolrdur IUeD 'QSnJ llnH
: êllpQUI êlQdse oun ? lueuêlredde lutan3.r ro
sNrJNoS xny,p a8euuos;ed un reg;r lnod urosoq luo
s:nanol se1 ]uop sllelgp sol snot puerduor erlrdeq: a1
sNolrdo: ilt Sultdvr{f,
'saur?,p la saAEllso,p 'sacrdg,p êlraLUu.lol Jrlerlnl ne
ere:3 luarQdsord sa;neuru.r sor uolo) saJlne salqelqLUoli
-u!,p lo uueuy alerleds uorlels e1 'seroruadÂq saledr:ur.rd
sap 3uo1 el xna,p unleL{l Jns alqpJOprsuol aluanlJUr
aun lualraxa s1nH sal 'leuu ne srEul 'oluepuêdOpul.p
sq;8ap s.ra,nrp luanbrpuaner snol ersal^ 1e er.repÂo1 'rye5
'uerpo lo JnnluS 'auroolel) 'uEluty luauua"ldr-uor srrp
-r[e1 sap oplos el ? sapuour sal 'ourn] uê aleleu olQU
-e1d rnal lê suell sop sauerl-sapuour sal rns allrê^ ltnq
ollolJ 01se^ el Qo 'e]]nH eueloo8 la IlpA Jolrst^ 0p uoll
-esuolne,l n)er luo sra8ue.rlg,p nod srorpueqêrluoJ sap
ounl el 'Eeppeqs JpN op la ellnH 1ep ep enbruouotg
la anbrlrlod arluol np urol pualg,s llnq oureutop êl
ItnH Sfvdst,'t: I EultdvHf
'uorSor
alla:
supp alnrurop nlg 1uo rnb soJnoutul sagu8rl srnarsnld enb
tsute 'uorsuedxa aurald uê 'elsuoloD sop la leleeunO
slêuuorlrperl sap 'lrpESêB slournos sap 'rrlrlrseq slues
-srnd sep slag xnedrrurrd sa1 anb rsure 'se1e3911r le selesOl
sesuda.rlue sol 'suorleslueslo saluarql3rp sop salquou
1e sluea8urp sal zoJ^nolOC arlred ellet suep Itelqp ua
sgluesgrd luos saLuour-xna sllnq suell sal 'llnq OlQnos
€l ap arnllnJls pl êp 1a srrprfe>1 sop êpol np alqlduot
uotldrrrsap eun,p sn;d ul uorllaq?d e1 1e arrdu.r3,1 's11ng
sêl arlu0 uorlelaj el rns lup^0rlle,s ua la ulx ap solJanS
se1 red lue5ueurLUol ua '1ng ereds3,; suep anbrlrlod ap
l0 orrolsrr.{,p sue 000 gZ uol^ua adnorer uolllos êlla3
S'tiINll,llluf SiIUld l,lll : I SUIldVHl
,i

:
û,"":
uJJmt Trx Eo sf,oiilra s:fr.
sl3Ntr{tul Sfutdÿ!:l
',ro^olQl as q
luaLUarQrlnS?J luslroJ sal Iou gqlJeuJ al lns sllnH sap
osrurureul el lê luouJêuuorsl^oldde,p oJQlleLU ua sallaq
-au s0p slaar uarq surosêq sêl steuJ'sallne sal la^e sun
sal lleluor ua rarlua,p ralt^o luarQJgrd sll 'anbtlleleS
ordurl luessrnd-lnol np stol sêl snol luau8torjUa slr,s
aulgul 'luausJeJ luepDUrol sllnH sap lo sallaqêd sap
sJrllalqo sal pual?rd ol ou lt,nb aJpuroul uerq lsa Iaor
slQrluol UOS SrPUJ 'AUAZ q TnS UOTJEUTLUOp eS AnbrpUAAêr
êJIdujl,l .]]nH oledsl,p urou êl snos onuuol alxeleS el
êp uorS?J asuêuJu]i,l lo^? suotlleJ sal êp suotJleJalut
s0l luaururslou autu.lexa ll êllaqêu oluprllv,l la êJldul,l
la^e luouuailêllug sllnH sal anb soxoldu.iol suorlel
-êr sap qsodxa un Jpd aururJa] ês aJIdeL{l oJ 'uljul
solnrllr sg1^tlle sarlne,p uorq ap 1a aulsrSe,re rsa.p
'auelerrd ap 'sarrdg sap al;êululol ap 'apueqêJluol êp
arQ[eu] ua sliadxê ]uautuielou luos sllnH sal 'luâJ^{l
os slr slanbxne suorle;çdo sa1 anb rsure 's1êurLuul sa;rd
-LUO srral ao sè.3Çlells sêl tê at,olct t,l êrtnêl uc tuessed
ua arxele8 el àp êlqluasua,l rns sllnH sap aluAnUUr',; q
luessarQlui,s a;1rdeq: np sorretpqu;êlul §uolllas sal
.slêlrel sa: ep sluepoduur
snld sa1 lrBlgp ua srnêllre.red aproqe 11 arxele8 el 0p alsal
ne raidepe,s rnod gnlong 1uo s:rprle>1 sêl luop olQlueu
e1 ap anbuolsrq n3rade un;ed lualnqQp sa8ed sol alQrl
-ua lnol arxeleB El aluonlJur 1a 'a:qdsa,1 êp saureuop la
sêpuoLU sêp sarQrluorJ sal oproqop suell sal ap êr^ ap
apour al llnl{ ?lgr)os srrprlel sa1 red sguqrd xnegpr
e1 1a
sal êJlua enbrr-ueuÂp uorlleralur,l e1q,ng,r a;lrdeqt a3
'aJnllnl êllêl op solueulutop salnllal
'arqdse,l êp slallel lê slourLUul s1e:rpuÂs sal luêuallexa
snld eu8tsgp aulral al rs aurQut 'srrprlel sgladde luaurqu
-nLULUo) suell ua aryedgr lsê unq Qlgnos e1 erxeleB e1 ap
arlne.J q lnoq un,p sgsledsrp atQdsa,l op sêrquJêLU sal lns
alqelou a)uonlJur aun anaxa sInH sop aLugrdn5 lrasuol
êl lnêS xne^u sJnal ap luêLur;]gp ne 1a a8eluene a.rdotd
rnal ? 'uorjelndrueul e1 ? la uorletÇldtalut,l ? sogno^ luos
suorlelueuuag8gJ srl lê srur.led luos sdnor sa1 snol'sêJreJJE
uf aluElsrxaur orxurol anbsa;d luolQprsuol s11ng sa1 anb
arQIluoJJ '1e391p ia le8q1 erlue orQtluorJ el raltLltlQp ap alrl
-q;rp srolred lsa Il 'IlnH a:eds3,1 ap urss ny ar8gd e1 .rns
as rçlu-l3.rl ta a ,oq.nor ê0 Sèlue8rueu ap otarleul Ua I
arxereB el êp salqeisolr"orur sêJlleLU sal lualsaJ sllnH sa I
 H I§TOI RE [I,U N E TYRAN N I E
I es Hutts trgurent parmt les espèces les plus anciennes
Lde la ga axie. Leurs origines remontent à une époque
antérieure à la Rêpublique, et ils ont entamé l'explora'
tion des systèmes stellaires voisins avanl l'apparilion des
grandes roules hyperspatiales. La civilisation hutt existe
depuis des millénaires el les premiers chapitres de leur
histoire ont disparu depuis bien longtemps, les récÎts qui
onl survécu à l'oubli tenant plus de la mythologie que
des faits avêrês.
La culture des premiers Hutts dtfférait énormêment
de leur sociêté actuelle. ll s'agtssait d'une civilisation
guerrière, au sein de Iaquelle les dilférends el les luttes
de pouvoir se rêsolvaient sur le champ de bataille, dans
le cadr:e de combats ou de duels rituels. Les Hutts por-
taient l'armure et dirigeaient des droides de combat. Si
l'on en croit les récits, ils étalent en outre très rellgieux
et spit"ituels. IIs pratiquaient par exemple la divinatlon en
interprétant la durée el la lrêquence des pulsations de
1'étoile appelée Cceurdieu, enfouie dans les prolondeurs
,* de l'Espace Hutt el toujours considêrêe comme sacrée
t odr 'espè(e aliourd l^l .
EXPANSION
ET COLONISATION
Les Hults mirent ils au point leurs propres méthodes
de voyage inlerstellaire ? Voilà une questlon donl la ré
ponse s'est deputs longlemps perdue dans les limbes du
passé ll esl probable et même plus vralsemblable qu'ils
aient prolrté de la technologie d'une autre espèce ex
ploratrice Peu imporle les moyens, ils ne tardèrenl pas
à prospecter les systèmes votsrns et à entamer une ère
de colonisalion qui vil la créalion de nombreux syslèmes
centraux de l'Espace Hutl, base de leu.6;opérations pour
les millénaires à ventr
âe
ffi
"t
,#
4r
,d"
Cette expansion s'accompagna inexorablemenl de
rencontres arrec d'autres espèces Larrogance des Hutls
el leur senliment de 1égilimtté les por-rssèrent à domi-
ner lous ceux qui ne possêdaient pas les moyens de rê
srster à leurs intrigues et à leur puissance militatre. Les
civilisatlons les plus menaÇantes oour eux furenl tout
bonnemeni annthilées, de même que les espèces per-
Çues cornme trop laibles pour servir d'escLaves ou de
sbires. De nombreuses ethnies furenl ainsi exlerrninêes
par leurs maltres hults avant de tomber dans L'oubli Des
centaines d'aulres se retrouvèrent assulelties par le biais
de trartês el de chanlages divers.
Lempire hutl a pu apparaltre comme une force mono-
lrthique pour les observateurs, mais l'espèce était en rea-
lllé souvent divisêe. Les machinalions et Les rivalilés cla-
niques demeuraient omniprésentes dans la vie politique,
les campagnes mrlitaires et les opérattons de colonisa
tion. Mars ces clans qlri guerroyaient sans cesse les uns
contre les autres s'alltaient souvent pour conlrer une me
nace exlérieure, l'expansion de I'Espace Hutl profitant à
loule l'espèce. Ouand un conllit prenait des proportions
préoccupantes, les cjans rivalisaient pour La suprématle
en livrant des combats ntuels et en procédanl à des rè-
glements de comple sur la planète Vontor
H*&# ffiffiSËffir-ffi HY tr-H# Yêffiru&§§
â-ffi
Vrngt-cinq mille ans avant la Bataille de Yavin, les Hults
lrrenl la rencontre des Ttonais, aulre civilisation antique
de 1a galaxre. Dingês par le terrible Xlm le Despote, les
Tronais nvalisatent avec la puissance militaire des Hutls.
Ces derniers, impressionnés, proposèrenl aux Tionais de
devenir les plus privrlégiés de leurs esclal,es. Xim consLdé-
ra cetle offre comme un affronl inadmissible et enlreprlt
d'envahir le terriloire des Hults. Le Hult Kossak unilla les
clans pour larre face à Xlm, el des batailLes acharnées
s'engagèrent entre les deux camps.
:k
1â
:1,.:i,
t:
1
,-!
t
T
§ .'
-*%"
ry
. '\\r .l
snol êp s0rlqno ]a eeppeqs r3N 0p sêlllerl
uo xne sQUUoluel 'l€LU enb ua q luel lualnlQAlns llloA!
sa-1 rnol o) Q QAroSUol e alqo,nb LUou ol 'sralpueq0lluoJ
sêp ounl pl -ruo^op ap lue^e letl-lêLLILllol -ra,{ol luelrod
LUi un uo Enlo^? lto-tpuo,l 'sêÇuul?,p sloll itll sanblenb
uf uieq-rn apuour ua luêrQLUrolsuPrl el lê êlpualQ,s êp
urosoq al alr^ luêrQ^noLd? sllnH sêl'lllo^: sal "rnod
aFnler un sdua13uol sed elser ou eeppeqS reN
'sllnH sêp
lno8 ne e8elue,tep SluoLUOUUo.ltr\uê sollne la sa8elgleut
ep ques.ted'püoqe?sneu .totqrnoq uê gLUroJSUerl luêLU
-eprde;1r1 enbgtu8eu opuoLr-t oJ sarQtls0.loJ s0npuol9
SêlSBÀ op ra8e,te-t q sed luarQptel êu solellso xn0lquou
ep -red snu surBue srne-1 soQlse^0p s0luolol sollne lê
l-reA êp sêurn-t sop atueua,ro;d uo sarrellals slo^u0l
"red lue-rqn111e xne11ran8lo sltnH so-l elQueld al op aunl
enbrun'eeppeUS -teN -tns iallelsut sa1 rnod'e1ueEl1le1ut
euqBr"roqe arqdsa'tllor\l sol teslndre € sed luelQltsgq,u
slr 'npuêluo uêrB « xnor"lolJ ne1\o[ » no 'E]lr.lH l€N lu0rQLlr
LUouo.r el te lue-rQudo"rdde,1 es s11 QnoLÀ oLUQls^s np
relo^! olQUeld e1 -tns luoltlqelQ.s slue^tlrns sllnH s0l
'se:qdsa sarlne sêl salnol P llp-lêl
ur 'Q3?lord lo Qrles olts un èlsêt 1te,1 o\o1 neè\fou un
s-ra,rra8eugurgp -roAêp ep snld uo'otqdosollqd e1lo,tnou
: êun.llo^3luol ? sllnH sêl lLlo]QS
. snocl satnanbgsuol sêlqlllal sos
I ta e-t-ten8 a qelo-rJ]O otlof tlel ?
,.
iil' lnol steuel e,relo-t uo,s êLl llnL] 9l
-Qllos el sQlQdQr slnESSe sal Led
ft
fi Qlse^QP lnl'sllnH saP eulSr.ro,P
ii êpuolu 'lre^ la so9ll-l l?p luoln]
i seruolo: sosnê.tqluou êC llnH
a:ecis!, lnol q llPuolg,s QUreq)e
lrlluol al uEll uos ap Osuêl9p el lê
dl-?LUd.O ' ?r r' O0 lLo oBP d - )-')
ollsq ês 1r,nb un:eq: op llEsË xê ê.rQlr
.,lenB arnllnt êllêl êltltl ê-l-lonA uê lualQr
QUOAQp sltnLl sautts0lul sallnl s0L'ul^e^
op ollrel?B El lue^e sue 000 9 | êp snLd
s&-tuffi Ë4 §§ ffi §"ê§3W§W3 ffi HT
. Sues nP suetl
so rns ralrodLla,l luale,rnod sluêunlop sal lê
xnegpt sêl 'sloL sal luaLULUol sed luetesslstes eu
sll sllnH saL luolelraluol?p sureLLlnq sep anbtu
ell êrnllnrls êp êluosqE,l 1a luau.,lelrodL.uol el
'ornllnJ el sêQUUE sep luepuad e'lpue-ld-lns sal
op ranulluol lrelle lê lLlJUol np uu PI srê^ sllnH
sop sêluallP sel enolgp enbLlqndç5 oLuQu êllal
'Qlt-tn)QS o^llelor oun
lleraLo-lllo "rnal lnb
'anbrlqndqg e1 lua,rLuBtoler slue^tl-tns s.ln0l la llnLl u0ls
-e,tur,1 reÂerua lua.ltrd eu slotulêp sal ?lllenlua^Q êll0l
rua,tgLd rnod sreuoLl xne luêLLlêl)o-1lp luop lualud ua,s
sll rr-le^uo sal ap êrtoA'xnê arluol -lêssê-lp os op olqedel
la lroJ snlcl oroluo leltl un o8teug ue,u 1l,nb 1ua-ttu8ter:
sll suLeunq sa-tLdute êlluo lonllr lllJUol un 0LULllol JU0LU
-ouQ^Q lol luern5led sllnH sol sleuoll se1 :erte 'erlanB
êun auQLU la'suotlltrJ senblanb lnuuol'êuuorLUol,l0d
alen-roLuLr-rol êlnor el Led re,ttrte,p luoleuêA s0lqLU0uJ sol
luop 'êluessreu anbrlqndç5 El lu?lne rnod sed lnlluol
os ou sreuol I sal lê slli.rH s0l a-lluê lllJUol êl slef\
'l-roLU el
?^no.ll "llo^e
gsuol lso Il i-ro'L-lP rns )esso) 0p sollaLlqno s01 suep
Q-rlsanbQs olmsuo lnl alodseC ol 'stllOr sal uol0S llnH
ereds;,1 lnol suep a.l.lanB ep eQLldoLl un lol lu0-lQqlUx0,l
rnb'sarLesre,lpe sês op latuL-tost-td e^t-loilol ês tlllX -.loluoA
e lonlu leqLUol olllQlsl0.ll un,p slol 0I10l9p u0 sêplo"lp
sas o-rlloLU la LUIX o-rture,t luarnd sllnH sol 'soAEIlsa,p
so?LUle sollêÀnou srnel € alClD aletlçdull e,tQ,l €,nbsnI
sêreu?llrLU sêl ?s.tê^erl e Qlte-tl a) llnLl uolllalo"rd e1 ep
aBueqrq uo oQUIt'Ll"tolQput êQ.rnp eun lnod a8e,re1:se ua
suoo-rpo sol la solllN s0l 'suêlul0olEl) s0l êrlnpQr € lleu
-a,re; rnb ol'roluo1 êp Qlle{ e1 "leu8ts q uot89'l el olnol
;ossnod.lnod elodsaC a1 lteluasgrdaL anb ereueLl e1 ap
lueLQ]lord sllnH sol eL..ranB op sèplo p Jp sJlur.le sos
:]ê solloll sês rêJJolQ,p enutluol 11 sttrbuol so..llollrrol xnE
.-loluoA
roluouor op esnJO..l ll 'ollBl?p es 9131e;1 rns sL0nll-l
sleqluol xllop op 0"rp3l 0l suep sllnH s0L llluorlJe ulx
 I

svstematiquement) par des destilulions politiques et ries

LE CONSEIL pertes financières plLitÔt que par uRe incarceration Le
ffi
Pou r: évitér,g u e, 1es,eiàtq c l ys.m eÿ né .'se lr6rpl'odul se n t, I e s :
justice hult, qui se manileste davaftage par Llne lutle
d'influence el par l'exercice de reprêsailles que par te '.
respecl de l'équilibre ou de 1'équitê, est'decriée par le
H utts eomprire&' k' necéssitê rde:' réfqlmér.
leur c tr ltu re reste de la galaxie qui l'eslime inluste et corrompue
ei'd'adooter une :nouvelle' philosophiê-'Bu'rlhila'llq§t! :
lic Amur:â Crêa:alo1s, le Conseil ,des Doyénl.rÉ]g#gnient
'-
connu sous le terme-de Conseil Suprêrne l-luït-i'r:ifltim-e ar- LEs HUTTS ET
bitre de l'espèce.'Les dêcisions du consejl s'imposèrent
lors de loute revendication clanique; Çè qui én fil l'auto
L ANCIENNE RÉPUBLIQUE
.Hu
ritê souveraine pour lous les Hutts ou presque ,Le but Pe n d a n t cefie.ré9rean isa tiôn, da ] eU r rsoÇi!{ê,;rl,g5 tts n e
ainsi dléviter que les rivalitês ne plennenl des pro- m a n q u è ren t I as ltlqi]e gra n d s'
Otin te ra gi r, qv.é5'1l41Se.pq b. i

i' 'éLa\l
porlions ,incontrÔlables ou que n'éclatenl de nouvelles trdgui,'ttéfàaoa,r-aans,te!i..!ê,1ê.gsiarie;'dani le but de
ja: Rep
guerres thtestines. Ladhêsion au consejl êtait strictemenl m i e ur ià cerner,.t e-flJ.tr. B§ çEtùii"rent§ rie ub Ii que

iéservêe aux Hutts des clans Ancestlâux"autrement dit lixait les iimites€ffiii.§:J ilÉiêies du''cÔ!é'Noyau et les
'":;;':piiji'f6rmement.
issusdelignéesoriginairesdeVarl;-.:,:' contrôlair . Pour relancer le
commerce et ainsi.accrôltre leur influence au sein de l'es-
Pour assurer leur survie, les Hntts Aur$ÿ991c renrpla-
pace de la Republique, ils tracèrenl la voie hyperspatiale
cer leurs traditions guerrières par uneiii,âfiÿélle ph1lgsÔ
ohie. Budhila aboulit au concept de kajidic, selon lequel
à'Ootrim Pabol. Cette voie qui s'étend depuis le cceur de
ies Hutis rivaliseraient par l intermediaire d'organisalions
ü nàôrnriqrË lusqu'a Nal Huita s'avêra très pratique et lu-
plutÔt que de s'affronter ouverlement. Cette nouvelle cratlve, au'point d'etever Nar Shaddaa au rang de monde
approche s'imposa au fil du lemps pour remplacer les marchand respecté et très fréquenté. Les tradilionnelles
routes tionaisôs oui coupaient ia route commerciale Per-
coutumes ancàstrales, reléguêes au rang, de mythes et
lemienne reliaienf l'Ootmian Pabol au système Sleheyron'
légencles. Les kajidics ont fini par remplacer les clans
oJa .n devenir sVnonymes, mais il s'agissail au départ Nar Shaddaa comme Sleheyron connurent un fabuleux
essor, preuve de l'efficacilé des idêaux du kajidic'
d'une philosophie à laquelle les Hutts adhérèrent des
millenâires durant. Pour plus de renseignemenls sur les Mals I'Espace Hutt n'élait pas ouvert à tous. La ro,ute
kajidics et leur impact sur la société hult, reportez-vous hyperspatiale de Pabol Hutta, qui reliait Nal Hutta à Sle-
à la section Code du kajidic et société hutt, page 1 6' nôyron', élait ainsj réservée aux'seuls Hutls. Celte passe'
À l'instar des kaiidics, le Conseil Suprême Hutt évolua au relie connectait de nombreux mondes-trÔnes des clans
gré des transformations politiques de l'êpoque et kajidics, siles isolés et fortiliés où ils se barricadaienl
Ce même conseil promulgua en outre les premières pour mieux contrÔler et êtendre leurs empires La Shag
règles commerciales hutts. Cette slructLlre lêgale permit Fabol, êgalement connue sous le norr cle roule des Es
à ia société de prospérer et à ses membres de mieux claves, fùt volontairemenl cachée aux yeux de la Rêpu-
.àrieà...i Ènrielndrà àes lois êtait certes dêconseil- bllque, car elle donnait accès aux domaines rèduits en
ià, ffi; Ë; t;;;t..; ie traduisaient souvent [mais pas esciauage par les Hutts du cÔtê de la Bordure

&.
4§d
t*affi
L'L
vrrllH'Itil !o siloètvE s:n
', s-lSNthltuf sfutdt/lf
re[r]êpueA la elsuaro) 'lel
-eeunO (saBars },napl )rlrlrsaC . slue^,ns sêl luos aJ,ô.rdnS
lrasuol np slênl)e s)rprlel sal êildul,l êp ouuop dllo^
-nou el ? a)eJ slrprle) sap sasro^rp suorlelnu lo saunl
-roj 'sarroqgp sêp Qr8 ne QSuellr lua^nos e uorlrlredgr el
'lrlJuol al srndac 'saaQrs xnap ap luesodsrp rarLUard al
'elsuoroD la )ele?uno '1!pesêB 'lrlrlrsac : sllpl[p) or]enb
op qnlrlsuol llelQ llnH êu.lQrdns lrasuol al 'sauoll sêp
or0nD el lueJnc lu0nlJur jlnH aJlnP un no lueualnarl un
ran8QlQp lnod II uorluolle uos lualuou xna^ sas e sêlq8l
'Uord snld suorleJQdo sorlne,p 'luo^nos Jel 'lrasuor ne
luour?lroj sed aluasardar al au uell un,p olol EI e npr^
-lpul un luouraprdeJ rar./e^ luop lua^nod slueluos?Jdêl
srnal luesodLUol sal stlnH sèp aluanlJUt,l êp lê suell sol
ap aurolur êrrllreJQn.l el ap uorlluoJ uf uell un no llpllE)
un .Jed OlQrluol ]sê slrêsuol xnop sôl ap aBQts anbeqf
'olorolord êl aBrxa.nb so^el)
-sa la sluelsrsse sal anb rsure sQUJOfuol sllnH sal snol II
-lronlle lnad alles anblsalueSrS ollof ellnH leN rns uou
aLUQur np OJqu.reql el suep lrunQJ as llosuol pueiD al
'ê.rnauOdns a)uessrnd aun
luouuarlgp sjueuru.lop slrptlel
sap surelral lo aLUordns IrosuoJ ol srELU 'luanllul sallal
lsa lrêsuo] puerD al suell sêrlne sop lrednld el ap luaLu
-ul9p ne Jro^nod uos lê aunlJoJ es alllo.Dle,p no 'sllnH
sap unulLUo) lQlQlur,l ap orluoluê,I ? Jl8e,p oJlnE un JEd os
-nlrP lso uPll un,nbÿol luaLueleJouoS luauuar^Jolut sollf
'sluanlJUr,p sollnl op 1o sanbrltlod xnoi op orleoql al
luos
soluorpne sa] 'allQrs un,p snld luepuêd norl na lr3 e,u
êluP9s aun)n8,nb slole 'ur^e^ ap ollreleg El luep?lQld
so?uue lê slour sal suEp sroJ xnop surolu ne runÊr oidu-laxa
red lse,s D-rnlêJ lrêsuol puerf np sêluegs xnop arlua
allQrs un,p snld aJlo^'saruuolÊp sop 'soouue sap lossed os
lnad ll ]]nH oLUgrdnS irasuo] np opuEuop el q.nb lrunOJ
as au rnb 'lrosuo] pUEJJ ne luernAU slrpllel llnL{-êlueienb
luaLuallênlle aldurol uo 'uell ap lnlels al juenbrpuo^ar
sêllrureJ sal solnol ap slueluasordal sal alqulosser 'llêsuo]
pLre;) luaLuêlduurs rnol no UnH ltesuo3 pueJg êl
]}nH al eqqel q aorlle no êqDosse
lua^nos rrpeso8 sOp orquoLU 'llnH el ellnpreD ep sreled
np uras ne lre^norJ el uo 'sauol] sop OJJanJ el luejnc
'oue^ arqueql êllol op enbtqdetSog8 uorlrsod el ales
-so)OU rs lauolol.{ ern JêJf ouuol Â,s luenned soJquouJ sal
sreLU 'lrosuoJ np arquELlf el suEp auuosrad ua luasslu
-ngr os er-ugrdn5 lrêsuoJ np solqLUêul sa1 'leLgug8 u3
'llnH lasuof pueiD ne uorleurLxouQp allal
ra^JasgJ ap 1ue1;nod luarnuol lr srBLu'lrosuol puerf
uot1e11adde,1 snos oquoJJO uo5e1 ap argggl Â,s uo,1 enb
o^ure ll PllnH leN ap Irasuol puerS no sltnH sop rnarJgc
-nS IrêsuoJ'11nH lrosuof 'suaÂoq sop lrasuoJ ap uou ai
snos nuuo) luer-ueleSg lsa ilnH eugrdn5 llosuof, ol
arrdLu3,1 la e rallerl ep 1r8e,s 1r,nbs.ro1 argdse,l êlnol ap
alo;ed-e1.lod luar^ap au:qrdn5 lrêsuol np luen;;ur snld a1
'e11re1 e1
êrqueu al llnH lrasuoJ puer3 91adde 1se reci
luelrodr-ur snld 'adnor8 puoJas âl 11nH erugrdn5 lrêsuol
ne sa?Uuol luos sêuuarprlonb sarre;e sal'sallui-
-slp suorleslue8ro xnep red sg8urp luos sllnH sal
.
uolllpeJl allêl raln-r
-snoq lrer;nod luonlJUl luaLUulesUJns :rprley un 'srolalnol
'IeJlsaluv uell un q ;luelredde luanrop sorqLuaur sês
: anlosqe rsenb aluelsuol olnos êun allosqo uO sluall-
.aBuere se1 1a sanBulur sel 'srrprley sap atuessrnd e1 tec
saQllrp luos uorlrsodu.ro) es la aJnJfnlls eS olqenLxu
sed lsa,u lrasuol np LUou al oLUQIA guen luêu;glxrouq luc
sarquraur sos ap oluênlJur,1 1e rronnod ol 'orqLUou êl sllc
-tle1 sap la suell sop slaururrl 1a senbrllod serrrder xn:
Qidepe lsa,s UnH eulg;dn5 lrasuoJ al 'sallQts sop lU n\
JJNH'IISSNOf NO
srJ.D(3ldllrof
sOlr^rll? s.rnal luoutLUop (sr1p1fa1 sap alred uoJ Luo-
rnal luorl ua rnb sllnil suell sop saLllueJq sal lê Jar
-o O,p assal eu crprlel np alqdosolrqd el 'oluanlJU! lna
arllor)Je.p uorsello otpuroLr.t el lns luplnes'lrau.loua'
-no,nb erquuo,l suep uarq rssne .1uassrBe s.l.lnH sêl ur^e\
êp allrEleg el lue e saJreu?llrrx Jnou la lrnL{ 0.]}uê 'saf t^las
xne^ol tê suoq êp saÇuue g1a Jns lrpualg,s rnb -epueu
luellrrq un rnod anbrlqndg6 el ap ratlêlueql nuê^ap llnl-r
ol snlolE anbrdfie.1 êp luar^nos as ug anbrlqndqg e1 ar
anbrlrlod el le sasr;da.rlua sel 'e.l8qd el suep sOlsnuLr
ruos as sluepuedapur no uell rrn e sdqletleJ sttnH sa6
 RElTER§
Comme Loules les espèces et crvi isalions, les Hutts n'ont
pas Loujours régné sans conteste sur leur domaine Ce
n'est pourlanl pas 1a Rêpublrque qui leur rnl rgea 1e plus
désagréable revers, mais a supernova qur engendra La
nébuleuse du Roncrer Lexplosron coupa a roule h_vpers
patrale d'Oolmian Pabol, la voie très aclive qur mena l
à Nal Hutla, et failllt mênne a délruire Des recherches
fLrrent menées pour ia remplacer. mais aurcune rrore ne
permeltail d'eflecluer Le lrajet aussi rapidemenl oü de
façon si rentabLe
Nar Shaddaa en surbil aussilôl Les conséquences : ses al
farres marchandes proirta jent essentieLlemenl de sa pro.i
mrlê avec cet axe rapide et direcl De nombreux étrangers
reparlirent s'êtabLrr sur Sleheyron oLl qüitlèrenl L'Espace
Hull pour rejorndre les mondes les plus prospères de la
RépubLique, comme ceux qui bordaienl 1a prometteuse
Passe CoreLlienne Le déclin de Nar Shaddaa el les len-
dances natLrreLLes des Hlrlts ouvrirent La voie au comnnerce
iliégaL, à la conlrebande et à d'aLrlres activltés donteuses,
couve[les par les opérations pLus liciles de 1'espèce pour
,* assurer sa croissance et la domrnaiion de sa cLrllure
En constante expansron, la République revendiquail
{t conlrôle d'une quantrté crorssante de systèmes proches
1e
du No\ran. Chaque nouvell.. region raLltée imilart et re
poussail encore les fronlières de 1'Espace Hull. Nlais
les Hutts ne s'rnquiétaient pourtanl guère de cetle é\ o
lutron. lls élablissaient ou marntenaient leur emprise
êconomrque sur de nombreux mondes voisins de ceux
allrLiês à La République. LlnlLnence de I'espèce sur ces
systèrnes reslail souvent olficieuse, mais elLe permil par
La suile de les ramener dans le giron de l'Espace HLrtl
quand 1a puissance de a RépubLlque déclina.
L,EMPIRE
f instauralron inallendue de l'Emprre Ca acltque el son
ascension fulgurante sapèrenl énormérnenl les profils
des Hutts À l'issue de la Cuerre des Clones, les lrnpét iaLtx
avarenl ainsi une nor-rvelLe fors fait reculer vers la Bordure
les lronlières de l'Espace Hutt les plus proches du Noyau
LEmp re avarl annexé le Coulet Kreelan, -v compris la Pé
nphérie, dans sa traqüe des Séparatisles. Du côlé de la
Bordurre, rl avail aménagé de nouveaux secleurs à parltr
de régrons de 1'Espace Hutt el de L'Espace SaLrvage.
Les Hutls ne pouriarent plus rgnorer La puissance de
l armée impérlale el dLrrent se plier à ses règLes. du moils
en apparence OfhcreLlement, L'Espace Hult se relrouvail
sous la direclion d un \,1off impérial du s5rslème Teth,
autrefois silué dans 1'Espace Sauvage et devenu le s5,'s
lème cenlral du très récenl secleur Barel. Dans Les fails,
1'Empire n'exerçail qu'un conlrô1e minimaL el sa présence
mililaire dans lEspace Hntl arnsr drminué s'avérait prali
quement inexislante. \,1ais La puissanle Flotle impértale
restail une menace bren réelle Lorsqu'il devenait nêces
saire de rafralchrr la mémoire aux HLrtts.
Comme rls l'avaient fail des slècLes duranl, les Hults
conser\,èrent une grande influence sur les systemes
qu'rls irenaienl de perdre, I'Empire élanl plus attaché
aux apparences qü'à une soumisston réeLLe. Les Hutls
se conlenlarenl donc de l'amadouer orsqu'il était
queslion de proléger leurs intérets, sans hésiler à fatre
quelques sacrilrces pour apaiser les lmpériaux ou abon
der dans Le sens de leur polrlique En ou[re, ils ne lar-
dèrenl pas à comprendre qüe comme les représentants
de a Républrque avant eux, certains officters el Mofls
de I'Empire demeuraienl corruptibles, el à tntreslir leurs
crédits à bon escrenl.
 vJJJtH'rvt to siloùva sEL
5'l3Ntt^ltul slutdhlS
Eqqef op Jno^eJ ua luaLUOleuU enol oJrollrA rrrrl:lr;]
'esodrur,s e8tn6 uelue,p sllnq s;eutanB sel luotelltl
es onb slênlrJ sluêLLrêluor1je sep eBrlse,n'êuuanuV to-l
el e luessroqo lrolll ?..lBqLUol êp ouJro] êun'uell êp
sJoLil op lonp uo )€rlrI siole enbo^ord e8rn6 >1n-ty,p leu
-rssesse,l suep crlrlrsa6 sap Olrlrqesuodsel e1 ra,tnoLd ap
e3;n6 ç UUUO
luêJruJrod sagssnod suorleBrlse,rur sa-1
'xne^u sJnol ep slUorcJ sa1
ep rrlr;rsa6 se1 rnod uaÂoLu un OlrleQr uo llelo êlutollse,l
'sllnH sop rLUêuua un e so^ellso,p olua^ e1 lrund ç egu
rlsop luoulollorrglg rrlrlrse6 u?ll np lo eqqef êp oluEl
-srsur,l rns'llnH red epuaLue ap,tno1
eLuOLdnS IrosuoJ e1
êun e squluepuol la sQuuorllues luarnJ ll xnol ilpesaB
xne rno^eJ op luoLUOlrpJl un nleA lre,te errdr-u3,1 ? sanpll
-so,p oluo^e onll luoJrJAnor9p sllnH sêrlne sol 'xna rnod
luoLUOSnêrnoqle[ ] aunl pl Jns suorq ep ned luoteuêlop
s1r ie 'reu8redQ sal êp ê^rllêrrp ;nod n5e'l luoutolQrlos
luêrele xneugdurr sol : rrpesoE sop uorldolxo,l q sllnq
suell sol snol ? oluroll€ eyod eeppeq5 reN rns lnesse;l
alduu3,1 Jed Qlnlqxo luoLUOUUoq
lnol ln1 puolos ol lê loqlQ uos op saluonbqsuor sel.trq
ns op onb 1qin1d reprrrns as eLQlOtd Lerruard ê-l allreleq
e1 npred :ro,le rnod sQUUorllues lualn1 luepueluUJo) uos
lê pllr..{S Jlon ol srnd'uorsello e.rqruard el € luop elllol
os alloll e1 ndLuo"uor JOnUlo,l lê lJor\ xnorlrqLUe,l rourLU
-t19,p anb 1nq rnod lre^e,u orQrlua lnol uorler?do,l : alllel
eq e1 erpred op orpJo,l luoLUOlQrles n5ol lteAE leugdLur
luEpueLUu-ro) al anb alr€d arlred ua 'olrollrA el luoJQlJOd
-LUOr SII Solqerp sêp aLLTLUOI lUOJrpUOlQp AS êunl el op
sluelqel{ lê srêrpueqa;luol sol steLU 'let;Odut xnolnol
e1 rasrede rnod eeppeq5 reN iêUulES Q slQrd luêlplQ tl
-xnêJ sllnH xne ollreleq ep ueld ol npuo^ lte^e allol3 el
ep nduro.r:or luepueLULUol a1 anb .reldu.Lol sues 'aL..llel
el op rnolneLi e1 ç sed luorelQ,u 'onbtSolouqlol ueld el
rns sgssedgp 'xneossre^ sof ellnH lep ep sn:o1q a1 anLt
tsure 'aleugdur ollolJ aun Led eeppeq5 r€N op uorleltqtu
-uE,l €uuopJ0 lêxe8 rnollos np pl!qs ures lJot J 0J'alJoJ
op suorlerlsuoulQp sol op êun,p sJol sllnH sêl Io^es
p 'arxeleB e1 ap serrdg,p srnelrnpo"rd ja sralpueqorluo)
so;3 snld sel luaurenbrlqnd lua.rq1qr: xneugdLul sol 'êlel
ol Jnod eldLuaxe,l tnod ro1 el sroLl sol Jêtl?Lll e le rr8e9.t
q a:rdLu3,1 luerqssnod atnêuQlxg oJnpJoB el suep salloq
-aE sap suorlergdo sosroltp se1 'anbodg ouJQLU ei V
'seyqesuodse; se1 ranbsnqgp lo lrou es op
sa)ueJSUolln sol raponlg rnod taldulor sues esuedqp
'arqd uos op leurssesse,l op nlute^uol 'e8lnq 'a,r1no u3
'xnenu sês ap sun-sanblanb euturlq rnb'tro51
IlêloS np
oluelsrsse,l lue.rgnbel ue rrprlel uos op utas ne uorlrsod
es JroossE,p esserdue,s 11 n,rçrd anb, eceUol snld uarq
elg^QJ as 'lnrv,p lueJUO,l 'llnH ol e8ln6 sre6 riltlse6
xne luopnur,l JOrlor ap lrurad eu uou le ltoul el E^noll
>1nry lurod urelrol un q,nbsnt 'euuorlluoJ ueld a-1
QlrLUru€un,l 0rreJ
lrel? l0rnleu r0rluQq uos rel '0luêuJrnol el suEp rrpesoE
sa1 lre"ra8uold lroLU es enb luerOdse uo 'uÊll uos op lêt_il
')lnrV rouuosrodu.le,p tarutap a) luolQpenslêd sll lre1sll
-?su..ib xrêu oLUe rssre rpesèB sêp a.tqs un.p at...,d
Lol el lêAe eJrssesse Lr luêlelLdLLo, eqqeI la re lf
'sa^rlelual sê"rQrLLi;_, l
sol ap slue^olQp slellnsgr sol sQJde olelrp€r snld oLll:, l
-de eun sJO^ eurnol ês lr sreLU 'suerse1,{ êpueqorluol =:
xneossreA se1 re11rd inod sêlerd sap re8e8ua,p pJUêr-;-
as rrprlel al 'lLedQp nV elQueld el op Qlr^rllnpo-;c :
rêlrLUrl? luesr^ sornsaLU sêp luop luatr.rd rnb r .
-aC sap s111o;d se1 rns elqrdura ersêl^ rns uorlergdc-
errdu3,1 esê:.
-se sJnêl op slLUnos snld sal olnop uo etpue,r lnod Lss -:
ra,ter8 luêrQlUoJd ua s11 xud sol rns rolraxa,p luarellaLUroc . -
sal1e,nb oluanlJUr,l ap lo on8orp op saluol sêp luê,;: -
-g9ugq rnb rpesêB sêl luornJ e3 sarrdq,p uorllnpo-r :
rnod se,rel:se uo xnornoLileLU sol llro^uol q luesr^ e-' -
-sodurr eun,nb lrelq,u uorlergdo,l : asne: Jnod lo .' -
zaql luoLuêJer luoreJluoJ sur"relqd soJ « Qlr)run,l r -,
alrA..ros ne suuolQd sop luarplnJla,r soJreuuorssrLU sol -, -:
xner8rlar alnrsndnor8 un,p raÂo1 al aLULUol arlleuucr --
es alQueld el 'luaLULUalQE suell sol olluo aluoluosl
op or;nos oledlluud el lso ÊrsoJ^ Jns rrpESêB sol rr -
souêuu]eJ sop uorllnpord e1 ap êluessrorl aluolor z-
'sue,d stra o'
no sllnH sop slgrqlur sol r^rês sroJ;ed luo rnb s-- :
sru-r sêp ? Odr:rlred luoLuê^rll? luo uerssul?l opu?- .
€ll€qMOLlJ 'olos ueH luos anb sollaqo5 sor?ll s-r - -
sê-l dJlJ.lêl)l J.np,oB el Jpsêilol.rrèr >ê tlsêlQ:.
uos rruolureLU q glrreder es rorluoLUQp q aLrdu.r1,l -,.=-
rol 'uau aAuerJe,u aliaqeU Qlr^rll€,p sluolOl oOSS- ,
e-l su€ll sop urês ne suorlluJ sap 1e slgord saLLuc-: :
srol el ? luerquqB serrdg sap a)rêLULUol êl lê uorllnc,- -
e1 augrdn5 lrasuoJ np olQrluo) al rnod êsJnor el s-z:
sanbrsÂqd srolred 1a senbrLuouorg sallrelpq sos-=- -
-Luou op luar^rl ês srrprle>1 xnop sêl eqqe; red nuo-' ,:
lo llnH ol lErlrf ap QlrJolnp.Lsnos greld uelr 'llt1s;6 .=
lo puerD ol Inrv red sgueur rrpesêE sol : so.rlne sêl s' - -
'lns arleugrdns el rruelqo tnod saguue sanblanb sr1^ l-:
luollnl sluessrnd Jê suonue luoLUO.rQrlnlrU?d su?ll \--:
SINIf,IU srN3l^rrNl^g
-t1od e1 rns aler:qdur aluanllul.l orllollle lnod la =-
-1u3,1 :ed selrrrsord sasrpueLllJeuJ sap no so^ellsa s=:
rrLçnbre rnod sllnLl suell surelJat la^e SJOJ)os spjc__:
sop rossed ep xneugdul xne êLUoLU o^ure II erxel'-. :
olnol op e;8gd e1 lo sJrou sQqlteu sol tns aluonllut .'.
ra,trasç.rd ns s;nolnol luo slotuJOp sol 'sllnH xne sê-.=
se1e3911r s?lr^rlle sarlne lo auelerrd e1 'sarrdg,p
-orluol el orluol allnl op xneuQdult s1.ro11e sa1 9rE
11ng ereds3,l suer
-pl)sa,l ap uorlnlrlsut,l tns sltelQp ep snld ;nod 99 =.
€l ? sno^zelrodep sê^ellso,p olt?-ll €l op suolt,_
sop sLLUO-r IeLU luos os suell senblanb SrELll 'oJQtlEr :
suorle:çdo sêrdord sas êp sâurelrol rnod lê llnH -
s:,1 suep e8e,telrse,l JUeuroluol uorldarxe oun;.:
lrluêsuol ardurl,; puenb erorlgu.re,s uotlenlrs el sa -
êp urol sêp ar,ronD el luernp sllrH sal "red sQlQrluol sêLr,:,
xnorqLUou ap elrad e1 1a a8e,re1rse,l lueqtqoLd s_. ,.
sol olnop sues luarn1 s.,lnp snld sa1 sdnor sê-l Sê :-
sQlr^rlle srn0l êp uosrer uê sQlqll Jn0l q Jn0l lu0s s- .
so-l slêl1ê sol JanuQlle ua ? luauuoln.ied s r puenb;, -
'sllnH sêl rnod e1se19u elsal errdLu3,l op ouBQ-, -
 Jabba choisit aussilôt de soutenir une opération re
belle dédaignée par Jiliac Les Rebelles firent rrruption
sur Ylesia pour libérer les esc aves, délruire ies ustnes
d'épices, récupérer les réserves déjà produites par les
Besadii et reparl-ir avec de précieuses reLiques détenues
jusque 1à par le maltre des lieux. lls espéraient conver-
tir les esclaves toxicomanes à leur caLlse et revendre
les épices et les objets pour ltnancer leur Iutle conlre
l'Emprre
Cetle incursion s'avera exlrernemenl dommageab e
pour les Besadri. Pis encore, Durga accrut considérable
menl sa delte envers 1e So etl Noir, conlre a\ is d'autres
Hutts. Les Desililic et les Besadii se disputent encore au
jourd'hui e pouvoir, mais les premters onl largement le
dessus Jabba le Hutl, quanl à lui, est devenu plus in
domptable que iamais.
1.. r§#i:-;,rrrr're§ar
I rieurs. Les Hutls prennenl le pouvorr depu s les coulisses,
CODE DU I(A"'IDIC ET
§octÉrÉ HUTT
On enseigne aux Hutls les idéaux du kajidic dès leur
plus jeune âge, et ils y adhèrent lout au long de leur
vie, qur peul s'étendre sur des s:ècles. C'est le secrel
de leur prospérité perpétuelLe, de Leur ongévité en tant
qu'espèce et de leur stabilrté culturelle au cceur de cette
galaxie en constanle évolulion. D'aulres créalures pour-
raienl cerles observer des tradilions de ce type, mais
c'est I'intelllgence des Hults, Ieurs talents de manipu-
lateurs el leur pragmalisme irnpiloyable qLri leur per
mel[enl de respecter 1e kajidrc en associanl la brutalité
du guerrier à a sublrlrté du diplomale. Cetle approche
convient à merveille à l'espérance de vie de ces créalures
imbues d'el es mêmes, à leur patience légendatre, à leur
memoire infaiLlible concernant les alfronls passés et les
trahisons, ainsi qu'à leur sens aigu de la vengeance.
Lilléralement, kajidic signrhe n Les moyens par lesquels
nous prospêrons,. Les Hutls le rapprochent êgalemenl
de leur autre célèbre adage : « Puisque que qu'un doit
en profiter, pourquoi pas nous ? , A issLre cle a guerre
civile anceslrale désignée sous le terme de Calacl5rsmes
Hutls, Budhila Heslilic Amura éiabora e concept de kaji-
dic pour eviler aLlx siens de s'exlerminer au cours d'une
autre lulte intestine Les Hults se sournirent au kajidic et
en oublièrenl presqLre leurs tradilions d'autrefois, relé-
guées au rang de mylhes.
Lidée maltresse du kaiidic consiste à perrnettre aux
clans de se livrer une concurfenre agress ve nrais non
mllilaire, pour se renforcer lout en écartant les faibles
La guerre el les conquêtes sont rêservées aüx êtres inlé-
en liranl ies lrceLles par l'intermédtaire d'organisations
secrèles plutôl qu'en recouranl aux lorces armées
Au lil du lemps, le lerme kajidic esl devenu synonyrne
de carle hult Les clans élaborèrent leurs propres kajidics,
même sr tous les membres d'un clan ne sont pas for-
cément alfiliés au kajidic. A l'ère moderne, clans et
kajidics sonl inextricablemenl liés, si bien que i'on
peine souvenl à les distinguer Les deux terrnes sonl
d'ailleurs bien souvent synonymes La plupart des
kajidics d'aulourd'hui sont perÇus comme des lamilles cl-
mrnelles, à la fois cians et carlels de la pègre.
Les kajidrcs narssent et disparaissent au fil du lemps
Toutefois, seuls les plus vénérables des clans, connus
sous Ie nom de Clans Anceslraux, peuvent figurer au sein
du Consell Suprême Hutt, ce qr-u leur confère un avan
tlqe certain et leur permel d'assurer eur pérennité
i-
 vJJnH'ItN lO SilOdUA S:fl,
s13N[^ltuf 5]uldÿ{3
slQdLUr sop luaLUOl:]tnb:e,1 euLuor'a"lrd
LU3,l ap soluoErxê saur?lrol q,nb srLunos la11a uo luos ou
sll .uorleLl.lrolur e11o: ra8elted q e8rlqo sêl oLt uêu stpLLj
'auqrdng Irosuol np sltorp xne alpua1ç-rd luo^nêd suell
slonb uorsr:g-rd :arre -rourLuLOlOp lê salres.tê/\pp s..rnol lêu
-rol xnorLLr rnod slueruasuerat se"rdotd slna1 q luapq:o_td
soLUQtr xna sllnH sel s:rprley êp lo suelt ap alduo:
erreleS e uorqLLlol lres êu uo'so qerquouu! luelo sllnH
sêp olQrluol al snos sgreld saruolol lo sopuou sa-l
luaua-rqr1n39-r srnêl rp,p l el ol lê'suorllues sêp
no sopuourE sop rosodr-ur lnad euqrdn5 ltosuol al steLrl
'euuarrlrlod ornlEU ap lua^nos luos suotlesnlle sol
eoqdse,l ep suedgp xne slqord sêp -tost ep.l ep lueuuol
-dnos sel suell sa-rln?,p puenb lrasuo3 puer! êl no
aLrq.ldn5 lêsuol a1 red sguruexo o"llQ lue,rnad saldr-uor
op sêr^rl s.lna1 suorqeBrlse,rur,p 1alqo, luo^nos luoJ
se-rqdsord snld se1 suell sal'aLugrdn5 ltasuoJ êl luourol
-83? luaurêluo: enbrruouolQ oJpro,p suotssntstp sol
'êL!r..D np surel
--led ap uo unÇi aun,nb asudelluo,p lrêsuol un luelnE
anbo,rg oruerqure,l 'lualquosser as ue I un,p sluênlJUt
sorqLLroLr-r sal anbsro-1 or8eloLugq,l rêlQue,p uUe rênltl
sop o1 p,nbsnl ral e lnad lpt[e1 a1 'setuae8ua,r sesseq
op no sêllouuosred sasudorluo sop rnod uel: np xnol
aprde rp no'strpQrl sêl-tonlJJe êrLeJ ôp alqedEr snld lered
ou Jêql un puenb.r: OlnelUJO rnal op luêurollalp puedgp
srprlel sêp ta suell sap 911-rgdsord e1 salodsep ue sed
luau8qr ou sllnq sloqr sol snol 'luelne.lno; uorlrsodsrp
arQrluo rno q luêLUOlerQuÈ3 luos sêtQoueuu sèlrnos
sêr sês lo uELl np enbrr-uouotg lra-ledde.1 anbrlrlod 1a
enbrruouorp ro,rnod puer8 un luolroxê sllnq sJoqr sol
'esirË o:ueu
-rLUQ 0lQelrJQÀ oun Jrualap oloA'sêouue sop luepuod
siuelrodLur ro,rnod un,p la aFtlsaLd un,p lon11QUQq
luepuada:1nad selnedg sêl rns olol e1 e tnb luelsLSSe
un xnornol uos,rarlle rn1 ap anbsr-r lred es ep a1sro39
uorletqdo no uotsset8suell olputoLu el sleLU'ollleu uos
op sÇlr^rllr? sol lê sdLlêl np ro dua,1 rns êlqe.rQptsuol
êruonlJLr eun,p qrnol eL.Lropto[eru êl ê^el]so e;durs un q
rto,tnod ep do-rl rêuuop sed ou lnod ê.rnot".tQlxo a:qdse
aun p ladde oJreJ loJJê ua 1ue-rq1ç;d s11np1 suLe1,ro3 srnol
-noi sed sreLU 'sllnH sol "red a8e,rel:se ua eqrnpgr arqd
sê êun,p snssr luaLUOleJQuOS luos saLuop;oleu sa3
'uo llues 0rpuroLu e alpute_tl
sues alQl ap dnot un -tns -tasseleqQp os 1r_rorlnod slt
luop 'arçdse o-ilne êun,p lueluesgtda'l un q srnolaJ luo^
nos snld luo slt slelr'luessrnd suioLU llnH un,p l8e,s
lnad 11 sag,rr-rd seLtelle srilêl la suorletgdo s.,lne1 -rargB
? rapre sa1 rnod luelsrss? un,p no aLuoploleLu un,p
so)rAros sa1 lueSeBue sluênllut sllnH sap 1tedn1d e-1
'rnl êJQr.r.rop assrel
1r,nb
êpr^ ol rêlqLrol ]uoAtop slueuolnotl sas puenb'Qlsêluol
-urlor.ll un,p uoLluedsrp e1 sqlde luo^nos uarq aluasgrd
as uorlenlrs ap elueF oJ .sQuraluol sllnH sêp o8e,1 qa
rro,tnod np arqrlrnbg,; uo as soruuêlQp senblanb q saguue
senblanb ap luEueA êÇlnp es'a;rostrrold 1uaLualetgu93
lso ê_rnllnrls o l0l êun rnallallp QlLLUol un € no sllnH 0p
onp un € êUUor sol uo'sêuQl sal Inos rLuel rnod lueutu
-op zosse arqlualr op sed aldLuol ou uell un pueno
'ênAQIlor un,p uorllrÀO -
rlneJ no ?rlle un losloAUOr elol rnod lLtêAtoll sll,s a -.
'uell rnêl reBQloLd -rnod sauueruolelp solnsart-:-
alpua-ld€sed]ue]tsQt-],u.oln]eUledsenbt1eu3e-.,.:
xnêrlrqLUe'sllnH sê-l 0leuaLr ê^norJ 0s uell 0l 01r.
eluosQrd os uorsEllo aun,nbsrol nad lueqrodLur 3ur.s
su0 l s0l sreN 0rpuêlua,s q luO^uJe slr !o sel s0i s ,l
'lollt np luared eqrord un no lueJuê un lualnos,:-
'0^rlel0r êlLrEUUor êp -rol asuol roruJêp al erQu?!
un red glnedç 'llnH Inês un .,]ed sgFUtp luos sue -r ::
lrednld el olxêluol ol lê suorlrpetl soL uo as a..
srrprleyla su?ll sop ênbrlrlod la alenos o..rnlllr-rls
s*§*r§flwlB &ffi s§dwr# sHffi ffiffiffiffiÂ3flBffiÀ§
sêAIlerlnl snld uarq luo^nos lê q:
rl suroLri suorlergdo slnol -rl^nol ap lnq êl suep s- -
Ql lualrolrelred sesude;lue sasnêrqLlou êp olQl : .
lueu.,laleBQ luarnEg sl sreu 'se1qe1e3çur oLUul np sl:.:
sop orlQ -rnod sglndgr sêl.ral luos sl11H sal anbrl-: -
er8qd e1 ep sen8r;1ur sap no le rpdrur lio.rp np 'onb l
-rnal op sLerq al Jed lros ar anb'surosaq s.rnê ? aLLrÊ -
a1 raldepe luoles sll sJnossrurnoJ sêl lo^p uorleLê, -
srnOleLLrLuosuol s0l arllaLU 0p lrB,l su€p sOtlleLr s?s::
luos sreLU 'ned luasrnpo.rd s11 erxeleB el ap alual - .
led sertetpgr-uralur sol êLUr-rrol luessreradde sllrH s;-
'lelu uell ulr q êlrnu ep no a8essau un ..rJs:a
o-in?J op assrBe,s 1r,nb 'erqdsa,l q sr03uellQ sorqs sol .,- .
? sed luoLUOlerçu93 luelrsgq,u sl rel 'osnaroAuep ::
anbrle;d oun oLLrLUol n5red lsa sllnH sop Jnod rêi tE : _
'alqednor np lnlpls ol lê ounlroJ ?l rnod sJnolelse -
snld se1 luoros sloJJO sal !o lualrol! ne ro8uo,,r a:.
ItBe,s lr :.leddeLl rnod sequue sêp aroA'sroLU sop ê,ri-,-.-.
-le ê-rrerluol ne no'luêLlopLde; sQ"rl selltesgrda: sac -
rexa lua,rned sluered salln? sos no slLte1uo sas 't ,
JOS JLu lJl â Jp Ua èl UOlSerrO.l P t .t O,o. i I
rque surelJOl sed eqrqdLua,u elêl steLU 'olqeuuop,:
êlre un oLUru0l QrQprsuol lso sllnH Orluê leulssES. _ -
'lu0turu0^u0.s s
sal puenb sorlQlue sas êp saluolo sotuepuêt l
uouor luêurêlelol sed e,u e11e,nb^o"rluoLUQp a-
.
lê oluernol êreuuoLU luos selndstp sol so?nb
sanBulur,p srerq al red uotsel:o ê-tpuroLU pl q sa.
suep suOleq s0p luêLu0llanlnLU luallalu ês sL?
sasnatoSuep luoLUOSno..tJle luos suEll o.rluo li
o-rluê s?l le^usol lualQ.rluot s1r,nb sopuoLl xn3.
sol rns l,roLU op lê or^ op,lto,nnod log-t rnol oc
ua'xnorp sop e lua^nos luoredLl-iol os sll o.ti?:,
alsar sllnH sop oruELLroleSçiu e1 le anbulua:oÊ-
êLLrQrlxô lso o-rnllnl e1 (lpLIe>1 e1 lueruanbgnçl:
noJ uell e1
anb lueltodrur snld JSo,u uêTl'sllnH s-
,àÂ*H §§ffi§§$§§
'srnolr^l0s sollne
l0 so^ellsê sllt
-ruLUo sop sroL..iop ua 'sQldo)le JUOLUêler luos ,{ et
Q sro8uerlQ se-1 seq8Ç1ord uorq sQrl luos salerleds
salnor sos 1e uor8pt el slourLllJl seltduta s"lne1 ti,::
l0 sossor-llu slnol lualnLUnlle slt r_to'11n;1 etedsi.
lnH euelooB ep uorBQr el suEp sQlOLrdord êp la s-
op ap luesodsrp sluonlJUt s:rprlel sop l"redr. a:
 LEs DESILIJIC
Le clan Desilijic est l'un des plus puissants dans la course
au Conseil Suprême. Il dêtienl acluellement la mainmise
sur la politique hutt, mêrne s'iL resle perpêtuellement
concurrencé par d'autres clans, notamment les Besa §t§HG §rcltmrÉfi§u§' : cm§i§§§*rËltl§îj
dii Le tristement célèbre Jabba Desilijic Tiure drrige le
clan d'une poigne de ler Certains le considèrent loute . GIan Ancestral ? Oui.
fols comme excessivement impulsrf. Ses congênères le . Ghef de clan actuel : Jabba le Hutt
crargnent pour cette raison el parce qu'il se trouve en
situalion dominanle, el ils ne savent jamais à quoi s'at . Auüres membres influents : Gorgô le Hutt,
tendre de sa part. Grubba le Hutt, Zorba le Hutt, Pazda le Hult, Kumak
le Hutt
Le clan Desilijic est aussi ancien qu'influent, ses ori
gines remontant à l'epoque oubliêe de Varl, bien avant . Bases principales : le palais de Jabba sur
les Cataclysmes Hutts. Comme la plupart de ses rivaux, Tatooine, les Tours Desilijic sur Nar Shaddaa
son pouvoir a énormément varié au fil des siècles. Les
rêcits et légendes dêpeignenl les Desilijic comme un
. Monde-trône : Kor Desilijic
puissant clan guerrier implique dans de nombreuses ba- . Sphères d'influence : Nal Hutta, Nar Shaddaa,
tailles myihrques. lls s'imposaienl sur leurs adversaires Tatooine, Teth, Kessel, Ryloth, stati0n spattale
par l'espionnage, le sabolage el les manigances autant de Kwenn
que par ia lorce des armes. I\4ais comme pour tout ce
qui concerne l'histoire ancrenne de celte espèce, il esl o Activités légales actuelles : infrastnucture de
d* bien difficile de distinguer les faits réels des affabulalions transport et de distribution, extraction minière [mé-
de conleurs désireux d'exagêrer le preslige des Desilijic. taux et minérôuxl
* On dit que les Desilijic soulfrirent aflreusement lors . Actiuitês criminelles actuelles : contnebande
des Cataclysmes Hutts, de nombreux aulres cians s'élant d'épices, production et trafic d'épices dures, com-
ligués contre eux pour se venger d'humiliations passêes. merce d'esclaves, enlèvements, extorsion, acquisi-
Les Desilijic figurèrent alors parmi les premiers à adopter tions illégales e[ contraires à l'éthique
la philosophie du kalidic, parfaitement adaptée à leur na-
ture d'intrigants Le clan put alors se reconstruire ei éta- P m**"-r-rs{Ëffiii §
blir son monde-trône sur Kor Desilijic dans la région de
la Bootana Hulta. Ses membres acquirenl des propriétés
sur Nal Hutta, mais c'est vraimenl sur Nar Shaddaa qu'rls
se sentent chez eux, au mrlieu de l'opulence et des intri
gues poLrtiques, après avoir subi diverses influences de
ious les systèmes de la galaxie. Lorsque Nar Shaddaa
devinl la Lune des Conirebandiers, le clan pril réellement
son essor au sein de la pègre galaclique.
 vJJnl{ Ttil To sxo?lvE stL
s'llNthilul sfutdl^ll
llpeseg le:rlr1rsa6 s .
se luesoddo sêllo,ronb sê- -
-
?r sal rns slrEtQp op snld -;
ii:l}l:r: I '91 e8ed 'llnH lresuof, np s9l
-1xe1druo3 uorllos el € sno :
-rodoè ersal^ o.rluor êllaqê-i - ,,
se un lueualnos ua enbrldgr ecr - .
I l;oLu € lênp un,p srol le l I r'
è.JO los .Q o -u Jl . t?p
- sop glrlrqesuodsar e1 rr,r,tnorgp led
ll rrpesêE sêp olQl e1 arpua;d rnod sc,.- .
ep sed lrpred au ltnH ol e8rn6 rnp dnc- -
9131e6 uosrod e8ue;lg un,p oLlrlrr^'llllH ei r' -
'JnouaLLr ol -rêurssesse ua rio,rnod lnod ue;r uos, .
? upesoE ourolleqns un gssnod luaLilol?uU luo :rlr .:-_
sa-1 sqldLrorsê slellnsQr sol guuop sed 1uo,u salrl:
sol
sreLLr 'suarsal,{ opueqolluol op xnEOSSreA sa . -
-erjeq rnod selerrd sap OBeBua srole 1uo :riL .-
sol ersal^ rns uorllnpord ep urlsapuep -., -
LUol rnêl op uorlerorlÇue,l q e:ErE serrdg,p -r-..
.r S rJ'L rêO
e A ll\Ld. r .O qdl Sêd.lL? Sd.dl-.,êC :
Qlqnopor e upesê€ sa1 1a:rlr1rsa6 sêl arluo ÇlrleAri z-
'uell np sa
se1 ludar rnb llnH êl lerlrf lll1 ol 'pqroZ rar?qri êp sL-,..,-
.sêuol3
lre^e,u ur^-êp qod unrne oLULUol sêp êllan: .
Qlrss0l?Lr 0p sel op uolllprlxo rnod quLlep.
1ue,ne sa1e3911r saLr:r-ue3
uê no aLUQrdns Ilasuof np suorunQr sol rnod eeppEqs 'eqqef êp eLQd '1nH ol ?q roz lJqJ uè rue uos rp -.
ieN lê sllnH I€N tns luauJoJQllnS?r puoJ os l sieLU 'outool -erQll?lur, oLULrol 's.rêAat s,lna snyd g,(nsse e uell a-
-eI op sreled uos srndap olldLUê uos êrQ3 eqqe[ auuos 'sanbrlerd sal Jp ê t-
LètluJSSè,1luèLital
-rad aLUL!ol suell sorlne sol lapluJllul,p lê sQqlJsul sap
o.rnlluol op luallêLrrod rnl QlnsoulQp oBo uos lo aQulruou ouulepuol eu arrdur;. onb 1ue,le seluelleLlotdLr.tot s -
or es 'uou no êQpuoJ lros uotlelndQr ollêl êno sllnH sa; salsrFe,le;:se suorletgdo s.rnal êp tasseileqgp;:
sol snol op olnopo-i snld ol lê luessrni snld ol êLULUol luo rlrlrsa6 sol sosnoqlgl snld se1 suotlelsole xr': _:
n5rêd luo^nos lso eqqeT'êtxeleB el ap êrlne,l e lnoq un,C salqnbua xne orerlsnos os op lo sndLUoJlol sluê.er ..
raÂopnos ep sueÂoLl sêl e It steLU 'oruUl op o-rQtlE -. :
SUnrr f rfl]t§Io vgSvr ordu3,1 ap solqn sa"rqtua-ld sêp êun,l alsa; :rft1rsa6 , :
sro^rp stnlEts êp la soluonlJUl,p rlfll
ol llnH areds3,1 suep e.lrdu3,1 êp êllaol1lo lo^n0.. -
rsac suoreq sênblonb lUlQp uor.llês êlloJ sOllouuosrad osud e1 1a enb lqndgg El op luoLUOSra,ruar a1 sqrde n r-.
salueBru?ru srnol solnol op snld uê'ltltltsaC sop oldLUol lip sllnH sêp aluonlJUt,l enb uarq 'enb lre e3 eldu.L3. -
ol rnod suo lerQdo sêp luo-rQF sl.]nH sarlne,p slêrllrLU ouuop ollo^nou e1 q sqldepe ualq luos es rrltltseq s:
sop sreLu 'u?ll np Olot eT E sol.rol lso eqqpl onbl]le e3 souolJ sêp ar-ranD el luetnp anbr qndqp El lê^e s?-:
orBQd el alnol suep luêLrolq?rQprsuol puêl?,s sreLr 'llnH sa1 rerroSgu sllnH sêl snol êp uou ne 1nd 1r,nb Çlu'_
aJeds:,1 suep êlroxa,s lt[tltsaC ]tpl[eI np o]uênlJur,l 0ll0l aun tu0ll?p ra ur0p êf pqqe[ êp s0]re]le xne uc _:
:3§flir*s#* ruçï} *4$ §à;*Fë Ë*.§*A+$# otlred es supp uosre-r ue trllLsa6 se1 srolred aluêsi.- -
' rpESêB uell np orqLUOr-Lt anb uerq'llnH eT ellnple!' :. -
'sluor] srnorsnld rarelduor se1 lua,rnad sarlne,p sreLU 'llnH ol e8"rr --
Jns ilpesoB sêp sueld sêl -rênolQp lua^nad sl llo 'aLUQld ltnH al eqqe; Led sgdnrro luos slt 'leLguOB u: sl, :
'ns lrOsuof ne aloluo luo^ras e8-ro! lo eqqef salrSe_rl 0p sal Jns asnar8rpord aluonl1ur oun orQluol rnl ri:- :
'sauolJ sop aranD e1 luepgrgrd apouQd e srndap '
luêlsor sLlell xnop sêl êrluo s?ssed sp]olte sol lo 'orlne q
oLUQLT opQSSod ue ue;: ol soluuolQp sep stndap -
sduol op narl luo sogsodrêlu souuosrod red sêlL aleq la
soLllnoLUrels! e8tn6 ç lo lpesa6 xne.tallorl as op onu augtdn5 lrasuol ne aEqrs un,p iuasodstp :rlr rsa6 , -
rluor rrprlel ol 'eqqe[ ep a,nrsse:3e uol]lêitp el snos ffi-*"F$§§ëë §HË*i_#§*
§ÜR6A DESI I.IJIç AARRPCI
Corga le Hutt est le neveu de Jabba. Membre du Conseil
Suprême, il exerce une inf luence indéniable sur la po itique
hutt. Ce pouvorr s'avère toutelois limitô dans la mesure où
iresle solrmis à la sourierarneté de Jabba et d'autres me
neurs Desilijic. On raconle qu'il cherche désespêrérnent
à attirer l'altenlion de Jabba, généralement en dehors
de la Chambre du Conseil. Même s'il n'est pas à propre
ment parler un pantin aux mains des Desilijtc, Gorga esl
politiquemenl le moins mordant des membres du Conseil
Suprênre lorsqu'rl s'agit d'expnmer ses rdées et opinions.
TRILOC LA I{UTT
Triloc la Hull s'est ôlablie sur Nar Shaddaa, où elle etr
gage des gros bras, des chasseurs de primes, des mer
cenaires et des pirates pour diverses opéralions de
son clan. Son statut ne para.il guère presttgte ux dans le
kalidic, mais elle lart preuve d'une grande ambition et
comple bien grimper les êchelons. Elle est aclr-te lemenl
chargêe des opératrons d'ertorsion e1- d'approvtsionne-
ment. Triloc charge ses brules de récolter les patements
qu'elle réclame aux contrebandiers et marchands indé
pendanLs de passage sur Nar Shadaa en échange de la
« proleclion » qu'elle leur offre. Elle contrôle également
Lin petit rêseau de pirates, de voleurs et de cambrloleurs
qui s'en prennent aux taisseaur indépendanls venLts ap-
por r Cle O e Ê.:êS .r SdiSO'lr,, la Irte.
tE§ BE§ABII
Le cLan Besadii figure parmi les plus puissants des clans
hutls. Son kajidrc occupait un siège au Conseil Suptétne
duranl la Cuerre des Clones, mais petna à Ie conserver
toül au long du conflrt. Les choses ne se sont pas arran
La philosophie du kajidtc est parlaitemenl bien assi-
milée par les Besadii, convatncLts qLre s'll y a un prolil
à faire quelque parl, aLllant que ce soll un des leurs qtr
en bénôficre. Les membres du c an ne sonl moLtves qLle
par Lrne cirpidilé remarquable même selon les crjlères
de L'espèce : perpéluellemenl avtdes de pourrotr, tLs n'hé
sitent pas à jouer selon leurs propres règles qüand cela
les arrange. De lait, les Hutts Besadii complèrenl parnrl
les premiers à étab ;r leur monde-lrône el à le lrufler de
richesses issue s de l'Espace Hutl el de tou[e Ia gala.rie
# I ËT:* â ffi Ë rq *Ë il.ï-,{ TË:
Arok le Hult occupail besadri du Conseil Su
Le srège
prême duranl la Cuerre des Clones, jusqu'à ce que son
clan perde cet,honneur quelque quinze ans avant le Ba-
tail e de Yavin. A celte me rne époque, Arok disparut m\is
Iéneusement pour être remplacé par Aruk Besadii Aora
Le kajidrc perdil une part imporlanle de sa putssance el
de son prestige aux yeux de ses pairs, mars Ie noyau dur
du cartel resla solide.
Tand s que les aulres clans soullraienl de l'expansion
et des mesures répresslves de l'Emptre à travers la ga-
laxie, les Besadr limilèrent Les dégâts et parvrnrent
rrême à renforcer ieur poLrr,ort. A llnsu des aLrtres kaii
dics - qLri lrnirent néanmoins par êlre au couranl , ils
conclurent des accords secrels avec I'Empire el engran-
gèrenl de vastes sommes pour lut iourntr des ressources
qu'il ne pouvart se procLrrer ofltciellemenl. comme des
esclaves issus d'espèces donl le droit tmpérial n'aulori-
sail pas l'asservissement.
4':F-:-'..-'
4-... .
-Pti&,'

gêes avec 'avènemenI de IEmpire pu;sque les Besadii ;Ëà;'*"' ''

n'onl pas siêgé au conserL depuis des années malgré 3#ls**:-.],**:
leurs elforts acharnés. Le clan doil farre face à de
nombreur obslacles. Malgré sa puissance, la
débâcle de 1'êprsode 5rLesien L'a rendu très
rmpopulaire aux yeüx des aulres clans
f assocralLon noloire de son chef Durga le
Hult avec le Soleil Noir a atliré les soup-
çons des autres cLans el sLrrtout, Jabba le
Hult et les Desilllic font lout pour conlra
rier le moindre plan des Besadri.
Les Besadii ererçaient déjà une rn
fluence consrderable dans lor-rt IEs-
pace Hull atranl les Cataclltsmes Hutls.
Le , at I e. I pd\ O ,-OUlq .p(e5o1
té au Conseil Suprême. mais il n'esl
jamais loin des postes rmportanls.
Ouand le vent tourne ou que les Be
sadjr connarssent Line pénode drffrcile,
: pal\ êl e't ,f'cO ,P'O, o >P ôr O'l\
[ruire avec brio. prêls à reprendre un
rôle de dirigeant. lbus les HLitts sonl
abomrnablemenl êgolstes, mais les Be'
ro e pâSsPr
-aO :Ol' rep i-^c pO
Ies intêrêts de Leur kajrdic avant ceux
oe o.rS les a , res r 3r 5. ls Solt pas
sés rnaltres dans I'art de conclure des
accords secrets et n'hésr[ent pas à trahir
ieurs congénères aLi nom du profit.

EMPIRES CRIMINELS
LE]S BAROIII DE TAL I{'TTA
 vJJJtH'ItN tO StOatVE 53L
5'l3Nthltul sSutdhll
'yt()tp -t)ni)aid afi êtlellêds afj sallEs stnorsnlrJ la sxni ap ).1,t. 2. .t', .0\P;J( r \è, \lL-rîq ! rUS \J ;r:f )',e q.
suorlÉl1qeU sap anb rsuie 'sÇr-rE/t llrouolqe,4orrur salrils 4J1.,\ )D'1 ; cd i ÿeiLb 4, ,i o:rJ1 r, .tiO. OO Lu S .
/,,L !.'.rJr.L/{ 'iJ) . ,rO q t)ù.L. .ù,,\..Dt.., I t, êrrart \alr .LLtl J e1 .tO 15..:,1 y (J. L rr/)a S.r ), ur, Jl.-:
(ur I ,lP . S .f S,rr.r S,'hlJ .O l rl lH (A l"C,oJl.'r -r.O U -orrlq"r"r uajla-rlua I la.rnssr? tnod sa,teJ:sa,p sê?Lr,iz .
'i )l iLleu ) ?lud ,jn Aiolt Jqt IA f,lêpô'i, p , r?Jû q ,rOsOCiS,n.:n?\èB \dl Sdral.do.u rO rên\i :.
;rn .rdr\. oËa; I, n,.',,1 r,r.p rBL i l \le .?LLr J,ü,U LU. \.)rr. ri,e (rL pu sr,tosJt,.ed 3 a , tuo I d1: )^ ( ':.
un,p lneol ne sal.L,p aulEluêl aun .rns pllolû,s 'sanuuol Q,e - Sdstlê Uu,,.C S,lnH :dO :ulôSo I \ np ,r,:J
\nl| \J '-i.t.JOtrl 'ên C,lr^ i .ô).lD àl l.le.trU el ,i ou ..)3?S\eO rp
ilO lp upne lLr UOt LLL.Oip.,J
.S:oJoL êr. Jl.r 'e.l,rH e\ JLu--O, .
c3t Lorr. !d .
's:1ue^r^ a:Queld e1 -ra1ltnb r7 t2 ruêujêrie-rluoJ .sllnLl slr_loB xne luêu-iolta-i.-:
luo l i ri.'lPfi 'rh , iJ :LO\'Jrtr. ' Ol-l'OI lr3,>ijâ i,
i;"T;:;#,:1 ïffiffi?'i,'.,'jl iioo.iJx" ;,1
'als3r al lnol êp snssop-ne slQrQlur sos oleld ollê,nb luoLU
9 y e8ed 'unH llosuo) np sglrxelduro) L,: .
alduJrs lrerJnod as Ir sreLU 'rrpeso€ xne olQpU o?lsoJ luolel el e snoA zolrodor 'slletgp ap snld rnod uorlesi.z:
op auuordso oun lreros ellnpreD onb puêlQld lnoLUnl pl sr0^ua 0lqe^0p0r lu0ur0lelej e^norlal as lr l0 !ro\ -
uollrsoddo uo orro^'prollesgp uo sg^norlar sro] solurelr ne;adde arrel q e8rnq eaSrlqo uorlenlrs e-l ersêlÀ;..-
luos os sllnH xnop sol l0 slJnoq xnarquJou êp nuuol srojol olloqor lnesse,l luEUOlnos uo luorQlsodrJ lr[rirsêC.--
-nol € uorlelor 0ll0f sêuolf sêp 0rJ0n3 el luernp lrêsuol
ne eqqef êp slorQlur sêl oLUQLU eluasQrdar oll! )rlrl soc l]olr el PÂno_rl rê -._ -
l_1o 'lprLLf lo e8"rnC orlua lonlu lonp ne lrlnoqe rnb :=
sop a9rllP oun lu0^nos lreJ u0 llnH 0l eqqef )OAe uorleJoq
eLUerp slu0LUêu?^Q,p uorssêllns êun rsure lueLll -.= -
eliol onSuol es sreLi-r 'ilpesoB oun uorq lso llnH el ellnpieD 'ln.rV,p leurssesse,l luorQrlsoqlro rlrlrsa6 sêl oL-.1. .
lgillv,] ncvs3s ÿnnouv9 lrosuol np êrerp?Lura1ur,l red r8e?r red luorruh ,.-, -
rnol un ilpesoE sop souQJ sal arpuord lnê^ Ir,s êrqLr-rou np
sorlne sal sreu 'sduiel un luepued sarrdg sep xuc . - :
uenlJUr,p solrêl luorLUred rnal soll! ersêl^ rns sê-.. - : .
a8eluele,l Jns JOldLUo) ..rolnod er^op lr : sQrlle sos arEJSrl
-es;nod enb er-lreres ou 'uelr ol sJOAUO sluoLuê8e8uo sos serrdg,p sor.rauUJe.l êp uorlellelsur,l luoLUOlqelsê -
lnj irpesoB sop saslolêr snld se1 sesude;1ua sêp o-. -
C olOpU ornoLUOp rerT airelled e,rnerd e1 lso uo JOrZ lêAe
uorlelor es lo'srLUe sas ap anb srrLrouuê ses ap eqrold snld
a"rolua rolsor op êlllosuol rnb e13qr el ? Inl ? luenb erqqpe
e8rnc .rroN lrêlos np sQrlle sos ? le eBLnC op louuosrod
rro,rnod ne oreJ sprod êl sed 1re1 eu 1r,nb lueqlas's€d ne ':1# -:
oqlreu Ir sreLU 'rrpeso€ sop uorllarp e1 ep ;e1rL9q,p auBrp &É { ,l
ur olsl^ure aunel un eLULUol eSJnC orQprsuol JOIZ uorl TË,t. l-
r '"
eroqEllol alrorlQ Jnol QlSleLU êrlne,l op un,l luaLLroLllnol t... .-,{'.;q l-
el lu0Uqur ês sllnH xnep sêl 'luêuJallornleN elqruodsrp
sed lsê,u rorurop a: puenb e8-lnq eluesgrder 11np e1;ar7
rtnH 31u3rz
apueqeJluos'sa^elcsa,p 3llBJl'saJnp saudqp
'oluanlJur,p do.r1 le:texa Â,p
uolpnpoJd ! sefienlce salleuluryc o sp{nfl{
JroN llalos a1 reqrgdue,p alroJJO,s lê uel) uos sJno[no]
oBr".rp Ir 'elql1ered u3 uor1esrue8:o,l ep leuot39r lueeBu sacrdg,p uorlnqrJlsrp'sasrpueqcJeul
-rp 0p lnlels uos rroêsse q nua,r:ed lsê lt lo ltoN Irolos ap a0qoo6 la tJodsueJl 'gqcJeru uoq lertreds e6etrm
np xne,{ xne xnong.rd gllle un lelser.rnod alqrssod uos ap saru6edur0c : saltenlce seleEgl sÿ[tslo[ r
lnol lrel e8ln6 s11nq suoreq sarlne sel sed luaulaluol
au rnb suorllr-rlsor sop êsodull rnl 1e sa8elue^e sop oJJosoS'q101Âg'ersa11
êrJJo rnl eunleq] roN lrolos 0l le ilpesa8 uell 0l . sQl 'EeppeLls JEN 'eflnH FN : ecuenBulnp saJQ{dg o
rluê xnop ap olr^ios ne sreullosQp lso llnH al eSrnC trpesag J0) ; auQJt-epuolf o
tvl ilovs3s vguno BltrnH leN : sa;edpu5rd sespf o
elqereldur lo alerpgLULUr lreros flnH al Ja z
e8rn6 ep uorllegr el 'rrpESOE sop utos ne lnlels uos..lol 'ïnH el ellnpJes : sluenflu! seJquraru saJfnÿ o
-euouJ op lrpsiAe,s xno orlue,p un,l ts 'luepuoda3 areld
es erpuard srolred lua,trop suoJeq sorlne,p lloN ItêloS 11ng a1 e6lng : lenlce uelc ap la{O .
0l la uell
uos eJluo sdLUOl uos luea8elred llnH al e3;nC 'rn[ è FJlsecuÿ uef,l r
â§ffi§§§æ ruw3 ffiffi §Â.§-ffiM S&**æWæ
e8Ln6 ap aOrnsourQp uorlrqLUe,l Jed arQlueul outul.tal
oun,p g^nes '1.lo3 rrprle>1 un lualsêr trpesêE sol 'suell soJlne
sa1 red sgpnoq lo s9nlrlsac uros uos uo JnolôJ op lpeso6
so^rleluol sal solnol orJetluol eruqrdn5 lrosuoJ ol ltoN ltal
-o5 a1 red e8rnq ap uorldnrol e1 ar111 elsnl q lueu8rerl
LEs QUNAAI.§'C
Le kajidrc Onnaalac contrÔle un bon Liers des tiaisseaur
de guerre hults qu prolègenL la région de Boolana Hul
ta. Bien qu'il soit le défenseur allilré de la Bootana Hulta
et d'aulres systèmes et domalnes hults de premier plan,
ce clan lourdement armé n'hésile pas à se sen'ir de sa
purssance offensive ponr faire pression çà et là afin de
prendre l'avantage Le stège donl les Ounaalac dlsposenl
au Conserl Suprême dépend essenliellemenl de cetle su
prémalie mrlitaire.
Prompts à proférer des menaces. les Hutls de ce clan
ne sont pas entièremenl libres de les metlre à exéculion.
lls savent bren que les aL-ttres clans onl es moyens de
répliquer par des blocus économiques dêvastateurs, el
que Le monopole des forces armées ne leur revient pas.
D'autres clans peuvent parlaitemenl s'unLr pour se dé-
fendre con[re une armée Ounaa]ac, rneme conséquenle,
et certains peuvent s'off rir les services d'excellents nrer-
cenarres. quand ils n'en clrsposent pas déjà.
Pour beaucoup de Hulls, le clan Ounaalac est le CIan
Ancestral qul a le mteux présen'é Les lradilions des guet
ners d'anlan. Ses propres réclts hislorLques font élat de
balailles légendaires contre Xim 1e Despole el aulres enne
mis des origines. La flolte des Ounaalac s'en sorllt mieux
qüe loutes les ai-ttres clurant les Cataclysmes malgré des
pertes extrêmement lourdes. Peu enthousrastes vis-à-vis
des rdêaux du kaiiclic, ils n'eurent nêanrnoins d'aulre choix
que de s'y sourxettre. Le clan a cependant su y insuffler
sor Jg pqs.,.rê esa phi osool^ e r^ra-'ia e. ^ eme s -ê'
mernbres ci'aujourd'hui ressemblent davantage aux Hutls
modernes qu'à leurs ancêtres guerrters. ffiâs§*§ffis ffi*trHruY#
Les navires de guerre et la struclure mllitaire hults dtf- Marlo le Hult dtrigea le clan durant la Cuerre des Clones
fèrent profondément de l'approche rigide de I'Erprre et après, en liranl prottt de son charLsme nalureL, de sa
Les forces hults se presentent sous la lorme d'une coa- ruse et de la puissance milrtaire des Ounaalac. IVlême sl
lilion de varsseaux stellaires orcheslrée par les kajLdics, les Hutts observaient une neutrallté certaine durant le
I a. t1o.â .ê. TOOÊeS. SeS dlrns e sa TelarclÊ conflit, Marlo parvtnl à soustraire Les navlres de guerre
spéc frques Chaque é ément de§ armées d'nn clan dis- de son kalidic aux grilfes du Collectif de l'Ombre aptès
pose clune grancle aulonomie. Les l'aisseaux Ounaalac avoir évitê lallaque contre le Conseil Suprême.
sol ci, gês par oP p r .sa[ls Hr-,rls ou (ral . qui nF's pn- Depurs l'avènemenl de l'Emptre, l' jnf luence des Ounaalac
tendenl pas,.tûujours enlre eux. Les querelles qui op a crû et décru au gré des nombreur décrets impériaux sur
posent les barols Ounalaac entre eux ou à des membres le plan polilique cornme mtlitaire, en lonction de l'habllelé
d'autres kajidics ne sonI pas rares, mais les opêralrons avec laqueLle les Hulls parvenaient à s'y accommoder. La
qui nÉcessrtent un grand nombre de vaisseaux sont gé- posrlion du kajidic s'avère parttculièrement delicate, dans
nêralemenl bien arrangées et négociées à l'atrance. Ouol la mesnre où il doit protéger la Bootana Hulla contre Les
:qüri1 ef sort. les Hutls ne prennent pas à la légère la pro incursions rmpériales tout en évilanl de provoqüer Lln
lection de la Bootana Hutta les Vaisseaur de patroullle assaut dévaslaleur. Les lmpériaux sauteraienl en effet sur
changent régulièrement d'assignation, d itinéraire et de la moindre occasion de découtrrtr ce que les Hulls cachent
système stellaire alrn de limlter les tisqLres d abus et de exactement dans ce cotn uLtrasecret rie la galaxie
rgrrr,pLion pa're i es de[et.euts.
Les Ounaalac détrennent actuellement un siège au
En période de lenston, les patrouilles sont consl,iluées Conserl Suprême, où ils font valoir leurs intérêls notr ml
de vàisseaux issus de plusieurs kaiidics poLlr accro-ilre les lilaires avec l'agressivilé qui les caraclêrise Ils n'en sont
eflectifs, mais aussi pour que chacun surveille ses rLvaux. pas pour autanl solttaires nt lsolés. lls s'allienl réguliè
Les Ounaalac el les forces hutts ont de quol drssuader rement avec d'autres Hults, aussl bien pour servjr leurs
et Vain, te eS O J) pLl.SSarleS rr OLpes ïe , enai"ec I a q clesseins que pour proléger l'Espace Hult. I s collaborent
la situalion ne serail plus a même s'ils devaletrt affron- notammenl soLrvenl avec les Desilljlc et les Corensla,
ter l'Empire Les Hutts ê\llent donc toul conflrt militaire mais se mêfienl au plr-ts haul poinl des Besad ji
direct contre lui. C'est la raison pour laquelle, lorsque
les lmpêriaux menacèrent de s en prendre à Nar Shad
daa, les Hutls se monlrèrenl prêts à sacrifier la Lune des
æ&æ#rÆs ##rrs *˧ ff1.eru æ#ruÆetuem
Conlrebandiers et ne déployèrenl aucüne flotle, a ors Marlo Le Hult étanl lrès tmpliqué dans les affalres du
même que l'aclion se dérolrlail dans leur syslème d'orl Conseil Suprême, il latsse les autres membres rmportants
gine, Nal Hulta. du kalidrc se charger du resle des inlrigues.

