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trET'ELæPPEUR ET§ CHEF' 槧ææru§eæL§ *ffi pffi*ææ§?tæru
Andrew Fischer Eric Knight

Écnlrupe m EÉvELGFPEMENT eæru§§p"§*§ §xe*§*"âË

§I.IPPLÉM§fi'YA§RE§ Corey Konieczka
John Crowdis, Sterling Hershey, Keith
Ryan Kappel et Jason Marker FRææ§JCTE{éæ §Xâ{§?âF
Michael Hurley
REIECTI"'RE ET RÉÉCRITURE
Brian Câsey, Molly Clover et Paul Poppleton puBLIeÉrtüftÈ
Chrislian T. Petersen
§lREm,§ru B= âÂpk$§âJ{?teru J§R
Chris Cerber 3§§3€§ffi§
Coordinateur des tests : Zach Tewalthomas. "Fortune
ca*{§Fri&ro eRÂpH§qerË §§ EA §AMME and Clory" : Mike Fannin avec Nathaniel Kyle Ng,
EDCE Stirdio, Davld Ardila et Chrls Beck Tara Ng, Dawn Fannin et Michelle Stepp. "Damned
IN SPACEI" : Audun Cabriel "Jegergryte" Lovlie avec
c8âr§§p"r§pê 6ffiÂpH*Q&§§ §E
' L'ffi?'§t§§E§ru Andreas Lassen, Jonas Svendsen et Anne Blindheim.
Christopher Nutt avec Matthew Anderson, Craig Lawrie
et Richard BIack. "Raknar and Pals" : I\,4att Pruett avec
Ben Barrow. Dyran WniLsetr , Justin Clark. Amanda
. §,iR€§YEU§ m§ L&(&rue€pmæFàT Pruett et Josh Price. Trevor Stamper avec David Boruch
§m,§,p§{§Qt*Ë et John Olszewski. "Squadron 66" : Jonathan Stevens
Brian Schomburg avec Eric Benders, Kevin Frane, Phil Maiewski, Linda
Whitson, Ben Erickson et Wayne Basta. ''Begging for XP"
RESPOruSABLE §E 1.A OIRECT§CIru Michael "Doc, the Weasel" Wilson avec Dustin Taub,
ART|ST!qUE Edward Dobbins, Marisol Esquivel et Richard Pratt
Andy Christensen
rR âDU€TI&â1Ë rRAnÉÇAr§Ë
§t k§§Y§§§{ A*?§§YIQ{J § Hélène Alonso et Marianne Feraud,
Zoê Robinson les Vauriennes de EDCE.

§ LI.âJ§?RƧT§§ T* §§ §æA'}'§MTU N§ mæL§€Y&3 ffi § §§ §§€É*æ§Yêi æ§

David Kegg eL l\4att Bradbury Stêphane o Legal Duck Mention , Bogard, Pierrick n Tan ,
Carry et Sandy n Pappy Boyington , Julien, avec l'aide
§ §-L§§rffi§§&r1t§ §T§*r §uR§§
a dArmand Crelier et Jean-Christophe Leboucher
Cristl Balanescu, Tey Bartolome, Arden Beckwith, Madeline
Boni, Alberto Bontempi, Matt Bradbury, Nora Brisotti,
Christopher Burdett, Sidharth Chaturvedi, Anthony
Devine, Tony Foti, Mariusz Gandzel, David Criffith, Joel
Hustak, Jeff Lee Johnson, Jason Juta, Mark Molnar, Jake
Murray, Thomas Wievegg et les archives Lucasfilm

LICEftTCE§ LUCE§
*§ffiHtrYffiâÇffi *ffi *mxymgcç s§r§tæ§ §&*ffi§ru§s˧eY§*# ffi§
p#ffituâ*&Yë#rd Jennifer Heddle L',*{*§-*tffi*ru
Carol Roeder Leland Chee et Pablo Hidalgo

TÂNTÀ§Y
TI,ICHT
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@ & rM Lucasltlm Ltd. Tous droits réservês. Utilisé sous autorisation. Aucune partie de ce produit ne peut etre reproduite sans autorisation écrite
spécifique. Fantasy Flight Cames et le logo FFC sont @ de Fantasy Flight Pulrlish ng, lnc. Ed tion franÇaise par Edge, marque cornmerciale d'Ubik.
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ISBN : 978-84 15889 91 5 Code Produit : UB|SWEO4

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 ttentlon I Ci:asse-rs er arci'ocire ! même puissânce de feu, un meilleur blindage e t un bou-
rl B::- r:i-- L:al:'B=.;- lêpondis je sèchemenl,
alors c:ie la::S:tl',-s,lr :ir.?SSeui-S TIE jaillissaient de
la baie ;e ?'::--Ê-: :=
'il cer:ai Protector's pour falre
barrage ê'- '= --:'-':Ê.:. Ê iiansporteur.
Te: ::-:r.s l-, :':.r: l-rl'endre.
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à cei:e : s .-:=. - : >.a S;iLiation évoluait rapidement à
l-.. -,:'-:Saaoior.l se rapprOChait de sa cible.
nleSJ'-ê
T:r:: .: -= I é all pas celle qu'on attendait.
C= ' .-, - i i: ; orêmiêrc lois qu ure lelle mêsaven
i:r:i Si [''J]:; s3,i. Après nos raids le long de la Passe de
Ra , -.'e :--r'-.r.is:on s'imposait : soit la Marine lmpér.iale
.:r3'-:;r . reJJ;ièrenrent de vaisseaux de ravitaillement,
s:,,: -::':
'e
d'espions n était pas aussi eFficace que
:'éseaLr
rr: rs siéi-ioirs. Aujourd'hui, nous tenions la preuve de
.a:é'ai.;ailce: aLr lieu d'un galion stellaire et d'un vais-
sEe.i c.escorte léger, nous faisions face à un lransport
--r.escorte impêrial accompagnê de ses chasseurs.
Aucun galion stellaire en vue, annonÇa Bleu Sept
-
a\.ec une pointe de déception
C'est forcément un piège, répliquai-je. lls nous
traquenL
Ce n'êtait pas non plus la première fois que cela nous
arriva iL.
- Peu irrporle, Bleu Cino. telorqua lcader BIeL,. A
'tous, vous connaissez vos cibles En âvant
!
Lescadron s'élança au combat. , Nous pouvtons dê
truire le transporteur avec nos torpilles à protons, mais il
lallait d'abord percer la ligne des chasseurs, qui progres- . grâce. Si j'êtais détruil, il raitraperait Six en un êclair
saient d'ailleurs bien Lrop vite pour de lels engins.
- Merde I Des intercepteurs.
- Hé, Cinq, ta cible favorite, ricana Bleu Sept.
pas encore aujourd'hui que tu vas devenir un as, hein ?
C'est
. Oue tu crois, Dex, rêtorquai-je d'un lon agacê.
Elle avait raison. Je n'avais jamais remporté une seule
victoire contre un intercepteur. Ces appareils élaient des
chasseurs de premler ordre, pilolês par des as de la l\4a-
.rine lmpériale. En général, j'avais besoin d'un coup de
main. Pire, Dex avait gagné son statut d'as en me sauvanl
a deux reprises.
. avant que mes boucliers ne se désintègrent. Sans protec-
Des etlals.oe laser explosetenL loul auLot,t cle nols
alors que les intercepleurs apparaissaienl dans nolre de mes tirs entailla son aile en lorme de dague et le for-
champ de tir. La moitié de nos pilotes engagèrent le
combat tandis que le resle de l'escadron lransperÇait l.'s J'interrompis aussitôl mes tonneaux pour le mitrailler de
lignes impériales pour atlaquer Ie transporteur Les inter-
cepteurs nous prirenl en chasse alors que les chasseurs enlralnê par mon êlan,
TlE, moins rapides, défendaient le vaisseau.
J'espérais que mes heures supplémentaires dans le
simulateur allaient payer, sinon la situation risquait de
. tourner au vinaigre. Bleu Six - mon équipier et moi li-
râmes des raiales de nos canons laser pendant que nous
rompions la formation et que tout le monde chojsissait sa
cible. D'une embuscade en masse. la bataille se lranslor
ma en duets spatiarx.
Six et moi tentions d'abattre deux inlercepteurs lancés
à la poursuile de Bleu Neuf. lls rompirent leur attaque et
se mirent à fomer une boucle. Les intercepteurs nous
surpassaienl en vitesse el en agililé, mais nous avions la
clier. Comme d'habilude, mes tirs se perdaient dans le
vide alors que je tentais vainement d'atteindre ma cible.
Ça ne marche pas, Six. On...
-
Une violente explosion d'énergie verte ab)altit mes
. boucliers et secoua mon chasseur alors que. deux in
tercepteurs nous dÉpas-saienl en trombe. Je tirai sur le
manche pour riposter. A ma grande surprise, seuls.trois
jets de laser fusèrent vers le chasseur, mais iela suffit
:
une explosion de gaz vert ionisê projeta des débris à tra
vers l'espace. f intercepteur êiait delrult:
Le deuxième châsseur prit alors la fuite pour êviter les
tirs mortels dlun autrè X-Wing. J'espérais que ce n'étail
pas encore Dex, mais je me rappelai qu'elle avait pour
mission d'attaquer le.lransporleur. Bolts, l'aslromech
installé à l'arrière'de mon X-Wing, couina à lravers le
comlink. ll me suflit d'un coup d'ceil pour en comprendre
la raison. Mon canon laser supérieur avait disparu, em-
portê, avec un morceau de I'aile. Les systèmes de dia-
gnoslic rn indiquêrenl I ampleur des degaLs.
Bolts, transfère l'ênergie du canon vers les boucliers.
Fais-nous gagner du temps.
Les tirs simultanés avaient abattu mes boucliers d'un
seul coup. Encore plus mal loti, mon équi.pier se tralnait
hors de la bataille et s'efforçait d'échapper au champ
gravitationnel de la planèle pour s'élancér vers la sécuri
té de l.'hyperespace..J'étais seul, coupé du reste de lles-
cadron. Une siluatiori très périlleuse.
Lautre intercepteur était loujours verrouillê par mes
instruments : . il se dêbarrassa de ses poursuivanls et
effectua une boucle pour revenir rlle porter le coup de
J'avais un plan simple et délirant pour nous sauver.
- .Bolts ! Puissance maximum aux boucliers avant
Cardes.en juste un peu pour les carions et les réacteurs.
I
De toute faÇon, si ça ne fonctionnait pas, nous n'au
rions plus besoin de rien. J'orientai le vaisseau vers le
chasselrr imperial en ellecluanL des Lorneaux L"ê's sert es
lntérieurément, je croisais les doigts pour que le barrage
de tirs compense la perte de inon canon el perturbe les
allaqJes de t'lmper ial.
ll rele\a le deI sars hésiLer Des ra'a es de la:et s'abaL-
tirent sur moi. J'espérais pouvoir toucher I'intercepteur
tion, il ne pouvail pas résister à une frappe.direÇle. Lun
ça à changer de lrajectoire, Iui faisant manquêr sa cible
lous mes canons. ll explosa et je traversaila boule de leu,
- Hé, Dex, tu t'ês encore plantêe I m'exclamai ie dans
le comlink. Dis bonjour au nouvel as de notre escadron I
Le trânsportèur lmpérial vola en éclats, illuminanl tous
les vaisseaux survivants à la ronde.
- Felicitations, Cinq, répondit Dex, mais tu t'adresses
au tout premier as de nolre groupe à avoir descendu
un vaisseau capital. Essaie un peu de me battre sur ce
coup-là I
Je lls demi lour en direction de Blue Sii en soupi
ranl. Man lesremenL. javais ercote ur long chemin
à parcourir