EMPIRES CRIMINELS
LES BAROTS I'E I{AL I{T'TTA

-- E Ç
 I
v.lJJrH -Itil EO SI{olùVA StL
s'tSNlt tÈl 53àtdt l
'so^rlerlnl sQrl uoSpJOtluo) ap suorl sroqop ua rorurêp ol op sêrreJJe sap uorq erq8 e113 o ,.
-erodo sos uarq luor^nol saleSOl uotlnqulstp op saluo8e op slup1lodLUr snld sa1 slupuêlnorlsel rr-ured oldLUol lc!a :
sos lo uorllnpold op sêursn sês onb luoLULUelou luelns
-se,s 'uEll np s0ll0ulsnpur solrArlle sol rns luêLUOleSg e11re,r
ILnH tn IO»\nd
alll sQrlle srnal ole8e lelEeunO sep lrsserSe luouroLuOJlxo 'epeLUle UOS 0p lU0;=.
e1Â1s e1 puenb sa13ue sol rrpuor'le le rprlel uos op xne^r.l -uorlluoJ uoq ol rornss€ lnod uelr uos op suoJeq sê_._' .
sap uê{lnos ol.ruolqo sroped lres e113 aLugrdn5 ltosuol np sol lo^e srelled-rnod ua srnolnol lsê 'luepuEuJLxol :-:
rnelerroSgu luelne'louool1 lEleeunO sap êurolui ê-: -
-tlod e1 qe suorssrLU sol uolos ar.re^ oJqLUou ol luop xr:z::
-sreA sarlne l0 sauu0rllêrol sarQruuouEl ap Çnlrls-.
lso 0lloll el op alsêr ol « xnanllrlloB rnosuoJQC :
red luaLuaLqrssorS arrnperl as lrellnod rnb et 'p.li: -
nc1aLîy,p Llrou ol olrod '?ssnJ/n, assell op prnol -:
-rorl un 'lerure neêssrE^ uos ellnH eueloog el q 10 ,.:
lo l!31: q lueuouJ soro^ sêl onb rsurE'uelelntA lo e-,'-
soD luoLUOrQrln8qr luellrnorled rnb uell uos op êr.= :'
È
Y op sêrr^eu xrp êp olloll e1r1ed eun,p alQl el
Q lsa lou.,._
JJNH Tl IONOOUT
'[sa.tteypuetuLuol sJnal luos tnb
luatualdu.tts nol sed luatou1rp s1r ellnH l€N Jns leleeuno s0a ::
puenbJ elsualag sel lue^Jas qr,nb -qudo.ld sap arlne,l no aun,l suBp oprsOJ oUel4l 'sdLUa- '
aeuLef yo.tlyeuuocal eu slua1e sas lednld e1 selqerrldde srnolnol sreLU 'snol ap so9 l' .
ap uedryd el 'npuawa uaEl 'sau.lgj s0snell sêp luelD uo sotres..r0^pe s0s t0UeJluol l0 - _ _
-ue1 qtod xnalqutou ap ns aueld -od es raloluêJ "rnod OlnLUnlle rrones ol op luêLUê r: .
alquJo uos la apueqarwos el ap @ elgord 11 lgl snld sêllQrs sop oJro^ 'soluuolQp sop :.-
ue,l suep alpcxa eFUaJoS ctple4 a1 DISaArcg -sed sprolle,p luêr^nos os lr : esnor8rpoJd lso sexold .- l
snld se1 sorreJJe sol lueuJoluor slrelQp sop oJroLLrgL- ::
,
'Elop-ne ourLUol
11n;1 ereds3,1 suep soprlos sQrlle \r -
'lualurp a1 tnb suo.teq sap aJ.teJ-JtoA -LUOU 0p rssne SreLU'STLUAUUO SOp Uorq lreJ lso,s o,:,
-es ne 3a anau aluesand es p 'eugrdn5 IrosuoJ ol lo^e uorleroqellol onAuol es êp s.--
acgt6 ynq anbqlod ranbilpal suep (àr rtnH 31 01uvh.
ace@ es Uanallua celeeun1 upie4
q lnaleAJasuag 1a ua3ue sa,Jl JrrlDDUnO
\riliei .)Slr J S,irp:(
s{eu's0]ur?uuor^uê Sêuillol s0l ins s,?sodslp 0s-', _
'scrpile4 saljne
sap s!^-p-s!^ xneJ e alJod ue lua^ do dp sJLdJ \.\. 'e p pd \ tp s,J 5:,eJ Ju jo'
-nos aoeld al nb ar xloN lppg np r,e oBe rord 111 ,.oJnt.al alc o.,',e i.r ,p !)riJ.É
plpuÂs al oaAe sqoJjg suary sap SJJUdO,t dp tJ cJ\\OLy1r en \. pJ.t r o0 U?-à.;..
iuanariua il 'atp!#!p apotrQd aun sêrJJof sês 0ql?l uPl) 3l ênir r)r :isê,J sallail!rr,.
nuuoc luaLuuJac?J e als^uJe uep .JA,oC \J'rl)<i,rur3t1 ap d-,LJr.t,t J S o1 r1 rr,.
ac 'crl4rsag Jpiol np pdrtuttd ptrg
/eI
!lpDsag lauruoS nE 0urilo) apu?tts aun tnS rlEB snLrL;,_
SnlC sêi s0ulBLUotl Sap un,1 JSa lunpUsC I,i::
'slueluasqtdat sas lslepunO sap sg.lgudold sêl lns sl:
.l r Elds JL .cro.r.-r3ür r, .
Jaun7rodutt,p Jat^q,p æ 'clypag I , Slele I] \êto Jrll è']b
alnltJJaj ue a,4pugd uo puenb saurJlol sol êJ.1ua saSeleq s:norsnld,luê^nos lnE.
slnæ sap Jns JaqsJeur ap lua^Uos Süo o ) Yr n Se denp srld sO8ecteCJ cJp i\Lrte J.
y 'alqtsrnatdtur uatq luaAnos apAQJ ord 1a sagl1e,t sal Japuoul ;nod so8e:req ap L;c
as 'alntl cr{rytsag eqqep anb1eunl w lnJ suo,el êlt)srq e r b o-r'\td,OLUo I lê. Lô.
sea np gqrofieJ snos 'crp[e4 ag )![!il§o st îH SO0 LOrlrAl p,)rd op slrr ..aJJor!\ rJ lo s p,r
sa1 sÂed'arqure,l supp se q:qs snld .la 'sêlel saLr ;
'gnp aceds3,; suep anlo^? -ru.rrxoLd q soprulnLi l0 sa?uuollBA luaualerquqB ii r,.
uo puenb srcnos sep uatq Ja1n?,p laul.Lad [lusqcr;]E sel S,rjlSOr.U SdJO/ \itSU\ qêl ê )!lJdt: LJ ,.1,1u..
snpr^rpur sap puenb lueutallodLuoc uos laldepe lal alroul al slr 'uorllêlord ap orgrleu ua luau8e8 sllnH s:
,rt L Jl .
-gt! es suep slue^lns seloquÂs sap sun-senb;anb JaAeJS 'ier\ Jc.li) Jo e p .Jdn totle )elep. t, O ,
's?laudord sas ap ledn;d el 1a seJqtuau sas JatJtluapr anb o:uelrodr-ur,l êp nuêl alduo: afuapilLt.tol ê1,'
lnad uo ;anba1 red 'aualqua aldo.rd uos e crprtq anbeq3 sed so u JJ sJ I u, uoL, sf,l rnoçi .11 lr11rp :è,t J:
'
.
.eoc rodnLl a.1ro.ode los raLrud,
rudL ro r pl ,'
5,1\LOp sJ{t )ê\'tçJ tqoLt sê'|ioo >êl lê uo p lê \ ..
§StsitY!, §*t §§'ilt§t uÀ§ : r,!, ffi$d§H§ Pl Pll'lH erleloo8 Pl rp snp ,J Jo yndrLL Sê ll
'0sulfi I0 ufiH l3üdsl;t troIütnI sJLo,- \do .roLr sJl i; ted e trSq -.,e1e".rr g tofl

LEs 6OREN5I.*A
Le kajidic CorensLa esl le princtpal représentanl des
Hulls sur les rnarchés noirs. Le clan ltvre chaque antrée
des milljons de lonnes de marchandise plus ou moins
légale dans loule la galar.ie A a tête d un g gantesque
réseau de conlrebande, les Corensla ont surlout appr s
à acquérir eurs produrts à proxlmlté des potnts de vente
el des rnarchés noirs visés. Cela leur permel de rédutre
les risques de la contrebande, vojre de les élLmtner. En
manipulanl à leur gr-rise les réglemenlations tmpértales
- et surtoul la bureaucralie de l'Empire .les Corensla
parvrennent bien souvenl à livrer Leur marchandise en
loule légalrté. Leur emprise sur les marchés leur assure
une pLace permanente au Conseil Suprême
Cetle empnse sur les marchés remonle à une époque
anléneure aux Calaclysmes Hulls. Les premiers diri-
geants Corensla avarenl en effet accumulé une grande
forlune driranl la fondation de 1'Espace Hutl en vendant
des armes et des provislons aux autres cians. Leurs car-
gos lourds lradrtronnels pourvus d'armes redoulables
]ouèrenl un rôLe crucral duranl les confltts contre Xim
le Despole et les Tionars. A l'issue des Calacll smes, les
Corensla n'eurenl aucun mal à s'adapler au noutre ordre
socral rmposé par la philosophie du kajidtc. Le clan cerna
toutelois Les dangers de 1a politique hutt et s'empressa
de développer ses opéralions galactiques de manièle à
ce que l'essentrel de ses revenus pro,,,ienne de I'exlérieur
de l'Espace Hull.
,:..;,,Ë,p-**.,
-._,,..4
",.
æ1it§æî
La réussrte du clan esl drrectement tée à la disponi
lransporls el à L'accessibililé des routes hy
l-.rililé des
perspatraLes. Dans es régions où la guerre éclale, Les
prohts peuvenl momentanérnenl chuler st les livraisons
deviennent rmpossibles. Durant la Cuerre des Clones,
cependanl, Le conlrôle exercé par les Séparalistes sur
cerlarns axes profita en fall aux Corensla, car Les atttres
Hults et eux drsposatent de nombreux ilinéraires alter
nalils pour accéder aLix quatre corns de la galaxie.
Le kajidrc est parrrenu au frl des siècles à s'inlillrer dans
de nombreur rnarchês noirs el porls lanlÔmes de pre-
mrer plan. Dans cerlains cas tl délient même le mono-
pole de 1'approvisionnement, mais la pluparl du lemps,
il n'esl qu'un acteur commercial parmi lant d'autres Les
Corensla multiplienl les sociélés prête-norns et les lnter
médiaires pour brouil er les ptsles. Cerlains porls fan-
tômes n'imagrnenl pas entretenir le moindre lien avec les
Corensla jusqu'à ce que ceux-ci décident d'en prendre
le conlrôle.
ffi{*'ËæêffiË ffiËfl#*.ê?H
Les Corensla lrgurarenl parmt les clans les plus prospères
durant la Cuerre des Clones Le kaitdic trendait allègre-
ment ses marchandises aux deur camps adverses, aux
mondes neulres et aux rélugtés pris dans les feux du
conflil Toute laclron impliquée étail bonne à alou[er à
la lisle des cLrenls Les choses se compliquèrent doulou-
reusement ponr Ie clan quand Oruba le Hutl, son repté
sentanl au Conserl Suprême. ful lué lors de l'assaul du
Colleclil de l'Ombre conlre a chambre Après .et incl
dent, le kalidic refusa de coopêrer avec les autres Hults
qui avaient cédé aux lntrmidations el participèrenl à 1'al
laque du Collectif de I'Ombre contre Mandalore. Heu
reusement pour les Corensla, la dissolutjotr du Co lectjf
rntervinl peu de lemps après cel êpisode, ce qui permil
au clan d'échapper aux représailles
Certes, I'avènement de l'Emp re commenÇa par rê
duire les prolrls el grever les rnarchés des Corensla,
mars le kajldrc ne tarda pas à exploiter Ies nouvelles
perspeclives qu'ouvrail la loi impériale. Avec le lemps,
rl appril à manipuler les nouveaux marchês aussi effi
cacemenl que ceux de naguère. Parmi ces clienls inê
dits se trouvenL les poches de réststance à 1'Empire, y
compris l'Alliance Rebelle à l'occasion. Le clan serl
toujours ses propres inlérêts el lournil volon
liers qürconque ne le concurrence pas direc
le'nen e 'ê lg,'e oos oê -. se, P'rrem s.
ll comple sur son réseau de sociétés-écrans
,..,.;,i:§ pour évjter qne les lmpériaux el les Rebelles
;,$ ne découvrenl les cliverses entreprises oùl
les Corensla sont impliqués. Pour des raisons
pratiques et morales, de nombreux membres de
la Rébellion êvilent de confier trop d'alfaires aux
« gangslers hulls ,. Si Ies lmpéf aux remarquaienl
une telle collaboratron, ils considêreraient es
Hutls comme des sympathrsanls rebelles
& et s'empresseraient d anéantir les
marchés où rls interrriennenl el leurs
voies de ravitaillemenl
E I
 VJJID{ TtI tO SilOàVE S3-t
s-l]NrNruf s3EtdNl
'sasr LUord LUol sglr^rlle \r,,,,\rrt\..r1.1., rl, ll,,,l, t...i,
\ili, . ,tr.:.)t, i, , 1. ',.!r ,, ,1. itl\':,,, r:'.,. .'
s0s no 0glÇ^gr arlQ lr€Jlnod elsuoroS sêp uorleltldLUt,l
puenb lnolrns 'orluoluor  e11e,nb sauqlqord se1 ia139.r ,rt.i,)l .'l r.rl ,,1,Ir'r \|ilI\.r'1.r.iril'., L'
op onuol 1se pooÂo1 'llplIEI ne sroLl] sau;Qluel sllod ,, r' ,,,1'i \,.r[. rt,.r\.i'.1 , '. ,.J' i i. J r -J ,.r. .
. ,, l,r . 'r1.,), I ,\r ,\ r:\,1. .,r,1r I 1,. ;
sêl suep lueuerQrlnBQ"r puor as alla ouJLUol suo5dnos '1.) 'l
sol rollro^? essrnd eu ueu anb uge 'sluoLunlop sop Ql .,,,1., .,,t,r, \.).,1 I I ,l ti l.,\, '- ir.
-ruJJoJUol el op rornsse,s lnod ro,rue,1 lue,re suosreS;et ,,rli., \.r r.',,r,,1 r,'.,1,'..1 tt,' ,., !,!
sourelrol rollodsur q 1a slgdarlua sel luoLUOllouuosrêd l r-ror r
?..r.ilro(i sl pn.rrl si.).r l nL.r .ll.r soi riltlorlr-l,rr1 1 i ru .rJr;l
rolrsrA ? sed alrsgq,u olll uell uos op soLuJe,p lUeJl êp ()\)rl),lV s.lnLlodo s;rl !l.iirol i-r1r 1o crxulr:il {:rl llrir)t ,
.,g 1.. r.'111:1,r... ,.itil,,,t,t.,i .r;. r,'r.,1 ,t,
suorlerçdo seledr:uud sol toJQB ap snld ua'oluelslsQJ I.tLt lr
ep sednorB sorlne,p la êlloqoà olu€rllV,l re,re rrprle>1 np 'tcrtlrlcy lil loolui-).) 'r)1,)i rA ir
solQr)os suoll)psuell sêsnorqLUou ep esr,uadns pooÂo-1
N lN r{)\l rr\
.rr:N rlp sLLrou sill .1r.r,l1.tori :;ilunl fl0.lllll.r si)-l .!ii)lrl
ll.nH yt oooÀo1 r. \,\lii.' \.) .ri!i 1..)il it./, ,:,1 il r.lr, ! ':"'
:;itlor.rt.io-ri1 si)-r lnp,p
'sijll;lrs si)p ltl llrt srBLll 'tllllll
'ouroolel rns rrIrlrsa6 sep .slri)rürJ aosrldcq'oLrn1 ossr-rrii snlci r:1 .rns lirlirlrs
xnor ]uoLUurElou l0 'sllnq s0rolurêl sOJlne,p Jns suors ..1,,).rr .r r,{,r.r. ., l, .,,1, ,' r,,l\ r1.,,,,.,
-..rnluT sOsro^rp ?qruall?p lu0uJêlQrl0s e nspurs sJn0l
1.,'| -rl l'.{l'.,,,rl!,1.1J,, : r\lr) ) |I .\..
-pe,nb eeppeqS JeN rns uêrq rssne'êJueJnol êteuuoLU \rrtJ I lr l\.., t. r ., trr.ti \Ji rl,) ill I r l:,.,/i. r)
rnl rnod luos arolrJlol op soJronB sol eepppLtrS leN op . .r..)l l.' l\ll.,l .'t.',.t'.\.'r, tr .rt;'i I. 1., l:
oLUrJ) np suoreq la sllnH so;lnB,p )êAe suorlelêt sas sed l,t ,t, s , ,rr.,lr,r I .,;,,,.'\lt ll. ; rl,l, \.,t),, )r',t
e8ue;Le,u rnb el'srnaurLLr zosse xnei)loLUruol salreu scLrnl 0llo,ll .rnoInL-. ILr0lrcj-lo rnll :jluBS()dlrr liiriJt(,r
olJed êp lqord luaureureld ra.lr1 ep laLurad rnl sotreJJ€ 'r.rzt. l , , , r.tri ' I1t.,,,, ..rrj,,, ...1
sop suos uos suu sos q ro^rue,p lnq ol suep sosuod r:.rul lrt.tLlrÀoLt.r cllrr'l 0p sii.url xrs si)s 'ü-i(jür0s I.:
LUolÇr êp no ur^-op slod ep esrnB ua soJBJ lo senbrloxa
slelqo sre,nrp Lr.r11o
rnod glndgL 1se ll eeppeqS reN lns 'ii;T,ï,ii;l,l:i;i,',,':H:ji ll li i i.,l', .:'l,,lil;
u€ll uos êp suoljerÇdo sop olQl sl q lsa llnH ol nseuts
)l
IINH 3T NSVNIS
ïuueq sol e sed alrs;, -
sreLU'uelr uos ap solqLUOLU sol -rourssesss o.liEJ e ê,,,.-_=
np sed lse,u oll: o^rtruU?p lua^nos 1a 'e,trlrpgdxa
el êp oLUQIqord e1 lnosg.r olla'llnas ureJrol un luêr.: r-
-le selrêd sa1 puenb sreLU 'luêlnuJnllE,s sltpgll sal :-:
luel suorlleJJur salrled sel lns xno^ sol oLUroJ oless,:
e 'so:uenbgsuor sosnaqlgJ sQrl op q o.rpualle,s luepuê:.-
lnad eLqlor ps olnsns rnb rnlo) o^rlelor glrppeld es ,:,
-------
sllnH sorlne sap enBurlsrp os êll! lrpgJl lorutap nB,n.:
e;e0911r anbrlgulaqÂc '1on 'satuJe,p alua^ 'apueq ralroldxe lres êllê,nb'uell uos op uorlnos ap 1a lrods-,: -
-aJxu0c : sallanlse sslleulrülJc sptlnlfcÿ o op xneos?J sop sê3enor sol sdualSuol uorq srndêp -.s. -
-l€LU êlll uorlnqulstp op onbrlsrSol uo ollodxa srna :
91un3?s ap lolJ9l red e'lq,te,s 'osnanluelel o)ulet)oBQU 'llnH el oless :
-eu 'so;0 u0 uosrBJAIl 'sapr0Jp 0p u0rXectJqeJ 'xnec
-rpgr.u salluao : sallanlce se1e691 sÇt!Âlfcÿ r IrnH lrt otvssoE
sÂqe1a6 uorlels sdlldLUor,l s,'Jl èp r,:
'Jel00la0 ap oueJflJ0d 'snutruJal 'Jluell 'sourJol resro,red rnod luaLueldurrs no eLlqlqord op sel ua sê, :
'uoJeqa;g 'eeppeqs JBN : ecuonl;ut,p sa.rgqdg sol rolrole rnod 1re1uo: ua srnolnol luolsor JO so^tllo.:-
. solrssnQr srnol op telgo-rd lue,tes sluee8utp soS'sola:-:
elsualog J0) : augJl-epuol/[ o snld sep un,l otnoLUOp elsuêJo) uBll ol steLU 'rnol anD: .
lu0rlsnllr,s la s0lqelrAQUt luos s0uJ0lur s?lrle^rJ s0l Ç_ -
e1]nH IeN : sa;edlcuyd soseg r -UJrp sues luêlnlJn slrnpo"rd sal enb rnod selrelge sol s,.. ,
gn;1 e; pooÂol ?llllqels aurelral 0utl }uOJUrpLU ap luolloJla,s la 1,.- .
'flnH 0l nseurs ; stuan||u! saJqruaru soJfnÿ o -LUplsuol luenbrunLuu.rol elsuoloD suoleq sol 'êp-.a -
-orluol op neês9r rnêl ap glrxaldu.rot el ap uoslE, .
lXnH El olBSSoE : lanlcs uep ap laïc .
w§§§§§es§ ruwr3 §&ê*§w§ flʧ §â-â"ffi&ê
rnfl
à leJlsaruÿ uelJ o
'soluelsuollD solnol ua suorlet:c :-.
xne êlJo^no luEpuadol alsar oll! lrosuol e1 -rns rr[i1 .. _
sel red grrexa rro,tnod ol têJluol no lerqrlrnbg rnod: --
0l olrer\ e a9lllE luo^nos 'llnH el olessoE Joql uos .: _
Qlues9-tdar luaLualergugS lsê uell e1 aurq.rdn5 lres-, -
ne a8qrs un luaLUOllonlle luadnllo elsuoroJ sê-

AUTRE§ I{AIINIC§
IMPOR,§ANT§
Parml les dlzalnes de clans et kalidics dispersés dans
1'Espace Hutl el la ga axie, nombreux sonl ceu' qui
ffi
*'.'ffi d sposenl d'une sphère d'inlluence où rls sonl particu
liÈremenl rmporlants Au lrl des slècles. les clans el les
kajidlcs narssenI eL s'é[iolenL, eL i] en ria de même de LeLrr
lortr,rne el de eur pouvorr. Les kajidrcs qui surrrenL ne re
présenlent qu'un échanlillon des acleurs prépondéranls
ffi
de l'Espace Hull el de la pègre galaclique. Léch qLr er
polllique, la répartrtron des influences et les prior lés
hutls sont en perpéluelle érrolutron, si bren que ces dé
l,ails peuvenl, changer à lout moment. Par ar eurs, on sart
que 1e secret demeure la clé de la réussile des kalidics
c esl pourquoi leurs opéraiions Les pLus Visib es ne sont
;
pas forcémenl les pius importanles nr les plus lucratrves
tr
ræ-
*è§1ij i l..idàfj
Popara 1e Hutl dinge 1e clan Anjrl ac, kajidrc prospere
et relalirremenl s[ab]e parmi les plus purssants de Nar
Shaddaa. les Anjil ac ne peuvenl prélendre remonler
* à La grande époque de Varl, mais rls sont ma gré loul
ü craints el respeclês par les aulres HLrtls. Conlre ioute
atlente, is onl écrasé Les Cejallr avanl de s'emparer de
leurs propriêlês el de leur monde trône puis d'rntégrer
L-
Vago, seuL sur\,rvanl de ce cLan rrval, en lenr sein.
F Frfl{E Sr6NnLÉTrqUE
r Clan Ancestral ? Non
r I{IsTCIIRE ETACTIVITÉs
Chef de clan actuel : Popara e HLrll
I el propriélés etanl en grande partre détrujts
Autres membres influents : Vâgo lCeja] r) 1a Hult,
Zonnos Le Hull, Trrel o le Hult [Point Nadrr]
r Bases principales : Nar Shaddaa
û Mondes-trônes dans la Bootana Hutta : Kor
Anlr rac, Kor Celal i
. Sphères d'influence : Nar Shaddaa, Poinl Nadir,
Dl5tu, Brlorn, Secteur Corporalil, stalion spatiale
de Kr,venn.
. Activitês légales actuelles : spécu atlon de mif r
rais rares, enlreposage, lransporl de marchandises,
dIstnbullon
r Activités criminelles actuelles : conlrebande,
esclaves len dêclin), épices u douces,, racket or
ganrsé, vol
I.IISTOI RE ET ACTIVTTɧ
Les Anjrllac lrarrarllenl dans La sécurité (généraLement
sous la lormc dc rackcl organrsé par le biars de pi ates,
même si la menace que représenlenl ces derniers n'est
pas loujours prise an sérieuxl, l'acquisilion de biens ILe
voll el la contrebande [couverte par leurs compagnies
légales de lransport). Pour eurs opérations imporlanles,
iLs recor-trent aux servrces de mercenarres. nolamment
ceux du lrès brutal cLan rodren des Bomn.
Conlrarrement à de nombreux Hulls, y compris cer-rx
de son propre clan, Popara réprouve le commerce des
esclaves el des épices drires lL [enle aclue ]ement de
pLrrger sorl kajrdic de loute opéralion esclavagrsle, ma s
s'oppose en ceLa à une partre de son cLan, ce qui ralentit
le processus. Pour ne nen arranger à son affaire. 'essen
liel de 'activrté de tralte des escLaves du clan. du moins
EMPIRES CRIMINELS
LE]T BARIOXS DE XAL HUTTA
ce qu'r1 en resle, se déronle sur le Lointain porl fanlôme
de Polnl Nadir, conslruil snr une comèle très drflrcile à
localiser Popara a par consequenl bien du maL à _v laire
respecler sa rrolonté.
ffiiêËalHtrË*i
Jadis, le clan Bareesh étart puissanl, mals ses forces se
sonl étioLées air fiL des siècles. I a su conserver ses pro-
priélés ancestrales sur Nar Shaddaa et Nal Hu[ta, mats
pe ne à relrouver un semb anl de pourroir. lly a des cen
larnes d'années, un énorrne rrolcan est entré en éruplion
sur le monde lrônc de Kor Bareesh el a engloutr 'essen
lie du conllnent sous la lave et les cendres.
Frclr§ §r6NrlLÉTrQuE
o Clan Ancestral ? O ,
r Chef de clan actuel : Larook Le Hutl
. Autres membres influents : Traglalh Le Hutt, Krnn-
c
Hutt
gLan le
Bases principales : Nal Hutta
r Monde-trône dans la Bootana Hutta : Kor
.
Bareesh (dévaslêl
Sphères d'influence : Nar Shaddaa, Sleheyron,
Droru
Activités légales actuelles : lransporl de ferrai le
et de rnatérraux de rêcupération, venle d'armes
Activités criminelles actuelles
venle d'armes r1
: tralic d'armes,
êgaLes, divers [rafics à grande échelle
Ses coflres
ou enseveLrs, el un grand nombre de ses barons morls,
Ie kalidic Bareesh a eu loules les pernes du monde à
conserver un semblanl de prospérilé. Les cLans ennemis
onl irré prolll de ce chaos pour reprendre ses opéralions
el ses aulres domarnes.
Les membres du clan sonl déte'iminés à rendre au ka-
jrdrc sa glorre passêe. Leurs propnétés sur Nal Hutla leur
perrnettent de rester dans la course polilrque hull. Larook,
le chel du clan, redouble d'agressivrté pour s'insinuer avec
les siens dans ioules es inlrrgues el toutes Les entreprses
es plus audacreuses des Hults, ce qui a le don d'ercéder
les clans plirs prospères. Tragtath drr ge des expédilrons
régulières sur Kor Bareesh pour exhumer Les reliques et
lrésors enlouis dans les coflres perdus de son clan. Ces
opéralrons lonl intervenir des centaines d'esclaves et
d'experts, mais échouenl ponr la pluparl en ralson de l'al
mosphère et des sécuelles de l'éruplion Volcanrqure.
i{.Æ,È3#i§ffi
Bren qu'r sort très ancien, e clan Kajidler ne loue qL-r'oc
casjonnellemenl un rô e lmportant dans La sociélé hLrll
ll exerce cependanl une cerlarne nfluence grâce aLr lra
vail qu'rL accompllt sur Cannorr, e monde d'origrne des
Camorréens Les Kajidrer enrôlenl en elfet des mâles de
1'espèce qui servenI ensuite de garde el d'agents de sé
curité aux délegalrons hutls dans lout l'Espace Hult. Les
clans garnorréens olfrenl généraLement es services ou e
conlral de servitude de cerlains des eurs aux Hults en
êchange dc crédrts, de produils utlles ou d'autres ser
vices lLs ont l'habrtude de fournir es pires représenlants
de leur espèce aux Hutls, ce qui ne fail que renforcer leur
repulation merilêe de brules sans cervelle.
t
 snd -!o-r.rol xnel-lÊdLUr srêrl
-uJo sop lê^? slorlês sluJLLrJ;ue re'sa\el)sè,p ru
e-rl 'cpueqOrluol : sollanl)e salloulruu) s9ll^ll)v .
sêLe rQd[r sa]nlruJnoJ op uorl
nqulsrp'xnoDQ-rd xnslQLU lê sê-r-rord'allellods êp
sodno-il 'onbruorllolQ : sallanlrp sale8?l sglr^ll)V .
u. r \oqèLS uuo\1! ap ê L l
eds uorlels 'ErprolrrêN olet : e)uenllur.p sareqds .
?urüe] f ro)l : ennH eueloog el suep ougJl-epuol^ r
eeppsLls JeN : saledlluud sesPg .
]tnH r?l r?prert llnH 0
sSrEC 'tlnH ol o)leoN : sluanlJul sarqueu seJlnÿ r
ltf H êl lêll3l : lanl)e uel) ap Jêql '
*.i,H1ql
rno è lerlse)uv uelf .
Enbr.r,grvNolS 3H)ll
'S0 qel^uê SUl0tU S0p
l..l0S Ut lLlOt\lloS lLlêSSle,l
Lrel) np soJJriS sêl ê]luo luoqLUol rnb solloqou so l \' :
Odu.rl sluess nd op lo^e sua l surel..ror rnq,prnolne ê r.- :
luopreS lo sol oqoE sap sr^-q-s êluEqÊu oprltrtle -
^
QpreB luo eLULra-il1 sol 'êposrd? lol êC
'sluelsrs?r s-r.
-êrd sêp êuirllr^'elro^e lolo.rd ol sL?LU 'sêlQJlês sOliÀ!r,:
êrpel êl suep orrduf lê^nou ol loAE -lorlle,s €:llnH ol P:. i- -
essnod erproLrrêN olel rns suorll?i9do sal op êun,l 'sêL
sop oron) el op onss ,l v sosno lepns snld sal sê:
-OllUA Sal SUAp -lOlUP AS ? USll np SêlqLraLU SO' it;i
nolua sauiJsalur sQlrle^u s0l sauolJ sêp ar-r0nJ ? ..:
s?lsP^Qp sopuoLLr sol la sols le.redp5 sap olr?qQp el rar ,
-xa ns E 'eeppells reN .rns 0llelsur uorq 'auLrerf uP r :
HHÈq"cr-àÈ8fl
,
.uEIl uos ap
lJo-ra:
sluoruêu3 asuo"r sol lo urlnq ol arpuo^a.r op luele ;-
êpuolês ap slu0r I sêp rlo sê-ilel pueLUur0l su0 r l
zêLll sêQUrluapr ol -rnlÊs op so l el sop luElrlo,ld ua =i'
or...rquel op suorlE-rQdo sap raluel ap arlno uê rL.ra,.:
-rod rnlslreluol xna-rqLrou sêS a?puEr-uêp êLlr?l el -ri.
l?Çpr lauuos-rod a ro.,re uorleloj uo sluêrll sês orll;,- :
QlDEdel ES op Al]ou opue-r8 aun o"ill odlaT -il,r110 sa .,
êp suaIoLU sêl p Ênbuolrnb e QIL enb êp so..ileuol.,:
sop la ol lflÇs el êp slêuuorssêJold sêp luossru.[.ro .
sêpuour sa-rlne,p -rns luêurol?3? luolnlla-r -rêiprley :--
slfl/$Àf,v.l"ir HUror5r H
sor rdQ, p
uorllnpo-rd lo êpueqêrlLlol 'luoB.re,p xnol 'lo^
'sOAe lsa.p lrJeil : sellênl)e sellêurrxrJ) s91!^!1)v .
uorlElu0LUrle saprorp
'soreuolroLrl op lê sdlol np sopr33 op luoL-Lroln"DO-r
'Qlr,rnl?s op solr^r3s : sellanl)e soleegl sgll^ll)v .
su^/iS'erlELLrl n'JPbbeS
'r-roLreD'r?Pppeqs reN : o)uonlJur,p saJQqds .
unlne : ellnH eueloog el supp ougJl-apuol .
EllnH IEN : saledr)utJd saseg .
llnH êl EIeul0B : sluenlJu! serquêu serlnÿ o
ltnH o Lad o[: Ianl)e uel) ap Jaq) .
rno z lerlsoluv uel) .
rnbrÀqlÏfN§r5 sHlH
 Fnsro!RE sraçrrvlrÉs
Pour l'essentlel, les opéralions impériales du clan Jitam
ma reslenl floues. Cerlaines sonl effecliriernent approu
vées par 1'Empire el se dérouLent ou\/erlement. D'autres,
ff **
ffi,âÂ#æ
notammenl Lorsqu'rL est quesllon d'escLaves, du Sénal
Impêrial [aujourd' hui d]ssoutl ou d'autres fonctiontrat res
publ cs, ne sonl qu'oflrcieusement aulonsêes el menees
ffi à bren de faÇon discrète, sous coLiverlure impériale
Liê de lrès près aux opérations tmpériales. 1e clan
a pu soudoyer plus d'un officier ou tnlermédtaire de
ffi
I'Empire,5, compris quelques Molls Les Jiramma se
Lvrenl êgalemenl à des aclivjlés parfailement tlliclles el
clandeslrnes pour le conpte d'un grand nombre de ces
mêmes fonclionnarres.
Par ailLeurs. le cLan colLabore soLlvenl avec les Van
denjar quand leurs aflajres n'impLrquent pas l'Emp re
Comme les Hutls de cel aulre c an onl le don de défier et
d'agacer Les lmpénaur, LelleL le Hutt la t soLtvenl appel à
ffi ses contacts corrompus pour arrondir les angles quand
les Vandenjar vont Lrn peu lrop loin
9:#T§§ & {}êffi.A§ê.&ff§
* Les Hults à carapace lonl parlie des clans les plus mo
,* destes. I s sonl connus pour leurs dtverses enlrept ises
lechnoLogiques légaLes, el pour leur tmpLtcation dans de
nombreuses opéralions cLandestines d'esp onnage lls
k
ulilisent les informat;ons recnerLlies dans Le but de faire
chanler les organisalions et les indittidus concernés lls
dorvent Leur nom à 'êpaisse coqnille c5rlindnque etr me
taL fuselê qu'rls portenl loLis Celte carapace renferme
l'rnlégrallté de Lenr corps, donl seule la têle emerge d'un
col épars. Loccupant peLll se retrancher à lout momenl
dans cette coqui le poLrr se proléger, L ouverlure se re
fermant alors comme un irrs. Ces carapaces métaLliques
sonl également équipées de bras mécaniques conlrôlés
de I'interieur. Un Hult à carapace ne se dép ace jamais
nalurelLement : I préfère cornpter sur es répulseuts tn-
tégrés à sa coqurlle.
FrcHE §TGNALÉT!QUË
3 Clan Ancestral ? Non
r Chef de clan actuel : Nullada le caparaÇonné
. Autres membres influents : Tronox ]e caparaçon
e R^çh . ê.opo â O^ p
r Bases principales : Circumtore
r Monde-trône dans la Bootana Hutta : aucun
. Sphères d'influence : Nar Kaaga, Daa ang, Al'favan,
station spatiale de Kr,rrenn
r Activités légales actuelles : technologre à répu
sion, mrnialunsatron, bâlimenls el rntérleurs de Luxe,
mêlal ltrartement el recherches)
I Activités criminelles actuelles : venle d'rnfor
rnatrons, espronnage rndustriel, extorsion, mrses
prir illégaLes
HISTO!RE ET ACTIVITÉS
Un Hult à carapace ne change de coquille que quand elle
n'est pius à sa larlle, ce qui constltue un événemenl cru-
cial de son exislence A cause du mancue d'exercice, ces
Hutls sonl les plus imposants de 'espèce. Les plus agés
EMPIRES CRIMINELS
LES BAR]OI{S DE TAL HUTTA
el obèses sont équipés de crochels et de filins qui em-
pêchent leurs bourreLels el replis adipeux de Leur cortvrir
Les yeux el Le vrsage.
Les Hutls à carapace sont surloLrt actrfs sur Nar Kaaga
el Circumlore. On es croise raremenl en dehors de eurs
propres mondes, même au sein de L'Espace Hull. Oulre
le porl de eurs coquilLes sophtsl quêes et leur lntérêt
exacerbé pour 1a technologie, tLs se dislinguent peu des
autres HLitls. Reporlez vous à la page 90 pour p us de
renseignements sur Crrcumlore.
১Ëru*Hffi§.§Sâ&
Les Hutls du cLan Vanderilar s'adonnenl sans relerrue à
loutes sortes d'opératrons de contrebande d'un boul à
l'autre de 1a gaLaxe, déiranl les douanes tmpériales, les
l,aisseaux mrlrtaires el à peu pres loule sorte de barrage
Sachant que les marchandises de prédileclion des Van
derijar restent Les armes el la technologie de délense,
on comprend pourquoi l'Empire vott les activités de ce
kalidic d'un mauvais ceil. Les pirates financés par 1e clan
n'onl de cesse de harceler loLtles les formes de transporl
de marchandises dans la Bordure l\tlédlane, ce qui irri[e
l'Empire au pLus haut pornt
FtcHE 5r§NALÉTIQnE
o Clan Ancestral ? u ,
r Chef de clan actuel : CorLir Le Hult
. Autres membres influents: Mennac Le Hutl,
Jobl,,rah le Hutl
. Bases principales : Nal Hutla
* Monde-trône dans la Bootana Hutta : Kor
Vanderijar
. Sphères d'influence : Telh, Llanic, Sespe, Socorro,
les ÉpLces, Trendivar
r Activités légales actuelles : technologie de pro
tection, armes exoliqLles, jeux d'argenl, venle de
s\,!oops et de speeders d'occasion
. Activités criminelles actuelles : lrafic d'armes,
jeux d'arg..nl l11égaux, coLrrses illégaLes, conlre
bande et piraterre
HISTOIRE ET ACTIVITÉs
Les lorces impénales cibLenl régulrèrement les Vanderi
jar dans le cadre d'lncr-rrsrons douanières el de frappes
ml jlaires contre les sites du clan. LEmpire olfre éga e
ment des récornpenses à quiconque neulraltse ses t ais
seaux, ses dirrgeants el ses soLrs lifres \,'la gré ceLa, 1e
kajidic co labore souvent avec les Jiramma en rarson de
1a proximrlé de Leurs mondes-lrôres et de leur complt
cité hrstorique.
Corlir e Hutl représente son clan au Consetl Su-
prême. l1 n'a pas a langne dans sa poche, mats les alt-
à dacieuses aclrvllés de contrebande de son kalidic el
ses conflits avec I'Emprre lragilisent sa posil-ion. ll dotl
farre face à des crilrques de plus en plus insistantes el
à de nombreux appels à la modération de la parl des
aulres barons hults, qur lur recommandent de s'arreler
avant que l'Empire ne sorl à boul. Un incidenl maleut
ne manquerait pas de comprorneltre 1e s ège des Van-
derrjar au conseil.
-- t
 lo rêrnElsa-r sai rnod sOSSoqel uorsetlo,p xneêssr? ::
lLro^nos luo".rQdnlÇr llpeso sê 'êrlno êuuo^oL!
u: =.
ap sar?llêlsrolur suorlerod-rol sap ? JO soreLralroL-. -
sodnorl sêp ?'suLelurol sêpuoLr-r sêp € puaA lr,nb's-- --
snol uo sanbruo]1:e Q soLUQls^s op:]o srnoleurpro,p. - -.
,
depe,lla leLlle,l suep rsurp os leoQds as 1; erSolour,t:-
suep s?s-roA snld sel srpelo)l sêp un llsê rrpeso1 Lrâ - -
§*æwË*&
sa11rn3ue sop ornllnl ei -lnod si
-old nad sursspq sol lo solesslqe sossol sol lLrê1, -
lonllnp rno"]ne rel puer8 un,p norlLLU ne Qnlrs'po.
0p tusloll sreled np sanbrlenbeqns sloUlr?l SOi :,
luo^rA la luêLUUI s-rnêllroLU sol 0.il?luoLlrle osQLll.r .
oL]lioqlor êp sêdrnbQ sos rollolQ "rnod sllnH linL:
-rosse solQdso sop snssr sanburluoDs ap sluau; : :
sop êrlsêL.llio 11nH ol po eLrtA llnH oledsl, êp s-. - -
UaO]lnSUO]UOnqIl]SIpSl.nb,SêQpuPLUêpSQ-]]Sê-tr
ap ?qlreur uoq zles.ro sap.io-redQrd rnod olep e :-
op onb uouorlseA êrnllnl rnol suep luasrnd }
sêl 'êJrpluor-rrrle uorl:npord êp êJQ leLU uo sêlLar,i. -
erl sopoLllQUr xn? rLrnolaJ 0p n0ri ne 'luepuaa:
J-cË,
:llnq uorltpe]l el op arLts rnêleA oun,p puad?p lr ,- :
sop aledDULrd Qlr^rlle,l 'luonbQSUol led so^ellsa r. -
LUOU êp rUOp lA lre^erl êLurouO un OpueLuop,.
uo aBE^olQ,l luop sênbllpnbe sernlegr: sol op ar- - l
srololnol lso êlQdso,l sllnH sop rnod a.r-rêl-q-o,r-i,: -
onblonb sglrArlle'o..reluêLUrle uorlrnpord es lê s-
ue,p sa8e,lelç sas..rnod onuuol lsa Er^ourel ê-:
Pl êll0nlrqequr rssne lnol ls0 lrlrru_i0^ s0p 0s:
§lrt^trlvrS Sutorsilr
sênbrleulolur slrnpord sol suep sl l-rnJ soLUQls.{s snos s0Aellso,p ruerl'sQUrslsl slu0urrla :-
soilne,p lê sê?qorip sa1-rod sap ,rargsut .lnod sanb Solou uorlnqulsrp 1e uo lrnpo.td'sêlnop sorrdQ,p uorlnc -,
Llral sluêlet srnal op luelUold trpesoA uell np sllnH sol srp la uorllnpo'ld : sa1;en1ce sallaululJl sglr^rtlv .
§§rrÂrJJv J.§ suroIStH coTb.
sluEgQdnls lo uorlEluêLurlp'souuê Aourel salltnBuE ,,
suorleLU-roJUr,p olu0^'aluênlJUt,p
:gerq 'uoLqdnrol 'xneêss e^ op oJnlelg 'sa:rdg,p uortnqutsrp le oBe^ê Q : sellanl)e sa;e391 sgl!^ll)V .
0pLreqsrluol : sallênlle sollou[.ul]l sgl!^rl)v * '
E alee6 '
'e replol 'oeè-opaSorqV : a)uenlJul,p se-rpqd5 .
uorsEllo,p Xl'tEOSStp op olLto^'sanbrB
olouqlêl sêrnl u-r noJ'senbtleuuolu sêLUQls^s'sêlEE unlns: ellnH euploog el suep ougJl-apuol^ .
-Q sol dg,p t-rodsuerl : sallanl)E se;e8g; splrÂ!]lÿ r 'erlou"reJ op lLrelloll sreled al : selednuud seseB .
uuO,\iy 0p llnH êl urPSLr-tell : sluenlJu! soJquou soJlnv .
alerleds uo le:is 'lruel-l 'eqlc : a)uanlJu!.p se.rqqd5 *
llnH êl poleutf,\ : lanl)e uel) op Jaqf .
fpesofl]o) : ellnH euploog el suep ougJl-epuol l r
uoN a lerlseluv uPlJ .
Lloi^ê11êlS
rns rrpeso^ steled ouL.llêI : saledDuud saseg r tnbrrïTvruErs 3HltJ
InH ol J "U,P'O ] JP IUJ
ui.rolO '111H e1 33rao5 : sluonlJut seJqtuolu sallnv i se:ueSrueu lo sasudolluo xne a8elue,nep luêssa l
|nH 0l ssorlos : lanl)e uel) ap Jorl) I 1e e:qdsa,1 op sollonlrqeq o)uênlJUr,p sorQqds sêp r.
lnO a leJlsaluV uel) . Qdo luêlQlgrd s r ronbrnod onbrLdxê eloJ lpu:luês -.
sêl no sPd aLUQL-Lr luêssreuuol sêl au slr,nb ol.loLLr,,. --
anbirllTfN§t§ sHfH a-lQrleLu uo sllnq srol sop pte8Q, q suCgLu ]e] u|r -- -
rnou sêunêl sn d sol rured :rlrute1 surel.rol xne,;-:-
llnq aurAuo,p lso rnb êl
suell s0l lêAe so.rQi nËQr suotlllJJ sop lne^ n1 rnb a: ,
lnol êp luauguequods lueUQLU es slerlualod sluot I sop
sLo sal lo suorlrpE.rl sa ouloluol tnb al uê splelL,, l
lrednld al 'êLULUEF êp lneLl snld sgq:-ter-u sol suep,tê-tl U
suep rên r op êpn:lrqaq I stld e 1 slualQr sn;d sor-. -,
u ,s ? issnQl sLEutel luo,u llpESo^ sei 'slo luelsqns slgo.rd
sop:]uorl ua slr,nll uoLB ornot-i?lx= arnproB el olnol op lrEJ 'soOUUE,p sro llrLU sanblênb ap gEq'rr tLU..tol ,,!- -
sla^eu srarlueql sop e n0 slnêloqlp sop ? aipu0^0.] s0l 3sr*ffiH§&
 qu'ils vendent. Les données piratées sont ensulte trans-
mises à des droldes rnessagers spéciaLtsés et aux s[ations
d'écoule du clan. Celui-ci es exploite ensuite pour se
livrer à des délils d'inrtrê, des opêrations d'espionnage
induslriel ou des ventes ciblêes. Parlois, il vend ces ren-
seignements au plus offrant Même Les vaisseaux de ses
clients cachent souvent des puces ou d'autres balises qui
resten[ inactives pendanl- des mors, voire des annêes,
i! avant d'envoyer leur premier signal.
It Selross le Hutt est à la tê[e des Vosadii depuis le mi-
lieu de la Cuerre des Clones. ll a enjoint son clan de se
!r lancer dans le crime lechnologique dans le but premier
lt
:l
iirt
tu'm§wp§ffiffi ffipw ffiffi§Mffi
tr es HLrtls sort b en ronnus pour leurs aclivttés eL en
T
ffi
&Ir-^orises t r iminelLes Connaissant Leurs lradilions an
i
ceslrales de complots, cle manigances, de clomlnal.ton et
d'esclavage, c'esl un miracle que le resle de 1a galaxie
ne les ait pas encore exlermtnés ou emprisonnés pour
eurs innombrables crimes. Comment les Hults onl ils pn
êchapper à ce sorl ? Leur rêseau d'inflL,ence bien implan
té, leür perirdie na[ure] e et Leur manqLte lolal de pil É, y
compris envers leurs congénères, leLir confèrenL un avan-
lage cerlain.
La marnmrse de l'espèce sur le cceur de I Espace Hult
lui oflre une base exlrêmement soltde et sùre, que nréme
I'Empire ne peul prêtendre contrôler eflicacemenl. Les
pèce n'esl certes pas perçue comme unc grande pu s-
sance milrtarre, mars ses forces sullisent à délendre ses
mondes, el ses divers contacts dans loule 1a galaxie uL
permeltraient de conlrer loule lentalive d'invasion, aus'
sr rmpressionnanle soil clle. Les lronlières de l'Espace
Hutl changenl souven[, mais personne n'esl jamais pat
venu à en expu ser les Hutts nj à les varncre une bonne
lors poLlr loLrles.
Bien qu'ils lransgressenl régulièrement les Lois galac
tiques et locales, les Hults se soumeltenl à leurs propres
tradilions ct à leur SVSIème légal C'esl pour eux 1e meil
leur moyen de préserver leur pouvoir loul en occullant
leurs véritables desseins et leurs p ans machiavéliques.
Les Hults uti rsenl des opérations commerciales égr
limes, des goLlvernemenls el des sociêtés enlières pour
camouller leurs empires criminels.
Les commerçanls et gouvernements qui traltenl avec
les Hutls ne doivenl en aucLin cas baisser la garde Fi-
dèles à leur re pulalion, les barons hutls onl toLljours une
idée derrière la têle et savenl relourner a srluation à leur
avanlage si une nouvelle perspeclive se profile Il ne laul
toutefors pas en conclure qu'ils cherchent s),s[émalique
rnent à escroquer leurs alliês el leurs partenalres com
merciaux. Si l'affarre rapporte des crédits à un Hutl, ce
dernier n'a aucune raison de se plaindre. Bien souvent,
l'opération reste parlaltement Léga e . jusqu'à ce que les
choses se gâlent. La lureur des Hults est aussi légendaire
que leurs machinalions, el leurs partenaires onl appris à
la redouler
d'acquérir des données. ll se monlre en outre parfa te
ment enclin à louer les aptitudes de son kaiidic pour in
fluencer d'autres individus, syndicats ou gouvernements.
lEmpire et les Bo[hans sont au couran[ des activités d'es
pionnage pratiquées par les Vosadii, et Selross ne I'ignore
pas. IL quitle raremenl son techno palais de Sleheyron,
car sa connaissance poussêe du luretage electronique et
rnformatique a fail de Iui un individu paranoÏaque qu se
mêfie des autres membres de son clan el de 1'Empire. ll
porte en toutes circonstances une visière spêciale et un
senseur qui balarent en permanence I'environnement, à
L'aflût de matériel de surveillance.
LES HUTTS ONT
LE BR/AS LONG".
Dans chaque recoin de la galaxie où l'on trouve des élé
ments criminels, il y a de fortes chances pour que les
Hutts soient implrquês d'une manière ou d'une aulre. Les
membres de l'espèce cherchent à accroître leur inf luence
personneLle et la puissance de leur kajidic, el finissent
donc forcêment par s'implrquer dans la pègre et à s y
laire des contacts. On ne peul généralement pas parler
de rêseau d'espionnage, mais les ramifications portent
souvent jusque dans les conlisses des gouvernements et
dans les conseils des grandes enlreprises. Ces contacts
sont parfois modesles et peuvent se limtter à quelques
subalternes soudoyês par un Hutt, mais lls lui lournissent
des inlormations inédiles donl il saura tirer profit.
Malheureusemenl, ces réseaux ne permettent pas à
lous les clans d'obtenir l'ensemble des informations qui
y transitent au momenl où ils en ont vraimenl besoln.
Chaque connexion louche est liée à des Hutts ou à des
clans spécifiques: il suffit que l'un des membres de cette
relatlon (informateur ou inlorméJ disparaisse ou cesse de
collaborer pour tarir le flux d'informations. Les kaiidics
nêgocienl- parlois la mise en commun des inlormations
dont ils disposent, mars il esl très rare qu'ils consentent
à partager des secrels décisifs. Le savoir, c'est le pouvotr,
el ces réseaux reprêsentent bien souvenI des années, des
dêcennies voire des srècles d'investissements.
Les Hutls s'adonnent à tous les types d'aclivitês crimi-
nelles, vtolentes ou non. La réparlitron des tâches est néan-
moins variable. Certains individus ou clans se spêcialisent
dans un domaine ou prêfèrent laisser à d'autres diverses
basses besognes. Le rôle joué par les Hutts en matière
d'esclavage, de contrebande, de commerce clandestin et
autres activités constitue l'objet des sections suivantes.
ROUTES MARCHANDES
lntermédiaires les plus manipulaleurs de La galaxte, les
Hutts onl besoin d'hypervoies commerciales elltcaces
pour mettre en contact producteurs et consommateurs.

EMPIRES CRIMINELS

æ LÉS BAROXS DE ilAL I{.ITTA

 r
oJrdtuf ,l êp' nL,{,prnolne.'errp-q-1sa,r'anbrlqndgg e1
ap sêureurop xne arqdsa,l ap sQlle,J Qlllllel e InH ared
-s!,1 ap seqrord snld srnelras ap nurluol luauuaddola,tgp
e1 1a 'uo139r el ? JapQlle,p luelleuurad slelerl s8uol sQ:l
ssp aQrnp el lrnp?J e slueuroJ"rgd snld sa,trlprad{q,p uorl
-eluqeJ el sêllQrs sap lu ne soLUQls^s slnêJ ap alQlluol
êl Jruolureu.l nd rsule luo sll sllnH sa1 rnod luatugluolur
§or8 un la a8eluerre un sroJ el q onlrlsuol rnb ar'1ueu.l
QIos!,1 € Ono^ lsa llnH alads3.l 'lu?Iodul êxa sues
'sreluJosgp
)rtrururvP +JçuuvJ uo,; vr
lJeuuol uu.l enbru
..
ourQlupJ
lrod a;lsrurs al lur^ap EeppeqS reN la 1nH ered.
-sl,l ap lJelg,l ? eddola,rgp as alJauiu.lol al agluntdua
snld ue gnld ap 'auuar1laro3 assed e1 lurolat luarene sluen
-oBQu sep l'ednld e1 'lnq,prnofne leuuol e1 uo,nb e11e1
Ioqed uerulloO,l rllqelg,p alp-q-lsa,l 'rerelduuar e1 ap
. sduel al 'alqrsJo^gJlr oJQlueLU êp alnoJ ollral^ EI lednor
lut^ .e^ouJOdns aun sre61 'bu.rr1r3gl le etQdsold leo.lêuJ
-uor reÂo1 un trelQ eeppeqs reN elnH 1eq ç anbrlqnd
-QU 0UUODUV,I I.uêurAllêirp lrerlêr loqed uerL|loo.l sallQts
srnarsnld e { 11 'rsure qlg srnolnoj sed e ua.u lt steul 'ltnH
areds3,1 asJoAeJJ au arxele8 e1 ep xnedrrur"rd spuequeut
saxe burc §ap unrne,nb lexope"red Jêlquos ruop lnad
.
sareuqlllLU sap lU ne uo)eJ ellar ap xnerLgduLr san8oleler
. sal gJJolg 1uo rnb sa;repuôras salo^ sal sn;d elduor eu
uo sreur 'alros el ap sprqderSolrel QIO luo rnb sluelrodr-uL
. soxe sal luos sa;eg saleugduir saJrellols soJrel xne aJtel
. -gur1r.1 .ra1no[e,p luassarduua,s slot]UJo saqderSoler
USTTT 3f,':H§mt
ffi
PUBnnû .:rlt:"'
ll§üBrl ôp uo[el§ ,.{1.
o
',!l"r
lO8Vd EYH§
rtlqnd ne OIO^qr aJlO red lrug.sasor xne 1od a1 'lergugâ u3
slgJQlul sa.rdo.rc{ sJnol lras larlês al puenb uorleuror-
ranSlnl'tp sed ou op stolred quassrstor..{l ll xnal 'xne^U s::
red alrannorgp lsa olnol oun pueno raluhrdue sal e s;!
-rJol.ne ]uos ê)ueqüol ep selolrd sthal slnas lo luaulas. -
-el lueS?lord sa1 srrpr[e1 sal 'apueqorluo] op sollarassz:
ap lua^r0s no 'sa^Ellsê.p la salDrllr sosrpueqlreur ap ]la l
-suerl êl luauallotluassa luallau;ad sreu 'sa1e391 suc -
ergdo sap e,rJAno.s lua,tnad sêroA sêl xneAu srnal .':
'. alue^e,p rnan8uol aun lalJosuol op uge solQJlês sar-
.' -al luos suorleroldxa sar .'luepuader 'sdural np ledr :
el 'algrluor rnol snos luaualer?uOB larlnrrlred apuc--
un.rhs sra8uerlg spueqlieLl sop rêrlle,p 1re11euu-rad rr=
elar puenki sêlerlroLUrlrol. sar oA sal lalnou ap uor1e."lo1dr=
luauaua^no Qlueuu luo sllnH sal 'saJrEUgllruJ sêp lg n§-
'glduuo: lse sdual e1 puenb luauai:
run 1a a8esn a;dord .rna1 e soolrosgr luos soQuuop s=:
srelu 'Qlunl?s el op luorxrJl9p ne sduuel ep ned un;auE=.
luoJ. rnal rnb siua.rglltp lueu.rerQSOI sorerOUrlr,p luas.-
-srp suell surelraS saleugdlur saJreilals sêUel sêl j'a
luarnBg rnb sa11àr ep erQnE .luanbreu-rgp as au sanuu.-
1J
snld se1 solerf,roLUulol selhol'sap sllnq suorsJo^ sal
'sêurlsapuell êLUulo).sallaDUJo'salz
-
'eds.radÂq salnoJ sap slarlês sêl sonrlsneLlxa senbrQqlo :
-lq sêp suep luasuela"r s:rprlel sap pednld el salQCS:
sêrlne sêl salnol anb erorue snld lUapuadop uo slt.-
sa1 1e sa1 1e alxgleB e1rnod alelr^ lso s?r.llJeu sop ÇlrprnlJ
=-
ÈIffi,TII3T§.TÛSVd
EuE0og
ffi'j@-^-
l* §'
!}ts§' , vlrnH 108vd
.wffi
 ffi##Ëffiffi F4$Arufl$.§&ffiffiffiS
ffiH $-'ffiËË&.{# ffiUYT
LEspace Hutl regorge de très anciennes hypervotes qu
lur sont propres, la pluparl bien connues de Lous les
clans. Ces roules très actives srlLonnenl toute 1a rêgion
Cerlaines sonl slrictement locales, comme celLes de la
!tu Bootana Hutta. D'autres relient 'Espace Hutl à des pas-
sereLles vers le resle de la galaxie
En dehors de I'Espace Hutt, peu de places commer-
ciales demenrenl sous le contrôle lotal des Hults Les
pèce n'y esl la pluparl du lemps qu'un acteur parm
iffi d'aulres, même si elle 51 6xsp6. souvenl un rÔle essentjel.
Les cians rivalisenl soLrvent pour 1e conlrÔle d'un réseau
de dislributjon spécttrque ou pour 1e monopole d'un
certain lype de marchandise, comme les éptces. Une
fois qu'un Hutl ou un clan conlrôle l'un des lacleurs du
marché, il est difficile de lur fatre lâcher prtse. Chaque
clan protège jalousement ses acquis et dlssuade ses
concurrents au rnoyen de menaces, de pols'de-vin ou
d'atlaques pures el simples.
Srllonner l'Espace Hult s'avère souvent très périlleux
,* pour quiconque connaîl mal les règles de l'espèce Cer-
taines régjons, comme La Boolana Hutla, sonl slrtcle
{F ment réser\rêes aux Hutts Elles sont très bten défendues
el les rnlrus auronl, de la chance s'ils survivenl au pre-
mier contacl. D'aulres routes marchandes sont ouvertes
à tous cenr qur souhaitenl les emprunler, mais es rtoya-
lk geurs doivent s'altendre à subrr dlvers tracas à cause des
inlrigues des Hults
r Ootmian Pabol : celte voie, qut remplace I'Oolmian
d'ongine, n'a jamais connu la gloire de son ancêlre
de l'Ancienne Républrque Elle relie Nal Hutta à la
slalion spatrale de Ktntenn, à la frontière de 'Espace
Hult actuel la plus proche du Noyau. Deputs Kr,venn,
une voie mineure de I'Ancienne République file vers
le Noyau e[ le syslème Ubrikkia
r Non seulement les risqLres d'êchec augrnenlenl, mais les
Pabol Hutta : rarernenl empruntée par des êlran-
gers, cetle vore passe en pletn cceur de l'Espace
Hult. Elle parl de Nal Hulta pour traverser Varl, la
Bootana Hulta el Sleheyron avanl de rejoindre 1a Pé
riphérie. Des navires de guerre hutls gardent l'accès
à la porlion de La Boo[ana Hulta (entre les mondes
gardiens de Mulalan et Cos Hultal, el 5r sf1s.1r..1'
des palrouil es renforcées Ce royaume tnterdil, est
hermetrquement fermé aux étrangers
o Shag Pabol : cetle voie, égaiemenl appelée la route
des Esclaves, étail jadis cachée à l'Ancienne Rêpu
blrque, car elle donnait sur les domaines hulls les
plus proches de la Bordure où se lramaient les ope
ralions d'esclavage Désormais largemenl connue,
elle relie Nal Hutta à la roule commerciale de Triellus
el à Teth [monde impérial considéré comme la cap
tale du secteLir Baxel el théoriquement de 1'Espace
HLrtl), en passanl par Ylesia et les syslèmes de lran-
sit Outland
r Pabol Sleheyron : cetl,e voie lraverse l'Espace Hult
de parl en part, du Noyau vers la Bordure, et re ie le
monde marchand maieur de Sleheyron aux roules
impérrales. Elle donne êgalement accès à Kessel
et se lermine dans le système Formos. sur la roule
commerciale de TrLellus.
EMPIRES CRIMINELS
LE]I BARIOXS DE TAL !fl.,114
La route Morte : ce lte voie stllonne l'Espace Hutl-
côté Bordure, en passant nolarnrnent par le syslème
ELgil, élape oltligal,oire des marchandlses pénétrant
dans la Boolana Hulta. Vous trouverez page 1 40 a
rencontre modulable n La route Morte , qui se dê-
to . ê l ,slê lol.r dot c ei P'pgio'].
Passe de Hollastin : celle voie re te Hollaslin à Cir
cumlore et s'étend jusqu'au s-vslèrne Syvris situé à
la lisière exlerne de l'Espace Hult. El e perrnet no
tammenl les échanges avec certains sysl,èrnes recu
lés de I'Espace Hnll r,,ia plusieurs ports fantÔmes.
Passe de Kaaga : re ie Circumlore au monde mat
chand de Nar Kaaga et à la vote tmpériale donnanl sur
I'Espace Bolhan. Les Hul-ts à carapace l'empruntent
entre leurs domaines de Circumtore et de Nar Kaaga
ffiYpHffiW#§ffi§ SffiflffiffYffi# #ffiffi $$#T'r'#
Ces voies secrètes ont plusreLlrs raisons d'êlre. D'une ma
nière générale, el es se révèlent plus rapides et offrent
un accès plr-rs drrect enlre deLlx systèmes donnés par
rapporl aux roLrtes commerciales connues. Cerlaines
sonl loulelois ulilisées parce qu'e les sont plus stres. Les
voyages y sont aussi longs, mats elles permettenl d'évi
ter les pirales et les patrouilles impériales qut ctrculenl
sur les r,ores p us lmporlantes el aux points de lransfert.
Un croiseur rmpérial d'inlercepljon ou un navlre pirate
capable de pousser des astéroldes en lravers d'une hy-
penroie peuvenl en elfet expulser des va;sseaux de l'hy-
perespace sans prévenir.
Au delà de ces avantages, ces roules recèlenl êga
lemenl leur lol de dangers. Comme elles sonl mojns
empruntées, leurs données d'astrogalion sonl parfois
obso èles, source de risques importants d'un voyage à
L'aulre. Lorsque des personnages utiljsenl une route se
crèle, améliorez un dé de difflcuLté {volre plusieurs selon
les conditronsl des tesls d'Aslrogation correspondanls.
rncidenls qu; sunrrennent icr peuvenl véritab emenl lour-
ner à la catastrophe [en cas de Désastre, par exempleJ.
On ne connalt pas Le nombre totaL de ces routes se
crèles, mais 1a plupart des clans étoflent réguLièremenl
leurs lisles respeclrves par le biais d'erplorations, voite
par l'achal ou le vol de données Il esl êgalemenl pos-
sible qu'une roule soi drsanl secrèle soil empruntée
par plusreurs clans ou organisations à l'tnsu les uns des
autres. Voici quelques exemples de ces l,oies :
. I-Éclair de Tatooine - Nar Kaaga-Tatooine via le
système Manda. Cette voic esl emprunlée par le
clan Desilijic pour rédurre La durée des lralels entre
l'Espace Hutl et ses domaines sur Tatooine. Le gain
de lemps oscille généralement enlre douze el vingl
qualre heures.
. La « passe-pâss€ Corellienne - Ryloth-Tatooine :
»
à 'ancienne Passe Corellienne
cetle voie parallèle
n'apporte pas de vêrilable gain de lemps, mals per
mel d'êviler les pirates et es patrouilles mpériales
de lulte contre la contrebande d'épices. La pluparl
des clans hutts concernés par ce trafic connatssenl
celte roule el l'emploienl régulièrement, même s'ils
en adaptenl sublilement l'itinéraire pour éviter que
leurs rivaur les découvrent.
 .6Wf'r''r;lsf"
êlrnJ 0p êÀrlelu0l
alnol op.topenssrp sol la sed ne rapJeS sêl inod sa^ellso
srnol..rêsruuerll luê^3s lrednld pl onbtle.td uorq ê.r^nat,p
ureu êllol tênbsuuol lloA os luatel.lnod slr no 'sluopnld
snld rêrluoLU os oqlue^oj uê luê^top lo _red luêLUêldold
q ê-ildLU!,1 suep s?lQtJdord sêp luêpQSSod rnb sllnH sol
'sarreuQl tLr-t
sêp s ndop QSueqr sed e,u uotlenlrs el rlo
'llnH êredsl,l op uros ne stnol srnolnol e o3e^ellsa,-l
sê qelroldxout luouuot^êp oLt sollo,nb lLls^e sdLLrol
êp nod xneA.l sop q a8e^ellsê,p suorlelQdo stnol luoLrl
osnoDrpnl rouuot Jnod oLUQLU luorQlltno-rqop as srolêl
luoLr-rorQrlnlrlred sllnH suLelJêJ êlQdso,l op êlQ_rluol ol
snos suorS?..r sorlne sonblanb 1a 11ng êlpds!,1 suep luoLU
LLrelou 's0gplolle luêLUOptder s oJêlnol luêJnJ sto sol r?
suorle8orQp soc 'sauoll sap oIOnD el êp tl?d luolLtosno J
9s e s0lur?uuo]lAUa suorBQ_t sol"rns êlQdso,l ap oluonllut,l
3nb luelne,p'sollQrs sêp stndap llnq êrnl nl el lo QlODos
el rns osQd tnb êsnalJOS snld ?l alEUêLu p luonlllsuol
a8e^ellso,l .tns oldLUl,l ied soQSodLUl suotllt.llsêr sol
lnol ol ? sllnH sêl olo)uo luêAlês sollne,p
lo solQdso sêl sllnLl sê^e lso,p soOUje sonbsalueBra
xna rolsrsQr qua:nd eu lotu_lêp ar ep e..r,ren8 op saptolp
sal elodsa6 ol LUtX ê.tluol xnerlsolue slt luol sê luer
-np lelol olOrluol e1 luerr_rd ua srnd'sJtsnqe xneTl.raL!
LUol sprotle.p stetq ol red Qluolo,r rnêl q luo_lL!nos sêl
n xnêl 'sllnH sol ;ed ser,uasse salQdsê sarpruard se rut
;ed luernBg sol>llN sêl lo su?rpoA sol 'suêtLloolely sêl
rourLUop q lueuuetrrLed s1r.nb xner o3e,,re1::.- ,
ornpqr êp eurltÊ91 ltel ? tnot luop olqLUOS rnêl ll ê--
ne a"rlO,p sed a1r-rguu ou uotleutL-Ltop lnal q Lasoddo s
e1qre1 dorl arqdsa eun 'xna slna V êstpueLll_tprL -
d èlOd,.OdUt .tdU- UOrSê\? J:dsJO LopJè\S.. L
' _rn0lu0LU un
lsa aJll8LU Jn0l rs _t0utJQ^ _tr :
.lne1 luanbsr,r rnb sa,leltsa sol luos sêJel sieu'olLtas,
lt,nb a:eueu al ap lueluoluol os sllnH sêl 'louuo .: l
srnolnoq sed npueluo uotq lsê,u ltlrsodsrp al luê-q-
sa8req: sol 'QuuoluEl 1sa 1i a1lanbel ? auoz l?l .toll.,- -
no Suer np lJos o^ellso,l steuel t5 sêrnleiurLU sltsc - -
1e srneqdarg.r êp lueJln-rl sêL uo s?lr^tlte lê sluo...- .
?p srnal snol luolQlluol sllnH so onb uêtq ts s:
suroLr luêAnos luos setqdso sêllne,p soABllso sal - .
-r"r0,p opuoLU lnol no slua_ted sJnoL êlluol so tE:;
sap l0 sllnH sap xnolnol np olure_ll red'sed _-.-,
1tednld EI sreLU'suotlLpe-tl se1 srolred lueuErerlLta.
rpLrr su ellêJ a.lnllnl _inol op arl,red lues eg uotss
el'rolsrsQl SUps luoAnoS luêAlos aBe,lel:sa ue s;
luoruouuooue snld se1 satgdsa sol êrnllnl rnol O
tuêr!oletol luo mb'sllnH sop Snol a1 seltqrs sep s .
luassrqns saurpll0l Jêu L|op q lueuuerrued s1t.nb:- .
so sêl lueLUênbrleu?lsis "lqlelnsse.p êpnlrqeL.
lu0 slr srELU 's_toU/\no êLLtu]ol no senbtlsaluop :-
luo^Jês se tnb xna-tneLl eut êp sêLUQL_u xna luê,tr'- :
slr lu0r-u0ln0s uoN ê3e^ellsa.l e sJnolê.1 ..rno luo_..-
ord alsar sllnH sop osnotpo sn d e] enb lsUQltE.:
ËIBVr§n)53
a8e,to,r ol Jns so-tnoLl xts êluoJl 1a xts e-r1ua rauE::
l eJ aroA aqle: -ta1un'ldu3 anbtqteleB uo lnqulstp .
\'rpeetl >" dr tJ e.-. f.P \d r.c, '.' d d:r s \o
,'lo .o -oprdâ io c ,? oJ, uU , ?..o i ,' .
-pso6 sap 0lQrlas aqnor : s1;nÂ5-ptsel^ el .
-
's0QUUOp Sê rSSne lLr0uuê
^-^S l.l
.o q Pl, §o îP 5s,|[,stb S Oa\dB Sê1 o
"-
-0c sêl luOlsor s_tnolestlrln xnsdDUt_td sel soJr-:
lrnq-a1ue:enb q arlenb-13urrr êp aQ]np aun,p aBe,ir
0 lrnp9r 0ro^ oJlol'(:rue11 serrd3 sêp ossed e --
O .OrO§ .PO .'O .TO ,S O
dp rPù.e .O .ù lrO a
sold?,p uorl:npo]d êp opuoLU êl o-rluo lla]lp sr'r .l
orer?u lr : ollo)os-qlolÂg - q1o1Âg op alnol el .
 Sf'Ërt'tii"TiJLlrË$!:ir:iëf-'i1S"i'r-'Ë"+ïi"
# Contre loute attente, cerlaines personnes sonl prêtes à
* troquer leur liberlé contre quelques crêdlls en se sou-
meltant à une exrstence de servilude pour une dr-trée
supposérnenl lrmitêe Les Hlrtts accuelllent ces indrrrrdtrs
consentants à bras ouverts, d'aulant qu'iLs pantiennenl
à négocier cürs services pour des larifs ridlcules Les
contrats sont géneralemenl fixés à r-lne période a ant
cle six mois a dtx ans, mals s'accompagnenl de nom
breuses cLauses permettanl aux Hults d'en allonger la
clr-rrêe ou d'imposer d"^s amendes et des pénalrlés à la
morndre rnfractton.
Ces servileurs ne sont guère mleux lraltés que des
esclaves Les restrrctions qnt s'appliqLrenl à leurs dépla
cements el actlvrtés sonl spéciliées dans leur contral
Les Hu[ts profilenl abusivement de ces accords el
prolongenl 1'engagement aLll,ant que possible, mats tLs
verllenl à rélribuer Les inleressés en lrn de contrat pour
ne pas laire fuLr d'autres candidals potenliels. ll faLrt être
vérilablemenl désespérê pour accepler une telle selvi
tucie, mats dans cette galaxie impito-vable, il arrive que
les rndigents n'atenl pas le choir
s î î qs {,}' il$ È: Ê,,+.1-,iflÈ++ H i{ TJî?'É * Si +3 * Ëi'J e ré Ts
Les sites el systèmes suiVanls jouenl tous un rÔle impor
]-anl dans les aclivités et la cu!ture escLavagiste des Hults.
r Aylayl : ce monde luxurianl desse n'i par a passe de
Hollaslin est abondamment exploilé par les esclartes
hulls pour ses gisements de minerals dtvers
* Bootana Shagplan : ce monde sltué dans la Boola
na Hutla resle le marché aur esclaves le plus fermé
de la région Sonl vendus ici les esclaves hutts les
plus recherchés, les seuls que l'on luge dignes d'être
admrs dans la plr-rs Lmpênélrable des contrêes hutls.
Boolana Shagplan latt égalernent olfice de chambre
de compensatton pour les arlicles de Luxe à la mode
dans les mondes lrÔnes des environs
o Diyu : ce foyer industrtel hutl de premier plan se
repose stir la main d'ceuvre assuieltre depnLs des
siècLes. Le monde est de sservi par la Shag Pabol.
EMPIRES CRIMINELS
LE§ BAROXS DE I{AL HUTTA
r Kintan:t-nonde d'origtne de l'espèce des Niklos,
rédu le en esclavage depuls
lanl de quelqne 25 000 ans. Pour
le Traité de Vonlor da
pLus de détaLls
sur celte planète lmpltoyable e[ son peuple déter
miné, consuLlez es sectlons Kintan page 62 et Les
Niktos page 96
a Klatooine : monde d'origlne des KLalooiniens, ega
Lemenl asservis deputs le Tralté de Vonlor lcf. page
66 poLrr plus de délalLs sur la p anètel.
Point Nadir : ce port fanlÔrne stlué sur une cotnèle
insaisrssable est sous le contrÔLe du clan Anliliac qui y
eflectue essentieLlement ses opérallons d'esclavage
Rorak 4 : ce monde lndustrlel srtue sur la Shag
PaboL accueLlLe le plns grand rnarché d'escLaves de
l'Espace Hutt La p)upart des kalid cs y disposenl
de quarliers adminislrallfs pour se mêLer au lrallc
.omrne achelenrs, t,endeurs ou les deux.
Rorak 5 : cetle statlon spaliale en orlllte antour de
Rorak 4 accueille régulièremenl des réunions lm-
porlanles entre diIgeanls hutls el plrales, lrolre des
commerÇanls plLts légl1,tmes.
Ryloth : les HLltls conlrÔLalenl La lralte des esc aves
sur ce foyer de production de ryll iusqu'à I'aboLitjon
de ces pratrques par décrel de 1'Empire.
Tatooine : Les Hults dlsposalent autrefo s de nom
breux esclaves sur Tatootne, jLrsqu'à l'lssue de la
Cuerre cles Clones ou la ga arle se relrouva oftl
c!e lement sous conlrôLe Lmpérlal. Lasservlssemenl
resle poLlrtanl une dure réalllé pour quelques lnd lil
dus malgré es reslrtctlons.
Vodran : monde d'origine des Vodrans ei site du tris-
lement cêlèbre Traite de Vontor qui rédursrl, l espèce
en esclavage tl y a q11s1tr.25 000 ans Pour plus de
dêlarLs, consu lez la section sur Vodran page B2
Xolu : monde d'origine des senrlLes Yahk Tosh, qui
onl luré lrdélilé aux Hults. ll ne s'agit pas d'esclaves
à propremenl par er, mais ils se soumeltent aLl
Crand Conseil Hutt et tous leurs mondes et activités
demeurent sous le contrÔle des Hutls.
.-:lI*: *;riil-lr

JllneJ êl ra^norlêJ Jnod souud op sJnassel{l
sap Jê8eBua € sed lualrsol.l,u slr 'sarreJJe srnol q no uorl
-elndil rnêl e êluralle êlrod aQlJo^e osJnol oun puenb
sreLU 'srerJ sJnal suEp
rarluoJ ? sJno[no] luaqlraL.{l sllnH
sal uosrBr^rl allal ap luarepuadop llnH np slalord
sol ls lnolrns 'uul9d êl suep rêrpueqatluol un aJlloul
? sroJled luJns nprad tuaura8reqr lllêd un rou8e8 €
anbueLU np Ierguq8 ua lo 'aJleJ uo,p luorelaloJd sJl,nb
al ap 'lnale^ es ap puedgp uorllegr rnal 'lleredsrp
uosreS:er oun pueno srel?p ap slueu;assedOp sal la
slêl1Jg sêl luaualnEJ sed luolene,u sllnH sal 'sJnassed
sop saJrerouol..l sêl nA 'spuol êp luoujouJnol?p ap no
êpneJJ op uorlerOdo aun suep QsrlrleloA lros as 1r.nbr no
'srnolon sap no saleuqdur sauenop sol led gldolJalur
g1q lre 1r.nb 'sarrd?,p lueueSreqr un a;prad q êlslsuo)
puoqunJ llnH un aJpual êp uaÂou rnal;reuu e1
'lassay ap sauru salqllJol sal suep s?lJoJ xnE^ell
sap ? lê ar^ ? luaulêuuosrldura un ç esodxe uurlsrellrlS
al lsa,nb asnalLlol la arer aluelsqns ollol op opupq
-olJuol El 'or1)uelor uf 'uollualgp ue rnolqs lJnol un q
no elsod nE llnu aun Q luaLualeJgug8 luesrnpuo: solnop
snld se1 sauroJ sôl ?uJaluol aordg,p adÂi np luauêllarl
uassa luepuadQp apueqaJluol el q sogrl suorllues sêl
: e11ed el .ressrer8 rassrel os € surllua
..1,.. surour luêuale;guq3 luos xneugdutt
neÂop np sapuohl sep seq:old snld saX
sreuJ
'surelJof aLdu.ro.r.rol ua,p alqtssod
lsa Il êluolsrxa,l sed luolllpeJ rnol aut
xneugdlur sJarupnop sal uorlelndoJ oun Jau
-rn.r q sroped lgns grroSgu Ieu 1"lodsuerl un.nlr
sluêrf,suol'sg^alq sQJl sJuEl sap luanblrlerd srarp
-ueqarluol sJnallraLU sa1 errdlu3,1 ap saruarg8ur
sêl luell^q ua sdual sel suep suosrerlll sal rains
-s€ E Qllleder rnal ap luapuedgp al^ rnal 1a uted
'auBeB rnal 'uor]e]nd9.r.rna1 'ureB np lcdde,l red
: sQ^rlour luos sQSnJ la saprdqrlut snpl^lpul sal
'srnassed op 1a salo;rd ap xnautLUEJeJ atquou
un q ladde luoJ s?posse sJnol la sllnH sal 'arxel
-eB e1 ap serrdg,p sluenbUerl xnedtrut.t6
'osrpupqlreLU rnal JênqrJlsrp ;nod seutl
-sêpuelr sopor.llgur saJlne,p rns lo sJêrpueq
-arluo) se1 ;ns 'a>1Â6 auur np lerrpuÂs al rns
ralduoc lualrop s11nH sal 'alllueAaJ ua 'salrurl
so) op sJoL.{op u3 sêlnrllr ê3nl sal eleugdurt to;
e1 puenb ourglu '11nH areds3,1 suep sarrdg sap
Iodsue"rl al la luourolreJl aI a:qn8 allra^rns au
arrdu3,1 anb arlno ua JUO^es sllnH sol sanbgtl
-uans lê xnelrp?rr-t sluauiassrlqelg xne luaurele8q;
saruJnoJ a;lg luannad sacrdg seureyal saguraluof
sa)uelsqns sap puadgp sqlrnrl)e sar ap 91r1e391 ei1
'uorlnqulsrp ap 1a a8euqla ap suorlergdo sap lueaÊ
-reql as ua sarerpQuralur,p Jr^ias ap luannos snlo
a1luepueder lualualuol as s11 serrdg sap lodsuer..
nE lo uorlJnpord el g luedrrllred sllnq suell sureual
'9llle8ol el ap lros uo puentr
lnolJns 'slrpQJl sel lua8uet{rg,s no lnolred luaulerl sllnH
sol lê 'osnanllnJ1 sQJl luop lsa sêdelg sal êp aunleql
.srrou
s9r{lreuj sal l0 0pueqarluol op xneasQr sal suep
uorlelnlJD rnal € luanquluol sJnallej sal snol solual.L
-a13q: luos sarrdg sap uorJeururosuol el la alua^ el 'uoc
-supJl êl 'lualuallerl a1 'uorlrnpo"rd el 'se) sêp 1edn1d e
suec soluelsuolJD sarlnE,p suEp solDrJlr auuol saÊr?p
-rsuol sreu 'slrprd uarq sêJpel sap suap sopsuolne luos
saurepa3 sanrlreoqrÂsd no saleunrpglu snlJê^ srna
rnod saguuosuor sale8q1lr 1a sa1e391 saluelsqns ap A-
-OuE^ oun olnol aJ^nolar sarrdg,p anbr"r?uQ8 aulêl al
slfldr,o rfururll^lof
'ersal^ Jns lrpesa8 sap
suorlergdo xne gdrrrl;ed luo sarquaul surelral 'alrl
-op sQrl srnolno] lo sllnH sa1 red erruesse sduoÉuol
srndap erqdse 'suarsrz sap ar:1ed el olsêr apuour al
'alJol4 alnoJ agladde aroruedÂq,1 rns qnlrs I 9lZ
(erse11 ;ns slretop ap snld rnod 99 a8ed
'Jl) allaqar lnesse un,p srol salrnrlop luaJnJ saulsn
sa1 'rrft;rseq sal la^e lrlJuol luplJodurr un Olnsns
luo rnb 'rpesog sap sarrdg,p sauôugJer sêlednuud
sal llJranl)e e ersal^ 'saguue sap luepuad : elsolÀ
 Les sommes engagêes dans la contrebande d'épices
varienl du loul au tout se on les circonstances. Le lype
de subslance, la longueur du voyage, la nature des
slles de rendez vous eL les régions lraversêes influent
sur la cotation de la course En gros, plus la missron
est r]squée, p us Le salarre sera importanl. Par consé
quent, certains trajels, cornme ceux qui passenl par a
redoutal-rle passe de Kessel, consl,rluenl des plans de
premier choix pour Les p us audacreux (ou rnconscients)
des conlrebandrers.
Les passeurs d'éprces demandenl généralemenl
plusieurs milljers de crédils pour leurs servrces, mais rl
n'existe pas de ca cuL simp e ou savant pour déler mi-
ner leurs honoraires Clobalement, les sa aires Les plus
copreur correspondenl aux plus grosses lrvrarsons, sur
tout si ei es sont dlfficrles à dissimuler. Un conlreban
drer peul empocher des mrlliers, voire des dizaines de
mi liers de crédils en une seule course, en particu ier s'il
sail marchander. La récompense doit elre à la mesure
des risques encourus, qui demeurent considêrables. Les
dangers et les prolrls potentrels dépendent bien enlendu
de 1'éprce concernée, cerlaines s'avérant p us dél cates
dF à lransporter ou partrculièrement compromettanle sr

t on les découvre. D'autres, plus douces, ne meltenl pas

le transporteur en grand danger, ce qui se tradurt lorcé
menl par une rêmunêralron plus rnodesle.
Certarnes épices se rêvélanl particulièrement nocr\ es
pour les consommateurs, les conlrebandiers qui sont

tp arnenés à Les [ransporler sont parfors confrontés à des

drlemmes moraux Les Hutls, quant à eux, se lrchenl pas
maL de savoir sL les substances qu'ils trafiquenl peuvent
tuer les c ients oLi provoquer chez eux rne addiction irre
versrble Pour la plupart d'enlre eux, loute source de pro-
fils est bonne à prendre ei les questions élhiques sonl le
Lol des êtres inférieurs
§OIUTREBANOH
HT TRAFIC D'AH.MH§
Les Hutls sont à la lêle de giganlesques s5tndicals dn
crrnne inlerslellarres, en concurrence avec lous ies types
de gouverneme nt de a galax e ou presque. lls complenl
donc énormémenl sur les servlces de contrebandiers pour
livrer leur marchandise plus ou morns 1égale dans des ré
gions soLlvenl hostiles Pralrquer la conlrebande pour
les Hulls est très nsque, mars ils offrent des salaires qu
cornplenl parmi les pLus é1evés de la galaxre. f appât du
gain l'emporte souvenI sur toules les aulres préoccupa-
tions lorsqu'il s'agil de travailler pour un kajidic.
Les Hutls sont prêls à ljvrer à peLl près n'imporle
quelle marchandise à condjlron qu'eux ou eurs clients la
considèrent comme précieuse. Parmi ies cargaisons les
plus couranles, on trouve les épices, les armes el le ma-
térrel technologique iLlêgal, mais aussi des ceuvres d'arl
exo[iques, des produits de lure ou des équipernenls spê-
cialisés. ll arrive parlois qu'un lransporteur conrroie des
cargaisons plus élranges encore, comme d'énormes rns
truments de musrque ou des espèces srngulrères rêcem
menl decouverles. Bren souvenl, un chargement légal
couvre la véritable cargaison, celle qui justilie vêrilable
menl les crêdits engagés. Pour plus de détarls sur le tra
f1c de stupélranls, reportez vous à la seclion Commerce
d'épices, page 35.
Certarns c ans hulls praliqLlent le trafic d'armes. Ces
operallons peuvenL se rêvéLer lrès lucralives pour les
Hults et les conlrebandiers, même s'iL Leur faut pour cela
concurrencer les plus grands armuriers de la galaxie, les
Sugi. Le matérrel de ce genre lraité par les kajidics prend
généralemenl la forme de peliles armes, ou d'équipe-
ment spéciaLrsé en fonction des atlentes du clienl. Lar'
mement est souvenl pLus faci e à transporter el à drs-
simuler que d'autres cargarsons rlicrtes, mais les poinls
de lrvraison se révèlent aussi plus dangereur En génêral,
quand des clrents cherchent à obl"^nir des armes, c'esl
pour fa re la guerre ou du moins pour parliciper à des
comllals. Les contrebandiers peuvenl donc s'allendre à
devoir forcer des barrages ou à sunoler des zones de
conflil pour livrer la marchandise Ces condrtions fonl
rnonl€r les pnx, mais es passeurs risquent leur peau.
LAlliance est probab emenl le clienl le plus êvident
quand on pense à la venle rLégale d'armes, mais la réti
cence qu'éprouvenl les Rebelles à lrailer avec les Hults
les pousse à chercher ailleurs De leur côté, Les Hults
répugnenl à riendre aux RebelLes de crainle d'évei ler
'atlenlion de 1'Empire. Pour plus de détails sur cel as
pect, reportez-vous à a seclion Les Hutts et I'Alliance
Rebelle. page 39.
Parmi les autres acheteurs, on comple es prrales, les
mercenalres, les chasseurs de primes el les milices pri
vées Ces lransactrons se gèrent de laçon assez srmple
el les livraisons se lonl gênéralenrent sans encombre,
quand le clienl se troLlve entre deux alfronlements. Cer-
larns acheleLrrs demandent un rêapprovisionnement ré
gulier qui s'étale sur des mois, voire des années.

EMPIRES CRIMINELS
LES BAROilS I'E TAL ruTTA

" 'lurdn1i :ro sNlJNoJ xny,p aseq ap êr^rl np 90 L e8ed e1
g sno,t-zeltodal 'p;esel{ ep xnal sap sa18gr sal Jns sllelqp
ap snld rnod ltnq qeqeu artne un.p xnal ap suorlàredo
xre ortnu;nod no'tuejlodul toutnol un.lalloduei ap
lnq al suep "lnanol ln aureled.l]nH un'sto1lpd les êl
suep urstx e1 sud luos s1,s lellper lo QU?luelsur luaulrl
eJl un e alpuêlte.s JUOAtoo tuêLUOUtnol?p ep salqedno:
sal apneJJ ap no al"lot_4lrJ1 ep au8ts arpuloul ne luassrB
eg"r la sQtd êp satciLJol sal luallta^rns silnH sal luaul
-êssrlqelq,l tnod salqelgo.rd tuauuesUlns arpual sol ?
luasrA lnbl segssnod sêpnl9.p 1el'qo.1 q1e1 1ueÂe assa;pe,p
la p;es€q ap xnaf sap luasodord sllnq soutsel sal
a1 q esuodsar uç r n e. n b .r, n', J'rur'J^li JJJ:i[iT
'o^?, I ap
sa'1a lretedstp a)ua)saAlaJJa,l xna sue5 luauaprcle.r
, lu0uJRol?p ua,s slr 'nal-tue.l1 sed luenoI eu uorlrlgduror
aunip sJneleslueslo sal enb luauuardulor srneued se1
15 'slnalesrueS;o sal
JouJaluol suas sat.lnlg 1a s;osuods
Yne tuaulo elQL-r93 ,]uauuoluel os sat.laqlno.l ses'e,lnardg
OUr.0 anSSr.l ,ralnd uer-u e aullaql 11ng un,nbsrol aSJnol
aun ;anbntl ap n^ leuJ sQ.il alnaulop 1r srer_u
'elleltads
ol Jr^rês Jnqd saÊ8?Jnoluo aulQuJ stolred la 'suorlpgd
-u.rol ssl luEJnp alueJnol aleuuoul luos saual{lrJl sol
xno^ xne ptotJ sPa
luO,U ltb Yr OJ rnr )( r SlêllUalOd SlUold Xnedq la SêJUê:
snol ua srosuEp JuaDosse sasjnol sal sllnH sêp lec
saglneodeql solr^llle sap lrednld el rnod autLUoJ sE_
sap Jnollrau oJ suep IeLUturLU luêLUO]pplua.l lo sano:-
luaAnos luos salSaJ SOI s;r\.1'roJ sal êp atàUdsoule
luaLUlue surlsapuell lo slar}llo siled s.rl s ilnH sal lec
sqlqJluol sapuoul xn:lJquloü iln rns pluooB l?l op e lo-
el ap sJol saQsrus8jo luos uelcJ Jeluôld op suollrl?c
-Lror sac solnpoLU op la sdooMS ,)[, sâllaJ ]uoLULxelol
'sasrnol ap srJPd sêp êuteLUop ne rlQclsr.l èp uotllrl
-uluol PI Jarou8r
lnad au uo steirr 'solleutLUul soll^tl:]E
sarlne slnol anb ênuuol s.rJrouJ uorq olsol lueSlp,p xnê-
sop alQllejed arJlsnpur,l sur?l) sllitH sop uotleltldu,li-
rN39UV,O XnSr
. 'Jutdhrf.l tc sNrrNo) xnv,p oseq ap ar^ll np gg
t
la 0ç L So8ed xne sno^ zatrodêr 'sgnbrletd xr"rd sa1 1a
aAnoli uo,nb salrr;e sal sJou sQLllJeLU soJ rns sltel?p
ap sn§,"rno6
^ 'sanbtlerd sollal ap e al)osse sal uo,nb luop
lualllg'saJQdsord snld sal sgr.{lreut se1 selsrSene;tsa
sap pre3q,1 g S]ueJglol sulour uatq lua^nos luarluolu as
xne3g11r slalqo soB,-reÊueqlg € alndn;rs unrne 1uo.u rnL
snpr^rpur sal êurgul ':lolla ul
ped q eureuop un luauê
-erguq8 anlrlsuol gll^ltlp ollol steLU 'oluan pl q sa^ellsê
sop luasodo;d sgqlreur sutel./aJ sjrpQJl sap lualrodde-
salla,nb luel sllnH sal rnod ralaqle e la êrpuê^ e sauuoc
luos 'sa1e3g11r no sa1e8g1 'sesrpueqj;eu.r sal sêlnoI
. 'sJlllqrqo;d
luo.ras sqnbrlerd sJuel sal snld '1r1tr;:
-sar lelol luaueulenno8 a1 1e xnara8uep lsa êlrs al snid
'x1rd sa1 laluou.r e.;1eg rnod saLUQr.u-xno
luau8ra't;ua s1r.nt
srol sol luenbro,rur uê lnol 'se13q; s;na1 luosodLUt s
sllnH sal Jnod xneQpt luolsal sutlsopupll sQr..llreul sol ^
' sues rel;rnare arel os ,r*i';;;;rr;;;;;ô ;i ;;jr;;;;-:
. op 'quu9p alllue un êL{lraL{l uo,nbslol '3uop luo!^uol
olporo-e-aqlnoq a1,rqd nealueru al snos luesreJ os salua'
sêl 'sQr.1lel luos s)l)ols sol luop sJêtpueqa.tluol op lê ic
-el-sroq ep neesq,r un,p srole 1r8e,s 11 lualuoioel rssne sel
aLirruop as {u a1q1s1r,u1 qqlreLr ol 'saluplsuol]ll sarlne..
suBC 'sluarll sop la slêurulul sap nuuo) uarq aluo^ ap na
un red gslleqqleu lsê Jlou ?qlJeLu el 'slrolpua suteuêf t
'sallauuorlua^uol soleDrou]rxol la satreJrJel suoilluls;_
xne srLUnos uou Jef,'êluollnluol oinol lueggp xud sap
i
salllrl suotq sarlne,p la 'luoLUallne salqruodsrpur xne39
slrnpo;d sap oluêA el ? luasodord 'salqlsrnut s9l.{)Jeul sglê,
-deluar-ua1e8q 'slou sgqlreul so3 sasnalnop la soqqrqoj:
sasrpueqlreu op uorlnqlJlstp el 1o sullsêpuell sor.{l,tp;
sa1 rns erled êpueJ8 ua osodar .sltnH sap glr.lqdsotd e-
uloN tHfuvu\t il
'sluonlJur sllnH êp sg;dne,nb salq:i
-odsrp sroJred luos au sa1qe5et1 uou no Sqsrler:gds salqc
. -ouj surelJa) sreul 'sêJIotJUlo satQtlu xne I.lnolaj JuaL
'e1erqug8 1ue;q39rd sarrelgueld sluauaura^noB sal ;a
sasuda;1ua sal 'gltJnlQS op sêlJol s.lnel _rnod e1rrr11t ar8c
. -ouLllal aun,p ralop as q sroyed rssne luaLllra.L{l sollnlEj
sQpuer8 sa1 gldepeur no atQlosqo IatrgleLu ap sagdrnb3
lua^nos luos sêdnoJl sal luop lo'a?losl auoz ua xneugc
-txlsrêDUJo sep lanliqequr snld ser al ralD lnad ug
PIRATERIE
Les Hutts entretiennenl une relation ambivalente avec les
pirates de l'espace. D'un cÔté, les crédits qu'ils donnent
à des hors-la-loi pour assurer une partie du sale boulot
leur rapportent indéniablement beaucoup d'argent. A I'in
verse, ils apprécient beaucoup moins quand eux mêmes
deviennent la proie de ces mêmes pirates. En effet, si cet
tains ric ces bandit.s se monLrent rclaLiveme nl fldèles â un
clan, la pluparl suivent les crédits là ott lls vont.
La plupart des piraLes travaillent pour les Hu1.Ls de ma
nière indépcndanl-e. Les kajidics n'ont pas l'habil.ude de
créer (-je groupcs rêservés à ces opérations ou de consti
tuer cle floL[es dc tlibusticrs. En gÔnéral, quand ils [ont
appel à ccs brigands, les choses se lonl dans le secrct. et
pour nuire à un rival. Le Conseil SuprÔme désapprouvc
officiellement ccs Leniatives, mais les clans y recourent
régulièrement. La plupart des piratcs apprennent à tcs
te r discrets quand un kajidic les emploie ; qui sait quand
un rival fera appel à leurs services ?
La procédure habituelle est la sLlivante : les pira[es
reçoivent les coordonnees du raid à effectuer, les ins
[ructions quant à la manière de procédcr et les obiectifs.
Les Hutts n'ont pas l'habitude d'en révéler plus que ne
cessaire pour obtenir les résultats escomptés. Parfois, ils
demandent à ce que les cargaisons et obiets volés leur
soient livrés, mais ils laissent généralement les pirates
se servir à leur guise : cela fait partie de leur rémunéra-
tion. La mission peut consister à voler un chargement, à
perturber les opérations de transport d'un autre Hutt, à
enlever des personnes avant d'exiger une rançon, voire à
combiner plusieurs de ces éléments.
Les bandits employês vont des véritables profession
nels suréquipés aux gangs miteux dont les vaisseaux
bringuebalants sont commandés par un capitaine incom-
pétent La plupart des Hutts se contentent des pirates
les plus abordables parmi ceux qu'ils esliment à même
d'accomplir la mission, et il faut reconnaltre qu'ils ont le
don de les repérer En revanche, quand une opêration
demande une prêcision ou un savoir'faire particulier, ils
n'hêsitent pas à contacter des mercenaires chevrorrnés.
Comme on peut s'en douter, lcs pirates ne sont pas les
derniers lorsqu'il s'agit de manquer à leur parole ou de
chercher à revoir satlvagcr-nenL les claL.tses d'LIn colrlrall
qLrartrl Lls pensoll JVoir toLlLes les carrLes etr rnaitl [et
lout le bul.inl. Cerlains HLrtls arrticiperrt L(ltle pra
. r,'-.. tique qr,r'ils eslirllerlL tle botlne gLtertc tit-'la
I &q"-r' pail dcs llrbuslierrs, e[ se conlL']rl..nl d'clr
i 'ii,,:;':.i. ilrtégr"e-.r les risque s cians le calcul des
r' t.:. ncgocial,ions. D'aLltres, tnoit-ls
philosophes, cherchent à se
:., venger coùte que coÛte
LES HUTTS ET L,EMPIRE
En thêorie, l'Espace Hutt fait partie de l'espace impérial.
ll s'agit officiellement d'une gigantesquc extension du
secteur Baxel dont le contrÔle esl- contié à des lmpétiaux
du monde de Teth dans la Bordure Extêrieure. Concrète-
ment, I'Espace Hutt reste en grande partie indépendant,
gêré par les Hutts sur les plans économique et politiquc
Les aLltorités politiques et militaires de l'Empire peuvent
toutefois compter sur un minimum de loyauLé el de colla
boration de la par[ de l'espèce, parfaitement consciente
qu'une invasion des lmpêriaux pourrait grandcment
nuire à ses opêrations. Les Hu[ts nc veulent. surtouL pas
al.[irer l'att.ention cje l'EmpereLlr et sont prêts à quelqLics
sacrifices pour l'amadouer. LEmpire, quant à Iui, n'ignore
pas les problèmes que les Hults pourraicnL causer dans
la Bordure Extéricure et au sein de la pègre de toute
la galaxie si leurs relations se déLérioraient au delà d'un
certain point.
C'esl par l'entremise avisée de concessions, de pots
de vin et de manæuvres politiques que les Hutts restent
Ies vêritables maltres de l'Espace Hutt. lls respectenI cer
tains décrets impériaux tout en achetant les sénaleurs et
les Moffs les plus corruptibles pour que ceux-ci ferment
les yeux sur d'autres aspccls. Ils tolèrent les démonstra
tions de force de l'Empire contre certaines de leurs opé
rations et certains kajidics particuliers, conscients de ne
pas faire le poids face à cette puissante armée.
Les Hutts multiplient les faveurs pour rester dans les
bonnes grâces de l'Empire, même si eux aussi protitent
directement de l'influence impériale. Les incursions des
kalidics dans les lilières d'approvisionnement officielles
et secrètes de I'Empire leur fournissent des arguments
de négociation face aux exigences impériales.
La présence des patrouilles de l'Empire dans l'Espatc
Hutt est extrêmement limitée. Les forces impériales prê
fèrent se concentrer sur les nouveaux secteurs les plus
excentrés (notamment le secteur Baxel) qui ne figurent
plus officlellement dans l'Espace Hutt. Les traditions et
les liens ancestraux ont néanmoins la vie dure, et ces
régions restent associées à l:Espace Hutt dans l'esprii de
nombreux habitants de la galaxie.
LEmpire entretient avec les systèmes contrÔlês ou in
fluencés par les Hutts des relations qui varient en fonc-
tion des circonstances locales. La politique des clans et
des mondes impliqués, les instructions et la personnalitê
des représentants diplomatiques et militaires de I'Em-
pire, tout cela engendre des situations uniques. En voici
quelques exemples :
Station spatiale de Kwenn : ce très ancien port stellaire
aux dimensions confortables accueille les Destroyers
stellâires impêriaux et autres vaisseaux de grande taille.
ll se situe en lisière interne (vers le Noyau) de l'Espace
Hutt. LEmplre en contrÔle certains niveaux et docks par
l'intermédiaire d'un petit contingent de stormtroopers et
d'autres reprêsentants. Vous trouverez plus de détails sur
ce site en page 88.

'uuor\{) op alErleds uorlels el suep
'llnH oleds:,1 op lnoq o"rlne,l q olnorop os
orrplrL!rs Qlr^rll€ oun sotuoS snol ua sluoSe
sol rnod lêrnleu oluo8.ro^uol op norl oruuJol
ou8rsOp El olerleds uorlrsod eS solloqoà lo xneUQdLUI
'sllnH orluê sanSulur sap uorq op o,rlgoLll ol lnl 'InH
aledsl,l op orQrsrl uo 'L{lal orpurolar op ]uE^€ Ioqsd SsLlS
el rPd r^rêssap aLUQls^s 'puellno lrsuErl op uorlels €l
'sêrlne sênblonb êp
Orlle,l luaLUeleSO sreu'srprlel surelJa) op rurauuo,l lreJ
ue rnb er 'luonlJur sQrl êlQAQr Â,s rrop lrêloS sllnL.{ soru
al
-olol sasnoJqLUou êp oJolua aldLuor le erlred sroJorlnp
srnalll€,p lr€sreJ ollo luop llnH ereds3,l aproq er"rgqdrL96
e1 saluelrodur serqdse,p alqurou puer8 un,p la,{ol la
sopueqlreLU saro,t srnarsnld red egste,retl uorSgl 'erLgqd
luQd el suep puoq un srole lu0Ju s0ll0qar sQlr^rlle sê-l
orroN 0lrol:,1 0p uorllnJl
-sap
e1 sqrde snld 1uerq1rs9q,u slr sreLU 'aluessr€u olJOqoE
aluerllV,l erpurolar ap sduuel reruterd un suep ]uaJQSnJor
sluplsrsOJ sof sQll slurod sarlne lo luoLUOUUorsr,toLdde,p
sro^uof xne 'segsodxa soleuOdLUr solqrr sop q luouJallar
rp erpua:d uo,s Jnod arrdLr-r3,1 op glrlrlleQr ep enbueLu
np elgoLd qlol op ê)uelsrsQl el lnallos np arrellllul uorl
-ergdo erpurouJ el rnod gllnsuol ar1g,p ee8rxe a8a8tg
llot\ êl anbs.rol xneugdlu1 lo sllnH etlua sanbtlrlod seu
-ouelrql se1 red sagrpua8ue sole)ol sollrel se1 elroldxe
'e:tdu3,1 ap xna xnp aleuoLu olqelrJQn eun reluasg;deL
Lnod elqre1 dorl anb uorq 'oluplsrsQr ollof olloqoë oluEtl
IV,l ap uorleQr) el q rnêrJOlue 'errelndod luoLUOAnouJ un
l"redOp ne luarenlrlsuol qlêl ap salst^rll€ sol loxe6 rnol
-)as np alelrde:-apuoLu ol Jns eddole,tgp os a)uelsrsol el
Qp slnqgp sop so^rsnQp snld sal suorletgdo sop ount
erLgqdrrgd ua sÇnlrs
seuqlsÂs xne JruêJ uo,s op uorlrpuol q 'llnU o)uonlJUt,p
arqqds e1 suep lueLUOlergle luerQdo sêllaqor sodnorB
xnêJqulou 0c aJQrluoll es ? sQnlrs sapuoLLt sol 0utêluol
rnb ol uo sêluar91Jrp luolQAQJ as sasoql sol stelA lruol
-red rnod Iegpr alrs ol luoLUreJA sed lsê,u uorSgl alle:
enb uarq
^ puerduor 'slrllolJo sas orlJorlle q la oluonlJUt
uos orpualQ ? ol,llJOr.ll rnb'aruer1ly,-1 11ng a:eds3,1 suep
suoileiOdo sep.reddole,rgp op olDUlrp 1re19 1r lurod lenb q
Jalelsuol nd luo sallaqau sôl 'sllnH sop uatlnos èl sues
'llnH aredsl.l suep ê1,,:',
nolQp olloqor ossajOlroJ no oseq alnol ap oluêsQrc :
op saLqesuodsêr rnod llerpuarl sol Ir,nb sInH xne QSDÇ-.l
luoLuorrell IaJJO ue e erdLuS;1 xneuQdLUl sal no sol'-l
-oE sol lo^e uorJeDossE rnol rêlnurssrp rnod srnalerpÇ-
soJlne,p no su..lou-a1grd sesudarlue,p orrerpQLr-uolur,1,, ? l
srole luer:o3gu sll êJlne,l op oLUu.ror enbrl:e1e3 e1r' .-
orênD el op gl9l un,p slrpÇrl sonblênb rellrdderS q s;.
odsrp luaLUêlrelred luos xna orlua,p surElrol 'sanbsu s=-
OrBleA luaLrouJ lnol € êrelrlrLU uorlleQJ oun ronbo^c-l
1e errdLu3,l op uorluolle,l rêtnsns lrerrnod olloqar odna,:
un lo^s uorlenosse olnol 'sllnH sop onA op lurod nC
'xn0 )ê^8 -.:
-re-J1 red luoLUQl"lol luossruu sollaqêu sol 'soLllnol xnêl -
sol suEp sluesoLdruuro luelo sllnH sol salqepu€urLUo,=,
ned snpr,trpur sap q Ledde a;re1 q srolred a8rlqo,l rnb:
'slrnpord sêrlne la xn€ossre^ op 'soLUre,p 'suorsr,to-rd ::
iêssed as lnad au olla 'oluErllV,l rnod lueuesnornoqi?, ,
errdu3,l arluol ollnl es suEp sllnH sêl s.io^ luoLUOIla;l
-eu sed ouJnol os ou êllo ronbJnod puoJdurol uo'sêJC:-
sap uorlelroldxo,l op le euale.rrd e1 ep 'eBe,te1:se,1 -:
'uolldnrol el ap sr^-€-sr^ olloqau oluerllv,l op uorlis: l
el Lleuuo) uo puenO Lagrxalduor os luolquJOS sollo sr l
'êurLUexo,J uo snld lo neolqel np lêrluêsso.l luanlrlsü:
sr:8 ep soluenu sol Jrou lnol ru luelq lnol lso,u u: -
'sllnH sol la^? alrE.rl uo puenb'Jr.innorqp a1 red luess -.-
suorJpsrlr^n sap la sluoLUOura,tnoB sap lrednld pl oLuLL.:^
31lIg3U SfNVI'I]V,1
r3 SItnH s31
slre]srlesul s1lng sanbla' :
op lo sorlrasse sarqdse sop silssr srnaleLluo1ur,p neos;"
un luouuarlorlu0 (lSB) aleugduil ÇlunlÇS el êp nea,-:
np s1ue8e se1 1a arrdru3,l op sêrrelrlrur suordse sol s ?-.-
'ellnH eueloo6 el suep orpuar os Q s?suolne sed 1u--.-
-oleuJou luos ou sro8uerl? sol sop q llnLl uorlesrii'
pl êlnol orllorx os ap rolr^O rnod luorlsqe ua,s êllo s 2--
'olroJ uo rBe,p suaÂou.r sêl e oleuQdur oQLUre,l sl---
sa1 1e a:rdur3,l orlua suorsual sol Jluolorluo,p LUU s?l
luo,u 'ellnH euelooE el 0p sauQrl sopuoLU s0l JUêLU!2,
ou 'sllnLl sopuoLU xne seldo"rd lorlos ol lo luaulêlosr-
rnnlus rns slm_
ap sn;d tnod y7 e8ed e1 q sno,r zelrodep uor89"r et
enbrqrlod lê anbrLr-rouol? uorl€nlrs e1 luenbrldLuor s;
-0è sap sOlr^rllp sol lê sllnH sêp oluelsrsrod aruanl-,
'leny êp sle^eu srorlueql xne saQUllsap sarqrue;d sa,
eLu sa1 rnod uorlnqulsrp op aspq êp sreLUrosQp lrês r,:
arrdur3;1 ur^e^ op ollrEleq el lue^s seleugdLur solro- :
red rsres ln1 JnnlrJS'ourapouJ llnH ereds:,1 ? aluê1,:
'arLgqdrLg6 e; ep uor89"r el suep Onlrs lo lesrs êp êss
e; Led r,uessap sÂenbaa1u,1 sep eur8uo,p opuoLLr : rnnlr
oleuQdLUr olQ - ,
e1 q rer3g1ur9.r sol"rnod sureLUnq sa: renbnpgg.r ? luuJ- -
slanlle slroJjo sol leLrgdLrr Jrolnod np oAQrs ne lroc - .
red QlrLUrxord es op lo 'laxeg euqlsÂs np rnæl uto c -:
'oLUQls^s np uorlrsod el op nuol oldLUol L Beç.l ap ir: -
es artdtuS;1 alQueld e1 rns aSe,telrsa Lrê slrnp?-1 sr- :
nLi,p uorllrLU un lu^nolQp selsrleurnol op adrnbÇ our-
srol 'sursroA sorellols souJQls^s sorlne sonbloIb ap -.
errl op slnH sêl eslndre e;rdLu;,; de Z uo: elrll
^B
, ,. 1b.:" vtrm ïrI{ t(I silcüuïE sEa
!-nH 3lvd5r,'r
'sêrneurLu suotleurlsêp sarlne s-tnèlsn1d op
1eqo13 nSrade np slLrêac sluonllt-r.p'rrteugclL-ur sluurlntto sos ;
un:aluesqrd op lue^e 'auoz allal ap saloueld saled tuud oa-1l-lr).lf) rnq,p.lnolne JS.) ln I 15 'tucpu;r1rJ s roi-: .
sap sauq8rpur sêJnle?rf sol lo sluessaJ?1ut sliroluqla sol s-rai lrLr op süurezlp sop srni1.:q-l c,ltnq stroLrS.rr s,r,.
'sèrr'llr) sd sa dnao sJl oJtols,q tuJOo L)tlld"Ja dJ aruee3ç11 e,p'l uor-uJês ?+Qrd Iuo'uelpo1 .la aLt{ool€i\j
Lir>l rio^es p 'lo.luo 3p illls.ll o1 qu8ts .lLlBIE sal?ue lL;
enbuogql anb lsa,u aleugdur uotleuluiop el 'B.rpJèH 'sl lladso-i silr.rQJl sopuou-t srnol srndap
luaurLUûp s. .
JJO; I r I
red au,onnoS arrdu;.l êp la\eg lrê tlos np ê
sal n()'« sllnH sêp urprel , el 'aï]nH elrelo0E el ap o.
-red lueurallenUJo lrel uor8Ql ailar rs aLUOt\ 'ênbrLUouolQ
uê a^lro,rl ôs 'sllnH sê[r Q]spAilp leleu apuoul êlrlJ€/\ :_ -
arleug,ldns êp reèsa.t alspA Jnêl e sdslulnos s rroIno1 .Lr\
eracls1,l J1,r
onbruouotg 1c anbrlrloci sarlliêl'eepi-.
lo ossed al siep s]]nH sap oluanllur,l lqns luo soLUouol ,P\'r rr )aUti.:
I \irr.T\d,r.\,t1(,,[jL..1
re iJ.aJnrd qd. dJJalA sêlteJOlltL! sap srndep aBenel: .r ,l t.'l d,,r.-.. 1. ,,-O.,r'h;ro1-.1 rrl ..t(O
-s0 ua luarnatr]op supuoLU sas ap 1edn1d e1 'sdua1 np 1g -tadi\q, op edel?,1 'uüo,\,i!,r1r, nr1s rolir.ls {rl slt! alr. :
rle JllùAJ rùO ril.H Jl4(lsl.l rO (OlJ.-Oll SAJ ,S JLLjAA
1uo1 Llorâç-r
el luils-raAlt r-l rnb xnEcssrr?,1 sop ltËdnld I
.apueUl
:lso arQilua alxEIeS el luop UOIICIL-l0l-LlllU,! !Jlqer c,rP lrlS S,l.r.,ll,\:,., l
'arrdq,p, uol:ilnpord es.Q o:q-rô uotlln;lsuolo.t es alueuU
lrtell'tLr olL.il-lrot 'scnbrq.t,rL ur 5dr [rLrè]J sdS Stlpp oi).:r::
ro Jltêr-1;)u oJl,etllv.l dp rJll lplqD^do anbet p JJF I otrllS e1 ap crur:o8ua ar d e1 10 r rS.ru,rrsrl lld puprJ.rttLro, l
sareld sas osued Elsêl^ sllnLl sonilllrlod suorlrqu.tu xrre a-r11e ltot8or i)llalJ'ureLl (1.\ r,)sur) [c]rp s;n e;-:
rolsrsqr ep 1ue1ioL.r-pad lnl sêlrrploA sossaralloJ,sQltr sJS 1o onLr ltlod r-rorlrsod es rlrl , rrrlur l.l ;p rq ,r,1cq 1.,
ap aluESslnd ?l 10 rles êp uorJeuru.rjalQp el .saJelle ur êlxl lo i)uElp:lL\ sêrnp.ioB sop salQueld SaIQE-lrlLLrrir.
q- qi or s qp:§ulo u
9 f l ts 3 l a !n:b l o^p slrp]l{gli:Ill Ë,§-o,t d ql uru eQ lns SlnolnO; lLtauâQt OU.rrr rtlr \ L rrl)r-r(\ sat s:rptlet, ,
1!!j41;1eu1,:ate^û,I,êJtgiiglisi§o';d:eç::4p,'i@r+q[iarJrariei 'ur-rtsuedxa.p lo crglrlrLLt .rlollrl,rr )l) lt(r\ l,)l ,rLrt:
ieQ'::o.es i1.oqul4§ :jalue.p.uôd ABii l.':r,:],:â,U§!*:§r§t: :qi:ri a s u o: ru,'\J,.j :r.dl '.rrl r,-t lrt llli;',1 ,t., 1
sl1opÂo1 s:llrl{ sa1 sar'lretu stucpa.tard sôs l,l ll()N lièloS uq'5,l01trli1tr,p;1nq e-rrr1uL1,l clr nssr lsê llnH are, ll., I
JJN}I
ffi
 NAL HUTTA
Données d'astrogation : système
Y'Toub, Espace Hutt, rêgion de la .
Bordure Mêdiane
Mesures orbitales : 415 jours
pat an I 87 heures par jour
Gouvernement : Conseil Suprême
H utt
. Population : 7 milliards
(Hutls 45 o,o. Evocii 28 06,
Vlppits l5o/o.autres 14 o,o)
Languês: langue hutt
Terrain : [orêLs, marais
Villes importantes : Bilbousa
(capitale). Oedriga, Jiguuna
Sites intéressants : Palais hutts,
Nar Shaddaa flune)
Exportations : tourisme, contrebande
lmportations : biens de consommation.
produiLs de luxe, lechnologie
Routes marchandes: Pabol Hutta, Ootmian
Pabol, Shag Pabol
Conditions particulières : aucune
Contexte : Nal HuLLa esl le siège du pouvoir des HuLLs
et leur foyer depuis des milliers d'années, suite à la
chute de Varl. Ce monde de complots permanents et.de
jeux de domination s'épanouit grâce aux intrigues qui
font partie intégrante de la vie quotidienne des H.utts et
de leurs serviteurs.
Nal Hutta est recouverte de marais fêtides et d'une Sur Nal Hutta, la tension est à son comble, l'Empire
almosphère epaisse eL moite. Son air convient partaiLe- s inlêresse. de plus en plus à la laçon dont les HutLs
ment à la plupart des espèces, mais donne aux visiteurs consolident leur brase de pouvoir. Même si les forces im-
l'impression drinhaJer du ragoût novarien. ll n'est pas rare périales évitent en génêral d'interférer dans les affaires
de voir les êtrangel's venus conclure des marchés avec Ie' hutts, la recrudescence d'activités rebrelles dans cette
Conseil Suprême Hutt [êgalement appelé Conseil des An- . zone a attlrê son attention, ce qui consterne au plus haut
ciens) porter des respirateurs. Cette humidité êtouffante point les baroirs du crime. Le Conseil ne ménage donc
ne gêne en rien les HuLLs, qui se délecLent de I'inconlort pas sa peine pour maintenir les divers Molfs ei aulres
des espèces inférieures. Les marécages et tour.bières de officiers impériaux du secteur sous la coupe des kajidics
Nal Hutta sont répaliis entre les grands kajidics mais
changent souvent de maltres.
.. .. . ,. . ,..
Nal Hutta ne produit rien de valeur pour la galaxie, en
NalHuttaneproduitriendevaleurpourlagalaxie,en ! l

dehors d'un tourisme limité et de sa contrebande. La olu- ,i

par de ses .essoùtLes ra["relles sonL en vo e d éo.rise
ment suite à un forage intensif, ce qui contralnt Ies es sociologlles et érudits ont tenté d'apprehen-
Hutts ILE der
imnorter de
à importer nomhr.ry matériaux
cle nombreux m:féri:rry en m2qsê Ces
ên masse. co< ear
car la complexite des,intrigrles politiques.hutts,:
des,inlrigtles'pglitiques,hqttsr.
gaisons transitent toutes par Nar Shaddaa avant d'être plots mis qn oeuv!'g p?rchQque:clan.pour.dévelop-
O9guls des siècle§, fascinQs'par,ce§ s-lrates de:com- '.:
amenées à la surface
amenêes srrrface de l: planèle.
cJe la nt:nèro En pffpr les
Fn effet, tec Hrr*c ::ptutslrlrsqlloeuy!-qp?rcnaqueclanpour.Oevepp- ,,
Hutts
à oY-renforcer'sa sphere d'1nfluel:lqej U.nê:Vieil]e
soat paranôiaques à I'extrême et surveillent tout trafic " ,P.T
Iégende pr'élend que les:pre'miers préceples des
destination de leur monde. : kajidics, êiahlis par buofittâ
Kaitolcs,,,eraolls .A!1urâ,,.sont
Hestilic 'Arnurâ..:.sont
Budhila, r Hestrllc:
consignês da,ns un ancien ouvrage, un des livr:es
. ies plus rares el'sacrês dissimulês par: le, Conseil
Suprôme. Nombreux sonl ceux qui onl cherché à
deco r. r .t oes u e'rvcs tjp etis. r-t, c oc cÊ r a L5
cril, dans l'e spoir de r-nioux comprendre lcs Hutls
et cie prcndre l'avanlage suI eux_

L'ESPACE HUTT
47j.: LE5 BAROTS DE ITAL HI'ITA

. ...,: sassoss?q xne lê auaqJno] al q surll
-ua snld lerQU?3 ua luêlsêr sllnH sêL srEut
'saJlne,p onb êLUSrpes rnêl .rnod sênuuol snld luos
sêlJrLUeJ saurelrol ?lnelol .rnol op o3u?qlQ uo sanllrlsoLrJ
-op sos q - a^ilelor êlnol - Ql]oqrl ourel.rôl oun lo srnêAPJ
sanblonb rêpro)le llnLl arlleLLr un roA op lanlrqequi sed
lsê,u ll 'suroL"Llue0N ri^Jêsse sal lo -lslQrluol sêl xnarLU
ap lêLLuêd so^sllsê,p sadnorB sol ralosr,nll luo^nos
luarQpisuor sllnH sê-l êrel?udord rnêl êp - 9ln?nrl êp
no ausrxel op ?.r8ap np puodQp lnol : s.rnofnol sed
luauuêrAJ?d Â,u arqdse rnol op sarquou sorlnp,p lole
rednor8e: as no solerlsalue suorlrpe"r:l s;ne1 ran19d;ad
lualrEqnos rnb sglrxe s.teruuosr.rd sol 'el:]nH leN rnS
6 e8ed el ? êluaLuLUor rnb 's1eu1u1.o se"r1dru3
: I e;11deq3 ol su€p salqruodsrp luos sllnH sop soLUntnol
la sn sal Jns so?LlrelQp snld suorleur-ro1ur se6 e:gr8srp es
ratdxe rnod sop^ios soqlCl xne guLUppuol arlg lned eu
-ed no nqrgp un,nb srpuel'ql9nos el supp ereld-rne1 ap
oLll.roLl)oJ el € aroluo s11np1 seunei sa1 .lnod suoilde:xa
senblanb sroped 1re1 uO ellnH leN rns llnq êLUJou el lsê,J
'sa^ellso sop e la sanbrlsourop sep q sauSosaq sosseq
Sal lUoSSISl SnOl'SQSle SUlOLll Sêp SloLlOp Ul « 6 SnOU SPd
tonbrnod lalgo.rd uo 1op un,nblanb anbsrnS , : olqdoso
rqd e1 uoles lualt^ lo sloo8-tnoq êl^ op opoLu un e q ssod
enb luelne luoldope sll npuêluo uerq 'Io,tnod op solsod
sep q slnolrol 'lnolred sllnH sap o^no.rl I uo 'alQueld
ollol op êlueurLrop erqdse,l ep 1rEe,s lt oLULUoJ êrnoilQl
-xl la êuerpgl sêinp-roB sal suep sllnq saqqnbuo: sap
olsrl el rns sorlne.p luel LLUied u..lou un.nb lsa,u ellnH leN
HH TT-UT N3 J"Til H $IÀTTI TXdSd
'êlqEJgstLu
lelQ Lrn su?p onll uêtq
'srnolnol luo:lsrxa slr steLU'slutolQ iLloA: sal lueto;: tnb
xnal luos xnoJquou 'sllnH sol uled euqu 'rnq,prnolny
s0ArpPlsLU l0 sêprelElq sêJnle?ll u0 lu0L|0lu0l luelnLU
'eeppeLlS.rr?N op xne,{oq sop rnæl ne luo-tQluoJUO,s
slue^r^rns sol los el lo o.lQqdsour1e,l luereuSgtdut tnb
sguenllod xnE QqLUollns luêre^e xno orluê,p lJednld el
ffiffi&ffiÆ ffiffiffid
'xne^pJl sap uU €l V rossa ure;d ue olrllales êl ap sÇ-
n êp uorlerQuq8 argrurap eL rlleq ? sguuepuol luo.rl-
eeppeqs -leN rns sçIrxa r lo \l sal .reÂo1 nea^nou rn3
rns sllnH sop nlosqe olQrluol ol eluourl rnil al 'sour--
ralxo la sQnberl olrnsuo luornl sêllaqa"r sol opuoL-
rnol ap uo lrnrlsêp el op sêlqesuodsa; sque.lgnbuor s;
ralêlrEq rnod lueLQdno;3ar es le alQueld rnol op so8E'
nes sJnapuo1ord sal suep luorQq)uEllê.l as reddeq:9.
q rssnQr
lLrêrele rnb xna3 lueropolELU srereLLr uo so?,,.
roJSUerl luasQ"rd q'sanbersrpered salSunl s..rnoL êp sêü'
sol rns sllnq sreled ]e so l^ sol o.r n]lsuol -rnod a8e,,,a
-sê uo slrnpQ-r 1uarn1 are;d rns sQlsêr êJlQ q sêrer s;
epnH leN op ounl eledr:ur.rd 1a aurqrnbun el 'e?ppp:.S
reN rns rilo^l sêp gluoleur e luarQlrodQp sllnH sê-l
or br ,oo
ap sJnoloLr slnos sal luorelQ,rro,rnod al lo luo3le,l 'sli:
e11ru azurnb e Â1r 'enbodg,l ? sreLU'ople,l q anbrlqndg;
el sJole luarQledde sll solroJ sap e-rqr1rnb9,l rasroAU-4,.
op o.rnsaLU uo snld luoLelQ,u r)oÂ! SOI la.relo^: ln.
anbsard 9r.rdoldde luarelQ,s sllnH sol 'olrA sQ{ ou-rêi,
oLU IOUOIeLU np êrluol sllnH sol lê^e Opuolr rnol êr,
suorq-rod solseA op srorluolo^ luerpBuerlrg riloA! sol '-:
-olourl)31 olqrel rnol.red sgl LUr rê \ol rnrl Jp .rJ-redL|;
l
rnod e;ndnrrs orpuroL.Lr ol sues sêuolLllolne sol lues r-
xa'osseLLl ua olrnsuê luolQ-i8rLU sllnH sel 'seLus,{pe1e
xnp olrns sreLr-r relo^!,p alnsurugd e1r1ed eun rns ra1
-sur,s luo..rur^ sllnL.l sollrLUel sanblanb salnos'lnqQp ny
'o?uE^ ta aluepuoqe alelol o.rolJ e1 q ergrB
1ua
-srsqns'olQUeLd aller ap sepçdrq soproueLUnq sauqBrp
'rJo^! sa-l .snêlq supQlo spuolo.ld ap 1e sasnanlsale
souBeluoLr-r op sou.Leqr sap êJlue luor€r.jlru os solelrdc
slQ-roJ sasuoLULUl,p r-ro anbersrpered el3unl aun,p sro
lressrBe s lr 'JeloÂf aQLULUoU sroJOllnV lueur8eLur sLr=-
sal anb oprtgl lrêsQp ar g1ç s.,tnolnol sed p.u ellnH iÊ'.
uJ-tfïl{ ïtil !I0 SHIo.LslH
'SllnH Sêl Jat\E Uoll)?SLiE.
rnal op uorsnlluol 3l ? ê"iless0JÇu leLUrurLU relQp nE lrnp".
as çqrle1rdsoq,l anb 1e s9;q1o1 aured ? luos slr,nb olr^ sê
lue,rto)rede,s s-rnolrsrA srnol op lednld el xnanoq s:
ed srnol êp « lJoJUol » ê lê Qll-rnlQS e1 srndap s1ag srr-.
luallrolrns s11ng selqeÂolrdur sel 'eruuerÂ1 op la ê L! {T
-ejur.p'êu eq ap aruÂuou,{s ê-rlgun?s elQueld alle: rn D
ffi§ffiwffi ffiffi€§
 /lI -
I-NI{J1 r
ü til ONS PLANETAIRES
R rJ,:
i *ï.'' ï
ïI"ft ,\ ifl :' ï i,:il HIff ? i,:'J;"?' :" : i liIEEtrtrm
son paysage marécageux pp r.l96qrte toxrqLle;en fatt, La principale rnôtropole cje Nal Hutla, Bilbousa, es[ très
le surnom de n Joyau Cloricux , ne decrit pas la planète, differenle des auLres capilales cie 1a galaxle. Nal Hutta
mais l'énorme nébuleuse radioaclive, visible de nuit, qui ne présenlc pas les memes paysages urbains tentacLl-
la recouvre et inonde le cie I de nuages opale scents. ToLlt laires que la plupart des mondes. Des compiexes géanls,
comme le urs palais, jardins et bains de boue, les vil es semlrlables à des ruches, émergenl, dr-r sol pour hébe r
de Nal Hutta impressionnent toujours les visiteurs assez ger les divcrses enlreprises et habitalions, mais lerrt
hltdis puur s v J\('r'ure'. aspect presque organique n'est qu'une nouvelle illusion
des Hut[s.
Toutelols, la majorité r.1e ses llabitatrls tron hul[s ne
profilent guère de cette opulenct'. Les malheLl[eux ser-
vileurs e1" esclaves de mallr es rrttcls qui tt jment au cceLlr
de ce[te splendeur longique n'apprécient pas forcement
ce luxe ostenlatoire, qui ternoigne seulement de l'avar ice
des Hutts.

lr
.., I

I

ffi'-rri-+i ':=a$ êQo, ôrr.a8e ù : rueuJedrnbf
i' êUnlne:S?1t)edef
fl:tirr:.::1.;11.;,,1,1.,,;,,....:t.t':i.'
...l
rrr.:.:i:t:l .rt,:i(Aiqll
'rr Jnod luauUOtd êl rnb otJêduo.tl no uOrl
-DlooJ 'êLUJ?L1J 0p slsol s0p Çtlnrultp 0p Qp I ê_roll?LUel
1 arerrdsra6'(e1qr: tnod luauuerd e1 tnb uotlt:rao3 ap
slsot sap AllnrUllp 0p sÇp êp luelne rêrotlOue rnod no
'ênllo11ê lr.nb uorloraol op stsal sap ?llntUltp ap sQp
0p lLrelne reper3ap rnod ssalls ap slu od 6 ç,nbsnl .,l q
-ns qncdl a luepruLlul '(cr-reduro-r1 êp la Lrotln-têol êp
stsat sêl sncl e I erlaj) 1 0ln0p np orL]ÇuQB : slualEl
6 erue rBrl
'g auadruo,4 'g C ouQtsIS '7 pro.t1-8ue5 '6 uorlde:.la6
'6 uor1eoo395'g lôr8ad) êluessleuuol'Z tuauêpupLU
[ro] '9 u0 ]n-rool 'Z êLu-teUJ 'a alllel : saruelgdruo3
o'
t"[l
'@ \@EE!ÿ/
l-ÿtr r@l' -2
ffiffiffiffiffiffi
'sduaq un -lnod a1q-r e: ranol
1uaualeBg lnad aleoos uolsuolsE eutald ua llnH ut-t stELu
'alsod a: q slenbooM sôp :]a sIê1,r,\t1 sop 'suêtpoE sop
'su eurnq sap luaurLUOnbgtl a,r,noL1 uO soJnoutLU sa"tLel
lE sop siol LLrou uos ue le1-ted ar-uqu lned lê'sno^-zop
uê-r sês 'êllleLU uos ap ôuruueld a astueSlo anbrlseLlop
e3 glgrLdo.ld el ap utês ne r-terptlonb np la olLlEpuêlul,l
ap gBLeqt'« uosteul op ê-tltpru » olêdde luauraleSg'ar-uop
roleru un luaroldue sllnL.l suell op s1aLp sap 1-rednld
txwe**3 .t;g* *q H #ç#ffi tr#rkntr€
(9 lueroJrêd I lleluol ne aglrod : g ênbrl
-r-n : g slg8?p : 1e1r8n6l aorOlE ê_tnsrout : luetuedlnbS
'- O.
aun,p lrEE,s lr :p.rezêltLrêLll np rnol np ull el ?,nbsnl
a arerpu0lul llrqUlle, 0Ç_tQlE êrnsroLr al q rarQluol
.tnod rn:sqo Olgr np utlsoC op lr-trod un zasuadgp'a11tq
norq anb tuet uol opne a^tleS 'g tuaqeJ : sg11rede3
unlile: sluolel
6 e:ue1rBr,1 'Z oluelslsQè '9 1e1rBn3 : sacualgdruo3
-o [o ' -o:z
-'
,'* l-.
.@@,'\@,
"@
ffiffiffiffi,mm 's0lnle?.]] sa]1. ,:
sosnêJqurou ep.,tnod sollêl-loLLl suotltpuol sop su:
orÀrÂr'rS ap leurad -rna1 tnb e:'alQueld e1 ep sçn;1od s :
eu sop sluêLur-rlnu sêl olrellxê -uo,rnod q nbsnl çn ç .
luo sprezglr[raq: sel 'sdLlal np ]l nV êureLUop uos sLt:
luenbsu as rnb xner-utue no so-llQ so snol ap lti.n:
as lr r-'ro'soBelÇJeLr sap s.tnopuolord sel sul?p Lnot -
l A lê Buol êp so-rlQLU l8ur,r la xlp atluo êrnsolr uêI.
0llnpe un elueuuorssardut alltel oun orputalle,p sê cl:
-El ellnH leN op slLleu selrlder sêp luos sprez9ltur;,
sa1 'rled-io suo8erp op Lrou a snos snuuol luêLuê':i-l
txwnrxï Hirffi trw #æEJssrrffi HH3
'sêsnênr^ snld 1e sopr-ter8 snld 'sa1-to1 sn d sanuo,:
lLros lê Qnl0^Q luo sêrlne,p sieLU 'uorllurlxê I € s0uQE't -
sa-mleQJl ap orqurou uoq !uoLU e alqueld el ap edoic
a1 grnBggp lLro s-iêru.iop sol luop uo5e1 e1 sllnH s;,
s-ioLlêp uo sa:qdsa solqerqLUouur,p luêluqp ellnH:..
op solueuËels sa-rQrq"rnol sêl la xnosselt seBetgLeu s-
srclo r3 srun.ttBul
qgo-ld ap uorlsanb eldurs a.
qse,: 'anbr3o1oOp,p Llêu luo.u suo llesuerl sol 'npLiat -
uarg a;rdur3,1 ap zou al snos uo laqQà p q oJqLUou L,,:
-.r01 urT npua^ luo ua sllnH sal atuê_t..tnluol el -tass:
rnod luasrnpo,rdar e1 tnb 'srnatuç8ut sap sQ.r?JOrd sa.
-ou sap eilred 1re1 q6 Z satQl êp lnesselll ol srnê l
uoildarrol e1 gido: luo slt luop e-ln8La,rua o.rputolii -:
s0-uEllols s.rn0sseLll op o_rqL!ou uoq luêstnpo.r d el,e, _
: s.r0rlueql s0l ']lnLl êlloll el oln_tlsuol ep sn d Lr:
'aQueluods uors-iaLUa l
op souQLUou?Ud sap q lo suotlepuout sop q ol ns oLq:::
-r1nur srolred olQ^e,s TO alqelsu ornouêp êuoz ollot:
uotlrod epue;3 eun 'slueLueSeugL.Lte sat qrSleut 'sLt '
ue0N r0 le,p jê uolQqarnp ap nq prno[ne JJê^n0]l
'xnêôelQlELU sroJOllnp ute-tlal êp s?lel sa..tlQutollN lF-
adnrro nb'esnoqltg op pns np olelnleluêl êxolctt-
0) suep Qlquassp lsa DllnqJa0 êsseil op o.l-tan3 ap:
-EU 0re..r sqrl e1 uotEçr e op :pnq aletleds allolJ pl at,-
anbso-rd auuorsr,ro.tdde ellrH leN ap asuderlue ri--_
T'THUNS §1V'TVN
e-1
suruhtTrltS 531
'luoLrossrlra^e,p asrnE uê ê,1
luè.1 luèu to lè\?.rF s,
.
uorq lsa rnb a: 's11np sol lLtop lêl spueqrieLu sal ra
ap Êluol 1uo nb xnal êp sd-rot se1 la 'arQ^Ês onb a., -
-.i o rr l' ,Q qdxa rssne 1sa { atrlsnl luEsrp- os el ellnH laN rns r'.
1uo [eldLuexe red 'rar-1:tuap € soltrUJrp sn d sa1 slto]e.r -
sa..rlne lê senbrruroql srnal?uolQp sêll salqelLrêr sn d :.
saLUre.p l0 salorllt luoLUalneq setrd;,p'so^ellso,p slL.
s0l sQql-iEru surel-tal sq.ld snld dno:neaq op -rolltê,,,. l
qua.lq19-rd sllnH soL 'eeppeLlS.reN -tns êlno-i?p es uorÊ;.. .
êp olroLr.rurol np 1a saEueq:Q sep Ql roleLu el ts êLUQI\.
 -r Ë# fi
*4#"ËT' r:s# c æ Êi:
rd H Liî'Ë" -§* âJ ilT"§ §HihÉêC-]
Ouand un bébé hult vrent au monde, son gênileur l.' La majorté des HLltls rencontrés dans la galaxie sonl des
garde ei le nourrrit dans une poche interne Les rejetons aduLles, entre 9l el 844 ans Ceux vivan[ sur Nal Hutta
peuvenl y rester une cinquanlaine d'années slandard peuven[ arborer une grande diversité de couleur Un Hutt
avant d'en emerger. Cette pêriode, constdérée par cer « lraditionnel » esl plulôl verl olive, mais de nombreur
talns comme une durêe de vie entlère, ne représenle aulres exhibenl toute une variété de nuances, allanl du
qu'une brouliiLe pour une espèce dont la Longêvité vioLel foncé à l'orange rougeoyanl, votre au bleu sombre.
s'élend sur un milLrer d'années. Une fots sorlis, les pel,lts ll est égalemenl cornmun pour les Hults d'avoir une
Hutls poursuivent leur u adolescence » pendant c n peau tachetée ou à motifs, souvent de telnles conlras
quanle ans lées. Un Hutl au cutr pourpre peLi: par exemple afficher
un dessrn complexe mouchelé de blanc ou de grts sur le

ffiffiffiffiffi,ffi
@
,. 3 . , 15, [l[0, @üüÈ@. G@
dos C-orlarns Hutls se font même latouer aur emblèmes
de leur cLan pour modilter davantage leur apparence.

Compétences (en groupe uniquement) :PugtLal,

ffiffi.m'mffi.ffi
/@, /a@EE@\ ,'@
Résisla n ce
Talents : Dur au mal 1 {réduil le résuLtat d'une blessure -5 , ---!7-t
,,!-l-!-,
cnlique conlre le Hr,rlt de 10, jusqu'à un minimum de l) Compétences : Athlétrsme l, Calme 1, Charme l, Coer
Capacités : Maladroil {la taille du corps d'un petil Hult cition 2, Connaissance [Bordure exlérieure) 1, Connais
ajoule ! à tous les tests de Pugilat, Corps à corps et sance [Pègre) 2, Corps à corps 1, Distance [armes lé-
Coordinalion qu'il eflectuel, Nausêabond ltanl qu'ils gèresl I. Rêsis ance 5. Sarg )'o'a ). T'o-nperie .,
reslenl à porlêe courte d'un petit Hutl, les personnages Talents : Dur au mal 2 [réduit le rêsultat d'une blessure
'ot r ,. s ed rsenl le ,' se.,'l oe s 'es) de 2, cntiqr-recûntre le Hullde 20, iusqu à un mrn mum de l),
Équipement : en ge) era . a-rcL,n Perspicaee 1 (améliore 1 dé de dilficulté des lesls de
Charme, Coercitron ou Tromperie qut le prennent pour
ciblel, Persuasron I {retire I lors des lests de Tromperie
el de Magourlles)
Capacités : l\'laladrolt (la lallle du corps d'r-tn Huli ajoule
I I à tous les tesls de Pugilat, Corps à corps et Coor
dination qu'il effectue), Pesanl- i.un
Hutt ne peul pas util ser plus
d'une manceurrre par round
pour se déplacerl
Équipement : générale-
rnenl aucun ; st un HUtt a
op.o a de quelq ,e ho .-
un larbin le porte ou Le fail
à sa place. En revanche,
,1 -1,. poL o e
diverses armes donl La
vibrohache (Corps à corps;
dégâls 7 ; crrtlque 2 ; portée au
conlacl ; Briseirr, Perforant 2, San
guinaire 3) ou des pislolets blasler
de gros calibre [Drstance Iarmes é
gèrèsl ; dégâls 8 ; crillque 3 ; Portêe
moyenne ; réglage étourdjssant, Hutls
unlquernenll
 vIJJtH TirI 30 SilOùVE Sg't
ItnH tlvdsl,'1
2 ar.raduro.
g proLl-3ue5 'q oluetstsQE '9 uotqe toBç5 'l [so ::-
? sêuuel êruetsrC 'l sd-rol q sd-ro3 '6 (eLBq6l a:ua.
[luaLranbrun s]ln H'lLtes s euu0J 'f[0]n0uOlx: 0rnproB) oluassreuLroJ 't uor
-srp-inolQ oBelFgr : oLrualo-u êÊlrod I 9 anbrqr-n : g s1g3gp .r0ol'a oLUreq3'f êlrr pf 'l olr-rsrl?lqlV: sacualgdruo3
I Is0-r089 saure] aruelsL6l orqrlet so-tF ap rolselcl lc ol
srd a1 no (9 alreurnBue5 a lue-roJrod'-tnast-tB :lleluol np
ê!t]od : a anbl-D : g s1q3çp : sdro: q sdro3i aq:eqo-rqt,r r'--Z-l
f-oZ-) \<E@i
st-} \@@@>/
fITnt f*!E@Pl
el luop siJLU-re sêsrêÀrp rarueru lnod llnH un 'êLllue,'ro,i ul \@_
'are1d es q llEl êl no elrod cl u qrel un asolll anb enb ep
urosaq E llnH un s : unln? luaualergugF: lueuadrnb3
lrarE dop cs rnod punor Led êrÀneoueu aun,p snld tasi ffim,mffi,mffi
qn sed lnac êu 1nH unl tuesêd '(onlroJJa 1r nb 1elrBn;1a
'surl slra ç .,l ua,,ued rnod uêr-r lLr:,
sdlor r3
sci-ro3 'uorleurp-rooJ op slsol so snol ? I I I -op luolnlor au rnb'sasrouJnos lo selueS llalut sarnl?Ç
atnole InH un,p a:ualnd-ror ell lrorpe e11 : sglrredeS
sêp luos e3 sepuolold lo sêrqLros sêluenu sap lLi€..r0c..:
(sa11rnoFe1,1 ep 1c e -radr-uo-rl êp stsol
need rnal êp ma not El 's?luoJ snld luaualeFQ luêuu;
so sf ot op s-rol I I q nfrsnl erla-tl 6 uotsensra6 '[a q -t
rnb or,rcciuro-[ r-to uot]n-têol'au-ueql op
-ap sllnH sêlqel9uQA sal eprBu la assredQ elede-r:.
.lnod luauua-rd e
stsot sap Ot nrll,llp cp s?p a a-rot1çuel 6 e:eldsro;'(g ep êun u0 ê_rnlesso uos _rns DQ_rl?-r l0 DJnp ls0,s lrnl uos s
LUnu.rurru un q.nbsnl 'llnH êl o-rluol sQn]lo11a enbLlt_r: Er8 êp snld ep olqe-r9Lr?^ e8e I lurelle qing un,nbs-,:
o-rnssêlq ap slal xne 661erlsnosJ a lEu-r nE -tnC : sluelel flxxsg ruru ruT -ilÂ*H sr ffiT:r*§F$§ffc
 NAR SHADDAA
Données d'astrogation : sysième Y'Toub,
Espace Hutt, région de la Bordure Mêdiane
Mesures orbitales : 4I 5 iours par ao I
87 heures par iour
Gouvernement : Conseil
5upreme Hutt
Suprême H.utt

80 o/0, humains2a o/oj

. Langues : langue hutt, basic ,. ii..,

Terrain : urbain
Villes importantes : Néo Vertica, i

. Vieux Secteur Duros, Secieur

Corellien, Secteur rouge
Sites intéressants : le Ba leur
Batteur
Bo.r ',.. le Café
Bourré, [usror. Néo
Cale Fusion, Neo
Verlica, la Caniina Kuzbar, le Dark
Melocly, la Tête au Carré, le Ko
l-lanf^ta
Hentota, le alnfin.
la Àa I'Amas,
Cantina de l'Âmoc la
Ie
Ladv O'ange
Exportations. i confré bande,
technologie, armes, épice, esclaves :' '

lmportations : conirebande. denrées ali-

mentaires, médecine, technologie, esclaves ,,i,

Routes marchandes : Pabol Huita, Shag Pabol,

Ootmian Pabol
Conditions particulières : Anarchie ; zone non sécurisêe.
Contexte : si Coruscant avait un iumeau obscur, ce serait
ce satellite nommé Nar Shaddaa. La Lune des Contre-
bandiers.est une énorme cité noyêe sous le brouillard, et
' le cæur commercial de l'Espace Hutt. Ses.jungles luxu-
. riantes et se§ océans scintillants ont depuis longtemps
été dévorês par l'appétit insatiable de I'ambjtion hutt,.

3ï: : i" li;,: 1T #ffi ,,i1J:: î3 i,: ; î i: ï: fi"J:::

disent les conLrebandiers:« On peul Lout llouver sur
Nar Shaddaa,
" .même si certaines choses feraienl mieux
de rester perdues. »

'Cette lune constitue une importante étape de ravitail-
lêment en carburant pour les convois à destination de la
Bordure Ex[érieure. ce qui garanLiL aux kajidics de consi-
dérables profits légaux (auxquels s'ajoutent ceux issus des
' trafics parallèles). La relation privilégiée qu'entretiennent
' . les Hutts avec les Dugs de Malastaré leur permet de dis-
posçr en permanenae de bonnes réserves de carburanl.
Même si.la présence accrue des lmpêriaux dans cer-'
. taines zones.de l'Espace Hutt agace beaucoup de gens,
Nar Shaddaa jouit d'une certaine liberté, depuis.que les
. rêcents événements ont révélé l'ampleui de lâ corruption
lmpÇriale. UEmpire a pris des mesures drastiques pour
dissimuler la « bataille de Nar Shaddaa », mais la rumeur
s:est répandue dans les milieux de la pègre, et les gens.
soupÇonnent l'Empire de ne pas être aussi lnvincible qu'il
le paraît.
!l I 1lr.r.r ,1., r t: l, t( ll,gr dÊ,, pot.r qL, oillr,e
ll , rr, r, l c J lr. ,er ,ir R,.n,rit. f,d it\ ril l,,ltt.'
"rl,
rurre myri;rde d'exclLrs arrivent. chaque jour dans
Le dedJle urLr;tilt en qLtêle d'anonVmat, avec poLlr
sr-:ul bLrt de se loirdri: dans la loule qui grouille qr-ro-
tidiennerncrrl au c(Eur de la ci1ô l.ln llux consl.lnt
cle , 1p.11111cs rlr'un t,Lrbiie aLrssitôt. erre Llans ces
rt,ir\ .t .lJt CJêOe,( \1,, t(,c/'I trOl'p i- asqrttBt Jl-,
nitlpn Ui,i,'t,t.o-l ê t, \.1l.i\.\ .t'(1' rl1i-s r(\ 1t.1
verses jonr.hécs rj ir-nmondices. La pluparl d'onlr c
olles sorrL rechcrchôcs cl onl adople l'ldenLite
,J l.ta.,r,r( I l.Ê t't ,lttr'p,rr., ,r l^ 1rr1 1, . l- ,.r1,
lure oLr à la mor1.. Celle prt-rsorne (lue vu rs venez
d'enlanrk)er, dans un canivc;:u,oteil pL)ut.êlre au
rtIO: ll \ rir ,,eI,\ Plr'l j('. \,,ila r.l (1,\,rr.t
Jedi, à preserll caché irarr-ni les proscrits poLrr évr
l(r'tA tlrdP1,1.11'ç

L,ESPACE HUTT
 o,il
'illo^f sl0lu
rêp sJl s.rss\oe sê (,r40 tê sluPSSrnd sèl lJ sdqJrr sJl
'loulLUos nE : salerls ua opuolu ol lu0tQredQS :lo lJr)
J \.dA lUJ.êSSêrp,rs ltPrl ,.r0 sJ.rlcLUOil) srnêrsnld êp
(lLlOLLlllC,lSJC lJlllle P lLAllL! Js çllpêrJ 5Jl .J Jlle
-i]l?:lual êlQUeld ollr^ aun,p ê3esr^ al eldope ouIl pl
'o9rloJ la olurerluo) OJAnæ,p r.il€rlr uê rDo^: sêl neê^
roLt Jr) lrJiaLt()lsupil tr pepppqs tpN Jp d tletot el
lUJl.i,eOel )u.: S lrH çJ slJe^i'lS Sdl )O S SJI lUplnC
'gnol lre tcs
.rno] al ]a'sl?rluol op lo ossejaded ap nad un:ètQn8
luorer)nos u0,s au sllnH sal srpLr-r 'rDoA3 sop lê^ol neo^
noJ .rl Cr bOtla e IPld dlrllales ê) ilôrsu?d\J JLid d
uo lellraujLUol ardulo.tnal ? olueurnol onbeld ap ilA
rd\ rnuo J s o.r) in jPBp0Pqs .PN (\rê /dLlJ r,)rhre,l,,ll
r,côLP l.J.p e lQuoJ pLp r3 dc).r ur ilo \ scd .udre.noA
êu sllnH sal onb lo) )gurl lal un raqrosqe.p ernsoul
ua sed lrBlQ,u e:llnH leN oL|Lr-rol lrl?rJnl sJ ile]je,p
0Jluêl un,p Qlrllllr,l ê1rA sQ.]l nuLr())a I luo sllnH sêl
'lue^r^ rlrossar uê,p sêlueLll ilp e uo sutoLU 'alQUeld el
op srnapuolord sal suep aluoluè.s uo snld ilrq,prnolnv
'oJUeJnol arSuuorlr luauuor^ap atltnou] ol la uotldnJlol
el 'alualor^ el ênb êl B,nbsnlso,llorlÈ luos as srol sal
frtnbtNl,o Sutvd3u Nn
'sêLllnol
sdqJIul dr uJ sdlL]uJL]1u!r!
ênb solqeroldoi
rssnP suorl)esuerl ap salros sêlnoJ e,nb rsure 'souJre,p ra
sattdQ,p êpueqêJluol el e'è3e^Pllso,l e s)t)esLrol ltsue:-
êp êlod Lln onua^ap lso ounl ollêr lo eeppeLJS -reN QllI r-
luo \Jle3ê \êÇt ,dJ.t tud sdl .ddulou Ln.p lruo ne . 35'rd .
§ù]d uo \oo JIIJJ r prèd e ùllè c^oLr.rJdrS JUil,p ilo :
old\u. P,:).r's loqcd rurLUloo.i cl1 lLcLU,upiloll.r.t §JIol
'surourueÇN êrxeleS E1 ap lellraLLrurol tre^ou op ê-r:ir-l ê
inod luersn"rol lo^e lres lPAr r eeppeqs .rBN 'sro].l.rlnv
'sllnH s0p olLlessrnd el ? êSt2llltrlo
luelluq'alue^oqLUell osrlE(l êun lsa PPppPqs reN'eInl-
leN ap IêD êl lueuru-lnlll slrodorleds êp la a8ueLllo.r.
sor.lllol solPld ap 'apnlrlle uè luèuralllPlr^er ap s;uoz a:,
'sonbsalueBrB srnol êp'slgdoJluè,p solerls êp l rAnol a!
arQrluo êlQueld el 'sdLuêl op norl ul epppsqs rBN êr
uorsuedxê aurold ua s?lD sêl ailn rlsuor .rnod QL.trlleur uo l
êJ^nal,p urBLU êp êLLTQLLT luè r A.re s lDoAf sol suârq s]lrs
snol "ronbsUUo) rnod illo^f sal laAE sQUArs s]erluol s;
luarQlndrueu sllnH sol 'snld Jp sroJ oull êrxeieS PI 3r
alsor ol ]ê e}:lnH leN o]luo n.rllE JSO,s oloSqu al ênbsj:-
lrolpuê,1 QXOuusQ"r olrA s,l.rt tuo sllnH sJl 'ilro^,r solrxa.:,
suorlslndod xnE ?poluol aurB!o.l e luare.l slr,nb LrarE
e:]:lnH leN ap selrllêlBS burr sap puprS qnlcl êl lsJ luê^r1C;:
snld ol olleclde,l uo aLULUoJ's.rêrpueqorluol sop ounl L-
ffi
TO TUIOISIH
'uozuorl,l a^ro5rade,l uo,nb rnod zêsse
? lD.rrello,s prel
-lrnorq al pusnll suroLLr np 'ounl es op loD ol suep EllnH leN
onb oll^ rssne auJnol  erueq: El lê 'xnalgsrLr.r sa^ellsa.p
sêurEZrp sep a^norl  uo auran ua rorpueqalluol anbeql
g'
:i"'., Êi'J ;l:§ ?,'llTT J,l :i,' !i, ;'iffi 3 i I J u
"'
 fTÉdà§'e § ffi Ê&#
L"&§§ #â ffi ru &$ ffi R: * F',§
Duranl des mrLlénaires, Nar Shaddaa a concurrencé Cor us
cant comrne pôle du nôgoce et de I'innovaljon La Répu-
bLrque accordait beaucoup d'rmportance à celte iune pour
son rôle dans le mainlren de a circulation des marchan
dlses vers les lrontières les plurs élorgnées de la gaLaxte, bten
lo n du Noyau. El comme l'Espace Hutt n'élait pas membre
de la République, les bénélrces généres sur Nar Shaddaa
reprêsentaient un bonus appréciab e pour tout Le monde
En 4 000 av. BY une élorle proche de l'Ootmtan Pabol
se lransforma en supernova dans le syslème Kyyr. Ce
drame anêantil la vore dans cetle zone el rendil les
voyages en provenance ou à deslinatton de ce satelLtte
beaucoup plus périlleux. La Lune perdit toul attrarl com
mercia pour la RépLrblique et ses représenlanls la déser
lèrent aussilôt.
ll ne fallul que peu de temps à Nar Shaddaa pour deve
nir la Lune des Contrebandrers et acquér r son slatLtl
nouveau carrefour : ceLüi des activités illégales el vêreuses,
du marché norr et du rneurlre Ce changement n'a pas per
turbé les Hiills, bren au conlralre, car il leur a permts de
* farre fortune sur le dos des désespérés et des cupides
* Au cours des annêes survantes, Nar Shaddaa a été au
cceur de nombreux événements rmportanl-s Lors des
guerres Mandalonennes et de la grande Cuerre Civlle des
Jedi, elle a accueilli des mLlliers de réfLrglés en provenance
des mondes délruils par les conflits. Un peu plus lard,
l'Empire Siih y a établi une académie pour lormer des as-
sassins. La République el ses ennemis n'ont cessé de nra
liser de laveurs envers les kaj dics hulls dans l'espoir d'ac
crollre leur rnfluence chez eux el d'y élendre leurs enclaves.
\4algré son isolement relalil', on ne peut nter l'inf luence de
Nar Shadda sur une grande partie de l'Hislotre
$..i& §-*§ruffi ffiffis *#ruYffiffiffi&â*ffi§ffi$&s
&â#,ê##ffim'É,*Èi$
La rumeur prétend que lorsque les habilanls de Nar
Shaddaa apprrrent ia chule de a Répuclique et l'avène-
ment de l'Empire, ils firent la lête penoant un mois. Pas
par enthousrasme politique, mais parce que le nouveau
gouvernement allait se focaltser sur lui-même, et pas
sur l'exlérieur, laissant a nsi encore plus de marge de
manceuvre aux conlrebandiers.
L'ESPACE HUTT
LEJ5 BAROI{S DE TAL lf,.lTTA
*&!& iË'f LEmpire ne s'en est pris qu'une seule lois à Nar
Ë# EF {-3 {æ *"J §: Shaddaa, enl'an 4 av. B! quand un corps expêditionnaire
lut envoyé effectuer une démonstration de lorce dans le
secteur Baxel en rasant la lune. De plus en plus préoccupé
par l'activitê rebelle à travers 1a galaxie, l'Empereur
avait ordonné des mesures de répression contre les
dissidents. Le lVofl Sarn Shild reÇut pour mrssion de
soumetlre l'Espace Hutt, el il savait que Nar Shaddaa
était Ia plaque tournante des activités illégales. Très
inquiets des consêquences économiques potentielles de
cetle altaque, les dirigeants hutts se rêunirent sur Nal
Hulta pour envisager les options qui s'offraient à eux.
Au final, une flotte hétéroclile de conlrebandiers el de
pirates lul assemblée pour conlrer l'assaul impérial.
Sulte à l'absence de vaisseaux lourds tels que des
destroyers stellaires de classe lmpenale, les troupes
ennemies furenl vaincues et depuis, l'Empire laisse Ies
Hutts tranquilies Léchec de la balaille de Nar Shaddaa
a reprêsenté un embarras majeur pour I'Empire et rêvélé
d.^ l'ampleur de la corruption qui sévit dans ses rangs
POPULATION ET CUETURE
Au final, Nar Shaddaa est un spatioporl qui ne dort ja
mais, brassant en permanence un flux constant de pro
duits, de voyageurs et de bénêfices dans un cycle inlrni
de commerce illégal et douteux. C'est un creuset où les
nombreuses races de la galaxie peuvent se mêler. laire
alla te et ,e p'o-f les ]'es oes aulres. les HLrlls pre,e-
\ar c'aq lê 'O S a pa"i OUi .eU' 'e\ ient u de dtoi ,,.
a plL,par des l.ad-id'cs o. r oes oJ'eau , oans LoJS es
ports et les marchés de Nar Shaddaa, mais le Conseil
Suprême n'y exerce pas cle réel pouvoir:les kajidics
gèrent eux mêmes Ieurs territoires respectifs, même s ll
existe plusieurs zones d'ombre où leurs ramilrcations
ne s'étendent pas. De surcroît, les syndicats du crlme
hutts ont cédé le cæur de la ville aux contrebandiers, qui
considèrent cette planète comme leur foyer d'adoption
Nar Shaddaa a autant de visages qu'une lune a de
phases, des cultures et des philosophies uniques. Pour
chaque individu, la lune incarne une réalité différente:
un sanctuaire pour les pirates, un reluge isole pour les
proscrits, et une gigantesque prison pour les plus nom-
breux. En l-oute logique, chaque secteur de la ville im
rnense abrite une société distincte, mais en rêalitê, un
quartier peut accueillir des dizaines de cultures dilfê-
rentes au fil du temps.
Sur Nar Shaddaa, la structure sociale n'est pas difficile
à décrypter : les citês sonI veriicales et chacune d'elles
est construite sur la précédente, avec une technologie
plus elficace. Les plus hautes tours hôbergent les com-
plexes d'habitations et Ies casinos huppés, tandis que les
niveaux inférieurs abritenl la lie de la société. Au som,
met des êtages intermêdiaires, le Secteur Corellien est
le sombre jumeau de Coronet City, sur Corellia ; dans ce
vrvier de contrebande et de crimes, le penchant corellien
pour ies paris les plus téméralres suscite frêquemrnent de
violenles altercalions. Juste au-dessous, le Vieux Ouar-
tier Duros accueille des proscrits qui hantent les bouges
mal famés, à l'alfût des maigres restes que laissent des
visiteurs plus fortunés. La Basse fosse conslilue la plus
misérable de ces zones, peup êe cle créatures difformes
qui grouillent dans les ténèbres sans.lamais avoir connu
la caresse du soleil dilfus ou le soullle vivifiant de la brise.
 I
rytr
ft
t*i
'#
-É5 8
",,
'sdt )ètode luèLUù.orl op çsoduror la qluenbQrl uorq llr.rlsrp un ISO « uorllaj
nrrlred luos elcol, reN ,ns \lo)upl Jp siuJLl-.ldlrrorj -oJ..inollas » al '[aJpuoJUo] êl ap ]oll^Q lne] 1r ollanLre
^ Pl Jlnol sla^erl e luelno.t?p ês drJOts.p
le sJl aixeleS lanel uJou aLUQLU np olelleds uor39r e1 sqrde.p Qsrldeg
slsqLUol ap anbrqdeJSoloq uolllolo.rd e1 suep 9srleD
-Qds lso 'slupl8uBs-slrnd sêl 'lelol a8noq un ouloolpl Nrnlruof tnr-utas 11
op la arelsElBl^ op salnpoLu ap sêsrnol srl .tns stJed
sal auruol 'sonbrloxa snld uotq sluau]osstJre^tp satlne lannorJ c1 red srnolnol luêssruU slnaôeÂon s;;
la qrlsludu.rol al r8d luBSSed ua odsutq n8 )leq?s np 'eeppeqs rsN Jns:luoq)roL{l s1r,nb ronS .ra:lselq un,p QIO:
'salqelua.r la saJlelndod snld sêl xnat sal luasodord sll sle^neu np a^norloJ cs quessecl un,nbstol :]nalrl?,s au lnL
tnoI onbeLl] luaurJdl la 'luar^no sutlsJpuel) no xneSdl anb lueqres 'salduor xnarA èp rel3gr  luasuarl aroru:
slodljl Sêp: arlJeul ua au8Q] nol êl latl.tenb ar sue6 sun-sanblenp uorlrplad cp xnerl sa.l1rlord JnJl e.ralro -.
'solDrIIr suosreSjel sJnol rolnLU rssrp rnod sralpueqarluol -xa,p rrodsa,J suep 'eprder tJ cioel luo3le,p ;lenb ua
sol luêsrlrln,nb sallrar rns eLr sQI slodêJ tJè sanblanb luêpuor sêrlnE.C gluolel e tne; uo.nb cr .rol xn;
]a sanbrlqnd sapuelllJeu saLrol sasnaJquJolr ap luaLxal sa"ldo;d srnal
^.s ap ;ron;nod lueuuor^ surelroJ arxeleB c
eAQ êUodLUol lrorpuê lo)sourse) êp lJ sluernelsêJ ap êlnol êp srna8eÂon sêl luorlle sJorpueqo.rluol sop ll
'saoqluerq lrnu êp sal]oq ap êpnlrllnur es êrlno sJno'l êun-l el êp sêJualnqrnl sal sdual sap trnu e1 srnda ll
IU rVII NTnd N O rIVUrtU Ol N r
 Même si ce secleur esl essenlrellemenl contrô1é par
les Hults el les humains descendanls de Corel iens,
une mSrriade de races y cohabttenl lour et nuil Les lo-
gemenls y sonl lrès accessibles et nombre de vistleurs
prohlent de ses élablissemenls bon marché. Le ntr eau
88 est une desttnation très prisee pour travatller cornme
pour se détendre. Les machinenes qui s'5r lrouvenl né
cessilenl la présence de qr_ranttté d'ouvriers capables de
réparer des vaisseaur en lous genres.
Comme presque parlout surr Nar Shaddaa, le cnme est
si présenl que lleaucoup de gens le considèrenl comme
parlie rntégranle du quolidten Ce quartter est particLl
rèremenl populaire auprès des chasseurs c1e primes,
car beaucoup de ses élablissements es accueil ent
sans sourciller et afltchenl les contrats du momenl Le
Contrôle du port Core lien, chargé de la securité dans
ce secteur, a lendance à fermer les yeur sLrr les délils
mineurs el peul même encourager ies exécutions man-
dalées si cela favorise les affaires
; -. ,, "..". I r-r;:.--i-."
.,# Ce débit de boissons populaire et dêlabré est réputé
pour un cocktail nommé le Coup de Soletls de Tatooine,
* un breuvage amer el strupeux dont la pLupart des au
tochtones raflolent. I accueille essenliellement une
clienlèLe de chasseurs de primes qui l'r-rltllsenl souvent
comme lieu de réunion. Une demi douzaine de lueurs
ganks y tralnenl en permanence pour organiser ler_tr
chaine traque
Les personnes recherchêes ont de toute évidence in
lérêt à éviler cel établissement si el es ne veulenl pas
voir fondre sur elles plusteurs dtzatnes de prolessionnels
patentés En revanche, qutconque désire engager des
lueurs à gages oLl de simples gros bras a des chances d'y
lrouver son bonheur.
Ura ak, un humanolde bourru el taciturne, clinge le bar
el assure le mainlten de L'ordre à l'intérreur... ou du motns
falt tout son possible pour ltmtter le nombre de meurtres.
Uralak a hérité ce troquet d'un vieux chasseur de têles unt-
quemenl connu sous le nom du Borgne Ce dernier a lenu
F
ll
ontrairement à d'autres sltes du SecteurCorellien.
le Puits de scories n'esl pas très accueillant pour
les êlrangers. Les nouveaux arrivanls doivent faire
profil bas dans les parages, sous peine de faire partie
:des:innombrables victirnes qu'on retrouve dans ses
ruelles voisines. Si les PJ ont une Obligation envers
les Hutts, I'endroit esL d'autant plus dangereux. Le
MJ doit veiiler à s'en souvenir quand ses joueurs
déclenchent leurs Obl)gations. Ouant aux PJ qui
enlretiennent des liens avec le Soleil Noir ou ont des
ObligaIions envers ceLLe organisation. ils peuvenL
se servir du Puits comme ba'se d'opérations sur
Nar Shaddaa.
le café Fusion pendant près de qualre vingls ans avant de
passer 1a marn, de récupêrer ses arnnes el de reprendre Ie
chemin de la Bordure pour une ultime mission. Uralak pré
tend que son prédécesseur traque lourjours cette proie qui
lur écha ppe depu is des décen n ies. Oue ce déla il soit r rar ou
non, Uralak raconte celle légende à quiconque luilatsse un
bon pourboire.
:."ffi pffi{T-§ ffitr sfl#ffirffi#
Lautre repaire lavori des chasseurs de primes est le Puits
pro
de scories, un lroquet turrbuLent stlué dans I'un des plus
bas niveaur du Secteur Corellien Le Puits. comme on le
surnon0rne, est le théâtre d'aL-r moins un rneurtre par jour
el aucun membre de 1a Palroutlle porluaire Corellienne
n'a mis es pteds à l'intérieur pour raison ofllcie le rlepuis
des années.
Odrell Vorbaal, un Pau'an, en esl proprrétaire depuis
une éternilé, même s'il prêlère travarLler dans L'ombre
et se reposer sur Salix, son lenancier bolhan, pour
s'en occuper au quolidien. Cetle organisation permet à
Odrel de se consacrer à sa véritable entreprise : e tra
fic d'êpice. Ce Pau'an esl l'Lin des pnncrpaux rerrendeurs
de glitterslirn de Nar Shaddaa, et son bar sert de cou
verture à ses opérations. Le Putts est très apprécié des
chasseurs de primes, car les u clients » encleltés d'Odrell
représentenl pour eux une rente régulière.
OdrelL a fail beaucoup d'elforts pour ne pas aftrrer L'at
tenlion des Hutls sur son pelil manège, car ces derniers
déliennent eux-mêmes d'énormes lralics de drogue et
éliminent souvent toule concurrence. Les Hutts cherchenl
depuis longlemps 1a source de ces cargaisons de plus en
plus conséquentes de glilterstim qui parviennent dans
les rues de Nar Shaddaa, mars jusqu'à présent, ils n'ont
pas réussi à remonter jusqu'à Odrell.
Ce mystère lienl en grande partle à la puissance dtssi
mulée derrière Odrell : le SoleiL Noir Cet empire du crime
ulilise depurs longtemps des agents dislants comme
Odrell pour étendre ses opérations dans l'Espace Hutt
Si les Hutls devaienl découvrir qui emptèle sur leur ler,
ritolre, cela déclencherait une véritable guerre ouverle
entre eux el e Solell Noir
 s_10u O-rlQ luoT3,\r- :
i slr luop lrorpuê un.ro^o1 Jnêl op êlel ? lê uotltpuot,t'-:
êp snssap-nE J0A0l?,s q tssnQr lu0LUêleuu luo sieLr L -
s.rarleAOUl sorepuaS?l sop lê t.lliS o.ldLUf uo :
tuE
suorJPUrqlPu sal suep sQUls.rlu0 gl? luo snol rilo,\f s-
sltdulol ,{'snlrxa so-{lna la o.].1onB op sQr8nlQj sop'so-tr- -
sep:ed glrqeq a;,tned .lorlrenb un,p lresstBe,s I eepp'i- :
reN op elser é1 qrenBr-r.rr rnb sassoqtr-r ap 1o11 np ni-t:
uêr.r E,u inêllas er'anbrlqndgg ouLtê luV,l ep onboda -
§ffiffirTffi HnEilÀ3ffi§ XfT§In& 3-l
0lloAQr el 0p auLLtell e1 lasrlqe Lnod
oSlaLUQ anbrleusr:eq: lnouaLU un,nb a,t;le 1t 1e alcluro:
-rnod-sqssrel ap seldnod sat rLl-ted srolled epuo"rS a.rq;
-or e-1 sa:qdsê soilne slnorsnld astot: Â uo.l ts oLUOLrl
's?lrxê,p lê solnC s1uel8 rurui,p agsodruot ;1 lo[euL ua
1sa uorlelndod ?S loU lnal lte1 luo ua rnb snl:ra xlu ie
sp,tno.tdgr xne'xneur8reur xne s?pOl lLlêtplQ not ol op
slrenb sro,rl sep snld 'ue un,p sutor-rl uo lê aluelstxêut anu
'o3ueiO,{pe1 ne lle,radstp un,nblanb puenb suorlsa -
-040p lso Êlr-rnlQS el 'gLr.rrol 1uo suiseFeu sel salstleLed
ap rasod sed ou ap luapn-rd snld 1se lt,nb uoiq sQ"il lue :,
OS so^elluo sop also-1 al enb lelo êLrrQLr-t ol suep Êrq[ros
0ll^ sQ-lt e SojnC ln0llêS 0l '0lJ0L|LUoJ np uotle_rQpQj pl utot np suê3 so-l 'o8e^ellsê,p xneêsO-l sJnol -tnod « tr=.
ap uorlesrlEuorleu al le o_rrdur3,1 ap luauauQ.\r?, lo,,V -oI]..Dêr » êp noll ledr:uud oLLtLuol g_rq3 Qp luoLuês!
El? lal luoLirêleFQ luostltln tpesoB sêl 'ê.rp.to,l êp sê-l
r-rno J :1uo sa.r elle se1 'alduro: s0p suo luê^lo1ur,p nad sQ-rl ? sosrLunos luos sautluel :-
.rnêl luêre^r.lo,r1 Â se l,ted soluêr?ll p sal anb luel _roJnp 0LULUol sêlLlrlirslrnpo,id sos ap oJqLUou uoq "rnod êluê,,,:
-tad oLrçlsis ol OSSIel luo s]:lnH sol 'sltotptoLU êN xne au;01-a1e1d êLLrLr_tol UOS uo,s nb 'trpeseg r prlel ne 1te- -
luerenb"ro1xa sl nb salr-te1rq-toxo soxet sol led scnop luarlredde lro-rpuo e-rrelÊudo;d sed lsa Ltê,u lt,s êL!a
euy ,rarqrenb êl lnol sro^e-il E allreleq êp sopto_tp sês
lol
i\pel np êluBlstp € sLnuuo sol luêl op alroJJO,s lê rEC
la rnorled luesrel ua slrrc ll sas l eo3?lo_rd at..tcL_t_iLUol adn:lo.s'taddo3 op LUou np QL{lnoqL-Ltê u;
1eu alenby
np Lro le-rap?l e cnlt stpueq e uoz êllêl suep lnol,red
'o. üd.oo,dOqe.
nod un g8tcurg luo slue-tnelsê-i lil soutsel'eLr_tueF ap -
lneq senbrlnoB OXnl êp sltnpord sep suep slrpQrt s_tnol nprÀrpu 1no1 enb xnêl ap er1_red 1te1 a8noq er 'ouo[:
.lasuedap êp xnorrsÇp stlusu sol ltElLLOnlle lr 'êl.toul 0l ap srnoleuLLrosuol le sluenbUerl sel red Qluenb-.-
'u0r
LUol np uorlpl9pQJ e ap suêiptoLU a5 se _red tlLtautl lOJOJ rnallos np sêp urnLl spuol-seq s0l suep ;:
0.rnauqlxf a-rnpioB El êp u as ne a1 odoutsol ctleLl rs êsnolrLr eurluel oun lsê aBue-lg ,(pe-T a1 'sqrde _ia:-
ur.r êLULU0l
a.r?pisuol ltelQ s0-rnc _tnêll0s êl 'sau0ll xo,s q l0 proqe,p Jo.ill ? sutlluo sluo ll sos _rnod nui - -
s0p ê-r.ronJ e1
9pgt9-rd lueie so uuetgp sop s"inol nV HËeruEÉe{4},Ëq#tÉT §ff
 La Ménagerie des Espèces Exotiques de Duros, jadis
fleuron de l'industrie touristique de Nar Shaddaa, a été
abandonnée duranl l'exode Très vite, les dangereux prê-
clateurs qui y étaient confinés se sont échappés et ont
commencé à s'en prendre aux sans foyer du secteur. Au-
jourd'hui, l'endroit est connu sous le nom de Vieux Sec
teur Duros, ruine hantôe par des créatures féroces qui
rôdent à chaque coin de rue.
De nos jours, les Hut[s organisent cles safaris dans le
Vieux Secleur Duros, contre espèces sonnantes et trêbu-
chantes, bien enlendu. Traquer Ies créatures évadêes de
la Mênagerie qui errent dans ces bas-londs est devenu
un loisir excitant pour quiconque possède les moyens de
participer à ces excursions assez régulières.
Un certain nombre de lunnels relient le Vieux Secteur
Duros au Secteur Corellien, y compr is un passage secret
lristement célèbre, vestige d'une époque meilleure. Au-
jourd'hui, cette entrée clanclestrne et d'aulres similaires
sont utilisées pour le convoi de marchandises illicites, à
l abri d,r regard des Hurls.
LE SECTEUR ROUGE
Sur un monde répulê pour ses enlreprises illicites, rl suf-
lil qu'un secleur se consacre entièrement aux activrtés
Louches pour gagner une réputation galactrque. Le Sec
teur Rouge de Nar Shaddaa s'esl spéclalisé dans Les mo-
difications corporelles, les implanis, les drogues rllégales
et aütres actrvités encore plus inhabituelles. Les entre
preneurs prolrtent du sens de l'éthrque « souple » des
hallrtants de celte lune pour se remplir les poches. Les
esclavagrstes el trahquants d'éprces opèrent à côté des
boutrques de bio-mod et de plaisirs charnels, ce qu a
valu à cet endroil sa réputalion bien mérilée de lieu où
tout est permis.
Dans cetle partie de la ville, la sêcurité esl limitée à sa
rue cenlrale connue sous le nom d'Avenue des Songes.
Cetle artère draine de nombreux voyageurs désirenx
de visiler la légendaire Nar Shaddaa sans pour aulant
souhaiter s'a\renturer lrop loin des senliers baltus
@ L,ESPACE HUTT
I-EJI BAIIOT§ DE TAL I{,'ÏÏA
Les propriélarres du coin averlissent toul le monde qu'en
dehors de l'Avenue des Songes, le secleLrr n'est pas sur
veillé et que qurconque s'attire de s ennurs a intérêt à elre
capabLe de s'en lrrer seul, car personne ne viendra à son
aide. Bren entendu, la lémérjté l'er'l-lporle sur la raison
chez certains tourisles, entralnant la recrudescence de
'actrvilé crlmrnelle dans cetle zone.
§",&Rffiiec§{§"§&**R
Foyer cles professionnels spécialrsés dans l'art cle Ia ten-
tatlon, l'Arrache cceur était jadis une simple canlina mj
e-rse lo n de ar-e'e p' rcipa o ou secteJ' Rouge, avart
d'etre ressuscité par une Twi'lek pleine d'initiative nom-
mée Narissa. Aujourd'hui connu comrne l'un des mei -
leurs restaurants de ioul Nar Shaddaa, ce bistro propose
toutes sortes de gâteries à ses habitués : nourriture,
bolssons, compagnie, drstractions, épices... On y trouve
p'esq-e oul o'r ) -e- 'e p'i\.
si
Cetle canlina a recruté les plus grands chefs et n'ac
cepte que les alcools de la plus haute qualitê derrière son
comptoir Les serveurs et « hôtes » présents pour veiller
au plaisir des clients sont loujours les spécimens les plus
séduisants de leur espèce. Des membres d'innombrables
races lravaillent pour Narissa dans divers domaines,
et possèdent chacun des talents tout aussi variês. Tous
les désirs peuvent être assouvis à l'Arrache cceur, si I'on
sait vers qui se tourner.
En plus de loutes les lentations qu'il olfre, cet éta-
blissemeni a récemment conclu un marché clandestin
avec un kajidic pour vendre un stupéfiant rare du nom
de Typhon Cette version extrêmement addictive de glit
terstim a êté altêrée avec un virus issu des ruines de
Varl, le foyer originel des Hutts. Mika Anjiliac Chiera,
un jeune Hult désireux d'étendre son nêgoce pourtant
dé1à lucratif, a concocté cette mixture spécifique en l'an
I 9 av. B\.
Ces dernières années, 1'approvisronnement en Typhon a
diminuê, rendant l'épice encor-e plus pr sêe des consom-
mateurs. Son prix a considérablemenl augmenlé dans
l'Espace Hutt, et le clan Anjrliac cherche dêsespérêment à
accroltre son stock. \,4alheureusemenl, seuls Mika ei son
homme de confiance, un Esral'sa'Nikto nommé Orgamon,
 VJJ'IH -IUT EO SI{oiuvS SE1.
rLnH llvdSf,'l
'luelne aJOluo eJêrnp
Ir,nb soppnsrêd luos slr lo sorieuQl
-lru.l sêp srndop ouuorl)uoJ oxoldurol al . rolqrnbur uo,s sed
luêlqLUas ou sllnH sol 'luêuJouJ êl rnod anbrSololQ otlses
-Çp olqeluQ^ un lrerqns eeppeLiS ie5 'auued uo JOqu,rol
rnoI un luere,rep sêAleA se1 r5 sdiuel op LrarquJo] lnod lres
au Inu sreLLr 'uerprlonb ne oqlgl rnej suroLuuequ luo^rns
;nod seurqoeu sol 'soQsrleluolne luêuJêlelol orrelueg
uel3 ne sanbrurouorlse sautLuos sep rnq,prnolne luo^rop
la alrll{eJ lrel sdurelSuol srndep luo Jruolêrluo,1 ap se93
reqr suorle;odrol sal rs oLLTQLU '% Og uorlua,p Qloelulê
t
oun rruolureu ep iauurad lnol saAIe sop Qlouuallue,l
'ser,tned snld sal seuoz
;,o -orb.r q '
sol suep er,t ep glrlenb pl rolnql Jueuranbrleuuerp lreJ e ueqr 1re-unod uorlanlrs el 'o eLrQdLrr uor1ua11e,1 dc -
luoLUOpuoJ op ossreq Bl 'sue sop IU ne rs euqu'e8e1rÂr ned un lrer11e QUOqrl el op sluelleqLlol sap Qlr^rll,
-or ne. o9rf€suol lsê assoJ osseB ap arlred epue;3 euTl rs'suroLLrLreQN suorlergdo sas tnod e?ppeqS r?N -ras
'luepuedgr Â,s rnb senbrxol slrnpord op sopnlrllnLU sel
r
rln,p êruErllV, I raq:qd rue,p Qluol luaLU er^ sreLLrel lLr.
rorllU la arQqdsolule,l Jruiesse rnod soOlueldLUr Çlg luo slr 'uorllaqQE e1 1a arLdrul,lluesoddo lrlluor êl suep t,,i-
'sa^leA s0p ollor luop'saursn solq?rqLUouur,p enb e11a1 rp nelue unlnE q luêLllo.nle.s êLr sllnH sol aururol
lsa sJnd neo uê lo rre ua opueLUOp el 'eeppeqS reN JnS
?eppslls leN -.'':
§§&TWf{ §§3 ê êqêU oruErllV,l op:lêrlos a8nlêr un,p qr8e,s 1r : arnr:
êlqelr.rg^ es rorllel ap ule anbrseq êinlpu es lo oleLr:
'Osseql êp surer0l sol la sosnêrqluo sOI ape)e1 es o^-rêsuol sellv,l Olr-rQ^ el op urol sed l e-r...
'alroLU-0lllA'sê^leA s0l luos rru0l0r e sllulsrp sorlne sol ou lr lo'orreleE el êp sJeq sorlne,p sêureluêl sêp ? -,.:
'enbrlsne: eLQLidsoule edL!ol êl lrernod epqLUel luêrll al proqe raruerd ,-'-
a11er luarrdsar rnb xnel ap need el q allol lê sluoLLlol
elqenb,euar êp uê -r luelrlod 3.u seLUV, 'slourLUr,ll s::
Q^sal ê1.{lel 'erqqdsou1e,1 ouBQ.rdu,rr rnb ellrno"r rnêlnol lo sêln?uoLjr?ds sop sqrdne arelndod sQrl luêLrêLL -l
prellrnorq un luesrnpo,rd'rre,l op a3elrÂre; ep solsnlO^ § 'sçH,'§ Ë# Egru§âr*Hl H:
soun-{)eLU solsuep luonursui,s lo êssoJ-osspB ep arlred
ollol rns 1ue,tne1d suorleueLU? so5 suerpgu se3e1g 'rnæl oqlerv,l e lnod Lr,nb on8o-rp .:
sal suep'snssap-ne alsnl anlrs os rnb qleallearv uorl so?lrLrrl s?lrluenb sol rurnoJ rnod sarrerpçur.rolur,p op.
-erodrol el ap oursn êLUJouQ eun red QtQuOS'oluoueLU lnLU oun osrlrln lê rerlrluy sop u]LUêql êl Jêsro-n op -ralr -
-rod uo oquJiu el alelrel9 oleL{ un'laJlo u: SuesaLung e rssn?r e uoureS"rg'luesQ.rd q,nbsnf êllrLr-rel es op oLll:i-
luauroldLUrs lnol luelledde,l sauolLllolne sap lLed os lr,nb luarorl sueB sap lLednld pl lo saQUUe sosnêrqLL.
-n1d e; srer-u'uarllaroJ rnollos ol snos oOnlts oAellua ep srndap e)lrL\ n^ E,u êuuosrad ollêlêr r?l luossrr?uuol -.-
eun p puodsorrol fN Oÿg auoz €l 'oldLUOXO red
'xnElol sLUou
-rns sJnol luerQJg.rd rnol lê srorlrpnb sep sellarrUJo suoll
-el1adde sol luepuêdar luêpnoq eeppeils leN op sluel
-rqeLlsel e11uB aun rns sêQUUoproo) sJnol ted auBrsgp
uo,1 anb sllrJlsrp srnarsnld uê ogstAlp lsè JSSoI osse6
sopuoLlr sêrln€,p;ns sluale,trnbq sas enb erorue
aplpros snld luaLuauuoJr^uo un nêrl al op lreJ E eeppeLls
reN rns uorlelnSgr op lê srol op oluosqe,l 'luelsnroJ lo
suef oLUuror salodouquntat sol suep enpuedg.r qlgp
lros enbrlerd eller onb uerg slner.lgdns se8eqg sal ted
slrnpo.rd sanbrxol sloqlQp se1 tnod lolodqp ap lo sÇu
-n1".10J surolr xne 1ueue301 op tr^las tnod sglragesgp
QIQ êSSal sues luo sJnol sop srnêUQJUT xneo^ru sol eep
-peqS reN êp sgln sêp oluelsuol olelrl-têA uotsuedxa,l
q olrns 'sorreu?llrLU sop IU ne oou lso ossoJ asseB
'slr.r?d sarlne aJluo 'slolJouJ slnalepg-rd sop
lo oltnJ uo
slourLUrJl sop 'sluelnLU sep leÂo1 ol lso natl ol 'spuLluBl
se1 1e a8elsorle,p soieq sepuel8 snlcl sal snos saJlQulol
-l)i sop v alLrol onb êlLrol luolr^?,1 solter?LLrOl snld sel
srarpuEqêlluol sêl lo seuud ep stnêsseLll sol eUJQLU
ênb olqou8r rs'oOLUeJ 1eu; snld el auoz el lso êssoJ-osseE
'arQrluo aunl oun rns puol?,s rnb a11r,r ollo) olnol sueq
SSSOI-I55Vg
 HEilL#"&1#ffiT*;
Dans un rnonde où la mort esl un nêgoce ausst lucra
lif que 1e jeu, l'existence d'un lteu pour se débarrasser
des cadavres esl cruciale. \4ême si la crémation esl a
mélhode la plus répandue, les relrgions de certaines es
pèces I'inlerdrsenl. Les grands mausolées de Vt le morle
ser\rent donc à accuei rr pour l'êternilé les délunls non
incinérés de Nar Shaddaa.
Les bâtiments de Vil e morte ressembLenl à d énormes
enlrepôls cornporlanl des milliers de sarcophages indirrl
duels, herméliquemenl scellés de façon à empêcher Les
êlémenLs de dégrader Les dêpouilLes el leur garantissant
une parlaite conservalion.
Lendroil est géré par des droides I s sonl êgalement
chargês de sa surverllance, comple lenu de la quanltlé
de pi leurs avides de découvrir un trésor inhume a'ec
un cadarrre. \4ême si ce systèr^ne lonclionne lrès bien la
plupart du ternps, un cerlain nombre de sépullures sont
loulefois profanées chaque mots. Heureusemenl, La majo
rilé des tombes abrtenl des miséreux el ne conliennent
pas grand chose. Néanmoins, un exploraleur peul parlots
lrouver une babrole de valeur, ce qui attire les charognards
les plus desespérés à Vrlle morle
tffi# *e4ffiffiffiTi#ffi§
\4ême sl les coupures d'électncité sont fréquenLes à
Basse-fosse, les Ombreuses dôtrennent un record peu
envrable: l'endroil ne dispose pLus d'énergie depuis des
décennies. Celle zone siluee dans le Secteur Rouge est
depurs longtemps derrenne ie refuge des accros à la lé
ladone et des criminels, et la panne de coLlranl pernna
nente en a fail un cloaque encore plus dangereux
De nos jours, les Ombreuses sonl- un no man s
land barbare au sern de 1'espace urbain, abrrlanl des
gangs de ps_vchopalhes et des cannibales dégénérés
Labsence d'ênergie ob ige les occr,pants à vivre dans
un élai lechno-primil f el à chasser les ral,s à dents
de sabre dans les ruiires d'apparternents ar-llrefois
uxueux. en s'écLairanl à la torche el en manianl des
arcs et des lances.
Lemplacemenl de cel endrort préoccupe les Hulls. En
effel, pour s'assurer que ses habrtants n'inlerl'èrenl pas
avec le comrnerce lucratif du Secteur Rouge, les maltres
de Nar Shaddaa en ont sceLlé la pluparl des accès et
postê des sentinelles à l'enlrée des aulres Bien sur,
même si quelqu'un sounartail visiler les Omltreuses, tl
devrait pour ce larre descendre des cenlaines de mètres
de ga tcs de oo' '.l^ol. rp'\ ,e
NÉO VERTICA
La « vi e, de Nêo Verlica est Llne vasle seclion de Nar
Shaddaa qui s'est révollée contre la dominalion des
Hutts il y a lrois siècles el demt, el a depuis étaLrlt son
propre gouvernemenl. A l'êpoque, celle tnsurreclion
a plulôL amusé le Conseil Suprême, qut a envoyé pln
sieurs milrces pour l'écraser raptdement el en humllter
les instigateurs.
æ ffi'ffi'J"E ilaL HUrrA
Après Lrne semaine d'affronlements sangLanls, les
Hutts ont du aulorser Néo Verl ca à conserver sa souve
rainelé, en échange d'une tare mensuelle u pour 1'usage
du sol ,. Alin d'endiguer le massacre, les dirigeants de
Néo Verlica ont ratifié ce l-railê
En dépit de leur apparente défaite, les Hults consr
dèrenl cetle conclLlsion cofitme un compromis accep
table {malgrê la perle d'un nombre consequenl de sol
dals dLiranl les combats) Laulonomre de Néo Verlica
leur permet de se dêsinléresser de L'élat de cetle zone,
loul en touchanl chaque mors une sonnnne exorbitanle:
moins de responsabilités pour plus de crédlls De son
côlê, Nêo Verlica s'en sorl, même si cel arrangernent
grève lourdemenl ses perspectirres économiques.
LES CHANTIERS
NAVALS IMPÉRIAUX
LEmpire vlcnt toul récemmenl d'assembler un chan
lier narral spôcia rsé dans La fabncation de chasseurs
TIE dans l'orbite de Nar Shaddaa Celle slruclure a été
installée là pour renforcer 1a présence impélale dans
e secteur Baxel el dans l Espacc Hutt en général. Toul
d abord, es Hutls ont fêrocemenl proleslé contrc cette
iniliaIir,,e, pu s ls se sonl rariisés en constatant qu'iLs
ponvarent tourner celle siluation à LeLir avantage en
riendant dcs matêriaur de conslruclion à I Empire deux
fois pLus cher Au ourd'hur, ce corrplexe esl source de
conlrats luleux pour Nar Shaddaa el pernnet aux Hulls
de tirer profit du besoin d'approrrLslonnemenl constanl
de La machrne de guerre impérale.
LAlliance garde un oeiL sur celle üsrne depuis qu'elle
est opéralionnelle, mars ne dispose pas de movens suf
lisanls pour l'altaquer. Jusqu'à présent, loules les ten
lalives de détoLlrnement des cargatsons à deslinalLon
dn chanlier onl échouê. Les Rebe les savent que s'tls
perturllent les bênélrces des Hults en sabotanl les en
lreprises impêriales, ils s'attireront les loudres de leurs
deux ennemis. lls ne peuvenl pas courir ce genre de
risque, car eurs ressources sonl dejà lrop dlssémllées
et les relatlons ariec les Hulls lrès déLicates
CRÉATURES ET DÉFIs
Nar Shaddaa s élendanl sur loule une Lune, ses hal-)i
lants appartiennent à une mullitude d'espèces. Des r i
siteurs de loule la galaxie s'y rendent pour 1'atre allatre
el il n esl pas rare d'apercevoir dans ses rues en alti
tude des créalures que I'on n'a jamais vues nuile part
ail eurs En pLus des espèces intelligenles, de féroces
prédaleurs hanlenl êgalement ses lrélonds obscurs
Cerlains de ces monstres se sonl évadés des collections
privêes des Hutts, landrs que d'aulres onl été amenêes
là en toutc illégalilé ou ont joué les passagers clandes
tins dans les cales des nombreux vatsseaux qui lont
halte sur Nar Shaddaa
 vItrIH -It il to sxoüva sE t
!_nH 3fvd5l,'l
unlne: slualel
otl..tnS'oluelstsg5'1e1tân6'uotl?.ils a
'êLUSrlglqlv : (lueurenbrun ednolâ ua) sa)uelgduloJ
-E ) /T--)
,1ïTI-t r@E@--
'@- -/ z ',qg4@)
ffiffi'ffi,ffim.ffi 'Ossr?Lll 0p u e]Jêl _rnol eeppeqs jr..
0p s0rnarJQJUt souoz s0p llel 1uo seBernes selnt
sep 1o'aruBedLUol op xneLrtue oLULLlol stnolnol luap .
uo sllnH s0l ellnH 1e5 agstldeqe_r orlO lrelle rnb lero .
rns uorler8Lurg .rnêl lue-inp sllnH sol Led eeppeq5 rEN -tr-:
sQUêLUa QIQ llro sll 'lre/\ ep sarreut8r-rg un.tq al Led lL,:.
-sed ue ?luoJ llo^ ne lrou np -rei'le,r qnad lnolnol e lucr,
sredg-trn: Jnol q la enanb an3uo1 rnol ? 'sêluessrnd sa11 .
ap snr-rnod sperd sLnel ? lê suteul srnêl ? sê qeutlu-::,
soro^rur€l le sepQdrq s'rnalepgrd sop luos sroqllqt^ s.-
f,mmxæm3 s*d,æFÉâ:qffiffi&
( gord e1 supp snllur snLtc,-;
senbrqçu'leq,{: suoilerotl gLUE sês-toAtp' (luêLUosstaluo a -
'0suêl9p t + ) 0pJnol leqLUol ap oJnLUre '[ 1 a.lreurnFrr::
'z luer0lr0d:lleluol ne egl-tod:a onllrlul:r, s1gF,
: sdrol q sdro3) oLLrelorqt^ 'Ig ]ue-tqurotu; 'anb 1eu,,.
[]uoLLiossteluo | + l nV : onAuoT aQlrod : g enbtlt-tr I Ol sl?3Çp : [sop.rl^-
sredQ sluêLuolO^ 'Il o.]leulnAuES 'ÊlL Enll oste^nEl\ seLr-rel e:uelsrCJ p-rnol rolselq llsnJ : lueuadrnb3
: auuaÂou aQuod r g anbtlur : E sl?8op : [sorQEQl [xno ol]uo luoLuasnoouê1rs .lenbtu..
soLrrel eruelsrCl êunl-roJ ap êlQleqrp : lueuedrnbl -ruo) luoÂnêd sfueD sêl 'senbt19uraq,{: slueldur sri--
unlne: sluolel q a:g:3) senbrlgu.loqÂr suorlelrunLrLLto3 : s911cede3
e:uelr3rA 'a run5 lo^rlerlru,p 0Jpro,l rêutLU.r0l;r,
:
'uorl?u p-tooJ : (luauenblun adnolS ua) so)uelgdtuof -tnod aule3 ep no a:ue1rBr,1 êp tsot lnol ç { -ralnole rnc
ssêrls ap lurod un.t qns lnadl l ,lellO uorlleoU : slualel
e otso '
fill o ) r- s-) (-2-'' '9 (saprnol soLUrel oluelsrC'l uotlorlstC'; sd"ro: q sd_tc,
\@@/ t@Eg@,/ \@--__/ 'a uorlnrêoJ 'l 0LUlel 'l ouls l?lqlv : secuelgdruo3
"ffi,ffiffiffi',ffi,ffi :@
' Ëi-
l-îTr ,@@@t :.-T \
\@@r
'oQBeAE.r
lo o^tpeleu olpi êun uo sluepuolsop
s-ln0l QLr-rolsua..tl luo gltutnBuasuo: op le uorlnllod op
s0llQrs s0p f o '0lill0les np srne r"rgjut xn€o^ru sa1 suep sg 3 ,mffiffiffiffiffi
-nJ?J luos 0s eeppeqS reN op êOU LUeluo: aLqqdsoule,l q
lê.rn3qel êprll 0l r? nl0Alns llo^e q Ilo^f s0Je_t sêl slotp .SUOISSILU
SêSI':.
u€qoiluoJ sap 0unl e ap solll^ sol orrnrlsuol-tnod eEe,n -e8uep s-inal uêtq e rouoLU xnetu rnod 'senbr19u raq
ellsê u0 sltnpQr ?lg luo s r 'eepp€tls reN rns sa_tQJSUe4 slue dur,p aple,l q sdlo: rnel luorotlQLUe snol onbsa_.-
,^,8 000 q l uo tueLUO,lleLurroLdde s11ng sa1 'led are.rQLUOl 1q1n1d esudaLluo êLtn uotlsenb ?l .ros.
'(e1nH
^e leN s ndap eguutouêrJ lt?lo^f 'au13 _ro,p alQueld
-rnal lre.rpneJ 1t 'luaLuedrnbç uos snos )iueD un êlqru::
rnêl op sgsseql sltlturrrd soploueLUnU sap luos lloA: sol -sar ronb q ol -rro^es r3 luenO olnoLU uo .lêllte^p_tl lltê_::
flrum*m*Ï r*##sr.ï 9rd 1e slnas lLroLUO.ter iue:e1dgp es slr 'elenB êp alr
re oun,p êlQl El ? spatd sap SlloÂr'1ol erre eF el êll-:
(luaLlasre,ruep .rnasUB : llEluol ne agltod : t onbtlUl sraAerl q êL qelQ luaLUêrulaJ lsa p o-t1 Sues êp sJna -
: g s19b9p I 1e1 3n;) solUlelse^Qp se11t-r8 : lueruedrnb3 ap uorqelndgr rnel 'seutSr-ro srnol op asoqt pue.r8 s:
lres au u0,l rs 0LU0f\ sutssssse lê sê.ltr?u0ll0Ll-t 'soLU .
(sr0LlllqtA sêl êrluol
sQnlloJJê sruJêLtuê uotlQrlslC êp sls0l sal snol p eqnole
0p s-rnêsseL.lt 0LULUol sllnH sêl red sarlne o.rlua s;:
! rlrlil solorgJ 1a rnenbtllaq sepqdtq sop luos s)uE! str
1e 'a o.rd eun -tenbe_tq ,rnod sgnl:011ê ot^rnS êp slsêl
sêl snol ? [ atnole) o^r:t]ello uotqda:ra6 : sglrcede3 flrecsemmÏ F*ruw* H**ssqsrc*
 Donnée§ d'astro§ation : système Ardos;
Espace Hutt, rêgion de la Bordure Médiane
Mesures orbitales :'378 lours par an I
29 heures parjour
Gouvernenlent : Conseil Suprême
HUtl
Population : 176 000
(Klatooiniens 59 %, NikLos 2l ozo,

Twi'leks lJ o/o. aulres )3 o/o)

Langues: langue hutt

. Terrain : ciatères non
respirables [anciennes decharges
polluées)
Villes importantes : aucune
Sites intéressants : dÔmes
aeri.ens. hypothétiques sites
de [orages
Exportations : aucune
lmportations : aucune
Routes marchandes : aucune
Conditions particulières : planèLe
êtrpiiement gardée, aucuÉe atmosphère ..

respirable
Contexte : foyer originel des Hutts, Varl a étê ravagée
il y a plus de vingl mille ans par une supernova ou par
les conflits dévastateurs que.les Hutts ont surnommés
les Cataclysmes. Cette planète est alors devenue
totalement stérile et ses habitants oni été contraints
. d'émigrer sui Evocar pour ressusciter leur empire.

I es Cataclysmes onl enIièremenL consumê l'atmos
phère respirable de ce monde, dêtruisant la lotalité de sa
faune et sa.flore. Depuis son orbite, Varl offre agx regards'
un paysage dêsolé, tavelé de cratères et de dêbris. Les
seules tr:aces de vie sonl les quelques dÔmes êparpillés
sur le conLinenL sud.
De taille plutôt réduite {à peine quelques kilomètres
de diamètre), ces'constructions sont recouvertes dê ma-
tériaux réflêchissants dans le but d'empêcher les vais-
' seaux qui les survolent de voir au travers et meme'de
Les autorisations de transit émises par Ie CÔnseil sont
rares, et ne sont accordées qu'aux personnes travaillant
sous l'êgide d'.une famille hutt Ce'dêtail, ajouté à l'exis-
tence des dômes, laisse penser qu'il existerait un mys-
térieux trésor sur Varl et que les Hutts se seryent dé ces
complexes pour tenter de se l'appropriçr. Blen sÛr, s'in
'troduire clandestinement sur Varl serài[ excessivement
darigerêux et les Hutts ont pris toutes les préqautions
possibles et imaginables pour §rotéger ce monde anciên
renferme.
et le secret mystérieux qulil .:. .

scanner led dômes. À l'intérieur, une myriade d'esclaves

de toutes espèces travailleni nuil eL jour, mais leur ob
jecLif n'esl pas connu. Leurs mat[res hulls eux mèmes ne
' laissent filtrer aucun indice sur ce sujel.
Varl est toLalement proscriL aux êltangers. Les HuLts
maintienne.nt des. patrouilles rehforcêes le long de'
toutes les routes hyperspatiales menanL à leur planète
lnatale. La fl.otie de guerre hutt, que presque personne
n'a eu l'occasion de contempler au complet, en inter-'
diL l accès, maintenan[ à dislance Lout navire dépourvu
des plus hautes accréditations du Conseil Suprême. De
LouLe évidence, quelle que soiL la nalure des êlêmenLs
. cachés sur Varl, ils sont d'une importance cruciale pour
les HuLLs.
G tue,: r'iJ1rs I'esl g.rlJeliLlLle de V;.:rl, ltl Cætti'dicu
Ù art ,.,,,,' ,.roil,, t, rrrs tlet'éc corlrnte sat rée pl-rr
ir.\ . rL't: l ir, iS. l',:r ,'rtr, ril,.s l.ll:er: rl J'rt., C.
L,tC
los HLrlls orrl r:li.rcJre lr:s intpL.tlsiorts el les t:1,-cles de
, j1' t)t t.,
' loi C r rl l)r rl\,1' 1r1 p,p.l: rir ttl l,r'r l.l.
conl.L. qL.re lc CcnLrrdrt:u ilrcna lo-s l{LrlLs de Valrlà Nal
Hrrlla, renlbic,ant le,'ur crovatlce dilrts scs pioprir:tÔs
\rl||r rl I Clôi. A.r' ,rr'. r: l iitrs rt"'lrt(1\,rr'ir'5
pecc pensenl, clrcore que (-L'f.te eloile esl lt (.lel de
I'anrbi[ir'.irst-. dr]sl"tnee dt:s HLrt [s.