槧-/
' 'solueuJro1rad sarnollrau sal roll ue;nod sêlnltL{?A srnêl
sêsnêlll.lQd suolsslLu
sêp la sêQUglJJo solrnsrnod soslnol sop 'solqeJolr-l
-ouJ slBqu]ol sap êuQls uo aJllêLU lo soueuols solqelorl
-ur,p JêroqelO luoJJnod fl4 la srnanol 'e8er,lno let ap
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luanlrlsuol sôlnlrL.{?A op la s.rnêsseql êp sleqLUol s0l
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ËæMffidhr'ffiffi cHe§sffiffiRs ET §38
weffi§-e§ffi&§tuffi§ ffi&re§ §§reffi &trÆR§
il es combats de vaisseaux et de véhicules sont un élé-
Lment primordial des guerres et des conflits qui agitent
la galaxie depuis des siècles. Pilotes ou artilleurs, les as
ne chôment jamais s'ils se trouvent au bon endroit au bon
moment. Malgré la généralisation des véhicules automa
i tisés et l'utilisation de pilotes droïdes, des etres vivants
continuent de grimper dans le cockpit de la plupart des
appareils militaires. Même si I'efficacitê des pilotes droïdes
comparée à celle des etres vivants reste sujette à débat,
la plupart des commandants fonl confiance à la créativité
et à l'ingéniosité des êlres vivants pour gérer les imprévus,
F
que ce soit au combat ou ailleurs. Le talenl des droïdes ne
dépend quant à lui que de leur programmation, comme
on a pu le constater à maintes reprises en observanl les
forces séparatisles lors de la Cuerre des Clones.
Les meilleurs de ces pilotes sont désignés sous le
terme d'as. En génêral, ce statut s'obtient au bout de
ê cinq victoires contirmées, mais les qualifications diffèrent
en fonction des organisations. Les as sont considérés par
leurs pairs et leurs ennemis comme des pilotes d'excep-
tion, mais tous ne sont pas des pilotes et artilleurs de
tr prêcision. Certains ont simplement eu la chance de se
trouver au bon endroit au bon moment, dans un environ-
nement où les cibles étaient nombreuses. D'autres, plus
à la hauteur de leur réputation, totalisent des dizaines,
voire des centaines de victoires. Les plus glorieux et les
l'
plus compétents d'entre eux obtiennent le titre de Tan.
§ INTRODUCTION
GELE rrERPorrLLÉE
:f
:§,,
iJ r!;
f -.r'
Les pilotes ne sonl pas les seuls as de la galaxie. Les
servants d'artillerie, embarqués ou pas, peuvent égale-
ment prétendre à ce titre. En gênéral, ils doivent obtenir
un minimum de cinq victoires, mais quelques organisa-
tions dêfinissenl ce statut en tonnes de vaisseaux dé-
truits. Certaines vont meme lusqu'à prendre en consi
dération la part de pilotage automatique ou assistê par
ordinateur dans chaque victoire, de manière à ce qu'il ne
suffise pas d'appuyer sur un bouton et de laisser l'élec-
tronique et les capteurs laire le resle.
La plupart des organisations requièrent des preuves
conirrmant les victoires. Celles-ci sont gênêralement
fournies et corroborées par les enregistrements des cap,
teurs des engins ayant survécu au combat. Cependant,
Ies observations visuelles et les enregistrements holo-
graphiques sont egalement acceptés. Dans certains cas,
la confirmalion vient de la localisation de l'êpave d'un
vaisseau ou d'un vêhicule abattu De nombreuses organi-
sations reconnaissent les victoires partielles et la victoire
est partagée entre les différents pilotes responsables de
la deslruction de l'appareil. En outre, la destruction d'un
vaisseau n'esl pas une obligation. Forcer un véhicule à
atterrir ou à se rendre par tout autre moyen est géné-
ralement pris en compte dans le tableau de chasse du
pilote ou de l'artilleur.
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Led se,p lnlels ol luouuotlqo senbtlenbe no sarlsolJol
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slequol ep sLol srneldallêlut sop lueloltd ua ttrgnble,l ç
sed lueprel au se,p lnlels al sed 1uo,u tnb xna3 0lQpour
otlne un rns sa,n'na;d srnal lleJ lto,ne sqlde salqeJAnooueul
1a saprder xnBassreA ser te1o1td op llolp al nualqo luo
rnb se suenue,p luos srneldollalut,p saioltd sal 'leLQuÇ3
uf sarrollr^ êp orqurou e1 led gututlalgp lsa s€,p lnlels
al 'sLnaldarralui,p la srnasser.lt sltlad ap saloltd sal rnod
sæ frtrs§w&{§ Âë §&§ ffi ffi âd§3Hffi aru â
'suorlnqullB slnol op arlred 1te1 sau.Lte
sep roldr-ua,1 rs se sêp Jruo^ap tssne lue,tned seloltd sa-1
'sa11ar1red no segBelred sollollt^ sap q noll luauuop
sQllns sal ep aBeluerrnod pueLB un saltolllA sal luel
-nLUnlle ua se,p lnlels rnal 1ua-rqtnb:e sorQtuuoue) sop
la ln?sse,p xneêssre^ sop rns sOnblequa srnallrlte sol
g
"§.â§w§sw"ffi Hffiw槧§Ye § §§ffi æ r* &§ffi ruw§
'se,p
lnlels
êl raurLUrolQp rnod xneasste,t ep slueqe8 no sedÂ1 slue-t
-QlJlp sêl uorlpr?prsuol ua lueuard suotlestue8to sautel
rar 'saoSel.red sroJainol luos sallolltA sa: ap 1:edn1d e-1
'luoLUOurJe,l ralgJluol ua lueueleBQ lua,tned seloltd sa1
'1e1rder neossreA êp alQpoLU np uorl)uoJ epnltlduueu:
epuel8 ap saul;e soJlne,p no srêseloqlnl sep lualndtueut
s1r,nbs.rol xneassre^ sol8 snld êp êlnJlgp no gq:otddet
u0{lnos êp juau0LUl€ rnol lo^e slur0uu0 slnOsseL.{l s0p
arlleqe luannad srnollrlre sal se sop .ltuo^ap êp Allllq
-rssod e1 luo xnelrder xneassre^ op slnalltlre la sêloltd
K#Wââ#W:§ Kë3W*SSëWdL
'se,p
lnlels
e1 anb sasuedulolQr sêJJne,p luoLUOlergugS luauuetlqo
sa8edrnbO sol 'xnêuoJlrA pre.l un,p no uotsstLU oun,p
aural nV nEOSSre^ al lueeSOlo,td ua slnalltlre sol la
alqer^næueLU ned rarpreqruoq un suep assanold e1qe1
-rJg^ êun srolted eluesqrdar rnb
o) - slLUOuua xneasste^
sop luelleqe ua ;tua,tted  luar,nad seloltd sal so.: --
-qLu sêluaJOJJrp p argr8 se sap luolop lua,tned s.=:
-reqLUoq op no xneosste,r ap saSedtnbg 1a selolLc ==
§§§§ffiæv§atræffi
'oluou ap lueuedrnbg .tnal tns luenet8 sol uê no --:
-ou sêl ua sorollr^ srnal luastllqeldutor statle,tel s- :-
-rer 'luepuedaf slanp sop suep luoularel lue8eÊua. --
saJrollr^ sol rauleLlluê,p uotlelo^ rnod sed JUo,u st -
10 uf orno^erq op no rnole^ op ar-uÂuouÂs aLULUOI :? :
lnlels ol sed luarQptsuol ou srotl€^el sêl'lu0u0lelÇ-=-
Kf?§g§§r§w
's0rrollr^ op arqurou ulelral un luBSIIelol u0 se,p .-
ol luouuarlqo sanbugqdsouu1e sutBue,p sêpueu.lLUol .' :
soglUq solOl la srnallllrv 'sololld 'srnoluol 'l€JQUO: -:
sru§ ëH§w §sê ë §ru§ §§ë"L§rw §
§§æwfl?r* §æffi §§æffiââæe "§#æffi æ§d§ë lv
se,p lor)UJo lnlels êl .tugnbre lue,tned salolrd s.'-
luop orQrueLU EI llrlQp eqder8ered enbeql 'oJlno u: - .
-no:a"r Â,p selqridarsns sy,p sedÂ1 sel enb lsule sêlr'l -:
êp olsrl aun asodord uoulos êllal s?lle^ solnllqg', !.:
luelolrd sV,p oJQIrel el q sOIlUJe sa8euuoslod lo st :=-
§§Hm&Nmw I:l
§mrm3§H§ru 'xmws§lv
aqduorrl rnê{ ap rtnolrnod ranbtpue.':- :
ep sed luorenbueu au sruauuo sos lo 'OlOllos oun.a -
Qlrun êun,p leroLU êl redes lned artelndod se un,p ê.-= l
el 'lnol sQ.rdV ur8ua rnal no otA rnal olluol sQJlçl-=:
sêlle,p uqe,l ? sed luos êu se sa1 tonb.tnod ?ltoA Qls:-r:
no xnarnale^ oresJO^pe un arlure^ epltsteld e1 1e ettc . .
luor..llraLll seloltd ep êrqLUoN 1td>1ror rnol ap sJoq ê; =
'senbelle sap sro3.red luassrqns so;qQlÇl snld sal se s=-
-
luauuetlredde s1t sallenbxne suotles :.
-ro sal la se sol oJlua uotutdo,p saluoJ?Jllp sollonluê'r:
êluolrs snos rassed q oluepual srnolnol e uo 'ltlqrt .l
'3ue; rnel ep seu8tput sQlrlo^ul sap oulLUol luarQp s.
s1r.nb ar suep sduel :na1 erprad op luasnJal soi-': ,
anb s;o1e oursprsnoL{luo puer8 un re,te enbtlqnd a.z.-
allalnou rnel luarQB snpr^tpur sulelJaJ sueJ op siê
sap red sglnpe 'sanbrlreleB sorgq sap auOU no sa ?
.stLUOuuo
sgluqQIQr sop luouual^op sun senbleno :. .-
êp sossolqreJ sol la suorlestue8ro srnal op sQllr: :-
rau8rlnos ? luesr^ alloq)Q epuer8 p sanbtlqnd suo -: --
ep au8eduer aun,p oJpel ol suep lu€^e ua stLU t-.. :
lauuorlderxe sqreu-L1ed np se sutelrot anb a,tttte
rrlqnd ne ru solrun sorlne,p e sed puel?,s ou êllo'lE- 1..
no oJreurproerlxa leqLUol un suep gnbtldLut Ol? llE.,.. .
-lrlJe lol no e1olrd ar anb, surouu q steut'uotpelsê u:: -:
urês n8 onrlle QlQUolou oun,p êrluQuoq se,l 'lerQt;j .
'soprorp l0 suorssrLU 'suêDruelQLl] 'sêlnllqQA sln0llLa -- ::
no'oreles ep uotleluaLuBne oun,p luatlUQUQq sLirz---
'uorlesrueS:o,1 op uorlluoJ ue seBelue,te sollne,p or' - - ,
]a uorlelnd?r es relueur8ne,p leuLad se un rtua -:
 L§§ E§ & YK&WMK§ && ffiE§ÆK§ ffi
ffième si les As appartiennent généralement à des
I I Iorganisations milttaires ou paramililaires, on trouve
des personnages aflrliés à cette carrière dans toutes
sortes de secleurs, auprès d'employeurs variés. Cela vaul
pour les pilotes de vajsseaux. les mêcaniciens, les artil
leurs, les pilotes de speeders et de marcheurs, etc. Un
personnage peut êlre afliliê à la carrière d'As pendant un
long momenl avant d'obtenir le palmarès ou le statut né
cessaire pour etre olhciellement reconnu en tant qu'as
Vous trouverez ci dessous un résumé des rôles potenliels
classês par spéctalitê
§A§y*&§*§§m
Les Cavaliers sont passés maltres dans l'art de chevau
cher les montures indigènes pour parcourir les terrains
accidentés des planètes de la Bordure extérleure et des
mondes sous-développés. Ce sont des êtres robustes à
force d'être exposés aux êléments et de devoir maîtriser
' leurs montures, une caractérislique qui Ies rend particu-
lièrement eflicaces en tant que guides, chefs de convois
§ur les roules commerciales isolêes ou êclaireurs mili-
taires LAlliance rebelle emploie ses propres Cavaliers
pour eflectuer des patrouilles dans les bases reculées,
surtout quand les ressources mécaniques sont difficiles
à obtenir LEmpire lui,même utilise et entralne des Ca-
valiers au sein de ses forces militaires, lorsque la planète
ou la situation le justifie. Par exemple, les dewbacks de
Tatooine sonl des montures résislantes, parfaites pour
Ies opérations des Sandtroopers.
F***Cffi#ffi
Les Fonceil-s s..,
a e\ce lenls pllotes de véhicules pla-
nélarres Dars,ai:'. s sonr ausst habiles qu'un pilote de
chasse dans eslale À-, scl ls exp oilent lous les avan-
lages de leLirs ,, Ét:1.-t es .ALt setn de I'Alllance Rebel e.
les Fonceui-s piioler, ces sleedei's, des atrspeeders et
des rréhicr-lles lerrestres. à la fots civils et mililalres. lls
lirenl le mat.ntLtr. de eL;T eqLt pemenl el dornptenl les
véhicules déLabrés es ho,, ertanks sLtrclassês el Les airs
peeders bringueba air:s lo.l-nrener à bien les mtsstons
de l'Alliance Au sein des iorces tmpéria es, les Fonceurs
pilotent les redoutab es narcheurs TB-TT, alnsi que
d'autrOs machines de gLrerre Ce sonl ies ptLotes plané-
laires privés des ofltcters dÊ: pÊrSor'rr'têges publics et
d'aulres dignitatres. En dehors Ce l'Armée, les Forrceurs
rempiissent des rôles stmiaires dans des unilés rnerce-
naires, beaucoup d'enlre eux a_\,,anl reÇLl une formation
milrtaire. Les sociétés de transporl. es conlrebandiers,
les chasseurs de primes et autres employeurs de la pègt e
recrutent des Fonceurs pour assLtrer des llvraisons ra
pides et elficaces, en profitanl de leur aptilude à êchap-
per aux aulorités locales en cas de besoin.
- .ij l T{,Ë-
Les As Arlilleurs sont recrulés por_rr diriger ou faire par
tie de l'êquipe contrôlant les balteries cle turbo asers
des vaisseaux capilaux, rnanceuvrer les tor-tr.^lles cles
chasseurs lourds ou des bombardiers, el renlorcer les dé-
fenses des armes lourdes lerrestres ou montées dans des
G INTRODUCTION
crBLE VERRoULLÉE
stations spatiales. Au sein de lAlliance, les Artilleurs sont
alfectés aux meilleurs vaisseaux capilaux et aux forces
planêtaires rebelles les plus importanles, comme les uni
tés d'artillerie Leur maîtrise des armes conslitue un alout
supplémentaire sur les vaisseaux effectuant des raids pê
rilleux. Dans les forces impériales, Ies Artilleurs d'êlite sont
assignes aux destroyers et super destroyers stellaires, ain
si qu'aux installations de hauie sécurité. Les unités merce-
naires emploient Ies Artilleurs pour exécuter cles missions
de combat similaires. Les individus qui suivent cette spê
cialitê ont plus de difficultês à trouver du travail en dehors
des unités militaires Certains sont recrutés pour protêger
des installations sensibles ou des VIP à la solde de riches
sociétés ou de corporations interstellaires.
Y&Ys mffi*ê"Éffi
Les Têtes brûlées sont à la fois appréciées et redou-
têes par leurs supérieurs, par les pllotes alliés, ei sou-
vent par leurs propres passagers Ce sont en génêral
de jeunes pilotes peu expêrimentés. Très compélents
et sûrs d'eux, ils sonl souvenl dêsemparês lorsqu'un
combat ou une manæuvre ne tourne pas de la laçon
espérêe. Leurs tactiques téméraires sonl à la hauteur
de leur comportement souvent flamboyant. Leur poten-
tiel attire souvent des chasseurs de tetes ou des em-
ployeurs, mais leurs résultals en dents de scie peuvent
jouer sur leur rémunêration ou sur les missions qu'on
leur confie. Les unités mercenaires et les barons du
crime sont êgaLement prêls à parier sur les Têtes brû
lêes. LAlliance Rebelle apprécie leur assurance et leur
façon d'être, mais peine souvent à trouver des unités ou
des missions qui conviennent à leur personnalitê. Peu
de pilotes impériaux sont de véritables Têtes brtlées,
car une lelle attitude peut les empêcher d'aller au bout
de Ieur formation académique et militaire
p§L#Yffi
Les Pilotes sont aux commandes de tous les vaisseaur
circulant dans l'espace et dans I'atmosphère des pla-
nètes. lls allient talent inné et formalion d'expert pour
tirer le marimum de leurs compêlences Au sein de l'Al-
Iiance Rebelle, les As Pilotes complent parmi les indivi
dus les plus convoilés dans chaque branche. Les meil-
leurs se relrouvent génêra emenl aux commandes des
chasseurs, mals certains sont assignés à des opérations
secrètes pouvant les amener à piioter n'importe quel
type d'engin Au sein de l'Empire, les pilotes de qualité
sonl également tenus en haute estime. Chaque pilote de
chasse doit manifester des talents extraordinarres pour
survivre malgre l'absence de boucliers des TIE Les pi-
lotes ayant lait leurs preuves bénéficient des meilleurs
véhicules et des missions les plus périller_rses. lls sonl
êgalement très recherchés à iravers la galaxie. Les unités
mercenarres ont toujours besoin de bons Pilotes, et rê-
munèrent grassement les comllattants d'élite. Les socié
tés de lransport lêgales el illégales emploient également
d'excellents Piiotes pour assurer un service plus rapide
et de meilleure qualitê, même s'ils sont souvent envoyês
s.r" es lra'eis le5 prJS ti\ques.
 ,_511ncÿêtètl t1al,
NOtJ_lnoourNt
?luel ?lo lre,u opre,l ? lodde un,nb oUQLU lue^e
srnolos uos q rolo^ ap laLurod rill rnll ol'on^ ap srol"l
no leqLUol ep êuoz el suep êssa]l?p uê Qrlle un rêllêl
Qp lnod [d êl 'sroJred sQrlle s]JoJUar op no aresra^pe
un,p oluoururLUr oQ^r|e,l rollolQp no'del op JOSueql
lê apelsnqLUê êun rolol?p'êlrnsrnod-asrnol êul1,p srol
ru]êuuo uos ap orollaler] el ro^9rd lnod sarresla^
ll
pP sos rns QUeluoLUoLU ê3elue^e un rJQnbls rnod uorl
-rlpQrd ]ro^nod np êseq êp êLUroJ el rêsrlrln lnêd fd al
'lelleds lanp un no leqLUol un suep OBeBuo sro] oun
'suorleLUrolur sol op uorlluol uê rrSe p o.rQrueu el op
roprrgp op [d nP ]uarlredde lr 'sonolJ sê3Pur,p oLUroJ PI
o-rpuord luo^nod sêlrpur sol oLUu]ol uolJereu el suep
alqeroprsuol oSelue^e un lrarnble sreLU 'sop op o^ros
-Qr es e snuoq lrlêd un,nb luêLuêlqEqord ou3e3 au fd
ol 'aAelue^e JOrq un rornloJd rnl luorerAOp o8euuos.rod
un,p olrol el ? soorl soruêlodLuol sol onb opllQp lA
el onbs.rol luoLULrêDS luonboAUr,l slr,nll sups ourepnos
QlDelrdsrod êun (êlrol op rnêle^ êun JUO rnb) sê8eu
-uosrod surelrol ? LSSn€ ornlord êlrol el'luepuêdaf
'sluopolord soqder8
-3.rEd SOI SUEp SlUrQp SIOJJO xnOrqLUOU SOI êArlegD orQru
-?LU ep rolnLUrs rnod olrln rolQAQr as lnod la'olqrxolJ sQrl
lso uorllrpqrd so^rlereu suorlle sol lê nal ap slollo sol
oJrnpPrl ap uo^ouJ un orrol el luesrlLln soSsuuos]od
xne lo [L ] xnE orJ]o (Norrrrslu vr ro 3uf,-I op sêl8Qr op
or^rl np 009 oSed rroA) uorllrpord ro^nod solnlrLl
al
'oA sop luesoddo leqLUol un,p s.rnol ne olro! el op uorl
-esrlrln,l rêLrudxo,p ua^oLU rnêllrêLU ol lsa uorlereu el
rpêt^::â
5V 531 ZAH3 SfHOd m sal olrol sure-..{
x§!§ 3§,&w§-§§§ §§3w&s Tn
'suorle"rodrol sol suep
oLUQLU lO SOTLeUOIJOLU SOlrLln'leSgllr lougleur op sonbrl
-noq'slrodorleds'sle^eu srêrlupql sop llednld el suep
lreAerl np roAno.rl luê^nod s.rnollrnoprB sel xneossre^ sop
r
sogsrprepuels suorlsrnSlJuol sol rogrpoLLr e lo sluêLUêl8Q
xne rQqosQp ? aluepuol luo slr rel'srnollrnopLB ap ncd
luosrlrln soleuQdrur soQLU.rs solrol sal orelrlrLU oSesn
un q slr^ll xneassre^ sop luêldepe no'soleDÊds suors
srLU sop rnod rssne luasrleuuosrod sol slr sr€r-Ll'solqeu
suroLU sol lo solsnlQ^ snld sol solnlrqQA sol luouuarlêrl
uo slr luêLUOlnos uoN alloqau aluErllv,l red sQLl)roqlal
rpêf sol JUOLUTeT^ sed oDQrdde,u lerQUQS uo uorlelr'r -
el 10'alrol el êp srnalesrlrln sap Orluolu0,l ? suor-,-..-
serQ^QS ep lêlJ3 uo olroxê ordLu:,1 rnol q solJêd ê--. :
no rolro^Qp sêl ap orpurerl lo'so)uolQdLUor s,rna =:
êrnleu el orpuordurol oro^ lêuuo5dnos luarer-'--
srnallrlre le salolrd sof sQllolQp OIQ ro^e sues sr, .,
-rlrLU suorlesrueS;o sesnerqruou op ?rllUUr luêle ê-,-:
el ? salqrsuos sa8euuosred so;lne,p enb elqrssod -.=
'arrdu3,1 op IUoLUOUQ^e,l sQLde olJol el êp srnolps -
sol JOSrlelol la JOllolQp rnod rpeT ep alnEj ê{euÇ--,
-qqd e:ueq: oun rro^a,p uorsse;drur,1 rouuop JUOAnel !
'sorlne sop xna,{ xny slualel srnol op aurBrLo,l q lsa a:
e1 enb aldLuor sed aurgur luopuor os ou se surel--.-
'êrolegle uo5e1 ep lue^ros ue,s uo lue,- .
Ir,nb sQBrlru.r slellnsQr sol lo aQlUq êlQI oun,p oluerr ::.
renbrldxe lned arrol el uorlenlrs rnol lo luaLUOU,,--
ua rnal Jns salrpur sap rollol9r rnod 1eLurue,1 op le-.-- ,
-oug lelg,l tesÂ1eue,p salqeder luos no aJnluoll -"-
lo^e lrojlQ snld uerl un luouuorlorlua êlrol el ? s- r l
-uos sJOrle^e] sel eÇlrod en8uo1 p srl ap srol oleL, -
e1 enb srrgrd snld luos alJol el luEsrlrln srnollrllv s:-
'snolred L.l- :
a1
un,p 3uo1 sra8uep sap rollol9p ap no surLUaLll so-,--: :
re'tQder ep luelleurad rnol uo uorqeSo"rlsy,p sanltz--.
-
sJnol rolrlneJ srolred lned elrol Bl lênsrA rouuels êc
slnelder op Jr^Jês as sues xneêssre^ sa1 renberl lê :-.
srnel ;asrnBre rnod euo; el luasrlrln sarlne,C oJqr -"-
ep errolrelerl e1 rro,r9.rd ap lo srl sal La,rrnbse,p lê*-=,
rnal rnb aruarrse;d êp êlros oun,p luo^los os êli:- :
op srnalesrlrln surelraJ )0rll? u0 srul0uuê xne0ssr2' .:
.ruo1 rnod olrol el rosrlrln,p lre,l suep :luorellolxo 3': -
ndqp auuarruy,l op to sauoll sap orranD el ap
el : Çqlel lnole un,p luesodsrp sy
sQrl luos srnallrnoprE sel lue8re,p le sduel op r:,:.
-resodsrp op uorlrpuol p [eruepnrd e1 asodur,nb s--
sop ?lop-ne sroped 1e) aur8uo,p uorlern8guor rna -,
op-ne sêlnlrLlÇ^ sJnol iossnod lua,rned rnb seli.rgi-.,
eIQLU S0p luos srnallrnoprB s0l xnê orluê,p êrqL- , . -
s€l ol lso,l : selolrd sluollolxo,p sed luos ou s,r':
-rg se1 enb quelne rnod sed agruSrs eu e) e.l11eqL-.- .
enb lolnld'salnrqq^ sol .rosrleuuosred q la rê,: r.
€ luoLUOllorluossa luolsrsuol sarualgdLuo: slrê- --.
-osur snld sol sV sol rured lueldurol srnollrnop : ,.
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'luororlQLUe sanbrleLuglquue s9l»eder xnap anb srpuel srorl za;e,tnor1  sno,1 Nonlrslg \n ra iu!;l op saË€-
'suorldo sollonno.u op luôrQJuol rnal sol pQUr s4rlenOds uosrao sJp lu8r,.?)ur srnenoI se I rlod s.rorldo saluarl
srolI sV xne segldepe luoLUOrQrlnlrlred sreLU'êJQu.rel q;rp asodord 'sapueuuol irny 'arlrdeqr raruerd a I
31]lvrvg\fl 3(I UnI,f nU
. ralqLuêsse] os lonbnp rnolne eloquÂs èp aln€-
. 'asnel Jnol q salQueld se1 rerlleL E luaulod oluerllVl êi
uotlloqQà el op se sop a8eu saleLUoldrp sal :saleu?dLxr sêl;oJ xne slrol spuerB ê.
la
ec1e,1 luos uorleururêlgp ollol le sluellLeA slnæl so3 luaLUêre.r luosnel'soluel.rodurr,nb uarq'lueLuau8rasuê,
. slrolla sas snol roJlesuol . ap suorlerQdo sê-l suorJenle^9 sêl rr^r1ol ap anb arlne.c
aJleJ uarJ luauuanbrlerd luannêd êu sollêqêr sarlsarlêl
. ^,p
a8ernor ol Q^no..rl e salloqou ap êdno.r8 un sreLU so)roJ
op oluoJgJJrp alueser)?,1 gi81eu errdu3,l re1uor11e rnod sadnorl sâl rnoldue apuer8 ap ênbelle oun,p uorsr^ilo
sarrEsselgu prorl-8ues ôl lo rane,p sJrou sùl luo slue^r^ ua salroJ sas luelqLUêsser 'oQq)el 'aArlreur Olsal allê
sreLr 'eruerlly,l ap tuesstnd snld a1 1no1e,1 tso o]]oll el
sarlQ,p nod rrlqnd np sQrdne anbrleuerp lrpQrlsrp un la
solueuu op arQrleur ua salessolol salrad sep errdur3,1 q 'aJQrleur el ua s]e.
lueêSrlJUr 'luêLUOUuorsl^ordde,p sauBrl sop lo sle^eu srarl -lnsOJ sluallalxa,p ren8rel as lnad odnor8 un Inas 'sallaq
' ueq) sêp 'sêlsod-lue^e sop QSpr 1uo arxe;eB el slo^ell -aJ saJrelrlrLU sol snol rLUrEd rLUauua uos q sluanb)?suol
q sêseq sop srndop sogluel sanbplle salqerquJouur,C slg8Qp sap ra8rl;ur rnod sâluessrnd luaurLxesuJns sa?u
'xneugduu1 sal erluol
lueuuorssardLur sqreuled un ranb
-rpuê^êr lned allaqaL oluerllV,l op aLIluBrq aun olnos Jjd:3i?,ffi lï iii,T: % ;Jt if ::ii.u3 3i 3H=; i 5d
aÊnog repeel 'srorg ua^reg -
« i neessle^ oO CoAe zatn)os'U) SnOA snO4 ,
Ce chapilre propose également des Devoirs, des histo-
riques el des Motivations personnalisés pour êloffer les
personnages As et les faire évoluer.
Trois nouvelles espèces, les Chadra-Fan, les Dresse-
liens et les Xexto, sont désormais disponibles lors de
création de personnages. Chacune d'elles a des particu-
laritês physiques et des aptitudes qui les rendent parfai-
tement adaptées à la carrière d'As. Les Chadra-Fan sont
des lanas de technologie, et leur nature hyperactive en
fait de grands pilotes de combal. Les Dresseliens sont
des spécialisles de la précision millimétrique, dotês par
ailleurs d'une grande expérience de Ia cavalerie montée,
tandis que les Xexto sont connus pour leurs rêflexes ful
gurants et leur goût du risque.
Trois spécialités inédites, Cavalier, Bidouilleur, et Tête
brtlêe, proposent de nouvelles options pour étoffer tous
lypes de personnages. Le Cavalier prélère Ies créatures
vivantes aux vêhicules modernes. Le Bidouilleur n'a de
cesse de modifier son propre véhicule, de tester de nou
veaux systèmes el d'améliorer les moteurs pour en tirer
des performances bien supêrieures à celles d'origlne.
La Tête brûlée est un casse-cou rompu aux manceuvres
les plus agressives el les plus périlleuses pour anéan-
tir l'ennemi. Marier les nouvelles espèces et spécialités
permet de créer de puissanls As, même si certaines
combinaisons sont plus naturelles que d'autres. Depuis
des siècles, les Dresseliens domptent et dressent des
ffi§§Yære§&Wffi§
I 'historique doit être déterminé en commun par le MJ
Let e loueur. car il concerne à la lois la campagne et la
manière dont le personnage est interpréié. Iespèce à
laquelle il appartient représente souvent un élêment es
sentiel de son développement, de même que son monde
d'origine. Espèce et culture constituenl en effet des fac-
teurs déterminants dans le choix d'une carrlère. Cepen-
dant, quelles que soient leurs origines,
les As peuvenl provenir de mtltenr
très diflêrents.
selldus pour leur servir de montures, ce qui en fait des
Cavaliers émêrites. Les Chadra Fan adorent démonler
tous les appareils mis à portée de leurs petits bras et
gravitenl autour de la spêcialité de Bidouilleur Enfin,
les valeureux Xexto sont des êtres téméraires, ce qui en
lait d'excellentes Têtes brûlées.
Cependant, les joueurs ne doivent pas imaginer que
ces nouvelles espèces et spécialités sont réservées aux
As. Chadra-Fans, Dresseliens, et Xexlo peuvenl faire de
très bons Stratèges, Diplomates, lngênieurs, Espions ou
Soldats. De même, rien n'empêche d'utiliser les spécia-
lités proposées dans ce Iivre pour d'autres carrières que
1'As. Un Stratège peut devenir un Cavalier et diriger son
escadron à dos de tauntaun, un lngénieur adopter la
spêcialité de Bidouilleur en vue d'aiguiser ses talents de
mécanicien, et les Soldats - voire les Diplomates tirer
des bénélices de la spécialitê de Tete brûlée.
ll existe deux capacités emblématiques propres à la
carrière d'As Crâce à Longévité hors pair, la plus témê-
raire des Têtes brûlêes peut continuer de manceuvrer son
vaisseau à travers une véritable pluie de tirs, tandis que
Laissez-le-moi permet d'êcarter un pilote ennemi pen-
dant que vos alliés anéantissent ses équipiers. En plus de
ces capacités emblématiques, ce chapitre propose des
options êlendues pour les Historiques, les Motivations et
les Devoirs, conÇues spécialement pour les As.
La manière dont un As a acquis ses redoutables ta-
lents exerce une influence considérable sur son attitude,
que ce soit en société ou au comllat. Un personnage issu
d'une dynastie de piloles formés à l'académie militaire
de Raithal réagira sans doule lrès différemment d'un an-
cien pilote de speeder d'épandage lolhalien Vous trou-
verez cr-après un certain nombre d'idées et d'historiques,
ainsr que des conseils pour les incorporer à la création de
votre personnage.
Cette liste ne se veut pas exhauslive ; elle constitue
plutôl un point de dêpart à partir duquel les joueurs
peuvent élaborer des historiques propres à leurs person-
nages. lls peuvent ensuite les étoffer en choisissant des
Devoirs et des I\4otivalions. Ces trois êlêments doivent
permettre de brosser le portrait d'un individu unique ou
conventionnel au gré des désirs des joueurs, de nom-
breux personnages consistant en un mélange des deux.
Le MJ peut bien sur s'inspirer de cette méthode pour
créer ses PNJ.
&K?â§Yffi
''L.es courses de vaisseaux figurenl parmi les loisirs pré
fêrés des clvils : des spectateurs viennent de toutes les
BlanÈtes pour assister à l'affrontemenl des pilotes les
]§lus courageux de la galaxie. Entre deux compêlitions,
I-es,pilotes participent souvent à des démonstrations afin
r.ciâffûler. Ieurs talents. de tesler les véhicules et d'éblouir
llâiloule en réalisant des figures à couper le souffle.
 Irl1noù?l:t EIAI'
s:toNVÿ!ÿ!ol xnv
0l ap snssr sv sol leql|ol 0p xneêssrP^ u0 s l^ll slla]
edde sol .rrlJO^uol op opnlrqeLl rnod e êllêqêè oluetl
-lv;l 'sflolllreLU la 'sollq rêpoods 'sdooMs xneo^nou sop
luauroluel ne luonquluol ressê,p selolrd sJna)uol sêl
'oluaSrn,p sa8essuralle sap .ronllOJJO,p
lo QBeLULUopua olnlrLigA un JOr^næ)ueLU êp lrBe,s lr puPnll
s?tuêLUuQdxê snld sêl rssne luos sll Qlolrqeq opuPrS
oun lo roDE,p slrou sop luopQssod notltLrl ol op snssl
sv sêl z q v ep Qlsol alQpoLU un ]llros luosslnd srnoj
-lnrlsuol sol onb uge aluoLULUolar lr 'soOlrodde suorler
-gipoLU sêl sroJ 0un aluerQlol 0p slrnos sêl r0,loll?Lrle,p
la JOuUle,p ruUQp op uUe soltLUtl s-lne1 e,tnoLdg 11 aLnl
-dnr ap lurod ne,nbsnl xnelueuLugdxa solnltLiQ^ xnean
-nou sol ressnod q olsrsuol resse,p e1olid un,p lte^erl al
ëqg§§æ,æ *âffirâd
êr{elrlrLU arQUrel aun srê^
uorsro^uo)or oun rênlloJJO € OllllleJ ap snld al luo 'êle1
uê lroru e1 .tapre8ar ap olro1 q'rnb xne: luos sa9lryq
sêlQI sal 'elrelrads np êpuoLU np snssr saloltd se1 snol
aC oLllUle,l op lneL{ ol rruol rnod sa"lqQl?r zasse stolred
luos lê êsseLLr uê rrlqnd e1 luairlle slr 'elêl qt8le;,1 (1rout
ap a"rro,tl arnssalq op Q^olO enbsu un:e,re selqergSutluos
QlunlQS ep sa8reu se1 qo sarnFg sop luolnl?xa s11 e8e1ol
rd np epuour np nol-ossel sal luos soglgrq selqt sal
.sgn8olou;oq
uou sluesodLuol op lo e8ueqtel ap se:qtd
op rrlred q suorlplUrpoLU sêp .roluou,ilr?dxa q sdLuel rnel
luassed 1a'srnarugBur sol luêrAUo Lnal anb ?ltAll€grl
aun,p enbruerQLU op orQrleLU ue a,rne.ld luol sll LUnLU
rxeul ol .roll uê;nod rnalor-u rnal luelSQr le slStop sap
lnoq ol rns solnlrqQ^ srnol luêssreuuor tnb srnolltnopt€
sop rssne luos selolrd surelral elrelreds a1 rernsse rnod
solnlrqQ^ srnol rororloLUe,p ossêl op luo,u l0'u0lllloLUQp
ap sÂqrep ap srol selolrd anb luet uo luo^nos luolitp^
-erl s.rrsrol
s0p oulsnpur,l êp snssr sJnollrnoprS sa-l
'enbrleLd ned
no elqLssodur lso slouuorlrpprl solnlrLlQ^ op uorlesrlrln,l
!o sapuoLU salrns agsud glrlerrqds eun,p 113e,s ll soreu
uorlrpgdxe sdrol xn€ lo so^rsuoJ?p sellrnorled xne olrln
luoLUOrQrlnlrlred lse seuQ,rlxe snld sol sluaurauuol^
-uo xne saOldepe luouJOrQrlnrrlred sernluou.r sop la^e
luessrl slr,nb uarl ol or,role^€l op sglrun sêp urês ne ouq
:a,te luen8urlsrp os aQLUre,l suep s?rluo s.rorle^el sê-l
elupueLlf ep eplournbQ Âqra6 np anbrlreleB edno: e1
re
e no urdsaB ap uor.r?e o9po5 nB ?drrrlred rro^e lna l
elrelrads np opuoLU ol suep Çnloi\Q lup^e rotle^eJ u ^
'srlluer ue aBe,raqq,l ep seurBr-ro srnal luorl tnb suotltl?;
-LUOI SOSJe^rp SUep lualuorJJe,s snpr^rput sop !o's^qrac
sêp la so9por sêp apuoLU np lu0uu0r^ sJerle^e] s0 l
'ernuBr1er89 êun sues luell uo,s uo sotu.louL,:
suorleLLuoj sa1 rarred ? la srrl se1 "ra,trnbse ? aruestP lta
op uosreJ ue'errdLu1,l red anb uorq rssne uorlloqgU el rE '
sOr:?rdde sV sop luos uorlr1çdr-uor ep seloltd suotlue s.-
srneruqFur srnal red segurBeur sreruel ser,lneoueut sêa
suep lraredde rnol raluel ap salqeder luos slt 'gluQlxêa
epuer8 eun,p sgloc 'sauuouge suorlrqgdurol êp sJol sta:
eedsrre sap no xneêssre^ sop raluorJJe,p uotsello,l r=
erlQ lnad luo elrelrads np opuouj np snssr salolld sal
'a,trnbse,p soJAnalueLU se1 raBrlSgu q stolred assnod s:
anbelle,l rns .rorluêluol ês e êluepuêl Jnal 'sroJOlnof L "
ouuo alnlrL.{QA un arrnu op lelQ,p sJoq arlloLU rnod 1ta'le:
"lna1 sed luo,u slr lo'lueuuo{ssê.rdLur lse sq"reuled.tna-
lerleds lonp un,p sJol solqelnopêr sarresro^pe sêp lrPJ -.:
uorsr:9rd êrreurproeJlxo Lnal 'ouuaÂoru e1 sed luassedq:-
au salolrd êp sluolel srnol ls oLUQtA uorllaqçE Pl lnc:l
slnole salqEluQ^ 0p luos so9por ap la Osrnol 0p sllr^
-rr) s0l Jns rallre^erl q s9nlrqeq srn0llrlrv sol neêuu0l .,'
luesrlegr uê êu.lOLU la 'a)uBlsrp ellenb elrodlut,u q êlc ,
elrlad snld el roqlnol ap selqeder 'alrl?,p srnoll sop tu:'
-nos lu0s srsrol s0p 0ulsnpur,l 0p snssr srnallluv s0l
'lol np rlros 1te1 sal Lnb uc .
-r:9rd aun lo^B solnlrqQ^ srnol lualOrluor elre1:ads r:
norlrLU ne lueuuarlredde tnb s;na:uo; sol oslnol aute--
ord el luapuelle rnb selno1 sal ro11neql ep uge sarni-
s0p l0 s0pelsel s0p luelnl9xa u0 0lr^rle0J) rnal lu0LUl,, l
-xe  s11 soQpr^oloq sêp ? no suorltlgdLuo: xnop êrr-,-
sêpnlrolur,p selrelreds sap ? Qdr:r1.t ed rro,te luê^n- j
srnêluoj sa1 'sed luo"rlle sol au sosrnol sêl rS a9^uiE.:
eu8rl e1 JrLlluer1 q s.raru.rerd sol oJlQ rnod arSolouqral z
ap salrLurl se1 luassnoder slr r_1o slrnlJn sêp rns lau.t[:
? sQnlrqeq 'sOu srnelrlodLUol sop luos sJna)uol sel
sluelleqLUol salqelnopêr 0p lrer0l u0 salnlrLl?^ srnal -:
osulleLU rnal 'anbrlreleB a1r,u: areng el q'tedr:rlred lue e
op slr,s 'luepuade3 slueuonlleq sqsruU sop lo sosnê ..
gd sernSg sêp luenlloJJo uo sêlrLurl ses q,nbsnl luêssnc l
s1r,nb'elnrrqq,tJnol )oÀE enbrun uerl un lo orrollr^ el op i-::
suJ al rluossêr rnod anb JêrloLU al luolraxo,u sll xnê':
-r11eq sed luos ou sês.lnol ep selolrd sep lrednld e-