, L,ESPACE HUTT
54.r. LEs BARoI{s oe lal- tlrta
 I,JJIIH -IUil lO SilOÙVE S:tL
L.InH flvdsS,'t
xrleossrel op 'êlQLlsld el êp saun s3p soSrlsoÀ sêp oQnl
lsLrol 'l,1eA a.rnoluê sap.r.o.r0lsE,p êrnlLr êl aLU-rou0 aun
V}IVTUTÿ,AHÀ
iTG HHN.I.NIH} YT
ê]naL,rQlx: êrnpro€ El êp _rnæl ne êQlr-rLUrssrp
'o auuosrod eArêsQ.] es êrll,o..Dte rnod sos eQ-r rerourLr-r op
sl uoLr]êu-rnolQp sal
-rêqlel inod luêLUsllorl uêssê'3LUQ]dns
lrêsuol nE êLo^uê L.nll npuêr-aldLLrol ênbELll ênburr?ds
sorl uoieJ cp -ralnuiol l es L 'luclel cp Lrcnrl od Su uueld
êrdord uos r.rolos sieLU 'o-rlleu op ureu êp ro lueql at arcE
llESrol Qlrlrqesuodsor ê-rpuroLLr ap salsod sop p sêQllêlJa
luos sêluêer lêlu solêdsa sc]lne,p so]quou sonbLênb
ênb srpuEl'sol)rN sop l3 susrLfoolel) sêp luos s-rêu^
no sêp Qlr]oleLr el sê.rpro sos snos s-rrlollrE^e-rl sêl snol
oLrSLLl rn .rauuorllaliJS op luÉ^e'lLrêLUadLnb?, êp x oql
's0_ril?uQllrLU s0p
E,{ Ir ueJ.rEpue€ sê^rL.llrE sop rnall nE sl-rêAnorOp sarer
solxol op luar^ord solue^oJl sol êp lres uo.l onll nod
ol sollo lo^e suorllrAUOl srnol op snld uou sEd luolnl
srp êu lo sornoUQJUr oLULrol lua-rQprsuol slr,nb sêle-r
sop suorlPlnlgds xne uorluelle ounlne luoloJd ou sllnH
sol 'luo^nos oL|L|oJ soloqrod/\Ll sop lo sêl"llIuJ sop
ênb luoro^.,t,u 1-]edn1d al sreLr'êpuo[] êl € slê.rnlEU-ins
anbsard sro^nod sêp luanqulle sosnarArlêr sapuaBQl
op lo sllnq sour8 ro sop slDQ-r op orquou puer8 un
oldnad rnol op neolrêq anb luel uê sllnH sêp orSol
oql^LU El suBp aluel rodLUr,p oLU]oug êun lQ^êr lrEA
roLUnqxê,1 op roluol inod
sêxêldluol sêl op luo^rês os llnH sol orlb lo lre^ rns ?l
-nurssrp lsê..rno e^ asuêLLlLr oun,p lêlqo un,nb luasrnpgp
ua surelrêJ olroLU olQUeld..rnol q iopolle,p ênbuoltnb
.roqlQdLro rnod xneuOLUouQLld slroJJO sap lrel
luo lre^ ap
S]UE]IqEL,] SUOI]UE SOI :SONbUI]UOI]S SOI êUI]SALr] IOI]UELl]
lol un rosUolnE € sllnH sêl QSSnod e rnb uosrer el ole]rns
la sêu.rQp sop Lror:llnjlsuol el QS Àradrls r? lleS]ol oL|Qrcl
fs losuoJ r.rE saldLUor sop luêLr-rollar p puê,r lê o8e]o-
op sLrorlErgdo s3r osruES]o Çruruou lri rsoc un
lle8rol
lrElêllns9] uo rnb êl lres oLr lnu'-roN ialos a
êLULUOI SIUê.UnlUOl SAp ? IrEUAÀ-il?d rnaLr:n.'] el rs lo o QeL,
-rFeLUrur êrUQU?q ur.r -rorl Lrê ê-rQdso oLr-rQ-rdnS lrosuol a
'srnêurLLr sêp
?lr rqeLl El êp _lêrnssE,s l_rp luo l0 0Je]lxê ,i
o lrullp sQ-rl l ?-ros rLillrporn?, enb luêreÀes sllnH sol
lnolrPd sglclol-i:
spd luos ou xnaL-rÊdruL sl pQr] sêl r]o êrnêuÇlx: ornp-roE
El êLlrruol sQUF o Q slro-rpuo sop sur?p xnoDQ-rd luêLUê-tQ
nl l.r?d alQA?"r os r1?.rauru ol sl pQ-D êp sprerllrL| sop lr?.
êluos?-rdor a lo la'lQl snLd sellQLS senblonb ol-1ê^nolÇr,
QlÇ E l-re op Jnæl ne êil.ro]uê ]uoLUêpuoJOrd unrpornE,[]
aLrê^ aun êlQUeld El op sêl-rnossa-r s3]e] sol -rol oldxê E
sê?ürlsêp ê8erol ap suorlerodo sop luolucle lre[ êp ffi
ê êlr?J-rns el q sgllrclJeclÇ sêLUQp sop êrlrpd oun suLoLLr æ
PS ? S0LUQp Xn0UrLurTl0A 0p luesrnrlsu0l s0AElls0,p sêlE_r
op opnlillnLU êui1 ror\-rêSQO nd e uo'lnol Ê-13leL,\ sênLl
uolur oroluê suosrer sêp rnod lrp-rolur lnl Je^ ? sQr
le lnol 'ellnH leN r1s sllnH sêp uorle-r8ru El sQrdv
'relo^f ".rns..ilnJ e llnH sal lue5iol'orQqdsorq es lo lrE êp
sallr sol ?lrLlruLrE luo rnb o^rssELl] uorlrnrlsop op soul-r?
sop e luarnoro-r sluerQS lloq sal anb al q,nbsn[ ?r]dLlrê
luo sêlrAD so,lrên3 sêl saLrs,{ll?lel op LUou ol snos
snuuol xneinrq sanbruellrelur slrlluol ap êr-ros aun lue-l
np êpuoLU ardo-rd -rnol lrnrlop sêLUOLU xno luo sllnH sê
e nb.rerOpLSUol op a qrpA-D sn d uarq suroLUUeQU lsê ll
'o8a rnoL -rns Ëuol lrp Lia
rnb êl'xnêrp oLLTQLU a^nord êr^r-rs
sal rns Qlr.ror.rQdns.,]ne
rnêl 'xnê uolos oluêlodruLUo ÇlrurÂrp op :]nlEls uos uo rol
inol lu3-ripiêd sllnH sal olqE^rALir lrpuor el lê alQUeld E
?uD ?l rnll ze3 ap onSe^ oun l-reA,rns lrpuedÇr 'oLllualq
l
êLrreu uo ouuolsue-[ sQ]Llorle,p luel rolroddns lnd êLl
sop]v'lre^ rns lrllEqe,s rnb sopro-rQlsr?,p oSenu un lueQrl
'ralnrJod os rnod êirollol8rl -1nêl op luêrl-ros oLUQlsi\s np
solQLreld so-rlnE sal 'sê?s-rê^olnoB OilueQUe lê -lroLr no-rl
un -rEd oÊ-lrlle lnl euoAl xnorp sop oLLTLUOI luore.rQpLSUol
slr,nll 'EUo^: lê sop-rv 'sal olQ xnop sos red ?u..ro^ ro;
lir?lÊ ê-fEllols êLUQlsIs rnêl onb luopualord saLrQLU xn;
s]]nH sêl sonbr.rotsrq slrEl op nod sQ,.ll op lo sêr.lli\LLr
êp 'sêpuo8?l ap oQ]noluo lso l-reA op uorllnrlsop el
'ap lQl s eJeLr un o-ileJ uo q,nbsnl sêllarnleu sêlrnosso-l
sês op êQllrnodop luo, lo ê-r-rol rnol Q:lroldxê:tuo slln!
sêl 'sèQUUE,p srêrllrLr-r êp sourezrp sêp luernc ênbrxol
uêsQp un luê-ru uê rlll sllnH sêp luoruouQ^P.l lue^E
uêrq 'suEQl0,p la slQrol op oljêAnol oluerJnxnl êlQ r âE
e d êun srpel trEtg I"re '1nLl êrQdsê,1 êp rê^ol uonu æ
ruffiffiereffiffieffiffiffiffi
ffiffi ffiffiffiffieffiffi&ffiffire
 délruils et de bien d'aulres dêbris Les navires de pa §qâe§s ru àq# #H*Y#ru *q# ffi fl#ffi i #Ë:
lrouille hL-rtls l'utrlisent pour camouller leur prêse nce lout
lrors mètres de diamètre. cet arach-
l\4esurranI enrriron
en protégeant leur monde nata. Une mulli[ucie de ré nide vil profondémenl enfoLr dans le sous sol de Varl.
seaux de senseurs el de droides sunretLlenl La zone, avanl
d'envoyer les données recueillres au rraisseau mère de
Celle lorme de riie cristalitne ne respire pas el n a pas /,
fr,
besoin d'almosphère pour survlrrre. E le subsisle gr ae e
la force de guerre de Varl, e Patolo Urn Vor [u VjgtLance
aux vernes d'aurodium des tréfonds de la p anèle. De c"^
éternelle » en langue hutll. Ce bâlirnenl est commandê

ffi
l'a l, qurconque parl-rcrpe au forage de cel ineslrmabLe mi
rckiËffi§l par UlaL, un des rares Hutls qui soil à l'arse dans l'espace
nerai nsque de lomber lôl ou tard sur ces créatures... el
ULal garde l'accès à \'arl depuis enrriron cinq siècles et
es plus malchanceux pourraient mêrne Les renconlrer de
considère son rôle de prolecleur du foyer ancestraL des
* lrop près.
"tl5 O11 e rn Oe\ O r SaLi e.

ffi
H

Une équipe d'explorateurs léméraires souhaitanl se

rendre sur Varl devrait se fra\rer un chemrn à travers La
ffiffiffimm:ffi
cernture de Yer,'anaha el ses délenses. entreprise aus
si rlsquée que violer un tombeau oub ié ou Ltn ancLen
lenlple. Pour des aventuriers rodés aux vo_vages stei
laires, le slmpLe projel de raLlier Varl pourratt déjà consli
tuer une rencontre périlleuse et excilante [r,oire une ses
lreffi)ffi
Compétences (en groupe uniquement) : Alhlétisme,

ffi sion de jeu complètel, car rls devronl éi,iter les dangers
nalurels des asléro des, les,,raisseaux de palrouilLe et les
pièges sournois disposés par des Hutls arrides
,#
À I-A SURFACE
* La surlace craquelée de Varl n'a nen de remarquabLe
en dehors des opéralrons de lorage qur ponctuenl par
endroils ses vastes continents slériles. Néanmoins, ses
Pugilal, Résrsiance, Vrgilance
Talents:aLrcun
Capacités : CristaLline (n'a pas besoin de resprrer el peut
survivre dans le Vrde olr sous l'eau ; rmmunisé conlre les
poisons el loxinesJ, Explosron pholonique (en lanl qu'ac
lion une fois par rencontre. 'araignée pholonique peul
déclencher une rmpulsion Lumrneuse à parlir de son
corps ; loutes les cibLes à porlée courle sont désor ren'
lées pendanl deux rounds), Caf:artl 2

k élendues dévaslées recèlenl encore des objels de va

leur, sans nrême parler de l'aurodium qLr'on y exlrarl.
Les créatures qLri ont survécu, comrne les araignées
pholoniques, noloirement redoutables, peuvenl atlirer
Equipement : patles lranchantes (PugrLat ; dégâls 6, li
lrque 5; porlée au conlacl; Sangurnajre 2l

LL5 É,r.;u;* f L:u'"',i:. ;

Lin groupe qui cherche à caplurer un animaL exolique.
De plus, certarns lrésors dalanl d'avanl Les Calacl5rsmes
ont eux aussr traverse les siècles eI suscilenl 'intérêt des
colLeclionneurs de curlosilés à lrarrers loule La gaLaxie,
princrpaLement des Hults.
Tous les Hulls n'onl pas qurtlé VarL quand ce monde a
semblé condamné Certains Hults rnineurs, pregés au
cceur de ses bas fonds souterrains. se sonl relroLl\és
coupés des routes d'évacual on ef n onl p-rs pu s enfuir
Ces créatures onl rraversé les m | énalres pour deren r

les Egarés. Ces êtres aLbrnos el sauvages survivenl clans

CREATURES ET DEFIS
I ne reste sur Var que ce qut a survécu au CatacLysme el
les créalures capables de s'adapter à cet envlronnerncnl
hostile qu'on _v a recernrnenl lransp ante. Les voyageLlrs
croisent rarernent des lormes de vte hors des opéralions
de lorage et quand ceLa se produil. tls onl p utôt ten-
dance à ie regrelter. Néanmotns, tlse lrouve loujours des
chasseurs, broLogisles el archrrristes désireur de parltr en
quête de ces crêatures pour une ratson orr lrne autte. Les
plus sages engagent des professtonne s pour erplorer ce
rnonde désole el récupérer des êchanlil ons de sa faune
el de sa flore redoulables OUe es PJ soienl amenes J
rencontrer ces êlres par curiosité, par ariarice, oLt par
malchance, iLs fournironl des adversaires redoutabLes
a, c.a ,r e ÊsplL\cg o 5.
des poches d'arr emprisonnées en profondeur, en dévo
ranl des mineurs qui trarraillent sur VarL lls conserrrent
une grande parlie de la ruse de Ler-rr race d origtne, même
si leur capacité à rarsonner a drsparu au fil du tenps
ffi'ffim.m,m,m.
,,ii@x ziiEii@\ r@>
\_à-r tlEJ t"!lJ,
Compétences : Coercilion 2, PLigila'i 2, Rôsislance 5,
Sang lroid 2, \tlgllance 2
Talents : Dur au mal 3 lréduil e resu lat d'une b essure
crlrque contre un Égare de 30, jLrsqu'à nn mrn mum de 1J
Capacités : \"1a adrorl (ia lai 1e du corps d'Lrn Égaie
ajoLrle !l! a toLrs les lesls de Pugilat, Corps à corps
el Coordinalionl. Pesanl tLrn Éga p np peut pas utiliser
p us d'une manccu\r[e par toL]r pour se déplacr:rJ
Equipement:griffes (PLrgr al;dêgâls 4;critique 2 ; por
lée au contactl. morsure infeclteuse (Pug iat , dégâts 5 ,

crtrque 4; porlée au conlact; Sanguinatre 4)

L,ESPACE HUTT
LE BAI1OXS DE NAL ilJTTA
 vIInH'Itil EO Sl{oiülilE SEL
ItnH lfvdsf,'t
uotllutlxa,p 0to^ uo luE,lrnod'oLlQStput atQdso,l
luêssPLll slt luop olQUeld êLtn 'euo03u8l rns sonbtpes lo
sLanrl sueJes sop ? Jêdn lred no 'q1o_rg auuol sopuoLtl
sop ins sqsrueS,ro s'lna1erpe13 êp slequol sêp lê p.reseq
ap xnal sep relgord lua-rQlQ-rd sllnH so l 'solQlluo_U sos op
rnor-iQlur,l q sanbtue;: SQllleÀtJ s,lral .lerut.ldgl êp luotesso
uorEgl e11er suep srelad sep luapqssod rnb srrptle>1 s_ra,rrp
sêl êJer ls0 0ll0itp 0lu0lotA el 'ellnH puplooE-el suec
sasn0 _lQls^LU sLt0sTsj
sap rnod luêlt^Q sol tnb 's11ng se1 Led sonoqel oLlLUol
so?rQprsuol quos're,{3 1a snqÂ6 aLuuot'sorlne,C
salqruodsrp luos I solqeLUrlsout sll?JOl,t?,p solros
salnol anb pua19:d uo : xneo..toLUuro: selsod-luerre 'alueueut;ed uê u?lelnf\
luolr.ro+Lta sllnq a-t_tJr ,-
sap lnol luEAe lLlos euunql JeN êLLlruol 'sêl o orluê,p 0p xneêss 3/\ êp 0l luefo salQueld sot êp osuêlQp .
s0urel.r0l ellnH euelo0B r?l sLtEp selQueld op solros arnsse lê _rnollês snos ne aQJluê.p eqtod ap llês uplpln,.,
sêln0l Or\norl uo 'L>les 0p Ql Allre,p luEUUop_rnoq lêt.rl êp apuoLU êl alqet^ aletieds.ladr\q olnot anbtun uos ar_
snpur 0puoLU ne trpssaB _to) 0p slueUilxnl stEJeu soc rlsu0l l0 êu0z 0ll0l os-to^e_tl ellnH loqed ato,uadÂr1,1
'uorEQr el suep
ltsLte.rl PllnH euElooB auuc _
uo srêâuetlg sêp "têlluoluo; lnod selerleds sLto leqs set uêLU uo,l anb sqp luauurenberl luessr8rnse.,l senbt8i
ep QlUo-rd siolred 1uo s:tptley op sloLp xna.rqLLtou êp'?s ouql0l sollr0^_lêLU
sêp 1a stpel ep sanbtla-t sop'sros?_.
s0suêLU LU
sed o re6 lop-relle.s sed er: ap nt o..ltal q uet_t 1uo,u rnb r,p lueuuollu0LU slnêLUnl sal açssed JIopLtE_,:'
xnal sno:l q lolltosuol rnod 'e11n;1 so! suep alueJnol el q no sêluel;odulr sllnq sollrusl sosna_tqLLlou op sauQ.
0reuuoLU luos sllnL.l arLanB ep xneêsste^ sal 'ualelni sopuor-u s0l Qlg luo no luos sel1a :auq_rdnS ltasuol r:
rns 0LrLLlol s0lpl q;o suotlels s.lnarsnld ap lê slue^op luaLU0llorrqlo sed luapuadgp ou salqueld sal'aluQu ,'
r0A sapuolr sto_rl op QSodLUol'ellnH so! op ar_uqqsÂs 11np1 areds3,1 lo^e êllêlp uorle lgle suES 'sêpuoul un t:
êl -lêsJê^eiJ alqeleg;d np luJ\rop ?linH euelooB el 13ur,rlueqol8ua 11ng areds3,l êp ouoz oun tsê ellnH æ
siel €llnH 1eç ap a8e,(ol êl luol tnb seuuosracl se1 eJDIOOB a :lln-l qJO LrO,e[ dO LL]OJ dl S,rOS Or L]UO
6§
w&effiMwffiw&ffiffiæ
â=
a
â
1.
i
\
l.i
.,.-,a., §
æ*
KINTAN
Données d'astrogation : sysième Kintan, Espace
Hutt [amas de Si'klaaLa), Borduré Extérieure
Mesures orbiiaies :.41 2 jours par an I
52 heures par jour
Gouvernement : Conseil Suprème HuLL

Population : 12 milliôns (Niktos 99 70,

Hults I o/o)
Langues: langue hutt, nikto
Terrain : grandes trâtendues rocheuses,
archipeJs, marais, forêts, chamPs de

.Villes importantes : aucune

Sites intéressants : Canyon du
Dêsespoir, chaîne de la Lune Ardente,
la fortresse Kh'aris, l'archipel CIuss'elta,
les Terres sans Fin
Exportations : aucune
lmportations : Iechnologie
Routes marchandes: Pabol Hutta
Conditions particulières : mêfiance envers
les êtrangers :

Contexte : Kintan est uhe planète de vastes plaihes

en fiiche qui s'êtendent sur des continents entiers,
d'ocêans tumultueux et d'archipels épars. Les terres
désolées prêdominent, battues de vents violents et
composées d'immenses zones de broussailles que
parsèment des éperons dé pierre et de sable aigui-
sês comme des rasoirs. Ces régions 'rarement habi-
tables sont bordées de mers glacées et turbulentes oÙ
grouillent des prêdateurs mortels. Les àffleurements
iochèux qui ionstituent les lles Clusslelta [ainsi que des
milliers d'autres émergences plus petites) hébergent
des repaires de pirates, des refuges secrets de criminels'
i ii i.ii:,1,i: i:1. lr.i'a,i::ji:.1:':Ii.j
et une multitude de Iieux de perdition.
I ., r,L,L.ltrrrl,;V,, M tlW(.t t I i t'l/,tll,,:t ' rll I l,r 'lr C
La brutalité de Kintan n'a d'égale que la beaute sau'
L H, ' ,: oL ,, 1,Lr1rr.l',rr i,': ,,riI I) t\ c \( 5.
vage de son paysage. Des formations'naturelles fabu-
ccl.l.e oc(.;rsri)n onl. tlotir.:lt: lusqu'à l'tivolut.ion ties
leuses, comme les monts de la Lune Ardente et la Rivière
Nikl.crs cI rj';rutrr:s cra]alLlres vivanl sur cctt.e pla
de Feu, ont attiré'les artistes et conteurs de toute la ga-
nilt.c. BeiiLlcQLtp de scrcnl lrqLrcr ..rlltihLtcn ;r I ltlLlr
làxie, dêsireux d'immortaliser ces scènes stupéfiantes et j 11,r'e rlr s N klo; a :(: ('i Cl\ C Lrl l nôrn.l rl'tn lr' t

de les lransmetire aux générations futures.

Les autochLones de KinLan, les Niktos, sonl particuliè-
rement violents et belliqueux. Malgré leur sang chaud,
leurs cinq sous:espèces servent les Hutts depuis des
milliers d'années.. Beaucôup de Niktos envoyés hors .
norrl à leltrs lrcnr:hanLs poLtr la violertr:c:la « ragc
tjC lV'drryoshurr ,. LeS érUrllls r lr) o I lilc ( r,l IC []r U-
t.iilile, callsét) F)ar les radi ltlr)r \ ilLl ilI rlt('l('' ('a(rr
v,'at, .l('\ l\ 1.f,, ,l 1,1r1 lrrç I V a lr r:1 lr,ll8..( n ll
r 1., ra'\.rli'', ri I -nîf l.i I r.ll^ U{ ÿ,r,1,'51 1,1

monde.préfèrent.cette vie de servitude, car elle leur
permet d'êchapper au dur labeur e[ aux rigueurs qui les
attendent su.r Kintan. D'autres au contraire espèrent vi
'vemenl que leurs proches se révolteront un jour contre
leurs maîtres. Les effectifs militaires des Hutts comptent
ênormémenL de Niktos. Les Hutts ecraseraient touLe rê
Aujor-rrcl'hui 0ncore, loutr olr rll Leltc s('( l.e
r.vr )(..r1
generc une peur irrepressiblc chr:z lcs habllanls
ijc: KinL.an eI cerl.ains crargn0nt qL]'elle se reparldc
L.rrr jour hors clc la plani':ti: et. à lravers 1a galaxie
' Corirnrc sa repLrlatidn â comrn(-lncô à circL.rlttr au'dc'
1;r rjr,: KinLan. lr.: rtr,rrnbre dr: NikLus liLtt:s tr:thi:rr.lies

bellion aussi Lrrutalement que rapidement, ei il est donc a ar-ignrernl.ô cn parlir:ulre r clatrs lcs zone s rlc 1a Pe.
assez.rare d'entendre un Nikto dire ouvertement du mal riphcric. Les Nikt.os ltbres r-roir":rtl qltr: lcs Hul[s r:nl
d'eux. Mais les brai.ses couvent sous Ia cendre et peut- repalilt,r Le gonr0 dc ciisc.ours alilrnrisl.0s dans lc irL.tL.
èLre qu un iout le Ieu de la liberte reprendta. ,r(: c;.,r r'1. I '1, 'Lrl .\ .1. r l, ll , lr',rr: { r,f r',[,r'( I

TESPACE HUTT
52' rES BAPOI{S IrE tAL }tr TTA
ffi
æ
ffi
æ
 vllrx{ ltt Eo sÈoêtvE §â-t
!-nH 3)Vd53,-l
êlQUeld al ap
Jnær ne,nbsnl a8uold rnb arqlert osuoLUrut un 'êsnonlJol
êurLUell el êp ulss?q al suep rêsra^Qp os op luelp seureld
sol asro^eJl lo suelloA ldes sel .rad a91uaut1e lso ê3-iel op
erlQLLloJlI un,p « OTOIAU » allal rLOdSêSQC np uoÂue3 e1
0ss0l sues lueurpoLLr l0 Juesn0il'urj sues sêllêI s0l slaA
-erl € lo suep êlnol rnb o^el op lolJ ol lso nol op o-rQr^ru
el 'alu0p]v 0unl el ap sluoul sêp sruell sêl luele^QC
ffi§s §ffi ffitrë§e§ffi wT
'sdLUol sroru
-JOp sêl Olnos aun,p OlqLuo,l n^ E uê,u ouuoslod stELU
'suEllo^ sap rnall ne luaAtA tnll sololQl solQq sopuer8 ap
luolred sopuoSgl soC o..rjOl el rns rio^nod uos luepuedOr
l0 lon ol sJa^ onpuêl'na1 np netp e1 'brba,uelln,p uteLU
el êLULUol luorQprsuol s1r,nb sluout sêl luaJQUQ^ sol1rN
surElJOl rodsosÇc np uo^uel êl suep soJpuol sap lo
0^el el op oluaueuiêd uo luoLllp.l) rnb glrrrrlte uo su€lJo^
ldês op adnol8 un,p onssr seu8eluour ap ou.LeLll ollol ted
0QtuJoJ ]s0 Ell0,ssnl9 .r0LU el 0p 0leluêplllo 0".rQtluorJ el
TINSGUV TNNI TN
EO TNIVHf TrI
'suepêp
oSotd ltera^noJloJ os anbuolrnb
so xne,nbsnl roqlrolQ,p solqedel solnlrlred op soloduJOl
sêp luêQrl urleJ np tnatJolur,l luo8e^el tnb sluelUq sluo^
sêl lo 'luoLLralloJnleu osr"lQAlnd se1 enbru.tsrs Qlt^rlle: loUl
-snpur oSesn rnod senpue,t stnd saÇlloloJ êJ]Q luê^nad
rnb saurllelsu) suorlg-Duol sop uo^uel np sloled sol Jns
gU.rJOl e aAEI el ap orlJed êun'solreuQlltLu sêp lu nv
'srorlnSQl sollelrolur
? êllreJ el luessrlclural srncl luESnoJl'lueuuolltnoq sJnol
o) luêLU3le8g alle#p uBlut) op saoipLu sêp ollaJnleu uoll
-lerlle,l ollrel el 1e arSoloqd,roLU el luoLUulelsuol oUlp
-oLu uê lo'url sues oJaf el op sJO^eJl ne na! op aJQr^ru
e1 red qsnerr IeluoLUnuoLU ur^er êl suep alnol oluopiv
êunl 310p suerlo^ sop nssr O^el 0p luelsuo) lolJ un
§§*d§§§§ffi mffi N&À§dw §I
mw §we§ ruwrd
srndap alquelcl er ruorQrruol 1e'arnaugclns'ff:fn1T::
-stnd rnal Q erg"r8 ollo^Q.J el reruudgl snuoAOr luos sllnH
sêl sêOUUe,p JOrlltLU un e,( 1r uequty op srot_l sllnH so1
luelnoq 'sêrpual sos op olDsnssêr e ollnl ol 'sutoLUUegN
roluoA op QlreJl ne olrns sllnH sol sroAUê g1rure1g,l.rnoc1
sg8e8ua s?^noJl luos os sol1rN sol 'sltlJuol sop uU eI
qr31e11 selr,nrr sel-renB op olrÇs oun suep elqueJd e1 qB
-uold le rro,rnod e1 sr.rd e odnolS oJ lnolejse^gp a;lsp,l
op JnêrnJ e1 resrede lua,tnad s1ue13ues so)lJules sêp
slnas enb JUaro;l seldepe sol luop 'nnLlsaMp,lA êp ollnl
&ru§§ffi§§§n§wffi3 §ru ffiwd §§mbHwbll
'0lrpneu.l lu0rorl el sol)1rN sê:
;edn1d el lo sêruuolgp sop B li aQUUopueqe 9lq e oluEs
-odut ernqrnrls êlloJ olsod^ luele ouLLtol êssolol-lc-
€l Qsrlrln e sluppuadQpul sauqlsÂ5 sop uotleJOpQJUal
e1 enb 1e souolJ sop aJJOnD eL luelnp n)ooc êlutol n:
Qrl luoLLrolrorlÇ lrElQ lourLUul at anb oluolel uO solq?,
-ruJoqe saLUul sos rnod q1o1Âp êp QItxê )ol,tMf un 'uuê-
srLe,qy red QpuoJ OIQ e uotlseq a: 'seuield sop rnæ_
ne 0qlor êp 0ll0Jnleu oqlre êLUlouQ 0un Jns 0ltnJlsu0l
§§ww,§4$fl ffi §§§wHÀwæ§ §fT
saureld sa
suep neo^nou ? JOUTLUOSStp as ap luE^E sloLU ollenb n:
sroJl luêrnprad sglneunulr-uol sêJ opnlrqeq,p lualulo:
s1r 4o nead êp sêluol se1 luoleteldLuer rnb sarnlln;1s sel
ornrlsuol rnod 'seluelsrp sepuer8 ap rns glln)UJtp lê,\z
sQlrodsueJl sorer xneugl€ru sap 'alard ap lê sroq a.
luoAJOS 0s sollrN sal
's;nLU sol op uqp,l V sonbseltnol
sap aruessrnd el Ç
luolsrsgl rnb suorlergrl.tol sep ;e3 ,=
rnod xnerLgleu sep luelqdnl?l Ja ar^r^rns rnod orqLUC-
rnal rns luêldurol url su€s so',tlof sop sol1tN sal
'soLlloJ
sol lo êlqes e1 ;r1rd sues 1ua13un senbseL;no,:
se1 puenb 'solodLUal sop uosres pl luetnp soJterodLue-
sQlneunu-ruJol selrled ep luoLUloJ Â sol>1r5 sol luê^i
 rnb selqessrsresur saJQq sap luessurnou as'uor3ç,.
ollêl luarnolred so1yr11 ap sêpeLUou snqul soC sQlrE:
sêrlQuJolr) op srorllrur op sêurezrp sêp luê.rAnol sluo^ se
red soOSn lo
soQlosgp saureld sa] uelur) op luoutluol
pue;8 sn;d np gluoleLu e1 luedn::o utJ sues soJrof sal
NIJ 5NV5 s3UUTI STl
rolrsr^ ap luaBesr,rua slr,nb suorSgl xne a;Ar^,ltjs
rnod erresselgu luer-uedrnbO,l lnol ap ltunLU as q lQrQ
ur lnol luo 'xna q luenb 'stnele"roldxa se1 alqeÂo1rdu
lueuauuorAU0 l0l e agleLLJtl)le uarq sQrl lso uelury 0c
uorlelndod el 'ellê,ssnlD roLU el € lo oluoprv aunl Bl oc
ou1eql el q,nbsnl url sues soJtêl sap 'luanbgsuor te6 :r,
::iliJ :Li::§, :T'J:ii§ :i'..ïüi#'#; #: :1
f
î
zu ffi §-Lwtr!üH ffi* ilt I
lualor^ êl gq-tl luo sêrlne,p 'e,rouradns el luorp.lguQA sc
.rnoI
IrN xnaJqLUou ap enb srpue_1 e: € oro]uo luossrno_.
edg,s sa1le rlo'uelur) ep saurQlsÂsotq selqe,{olrdLlt ,=
senbrun sêp un,l op or^ op suotltpuol xne egldepe qsa.
sollê,p ounleqJ sollutlsrp se:qdse-snos burr ue egredq.
luo,l rnb suorlelnLU op aQ..tQlQlle ouÇs êun tqns e'soll',
sal 'olueurLuop êle.r el elQueld ?l op êt^ op sêLUloJ s-
solnol rns lelrper ]êJJO un n0 luo aluErnoLU 0ltOlQ,l rE-l \
sêsrLUÇ sêluelllJq suorlerper ep setr8e,t sol nnqsaMp L
irl::iï ;i:#^: jl,'"i0,,'i,"#::ü,:,:'.$ J"ï 0
L,ARCI{ [ PEL § LU§s'ELTA
Domaine des Niktos PâLes, l'archrpeL C uss'ella couvre
plus de qualre milLe kilomèlres carrês de la mer dn
ffiffiffiffiffi,ffi
5 (
tjffifr@@, @ @>
rnêrne nom. Douzc grandcs lles el une multrtude d'rlots
rocheux mineurs formenl ceL ensemb e el servent de
\ ) 18 , r-0 10)
fo_rrsp a des chasseurs de primes, à des conlrebandier-s
el à bien d'aulres pirates qni ulilisent son terrain rude el Compétences : Corps à corps 2, Pugilal 2, Sunrre 2,
Vlgllance 2
escarpé pour' échapper aux regards inqursileurs.
Talents : Adversrté 1 {amé1 ore I dê de drfficultê de lous
fÎle principale, l'ande el rocheuse Clussa, se troL,v.^ ies lesls de combal contre celle crbleJ, Dur au mal 5 lrê
près de a côle occldenta e des monls de la Lune Ardenie dult e résultat d'une blessure crilique contre e faucheur
e1.cornporle p usienrs pelrls vi lages de pêcheurs. \,1ême de Kinlan de 50, jusqu'à un minimum de 1J
si elle ne semble pas sorlrr de I'ordrna re, CLussa dissr Capacités : Coup léméraire lau prix d'une broutrlle, une
mule plusreurs secrets dans ses fonds sous-marir.rs:un fois par round, le MJ peut reiancer un test de Pugilat ou
complexe tenlacLrlaire, slluô à plusreurs kilomèlrcs dc de Corps à corps du faucheur de Kintan ; dans ce cas, le
profondeur', a éle creusê dans son solrbassernent el faucheur de Kintan perd les bénéfices de ses lalenls Ad
abrrte es Niktos NumoL'elrul, La srxième tnbu perdue des versité el Dur au maljusqu'au début de son tour surivanl),
Niktos. Aux yeux des aulres habilants de Kinlan, cetle Dur à cuire [1e \,4J peut dépenser r-rn point de Deslin du
commünaulé n'esl qu'une légende, mais la rumeur coLrrl côlé obscur pour permeltre au laucheux de Krnlan de
qu'elle s esl ci.Âveloppée sous les flols depuis des milLrers guêrir 5 points de bLessurel
d'annees Les N umol'e lruls consliluenl une sous especc Equipement : rnassue primil,ive [Corps à corps ; dé
à Ia peau vert foncé donl es bras, lambes el exlrémrtés gâls B ;crilique 5 ; portee au conlacl; Dêsorientatron l,
sont couver-ts d'écailLes bLeu rrert Les Numols. comme \,la uvarse qual ité, RenversemenlJ
is préfèreni se sunTornmer, peLivenl resprrer sous 'eau,
mars sonl égaLemenl capables de suruivre en surface
poLlr une courle durée.
La tribn perdue a coLrpe loul contacl avec le reste
de l'espèce iL 5t 3.1n0 mtLle ans, orsque ses
membres se sonl tournés vers la vre
aquatrque après avoir dêcidé que
les méthodes des Hutls et la po
lilique des Nrktos ne pouvarenI
tp ^. dppo pr de bot

CRÉAirURE§
ET DÉFIS
Pour une planè[e en permanence
bombardée de particules radroac-
tives issues de la supernova
M'dweshuu, Kinlan peLrt se tar
guer d'abriler une diversité de
formes de vie stupélranle, plus
dangereuses el fêroces les unes
que les aulres.

ËâgJfl §{"i,q # * Eql ffi 'Ëêàru rry trrêilË

È,"*

Désormais êleinle sur son monde d'origine, celte

énorrne bêle semr-rnlelligenle a élé élevêe durant des
siècles hors planèle. Aujourd'hul, on en trouve un peu
parloul dans la galaxre, souvent en tant que senlinelles
pour les barons du crime hutts Leur incroyabie capa-
cité de régéneratlon et 'épaisse masse de grarsse
et de cuir qui les recouvre font des faucheux de
formidables adversaires. Leur nom est devenü
célèbre : c'est arnsl qu on a lraplisé une pièce
du jeu de dejarlk que I'on a l'habilude de sa-
cnfrer pour bénéficrer d'occasrons à long lerme
[dans Le cadre d'un coup bien connu surnommé
le u gambrt du laucheux de Krnlan,).

L,ESPACE HUTT
LE]s BAR,IOiS DE l{AL HT.,TTA
 vrtIIH 'It t EO SI{OQfVA SE.l
!_nH 3f,VdSl,1
:
'asuêJÇp L - s?l-loJ,ê-r rrr.rn,..l"?,ï'J,'.ï'5r'-,'::^,'..-
l
'L apEJEd : ]lelLtol ne apq-rocl : 9 anbrlr-n , 1 si1.
QP : sdro: q sci"ro3J
oigcio:eqd E olLtei : luauedrnb3
SLiOS Sai
-ralrêlQp .tnod otue;13,1 ep 1e uorlda:rad op slse l s:
r! snol € E -retnoie lnad pn5 np olllN uT1 'uoride:_ia6 -.
L:
,= 3ue-i 1 elnole : (pns np solllN) sollrN,ns,olueqs,l
's0pneql no s0pt :
sanbrleurlr suotltpuol sêc € Ltp I alr1ar eFno6 o11 5 I
i- 'seruelgciLuo: êp slsot sêp ênllêJlo lr puanO oluelsts!a
ua Suer ;elnofe ; (sa8nog solIIN) so111p,es,urefey
È1.. 'ltlEtuol ,-,.
êQl-rod : 9 enbrlr,r: : 1 s1939p I 1a1tEn6 : se11r,r3l sa,-
S,, .cJ ba , Joco É.0 -o .-F.. ,o.o
rsollo3
s0p apqssod 1r 'sntd a6'redLu:_tE _rnod sgnltel;e s1s;
[s
: s0l sn0:l ? E Lelnoie tnod :ira^ olllN uil uorteLlp_to.:
iuêLLtOssielLla a +
ua Suer l olnols : (sye solry) sollrN,es,sepey
'asi.roJ?p I + j stsol]ol
(la,{ou es q ;aluoLULxol op +LIE^E rr dr -
uê arnLLiJE 'l I ap?rpd
'srsol-rol 'L eLilQ_rB i,\ ap nEêAtu uos sro] rnop q 1eEç spuno] ap oJquoLi .
: lleluol ne eqlod luE_.rnp uotll?-itdso_l ?s "iruelot lned ta neê,1 snos oreld;
as lr,nbsro; snleu unlne,p o-Ulnos êu aled ol)lN u1 êL!s
lonllrtl-n:gsi939p -Qlrl tV uê Suer I alnole : (solgd solllN) soll1,es,ssnlD
sd-rol ? sd]o3J stsol-tot
(errt-rn5 ap no oluelstsQU ;
UO uolgq : luaruedlnb3 :]sêl un ialuelar lnad sau8eluof\ sêp ol)lN un 'uo ss.:
[sêPnPqr ro sêp..ie red srol aunl QLt .rnapno_ie6 luê e] êl 1a ei,un5 ue Eu:
" sonbilerlill suotlrpuol sop E rnp I
a;11o"l eBnog ol)lN un'soruaiqdu_rot 1 eqnole : (seuBe1uo141 sep so111p) solllN.es,lersl
ap :sn0ssop D oQlsrl onb êllêl'o"tdc -
s:lsal sêp ênlloJJa 1r puenb) o11r5,es,ureley: s91rrede3
1so n1 rnb alengds gioedet ar-in opqssod [slreiçp op sr -
{s0_r esr0^pe s3l rnod 96 eBed 1tl olytu a:qdsa snos anbeqS : sglrcedeS
o"i1uo: enb qt.ll êrnssolq op slel xne Oa + alnole) 6 1a1
--rolu clno3'(êlqD olloJ olluol lequlol êp slsêl sol snol unlne: sluelef
I êt,\lrs oluels sQU 'l t? ând 'l L.
êp 9llnlUllp ap Qp I arorJoue) i Çt s-io^pv : sluelel -dala6 '; sd.ror q sdro3 'LI êusrloiqlv : saruelgdruo3
6 a:ue1r8r,1 '6 auaduo_r1 '6 errr
-mS l ptoil Eue5 '; oluels sQU '1 r-torlde:la6 ,6 1e1r8n6
'9 sdror q sdro3'L oulef 'a oLUSrlolLltV:secueleduo3
ffi-ï)
@
/-Tïl
\@r f ÿI
\@@DJ
ffi
rIlI)r \erypEDr
@
Br"]r\@/s )
sr )r\@@/
uelury êp lpLUrll opnt np xne,{ srn:
lue8Qlord rnb saue:qiueLU sap lê 'sêuJoJ ep no saurdç.c
lrarnor siolted 'sred9 lrn: un ,sêunl.
'lorlos luouJL-Llelou
uo s'lnolnol luêujelluê,s lo n)Ç^rns 1uo sre>1nB -uor senbrlsu?llerel sop 1ua8e1-red so11ru serpdse-sncs
-.ro1,1 sanbyenb enb pualçtd tnounj el 'stoJOJlne
luerenb sol ueluty ep esrrg-id uorSgl aun q egldepe luer=
-e'l1 s1r,nb tpol^ sol ouJLLtol sn-redstp lueLueletgugB e orr
sêll0,p 0unleqt's0llutlstp se:qdse-snos burr ;eddc
sè Jo.t b ,rerg rg5p, oroes o ' pof sJp d rt,o \e èu_te.l -a,tgp q,nbsnl uorlelnuJ êp xnel rnol OrOl?)le e ollê.rnle,.
€ lêlsrsQJ lnod srsol-rol ap re_toLlrul ue seçuuolel sotnLUJe eLldorlselet el rs oruQLU 'aus,{1re1e: ol € orlt^-rns € sê_l.
s0p onb rsure'etrbuglos? Iauosre un lnol 1uere,{oldLue eorl sorpl sep erlred lteJ luo sol)ltN sêl sauqBrpuL a
s.re>1n8ro;41 sal ,se,lps
rpof "rêrle^oLlJ un rnod aLUQLU op sêLLrJOl sep q-rednld el 9nl luo tnb suotlerpe_r ap senEa
;e,rpe xnere8uep op lresteJ ue rnb xnerlleLU slle,p aQS sou.roug,p red ag8raruqns gl9 e êtQUe d el 'l9l snld sele-
rlengds oLU.toJ oun luerenbrleld la slU uo etqcl ap suorl QIITLU sap elourêdns uo oQLUJoJSUerl lso,s nnqsoMp,t..
-lperl s0s lu0tellêLl.tsueil 0s sll s0lgL| sol)lrN,es,ureley 0luernoLU 0lrol0,l pueno uElut) op êluEUtLUop êtE.
0p Qnlrlsuol 0rpro un luareLuloJ sreyn8lol4 sol e1 lueluesg"ldel'suerlrldor sop.l.oueLLtnq sop'sollrN s-r-
§sasæ ws ru§ sss ffi *æffi §# §-Ldssw flxwnçæ§ æÂ>§shs seffisru
I
 Données d'aitrogation : système Klatooine,
Espace Hutt (amas de Si'klaata), Bordul"e
Ex [érie u re
Mesures orbitales : 286 jours par an I
26 heures par jour .

Gouvernement : oligarchie (dominée

par les Hutts)
' . Population : g millions
[Klàtooiniens 99 ÿ0, autres 1 7o)

Langues : langue hutt, aulrefois

le klatoôinien :

Villes importantes : Treema

[capitale) .

Sites intêressants: désert de

Derelkoos, la FonLaine des Anciens
Exportations : maih-d'ceuvre
lmportations : technologie,
articles de Iuxe
Routes marchandes: Pabol Hutta
'
Conditions particulières : températures .
extrêmes
Cohtexte : autre planète tombée sous Ia,domination
des Hutts après le traité de Vontor, Klatooine est un
.

monde aride couvert de déserts et de savanes. La so-

ciété klatooinienne est fondée sur Ies traditions et la.. .

sagesse des aînés.

. Le quotidien des Klatooiniens tourne autour de leurs
tradi[ions et tout changement est inimaginable. Les .ri
'Klatooiniêns
pensenf avoir ete créés ei piacês sur leur ,.; '';..' iîti.-::.Ëi rrd
i"ad riiirffi§ââL{-il§
: ,il1.i"'- I

monde il y a bien longtemps par une raÔe'dAnciens. ',

Ouand les HuLts sonL arrivês sur Klatooine, les indigènes
lesonLpi.isÈourcesmêmesAnClenSreVenuS.lesgüider.
. : lls vênèrent les Hutts comme des divinités et sont Ber-
SuadésqueleurduréedevieêtendueprouVêleursa
gesse et leur puissânce
' : Les Hutts lai'ssènt la gestion du quotidien aux Doyens ,
klatooiniens, maiS les décisions concernant les sujets I
. Qui dépassent la plânète sont soumises à la juridiction ,',
huLL. Les Hutts uLilisent diverses instiIuLions, telles que la
Cuitde Conimerciale, pour mainlenir leur emprise gluanle 14 un fruit qui ne pousse que sur cette planètÊ et que
sur'KIaIooine. Le Conseil des Doyens. rêgule toutes les
1I'l
rrr-ême si, en dehors, de,,-,-_-
sa population, Klalooine
lll comporle peu de richesses, elle peul se tar-
: guer de posseder plr-rsieurs formations naturelles
ians égales dans ce secteur de la galaxie. Les Kla-
l tooiniens ont pris des mesures très strictes pour
protêger ces merveilles et ont acceplé à contre-
cceur que les Hutts les exploitent comme attrac
,
iOns tOrl i51iqueS.
Klatooine est également connue pour le pak'pah,
l'on considère comme un mets de choix dans toul
I

affaires de son peuple sur'la planète et accorde peu de ; l'Esi:ace Hutt. De nombreuses tenlatives ont été
drôits aux plus jeunes membres de I'espèce. Comme lâ îj faites pour cultiver le pak'pah sur d'autres mondes,
. culture des Klaiooiàiens interdit toute remise en ques- ' ,ii mais en vain. Apparemment, le wintrium présent
tion des décisions du Conseil des Doyens, ce cênacle res dans !e sol de Klatooine pourrait êlre Ia clef des
conditrors uniques rrêcessaites d sa c'o.ssa,tce.
, . . les Hutts peuvent outrepasser ses dêcisions. * Le winlrium Iui-même parl est un matêriau précieux que
:; l'on ne lrouve nulle ailleurs dans la galaxie.
Or-iand il est froid, il est pius dur qtre du transpara-
cier et l'on prêlend qu'il possède des propriêlês si-
milaires à celles du corlosis. Néanmoins, étant sacré
aLrx VeJ\ dLr pet,ple k alooirier. sa pl05perLio,l esl
interdlte sous peine de mort.

L,ESPACE HUTT :.
56 LEs BARoils DE ilaL ruTTA

ffi
 vrlm{ -ItN 3q Siloltt S s:n
rtnH llvdSf,'l
'oluoredd€ êun,p onb snld lrBa,s ou lr rnq,plnoln€ ts êuQLU
'uaruroolel)1 aldnod np xnatStlal lo onbrlrlod orluol ol stoJ
-êJlnP lr3l9 alrs 0) 'sooll0J0c 0p lJOs?p np Jnæl np Qnlts
SNTIf,NV
53O SNIVINOI trl
's0uteLLtop st0^tp
suep
sllnH sal Jnod tollre^
-er] ap uue olQueld sroq sQ^o^uo luos alDUJ|p o^notdQ
ollol luossrssnoJ tnb xnêl srstoql solsod xne .tolnrloj
s0l êp lu€^e'lrasQp al suep oJtpltlos uo at^rns op opouÇd
êun'0lueI:,1 e srnolloLUoJd snld sol slueJUO sol oJlloLU
-nos e suoDue sol ossnod luo 'suoDrlrLu op lê stoUranS
ap Jr^ros.rnod sltol snld sêl onb luolno^ ou rnll'sllnH
sol alr^r oLuQtxtp rnol êp stnoluole xne'1ol sQjl 03e^elr
-s0 u0 snpu0A JUos suêruroolel) sounal op dnolneoE
'0lqe^iAUr
lteJ0s soo)llot0c 0p lJêsQp êl 'sall0 sues r8l
'suêruroolel) sêl lnod saluelroduir luêLUOrQrlnlrlJed luos
sornleQrl sOJ êluoLU el no uotleLLtulosuol elrnod'seqlusq
sêp saqloJd 'êÇlQuruta lo assredQ uosrol el q soloq sossorS
ap 'xxEro^ op xneadnorl sop luo^Ql? sêJqLUOLU SJnOI
'sêrlQlue sJnel lo^e l0tunuLUo) 0p uue 'uorlpldLUOluol
el q l0 uorlelrpoLU el q sdlual op dnolneêq luêJlesuol
s0unp sol luoluêdre lnb snqrJl sol nea,p lo arnlrjJnou
ap olonb uê luoLUOLLUOUQ luo8e^o^ luê^t^ ,{ tnll suêrutool
ely sol lrêsQp al suep asoL{l-puer8 sEd ossnod au ll
'su0ruroolely sêl rnod sorles snld sol xnotl sop un,l 'suatl
-uv sêp aureluoj el luoluêle8Q o^norl uo sêJrsuQllrr_tl
sop srndap souuaruroolell snqtJl sap êluqE ^ onpuolQ olse^
allêl ar^r^ Â q sudde 1uo 1e sgldepe luos Â,s suorutoolpl)
sa1 'e1qeÂolrdut lsê luaLUOuuorrAUO lol ts oLUQl l 'sluouJ
-?l? sol red erqrssnod ua sllnp9r xnelsul êp luollolurlo
lo oQluoJ q8uero e8not alutol êun,p luos luoLUêAnoLU
lenlqdrad uo sounp sas sÇr;el sorlQuroll) op sJêtlltLU op
saureluol sop rns alrlp,s alqueld el êp IJOSOp puer8 snld a-1
soo»13u30 3q
IUTSIO 31
TH IUJ.I NVId rU O IIVIUU §d N I
'eured e1 ltEle^ uo aleugdu-l
uorluolle,l ".tollte,p anbsu e1 JOnu LUtp sreu.t 'sêlelt^ snuaA
0r 0p s0lrnos s tn0l 0p sêutplrol enbse_rd 1uesrnd9 ,,1.ro1
xud ne suoste8ret ser gÂad luo sal oqo6 sa-1 xna,{ sel
luauelerpugB luoLUral ..tnollês np xnet.rgdurr s.rooUJo sol
sellanbsel rns 'sautlrBq tsenb slqnq sas rderlua sorlne,p
U0^nol snos'êluelllV,l ep elduor a1 .rnod so.lnlrurnol
sap l0 saLL_le sap toÂo,ruot op solnltqg^ sês op êulpztp
eun q srrulad e aplrn8 el 'stoul s-totuJop sop s_lnol nV
a8edrnbg rna lo xneossteA
sal arA € lueursenb roqlelle,s € êrQtueu ap'luaLlerqrlnE
Qr rol1rpolll sol ap 0pnttqeq elqegr8esgp ?l e opltnD pl
§IJMH §Hü 33I'IU35 NV
'slnaslndqr
? sêlnltLl
-Q^ s0p l0 xnelrp0LU sêptolp s0p'QliprLUnLl q srnalerode,r
s0p oLuLU0l satreutpro slueLuadtnbg sep rnod êpueLUap
olro1 êun arqugS rnb at'arxele8 ?L èp olsêr na egred
-uol e,rlrLl.iud arSolouq:a1 oun,p oOlop lso êuloolel11
uorleq;odLut,p slinpo.rd sanblanb ia
sauqB pur s1eld sep luosodord senbrlnoq 1a sa8e1e19 1o
olloJB arqLr.ros'OqlJeLU ap zlpsro un êluq? olerJUêl auJêA
er e1 enb stpuel'souter;Olnos so^Qll? sop suep xnpo_l
nq sap luepqssod'olenraLULLtol apltnf el sr-rdLuor,,{
'olJOLULUol ap saruBedLlor sanblang osrelel el op sluelJ
sep rrlted e luêpuolO,s rnb 'xneassre,r sap eBessilelle,p
sare xne 1a a3e"l"reLue,p salsod rne auSeluour el op autl
e op aUQLU erlted apuer8 êun luop 'sellor8 op la slêtr
unl 0p 0l?pQp êlqelUOA un 0^nOrJ as uotlseq 0l snos
'sêQruop s0p
-r0l0LlJe lo o..rpuo^ rnod eLueo4 ? êlleq luol nb sepeut
-ou suêrur0olel) 0p snqul so rê3ol € luenras solual o0
s8rnoqnel sep q a:e1d luaura,rrssatSold luossrei solltAUOll
rq sêl r_1o 'saureld sal srê^?.l1 e altnsuê o..rrlQ s all! 'soo)
Ia_r0c 0p lrosgp np pJou 0 suep'es0LU 0un,p loLLtLUos 11e
arlqq ossarolro1 0uuênue oun,p rnoln? aroldgp ês Qlt) e-l
larrUJo anbrlrlod ollual uos sed 1sa,u al ts êLUQLu 'olQ,.
-eld êllêl ep aleltder el lteJ al op nuo^op'eLUOOlt êp tr
-ol lsa LUou er ap auBrp l.rodorleds lnos êl 'êuroolel) lnS
vt^t33HI
.outoojely
-tns aJlne un,p slQ.tQlL;
s0l rêurLU € sJole lueqlJaqr rrprlel un 'sllnq sanb ltloc
so-l^n0oueLU 0p lu0^nos 1rËe,s 1r sreu 'seOO;3e uou so^el,
sa,p alLerl ep no se1e3g11r aBerol ep suotlergdo soAQJq ê.
lu0uJLr-rernol lu0luoLr_i oLUul np s1e:rpu,{s s1r1ed e6 sii.,.
auuo sJn0l êp repel np luêu.roLU un atlleredsrp rnod alQ.
e1d e11er op lrlelor lnol luoLLtaiosr,l ap r1-red JO-ll rnoi-l
salerrd sep lo sJorpueqo"rluol sêp sLnolnoq ê^no.ll os
,:,i:,ïi'J,,T; :f i"i;i :'J :,i51 xî ::,;,],:i.l:^: I
: ololld np e8elue,te,l p sreLuel sutouJuegu luos ou uo,
-ua^uol el 0p s0LLllol sel rullgpqtd soOuue,p oJqL.r_tou u-
luernp 0llê lnod te11re,ret1 ? luaule8e8ua rnêl êp o8uaqr;
ue sqÂoldue ses p so8rer sop lrerJlo aplrnD el
'orrsluolo^ e3e,ne;:se,p êurtoJ alqeltJQ^ oun
OlrleO,
uo luêrelnLUrssrp epltn3 e1 luereuBrolet rnb xnel ? l psol
-otd uo,nb « slelJUo) » so-l opnltl;as jnol e "laddeqrg :
xn0rrs9p suêruro0lel) sol olllêLUnos rnod sapoqlg;
sêllolnou ep Laddole,rgp ? sllnH xne rAJês elsnl e a1 -
'anbrlerd u1 alqueld Jnol ap sJoq rollte^eJl êp suotutoc_
el) xne a-i11auled ap 1nq lnod
aur8r.ro,l e lre^e aleLl
-roLULUoJ
fl
oplrn) el 'sue olltLU bur: uo.rr,rua e,{ 1r eqgr{
La fonlarne ressemble à nn panache d'eau qut aurait gelé
en plein air, et rneme par les plus blasês des voyageurs
slellaires la considèrent comme un spectacle d'une rare
beauté. En réalité, elle est constituée de lvtntrium liquide
qui s'échappe d'une lrssure dans le lit rocheux el durcit en
refroidissant. Depuis 10 000 ans, ce malêriau se solidllle
en adoptant lrès entemenl les forrnes les plus dtverses.
En raison de cette morphologie en perpéluelle mLttation,
les Klalooinrens venère nl la fontatne qu'ils consrdèrent
co[nme une connexion vivante avec les Anciens.
Le Conserldes Doyens règne deputs un palais construil
tout près de la fontaine. Afin de préserver la lradition, il
a décrété que l'environnement du stte devail demeurer
tel que les Anciens l'arraient créê. De ce fait, aucune lech
nologie moderne n'est aulorlsée à moins d'un kilomèlre
du srte
louristes vlennenl admtrer la fonlaine depuis toule
Les
1a galaxie et lleaucoLip la constdèrent comrne une des
mervejlles de l'univers connu. Les scienllfiques contestent
cette affirmation et en parlenl comme d'une belle for
mation naturelle due au hasard. Le peuple klatooinjen
apprêcie le commerce genéré par les voyageurs, mals i".A §AVAruE FERËL&I{K
maLntreni un pérLmètre de sécurité lrès slrict autour de
Les plarnes herbeuses de l'hémisphère sLrd de Klatoolne
ce siie I les hors monde ne peuvent s'approcher à moins
drsposent d'un climat bten plus tempéré que celul de De-
d'irn krlomètre de peur que ler-rr prêsence ne souille la
relkoos. Les Klalooiniens qui 5'onl élu domicile sonl bien
mémoire des Ancrens. La seule erception à celte règle plus nombreux, meme si la Fonla jne des Anciens confère
s'applique à ceux qui se rendent au palats du Conseil des
une cerlaine importance au désert.
Doyens. Les laissez passer- sont nêanmotns rares et qui
conque en bénéficie doil scrupuleusemenl adhêrer aux Les tribus klatootniennes de la savane vivent dans des
restrictions rmposées aur vtstteurs non kLalooiniens par cilés de plus de 5 000 habttanls. Les maisons el bou-
Ie Conseil et ses agents. liques sonl construites à I'aide d'une sorle de substance
boueuse qui durctl sous le solerl et forme des abris irès
solides. Ces édrfices prolègenl les Klatooiniens des pluies
lorrenlielles qui arrosent les prairies aLt sullrmu[n de l'été
La principale source de nourriture dans la savane pro-
vient des troupeaux d'animaux indigènes : on !' lrouve
des voraxx et des bracils, que les Klaloointens élèvenl
la fois pour la conson0malion et le transporl
 VJJJTH 'It N lO sl{OdVA 5!a
rrnH llvdsl,'l
e susAoC S0p lr0suol 0l
0lÀ Q snl0 lu0S S I S0uLtatuto0rt
suo lrperl sopuaSç sop soruessr?Lruor srnêl -t3
la
- -r?^ q s?urlsêp sleq0p êp 0 -rQS êun lue.tnp 0lueuJo]_r,::.
rnal sqrde.p anb sure 'a:ua lgdro .rnal êp 1e a8g rnal ,=:_
uorlluol Lr0
sQUUotllê Ês luos sêtq[]êLU sos 0uioolel) _r,-:
sau-r0lur sê-ilellP sol sêlnol d Q lIor su; \o6 sJp JSUoI ;-
unlllE:lueruadrnbf
a r
arr) is g:$ aqë ru"Ë ï,.ir i *i **"***=*i $:§à*{:
0 ao ,"p U-rOo
sol1a,nbsro lLrelua:eldQp cp snlELl unlne,p luê_tllnos ou
l0'snleL.Lr sues nEê, snos _tê-t
dset 1ua,,rnad sêLtuotLloole )l []uoLuassreluê 1 + J stedg s1u,=
sêsnauË-req sellrnouorE arq qdL"Lty : sglrredeS
sall êlQ^ 'Il oreurnSue5 'a lu?-ro]rêd : llr?luol n8 ê11_,1
unlne: slualel . a onbrtr-n: t slqFÇp:sdrot q sd-ro3l autelo-rqr,r'{1ue-
0r^lns 'uotlQ_DStc srp-rnol? 0âei8Çr:aUUêi\out a?ljod I9 anbrlr_D:g s1q3-
: (lueuanbtun adnol8 ua) : lsêrQEo selurel a:uelstCl rêlse q lclolsrd :lueuedrnb3
'aus lo q1y seruelgdruo3
ounlne: sglrrede3
unlnE: slualef
e:ue rBr,1 'uorlda:l06 'IserQBQL sêLL]..1?) oluElsr6 'sd r
q sdroS : (luauenbrun ednolS ua) saruelgdruo3
tM a&)ffi)
''oIî- '-f-
.@EED
aÿ--)
ffiffiffiffiffiffi ,@@/ '@,
ê_tprolê_t ? lu np _rouuop lue,n,nad se1 o'sluenb
?suol soclnoJB ua soJ êun 'Ol,,'ltsse.lFe _rno1 ap ruol
alduo: s e-u 'aleUaut aun JLIêLUO logt sed luonltlsuol
au so lo '1uaugledgs sêst-rd alQue d sror-1 snpua,,r srnd
'suê u oolel)l seunal snld sel red sello_r8 êp lê sluolol
ffiffiffiffiffiffi 'sq1nq srprley s-:
0p l0rnlPLr lsllqELl .rn0l suEp sQSSeüle_t luos sLta lerleq LUou ne srolselq sop -rêtuelr ted luasstug tnb rne: 1r.:,
sol'sllnH so -red xroqt op slêLU un aLULuol s?rOptsuol xnarqLuou lo 'sue x p op -llled E luêAnos 'seunal sq
0pnlrlrês rnol luoluoLULUol suêlutoolel) op dno:ne;;
â.=;* r x::li s ru sÉ# T Ê4 i â1* J-ca=.1s
** Ê'"i"3 tr *EB!i+ St'l ; ëÏ *J #:ëîC * t** rm*.Ë #§ 5 ffi à##À3F**.8{ i#g
=ë
[; ereurnBue5 lneq luo"rl ur.r --
' L lue-rol-rod :lleluol ne a91tod : 9 anbtlr_n : slqBQp sarqLUOS xna.{ slna snos so9luouo'ld senoleq sop l-r a
t
: sd-ro: q sdroll oruourQ-r9l êp -l Llsueqs : lueuedrnb3 'srlelde la suruel sQLtel êp sÇlop luos s tlo'gluoJ uo..t_t?.
{êr-rnot agt-tod ? Qrlla un,p ornssêlq ap squ od y ? olJ0A olurol oun,p raue^ lned esnanStr"r nead rnel 1n:
.rêurrurl? lnad uelop êl 'ol tlnorq aun,p rr_rd n? lo uots êp LU r l0 LU 09' L Ojlua luê,rnsoLu suo utoolely so-
ses -red stol êun) suanuV sop uotlllpAuog : s911rede3
_rolLto^ ap ?lre"i_ -
(aleluaLlglddns sso.rls ep lutod I op Jêss?"t
req?p ês ep 9tralle Ê l e un q loulod d) enbeqS ssarqs
srndop lrasuo3 a1 anol ,{,nb alQr al la êpnl lilo Lra
^rossaunala
sanb ua allloLi-tot ? luêluoLuLr-tol sLlotutoolely
ap turod L op rosse-leqQp os op o1'rno: aç1rod € Qtlla un dnorneeq sreLl 'g1neÂo1 rnêl lo olilnop lna1 ..trluereB _l.t:
? toru'led 4 onbeq3 (f ) uaÂo6 tueuapueuuo) alueÂo-r: e11o: eltoldxo suaÂo6 sop ltosuoJ a-1 a3q,1 :a ,.
ap lsol un ranltolJO lnod uotlte eun _tesuadpp lned
lreuê^ olroJ e1 enb gsuad srnolnol luo suorutoolply sa-
ua,{op a I e nbuolgq,l el op suos 'lalqo rnod luauue_rri a1
rnb o redruorl no uolln.taol 'oLU.reLll êp slsal sop OlLnl sllnH sol rnod rnegpr suenrlrLLl sap lê s1ros s:.
-lllLp 0p sQp a êiotl?LUel 6 a:et dsro6 '(auoduro4 ap 1e luoJ uê'rerlelrdsoqur apuoL-Lt lnol JnS êlÀtÀllS ap stu-,,:
uorlo-rool ap stsêt sês snot E êrrta_rJ a atnop np I I luo rna rnb'sueiutooiel) sop suorleldepe sê-l sorlj:..
3TUQUQB lêlq ] ol]ar êrluol lequol op slsol sêl snol ses ep slrltalqo se1 r ldruotte ? oQUtut_tol?p luoLUêto_ l
ap ?llnlUlrp êp sop Z ê_ro
Qt s_rr^pv : sluelel
lgueJ a steu 'aluarqed lo êluessiOqo 1e_rçueB uo uorle ndod a-
9 a:uelrE11 '6 a _todLuo_r1 't plori 3ue5 '6 uotleno8gS lrBl p Lro'sue,r'op se-tdord srnol êp essaSes el uê lo slt,
' 1 sdror q sdro3'y (orn11n3l oluesstEUUOl'9 luêLUêpuELu sap ourl p aJnleu e ua suê u oolell sêp ol e1 red ar
LUol'a uotlo_taol'l aLUreLjl'Z oLU eJ : sarueleduo3 '0pnlrl-rês 0nEuol ollaf sole lso lo slEp os 'sutsses:.
êLLr_LrOlSllnH s0l t^_t0s luo'0lueuLLUop 0lel el 'su0ruia
elf s0proueLUnq sol 'sup 000 Ea ep snld 1ueln6
flTl f-o-) f-Eï-)
\g@l, \@4,/ f-rl 's0luelsrsQ.t
\@/ \W/ lê s0lsnr] lu0p luos suêtut00tL:
sol 'sluêB llêlLr sluelrqpq ses sudluol { 'epuor_u .
lueldned nb sernlegrt sêl sê]snqor sn;d sap otAJns :
ffi,.m,ffiffimm luasuo^r?J êrnluinou 0p solrnos 0p êQltLr-ll 91 1uenb .
lo 0l rgjrp lELLl t al
salpueld sorlne,p orqLUou -tns ê,'
'ouuêruroolell anBuel e1 itorl:a1rod e luop
? luosr,iLleul 0uroolel, lns sale_t snld uarq luos ot^ êp soLLt-toJ s--
s0rqur0LU s0s l0
'su0DUV s0p oLlreluol el lLrop 'ouioolel)
èp s?rles sêlrs sel .,ta391o;C op uotsstLU "rnod 1r-tarue1e39 5rc3c rlx §SunrvHul
 i'1:i r. :-

Terrain : forets. iungles. lacs,

' . savanes
Villes importantes : Kæhaxa
(capitale), Villecrête
Sites intéressants : Grand
Pavillon de la crête Rotoksa, com.Lre
des Chasseurs, porL lepa[ap
Exportations : technologie; vêhicules
lmportations : équipemenI induslriel,
matêriaux bruts. faune sauvage
Routes marchandes: Pabol Hutta,
hypervoies à destination de Sakidopa,
Sakiduba et Sakifwanna
Conditions particulières : forte gravité
Contexte : La gêanLe rouge Saki.Prime se siLue â I'une
des extrémitês de la Bootana Hutta, le centre du pou-,
voir de l:Empire Hutt. Malgré les radia.tions intenses qui
émanent de l'étoile moufante, la luxuriante planète Saki
§'épanouit, protégée par sa dense ionosphère. Les plus
'grands prêdateurs de ses jungles tropicales humides
sont les Sakiyens, peUple fier et solitaire qui considère
)u! fover
son ruytrl LUil
comme une [l
[ l lu uilE u riur)u rréserve
immense où uil peut
c)cr vtr uu perfec
puuL pcr rcL-
Lionner ses Le.chniques de chasse.
Malgré sa position au cæur de I'Espace Hutt, cette pla-
nète demeure.vierge de toute occupation hutt. Au fil des
âges, diverses puissances galactiques;. y compris I'Em- iri:itt'nl:., i"li:. ï*i: ,
pire Sith ei l'Hêgémonie de Tion, ont vainement tenté
de se l'approprier. Les asLucieux Sakiyens ont repousse
ces envahisseurs et empêchê la réduction en esclavage
d'espèces entières grâce à une tactique d'adaptabilité,
D ; r:'ry !îià, 3 tr'Ê' i,,.1r."#:,.:,' ";i;'i?','i'r :
" des Assassrns, parente ê1oignée et sanglanto
Cuiide
de mobilité et de guérilla efficace. ll y a plusieurs milié'
naifes, durant un de ces conflits, les Sakiyens se sont em-
oe a C,,i.cie oe: Chasrt.r'c, oc D' ltr\s 1ti.,s rcpan
. parês de l'équipement à répulseürs de leurs adversaires oue. Ce' Ê organ.sdito. tiir if e.lr q C. r.ri:0,'r:( I
'Or).L L',e de Ses , .blr.S a e n ,)p la ^ aler,re OJtl;e
et llont maltrisé puis reproduit
Oe \Or elal nalO C , gt.iS- le 'e pre : li lÊ>, ^nà S ul rl
De nos jours. la Lechnologique à rêpulseur sakiyenne SÊ re Ool;L pe,, r pe . ; la SJ -C .ro 13 0( rrslalr r,
fait partie des plus avancées de lâ galaxie, Elle est de'. Cuei're Civlie Calaclique.
venue Ia première'source de revenus de la planète. Le .eL. r 5 , UT]]L,C l\eni t'l La,l' Ct.tl[
.constructeur' Ubrikkian lndustries aihète la plupart des -e) i.O r/.ol.ec
moteurs à rêpulseur de Saki et utilise ces modèles com 0r-. Lis. e. .ê. o;\e- lÊ .,à1 Jl oe (o f trlg1 ot s ap,ê\
pacLs el elêgants pour êquiper Lous les appareils. des ieur prernier assassiirat. Les plns doues constitLrent
tralneaux personnels jusqu'aux barges à voiles..
ie Cercle d'Elile el onT 1e privilège c1e dislribircr
les conlrals au\ aLllfes membres. On raconte que
'ê Ét nrô *.,lrt C Jps iqs l\q l \ le , e\'d,' e i.l;e oe
Doter o Do1e".' .,,iC,.::, icl ,Ca. r: d',rr'
tueur ambilieux el lalen[ueux réussisse à 1'abatlre.

L,ESPACE HUTT
7E- LEr BARoxs DE ilÂL HurrA

l
 vJJnH -ItN tO StOêlVE St't
rlnH 3lvdsf,'l
sluellequrol l0 sJn0u0LU srn0llt0ul sol Jn0uuoq,l Jalnu
nlle lo êrxeleS el ap salo.rQl snld sol sarnleÇll sal ranb
-Erl rnod soQsrue8ro suorsJnlxo xnop orlua suo^r)leS sêI
luasodoJ os onb ql lsê,J ollr^ oun oLULUol -rêroptsuol el
orlrl êlsnl ? lnod uo,nb oLUrouQ rs sroq op lo o.rlotd op
0rnl)nrls 0ur1 tsa eslotoE OssPLll .o ,.,,,^rlJ.jj3,
].0
erdo;d e1 1sa rnb asseqr e ep uorssed el € oOtlesuol o-lQ l
uê
lnol Qln aun alnorl os €slolo5 seu8eluour op ou1eql
e1ap sgSrauue 1e xnaur8rlra,t slaLULros se1 rulred agqrr5l
3IIU)T1"IIA
rosrlelol el ? luouuorA.r€d rnb setresre,tpe saler
sol OsejlQ 'exeqæy e a0uuoluel 'l)es 0p 0trelrlrLU 0lroJ
alsopouJ el
rLLlouuo,l op sureLU xne oQqLUol sreruel 1se,u
lo suorJOe sluau;Oprequroq êp lrêJJnos sreurel e,u exeLlæy
'{)ieS sarqns e,nb seOlQdOr suorse^ur sap 1rd9p ue : eredse,l
srndap ?lrr el rolnLUrssrp ? onquluol êLr-rQls^s oJ olrqto uo
xne0ssre^ s0p sl0nsr^ srouuels sal lê srn0suas s0l allrnoJq
'atQueld e1 ap essredq qlpp e"lqqdsouor,l q aglnole 'rnb
esna8enu asseur oun rsur? luoQll lo loil ol suep ogsluor
;nade,t eun lualrelg luauJêddeqlQ,p rne,{n1 sac solqels
luêLUOuuorlluoJ ap alnlelgduol êun e luêlsor uorsnJ ?
srnolleQr ses anb rnod aqrletl neo,l op luêsrnd srnollerl
suoÂer sluessrnd sos 'ueolo un olo^Jns allo pupnO êllr^ el
ap anbruraql ernleu8rs el ornpgr rnod QlplS rre,p souuol
op srarllruJ sap luossprq uorle.rQB,p soqlnoq sassot8 a6
rnol q sq:re,p soQUUopJOol ep sed asodsrp eu enbuor
rnb rnod rêsrlelol ç olllUJlp luêpuol el ÇlrllqoLU es lo
uorlernSguor es 'exeL{æy ap QlrsuoLULUt,l ap lrdqp ug
§§H §W§§ ruffi
'or^r^rns rnod e,;11eq os lualrop
lo sêlQq sel ruted 1ue,u,t
snllxo so3 auuaÂryes gl9oos el êp stuueq le o.tqLlros
nead e1 ? sursnol srnêl Q srnorJQJUr oLUulol sÇr?prsuol
luos enbrlgugB erleLloue ollol op soLUrl)r^ snpr^rpur sol
'lrnu ap solqrsrA do,rl lueuueleBQ luaJQAB,s s1r 'senbell
sêl luEJnp a13unl e1 op luoLUOUUorr^uo,l suep oJpuoJ
as ep selqedelul uorlelaqe êun êuLUo) sgtgprsuol
luos 'oJeJ lgin1d e:pdse-snos oun ltell lutol ne sueÂr>1
-ES SOI : U€I] INOI INOd NO SOUJOLU XNA INOd JNOUUOq.I
JalnLLrnlle,p uorsello,l sed 1uo,u suê^r)eS sol snol
'sanbtlreleB 1a se.tte19ue1d slal
-ns sol snol lueuroluol solrl)ollol suotsn?p se1 lueuuatd
rnb §rnasseqr op olllol ne sgr8qlur luos sluessrnd snlcl sel
'xna rured elnoLu êp slêr,ll sap luo^nos luouuor^Op sJêU
-JOnE lo slnelsrd sJnêllrêLU sal lueJouoLlsOp laLllQ un onl
-rlsuol lênp uo nluren a:lQ no arold aun,nb gsnl surolu JaJl
-uoLU as 'arerJuol ny egreld uotq alllQll oun no oqlueiq
oure êun lole ssel un êrlleqe oLULUol 'ltoldxa un lr;duor
le lnel lnouuoq,l JOlnLUnlle rnod (suolleurolur,p snld
Ir
:nod '56 e8ed 'ue{r1es rneuuor-lJ ll) Jtllallol rnauuol{,]
'1æ»1111fr
,1e ronquluol lo 'louuosrêd JnêuuoL1 t1o 'lætqluoa
uos ranresgrd sroJ el ? lrop oTqLUOUJ enbeqt Lto 'solnoLLl
s_rn3
's9lr^rlle sarlnS
no senberl srnal arduto.r.relur q reBrlqo sol sues osseul
ep suorlrpgdxa sêl lo s91osr sa8el1r,r sol rollielr^e-l rnoc
alQueld el sJOlerl g anbrlele etrol:elet1 aun alun-rl
-uJa exeL{æy '0reuuorJeJS rOlsar ap narl nv uerl)uq^
le tanbqo[,\ 'oupv-seIl 'q]alerv oLUUro) sanbrlrep!
suorlelodlor eAQLU sop LUou ne suorl€^ouur soJQrulea
sêp Olr^rsnlrxe,l .rugnb:e rnod exeqæy € luênr as rIeS
JUêlrsr^ rnb sreBuerlp sêp ol ..roieLU epuer8 el srêArun.
op sêlalUlo le slreduro: snld sel lneslndg"r € slnoloL-
sep lrednld el lua^r05uol s1r,nb alue11olJ Oln ollo-
suep lso,l re: raÂo1 lnol aLUutol exeUæ) luo"rQprsuc-
sua,{ryes senbqrluarrs 1a s;narugSur sal snol enbsar6
0ulsnpur,p lê soreJJe,p sOrJU0'
sluel"rodur snld ses le lrodorleds ledouud uos oJuc?
ollo rel'alQueld el êtnot € alelrder op nêrl luorl exeqæ>
'sanpuedsns sollonor8 op êrJQS aun luaqLuoldrns rn.
sosnanou soLUroJ xne larr a11er8 ap apnlrllnLU aun,p oQ-.
-uornor lso all: e8rel ap saJlQurolr)1 lrnq ornsêLU ouua^l!
es alodorlgLu el'olo^;ns e11e,nb e13unt osuau.rur,l aa
sl;ê^ lo snolq suol sêr.1lu sal :e,te lueuerd.rns olserluc:
un arJJo IIeS op a8esÂed np snssop ne apnlille uo ollo -
tnb exeqæy egsrtdeq rênernp êp ?lll anbselueSrB e-
vxuHSl»t
sureqrn so.rluèr ep eguBroc
eun reddole,tqp.rnod sqq;o1 êp souoz solqr?l op enb gsroc
-Qp luo,u sua^rIeS sol 'êsseqJ op surerol srnêL op xlron
ladsoè elQueld el op arol op Orel arlqLu enbeq:1
ênllsêrd luor^nolo.r lIeS êp solueunxnl selSunl sa I
d ru æ §&WmËH ffiS er I
luoLULUou s1r,nb suep ua sqsrue8-ro luos suê^tIeS so-l lE,:
uol ne enbrsÂqd olroJ rnol ep no a8elsrd op sluoLEl srn;
ep e,tnard pl lreJ luo rnb snpr,tipur sêl Jnauuoq,l ? loul QIO ,
os rnol asseql pl op uossul a1 rnod 1ue,r,r r)eS op souc-
-qlolne sel suaÂ11es
stnelepq;d sap gsrnBre llutlsut,i lo. a
I
rosrleAr"r ap selqeder erxeleB el êp solQdsê sêl luos so..tE:
3unl]nf, II NOII\findOd {
'uorleuru.rop 0p 0LUJoJ alnol q
ltelstsi. î
r1e5 anb lrêAnolQp luo sllnH sel'enbrurouolQ no êlL,
rlrLu uo5e1 êp lros er enb 'sue,{rye5 se1 r rgnbuol ri.rcl
sQlQdQL stroJJO srnol ap ldgp u! sQ)tns ap dnornea:
JO.rluoruor sues sreu.r 'roqlneqLUê sel rnod selsrletrgds _:
SJn0qllêL1l Sol êllnpAS 0p lU0LLlLLlelsUol lU0lU0l 0pUO:.,.
-sroq slonUJo slueluesprdai se6 senbrl:eleB suoLlero:
--rol sêp )o^e slerluol sep luet:03çu no rnaslndgr ç srna
ouJ sop lua,rro5uo: s;r e11anbe1 op uras ne oluellolJ all
osnêl!ol êun su€p luollrelerl la luolt^ a:qdse,1 op sor E_
le,p sêLULUoq,p 1e senbgrluans ap'srnêruQ3ur,p suorl iu,.
:;; .:il ii Î, :ii.i :i:'d?i' :i i. :::,: [' [' :'J : ul
§§§[u §Hmi§-LwG§§Hd
 fréquentent le Pavillon où ils savent pouvoir trouver des
conse.ils, ainsi qu'une almosphère de camaraderie et de
.compêtition. Là, ils peuvent échanger des anecdotes de
chasse, prendre des dêcisions communautaires, labri-
quer du matériel de chasse exceptionnel et apprécier le
son de la tradiiionnelle llûte de pierre
Le Crand Pavillon et la ville qui I'entoure dominent une
immense vallée de plus d'une cenlaine de kilomètres de
Iong nommêe Ia combe des Chasseurs. Ses gestionnaires
importent des créatures des quatre coins de la galaxie
qu'ils introduisent dans cette vaste réserve de chasse. Un
bouclrer à particules s'étrre sur toule la zone et empêche
Ies animaux de s'échapper. Les valeureux chasseurs sa-
kiyens viennent y confronter leur lorce, ieur taienl et Ieur
ingéniosité à ceux des bêtes les pius redoutables de l'uni
vèrs. Certains Sakiyens en profilent également pour se tra-
quer entre eux alin de peauliner leurs techniques ou pour
régler des questions d'honneur lors de duels sanglants.
Au lil des millénaires, des êquipemenls rustiqLles et
mocle.rnes ont étê construits sur la crête voisine du Crancl
Pavillon. Ces lieux hêbergent les aspirants qui n'ont pas
encore merité d'entrer dans le complexe ofltciel Ce site
baptisé Villecrête comprend des dizaines de boutlques
vendant des armures, des provisions et des armes, ainsi
que des tavernes et cles dêbils c{e boisson pour accueillir
quiconque espère devenir un jour un célèbre chasseur
De nombreux habitants de Villecrête passent leur vie
entière à tenter de devenir membres du Crand Pavillon.
La pLace de Villecrête est surmontée d'une haute tor:r:
rl s'agrt du quarlter génêral de la branche sakiyenne de
la Cur de des Chasseurs de Primes Crâce à un rêseau
de senseurs el à des droldes à holocaméras dtssêmlnés
à lravers toute la combe, celte organisalion suit les pro-
grès des chassenrs dans la resen,e el enregistre leurs
accom p1 isse m e nts.
Ceux qui es impresstonnenl se rrotenl olfrir une p ace
dans la guilde et on leur confie l'élimrnatton de cib es
presligreLrses, par l'internnédtaire de conlrats galacliques
lucralifs Ceux qui font perdre du temps à la gu lde, en re
rranche, risqr-rent de s'atlirer ses foudres, car Les membres
de celte élrte ne sont pas vratmenl répLtlés pour leur to
lérance à l'égard des rncompétenls.
PCIRT IEPAirAP
Sur la côte nord de la mer Kaasban se lrouve une pe-
lrle crique Là, au cceur d'une jungle toullue, se niche
un bidonvrlle lenlacuLaire bapiisé Port Iepatap. Des
milliers de Saklyens exilés el déshonorês -v vtvent dans
des cahutes branLantes conslituêes de débls el de dé
chels, luttant pour survrrrre dans la forêt lropicale tn
hospitalière. Porl lepalap est Ltn cloaqLle malsatn donl
les habrlants succombenl souvenl aux maladies et à a
famine Les réstdents en bonne santê loutllenl les or,
dures en quêle de nourritLtre et lraquent du petil gibier
dans es environs, même si es proies y sonl de plus en
p us rares.
De nombreux bannis dorvent leur vte à la génêroslté
apparenle de la CulLde galactique des Assassins, qui a
rmplanté une succLlrsa e dans la bate. El e y alfrèle des
vaisseaur pour chasser d'immenses créatLlrcs mannes
dans les eaux prolondes et les propose ensuite aux op
primés affames en échange de créances et de faveurs.
Les vrliageors endellés à 'exlrême sont conlrainls de se
battre à nnorl dans des arènes de gladialenrs, land s que
La guilde dilfuse ces connbats à travers loute la galaxie
via des canaLlx iiLic les et prend des pans sur leur issue
On promet aux rratnqueurs qu'on ies fera sorlir de 1a pla
nète, majs la guilde honore rarement ses engagements.
En gênéral, elle pousse es gladialeurs à continuer a se
batlre en faisant monter les enleur jusqu'à ce qu'i s se
fassenl tuer, et menne ceux qut parviennent à qurlter a
planèle servenl généralement de chair à canon lors de
m issio n s-su tc ide.
Ce syslème implacable convtenl parfailemenl aur Sa-
kr5rens qui occLlpent le sommel de L'éche le sociale. el
de nombreur réprouvés sonl prêts à toul pour une meiL-
leure rrie Certains Saktyens que 1'on lrouve dans la Bor-
dure Extérieure lont parlie des chanceux qui ont reusst
à êchapper aur cruelles afientions de Port lepatap. La
plupart des habitants du bidonvi e préfèrent ne piLrs 1a
mais ir mç11r.^ les preds, mais quelques rares survivants
s'efforcent d'y relourner envers et conlre toLlt, dans le
bul d'alder des proches ou des amis à s'évader, ou pour
se venger de la Cuilde des Assassins et de ses sbires.
 vJJnH'M tO SÎ{oluvE S:tL
!-nH llvdsf,l
l9 êreurnËuaS I lteluol
n3 aollod : r onbrtul : Lt slc8Qp : teltSnd) sêQrÇlesluap
'(1 1ue;o1La6 '[ ]uolro-rlQÂêUlul : 311ps3 aÊlrod : g anbtl
rrr : I slq8gp : 1e1rBn6) |ose,t sêlutd : luauadrnbf
r lrrPqes'[êLUJa] o"UOl el ,1ns o_t^t^rns tu JOlsldQp
os ru lnad ê11 srsLU'neo,l suep onlo^Q lt,nllsrol luêulolEld
9p êp snleLU Lrnlnp.p O_uJnos 0u l0 snlELtl sues nea.l snos
Jê,ildsor lnod itnIS all onllllenbe ê-tnleQ-rl: sgl!)ede)
unlne : sluolel
l0tAlns
'z êluelsrsÇu 'a lel tsnd 'z oL!stlQlqlv : sa)ualgdruo]
reTn \@/
@
f Br*} f\@7ÿ )
ffiffiffiffiffiffi 'slnolntgstad slnêl olluol,it^nosse,p
lu0lUq s1 ,nb e:ueeSua^ el êp uotlEU.lelul olue^t^ 'a oq
-ru.{s un oLULlol enbtql,{u ê-tlsuoLl a: luorqprsuot deled
al trod 0p sourqle s? lxê sop 1_rednld e1 91i1e_r391ut _rne1
suep saBedrnbO slnol lêleAe lo s"lêtluê so.l^eu sêp têJnol
lrernod 1r,nb anbsequeBrE rs lreras æ^ sso O QL.LrLr-rou
sourqle lLn1s un,nb oLUQLU puolgrd alo111o1 êl suueLU
xno-rqLrou êp o el a8ueq:ç ue luauueld solqelnopa.r
^
sê"rnlE0rl s0l steLU'_tLeql lnol tnod soqlnpe sol luosseLll
lIeS 0p s.lneuuod"leq xneosstE^ se1 sa9:a13 srnêpuol
ord sa1 suep luêÂt xr-têutLLlnlo,t snld uorq sr-tau_r:9ds sap
sreu'3uo1 ap so-tlQlu bur:1ergu93 ua olrsêLLr _r nIS êl
sauua,{r1es sloLl soll
slueIerJJO snld sa1 so]lsuoLU sop un,l rn1 ep 1uo1 sanbrl
sr,r?lle.rel so3 erord es ralnldel _rnod lap_rep lnad ,nlt
slr0ser sêp 0LUUol segsrnEre sOlrLUQllxo XfE Xllt?JluoÂ
sa: puodde sBuol erlenb op lo s?.tgle sloJl xne ê_ltoLil
gLU oun,p Qtop luaLUê1e39 qse 'xna_taEuep 1a eprdep
1r
laslndord es rnod lros os il luop lreluê,,rp uo anenb
oluessrnd oun la luesrnl sd-ro: un epqssod eto_r91 anb 1rs
-seLU rssne urJeLU -tnolepQ_td a3 .lrn1s olquroLl,l opQr
NeS
op sueQro sep sa9:e13 lo sorqLros s"rnepuolo:d sol supC
fltwpqreS æqæ5§s ruæsss*d
s0llou0L.Lt 'Iuor]QrrstC ap slsol sêl
snol q I I olnote 'luoLuossteluo ; +l ouuaÂr>1es e.l1rn1
uosreurq LUol' [luauasre,ruaU' g uo]lpluoUosQC'sluesstp
Lnolq s1gE96 I ouueÀour eolrod : j enbrlu: : g slg8gp
I êt-têllllrvl 6Z-C lêlleS .rnaslndgj ? i snl : lueluedrnb3
ounlne: sglrredel
(a1t:ggrp ure'lra1
ua Lareldqp es rnod slênltqeq snlelu sêl sad lrqns auJ
Qloe^r1'[e1qr: aun ]ê^norlor rnod alessa:qu sdrueq a1
ÇrlroLU êp ltnpQl : sêleJl sêp lêAnoll no ê.1^ ns _tnod sgnl
lêJl0 sls0l xne !! ajr1erl 6 guuor^oql _tnêlsrd : sluelel
; a:ue rôr1 '6 er,t
Lng '1 uorlda))ad'e (se"lQBq'
saurLyl êluelsrC 'l uotl
Q-nsrC'l uorleutprool't aLUSllQlLllV : sarualgdruo3
ÆTo} f rr)
\@@/
/--Ë-\
\@/
"@
ffiffiffiffiffiffi
oÀrÀ no a1'tou'atotd oun -touoLUe-t tnod-tesrnd
!o leuês.re un lnol ap quesodsrp s1r'ernaugdns srneslndgr
ep erEolour-1:ol Jnal lo solo-rQJ sllutlsur srnol 'sQqrolexo
suos srnal ? elgrt salueEL loluL sê-tnlaorl sop ronbe-rl op
113e,s 1r,nbs-ro1 suê poj so t ?uêr-.tJLU sJL lè syu?3 slnonll
-E..rl Sê lêÂ8 luos le^i-t sua,(t1es seuUd ep str.tossELlt sol
ilreæeew§ &§ffi§pëws ssffissd Ë# #nssËs**
[luouês-roAuoè'"]nost-l€
: olrnol oQlrod I E enb lt,t: : 6 slg8qp : lp t8ndl soQrole
se11u3'(6 oreurnEue5 : llelLlol ne êQl.tod : 9 enbtlt.r:
:9 s1939p : 1e1rBn;J sêlqelnopêr slo-n : lueuadrnb3
Z lL-reqe3'[]uêLUassrelua uos ap aldr-uot uel
sues luenbelqe.l ? êrnssolq ap lu od I rêStlluunod (6) (È)
rasuadqp qned py1 a1 'sd-rot q sd_ro: ne enbelle eun,p
srol ?Lllnol lsê sser o puenll) Qloqreq ln3: sglrrede3
unlne : slualel
z Oluel
lSlA t or^rnS 'f ie1 3n6 '9 r-torlder-ra6 : saruelgduro3
aITn a-on' r-o2_) '-e
,@ .<@@r \@7 rQ@&@z
l
.ffiBffiffiffiffiffi.
'xner:9.rd sn;d a1 lrorq -tno oLULLtol oLlEl êllal
luoss..l
-Qqr slr lê 'selêlnol.lna1 ap eguErod e1 -rauuotltelero: rnod
Çnl sse.r-leruald lnêl êp s l"nou so sêl luêstl1t sue,{r>1e5
sêL 'luêuro lauuolltpe{ roluolJJe sel tnod a-treder _rnal
suep enbsnl soJlsuoLu so) luolnos luanbeLl lo 'luolEl
ap lê olroJ 0p uotle_tlsu0ruQp 0un,p Lr-lnuJLUns 0l 0LLtLUol
sser un aJluol l-lolu q lonp JL luêrQprsuor sua\r1e5 sa-1
'êQuolel a13unl e1 op sênl1nol sarqQU?l sal suep
tuepuol
0s u0 lnol urol êp soleuêLu sa1 ;elgdel 1ua,,rnad slr po
nag a1 red sagsroqQp sêuoz sop suep luêqlru sser sol
orllPqLr-rol rnod elqure sa11ed
s0s rns ossoJp os 1r puenb serlqru erlenb êp _tnalneLl
elueuuorssaLdLUt aun e outLrlnl sset a 'seuue,{rIes slQlol
sosuêp sêl suep so11ed arlenb ? êpQ-r l,s otlQl tuell
ap renbe11e,1 ep eqrgdiue sgrgre s1r-renbrd ep egsstrgq
êurqrg uoS sêQIOluop se11r_r3 sas op sroAOr o dLUts un.p
s1ua3r1 equr sotlQ
sop;edn1d el ra_tQlsrAÇ lnod rnaln:snru
0luopolspLU 0l'0_lTou o_tnlnol anËuol êp neelueu stedg
uos snos sser luessrnd e1 teq:adsar op la o.rpu erl ap
uosrei luo sua,\tIas s..tnosseql Xnê-]ûêl? snld sa auLq4
§sxssp*æru§ sswtr
.êLrrls0
alneq Ll0 lu0tl s0l uo
la rnêle^ 0p salresjê^pl? s0p êLULUol s0Q_rgptsLtol luos
sualir)l3s xnoiqLUOU op ?il€sseLU luer\e satnlegll sourEl
.l03 sua,{ 1es s-lau.lanE sa1 -ied pnbe-r1 a-rlQ.p rnêuuoLl.i
e;erqrB e3 rerglrlord ep seBe,rnes solQq xnE êl:lloLrl
--rod ep uUe'ouuêItIes e8let,r lQrol el rns _raigtdrue
lUêUU0l^ aU êlllSnpUl,l lU UollES llr\ ) el lN S-lnoSSeql
spue.rËsop osn-t el lo otroJ e1 1ueguo13 sue,{t1e5 sa-1
srJgo rr ssun.ttEu)
. Al I
Villes imPortantes : AI-CamPur
lcapitale), Dnalvei, Meirm CitY
Sites intéressants : Ouay'kizac, cÔte
de Cuivre, canyon des Os de Cristal,
plair"e de Cueva
Exportations : mer( ena 'es. m.nerais.
gem1lPS

lmportations : biens de consommation, eau

marchandes: passe de Sisar, corridor

ug.Ja,.
futes . ,.,,,rr*
_.r,'';;;ffi
Conditions Particulières : aucune
Contexte : dans les prolondeurs du CouleL de KreeLan ll y a bien longtemps, Ies HuLLs sont arrivés sur Sriluur
se trouve l'un des ports lei plus mal famés de la Bor- pour exploiter ses farouches guerrieis et ses géné-
dure Extérieure. Le monde dêsertique de Sriluur est reux dépôts de minerais. Les gisements lucratifs et les
un environnement rude et impitoyable que l'on peut à gemmes ont également attiré les prospecteurs houks qui
peine qualilier de planète habitable. Son hémisphère ont établi des colonies dans la zone êquatoriale de Ia p.la-
.noïd esl grêlé de monlagnes volcaniques, de coulées nète pou.r extraire du cuivre des steppes êt écrrmer'les
de lâve, de lacs caustiques et d'activitê météoritique. mêtaux en'fusion des flois de lave. Cette intrusion a cr:êé
Au sud, le sol est beauco.up plus stable mais affiche des tensions, qui ont dégênéré jusqu'à exploser avec les
nêanmoins les signes d'un passé tectonique violent.. conflitsHoukWeequaysunedécennieplustÔt.Cetaccès
Des canyons rocher* tailladent les vastes étendues de violence a abouti à une incursion de l'Empire pour
arides et des forêts de crêtes d'obsidienne dentelêes se mettre un terme à. de nouvelles hostililés, conduisant à
dressent vers le ciel. Ce paysage cruel.et funeste est le. I'annexion de Sriluur, qui se débai encore aujourd'hui
loyer des Weequays. sou.s conirÔle impêrial