é:
:
rnilieu s'assurenl que les nouveaux systèmes et kits de
.#;tiii*:Àea. développement fonclionnenl correctement. lls modifient
F?
+:g
également les manuels d'inslructions afin de prendre en
compte les alouts en matière d'armes et de blindage. Les
Fonceurs sont souvent les premiers à roder ces nouveaux
véhicules sur le terrain.
Les Artilleurs pilotes d'essai peuvent avoir travaillé
pour une entreprise sous contraf avec les militaires dans
le but de tester de nouveaux armemenls. Ces Artilleurs
onl une intuition inlaillible quand il s'agit de frôler les
seuils de surchauffe d'une arme. Si l'on y ajoule une
bonne connaissance des limites de cohérence des lasers
ennemis, les Artilleurs savent trouver l'endroit exact où
se poster pour bénélicier d'un avantage dêcisif sur leurs
adversaires. En outre, ils ont une bonne appréhension de
la vilesse, de la puissance et du rayon de braquage des
torpilles à proton ainsi que des missiles à concussion, ce
qui leur permet de minimiser les dégâts des armes qur
les visent.
Les Pilotes issus de ce milieu ont crashé plus d'airs'
peeders et de vaisseaux que d'autres n'en ont conduit
de toute leur carrière. Ils connaissent les limiles de rê
sistance de leurs vêhicules et savent jusqu'où repousser
les marges de sécurité. lls êtudienl êgalement les spéci
fications des vaisseaux ennemis, ce qui signifie qu'ils ont
souvent un plan bien établi pour battre leurs adversaires.
Vollà pourquoi le Haut Commandement fait souvent ap-
pel à eux quand il cherche à developper de nouvelles
tactiques de combat.
Les Cavaliers sonl des baroudeurs endurcis qui
préfèrent Ies créatures vivantes aux vêhicules les
plus puissants. Les Cavaliers issus du monde des es'
sais sont souvent d'anciens ranchers qui dressent des
bêles sauvages pour servir de montures aux cavaliers
moins expérimentês.
AUX COMMANDES
cBr-E vEPRorrLLÉE
.,;"'l!1.€*§i5il
Les Bidouilleurs issus du monde des essais sont habi-
tués à eflectuer des réglages minutieux et à uliliser des
pièces non conformes. Travaillanl souvent seuls, ils sont
charges de concevoir leurs propres kits de modilications
pour des véhicules existants, et sonl aussi les premiers à
les tester. Leur passê d'ingénieur Ies aide à diagnostiquer
des problèmes et à trouver des solulions en vol, tandis
que leur expérience de pilote leur perrnet de concevoir
de nouvelles modifications en tenant compte de leurs
applications dans le monde réel.
Les Têtes brtlées pilotes d'essai n'hésitent pas
à accepter les missions les plus dangereuses. Elles
consistent à piloter les véhicu es les moins ortho-
doxes et les plus expérimentaux ou à les roder dans
des condilions périlleuses. [Alliance Rebelle fait souvent
appel à ce genre de profils pour exêcuter des tests en
situation de combat réelle sur des vaisseaux et des airs-
peeders expérimentaux.
p§ Lffi"r§ ffi Ë fl&ffi ffi ffiffi §.ës§ffi
Les mondes agricoles de la galaxie se ressemblenl presque
tous : d'immenses champs et pâturages, avec des maisons
très éloignées les unes des autres. Fermiers et éleveurs
onl I'habitude d'utiliser des airspeeders pour l'épandage,
pour rassembler les bêtes ou pour se rendre en ville. En
général, les jeunes s'ennuient sur ces mondes paisibles, et
presque tous s'imaginent partir à l'aventure en fonÇant à
lravers les champs et les canyons de leurs mondes nalals.
Laissés sans surveillance, ces jeunes gens s'affrontent sou-
vent dans des courses à travers des lerrains dangereux.
Bien qu'ils comptent parmi les meilleurs pilotes de la ga-
laxie. leur entralnement inlormel les condamne à se voir
constamrnenI sous estimês.
Le plus célèbre pilote de cambrousse de la galaxie
est probablement Luke Skywalker. Après avoir exercé
ses talents en sillonnant 1e Canyon du Mendiant et les
fermes d'humidité de Tatooine aux commandes d'un
Skyhopper T-1 6 avec ses amis, Luke est devenu le hé-
ros de la Bataille de Yavin et le commandant de l'Es-
cadron Rogue. D'innombrables pilotes de la Rébellion
proviennent du même milieu modeste et parfois, leur
manque d'entralnement formel leur permet de sur-
prendre leurs adversaires habitués à des lechniques de
combat traditionnelles.
Les Fonceurs issus de la cambrousse peuvenl avoir
pilotê des swoops et des landspeeders lors de courses
contre leurs amis, à moins qu'ils n'aient appartenu à
un gang. Les vasles espaces des mondes agricoles iso
lés servent de délor-rloir aux jeunes en mal d'aventure,
et se transforment lrès vite en derbys de démolilion où
se tamponnent des Iandspeeders assemblés à partir de
bouts de ferraille.
Les Artilleurs de cambrousse passenl génêralement
le plus clair de leur temps à chasser les nuisibles La plu-
part des régions reculées sont envahies de bestioles ou
de peuplades primitives qui dêvastent les cultures e[ at
taquent les troupeaux. ll n'est pas rare que les fermrers
êquipent leurs véhicuies de blasters étourdissants avant
d'envoyer un Artilleur chasser les créatures ou les indi
gènes indésirables
 T-ITIIIOIRr!,I flAl,
SfoNV!{NOf, XnV
srAulv,p rnol)as al suep dnorneeq
elred uo luop luaLUaAQlnos un enbonord 1a'aLrduu3,1 ap
e8eur,l rnod alqural dnor un ln1 'sauoll sêp aranD
el êp aQlLIq ê101 arqQl0l 'll€lsuo uorv,p uorlrasQp el
'durel sre,tner-u al .rêrlle.r rnod alrerlar rnol ap sed lual.tos
eu slr,nb Jornsse,s êp uue ISB np la xneugdul slueuu
-eu8resues sêp aluellrêArns el snos tnq,prnolne erorua
luornoLUOp selolrd ser ap sêrqQlQ) snld se-1 sêresro^pe
srnol ap olueserl? girlougdns e1 grSleLu a.rnolerq rnal
lo aLusr.orgq lna1 rnod sQlndQr 'sepue8g1 sop luêreuê^ap
sgde:sar sal s{eLx 'souoll sap êrlonD e1 luepuad sduual
sogl0Jq selql sol 'lerQuQB u:
-3uo1 sed luorelr^"rns ou
Qlr{enprArpur rn0l J0LUluJs q sauoll
se1 qree8ernoruo uo'lrlJUo) np uU el sraA rs auoLU'tpaf
orpJO,l op srollop uo arer lrelÇ enbrlerd eller 'enbtlq
-nd95 e1 op uros nV sprepuels uorlrnpord ap selQpotx
sop luêLUQrlrouo luarelrelO,s lrednld el luop'sêln)rLi
O,n sardord srnol op uorlelurpour e1 1a uorlderuor e1
suep sgnbrlduur luo^nos luorel? salsrleredos se srnel
lrêLU sol xneossre^ serdo.rd srnêl op êJueuoluteLU el
ep s?8reqr luorelQ selolrd sa1 'Jrllo]Jê'snos ua luo^nos
luorelg sednor8 sor aLULUol aglndstp uotSçL aun suep
ê)uelsrsQi ap Qlrun uo oou.lroJsuerl eLrelÇueld Qlunr
QS ap olrol alrlad aun rnod gllre,terl alnop sues luo
sauoll s0p 0r.]0nJ el 0p suEJQl9^ srnalllnoplg sal
'1e:rpuÂs-ouqrêI np lè roqLxel teM 0p
q1o1Ây 1ue;qLgqrl slr 'êlqLxasu3 anbtlqndgp el êp a?srual
-our êuale^el el ap sQlol xne 3:rn1q ap sop c luarQBreLlc
sIOl,rMl olraqrl pl op sluellequrol sês 1o e11npuÂ5 uLeq3
puenb 'q1o1Â5 op êllreleB el op srol rer,n luar-ua-rqtlnrtped
lnJ ol ouropou erSolouqrel e1 anb arerglo rssne JOIÇ^
-Qr as lnad alue^r^ arnlegrr aun 'sgldepe sluaLuêuuor
-r^uê sêp suep enb sesudar saluleur q ennord ouals^el
el 'lrl1uol np srno) ny nede11 lo uoJOpuO luau.rLUel
-ou 'seQlndsrp lueuerdg selQueld sap uarq rns a;ranB
el op sJnol ol JOSTaAUaJ ap srLured luo sJalle^eJ sol
'erxeleB El sronerl q sluoJJ
so.rlne xnoJqLUou op Jns enb rsure rsuelnrr,l E uorlenlrs pl
êp srnol al luESr0^u0r ua lrlJUol êl rns ale]lpPr alu0nlJur
oun luarQlJaxa solelol lequrol op sa)ro1 sal 'luepuada3
rpoI sap ]a sauolJ sap luorel? anbrlqnd96 el op êQLU
,V opuerJ el ap xnar anbsrnd 'sarrel9ueld êsuolop op
solJoJ sap snol enbserd luauuar,tord sêuoll sap oranD
el op srol xnerleds slênp sop glndsrp 1ueÂe se1o114 sa1
Qpurlq olnlrqql un no gulpoLU rnalod
sue.]J un '0lelol 0suêlop 0p arQruuoue) êun rns sJnarrl
oLULUor r^rês rrole luauale8g lua,nned sll soJlsêlrol suorl
-Bllelsur sop no xnelrder xneêssre^ sop rns sroseloqrnl
op no sa^rsuOJQp 0u0llrlJe.p solrun xne sroJarlne luareual
-redde sauo13 sop orJOnD el op sueJOlÇ^ srnellruv sal
arrdLu1,l op sarlsoral
lnesse,p sueld xne saluarOqur sêssalqreJ sa1 luauelrelred
luossreuuol suerqlgn srnoruol sal 'senbrlrel sêLUOU sal
la sarlsêrol solnlrLlOA ep eruaB ouQur el losrlrln.p luênu
-r1uo: xneugduul se1 anb ?uuop luel! 'uÂ11rseer3 elqu
-ep
-e1d e1 ep ollal ouJLUol ole)ol osuèJQp errol aun rnod
salrq rapaads sap luarelolrd rnb srnarel:g,p rrBe,s rssne
lned 11 11 èj sap rns aQtuoLU êQSrue)QLU ouoluelur,p
ollo1 oun arro,r '1neura88np ap no -L VHdS êp II-IU op
e8edrnbo un gpueLuLUol 1ueÂe srarrggo suarrue,p srolred
luos souoll sop aranJ El ap suProlo^ sJnoluol sol
re11e,r,rÂ15 ur)leuV,p sQlQl xne lreleqLUOl --
rsuelnrr,l op olelol êsuoJop ep sednorl sap e1o1rd un ltc-l
slorc'lQl snld sue l8ur,1 n e8nog repeel » opol op L!:-
al snos ur^e^ ap ollreleq el ap sJol olgu)es uos red çs
eJrou-rLUr 'srarc uollSD oLULUo)'sollaqor sSuer se1 rulle:
luarnBU sauoll sap orJanD el op suergtQA ap orqLUo\
'êrllequrol e rêpre sol rnod sallaqeg sal red sOrÊ:
glQ no êlrAras np sudar 'arrdr-u3,1 OIJêsQp luo suerQlQ^ ..
arqluou uoq'uorllaqQd el ap aluessreu el lo^V solet.rQd ,-
selge8 sel suep luossuJnod no e:nerLglxf arnpJog el su?.
lrxê uo luossrn8uel as salsrleredgs suerQlg^ sap ;edr :
el sreur 'sleqLuol ap Jros Jnal Ql{luelg rro,re sQrde alte..-
-or rnal sud luo sêrjne,C anbrlreleg ertdrug,l ap ulas .:
arp,ro rerLuard ap sanbrlrlod no sairelrlrLU sêrQurel sop sr:'
sgslndord sroped 1uo se1 sanbrorgq sltoldxa srnal sauc:
sap oJ0n3 el ap srol sQrlsnllr JUos 0s s3 xnarqurou 0c
'soresrO^pB s0lqelnopar êp luauu0l^0p l0 saxe,
-QJ srnal lueuraprder lualnorJor slr lolrdulêr êp êpueu3.
rnal uo rs srer\ allreleq e1 q arpurol as snuê^ so8rer ::
saurelrder xne lê ossnorquer ap salolrd xne aruaugd:=
asnarrg,td rnêl aJlloLUSuerl ? slord srnallnllsut sluoliê-
-x0,p lnolrns luos sauolJ sop oranS el 0p suer?lQ^ s:
'lu0ur0ll0nlrqeH a)uelsrs?J 0p slu0LUê^nou-r êp la sê1:
-ol asuolÇp ap sadnorl ap erlred luoresreJ sluelleqLU:,
sap 1edn1d el 'OluQ^ uo sreLu 'selsrleredos sêprorp sêl ,=
rpaf sêl red sagueu sauoll op so?urJe sal arluê ltl1u.-
un êLur..r.ro) aoroprsuol luo^nos lso sauol] sêp OJJên3 u -
§§N*T3 §§# §§§§ÿ3§ Wr §ffi §*Y§§*§rà
're8uep np rnaldue,1 ap elduor npu:,.
erlo,s sQrde ourQLU 'solepne sJnol op lnoq ne,nbsnl ral :
q essnod sol QIJOU rnol sreur lourrlsaJns as ? êluepu:-
luo sêlloqaU aluErllV,l red saQlnrrer sêÇl0rq salol s;-
'alxral el e ar^ el ap aurlnor e1 ra,re erduuor rnod no st;z
srnal rêuuorssardr-ur rnod lerlrLUeJ rapaeds êl oJrnrly:a
e slQrd srêunJUaAe sap 'sagl4rq salql xne snol assE
ap uorlelndor rnêl luolrop assnorqu.rE) ep selolrd sal
'alueloxa snld erpua: el ap no ê '
el JOlrlr)eJ ês ap uue sle8pe8 xnea^nou ap alnlrL{O^ .rr-
redrnbq luêrope lo sel ol :ns sudde luo srnollrnoprB a:
dno:neag srnarra,p Jê suorleluourrrgdxa,p ar.ro3 q stnb::
'
luaurarnp lualel un 'aloluq el êp sP sêp luos 0J Ossê-
êp arlsuoLU un uo {erlrLUeJ rapaadspuel xnor^ ol roLu..:-
-suerl op salqeder luos ossnorqurel op sJnelllnoprg
sal 'slrlno,p lo solr^ras ep 'e8ueqrer ap sarprd op so;
-ru.rrl sQlrluEnb sap q,nb sQlle luo,u slr,s êLUOr\
r
I
'slolrour s urou ua,p lr essr8e,s r,s aL.Lr LU a,
sorqre sal la sraL{lor sal luPSr^'lequrol ne r0uaLU sêl a:
JO^Qr ? sluoLUour s8uol ep sro;red luassed s1r 'sarnluo--
sesna8eLnol srnol.rnS ollos op xneLurup,p no aLULUos ê:
sêlQq op Jr^ros Jnol ;nod sernleg;r sop JOSSoJp e saQu"rr' -
srnal luassed s1r lelolrd op norl nV souropoul solnlrLl:
xne sQ)le ;ror,e ;nod s1r1rr-ur.rd dorq no sar,rned dorl lu:,
srêrLU.loJ sêl no sapuotu sa1 .tns lueu8qr sJalle^eJ sal
'!ll srnosspr.ll sep 1e s8url4-y sêp xnal e sê,
rLUrs luoura^rlledsaL slrd>1:or srnal op lreJ np'assêunJ.
ap sqrdne sarrelndod snld sa1 luos srepaedsre xnêp s-'
ser8olouqral reuars/êrllues op oLiU asselr rapaadsra
no reddoqÂyg LUolul 9 L1 un iuJ1o,s ,rro,tnod rnod a, '-
-ueuuglddns lolnoq un luauuard xno êrluê,p lrednlc
ronbrnod lso,J rnosselll un,p sopueluLUol xne ra^T
-ar 0s êp lu0^nos lua^Qr OssnorqLuer ap salolrd sô
 TRANSFUGE IMPÉR|AL
I es academies de Carida. Ra,rhal. Corulag et prelsbelL
sont une source intarissable d'oflrciers, d; stormtroo
pers et de pilotes pour l'Empire. Dans ces établisse_
menrS, loS lüLurS diptômês âppronnent les rarl,ques et
les manceuvres sta.ndards avant d,intégrer des unités
militaires djsséminées à travers l'espace impér,ial. Les
programmes sont conÇus de manière à ne garder que
les plus méritants, eI un grand pourcentage à,etudiants
jettent l'éponge avant la lin de leurs êtudes.
Alors que le cursus mel l'accent sur la loyautê envers
l'Empire, de nombreux cadets se révèlent incapables
d'exécuter ce qu'ils considèrent comme des ordres in
justes. Ces diplômés ont tendance à déserter ou passer
à
dans le camp de la Rébellion. Un excmple célèbre est la
mutinerie du Rand Ecliptic, menée par Biggs Darkligh
ter et Derek u Hobbie , Klivian, de jeunes diplômés. Une
fois aux commandes du vaisseau, Biggs, Hobbie et de
nômbreux autres pilotes de TIE ralliés à leur cause reioi
gnirent lAlliance.
Lês Fonceurs issus de l'Empire ont été entralnés à pi,
loter des marcheurs, des engins à répulsion et des spee_
der bikes. Les Fonceurs onl une excellente connaissance
.' des caractêristiques techniques el cles tactiques.utilisêes
par les divisions blindées, l'infanterie mécanisêe ei la ca
valerie de l'Empire, un savoir qu'ils peuvent me[tre au
service de la Rébellion pour planifier et exêcuter des.
raids audacieux.
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Les Artilleurs issus d'une acadêmie jmperiale ont
l'habitude de travailler en équipe, et font appel à de
nombreux schemas de tirs olf ensrls ou oe[ensi[s en
fo19,ti91. de la situation tactique Les Arfilleurs qui ont
rallié l'Alliance ont du mal à s'habituer au manque de
discipline qui règne dans ses rangs et prêfèrent souvent
faire équipe avec d'autres anciens lmpériaux f Empire
dote ses arlilleurs de casques en forme de coquille qui
.donn.enI de nombreuses informations de visée, et.cet
accessoire pralique manque cruellement aux transfuges.
En général, il n'existe que trois sortes de pilotes lm-
pêriaux: les cracks, les veinards, et les morts Du tait de
la fragilité de leurs apparetls, les pilotes de chasseurs TIE
prôfèrent user de tactiques de nuée, el ceux qui survivent
à plusieurs combats sont soit extrêmemeni charrceux,
soit lrès doués pour tirer le maximum de la vitesse et
de la manæuvrabilité de leur vaisseau. Les pilotes issus
d'académies impériales qui parviennent à passer dans le
camp de la Rébellion vorenl leurs chances de survie aug
menter radicalement, puisque les Rebelles préfèrent uti_
liser des chasseurs munis d'hyperdrives et de boucliers
Les Cavaliers formés dans une académie sont souvent
des fantassins afiectés à la cavalerie montêe. Ces lroupes
spêcialisées chevauchent diffêrents types de monture au
cours de leur entralnement afin d'être capables de guider
n'importe quel type de crêature, qu'il s'agisse d,un ihran-
ta, d'un dewback ou d'une puce de lave de Mustafar En
Bénêral, la cavalerie montée n'est employée que sur les
planètes où des créatures adapiées aux environnements
extrêmes sont déjà présentes. Dans ces climats bien par_
ticuliers, les montures indigènes ont tendance à surpas
ser les véhicules mécaniques.
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suorllerlxa sêp salslleDods ênb
l.uel uê §olallads salrol sal no aluerllV,l op sluautau8
-rasuou sal luê^nos lusr8Qlur snpr^rpur s3l 'uorllaqQU el
red sÇlnJlêr sloJ aun sJnes lê sutes luêtluêr stêtdtnbgol
sês anb alros uê êre,r lo sgllJolne xne rèddeli)q rnod
?nop lso aL.Lru) np nallrur np nssl Jnaluol un'lros ua lr,nb
ronO sdooMS êp s8ueA sap q nualredde ..rrone no sassel
ap slol slopaeds ep u Slnaj]neul ». OlO...llo^e lua^nêd Sll
slêurLUUf suar)ue,p leQpr luord ol luo sJna)uol sal
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an8ou uo.rpelsa,l lru8rolar ll êsseq] ap alolrd ênb tuel
uo a)uerllv,lrarller red lruu la esrlrqedlnl oLUuloLl êunal ol
'saqloJd sas ap uouj el lê rrlso) op uorllnrlsap el sQrdv
'sluêied sas la^e uorlloqOE el rnod luoLUêdrnb?,1 ap lo
saluie sop apuPqêJluol ua lressed lr fo 'aurlsaE ap èLUQI
-s^s al suep lllsa) uollels el rns rpuer8 e elsouas AêZ
sJrlrê[qo srnol ]urêlle
. rro^e sQrde êLUqLU êrldulf,l êrluor allnl el ruêlnos op
luonurluol sêlerrd no sjorpueqa,rluor suêDUe,p èrquou
la 'oiloqor êursrleopr,l .rê^ol8l op olroJ ? rDnope,s
lnad Drnpuê snld e1 lourLur..D êl ourQlA SQl]osse-xê
s.rnêl iorQqrl rhod prPr un,p uorlesrueSLo,l re:uan11ur,p
qlDedel el a.]ro^ 'suorleLri.roJUr sop ? sQ)re êuuop Jnol
uorllaqQE el suep lnlels rnêl sêlerrodur uolluolop op
soruolol sop sLlep luossurnod rnb slouruJUl op sêLllo.rd
sap .no xn3^ol srure sap luos sallêqoE surelrol
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aJrdtul,l red Jololle aJleJ as ls lellp
u^s soJÊ un rnod rallre^erl o.rluô rsrol-.i) êp slureJluol sg,l
-norloJ luos as s{ouruill xnorquou ac uorllalord ollal
oun,p sed luoDUou?q ou sluEpuadQpur sol sleLU 'llnH
sal ]e LleJOu^rl ol ourLUo) 'slelrpu^s sor8 snld sol la^e
xnaDu]o sprolle sap nlluol e o.rrdurf ,l urol snld luato,\
s?sr^e snld sol 'luepuêdal leuodur Ênol e1 snos proral
sluord sAp ja8uej8ue,p lualualuol as la'saJreJJe sol rnod
ouuoq lsa anbrlleleS alrAD êJranJ el anb snlurPAUol luos
rol el êp aSreLU uê luarQdo rnb snpr^rpur sap !ednld el
'lf Nll,ulul
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no uorllaqgu el ap sSuer sal sra^ lroip lnol ôrnpuol
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-slp el ? luêAnos asoddo,s olololord al rnod s{rd9lx rnal
o3ê rnol ap sralerl uê luêlloLu as o sollal onilsrol solSQr
s0l rorlqno € oluepual luo salla,nb olred orLUgperv.l
ap .r0uuorssrLU9p ? Oluepuol luo saglurq salql sal
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suêDUe,p ê]lo luo^nod snpr^rpur sal op surPlroJ Uorl
laqau el red saQSernoluê luos saluPpual sou.rQLU sal
'oleuQdu.r QlruJroJUo) el op a.rluoluo,l. ? e^ QluelnSuts
el lo uorlesrleuuos.rod el .rnod lueqJUad rnaI anb srole
: duief op Ja8ueql q sed luapJpl êu xna êrluo,p lled
nld e1 311 sJnosseql op saluerJe^ sollê^nou sêp luau
-oddolo^?p op sodnor8 sol no ouaruOBur,p soururer8
-ord sol suep luallre^eJl rnb so?uerluor suorlrq.Lue xne
sololrd sap lua^nos luos xnerJodr!r sJnalllnoplg sa-l
 Les Artilleurs issus du milieu du crime sont proba
blement d'anciens pirates, en général des marchands
capturés et contraints d'entreprendre cette carrière sous
peine d'être réduits en esclavage Les Artilleurs pirates
excellent au lir de précision et sont très douês pour ré
duire à l'impuissance les vaisseaux ennemis en visant des
systèmes bien précis. Au sein de la Rébellion, ces indivi-
dus sont souvent assignés à la flo[te, même si quelques-
uns d'entre eux servent comme piloies de bombardiers
ou contrôlenI les postes d'artillerie dans des cargos
convertis et des chasseurs Y wings.
En général, ies Pilotes issus du milieu du crime sont
des contrebandiers prêts à collaborer avec l'Alliance si la
rêmunération est à la hauteur. Les Rebelles ne sont pas
des criminels : ils ne poignardent pas leurs Pllotes dans
le dos et sont connus pour payer les cargaisons rubis
sur l'ongle. Malheureusement, si l'Empire apprend qu'un
contrebandier approvisionne la Rêbellion, une kyrielle de
chasseurs de primes se lancera à ses trousses, attirêe par
la forle récompense. Parce que la plupart des assocrés
typiques d'un contrebandier n'hêsiteraient pas à le tra-
hlr dans la minute, il arrive qu'un capitaine indépendant
soit forcé de lravailler presque exclusivement pour les
Rebelles ou carrêment de ies railier, du moins jusqu'à ce
qu'il ait elfacé son ardoise.
=J
- -"=g
Æ
$ es As rebelles constituent l'une des cibles préferées
&de I'Empire et sont presque aussi recherchês que les
chels de la Rébellion Fers de lance des forces de l'Al
liance, les As combattent le complexe mililaro industriel
que constitue la machine de guerre de Palpatine. Le haut
commandement rebelle et le commandemenl impêrial
dêpeignent respeciivement les as de l'Alliance comme
] des parangons de la liberte et de vils pirates, même si la
réalité est souvent moins tranchée. Chaque bataille leur
inflige son Iot de traumatismes psychologiques, que les
pilotes irôlenl la mort, perdent des alliés ou subissent
simplement la culpabilitê du survivant.
Il existe de nombreuses voies pour devenir un As
d'élile au service de la Rébellion, ei autant de raisons
susceptibles d'en pousser un à se dresser contre l'Empire.
{§:--_
AUX COMMANDES
*;q. cIBLEvERRot LLÉE
Les Cavaliers issus du milieu du crime sont pour la
plupart d'anciens maraudeurs et pillards ayant vécu sur
des mondes primitifs. Cependant, Ies escrocs peuvenI
aussi préférer conduire des créatures vivantes plulôt que
des véhicules. En effet, leurs cibles sonl plus susceptibles
de Ies sous-estimer et de ne pas se mélier d'eux s'ils Ies
voienl chevaucher un êopie plutôt qu'une speeder bike
flambant neuve.
Les Bidouilleurs sont Iégion parmi Ia laune des bas
fonds de la galaxie, où ils travaillent en tanl que contre-
bandiers, traqueurs, chasseurs de primes, ou pirales.
Tous les criminels veulent avoir Ie véhicuie le plus rapide
et des équipemenls dernier cri, et le Bidouilleur s'assure
d'être jalousé par ses pairs. Un grand nombre de ces mo-
difications sont illégales et peuvent lui valoir une longue
peine de prison avant même qu'il Ies ait utilisêes pour
faciliter ses activilés illicites. Les Bidouilleurs issus du
milieu du crime qui ont rallié lAlliance pilotent souvent
leurs propres chasseurs et cargos personnalisés pour
combattre l'Empire.
Les Têtes brûlées onl tendance à jouer avec le feu,
et à cet êgard, ils n'ont que peu de respect pour la loi,
du moins quand elle s'oppose à eux. Ils sont donc très
rêpandus parmi les criminels et encore plus parmi les pri-
sonniers de l'Empire. Néanmoins, avec un peu d'entraî
nemenl et de judicieux conseils, les Têtes brûlées dotées
d'un passé criminel peuvenl s'avêrer de précieux atouls
pour l'Alliance rebelle.
Chaque As a sa propre vision de la meilleure manière de
vaincre Palpatine, l'objectif ultime de son combat contre
les forces impériales. Les Devoirs permettent de mieux
cerner un As et son vécu, arnsi que de crêer des compli-
cations et des rebondissements au fil des campagnes.
Pour disposer d'un Devoir particulièrement en adé-
quation avec la carrière d'As, il suffit de remplacer la
Table 2-5 : Devoir de la page 47 du Livre de règles
de LÈnr oe ra RÉertrolr par la Table 'l -l : Devoirs
dAs. Un joueur a le choix entre dêterminer le devoir de
son personnage au hasard et le choisir en accord avec
son histonque. Ces Devoirs sont spécialement adaptés
aux PJ ayant optê pour la carrière d'As Supêriorité aé
rienne, Supériorité terrestre et Chasseur de stars sont
des nouveautês.
 ,_r'I1fioènll Ttal'
5f ONVhlti{Ol XnV
4
'UroAêC êp rnale^ el ap uorleluaru8ne aun agrlsnl ar1ne,1
00-r6
no un,l suep êlrssnqr êunl saureuop xnap ua sa1e39 slred e Qsr,rrplse lredQp ap rio^aC êl êlqEl el rns sroJ xnêp zarl
sapPJPLrEl sas anb Jro^êc uos rldLUolle.p suorsello,p
snld uarq êp asodsrp lr srelu 'êlsrsse ll,nb xnar lua^ro5ar anb suorlelurlarS sap la a:uessreuuolar el ap lualuglroJ sed
lrnol au 11 rro^ac rnal ap alDraxê,1 supp sallêqaU sarlne sal rualnos q alualsrxê uos arlesuol fd al ' suorlelrunuuo) 96 re
sêp arllaLusuerl no slnasuês êp ssguuop sap Jrurnol 'suorllerlxa sap no suorliêsur sap rêsrlegr 'alrolsê,p suorssrlu
sap ruatnos tnad sv.l 'alnlrqQ^ uos srnda6 allaqau aluerlLV,l ap sQlrns np Jalr el lsa uortergdoo: el : uoJuau
':lualroluol sal rnb srnarugBur sal JOlnrlar q ru 'sanbruqlêl seLUgqls lê su8rsap XfEêÀr'rou ap.lo.tn:ord
ês ? sreLUel olrsQr..l,u fd a1 3ur14 E no SurM-V srnasseql sa gan ru Sur1,1 y ap srnb:e sreuel lrE.rne.u n-êLlal 'êlup LlV,
àpanbSoLouL.lratétuouaonèËL .LruolureLu?s?plr?puarqsnpr^rpursapsues rlrau..raptuaüaclrnbqun,pasoàslô
'8q,'
lr,s anb aruêl9dLr-rol es êp a,rnard arrel tnad au atrl?,p aSedrnba un.nb lres fd aL 'ato rd anb luel ua : el8olouqral
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rnal g rarllB..r as luarP.lnod
s.larlua sauQlsÂs sap 'al?rleds gluougdns.rnal rarluoLlr?p e luauuar,ued sallaqaU sal rs anll lres ll 'srurauua suorlBls sal L-19
la xnelrde: xneassre^ sal 'solla.lnol sal 'srnoss?ql sal arnrlgp ap uollelo^;nod e a8euuosrad a1 : 41s11965 g1t.to1:9dn5 '
LunLUrx?Lu ne ardurl.L
J!lqlpl,]p,p uorluêtur,l uarq e [d a ]a 'sêllêqêè sa; rnod salr:e1 saro.ld sep tuantrlsuol luêLUêLlrelr^er êp no sratsplq
,rnod ze8 ap 'êrnlu,rnou ap saQ,rr.Ld saleugdurr sadnorl sal êQlrod es e êlqn arlne alnol no arepuolas lrllalqo un g9 8c
radderl rnod lo^rns nea^nou un ranl:aJJa É secl e.,el,s9,,l,u 1r 'anbrldo êllal sueC asnel êllêl e Qno^Qp luaLUarQrlua
lsa oSeuuosrad êl la 'sprer sal lê a8ploqes êL Jns aopuoJ lsa salloqaè sap a1eqo13 ar8Qlerls el slualouu slt^ll sap
no uo Llaqgà el êrluor surou ap êLrrp aun lsa alrnrlgp aleugdrur alJnossar alnol anb aluênsuol ? [d êl: êSeloqeS
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q luêL1rêllrelrler np la Lau?leur np luauraurlsapuell .rassed aLrel q slgrd luêrerês 'uorJlaqQè el luaualranno ralller rolnoA ,
su?s 'rnb stuesrqteduÂs êp lBlle,l q s;nolnol lsa Il aJrnrlQp saJ ap ratuatuo) as ap anb lQlnld saletLqdtur salrnossêr lg 6,
sap reredua,s ? JauApA q snld uarq e lr,nlr lres p6 e1 'luepuada3 rrdranSgp ? srnd 'an,r ua xneugdtur xneasstB^ sal
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snol arnrlop q'asud.lns enbelle aun.ralupl e lualsrsuol sêllaqêr slnesse xnarquou ap : sof,Jnossal ap uollualqo|
êsntsJ cs ra llsr êtJ arlure^uoJ sal rnod ardLr3,l ap sraruuosr-rd sap rê-r?q l ? no slua.,,n:rot
sêl raproqe q srnd sasrno: sap q rêlsrsse ? arnpuol al lnad alQnb alla) slualpl xnao^nou ap ralnrrêr rnod suaÂout
8' 6Ç
sap raLlrraql ap êssêl all e,u fd-a 'sallaltuatod san.,raL ap ulln.l q srno''inog snld al luêr lle ua Lnb aq:g1e,p satgt sal
luos sallêqar sV sêl la 'sênrlar sêllê^nou êp nurluol lolJ un sues ar,r,r.;ns sed lnad au uorllaqgè el : lueurelnrlau
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alu?lual luaLLrurBS gJns
arord eun er,na:rade 1r,nb sqp uorssruJ ap slll:alqo sas auuopueqp lr.nb alqeqord lsê llasnel el ruêlnos ap no
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a,tnardg,l ? arllêLU as ap ua^ou un êLuL-uol roAêC êl ar?pLSuol [d ai anO ap s]nesse xne aleJ oirdLUl,l êp Bg- l9
alrlrqerguln^ pl rarluoluQp sagsua: opue8edo-rd ap soApr,t sap supp tuê^nos luarnSU slanp sal êl9l uê êllrq anbelle sal
srnd 'alireleq ap dLUeql al rns sarqQlgr snld sal la xnanluêlel snld sal xneugdLul sal anbe;t fd êl : sJels ap Jnasseq)
'adrnbQ uos êp alsêr al ra^nes rnod
-rêUrlles as e sed e;alrsgL.{,u }a anbuo:rnb rêuuopueqe,p asnla; a8euuosrad elVfC uê arurno,l luauarQrln:rl.,ted auoz
êun suep uêuge uêrlnos un no a:ua8rn,p suorlpnlen? sap 'sasnal1u9d alrolsê.p suoTSSrLu sap rnod sareluolo^ ralrod as
lua^nacl ro^ac êl ap s?lop sV sêl lequol ne aLUrue,l rnll ql u-rêlp;1 ap 1uc1sa lal lsa,l la 'êrdLUl, arluor aLUJal arol nI aç-Ç'
arÊAle;ls aJnallraLU el lsê suou8edLr.rol sas rêSQlord anb lres p6 al lequol ne J^ras ua,s rnod xna8prnol snpr^rpu sap
sul?s.rnê e^ aunlne e,u elêl lnol sreur 'uorllaqgu el q slêrluassê luos salnlrLlg^ sal la luaL-uadrnbo,l 'sal!.]e sal : srnoles
rLxêuuê.1 3p sarlsarêl salrnossal
salednurdsêlarnrlgpnoJêsrlerlnau:alêluallltêfqoun.nbe,ua8euuosradal allêuuorllpprlaAluoLUouale^plap
êLrQur no s?purlq op 's;apaads:re,p 'srnaqlrpLU op 'salla"rnol ap assrSe,s lr,nb 'arole^pl ap lê a JalueJUr,p sqlrun sap ee 9l
raÊreu: as ? ?tneder es ap tuapuadap alEUq arollrA pl lê sêllaqar suoLlrsod sêp asuêlQp el ênb lres fd êl os ne
êpogp as arelgueld lequrol un,p anssr,l 'apuolu na uauga uarlnos rnallraLU al la^? aLLrgLU : orJsaJJal g1r.ro;;gdn5
rLr.lauua I ap uorllpgr e1 ]a;1sr8a.]ua êssrnd gnbrequê qlaLr-rorlse,l anll rnod
xnênepne prer un,p aLural ne êlqn aun.p snssap nB a8essed rarurep un ranlra11a,p r8e,s luauroldu.lrs rssne lnad 1r sreLu
'esna;1u9d aluessreuuolar ap uorssrrLl aun rnod ar eluo o^.luelrod as uê a dLuaxê Jed 'ra8uep Lrê arllaLr-r as 12 sroped ,t La
lrnpuol al elalsaleLrgdLUr salro,r sal rns saAUUop êp unLU xeLU al ralqurêsser ap uorssrur rnod e L1 arrdLu3,L êp slnole
sêrlne la sarelrLrLU suè^oLU sal rns sêlqeU suorleLuio]Ur,p iuar,rord arol:rr, anbeq: anb lres [d a] : sluaueuSlesueu
a8elueire êuQLrt np ranilgugq ap u'trauuê,1 lueqrgdua ua lnol sarlsaral
sarroJ sal rr^nol ap la sauuêuge sglrun sal rrualnos ap 1r1:alqo.lnod snol luo alu?lo^ arnleÊrl aun,p sougr sal luauuarl
no souuaugullu? saua]t?q sâp tualoLluo: s-lapaadsLrô sap la srnasseql sap luajo rd rnb p6 sa1 à; ot:r,^ el rauoclua.l 90 t0
rnod lueurLura.lgp rna]lel un lua^nos lsê sre sap 3sr.illpLu el anb lres inanol a8euuosrad êL : auuâlr?p gluou?dns
5V,0 SUlB^3§ : tr-ï 319V1
 ru&&§w§§-Lm§ §§pKffiffi§§
t a galaxie compte une multitude d'espèces diffêrentes
Let chacune d'entre elles peut adopter les spécialisa-
tions de la carrière d'As. En outre, l'Alliance accueille des
individus de tous milieux et de tous niveaux d'expertise
prêts à rejoindre ses rangs. Les Rebelles collaborent avec
differentes sorles de non-humains afin d'êlendre l'in-
fluence de la Rébellion à travers la galaxie.
Les Chadra-Fan, les Dresseliens et les Xexto sonl des
espèces parliculièrement bien adaptées à la carrière
dAs. Les Chadra-Fan sont des mordus de technologie,
dont ils possèdent une comprêhension innée. lls savent
jusqu'où pousser un véhicule avant qu'il ne rende l'âme.
Les Chadra-Fan adoptent souvent la spécialité de Bi-
douilleurs même s'ils peuvent trouver d'autres moyens
d'orienter leur carrière. Les Dresseliens sont plus primitrfs
et la haute technologie leur est généralement êtrangère,
mais ils sont dotés de rêflexes fulgurants et apprennent
vite. Habitués à chevaucher des montures de guerre, ce
sont des Cavaliers nés, et leur remarquable précision en
fait d'excellents Artilleurs. Enlin, les Xexto adorent la vi-
tesse et les risques insensés. N'importe quelle spéciali-
tê d'As leur convient, mais ils font surtout d'excellentes
Têtes brulées.
Chadra-Fan
AUX COMMANDES
€|BLE vERRorrLLÉE
Fl .ti Fq Fh .*, aEt i3I
É
tnF+ultst.F§àI\fl
Il y a peu d'espèces dans la galaxie aussi sociables,
joyeuses, et bavardes que les Chadra-Fan. Ces rongeurs
enthousiastes se sont répandus à travers la galaxie en tant
que marchands indépendants ou esclaves, et savourent
les joies de l'existence, qu'ils considèrent comme une suc-
cession d'aventures palpitantes. Même s'ils ne bénéficient
d'aucune formation à proprement parler, la plupart des
Chadra Fan sont des mêcaniciens accomplis et bidouillent
presque tout ce qui leur tomb,e sous la main. Voilà pour-
quoi les commerÇants ont tendance à verrouiller leurs vi
trines dès qu'un Chadra-Fan entre dans leur boutique.
Physiologie : descendants de petits mammifères arbo-
ricoles, les Chadra Fan sont naturellement douês pour
l'escalade D'un point de vue physiologique, ce sont des
humanoides menus au visage de rongeur, recouverts
d'une fourrure courte et épaisse dont la couleur varie
du chamois au brun ou au noir Leurs têtes sont dolêes
de grands yeux noirs, d'énormes oreilles semblables à
celles des chauves-souris, et d'un groin courtaud percé
de quatre narines surplombant des dents de lapin. Les
Chadra-Fan portent parfois de longues robes ou blouses,
même s'ils se contentent souvenI d'une ceinture à outils.
Dressellien
 ç:x
r_EllnoiutlI rl8l,
530NVÿ{t^lOl XnV
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un ? luepuodgr soleuDrpQu-r snIO^ sêp êpQSSod rorurord
al onb uor8 sêrQrzu sap suep soleLurl êp la luedLuer
qlare^ ap o8E^olo,l Q luorlesuor os uel-erpel{J sal
'êrnllnlenbe,l op sons
-sr soQJUOp ap agnlrlsuor lso suorlPlrodxê sap Iêrluosso,l
'orQrlreJ uorllnpord es êp Qluelndod el ÇJ8ler[ourQr] es
êp la saSeurorJ sês op qlrlenb el rnod alxBleB el olnol
suep anuuol lsa olQu€ld el soSernlgd êp onbueu np
lrdOp uo lrel op s?lrtuenb sopu€rA op ltnpord Inb QptAOq
êp olros êun lso lrll€l al orxeleS el op llel ap slnalellod
-xa spuer8 snld sop un,l lo olo]lJSe apuouJ un lso peql
o8e^alO,p soqlre sosuau.l
-LUr,p rns luêprsQr sur€LUnLl suolol sal ênb srpuel'sno^eq
sap slluod^l sorqre sol suep sa?qlrod solll^ sap suep
lua^r^ uel erpeLlf oLUruru] êluênlJUr oun,nb luo,u
sol