,,,t['l1r,l Oe\ Wi.r,,].1â\ ; l(r i ,l.r''l\ Ouay'va p()rl.a;ru l'tnal Lrn t.oup lal.i:l à son a(lversa tc'
U iJîJ:,.[:x'J. I ir..' r (l rt \r,1rr rr,ir rJ, ,.1 r,lq'519,,' u{ l lUl S(. llT',
u Au comrnencement élaicnl. Srt'quaV'va le Pt'rr. r'1
[ornril r,:n os dr: r.risLal notrr-ts. Dans son agonic, LLrLrt
S. o.r ." la \lnte. O ,i
n ,n.,,-'l ',1 r. q r jr1rr. 1' . yra1l3i' en appela aux r:ieux et le granrJ dreu Ouay, k: plr-rs
Ltravr: rles aul.res enlanls de Si'Qua'ÿ, rèpondrt aLl cri
éqLrilibre nrul.uel. Mais le Père r-hercha à rofilpre ceile
r.lt: c1élressr: cle son f rere
harrnOnie et c.rôa une CoIr d':r, lor-;lle urs f rO rr ter rolgnt:r
.

cle sa gloirr:. Abanrionrrcc à \a s(,lil Lrdr-, 5r'qu.rv insuifla Ouay re pril. lc cc-rrnbat crrnl.rr,r OLtay'va. ll nc rr:Linl 1,as
vie à dos enTants aIn rlu'tls l'aimc:nl à Iellr lour. lo ;r trs ses coups cll, ayanl pris I'avan1.age, il banrriL Oual l,'r
pirissanl d'cntrc eLlx at;rll lC grand gucrrtr:r 1.Uur Jaloux O.,l lr.\ ', t( \ r!r, 1', ',. C .,, , ' , rrr (l( :(': r l( \
.lni n,U.(,1 r:, l,: l-1, Jl \ OL{rr ' \, \r)1rl r ll.ti' .,t,, n I el s«:'ur, Rarjuor le clier-r dc la nuil, LJuru la drli:sse,-it'
Ouay'va, la prètri:sse gtterrièrc iiotÉe ciLr poLrvoir rJr-r feu. , , r \, \l .i. ,',rCt. ,J,' r '..t. 1t, r'l R'r t I r ttt:r-çs(
Ouay'va tji.ha Lirr-rr, r:L ils s'r:ngagèrenI datrs Lrt r.je: la vie, lunr<rlli: iir: L-uur, lc: grand rlicu dr:r La lune Ou;rv
cümbar1. nrr-irie1. La baLailie dura Ltlte clcrnilé, trars ve iilc sur la l:rlson e tcrneile dr,' Oltay'va. ,
 ]:: e^onl Op ernot,tglul auteld
e1 ep 3uo1 ol sopos setnld sep
uorleluau8ne,l qnbo,ro"rd e LUou
er ep seuB p sêpuerllo,p oluêsqe,l
,!ti:-:t enb quapuelg.rd sauroul sol la elQueld
el rqe^uo .ro,ne sqrde slonlu solUules
xne uU sru e e;rduu3;1 leu.irll ol arrpgld
l0 rnl lo^e JOrunLLtrLtol 'lnod anbilsÂLu 1eq1
e.trerd e1 luellnsuo) sellQld ses'tnq,p"rnol
nV sOlqules sap sroJOrlne luerenbrleld
)leL1s-LUV,p slo^Qp sal t_]o 'IeLls êp 0rQlseuour
np Jnolne senbuluatuo: solllol uo alrn;lsuo)
lso rndurel-lV slue8r;1a1ur saJlo,p olros olnol o,ll
le ouu0rprsqo,p sÇlsn.nur sêrUrp?,p le sQlB op sluoLU
-1LoLU do eureld o l.A J lôl uotlpcj lLres .l,tdl êrr*oJ
'arpnoJ el op ,(enbee,u norp oJ 'IeL.lS LLtV luorQprsuo)
sluElrqeL.J sas lo rnnluS ep elelrder e1 1se rndue3 1y
:i-'.',:::=l:,'':'t' oJduJOXa,p astnA uo s^enbooM slt^ll sop
1uêùarqrln8g"r alnlgxê 3eer15 'eledrruud ;nor el sueC undnTr:t-lv
resrs op assed e1 ap 3uo1 a1 sellrnolled sol ouuoplool ir
11o,p '1e-lgugB rerlrenb op lros ua,s 3eet15 ue,tieg leugdurr Qlr^rlle,p luallrnor8 s9lneunuLUol salsoporu ap'etierd
;naure,tnoB a; 'rnq,prnolny soleq{rl seindsrp sol aJpnos 0p sê^Qrle s0p 13 sJtsoirol slel sêp 'sluel!_Iq salqes s0p
qr rnod Âenbaa,n sua^oc sop lrosuoJ e1 .red gsrlrln srpeI nêrlrLUnV Largdsotd,{ ? rssngr suroLUUeOU e ot^ el steLU rl
axa;duror luoultlgq un o^norl as olQlseuoLu np olel ul 'lrasgp osuourLLr un lso rnnlus ap erltecl arneleu e!
§§ MÀ§ htyld I\! o x-tvll§H od ru r
to l- e l-sr oq luos s^enbêêM sJrJlsuo) lo sJOu^no 'soJreuolJOLU sol
sop uorlnlosg-t el lo..tnpuê q,nb trues e,u rnb e:'e^onl op sanbr8olouqral s;raredde sep 1e elqelod nea,l op oJluol
soureld sep xne3911t se.lreder sgsoddns sêl o_tluol salll srer;ranB sêp la xnelOu.l sop'sosnorrqrd salerd sep
-rund sadde-r1 sap red tBeç-r e eLrdurl,'l 'luêLUêll slt^er ap luea8ueqrQ 'xno lo^e QlloLULuol 1uo sÂenbaa,14 êp suell
Jo^ud sal -mod enb lUold un.to_ll ua rnod luel 'xneugdr_ur sêl lnnlus rns sOAure luos sllnH sleru.;eld sal puenO
sroAUol sêl luoLLta-tQtln3ÇL luellrd lo ]uenbelle sÂenbee,r,r 'e^anl 'nOJ np êssa?p O)tJllnJlsêp
selelrd saq -tolêl.leU se1 lnod lnolred ned un luaddolerr
e1 ep sÂenbee6 sal Ç^nes e 'orolllol ,lnêl uolos 'rnb Âeng
-gp as Âenbaer,\ olLlplstsQr ep sadnol8 sap lnnluS rns
esr-rdure lnal lsa xnêrp sal op êrl1euJ e1 uogqiued Jnol op sqlrut^rp
luolioJUO_r xneugdr_u1 se1
anb olnsaLU V
sêsr0^rp luerouoLl sêlla,p 0unleql'sêl?qul sglnEUnLU
'agurlsep a"tdold -LUol uo lu0^t^ sll pns erqqdsrutQU,l lnol suep sç; rdredq
rnal op eiqnb ua no seqe-trd auLUOl 'sllnH sêp alt^_tos slueuaduer ep egu8rod eun luadnllo sêleuol sauq8rp
ne apuoLr-r _rnêl êp stoq luêAr^ s,\enbaa^^ ap suot itLu sop ur SOI « Âeng ap seldrrsrp » selie's^enbêe1u1 xnarlrlsrad
'oll0nlle 0lnaq lV.alqueld e1 adnrro a_rrdu3,1 enb uerq -ns l0 salsnJl s0l luos .lnnluS op slu?lrqeq sleruetd sa-1
sllnH sol rnod e.trrnæ,p uteLl êp so)rnos saledrrut-td sel
srunJrnf
II SNOIITrINdOd
'êpuoll-t in0l 0p
alQrluo) a1 rnod qtltd sues Qllnl luo sarqdsa xnop sêl lo
'snuo,rred luos  slnog sal 1e sÂenbae14 sol steLU 'at^r^
-rns Â,p olllUllp 1se 11 s.letlelrdsoLjur luauloLrQrlxo.lorl
-uou.i os luo^nêd sluElrqeq sas ouJLUol leLUtll uos .taJ {i
'stnolrsr^ ses sed e8eugui eu rnb epuoLu un 1sa;nn I
§
\
ÀH§C §mrd
mffi ;xrrkHm§ w-T
 ,l
En déprt de 1'oppressi,,,e présence impériaLe dans la ca
pita e, Al Campur abrite Llne considérable activilé ct imi
nelle. La l'amille hult Desilijic a conser\'é ses enlrepl ises
kffi
illégales sur place malgré Les tentatlves lmpérlales poltr
supprimer le crime organ sé Llncapacité apparenle de
l'Empire à étoufler la contrebande a incilé e Vlgo Spta .
du Soleil Norr à organtser des réseaux de lrafic d'armes
et d'êpices, de produits iliciles el d'exlorslon de fonds à
Al Campur. La rL-tmeur prélend égalemenl qu une cellule
de recrutement rebeLle opère au seln de la clté
ffi
DNAL\TEC
À [renle kllomètrcs des campemenls coloniaux houks,
à la frontrere des plaines de Clteva, Dnalvec est le plus
grand port de Sriluur. Les trois spatroporls de c asse stel
laire de Dnalvec sont touiours bondés de cargos houks
chargés cle cuivre, d'aurodium et de muLlinine. Suite
aux reslriclions portanl sur l'cxlractron d'hollinlum, que
ffi, l'Empire s'approprie pour la conslructron de turbolasers,
Dnalvec est devenu un reluge pour les conlrebandiers
t qui cherchert à latre passer cet élérnent super loLtrd
sous le nez des douaniers impêriaux. OLlant aux piloles
honneles, rls se bousculenl pour importer de l'eau po
§k taltle jssue de la planète voLsine Sedri el reparlir avec
des souLes pleines de cuivre.
Dnalvec héberge plus de trois mille comllatlants el
k clresseurs de raquor'daans Iloups noirs] à l'lntérleur du
complexe de la milice Ce redoutable groupe de guerr iets
\,veequays, veslige des Conlljts Houk \Neequay. monte
la garde contre les Houks et aulres étrangers ll profege
êgalemenl les abords du campement conlre Les abon
danles bêtes sauvages, comme les redoulables [rou-
peaux de kashams.
MEIRM CITY
Siluée sur le liltoral esl de la mer de Meirm, égalemenl
nommé CÔ[e de Cuivre' Melrm CitSr ç51 un centre indus
trlel et rellgreux llorissanl. La citê enllère esl neppée
d'un brouiLlard verl épais érnanant des sables cui\ rés
qur s'oxydenl sur 1a plage. Même si le culvre pulvét isé
abonde sur la grève, le ramasser sur place nécesstte un
êquipement trop cotleux pour en tlrer un prollt. Les co-
lons houks 0rêfèrenl donc forer les monlagnes élagées
au nord de la ville pour remplir leurs quolas, tand s que
les Weequays excavent avec précaulion les mesas sa-
crêes au sud pour acqr-rilter leur tribul enrrers les Hutls.
La rivalilé séculaire entre les Houks et les Weequays
nécessil-ant leur sêparation, un canal divise la cité en
deux dlstricts ; les chemrnées des rafltneries houks vo
missenl de la fumée au nord pendant qu'au sud, les
hutles de torchis el les pavillons des artlsans weequays
débordent d'armures de bronziutm, de sculplures et de
vibroarmes. Ce fossé limite les rixes, mais les heurl,s
demeurent fréquenls et parfois sanglants. Le slège se
crel du SoleLl Noir se trouve à la ferrailLerLe Cricul, un
centre de réparation connu du quartier houk, qui attlse
les braises des Conflils Houk Weequa5, en vendanl des
arrnes aLtx deux partLes et en sLlscilant sournoisement
des échauffourêes irn promplues.
L,ESPACE HUTT
LE]s BARONS I'E TAL I{JTÏA
, i1!§'..:!{;;riêi, §a':ri:
ft#eY',$çÉH.sh*
Le srte reLrgieux le plus imporiant des Weequalts 5s
lrouve caché aLl cæur d'un can)ron labyrlnthique. La zig
gurat Ouay'kizac esl Llne ville lempLe dédiée au cltite du
ciieu de la lune Oua-v Durant le mois de l'Abondance,
cles missronnaires organisent un pèlerinage éreintanl
à lravers des kilomèlres de terres hosllles, où des mil
ljers de dévots sonl puriltés par e vent et le sallle avant
d'enlrer dans le lemple. Au cceltr du mausolée, quand la
lune Ouay parvienl à son zéntlh, rls vênèrent une grande
prerre lhal noire et poLte, dressée sur un aulel à clel ou-
verl, clans 1'espoir que 1a dirrrnilé entende leurs prières
Le sacrilrce que ce vo-vage à Ouay'kizac représenle
n'esl pas loujours symbollque;les rigueurs du péripLe
se révèlent souvenl fatales pour de nombrer-tx pèleritls
Lilinérarre qu'rls sutvenl lraverse le redoulable canyon
de a Tenlation, baplisê d après une anclenne fable. Ce
srte présenle blen des périls:des chemins lortueu\ qui
se lern'rrnenl en cul de-sac, des ponts de terre êlroils
couverts de graviers glissanls, atnsl qu'un lac donl I'onde
claire esl le terrain de chasse des terribles bandigos, de
dangereuses et voraces créalures considérêes comme
les servileurs de la déesse des eaur, Uuru.
LffiS îLffiS ffiâ*SffiËfr
Cet archrpel situé près de la rêglon polaire snd de Srtluur
comporte la majeure parlie des lerres agrlcoles de
SriLr-rur I'essentre! de ses rêserves de noLtrri
ei fournil
lure. Sa fertjlrté provient de ses troupeaur d'aro'ruuls,
des quadrupèdes masstfs donl les pLumes de plns euts
mètres de long exsudent une phéromone de croissance
11ê O ( I ar ,^ o. dpprt O Sê
Duranl Les ConflLls Houk-!Veequa5r, les Houks vindtca
trfs Lancèrent une atlaqüe-surprise conlre les Îles Cupric
et ravagèrent d'immenses zones de terres cultivables.
Des produits chimrques toxiques empoisonnèrent le sol,
renclant la moitté de cetle rêgion lnerploltab e. Depuls,
l'Empire mainl,ient une garnison aqualique à proximilé
el a instauré la loi martiale sur l'arch pel Les distrlbLt
tions de nourriture sonl sévèremenl ralionnées, mais des
rürneurs prétendent que la terre a achevé sa cont'ales-
cence il y a dé1à quelque lemPs
CRÉATURES ET DÉFIS
\,4ême si 1a 1égende prétend qu'tls sont 'incarnatlon du
grand dieu Ouay, les \À/eequays ne sont pas 1es seuls
êtres vivants de Sriluur. En dehors des Houks, d'autres
crêatures indigènes, comme le loup noir, hanlenl égale
menl le dêsert. D'après le fo klore \,!eequay, elles repté
sentenl dlfférenles divinilés du panlhéon local.
ffiffiMYffi ffiffiâ$E{ ËffiâWeL}
Les Houks sont de grands humanoides puissanls dolês
d'une peau mouchetêe bleu vLolet el d'yeux iaunes.
Leur crâne est orné d'une crêle caractérlstjque et lenrs
ba]oues pendanles sonl en génêral plL,rs cla res que Le
reste de !eur corps. Mesurant plus de deux mèlres de
haul et pesant envlron 150 kg, rls manlfeslenl un carac-
lère souvent agressif. Un Houk est un adliersaire redolt
lable même pour un Wookie.
 ( | lueroJ-rad 'sluessrp
-Lno1ç sqq396 : tletuol ne a91,rod I y enb l t:
: 9 s1g39p : 1e1 3n6l xnêut uo^ prep '( L tuEro]_tac
' I uolleluol.lOsaC : :lleluol ne ag1jod : 9 onbll ,ll
: g s1939p : 1eltBn3l soQrOle se11t-t8 : luaruadrnb3
(a-rQruiop allar 0.rlu0l sQn]lOJlê sleqLrol êp slsê,
sol snol € fl lualnole sQtllE sos'êlqD aun la^e lleluo,
np lso o-rnla?l: e1ler enbsLoll 1uauelçtreg: s91rcede3
untne : sluaJPI
; e:ue1rE11 '! orr\rn!
'9 1e1rBn6 '; uorlda:ro6 'a uortoilsLC : secuelgdruo3
'o -2f r' ÿ I
,@ TI-, Ll@@--, \(@E@>r
m'mffiffi.ffiim 'êunl el êp o.tQtLUnl el q lLtêstnl sllatr,
(tuessrp,rnolc cEel8?_r -au 1e seunel rna,{ srne slnos 'lrnu El lut?-titp senbtltasçl
: êuLto^olr aÊl_rod : 9 enbtlu: : 6 slg8 seuteld sol luêlueq xnênua rs s-rnalep9.rd ser anbsto
-0p: lsap,rnol sourel aluelstC) rêtsElq ouLqe..tet'{t }uerol soErpueq sol -rosseql 1a uo,{ue: op sluell sol .têpel?ls=
rod'Z êpe-red ::]leluot ne a91;od : 6 anbtlu: I q slgFQp rnod elerd e1 -rer"red anb saro;d stnal op r eql El raitLi:
I sdrol q sdro3l lnassc-tp Jp è\ r? 3olqtr : lueuadgnb3 -Qp u0lq rssne lua,rnad soQlêluap sa11 r3 srnel stedg lr'
[scrlne sep sun sa e]rnol aQlrod ? luos slt,s sauouio reqô un.p lrêAnol lsê sop -rnêl uo;n8re un,p eQlop anerrl_
ses q atgl8 s,\enbaa,,14 sotlne,p :e,re tanb unLlLt-tot lnad enËuo1 aun,nb rsure'êsuop la o..lou olnlnol aun luapa!
,{enbea,y unl aleuourorgqd uo le:tunuuro3 : s911rede3 sod la lneq op LU 0E'l luê.tnsalu sepqdn-tpenb slue-
unlne: sluêlel urêl soJ ionbep'lLnu el op nêtp i-lp S.rnoltr\"1ês slan-tl
g êrl-rnS'g oluelstsOè'1 uorlde:ra6 6 (sep_tno1 snld sel ourLUol sÇlOptsuol luos sltou sdnol se:'sauua,
sêLUrel êluelsr6'6 sdtor ? sdrol: se)uoladuo3 nnL rs sa8e^nes sanpuol? sêp sêu.rnllou s-tnolepOlc
t*w;q*æ3 {swr*ru Ëdffi #T} ruwwffi ,H#ffi*wæ
'o[E)
,Wt
-,@EI- r-Ë*l
\@/ (a uorl?luêrrosoC : lle.]uol n!
êQlrod : g enbl-n : g sqç39p : sd-iol q sd-io3l anberlaLr_
'{luêLrosra^uaU 'l uorleluet.ros?C : lleluol nE oQlroi,l
I g anbq-r: : I slgEqp : 1e1t8n6) sButod : tuatuadrnbl
ffiffiffi.ffi,..ffi.ffi (rnen8rl etual;druot el la^e l;-
ebqlr-r:es un lso nealaA uo slsal so snol E ô olnolel olnrq oliol : sg1rrede3
nol uos ep -,a-redue,s.lnod a11aLle1 ueep,-ronber un ranl unlne: sluelef
1e'ronbe5'lrnu el êp na p np s:luelua sa luos sornleQ.rl ; er-redruo4'Z oluElstsQè '91e1t8n6'1 r-to _
sa: anb puelo-rd apua391 el so-ter lLtolso.t s t,s êLuQLU ?-nsrC 'g sd-io: q sdro3 6 oLUStt?lt..ltV : seruelgdr-uo3
'0Lr :lsê alrEq so-rl uê snuol luos eBe,tnes ueep,_tonbe.r
un quesrorudde nb srat-uenB sel ueep,.ronbe-t etdord
JnêL êp sQlQl xnE lLrElleq 0s Lt3 la lüeulejlu0,s uê a.t el
re"1
f-srl \@@ri
fïTn \@r
w
nlQS lo ê q?"rouoq uolllpe.rl oun luanlgdrad slou sdnol
sol lo^e QlruU,]e oun,p sqlop sienbeor\,\ sLtoTlt ru sol
fl"twrum] Friwts"#,HütË*waç rem Hft Hss§#{ê ffiffiffiffiffiffi
T
 Données d'astrogation : système Toydaria,
Espace Huft. rêgion de la Bordure Médiane
: Mesures orbiiaies :.1 84 jours par an I
21 heures parjoùr
. Gouvernement : monarchie féodale
PopulatioÉ : 11 millions
(Toydarians 79 o/0, Hutts 18 o/o,

autres 5 oo)
' Langues : toydarie4, tangue hutt,
.

basic
Tèrrain : marais, lacs
.Villes importantes : Toydor
Sites intéressants : Dislrict
commerÇant de Toydor, Palais Royal,
Eglise de Toydaria
Exportations : briens de consommation,
main d oeuvre

Routes marchandes : Shag Pabol

Conditions particulières : restr ictions de vol
atmosphériques
Contexte : Toydaria est une planètê marécageuse
putride qui sert de source alimentaire et de centre de
loisirs aux Hutts. Ses marais parfumês grouillenl de
chan'ipignons et de spores que les indigènes recueillent
four Se nourrir. Toydaria abrite quantité de créatures
dangereuses, mais aucune d'elles n'est aussi rusée que
les Toydarians eux,memes. Depuis des millénaires, ce
mônde Situê.sur I'hypervole Shag Pabol
'a fourni aux
gang§ters hutts beaucoup d'artisans talentueüx et de di-
recteurs commerciaux âslucieux.
De nombreux'natifs toydarians préfèrent mener. un
mode de vie pastoral et accomplissent leur devoir en-
vers leuI roi et les Hutts en toute simplicité Und poi-
gnêe de zones urbaines est disséminée sur Toydaria,
mais tout trafic âérien est interdit en dehors des sec-
teurs autorisês 0our'permettre aux Toydarians de vo- '
ler en toute Iiberté. En dépit de ces lois, les caravelles
hutts planent souvent au-dessus des citês et des lâcs
de boue au mépris de toute rêgulation oflicielle, mais
les habitants ont appris à êviter: ces vaisseaux de plai-
sance. Cette restriction isolerait totalement les villages
éloignés s'il n'existait pas un système complexe de rails
légers qui permèt:aux citoyens de traverser très vite de '
grandes distances..
Toydaria héberge également une importante flotte
..
! .r :It li i: it. iri:j:,' :" :1 r. î.: ; :-.i- i- îr'i i;Iïj:JiMii.i.,t,i
r..a ri !.:: i i:i :it
::.,_:_1:çr:r.lii."i'i1..:i-:. L.j i;'ri':ll".r'l:.li i;,.4 i
tlI arrs e nrarar\ sitLré près de l'avant postr: inrpôrial
dela,/()TeL)l( o\ eltu.t\r:rlte('nd:sc . r'tg1)\c
O.t J,p.r)se e I rb,llil q .s C' f tC t"ojS.s. lr('\1r,V r{'(1
csl. un dirpresscur légcr. sulvr,-rtl l;ttili' t-ottttnt' de
I'e ncens ou mélangô atr l.abac. Pr,:u tle gens savent
.
que lc. gabakl noir, bren plus rere croît aLlssi a prorr
' tu. Isa;'.ir'itgtn,li,t. t t: Clt lCtrt1,,,,;1,r tt,rl
narco-epicc particulièrell]ont pLriss.inle.
( Ë5 ( lJ nO,P OtS n.r,a .( n a pr'ltt dp\ C\r l', )l(-t r
rlu shaoryn, Lrnc créatur0 des marecagcs a-tsser rârrr,
egale,net ,appnleg 'e.l .o le, LJF\ tl-l rs lr'\ L,o
dut"l"eurs d'Épices ont fait posler des agenls d;lns l(,'s
\ ildg's oÿu-uiJ rs ptor lres de: ai 's rlr' c,d5:c c
oil,rls.rCs sllaor' lr\. ali1 flr' J,,,rlr:qt r r u\.rll;l rl.l\.
lls ont disposê des holoprr,jecla r: r I rrnagcs terri-
I 111115,Iat s C:Crti'r,t S fOLl t,"tlotrCt ta(t,,y.r/t{('
g. ; e rFlul l. r,l. rr' lf' lL', t .,l' j's \(:r,l ,\rtl I .rtle r l)t
g..,r,tt.1 r'Ir"pi e nr ( r,l)(\ ( \ l-1..1r,,(,rgeS Cj,r : I'1. lr::
Ir'lr Lr' ( c ù lLriL.. J\r, d(:\ s l.,Ol \^\ \ri SO r '" I

'des douanes impériales composêe des vestiges du lipliarCs, r:ar les r:reatur0s sc nol-lrrissûil1 des sLor
corps expéditionnaire de I'amiral Crêelanx, vaincue rnltooue \ n,a,i';t , ( 1,\ r.i'j \ ( ,r.\r''rl llr,. , r, l:r
sur Nar Shaddaa, eL à laquelle s'ajoutent quelques la populaiion dr: shaoryns a grimpe cn 1lè{rho. al
renforts.. Cette uniié de riposte êclair est doublée d'un 1rO t . rl r rttpl(' n St,, l.'S r, it1 liL lir lr{ \ ,lr1\ l,)\/(l I

avanl poste de détection à la poinle du progres, qui | 111Ç fr,,nrll|r,ilrlta\(',lt(\.11 lr 1'711,'lr,r,,

empêche toute enireprise illicite de déborder hors de gabirki norr rivalisenl pour re,;endiqLl0r lc- pllls gilrs
l'Espace Hutt. 16 r1, rr i lr .

TESPACE HUTT
1.EI5 EAROilS DE XÀL rt.,ÎTA
 vJJnH -Itil IO SÎ{oiUUa
!-nH 3lvds3,'l 'ta
rêjOdor luo^nêd xneuSrs op srnoldalJOluUêd^Li snol 1e sarrelruBrp'sreled np rnouQlur,l seds sol suep sOSUOC
y
: uolSQr El op sQUUorlloJrad snld sêp orl,red luol êlsod -srp san31e xne sluoLualrerl sêp lê ênoq op sureq xnonxn
-lue^e,l êp srnosuês sol lorluolod ueuep^ol lnoloqes no sop jroJUol np ino[9s rnol ]uernp luessrnol'srrolnol
uordsê lnol luollonB rnll xneu?dLrr srnêtrellQ,p luol rnorE sos suep lualnqLUeÇp orxelEA el olnol op snuo^ solqoL
slueuuor^uo sa8elQreur sol loqed 8eq5 ap uorllolQp sorlne,p lo slonUlo slueluasçrdet sop'sllnL{ slprle>
ap elsod-iue,re. ol..roJUOr rnb eggr1,ro1 oleugdur uosrureS sop sluoBe saq euepÂo1 ap orqlrEUoLU el e8reqgu
êun o^norl es's-rneddu8e sro^ sop la onoq op slel sop aJrElnlJD 0llr^ 0llêl 0p 0lueurLUInl 0lerluêl 0qlQlJ el
norlrLLr ne 'euepIoI ap srpr?Lr sap puolo-rd snld ne aqq: 51 'suorll0.lrp s0l solno
suep rnæl uos srndep puolo,s sJOSQI slr€t op neesÊ.
sO-U»O 31VtU9d l^t I I NOZ alseA un 1e's911rnBre lueurasneuBros suouge slrereddz
VI Iq TISOd.INVAV,I sol -lrllronlle rnod êllr^ EI luollroluo srnoslndQr e aBEr
-srJrolls,p seuuroleield sa6 LopÂo1 op lue5JOUJUJor llr,;-
-srp orqQlQl ol anb rsure'1eÂo5 srele; ol oluqe lo a.rre
elqer:o39u lso ,{ lnol lo sopueqlreLU sonr sop se93ue-r
-Queld alelrdel op orUlo lreJ soSelqreLLr sap snssop n?
sop Suol ai sluoLLrodrnbQ,p solJos sêlnol -ro^no-rl lnad uO
'suouBrdueqr op lo suossrod op'oxnl op sên3le,p sinop ollrluns rnb esrleq a11e3 erLepÂo1 rns arSolouqrol olne!
uo^ solqerqLr-rouur,p senbsory sêl luêL1lru ês ossnoLU êp el slro^no sBJq q rllronrle lu€^e seurelrlodorl9LU souo:
sêÊqlel uolQqelurad op sauulr^ sol oJlul aro39u np sêrer sap apuer8 snld e1 1se ropÂo1 lan êl sra^ luoL,
orluêl osuêLULrr lêl suep xnElol sêp luapQssod senbrl -esnenlseleu luolurod LopÂo1 êp srnol sal 'sueuep^o-
:e1eB sesrqruerJ op sê.rrEl?ridord la sueLrep,{o1 sro^uo) 0noq 0p srueq s0l l0 srereLU sal lneq 0p lueuruJoc
sap sqeuBeu srnêrsnld xne3911r oLULUol xneBql 'sa:r,ues
sap no suêrq sêp rêloqr? .lnod luepue.l Â,s s"lna1rsr,r ep uoo^or
srêrllrLu sap 'rnol anbeqS ropÂo1 ep lue5teuuol l)r.rlsLp
ol lsê'êuuouep,{o1 e'lqqdsoLi-rle,l ap sQnbsnu sLunlred se1 'asne8uel puol op êlrol ollêl rns luanbreurg:r
red aquBreq'ouoz ollol ê.rqrl re,l q anbrlqnd êsser-rol os olrs surelral 'suroLUUeON elQueld e1 rns lnolred ne:
alsel oun lsa Le^or axa dluo: np neauue uê oseq el un )uop ê^norloJ sol uo lo 'srerELU sap s;nelepçrd sa
ror eJ epqssod anb a11a1o,1 lê suo{lepuour saluanbgrl sol êJluol sueuepÂo1 sroe8e
seçuBrs sosnourLUnl so"rnldlnls ap ep,rrLd uorllollol el lê 1r,t sa; lueBqlord sg,telgrns sa)UrpO sêJ soAel?reLU soc
srnaslndqr q surptel sanbgruBeu sol ro.rutpE "rro,rnod ap xnonlrol sorqre sê[ suep soQq] u saqope,p lû sa8eql
a8qlr,tud êl 1uo sQlrÂur sol 'solrsrA s-trol lueJnC urerêAnos -uerq êp sollnq op sOSodLUoJ 'lnoUed nad un sÇlLrdrec;
ai lo^E slerluol sep reu8rs ep sduuel ol srlrê^rp luos lê luos xneoLUeq s1rled êC anbr8olouLllal aluanllur !
auQ-rl np.rnol el ? sQlle,l roprolle luêro^ es saleuroldrp olnol ap a3;ar,r erneurap er.rpp^ol ap arlred erneleuu e I
iIH rTÿÂ3MWTd et m rÂweqüH {}c ru r
Lnau8res Lna; lnod saurolotd ua lnoual êlns -
ç xroLll op sjaLu sap luêlquasseJ lo luor,llQd s1r 'an,r_
op suosres xnop êrlu! sêrqre sal suep sQL{ltod suor-rQ:
enbilqndgp El q uêtlnos lnol Qllor e erl saBellrA sol supp lueAr^'s"rorLlr-ral op lo slnoLpOd êp alsê.
epÂo1 la 'sapnlgrnbur srnal grre-r88e luo rpêT sop lred el -oLu êr^ oun,p roluoluol ês t3 aluepual 1q1n1d 1uo 1e1e,
ap uosiLle-rl 0p srnaLLrnr sol 'lr luo) f p url el v è)rol el êp apuolU rnol rns sQrnêuJOp sueuepÂo1 sal sllnq s:rpr[e.
slnOlesll ln SOI snol ap raUg[r OS q SnuOi\ ]uos ua eUep (o1 sêp 0lr^r0s ne 0unlroJ lreJ luo snprArpur sêl 0p 0rqLUC,.
ap sua,{o1r: xnorqLroLr ap'sauolJ sêp oJrênJ el lue.tnp lo'xnanluoleJ sronu€uU lo slu€nbgell'sêlqeldLUC,
LllrS urssesse un -red olunnle) ro"r np oJ]lnoLU ne altns sas rnod arxeleB el olnol slo^etl ? onuuol 1se e replc_
t o,rnod atdotd
uos rêlro1uor rnod ler:as uo spuê-rQll p sop êLr:Qut lnl 53Unr1nf,
sed êlnsns ôu lr puenb 'uo5e1 rnal q orpnosQr sol ap
slêlns sos q loLUrêd n tnlol'e^leeL toi ne ltoqlO sollol II SNOrrTnndOd
anb sel LelSQr ap uorssrLu El puenO suer;ep,{o1 xnessE^
orluo oro^'s1ros a-rluê slrlJUol sep srolred anbo,ro-rd s:rprley sep sluepuadgpi,
ourLUeJ op luelsuol enbsu a1 solso.r sol Lnod aL11eq luaLUOArlelêr luos lo 'sllnH sop a8eulstoA al suep lur?^
0s ap êpnlrqeq, sr,rd luop lLro sueuepÂo1 sol :311-1q1-1 sarqdsa sorlne,p luel aLULrol aSe,reltse uo slrnpOl ollO r,
rnou op solrosQr sal luêlrLUrl salnllnl sa lueËe,reL rnb ?lr^Qluo sueuepÂo1 sal 'spueLllreLU stnal op Otêllqeq,i :
serods sesnar0Suep ap a:uasgrd El lo solulelseAOp olgrD sllnH sal lo^s teoo8qu 'lnod eLuqu luoltês uê:
suossnoLLr sêl sllnH sa-rnod 1nqu1 anb luel uê soQl
iodxê luos seuueLrep,(01 sêllolQr sap 1ledn1d e-1 :i' :i,ïii'1iiffi ,, i ;:^ ",, ; :i ËT :r' :, Ë'' 3:;1|.'j' : I
TilSHitkxütÂi{}3 mü §t$&m§d T§1
tout depLacemenl en vilesse lumière jusqu'à lbL Amn,
lrrth el Nal Hutla, el is caplent les transmissions hypers-
patrales jusque dans la Boolana Hulta Nêanmolns. cet
equipement de délection esl- sLljel aLtx pannes, ce q
contraint les varsseaur de patrouille navale à faire des
heures supplémentarres
CRÉATURE5 ET DÉFIS
Les marecages grouillent de milliers d'espèces dilfé
renles de plantes el d'anirnaux, parm lesquels comptenl
bie "^ "rd , le- To, oo or . Ê .\ -Êaô
trffi ffi &4 § §iry ?*§.ffi&§*§j:&ru §§ffi $ æË*
La p uparl des Toydanans sonl des fermiers ordinaires
ILs cuLlr,,,enl ou ramassenl végétanx des marécages,
Les
parenl leur dlme au souverain el, en généra , font de ler-tr
mieLrx pour éviier d'altirer l'attenllon des aulorltés,
qu'elles sorenl locales, hutts ou impélales. Les marais de
leur monde nala peuvent èlre exlremement dangereux,
mais les fermiers les connaissent comme Leur poche
Sous le règne impilo_vabLe di,r roi Maalva. ils se méfient
des élrangers, mais il est possible de les convaincre d'ar-
ffi\1/i.4r(.0r0r
der Les voyageurs qur ler,rr font bonne tmpresston
r@ià t@: t@,
Compétences (en groupe uniquement) : Alhléltsme,
Corps à corps. Négocralion, Survie
Tâlents: aucun
Capacités : Cabaril 0, Suslcnlalion (les Toyadalans
n'ont pas besorn de dépenser de manceuvre supplernelt
la re quand iLs se dép ace nl en lerrain dtfltcileJ
Equipement : oulil agricole [Corps à corps ; dégâts 3
cnlrque 6 ; porlée aLr conlacl ; Désonenlalion 1 l
tur§âffi *F{&# â§':-*}f *&$r Ëeru iffi
En déprt des idées reçues, loLts les Toydanans ne sonl
pas des nrarchands. Néanrnoins, cor-Trme 1a plupart des
rnembres d'espèces nteLl igentes, nombre de To\rclat tans
I tée. Toutes les cibles alfcctées ajoulent I à tous Leurs
gagnent leur parn grâce au cornme[ce sur lb_vdaria, a ns
Oudlta\e5LO ê osolo\..
\__1_l tJo; l,!I0_,
Compétences : Calme 2, Charme 2, l\égoctation 2, Per
ceplion 5, Syslème D 2, Tromperie 3
Ïalents : Nêgocialeur nê (Llne fots par session, permel
de relancer un lest de Ca me ou de Nêgoc al onl, Persp
cace 1 [améliore ] dé de dilficu lé des tests de Charme,
de Coercition ou de Tromperie qui le prennenl pour crblel
Capacités : Cabanl 0, Suslenlation I es Jb]radalans
n'onl pas besorn de depenser de manceur,re supplenren
taire quand ils se déplacenl en lerrarn dilfrcileJ
L,ESPACE HUTT
L T BAROXS DE XAL HI'ÎTA
Équipement : blasler de poche (Dislance larmes 1é
gèresl ; dégâts 5 : crilique 4 ; portée courle ; Réglage
élourdrssantl, dés du destin prpés, labletle de donnêes
1
P, * â trÈtË*&il"rd& {nu É m g$t g3
Neveu de feu Sa \4ajeslé Kaluunko, MaaLva lnr a suc
cédé après son assassinal durant a Cuerre des CLones.
[\,1aalva ne manrfeste pas 1e même tennpérament modéré
que son oncle. Au contraire, il est acariâlre, rusé, fanfa
ron et lalillon. est loutelois parvenu à conserver son
trône grâce à son astuce polilique el en recrutanl des
vassaux ambrtreux qur lur onl prêté serment de lo,vautê.
Plulôl que d'utllrser son pourrorr pour arder son peup e,
l\,'laalr,a se rempLrt les poches et reproche a pauvrelé de
sa pLanète à LEmpire, aux Hutls, et à un mauvais jet de
Dés du destin.
Le roi [\laa]va lolère Les lmpéraux sur ordre de ses
suzerains hutis, mais il a égalemenl tiré personnelle-
ment parti de lenr présence. A insu de ses sujets et de
ses conseillers, le souverarn organise réguLièrement l'en
lèvernent de villageois des campemenls les plus êloi
gnés pour es vendre comrne esclaves à I'Empire. En
retour, l\4aalrra esl grassemenl payé et les varsseanx
arborant son sceau sonl exemptés de loule lnspec
lion douanière
ffi,,ffi&ffiffiffiffi
ffiffiffi(ffi
Compétences : Charme 3. Coercilion 4, Commande
menl 3, Connarssance lBordure Extérieurel 2. ConnaLs
sance IPègre] 2, Négocialion 4, Sang l'roid 4, Syslème
D 5, Trompene 4
Tâlents : Bénélice du doute 2 (rettre lI à toLrs es lests
de Coercilion et de Tromperiel, Perspicace 1 (améliore
;
I de de difficLrLlé des lesls de Charnre, de Coercrtron ou
de Trcmperie qui le prennent pour ciblel, Rêparlie caus
lrqrie len lanl qLr'aclron. peul effeclLrer un test de Coer-
*w§1L} cition de difficulté moyenne OOI , chaque S inflige
1 pornl de slress à rine clble à courle porlée ; chaque []
lnfLlge 1 pornt de slress sLrpplémenlarrc à la ciltLe aflec-
lesls pendanl 4 roundsJ
Capacités : Cabarit 0, SustenLa|ion le roi \,iaa ra n a
pas besoin de dépenser de manceuvrc supplémenlaire
quand i se déplace en lerrarn drfficilel
Equipement : épée de cérémonie (Corps à corps ; de-
gâls 2;crilique 3;porlée au contactl, \,êtements ren
lorcés [* I encaissernenl, + I cêfense], bon cr5rplé de
50 000 crédils, couronne ro_vale
*&Ë * Ë &#:fl&T- T*YË.?ÉCffi ;§àru Itr Ë3â*iàLï
Lassasslnat du sonr,erain Katuunko a inslaurê Ltne al
mosphère de superslilion el de peur au sein de la no-
blesse lo5rdarlanne. Craignanl des représaiLles après la
Proclamalion de I'Ordre Nouveau, a garde rova e a for
mé une brigade d'élite chargêe de démasquer et d'é i-
miner loLrl Lrljlisaleur de a l--orce Les membres porlenl
un équipemenl spécraL, tel que des crrrelerres doLrblés
de corlosrs. et s'enlralnent pour résister à tnfluence
I
 vJJnH 'rux Io staoêlvg sl'r
ll-nH flvdsf,-t
(lueuessrerue 6 + ) apsseleleut
arnuJ-re '[g 0U]n0S 'lsoQlrLrll suorllunlA : oltnol oQlrod
: y enbrli-r: : g sle8Qp : [so.rQBQl ser-ule] eruelsr6) uorqel g erue113r,1 ', plo.t,
uaur8erl q sepeuel8 6 '(eBeLrelrg stelneul un no enBuol 3ue5 '6 uorldale4 '6 [sepLnol soureJ o]uelsr6 '6 (sarpÊ
eQlrod el .led gsodlur olloJ) .lnost^o_llloLO '[; atreurnB ç1 seu:e) êluetstc 'a sdlor q sd_ro3 : seruelgdurol
I
ueS 'srsolrol rnosuB : lleluol ne egl.rod : g enbtlrrr
: g s1g39p l sdtol q sdro3) srsolrol ua agdQ'(luesstp
-rno19 a8e1395 : enSuol aQlrod : 9 enbrlijr : 6 s1g39p
: lsoprnol sourel oluelslC) rêlselq 1rsn1 : luaruedlnbl
(ellrUllp urelol ua are;d9p es 1r puenb a.rreluaLuglâ
-dns e;,rnæueu ep rasuedgp op urosoq sed e,u ueuep
-,{o1 1eÂo; epLeB elJ uorlelualsns 'O tupqeJ : sp11oede3
I Q8çlord a8euuos.]ad al luesr^ tequtol êp slsol sêp Ollnl 'olroj el 0p sIo^
-Ullp 0p Qp I er0rl0ue 'lue^rns rnol np 1nqçp ne,nbsnp nod lê sglrredet sop ê?ltr.Ltrl uorsueqgrduror eun,nb
lreluol ne eBeuuos;ed un "raSOlord.rnod ssêrls ap lrpJ uê luo,u s;r 'erxe1e8 e; ep sueÂo1rr sep;edn1d e1
lurod ; lrqns'puno: red sloJ aun) sdro) np oprED: sluolel 0urLUol lns u0r€ 0lrol el op srnolesrlrln sep enbrls,{ut
 ,V, o rI iIll ù
Données d'astrogation : système Vodran,
Espace HuLl , Bordure Exlerieure
Mesures orbitaies : 599 iours par an I
1 8 heures par joür

Gouvernement: Conseil
Suprême H.utt
Population : 320 millions
o/0,
[Vodrans 95 autres 5 %)
Langues : langue hutt
Terrain. : marais, jungle
Vilies importantes : Bunku
Nagara, Thruncan, Dekaar
Sites intéressants : Jatoon Sach'a,
Aruk'kulli, Kudor

I
Exportations : mercenaires, esclaves
lmportations : armes. texliles
Routes marchandes : Éperon d'Ac'fren
dans la passe de Sisar
Conditions particulières : aucune
Contexte. : Vodran, planète fétide pleine de ma-
rais. saumâtres, de jungles impénétrablès et dlocéans '

chquds et peu profonds, se situe dans l'amas de Si'kiaa-

ta.,ll s'agit d'un lieu déplaisant, qui ne présente que
deux caracteristiques remarquables : les Vodrans repli-
liens et les charognards dé[ritivores connus sous le nom
de dianogas. Comme fous les mondes habités de cet[e
région, Vodran est un bastion du pouvoir hutt que les
grands kajidics dirigent d'une main de fer. Son climat,
consideré comme inconfortable et malsain par beau- Ir/algré ses dianogas, Vodran est depuis Iongtemps un
monde important de l'Espace Hutt, et l'une des clefs de
. coup d'humains et d'autres espèces, est irès apprêcié
voûte du pouvoir hutt. Les Vodrans ont prêté serment
des Hutts qui se délectent des paysages détrempés et
de l humidite oppressante, d'allégeance aux Hutts en meme.temps que les Niktos
et Klatooinien.s lors du traiié de Vondor, aux environs de
Les.terres èmergées de Vodran sont presqüe entière 25 000 av. BY Depuis, ces farouches guerriers servenI
ment saturees d'eau. C'est un monde recouvert de mâ- loyalement leurs maîtres.
rais boueux, de mârecages eL de tourbières, et dont les
zones sèches so,nt recouvertes d'inextiicables jungles.
On trouve ici le végétal prêdominant le plus cOlossal dè !.:tr.:: !.: lij: i.l ; i .
:1-....,-: i-
r,.' i.: l j i:- -r,!: lt :., :.jj jri i:r:.iri., r !.
la flore vodranienne, le manglier. Ses ênormes racines r.,. i_:r rr 1,,;-r

aériennes le soulèvent au-dèssuS des eaux stagnahtes

comme autant de gigantesques tentacules emmêlés. Ca- ô lors qu il n es[ Das t;lre de croiser dcs Vodrans
pables de rivaliser en taille avec les plus petits wroshyrs Jl',n, r IL\l)dr(, l- rLr rur.r,', ', ,t i"- t1 .,.,,,,. OÀ

de Kashyyyk, les manglier:s de Vodran peuvent appro- la Bordure ExLi..rieure, le l,rsfe de l.r g.rlalt: trrlrraîl
' cher deux-cents mètres de haut. brcn nrier-rx une deLlxrctnre race nallve de Vs6lpst,
les ciia nogas. C(-.nêralenrr,r rl considir (,s c( )n me des I

les Vodrans. lespèce inlelligenle dominanLe de
monde, vivaient jadis dans les frondaisons des arbres
géants de Ja planète. Ovipares, ces humanoides.repti-
,liens dotés d'une peau tannée brun^vert et de protubé,
'ranbes
hérissées ont évolué en une race de chasseurs
et de guerriers, organisés en groupes pour se protéger'
mutuellement contre les prêdateurs Ies plus vicieux. Les
Vodrans ont dêveloppé it y a longtemps les armes et ou,
tils nécessaires pour traquer Ies dianogas et les poissons
spiculaires qui rôdent dans les parages.
ce paralsites, ces nronslruetrx côphalopodes oitI réLls
si a se rôpandre Ltr pcLl parlout. par I'intermêdiairc
rlr': UlUlrr.ls O Olr-lrt ''S rleS \J.\, à,,\ S Ê r.1 ( S.
i1i, S d I Ia (.S.lL,(. ,6,.1,,. l1s lllri+ C. l]L le.Ê\ el
le\ \' rl u'ls cl/d i:lL S ( t- {l('1rl.i s se r ô.r ("1 (,ll
gônéralernenl de dévorer les cléchels des aulres
especcs, tTtais c,lle-.s peu\,el[ ;tllL.tncJre lrtr' l.rt]le
conséqLrcnln el devcnir une vériLabli: murace pour
It: , te,rlr,,t s :l [, i-, rt r .; OOt I r'.1('s (,"tcon,I Ctr
.'S tlt.(lL
'r.

L,ESPACE HUTT
I.E]s BAPOXS DE, XAL !{'TTA
 vJJnH -ItÈ EO Sroiilr8 SEL
ILnH flvdSl,'l
ereS€N n)lunB q srpled uos ap allrel El ? u?ll
un,p ounljol el ornsoul uo,nb oLLIQLU pualQrd nuuol uotq
llnq uorllrp un eJeSeN nlunE ap sjnLr sêp rnêt]Qlul,l
q aluoprsQJ oun opQSSod oluel.todLUr,p lrprlel onbeLl)
onbsord xnêll?rd xnBlQr-Lt uo lê atJOrd uo êtlgq stpeled
np llnLl uorsr^ 'ol3unI el op ]uo3lêut? sosuoLULL| solgrpQ,p
lo xnonlduros souleulop ap êpnl llnLU oun : LUou uos QIo^
sed p,u'llnLi onSual uo « sreled sêp Ollf » no'ele8pN
n)iunE 'ueJpoA op IênlrJrds lo Iêrnllnr'ênbrLUouolg _tnêoJ
UUVSVN NTNNg
§rH IîrÀ§ hfiffi
'QlÇnos rnal 0p u€q ne
lêLU se1 rnb o8e un,nb
rsure'soleluoLUelrodutor sglr.relnrr1;ed sa8uerlg,p stol
-red lueddole,rçp erqdse,l êp sQlost sorqLUaLl senblenb
'o)uêlsrxo,p oLUloJ ollnp eun sed eu_rQul lueBesrAUO,u lo
onb nlels ar lueqde::e suerpo1 sap 1.ledn1d el rs oulQn
's11np senbru
uerÂ1 sa1 rnod xnegpt so^ellso,p eldnad un lreJ luoLUOl
-etsQ e ua êllê sraLU 'slueureduel sJnol orpuoJgp op lo
Jasseql ep luellaLu'tad rnêl 'oltlsoLl l€lpu apuoLU rnol Jns
0"r^rlrns q suelpo1 sêJ 0pre e aOSSOrOlutsQp atqdosoltqd
ollal QlneunLULUol oun,p ta [ouerpo^ aqroLd a11rue1 e1)
o9lnol êun,p urês ne unlelll ep uorlrsod el ap rnolne
olnlrlJ€,s euuarprlonb êr^ el npt^rput,l op xnol lue^e
erqdsa,l ep or^rns el lo aJlQ-uolq a1 e:e1d rnb erqdosolrqd
oun '« arqLUou puerS snld np Jnole^ el » op uotlluoJ ua
lnol lue^e luessrFe 1e ellauuosrad Qllluopl,l € eruelrod
-Lr-rr,p nad luapro)le lednld el olt^Jês uorlrpuol -inol
arol :e,re luelderre 1e enbggugq oLULuol xnê lole uoll
pnosse ..rnêl luorQprsuol suerpo1 sep pltLoleu apuel8
el 'sllnH xne ltolnoA uo,p nêtl ne'snld aC otLUouolnp
ru gluolne ru 0ltleÇt uo luo,u snqul sol ep srnauBres se1
'11nq euqrdn5
lrosuoJ np luop lo'sllnLl strprlel xne stLU
-nos apuour rnol op suorSgl sêp oun)eL1l lueu.la,rno3 1a
luasr,uedns rnb'sllnH sop xnal aulLUOl'srrprlel s?LULLtou
slrlergdoor suell uo oQSr^rp lsê uerpo^ uorlelndod e1
'sllnH sap aluolopur,l le saO,re;dOp slnooLU sêl
-iaqrLur q,nbsnl sed luepuader luo^ ou s1r 'xne8nrS lê s1tlle
lualuoleJguQD soureLuop sap 1edn1d el suep ;erdot sa1
0p luolual l0 sêlelo^ sOlIeLU slnêl luoLuêlQlurs luêltL|pp
suerpo1 se-1 111:e[qo ]ol e êOrpQp lso orQtluo lnol glorl
os rnol la 'aledso,J ap snua^ surelozns slnal tr,ues inod
luolr^ sue;po1 se1 'sqld suorldetxe sê-t€r op y alqueld rnel
0p los al ?qlnol e qlnp larua;d ol ilo luolrloul ne tnol a1
n,n e arqdse.rnal anb luero"rr sli,nb luEl luorQUQ^ sol xno
arlua,p ledn1d el soguue,p srotllru ap soureztp sap srnd
-ep AlneÂol olqrllêJgpul eun luouBroLuQl rnal la sQurel
-ur xn0rp sêp oLULLtol sllnH sêl luêlQprsuol sueJpo^ sêl
IUNJINf, IlI NOIITNNdOd
'seSouetp sop leLUOlsa,l suep tulJ
luo salstu
uorllornsur slueLrdse sap sêJ^epel sêl lê ollgqop el e Qu
Lnol e lalo;d rnêl slpuJ 'a1sr1etedp5 ilred ne _ret11er e1 lnod
&ru§ Müffi §§§dkffi m§§W.ffi §§ffi § ffiJ-§t ffi i§ fq§ n
'sllnL..1 s0rLleuJ
srnol rnod suerpo^ sal red solrnrlsuol 'olJO^ aQdoueJ
0suop el ap snssop,ne sltolpua ted luo^QlQ,s roDernp
0p la uoloqorol êp 'êIOrd ap stnol sonbuluSeLU ac
'srorlSueul sop
s0rlluerq sêl suep sQr.trltu no'sêosroqÇp lo saQUreJp
sorol sol lns soSU? sluoLUOdLUel op la solltA op oQulos
1i3"1::,ii:3:33f $.':iil'-::iJi'J,'J'"T:'.ï'lul
d hr § *&wrftüH $* hil r
uerpo^ rns uorll0q0r êun roleJl? 0.IeJ 0p Ossorpeleu lo^e
gÂessa 1uo sluppuêdQpul saruqlsÂg sop uorlerQpgJUol el
ep slue8e sêC glilerlnou op ê)uoredde oun JalsolrueLU
luorerrsgp rnb 's11np sêp snJor e1 gÂnssa luo sreu 'sesr.rd
er s;nersnld € suErpo^ solreuoltêLU sop JOAeBuo,p gluol
luo salsrlered9s sol 'sauol3 sêp orJOnD el luernc êpnlr^
-JOS rnol e uU orllaLu op no rêllo^Çr as ap g8esr,rue sreLu
el 1uo,u sueJpo1 sol 'altolsrq an8uol .rne1 ap sJnol nV
'npuoluo uorq lrol xr:d ne
'sertelgueld no slourLUul sleluelod sêJlne,p ? sê^el)sa
oLULUor luêpuoA sal slr,nb auQLLl no'senbrlser-uop srnel
luonol sllnH se1 enb o^rJie lr st?LU "rnollas ot êp sloLl
-op uo luoinluo^e,s suerpoA êp nad 1np ereds3,l 1no1
suep olnorl uo uo lo 'alt^tos uos q sueJpo1 sanblênb
rro^E,p ran8rel as lned rrprlel enbeq:'alque1d e; .rns
o8elred sues anbse"ld lueuBQl 11np eugrdn5 ltêsuol
np sollrLUeJ burr se1 rs oLUQIA ossoLl)lr ep 1e lro,tnod ap
ollourolo olQnb rnal € suErpo1 ap suorlllLU op sourezip
S00 lLè.êLrlJeS Sl.lH qè 'Sdl'eLd U-r qJp L r^V sa. .e -
xneo^nou srnêl op sa11er;aldope Lnod en8uel inol lo
o,lnllnl erdord rnel olr^ sQtl luotQUuopuEqe seuqB
rpur sêl snqe l0 oJreluolo^ luaulasst^JOSSe,nb snld
lso,u uerpo1 op arrolstq,l 'roluo1 êp Qlrerl a1 sqrdy
'sllnH sop ollourolQ o^ellso,l olQdso
uos 0p lU'uerpo1 ap sorQq puelS snld ol 'elalnr\ ntnar,l)
'sllnH s0p aluellraAUOrq eluaredde,l lo « salrol? sap arB
-eLLt » el red sgllra,UaLuf roluoA ap olltele8 êLUQtslo{ el
luernp urrx ap s09LLUe sêl 0JluteA € sulelazns xnea^nou
srnol luoJQprp s1r 1e 'sÂenbaa1,1 sal lo sol)tN sal 'suorurool
-€ly sêl enb sdual oLUQLU uo sllnH xne luorQtll€,s suelp
o,1 sa1 'sqrde nod nêrp un € !p llodsor e1 luelgu8rolu
-91 rnl s0uolqlolne s0l 'uelpo 0p 0)eJrns el ? lrpuêls0p
'llnH 0l lessoy elenB ap.tnau8ras alqrllnp?.lr,l op lupu
0lnarl 'llnH e1 opunlo6 puEnO lueteluotJJe,s sQlrut^tp
srnel enb snlure^uol 'llnu €l luorelell? rnb suorsoldxe
sasnanJlsuoLU s0l lo sJ0sel sêp sltpl)Q sal 0snoDUaJQAO]
rnednls aun )a^e luetqlduequor sluellqeLj sas 'alQueld
0ll0l 0p xnên s0l suep luolQluorJ1e,s xne^rJ satrdue sep
sêlro1 sal enbsro-1 sol€uQlltur burr-13ur,r ep snld e  1r
'e1odse6 ol LUrX sr€uotl quergnbuor ol lo sllnH sal o-lluo
s-rnalelse^Qp slrlJuol sêp
stno) ne lrnpold lso,s atxeleB
:t's^itij; j;âiili:ffi # si1,iiii :H.5;':i 0
 Un monumenlal complere de pylônes el de lours
coniques s'éLève majeslueusement au centre de cetle
vaste cilê. dominanl les bâliments envlronnanls. Le Valta
k
Hulla, ou Tèmple des Hutls, est le véritable cceur de la
vrlle el du cul[e que les \bdrans rrouenl à Leurs ma.ilres
Prélendumenl construil à l'endrort rnême oùi Dojundo Le
Hutl posa le pred sur Vodran et où Kossak aurail acqLils
le slalul divrn selon la lêgende, ce sanctuaire colossal est
troué au culle des dieux vivanls oue sont l-os HLrlts
TFIRUNCAN
ffi
Jadis l'une des plus grandes trilles de Vodran, Thruncan
en était la capil,ale administralive, loyer de mi lions de Vo
drans et siège du gouverneur impêrial Aujourd'hui, cette
mélropole autrefors prospère n'esl pLus qu'une rutne où
quelqLres mjlliers de survivanls fourlLent les cendres et Les
t {E
débris comme des charognards. Thruncan n'a pas suc
combé à une calastrophe nature ie. mais dott son sorl
funesle à « L'lnsurreclion de Thruncan ». un soulèvemenl
popularre dingé non conlre les Hutls, ma s conlre l'op
pressron de L'Empire.
Ouand 1'Empire décida un moment de s'impliquer
!- plus aclirrement dans les aflaires de I'Espace Hutl et de
lreiner le tralrc d'armes el d'épices dans la Bordure Ex
lêrieLrre, le gou,,,erneur de Vodran émit une série de dê
crels qui enlraient en conflil dtrecl avec vingl cinq mtle
ans de tradition. La popu allon d'habilLrde servtle de la
F planète commenÇa à prolesler, peul-êlre encouragée
par des Hults désireux de saper I'inflr-rence tmpéna e sur
Vodran. Très vile, une rébe lion pure el dure êclala dans
es rues de Thruncan arrant de gagner les agglomératrons
voisrnes. La garnrson rnodeste de la ville, qui comprenatt
un balai lon de slormtroopers. fut enlièremenl déc mee,
el 1e corps du gouverneur lut tralné dans les rues.
La rêaction rmpêrlale se révêla aLtssi llrulale que ra-
pide: un escadron de varsseaux de guerre apparut
au-dessus de Vodran el, lgnorant les appels des Hutls,
elle bombarda durant lrois jours les cilés drsstdenles.
Cet assaut lua des mr iions de Vodrans el n'épargna que
les palais de Bunku Nagara. Ouand les tlrs cessèrenl,
toutes ces villes étaienl en ruine el 1'Empire avail rappe'
Lé aux Hutts qu'eLrx non plus n'étaient pas inlouchables.
l\4ême sr les Hutls ont élé oflrciellemenl considérés
comme irréprochables dans ce drame terrible. les retom-
bées de l'lnsurrection de Thrr-rncan ont poussé une lrès
pelile minorilé de Vodrans à remellre en questton 1'auto
nté de leurs suzeralns.
JATOON SACH'A
Celte vaste région de 1'hémisphère sud de Vodran, dont
1e nom signrfie « Marais prolond » en langue hutt, esl un
endroit sinislre et obscur où seu s Les plus lérnéra res
osenl s'aventurer. Dans ce marais profond, immense
étendue sauvage envahie d'énormes arbres anciens el
de vêgélalron pourrissante, rôdent certains des pré
dateurs les pius redoutables de la galaxie La lurnière
du solerl ne parvienl à en dissiper les lénèbres que
par rnlermillence.
D'innombrables légendes circulenl au sujet du lugubre
Jatoon Sach'a. Les chasseurs quri s'y risquent, du morns
ceur qur en revrennenl, parent de monslres laprs dans
l'ombre, comme la Noga Mak'lu, la ]égendarre n Mère
des Dianogas », qur serail dix fols plus grande que le plus
grand de ses rejetons. \,1ême sr cerlains consrdèrent ces
hislorres cornrne des sorneltes, des chasseurs lérnéraires
ont cherché 1a Noga [\'lak'tr-t dans I'espoir de toucher les
récompenses labuleuses que certains Hutls ollrent pour
sa caplure ; peu d'enlre eux en sont revenus vivants.
'
:,., ilrl.-, .,,:!
I
 VJJIIH Tr,lr IO SilOùVA SEL
& ItnH 3lvdsl,t
[]uoLLOS]OAUeE'g luêLUê-rlQ^eLllrl :lle]uol ne oil oc
: 1 anbrl r: :,st939p : lelrBndl sa nlEluêl : luar.uedlnbg
[]uêL!ossrElua 1 - I r,ueu op aLl_tol un '{a luerq iope,{ou el lê otxllldse. lns suorlaLLr ,.,1
ruoluf: enEuo oglrod: yenbLlLrt: Islg8Qp: lsêprno -ur,p snld -rnod ruran3,r ro sNuNoJ xnv,p sê 3gr ep e,t,l
sêLU-rel aluplsrC) ue-rpo^ ossEql ap lrsn1 rlueuadrnbg np g la lo ,la a8ed : -ror\ou es ap anbsrl neo,l snos
ll
lsllnq sê_rLlELLr sos s"r0^ QSrlrqoLULrL a..ilesr0,\pe un
_tnol uos êp lnqQp n3 aJnssêlq
uê Jror\op uos la^e.luo-rQJ_têlLt no olnelol pS JêÀE lL
lLtoJ op lurod I lo ssêrls e p slurod f llqns oQStlrqoutLU aLu l
uo luol luo s1r,s e8euuoslcd a: luesr.,r xngoos slsêl sêi ll^ êIlOl : Sollne SOI lO^E.lenbel1e ? lUenUllUol Uê lnol
snot op QllnlUJlp op ap I aro lgueJ Çtnr?i{ol : s911rede3 solnlEluol s,rnorsnld )êr\p o-lrES-toÂpe Lin .têtnlutol lnoa
unlne: sluelel e8ouerp lrlod un 'a11npe un.nb luessrnd suroLr-r ê]sat l,s
1 aruelrErl' l êi^rnS' ; uorldat-ra;'Z lsop-rnol saL.LlJEl oLTQLLTJ uorllr-r1suo3'inea, sLtep ênloÀQ t,nbs_ro lueuet
êluelsLC' 1 sd-ror q sd-ro3 l oLUSrlQlLllV : seruelgdruoS eldçp ap snlelu unrne,p ê-rl1lros au lê'snleu su?s nEO.
snos rardser lnad e8ouerp unl erqrqduy : sglroede3
unlne: sluolel
reTn
@
f:ÿ l
f\@r'zll \@E@Dr '6 qe rËn6 '1 uorlderre; 'f
| êluEl Er^ ' l orl-rnS
:
uo lÊ.»srC seruelgdruo3
'oTo- ,-ü', /-T--}
ffiffiffiffiffiffi t@, *@@, \gW/
xnêtp s0p
oLLrLUol luêJQprsuol slr,nb suretezns s.tna lrAlos op sJOU
luos suerpoA sep I,redn d e1 'epn'1t,n-res êllêl q lualsts
9-r surPlr0l rs êLUQf\.sllnLl s0"rlLeu srn0l e sQi.roAQp ffiffi"ffi,ffi',ffi,ffi
'0lqLrêsLro,l suep lo sotEl-rot luos suerlrqdar suErpo so-l a11npe eFq,1
orpurêlle,p 1ue,te 3uo1 ap so-rlQLU arlenb 1a un ê-rluo ro-l
fixweaæ] ruBsæ##ia $Fàffi æ ru
nseu qnad aunel u1 slueL!r-.rlnu op salJnos sessolS snld
ap lueLUUosuol'JrsseLU snld alLug,rnl opels un ? Jluo^
[]uêLr]os]a^uoU', luoLUêrlo^or..ltu! : ]laluol ne a91-tod red €,nbsnl e1r,r 1ueddo1a,rgp ês soleuuoÂ-tqua seusru
: 9 onbrl"D : 9 s1q39p I le1tBn6l sêlnletuêt : lueruedlnbl e8ro sêl 'oluepuoq€ ouueu-r ollol € or13lD snlulÇp sêlnl
lepaÂou e1 1a arxi\qclse,lrns suotleLUrolut,p sn1ô
snurLU op 1a uoq:ue1d op luesst"lnou es senbrdo:so.r:rui
rnod ruranS,r ro sNtrNoJ xny,p sa13qr êp ê.1^Ll np q la lo
soruel enb luel uo orA lnal lualuêLuLuol solnle?l) sol
y 16 a8ed ro,r, rêIou ês ap onbsr'l neo,l snos QStltqoLU
LUr ores.ro^pe un'atqrqdLle altleQ"n oun luelÊ e8ouerp {:awexæ3 w*æ§*w§# àâÀæ#
0l -rnol uos 0p lnqQp ne oJnssêlq op lutod I lo ssêrls
luêAL,^
ap slurod a lrqns aQSrliqoLULUt oLUtllt^ a1no1 :-tenbelie,p 'sno,{eq sos lo so"rQlqlnol sos 'srElELu sos suep
luenurlu0l ua lnol xnê.rnoUleLU oleslêApe un teddt-rFe rnb sesnere8uEp sornleQrl sasnorqLLtou op êluqe uE"rpofl
lned eSouerp un 'sê nleluol xnorqLLtou êp ?lopl olues
e'l:9 au3ro6'Inee,1 suep ]uonlo^Ç slt,nbsrol luauLa:eldOp Srjlo rr s3un§Eu)
êp snlELr unlne,p luê.rllnos êu.10'snleLLt sues neo,J snos
-rordso.r lua,trad seSoue p sall erq r-1dury : sglgcede3 'sa9uue,p siêrllrLU êp s0u ezrp sêp
(0lqtr 0llêr o_tluol lEqLUot ap slsol sol snol srndap 9n1o,,rg sed luerelne,u ot^ op apoLU rnal la eBeF
êp ?lnrglrp 0p s9p 6 erotlgue) a Çtrs_ro^pv : slualel -ual -rnol soÂrlrLrlLJd sêqLlol sal 1a sau8eluoLlt sal sueD
9 a:uelrâr,1 '9 oL^rnS sue-rpo êp sQ osr sadnor8 ap o1.lei JnoLUni E-l xnênxrl
9 1e1rBn6 '6 uorldot-te6 'E uotlÇ"llstC : serualgdluo3 so-renllur?s se led luessed uo soQUr.lJoJ soltE.llol xnE
sler)os sereder sop luo^ rnb se-lrepuotas sêluêplsQl sêp
iuepqssod soluessrnd la soqli sllnq sêl rruel s"rnarsnld
m)
@/ fTzl
,ggw f*eE-) aT.-)
\@E@,/ \w 'rLlnl,ln"rv,p xneaqeld sêp la slêLluos sop lneq ul
'lueuarçL1nB9-r zasse uorldnrg uê
FGFË#rowre' 6æUæG luolluo'pJou o
suep sQnlrs luoLlollotluasse'sonbruetlo,r souQl op sou ez
g"_HtÆL_æt'Ætu#tu* rp se6 suol d sêi oJ:luo soÊ ?^ sol suep luopualo.s so..l?l
-rlos lo s-rou srereL-u sonblenb 1a sldntqe sluesJo^ sês op
'sn1d e-l o,r
's0JlQLU
lnesse,l ? oluoLr-r e13unl e1 eFtoit ep nealLtELU un.p sêl_tê,1
xrp sol êrpLtrolle luerrned seSouerp sol 'xneas -nol sêLUn sinol lo'soptJe la sapLo"tl snld lltos prou np
srE^ sos ep 1a salodo-t1QLU sos op so8-reqtgp sa1 1a s1no39
se1le: onb s puEl'sosnoLAnld 1o sapner-1:1r-ros tnelenbg,l
sol suep enb rsure'uE".rpo^ op stE-rELLt sep s-tnapuolo.ld ep sorl:o,td'pns np suor8qr sal :opnltlEl el ap uotlluol uo
saL suPC êluelsuol 0inlUln0u 0p êl_tnos 0un q sQlle luo
0r-rPA lelrrlr uos uPrpo^ 0p êqrQS a|01 ap êpueq êlnês el
slt,s spuer8 snld uo q rruo^ap lue,rnod .la otA .tnê êlnol
1
luaurrsenb lso tlln)1,)ln-rV olQueid el êp p-tou alqqdsrurgq
luernp oluessro-{l-rnê luo uluol s'3lo êp sJtlQLU xts xnop uo lueu senb asr,lp sgdra:se s:rd ep êuleLll allal
no bun UorÀuo luoinsoLU sol npE seSouetp sal rs oLUQf\
ilgasæ resru§ §#ffi #ruw*tr æ ruwH * n1 n»!,N nHV SINOl,lt 5ï1
 Données d'aitrogation : système Cha Raaba;
Espace HuLt. Bordure ExLérieure' .

Mesures orbitales :.624 jours par an I

I 0 heures par jour
Gouvernement : Conseil Suprême HuLL

(humains 55 o/0, Rodiens, Ttwi'leks

06,
et Niktos 25 o/o, T'landa Til 1 ,5
Hults 0,5 oro. aulres I B o/o)
Langues : langue hutt, brasic
ïêrrain : plalnes, montagnes,
. forêts pluvieuses
Villes importantes : Colonie I ,
Colonie 2, Colonie 3
Sites intéressants : Autel des
Fromesses, Montagne des Exaltés,
Zona Cuwanga
Exportations : épices raffinées, bois
de nala

profondes sont parsemées de milliers de minusculeslles

éparpillêes aulour de lrois petits continents. La majeure
partie de la population d'Ylesia vit sur celui de l'est, pÎès
de l'équaieur, dans une bande tropicale dominée par des
forêts pluvieuses et des savanes hêrtleuses.

| ;, pnpula.i., r il'Y esr.r ptcs,'rl,' ,rnc e\cepr u rilcllr' d'entre cux est iouiours dôpendante ric l'Exultation
L,jitnt.t,c. es'crrlir'llt tncn d I f r,st' fl15 , pelet rs » I oniqLre'ler.l a or - quê l.r n a,tclu es l'rr{'.)quo eT
rlui s'y re nr:1enL par la Shag Pabol. Bien qr-te ccl monde .ii rr'^er ,ur\.r, tcu o lr ptOdlr'ioi .le ylCl rrÊ
soit conlrôlé par i.^ clan Besadii, les Hutts consLl Èli lot)L:m. llorlit l:o, ,a frl t\ 1,r'pr,lc lc s rt \ ':Si ,

lu0nl. moins de 1 % 11c sa popr-rlation. Depuis l'éli'
ntnat'ot oi, (.r lô tlr Lr rili'. ( c rtins rre' I at u:
Til survivants sont revenLrs dans le systerile Y'Toub,
| .r (lr\ qJe oJJ.r{,s.,1 . ulCILrç rlorr1r,1r" r1 \'lesi1
et londer ce qr-r'ils oni nornrIré lcs n antres d'Exr-rll.a
lion , où lcs t.oxicornanes p0uvent obtenir leitr dose
BeaLrr:oup d'esclavcs-pèlcrins on[ êlé libôrôs dLtrant
c raclsier'.11,., 'a. lsé t'ctt '1,nn/'moreL\
P,(, ltrl,q t't jlfn: ,'; ,1 onpi de o , v{'l«l;un Or-5
vcritables obieclifs cJe ceLLe sert(', urtc grartde partic
ct atu" op IFrdllr' or rans rr'sô l,a, es l l, Ja
Ti.. Ltr o\Ccrc' p les Sn ) )O.l: ')11 Al rulllr)ose r'
r'f ,i o't la ^ oit e dn :, ;xp rlr on totirlc ,f \ ll \ d.
même si, depuls la destruclion de la secte de l'Unl-
ci1,é, ils onl abandonné lcur.s dctnleres illusrons dr:
.lrt,lri. A,,lOL,l0 .L . r:s ntCl,.Cndl'rs ,lIs BeSorJii r'l
les esclaves guerricrs niLlos travaillrrnL atlx, ttl t's de
pO,r milliers de ianlassins el- aglrLs du So e ] No t porrr en
lreL.enir l'ordrr: ct rn;rinl.enir les ouvriers ri'épicr:: dans
leur servitudc.
 'saLUUAlOp SOluOpgrgrd êluerlle uos p a:gr8 s Eru 'QluoLUuçdxaur 1a eunal s-role
s0p s0llêr op êllrAOqr ? ? sed luê/\Ure,Lt sollênllE suotle-i lielQ'lel rpesoB e8rn6'>1n-ry,p rarlr..r?q erluelod la uol
-Qdo sês rs êLUQLU 'Ersol^ Jns uo lesrueSlo uos ltnllsLtolêl aler a1 se1no1 rnod sro1 êLruoq oun rpesog lE^rJ rnêl
e ilpESOB llnLl uEIr êl 'êlreqgp êllol luo tnb soQU -rourLUrlQ rnod 1ua-rglolduor eqqeT nê^êu uos lo uorl
gllrlun,l êp 0llnl
ue sap s_rnol nv rlusQue luaurêrQr.lu0 ^tns :rlrlrsa6 :e 1LT'e-r dru;,1 op uorlualle,l dorl nad un luo-r.l
ol lêsQ-r^ lQp Q:lo luo suuêlQd-sa^Ellso sal 'orotuo o-ild le,Lr l?rsolÀ rns lnrV,p sr-ro 1e-r;do sol anb lueuârer3 ll
ilpeso8 xne sl pQ-D op sp,rer ltLU s3p Qllol E lo OIQUB d lrsa6 rrprley np uras ne luoLULuelou 'sllnq suEll solln?
El êp a loqlo,l e a)dQ,p uorllnpo]d ?l op o lrsd a-tnOIELU sêp uros nP srLUOUua sêp lnle^ rnl lnrv,p sQllns 0-l
el nduror"rolLil I lnesse lêl .erso .rns uorlLOqÇE r?l red uorl?u LUnl r,l 0p êro el lrer_r^no rnol rnaqel 0pn-r
9srue3.ro êl aLllQ êpuer8 € pre-i êl -roqrQdLro
^ nd luo,u -f oN e: anb luepualQrd 'erdQ p luêurolreil 3p saLlrsn sol suep
lr0los np uros nE eSrnc op soL'e sol sLUQLU 'sutouue?N lre^e-rl nE salQpu srnêL luo.rLU ll epuel,l sêl sa u0ruQ_l
.-lnossêlQpQrd ol sêl op sluepuedQp alrA sQ-rl luêrurAOp rnb sare1uolo,,r
Lros êp uo l
-Lredsrp el sQrde uorlLSOd es luêruêptder roprlosuol ap so^pllsê.p ê?ru-re oun -renBnlqns ep 1rr-u-lod rnol lrl epuel,l
êrnsolr u0 lnJ lr 'JroN lrêlos np êLLr o rp lel pLt \s a1 :arre sa-r1qrd sop « 1-1sp » êl uollEllnx:.1 ap êruoLUÇr?r El ?
rednrlred rnod e se11 ;ns suuelqd op s-lorllrLU ap saurEZrp
sap erlle 1 'arreleB e olnol sio^Erl q « sarEUUorssrLL.r »
op roAUê,1
€ orqr) sal19-rd sol luo eras l I epue,l sa
lu0p'Ql rul-.l, ap ollnl êLl?lu, 'sarard salno1 ap uorFrla-r
olla^nou aun lLrop e?-n ll solQdso so..rlne sêsnoJqLtou op
-rns quesr'loqdnê tal1a un luo e^e 'anbtqledOlQl ç1r:ede:
rnal q orq.lâ luêrellêLUSUe.r1 sl nb salqegrBe suorlesuês
êp san8e^ xne sooUrqLUol 'sol olroJ slnêl oltnpQs noc
salqu sal -red seçsr1r1n sanbruosqns solElo^ suo le.tqt^ soi
enb sudde lrele )lnrV sllnH sol anb sduel aLLrQru uo l-te^
rns Qnlo^? luorele rnb s1ueBr1le1ut sapedn-tpenb spuer8
0p 'lrl spuel op soLr eluêr sep ee8eFue llnq aLU "n np
I
uo"req ol'arQrlue elQueld el ?loLpe lore sqrdy l!ell al
ap anbrlre;eB alodouoru e1 re-rede::a,s -rnod rnat:epne
1e exaldruor oruQ8elerls un 1n5uor e-roV rpeso6 )nrv
'souolJ sop o-r.ronJ el êp uLl el sQ_tde so?uue srnatsnld
soreuQlL ru s.lnarsnld srndap olrdg,l ap lrnpo-rd etsal,q
'senbrlor-leu 1a sa e8g11t senSorp xn? oOnosse sclruel8uo-1 t
§BsSAhû(}Ud srs§nv$ H§
'spreâ? snol ? ê.rqLUos le olue,rnord?
aluols xo eun,nb luere-r,r,noltp ou slr 'anbtlg:se sruto.,r
uos snos L I epuel,I sêp l0 slln ! s0p suotlEutLltpLU
sap oSQrd te sr-rd lua eAnorlê-i ês ersol,\,p a 1an1 r ds g
ardoln.l êp sêuQ,rs xne luê ppol rnb rne-rnaqleur s; §
\
ffiffi§ffiffiffirerem
ffi§ffiwwwd ruffi
Illr
 STATION
SPATIALE KWENN
Données d'astrogation : système Kwenn, Espace Hult,
région de la Bordure Mêdiane
Mesures orbitaleS : 323 jours par an / 27 heures
par jour
Gouvernement : Conseil d'administration
Population :324 OOO [humains 44 00, Hutts
5 o'0. aulres 55 qo] et entre 50 OO0 eL 200 0OO
pilotes, touristes et résidents te.mporaires
Langues: basic. langue huLI
:Terrain : urbain, docks, laboratoirês, tours
luxueuses.
Villes importantes : Kwenn Central, Hauts
de Mirrsleel
Sites intéressants : cale sèche, auberge Tallifax
Exportations : contrebande, divertissements, prod u its
manufacturés, vaisseaux, technologie, tourisme
lmportations : biens de consommaLion, produils
industriels, inatêriaux .bruts, eau
Routes marchandes: OoLmian Pabol
-': -
Conditions particulièreq : aucune .'
Contexte : en orbite geosynchrone autour de la planète
homonyme, la station spatiale Kwenn sert de portail
'contrôlée
entre la
Ia Bordure Médiane par l'Emoire et la
oar l'Empire
zone sans foi ni loi de I Espace Hult. Avec sa carapace
couleur bronze marbrêe de patine, ses « pattes » fill-
formes qui abritent ses cales sèches et.ses flèches évo-
.quant des yeux pédonculês, cette station fait penser à
un crabre-araignêe despayrien, d'autant qulêlle paralt
ramper frénêtiquement autour de Kwenn comme un de
ces prédateurs autour d'un escargoi éboueur sans dê-.
fense. Cet ancieri complexe a changé d'apparence au fil
des.constructions et.des démolitions de sêctions, mais il
demeure le dépot d'approvisionnemenL le plus emprun-
té de l'Ootmian Pabol depuis des millênalres.
Mesuiant trois kilomèLres de circonlerence, la sLaLion
constitue la dernièr:e éiape des convois et navires de
guerre à destination de l'Espace Hutt. Elle propose des .. ,..:i ,r1..1
:,_iLl-i:.1 .j:i:r:, i.:itl::i:: 'r,,:'

cales sèches pour la rêparation des vaisseaux, des en-

trepôts de stockage et d'expédition pour des centaines
de sociêtés, et un centre de loisirs pour les plus riches.
C'èst êgalement un port fantôme connu des contre:
bandiers qui tran.silent entre l'Espace Hutt et la Bor-
dure Mêdiane.
Récemment, la slaLion Kwenn a éLé vendue par le clan
Besadii après sa débâcle financière'sur Ylesia. Même si
elle appartient
aooartient actuellement au tnrst Kwenn,
alr trust Kwenn nlrrsiertrs
plusieurs
syndicats du crjme'rivalisent pour slemparer de cet ac-
cès à l'Espace Hutt. Le Syndicat Tenloss a ienté de s'ap-
proprier la majoritê des parts en se servant de sociéiês
factices et d'acheteurs anonymes, tandis que les Anjiliac
ont eu recours aux pots-de-vin et au chantage contre les
nrembres du conseil d'administration.
I Ct ,g,.]es 0r' r,OOUb OÊ .a \L-ll (,n \Onr
Lcapttt cs o heop lcr 1t de ,êplre p;>.n.rr:
^r^e1.l r.ris
seaux capil.ar-rr à ia lois Les riestroyers slellaires
irnpe'a r\ \ sOr I sut,\ênl 1']',1'lôs eTlJe oê l\
palrouilles, loul cornme des croiseurs eI des pa
quebots de luxe. La compagnie Ubrikkian enlre
i.ient d'ailleurs une vaste zone rje rnouillage pour
son .Jêpartemenl cle recherche el développement,
mais I'ingênieur en chel de ce pôle technique au-
lonome est dans la poche du clan Dcsi ijic, qui
en detournc l'usage pour s'en servir comrne port
lanlôme, ll n'est donc pas rare d'y voir des merce
naircs gamorré€ns ou weequays monleI la garde
d r( poi'rls d cr,ree>.

TESPACE I{UTT
i BBr:
LES BAROilS DE XAL Tf,'TTA
 VII'IH -IUN EO Siloiu!'g S!1,
ItnH 3lvds3,-l
'ls0no OJluêJ rnol el suep
gnlrs'loalsrrlA êp erQdo puEr) ne Jtos onlleql êqllJj3,l
€ lsê'onbrlrJl el red QSUOluo ergdo orqQlQt êl '« uteLUêp
ap sorllêds sêp êu8Qr ol l.rnol lsê Lt,no » ouuaQIoL|e3
orsOod op sl?ll]Q"r sêp ltnu Jnbeql luè L êllrrp A llnq ol^ls
rnd snld ol supp Dqne seutluel srnorsnld la'slnaqLrelJ
sorlne lê srlur?u xne xnonxnl solnlrQQÂ sop luosodord sQd
dnq serreuuorssêluol op sol?tllJ sol apoLl el op êlurod
el q sonuêl Sêp luopuêÀ  erxeleS el op s-taUnlnol xnonl
-uo el snld sap sênbrlnoq sêl slts ol ap sorluêl sap lo
seds sop 'sEr?do sop 'soutsel sall puaidL!ol rnb lueFeA
-eJlxê JrleQrlo-r -ro lienll un luouloleSQ or]Jo lools| A
'or1u-11 sof 'zlpI op rnol-]nq xnaLUel ê
l"toLU
ql rssne lsê,J salrolQ soi snos luolltluDs tnb rol]eredsuejl
êp lê luelolurlQ luo8le,p seugl,{d sol suep xnarlldr.t_los
sêsse.uol-sluaLLrolredde sop l-lolJo luos ês tureS uatq
allrnêJêlrod ne snpr^rpur,p salros sêlnol lê sllnq suor
eq s0l 'sQlrJqQIgr s0-l l00lsJ"rrn êp slneH sêl ô?r-ltLr-tou
ouoz oun suep 'le-tlua3 uuoÀr) op êsnoqlnq ênbol el êp
snssap-ne urol'uotlels el luauuolnol sLnol salualndo,6
1îIISUUll,ll 3g SIflVH SIl
'saluêlor^ suorlleQr sop lualnsns sadrnbg sêJlne xne
uarlnos 0p suorlels0Jrueu-t sê lJ 's0nllqpq s0p s rnêAeJ
sal 1ueua8-te1 luo suorlla-rol sQSSelnJ sal steLU's.rnolnol
srnal rruolnos l0 arpualgp as lnolred ap lueuuer,r so8ret
ap selolrd lo srê pueqêlluol sol suel op agsodruot e1q1
uorll êun q arLo13 ep srnol sês êp soloploue sêp roluol
er lo suossroq sop lr^"ros lnod salesta,lpe 1e salreualled
rêlnlsnoq op QSSOI e ,tnanol êJ suotllorol sQSSe-lnl sêp
un or0unu ol '0u,O LLr?sl er\ lleqqseLls ap rarltd erqgl
?l ne luourollonlre luarl,redde LI sue sop lU ne sas rda,r
sLnarsnld q sureLr-t ep qSueqr e'sêJqLUeql sap lueura1e39
asodo.rd lo sLllleLU sêp lêLlsuE.ller rnb'luaruasstlqelg
lol soruuolQp srnaisnld srndep 1er1ue3 uuo^,\) ap sêlqeu
,inoluo)ur suorlellelsui sap arlred llel xel llel oSlaqne,l
xvtllIvl t9u3gnv,l
hI§IÂVT5
slrq:adsar sorolr.t,tol slnêl êp
salrLUrl sê ralsol êp luopnQp s1r,nbs..to1 uotlels eL op srrol
-nol sêl suep soQrnoJJneqr? sep € nêll êuuop tnb apro.rl
a;tenB eun suep -roBeBute,s q te l luy sêp so.rieL.lal.toLU sa
.sluerllo
l0 roN lrolos np sluêBe se1 essnod Qltlelrr alloJ
snld xne sasudarlua,p slêrlas sap lê sou_tolut sluoLLnl
op sap luopual loN ltolos np suotdsa sa1 anb s puel
uo q:e1o-rd rnal êp aSneqrq uo saddoqta,p sa_treigudoLd
xne luoËrp, op lua-llnos :e l luy uell np st^-rêu sal sllnq
srprle>1 xnp no loN ltolos ne alqo;d uuox,ty uorlels e
tns assed es Lnb e: 1no1 anbsa-t6 saurBr-ro so qelt_tQ,,t sos
ap alqnb uo'lro.tpuo 1a:1uaro;dxa sen3olo9q:_teouçx sal
eLL:q;1 ereld rns slortos lueluaddo ê^Qp êp lo oql-roql
ar ap sarLole-roqel sêp enb rsute'lools"t_l L\ êp slneH sêp
auorLll 0p srn0l sêl suep s0ôQ S
sap sto_tl snol luapqssod
sLLUV uelo) 1a uotle-rod,ro3 ruolul sê rlsnpul Llet)ltrqn
srn0loA sol la sluerpuêur sJ luJLp to rB ro sa i \uoplq
ruütÀt{§u3d
's0llrerluo sos suep OJ^nê0,1
ç lse erSolouqlêlougx op oulroJ aun,nb pualg.ld rnaLln.r
0un'srnollre,c oJnorJQlur olnlln.tls 3l Jatpnlg ua tnod
suorlrpgdxa sap le,{o,tua ç senbrlreleB sOltsJO^run sêl gl
nur e rnb el 'alodsoc oL LUrX lê sllnH sJL ê.tluo lrlJuol
al lu€^e,p olep uorllntlsuol ollol anb luesuad san8ol
-o9tl)reougx surE1JêJ lerluêl uuêMy op sinepuolord sep
uorlelrluo^ ep slrnpuol sêp l0 suotlestleuel sop'sê.tnp
ro,p slrnpuol sop suep sQLllel luos slueuuadinbg sa3
solnrllr suosre8rel sinal lalodsue;l rnod slarpueqe'lluol
sol red s9srlrln 'sQlnLUrsstp sèLUolupl s1 rod êp sourezrp
sop ro8rêqQLj,p louJlod rnl lnlels e3 e;te:9"rd xted alal
ruolureLU ? lros rorluo luod un 1e'eldr-u3,1 lo sllnH sêl
lsê,nll
Orluo Orlnou 0Jrolu]ol oQJ€llQp QIQ e uuoMy uorlpls el
'a)uEl lo apneqr arqqdsoule,l auBq-rdLur rnb segBrlS
Çu sosseLu sep Lnaluend el rênlelo e luaurad sduuelSuol
stndep seqrelduel allq Ltp luorEJnp rnb tre,; op uorlel
ndq,p seurqreur sol lnol np sed etro,r 'leul luêuuotlluoJ
slJrloqrnl xnoJqLUou e6 lueueulad lualuarqelQp op lpl?
un su€p lso lerluof gql?s luouJOSStprorJor ap eptnbrl
ep 1a essrerS op oqlnol assredg êun snos luessre;edsrp
snlrJl9p êp xneoluoLU ap lo soQLilelgp sarqrd op sQr.ll
uol s.rrolnor sol olqelrqEq aredse,l op OJJe) orlQLUrluol
ênbeLll lualursenb luadnllo rnb soutsel op lo slolQq,p
'sreq ap 'senbrlnoq ap olepÇp un o^norl os uotllas ollol
ap rn0r..rQlur,l v sarr^eu sêl lllltênlle e s0u lsèp sluouJ
-adrnbg sorlne,p 1a xne3911r so8eteS ap'uorleledgt ep
selgd ap 'luernqrel uo luoLUOUuorsr,no;dde9r ep selsod
ep 'a8ereue,p sêreq ap oglqlll lso olnêr..tQlxo oledetel
eS slarluoprsQ"r srerl;enb ep 1e so8ter rnod slueLlo8eu
-gule,p 'sreFueq op apnlrllnLU oun luoqt u os uuèMy uotl
-els el op êSellrnbor êp oLUroJ uo anbol el ap rnæ) nV
IITUIN3f NNT'NN
's?O UJ l.Ol SêlJdS >êl?J sd
1o 'snssop-ne aqsnl '1ee1s.l.rr141 op slneH sa1 'axelduor np
r']il) êt osoduot r'b 'e.Ue3 uuè\^y : sè LLdo .UJLU I
ê,re ) suo )ds stoll LJ J?stA o lsê ttJ\Ay totlets e I
ffi H N§ §!I3 ru ITIOü
sap ?lQl ? 'lerluol uuoMy 0p s0tlro^uoloJ sto^uol ap
a8ereLue,p soreq sol lo s.topr.t-tol sèl suep iuaut1n13
8e,s e;n1u.lnou ap lo spueLilrelu êp spuels sol qnop
eJ ap soLU"roJ sel 1a se8ereB sal 'slQde;lue sal luadnt:o
srnarug8ur
lo suonruLtrlol sol uuoM) uotlels el op proq
q seqluasgrdeJ luos ot^ ep saLLuoJ op êpnllllnLr_r êun
runJrn) r3 NolÀytndod
lrlJos uo,p no llnH areds3,1 suep ".têrluo,p
---
lue^p rouuorsr,torddeg"r es ;nod nt alleL,1 luoJ solrleu sal
snol'sluepuedgpur s.lneqtodsuerl xne asuderlua,p slnes
-rorl sop 'selerrd sa1e3gl1 xne xneugdurr s';eÂotlsap sep
'se1srFe,le1:sa xneossre^ xne oxnl ap sloqanbed sa6
'senbrlrele8relur slneBeÂo,r sop sutosoq xnE
luo3srlps
rnb salueFrllelui salnleQJl ap stêrlltLU sop oluqe lê I
selneuorleds se; "rnod ollell un lsê uuoMy uotqeqs e I
m !I§ 3BUrN3,r
 MONDES ET STATIONS
SUPPLÉMENTAIRES
I 'immense zone dominée par les Hufts contient des cen-
llaines de mondes
habités, ainsi que d'innombrables
petites colonies, des bases pirales cachées, des repaires
secrets et des stalions spatiales isolées. Cette partie dé_
crit plusreurs sites importants que les personnages joueurs
peuvent visiter (ou donl ils voudront peut-être s,échapper)
au cours de leurs voyages à travers 1'Espace Hutt.
ALEE
Siluê le Jong de l'éperon llosien, entre Bimmisaari et
llos I\4inot Alee est un monde en majorité agraire, ber-
r ceau d'une espèce de gastéropodes intelligents appelés
Vippits. Ces êlres à l'apparence étrange se déplacent sur
un pied abdominal musclé qut sécrète un mucus lubri_
fiant pour facililer leur progression. Leur corps charnu
a est pr0légé par des écailles turquoise el iridescentes.
lVême si 1'agriculture prédomine sur Alee, ses habilants
e sonl réputés pour leur inlellect affuté, malgré un certain
manque d'imagination. Un nombre surprenanl de Vippits
délaissent donc leur vocalion agricole au bénéfice d,une
carrière légale. Les Vippits ont acquis une réputatlon
blen méritée d'avocats et de luristes exceplionnels, el la
pluparl des Hutts en gardent toujours au moins un à leur
service pour s'occuper des troubles légaux que génèrent
leurs activitês prolessionnelles « legilimes ». En plus de
ces crêalures, bon nombre d'llosiens vivent sur Alee où
on les emploie comrne ouvriers agricoles.
CIRCUMTORE
Ce planêloide artiltciel en lorme d'anneau a été conslruit
dans un but inconnu par une espèce mystérieuse que
l'on pense éteinte depuis longtemps. Circumtore se si_
tue à la jonction de plusieurs hypervoies commerciales
importanles qui traversent l'Espace Hutt. Des cenlaines,
voire des milliers de petils convoLS et cargos légers
passent chaque jour par ce lerminal stellaire complexe,
el une quantité phénomenale d'épice et de biens de
contrebande y change régulièremenl de mains.
Depuis plusieurs siècles, Circumlore esl sous la do_
mination des voraces Hufts à carapace, Même s,jls ne
posenl guère de queslions concernant les produits qui
alimentent leurs marchës - du moins lant qu,ils touchent
leur part -, la sêcurité clemeure assez stricle sur Circu_
mtore. Contrairement à ce qui se passe sur la plupart
des autres ports et planètes de I'Espace Hutt, les armes
sont interdiles sur Circumtore suite à une lrisle alfarre
qui date de quelques années. Le célèbre Boba Feft, venu
mettre la rnatn sur un individu recherché avec plusieurs
autres chasseurs de primes, a provoqué un incident qui
a entraîné la mort d'un Hutt à carapace et de dizaines
de mercenaires, Depuis lors, les mesures de vigilance sur
Circumtore ont étê considérablement durcies, ce qui en
fait ironiquement l'un des lieux les plus sûrs de toute la
region pour acheter et vendre des biens au marché noir.
L'ESPACE HUTT
LE]' BAROXIi I'E X'TL I{,'TTA
I
NIMBAN
Jadis membre de Ja République Calactique drsposant de
représentants au sénal, Nimban est devenue celèbre il
y a plusieurs siècles quand elie s'est séparée de la Ré-
publique et a demandé à rejoindre l'Espace Hutt. Les
Nimbanels sont connus pour leurs raisonnements tor-
lueux et leur capacité à gérer des montagnes de pape
rasse et autres syslèmes d'informations retors, ce qui
les rend prêcieux au sein des institutlons tenlaculatres
comrre le ministère impérialdes Finances, le Bureau des
taxes impêriales el le Bureau officiel des Services Stel-
laires. D'autres grandes organisations en quete de comp_
tables, de ogisticiens et d'adminislraleurs onl égalemenl
recours à leurs talents, par exemple l'Autorilé du Secteur
Corporalif et les kajidics hutts, pour qui ils traltquent les
Iivres de comptes avec adresse, dissimu ant des reve-
nus occulles derrière une [nasse complexe de nombres.
Crâce au chaos économrque conséculil à la Cuerre des
Clones et à l'effondrement de la Fédération du Com-
merce, les enlrepreneurs el investrsseurs nrmbanels
0nt pu acheter assez de parts pour contrôler plusieurs
congiornérals imporlanls, comme la lirme de conception
de vaisseaLrx Hæursch-Kessel lVolors et le labricanl de
droldes Delban Faxicorp. lls ont imposé leur moclus ope-
randi à ces compagnies en ciilficr_rlté, aujourd'hui basées
sur Nimban
Le penchant des N jmbanels pour les leux de l'esprit re
sulle de leur adaptation à l'étrange écosystème de leur
monde nalal, où l'extraction des portions comestrbles cle
certains vêgétaux, co[nme ia f leur casse-tête et le boyy,lo,
necessite une certaine réf lexion de la part des herbivores
intelligents. Cette approche intellectuelle des problèmes
a même remplacé a violence chez les Nimbanels, qui
préfèrent s'engager dans des compélitions nomrnées
muhndees, où les rivaux s'affrontenl à coups d'énigmes de
logique compliquées et de puzzles mathématiquès pour
déterminer le vainqueur. Bien que profrlables el efficaces,
les mélhodes des Nimbanels peuvenl néanmoins s,avérer
fruslrantes pour les autres races qui n'onl pas a patience
de répondre à leurs normes rigoureuses ou de remplir
chaque formulaire en lrois exemplaires.
NAR I(REETA
Situêe à Ja.lonction des hypervoies pabol Kreeta et
Pabol Sieheyron, près de la pointe des saillants de
Boz Pity dans la région du Coulet Kreetan, Nar Kreeta
est à la lois une colonie minière et un centre de com-
merce majeur. Ce monde rocheux el aride est const _
lué d'énormes montagnes, de profonds canyons et
d'ocêans alcaLins chauds.
Nar Kreeta a été annexée par les Hulls ily a plusieurs
milliers d'années et plLrsieurs grandes compagnies de
forage y opèrenl sous charle octroyêe par la Cuilde Ml-
nière. Meme si les Hults s'accaparent une bonne parl
 vrJJtH -IUil EO SI{olüVS St-l
rtnH lfvdsS,'l
lr#
{B
E -a,ued luos s1r 'elurod op oJrelrlrLU arSolouqral ap ned
E ne uorlenlrs es OJSleur sllnH sop oluEpuadOput rolsat
l§;
T sgleld lnEr.{ snld sal
snpr^rpur sap sollol stJdLuol ,4 'ser,r sep lo sorQulel sop
"reÂorq lned'soJtolltperluo: srolled suotltqLUe sjnol op
F orrrnou 'anbrlrlod êutqleul el Qltle9r êllol oIQIJOJ Lllêl
E 1e.'axalduro: lso sllnH sal 1e alrdur3,l orlua uotlelol el
f '0ureLUnq uorlesruolo) 0p s0llQrs sap oltns sqrSold a1
?
F red qnb.rer-u rssne lsê sesou.r op 1e saureld ap 'se13unl ap
Jro^no) opuoLu oJ 11ng euq:dn5 Itasuo3 np suorleurlso
sal lro;l uo uo,l rs roruJOp ol
op Jnêu?lxe,1 ç elsnl agnlrs
F lso llnH.. areds3,1 lueuoluol IOXeB lnallos np ollooUlo
aletlgdut « olElrdel » ollo3 uor39t e1 suep osnolnqQU
F lê orrollrpeJluol uorlrsod aun adnrro alqueld e1e3
F HITI
F 'slêllos slneleBrlsur sol luos uo souJOLU xnê
E sllnH sol anb olrpd aryed epuer8 ue'uotÂaqe15 oLUQls^s
aJ supp ouuosroJ auele;rd el 'rauQt1at e1 lnod sllnH sop
soroleluolso slroJJO sap lld9p u: uolÂeqe15 ep sllodorl
-eds sel suep olueueuJJOd ua luollsuetl selsepor-u snld
srorpueqaJluo) op xneossre^ ap lê sonellsa,p s?8Jeql
s;neÂo,tuol op 'eueqrf zeB ep srldular so8tel soulou?,p
êrquroN Sous ep sêOqulru sêllorJlsnput sauoz ap lo
sorlsrurs sallr^uoprq 0p
rsul 0un,p n0rltut ne sol! sêp
ouJLUol luassedQp rnb snualalluo uotq sllulsrp s1r1ed
sanblonb la^B'oOUtlerls luoLUOlneLl lse uorÂaqa15
.arxeleB
olnol ap sarr^eu sal la soLule sol supp e:r,tres rnb ze8
xnerrgrd ol luouUJpJ'solellsê,p lo sapr.otp op suotllrLU
sep.,led seQlroldxe'sêutsn,p sêureluol saq urdseg
snueuoJ enb saurelurol rssne srol'led suorSg.r op luorA
rnb'eueqr_1 ze8 np luei-uelteJl np lneleu elgd un luou_rêl
e8Q lse enbrSolouqrel luaLuolneL1 opuoLU ot'sa^ellso
xne sollljPu,r sarqQl0l luauiolstJl sês op sloqêp ul
'rnol anbeqr snpuêA
lê sQlaqre luos xnoJnoL.{leLU op sJarlltLU op sourpzrp sop
l_'ro'sQr-.trlJeLx
sol suep Olnllt) luo selqeurBeurrur soLUUJos
s0c elPelI,rs 0p seue,l l0 ellnH euelooB el Orlua urLU
-ai.{)-rur q'uorÂeqe15 loqed lo ?llnH loqed êp saLenroul
-LUof sêro^ sap lu0LLt0stoll ne uorlenlrs es q etqr8 erlted
epueLB ua 'uor3g,r el op so^ellsê,p olrell el êp olluol
a1 lse uo:ÂaqelS 'eeppeqS rep sq.rde alsnl enbruouotg
a;piurdgd assor8 sn14 srpel ep lllJUol ol êp êlerl aunl
-ne snld eluesg-ld au elqueld e1 'rnq,plnolny olodsoC
êl turx lê sllnH sêl arlua setpnod xne no1 ol sluJ luo
!nb sollalurlQ s0p aun,l ÇlQ e uotÂeqalS ep olQtluor oL
;nod allnl el 'sê..ueuOIIrul srnarsnld e  11 enbtlqndgg
el 0p lusl-LrouQAe,l jue^e uorq sllnH sop uorleurLUop EI
snos o9qurol lse e8e,tel:sa,l êp oluEUtnol anbeld a11e3
NOUAEHI]s
'sdual anblenb
rnod a.rlleredsrp ap utosêq e lo sop Q sarnleQl) sol stLLl
1sa,s enbuorrnb lnod a8n;ar un elqueld ollêl op stolred
lrel sllnH sêp st^-? sl^ q-al11è
ap otuJouolne;1 ;eÂo1 "rnel
ep luouJOSSrArass€,p sontleluel slnarsnld lenolgp q snu
luapQssod sqolrrU sal ênb uorB 1np areds3,1 op rnatl
e .ss,ro. e r o sJLJo, t lèsL sêo..oJe*rq p e1ua8r 1a1u
arqdsa oun oluqe xna8etqleu sladrqr"le,p sJêrllrul op lê
spuoSord sueÇlo,p Qnlrlsuol eprLunq lo pnelll opuou; aJ
gilllu
'sorPJJe,p solros
sêlnol luonlluor sluerroSgu lo slueSroulLuo: sa1 anb srp
ue1'se8e1e1g sol rns lê sourJlr^ sol suep - uou no solea
-91 sêoruop stnol luoperq sJnopuoA op soul€luo) sêp
'spuPqlrelA s0p êQIlv,l suec xnollul sluêLUossrlqelo,p
êpnlrllnur aun la srnêlerpe13 ap sêuQre sêp 'lleqes êp
solles sap 'e:rdg,p sêrrêLLlnJ srnersnld 's?Jerdel êp la seu
-rluer op sourezrp sop orJJO slrsrol sap rarlrenb ol 'sêrr^eu
sap 1a suosre8rel sop lro1suerl ol luonllo1Jo rnb seplorp
0p aproq oun,p lo sluelnot srdel ep sorlQLUoJtI srnarsnld
ap se9drnbQ luos sollo lo 'soBJBl suê^oul le slrled ap
Olrluenb e8reqr ua erpuaLd ep salqede: luos sosnêneds
osereuJe,p sauoz sal sl)r.rlsrp slnersnld ua aOS lso
^rp
0lu?ls oprojQlse un,p rnolne êlrqio rnll uotlels 3ll0J
-eu rsap € sa^errso ,.p r. 3ii?j:eï'r:i:ià::r'L:i,J;i]
anb rsure - u llnU oJnoJolne, » oQu-rLUoulns luoLUê pBQ
snllor{ aro,uadÂq,1 ap 3uo1 al stnrq 11tu np ia LUrtsrolllS
ro lue-loos.erl srorpJeqêltuol so. rtod uoriesuodu-Lo:
0p 0rqLUeLll oun,p QlrJeQr ue 1rBe,s lr 'lueJnqrel ap lqdAp
j
un luourallonUJo lso puellnO rs aLUQl errdg,p lgerl al
rns alodouou.l rnol orpuoto,p lnq êl suep sg lle strprley
e1
srnarsnld lo rrpesêB llnq uEIl el 'ted aOBeuQLUsQr la ê?r
-edQL Qlg e puellno'souoll sêp èlanD al op uU el V
1e
'êl tsè
rê.s llèl oBueI sreLU J ].rl tJp lJêLLêlrtcLLol ô, ,ê tlltel
e puellnO le^r..1 uos rênl op lrodse,l suep uotlels es
êp Jnolne senbruleql saBJeL{) sep ç:e1d srnd 'e11ezo6
QUrssesse lo OJnuol e Ir loruJOp êl loutLLillg,p Qluêl e
'llal oSuef op luê.lJnluol un 'ssorluo[A] uotrolepuer\ ol
puenO sauolJ sêp arronD e1 1uep9r9;d soQUUe sel lueJ
-np npuoJ Jualnos lse Â,s rnb '11a1 oBueT sauud ap;nes
-seq) 0rqQIQl lu0u.lOlsUl np 0tLUe la aÇDosse 'Bllezoè
êJJer.Ptl^Ol JpueL.l)Jp JO, r.. e . ua ltedde ted r- e a1la
'sllnH sap 0lQrluol al snos proqe,C luelros uo rnb no
laxe6 rnallos np lue^u;B xneêssrE^ sol Jnod atrelndod
êlleLl oun lsê 'llnH oleds!,1 ap orQrluorJ e1 q'1oqe4 3eq5
ero,uedÂq,1 rns oÇnlts alerleds uorlels opuer8 ellef
ONTNINO
IISNTTUI TO NOIIVIS
'sele"rrd sa1 rnod uorlralrpg;d op narl un oLUQI
-sÂs er ap 1re1 rnb êl'JUOUUêrA ue rnb no ouerp?l1l olnp
-roB el 0p uorleurlsop q sanellso 1e slrnpold sa1 rnod
lrsueJl op lurod ap 1uauele8g lros elêoJ) leN SUnul
-uor sn;d xnet?urLU sêrlne,p JOldLUol sues 'urnu11Â,1 1e
urnrpeue^ e1 'Lunutp,{1 ol 'LUnrprJr,l oLULUot satet slelou
n-u sop anb rsule 'LUnlJrrr)j op lo LLtnrlerp ep splrluenb
sosuouJurr,p luou.rolQlln8qt lretlxo uo uO êunl;oJ elqel
-rrÇ^ aunluêrtuol alqueld ollol ap Ios ol 'solllQUQq sop
TT
1
I
t-1,
' .E{,r'." UJJIU|'Irrf, EO SoiütE sfi
5f gVNNOSU3d f O SNOt-Ld'O
?pll9p luale,u sll.nb suroLu e'xnê êJluol uorllaqar ua no êrxEle8 pl ap aut.ll np suoleq
' 'vrrnH lvN Eo sNouvEi sop oll^rês ne sJorJnluo^e.p lê sol luolQrluol anb slnês sol sed luos au ê) stELU 'sllnH sal
suallne^ Ap êluolslxa aun lauaLu êp lurdNf.l 30 sNIrNoJ lo^e s^enbaoMlo sualuroelpl) 'sÔlllN ,suerpo^sop UOtl
InV,p t-d xne orllaulrad ap lnq ol suep 'uorSQJ allê) ap -eDossp,l op luernol ne lso opuoLu
J1 1no'l e11n11 1e5 ep
.^^^À.^ -^qÊ,,,,^^,^À -,--!,^,!
soluorQJJlp solQdso
saluorQJJlp sel?ose slorl so8euuosraci
storl ap 1ê sllnl{ soôeuuosrao.ap^^
ap a9[
a9t^^, surerazns slonJ] yedn1d.e1
slonJl sal lua^las uEdnld.el 'saluoStllalr
luop 'saluoËtllall
llelêp uorleêr) êp solSQr sop asodotd uottlos a]]al -uisergdsa.p luallrurnôl 11ng a:eds1,1 ap selqueld se I
sllnH sal Jed sQU snpr^rpur sal 'sllnH êurgul no suo^rles sulssesse 's1ue8
-ru.lop sopuouj sa) q sonbuDgds xneassle^ lê solnlluo^ setteue:leur'so11ru sauuud op slndsseq) luJtos sli.nO
'sluauuedrnbQ 'sarnurJe 'souje sap rns slrelÇp sap onb 'sor8 alrodder aLuul èl
la 'alon no npua^ ê.lr)qle arla
Isule 'solQdsa sallo^nou allenb rau;elur Jnod solessal rnad lnol orêrLxnl-soOUup alltLU xtp ap snld.lns luopuêlg.s
-Qu-suorleLuroJur sal zaro^no.rl sno 'arlLdeqr al suec rnb spuol spq sêl sue6 arxeleS el èp aoLupl leLU alQrs
-r1 e1 ,
;eroldxa,p luldrr:1.1 ro sNrrNoJ xny,p s-,tneno[xne
lal{l luêle^ lèL.rlJad uor89r arleJ et8ad e1 op natltul êl suep ulou un
slualel srnêl 's:rprle>1 sop alqlluol snos auoz êllal suep oJIel os êp xnarsêp snoÂo,n la slaunluane ctndpnoleql
arb luorunnorap salndnrri sues lê sJrluanur xnêrliqure rlnur êun êUlo llnH a:ecls3, !
,ü
€
/
 LEs HUTTS
Les Hults sont de volumtneux gasléropodes louissant
k
d'une longévrlê exlrême el dolés d'une force phystque ei
menlale remarquable. Semblables à d'énormes limaces
el dépourvLis de jambes, tls ne peuvenl se déplacer
qu'avec lenteur une fots leur croissance achevée. Même
sr es Hults les plus célèbres onl souvent été des bandits
el des barons du crrme, ils sont présenls dans presque
toules les prol'essions. Les règles suivanles décrivenl la
conceplion d'un jer-rne adulte Hutl d'un siècle ou deux.
ffi Physiologie : au fil du lemps, les Hulls continuent à
grandrr el, s'rls font fortune, â gagner en coTprrlence
Comme ils peurrent vivre pLus d'un millier d'années, les
plus âgés et les plus putssants - atteignenl une laille
impressionnante. Un Hult jeune et vtgoureur possède Lln
lorse flexrble el muscle d'envrron deux oLr lrors mètres
de iong, surnnonté d'une large tête dotêe de gros 5reur
F globuleur el d'une bouche grgantesque. Par rapport au
reste de son corps, ses bras paraissent courts el bou-
dinês, même s'rLs possèdent une force tndéniable.
Société: 'organisalion hult esl londée sur une politique
- clanique, et l'on atlend des membres d'une familLe qu'ils
* cherchent à amél orer le stalul du c an loul entier. La
loyaulê compte autanl que le preslige el le moindre af-
front dort être vengé. Lextrême longévtté des Hufts Les
incite à la patience et rLs n'ont aucun mal à aborder la
pluparl des sujels sur 1e long lerme. Comme la plupart
F d'entre eux n'accordenl pas beaucoup d'imporlance
à la vle ou à la liberté des autres espèces, considérées
cornme « rnlérieures,, ils en maintiennenI plusieurs dans
une condilion de servilude quasi totale Heureusement,
cerlains indlvidus consliluent les proverbiales exceplions
qui confirment la règle.
La p uparl des clans hutts gèrenl des organisaltons
nornmées kajidics. Pour quelqu'un de l'extêrieur, ce lerme
esl presque synonyme de clan, voire d'empire du crime.
En elfel, La plupart de ces entreprises l-rempenl dans la
trart." d'esclaves, e tratlc d'éptce el d fférentes formes de
bandilisme intersleLlaire ; 1a rêputation de gangslers mpi
loyables des Hults esl à cet égard grandement méritée.
Un Hull qur ne rejoint pas le kajidic familial esl un proscrit
ll n'a pas de réelle place dans sa socrêtê natale et ses sem,
blables ne le comprennenl pas vraiment
Monde d'origine : même s'lls sont origtnaires de Varl,
les Hutts se sonl depuis bien longlemps emparés d'une
autre planèle, Nal Hulta, dont le nom signilre u Joyau
Clorieux » en langue hult. La majeure parlie de Nal Hut- n
ta esl un no man's land poilué et marécageux, dont per-
l
sonne hormis un Hull ne voudrall, mats sa cinquième
une, Nar Shaddaa, abrrte un spatioport el un centre
d'affarres lrès important. ï
Langue : la langue hutt, parfois appelée hutt ou hultois,
est pralrquée à travers toule la galaxie C'esl l'un des
pnncrpaur idromes commerctaur dont l'universaltté n
valrse avec le bastc, surtout dans La Bordure Extérieure
el l'Espace Hutl. Les Hutts sont parfaitemenl capables
d'apprendre à parler le basic, voire n'imporle quel lan
gage, mars la plupart choisissent ne pas le laire (ou le
prêlendenl) ahn de se distinguer. De nombreux Hutts prê
fèrent utilrser des traducteurs, qu'il s'agtsse de droldes ou
de « servileurs », pour dominer leur inlerlocuteur.
La vie dans la Bordure : une fots adultes, les riches Hutts
é\,ilenl toul lravar physique pour des questions de statut,
mais les plus jeunes membres de Leur race, tmpatients de
fa jre leurs preuves, fonl parlois d'excellents guerriers en
raison de leur force phystque considérable Nêgociateurs
et comploteurs nés, ce sont de redoutables marchands,
politiciens el crlminels. Les obligations des personnages
hulls rmpLiquent soit les liens envers eur clan d'orig ne,
soit es raisons qul les ont poussés à couper les ponls.
frÂpe(§Yɧ §prË{§e§"§§
a Seuil deblessure:13 + Vigueur
a Seuil de stress : 1l + Volonté
a Expérience de départ: 70 XP
a Capacité spéciale : les Hutts entament Ie jeu avec
1 rang dans le taient Endurance et I rang dans le
talent Perspicace. Ils disposent également de 1 rang
en Coercilion ou en Sang froid. Néanmoins, ils ne
peuvent pas dêpasser Ie rang 2 en Coercition ou en
Sang-froid durant la crêation du personnage.
Pesant : un Hutt ne peut jamais utiliser plus d'une
manceuvre pour se déplacer par round.
LES GANKS
Certains des lueurs les plus redoutés el sanguinaires de
1'Espace Hutt fonl parlie de cette myslérieuse race de
mercenarres. Vêlus de la lete aux pieds d'armures so-
phisliquées, ces paramilitaires se montrent raremenl aux
non-Canks tête nue ou sans équipernent. lls travaillent
comme chasseurs de primes, assassins el gardes du
corps pour les Hutts et toute autre créature en mesure
 vJrnH Tin{ to sÎ{oilE s:tL
SS9VNNOSUfd fO SNOrrdO
llnLl onSuel uo luoLULUe"lnol luaAnos luêLr
udxê,s lê lrseq op sluêLurpnr sêp luêsulJeut xno ojluo,p
E eJqLUOU SreLU'sonbrl?urêq^l slurlLUol sJnol ? algt8 xnê
h orluo oluêlrs uo rênbrunLULror luotQl?rd sll )rlqnd uo sed
luosrlrln,l ou slrrel'npuêluê sreurel e,l ou ouuosrad '03e3
uel êrdo.rd Jno luapQssod syue3 sêl rs aLUOU : en8uel
IE sllnH sop 0)^J0s ne'eeppeqs
reN ap salelrlJOA sQln sal suep luo^nos snld e1 a,rnoLl
I
I sol uo srELU'sollO,p osnolnqQU EI op sJtlleorpel saSenu
sosuop sol suBp aQLllel e.llQ-lned no ellnH eur?looB el
F supp oQnlrs lso oleleu alQueld rnal anb ouu05dnos uO
'sIUef sêl luauuor^ Lro,p lres ou
lnu . eurâr.ro,p apuol
F 'suorlrperl sêp
erlred 1re1 seQLldorl ap asr,rd el 'oluolor^ op lo soLUrl op
or^ oun s€d luêUQLU au rnll sIUpD se1 ruled oLuQtA Snl
leqe siLUêuuo sep Qlrlenb el la orqLrou e1 ;e,tnord rnod
tr soLUrllrA srnal op sdro: sa1 luall nodQp rna erlue,p lred
nld e1 'luaLue,rLllol1l surssesse,p snld uo srnêlo^ op uotl
h -elndQ"l el nleA e rnal rnb opnlLqeLl 'so.resJOApe srnêl rns
« sêoqdorl » ap rê.redLuo,s q oluepuol luo sluEJ sal
t, er8o1opoq19ru ep enbueu"lna1 red sgrlsnrJ olrl sQ.rl
E luos slr 'sapurldr:srp surou se:qdse sorlne,p lo^e rollle^
e;1 ap sgBrlqo luo^norlor ês slr,nbsro-l olrlg,p sOlrun sop
enb alqelnopar QlrrerUJO,p oruo8 êUJOLU a1:e,re luessr8e
'openolsê,p sanbrllel sop la apelsnqLUO, op l"re,l suEp
sorlleLU sgsspd luos s11 arpdse rnêl ap sorqLUOLU sê.rlne,p
:e,te sednor8 s1t1ed ep JOLUToJ luerQJQ;d 'aquepuadqpur
ffi
uo5el ap luo^nos sed luessrSe,u sIUeD sal sQluaLU rQd
xe snld sêl su€rOlO^ sol lerOUOS uê « seLldle » sap olQl
rn0l q r0A3 'xn0 0-llua 0llUls 0rqlrerQ[..{ 0un ? ]uOssr?qo
slueD sêl 'pJoqe roruiord ne 1ueu9rlo1 sed luenbreuer
e1 au s:a8uerlg sol is ouJQi/{ « soQnu » sop sroJred ouru.lou
"rns uo,l anb 'solerlrLUEJ salnoLu uê olluls uo)el ap oQS
rue8ro lse arpirenS lo olsrJelrlrLU
ornlln) rnêl : elgrf,os
'sasQ qlo.rd
no slueldur s.rnersnld suiour ne luepgssod >1ue3 anbeqr
'sdro) rnol ep elueLSglur arlled qrel ollô lel 'Ql?nos lnol
ap lennrl luêLUQIO un eluasgrdet onbrlQUraq^l et xnê
orluo luaLUOro;Ql luaBQlord os slr,s êLUQLU 'selndnr:s ap
aluosqe rnal 1e glroduro otQlle.,l?l rnel rnod snuuol luos
sIUe) sol 'xnanbrlleq 1e slrssa"l8y slue5puaLU srnalepgrd
ap rre un luêrQJUol rnel rnb ournoJ op xneÂ,p 1e slup5€LU
-r.r8 sgr:e1
op onb rsure'e8nor op la Qluol unrq ap a8uel
-OLr.r
un ? QJOp ounel np luellE ornrnoJ oun,p
oJnrel êun,p sglop luos saJo^ru.rer sepqdrq ser 'sanbrl
lo aluessrnd
guroq^l slueldrur la sornLUre slnol snos:oleolols^r.ld
enbrlreleB er8qd e1 op sêreuêlroLu xnaro8uep snld
ep uorlrsod Jnêl Qprlosuol luo s)lueD sel 'srnda6 11fu ap
lqerl al suep suarprourroN sap slQrQlur sol Jo^ras9rd Jnod
saluod-ro6 sap q1r1er391ur,l OurllOp luo slr slonbsol lue.rnp
'sIUeJ soJlesseL\ sêrqQIQl luaLUêlsul sap s;ol '191 snld
sarreuQllrLU srnersnld luepgrgrd suBS solnrq ep uorlelnd
-qr eun g8rol luos ês sll sopoLilQur srnêl e êrrlsnos ? aOS
odsrp ie 'solr^ros srnol JuJJo,s rnod slrpqr: se1 reuBrle,p
auuaÂr1eg
{
n 7
IF'

Et=*
ffi
ffi
F depuis des mil ters d annêes par les radtations gamma de
* ber. La lréquencc des mulations des Ntklos a accélérê
* que a normale. Sutte au mauvais dêrreloppement de leur
La vie dans la Bordure: les Canks vivenl en lisière de a
Bordure. et leur apparrlion que Ique par-t esi loujours rle
maurrais augure Les Hutls onl 'habilude de recruter de
peliles armées de Canks Lorsqu ils ont beso n de nrerce
naires professionne s, en p us d escouades spécialisées
pour des contrats ponctLrels. \4ême si 1a pluparl cies
Canks reslenl en genéra tes cje près à leur nuée. un indj-
vidu peut parfois se dêtourner de la sienne el clevenl ul
chasseur solilatre Ce a se produit e plLts souv..nl qLtand
1'unique survlvanl d'un groupe reluse d en intégrer Lln
autre Ces marginaux sont soLt\.ent obsédés par 'rc1ée de
Venger La mor[ de leurs compagnons el peuvenl passer
des années à traquer el à abal"tre les responsables.
Ë&petrsY*§ §p§â€*&L§§
a Seuil de blessure : l0 + Vigueur
a Seuil de stress: l0 + Volonlé
a Expérience de départ : I 10 Xp
a Capacité spéciale : Les Canks entamenl e leLt avec
1 rang de Coercilion ou de Vtgtlance. Nêanntotns. ils
ne peu\/enl oas dépasser e rang 2 dans ces compé
tences duranl a créalron du personnagc
Cyborg: lous les Canks sont des cyborgs. et chacun
d'eux possede p usieurs implanls cvbernêttques Cif
lérenls. Un Cank enlame le jeu atrec au marimum
deux équtpemenls cybernéttqries (lels que ceLrx dé
crils à la page 114 du Lirrre de règles d'Aux ConrrNs
oe l'Elprnr ou à la page 106 de celui ctJ, poLtr un
OPTIONS DE PERSONNAGES
LES BAROXS DE XAL HUTTA
tolal cle 5 000 crédits. Si un joueur chorsit Lrne Obll
gation supplémenlatre lLti permeilani d'oblentr des
crédils pour la crêalion de son personnage, tL peut
cumu er cetle somme à son budgel de base poL,r ac
quértr des implants La ljmite d'irnplanls des Canks
est égele à 3 p us eur Vigueur
I.Hs NIKTOS
Les Niklos de Kintan, farouches et clénués d'humour,
s0nl pelrl êlre les esclaves les p us connus des HLttts A
Leur senrice depuis des mrliênaires. même s'ils ne sonl
pas lou]ours d'une loyaulé à toute épreurre, leurs t inq
sous espèces aussi robusles que sloiques sonl lrès té
pandues à lravers loul 1'Fspace Huft et les terrjtorres de
la Bordure Exlérreure
Physiologie:ces humanoides reptiliens ar_t cutr épats
fonl à peu près la taille d'un homme rl,loven et onl été
forgôs par leur etrr,ironnement impiloyable : bombardés
'étoile magnéltque toute proche N1'dr,,veshuu. Les êtres vi
vanls de Kintan ont du s'adapler poLlr êvtter de succom,
leur e,,,olulion, alteranl leur génome irille fois plus vtte
musculature miméttqLre, Leurs visages sont assez inex
pressifs el leurs Veux proléges par une hne membrane
lransparente Ces laciès frgés et ces regards fixes incilenl
souvent les gens à sous eslimer Leur inielltgence.
Société : la cullure ntkto a êgalemenl été conclitionnee
par Kinlan. Les Niktos onl appls à s'allier pour sutriv e
aux dangereux prédateurs de leur pLanèle, donl les vt-
creLrr dragons épineur, les énormes irogleines el les
féroces phacobêtes. lls onl dêcouvert les rrerlus de l'en-
traide à lorce de dompler leur redoutable ecosyslème
Les tensions raciales enlre es c nq b a rches de N itos ont
provoqué plusteurs guerres dérrastalrices jusqu'au tratlé
Les Hufis ont imposé une pair génêrale
de Vonlor, où
\4ême sl D usieurs tabous tenaces empêchent lout croi
sement enlre les diverses sous espèces, tl arrive de votr
des sang mê é, qui en général alfichenl es caracléris
l ques d'un seul parenl, les vrajs hyltrides reslant rares
f exislence de nombre;x Ntktos est rude en déplt c1e
la n bienveiLlance » des Hutts, et la majorité d'entre eux
lrimenl au serriice de ces suzerains dnrs et crueis. peu de
Niktos sont des meneurs nés et eLtr servitr-tcle esl jusle
lun mode de r,ie; pour a plupart un suzerain Hult rnoins
sadiqLle qu'un Seigtreur Noir des Sith sulfrt amplement
à leur bonheur Malgré loul. un clésir sor_rs jacenl de li
berlé que des mil énatres de soumtssion n'ont pas sulfi
à éradiquer enttèremenl courre loujours chez les Niktos
De lemps en lemps, I'un d'enlre eur s'enluil ou acl-ète
sa Llberlê, mais même un esclarre émanctpé cloit resler
rrigilanl, sous peine de relomber enlre les griffes d un
autre Hult.
Monde d'origine : es Niklos l,iennent de Ktnlan. dans
'amas de Si'klaata, une planète aur cltmats et pa!,sages
variés a lanl d'immenses déserts el de loundras arides à
des montagnes boisêes et des archtpels tropicaur. Les
radialions de I\4 dr,t,eshur_t ont tmprégné toute la planèle
et provoqué d'élranges mulattons dans ses écos1,5166ç5.
l\'1ême sj le niveau de raS,,onnemenl n'esl pas mortei [du
moins à courl termel, Kinlan n'en demeure pas mo ns r_tn
 v,l.t lH 'Ivx Eo siloiut s sâ-t
Sf9VNNOSUld 30 SNOt-LdO
slln.tq sop r0lralQp rnod sQnllollê luprnp olualQdr-uo: a11at sLr?p a Fuer a1 _tassedgp secl
oluelrEt^ op lê uotldêl.rêd ap slsal sol snol ? E ep tuaLu 1ua,,rnad êu slr 'suLouue?N uo:leutp_too3 ua Bue..r :a,re
;
eleSO luar:!Qugq pnS np sollrN sol eEeuuosrod n[j Lror] nal e1 luauleluo solNrN,es,sepey sa : elercgds gllrede)
-eQJl el luernp oluêlQduot a1le: suep Bue-r e1 rassed
6 aps Elsê,] t? soqtdepe se11u8 sanâuo] êp lo oQq.rêlexo 9Ii
-Op sed lue,rned ou sleLr'uorldatra6 ua Euer :e,re nel
; rqrsuas el q lueurLuqord zou un,p sQlop luos sol)l N,es,sep
a lu0LUelua sol>lrN,ns.o.lu0qs,L\ s0l : alel)?ds 911rede3
-l?y sal uoluêLu np lo xnê,\ sJp .tnoln? sal ct sa1 1od ap
'suosP_tlln sa1 I o,,rot_ted red aeurulal sêsnosso sa:uel9qn1o-ld êp olêjl êu[ ]e et_jo;\
0p pns np s0l)ltN xne 1ueua1e39 luollauuad qe uorle-t d êsnollrelg nead aun luapgssod solyrN,es.sepey sol ,uelLlty
-s0r el luêltlneJ n-xn0l .nol np o..tQlr_te. q sa-ttolerrdse_t ep seg,rgduual sêrQrlQl srrorS;-r lJ \lJ ol sap sot eur8r'rg
? soqnl s8uo ep gddolerrgp iuo s I 'a:e1d sl V sê-jQU
Q8uol sêJlne slnoJ q luêLUèI elllol sèi? rpl se, oe8eu
(srurn sCIr» I N) sorx I N,vs,svov)l
ru sou-r0l ru quapqssod au 1a'aBue_to no aunel ,êqruelq 's0pneLlt no sêpl_t? sarrbtqeutlt suotltpLtol sop
'eurqr: need oun.p sÇlop tLtos pnS np soly N se-l ? llp
! un le.li1o"r luo,tnad sa8no6 so])ltN sêl 'setualqduo: ap
(ons ns soJ.xt N) sory I N,ns,orNt gs,hr slsal s0p luan]loJJO slr,nbs_to-1 aEeui_tos_rod np uotleÇrl
El lueJnp a:ua19duuo: s:llol suep e Auet al _ressedgp sed
'ta,{ou as JOluaLrLUol
? lua,rnad ou slt 'sutoLlueQN Jtrrpls sÊ6 ua Bue r 1 ra,ie
êp luele JnonAtA ss stoJ xnop q 1e39 spunot êp orqLLtou nal e1 luer-ue1uo sol)ltN.?s,utel,ey sa1 . e;errgds 91;rede3
un uorlelrdsa'l es _riuola.t lned lo neê.1 suep te:eldgp
as 'tnod snleLu unlnp llqns êu êl?d olllN un : ;neâe11 0qr.Le.rl ltE0 sues auteLros oun q,nbsnla_t^tltns
êp 0-r1ro ua 1uo11eu_tod rnêl sêlll Ol prLLrnLl,p uotlrp_red9p
o8euuosred np r?l .],-l0lrrurL la nol rnel 0p ?lQl anbeqr ep saloleldsar
uorleQ-n el lue_tnp etuaqqdL.Lro: ollal suep 6 Fue,r a Las
s0qnl sêl lU0lÂf o)0J s0JteltLUts suo l:e1o-rd soC Olqes
sedçp sed que,rned ou s ?ut êus lllqlv uo Bua,t ; :a,re np rêlpqut,p olt^Q rnal tnb elqequrad tL!os ouerqLUaLLl
nal e1 luoueluo sol)ltN,es,ssnlD sêl : eler)gds 91rrede3
oun,p sêQlqnop luos slueluasg_rdor sês ap soutJeu sêl
neê,lsuep raslndold ês xnêlLU "rnod sgulled luer-ue.lç891 uolrlêLr ne lê luotJ êl tns sêsnasso soluessrollxo saltl
slrollo,p le slSrop êp sQlop luos s9u srne8eu lê sut_ieLU ari ep 1o 'e8no: ne lre r a8uaro, Jp luel e naod e ul,p
sêl'uelul) op susQlo sop p-loq ne gnlo^Q 1r-re,\y rner:e1 0Êl0p lso 0nuuo) uarq erpdse snos ollol opire luolu
sLrotaltE sl qad ep :]o xno \ sêp tnoln? sJl tol sJlnlsnu êuuoJr^uê 1ar q sgldepe :]uos os sa8nop solf N sêl
tLU Op'lu3lq sU3 nead aun luapqssod'sêl?d sollrN no 'url sues sêr-t0l sêp saQlos?p seu eld sap seleurB rg
'solltN,es,ssnlD sal 'ellê,ssnlD sasnêLllor sal.! sop
sltleN (sa pnou sor» I hr) sor» I N,vs,N tvrv»r
(sarya sorx I N) sor» I il,vs,ssn-r 9
. - OcqJQ
[êiA,tnS êp no o]uelslsOE êp lsol L _ror lu0rfEg rnb 'sa1e :9ds salr:eda: saldo-td sês opQS
-ue1e-r lned seu8eluot-u sop ol)tN un'at1-red red srol aun) sod oqlru e:qdsa snos anbeL_1: : ole!)gds ploede3 a
9u-.rnapnoleB lu0lel 0l 1r_roruo1e39 luouBEE s11 o8euuos dX 001 : Ued?p ap acuerlgdx3 a
-lad np uoilegrl El lueinp etuaqgdr_uor o11e: suep 6 Bue-r Oluolo^ +
. ssarls ep ltnos
0l a
o1 rassedgp sed lua,rnad ou steLU'êt^rnS uo Buer
1 ra,re Lnon8il I
alnssalq ap ltnas
+ ll a I iia_
nai a1 quer-ue1uo solltN,es lers! sal . eletcgds gllredef, êrlt-
'lnal ei 0LULLol luêtu0u \3,
rro-r r\Lt0 un suep xnar:g_td slnole xnop lnoleLll _i,t3
e1 _ra1n8çj
q ruê^l0s l0 otno 3lu0llalxê oun luêuuop ;na1 ,se.lroe8 .)+i
-?u sêp ? luelquêssêr 'senol sal rns so:rpuadde seq ÿrl l
uslLlr11 ap xneuFeluou s.{ed e-tqute,1 suep gnlo^? }uo §H"EW$*æ#ffi §#_Lë*W#Wë Li_rc,
sou8equor-u sap sol)llN no'nolq sr.r8 so11t5,es,le_lsl sêl
uotscAQ aun sglde _iader11el e -tnod ei_ra11o Jri t
(ss N gvrr{ o t^t sr o sorx I N} sor» I N,vs,lvus3 0Luud 0Lln,p n0 Ql,r0qrl es stnbla rro,re rnod olloC êun.p S!o.:-
'enbgr:9ds:rpLlel un sro^uo lo^oC un,p lueuenbgr:gcls Ql!: -,
9 ep anbrlr_r: op rnêl?A aun e le slCBQp S EC::
:p qutod 1 + a8rllr,r lt 'o_leslolpe un _tossolq -rnod 1e1 B essrâe,s r,nb'q1np1 un q onp lua^nos snld o1 1se o1>1151
ird êp slsot sêp 0r1]l0JJ0 troi\ otllN un puenb:saJJug un p lredep ap uorle8tlqgl suo luLllol op no suoll uel
9lu op'sa1o1rd op olulo luo; so_rlne.p'sllnH xne urpLu JLr S:
-rarled lue,rned se11uF srne anb ole1rns olnol lo sorqte êp sêLuLroll,p no sdlo: np sepleB êp luolros solftN op
sêil repelelsê ? sQUrls0p 0u.rsllolLllv,p slsol so snol q i, ::
lLrê lUguQq s11
'e8euuosrad np uorleq_» e1 x dnorneeq rs olrQlyso;lleLu srnêl op are cl e1 e lolnoq Dll,
-r! luêuroleËÇ 0les 0l luêLU0lerqugE luassrlduLotte lê'Qlt eroLuLUt lo Ql ]UCS -
tleS? lr a-]tue tuo lDSo sollrN sop q;edn1d e 'sllnH x|a s_-
v-
uorssrLUnos ln0l 0p uoste_t u0:alnplog el suep a!^ e-I '-l l-l O
r..
'o"ipuarduor r3
selitgl p ned un
pu0.r sol 0qlnoq.rn0l ap 0QltLUtlÇll lqoLU el rs aLLtQLU ,)sEq
op sluêLUtpnr senblanb luelred sol)rN op dnoineag .11nq
e1 enb er1r1 oLIQLU ne luanbtlerd ol xno ê.rluo,p yednlcl
e1 aurBr-ro,p ot-Ltorpt rnol guuopueqe sed luo,u sol)l N sol S)U':
'suerpo^ xne lo sLtatutoole y xn? luoLUê..leJluol : an8ue-l
JE,t -
png eceds3;1 1n3a
:;1 e"t1rdeq3 np 69 eFed E zalinsuol ,suotlELl-t.roJUt.p sar,l
snld 'lno6 luolot^ enb rnelaBuep ssne luoLUOLtuoJt^uê IlaO .

LES SAKNTENS
Peu de prédateurs de la galaxie peuvent rivaliser avec les
Sakiyens : seuls les Cands leur font concurrence comme
traqueurs, et ils sont aussi bons chasseurs que les Tran-
dosiens et les Defels. En tant que tueurs, ils n'ont pas
d'égal. Heureusement pour le reste de la galaxie, ils ne
s'intêressent guère à [out ce qui se trouve au-delà de
leur propre système stellaire et quittent rarement leur
monde d'origine.
Même s'ils semblent plus adaptês à une vie sur la terre
ferme en raison de leurs prouesses de chasse, nombre
de Sakiyens ont abandonné leurs campement forestiers
pour vivre dans de majestueuses cités à repulseurs. Là,
leurs plus brillants chercheurs ne cessent de développer et
d'améliorer la technologie de répulseurs qu'ils exportent
à travers tout l'univers et qui leur a permis de résister
jusqu'à présent à de multiples tentatives de conquete.
Les Sakiyens sont des chasseurs de primes et des as'
sassins réputés ; ceux qui quittent leur monde natal, Sakl,
sont donc très demandés au sein des kajidics huits. Nêan-
moins, les relations entre les fiers Sakiyens et les Hutts ne
sont pas des plus cordiales, car ces derniers préféreraient
de loin les dominer et s'emparer de leur planèle.
Physiologie : même s'ils sont proches des humains en
apparence, les Sakiyens forment une espèce à part, dont
l'évolution prêsente des similitudes, mais s'en distingue à
bien des égards, Parmi les plus visibles ligurent leurs volu-
mineux crânes chauves bilobés et leurs oreilles pointues.
Leur peau est très réfléchissante, comme du métal poli, et
peut aller du noir d'encre ou du gris sombre à différentes
nuances de rouge, de bleu ou de pourpre ; il existe éga-
lement des Sakiyens clairs et des albinos. Leur cerveau
mesure quasiment le double de celui d'un homme et, très
développe, peut traiter d'impressionnantes quantités d'in-
for mations sensorielles.
De plus, les Sakiyens sont dotés de sens extraor-
dinaires : ils peuvent voir le spectre infrarouge et pos-
sèdent une oule et un odorat exceptionnels. La rumeur
prétend que certalns de leurs chasseurs traquent leur
proie rien qu'au flair.
Société : la sociétê sakiyenne obéit à de complexes
relations lamiliales et claniques. Les clans sakiyens,
parfois surnommés « meutes », composent le socle des
communautés et chacun de leurs membres se soucie
avant tout de protêger et de dêfendre les siens. De ce
fait, les Sakiyens ont tendance à se montrer territoriaux
et méfiants vis-à-vis des êtrangers, et en parliculier
 guuo]^êljl ln0l 11n;1 areds1,1 : 11 e;1rdeq3
srd luolel al suep Suer ; :e,re lueue e8q luoluoLU np g1 a8ed el e sno^-zopuor'i)leS _lns suotleu.loJUt,p
[ro] sll 'aFeuuos-rad np uot:]egrl ei luernp soluol sn d rno6 soluellolJ sossê-iol-toJ lo sOlil sasnou LUnlo^
gduro: sa: suep a 8ue_r e1 rassedgp sed lua,rnecl ap q arg.t8 lop al sroA ro^ol?,s O,rOlgLd luo slt 'êsspql op
au sreu 'a:ue r8r,1 ua no uorldella; ue Suet 1 la,re s0JrolrJ..rêl srn0lrêsioqÇp êp n0tl nV sq,uasg_rd e suo,{rIeS
rel a1
luerueluo suo{t)eS sol . aler)ods glrrede3 o sep srnaslndçL q atSolouq:e1 elqenbreruer e1 anb'soquer_r
dX OB : Ued?p ep ecuar;gdx3 a nxnl sêprunLl slQ_roJ xn? ]o sLteÊlo spuel8 rne 1eldo"i1 Jerln
9luolo^ + 0l : sserls op llnas o apuoLU un ls0 rles'11np1 ateds3,l op rnall ne'ellnH xne!.
.,tnen8tl
+ B. êJnsselq êp lrnas o ?uelooB €L op ê.tnproq ua êQnlts : eu!âUo,p epuolN Of â
a!fnt
tadLuotl es qua.lnad s1t,nb o_rluor_u9p
rna uo nb erQnB slr 's.rnollte.p : se-tnauQdns sap
luer:?-rdde,u
'sua
sanbrlÂ1eue lo sollênlto 1e1ur
s91r:ede: srnêl lo rnoLUnLl,p
anbueu -rne1
saxa
1e1o1 rnod snLtuo) luaue eF9 luos suolt)
*æT H§5§ # 5 Ë"*Â*3.Ycdtf} -eS sêl llêdsor ep anbreu auqur snld e1 ep seuFtp
eured q'sêluputLUnl serold sep oLULUol se:qdse se,rlne rnal
'xud sêi luo^nos 1ua,r o).,led lê soLUrl n slnosseLl) sêl au-lLUol Jnau"
lenb alodur,u q sluauaBeEue sJnêl_luol q essnod
s0l rn0uuoLl rn0l l0's0.tlne,p q luare_tauBndgr rnb slErluol e;;rl alsnl q luarQprsuot os s
npt^tput un,p rnole^ el
I -sod
sep relde:te q sue,{t1e5 soleuol_loLU xnorqLUou op rou r0LUrlso,p 1ue11eru_tod lts lQp lsêl êl oL.LlLUol luarorr s1r,nb -roe.I
-au lnad '« sê_tnêllOJul » sêlQdso sêp êLtjLLtol so?-tQp suol '0ssELll pl luêropr? sua,{r1e5 sê 'êLUg,l suep sJnêlep?Jd
'saro-rd slne1 sre,rua a qledula,p olLlosqe anbrlsuglte'te:
'srnoll e 0luEql _rnol _taluêl _rnod elpueld e1 -u!.p
Lnal 1,rods np lgoB red s'lnolnol 'sLlsspsse 1a seuucl ap
srn0sseLll lu0^nos lu0uuêt^op arxeleF e1 luoLLtntQ nb xnet
reltrnb q elgd 1u e1 ne no sou qle sua >ie5 sep lrednld sQll'
e1 gssnod E o lelroup a11a3 saq:o_rd s'tna1 red st_rdurol neaÀ
ap lrecnld e1 enbe-r1 el € luollolxê tnb sgu s.,lnelepgrd
,\'soLçu93uol slnel -ted suotleltoqe sap ouL_Ltol sOt -e8a
sap luos sueÂrye5 sol 'slêJnleu.rns luoutsenb suas srnal
q 1a atue8rllelut rnol € etqr8 : etnp;og el suep ar^ p-l
-aprsuol lueiuelerOuOE .rrelt do_r1 lulêl un lueqtqle tnb salu
xnsl 0p oiluoluo,l q glde:xo neod ap rnalnol el q Jllelêr ]a'llc
'lrseq 0p suorlou s0p sutoLU ?Bnlord unlne lLlauuo lo-tluê,u sodnor8 sep lredn ci e-1 'sanlr
ne lu0slll.LeLU la llnq 0l luêLULLlelnol tssnE 1ue1_ted xna .Lr?ll
uos roUtluopl,p sdLUOl np 1_rednld e1 laLuted ue,{r>1 -nlo^
a-rluê.p l.ledn d el 'suloruuEON ale1eu enBue .rno lê ollol -3S un.p uorleur?l 3l xneo^tu sal snol q oluolne _rnol
e anE
nl nl Qlrluêpr rnal o^,tasuol luo suè,\ tes s3 s].|nH sop luol-roxê rnb sleq: sep red seç3r_lp luos saQlos lo seuQB luop
anb r.louotg uorlputLUOp el € s LUnos enb uatq :en8ue-l oLUoq snqul sepuer8 sa3 satgdsa sê_tlnE sol s.toAUê ua s
 NOUVELLE§ARMEs
k
!l1 a mr le et une larons de périr dans l'Espace Huft;
§vo\ager dans cetle régton anarchique sans arrnes est
aussi peu reconmandé que de nourrrr un rancor. Heu
reusement, ce ne sont pas les moyens de se défendre
qui manquenl dans le ro5r31,r. des Hutls Des Delils
mars purssanls blaslers hutls aux étranges fusils à répul
seurs sakiyens en passant par les exottquies projecleurs
d'acrde et de gaz empoisonnês el les bâtons en corlosis
ffi
des Morgukais, on trouve loutes sortes d'tnstrumenls de
rnort au marché noir dans I'EsDace Hutt
ARMES ÉrurnGÉrlques
Selon les stalrsliques, il y a plus de blasters par habt-
lanl de l'Espace Hult que n'lmporte où aiLleurs Comme
presque tout le monde en possède, 1a purssance de leu
F esl prrmordtale. Heureusem.onl, dans une galaxle dé-
bordant d'armes, le chorx est inlrnl, du moins pour qu
a conque peul alrgner les crédits.
t ffiâÆ.srffiffi æ#*ruY&
Baplisés en hommage au 1égendaire héros Boonla le
Hull, qui en aurail possédê un, ces blasters de poche
caractérisiiques ressemblenl en général à des bijou ',
tape'à I'ceil el ostentatoires. Créées sur mesure selon
les goûts personnels des Hutts, ces armes cltnquantes
sont toutefois assez puissanles pour assurer la protec
lion de leur usager, si tanl esl qu'un tueLlr à gages par
vrenne à neulraliser ses gardes du corps. Cerlaines sonl
d'ineslimables hérilages de lamtlle transmis cle génêra
tron en généralion.
Ajoutez I aux lests de Perceptton pour trouver
blaster Boonla sur le corps de son porteur. Relirez !des
tesls de Tromperie de son porteur lorsqu'il tente de lajre
passer cetle arme poür un ornernenl inolfensif .
OPTIONS DE PERSONNAGES
LEJ§ BAROXS DE XAL I{I.iÎTA
ffi âÂffiTffi ffi. A ærq æm ffi'B ft# ffi ffi t§&*ru
ÆYe ffiffiffiËË-Y$ffirs$ffi
Cette arme antique êtail à la polnle de ia technologie
il y a plus eurs mi lénaires, avant l'essor des blasters
modernes. Basé sur le même principe qn'un blasler, le
Creff Timms êmel un brel rayon d'ênergie concentrêe
qui, hélas, a lendance à se dissiper assez vile, ce qul
limrle sa portée efficace. Son effet moléculaire désta
bilisanl se rapproche de celui d'un disrupleur et inflige
de cruelles blessures. l\4ême si on le considère en gênê
ra comme archaique, cerlains baroudeurs el crimtnels
l'appréclenl loujours pour sa déplaisante capacité
mulrler ses victimes
à
fr â§#§ §- s-eâJyffi Mey* qffi € p#& &ffiÆ*{yffi
sffi $w
Ce fusrl semi automattque PCA (pour Parlicules Char
gêes el Accélérées) esl une carabine blaster à porlee
moyenne dotée d'un énorme champ de tir Conçue
avanl la Cuerre des Clones pour les combals urbains el
rapprochés, cette arme ne s'esl pas rér,êlée assez puts
sanle pour une ulilisalron slandard et a finj par n'équi-
per que ies commandos el aulres unités spécialisêes.
Néanmoins, le marché privé l'a adoptée, particulière
menl les criminels, poLtr sa capacitê à arroser une pelite
zone de parlicules chargées mortelies. Sa popularitê
chez les mercenaires lrandosiens et les lueurs ganks
lui a rralu le surnom de n hachoir trandosien, ou de
n broyeur de Nar Shaddaa ,.
Leru fl ffi -m Le§Yffi ffi wffi ffi æ âieY
Conçus pour les tmmenses deserts de sable blanc de
un Sriluur, ces blasters inhabiluels sonl dolés de carrons
d'une longueur exceplionne le (quasiment deux mètres).
Même si ce ne sont pas les plus puissants sur le marchê,
leur porlée très iongue en fart des armes idéales pour
chasser ou se batlre dans de vasles platnes désertes ou
l'ennemi peut êlre repérê à grande distance. Bien que
relalivernent encombranles, de nombreux Weequays les
plébrscilent pour leur capaclté à pouvoir loucher toute
cible à portée de vue.
Fâisfl*" g mx*pw*$mffiffi §&*{Tffi§q m-æw
Fabriquée par 1a corporation sakiVenne SakTek, cette
arme inhabrtuelle ulilise un générateur à répulsion pour
émettre une onde de concussion Crâce à la même tech
nologie que les rayons lracteurs, le D 29 ttre une vague
invisible d'énergie électromagnéttque qut repousse vio-
lemment sa crble, la renverse, la désorienle et l'assornrre
sans lur causer de blessure grave.
 VJJîH Tt'N EO SÎ{O2IVE SIA
sl9vNNosuld lo sNotJ-do
sruuJrl-saJ9 vlv
pôleJV Vld ânbrleuJolne-!LUas llsnj uorslnduJr,p êpuo e Jalselg
g ê llnos :
lsoprno sêLU]El , 111-1 ,to1ra1
I olleurn3ues : I 094 r l , êl.r n 03 a I oluzlslC I cpl:eplnallolo.tS
t 3-rerpualul,
a êl.ltfos (sêrQËQl saLrrel anbixo] ze8
'l sêêlL:!r q 09 0 I al.r f oJ
sluels c e ap?ua.rl
s ucrlru l- [,\
souJe sâJlne la sJlsoldxf
w_ l
t saêr [] ' -..i ]U
! 00t 0 0 êt rnal E l
sLtLr I u|L,\ : r la ! a- . .
\\a d
la-i:eurnSLr?s (sê-rQ8êl salrrel \è,i?^lê).1 ap 0t Cy
0Et 0 (. a ]_inoJ I
I , êluelsrc, « jrsenssip » lêlolsld
]Ll:rorcd
1
{sêprnol sêLUrel i uerpo^ êssEUl
a -Ue-r0Lrla IUl L 008 a , c lrEu ol , L êluelsrc i ap lrsn!
uolssn)Jod P sauJv
isaplroj sêLLr rel \en ltêê\,1
Isp-d 9 it!8 e I a ur ar.1xl I
'a lü?rqt-lolt,l Jrle-ls c .r.lseLq ar,rel
ru essr p_r nol0 p^I?rv vld
lsopLno sarurel :
câÈlBêE 9 0c0 l I ç êuualot\ ç L- ênllrleujolnE rLuas
OlUelsl(l l
'ênlrLleLUolnv
.: lr:"J
lU0LLlêS-l3rJ3E
lllPSS plllol,r 3 | 3 ,rcil I rv 6a c l.tles
L U!-!: i , , -rê.,{c ri , rnas rale- g
3c-E ËA! lrsrl
t ro lerua ios!(l
I Lr eSS rpr nolQ (sarQSQl saur€l
ô 000 L I t alrnol ç 9 eluooE rêlsel€
êepl3?H êlu els rc
.
r''ldô'^ al J .r1 lrè.!
ê-r E! r'ôues ( e alrnoJ 9 '^L-
t 9 0c/ ll I èrUDl-:C ' bto
'op t o:liolu_,gp
.o ,, ,,
sonb!1g3r3u? sorüJV t
'.::.X
u1 ,§1s6ân e ',' : : :l ::r-'l::lll§l\l
,'ilui1. :qï$l
3lri:vtSttÏ v 53ud§Y : r"§ 31§Yi"
,ül
 ARMES À PERCUSSION
Même si les armes à percussron sont en général consi
dêrées comme des reliques dêpassées et réservêes à
des sauvages arriérês, elles sont toujours uti isées par les
nombreuses peuplades qui subissent l'hêgémonie hutt.
lbutes ne sont pas des vesliges d'un âge primilil: plu-
sieurs labricants proposent des armes modernes à pro
jecliles aussi dangereuses qu'un blaster.
pfl§§sL§T
ffi
{"{ m§s§§§}ils§F » K§.3§ m§
K§§"W&R§§{ €æ N S* tê m&Y§m &k*,§§
Cette arme à percussion particulièrement vicieuse pro-
jette des munitions spéciales remplies d'un acide qut
ronge l'armure, la chair et les os. Interdil dans de nom-
breux secteurs « civilisés, de la galaxie, il est pourtant
étonnamment courant dans l'Espace Hutt
Le contenu de ses balles continue à provoquer des
dégâts au fll du temps:une cible touchée par une car-
louche de KD-50 subit une blessure (qui ignore l'encais-
sement) au dêbut de chacun de ses tours pour les deux
rounds suivants
* cible différente chaque fois. Le MJ peut dépenser iE) (E)
* p*§Y§tuffiY S',#ffi.y§p ˧rx mffi pffiÂx&Rm§§
Ce pistolet miniature de chez Prax est I'une des armes
Ies plus petites et faciles à dissimuler de toute la ga-
laxie. Le 2VX tienl au creux d'une paume humaine,
F ce qui le rend en théorie indétectab e pour I'obser-
vateur lambda. Même si ses dards ne sont pas mor-
lels en eux-memes, les produits conlenus à l'intérieur
peuvent l'être.
Chaque munition peut conlenir une dose de neuro-
toxine, d'anesthésique, de neuroparalysant (cf. page 173
du livre de règles d'Aux Corurlrus oe l'Euerne) ou de tout
autre poison (tels que ceux décnts à ia page 109), au
grê du MJ. Chaque lois qu'une cible est [ouchée [qu'elle
subisse ou non des blessuresJ, elle sublt en plus les eflels
d r po sor.
Ajoutez I I aux tests de Perception pour dêcouvrir
un Pistolet furtif 2VX sur le corps de son porteur.
p§.§§*t m§ Ç*.§&§§§ w&ffi §i§§
Ces fusils, en général fabriqués à la main dans des
échoppes vodranes, se retrouvent souvent entre les
mains des meilleurs chasseurs de dianogas [ou parfois
dans l'eslomac de ces créatures). Sans être très com-
p e res. ces a'res so'tL assez puissanres poJ. ver.r à
bout de la plupart des prêdateurs qui hanlent les ma-
rais de Vodran. Les chasseurs astucieux ont I'habitude
d'installer un leurre dans les branches inférieures d'un
manglier et d'altendre que Ies pêdoncules oculaires d'un
dianoga émergent des eaux boueuses pour les crever
d'un lir précis, avant de se rapprocher pour achever la
béle aver;glee.
OPTIONS DE PERSONNAGES
LES BAROTS DE XAL HUTTA
EXPLOSIFS ET
AUTRES ARMES
Même si les blasters sont omnipresents à travers lout
l'Espace Hutt, de nombreux mercenaires, chasseurs de
primes el autres malfrats préfèrent compléter leur arse-
nai avec un équipement rnoins conventionnel.
Pffi§-§§ÇY§§§M §,AÇE§H TËrut*§§ L3§
Cette arme lerrifiante êmet un rayon cl'acide xênobo-
rique capabie de dissoudre à peu près n'importe quei
matériau. Les composants inertes sont contenus dans
deux rêservoirs séparés à l'intérjeur du 170 et n'enlrent
en contact que lors d'un tir. Pour des raisons êvidentes,
cette monstruosité est interdlte dans la plupart des sys-
tèmes stellaires.
Le Tenloss L7O fonctionne comme un lance-flammes
en aspergeant sa cible avec préctsjon. Ouand l'attribut
Incendiaire est activé, son utilisateur peut l'appliquer à
n r po e oJe oe'son" age roucl-e par 'aL aq Je : l a lr;-
but peut elre a.rivé à plusieurs repr'ses. aterrarr ure
ou ÿ pour appliquer l'attribut lncendiaire à un allié at-
teint par i'attaque initiale Comme il s'agil d'une brtlure
chimique, les dégâts issus de cet attribut lncendiaire ne
peuvent être arrêtés en se roulant par terre ou en sau
rar- dans I ear.
&ffi§ru&ffi§ æ çsx Y*x§Qr.#H
Même si la plupart des gens rechignent à utiliser du
poison au combal, certains chasseurs de primes et
contrebandiers s'en servent pour semer la terreur chez
leurs victimes. Les mercenaires dro des et gands, insen-
sibles aux vapeurs loxiques, emploient lrêquemment
des grenades de ce type. Ces projectiles peuvent etre
remplis de gaz mortels, comme du dioxis, du trion ou
du Fex-l\45
Ces munitions peuvent etre chargées d'une dose
de neurotoxine, d'anesthésique ou de neuroparaly-
sant (cl. page 173 du livre de règles d'Aux Conrtrus oe
l'Enacrnr) ou de tout autre poison [tels que ceux décrits
à la page 109), selon les prélérences du MJ. Chaque lois
qu'une cible est touchee [qu'elle subisse ou non des dé
gâls), elle subit en plus les elfets du poison.
À moins d'être en extérieur et par grand vent, le gaz
toxique perdure pendant 2 rounds, affectant chaque in-
dividu pris dans le nuage. Par conlre, dans un lieu fer,
mé el mal ventilé comme une petite pièce ou un couloir
exigu de vaisseau, il persiste durant 5 rounds. Seuls les
droides et autres créatures n'ayant pas llesoin de respi
rer ne sont pas touchês par ses effets. Les personnages
munis de comlrinaisons hermé[iques, de masques res
piratoires, de respirateurs ou de recycleurs ne sont pas
arrectês ron plus.
 vJrnH -Itx Eo siloitt s sl1,
sS9VNNOSUId :tO SNOTJ-dO
anbruoJneu
E lanol
E
,.,\q
! al-àqoleqd ? alue'I
T
r
E
F s!souol ue .leln6Johtr uol,eE
lr
:
F
E
l
(llO auua^ol4 luer:Q'tdde rnnluS ap slrou sdnol ap srnêssorp so-1 3uo1
êlsar QtlnlUlrp e ) olrnol aQlrod €,nbsnI sd-rot-q,sdror ne op sêrlQLl xnap g,nbsnl ..ro.rnsou que,rnod êluel aun -tns
solqn sop renbelle tnod açsLlrqn o'llQ lnad ouue ollol oQxrl lueqluerq eldurs q ap.rnol olQl aun,p sOnlrlsuol
olqD osnêln0LlleLU es luos sa,rrel8o.lq,r se: 'sÂenbooM sol led srpuerq luolnos
êp lleluol ne uorlr?uol9p olqelLrQ^ aun,nb rsure'a3-teq: H§3§ffi#ætr# ft # §&§Hr**Hffi *e
aurald q lue5euoLr luoLUêuuoplnoq roFQl un loLr-rO II aulrl
lr^ es ap sosno^rou solnllèr rne saBreqtçp sêsnètnolnop 'sulSLr-.i xnêp
ap oSrlJUr dno: enbeq: luop enbtlletOUl lênoJ al 1-rnolred q aglndrueLu oJlO lrop oLUle ollol'npuêlua uolB
enbr',lqtalg luernor un 'sêpuoLU xnêlqLr-tou op lns lLp.lolut 'sorlne sol enb xnenbrlleq ta sanbrsÂLld snld s11n; ep
ala e « osrpueqrleur » -rnol JêlQlluol tnod arxeleS 3l olnol
ep salsrBe,rel:so sa luêsrlrln,nb alqu-ie1 luoLUnrlsui laf oro^'sllnLl srrprlel sal red sgÂoldLUa sloqEreE no sInoH
surel-rol op surpul sa suep stolted ltoi\ El uo lo o-tQJUol
Bffi*ihJffhi3qM .t.{n{rs e11e,nb o8rqsord a1 lnod ogr:g-rdde sQrt tso >1ore3,3"re,1
'suoQJroLt.reD xne ognosse luoLlo
louuotlrpell anb uerg
'sureL_r-r xnêp ? êrueLLr 0s stsoljol uê uolqq êl 'esnarBrpord ollol êun ollssêlQu
luoLUOtuEr-Ll uos la
srpel 1re11equo: 1 ,nb rpoI sal ouuJo] 'lural? ur 0q'l êrnsaLLr esnanelSsrp enb aptnol lssne oLU"te ollol
'suag;,roueB sreurenB sa1 -t ed aglnsrqQld sornssoLq salqu
êLUll.lol ?rQprsuol glQ sduelSuol e 1a anbtlrale3 eldur3,1
re1 ep ra8rllur,p alqedet o^rsseu êql?qo.rqt^ aun lsê )lor
'led rol-e1-s-roq OrepQp 919 e ste>1n8"roL lsop ollnl dnor
ol
-neaq lualquêssar,r, rnb ar8raug,p soLUel sop luêllê[rQ -e3,3-te. auueg-uoLreB oLlleq ollouuotl pprl El êp oqlord
s0ila'srosel sê.rqes xne luelstsgl net.tQleLLl ol suep sê?u &E*ffiHffi,*â*bÉ
-uo5e; se;er luaLUêALSSOlxo luos sêLUle sol 'qltS sol la
rpaf sol sroJarlne luarenbe.l1 rnb so1>1ru sreu,enF op olsel gq:otddet l€qLr-rol np auirlul êluolot^ e lue-r
auuonue eun'sre1n8ro141 sap eldnad np sênsst sonbrloè no,res'sq.ld êp sêLlrllr^ s-rnol la stLLlêuLlo stnel laluo.lJJe
sês*Âffi# ru# §}slEffi*H#ffi #ç#Âwæ 1ualq1g-rd 11np a:eds3,1 sur?p êlnlLuop nlQ luo Lnb sernp
ro sarln? 1o snoÂo,r sep llednld el 'oluplstp € sêLrre sêp
sureLU
q sQllp luare s1 ,nb uêrB sê.ueual.rou êp sêLUlol uo lotl
xnap ? otueLU ês .tnèssè p np J,\tp Sotqtr a1
uelsqns luêLUêssLlsêAU Un oLrJêl 3uo1 a rns lueltssatÇu
'Qr.l:oLdder
leqLUol ne sêluaLll srnol uorlEprLUrlur,p l0 Ql leIIq 0p êle]l3 aun lu0^nos luos
rsure quesrle39 'slnoH so )o^e sluoL.Lloluorll? srnêl êp sJol suo llesuerl s0l 'u eLU 0p s0LULUoq srn0l l0 sllnH sêl.|r0d
rssne luo.irAros uo,s slenbêoM sa-1 enanb alqElnopê,1 rna
ap alqelradse.r oluelsrp e luelso.l uo lnol êLlreq el êp
QSSnoLTO proq ne a:r3'l3 sueep,ronbe.l srnal rolQrluol op
sduof,-v-sduoJ
laL!.rod Lnal rnenBuol elluop'êLUre êllal luaurêrQ lnllred TO 5I}IIUV
 §ÆpétË cq æreec*æ#cs
Ces Longues piques uti rsées par Les Nlklos onl aLrtrefois
élé invenlees pour chasser les giganlesques prédateurs
rnulanls de Krntan. Même si les phacobêles sonl au
jourd'hui êleinles, de nombreur Nrklos conttnuent à se
servir de ces armes. TradilionnelLement. lenrs manches
sont faÇonnés à parlir de I'ivoire et des os des anrmaur
abattus el souvent grarrés d'images rel gieuses el de poé
sies issues de la mylhologie nikto.
La lance à phacobêle se manie à deux mains

T&§L§ §"3 : Affi&4§5 ilf ilftRP5-,q-fænpS

li.:;;*ir'*:; i B:: iEttt Fiii1.::'"' Flretd r(

Br seur,
EircorrlrrariL 5
AJ
Arg garok Co rps-a'co rps +5 3
conlact
5 5 1 000 7 \larilaise
qua ll,e I .

PcrforaI]t I

tsâl or
Au Brèche I . Cortosls,
\i orgLr ka i Corps à cr.rps 8
aoILaaL
3 0 i, 9 -r.r,- t0 Paraaie
er aortcs s
1

r
r Fcuel
neLlrorique
Co rps-à-cûrps +l 4 Conte 1 I 75C t)
.
,
Desor.^ntarlon 4,
Enche\'êtrement l,
Règlage
êlo.rrd ssani
* Lance à Àu P:rraar.. J.
Ccrps â.0''lrs +4 5 3 I t5t
* pfacobêle cof rtact
1
Rcn,,arscrfcnt

Vibros ar,,e du AU Parad..2,

r rri.c r L Ûs ' o' +) 2
CONTACL
3 975 6
Periorart 3

ruffi&§wffiLtuK§ &reru§&§Kffi§
ffiuand on fail alfarre à coups de blasler ou de
Stur" une bonne protection peut faire toule la diffé
rence. Dans l'Espace Hutl, une armure fiable peul s'avé-
rer aussr précreuse que de 1'êpice ou de l'or.
ÂFA*æ#pâffi æLë§U§§*ffi p€*trâry
Façonnés erclusirrement à l'usage des Hutls à carapace
de Circumtore, ces exosquelettes massils sonl constitués
de lronçons cylindrrques en duracier. Alfranchis des né
cessilés de toul exerclce ph_vsique grâce aur répulseurs
et aux puissanls servomêcanismes incorporés à
combinaisons renlorcées. es voraces Hutls à carapace
peuvent atleindre une corpulence excessive par rap
porl à leurs semblables, d'où la latlle énorme de Leurs
armures. Elles leur pernnetlenl en oulre de planer jusqu'à
crnq mèlres au-dessus du soL.
Crâce à cet êquipemenl, un Hutt peurl tgnorer Les eflels
des capacrtés Maladroil eI Pesanl (qu'iL soit affligê de L'une
vrbro d elles ou des deuxJ et n'a pas à dépenser de manceuvre
sLrpplémenlaire pour se déplacer en lerrain difficile.
##&€ ffi g ruéq§særu Fffi ffi T§1sE ffiÂ*€3Yffi ru &§ g
Tissées avec de a soie d'umbrarargnée, ces cornblnal
ffi**§Y sons sont p1ébiscrtées par les assassins qui souharlent
passer inapercus. C'est grâce à ce rnalerau exceplron
nel, qui rêfracle et absorbe a lurnière, que es torles
d'umbraraignée sont quasinnent inrristbles. Les Saki5 ens
onl ulrlisé cetle propriélé pour créer des combinatsons
leurs rnlégraLes qui dissimulent LeLlr porteLir à tous les regards,
hormrs sous une lumrère vlve. Les chimistes d'Aye ixei
Krongbrng lèxliles ont réussr à synlhéliser de l'ombre
soie à parllr de la fourrure des Defels. majs les Sak 5ens
prélendenl que la sore de 'umbraraignée ui esl supe
rieure en qualilé.
Une combrnarson furlive saki5rgpns ajoule f E à tous
les tests de Discrélion.

T&ffiLil 3-3 :&§&€UH[S

,flÉ.&r.s§,
Armure lrlindée pour Hutt ) ) 0 25 000 6 4 9

Cû:rrll lr; sorr i!rL le

sai. l,entle
0 2 I
=00

OPTIONS DE PERSONNAGES
LES BAROXS DE ilAL I{UTTA
 vJIflH -It N !O !Î{OüVA tâa
sf 9vNNosu3d f o sNot..l_do
, 1 0qr arei.rau êp rnallêl0c
soJnuire.p slly
E I 00, (rl uosrod e J o^rêsOà
! I 0q / ltl lalSeq ap-rêls!LlaltV
saure,p slly
1, -r'y.:', '..'.:, §f,i{§§ ':. :,:':.:.la,l:,!.,i,. j*$d, la!q0
§SUnhluY IÏ §3tr,lHv,t3 §1,!t : ÿ-E 3l§§I
slrpgrl 00, [lJ : xud uosrod ep olu-rE uos.roqrqLUt ts aL!Qf\ aOu8tod el êp uol
I : SAJIesse)9u SIUAtuo)eld[uf -noq un,p uorssard aldurs rns JroÀ,rosQr un,p rnouQlut, q
ltl ruoluol Jnad -rro,r-rasOr a1 enb uos od ap êQ)lols ourxol oun orgqrl rnb lrnpuol un.p orur?l rnol lu?d
s0s0p ap êrqLuou ol I op eluaru8ne . salqrssod spo141 -rnb9 ua saLU-re sJnol op glllElÊl el op JO"rnsse.s luerQlQ-td
uosrod np slèlla gqrordder leqLUOl op srnoleuE surssesse sap lrednld e-1
se1snld uo lrqns allo'(sêrnssolq sês op uou no essuqnB
al1e,nbl aQLllnol lsê olqn eun,nb stol anbeqt'lueAlns Pd*ffi### w H§æeHffitrææ
rnol np uç e1 p,nbsnT'uosrod np sLtep aluel ES ladruorl 'sllnH s0p s"rnolrA-ros lê sê^ellsa sal rrured p1 re1
lned alure êllêr op -inêlesrlrln 'ê..r^naluEru enb 1ue1 r-t3
ndod aurelrar oun,p luêsstnol xne el1ua,p sulellol steu.l
[f\ np xror]l ne '(691 a8ed 'selqeur8eur 1e se qrssod sorossarle sol snol esodo-rd
El € lurOpl uostod a-r1ne lnol ap no [ruran3,r ]o sNuNoJ
xny,p se18qr op or^rl np 9l t a8ed 1rJ luesÂ1e-redorneu 11np1aredsl,1 'auo?ql ug erd no' s9-r39luLsgp rLug sed
ep'anbrsgqlsaue,p'ourxoJo-rnêu op asop êun êLUle.l êu op solLreLll sJnêl.loluoLUFne rnod quauladrnbg rnel
suep,raurseâeLULUO,p inolesrlrln uos Q lêLr"iêd . slaJJf luop luêlJrpour srnenFurl.tnoq sêp 1ednld el lEqLuol
unlne : senbldÂ1 sal?Pot un suep oluêl?llrp e1 aLrel lnad ollgut ltelQp ün êLUQL\
'sdlor p-sdro3 ep no
1e1r3n6 op soLUre sêp rns enb ?l elsut ollQ lnad au elos
SSUNNUV
-salls loJ olelUJO snld uarq lso êLlQlsiis a: 'alq1ns lned I3 53l1tUV,O sJ.l)t
auua^rles e^llJnl uosteutquJol 11n;1 rnod agpurlq arnurv
 Â@6
,{§ * *â§{s*ârmriR mffi §§""e§Y§R æâÉT§CT§§§ §ffi M§M*AËH

kffi
Souvent plus discret qu'une arme à percusston, le blas ll s.rg t d un ense-ble de oe-ecte;rs oe ^ ou\e-ents.
ter émet néanmoins une détonation ou un bourdonne d'êlectrorêcepteurs et de photorécepteurs lixés à une ar
ment à chaque coup. Même si les éclaireurs et snipers mure, qui scannent en permanence l'environnement de
militaires se préoccupent en gênéral plus de l'éclair pro leur utilisateur. Crâce à des signaux directionnels audilils
duit, qui risque de trahir Ieur posilion ou de diminuer ou électriques, ces appareils le préviennent de toute at
Ieur vision nocturne, les voyous des bas-fonds lrouvenl taque et de tout danger imminent. Même si beaucoup
le bruit du blaster bien plus gênanl. Atrn de régler ce trouvent cet appareil un peu genanl, il procure un avan-
problème, plusieurs armuriers ont conÇu des silencieux tage indêniable dans des srtuations critiques. Ce kit ne
adaptês aux canons des blasters. Ce kit ne peut etre pelrL el re .l:tal é que sJ .rte a.n-u e e' se vo I e- gene-
montê que sur des pistolets blasters. ral intégré au casque, au viseur ou à un autre emplace-
Modèles typiques : atténuateur sonore Merr-Sonn ment visible à tout moment par 1e porteur.
DS9, silencieux « Chuchoteur , Czerka Modèles typiques : scanner d'alerte mullidirectionnel At-
Effets : ajoute I I à tous les tests de Perception ou las Corp, êvaluateur de menace Calaclic Electronics Z I 2
de Vigilance eflectuês pour localiser un tireur embusqué Effets : ajoute automaliquement {:} aux tests d'lnitiative
muni de cet appareil Mods possibles:làlenl inne [Coup éclair) [1], ajoute
Mods possibles : aucun aulomatiquement (? aux lests d'lnitiative [2]
Emplacements nécessaires : 1 Emplacements nêcessaires : 1

Prix : fl) 750 crédits Prix : 750 rred s

*
* HOUVEAU MAirÉRIEL
I'arsena d'un bandit n'est pas entièrement conÇu pour TASLE 3-5 : ff§EnilÉT'qijr

t Lle combat. Enetfet, 1a plupart des marginaux de la Bor

dure préfèrenl éviter l'usage de la violence pour gagner
leur croute, et meme les mercenaires et chasseurs de
primes ne peuvenl se satisfaire d'un simple blaster pour
remplir leurs contrats
llhiet
lmplant cyberlack
Frix
3 750
§ng.

lmplanl de
250 7
lmmunlcalonganK
communication gank : : : ,

ÉeurPEMENTs lmplant surrênal : 225A; 5

cvesnNÉflQuEs lnterface neurornécanique j tll 3 500 6

Comme parlout all eurs, la lechnologie est omnlprésenle : Pisteur rétinien O-22 2 500 6
dans i'Espace Hutt, el la cybernétique esl particulière-
menl accessible sur la plupart de ses mondes. Sur Nar ; Polng a répu seur 4 750 l
Shaddaa, d'innombrables charlatans proposent de rem- Rêflexes cybernéliques 2 75A 5
pLacer des membres ou de poser des implants sur toule
personne en mesure d'aligner ies crédits. I Resprrateur cybernéttque 2 000 4

§Mffi§"&ruY ffiffiffiffi*ffi&â"
Ce petit appareil lrxê sur les glandes surrênales accroît la
produclion d'adrénaline dans le corps quand le syslème
nerveux du sujet esl soumis à un slress. Même st son
eflet n'esl pas aussr immédlat qu'une injection direcie
d'adrénaline dans une veine, il permel de se remettre
bien plus vile de la fatigue.
Un implant surrénal ajoute 1 rang au talenl Récüpéla
tion rapide.
Modèles typiques : sttmulateur surrénal Athakam
MedTech A.9a de BioIech lndustries
ffi §f ffi§-ffiKffi# ffiffi ffi ffi
Celte série d'implanls spécialisés conÇue pour stimuier
el réguler le système nerveux s5rmpathique de l'utilisa-
teLlr peul drminuer son temps de réaclion aux slimull
extérieurs el aux menaces. En réduisant la latence de la
comrnunicalion neurale entre les organes sensorie s el
Ie lronc cérêbral, ce kit conlère un avantage indéniabie
à son porleur.
Les réllexes cybernêtiques ajoulenl 1 rang au laleni
Réaction éclair
Modèles typiques : systèrne CyberRefler rapide 12 de
BloTech Induslries
rygsp§ &"&TËt3 ffi flYffi ffi ffi N #Tlæ*.* ffi
Pour les créalures organiques désireuses d'échapper aux
fragililês de la chair, cet êquipemenl propose une alter
native aux pournons: souvenl conÇLt pour être robuste
ffi *y*æ#ffiffi et résistanl, il ftltre nombre de toxines dtflérenles el per
met à son porteur de survivre sous l'eau, votre dans un
environnemenl dépourvr-r d'air, pour une durêe limltée
Certains modèles ernettent un soulfle rauque tandis que
d'aulres sont lotalement sllencier-rx

OPTIONS DE PERSONNAGES
LEs BARO]{S DE TAL I{.|TTA
 vJJ.tl{ TtN EO SilOAIVE SEL
ss9VNNOSUrd rC SNOtJ-dO
il sarSolou qrel
6g-l ..rnollouuor : sanbrdfi se1qpo6l
^eeS-ornoN
il [e:edse) eBe1olr6 no [orre]QU€ld) e8e1olr6 op ollêl êp norl
ne uorleurpJoo3 aluêlodurol es rasrlrln lned 1r 'errossa:re
{ lar E erer8 olnlrLiOA un lrnpuol a8euuosrêd un,nbsrol
glolrd Irered
d -de,1 suep rnêllouuol un,p uorlellelsur,l olrssêlOU anbrl
QUroq^) luauedrnbg lo3 sdJol ardoJd uos ep erlred
aun,p lressr8e,s lr,s oLUurol'agsuad e1 ç ergr8 olnlrLlgA
un rolQrluol op loLLuêd rnl la npr^rpur un,p xnallêu
rnaslnd?J e 6urod auQlsÂs ne ?rÊÇlur luaLUOlloJrp lso JOSrJlleur ? ollrUJlp
luoLUOJrolou sreu xneruç3ur a3e1o1rd ep auQlsÂs af
{ 1
x rê& § âuw*s tr§ sH fTæ ru 3,3ws&3"§"r* §
>1
11
I slr uorlralf lrrr 1 relLeqÂ) )lled'sluaLUnrlsu |
^eeS-oJ
-naN onbrlQUroq^l olelrolur,p Qllun : senbld& selQpol
'n3êsÇr un
suep rorllUUr,s êp no ÇlunlQS ep lre:edde un alr^ros
sJoq êrltèJ J0 Jue Jno.teLUlolul o tsJl ur.p d.Illrll.p ap
Qp LJOrlaJ rnod ssells op slurod Z rqns lnad Olueldu.l
lretLeqÂr un,p Qlop a8euuosred un 'lsol red srol aup
'rrrêleu pro ur e 1o èp.o]p un q neêAiol
pll êuoz lorluo] urellroslndÊJ 'slruoll uos luourollêJrp JollauuoJ op lô 'ollosroA Un o rQS olsJ
-lol! lDrlJl ln€uro33nIrar]e,p Surod :senbrd^] selQpoN -JOlur aun €r^ onbrleurolur euqlsÂs un ? Jor.1luerq ês êp
'oLUlP,l ap sonbtlsUQlleJel sap rnêlesrlrln uos ? louJrad >1re[raqÂr un 'lar]Urlre êlrpuêd
sed aDu?ugq ou sreur 'sonu sureu.l q .lanb8lle sjnolnol -de arlne,p no lSrop ap esqqlord op ouJJoJ snos luo^noS
lnod orelQudord uos '« a8JBqlol » os olla,nil luepuod }à3UTUETAf, TrutrId*tII
'sdLLral orlu: spunor srorl sêl snol sroJ oun,nb oOstltln
orlQ lnad au allo,nll oUru8rs tnb ol'Z oluol êluêp€J elSQr
Ln)re : senbldfi sel?pol^
Bl 0p 00top tsa 0ll! (L roL{f 'a otual aluapel : 9 enbrlu:
:g s1g39p) 1e1r8n6 ap êLUre êun ouJLUol eldLuor la anbrB 'enBuel ou.rQLU Pl
-?lells opJeD luolel nE 3ue.r alnole oltossalle lo3
t luanbrlerd srnolesrlrln sel enb olrssal?u aBueLl:Q lnol
'slualorA slnesse s0p lêr^?p lo xnelnlq sdnor sep lo'sJrlrpne ru slrnpeJl ru luos ou ouiQls^s ar q e:qt8
sqÂo,rue soAessoLU sol JOqlnlJOd sel lua,tnad slnal
reBtllur rnod s?LUnll€ ellQ lua,lnad rnb setnleruru.t uors -lrnorq sop rs oUJQLU'xneuBrs slnel lelderlelur,p uordsa
lndgL ç srnelerQuQ8 sop luarluol e|13 enbr19q1uÂs need
ap lualuorpr êl^nolar el uo lo 'en5tedeur JOSSed lnod
lnol srnallre red eqrgdu;a ênb,run êtnlEU rnol I€LUJou
ên5uol sBd lsê,u roDernp ue enbrlguraqÂr eulle eiler )urlLUol un lale r8erelurlue,rnad au slretedde sal 'suos
op lraJsuerl red sed luouuorlluoJ au slr oLULUoJ oluel
'« tor)P,P Surod , no « urELUoslndÇr » oQLULUou luoulale8f -srp ap sarlQLUolry stnarsnld e,nbsnlxnê olluê aluolrs uo
§fl§§§"§md§§ « rol.red » luoAllod sgdrnbg luos uo rnb snpr^rpur sal
v §ru§*d
'e1e8g sues
?lnelUJO oun
setSolouqrel ap (e-O: senbrdÂl sol?po6 lê^€ JOUuoprool ês op lêLUJêd tnal inb e: '1ue1durr 1er
^eeS-oJnoN
[sop]nol seLure) e:uelslC op lê arrallrlrv,p slsol op sÇlop luos sêllnpe sIUeD sol snol sQrd ned y arrelru
xne {.} iueuuanbrleuolne elnole uarurlOJ ;nelsrd uq rs Irêredde un luepqssod sa8euuostecl satlne,ple,re e9s
'oplnol -uad el red ranbrunuuJol stole lned rnb 'lneltod uos ap
aLLUe
xolJologu ne Orlor luourêllolp lso onbulrgds IUrlLUo) ol
êun la^B saldrllnur solqn sop loqlnol no solngltp sll sop
JOnllêJJê rnod lnaiesrlrln uos êp uorsrrgld e1 ralueu8ne &üruwæ §ru&*&w}§ruffiwru** §* -LNffide§§
lned lr>l ol 'êlqrllreJUr orlQ sues rnoleslltln,l op êurl?i el
rns lueLUOllorp oÇsr^ ep el1uB oun ollolotd rnb 'euq1sÂs unlne : senbldÂ1 solQpohtr
er a^lllp ogsuad eldurrs au1 soluourLr-rLUt soleuêLU sap 'aurxolrluv luolel
roUrluapr € opre ou?,ll uos êp oseq pl Q QXU o8etçdêr op
ne Suer 1 elnole 1a (aurarru1,r ro sNrrNo) xny,p sa18qr ep
rn0lsurpJo 0ln)snurur un,p l0 npr^rpui un,p aurlQr El olQU
êr^rl np yg I e8ed €l ? sno^ zetroda:J inelerrdser un,p
rap sglueldur srnasuêsoJlrur op QSoduJo)'lroredde lal
1e e;tolerrdser anbseu un,p solu9UOq sol o8euuoslêd nE
au-b ru§iNr.,-ëffi HmEf5§d aluaueLured uo llurnoJ anbrlguteqÂr tnele"lrdsar u1
LOISIRS ET #ffiËT"*ru pF:*}*ffi
#â*# #à"§
Des mii rers de crédits ont êté gagnés et perdus suile à
DIYERTISSEMENTS un simple lancer de Dês du Destin. Primitil el bas que,
Nombre de lorlunes hutts ont été bâlies sur les parrs et ce jeu exisle quasimeni partout dans la galarie, même
aulres formes de divertissements. \,iême si 1e jeu esl l'un si sa simplicité le rend facile à truquer pour des escrocs
des plurs grands marchés de l'Espace Hull, tout le monde délerminés à laire pencher le sort en leur laveur En
ne joue pas selon les rnCmes règies. alourdissanl légèrement les dés, les tndividus dénués de
scrupules peuvent mteux prévoir queile face apparallra,
rA§â-r 3-§ : N-§i§§R§/§lV§RTlSSrMrNT§ la rouge ou la bleue. Bien que dlfttctle à rernarquer au
premier coup d'ceil, ces dés modllrés, dont le résu lat ne
doit rien au hasard el parlois appelés « toupies », lrniront
J9u de sabacc marqué par évei ler 1a susptcion des Camorréens les p us bêles s
,
Dés du DesLin pipes
Leur utilisateur en abuse.
Les personnages utl isant des dés pipés ajoutent f f
aux lesls de Tromperie Lorsqu'ils jouenl aux dés. Recon
naitre un leu lraltqué nêcessile un test de Perception
.$§§ Ë3ëî §&ffi§tu*fr r6se#Ëê-4# Exceptionnel Of f f f) au premier jer mais ta drftr-
Jeu de hasard très popuiaire à travers loute la galaxie, lé dimrnue de I dé à chaque lancer sutvant.
cur
le sabacc est lrès dilitcile à ma triser el encore plLts à Modèles typiques : aucun
truquer. Chaque carle possède une face éleclronrqrLe qLti
peut changer durant la parlie. au hasard et sans averlis-
semenl, ce qui rend lout comptage presque tmpossib e.
Nêanmoins, des arnaqueurs et aLttres lricheurs profes
sÉcunrÉ
sionnels doués ont trourré des mêlhodes pour marqLter La richesse esl la princtpale préoccupatton des Hufts, qU
leurs jeur, traflquer les carles ou modifler 1e générateur verLlent donc jalousemenl sur leurs biens el leur forlune.
a éalorre pour accrollre leurs chances. Les esclarres, en parlicul er, peuvent se révêler clifficiles à
surver ler, el eLtrs maltres onl conÇu plus eurs appareils
Les jor-teurs ulllisanl un jeu marqué gagnent E aux atroces poLrr s'assurer que leirrs n investissements » ne
tesls de Tromperre lorsqu'iJs jouenl au sabacc. Remar < p. hoOOo. ar
quer qu'un jeu esi marqué necessrte un test de Percep- I
tion Difficile OtOl or-rtntimidanr (lf t0), se on TATLE 3"7 : sËTIjR§TË
sa qualrté (un jeu marqué de qualité snpérieure coute
1 000 créditsl Êtix', ,. r'i:Ene.:t r. .. EareÉ.
Coilier de sécur]té
Modèles typiques : aucun
thal assr en lll 300 I 5

ln:raves exp os \res lrl 500 2 6

f;#LLE *$* #ffi #â**ilë ffi Ëyffi yâ*éeil.e§ffi â ffi ru

Plus connu sous le nom de u collier ci'esclave », ce dis
positil cher aur escLavagistes lha assiens comporle un
système lrès sophistiqué desliné à r_rne lonction élé
menlaire:conslruil en duracrer el dotê d'une lourde
chalne cadenassée par un verroLt magnétique, cel ap
pareil est corlÇu pour empêcher loule ér,asion et resrs
ler à n'importe quelle lentattve d'elfraction. Sl le
porteur lente d'ouvrtr son co lter sans posséder Ia
':ri,:l:., clel éleclronrqLte appropriêe, il ruLUrL
reçoit un choc
u I tlluL
. r:._,.
,!s-
neutal tres douloureux, votre morlel Cer-
t,.lW** lains exemplaires sonl équipés de verrous
o o^ êr io ,cs 6 otl.tP: pot a \o
ry Æ ry]
sr t::+-
* :r n^,,,-
^,^ ever un collier de securité lha
Pour en
lassien sans sa clel, il faut rêussir un test
de Magouilles lntimidant Oll) En cas
d'êchec, le porleur du collier subil 2 points de stress
el 1 point de blessure (qui tgnore l'encaissement) et
il esl Désorienté pendant 5 rounds.
Modèles typiques . aucun
 vJJnH 'Itt to sÎ{oila sEa
sf gvNNosufd 30 SNot-Ldo
uorllrppv uorleSr
-ns spd êu rnod [sanbrxol sa]repuolas slêJlo sop.ioluour
rns rnod aluelsrsgu êp rlo'uorllrppe êun q loqLL]ollns
sed ou rnod pro"l1 3ue5 ap a;dr-uexa redJ lsal un _tonlla1
JO eJlap slueUQdnls op rnoleLUUJosuot puat8 aBeuuos
-rod un '[n np or^uo,l uolêS oLU.]ol Suol q saluesteldgp
saluenb,gsuot op sol-ros soJnol lssnp luauleLlua sanS
orp sop lrednld el 'slerpOLULUl stoJlo stnal ap snld u3
'sêJnle9-n solqeJquJouul,p sqrdne e xel
-aB el alnol suep sarrelndod luos'errdg,l'lerlnllted ua 1e
'luanbgerl slr,nb segiuep sol 'suroLllu?QN sergdse sallne
sap rna xne saSue.l19 luê^nos luessre.red slueq:uad
srnol rs oLUQLU'êxnl ep slrnpord sêrlne lo xnol!ol slonl
uorlerQpoLU sues rarrgrdde;nod snuuol luos sllnH sol
NorrvhthtosNof 3q
{ Sllnooud I3 SrnDouo
(ll ;
0S L {asop 1l ronbei op uruaÂ
:0
',"L
1 0 ; ..0 o 0.. .
':
:9 ,O 00 I tll r {asop ll srxorp
'ruI x!rd
Ëareu
§Nüsl[]d : §"8
(lll) etr)uJlc neê^ru
ne êlLnpç.l siole lso glnetUlo uos ls oLLIQLU'ze8 q sepeu
-er8 sap rrldLrat rnod esnaze8 oluelsqns uê QU.roJSUerl
o-rlQ LSSne lned 1r sreru 'p1:elur 1ue,,rnos snld e1 1sa lonbe"r
êp uruêA 0l 'spunol e lu?rnp rêstllqoLULU ,l rnod 4§ un ros
-uadgp lnad Tp1 al lo'êlqo e1 q (luar-uassretuo,l iue-rouBr
rnbJ sserls ap slurod 6 a8r11ut qLqu98,§ enbeq:'L!o"nrns
aC spunor 6 luepuad êuLllrl el € lrurdl A,r ]o sNtJNo)
xnv,p B g6 aBed) tprnolO 1e19,1 eEr 1ur uosrod ot 'lêL1rQ,p
se: u3 (f t) I ll lueplurlut o)uelsrsgu ap tsat
un JrssnQr IleJ lr 'plepuels êsop oün q _taJSls?_t
..lou QLll_teul ne xr,rd uoq un luared
e1 sau Ld op srnosseql sel 1a slenbae,u srnassarp sal led
0:ll0llor 1se r 'asqqluÂs op s1ues,{1e.tedornêu sep 1"rednld
e1 enb rarluor € olpUllp snld uetg slues^lerBd sla1lo xne
enbrleuÂzua rnêltqtLlut luess nd un 1sa.lonber op utuaA
êl 'suaunnlr"rs srrou sdnol sêp êutxol p sepuelS sop ltellx:
HüFÏ}qyff tr# $$f F*Hp1
luadrss p ol oJ slrol sluoA sêp enb sutour ? 'spunol 9
lueJnp le,l suep alsts_rod 1r1e1o,r lrnpo.rd oJ sêlelnlsnLU
seurseds ap lo sêQsneu ap êLU llr^ 'olqo el ? huaLUOS
sreluê,1 lue-tou3r tnb) sserls ap slurod 6 eBtllur 9_r9ugB
§ anbeqt'l1o-n-ins aC RuaL!ossrerua,l lue_rou3r rnb)
sarnssêlq g llqns oLUrtlr ei 'loqlQ,p se: ug
Qf f fy
alueplurlul lu0t^op QllnlgJlp el 's00urqLUol s0sop
xnop ap rr1-red y Oill at!)gJ!C e)uelsrsgg ep tsol
urT rssn9J lnEJ lr 'p_repLlels êsop oun ? rêlstsQr _lnod
xnp.rileLlol saBeurruop rnp sluor
9JJrpuL surssesse lo saleualreLu sol red suda_r QIQ stndap
e'sQSrunLUU luorelQ,{ rnb salstleredç5 sap sêpr.o-rp op
soOutre sa; -ted çst1r1n luoLU?t-rt..touQ 'arlgpJaA zeB a3 segu
qo,1 Lrq oqiel ai^ êp sauJroJ sep 1tedn d e1 aqnuru.L oun,p sutoLU
u0 ênl srxorp al'sauolJ sop ar;anJ el lue^e nuuol qlgc
sêHæ$ffi ffiw*
'
r
[]uoLUOSSrelue, 1 luarouBr n b) sat reluaLugldd ns
ssorls êp slurod E,.r qns q no -tnol oruQ Sto..tl uos ap uU el
q neolnou un ronllollo uo p o8euuos-lad a1 -ieBrlqo.lnod
oluelsrsQà ap lsol ietruard np s-rol nualqo @ resuadgp
lned ;;1 ol sorelnlsnuJ seruseds slualotA op e lo o)uerl
-1n0s pl e Lrp (luourassrerue,l arouBr rnbJ errelueuglddns
ssaJls op lurod 1 eErlluL tn1 slsêl sêl € nuolqo (6) onlteql
la'uosrod np asr,rdue,l snos aluêl êlLê,nll slsêl sol snol
e I llqns ollo 'llorl.rns eq [luaLuasste]uê, stol anbeq:
luerouBr Lnb) rr rnle: sqrde -rno1 np uU el € sêrre:]uoLU
çlddns g Jê'lue^rns np ug el q snld ap 9'rno1 uteqro.,rd
uos op ulJ El ? sso-rls op lurod I ltQns êLUtllt pl 'laL.llO,p
se: u1 (f I 0 ) tuppnullut a)uetsrsgg op tsel
un JrssnQr lnel ll'plepLlels osop oun ? rolsrsQt lnod
'eruoBe, lo olelol arsÂ1eLed
I
e e,nbsn[ ]uerrdue rnb'seprnos srnolnop sap 1a enEtq
e1 apuer8 aun re,tnordg e aluêruLUol ero.ld rnal 'uosrod
o ne egsodxe sroJ oLtn:sTênll snld sa1 sutssess{? sa1 _red
aglosrqgld lso êiel9 luauJOrQllnlllled autxolo-nrau ollol
ze, :
*é1*"1*ffiffiru§ffi Hru§HæÂ
raltlg
'rurdnf to sNuNoJ xny,p sel8qt op or^tl np
Slrvt .-t 91 1 eEed e;
e sno^ zaJ?JQJ 'suosrod sap sal8qt sol rns suotleLUroJUt,p
snld -rno6 -roqLLrollns,{ sed eu rnod lan1ra11a ? oluelsts
QU ap tsêl np QllnluJtp el a?nosse lsê uostod tnot V
'senuuolur sêurxol
ap lallo,l snos ugd luo sluessrnd sllnH sop uo q lO
s-ralselq slup^nrq xne asnalluolrs êpoLllQLU allol
lue;QJOLd su ssesse xnalqu,lou
a6 'sanbruelt sellerenb
sa1 1a s:rpiley sêp ]næl ne luêLUell os rnb srouLnos
s:]rlJUol sol o-ipnosOr rnod luerno: snld a1 ;t1no,1 eLneur
ep uosrod êl 'êlualot^ e op o8esn,l ? sQsoddo sed
.lno.l luos au urellr 0p saulUoll srnal l0 sllnH s0 LS OLUQIA
sNosrod
unlns : senbrdÂ1 salQpot^I
'lleluol ne gnl s êSeuuosrod anbeqr q,nb
rsure rnelrod uos q [lueLuasste]ua,l luerouBr tnbJ aLns
s0lq op slu od 61 luea8rllut 'asoldxa ie.ledde,1 'roLirÊ,p
ser u3 Qlltl tueprurtut se;1rno8e14; ep tsal un
êJrssolQU alenbgpe Jal) el su€s l l sodstp ol _to^olul
'êlQrtuol êp
Olrun,l êp dorl
euBrolg,s 1r puenb no est:9.rd uêtq ouoz eun ellrnb tnalrod
rnêl rs'opueLULUol lns relnes -rnod sgLlLue.l8otd s-lnoleu
-ol0p ap s0Qlop luos S0€jlu0 sol 'J0llE.lnp ap s0u.L?t"l)
sop red sQ lar êrnlu ol aun,p lo -io lol un,p segsodr-uor
]uêL|al3r?uQD InJUa,s 0p r0pensstp s0l ap uue s0llol
-ror-u se,nrsoldxo sêSreLlt sop ]ueualuol sloJ op.ladrnbg
sol q olsrsuol sreruuos rd sol lo sêAellsa sel -tepreB rnod
êsnonr^ lo olue,{a.lJJê luoLUêrQrinlrl-ted opoUlQLr-r êllof :
s§e§s{3-ëdHffi sæJqwffi àffi æ
 æffi§ru*#sf_E_# ffi€§ &#ffiffi## ffisaL.es ?Affit§ 3-§: §HfffiUrs ET
Ces amphibiens qui vivenl dans les arbres nalas d,ylesia ptnili..§§T§ mE tüh{§trMMÂT!€3N
sonl considérés comme un mels de chotx par ies Hutts
Aruk le Hutl en étail parlicLi ièremenl friand, et ses enne-
mis ont explojté ce penchanl pour I'empoisonner
ig
Épice Cunjack {1 dosel
,:l*:'i.:&#;:.::'-Lrq{
lrl 7s 5
Epice Cunlack
HtrffiffiË *ÆËre.€&ru {calsse de 1 00 doses) tll 7 000 25 6
Linhalation de ce narcottque éger très populaLre chez Crenouille des a:'bres
les Hulls déclenche une sensatjon d'euphole Sonv,onl naLas l1 2 grerollt lesl t5: I 5
consommée dans des narguiJés, cefte herbe degage
un parlum parliculier On en vend de bonnes quantrtés Hcrfi.. \,larran il dos.. 2,. 1 4
dans l'Espace Hult bien qu'elle sott moins rentable qLte
d'autres épices. Herbe l\1arcan
Icai;se cl9 I C0 dosesl
r750: )5 5

ffiYLL
\eurro!rxte ll d,:sel
llr l!r É,

lrle lroprx ie
u
Celte épice relattvement légère. mais acldlctive et poten Ilt 8 500 25
lcaisse dc I 00 ciosesl :

liellemenl dangereuse, esl essenttellement exlraite sur

Ryloth, loyer arrde et rocheur des Tvr,,i'leks Une grande , Ryll ll dosel
, !lt5o 1 4
parlie du rylJ brut voyage clandeslinement par le Cou
loir du Vent de la Mort et par la roule commerciale cle
Ryll {calsse de 100 dosesl I ltl 4 500 5

TriellLrs jusqu'à Ylesia, pour y être rafllné avant d'an iver

= * sur le marchê noir Pas aussi apprécté dans les Mondes

du Noyau que d'aulres drogues, 1e r5rll ;outt néanmoins Une dose de ryli permet à un indirrtclu d'tgnorer les ef
* d'une popularité stable dans la Bordr-tre Extérreure et le lels d'une blessure crilLque de gravité Facjle ou \4ovenne
Secleur Corporalil. .qq ld t- i Op.a..Ê p O, OÊ o .ê1 O' r^. D..\ OOqeS
perrnetlenl d'ignorer les effets d'une seule et unique
biessure critique de gravité Dilficile jusqu'à Ia fin de la
scène ou de a rencontre Une fois les effels clu rVll dtssi
F pês, le personnage subit es consequences norma es de
sa blessure critique, ainsi que Il à tous les tests qu,il
effectue jLrsqu'à la fin de celte session cle jen.