SUIJEU-SNOS OIIO] êP S]UOLUOIqLUOJ] SOI SIANbSOI JNS SILLI
-eunsl sauroug,p raQrl ap olqed€l axêldurol saQre[r ap
OLUQISIS Un € luonquluol rnb sounl Jnou op agrnoluê jso
peLll êQuue,l ap luaLUoLU ol uolês uorpeLll ou.lQls^s np
oLUQrJlenb no aLUQrsrorl el lreJ uê rnb onbuluêlxa ollqlo
oun Jrns olQupld ordsol rnollas ol suep 'auuorurolrod
el
aleDraLULUol alnor el êp arQtstl 3l € '0Jnêll9lx! arnproB
el suep onlrs onbrlenbe opuour un lso pel{f 'erpeL{l no
lll peL{l êpLUou ol snos nuuol rssne: auFuo.p apuoN
'0npuêll€ur luêur0lelol u0rlBlo^ oll0^n0u aun lllJJo ln0l
op lo soluelsrxo sêrSolouq)al sol rêslleqluuel êp Oxopol.ll
-Jo nod u05eJ Jnal ap uosreJ ua uotxolJOl êp sadnoJS sop
uras ne sQnordde luos uel erpei]l sol sJllellnl sla^oiq
xneo^nou op olQnb el red s?rlle 'xud sel roluolu IOJJO
ua luoJ s]rlerodrol sluPluosQJdor op orqLUou uteJror un
: SOSNAI]UOIIS SOJQq]UA XNE SO]UO^ OP SIOI SOSIId SQ]]
luos sur8uo so) uel erpeLll sop onbrl?qlso,l êp suas
.rorln8urs ol lo^e sglquasse la 'snpuoll€ul soâesn sop €
sQldepB sluerno) xnerJQleu ap 1o slêlqo,p 'uollBJQdnlQl
op sêlQrd ap sQsodLUol luos sll orlleur ap sêrnldlnls sop
eLUUrol sloSpeS sol orQprsuol rnb luolQJ luaLUo^noLu
un,p uosrer uo lue^oJpnoj sQl)ns un luassreuuol uej-erp
-Eqf sol red solQrd sêlnol êp slrnrlsuol slro.]€dde sol
sêLuQlqord sap rarlle rnol
aluepuêl e alqrssardorJr uorslndLUol ollêJ uorssrujrêd el
rapueurap rnol sues srêauerlQ sop sonbr8olouq)ol slo[qo
sal lo^e lua^nos luonol 1o 'oQ^ud ?loudoJd op lo lêuuos
-rod oledsa,p sldoluol sol luarou8r sJr 'luanbosuol Jed
'srn0llrE oJrnrlsuol0J ap slurerluo) luOAnos luos uel-€rp
eqf sol 'solldojlselel so) op oluonbQJl el op uosrPJ uf
'arrelnlQs uor8rlor ollol luêssleuuol
uel-erpeqf sap lr€dnlcl el 'soldope,p orqLUou lrlod un,nb
êlduiol au êllê rs aLUQIAI rureunsl un onbo^ord le enenb
eS luoLUOSneJno8r,t e1r3e ollf xnornol uos luanbo,to;d
uel-erppqf sa1 puenb lo rorluo lnol uBQlo,l alQrluol rl
-ollaJ sauueL.Lr srnapuolord sal suep or^rA oOSUOI Qllu!^lp
oun,p rnolne egsrueBLo uor8rlar aun ;anb,rlerd op luonu
-rluol sluelrqeLl sos ap aJquou pueiS un,nb pel1f rns
êrA pl op luel-rodLur rs luourQlQ un luos salQdual sel
'arQdsa ollal zoLll neo,l ap le epeÂou el
ep arqoqd aun gnbo,tord rssne luo srureunsl sa1 slluedÂr
sop salqrxal3 soqluerq sol suep arnr,t s9Âo,tua; luo sol lo
uel erpeqf sop sollr^ ep suoÂrque sap lrednld el luegu e
lrnpgr luo selueg8san8ensa] sue xrp e  1r elQueld eller
rns ar^ e1 ep eryed erneleur el r]uegue e rnb arneleu.r
'alsaunJ ;noI et ep JluoAnos uo
ueglo.l lns saqsodgp luos 'aullltA red aun 'sar8noq
ap spiellllu sôp 'rueunsl np êJresra^luue an0eql v
'snprod 1uo slr.rrb srLxe sap lo saLl:ord sep anb ti
-ure aqdo;iselel alla) ap snol luouuotnnos as peql
Jns luaJnêu.rêp rnb ue1-erpeq, .O tr",,,,î,:t:,,:":T
'lueunsl êl
red s?nl lLlarnl uej-eJpeql êp sluelrqeLl sêp luèl
rnod xrp-13urrr-a"rlenb ap sqLd 'lelol nV sêrpeleur
op lê êulurp] êp lua-fiJ]Jnos slue^r^Jns sai'slolu
srnarsnld lu?puad sou;rllrl sortne sosnarqLUou êp
luaJU la saBellrn sal ]a saJll^ sal ]uerqSPAÊJ sall:l
'lua;rtnolËue sal io luoJut^ar sêltJlelse^gp san8e^
sêl . solol sêuuoDLs sop ?lap.ne sê)ue^e luêrelQ.s
alQueld Pl op sluellqeq sap s".lêil un,p sQrd 'nrrrnod
-gp ne sr.rcl ln1 opuoLU al lnol 'lurlêi upglo.l puenO
'arol 0p luauJalqurêJl auJouO un red agnbonord glg
lle^e a?reur el enb alduol npuar sed luerel9,s au
saproueurnL.i slltêd sêl 'sel9H arlleredde.p ureonos
Juêreuê^ u€?lo,l op puol ne luesode; soÊ.le: ap la
sê-il^?u ap sanedg,p soulezrp soc
nu e soslu-] sJ.l lal
sol sra^ luarglrdr:çrd as uel-erpeLll sap lJPCin d el
'ajrêl op saJlQLUoilT sap iuesodxe uo luêiqJllaj
ês slol] sal 'salnurLU sonblanb ap eredsa,l uf 'lnl
-edsrp ueq:o,1 anb s;oge lso,f 'tprul-sQ"tde ureld ue
lrelluq tê L{lruaz uos e llsl? psqf êp saunl Jnou sêp
a]lê/\ snld e1 ]a esso:8 snld e1 'ÂzztnlleB 'lusdLUer ql
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jU§j'JJ'i,'i i [iiLi' il:T;:iffi '] LïlC
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1uo rnb suueLU-snos arêl êp sluaulolqLUOJl srnarsnic
rqns e algueld el 'sallQrs sJOrurop sap sJnol nV ounlrc.
op sourJojêleld sap ]a sluod sap red sptler le (atQue:
rnol op sorqJp solJ s11uedÂr sop jêLUu.los ne s?ql.ta.
Q suqe s1r1ad ap suep luo^r^ uel erpeql sol 'peqf rnS
'etu8edu.to: sues
sJuoLUoLU sBuol ap Qssed luo rnb xner rrured saluenbç,,
luos sanbrSoloqrÂsd serpeleuu sarlne lo uorsserdÇC eO:
-roJ opnlrlos ap apougd anBuol eun sQrde slrou.t srnalire .
luos uel erpeqf ap aJqLUou urslJol un slnos rêAnc,;_
-oJ os op sed luelloddns ou slr: srê^êr uos e ourQrl\-
olrlrqenos a11e3 rerrgrdde lrernod uel-erpeqf un In;:
anb glrleuuosrad aun e 1r,nb luesrp rn1 ua un,nblenb r;
-Jnsur,p lueJnol lso ll luorluoruer sel1a,nb xnar snol :
raL.{loJlle,s e aruepuol luo rnb 'solerrLUe dorl enbsa,:
's0leDos s0rnleQrl s0p luos u3l-eJpPr..{l sal : ale!)os al^
'sarn0L.{ xnap ap sêlse
sêlrnol ua asoduorgp as lrauLUos ep e1rÂr rnêl lo êt
-er sQrl ls0 uel erpeql sêp aLUSrloqelou al uorllnp.
0p l0nllr np lêLluOss0 luaLLr9lÇ un anJrJSUol la s0llêL:
sop saleLU sa1 renBurlsrp ap lau;"rad rnopo rnêl rapns',:
lueueleBQ que,nned slr,nb'sauoruoLgqd xne solqtsLt-
luos srnalderOroLUOLll êp so?lop sarnaugdns seu r:
srnêl saproupLrnq sêp lednld el op allol enb agddo -
9p snld uarq lso orno rnol le e8nore-tjur,l e,nbsnl puer;
uorsr^ rne-l sQll_rlJe suas sop luo uel-erpeLlf sêl
 vaste êvenlail d'applicatrons à travers la galaxie, la ma
jorité est exportee pour nourrir te bétail. Les Chadra-Fan
et les colons humains vivent sur de grandes platelormes
ocêaniques ou sur des arches mobiles où ils élèvent des
bildogs, d'énormes créatures de la taille d'une corvelte,
ainsi que de dociles vaches marines. La plupart des
ranchs sont dotés d'un syslème de balises flotlantes
conlrôlées à distance qui émettent une petite décharge
si un animal s'approche lrop près. En gênéral, les éle-
veurs s'occupent de leur troupeau à dos de cy'eens, de
tsaelkes ou de methnaps, trois amphibiens très similaires
connus pour leurs longs cous, leur agililé dans l'eau et
Ieurs appels mêlodieux.
Langue : les Chadra-Fan communiquent par petiis cris
aigus et couinements qui peuvent atteindre les ullra
sons. Comme la plupart des humanoïdes ne possèdent
pas d'ouïe ni de cordes vocales aussi développées, Ies
Chadra Fan incapables de parler couramment le basic
ont souven[ besoin d'un interprète ou d'un drolde de
protocole. Néanmoins, la grande majorité d'entre eux
ont appris à parler le basic grâce aux dizaines d'arches
, de colonies humaines qui flottent sur les océans de Chad.
Dans le langage des Chadra-Fan, il n'existe pas de pause
n'i de silence pour séparer les mots ou les idêes. Par
conséquent, ils ont tendance à s'exprimer en basic de
manière précipitée, enchaînant les mots et les phrases
sans s'arrêter. De plus, Ieur voix aiguë et haut perchée
. peut rapidemenl taper sur les nerfs de ceux qui prêfèrent
le silence et la tranquillitê
La vie au sein de lAlliance : connus pour leurs affinités
naturelles avec la technologie, les Chadra-Fan trouvent
souvent du travail au sein de I'AIliance Rebelle en tant
qu'As ou Ingênieurs. Cependant, ieur nature amicale
et dêsarmante, alliée à Ieur éternel optimisme, en lait
également d'excellents Diplomates et Espions. Du fail
de leur petite taille, de leurs talents de bricoleurs et de
leur nature enjouée, Ies Chadra Fan sont considêrés par
Ies Rebelles soit comme d adorables petits frères, soit
comme de sales petits voleurs qu'ils préféreraient de ne
Jamars avorr rencontrês.
flepetr{Yât§ §p*{§eLffi§
ffiffiffiffiffiffi
r Seuil de blessure : 9 + Vigueur
. Seuil destress : l1 + Volonté
r Expérience de départ: 90 XP
. Capacité spéciale : les Chadra Fan sont plus petits
que la moyenne des espèces, ce qui se lraduit par
un gabaril de 0. lls commencenl le jeu avec 1 rang
en Mécanrque. lls ne peuvent cependanl pas dépas-
ser le rang 2 dans cetle compétence à la création
de personnage.
o Sens aiguisés : l'oule, la vision et l'odoral des Cha
dra-Fan sont bien supérieurs à ceux de la plupart
des humanoides. Cela perrnet de retirer jusqu'à
deux dês d'inlortune I I aur tesls de Perception.
MMffi§§§L§ffiru
Les Dresseliens sont des etres bourrus au visage ridê qui
passent le plus clair de leur temps à l'extérieur. Connus
pour leur courage et leur vigueur, ce sont d'excellents
éclaireurs. Plutôt asociaux, ils se méfient de ceur qui
n'appartiennenl pas à leur espèce, mais une fois Ieur
amitié acquise, ils font des alliés indêfectibles.
Physiologie : les Dresseliens sont de grands mammilères
humanoïdes au crâne allongé. Les motifs que dessinent
les profondes rides de leur visage rappellent l'écorce des
arbres steeparas. Certains les trailent de « faces de pru
neau », un terme péjoratil qui a toutes les chances de
provoquer leur colère s'ils l'entendent. Leurs yeux vont du
jaune vif à I'orange doré et leur procurent une modeste
vision nocturne. Les Dresseliens sont rusês et agiles, ce
qui en lait de redoutables guerriers lorsqu'ils se retrouvent
acculés. Leur sang est bleu sarcelle, signe d'une mauvaise
circulation sanguine et de lointains ancetres aquatiques ;
c'est pourquoi iis consomment près du double d'oxygène
d'un humanoïde de taille comparable.
Société : la société dresselienne moderne est conslituée
de plusieurs citês États gouvernées par des démocraties
reprêsentatives directes. Alors que les Dresseliens issus
de la même agglomêration partagent les mêmes points
de vue et collaborent, ceux provenant de différentes ci-
lês-États à travers le globe ont du mal à se mettre d'accord
sur quoi que ce soit. Tous les Dresseliens ne vivent pas
en ville, et nomb,reux sont ceux qui adoptent encore un
mode de vle nomade. Des tribus de chasseurs-cueilleurs
parcourent les vastes forêls de steeparas qui recouvrent
une grande partie des îles et des continenls de Dressel.
Pour subvenir à leurs besoins, les Dresseliens tradi-
tionnels dépendent des steeparas, des arbres pouvant
atleindre un kilomèlre de haut. Les feuilles gêantes de
ces vêgétaux ont une texture unique, entre le caoutchouc
et le cuir, ce qui en fail un matériau idéal à la lois pour
le textile et Ia construction. Chaque arbre est presque
un habital à lui tout seul, et une grande partie du rêgime
alimentaire dresselien en est issue : graine et sirop de
steeparas, viande de cuirreal et divers champignons. Ce-
pendant, les forêts ne sont pas sans dangers : de féroces
prédateurs tels que les erselus - des créalures sauvages
et semblables à des Wookies - les furtifs panagras qui
rôdent dans les bois, ou les astrigias, de grands préda-
teurs volanls aux yeux globuleux, reprêsentent une me-
nace constante pour les habitants.
Loccupalion impériale a uni les Dresseliens dans une
cause commune pour la première fois de leur histoire. Le
général Orrimaarko, ancien gouverneur de Sreeharlo, di-
rige la rêsistance avec l'aide des gênéraux Panno et Nee-
ralli De nombreux Dresseliens sont revenus à des modes
de vie traditionnels pour échapper aux représailles lm,
périales et contribuer à l'effort de guerre d'Orrimaarko.
Avec l'aide des Bothans, leurs alliés de longue date, ils
sonI devenus des experts de la guérilla et s'en prennent
aux palrouilles et avant-postes impériaux à dos de sell
dus. Sur Dressel, Ies soldals de l'Empire sont tous hu
mains, ce qur amène les indigènes à nourrir des préjugés
à I'égard de leur espèce en particulier, et des étrangers
en gênéral.
l-., l
1r,.., .-
t_â-t1lx/alêEl llat'
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op saluêsqe sorSolouLllêl sêl solnol € onblldde,s
DêJ oQlue^e orSolouLpêl el e soll slsal sol snol
êp ollnlgJrp el oluourSne uollossorp orlQ: JlIltu!.ld
'03€uuosrod êp uorleQrl
el q oluol?dLUor ollol suep a SueJ êl rossedgp sPd
luepuadol lua^nêd êu sll or^rnS uê Suer [ ]êAe noI
ol luoluoLuLtlol suarlossarc sêl : elEl)?ds ?lllede) a
dx oL L : uedgp ap o)uaugdxf a
?luolo + 0l : ssellsep llnas a
rnanSr^ + lL : ernssolq ap llnas a
#æ*=EææAR!æ
MMt*LsÆL*â#
*§TBi3æ d'§ #3âllltie.#k*
'sQLd suorldarxa sanblanb
? 'srnerug8ul seLlQrd ep luoJ uo et8olouqtal ap êrQtleLU
uo soluessleuuol solqreJ sJnol 'srnslltP ted saleLuoldtC
no saBQleLlS anb luel ua luasstBe slt,nbsrol gltreBes tnel
rades srolred lue,tned serqdse sollne sal sla^uê êlueU
oLU lnol lo nrnoq 0rQlr?.rel lnèl 'luêLUêsnê lnêLllelA
'suords3 lo sleplos solqeÂo-t:ut,p luos ol lo'srnoluoj lo
'srorle^EJ'srnallrlrv retlnrtlred uo'sV sluêllorxo,p luoJ
suorlosso.rC sal 'luepuedal .ouopPreu,ter ap anbueLu
"rno1 luaqrorda; 'rne1 rnb glroqrl el ap sluelleqluol su el
-rer;are8e ? oluepuol .]uo slt stBLU'0ll0q0U 0luetllV,l
ruued xno8ernol lê xnêrJQS sreu;anB sop oLLruol s?lgp
rsuor luos suarlass0rc s0l : ê)uelllvl ap ulas nP el^ e1
a,rrlrsod oArlerlrur êun lrenlrlsuol ueqloq 1eqeqd1e,l ap
tUoLd ne suorlêssêrp slrlrLuud seqdÂ13oL9tq sop uopu€qe,l
anb srurpe luoLUQUnLUuol lsa It 'sutoLUUBON êpuoLU ne
senbrlueLro"r snld sel sanEuel sop oun,l ndruo.t.to:,tto,te,p
sueL{loE sêl ?snrle luo Up,p senbtlt.t: xnotqLUou op
enb lurod ne'ar3o1ouq:al el lo^e l'lodder uo sêLUlol sap
's;alle^el stuê)-xnap ap sn§ ep a1lg,p adnor8 un a8u
-rp auqu;-in1 rleraaN 'salsod-luele,p.saurezip sap grnl
-der la eler.rgdr.ur uoltgdnl)o,l € allelsqo 11e1 1uo sla8
uBJ sol solqpssreuuolor sQrl slou xneelueur spuer8
ôp luêljod 'snpllê§ sra8ueS ap ulou ol snos sanuuol
'sadnorl sa5 arrdiu3.1 ap arE39; ouoleAEl el no oÇstuel
-?ul auojue1ur,l anb neantu au?u ne nplles arJalelel el
ranalA.p srLu.tad.luo solue^ouur sanbrlrel saS lassorC
ap s?lueu-ru?dxa snld sêl srarlelpl sap un,l la olleeu.l
UrO.p auap el el ap Jaq3
âl sa lleJêâN le';ouq8 al
'inætll ua ouuosgr
lr.nbsrol slâuJanB sap pan8e
snld ral .lalqnoji' ap alqede: 'lueJqr^ ta çqrad lneq
nolBnolB un lsa npllas np ollrpleq ap ul al 'sdu-ral ap
nèd un lê^E ap1olpeld ap sàJnuJJeisêp ;aloyad' aLrqu.r
ta sapjouelunLl sap pednld el êp npêd el .lauad tnad
snpllas sap 3aq at :gqlorddel leq$o) nV 'aluelslp
an8ùol ?'§gnbsnquô srrl sap ranl3êJ]a :nod aslllqets
sa1 rnb ar lapueuJulo3 Jns snpllqs smal ap agJnos al ras
-ruo:qruÂs ç auq,u; Uauuar^Jgd suorlossêr6 xnuqutou
êC 'aruetslp € a:]lequo} rnoc{ ayxele8 El apr sôlQets
snld sa1 sa:nluour sal artrg-lnad luôs snpllas sal
5nE'111S SU3gtlvu
rerlnrrped uo 'sueqloq slou xnêJqLUou ep Çldope --.
suorlossêrc sol 'sêlrQts sr0lur0p xnap s0p sJnol nE '1.,2:
-uada3 xnorpol?ur suos op egsoduuor 'allarnleu lo êp,' .
ourLUol luê^ulQp slrpnJQ se1 enb auuatlue sQrl enE-z
êun'uorlossêrp e1 lualred suotlossotC sa1: en8uel
errdu; 1
orellsnos es;nod sêpeLuou slnolltonl sJnosseL{l ap sli: a
srnol op Jue^res es ua eur1ed1e6 ep autSgl êl olluol :
-1u9nB eun suep luerQBeBuo,s suatlosso;6 sa1 lettqd .-
alQrluol snos souuêrlossorp solrnossel se1 e5e1d 1o otÊ .
eld e1 rns uosrureS aun lrlqelÇ ertdiL-t3,1 'ulle ap ali a
eq el lue^E sue xrC senbtleLuoldtp slleluol sanble,-:-
ap uorlderxe,l ? suorlossoJC sep e,trlturr"rd uotlelndod :
la^e OnuêJnos uorlel0r 0unlne luêlulleJlua,u suelll.:
sol 'rol-el-srolj no slue5reuu.tor sanblanb stultoLl st?-.-
'ur^e^ ap 0llrelsq el lue^e s0llQIS xnop Iass0lc lll^n.
-Op reISV,p uell np rp)ls,u^ e)re, uel{toq.lnaleroldxa.t
sêrelnl0s slQroJ ap la s00uuolle^ salrle,, l
op sêgnlrlsuol luoLUallorluêssa luos seg8teLuQ saJJal sa-
'0uuorlêss0rp uorJesrlr^{l el ap neallaq êl êLUUJol ê0-lÇ:
-rsuol lo ereL{aarB eOledde eleuolenbQ ol.L oun lso ôlls..
rol onpuêlg epueLS snld e1 sluourluo) sanblenb ap er:
rsure '0Ll..ilolrun lê olueuuolQ 0rQrueLU êp s0Qnqlllslp sê _
sepueLS op oOnlrlsuol lsa alQueld pl ueqloq a:eds;
0p solPlu0pDlo sOJQrluor] sêl sloJollne llelluJllQp ll .
alerledsLedÂq oro^ oun 1e)lsV,p are{ el ep 8uo1 al 'êuE .
Qhl êrnproB el êp uorloou rnêllos êl suep Çnlls '0u'
sues QrOduel opuoLU un lsê lossoJC : au1âl.to,p epuot J
aLrdu3,1 op sru.lêuuo sa1 tu;ed gsoldxe IUoLULUOIO- :
souuêrlossorp sar^næ sep çqrLelndod El snol ? solqtssê:
-leJUos 1a spuolo"rd seuJQLll ap luêlterl tnb 'suatlasse-l
lJe.l la ornlerQllrl e1 'enbtsnLu el slueslueAIEB 1ua,rno,-