*tps*x &*r*ie*Ëë
Synthétisé à parttr d'un mélange très concentré de
méthylpénatox, de glucose et de produtts chimiques
inotrope s, le Cunjack accroît sensiblemenl Ia force de
co ,r,l,so e,r au dertirent de so cootd nar or .toil.(e
ê I
oê so. a e -enta ê. et au prix de g,ares,isques
poLrr sa santé à long terme.

OPTIONS DE PERSONNAGES
LE]s B'IROIE DE XAL ruTTA
 vJJJtH -ItÈ tO SilOàVA S5a
sS9VNNOSUrd 30 SNOTJ_dO
ô elepo_DrtN
L QUOA ul sonbrlsoLUop no sojtqs srnêl 'sllnH sop )o^e
alllod ap aqre]]v
EIEEII 'ru3 xud
sllln0 : 0tr-r 3lgYI
J0ll0^e{ B0 L uorllunlEsrsA pEdElep
'el8porlrr\ r-d oLllod ap QL{lelle : senbld^l salqpot
sreLUPl Q sanprod
l0 saoreJJO luoLLtonbrleLLtolnB luos soQllols sêÇuuop
sal ')ê,i-Jl?,p ser ul (0f f ) lueplurlrul onbrteuroJ
-ul.p lsel un oltss0lou ltorpdde lol roleld op loluêI
'sJnalesrlrln sos olnloJd
? rns ê.rneU soprv êlrol?,1 êp ê9srl/(ls aAeLUl aun luoluosO.td
lr,nb ludso,p ?lrllrnbuerl el rnod soLUoproleui srnol op
1o sllnH sap sQrdn€ otrelndod luêLUoLUQJlxo nuê^ap olr^
sQrl lsa xnêl0ol or.Jlod op Qqlelle xneLOdLUr slarl
lal
-os solr^rês sop ou8tp aSeldÂrr un,p lo lueLuroJrad sJlln
QlunlÇs op oLUQls^s un,p olop'alelula sQJl suorlluoJrl
-lnLU Irlno un,p olqnop ês olqelrod epuoSe lol'gguotl
-luo]esroA pedelEp unulLUol snld np lo eleporllf l
or.{lod op orelQrlos luole^^lod np oQJorlOule uotslo^
v&vfr suSr §Æ a-d §§*3§d :§æ §*.r3w§ew
Linrne : sonbld& selQpohtr
ottr)
Iouuorldef,xa onbller.uJoJul,p lsol un olrssolQu Jnês
-srL{)uelq un rEd gltsueJl lue^e luoSle,l êp ra^noJlou
'srldLUolle snld sol xnelsU sapt.oJp sal rnod oLuOLU
'êlrnos rnol ? Jêrlor ? solqlssodur sJole luouuor^êp spuol
sol soSueLJlÇ,p lo sltêJSUerl op xnanlrol ltnl..ll] un suep
sanbruorllalQ sêreuuoLU satlne lo sllpQrl sal lualuoptder
JOlnlrD aJreJ Jnod sn5uol luos 'saxoldLUol oSEld^Jl op
sêur,{lUeSol lo sopol êp sQlop 'sQnbrlstLldos spedelsp
s0f 0le0pr uorlnlos el luênlrlsuol sltpQr) 0p stn0ssrql
uelq sal 'luoSre lnêl sed luellrnos êu lruolqo,l êp sruJJOd
luo rnb soLUul sol onb lualrEqnos lnb xnol lnod snuê^
-êJ SAS Ap O)JnOS el ? JOluOuiOt osslnd êu ouuoslod ênb
xnorul lne^ Ir,nb JOplel sues lro5tode,s xnêtQUo sêltAlos
0p l0 slrnpold op êpueqoJluol el suep odLUêrl ênbuolrnb
'sQDosse srnêl op lo s]]nH sop sJêArp slueJl sal rns xno^
SêI IEJQU?3 UA ]UOLUJêJ XNEIIQdLUI SIêI]UJO SOI IS ALL]QIA
§*§ffi §§3 §# H §r§§§t r.{} âh§§ÿr ffi
QlDrlu0l_llne uos ap snlure^Uol
elqp luos slr,s eu.rQLU 'qluosord lsê rnol tnb soprv onbstp
lnol roururPXo ? lerou?8 uo luapueuop slr 'ajnlsu Jed
xnêugdLUt lo oLUOJlxa,l € slu?uoLU luos sllnH sêl oLULLToJ
'[erqrrue-t1no uorJe]olo.td op sel uo
Jnes) gsro^t.rdde rol
uer uos red roto^Qp orreJ sal ap natl ne Jêrl uos sto^eJl
? QSUnIQS OSeSSed Op lrorp un stoJOlnol ellluejeS rnol
lr sleLU 'rrpESag neals np oddell sopJV anbsrp un lueqtLl
xo snpr^rpur sap sro^uê tlod no luellronl)e sQJl ralluoLU
os secl ou ap anbslt orntl lrlrlrsaC eqqe[ 'olclLUOXO
red
lnollod uos luoLu
olro^no lêssoj8e ? srnolnol etouSndÇl D-tnJO) rs aLLlQLu
'uorlsanll ua llnH OJ lê^e uotlet)o8QN èp no outeul op
slsol sêp allnrullp el JêluêL!8ne êJtErluot ne lnêd f[\
al 'e^r.r uell un,p êLUQlqLUO,l oqtule olQrd 3l ts'sto]êlnoI
êrnu nl ap 0LUQLT l0 ln0luOlQp uos.têssalq êp luaLtuall
sqe,s la oloqLU^s ol luolladsor sllnH sêp llednld el 'l?r
:
i
ênIJOJJO lr,nb UOtleDoSgN êp no oLUJeLll ap slsal sol
rà!q0 snol A otno[E ]alqo lal oqrL{xo tnll o8euuosrad ol
f] fl
sllnH sol zêql xnotpo OrutJl urT oulLuol glQprsuol
'êsio^u1,l
lsê soprv anbsrp un,p uo)e]arlLlol el no lo^ ol
v luauJOrer sQil ênb luêpJOlle,u slr,nb o^Llplor QltunLULUr
êllol luêllêdsêr s.rnêlrA.ros s.rnol op lo xno 3.tluê,p lrednld
pl jred un,p o..rlrnoLU ol ênb noqel rssne onbsord lso soprV
onbsrp un,p rnêssêssod êl ronl 'llnH un,p xno,{ xnv 'sllnH
sop uorllêlord el op lusr)uouQq êLULUol luoulluapr slr,nb
'so-iLleLU s"rnal op suo^pl sêltesstLUO xne lo slnoJt^los xne
arQrlnlrl.red osuodLUoloJ op notl luauuatl sallrep?LLt sal
'orlne,l rns êQdde..rJ e,l lnb )prlal np neoJS ol
lo'êleJ aun
êJ sallo,nb oloqLU^s nE puodsarJol steLU 'êsoduJol sol tnb
xnêDQrd lelQLlr np allor q sed a]tultl os au ue^ rns gro]
LUnrpornE,p sêllrepQ[r no so]Qrd soltlêd sêl op.rnsle^ el
sffiffiww ffiflÊ*#*ffi
epqLUel srnapnoreq sarlne
lo sarrPUrp-ro slaurLUUl sap luoLUOdtnbq,l suep luouJQltoJ Al r,
sed a^norl êu uo,l ênb'sgstlED?ds solossolle sanlllonb êp:
êlrssolou soleUOdLUt slol sol rêurnoluot lê sllnq suell sa'i
êrluo sglrLe^.1 sêp sltanlg sêl ê.11uê ro^o^nol Iou QqlrpLU 0il
np slrnpord xne lo siolselq xne sed lualtLLtrl os ou sJt:lno a;a
sol 'llnH o)eds:,1 susp luaLlte^erl lê lua^r^ tnb xnal Jnod
s]IINO I
r.:r 3
aas
'aleluoLU rnêdrol el S:
êp lê êle.rQUoa ossalqleJ ?l op'sarrElnlsnL! s.lnalnop sop
'saQsneu sêp osnet € nêl op uorssos ei op uu e e,nbsnl
osnu el lo oluoSrlo:1ul,l lnên3tA el lê^e uotl uê slsol sêl
snol q (Ë) luoLUênblleuJolne ltqns oFeuuosrod ol 's?d s
srp stêJ]e sas sro] oun orluoluor el op uu el e,nbsnl Ql
uolo el l0 allll8v,l la^e uori uê slsêl sê snot ? {-.} {'.}
luoLUênllrleLrolnE olnole atxrdo_tlnêu ap osop aun
'uotlPultolut 0ll0l 0un lns utPU e
orllou -rnod ounl-loJ êlllod oun npualuê uotq luatelotpd
lê 'êurBuo uos sed luossteuuot êu sllnH sêJ aL|QlA o xrd
orlnou ol luostnpo]d nb srnole^tllnl sop ?uljOJ o lrol
êl red ?pre3 luaLrêsnolel lso lê.ilos uos la eUeplof rns
onb assnod ou rrou r)eqpF êl ltloB êl ronbseu uo rnod
Qlrnr] luoLUêrQ8g1 L-unped un Jêlno[8,( q s.]neleruruosuot
sop lrednld el êlDUr rnb al'sorle zossr? luos uouFrdLUeLll
un,p oqrord olueld ollol êp sêllêrnleu ssltnLl sêl sêuQ3
0uDnlleq sluesodLLlol op uotlerluoluol olroJ sQJl eun
luêi:lLlor êllê'su3 t)eq?3 np o]e,1 aluetJeA oLln'llou tI
-eq33 np 0g^r-rgC lnoleLULLtosuol uos lns anbtlstJQlle_rel
lueLUlel lo]lo un e ouQSouDnlleLl o}dQ oluesstnd êllêJ
§§K§dffih§*,f§ffiru
nêl op uorssas el ap uU el €,nbsnI osnè el ]ê êluo3
-llLêlul,i 'o1lll3v, € sQrl stsot sês snot op op I ê.torlQLUe ?l
êsop onbeul 'l]_orl-rns ac ê-tluoluor 3l êp no ouQls el op
uU el ?,nbsnl (9 ep Lunu;txeLu un ?,nbsnlJ I op,inê]elu
L.LrOSUol np rnan8l^ el oluauSne Irelun! êp osop aun
 ruæw&#ffiewK wffi ffi §ffiæ tuffi§ ffiw w&tr§§ffi ffie#H
ffieu cle veh jcules cl de navires sonl labriqués dans l'Es Equipage : 1 pilole
§ pace Hutl mars es habitants de Nal Hutla et de ses Charge utile : 250
colonies sonl lrès friands de toutes sorles de speeclers, Passagers : 1 6
de véhicules de lerrain et de vaisseaux . qr-r'ils sonl par- Coût/rareté : 8000 créditsr4
O \ ^ emê pi^ : â !r 'C ^,.egalet ef L . Emplacements disponibles : 2
Armes : aucune.
ÉÂruæ§PEE§§R§ #;aRæË ca"*;*gii=g *æ
Même si les airspeeders ne présentent en généra1 aucun {i=e#Sffi à#Æg {,ë # # E 3€it:s=:r{
intérêt pour les Hutls, ils adorent d'autres appareils à tê La barge à rroiles d'un Hutt esl presque son bien Le plus
pulseurs qui leur permeltent de se déplacer sans s'abais pr,Âcieux Conslrurts sur nresLtre, ces appareils à rêpu1-
ser à exercer une activité physique. seLrrs représenient aLlx yeux des Hulls le syrnbole ultirne
du iuxe et du preslige. Proprilsés par de putssanls tno-
sÊ€§fftr ffiffi FÉHy ffiéhru'flffi"q-** #ffiffiËËq뀧fâru ^1, o ioOL 'o^
. O' .' o flr ê . oS Ji...pa, ' O.Sê'ILç
Parmi les omniprésents véhicules de transport de l'Es- peLlvenl glrsser sans à coulls an-dessus de n'importe
pace Hult el de la Bordure Extérreure, le skifl de fret Ban quel terrain el sont équlpês de grandes vorles rêlrac
lha ll est un appareil à répulsion ellicace el pratlque tables pour capler Le rrent lors de croisjères d'agrément.
pouvant convoyer passagers comme marchandises l--a Pour les HLllls. un tel apparerl, qui ne sert qu'aux excLlr
cile à piloler, ce long navire étroil à ponl ouvert peLlt sions touristrques el aLtx aulres plaistrs hédonistes, lé-
conlenir un chargement volumineux, ce qui l'a rendu moigne d'une réussite certaine.
couranl dans les entrepôls el les spatroporls. Bien que
relatrvemenl raprde el maniable, il n'est pas adaplé au
combal. Cerlains pirales el maraudeurs le blindenl nêan I?II;Tf.]ffi){re
EE- @
i*JrJ
moins et le hérrssenl d'armes pour eflecluer des raids
contre des campemenls isolés. t_ë-l
r(@tÉ}, - -
Type de véhicule/Modèle : Barge à rrotlesiclasse Luxe
L__!__l Constructeur : Ubrixkian lnduslries
f@ Altitude maximale : l0 nr
\::!J Portée des senseurs : coLtrle
Équipage: 26
Type de véhiculelModèle : Skiff de fretiBantha ll Charge utile : 1000
Passagers :
'
Constructeur : Ubrlkklan Industnes
Altitude rnaximale : 50 m Coût/rareté : 300 000 crédttsi6
Portée des senseurs: cour o Emplacements disponibles : 2
Armes : canons blasters lourds rNonlê-q sur le
pont lportée proche ; arc de lir dégâls 5 ; cri-
a lique 4; Jumelê 1 )
a
a

a
a
,
.
:

- "r.
'dû\

I E
 v.tlnH Ttx 3(I siloatvE çtL
SIgVNNOSÈfd 30 SNOt-LdO
Ounlne : seuJv
a : salq!uodslp slueuereldu3
9,slrpo]r 000 g : gloJer/toof
6 : sle8esse6
El:alttne8leq3
{y a gno5 '9 aplnA elrq:olor6 '9 soQtrLtil ololrd un : eâed1nb3
su0rlrun[\' | 0]ual eluopel', 0rlto_rB : 9 enbrlr_r: : q slgF aq:ord : sJnasuas sap egyoi
-êp: lur?^e:,tLl 0p lre: êlrnol e91odJ luE^E,l ? OluoLU Ltots LU a : eletulxeu apnltllv
snlu0l ? solrss ru Oluel r.ro 19 0Ulnos 'a Qplnb a]t1:olo;6 se _rlsnpul u?r)lI rqn : Jnel)nJlsuoJ
', saQlrLUr SUorltunt\'l 0luêl aluOpel'9 oLllQ_rB :
3 anbt] a oo8 06
-tr-i:B sl?Ë?p: iuel\e:_il1 op l_te:êljnot a91_rod) 1ue,re,1 êssellisrp..reLU sap rapoads : êlQpoÿ\J/alnrrqgn ap edÂ1
r? QluoLU suolord q sel1rd_to1-e:uel no ll Q oLUnf 'enb uol
: , anbll rl : E s1g8qp : lLlEAe . JrJ Op lrs : aq]o.rd aQlodl
luEÂs,l Ç sQluoLu sçlerunl sraSç sanbtrot suouet no (l O
-OUln[: g onb qU: I E slg8gp:]LteAe:.r l Op l.te:aqtord ag1 g;: T3H
rodl 1ue,re,1 ? sQlLroLU sglaunls-re391 -losel suouEl : setüJV 0l-l }'Da (-
l0 {ar+Da )a C-
t Da t l})
I : se;qruodslp sluauaregdruS G=4eJtErlD
,tsllporl 000 qq : alelPl/l0o) seq-q1 nad l oA ua uo 'sanbru
slnol 6 : suolsl^oJd er9ru sarl-red sêl suep ra8ol as € oluepuol lue^e lnn
g : sla8esse6 uS lê êu oolel) 'uEluly anb sa11e1 sapr_re salque d sap
, : alrln a8leq3 s0lqes sal uerpoÀ tê qelllU'E;nH ieN slanbsal rLlred
alolrd un : e8edrnb3 '11np ereds3,l op sapuoLU xno..tqLUou ap Jns lur?inol lsa
êl..rn0l : sjnêsuos sop eguod -iapeeds eS adnod e1 q anb 11e19lu srllta.rl un ? sgulella
rno : lnaleurplo!^eN uorslndgr q sJnoloLU sot8 srorl op la aQpu lq anord aun,p
IunrnE) oJlepuo]os'Ia êssel]J a;reur-rd : anr.rpladÂ;1 êQlop 03leq êun q olqLuêsso-t 'so-rQtqrnol lo s ereLU _tos
SrOlof\ lepuer'\ : Jnel)nJlsuo] ;e,ter1 rnod n5uo: 'elqetueu 1e -te3g1 uorslndgr q lra_redde
y,{r5 y-9l,1io"lellats rnosseql : elQpol /elnlrqgn ap adÂ1 lêl 'lreA rns s?silrln s-tnasst13o;qe sLlonue sal -rns gseE
§H ëê$-+-S ffi # ru $ F*W§}$FË $ ## §= q{é".#ë#ru{§#
[s-,
1-- f--sI 맧wT3 §# §{BHWffi S§ffi ffi§*§=*§
,El ,E (anbrleruoqny: g onll lt..n : g s1ç39p r lue^e :itl
r&)\W)1-I1
-_-FlH op l"re I auua,{ou eOlrodJ QlnLUtssip "rolselqolnE : saulv
t : salqluodslp sluauereldul
le11ue1od luallolxo uos
grEleLr 'saç391o-td xnatu.L salq l sop êJluol slnesse sop 9islrPÇrl 000 I : 9lerEr/llof,
rnod o8elue,resçp e1 1:edse lol '..lotllnoq uos êp êsso q 6 : s;a8esse6
rpl ei op snld u3'uorlernEqL,o: el op luêLUêllêrluêsso Of : alrln aBleq3 !
:uop puedgp enol lr,nb olQ-r al : o qelLioLrjQp luoLuê lleJ ]:lnH un : e8edrnbg
zosse 0relnpoLr luoLUOLUJe,p euq1s,{s un p enb gdrnbq Lrnlne : slnesuos sop eguod
ar19,p 1au-ted tnl au e1:edulol allênoUls eS 'olqetLteLU LU9:eleulxeuapnl!}lv
1e aprder 1se yÂ:5 ê 'gOgU rÂesueoy enbruoi ..tnalolrl rul )0IIES : lnal)nJlsuo)
un ;ed gslndord qa re391 e8eputlq un,p Çloc êuloolel 6-11-11uors1nd9..r ? neoLtle_rl : alepolA/olnlrqgn ep edÂ1
ap lrsser8e lo Jr^ p-rezQl un,p LUou uos luorl V tL\ ol
'sr0lolAlepur?lA -tad qnbuqel olltloll ap rnaldet-la1ui 1t1e6
ff#*À*ffi.}wffiruw*q
w"ffi
ffi $*ê,§s Hffiffadffi*æffiÀru§
'sllnH s0l sosnonxn suo ldo sêsno-tqulou
zeqr serrelndod sqrl snue,rep luos srolof\1epue1,1 red s0s ]0 QlrleuuorlluoJ es rnod 9st.rd sQrl lue_tnol êlQpoLU
sgnbuqel solQpoLr sa1'odeq5leolJ srnosseqr op lê N
un lsa )l0I)lBS a lH 0-l sltnH sêp slrloA xnE erpuodsor_rot
3ur,u 1,p 'q6 Z xnêt^ ap solloll sop luopQSSocl slprle>1 rnod srneslnd?-r € xnEOUlerl ep loued alse^ un luol1lo
3
ap dnotneaq ts oLuQlA .rrornod e1 tepreE rnod e11rnorl 'lêIleS uo le.lod-ro3 al lo r orôllèJ èlups ? ci èp è euuors
ed ep xneass e/\ lê slnasseql solqeJq[rouu],p u osoq s0lu0) ol 'ue y)lriqn luop'saruFedruot srnêtsnld so_ilQL"Ll
luo sllnH s0l 'oJQllu0l tnêl snos solelltêLULUol solno-t op sanblanb op oluelsrp oun -tns euqLl to:e1dçp os lnoci
0lQiulnl s0?uue,p luelne lo salqueld op s.rollliLu sop lo^V uors ndgr ? nEOu.Lr?il un luapqssod snol anbse_rd '11e1
êl êC ossêlq e1 ep eu8rs un êLtutot QJQptsuol lso anbrs
TÏINOUIVd 30 Aqd a:r:taxa,1 te: 'sue.r,our setdotd stna ted luê^noLU
as sllnH sop so.rÂned snld sa la saunal sn d sal slna5
xnv3ssrv J.S Fr$
{s** ** *} i**"t-*Ts}
sun355vHf Lâffiî* ru#˧rftds# Ë ftH§r,§§Hâ*à I
 eil,à ** t"l,: lr,:i,lrt I .U §il.-{j t,ÉiÉï;ti.'tÏ' lr"r.ê Iâ î
rtr;ï i+ile ii:,dl 1ï iai':: i:] It
Mrses en service par 1e cé1èbre baron du crrme Jabba
Desili]rc Tiure, ces canonnières lourdemenl armées ont
élé distribuées en guise de récompense à ses
lreutenants favoris pour leurs bons el loyaux
services, afin de les aider à maîtriser les
êlémenls indiscrplinés de son kajidic
Depurs les débuts du I\122 T Krayl,
da.r C. d c OTI pl": CO'5e1e .e , *rrÉ1

de l'ulllilé de ce vaisseau, et sur-

tout de sa puissance de feu. lls onl
cornmandê beaucoup d'exem
plaires de ce modèle auprès de
MandalMolors.
(ffii»\
(4 )
raffiô\
i18)
Type de véhiculeiModèle : vaisseau de patrouillei
M22-T Krayt
Constructeur : MandalMolors
Hyperdrive : pnmaire (classe 1), secondaire (classe 12J
Naviordinateur : o r

Portée des senseurs : courte Type de vêhicule/Modèle : chasseur slellatreiStarhopper

Équipage : un prlote, un artilleur HH 87
Charge utile : 20 Constructeur : MandalMotors
Passagers: 2 Hyperdrive : primaire (classe ll, secondatre 1.aucun)
Provisions:ue)ena,'e Naviordinateur : oui
Coût/rareté : I 85 000 crêdits/6 Portée des senseurs: courte
Emplacements disponibles : 2 Équipage : un pilole
Armes : canons laser lourds jumelés monlés sur tourelle Charge utile : 6
dorsale (portée courte;arc de tir:lous;dégâts 6;cri- Passagers: 0
tique3;Jumelê1) Provisions : 2 jours
Trois canons ioniques moyens monlés à l'avanl (portée Coût/rareté : 50 000 crédits/4
courte;arc de tir. avanl;dégâls 6;crilique 4; Ion que, Emplacements disponibles : 2
Jumelé 2J.
Armes: canons laser 1égers jumeLés rnontês à l'avant
(portée proche ; arc de lir r avanl ; dégâts 5 ; cnttqne 3
Lance missiles à concussion monté à I'avant (por, Jumelé 1
;

lée courte; arc de trr: avant; dégâls 6; critique 3; J

Brèche 4, Cadence lenle 1, Mirnilions limitées 16, Pro

jectile guidê 3, Soulfle 4l
fl $"8,â#5 ti ffi §1"§ Ë=i;Éâë ffi &:
ffi
$"r'Ëffià4#trtrËffi HH"æy
Ce chasseur polyvalent à longue portée esl arrivé sur le
marché peu avanl la Cuerre des Clones el s'est rendu
popularre auprès des syndicals du crime hutts pour sa
solidllé et sa polyvalence. Doté d'un brlindage impres-
sionnanl pour un l,atsseau de sa taille, 1e Starhopper est
aussi résistant qu'elficace Equipe de cleu^ canons laser
jumelés el adaptê au vol spatral comme almosphériqLre,
il convrent à de nombreux rôles, des patroutLles dans es
cieux de NaL Hutta et de Nar Shaddaa jusqu'à la lraque
de créancrers et aulres fugilifs de cherchani à échapper
à la « juslice » hutl.
7 0
CARGO§ ET TRANSPORTS
Les emprres économiques des Hults, conslruits sur le
négoce aussi rL êgal soit il , dépendent du transport
des marchandrses au meme [ilre que les mégacorpora
tions el Les gutldes de commerce du Secteur Corpora
tif. De ce Iait, les nariires de fret el les transports sonl
vitaux pour la prospérité et les alfaires des Hutls. Les
rraisseaux corelliens sont lrès plsés pour leur vitesse,
mais en lhéorre, on trouve lous les types de cargo exts
lants dans l'Espace Hutt
,{,&HF.bs ËL Ë.. ü # tr ilË * Ë5 " §
ti Ë#tr: icT{:g,qi-1E F &,j#+-E T-ffi ËsE
Ce 5t2651 de plaisance haut de gamme doté d'un prlx à
i'al,enanl a bénélrcie d'un leL succès auprès des HLrlts
qu'il a gagné le surnom olttcieux de u caravelle hutl ».
Conçu pour ressembler à une barge à voiles slellaire, ce
narrire esl nchement aménagé, avec des finitions en bots
de greei, en cnstal chal et en aurodium. En génêral,

OPTIONS DE PERSONNAGES
LEs BAIqOTS DE TAL HI.ITTA

m
 vJJnH'nt lo stcÿên s s5-1,
539VNNOSU3d 30 SNOlldO
f-17l,
(@aDl
[9 enbrlur HRH
: g s1gËçp : proqr".rlio-rQureilue^e no p-]oQÇQio"lQll.le IIIIIII
iluE^e : r l op l-re : aq:oLd o?lrodl proqlrl l0 proq?q @l ulElsuE
sollê-rnol sol lns sQluol! sueÂout lês?l suouEl:seuJv oltreleq el € sgldePe
y : salqruodstp stuauerelduf snld srnasseql op sglrolso leLQuQB uo luos slo^uol s0l
Ç1s:]lPQ-rl 000 01
| : plarer/llof, lo leqLUol a1 rnod sanrtgtd sed luos au soluerqLUo)u0
slol.L.l t : suolsl^oJd
la solsnqo-rsJOU sol rosel penb suouel ap seÇdLnbQ,nb
lo8rer np olnos E suEp 00 | q,nbsnt) g : sleâesse4
uorB suorlrpuol sêl suep luorpuol^rns lnb solqEll^QUL
OO9 : alrln a8Jeqf, solrad sol rosuêdLUol "lnod solllOUqq so rns luelduor
eBedLnbg,p sê.tqLUaLU 'lrllêllo lal êp olqnop ne,nbsnl rêsseluê,{ luaitnad
rnarugSu un aloltdo: un 'êlolrd un : aâedrnbl selndnrrs sues lê slên.tl luoLLtorqtln:r1.led selstSe,r
0ll n0l : sJnasues sap aguod e lsê sop 'sraruuosud 0Oa L op lelol un rtueluo: 'lnod
rn0 : rnaleulprol^eN sn5uol lueros s1r,nb uotB LLlnultu LLl lJllls ne lu0llLU
[6 I essep) orepuo]ês '(6 esselr) erteult.td : anupledÂg -r1 as sluau:aEPuQUlE sêl LS oLUQLU '?lues êuuoq [o \ 1P
sL-ualsÂS )olueMnS : lnel)nJlsuo) orl uê la aL,t ua uosteËtPl Jnol rêpreB -tnod sa1n11al sap
6961,-lyo8rel : el?po6ielnrlqgn ep adÂ1
lo uorluêluol ap solluê spue;3 ap luopQSSod silderl
sarAeu se3 etxeleF Bl olnol slolerl q se,relrsa,p lrod
.LÊ,, '? Ld.\ rds s Ja 'P .J \ r pdcsre sè , Lol o .ol§
f sl*) f* olr la eappeUs reN op xnêtl sa suep oluanbQr,l uolsrA
t&;-it#ÀljlfH'11
-' -_-=tEfF 'E É.Ë Ë,À #;*,&HT*#æ,tr §H**Ë HefH-i
êu-rL-rl np slelLpui\s s3p no sJêllueQ-11 sap'sln0l [9anbt1tl:l9s1q8
o^ sêp'srarlsnqlll s0p êlqe.llsQpul u0llL101le,L luororllle ap : proquliêrQr-rje/lueAE no p-]oqeq1êrQlrre/luEAe : -lll
slue,(o,r snld sarL,,reu sop r_to €l l0.rlslp 0rte1 0s lles l rEl op lre : eqro-rd eglrod) pLoqtrl l0 proqqq sêll0rnol sol
'oLuQLU uosre.r alle: -rnod luelL:stqOId êl slêlpueqarluol rns sQluoLU sêlqellerlgr suê^oLU s.rosel suouPl: sêtulv
lo spueLllrELr s.lnatsnld'lleJ ul olnêl-lQlx: êrilp.roE I : salqruodslP sluaruareldu3
El la llnH areds3,1 suEp onrlle e:uasçLd ES l-10,p'olqeU gislrpQrr 000 099 : aleler/loo)
nEOSSL?^
un lse,l'lauuorlda:xe ê"rlo suES sroLLr un : suols!^old
lo olsnqor
6; : s.re8esse4
sraËuep sa'r1ne
O0a : alrln aB;eq3
le sele-rLd sap "ra8Qlo-rd as rnod ertelueruglddns luêLll S]UEÂ-IOS OI]ENb
oure,l op lualnole  sa"ltel9t.tdo-td ap dno:neaq anoLd 's-rnollrlre xnep'e1olrdor un'a1o1td un : a8edlnb3
el op QlQr anbeqr op sgluolu -têsel suouel xnap êp olrnol : srnosuas sap a?lJod
or-lgs uo gdrnbg
ltos 1r,nb uatB o:llo..t-tol lueLuaS,teq: UOU : JNE}PUIPJOIAEN
ep Qlrreder oun,p Qlop 1a auueÂout olltel ap'êpllos uou : o^Upled^H
o8re: un lsê 0OZ t lt êl -11 s1-rodsue'll op êlrQS es s0lrlsnpul uell)Llqn : JnallnllsuoJ
q a:gr8 sQllns urelJOl un llpuuoJ stuêls,\S lJtueA,\nS
'ten) op sle^eN srorlueql sop ta ouuotllêrol anbtuqrel a sstlêsitrodsuert : alQpol l/aln)lq9^ ep adÂ1
uorlerodro3 eluesstnd el êp nuuolu luesgrd ç,nbsnp
-ïê Ë ff i#H'§-
(gtl
f** H Ë 3à*Y&"1*: 5 àH #* t,w)
= \
(srrQrd'g Qloll-rnf : 9 anbtltr: : 9 slqS?p : snol
ivl
iwl
:Il op l-te:oqlord aQlodl êlP.lJUO^ lo olES.lop sollsJ
nol sol ins soluoul s"re391 rasel penb suoue: : seulv '[sanbr]saurop xn8êAnoLl ap 'laln:o-td es slnol
9 : sa;qtuodstp slueureceldru3 nol lnad ltnH un 'lnol sQrdel proq q o8elo^nes êp luoLU
9islrPQ-rl a)a gra: 9lerer/lÛo) edLnbQ e;lne unlne e À,u 1t,s auqLl 'saqlo-td sos lê o-llel
sr0Lu I . suols!^old çr-rdoLd ol .rnod êr^-ins op alnsder ua -têLUrolsuerl 0s ap
SOÀcl)SO OOZ I : slaâesse6 uge lra.redde,l op sdrol np rollêlQ,s lned aledr:uird aulq
0al:elrlna3;eq3 el al 'oluoËrn,p sel ul s.t oli-tol s0l suEp s00qlel sêLUle
sap-re3 x p's-t nêl ltlre sêp lo olnsaLU..rns suotllolold sap lue.,tnos luolnoIE s-lno-l
xnap Lnale8t,reu un 'aloltdo: un e1o1td un : a8edtnbs -gnlllp s-rnêl lo'sed luê^ras ou sll,nlls.lol s0Fepullq s0p
0lrnot : srnasuas sêp aglJod snos solnLUrssLp s0lqelle"llQ.l su0uel slolls p 0p slunu
rn0 : rnaleulpJol^eN luos xneossre^ soJ orEllolsralu atues eld êp slql8,'\ uo
{g L osse lJ orppuo)os '(t êssell) erteLlt"td : entlpledÂg Jrl..roi\Uo) sol rnod so^r-rp]èd \q sèp ,LJ ll?lsu luol \ sllnH /
0^uc-rPls Illpu0è : inel)nllsuoJ sLlrpl-rol srEu'eEppeLls rEN l0 EllnH IEN ê-llu0 3llêA
,9 l^/trodsuerl : olQpohl/alnllqg^ ep adÂ1 3u el tuol 1e a.nr,rp-red{q,p srl^rnod?p luos solQpoul sol
-l
 VAISSEAUX GAPITAUX
Il y a plusieurs millénaires de cela, les Hutts ont mis fin
à leurs tentatives de conquête militaire et I'Espace Hutt
s'est vidé de ses ênormes batiments de guerre. Néan-
moins, ils continuent à affréter des vaisseaux capitaux
pour Ia protection de leurs fiefs, et même les amiraux Type de véhicule/Modèle : yacht/yachl stellaire de
classe Ménestrel
impériaux ont été surpris par la puissance de feu de ces
Constructeur : Ubrikkian lndustries
cuirassés massifs.
Hyperdrive : primaire [classe 2), secondaire (classe 12)
Naviordinateur: oui
YACHT STETLAIRE UERIKKIAN MODIFIÉ Portée des senseurs : moyenne
DE CIASSE MÉNESTREL Équipage : 5 /
Fabriqué sur mesure par Ubrikkian pour les Hutts, ce Capacité d'emport : 6 chasseurs stellaires lmodèles
grand yacht luxueux concurrence en taille et en puis- HH-87, M5-A ou Z-95), deux navettes
sance bon nombre de corvettes et de navires de guerre Charge utile : 800
plus petits. Chaque modèle est aménagé avec opulence Passagers : 75
à la demande, aucune dêpense n'êtant épargnée pour Provisions : I an
s'assurer du confort de ses passagers. Lourdement armé Coût/rareté : 1 750 000 crédits/7
et cuirassé, équipé de batteries de turbolasers lêgers et Emplacements disponibles : 5
de canons ioniques discrètement montés sous les crêtes Armes : six balteries de turbolasers lêgers dissimulês
de sa superstructure, il peut conlenir une demi-douzaine montés sur des tourelles réparties à bâbord et à tribord
de chasseurs stellaires dans son hangar certes modeste, [portée moyenne ; arc de tir : avant/arrière/bâbord ou
mais fonclionnel. Le yacht stellaire de classe Ménestrel avant/arrière/tribord ; dégâts 9 ; critique 5 ; Brèche 2,
est capable de transporter un Hutt influent et sa cour Cadence Iente 1 J

dans un environnemenL Iuxueux eL sùr. Six canons ioniques moyens répartis à bâbord et à tri-
bord lportée courte ; arc de tir: avant/arrière/bâbord ou
avantlarrièreltribord, dêgâts 6 ; critique 4 ; lonique)
Rayon tracteur lourd monté à l'avant (portée moyenne ;
arc de tir: avant; dégâts ; critique Tracteur 6).
- -;

e-G
ÿ :ri .;-
vtrnH -nil to sil(,iùva sEL
s3gVNNOSUrd 30 SNOTJ_dO
[9 ]notle4
: anbrlrjl : sl?8Qp : JU8AE : .lll ap lie : ouua^oul
-
aQlrodl lue^e,l € soluoul spJnol slnêllEll suo^er xnoC
(L Qlêurnl''onbruol :ÿ onbrlul : g sleS?p : proqgq
l0 proqul'lue^€:Il op ljt? tal"lnor aglLodJ lue^e,l e
soluoLU sgloLrnI suo^oul sanbruot suoue] o-llenO
IL?laLUnf :9 onbr]ul
: g sleSQp :orQUre no p.roqul'proqgq :".tll op lre:eqrord
ao1lodl orQr.r.rB,l e to ploqr"il q 'ploq?q q sarl"redgr salle-r
-nol sop rns s?luoLU sqlaunl ste8gl resel suouel êznoc
(L otuol
oruoppl'9 oqlQrB: g onbtlul: g1 s1939p: proqtrt/arQu
-.rellue^e no proqCq/êrQUrp/lup^e : Jtl ap : onBuol
lle
oQlrod) proqrrl € lê pJoqeq q sarltedgr sollornol sap lns
s?luoLLl sue,{oLu sJaseloqrnl op sêuêlleq oznop : satulv
9 : selqruodsrp slueureceldu3
listrpoll 000 00t B : glalelillo)
sue a : suorsr^ord
sapLeB 96 : sle8esse4
0099:e111naâleq3 :A
'sêllo^eu srotl '[lf 14 elqpoLu) s.]orp.teq
-uroq no sprnol slnasselll , (f ,[ ]-tf no V gr\ '19 HH no
adÂ1 ep) sêrrellols srnosselll g : l.rodrue,p glgoede3
-u
aSedrnbg,p sarqLUêLU 1a sololrd 'slanUJo E16 : e8edrnbl
er 3uo1 : sJnasuas sep agyoi
rno : Jnaleurplor^eN
'c
(Z t ossell) orepuo)os '(6 esselr) atreuLud : enl.rp;edÂg no
pto
seUlsnpul uetl)lUqn : JnollnllsuoJ
sqll
lesso) êssell/ale3Q-rl : alQpohl/alnlrqgn ep edi{1
'slLodsuetl s1r1ad sa
lo sallo^eu srnarsnld anb tsure srnosseLll êp outeznop
oun rrualuol lnad yossoy assell ap a1e39t1 e1 '.re8ueq
u0s 0p êlrnp?J lu0LLto^rlelar allrel el op lldQp u1 enbor
es ep 8uo1 e1 s1t1ad snld stesel suouel ep egq:ordde"r E
0sualQp aun elrodutol lt'êLUQllxo,l € gsseJrnl lo OLUJV
'a,trlergruSrs nol êp aluessrnd aun,p sÇlop senbruor
suouBl 0p l0 sJ0seloqrnl op souêlleq sos e etgr8 e1n"lq ap
orroJ ap oSpLUr oun raÂo,tua; op lo 'lêleuouJ sol luarel
-rnod rnb seletrd 1e xne^il sol êlluol sluoLUOSSllso^uI
srnal re8glord ep s:rpr[e1 xne leLuted neossteA o]'sllnH
f
sol rnod uer))uqn red gnbuqei lo n5uol luouJalenOdS
' 6 [;b.:'
vlLfll -ni Eg lÏarilra §:rt
sarlJBd so^ suep llnH
êledsl,l E or^..lauuop luaulrel^ zallnod sno^ 'salqelnpoL!
saJJu0luar sor ? olerJ snol luolqujassal os soLUQls^s sêl
n^qld ult u0rlenlrs ]a sslQuBld sal 'fd sol luêllre.nb l-lo : saQluoJJuol luoAnoJl
ap lualu3urnolâJ ap sel u0 ûlelulê uorllegr aun [n -aJ as solerleds sau8edLUer ap dnolneaq lanbne Dnos np
nB Jrurno] no lnQJ ne aujql^r np lauuopol rnod luaLU rrL{lueJjje,s op luallau]jod salll 'uol8il el ap sJQrlnlued
-ouJ lnol q JluaAJalur luêAnod inb suotlenlts ap la aluerqure,l srnanol xne JrluêssOr luesreJ ua 'salue^r^ snld
sa^najdQ,p il8e,s ll 'Jal)Oldde Ïej^ap apuoui ol lnol la so?ue^ snld a.rpuêr sal ap 'sarrols[] sas raJJo]q,p lnq al
anb saQilrel9p souQls ap tnole.l Jed I^lA np lre^srl ol suep sasnorno^es suorlenlis op la souQls ap allaled aun
ra^elg,p lnq rnod luo salqelnpoLU sarluoluaJ sal flAl nP rauuop rnod el luos salqelnpour sorluolual sal
'fd xne sQllosse slda)uol 'ajlne oun q raldepe sal .rnod slrelgp sutelral rêurpou]
sarlne la suorle^rloul 'sênbllolslLl sap luo^nos luelld 3p gnbrtdluor sed sroJalnol lsa,u II 'arxBIeA el op uota
-sur,s ua sarrolslLl satdoJd sJnal lua^1o5uol sêJlne.p -?J Allal suep saôeuuosjod sol luauQU-r salnlua^e srnêl
'êsseJQlur sal rnb JuaLuauuorr^Ua,l Jnod sag8rpQr elgp puenb suas Jnal lnol luop luauuard sel1a : ]]nH olEd
sornlua^B,p lua^.las as surelloJ nof ap srorx sJnarsnJd -sf.l ? soQllosse luos sarluoluoJ sof ou88dujel ollanb a
rns arpualq,s a?sual oxaldulor an8ulur aun luButuer8 alJoduI,u ? rêJaqlul lnad lr,nb sugp ap iê soiluoluor op
-ojd uo lnqgll ol stndop au8BdLUel rnal luaJlsêqlro fl^ olquosuo un fl^ ne rruJnoj op ]o[qo rnod e ar]rdeLll aJ
sêrlne.C 'arEId uo luoLua^rssalâo]d laur as ouÊedluel '[o]seJQU ralOA?r as Jed
oun 'oldulol uos Q^norl E opuoLu al lnol ls 'lonb
sqJdv'sa.lnlua^e sal rauleqlua,p
^ luê^nos lruU snprlrpur slêl ap êfrruas np etllaur as enb
luslualuol as ll^ luelne rnod Jorlqno suES) rauerluo) sal ap JalrAQ luolrop
sop uor8 sau8eduel sal e It lo saJnlua^E sal e Il
a
^ ^
C
BI 13 leu9leul 0l
n,n_§--r1i4:*q
.i;;'-' .';;,,;,t
t
Æ
[ffi§
&
&amr _:': "'r''t iiJ:t!:''!:r:::':i:'ri:iir
I Wre
,fe
#. @ Ë,§
ffi,u r,"
W
 Le tVlJ peut donc utr iser ces renconlres de diverses
façons:
ô S'en servir d'épisode planifié pour une aven-
ture: Le \t1J peut prendre une renconlre modulab e
poLrr en faire un passage clef de son arrenlure Il peut
ainsi inlroduire un élémenl imporlant de I'inlngne
ou s'en servir de transrtron entre deur stlualions.
S'adapter aux choix des joueurs : [e \'lJ peut
se relourner vers une refconlre modulable sr des
joueurs choisissenl une oplion qu'ln'arrail pas pré-
-81 vue Sl les personnages décidenl de se rendre sur
Na Hutla, par exemple, au reu de T05,63;3 cornme
Le \4J l'al,ail anlicrpé, ce dernier peul entamer la rer.
conlre Une invitation qu'on ne dêcline pas
bren coller aux spécrlicrlés de La région
Faire intervenir les Obligations : quand le
fléchil à une procharne séance de jeu, i1 cherche bren
souvenl un [noyen de farre jouer es Oblrgal ons des
F P.l. Cerlarnes renconlres moduLables représentenl
dol.. e ad 'o^ o . eo r.
Faire office d'intermède improvisé : s: un joneur
. ou deux manquenl ors d'une séance, on a bien sou
I venl du mal à farre progresser l'rnlrigue gêneraLe
sans eux. Dans une telLe srlualion, une renconlre
Ces renconlres présenlent une slructure plutôt cLas
srque Une fois lami larrsé avec 'une. rL est très slrnple
d'enchalner avec les aulres. Leur llut resl€ avanl toul
de facililer le travarl du I\4J en lui fournissanl une
liste d'avenlures u clefs en maLn, à choisir au mo-
nnent opporlun.
Chaque renconlre rnodulable débute par une brève
descriplion de son thème et de son contenu. Cel aper
Çu esl censé permeltre au MJ de rapldement la cerner
arranl de se pencher plus séneusemenl dessLrs Si l'ldée
ne lui convient pas, rl peut raprdemenl passer à la sLri
vante alrn de lrouver La rencontre la plus appropriée
au contexle acluel ll dorl aUssi elre en mesure, grâce à
poLrr celte inlrodLiction, de sarrolr commenl la renconlre com-
mence el quelles circonslances vont permettre d y larre
rnlervenrr les joueurs.
\,1J ré-
La deuxième parlie détar le la renconlre à proprement
parler C'esl 1à que vous lrouverez es srtes, es événe
menls et les prollls des PNJ, présenlés dans L'ordre d'ap
pantion le plus probable Toul a étê farl pour simplilrer et
épurer ces renconlres modulables au maximum. Toul ce
qui a trail à L'rntrrgue el à l'aclion y est délaillé, mais vous
trouverez par exemple peu de précrsrons sur le r,écu el
les êlals d'âme des PNJ.

modulabLe peut parfailemenl farre L'alfaire pour oc-
cuper a sorree.
S'en servir pour bâtir une aventure entière : la
pLupart des renconlres modu ables peuvenl etre
étoflées oL-r lravaillées poLlr consirtuer des hislorres
bien plus subslantreLles, surloul si es joueurs s'at-
tachent à certains de leurs aspecls el manifeslenl
I'env e cl'en sarrorr plus. A La lrn de la renconlre. rls
peuvenl ainsr manifesler eur désir de se pencher
sur un problème donné, une personne or-r une rd.ae
sLrggérêe par cet episode, ce qur donne aur l\'lJ lous
es élérnenls nécessaires à l'é altoratron d'une hts
lolrc blen plus dense
S'en servir pour bâtir une campagne : tl sufltl
d'enchalner plusreurs rencontres nrodulables en
les relianl par une trame narratjve pour bâtrr loute
une campagne Un I\4.1 un lant sort peu inventif peut
agencer une ossalLrre con\iaincanle, 'éloffer el atnsL
créer Lrne hlslorre riche el caplivanl"^
La renconlre se lermrne par la descriplion de sa re
solulion el des évenlueLles récompenses. Sr Le gror,rpe a
L'occasion d'acquérir quelque chose d'rnléressant (qu'il
s'ag sse de crédits, de reLalions. de rnaléne ou d'une
piste importantel, c'est dans cetle section qu'i1 en sera
queslion La conclusron de 'affaire et La situalion dans
laquelle les PJ se relrouvenl à la lrn de la renconlre sont
détaillées ici
COMMENT UTILISER EES
RENCONTRE§
Chacune de ces rencontres esl censée aider Le \t1J à gui-
der les personnages jouer-rrs dans leur exploralion de
1'Espace Hutt. En les survolanl, voLrs saurez lesqueLles
peuvenl rrous servir el dans quelles circonslances elles
peuvent enlrer en jeu. Sr vous avez quelques idées de
scénario en tele, rl est d'aulant plus facile d'y inleg er
une ou plusreurs de ces rencontres.

TÀffi1Ë 4-r. : L|STË ü[§ A§N[t]NTffig§ MI]UI,!LAfiLE§

lêntsnüfË,ffi.ûIfâ96i',''',' :, : :,

. Bienvenue à fJord {Espacel

En traversant l'Espace HuLi, les PJ se retrouvent inrpltqués dans ur tell meurtrrer du « c:rat et
de souris,l a\ec un groLipe d! pllat:s détermlnê-s a le: dépouili0r
, la
: Les PJ sc ictr-ou\,e1t erl!arcue,! dans lne coUl'sc aLX char:lo gnors h, üc.aogènes dans es
Ernp ettes Lo\,,darennes [Tclcar:a]

. Sur Nar Shaddaa, une tfaIsacljo|l entTe un grouoe de contrebandiers el un trafiquent

Une affaire qui tcurne mal
: d'armes iransforme un mârclié en chanp de tir. eI les PJ se rctrou\,,ent prls dans e
iNar Shaddaal
Ê- rO t.
Lcs PJ sont convrês à un Cranee Noopa, ou Crand Fest n ,, sur Nal HL.rtte. Lors de ces
"
lNa HLittal dlners organisés par les Hutts, les nvités rlva isent pour la gLoire et la fortune.
Les récrts de r-nondes-trônes drspaius ne soni pas rares, n:als lorsqLt'un vieux loup de
Le .oute flo,[e :Bootâra Hutta] l'esDace cemaidc aLlx PJ de )'accomoagner jusqu'à r-in palars nutt oublré une coLlrse a.l
slns q].,re s ereaqa
irasor

RENCONTRES MODULABLES
LE]s BAROTS DE XAL HUTTA
 \.
t.t --
_"ràp
fiæ-.:
-f'æ
æ*
:i
=
T
luoLLralr eJJ ed êrlsn II
r ol I o, n b lueln e,p'ojluolual alQrLLtaJd
èlJê lê rxd JJn rdll .quot nOd leur eu.rnol lnb AJ|eJJP
aun llnH orpds:,1 suep luêpuo".l ês tnb sJnaSe,{o,l sop
uoltJdl.pèrd d0 uorleLrl§Jp el è.rê*dp epopeqs rpN
l.redQp êp èOpl.l .têddolo^Qp e luesl^ êrrel
-uauôldd ns u orler ed gld oLllr luoU-t gl..toJ ênbt Id LU r Ltolldo
ollol rs oUQLU 'orolsrLl rne I op ]"redgp op lutod aLLlLuol
ffi ".qr.J sed eulllgp au uo,nb uollel alqPlnpoLU êlluo)uor êun êrpuo rd JLUèL.U luèAnod xnoD
-l^u! aun,p edooN a0upr! pl q sor^Uol -epne snld sêl ll^ sol 'ole-rQUQ8 ou-lerl el ta satluoluo.l
o-rlo oLTQLU luo^nod sll 'InH oledsf ,l suep sal ar:lLlo uêrl ol -ralroJUo-l ,lnod sanSt,llul sêllo^nou êp -tês
,.rJ:lLJSdrCi Cc Sl! OUerlt êpè )è,d sd L,o, Lel,rcla. -st:l no êJrolsrq uos op oldLUol n€ sêlioLLl? sol o_.lpuoldol
rnol rs.sêuuelJep^ol soualdul:l sop luesreJ ua ?qtrpru ap roluôluo) os lnod ft\ èl sutdt rf.t lo sNtrNoJ xnv,p
Jp ê O.U Lr SUtLr \èril ,equtJ ..tJArOr-dt .rS 1-.ralIoCl Slr s-{nol uo ouSr?dLUr?l oun Q sarluoluo-l sol -{oldBpE,p e.rQtu
'euep^ol rns atJol olnoJ e-l êp xne]lso)ue slaJl eur el ,rns ollrêsuol srloA lrns tnb uorllos el'orlldelll irp
JS çd rdLrLXd \ r,OO C.liH C.jÊIOOB p SJplr ètpudt sai]uoluo] sop 0unleql luoulêAQuq eluosa]d (96 1 aSed)
as 0p suosrEj salluoq op ,lro^e luêAnod fd sêl 'uot8o_] sslqelnpou saJluo)uat sap olst'l : l-t alqBl el
êll3r suep sroJ aul-l :l:lnH êredsl,l ap sêlts sêJlnE.p
q llerl luo sê.}uplsêr s0lqelnpoLU s0-lluoluat sol
LLr I I
olt u or u o..r e I r êr e Q p r n ocJ ?t u.t xor d'Ji: f, ff ::ii:::
llnH oleds:,1 lueuuollts aSedtnbQ
lnot plel no suep onSr^eu fd sop neosste^ al anb lgjns lr'ê9pr,p arpro
lQl luopuolle rnb sluQd sal auQls uo êtllolr] ap oSelue^e,l l0l suec srnol ua uotlenlts €J ? uêlq luaula"lQiln)tl,.1ed
lualuosgrd sor]uoluêJ xrrêp sJl pJoq e onue^uolg alQ-id os ou-rQL1l inol rs no 'uorlsanb lsê lr luop êlQLleld el
la^P -1nallês al suep luo.rlQuQd slr tlo luelsur,l q sêlejrd no allQls^s ol suep luopuJi ês fd sêl ênbsrol .lluêArolur
sêp lêAe sosud xnp fd sol arllêLu q Jlstsuor olrl qtssod luo^nêd sorlne,C llnH êredsl,l suep êu8edLLrEl es toluel
artnE oun arxelES el ap uorSgl ollol op qttsora8uep el rnod so]luolual sal ap oun,l op rêluotd lnod fn ol
I
 BIHIUV§ruU§A BüRT}
'Espace Hutl s'avère souvent périlleux.
r, rl
[§oyager dans
VEntre les bizarrerres spalrales, les prrales el les pillards,
les périples elfectués dans cetle rêgion ne ressemblent
en rien à cerr du reste de la gaLaxre. Ouiconque y pé
ffi nèlre sait que les l'aux pas coûlenl cher dans ce repa re
de malandrins, ou ne tarde pas à l'apprendre
Cette renconlre peul intervenir à tout momenl lorsque
ffi
les personnages joueurs voyagent dans l'Espace Hutt à
bord de leur vaisseau. ELie peut notarnmenl remp ir les
rôles suivanis :
r Premier contact : celte aventure peul senrir à don
ner le ton et le rythme des intrigues dans l'Espace
Hutl quand les PJ s'y rendenl pour 1a premrère lois.
La route Morte : la renconlre peul également in-
ffi lervenrr durant La route Morte. autre avenlure
modulable Le MJ peut intercaLer cette rencontre
quand les PJ parcourenl les hypervoies donnant sur
la Bootana Hulta.
,'#
Trouble-fête : quand les PJcommencenl à se faire
# une petite répulalion dans l'Espace Hutt, ils finissenl
forcément par déranger. Un Hutt contrarié peut en-
gager des pirates pour leur régler leur compte, à
morns que les pillards figurent parmi les groupes
p" avec lesquels les PJ ont eu un différend.
Cette rencontre voit un vaisseau en sale état ap
procher celui des PJ. Le Fereallis contacte donc les PJ
pour demander de l'aide Lêquipage affirme avoir été
attaqué par des pirates qui ont pratiquement détruit
leur vaisseau. C'esl une ruse, puisque ce cargo camou-
flê est justemenl pilotê par des pirales en chasse sur
les voies spatiales. Si les PJ leur en donnent L'occa
sion, les pllLards prennent leur vaisseau à l'abordage
et s'en emparent. S'ils veulent sauver leur navire, les PJ
vont devoir en expulser les assaillants et sauter dans
l'hyperespace.
QUEL TAS DE FERRAILLE !
Alors que le vaisseau des PJ êvolue dans l'Espace Hutt, il
reçoit une transmission d'un navire proche. Lrsez ou pa
raphrasez ce qui suit :
RENCONTRES MODULABLES
LEs BAROÈS DE XAL I{T.ITTA
r
Les PJ n'onl aucun mal à remonter jusqu'à l'origine
du signal, où ils lrouvent un vaisseau sérieusement en-
dommagé. Le Fereallis ressemble à un cargo Suwanlek
TL 1200 modifié dont I'air s'échappe manifestemenI
par de nombreuses brèches. Le vaisseau est à la dê
rive et montre quelques rares signes de vie. Si les PJ se
-efen . ils orL dro L â Jn test de Sang-froid Difficile
O I t) pour démasquet a supetcherie ou à un test
de Mécanique Difficile (lli) pour s'apercevoir que
les fuites bêantes sont factices et ne résultent pas de
degâts réels.
Un test de Pilotage (espace) Moyen Of) p.rr.t
aux personnages de se placer parallèlement au cargo
pour y relier un câble de traclion. Une fois l'amarrage
accompli, ils peuvent instal er un sabot pour se rendre
d ut uaisseau a l au e.
À l'ouverture ciu sas, le silence paraît total dans le car
go. Personne ne vienl accueillir les PJ, ies lumières vacil
lantes renforcent l'impression d'avaries. Les personnages
peuvent tenter un test de Perception Difficile Ot)t)l
pour détecter l'un des plrates cachê derrière des caisses
or a a'g e d .r cor,lo r.
Au -orrent or le. PJ co-men( e â nsoecter le va s
seau, ils peuvent délerminer l'lnitiative [Vigilance pour
eux, Calme pour le capitaine Cideon el ses hommes
de main). Ouand inlervient un crêneau d'iniliative des
pNJ. I lr d er e eJ\ tente Oe ,arcer UtÊ gleraoe a gal
fcf page 102J remplie de toxine dendriton (cl. page 109).
Les PJ vont dêsormais pouvoir tenler de repousser
l'assaillant. Le capitaine Cideon et deux groupes de
lrois pirates [cf proflls de la page 1 25) cherchenl à
faire des prisonniers el onl activé le réglage êlourdis-
sant de leurs armes. Les tirs débrldés de blasler sont
très peu indiquês dans cette situation, aussi bien pour
les joueurs que pour les pirates, car ils peuvent endom-
mager des éléments critiques du vaisseau et condam
ner toule retraite Le risque de dépressurisation existe
également bel et bien, ce qui aurait pour effet de tuer
tous les passagers. Les tests de Pugîlat et de Corps à
corps sont donc de mise. En cas de (E) (E) obtenus avec
un tir de blaster, le Fereallis subit 1 point de degâts
de coque. Un résultat de (s) (9) (E) (É) ou V se traduit
par une brèche majeure dans la coque [cf. page 245 du
livre de oase oe Aux Conrrns oe l'Evernr1.
Tous les PJ qui dépassent leur seuil de stress perdenl
connaissance et se retrouvent prisonniers des pirates.
Ouand ils reprennent leurs esprits, ils sont assis et li-
gotês dans une cellule de la soule de leurs ravisseurs.
Un groupe hétêroclite de pirates est égalernent présent
et tient les personnages en joue. Pour mieux servir son
intrigue genérale, le maltre du jeu est invité à remplacer
autant de pillards qu'il le souhaite par ses propres PNJ.
 vJIItH'Itt EO SI{olùVS çft
æ 5l'lsvlncon slHtNolN:lu
sa8esn-r11 nuu ol nlu r
rêl'al olel rdset an bseLl
'[lueuressre:ue 6+) aqsselaleLU êrnLU]e '(g e-lreurnBue5
'a luerojrod 't oper?d : l)eluol ne aglrod : 6 anbrlrrr
: g s1939p:sdrol Q sd-ro3) egdgorqr^'[]uesslp]nolo a8elS
-9-t : euuaÂou; o?ljod : g anbrlur : I s1g39p : lsa.rQ89l
solurel êluelsrc) prnol rolselq lololsrd : luewadgnb3
êunlne : sglrrede3
[eBe1o1r6 op s]sot sol snol ? !! eLrlaLl Z auuol^oql olol
rd '[uoaprf eurelrde: êl ]u€sr^ euadr-uor1 no uotJnrêoJ
'êLUreqJ op slsêl s0p 0llnlUJip 0p sÇp ê.rotl?Lue)
f a 0lel
-tdsra6 '[uoapr3 eurelrder êl or]uol leqLuol êp slsol sol
snol 0p ?llnlUllp êp s?p a 0.rorlQLUe) Z Qltsro^pv: sluelel
:';' : [T] â r:r'j§ 9i
e ru QIs  s' e [e r e d s e ) .r r,", fo roJ5 rt §
sourEl oluelsrC 'f
uorlorlsr6 '9 sdLo: q sdro3 f (eL8Oa)
oluessreuuoJ 'e ewp) 'Z êlrolltllv : sarualgdruoS
oltole-trdsar enbseL-u
'[]u0LUassreluo (+) oQSSelol?Ll_r
ornLUre '[g ]ueuassrp-moll : E onbtl aUQLUE ned a:n11e uos al;oJUOr tnb egrq:e
-r-n : 9 stqAQp : 1e1tBn6) e3;eq:9p q slueF aQdQorqr,r aun eltod la anbrlsuQlterer enberuougp elu
no [ 1 arreurn3ues 'e ]uerolrad : lleluol -nos un aqllllE lr'saqluelq sautor sa8rel xne uoiuole^oC
ne aqlrod : 6 enbrlr-D : g slg8Qp : sdiol 'saçUUe sep srndap suol^ua sap salrellols xneassrpA sêl
q sd"ro3l oLUe orqtA '(t.r?sstp_rnolÇ luolQlJeL,1 rnbselndnlts sues slalel-ednor 1e salerrd ap
ê8el8Qi I euuaÂour ootrod : 9 enbrlu: : 1 slg8gp : lsarQa ednor8 'êaueMnS sop êrqLLtêu lso uooprD aureltde: e1
g1 sarurel aluetstC) prnol rêlselq lelolstd : luauedlnbl
§sagspw# r*Ï §*æsffi sæ s ru âw&§dws
ounlne : sglrlPde)
unlne : slualel
1 a:ue1tEt,1
' I 1e1rBn; 'g (seLq391
seLUre) oluelsrC 'f oLUlpl 't êtrolltl.tv : seruelgdruol o suotssassad so,t
anb sn@ uarq zatp.tad sno,t anb taJnssD snoa xnad al
'auDnop ap ]lotp a) D atrDJJSnos as lolnoÀ ap a?p!
astq^nDu Dl D snaÀ ailua,p un,l ts 'alno-| Dl luawal
-1rnbuoL1 aLpuaLdaL zatLnod snoa ronl: sq.tdo 'Lna1o,t
Dl ap JtoAD lnacl rnb æ lnol LaLqdntqL tnod alqwot
ud puol ap nDasstDA atloA Jalltna1 luaualclLurs suol
-lD snoN saluallD soA ap JnalnDll Dl Q lsa l.toJuo)
: lup^rns lgoLd a1 luoAelred snoq 'glnrldutrs a1 anb tns stns àf uoaptC aurolrdat : aluasQLd ow
op onos le6 alenby no^o^ un,p lo suteunq s.lotpueq aî stllDataT al 'a-il^Du uout ap uoq Q anuaAuatg »
-êrluol xnop op ')ial,lMI puolas un,p 'sÂenbee14 selnrq
y;ff
D t
sroJl op ?sodLltol lsê uoêprD aurelrder np a8edrnbg,-1 DA D t t xa at tua a t sa r, , i !'îij;], j !'!,
;ir' ; I
^
[:wrqsw§ s§??bs§$§d ffiæ
3-[Wæ§d §§§d§mb§§3 Irns rnb er zese"rqdered no zasr-1
 Si les PJ passenl à l'allaque quand l'équrpage esI
aux aguels, rLs subisseni ! aLrx tesls d'inttiattrre. S is
atlendenl aLl conlraire que eurs geôliers entament une
drscussion (au boul de cinq mtnulesl, e manque de r,rg
lance des pirates leur octroie I Si les personnages ne
parrriennenl pas à se débarrasser de i"^urs tens ou pré
fèrent atlcndt'e, i apparlient aux aulres PJ de les sortir
de ce nrauvats pas Le N/J peut e galement faire tnlerr enit
un pirate corxpalissant, déstreux de se sêparer cle celle
bande. pour atder ies PJ à se libérer s'ils I'emmènent
Une fois les deux gardes maîlrisés, les PJ peuvenL re-
lourner dans eur rraisseaLr or.t s occLlper des aulres p
rales. Chacun doil alors [enler Lln test de Discrétion
Moyen O l) pow se faufiler sans alerter les pirates
ou leur tendre une embuscade. Les PJ serarenl bren l s
pirés de récupérer des pièces de t,aisseau poLtr poser
ËTfA§§ühI des prèges improrrises ou autres disposil fs avec lesquels
Cideon conlte la sL-tnetllance des PJ à deux cle ses Wee lLlller contre les pirates, en aftendanl 11e recupérer Jeur
guayt5 sl, parl loLrr ler le vaisseau arrec le resle de son éqLripemenl [situé dans ]a cabine de pilotage). Une teLle
équrpe. Les pcrsonnages bénéttc ent donc d'une oLt,er opéralion demande de réusstr un test de Magouilles
lurc: s'iLs rreulenl lenter de se tbérer Difficile (lll)
Chaque PJ peul faire un test de Magouilles Moyen
Ofl o, de Mécanique Difficile OO|) pour s'éctTap
ON IftIVERSE I.Es RÔLEs
per de 1a cellul.. en court-ctrcuitant e champ energêtrque
oLr en dôrronllnt a gr I e de l'inlérieur. En dépensanl {} Le capiLarne Cideon esl spécialtsé dans les embuscades
oLr Q, es PJ peLtrenl têussir la manceLtvre sans êveiLler et mallrise l'arl de ironnper l'adversaire, donl il r_rse al
l'allenlion des pirates (È) ou V en rerranche, alerle aus 1ègrement dans ses operalions spaitales. Loln d'êlre
sitôt les gardiens, qui les prennenl en chasse tout en vo, maurrars combaltanl. i1 possède un instincl de survie par
crféranl des iurons. I r ie en êr I OêÿÊ OOOç ê preiè,e ai,.e ec a tr.ôr Se

É
't.
It
s , .. , 1:|il; ).
ru §,-; -T §ii**a,ll,i,ii.:ii
{ffii'-+"1
! æ;
- .:

,,.&'
. a§..

''*§â

\/

[--
 vJJnH IUil 30 sltoiUv8 SE t
sf't8\fl noohl s!uLNo)N3u
solrpur sênb ênll
-ro^norl -r o^nod lua^rop soSEUUOS.rod S3 'SOlllluêÂE
'I 'sa tqoui sos
sê:luopgrQ-rd srnol ..rns lLreqtuad ês uf
lo olqesuodsor ol rourluêp q -rêqlrêLll luo^nod sll
'êrlnE,p un,rlblonb -ted ê?ltpur?LUurol l elÇ soleJtd
sêp ênbElle. onb luouuordde fd sêl rs : elQJ-aleno{ r
'suorleredQr xn?
rêpÇrord r oAnod lLro SIT 'uorlels ? rns stoJ êun
'Oliêd el -rns o,lpuar os
? ld s3 rnod êlstsuol odslo
ou eqlord el [0, L aAEd ]rJ ot-roL\ êtnor el ? Llotl
-lnpo]lur,p r^rês r? OJllrolLrêJ el rs : auol olnoJ e-I .
lêlrnl el êrpuo,rd e snu
o^Jed luos D xnêl sJ êpLreq ?s :lo uoopr! lr.ts ,rêLLl
roJUr,s êp lê suorl?-rQdo srnol op êlrns el rou ue d êp
lou-rod Jnêl eEppELls reN rns o elso êul-l rêuuoTSt^
-orddeQ"r as lê suorlEredOr sêp ê-r el -f o^op luoLUê-tl,ts
luo^ fd sa 'llnH oledsl,l suep fd sop ê?^LIe -tno q
ê0lnor?p ls0,s Oiluoluê_r êllal rs : l)eluo) la!uêld o
'luou]otue^e,p lelQ,i uolês'o uSedL.Llel
3l op olrns el rnod suorlnlos s.rnotsnld Jê3pst^uê lnêd nêl
np orlleLU ol llnH êr?dsl.l suep xneossre SO-tlne,p luo-t
osrorl s r pusnb sluêpnrd snld uêrq ra-lluoLU os luoLUOlq
eqord lLio^ fd sêl 'sêlErrd sol )oÂE soglQLU?p srna sQ-rdV
o^rteluol ou eLllo-rd el ap QllnrgJrp
§IIÀNV,UnS sildv.t"il el ue-n un,p or npor rnod tsèl èJ e \nrdlqo O o {.} d}
-rosuêdgp tuo^nad s f (llf) atpUltO enbrup)g1 ep
llLrord ; lsol Lrn rssnOr êp opupruop mb ol'ê^tJprêdi\q,1 e-redq-r
QrSOlur efÇpl Lêp LUnLULULLU un q.nbsnl I op o^Lrprêd xno o-rluo,p un 1 enb luepuad sllreA nslnod sJnol o-rluol
Iq,1 ep assel: el npo-r : o^rJplad^q tnod lnoleJgu?g s?l l lsoq sal erpua-tdo-r luop .]ua^top fd sêl neêsste^ êl
'nEêss e^ np suouEl sêl r0^e s?nlt0lle êu0Lltl.rv p slsêl luo eualêp sLr puEnb êrL^ros sroq ê.\L-ip-rêdi\q,l stLu luo
s0p sêlerd sal ênll sJnonol xn? -rol?^Q.r lnac fL\ af tO lI
opnlrlde,p ?p un oror oL|e : ?lorlgtue ags!^ êp aurQls^s uo11e8o.r1sy,p
ue^ol lsell -tnêleurpro al suEp
sN0ritruoElE$üv soÇLULrp-r8o-td ^euanlls-rol
uuuo luos sê?uuop..tool sal
97 a?ed'xnE tEds
{9 enbrlrrr
lg slESOp:proqt_tl lê a_tQL..t"re'lue^e no proqCq lo o_rQU xneOssie^ sêp slequol s0p sê l0l lo rurdhlf ,r 30 SNHNoJ
-re'tue^E:.rll op l-t8:aqlord oÇlrod) otQr onbeql op sLl
xnv op ês?q op arÀr np 7y7 a?ed 'scl nsrnod sosrnol
red?-r 'êJlêrnol .rns sQ]uoLU s-lêsel suouel xnop . soruJV sap sclâQl sol Lrolês êrlrqre.s ouQls el
latedso.led{q I
suEp luelnes uê'ror.rd e] sele-trd sol -rêuios q luauuot^led
a :salqluodslP sluaualeldru:J
gislrpQ]l 40, aa L I alerPl/l0oJ l-d sol ênb a: q,nbsnl oEuolord ês aQ qeipuo oltns-inod el
sloLU t : suolsl^ojd
[0]nos pl suep 0O 1 q,nbsnll B : sla8essed Ë !§"1[n§Hn&d
009 : alnn aereqf,
a8edrnbg p sêjquoLU ruaA ? nol op sêluEOS sol suep E.rLlerEdde nll l prle)l
Srorl'-rnoruQFL.il L'êlolrdot l'êlolLd t : a8ed!nbf un p salerd sol lênosse C l,\ êl rnod olstsLiol uo lr os
OJrnol : sJnosuas sep e?uod arlne êun slqord srnel -tns.rauBeB Q onbupLU un oLULUOI
tno : Jnaleutplol^eN luoro^ I rnb's,rarurep sal -tEd enirad er-u sar] lo,lJê Lrê
(6 ; assel:) o.repuolês 'Il osse ]J alELUr.td : o^rJplad^H 1sa aËe.,rnes ar,rale,r d el s?lt^rllE s.tnal .l-ts sllnH sal
suals r5 'iJluP,\\ns Jnol)nllsuo] lueuSresuar ou f-d sol enb -ra1 .,r9 .rnod êssel11 üê odno_r8
00a l llro8_rEr : alQpoN/alncrqgn ep adÂ1 al srole luauua-td sll sosuêJ?p la sêLU..tp sol lQltssne
luêÂrl)p uo salE-ird sê 'neosste^ -lnol sul?p lnolol cC
,ffi 'snssop rêqL!ol nltnod -relrlqe i, op
lEz I _
!===- xnoruQBL.r uêIoLLr un lo^noll luoLUaJeSÊ luê^r'tod sJtluo^uI
:Fl= fd sop sLEu-r ':;tllDat4 êl s.rê^ -torllue_tla_t ês op sodnorl sas
',W)ltH'I#I ? êuuopro uêLuoreAOC êl èBelrrp\e.L u-r,1 1J Jq puêrd
adno-]3 o rS alsa-r uos,rapLreurop sues al e-tla-t uê otlleq
..: -ii..i i-,':
i''i'f ,+1. iii l.T :.:i :';l li t: lê sLrEld sos "ro^ê-t lLtoLUêp de,r ]nad outeltdEl a1 'n,r9,rd
iji.ii:t.'"1"i;.iil:!1;:+'ii:i:ïï:jj ',11.ri.:t'ii.r-:i!.]'ri:ï-:i;l"l onb oluelsrsQr ap snld lLrêrjlo t-dse 5 areld es q oillEq
 ffi M Wtuffiryryffi§ YæYmAm§&m§ ffi ffi§
ffin r is le dans le
ict cornmerÇant de Toydor, les pJ
Dtstr
&.O -1^ t-r ie ro.oo. â.1 po, .ê-
p,tgag{.s oo' LT
colter un ingrêdient rare requis pour préparer yn « plal
spêcial pour e roi » Afin de mettre la main sur cet aro
mate alypique. i s doivenl sillonner des marais palrouillês
par l'Ernpjre et groLtiLlant de créatures rneurlrières IVlais
Le maltre coq n'a pas été honnête avec ses emplo\es:
en réalité, u l'ingrédtenl rare » entre dans a préparatron
d'une éprce appelée neutropixre et sa cuerllette promet
que qLres compLtcalions
Celle rencontre doit se dérouler sur lb,vdaria, maLs
elle peLrl impiiquer les personnages joueurs de plu
sreurs mantères:
Au lil de a conversation. Domdees livre les inforrna-
Un service royal : sl les P.l cherchenl à entrer Irons suivantes:
en conlacI avec le roi to} darian ou ses sLlivanls, c
F Domdces ofllcic justemenl aLt paiais. Un petil senrice
en vaul ér,entuellement un aulre. el Le cuisinrer peul
leur oblenir une aL-tdtence auprès d Ltn suballerne
ll olfre 1 000 crédits par PJ s'i1s lut rapporl,ent les
champignons de type gabakt notr dont il a besoin.
Les gabaki noirs por-tssenl sur a lace nord des arbres

lr Gagner ses galons : st les PJ lravaillenl pour le

compte d'un kajidlc ou d'r_tne ar_rlre organtsalion cri
* mrnelle hutl, celle u contmission » peUt constiluer
Leur première rnission. En cas de succès, ils peurrenl
se voir conlrer de u véritables » lâches à l'aventr
F LE DISTRICT
COMMERçANT
lmpressionnant marché destrné aux tounstes el spatro-
naules de passage Sur To516136i3, le District ConnmerÇant
de Tovdor empeste les eaux usées et les ordures laissées
par les mtlliers de Toydarians qut y dêambulent.
Pendanl la vjsile des lieur, les PJ sont engagés pour
récolter des champignons sauvages dans un rnarecage
voisLn. lls dêcouvrenl qu'il s'agit en réalilé d'un compo
sant de base dans la préparalion d'une substance psv
cholrope appelêe ner-ttropixe falfaire s'annonce d'au
lanl plus corsée qu'i1s auronl alfaire à des palroutLles
impériales et à de dangereuses créatures.
Les PJ sillonnenl, Les êlals et sonl accostés par une
bonne douzaine de marchands drfférents, la plupart spé-
cialisés dans dtverses éptces provoquant la dépendance
Lun d'eux leur propose un euphorisant puissant appelé
neulropixie, dont tl vante es effets : lorce et agilité ac
crues Si un membre du groupe présenle l'Obligatton Ad
dictron el que le jet de début cie séance n'a pas déclen-
ché d'Obligatron, le MJ peut dêcider d'activer L'Addictior
du personnage concerné, pour illustrer sa tenlalion face
à ce paradis narcolique [sans compler l'inqutétude de
ses compagnons à son suletJ
Ouand personnages s'ecartenl de celte loUrmtlière,
Les
un Toydarian grassor-riLlet à Ia barbe noire el broussailleuse
vrenl à leur renconlre. ll leUr adresse la parole d'une voi.r,
aslhmalique Lisez ou paraphrasez ce qui suil :
et des pierres, à proximlté d'une grolte des marais
du sud, à une demi-journée de voyage de lbydor
Les gabaki notrs doivent êlre congelés dans les
secondes qui sr-ririenl ieur cuetlleüe sous petne de
perdre toutes leurs propriélês, comme l'indique la
leinte gns lerne qu'i1s adoptent alors
Pour les rarsons évoqLre.t ct dessus, seuls les gaba
kis les pLus sombres et frais méritent d'être cuer lrs.
Les personnages doivent en cueillir au motns deux
krlos pour elre rémunérés Domdees peut ajouler un
kr ogramme â celle exigence par (i) oblenu lors d'un
lest de Négociation.
Les PJ peuvenl tenter un test de Sang-froid ou de
Vigilance Difficile (i I ) pour percer les cachotte-
ries de Domdees. En cas de réussite, ils senlent bien que
celui-cr ne dit pas loute la véritê S'i s lui font alors parl
de eurs doules, le Toydarian change de sujet, multiplie
les ollrandes culinaires et augmente le salaire de 2OO
crédils par PJ. Le groupe peut laire monter les enchères
jusqu'à 2 000 crédits par personnage en remportanl un
test opposé de Nêgociation Un test de Médecine
lntimidant O t I f1 ou un test de Connaissance
(Pègre) Difficile (lOl) perrnet de savoir que te gabaki
noir conslitue également un composant du neutroprxie,
ajoutant alors f, aux négociations.
Domdees leur tndique un poinl de rendez-vous où se
retrouver à la ltn de la miss on Les PJ peuvent ensuite
laire quelques emp eltes en prêparation cle leur lirée
dans les marécages.
#{.} # #ë
§ë H ilüt §"{Éihi,]

u Eh votts ! Vous là'bas !

{tauxl Voilà, exactement
ce qu'il me füLtt. J'ai une petite rnission pour vous, si Compétences : Charme 5, Connarssance [Bordure ex-
Ça vous dif. Je surs le grand chef cuisittier Darnclee s ! lérieurel 2, Connatssancc IPègreJ 5, Négocration 5,
Trompene 3

RENCONTRES MODULABLES
LEs BARONS DE f,AL HUÎTA
 VJJIIH'Itt{ EO SiloiwS rl1
sl'tsvtnooN sluLNof N3È
s0srpu Er_.11r ?u.r s0.rln 3.p fl olnole er ole;rdsa-r anbseui uj'se8erqreu sol op
l0 0..rnlL..rnoLr El 0p'sauile s0p scrnure s0p lLrê-ril slr luesserddo orQllerel et 'let"loddns Lnod (f ) uaÂo61
luop srnadd -r8e sra.,r sap êsselrel e1 ep sa lLed sasra,,t e)uPlsls?u op lsal un ronllo1,lê tlop ld anbeq3
p 1uo1r,{rar sueuep,,{o1 sal seQUdo.ll srnêL ?,tatnole
luo"r"rnod s1r,nb atnlegrl el op lue,re solled êp è r ecl
oun lê^e rrlredar ep tiodsa, suep u ol op luoLruêrA lorq
-rE so-r3 êp s-rnosseql sc6 srnaddr-tBe sre,r ne sosseL.ll
saluanbp"rl ap luasLueS,ro s11n; sa"rrelruBrp se la a e,{or
-inol el êp solqou sal olu?Êq alnenB -tneq suEp -rêrl
lnoBua sal ap lue^€ orielnleluêl enBuel rnal êp apte,
e lueuEre;:]? so no solrsuêq9ld senanb senEuo xnap
slio loÂE sarotd srnal luêllênoJ sll solueqruerl sluop :lrns rnb o: zese-rqdered no zesr '-rorqrnoq ol
ap u-reB êrlso-r un,p lê uo-ueLU a:ederer esstedg eun.p suep elq uad uorsser8otd rnal luoLUelLta fd sêl puenO
s?lop luos âuo1 cp arlêLr un.p snld ep sepodo-tqlte sa3
pard e e8e,,!o,t êl ê-rel lo^ap luop lLro^ fd
ë"x * I g#l Ss§ ÿx"=d!."{ Ê ô:* *H ËæEs, sêl'luauol?IUJO rênlo^Q,,{,p LapaadspuEl no rnêLllr?Lu
adril ep surFua xne erlleurad rnod asuep do.ll lsa s e.leut
(Q un-lnod rnaP a 'sanbgngds seuoz sanb enb êp sroqêp ua alQueld el
1a
E oro^l e êp lsêl un rsurp lLrol ÀO 1a 'uotsse-t8ord e1 alnol -rns sl prêlur luos xneossre^ sêl lo s.lepaadslte se-1
neê,p srnol un no -r0 luas Lln luor^nol?p fd
luelr lel^rnS
sol 'ô êp sel u! (qB o8ed 1: 'seSoue p sl led sap "'39NVi Tn SNV(I
eluLrorJ xneÀ -r srnoisnld no un lLro-rluoluo"t sll 'A êp
no (É) (É) (i) êp sel u3 laSed oltal op srnodd r8e sra,,t SnoN-5N(}N31ÂlOHd
sa1 aruLuo:) al qs adil êp solrlsoq sarnleQrl ap opLlEq
oun.rns luêqLr-rol saFeuuos,lad sa1 anb luonbrpu (+ (+
.iorlqEl ..rêrLrsrnl lêqr op anbol 'olnleds : lueuadrnb3
alrs a1 red grpueÊue 1er9ug3 osn?IELU np lo sollosut
sap 'sans8ues sop LrosLer uê ssor.]s ap lu od I unlELll [all]Ullp uteral ua e:eldQp as lt,nb
-s-rol oreluoJOlddns arrtnarueLU êp rasuadOp êp utosoq
1ue,,rro5er no selue^rns so^rlelual rne lLrêssrqns !
'lêr-iOleL! np luap.led'urLUêLll uoq np lual-rer?,s slt,nb sed e,u seapL.uo6) uoLl?luêlsnS'O lueqeD: s91gcede3
'{alretueLuQlddns
enbrpur (E) no anb srpuel'de: a1 luapleE slr 'sQl
lns êp ser u3 ^sed luereBQ,s eu s ,s -rauruualgp lnod { -leuBeB Lnod @ -rasuedgp lnad 'uoLlertoS?N ap
(lf l) ell)gJlo ol^rns op lsel un rontrêJJO tuo^rop lsol un onllol1ê 1t nbsLoll rnelred nEêB : sluolel
J^; s.rnersnld no un 'sêrnoq xnêp sêl solnol sollo 3
sal orpuralle rnod oqrraru êp sêmoLl xts lnel I
'aluernddns xnol ?l ollerluol lr 'sre-l
eLU al suep ssorls op lrnês uos assedQp la arrolerLdsa-r
anbseu ap sed al;od au fd un rS sornêLl xnap op lnoq
ne lsol 0 rêluêla] lrop lê ssorls êp lri.rês uos a 0p lrnp
Qr lr'rêLlr?,p ser ug a3e,\o^ ol lue"rnp luoLuouuor^ua,l
q qrl 1r1e39u lallo,p sed lqns JU tsêl uos lrssn?r fd
lr
un puenO luor-l.ro-rQLluo êrerlsnos Â,s ap leruLed alQld
-LUOI AJeIUêU]êUUOTTAUA UOSR?UrqLUOl êUn l0'lS0l ne

f,reffiretrætræfffifffi
'ffiiW'm
ftà-@5x-*§ro'ÆfusftùÉÉtr§#
Compétences (en groupe uniquement) : PugrLal, Sur
vle, Vigilance
Talents: aucun
Capacités : Poigne écrasanle (Le ,,ier agrippeur possède
deux lenlacules avec lesquels i1 peut maintenir ferme-
rnent sa cible;lant qLie La viclime reste arnsi imniobrLl
sée, eLle subil 2 pornls de stress el I polnt de blessure au
début de chacun de ses lours de jeuJ
Équipement : rnorsure (Pugilal ; clêgâls 4 ; criliquc 4
porlée aLr contacl ; PerforanL 2, Sangu naire 21, appen
drces prêhensiles (Pugllat ; dégâls 5 ; criliqJe 4 ; porlée
au contacl; Enchevêtrement 3, Renversement]
r
I p
Lisez ou paraphrasez ce qül surt quand les PJ al
g el p de, rotiO :
* ex ger 1'ourrerlure dLl sac à dos renfermanl es gabakis.
= I'inlerrrédiarre d'une compelence socrale peüt loulefols
Les PJ l,onl marntenanI pourroir explorer le secleur
enrrironnant ces lerriers à la recherche de gabakis
noirs. Les galefes sonl trop étroites pour les membres
du groupe, mars ia clairière est vaste.^l riallonnêe, arrec
seulemenl une douzarne d'arbres drsséminés sur- une
zone de 50 m de côlé. Les cornpagnons ne manquent
donc pas de recorns à examrner Chaque PJ a drorl à
un test de Perception ou de Survie woyen (f f)
ponr cueillrr 250 g de gabakrs poussant sur 'écorce
d'un arbre creur Pour chaqne * suppLémentalre, e
personnage en trouve 250 g de pLus. Dans le merlleur
des cas, les PJ ramasscnt un lolal de I 750 g de gaba-
kis dans La zone Un PJ quioblrenl § a la nausée en rar
son de l'odeur âcre des champrgnons el subit 1 poinl
de stress.
PLU§ UN G§sTE § 5
Pendanl la cueilLelte, les PJ lombent sur un groupe de
soldals des marais impériaux. Lisez ou paraphrasez alors
ce qu surt :
Les soldals des marais cherc-hcnl surloLrt â sa\roir sr
les PJ ne sonl pas des esprons. Un test de Perception
RENCONTRES MODULABLES
LE]S BAROXS DE XAL HUTTA
(f) indique aux joueurs que les soldats sont mani
Facile
feslernenI anxieux et surveilient nolamment la lisière des
bors. Sr ie groupe engage Ia conversalion avec eux (test
de Charme ou de Tiomperie Moyen
Les élêmenls suivanls :
il apprend
Les soldals des marars viennent d'un avant-posle
O|]l,
impérial des envrrons. Ils ratissenl rêgulrèrement les
marais pour dêbusquer les indiscrels, les esprons el
Les saboteurs.
Uêquipe en queslion cherche aclivemenl une autre
patrouiLle porlée disparue depurs ceu.
Plusreurs rapports d'officrers de patrouilLe font élat
de lumières el gémissernenls élranges. Cerlains
pensent que le marars esl hanté.
;
Les soldals soupÇonnenl Les PJ d'être responsables de
La dispantron de leurs collègues. Si e groupe ne rêLrs
srl pas un test de Charme ou dc Négociation Difficile
(lf l) pour es convaincre du conlraire, les lmpér aur
lenlenl de Les appréhender {È) rndique qu'is rieuLenl
confisquer Leurs scanners eL apparerLs de suryeilLance
(+ (9) (+ oLt ÿ pentrenl rnême pousser es soldals à
enlralnanl alors leur destructron Les soldats des nrar als
ordonnenl Le déparl immêdial des PJ. Un @ oblenu par
les convarncre d'alder Le groupe à relroüver son chen r n
ne serail ce cue poLrr s'en débarrasser au pLus vile. Si les
PJ refusenl la fouille ou résrstenl à une arreslalron Les
soldats recourenl à La lorce sans ménagement. Si loul se
passe bien. en rerianche ils se remellenl en lormatron
de palrour le ei abandonnenl le groupe poür pourslr \ e
leurs recherches ai lenrs.
i! i:: I i:iri:r- fiË Srl+ ê li Ë, ! qj Fil
T.; i'-Ë i i5
Cetle Lrnrlê spécraLe du Corps lrrpéna des Slormlroo
pers opère essenliellemenl dans es nnarécages, loLrr
brères el autres zones humides. Leur armurc élanche
drspose d'une rêserrre d'or_vgène d'nne heLrre et procure
run camoufLage eflrcace. Les solda[s des rrarais ins-
peclenl La zone par équipes de Irois
ffiffiffiffiffiffi
, '' 5
,@4eID- ,@ ,@.
t.010-i
,
Compétences (en groupe uniquement) : Athlélisnrr.
Corps à corps, Dislance larmes 1égèresl, Drslance larnres
lourdesJ, Perceplion, Sang lroid, Snrvre, Vigilance
Talents : aucun
Capacités : aucune
Équipement :Carabrne lllasler IDislance larmes
Lourdesl ; dégâls 9 ; crlique 5 ; porlée moyenne ; réglage
étourdrssanl), éLeclrojun elles, 2 grenade à fragmenta
tion (Drstance larmes 1égèresl ;dé€âls 8:crilique 4: por
tée courle : \ilunitions llmilées l, SoL]fflc 61, resptraleur,
armu[e de so]dal des marais (+ 2 encaissement, ajoule
X aux lesls de Drscrélion el'feclués en enl,rronnement lo-
restrer ou rnarecageux]. ceinlure mulir'usages, munilrons
su pplémenlaires
 vIJnH 'It t{ lo sroêrvs sâa
sl'ta\fl noohl sluJ_Nol N3u
aluaslrd ES ?leuErs luo la lleluol
ê-rpuoJC op lue^? adnorB ol Q^]osqo lLro xneu?dLUr sêl
rel 'lourLUr-rl no êLUUd uollEFl qo,p slu od a rêsodLUtJnol
lnêd [f\ ol s ereLU sop s]eplos s-rnorsnld no Lrn Qnl lLro fd
sol s url r.ro SêlloTÂ-rêS sop sLrep sQddolaAUc lucLULUeSQ i
sqnqr ap oseq e sl? d sap o olQ: alueqrnq;j] aleugd
LUr êreuuoLLr el êp'rnêrj?lul,l v êêpsruoc ap 0ll0^eu e
€ olel lues el eSessr-ira11e.p ourolaleld el ins -roDelsEld
ua ossrel alrlad eun suep plrêlle sal [d sêp ê,]r?Lps êl
:1rns rnb e: zase-tqde-ied
no zos l 'êQ^u-re rnal y LopÂog op lsê,1 ? ê.rlQlro l)l un e
?n:]rs orêrd op neale d un rns ollo^eu es suep pualle sol
ueuep,\ol ol sno^ zêpLrê.r êp lu od ne soopLUOC luoÀnorl
-ê-r sl soËelQreLu sol suep ool.roJ êqlreLU op sarnoq
srnersnld sgldy rop,{01 e rorluor rnod e,rgtuel allêl op r l
-ros ap lu0]9Ll ês slr,s no sluenbueu si)leq3B sol luêlltanl
slr,s rsroLll ro^êp luc^ fd sal OJluoluê_t El êp 0nss,
(t lLrauro-rlO^oqlu: : llElLiol ne oolrod : E enbrl
Ul : g stqAQp I 1e1 3n6J sluenlB sorqLUêLU : lueuedrnb3
[]eqLUor êp spuno-r , no solnutLLry
luepuod 'êËuosuêLU un,p lrBe,s lt,s êLLIQLU 'asoqt anblenb
uo ê.rTo-n ? no louuotlolrig lelÊ un taldope ? alinol ê?l
'.rod e olqrr oun lLf erluol 'p1o.rg-8ue5 ap gsoddo 1se1
un e al ssn?r êp sel Lro : O : al"tnor aQltod q êlqo oun e
ssorls êp slu od 6 oôrl1ur . J eruan11u1 : êl-roj el ap -ito^
-no6 [rnaugdns ]ê luo,l q s puor-rE 'o-xnêl êp Qtltoru pl q
;e39 arnsselq op slurod op arquoLr un êLlLrtl? 1r '9nbr dde
lu0LUassreluê, srol aun êlqn oun q sl?3Qp sap e8tllut u{-r
-oeqs un,nb srol anbeq:) a,,r ap uorld-rosqy : sg11tede3
Z êl-rol 0p rnêlE 'l0lqLr e ll0l 0-rluol l?quol ap sls0l s0l
snot 0p Êllnrulp êp 9p I è orlrLUpJ I Jt( r\p\ : sluelel
7 auaduo-1
'Z plor,l Fue5 '6 1e1rBn6 '9 uortOrlsrC : seruelgdruol
or^ olnol op rourerp sal 'lnod saro-rd s-rne1 luolelLio
s1r slanbsal lê^e souErl sop luenboAO sêlEuol soLnleluêl
op sQlop 'xnar8uods 1a 1-terr sdlo: ne sQlup q suerqrqdLue
spuer8 ap êLuLUOl luassreredde su,{roeqs sol 'suorsnllr
Slnol SnoS « SlelelLl SOp Slêl 0,1 xnol » Ap lelol UJOulnS ôl
lnEA Jnêl rnb a: 'seFeroreLU sol rured 1ue11011 so-r:]Eunel
srnênl op aLUroJ el snos luoluosQ-rd as s I e'lep,\ol ap pns
np sreJeLU sol.]ualueq 'xne-rl:ads srnalepgrd 'su,\toeqs sa-1
ffi"âtr*wffis
flxæasæ3
oQllLrll sqrl a:ua3r11a1ur oun p SIr\]rod surouruEQU
luos sui\roeqs sol 'ol..rol el Q salqrsuos lo sêq,rnol srnol?p
Ç..rd ssa-rls
np raBrllur rnl rnod oluan lul,p "rornod -rne1 q
s".rolr?
luê"rn0lêr D sêllêl's0inleÇ.D sêp 0luElsrp q ralsaJ
€ luer,ued olqrr el rS lelLA apLn I uos roq-rosqe.p "rêlual lo
Jrsres el rnod alqord uo ui\roEqs un 'aQlnosso ê^norlêr ês
o qLl aun rS -raurluop sol xnoru rnod sarlne sop sun sêl
ra-redgs sêl lrel uo luoldurol sreLU rapra sal € luoqlroql
slr nb p6 sal orlure^uol lnod o:uan11u1,p -rro,rnod "rnal
lua oldrua su,{loeqs sa1 'nel op Jnol rerua.td -tnêl V ê^rl
erlrLrr,p êip-ro l .rouLLU-rolQp:nod aL.u1e3 € luo-rnolor.]ê '[d
sêp rnlol ? leSQ orqLrou ua'luessLe"ladde su,iroeqs soq
v
:1rns rnb a: zoselqder
ed no zasr-1 on-ledsrp a1;rnorled e1 cp enbr8erl 1-ros a1
prel do-rl lueuue"lduror lê srerpLu sop leplos ap onbseLl
op xnaêl-roLU sêp luoss euLto:e-r slr 'sqrd snld ap lur?preB
-or  ul s f eqeE sep seq:o-rd o-uol êp se1 ep 1ua8,raLl9
rnb ap.r.oise d ap slra.,r sluauFe-r1 sop quenb-teluar slr
'suouErdLueq: sop ollê ltênt el lLtoLUeluo ld sa puenO
's-rou sryeqeF ùp (l ê\norJ sJ nrllloLU êp
sêLIrezrp ep e ldLrLar êlles oun luarÀnolÇp f-d sal tlo'êuol
eB e1 suep êlLrolua,s sr-r8 srleqeS êp aÊLiLE-tl aun ro "lrêl
ne,nllsnladno.l3 e1 luorap nB qe suouSrduteqJ Sêl -toÂr.roJl
rlo lêJla ro luoles sleplos sol 'sa..t essotQU sed luos oLl
slsal sol fd sOL rêpre,p rs oql p sterELU sêp sleplos êp
o lnorled El rS -ralqnel ,t.s ap saBeuuos-lad rne sro1 allal
laulad ê.rnl-ro^no,l op êlltEl e1 1a s -tF s >1eqeB êp Qproq
lso sQllp,l sLror.\Lrê sêl suep auele3 aun e1q,^gt (f f)
uaÂo61 uorldaua6 ap no (f) alr)eJ ar^rns ap tsal un l
ruaru rNrr^ïn
UNEAFFAIRE QUI TOURNE MAL
l|ar Shaddaa n'a pas volé son surnom de Lune des
llContrebandiers. iout ou presque s'achète et se vend
dans les marchés de banlieue où le coût de la vie s'avère
bien bas comparé aux sommes qui y changent de mains.
Dans cette rencontre modulable, un groupe de contre-
bandiers rusés menés par Corte Voss compte bien es
croquer son client, un trafiquant d'armes trandosien ré-
puté du nom de Thamoss. Malheureusement pour Corte
et sa bande, Thamoss s'est préparé à leur tentative et
n'a pas l'iniention de les laisser repartir indemnes. Après
tout. il a une reputation à préserver.
Le maltre du jeu peut se servir de cette rencontre
modulable pour mettre en valeur les aspects les plus
louches de Nar Shaddaa et lancer quelques pisies pour
de futures aventures.
ULWAN BACHEETSKA
Ulwan Bacheetska, I'un des quartiers marchands les plus
actifs de Nar Shaddaa, se cache au cæur des ruelles les
plus sordides de la planète. C'est ici que des fortunes se
bâtissent, que des existences périclitent, et que l'expres-
sion n acheteurs, prenez garde » lou « bedwanee wabdan-
ne », en huLL) prend tout son sens.
Les PJ peuvent s'y trouver pour toutes sortes de rai-
sons, aussi douieuses soient-elles, qu'il s'agisse d'ache-
ter des produits illicites ou de récupêrer des articles de-
mandés par un client ou un crêancier. Dans tous les cas,
lisez ou paraphrasez ce qui suit au moment opportun :
LES PARTIES
CONCERNÉE5
D'un côtê, nous avons Corte Voss, une contrebandière
aux abois, et quatre membres de son équipe (un cin-
quième, Ie Jawa Kef, est actuellement à bord de la Crâce
du Titan,le vaisseau de Ia Twi'lek, prêt à décoller en toute
hâte si les choses devaient mal iournerJ. Face à Corte et
à sa bande, un traliquant d'armes Trandosien du nom de
Thamoss accompagne de ses mercenaires.
Le marché de départ entre les deux groupes êtait
plutôt simple. Corte et les siens devaient fournir à Tha
moss un lot de fusils blasters dont les propriétaires im-
périaux avaient été soulagês. La Twi'lek n'a pu mettre la
main sur le nombre d'armes promis à Thamoss, même
si elle soutient Ie contraire. En effet, sur les deux'
cents fusils blasters prévus dans l'arrangement, seuls
cinquante-cinq sont confortablement stockés dans la
soute de son cargo.
Même si I'affaire était Ioin d'etre gagnée d'avance,
Corte comptait berner Thamoss en lui fournlssant les
quelques armes en sa possession au prix fort, tout en
exigeant une avance sur les blasters manquants. Tha-
moss, qui ne comptait pas jeter davantage de crêdits par
la fenêtre, a refusê sa proposition et offert une somme
peu équitable pour les fusils dont eile dispose. La tenla-
tive d'intimidation de Corte n'a fait que pousser le vjolent
traliquanL à donner le signal à ses r-rercenaires.