sanbrlrrr sal srldruorre sêlsrlJe sop luos suorlossa.rC
sa1 'anbrlrele8 elr,ul errenS el êp srnol ne leqLuol r1:
sessenord s:nelrnod snuuol e8elue,tep luos slt,s otxQl
'sêauuE sa-l0lu
-rap xrp sa1 srndap lBqu.lor êp sarnluour autLUol-Ja
'auuros ap salgq ouJu;ol aldLuaxa Jed'suç sêsranrp e
snpllês sal luôsrlrln suêrlassêr( sêl 'JêdooJlJe:ls un,p
olnuJJe.l aululof lnô1 spJpdêols ap saurei8 sal rasuq
ap alqeder pnel:nol la rnp laq un apqssod np11as
al spuor snld ta sprnol snld ourootEl ap soopooM
sal a8elue,tep anboag srBur 'ooqeN êp snpeel xne
alua-redde.s 1r )rou e8eunld uos la sa11ed xnap sas
fê^v rolo^ ep alqede:ur arlelneldar un lso npllas al
'uorlourolôl ap ueÂou ap astnB ue snpllas
sop êiuâ8rnsg"l e; 1a seredaals ap slOJoJ xne rnoJar un
luenbonord uo 'suarlêssorq sêp arn ap apolu al aHtpotu
luer-ugpuolord 1uo arrdu1.1 arluol a)uelstsçl ap sêQu
-up xrp sal atQueld et lrqe^uo arrdu.r3 1 puenb larLlsnp
-ur êpels al lurallp lleJ e lnol sed lrene.u auuotlossarp
uorlesrlrAD el 'sol)èrs sraruJêp xnap sop lg ne suequ
-og sOp uorluarualur'uou ap anbrlrlod e1 ap uosla ul
 leur planète natale, même si le MJ peut décider d'en
exempter tout objet technologique avec lequel ils ft-
nissent par se lamiliariser. Retirer ceite pénalité de
laçon permanente coute 10 XP lors de la crêation
de personnage.
X§KYæ
Les Xexto sonl une espèce d'humanoïdes à six membres,
avec un corps sec et une minuscule tête surmontant un
long cou. Fruits d'expêrimentations arkaniennes, ce
sont les ancetres des Ouermiens et ils semblent par-
tager des caractères gênétiques avec les Kaminoens.
lls ont une soif insatiable d'aventure et d'adrénaline,
si bien qu'on prétend qu'il n'y a rien de plus dange-
reux que deux Xexto qui s'ennuient. Alors que certains
considèrent leur courage comme de la bravade et de Ia
fierté, l'Alliance Rebelle est fière de les compter dans
ses rangs et a honoré de nombreux Xexto pour leur bra-
voure, souvent à titre posthume.
Physiologie : grands et minces, les Xexto présentent une
peau pâle comme de la craie et un corps souple doté
de six membres filiformes, dont quatre qui leur servent
de l:ras. Perchée au sommet d'un long cou, leur petite
tête ronde comporte de grands yeux noirs ainsi qu'une
toute petite bouche. Leur peau bleme peut être teintêe
de jaune, de bleu, de vert ou de pourpre.
Les Xexto possèdent deux cerveaux. Les lonctions cor-
porelles de base sont régies par celui qui se trouve dans
la tête tandis que celui de la poitrine gère les lonclions
plus avancees. Leurs grands yeux noirs sont parfaits pour
voir dans les lorêts sombres et les grottes, et les Xexto
porient souvent des lunettes teintêes alin de protéger
leurs pupilles quand elles sont exposêes à la lumière du
soleil. Doiês de rêflexes fulgurants, ils sont également
capables d'une grande résistance au stress. Habitués à
affronler les prédateurs qui rêgnaient autrefois sur leur
monde, les Xexto ont su développer leur vilesse et leur
erdurarce au fl des milrenaires.
Même s'il es[ communêmenl admis que les généti-
ciens arkaniens ont créé les Ouermiens en procédant à
des expêrimentalions sur les Xexto, une autre thêorie,
plus récente et moins connue, a êtê avancée par un pe-
tit nombre de chercheurs controversés. Elle suggère que
les premlers généticiens kaminoens créèrent les Xexto
pour travailler dans les mines d'épices de Troiken pour
le comple des anciens Hults il y a plus de 20000 ans.
La preuve de cette allégation résiderail dans les mar-
queurs-clés kaminoens prêsents dans l'ADN des Xexto.
D'après ces chercheurs, si les Arkaniens s'intêressaient
aux Xexto, c'était uniquement alin d'estimer la menace
que représentaient les kaminoens pour leurs affaires.
Société : les Xexto vivent principalement dans d'im-
menses villages à la lois arboricoles et à la pointe de Ia
technologie, disséminés à travers les forêts de Trolken.
lls ont également construit un certain nombre de villes
modernes et de spatioports. Larchitecture des im-
meubles et bâtiments de Vetemed, la capitale, est for-
tement inspirée de celle des Mondes du Noyau, comme
Corellia. Les mosaïques complexes, composées de si
licates bleus, pourpres, verts et jaunes, qui ornent les
AUX COMMANDES
ctBLE vERtouLLÉE
murs des villages et des villes, symbolisent la vitesse el
le mouvement, et représentent parfois Ia faune locale
comme le skizzard.
Les Xexto sont habitués à faire lace au danger, et Ia
bravoure est l'une de leurs plus grandes qualités. Les
carnpagnes politiques se résument souvent à une succes-
sion de défls de plus en plus dangereux, ei se concluent
par I'abandon ou la mort d'un des candidats. Certains
Xexto, comme ceux qui apparaissent dans la série d'ho
lovidéos u Cresh Krill Yirt » sont suivis par des milliers
d'adeptes qui s'infligent parfois d'horribles blessures en
tenlant de reproduire leurs cascades.
Même s'ils onl de nombreux hobbys comme compo
ser des mosaiques, jouer des percussions ou provoquer
les prêdateurs locaux, les Xexto nourrissent une véritable
passion pour les courses de modules. Leur monde pos-
sède plusieurs pistes qui sillonnent les forêts eI les mon
tagnes les plus denses de Troiken, certaines s'étendanl
jusqu'aux régions les plus hostiles de la planèie. Casga
no est une légende vivante de la course sur Troiken. De
nombreux jeunes Iui vouent un véritable culte et se ruent
sur les produits Iiés au pilote vieillissant. Les Xexto qui
ont quittê Troiken participent souvent à des courses ou
ne sont jamais bien loin des circuits, que ce soit de mo
dules ou d'autres.
çA E',EST UNE EEURSE ItE MS0ULES !
t es habilanLs de Troiken sont des lans acharnés de
Lcourses de modules. eL les pisles de ce monde
lrgurent parmi les plus dangereuses eL les plus exi
geantes jamais conçues. Ouelques fabricants de
modules. comme lrateq. entretiennenl des inslalla-
lions de recherche et de developpemenL sur la pla
nète pour pouvoit benéhcier d un acces â la [ois aux
piiotes et aux pisLes.
Sur Troiken, la conceplion de pisles se rapproche
d'une forme d'art. Lune des plus morLelles esl la
Boucle infinie de Xextoan, une sêrie de six boucles
qui se croisent dans un immense carre[our à douze
branches. Malgre sa concepLion d'une simplicilé
redoutable, elle est responsable d'une parLie des
accidents les plus spectaculaires de toute I'histoire
des courses de modules. Les ingênieurs ont conÇu
le circuiI de manière a ce que Ielrafic s'engorge au
carrelour au terme du premier l"our et que le risque
de collisions soit ainsi démultipllê.
La pisie Ia plus célèbre esr la Fournaise. qui s'éLend
jusqu'aux régions les plus chaudes de la planète,
au'delâ des Lerres habitables de Troiken. La ges-
Lion de la chaleur esL un élêment crucial pour tàure
course de modules, mais les lempêratures sur la pla-
nète peuvenl dêpasser les qualre-cents degrês et
provoquer la surchauffe, voire la fonte des véhicules
en quelques minules. Cette course est une bataille
pour atteindre les rares sections où sonl disposêes
de maniêre strategique des loiles solaires. Les acci
dents qui surviennent dans la zane la plus chaude
de la course se soldenl souvenl par des décès, car
les droides de sêcrriLe sonL raremenL capables de
sauver ies piloLes avant qu ils ne brulenL vils.
 Ii-l1[Xriüdr rlErt
sS0NVNl^lol xnv
s
[91r1err9ds es ap ]ê êrQutel es êp xnal
le erQdsa uos red gÂor1ro lrnler8 3ue-r un eldruaxe red
luelnunl ua) rauuorlrelQS el ap suaÂou.t sal atldtllnLu 1t,s
êLTQLU 'oluolQdLuor augu.r êun suep s8uer xnap ap snld
:ene nel êl .roluaLULUol oqlue^ar ue lnad au e8euuoslad
unrny sBuer xnap loA€ rêlnqOp quanbgsuo: led la 'uotl
-eQn es € erualqduo: aLUQLU el stoJ xnop rtsrolll tsule
lned a8euuosred u1 snuoq alQulel ep sa:ualQduo: ap
alsrl ardord es e gqrlerrgds enbeqr anb sed zollqno,N
'sarualgdLuor lrnLi sol op oun suep s8uer sep luolQllle
slr,nbsrol asrLLrêJ aun,p luonU?uQq 1e'eruatrgdxa,p res
-uedOp sues'(xrolll rnal ap) sollo orlua,p erlenb suep
Suer [ ]ueLuenbrleuolne lueuSeB s11 '(ecedse) aâetolld
te (ar!et?ue1d) e8e1o116'uogldecla4'anblueo96;
'(se.rqâg; seure) a)uelsrq'eulP)'uolleâollsv'ayel
-lruv luos sV sêp êrQlre) ap se:uelgdLuol ltnq sa-l
:nol red sêJ^næueLU
xnêp ap snld relnrgxa sed lue,nnad au srelLt 'rnol
Led alrnlel8 êr^nêoueu.r oun,p luarlU?uQq slt 'luenb
-osuol red serq arlenb la seqLuel xnop . sorqLUoul
xrs luo olxêX sol : salrelueuglddns se;qrue61
quoldy luolel ol suep Suer ; ta,te
nal e1 luarueuLuol olxax sel : eletcgds g11rede3
dX EB : 1redgp ep erueugdx3
91uOl0A + 6: ssoJls êp IIneS
rnen8t,l + 6 : aJnsselq ep llnas
ffiffiffiffiffiffi
§æreW§§ærT* § Sæ"§-r3W*Wæ
'uoissalo.td e11e: ep LaB
-uep np snlureAUol luarel? slr,s uorsel)o,l lns luolel0l
-nes slr sreur 'rneruqBul,p no aleuoldrC op orQIrJpl oun
a"tpuarderlua rro^ sal op oreJ snld lse 11 sadnorl s;na1
rarrdsur rnod luo.rJ ne luallequror slr 'se8Qlerls enb luel
u3 suordsg lê slaplos 'sV sluollêrxa,p luol u0 lequrol
ne êrno^erq rnal lê olr.rouQl rnol Çsnr rnaJnr)ar un red
uorlsanb uo sru.lor aSernor rnol nA rto,re sq;de sQBeBuo
luos os olxax xnarquou op lo sre8uep sap uatq elrod
-urol olloqoU oluErllV,l :nod erllequuor 'luepuedaS
oluerllVl ? esoddo,l rnb 1111uor ne luoLUOJeJ luossêrglut,s
olxêx sol l0 'u0)ro{ rns ollarrp êluonlJul aunlnP oroluo
êlraxê,u a"rrdu3,1 'luelÇ elof eurledled ep eut39r a1 led
surouJ orofuo le'lel?ugB uê sureLUnq se1 red tu enbtlqnd
-96 e1 red sQSSOrolur OIQ sreruel tuo,u sll ourleuQrpe,p êQS
-snod eun ranbo,told ap elqtldersns luêLUOuuo.lt^uo lnol
red sO.rrlle luos slr sreu'êsrnol op slrnlrl sop sroq olxox
sap JosroJl 0p êrer lsê lr I ê)uerllvl op ules ne a!^ el
Qll_rlJ lo prellrseu e8eu
-rno8ereq uo JUaLUroJSUerl se8ro8 sanSuol srnal enb '11nq
en8uel e1 op no lrseq np slueurpnr sa1 sudde luo olxox
'0lqnop ' -
allrnb e ar,r es ranol e Qnllqeq lnot anbst.l un lso e;
-Uq êlQ-L el 'uUU! êllreleq eutald ua olnltqg^ uos êl:
sa:ueuroired sal rarorlQLUe,p larurad rn1 tnb ar'sV un .
ludse,p QlneAl^ e1 p LnetugBut un,p Qllsotu93ut,l a '.
rnallrnoprE ol anuuorur elQueld aun .tns uotlralg,p r- -
qserl êp sel uê sallln sQltlenb sop lnollellQ un,p luê--
-au.Lerluo,l ap lo êrnrns êp llutlsut,l ap luasodstp sLatlz
el sol 'soJnle?rl sop Iednld pl roluoLu ep alqede3
'saluê)sal0c.,.
srnol suep rasrnd ap eptrgp lnenol un ts orQtrlel ollr-:
oun roluoLUQrSe arlno ua lue,nned sollf suotleluot,j l
sollo^nou 0p luBrlJo ounleql 'aQluq 01Q1 el l0 rnêlllncr
-rB ol 'rorLeABJ ol : sollaAnou stoll eluasQtd uo lSlltnouul^
3181) OlOIrd l0 rnallrlrv 'rnaluol : sv,p 0rQlllsl e I
rnod sgltletrgds sto.t1 ltesodord Not'I'IlsgU vr :o ru3, I
§w§§ffi §§eârw§3§ds
sap 1ednld el êrl el ? no rel.red e1 q a;puetdde,p aulêl
e1 luauuerd sraSuerlO,p nad steut 'oltll?,s ISSne lnêl
alll QlrdrrÇrd prellrseu aSeutnoBereq un € olqLUêssar ir:
en8ue1 eun 'srelxêX a1
gddole,tgp luo olxox se1 : antuel
'nutor sdc-
-rns un,p ruBll ol redder; rnod erqtLleq oun snssop-lEl
a
rolnes êp olxox sal sed aqrgdua,u elal JLts uotB sa^l-r:
t -?r sep lo sooz sop suep sqnbred snol anbserd luos s
a 'srnol sou op oroluê JUOlstxo yednld el ts oLUQLU la 'lQr.-
a
el suep luBAr^ srnalppg;d ep seuteztp sol lêAe roltqeLlc:
luornp olxox sap sorlolue sêl salq?l sap red sollo arlL,-
soQrlêr sololuoqre saueqel sap luotelg'sau8eluou sal
sQrd seOnlrs 'sollr^ sêrQrLUard sel ettel?ueld uotlelr:
od e1 ep srorl xnap sal luoltJqe ua)lto{ 0p slQroJ sêl
'seqlueq sep sltled xne Ja xneedno--
xne renbelle,s rnod salueurslo^e so?lleA sal suep alnê,-
ua apQr rnb 1eq: un ? alqelqurês êrnle9ll aun '8tlde:
ol Iol'srnêlepQ.rd se:lne,p luallronlle sJnalneL{ sa1 eBz.
-sed rnal Jns ê^norl es rnb el lnol luêro^Qp Ja sLUtess:
se8rel ua 1ua1o,r rnb '3urod un,p ollrel el op slualsêur--
nlorq lê s0ro^rurel solrêsur s0p 'lellsqr 0p sln0lo^?c
sol luoluqe seu8etuour sêl sêuolJ sop êlonJ el ep;-
-qrd rnb trlJUol un ')Uels ap a:edsaredÂq,1 ap allêr--
el êp a^rsnop ollreleq e1 ep anbuolstll alts êl lnJ so':
luoLU ol srJel sreurosgp luos slt,nb luasuad dnolnea:
sreLLr 'eJellol ap arrdg,p la srJpue,p sluauestB sêlse^ ;:
sroJorlne lrEluqe )llrLUJoH 0p 0uleql 8l sêQUUe sap
ne soosnorl sourur op eqiuuÂqe1 un,p s?lqul 'seLdtn::
solurêl xne srêr-.{)or sasuaLUUI,p luos seu8eluolu sa-1
'1.n, I
e1:Âr un q êlqLUassoJ rnb el ern:o,td rnl lo olqeltqeq êrj=
ap oll,ral un o?rl arrelod alrqlo uo ounl essorS eu:^:
arqLUo.l elQueld el op olsor a1 rns 1etce13 prorl un --
oQrrepÇ oleJ el rns alpulojur rnoleLil aun eu8ql It 'lua-:
-gsuol Jed euorqruÂs lso uorlelor el luop alQueld a-.
.
ls0 u0Yro,rf '0uuorLUou0d 0lEDr0LULUoJ alnou el 0p ê1r1.
-Olxa Qlm,rgrlxe,l ap sqLd 'epunlof êp rnêllos np rn3:
ne 'uolro{ euQlsÂs ol suep o9nlrs : eup;.to,p opuol,^1
 M[ER §-xKYKd§&dfK
ffie nomb'eux mondes dans a ga axie sott Lrop prl' Alors que la plupart des êtres vivants sont capables
ff#mitifs, trop pauvres, ou victimes de climats trop ex- de monter des animaux dressês, le Cavalier peut domp
trêmes pour disposer de véhicules modernes. Parfois, au ter les crêatures sauvages. Une fois sa monture dressée,
Iieu de dépenser des crédits pour adapter un speeder au il peut l'amener à rêaliser des prouesses incroyables,
froid ou crêer un filtre anti-sable pour un moteur à repul- meme en plein combat. Le Cavalier est aussi une sorte
sion, il est plus simple d'utiliser une monture locale que de baroudeur et constitue un atout pour toute l'équ pe,
d'innombrables millénaires d'évolution ont harmonisée avec ou sans sa monlure.
avec l'environnement.
§ eÆ æ ffi Ye*§
&§eæ,&&§ ffi ffi ⧠ffi
Les Cavaliers expérimentês peuvent se spêcialiser el ne
dresser qu'une seule sorte de monture, ou s'intéresser au
contraire à tous les types de crêatures. N4algré I'impor
tance croissante des vêhicules modernes, la plupart des
cultures et des armées ont encore recours aux animaux
de selle. Les soldats de l'Empire parcourent les mondes
désert,ques comme Tatooine à dos de dewback, tandis
q-ue les Rebelles sillonnent Hoth sur leurs tauntauns.
A travers toute la galaxie, il existe de nomb,reuses
cultures indigènes qui dépendent de leurs Cavaliers, à
l'instar des Hommes des sables de Talooine el de leurs
banthas, ou des chevaucheurs de rupings d'Oderon.
Les Cavaliers ajoutent Athlétisme, Connaissance
, (Xénologie), Perception et Survie a eJrs compe
I tences de carrière lls bénéficient d'un rang gratuit
dans deux d'entre elles s'il s'agit de leur première
spécialite. Note : la compétence Survie sert 2 « pilo-
ter » les animaux de monte (cf page 80). Contraire-
ment aux autres As, le Cavalier est un grand amateur
de plein air qui aime sentir le vent sur son visage. ll
collabore aussi bien avec les soldats et éclaireurs de
l'Armée Rebelle qu'avec les pilotes des chasseurs ou
des speeders.
La Rébellion emploie souvent les Cavaliers en tant
qu'éclaireurs sur des bases el avant-postes altn de
conduire des patrouilles, d'établir des postes de défense
avancée et de prendre des mesures de contingence en
cas de rencontre avec des lmpériaux. Lorsqu'un soldal
Wi: de I'Empire repère des empreintes de créatures, i1 peut
penser qu'il s'agit d'une bête sauvage, alors qu'en prê-
!|lâ'
qï,: sence de traces de véhicules, il aura tendance à enquê
Y!-: ,
ter. Au combat, la cavalerie montée n'est peut-etre pas
§.,::
aussi rapide, agile ou lourdement blindée et armée que
son équivalenl mêcanisé, mais elle présenle des avan-
tages. Les créalures vivantes disposent d'un meilleur
'ê.,a
camouflage, d'une meilleure mobilité en combat rappro-
ché, et en cas de bataille, les équipages impériaux ont
tendance à les négliger
La présence d'un Cavalier constitue un atout pour la
plupart des groupes. En matière de survie et de gué
rilla, ses talents sont presque équivalents à ceux d'un
Éclaireur ou d'un Espion Ses capacités à traverser les
terrains difficiles, à capturer et à dresser les montures
indigènes, ainsi qu'à localiser de la nourriture et un abri
sont vitales lors d'un grand nombre de missions. De plus,
si les membres d'un équipage de vaisseau venaient à se
crasher ou à s'échouer d'une quelconque manière, un
Cavalier pourrait s'avérer essenliel à leur survie.