Vos narines sont assoillies par un millier d'odeurs

différentes dans le tourbillan d'octivité d'Ulwan
Bacheetska. Morchcrnds et clients ergotent sur les
prix dans des centaines de langues. Pas de doute.
vous êtes au ccBur de la Lune des Contrebandiers.
Cornme un seul homme, la foule s'efface soudain
pour révéler deux hurnains, deux Twi'leks et un Cand
qui font face ù un Trandosien esseulé. Apparemment
désarmé, ce dernier tois€, paurtant les cinq autres
d'une rnine méprisante. o C'est ù prendre ou à lais-
ser, Corte. k:n petit jeu comnence a me fatiguer !,
Lo meneuse de la bande, une Twi'lek, pose la moin
sur son blaster. o Écoute, Thamoss. dit elle en es
quissant un sourire de défr, sait tu prends la ca
melote, soit je te transtorme en sac à main. A toi
de voir.,
Accompagnant son grognement d'un mouvefient
imperceptible de sa main griffue. Thamoss s'écrie
simplement : n Descendez les ! , Aussitôt, les tirs de
blaster se mettent ù fuser.

I
Les PJ viennent d'assister à une négociation qui a i

tourné court. ll leur reste juste à décider s'ils veulent i

y prendre part ou non. S'ils optent pour un camp ou

l'autre, ils vont devoir combattre en plein marché urbain,
les ennemis attaquant sur tous les flancs.

RENCONTRES MODULABLES
LES BAPOXS DE XAL Ii'TTA
 VJJJTH -n il tq ${oùva st-t
Sltgflncol^ s3à-LNolNlu
a c êrrQtsris'61e]r3n6'2 la:ed
êlqerp al -rêluêl êurElrd sal aôeio1r6 '7 uorleno8q5 't ise.lQEQI sou"reJ oluels C
El êsnênEnol es JêssrEl ? guBrsO.r sdLUêl3uol srndop lsa s '9 aLU-reL{l t orulpl '6 uorleSo-r1sy : saruelgdruo3
sreLU'ê-1rd n? srnoinol puollr?,s'os-rê^L]t,l E'{E.uef êll lê!
'-rau..rnol
leLr-r lLeÀnod orEJle,l onb outaeL! lreA3,u unlne
le 'sÊlUo"ula ]o sounal sno] luos (pue! un la )lo.r,\[ un
\@E@/
fil-o \g@> \ f zfr f-?*ï*) f:Ë-)
\g@r
'su eLUnq xnapl suou8sduot ,t.llenb sa5 e1-ro3 ep ,ra8 'eE@EEV ,
-9 oSrer 'ur-)lt L np a)UC tl sur?p Çlsar lsê lê)1 êpueq
el op ê-rquêLu augrnbuo un E-rS :lo p^f 's.rêll^ 'pEI
F##=*FGæ6aG6æ
âEEgzËgEEgEËgÿBgzB
â.æærsg,i *ÀH*3 §# H*ruYe§
&Æ &,Æ &-Æ &"Æ &.Æ &.Æ
fÉ1 H fl §.1i 1i'-i # â{*H ilq srnuLlo sas -roEelred
êp lnolrns luanbsr-r slr sLeLU s-rnotês luelrod rn ua slrpQ-rl
p d'"p sonblonb reuBeB ra-rgdsa lua,n,nad T6 se1 uorlralqo,p sed
ossieluo sred? sluêurelQ,i, '(1uess prno19 aBe13
lLe-rne.u a 1a 'secl s e^neur
al op .rrlros as ç 's,reB sos lê êlla
l-J ',ropr? sol ua q l elnoA Lm,nblonb rs sreu 'sed e8uerqp e1
Or I OULtêi\OLLt a?lrod : 9 anbrlrrr : 1 slqFap I lSarQSO
êLr sarqs sas e lo uêrsopuE-[ ne e]duro: uos -ra139p dno:
sêLUrEl oluelsr6l prnol iotselq talolsrd : lueuadrnbS a1 lns elsrrurldo dorl u.rq un oglluorn erlQ lned lse,s rnb
ounlne: s91rcede3 'opueq es red aqrrnordde luoruo8rel'o9pi uos lrelQ êppu
(0,\rlerlru ,p lsêl un ? * op lLrElna -ralnole rnod
ed e1 ap rlros ês rnod ssoir.leq1 ranbor:sa.p -ra1ua_;
ssorls ap slurod 6 ]lqnsl a.rellQ LrorlleQà'lrssna.r clnol
'sê-rpnol srnêl -rqns op rêlr^O -rnod
un q êsn5 es e xneFg sig3Qp sep Lainole -mod ur1sa6 ap
lurod lrasuadgp lnod'anbelle êun ssnir -rro,re sq-rde
seq lgo-rd trEl o lo 'srnda6 elsuê-ro3 uell np sltnH sal
'aJluoluo.r red sLol êunl alqrpl 1uro6'[e1 rlno.lq aun,p xr-td lo^e uorllesuerl orQrurap es srndap olueqtleLU op luEp 7
n? alqrssolte lelqo un -raEuer no rl,ios no'êtLr..r? aun uêdèl onol alll luolel ap sê-reJJe,p oLULUOI êun oLULUol
luêLuo 334 a,rQC SUOl ês ol.loJ 'êÇsn-r o-rQrpuPqorluol
-reureBua-r
no lau eSgp lnad 'puno.l ;ed srol aunl uteLr
Lro êru..rv '[sso1 a1-ro3
ar]uor lequol êp slsal sê snol Ë.gtgg *çë rul ËH* 3ffi &§B#x**Fu #â*
êp QllnrU,lrp ap Qp I a-ro LJLUrJ I èt s-rè \p\ : sluelpl '#&#& s.i.H**
(i)'o '
"'"-
lê l red êrnssalc 1 snld o-rnssa q op slurod , llqns I têrlla.fl sel uf êpelnor êLtn.p no lnes un p .rqe,
e êrltcLU ls rncd Qf ) allllJJlq uorleurprooJ op no ausrtgll.ltyp tsol un,rssn?r troD luorsoidxa. 6A
ap llpluol np no êlinol êêlrôd E [d ]nol lol [d al êlL]ess fd sreLU êOl LuLi uorsoldra aun lrnpojd rnb a:
'rirêuua ril un red aqq:no1 lsc fd sJp un,l êp êl,mot êOlrod e tEl? un rns a?sodarluo alntlll êluelsqfs auTl
(E) jed ssê,rls êp tu oc I tê -rÈd arfssalq cp lurod arlne I sn d ,
, 'ornsso q ap lurod I tL.r'rs it lêLltp p sÈt Ltl tu c1e.i êlno.l e puenb,
^ OtO al!)gJ!O eluelslsgu :
A
, ap lsal Lrlr -raflrèllê 1:op :rb 'r8eluosrai np uo lla-rp uê :L.ralrorle scnbrue d sLrrereq s-tnatsnL6
rurdll.rlos\H\JoJxnvdo. aao.ot.r ô6.âo ,, ,.0 oo\ o i..;r-..o-o.lde
: A no (e) (e) (+
a-rluol rclsodu ap êpD?p rarLr-rêp al aluetra^peirr rpcl pnepeq un aqrnol ]nanol aBeuuos].a:l lp
:iDEf]el :
srnê e êl rLle s [d al anb or g nbsn: a r]ulp lsê trrJ-r,lluot :r,rrb ;sualgp Lrê snLtoq al êrln? ,
i I r. rÀ ,X\
.un,p f o ê-rQrJe-u êuf .c r i,\l'rot;l ap êssal no I n-rl?p ?:e dap lsa êSeLtuos-têd a Ip tu,ruJq lu.p tqe t
lSêr Ul2LllO-iO
uôs 'ç.1 np anbelie our?Lpo,rd A no (i)
E I lu?socur e êp -t l êr dileqt l1 sLreD ln a-t3 e:.L ê.,^,no-tlar os !lepEq uil
Y),{§â3}r"r3v§ ruY,TITt3 V & .:"s {§} SXm Nftt.LV§tTrÀn : r-ÿ 3l§Vâ
raciru: lnod ll A lra^.rns uou slE un no anbrlnoq aul anbrEu.rL.t .r8e1...rostad al 'a8et lt?l lpqLLlo] êt arb s-roly
ôô
laf be]]E p
1al Lr:er.plrd L.os êLr apfl lda p .n a-ro 3..Lt? .-tauuJ .r,t J_r,L.,ol eap
lr I _r l êll aLiue lir.c asoa,l: ! lal
3-ril,.rotLra sL;ts lrrilL-t]a,1 !Lr -ê-r .ê-r as tr cd :3e rLrosrêd a : soe.lt r p IJ rL, t e !a-]t ê! êlrtl_la,.!ro r.ll
e
rurdtltl,r ro sNnNoJ xnv.t! ês?q oD âJ,\t nc a59 aÊed sal_r
o .J ) rL.lrclrLia Lilt anbelle la aLU.re iICS ê! ?3êp'aleualil luês os pIpppl ul-l Q no t-.} a.} aJ
i-têl.to-. itl tb3-. s;'t !-:.;l_tlL;t-rtarr'lauLta!_,rti .Elat,:_ l tatrJ,tall.lalti:l:laatltLLil t'ora_;trt;_rti- :l3ua Q.o a;i û
1sa] L;reqtord uos € I l qrs 'êuQA -tolurcr aJ it"rêuuê Ltr ins êqlnqQrl ;rbtued pnepeq u1 @ no a.l
1
t :,a.
"
YHSIS}!{IY§ r{§fulln Y Ô -m {.} s:* iltr':V§lTli$T : z-ÿ 31HV.l"
 Ouand le combal éclate, es membres de la bande
de Corle sonl surpris, mais vonl tout larre pour s,en
sorlir. Ce n'esl pas la premtère fois qu'un pian de
Corte dégénère.
Si le combal toLtrne en leur clélaveur, ils réallsent que
Thamoss est vralmenl dangereux [alors que Corle ler_rr
avail assuré que 1'allaire se rég erart en cleu, teinps
trois rnouvemenlsJ, et peuvent demander aux pJ de
Ies aider
ffiffiffiffiffiffi
ff;iffi m,
Compétences (en groupe uniquement) : Artillerre
Alhlétisme, Calrne, Distance (armes légèresl, Pugiiat
Talents: auclln
Capacités : aucune
I
Equipement : pislolet blaster (Dlstance larmes légèresl
.
i5i,lli3,;ii[.i!?É; iii'ii[',i:ffi.ffi-Lage
I i'Èi"riÈd t]'i h î l. ; :. H "-{ t 1,, j
:f i q.;-S "+
"s-."-
Thamoss. marchand trandosien, mantlesle un pen-
chanl pour les armes el les équipemenls mtlttaI es ll
esl cruel et rusé, el se largLle de toujours lirer le meil
leLrr profit des marchés qu,il conclut. l1 s,accompagne
de gros bras pour veiller sur ses lransaclions. cet in_
cldent n'élant pas le premier. Thamoss a clécldé de
latre payer Corle pour son manqLte de respect, et a
l'intention de se senrir de son pislolel drsrupteur pour
d5so l. \d P gôa ê
Si les PJ chojsissent de porler asstslance à Thamoss,
il esl peu probab e qu'tJ leur offre ensr-lle Ltne récori
pense sous lorme de crédits. il peul en revanche ler_rr
oflrir des missions en tanl qu,hommes de martr. Si au
contraire, les pJ se lonl un ennemi du Tranclosien, ils
doivent s'attendre à le croiser de nouveau lors de leurs
lutures pérégrinalions dans i,Espace Hutt Le lVlJ peut
lraduire cela par une petlte Obllgation corres0ondant à
l'animosilé perstslante c1e Thamoss. ou se Lontenlet de
elareapoo' ê'oqoÊ: ê,.oui,ô.igÊ
magemenl quelconque.
ffiffiffiffiffiffi
@iiô-@'zej@È@i' @,
E__- \_ 15._-, \*1e_, :_q]*q_
- Se ranger du côté de Thamoss parajt plus rentable à
Compétences : Connaissance fpègre] 2 Dislance (armes
légèresJ 2, Négociation 3, perception 5 pugilat 3, Sys
tème D 3, Vigilance S
Talents:Adrrersilé 1 [améliore I clé de djfficu]té cle tous
les te sls de combal conlre Tharnossl
Capacités : Crjffes (Pugilat, clégâts 5 ; critique 5 ; por
lée au conlacll
RENCONTRES MODULABLES
LE]s B'IROf,s DE NAL I{UTIA
Équipement : ptsto et disrupleLlr [Drstance Iarmes lé-
gèresl; dégâts 10; crrtique 2; portée courte; Sangui-
naire 41, biaster de poche [Distance [armes légères] ; dé
gâts 5 ; critique 4 ; portée courte ; réglage élourdissantJ,
armure malelassée (+2 encatssemenlJ, cornlink
*d+ffi#ËË *# fl*ffitrË ffiË'r*§x&Ë#s§ tËffi*ffi.fl=
Thamoss est accompagne cl'un groLtpe de mercenaires
qui assurent sa prolecllon rapprochée dans loutes ses
lransaclions. Ces quatre cornbaltants cliscrets et d,as
pect très ordinaire adoptent des positions lacliqLies
avanl la rencontre entre Thamoss et la bancle cie Corle.
obsen,ant la scène depuis a louLe Au signaL dr_r Tranclo
sien, ils passenl à l'action, blasler en matn
ffiffiffiffiffiffi
.ffi-, :f iffi
;
érôurdis. Compétences (en groupe uniquement) : Dislance
larmes 1égères), Distance (armes lor_trdesJ, perception,
Tromperie, Vigilance
Talents : Coup éc air 1 {ajoute f à ses tesls de com
"
llal conlre les cibles qui r'onl pas encore agi ors cle
a rencontreJ
Capacités : aLicLlne
Equipement : carabine b aster (Dtslance [armes ]ourcjesl ;
dégâls 9;crilrqLre 3; portée moyenne;réglage êtourdis
sanl), ptslolet blasler (Dtstance larmes 1égèresl , ciégâts 6 ;
critique 3 ; porlée mo,venne ; réglage êlourdtssanll, cou-
teaLr de combal (Corps à corps;dégâts 4;cntique 5;
p0rtée au contactJ, veternents renlorcés (+ 1 délense,
+ I encatssemenll, conrlink, couverture lhermique
RÉSOLUTIOI\I
Toul va dependre du camp pour lequel es personnages
joueurs prennenl parti si lanl esl qu'i1s en choisissent un.
Au déparl, épauler Corle Voss apparall comme l,op-
tion la morns prolttable N,lême si
elLe el sa bande ne
manqLtenl pas de reconnaissance. surtoul si Les pJ ieur
oÀoor sauvenl 1a pear_r. cefte équipe 11'a pas grand-chose à of-
frir en dehors de son amitiê Si la questron des fusils blas-
ters vjent sur le lapis, Corle se lail une ioie d'en clonner
une pleine caisse (crnq fusi sl aLr . pJ en gu se cle remer
ciemenl. A p us long terme, en revanche, 1a gratitucle de
Corte peut aigulller 1e groupe l,ers des plans de plus en
p us tntéressanls el proltlables
courl lerrne. Le lrafiquanl peut leur olfrirr-lne remise sur
les munttjons el quelques amélioralions pour l'armemenl
de leur rraisseau. mais le Trandosren n'esl pas réputé
pour ses iargesses. I1 peut leur proposer du lravail. ler-lr
première mission consislanl dans ce cas à trouver le na_
vrre de Corle el à rapporler es fusils blasters.
Sr les PJ préfèrent éviter ie se mêler au conflit, les ttrs
perdus les obltgenl toul de mênne à réagir. S'iis riflostent
d'une manière on d'une altre. meme porlr se cjôfendre,
r s ne passeront forcément pas inaperçus.
 vtJ.ltH Trrx Eo sÎ{oêtvg s:tL
s3'ta\ft nooÿ{ 5f u_LNolNSU
s
I 'saQnu?lle JO^norJ ue,s
i
F
odnot8 op
I no ollonpr^rput 'êIeluêLrolddns uorlEStlqo oun red oJtnp
) -erl os lnad elof llnH xnêUOls,(u-l al .losstoJJ luêLU?lloJ
luo^ sJr '0llne auil no uostel êun _tnod edooN oouelD ne
F aJpua-r os luo^nod au no uotJeJr^ur,l luoutllgp ld sol IS
'sllnH s0p sê^ellso s0l steLU
I -el q luouuor^êp IUoLUOUQ^?,1 ? lnol grSleLU lua^t^
-rns rnll sluepiod xnornoLlleul sol êIol3 lo ounlroJ
I ou8e8 edooN oouerD un olrodLuor onbuo)tnb : @
^ 'sluedrrrlled sel LeprnB
I lo Jo^rosqo ;nod qeppoq spladde sêJletpgLurolut
I sop rê^o^uo,p luêluoluol ês sll luoLLtêllauuosrad
sreLuel luelsrsse Â,u serugu-xno sllnH se1 : {.} {^.} r
luedrrrlred  rnb sednoLB
sol lê snpr^rpur sel tasoddo lnod sen5uo: la 'sorlne
se1 enb soun sol sesnaLaBuep snld salno1 'sollutlstp
sa,nnerdg s-trorsn d ue elsrsuol edoo5 aeuetg e1 :
'0ÇlnLUrol
e,1 rnb pnp êl srê^uê ollnsut oun lso uorlelr^ur ollol
eun rourl)gC slred slnel e JêJnsouJ os op uotsello,l
luo sJnêlloLUord snpr,rrpur sep e11enbel op aJpel
suep llnq uorlrperl oun lso EdooN oouet3 ol : l( .
: e000N êaue.rD aJ lueuraluol saluSAlns suotl
eLUroJUr sel alpueLdde tue,tned (f ) ueÂo61 (a.râq4)
o)uessreuuo) op lsat un luêluêl rnb srnanol
: 1rns rnb ot zeselqdeted no zes
'uorll?lrAUr,l luêllnsuol fd so ènos.to
l nuèluol np oopl
o.rpuroLLl el sed e,u lo sllnH xnp Otlgle sed lsa,u.lo8es
seu a1 aLr,{uoue arllol oun,p êLlJ01 e1 snos a.ldord uieut
uê 0Çr^r lsê _tn0l uotleltAUr,l 'uo lelunLULLlor ep laLedde
unlne,p luasodstp ou fd so lS pnH xneuqls,{u a1 red
adnor8 np -mêuoLU ol oLr-tLl-.tol Q.rQprsuol tnenol a8euuos
rad ne egssalpE'-los un luêLUOlQllstp o^ule uorlelt^ur,-l
NOlJ.Vtl^Nt,1
h§§"m& ruffi §&w§Juru § §§ &r n
lua,tned
I r1a 'aq:raq:el op sr^E sol 's]lnH sal s;O^uo sollap sol
êLLruol) suor1e3r1q6 sourelrol 'srnollre Jed utosêq op sel
ua xno Ç ledde lueupuequods 1uo1 rnb 'erneriglx3 ernp
-JoE el 0p sQnosse sJnol op lo sllnH sop lJed el ap oLUrlso
alqelugl oun,p luossrnol sednorS sal slue^t^.rrllede.r ep
lrorp ol lê 'ouJr-Ltos ellenbor eun 'seBuenol sep 1ue,tro5
or'aLlluE^oJ ua'slnenbute,t sa-1 pl.rodr-uê luo,l sglt^ur
s0J luop llnH np so^ellsa luo^norlor es s1r '1no1 glSleur
luê^rlrns slueprod sa1 rs 'edoo51 oêuerD np uU el V
's0luelsuolrD salJ0l
. op suep sureLU op to8ueLll slauruJtJl seLrdua sêp lron op
e;er sed lso,u lr lê'sluoulêuÇA? sol op ênsst,l tns sued
sap arpuerd ? sed tuolrs?Ll,u sllnH sol 'laJJO u: suê s
se1 tured alqernp OlOuolou aun ? lo aBrlsa.rd puet8 un
q sruro,rd lso êlQq xnauglsÂLu Jnol 'sotresro^pE sJnol lns
luolrodLUO,l lo oQJros el q luo^rltns llnH un,p so^rAUol
sêl puEnO sQlr^ur sJnol ap sessanold sap 1e sauerlrd
s0p luetral?p 0s u0 'êluelsrp q OlQl el ap luoLLl0lnoJ0p
ol r0A.r0sqo,p luolueluol os sll auuosrod ua sed surout
(.) r np'edoop ooueJD xne sed Juêlstssp,u sllnH sol
'lros un,p oleq Jnol luoLUOSnoroBuep
roueJluo) ep luareranbsu sll lo^alêl  1p 1uo s1r,nb sggp
sal no sudde 1uo  s1r,nb slêllos sêl luelro^Çp ua :,lolaAOr
al ua dorl op Jnêd op'olrns e1 recl lelns o .roproqe,p lualr^?
sll 'urlsal pue.rD un,p se,tne;dg sêl sQllns re,te iuassed
i'b vna: ? -L"ro s.JêLUJJOAè 5d) p tlè\t\.fç SOAr\LOl
ap ned rer 'se11a:urd sêp lè^E o.lpuêrd q lueuelelguqB
luos edoop oouerD sol luautèluol suotleu-r.roJUt sêl
se-1
'agÂo,tua e,1
tnb llnH ol lollnsur e tssne sreLU'ÇlaLllCl epuerS eun,p
a,nnard arrel ? luolnar uotlrsodord ollal oun Jautl)gC
'0srnol ap sêlQq ep no srnolerpelS ep lressr8e,s
1r,s enb
uros op luelne lo^e soArAUOl slnal luassrsioql sllnH sJl
Jel'uorlelo^uol olJOl eun qto5al uo,1 enb sed pua11e Â,s
au uo puenb JSo,l'JUO^nos uer6'luaEneled slr a1lenbe1
suep eBuel el ap 1o ourLUJa^ el ap snssap ne rsure lossrL.i
0s ap uors€l)o,l Jro^e êl^ Jnol elnol luolQdse xnorltq
-LU€ SnprArpur xn0lqLLtou 0c uorlltpQleLLt 0un l0 ln0u
uoq un srol el e lsê edooN oouprD un ? uotlelrlut oun
VdOON ISNVUD I'I
'agÂo,rua e,1 rnb euÂuoue
l 11ng
ne lredsar ep ranbueLu lrE-ros êJ uorlelr^ut ollêl êun Jes
-n3ar luoso rnb se11er luos êroluo saret snld sreu 'edoo51
aoue;J un,p sQlr^tlsoJ xne luo^r^Jns seuuosted ap ne6
ellnH leN alpueld 3l rns (u urlsol puerD » luaLUêlerÇlltl)
edoop aauetS un € sol?1.{ ep ednor8 un êlt^ur ot_Lt^uoue
llnH un 'luesO.rd sel al sueC sluesstlJOAtp lueuraldurs
no sJrleJlnl luoLUellorluolod's.lnailaurord luessreted
rnaJ rnb so;lg sop e rêssorOlut,s êp o^uJe rnal It sLeur;
'g1rsolgug8 lnel lnod snuuol sed luos eu sllnH sa
I
§wd mru§§3i§ffi §§§w
I
 forle el assurée. Rin serl de manonnelte à son
d'r-rne vorx C
maitre anonyme avec plaisir tanl que ce rJernier lur four_ -
nil l'éptce qut apatse ses douleurs. E

ffiffiffiffiffiffi
rffi rff,m
Ar
SI
p(

ffi
AL

h(
tu
dr
Compétences: CaLme 2. Charme 2, Coercilion 3.
Connarssance fPègre] 3, Négoctation 2, percepiion 2, d
p(
5arg I ulcl 2.S\'stème D 3, Trompere S, Vgtlance 2

ffi Talents : Bénéltce ciu doLrte I lr etlre I

a ioLrs sos iests
de Coercition et de Tromper el, lrrésistible I (relire
lous ses iesls de Charme el de Commandementl
Capacités: aucune
à I
C'

fa
e
Equipement : blasler de poche (Dislance larmes 1é T.
gèresl: dégâls 5; critrque 4; portée coLtrte; rêgage
éto:r rdrssanll loge élegante, lrha la teu r d'éptces

REGLES DU
6R'TNEE NOOPA
Les règles du Cranee Noopa sont relalivemenl simp es, L

mais Venik es résume de la laçon suivanle :

o Ouand un groupe inlègre un Cranee Noopa, il ne

ARRIVÉg sun NAL HUTTA
Ouand les personnages jouenrs posenl les pieds sur Nal
Hutla. ils sont accr_reillls au spaLioporl par Venik Rrn, leur
boddah. Ce dernter se presenle el répond aux questions
de son mieur. En lant que Boddah attrtre des pJ, i est
chargé de guider es invilés de son rnallre d'epreutre en
êpreuve, de es tnlormer sLtr es règles el c,le leur conlter
conseils el astuces (que les PJ peurrenl sutvre ou bouder
à eur guise) Chaque aulre groupe partrcipanl clrspose
de son propre boddah, dont e prolrl corresponcj à ce ui
du majordome Hutt, page 45
Venik est constdéré cornme Le mandalatre de son
maîlre Ainsi, le groupe est responsabie de sa sur , ie,
et loule atteinle porlée conlre lui rerrienl à cornniettre
un allronl enrrers leur hôte Les pJ ne seraient pas
pour aulanl disqualiflés, majs la balance ne pencheratt
cerles pas en leur farreur, surloul en cas d'égalilé entre
les concurrenls.
æ æ # è::éq*{'rrs Ë1é s §€ æ. * ru #.˧",i ôeL:
f,
peul pius quiller l'êriénemenl On considère lous
ceux qui lentent de parlir arrant la cérémonie de clô
ture comme ayant renonce à leur propre vie j iLs sonl
donc soil iués soit rédutts etr esclavage par les Hutts.
o Le nombre de parttcipanls depend avanl toul de
celui des HLtfts prenanl parl au Cranee Noopa
Dans le cas présent, lro s groupes seronl. présents
[\r compns celui des PJ] Ouatre équrpes élatent au
déparl conviêes. mars l'une d'enlre elles a décliné
linrrilalion ou a subi un aulre désagrément qui la
e^ pê, I êp Oe Od li pê
r Les personnages sont autorisés à uti iser tols les
objets [el armesJ dont ils drsposent, rnais le meurtre
d'autres parttcipanls esl rnterdit en dehors des cas
de légitime délense et d'épreurres bten spéciltques
Cel inlerdit resle toutefols soumrs à l'inlerprélatron,
mals a « bienséance, invile à le respecler.
PALAIS WHEETA
Ce palals dans le plus pr_tr st-v1e
hutt prêsente d'tmposants
dômes, regroupés au cceLtr cl'une élendue marécageuse
cernée d'une impresstonnante muraille. Ventk inlrodntt
les personnages dans e complexe par Ltne grande porle
blindêe à double baltant qui se teÏerrne auec un bruit s
sinislre I est désormais lrop lard pour reculer, et Venik
prend bren solr de le rappeler à lout le monde.
I

Representanl des personnages joueurs, Venrk Rin est un
Zabrak d'âge mur. ll porte de nonrbreuses nnarques et
rnfirmrtés. ses cornes sonl fissurées. son vrsage alroce
trenl balalré et sa poslurc bancale: la en elic.l été es
tropie par Lin rancor ll se dép ace en ltortanl, mais parle
Les PJ sont ensutte guidés jusqu'à un grancl veslibule c
ou ils retrouvent cleux a lti es g oupe, àe paiti, É
ip3q15
accompagnés de leurs boddahs respeclils Selon Venik,
c est l'occasion poLrr ies éqr-lipes de faire connaissance et
de se jauger avant le debut des hosti ités

RENCONTRES MODULABLES
LEs BAROTS DE XAL HUTTA
 vJJnH'nN ro siloluvs sEL
53'tSvlnoor{ 53u-LNof Nlu
'z ov o.reual-red o qelnop
oj uos lê^e orlp uo o-rQdo ruP-rol 'os ou"rnos o-r ?s-ra^pv
roqlel ? sPd lusualsolrusLU aLllraLll ou el a,nb sa-rle eq
s o-rl op Q"ireq lso luo-r] L os lo '.Jrop \[o\
cêp 1i ..]rE
l"roA nead oun e s-rnor"rolu orlrLUol a]Qprsuol oLlo,nb
olll
xnêl snol lues rdQU-r 'olruo,r?s el lê olLil?insse,l êrdso-r
eplny ruerol'êuuorpou oun inod oLUQLT êlr8e lo olrlsd
ilç:sæp*§rui æru:*xË{î*tr
si §ËË.B§§xf 'e-{}? flëFt * ruk{tr *À
SUêr.r'rEÀ ep edno-l8 uos q lo u rauS o eqS op êpueq
e e l-rodder red T6 sa enlp^Q rue-rol uor-r op aurf\
1ual,red aLr soLU.rE sal anb luEÀr? luouuorÀrolLl
sro u-rop sol'alueLll ap nad un lêAV qEppoq sluê-rQlJrp
sap LLEp puer8 ne 'sa^ suêl?p sa-rnlsod sap lualdope la
lura:eBe,s suorpo-r sepreB sa1 la a OV's.luElsrsur luêrluoLU
as sLr,S luoLUOle,{or a'louEr sol iue.rol'sa,rnaldg sap lnqQp
o luEÀc arluoluo"r ES e luo^ s-rnenol saEeuuosrad se1 r5
u.rou ol snos nuuol uorpo-r ursspsse opro-rp un'a:rldruor
uos op onb su l? 'suo po-r salrsered op lê s-rnolr^,iês op
oOuS od aun,p agu8edruorle lsê '11n; areds3,1 su?p uors
-ua:se eurald uê êuuorpor osnêsseLll lê urssesse'ruerol
IT'INHTL NYTS NO
TtfiTnlt truvuo.l
[]uêLUOSSLeIUê t+ 'êsuêlQp l+l
sQl,roJUO.r sluoualQ^ saBesn-ri1nu êrnlurêl'pedel
-ep'ioLrLrers sallaunl')LrrlLuol (luassrp.rnolg a8e139r
:euua,{oLl o?lrod : 9 anbLlL"r:: 9 s193ap: lserqEg sourel
aluelsrCJ ralseLq lolols d : u1;reue3. ep lueuadrnb3
lluêL!êssLeluê l+
'êsLro1gp L + J s?rroluêr sluoLUOlQ^ '(g ereurnBue5 '-6 luer
oJrod'inosr-r€ : lleluol ne eÇl-rod : 6 enbrlr-n : t slqE
Qp : sd-tot € sdJol) êLlleqorqtA : oAeS ap luaruadlnb3
êunrnE : sglrrede3
unlnS: slualel-
a oluel
'6 uorlder,re6 9 (serç391 sourel oluElsr6'iluaLuenb
run o^ES) g sd.tor q sd;o3 'Z êLllel : saruelgdruo3
\@EMù
s-\
f-En f\!@@/
fiTT) \g@l/
FæFGææBæ#ruæ
T*ilJUÆ#ÆUÆilÆ
'lnEl el lr,s er1ne,1 rnod un,l ollrua^or uo luo.rêUr.nes
es s11 sua.,touL sêrL?uolioLu sep onb oleLlS sra^Lra xnp \oL
snld lueLrarQBql 1ua-rluour os xnop sal a-rES-rê^pl?.1
adnrro an8e lor es enb srpuel êluelsrp q senbelle se1
a.lQl9-ld'a1qr1 snld'raru-rêp of olQl ouuoq oun,p urlroueJ
ossedap qa sgqrordder sleqLUol se1 lriepuad oqlpllo-rqr^
es ap IJOS ês o^es 'saplnol sorqrdned xnE lê sr ou xno/\
aql xnE oureLUnq aluesodul enbrSÇle-tls snld ol1r-roL-u as
lrLrolos o1 onb srpuel'ollorp sgl1 uo1e1 ap a-rqdo a-rqru
ard e1 oleq5 op s-r1alr^"ros sa luos url-rêLUeJ
i==:gruæ] #îesrcg Ë# **H*3
*+ Ë*trHBfl*.ruâï&*ffiH* ÀË *fiYÉS
(osüêl0p 6+l 1anpr,\pu rnolla -
Çp -ra llnocl 'ê?-rios op slueBQ Q sluaualQ^'[]uessrprnol0
a8elF?,r : êLruêrioru aÊllod : j anbrlr-r: : g slgBçp : lsorQB
l -91 sau-rel aru?tsrC) te3ç1 -re1se1q telotsrd : lueuedtnb3
ounlnE : s91rrede3
(1saq ureqro-rd
rna q ! oralLrol rne rnb e: 'auua,{oLL-r eOlrod ? adnorl es
êp sarqLUêu sêrln8.p € s3-rpro sap lêuuop ? Ol^næUELU
aLrr -rê-D?sLror lnad) opueq op loqf '(ft rau8e8 rnod Sr
rasr-racigp ln;ci 'ar-reduo..[ op
i ]sêl un anlraJJO 1r puenbl
1 .tna -red n':lg
'lu raq5 olEr.lS orluor lE'qLUol op slsêl so
snot êc ltLr-liltrp op !p I e:or19L.ue) | Al s-rê^pV: sluolel
1 e,radL.iorl t C êLUQIsIS '9 uorler:o3ç5 '6 (sarç8
soLLr-rEl
alLrplsrC '6 [arËç6] êluess euuoJ 't luêLrl
?l
opueLULr.rol 't Lrorln.reol 't ou-reLlJ : seoualgdtuo3
(zTZ\ f-zr I f-2î-) ..:Z-r
'@ -@/ \@ù r@E@/
Z OVOP #=t #=* uE* #æ ææ #æ
T-*tGrufu*#ÆLG
'luldl,\13,1 3(I SNIJNo) XnV.p êSEq
op or^il ttp ÿ l, e8ed '1e1,r,u_1 asnasuep el ap rnlêl lso
lgord uo5 srarel era8ueLll ou.rnall sues alqou et enb
uo q lres êlJêsreLr-r 'serueBrueu sês salnol suep olsrsse,l
lê sê?uur? sasrorquou êp ? lueluoLUar eposrdg un stnd
-êp alqaAOpo-r luoLr-rOpuoJord lse rn ol allêLros 0un,p
:
s eurel e11Lnb êL au'!êl,r^l1 ourqn]uol es'urun^ UeraqI
'suu sês ? -lo^l-lr8
-rnod nb alrodur,u rêqrJlES q lqrd 'qe-roue ;uaruaqrelred
orlO un lso.l 'so qeLlro.tdQr.rL so.rnlle sas snos 'ouJOll
-xe g1ne,{o1 êun.p srnallre,p lso louuosred uoS lueLu
olneJ auuorssardur rnl ap aueLrQ rnb e1L.,ro1ne,1 s:rqr
sluoLUOlQ^ sa -rnod lueqrued un lo snolq xne sap
'su8 xnerraq: sap e oleqS'êuJLUoLl leq lQtnld lo puprS
{s*sss*ær*3 §isssffiffiH
.ru
ffi -LYë3*.§"§ËæeË È'H§ ffi # #TWFê§
ËtA
'arosr,ro;d o^Qll oun ralrodsa.l q sqsodsrp
luos slr,s'0uuarpor urssESSE,l a-rluol xn0 l0^e ro-loqell0l
13 igld 1se lL,nb [d xne s]nêl re.p êquol o1eq5 uorlerro8
QU olnol q oQLUrol alrLUol aluesQld 1r,nb'ep1ny ruerol
ep preSÊ,1 q seluea8 lqosgp senb'leuar sanblenb laruQ
Il rênlE^Q sal xnorLU.lnod xne ? iosso-rQlur,s op êurLr-r lreJ
o eLlS 'a.rluoluo,r es e luoA srnenol sa8euuos"rod sol S
'rlqEl9 u0rq
lOtrEr
e,r1ne anblanb no sllnH sal lê^e luaL-ualuroluor alqrssod
rs'laurulrl erdrue ardord uos repuol rnol un srnallre,p
aldruor ll solorlLr suorleiroBQu sêsra^rp € sdual uos ep
Iarluêssê.1 êrlesuol L êrnêL.rQlxl a,lnproB el êp 0lsrunl
-roddo la e qe,,\olrdur -rnêlle un olsor lr sreL.r-r '[reLlugt-1
Inos ro^norJêr es rnod o-rQrJ uos -laurssesse lreJ l erne
,nb eluo:er rnounr e1) sgn31n,rp uou soLU -n sap rnod
eS êr? rBs p ua gqurot 1sr oleL.lS
?llrQLlsQp E,l êllrLUel
'ne,{05 np sopuol1l sap areurBr-ro ureunLl olerlolsuV
la o^as
TIINS VS I3
NTHAHS (I1vlrs
 ffiffiffiffiffiffi
r@ilr (@i@,, z@}1@.,
Lsi i_14_, \_fe_, ...q_Lq,
E
Compétences : Alhlétlsme 2, Calme 2, Coercition 3
Dislance larmes 1êgèresl 2, Dtstance [armes loLtrdes) 3
Perc,.ptiotr 2. Suniie 3, Système D 2
Talents: Adversitê 1 {améliore I dé de dilltcLrlté de tous
les lesls de combal contre Toranl Ku da), poinl faible
laprès avoir réuss une attaque, peul dépenser 1 point
de Destin pour ajouler des dégâls êgaux à sa Ruse â un
coup réussil
Capacités: aucune
Equipement : fnsil blasler doté d'un canon accéleraleur
(Dislance larmes lourdesl ;dégâts l0;critjque 5;portée
longue ; Prects l, Réglage êtorirdissant), ptstolel blasler
fDislance [armes égères] ; dégâts 6 ; critique 3 : por
tée mo5renne ; régLage étourdissant). vibrolame lCotps à
corps; dégâts 3; critique 2; portée aLt conlact: perfo
ranl 2, Sanguinaire 1 L arrfure matelassée [+ 2 encaisse
a mentl, comlink, ceinture multi-usages
I str#-â, ffi ffi*g*# &Ë*sasëËru ilruHs**Ë*§:
A0 2 est un grand dro de de combat dégingandé et
pourvu d'un châssrs noir nnat Tecouverl de plaques d'ar-
mure Laminée. Une unique ueur opttque rouge émane de
son rnasqLte parfaitemenl itrexpressil, el nne cape noite
lui tombe des épaules pour recou,,rrir 1a plus grande par-
lie de son corps. On le présenle souvent comme l'ombre
de Torani, vr,r le lemps qu'l passe à ses côlés. Leur rela
tion semble plus ou moins égalilaire. mats certatns obser-
va[eurs comrnencenl à se demander st ]e clro de ne serart
finalemenl pas 1e mallre plulôt que le servilenr.
ffiffimffim,m
4 > 6GE@@: r@r
LJ*-IT--tL,,l IEro r@l
Compétences : Alhlétisme 2, Cdme S, Corps à corps 4,
Distance (armes 1êgèresl 2, Dtstance larmes lourdes)
3, Magourles 2, Perceptlon 3, Pugilal j, S,,rstème D 2,
\ g'a n4
Talents : Coup ciblé laptes a\ o I teussi une atLaqLte,
peut dépenser 1 poinl de Destin pour ajouler des dé
gâls egaux à son Agililé à un coup réussi). Coup mor
lel 3 {ajoute + 5O aux résultats des b essures crrtjqLles
infligêes à ses adriersatresl, Cor-lp prêcis 2 (une fots pat
round, peut exéculer Ltne manceu\/re Coup précis en s,in
fiigeant 2 polnls de slress por_tr récluire de ) la r.jéfense
au c0ips à corps et à distance de la ciblel
Capacités: Drolde [n'a pas besoin c]e respirer, manger
ou boire, peul survivre dans Le rrtcje ou sous l'eau. irrrrnu
nisé contre es poisons et ies loxinesJ
Equipement : vibrolame intégrêe (Corps à corps ; dé-
gâls 5 , cltique 2 ; portêe aLl contacl ; parade I, perlo
ra.L2), fusil blaster [Dtstance [armes lourdes] ;clégâls 9 ;
crrliqLre 5; portée longue ; réglage étourdjssant , plaques
d'armure lamrnée [+ 2 encaissementJ, com]ink tntégr e
RENCONTRES MODULABLES
LE]I BAROXS DE trAL I{.ITTA
Fj*ru ffi *, ffi?' pil&da**,
=-Ë*#
L&ËæiruË â##Ë{*§§ {§æ§ËsË:
Fond, lyss el Plaado, voyous rodiens difltciles à disLingr_ter
es uns des aLttres. s empressent cle suivre tous les ordres
de Torani Vêtus de vesles en cuir, tls porlenl leur arme à
a cerntLtre. dans Lrn étui descenrlant sur la culsse, et jouenl
avec leLrr couteau de combal à la rnolndre occasiotr
ffiffiffiffiffiffi
,@ED
'*..Ji',-4--, ,,@E@. 1@,
.q[0,'
Compétences (en groupe uniquement) : Cot ps à
corps, Dislance larmes 1êgeresl PLreilat, \iigilance
Tâlents : Corip éciair 1 i.alo tte E à se s tes[: cle rombat
contre les ctbLes qLtr n'onl pas encore agt de 1a renconlrel
Capacités : aLtcLine
:
Equipement pislo et biaster (Disi_ance Iarmes lé
gèresl ; dégâls 6 ; criitque 3 ; portée rro:ÿ.ônne ; rêgage
élourdjssanl). couteau de combat lCorps à corps;rié
gâts 5, critique 3 ; porlée au conlacll, \rêlernents épais
{-
1 encatssemenll
RAFRAÎCHISSEMENTS
Une lois es présentaIrons terminees, les parlictpants
sont escorlés jusqu'à un bar sompILreux Le boddah Rin
rnforme les personnages joueurs qLte La coulume invile
chacun à boire aLl succès de ses adrrersaires. Lrsez ou
paraphrasez ce qut suit:
Le prob ème. c'esl que certaiNCS boissons sonl plus
ou morns fortes qLre a noi-male, r,oire empotsonnées. Les
participants ne risquent pas le fori'ait à ce stade de la
compétilion, mais un maurrais chotx risque de es expo-
ser à de dêplaisanies consequlrces. En oLttre. i1 n'csi pas
enr,isageab e de reiuser-ce ralraichissemenL : checln dotl
avoir L-rn \ierre en main por-tr le boire à la reussile de ses
adversaircs. sachant qu'Lrn cocklail sur oeur est to\iq!e
Chacun des trots boddah est capaltle d idontilter urL
liers des r,erres empoisonnés el peLrl divulgLter I'tntorma
lion à son équipe st les PJ ru::i:sent !n test opposé de
compétence sociale lar délcrnlner selol I'inle rprêtalion
Ces jouerirs)
Les tnt,tlés r,ont désormars c.ietioir ciécider s'tls par
lagenl ces informalions lce qLre Shalo suggèrel ou s'is
lonl ca,,ra ter seu . PJ el Pl\..1 Lrert\Ênl lenfe Jps tests de
Tiomperie opposés au Sang-froid de leur cible pour
lncnlir sur ce qu'ils savent. Des tests de perception Dif,
ficiles (f f f) permertent éga ement de rjétèrminer si
un vel-e esl à avrter. tandts qlc 'on peul permllLer a
posilion el l aspecl de deux cocktat s en réussjssanl ur
test de Magouilles opposé à Ia Vigilance de la cible
m
 rrJJJrH -It il to stac)iüvE t3a
s3lE\nnooht slutNof NlÈ
luessrprnolO eBelSgr I auua,{ou aQl-rod
:g anbtlr-rr:9 s1q39p: (sarq3ç1 sou.re) êluelstC .lLtE^tns
1go-rd a1 lualuesçrd soLUre sol (O O) (sa.rqâ91 seu;e)
o)uelslo ap lsal un luenlIOJJê uê.tn0l sroLI 0lltlno]q
aun.p xud ne ranbelle lQlrssne lnad gsrleuolnE -rols?lq
un'leB êl luernp lLreuê^_t0tut tsêt un,p s.r0i (E) O tuêllqo
êSeuuosrod un rS olr^ros sroq un êrllêLU uo e luJns tssn?l
lequol ap lsol un [e ] el alrlad rnol ap uos e.r uo lequol
êp slsol xne ! zalnoleJ -tenLreqle se lua,n,nad saBeuuos
rad sal lsorlnp sop soun sal an8uol aQl-tod q luos sro.led
sor) êsuep êp êlLes e ap e llrE.rnLl ?l suep sêgsnê.n saqltLl
op mêrrQlur,l e sÇsodsrp luos s?stlpLUolne srêlselq xtS
Ts!-LVhrOrnV rNVSSt OU n OrI Utrsrn s
slrlradsa.t sLleppoq sJnol
:ed auoz el op sroq sOlrotso lr.ros SluEÀtÀllts sal 1a sand
Luor.rêlur luos sQlrlrlsoq sol 'ê?u r-ural e.lre.tdg,l stol aun
'spunor xrs ornp
leB a 'luoLULUêp?:Çld QnbrpuraLULl-tol
'{sarlne sêp sêun sêl
aqrno: eg1-rod € lal seEeuuosrêd sap ledQp ep uorlrsod
el êp ouuoloLr aolrod Q so?nlrs luos sên:]els s-tnorsnld
'oJpualuo 1 e1 as anbrsnu e1 anb lusl preseu ne slued
-nrlred se1 luêlqrr lê xnereBuep suror-u sed lLtêlsêr ua.u
s-rots?q sar 'srrqld na6 a,rne.ldç.1 op lnqgp al sQp ro-ll
E lualuoLuruol la Osuep 0p êlles 3l suep sQ nLUrsstp QIQ
luo s?srleuolne s.rolselq sLnersnld'lnol al -losrol -rnod
iEB np ornlroÂno,l lLrêluouuS rseu luel ep senbtssel:
xnorqLUou êp q a qe qLros ?lqetpue auqlI.r ne eluoLu
nrlsu rleêl-roLu unJ anbrsnr-u ap solou setqruatd sa-1
'raserrQ sêl 0p lnq
al suep fd sap tuadn:ro,s a 0V lo ella,nb luapued ur-req5
olr?L.lS êp 1ue8-reqr as suorpo-r sLlqrel sês:sadnor8 xnap
uê sorroJ sos apuns ol I l os a: anb a,rqr1 ap uorlrsodoLd
anblonb -reqda::e tu rerllenb ap aleJ sed eldLlo: eu 1a
sarueârueu ap e-ruaB et gdotlue p tuerol'QlQr uos êC
'êssolq el ap sauBts sap luorluor-Ll
iri?rol no p6 se1 anb ot q,nbsnl êASUOIQp opnlllle êun
La1dope,p adrnbO uos ? ouuop-to 1a a:uerled el op al-tel
? anol olEqS 'or1Jo uos luêu llQp fd sêl lS alqel nbg snld
Lro5e1 ep ralnorQp as e;rnod uo ltlpduro: el êp al ns el
's0lqeurLr 0p êpuaq es la tuerol -talut^Q q ople,l odnor8 ol
s'rn uolos arros,lo-rd êluetlle aun tasodo.rd tnaltnod T6
s0l JaÂE ll?luol
uê êjluê uU0qs oleqs 'lu0LUoLU ol v IeB êl ê?lnlLlur ls0
rruerr q e.,rna,]dÊ l saredQs xnonlrol sllolnol sap srnd sorl
ros sêp ruelunrirra r:a 'adoog oouerJ np êsuep op ol es
e1 s..ro,i s;rlredsar sadnor8 srnol luêlJolso qeppoq sêL
'aru?ls s?U ap slsal sop slellnsO.r sêl luotos enb slang
'enb 1r.r: olnssolq oun lQlLSSne
llqns ll rel)lrol n? leLLr sQ.rl qrBegr a8euuosted a1 :
45 .
edrssrp es
ossêr^r,l enb ar rS,nbsnI s1sa1 sas p arreluauglddns
enbrleurolne (È) eun ltqns aSeuuosrod ol : o (E) .
:1rns rnb a: zaselqdeted
snld ap ornaLl oun luelsLs.red osso.l^t,l op slêllê sol : (E) .
rro z0Sll 'ld sap o?^r-lrE,l v saQSOddo sedrnbg sêp oLtnl
?ql êp onâuol eQlLod ? 'tuêlQ1Jtp sQlte un stndep rnot '0lu3^rns a_ln0q,l lue.r
?t suep arlaugd adnor8 anbeq3 sa] psrê^pe slnol _têLl Lrl -np lueuo^rolu slsol sos q anbrler,uolne (E) oun ltqns
- 19 rnod spunor xrs ep luasodsLp sluelleqLUol sal el1anb êluelsrsQU ap lsol uos eler rnb eBeuuoslad lnol : l o
-?i tuernp alerlreLU a,rnerdq êun npualuo uêtq lsa IEB ol
Ol att)tlJto e)uelsrs9u êp
tl I
lsel un q êrllouJnos os ltop lt'oJnoq,l êp uU el q sanbrxol
IVg H] soir0^ sêp un,l lê^e oli-loJlêl os oEeuuoslod uit r5
 LE DÎNER
Le Dîner, considéré par Ies observateurs comme le plat
de résistance, serl souvent à purger Ies survivants du Bal.
En effet, le Dlner ne vient pas rempllr la panse des par-
licipants, mais plutôt celle des créatures que Ies Huils
leur opposent.
On conduil les invités dans une grande salle dont les
issues opposees sont ensutte condamnées. Un cerlain
nombre d'animaux voraces - parlois des meutes entières,
plus rarement une seule bête affamée - sont lâchés conlre
les convives fla configuralion exacte varie d'un Cranee
Noopa à l'autre). Dans le cas présent, les Hutts ont sêlec
tionnê des massiffs, à raison d'un par tranche de deux
concurrents présents au Dîner. Les bêles se répartissent
équitablement 1es proies potentielles et combaltent
jusqu'à la mort. Lisez ou paraphrasez ce qui suit quand les
PJ penet"en dans ,a sal e a mar ger.
. langue. Lisez ou paraphrasez ce qui suit:
Capacités : aucune
Equipement : griffes [Pugilat ; dégâts 6 ; critique 3 ; por
lée au contacl ; Renversement), crocs tranchants [Pugilat;
dégâts 4 ; critique 2 ; portée au conlact; Sanguinaire 3J
CÉnÉnaoNIE DE cLÔTURE
C'est lors de la Cêremonie de clôture que l'on déclare of
ficiellement les vainqueurs et les perdants, s'il reste des
survivants. Si un seul groupe a survécu au Bal et au Dîner,
ses membres obliennent Ia victoire.
Si deux groupes sont encore présents (ou plus rare-
ment trois), on compare le nombre d'adversaires tués
et de pertes enregistrées pour déterminer le vainqueur.
Les boddahs encore valides se chargent de départager
les êventuels candidats ex aequo. En cas d'êgalité per-
sistanre t haq.e groJpe oes'gre Jr Lhanp or pa-r^li ses
rangs pour aller aflronter celui de I'adversaire lou des
adversairesJ dans un combat à rnort.
Lidentitê des vainqueurs est annoncêe par la voix re
tentissan[e d'un Hutt qui s'exprime dans sa propre

Les extrémites de la salle sont à portee longue l'une

de l'autre, mais les PJ se trouvent à porlêe courle des
murs coulissants d'où sont lâchês les massifs. Ouiconque
survit au Dlner est dlrectement convoqué à ia Cérémonie
de clôture. S'il ne reste personne à l'issue du Dlner, les
que
Hi:,i,:ffi['J,i',;i",i;,:f;risraits
et considèrent
ucrolRE ET DÉHAITE
Les perdanls encore en vie sont rêduits en esclavage par
Me§§§§ pm*mÂyffiffiffi ffiw mf§§§ffiy flffi*wel3 l'organisateur hu[t du Cranee Noopa. Les vainqueurs, à
Les massiffs, prédateurs à carapace onginaires de l'inverse, reçoivenl louanges et crêdits, et le droit de quit-
Ceonosis, servent souvent de bêles de garde dans la ler Nal Hutta. Un tel groupe bénéficie cl'une grande es-
Bordure Extérieure. Hauts d'un bon mèlre au garrot, ils time el n'aura aucun mal à trouver du travail auprès des
tirent prolit de leurs sens aigutsés et de leur ruse ant- Hutts de la Bordure Extérieure. En outre, Ie MJ peut es
maie pour s'imposer sur leur proie. Ils se montrent par 'ir-er qu;i esr te-ps oe red-i e o-r de mooére' certa;les
ticulièremenl redoutables quand ils sont affamês, Obligations touchant les PJ et liées aux Hutts [dettes,
comme c'est le cas ce soir. Tenaillês par la faim, ces orires. erc.t.
massiffs s'acharnent sur les adversaires à terre lusqu'à
La simple victoire rapporte 10 000 crédits et 5 points
ce qu'on détourne leur attention
de réduction d'Obligation par PJ. Ceux ci gagnent en
plus de cela un disque Ardos (cf. page 111) ou une autre
récompense de taille pour le groupe, à l'appréciation
du MJ. De nouvelles perspectives s'ouvriront aussitôl
aux PJ, et leurs exploits seront relatés clans certaines
sphères. La manière dont ils exploitenl ce preslige nais
sant a de quoi alimenter de futures avenlures dans l'Es-
pace Hut' eL au de a.
Compétences : Discrétion 2, Perception 2, pueilat 3,
Survie 3. \ g larre 2
Talents: Adversité 1 [améliore I dê de cjillrcu]té de tous
les lesls de combat contre ce fie ctbleJ

+ RENCONTRES MODULABLES
LE B'IROXS DE TAL I{'TTA
 t
-,
'§?l rnai
la 'slaal
'El
llrH leN Ap uolse^Q.p s0^llulLlê1 s,ilril' s :
lLroLrê]ro,rpe lL-repre sol Lla xne/\l-l sos -lêlldl-l-loLl Û - -
.dr, ),r \dp .tl .l L P'.er.,]l , Ol J 'rr':J :
lr [d
'
'aUOo\ 'd-PlJ rr ;r 'otlc 1 r
s.l :
ê.1iEJ -rn0l
tnod Lrari lu?^op lLr0..lolnlal oLl sllrlH
sll t5 -Lt
 ffi ffiffiWYffi ffiffiffiYffi
ffi es mondes-f rônes des Hutls lascinent les rro\rageurs de
& espace : i s sont censés regorger de lrésors de clans
défnnls, el i'accès en esl inlerdil à quiconque n'appar
trent pas à cette espèce Nombreux sont ceux à ar orr
Le reste de sa bande occupe les personnages joueurs
[une brute par tranche de deur PJJ, Craayl tenl.^ de
lorcer..lacek à l'accompagner par 1a porle de derrière
Si Craayl parvlent à s'echapper avec Jacek, rL se rend

ffi bravé la rou[e lV]orte, cetle hVpervoie lraversant la Boo

lana Hulta, dans 'espo r de découvrir que que lortune
cachée. La plupart du ternps, personne n'accorde de cr é
dit aux récits échangés dans les canlinas:à entendre les
raconlars, un monde débordant de rel ques précieuses
aüssitôl au hangar le plus proche où l'allend son val:
seau. Sr les PJ essaient de lui couper a route, un test
de Système D Moyen (f i) teur permel de lrouver un
raccourci lusqu'au hangar Jacek n'esl pas censé com-
batlre. mais si son prol1l esl nêcessaire, reporiez vors â
serarl découvert chaque lour. ll arrirre pourlanl qu'une

ffi
celuri de l'lnlomarchand, page 393 du livre de base de
hisloire conlienne une once de vérilé. C'esl le cas de Aux Cornns or r'Evprne.
celle ci.
Au fr de cette rencontre moduLab e. Les PJ vont dé #ffi.&Æ. dt T+": Ë" flT1*
**,Æ ffiStrST
couvrir r-rne pisle frable qur va les mener au cceur de la \,1eneur des chasseurs de pnmes, ce Barabel f roid el ca
Bootana Hutta, sur a lrace d'un trésor hutt oubLié. lls culateur a accumulé la somme rmpressionnante de
vonl devoir emprunter une voie périlleuse, contourner douze primes au cours du dernier c5rcle Son groupe, 1e
des mesures de sêcurilé d'un aurlre lernps et lrnr par Pacle Rouge, s'esl fail une certaine répulation : celLe de
exhumer ce qur aurail probablement dt resler dans finir le l-,ouLot coule que coute. Ce groupe comple de
L'imaginarre nombreux voyous et llrngueurs, notammenl urn Turi'lek,
a Lrn Rodlen el. Lrn Defel
t TROP tsEAU POITR
ffiflætrærffiflæflffi
Êrne vR/[l ÊàÆ&EfteË4e4e§4ft*ft
Les PJ se désallèrent au Lctdtl Orange, canlina du sec- /@m\ /@@\ /G@EÉ\ r@
teur Corellren de Nar Shaddaa, quand un conlrebandier
s'approche de leur tabLe pour leur pronnetlre des !
t_L, [l5__i L'-fLr (.!:|]|
chesses rneslimabLes. Lrsez ou paraphrasez ce qur surt:
Compétences : Connaissance (Pègrel 2, Distance (armes
Légères) 5, 1\''lagourles 2, Perceplion 2, Prlotage (es-
paceJ 2, Système D 2, Trompene 3
ïalents : Adversile I (améliore 1 dê de dllficullé de lous
es tests de combal contre Craayl)
Capacités : aucune
Equipement : pistolet bLaster Lourd [Distance [armes
Légèresl , dégâts 7;critique 3;portêe mo,venne; -e
glage étourdrssanU, coup-de-poing [PugiLat ; dêgâls 5 ;

criliqLre 4: poriée au conlact; Désorienlatron 5). armure

matelassée [+ 2 encaissemenl)

vffiY#M§ Ë.Effi #ffi&&Yâ. {ffiËtfiÂL}

La bande héléroclile de CraayL est composée de malfrats
ravrs de s'en prendre aux voyageurs insoncran[s.

Létranger, qui se prêsente sous le nom de Jacek, narre

l'hlstoire d'un palais hult oubllé sur un monde abandon-
né par L'espèce. I jure qu'rl drspose de preuves blen ca ffi:ffi,mmrmm,
chees alteslant de a véracité de son récit. Si Le groupe
se montre prel à 'acconipagner poLlr celte expédilion, il
promel à chacun des PJ une parl égale du lrésor
Ll=l Lrz_/ tr 1_o-l
Un groupe de chasseurs de pnmes d une lab e rroistne Compétences : Calme l, Dislance (armes égères) 2,
surprend la conversation lls ne tardenl pas à s'eslimer Perceplion 2, Survre 2, Vlgilance 1

plus dignes que les PJ de récoller ces richesses perdues Talents :Arme en marn {une lois par round, peul dégai-
e[ tentenl de forcer e vrei]lard à les gurder Si les PJ tn ner ou rengair.rer son blasler an prrr d'une broulrlleJ
lerviennen[, ]es chasseurs de primes, qut ne sont pas du Capacités : aucune
genre à négocier, risquent de dégainer leurs armes el de Équipement : pislolet blaster lDistance larmes légères] ,

semer la conlusror dans l'établissernent, lous Les clienls dégâts 6;crilique 3; porlée moyenne; réglage étourdis
se précrpitanl aLors à I'abri oLr vers la sorlie Pendant que sanll, armure matelassêe [+ 2 encaissement]

RENCONTRES MODULABLES
LE]s BAROI{S DE I{AL If,,TTA

Tæ
 vIInH Iirf, to siloluvg s3'l
sr'rE\/tnoohr ssu-LNolNf u
ênb lreA€s ll soQArosQrd xnotuJ sêl sourn-l sop oun,l rLLUed
ollelnleluol axoldLuol un èt nrlsuol lu A lè r8g
uo snq^d rns lrpuo.r os llnH ol e8l.]oA'sorrelndod^8
^B solqel
xne lrpQ-D puer8 un JOpJolle € oruaS np sed luplg,N
snq^d op è tlsruts opuJSÈl eL
lu?luoLUrle
lalnlrl q luorQluauLUot suotlltpQJBLU êp lo srnJSuêA
studsê,p so.rrolslri sal 'sdLUOl np IU nV OlQdsa,l rnod
asnorê3uPp oLULUol luotQUSrsop el lo srole luo..tQUUop
-u3qe,l sll alQUeld ollol rosruolol sllred sllnH sêl luau
'Opuolord elqnorl êsoql onblonb'sdLUêl3uo uarq e II
^
'snol 0p 0nuuolur l0
orQdsoJd srpeI uor]esrlr^D oun,p sê3rlso^ slnos'soutnJ op
aoLlluol lso êleJrns es luolr^Q,l lo noqet oLULUol luorQp
rsuol el slr Jel'8llnH euelooB pl op "lnæl ne olusrJnxnl
ol8unl op êtQUeld 'snq^d q Oqrnol sad luo,u sllnH so-l
SNgAd IO TONTDT1
:lrns rnb êl zoserqdered no zasr-1 snq,{6 ap
e1 sra,r le8eÂo^ op snol e êll êsuorgp rnol lt 'orpuo-t ês
elduo: adno.l3 lr1ad a: r_ro puardurot olreH puenO uorl
lnperl el rêtnsse tnod Lunut urru ]lu.]s ol anb lue roSgu
ne oLUQLT-Lnl laursuerl ou lo olreH q alqrssod suroLU ol
r0lio^0p u0,p ld xnp opueuop lêlEf prel rar,r er ;ed eQl
uasQtd anlels e1 ap seqdÂl8orQtq xnp org-r8 saquuoproor
sol ornp?-rl uo lo Iêlef ap olrel e1 ralglduro:1nad
'npuêlua uarq xr"ld e1 1au,{ uo,l rs'suolleuJolut,p olrnos
ouuoq sQJl oLrn ronlrlsuol lned la pllnH eueloog el op
sl0rrês sêl suep QS.têA sQ_ll lsa 0)lJeH '?snr steLU lEtprol
'sor.]ne lê salplrpgLU'sanbruergu seqtgl
sap rlduro::e,p sa;qedet sauuosred senblenb aroldua
ê)reH suorlellelsul lê slrnpo.ld xnorqLUou ep asodold
lo (lrol xud ne s er-u) srne8e,{o^ sol luol.uêlqelroluol ll
;ran::e onb ap p oUOd e1 ql,enbsnlsteqLUOl sêl QU.Lpqr
u0 luo slr,s lnolrns';6 sel rnod aluesoder olelso oun
rasodord ap nel np o.tllelt.r ne leurad elra; e1 uot8gr
el luasrolerl rnb xnet -rnod apueqtleLU uorlels es lueu
-êlê,rluo ua lnol slra-redde soJlne,p lo sopto_ip xnolA op
-r0loluq 0p 0lu0]uol ês t'l)l ellnH euslooE el ap urol
0l suep roqluerla-i os llod 11np areds3,1 op soQLUlue
snld sauoz sêp êulesleu oluplqLrp,l q sdLuelSuol uarq e
,{ e5uouar enbse-ro11rd steLU
1r luplsrp ua,{t1e5 ol afreH
0LULuoLr 0s êUad el 0p.tnolE_llstutupe la elelgLLdo;d e-1
'spueqlleu I nJ tqLrou ep ,lnod orrroBro,ruol
ap lurod un onltlsuol lo'e:llnH eueloo6 Bl ap lo ol-rol\
alnor el 0p uotllês.tolut,l q lleredde euqlsÂs a-1 alqueld
otnot 0p urol 'altnH euetoog el ep 0tlqno u oter '11311
eurglsÂs np êglnlol ouoz oun su?p olnês êAUQp aQltêl
1es9p anbserd sLEul ollouuotltuol elerleds uoLlels êllol
§T
==æ*d
lef Le8ed ;rJ
pJoq p enue^uolg 0lqelnpolu orluoluoi el _relSolur,p
luollaurêd sluauelsnle s1r1ad senblenO SêprorQlse sêl
rLued srdel salerrd sop:e,re eldruaxe..ted 'oJluoluê-l êun
rruo^iêlLr arLel lnad nel np er11eu ol suqQp sol ..touLLU
-exo,p'lualrELlnos ol slr,s le saletleds.red,{q saguuoproot
sêl JOlnl ?lor op s-tnanoI sa rnod uo]sello,l lso,l sJOArp
snlulop ap lo xneosste,r ap sorredg,p atldruar sap.r.o..lQl
se,p orrllulol aun,p o-lQtstl uê notl e ele:se etqtuatd e-1
æs$H* E=
'eredsarad,{q,1
ep s1u9d s,ra^rp sol raluesgrdar rnod ! I êp tl-rossa
(l i l) êu)lJJIo uog1e8ol1sy,p lsal un rrssnQ-r op [d
xne opueuop uoluo.rq enbeqt 'se? e sol .talolloJ Jnod
1ue,,tno-rd; lo tprlQp aBessed un'ta1uas9ldaJ luop ltop
1o,r a-1 eBe,,\oÀ ê luernp lueLuarqrlnSgt sQ-ll s?.lqtlElol
\fl ê.11Q lua^ 0p srrloleurplo Aeu ynê tquou èp 10 'salu3.l
-nol sQ.rl luos selerieds suo leq"rnlrad sa1 1a glr,ner8 ep
suorlpnllni; sal u os uos ua snredsrp xneosste^ op Qltl
uenb e1? LUou Lros IoJJO ua ltop oio^ el utpoup,p uêu
luo,u olro[\ ê]1.ro..r el ap eredsarad,{q,1 suep slnes sol
auEedu.,ler es -lo1lolQ tnod sa-tluoluor sa1 lerldrl
lnLr ap nai np a-rl1eu e1 rnod suo sel)o,p luelne luos lo
'llnq rosgrl ne.nbsnl U LUêLll ol luêuuo el xner sol snol
'ellnH euelooB eT ap 3uo1 a1 slroLpuo sorlne,p raLoldra
luo,rnad fd sal 'êlro[/\ o]nor el IUEÂir-lS u; aLorr"radÂq,1 ep
ên.ros oLln luanbrpur lo sorQdaJ sanblenb luêuuop selll
uorsogld ap luanbueLu'sal)exa luêLUO^tlelal anbronb
opuoLU
's0QUuopJool s0l l0 op allel el '0lrol\ 0lno_t el rns
I0lef
laloldra ? alrs a
êrlO,p urol lsê sreled xner.l91sÂru a-1
lnos
snl-tvg su!ilrNlls
53G SUOH
11
?lrlpQ-i ua êAQl ol loLu..roJSUeil lnod se'lresselgu
serqrd sal salnol ap ugue asodsrp lt 'soqlroLlla-l ap satu
uêlÇp sop sp-tcie,nb anbrldxe la oltsl e] "ralgldLuo: ep
elqade: auuos-rad e un olrleuuol llp ll 1nH êp onlels oltl
ad aun,ro isire olreluoLUBe.l1 1e alqtssolS eper oun luor-r.l
a1e39 alLrasçrcl ll tosQll ne fd sol laueru qned ll 'têfqo,l
Q l0 salLiassrpuuol sês q êteJD sreled e1 suep reL19u9d
op luelrê.tr-r3d Çll el l eros anbtler e '1e:eT sgrde,6
'enbrqq,\uu Los
Ql1 0: SLiec -la,\ToJl 0S 0QSUêl lSo Çlrlelol el lUop'0UQttS
e ac ar,!. pledde sanbr ê..1 op êlqLUasua un,p sarlled
Sêp êrrir is0 er_tl,l a polQLU 0sn0llta^t0Ltl aun,p ê l0n.r el
lLqS,iua ra êueLUQ uo sosnoiuoLUJeq sêlou ep eruanbgs
oi.lr 'lQr ssn? la 1alqo, eqodel )lêrpf pneLll lleJUol ne
0nLrLr0lr 3,rQilELU 0un,p steLU'êlla^ ap luau0urllne
s 0talnol ir3e,s eu 1; segnbrlsrqdos soLu.tol xnp tstorrl
e.n ê-r-ra \ êp lrsollolu un ? êlqulassor ll llnH êleds:,1 I
suep lro,ua _r0s?_tl êsuoruLUt un,p luêru?lQ un,nb ltelês
au lalqo L anb seguue sosnarqLrou ep srndap aluole..l
LrO sE?\LJol eul, : llnLl eurBuo p êlellsalue enb ler
eun p 1r8e.s il uorsello arqrue.ld el ? iê.lluou rnol el
-rnod a,ina,rc es la;9dn:9t lêlle,p êluêluol os ll '_reuSed
uorre .,r 1 ap lLtosnJa-r slr,S sarnplo,p eqqtuol e1lanr
aun p p;-r0J ne ?qlel -loisr?l un q,nbsnl aprnB sa1 1t 'sed
SrE;\lr?LU al ap lêref _t l"tos l? luauuar,lled I-d sal IS
ses superstitieux congénères et leurs serviteurs ne vien_
draient pas l'y ennuyer, ce qui faisait du site la forteresse
idéale pour son immense fortune. Vortga avait bien des
ennemis fla plupart au sein de sa propre familie), et avait
donc besoin d'un lieu isolé pour conserver l,esjentiel de
ses crêdits et biens précieux.
Voriga trouva linalement la mort sur Nar Shaddaa, des
centaines d'années plus tard. Seule la Iame d,assassin
qui émergeait de son enorme masse têmoignait d,une
quelconque violence. eL personne ne revendiqua jamais
l'assassinat. Depuis des siècles, les Hutts ont tente en
vain de reLrouver son trêsor.
Dans la dernière période de sa vie, le HuLl paranolaque
voyait des tueurs et des vojeurs à chaque coin de rue.
Pour assurer la protection de ses biens, il fit êliminer tous
ceux de ses serviteurs qui disposaient de la moindre in_
formaLion sur Pybus. Du moins. le ooyait
[un
i1...
de ses employés, un Klatooinien du nom de Lalk_
an, survécul à la grande purge de Vorlga Lancien bras
droil de Vortga avait échappé à ses assassins et lui l,Es_
pace Hull en erxportant avec lut un cerlain nombre de
secreLs. Lalkan connaissait la clé des coflres de son
maître el la procêclure mystér ieuse permeltant
d'alteindre ia planète sans encombre.
ll connaissait I'empiacement où Ie Hutt avait caché
Ies
reliques et coucha tout ce savoir sur flimsiplast près d,un
siècle plus tard, à I'approche de ses derniers jours II prit
bien soln de crypter Ies informations pour qu,elles ne
tombent pas entre de mauvaises mains.
Lalkan transmit alors ce savoir à un habitué du petit
tapcafê qu'il tenait. Cet homme aimable et prêvenant
n'eta.it autre que Jacek. Le vétéran de l,espace allait
ensuite emporter ces informations dans ses voyages et
consacrer des années à retrouver la clé et la càrtè cen-
sées lui permettre d'exhumer le grand trésor de Vortga.
À l'approche de Pybus, Jacek partage ce récit avec les
personnages. ll les guide ensuite vers un site d,atterrissage
isolé, non loin du complexe bien camouflé de Vortga.
QUAND ON
REMUE LE PASSÉ
Le complexe bâti par Vortga apparait comme une exten_
sion de l'une des ruines de pybus. Le Hutt avait tait
renforcer et fortifier le temple, qu,il avait légèrement
remanié en profitant de l'aspect naturel du site pour
dissimuler les travaux. Le maître du jeu doit insister sur
l'énormitê du complexe dans ses descriptions. La jungie
a envahi l'essentiel des bàtiments, et cache desormais
encore davantage les modifications apportées par le
Hutt. Une ênorme porte apparait au niveau du sol dans
la structure aux ailures de pyramide. La clê de Jacek est
nécessaire pour louvrir. Une fois la clé inserêe, la paroi
émet un léger sifflement et la surface apparemment lisse
se.décale par crans, puis s'abaisse pour présenter une
volée de marches s'enfonçant dans les ténèbres aux
pieds du groupe.
 vJJ,nH Ttt lo siloüvE s:r1,
s3ts\nnoohl 53uJ-Nof, Nlu
0rnl?u : Li :3 -rallAlle
0 [rQ LLl . : S,1 CI:S Uê
l0 êqr -.:t ? s?d luot^
ted o un raq)uel)?o .
[Z ]uproJrod' L ?loLr_rnl- s?pu?r1rêp êrlQ Jn0l
l tleluol ne oQlrod:, anbtltrl: g slgBQp t telr8nd) saJJuB
lu0
'IL ]u0urarlQ^oqlul 'L olual oluopeJ I ollrol oOtlod
: g onbtlirl :, slgSgp : lelr8nd) ên8uel : luouadlnbf
[spunor sureq]old stoll sêp slol nol ap Jnol uos op lnqÈp lsal - at PJte 0lutLLl êun
ne JlolJO unlne e,u luoLLtasst€luê,ll ornssolq ap slutod 9 r..rr_e êlsê_t lt ']10^nol
lrqns lê oQUUostoduro lsa êllê 'loql?,p sel uo : (0 lo ê8?rd un Jautnoluo) .
ol!)gJIQ af,uelsts?u op tsel un rêluêl lrop êlodlqrLldure
un 0rluol sanu suteu ? onbelle aun ltssnQr rnb êrnleorl
. O. -l p:.olo.. .o
OlnolJ xnoluruo^'o lUeqeJ'(neo,l suep luaLuoreld?p
un,p srol snleLU unlne,p arJ]nos 0u lê'snl8Lr] sues neo,i --r:_i! r!tod puno..t onlleqr
snos roirdsor lnad olodtqrLldLUp,ll uotqrqdLUV : sglDede] ll3!^ ap lsal un rêntlo#o,p
, rt [l\ 0l : uotl)algo .
tel rBnd' [sorQar, rrrr;;)'.:iiil", à -.._.'-rtJol » 'sQtde-ll _r o^) soSQtd
'uorl9..DstC : (lueuonblun adnor8 ue) so)uelgdruo) . :tt?1, rios_tod sêl !o^tllesQp
- : : a:!t:;ls,{s cLilol! ol c_lluol
,lTl-rl f:tf f,ÿl .. ._r..,r ap Qp Lrn alorLêL|e OQl
@/ \@E@r o@EE@1 - . .: - r_ l-r-al sunllodlur sol ]êutLu
. r ::: -_. rst,tt.u'sênlltleLtolnpJasel
: . : - -r ra sêl irpuo solLtLod 'sêssol
: ,- ,.r _r ...-.rt !p OQSJoAErl e puot e3
ffiffiffi,ffiffi .dor;1, .p,E a I
'oluelsrp q ero-rd lne ltsres op
.. .,-'.: t.lsqo onb?ql € uotlerodo,l
lor-urêd.rnol onBuel onBuol rnêl lo oBeu el oltlrrEl _tnêlnEU : .c al 'sguuop a8e1d,{rr un q lo
el êp suês ai supp atlelde anenb rnêl uruêA op sêl np : -.
. tsa ê3Qtd onbeLl) 'JOStlprlnou
-ue sa11r-r8 op sQlop s.rnêu?lsod sarqutêLU arlenb srnêl
êp l0 sorqQlia^ s.tn0l êp 'êu?ll "mol op luosspdgp sosnas
so sêluesslollxo s0C 'êpne snlnLU un olQllQS sêndell
sê..rnla?ll salrled sa: êp uolteL_t-t lê l_rê^ oQ.rqleLl need e-1
(l i O) êfl)uJto enbrleuroJut.p
: -:,:. ,:1
.;31?_t d ;p alual nb fd un
[eulgstr snsÀd ro t'todtElHdhrv . _:,: -.' _1i-rolri BLU ..tnod êxa dulol
. : .;.;-.-.ii 3r3_têuJ, suep luostnd
'srnbuot utelal ,- .-.. ,. - l:ral sa;Qia sas ;p êlQ_tluol
uê o-roll es sed 1L_ta,lop au stnenol sêl .sJOUuotlluol . d..sd_1
lueualr elred sauqlsÂs lo so^tlleut s uotl:a1o.rc1 lu ?u.ie l
le uê xn0tl sêl suep uotsu0l eg lo,uesgrd sloJOlnol lrop
nal np er11elu e'1 snld luouuollluol au soplorp srlj la
saBqrd sap 1-ledn1d el JO'solrel luos as ar8_raug,p sa,uas lla sn.rlu s0p êQAU
-Qrsêl 0l^,10s sroq êsu0JÇp ep sltlrsodstp sêp luorÂnoJ
-gp s1r 'eldLual np srnêt.rQJUt xneo^ru sa1 suep anbsnl
- .. - l stLrcC sa qa sa8qtd êp sQJlnrl
uorqeroldxa,l luessnocl s.lnanol saFeuuosrecl sêL lS
:,atrê1 1ua.,rned slnala_ro1dx3 sa
srol El ? solqs op sednoLB :r _ r', tlPSÊQ rnod s1lnq sonbtleu
srorl ru0Alêlüt 1re1 anbrssel: ê_iluolLto_j oun lo,stoll ap - -.? si_ir xne _têpolle lue,nnad suaD
sedno-r8 red luenbelle s snqAd op seloclrq LldLue sa1 :: sapnlrlde sal ta,rnoldg,p
-raarsê,1
lu0LULUelou 'êrQluel rn0l rlqelQ 1uo,,\ surel_ra3 .ornlt_t-tnou -:rL,ol el q 91depe un
leuos..te lnol
êp 0ql_raqlor pl ? xnelol srnalepgrd êp êrqL.t-tou urEllêl
-.- s-.orltalold sê_tlne la lequol êp
un 0LUrêJuêJ e dueq e1 'o-xnol op snld u; .axalduro: , --'? !li_tnl?s ap sa8e ;upenb sop
ê lnol suep Çlunt?s ap sêp.t.olp sop r qredgl op o9pl '.1_
!iril?Llt tonllp luos?sl
l-d sol
auu0q el 1na e31_to;1 'saptdn: suorluolur,p Ju-lnou sues
'0luolrs êl
lu0^rAtns
_.tosQJl u0s ap suatpteB se anb tê_tnsse,s lnod
a;duto,r t.;3.. -.3 , are iuot np solellsêlue sosuolQp sol
p;1 e1 red Çtdepe 93nl 1a11e êjtna no [60 | 'su oLtrLteÊ., s;-rê.\,-o saltod sal stol oun.sdural8uol sQLl
eSed e1 q 1ua.ln8g rnb xnat onb lol) lrosrod un q autLl srndap xnai sac acllçtnb e1 gBuergp e,u euuos.lecJ enb
lrA pl op uorlrsodxe,l '(luoruossr?luo,1 ep aidruo: a,rnaLd 'a-tq sst-tcc êo aqlnol assredq aun,p oltalnolol
sed lueuuerl eu rnb) sserqs ep slutod ,sleBOp
0l ep lsa êlel_ms a_tputoLu
e-l olts np ?luele a8g,l rns alnop
slurod g 1 ;ed elnpe;i es lnad e1e: ,lrltsoclstp np unlne êsstei êu eÇuUUOl a-lqqdsou1e,1 'JnauQlut,l V
DROiDE DE SÉCURITÉ En généra1, le \,lJ ne cherche pas spéctalemenl à ell
H UTT CESTRTIL [RTVAL]
AÊr richrr es personnages joueurs au delà de eurs rêves les
plus lous Si les PJ surrnonleni tous les obslacles el par
Ces droides de sécurité datent de 1'époque où les Hutts
vjennent jusqu'ar-r l-r'esor, il paralt normal de es lalsset
occuparent encore Varl, leur monde d'origine. Leur forme
en recueillrr une parlie, ne serail-ce qLte poLtr s'acqurt
évoque d'ailleurs celle de leurs mallres.
ter de certalnes Obligatrons {ou sinrplemenl pour l.arre
quelques foliesl. l\,1ais la forlune rncommensurable de
Vortga frsque de comprorreltre séneusement l'équillbre
d'une campagne. Heureusement, le Hutl élail atrssl pa
ranor'aque ei égolsle que riche. S'il ne pouvatt pas joul
de ses brens, personne d'aulre ne le pourrail non plus, i1

se L étail jr:ré.
Compétences : Corps à corps 2, D jslance larmes Le dernier piège, et le p r-rs dévas1,eleur, se déclenchc
lorrdes] 2, Vrgrlance 5 quand les personnages jouer-trs pénèlrenl, dans La
Talents : aLlcun char:rbre lorle. Un cornple à rebours caché démarre
Capacités : Dro'de {n'a pas besoin de respirer, de man alors Au bor-rt de crnq minules passées à l'inlériertr, les
ger ou de borre, peut surtril,re dans le vlde ou sous l'eau, PJ enlendent un grondemenl sourd, un lrémissemenl qui
immunisê conire es porsons el toxines) ; Langue hult [le se propage dans ioLll le complere. Le sol cornmence à
drorde de sôcunlê hult ne parle pas le bastc el ne Le com- s.^ craqueler et une partie du trésor disparall dans les
prend pas non plus) lrssures Les PJ disposenI de quelques secondes pour
Equipement : carabine blasler IDistance larmes rassembler ce qu'ils orl sélec[ionné el déguerpir. Le \t1J
lourdesl ; dêgâls 9 ; critique 5 ; portée ongüe ; rêglage doil alors ieur rmposer des tesls d'Athlélisme oLt aulre
étourdissanll, riibroôpée [Corps à corps;dêgâts 5: compélence appropriée. doni Ia dtffrculté dépend du
crrlrque 2 ; portée au contacl ; Parade 1, Perforanl 2, nombre d'objets que 1e personnage cherche à ernporter
Sanguinaire 1l (Facile t$l pour Lrne quantrté rarsonnable, pLtis plus dtf
ilc le, à I'appréciairon du \,'lJl Un échec à ce lesl tndlque
que 1e pcrsonnage a perdu quelque chose, qn'i1 esl bles
LE TRÉSOR DE VORTGA sé par une chule de gravals, ou qu'iL subtl une blessure
crltrque ou queLque auire eflel désagréable
Lisez ou paraphrasez ce qni suil quand les PJ pénèlrenl
dans la chambre lorle :

fo rtes sorl(.'s r-le reliqr-res pe uve nl êlre glissées

I oa i,.. N4J l?e . .C I pso ur, H,, I. Lle- L,ôi, i , Cs
à l'intrigue générale a ceLlx r,lue recherchenL lr:s PJ
ur pu s lOl lien D(. Vu q.r' .uu, s rudÈ, ': .', s:
Cæur de Gamorr : ce|te genlmr: vert foncé ciont
1e cenlre paLplte d'unc lucur [ourbillonnan[e, ioyav
prêfére de \brlga, pcul se vendre 50 000 crédils r
.rfl ul r,r ot ncJ
LAme de la sirène : cei enscmble de sepl r-ristau^
[ctOr r. 1,l /l'( ir.1i,âr Jrr ^l^J op1!r5rlCIOO,t^
In'r rliq rê ^ aÊn nrl .u I's i11, 1r (htr pat uc t,ur r

I c' , , çller ,çr'1 ,,.tS UCl,, \'tôS >êr +.. {, fl6 lrrP
pièce correspond un son drffêreirl. Ouand on lail
trntcr plusie urs prèces ies unes contrc les autres, la
nrelodie produrte s'avère en(.ore plL.is enchantercssc
et dépencl cie nornbi'e ric-: cnsLaux r-:ltlrsés Les six crts
ld r\ r( 'llr ' 1( q Llal 1 I I a,Ih p .'Lt ,'a é'ê, el I

, n, .ale, o I e o. /l000. icrr ,\

Les rouleaux de Morrigan : recueil des êcrils du
célèbre Silh Dark N.'1alak, ces parche r.rlins renfermenl
une grande partie du savoir de l'ordre et dcs lactrques
r I 'llô\Ê(. u r.dni ta Ct.e, ru ( \ 'r'Or. J*4'. CC: r.r
irl- r ,a -1 a) pf \ UJtr , 'f i '- JuOrr . LJI' r"r..,'('. Un
neLrrs d'objets rares el de curlosil-és, rnais peuvenf
ult.Lt rr'..1.\ /tAtrU0(,1rli.-.v,,irCCr' 1,l afF, ,l) ,!
d'r-rn acheleur conscicn'r rie leur signilicalton.

RENCONTRES MODULABLES
LEj§ BAR]OTS DE NAL I{UTTA
 rt ,Eu nE R0rr

lctntlis cltie l'Empire ràr7ne o.sfr:ii.srDlett{:rtt st..ir la qoia.xiÉr. a1 .li-ral?-s ptir-s.si-rt;r.es

es.e rce nt lt:itr sirtistre tnflLtence rloil-s -qe-s reccirts le-s pir-r.s loache.s. Cr:,çl lc aû-s riril;-s

ILspctct: Ht,ttt. ou l'oL'oricc est ie rrit:itre: noi. e:t oir le.s l';rir.ort.s ciii crirrt:: ndl)ii{st.:t)i
une soif {ie poti\,oir,ça?/t.s iil?lile-s. Auii-ctntTiie penèire doft-< ietii clonicitnt: tioit
s tii.ty;rêler à rili,ser'gro.s ntcrts ie jeu eti ',,(.1't.it lct i:ltctrt:it:lle

Sillonnez les ré.qions les p Lrs nnl la -,ees Jes bas.Ïotrcls galacliqur:s ltotir voLts
lrotler aLrx Benons or Nnl Hurrn. Fxplorez les rrai'ais de ia plaIele des Hutts -^l les
slrat.es de Nar Sha,,ldaa. puis r:xpiort'z ics riiendLies sauvages rle Kinian, cie Sriltrlr
,,1 i, lor',.';a.(el L.\'or Or ,ar ., eq,r,, SO.',l ib.rr,\P e\',J,'ilt
les pLus.rmbilieLlx aur-oni besoin pour cirercher Ïortrrn0 dans Lt: cioirrai:re cles ptt-ts
cÉlèbres parrains dit ctinre rir: i'ttttl,,"ers
( e o,tr .pe ro .er
r Les tiches détaillees de toLil,es les planctes irxpol'ianles d.. lEspace Hirli.
. Oriairc lolrvclles espeLe5, \,rol pr : t's pLrssanls Hutts.
r Dcs ainies, ins[[inrerils, produ:ts de ccnlrchande eL r'énrcLries qu'r-ttritseIl el
\êi rtrl -s^r-:,lr.li.l >C e.l:-r-,; .S.

. Cinq r-enconlr-es nrorinlairle s ciue 1e l"*lJ ileLi: ll lçer poLlt : rfu g. e r ccrate
redorrable regior dan§ sa campagne ou ciêer une sêrie d aventutes oans
l Fspace Hurt ;

at
æ :1

EDSE &
=rE
èêiËr;lwltffi