AUX COMMANDES
cEr-E vErRouLrÉE
 AS : arborescence de Cavalier ACTIF
Compétences de Carrière  : Artillerie, Astrogation, Calme, Distance (armes légères), Mécanique, Perception, Pilotage
(planétaire), Pilotage (espace)
PASSIF
Compétence de carrière bonus de Cavalier : Athlétisme, Connaissance (Xénologie), Perception, Survie

SUBSISTANCE ENDURCI BAROUDEUR DRESSEUR

Retirez jusqu’à ∫ ∫ aux tests
de compétence pour trouver
de la nourriture, de l’eau ou
un abri. Ces tests de Survie
prennent moitié moins de
temps que la normale.
Augmentez votre seuil de bles- Retirez ∫ par rang de Barou-
sure de +2. deur aux tests effectués pour
se déplacer au sol ou pour
COÛT 5 gérer les effets d’un environ-
nement. Réduisez de moitié
le temps de voyage terrestre.
Ajoutez ∫ par rang de Dres-
seur aux tests effectués
pour dresser ou dompter
les créatures.
COÛT 5

COÛT 5 COÛT 5

BAROUDEUR PISTEUR ENDURCI CAVALIER

Retirez ∫ par rang de Barou-
deur aux tests effectués pour
se déplacer au sol ou pour
gérer les effets d’un environ-
nement. Réduisez de moitié
le temps de voyage terrestre.
COÛT 10
CHEVRONNÉ ÉMÉRITE
Augmentez votre seuil de bles-
Retirez ∫ par rang de Pisteur sure de +2. Retirez ∫ par rang de Cavalier
chevronné aux tests effectués émérite aux tests de Survie
pour suivre ou repérer des COÛT 10 effectués pour monter des
empreints. Réduisez de moitié animaux.
le temps nécessaire pour
suivre une cible. COÛT 10
COÛT 10

PISTEUR DRESSEUR EN SELLE ! ROBUSTESSE

CHEVRONNÉ
Retirez ∫ par rang de Pisteur
chevronné aux tests effectués
pour suivre ou repérer des
empreintes. Réduisez de moi-
tié le temps nécessaire pour
suivre une cible.
Ajoutez ∫ par rang de Dres-
seur aux tests effectués
pour dresser ou dompter
des animaux.
COÛT 15
Une fois par round, vous pou- Augmentez votre seuil de
vez monter ou descendre stress de +1.
d’un véhicule ou d’une mon-
ture, ou vous installer dans le COÛT 15
cockpit ou la tourelle d’arme-
ment d’un véhicule au prix
d’une broutille.

COÛT 15 COÛT 15

ÉPERONS ÉPERONS BAROUDEUR NÉ CAVALIER

(AMÉLIORÉ)
Subissez 1 point de stress
pour utiliser Éperons au
prix d’une manœuvre (et
non d’une action) et en ré-
duisant la difficulté à
Moyenne (π π).
Entreprenez l’action Éperons ;
effectuez un test de Survie
Difficile (π  π  π) pour aug-
menter la vitesse maximale
d’une bête de 1. L’animal su-
bit 2 points de stress par tour
où Éperons est maintenu.
ÉMÉRITE
Une fois par partie, vous pou-
vez relancer un test de Résis- Retirez ∫ par rang de Cavalier
tance ou de Survie. émérite aux tests de Survie
effectués pour monter des
COÛT 20 animaux.
COÛT 20

COÛT 20 COÛT 20

ÉPERONS ENTRAÎNEMENT ROBUSTESSE TON APAISANT

(ULTIME)
Vous gagnez +1 dans une ca- Augmentez votre seuil de Entreprenez l’action Ton
Quand vous maintenez Épe- ractéristique. Cela ne permet stress de +1. Apaisant ; effectuez un test
rons, l’animal ne subit que pas d’augmenter une caracté- de Connaissance (Xénolo-
1 point de stress par tour au ristique au-delà de 6. COÛT 25 gie) Moyen (π π). L’animal
lieu de 2. récupère 1 point de stress
COÛT 25 par ≥.
COÛT 25
COÛT 25

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SWA25_STAY_ON_TARGET_FR.indb 27 22/03/2016 16:58:14

 TÊTE BR@LÉE
-&*W.-fuW ffipffidWW
ffilors que les As Pilotes mettent en ceuvre des com- compter sur une Tete brûlée pour loncer lorsqu'elle voit
§§pétences et des techniques durement acquises en l'occasion d'accomplir un objectif. ll n'y a rien de plus
complement de tactiques bien rodées, les Têtes brtlêes impressionnant que d'en observer une enchaîner les vic-
sont naturellement douées, font preuve d'une agressivité toires, mais mieux vaut alors changer de canal comm,
débordante et élaborent leur slratégie au fil de I'action. car si rien ne Iui plaît plus que de voler... se vanter de ses
Pour elles, prendre des risques n'est pas juste une ma exploits arrive en seconde position.
nière de voler, c'est un mode de vie. On peut toujours
L'ffiÀ"f{"Ë'ffi#Fd Lt#§.H
La Rébellion manque de vétérans, mais dispose d'un vivier
quasi inépuisable de nouvelles Têtes brûlees, de jeunes
gens habitués à parcourir la brousse aux commandes d'un
T-16. Ces courageux combafiants de la liberté préfèrent
I'improvisation à une stratégie bien préparée, au grand
dam de leurs commandants. Ces individus à qui la chance
semble toujours sourire ne tardent pas à devenir des hé-
ros et des légendes parmi les rangs de l'Alliance.
Les Têtes brûlêes ajoutent Calme, Coordination, Pi-
lotage (planétaire) et Pilotage (espace) à leurs com-
pétences de carrière. Ils bénéficient d'un rang gratuit
dans deux d'entre elles s'il s'agit de leur première spé-
cialité. Les Têtes brtlées gardent leur sang-froid quand
elles se retrouvent en mauvaise poslure et possèdent
une grande maîlrise de leur véhicule Leur adresse et
leur prêcislon, en plus de leur extraordinaire bravoure,
les incitent à plonger directement au cceur du combat
&.i',i.
en s'attaquant d'emblée aux groupes d'ennemis les plus
ffi,
&li:: importants et les plus dangereux
La Tête brûlée ne vit que pour l'amour du risque, à Ia
fois au combat et en dehors. Elle songe rarement aux
conséquences ou aux alternatives. Lorsqu'une occasion
se présente, elle la saisit. Ce caractère imprévisible et
,,{Éê;i
souvent irratlonnel, auquel s'ajoutent d'indéniables ta-
'r§,.iti
lents de pilotes, en fait un redoutable adversaire. Bien
*:S stt qui ne risque rien n'a rien, mais le comportement des
;'llllr;::.1&; 1,"+

.""=\ Têtes brtiées frise parlois l'inconscience. Sans Ie soutien

'L;r"' ;+: de leurs alliés, Ia plupart seraient probablement mortes
i:.';4{f# des dizaines de fois.
1iÏ:'
È,.;!ii.:
ffi Cênéralement, les Têtes brulées sont mises à l'essai
dans des simulaleurs avant d'être envoyées au com
bat. Cependant, les Rebelles ne peuvent se permeitre
de garder longtemps leurs meilleurs As sur Ia touche.
Le commandement reconnaît leurs talents particuliers
et les affecte lréquemment à des escadrons d'X-Wings,
#,:.1 d'A-Wings ou d'autres véhlcules Iégers et manceuvrables.
ffi.É: Les Têtes brillées vétêranes sont génêralement retirées
,::t,tt
t..:,t*.
du service quand leur valeur en tant que symbole éclipse
les services qu'elles pourraient rendre sur le terrain. Il
arrive souvent que Ie haut commandement les envoie sur
des missions à faible risque et à haute visibilité, ou les
transfère à des postes de formation.
Tous les groupes de PJ peuvent bénéficier des talents
en duel aérlen d'une Tête brtlée. Cependant, malgré sa
lendance à voler au combat à l'avant de l'escadron, elle
est plus elficace lorsque ses êquipiers se trouvent luste
derrière pour abaltre tout ennemi qui lui aurait échappê.
Une lormation de véhicules menee par une Têle brûlée
provoque souvent de lourdes pertes chez l'ennemi, du
moins tant que la chance continue de lui sourire.
 AS : arborescence de Tête brûlée
Compétences de Carrière  : Artillerie, Astrogation, Calme, Distance (armes légères), Mécanique, Perception, Pilotage
(planétaire), Pilotage (espace)
Compétences de carrière bonus de Tête brûlée : Calme, Coordination, Pilotage (planétaire), Pilotage (espace)
RACCOURCI
Lors d’une poursuite, ajoutez
∫ par rang de Raccourci aux
tests pour rattraper un enne-
mi ou pour échapper à vos
poursuivants.
COÛT 5
DEUXIÈME
CHANCE
Une fois par rencontre, vous
pouvez relancer un nombre
de bons dés inférieur ou égal
à votre rang de Deuxième
chance.
COÛT 10
DANS LE MILLE
Dépensez 1 point de Destin
pour ajouter des dégâts sup-
plémentaires égaux à la moi-
tié de votre valeur d’Agilité
(arrondir à l’entier supérieur) à
un coup réussi d’une attaque
effectuée avec une arme de
véhicule ou de vaisseau.
COÛT 15
DEUXIÈME
CHANCE
Une fois par rencontre, vous
pouvez relancer un nombre
de bons dés inférieur ou égal
à votre rang de Deuxième
chance.
COÛT 20
DANS LE MILLE
(AMÉLIORÉ)
Dépensez 1 point de Destin
pour ajouter des dégâts sup-
plémentaires égaux à votre
valeur d’Agilité à un coup réus-
si d’une attaque effectuée
avec une arme de véhicule ou
de vaisseau.
COÛT 25
Permission d’imprimer et de photocopier cette page pour un usage personnel. © LFL. © FFG.
SWA25_STAY_ON_TARGET_FR.indb 29
RÉSISTANCE A
L’ACCÉLÉRATION
Quand un vaisseau ou un vé-
hicule que vous pilotez subit
du stress mécanique, vous
pouvez subir un nombre de
points de stress inférieur ou
égal à votre rang en Résis-
tance à l’accélération pour
annuler autant de points de
stress mécanique subis.
COÛT 5
ROBUSTESSE
Augmentez votre seuil de
stress de +1.
COÛT 10
RÉSISTANCE À
L’ACCÉLÉRATION
Quand un vaisseau ou un vé-
hicule que vous pilotez subit
du stress mécanique, vous
pouvez subir un nombre de
points de stress inférieur ou
égal à votre rang en Résis-
tance à l’accélération pour
annuler autant de points de
stress mécanique subis.
COÛT 15
ADIEUX
CORELLIENS
Entreprenez l’action Adieux
corelliens pour cibler deux
vaisseaux ou véhicules à
portée proche. Effectuez
alors un test de Calme
Difficile (π π π) pour infli-
ger une collision mineure à
vos cibles.
COÛT 20
ADIEUX
CORELLIENS
(AMÉLIORE)
Quand vous effectuez un
Adieux corelliens, les cibles
subissent une collision ma-
jeure.
COÛT 25
PILOTE
CHEVRONNÉ
Retirez ∫ par rang de Pilote
chevronné à tous vos tests de
Pilotage (planétaire) et de Pi-
lotage (espace)
COÛT 5
RACCOURCI
Lors d’une poursuite, ajoutez
∫ par rang de Raccourci aux
tests pour rattraper un enne-
mi ou pour échapper à vos
poursuivants.
COÛT 10
ROBUSTESSE
Augmentez votre seuil de
stress de +1.
COÛT 15
RENVERSEMENT
KOIOGRAN
Lorsqu’un adversaire a pris
l’avantage sur le vaisseau ou
le véhicule que vous pilotez,
vous pouvez en annuler les
effets en exécutant un Ren-
versement Koiogran au prix
d’une manœuvre.
COÛT 20
ENTRAÎNEMENT
Vous gagnez +1 dans une ca-
ractéristique. Cela ne permet
pas d’augmenter une caracté-
ristique au-delà de 6.
COÛT 25
ACTIF
PASSIF
ROBUSTESSE
Augmentez votre seuil de
stress de +1.
COÛT 5
RÉSISTANCE À
L’ACCÉLÉRATION
Quand un vaisseau ou un vé-
hicule que vous pilotez subit
du stress mécanique, vous
pouvez subir un nombre de
points de stress inférieur ou
égal à votre rang en Résis-
tance à l’accélération pour
annuler autant de points de
stress mécanique subis.
COÛT 10
PRÉSENCE
SAISISSANTE
Dépensez 1 point de Destin
pour éliminer un nombre de
points de stress égal à votre
Présence.
COÛT 15
ROBUSTESSE
Augmentez votre seuil de
stress de +1.
COÛT 20
FRIME
Avant d’effectuer un test dans
un vaisseau ou un véhicule,
vous pouvez subir 2 points de
stress. Une fois le test effec-
tué, vous recevez ± en cas de
succès ou µ en cas d’échec.
COÛT 25
22/03/2016 16:58:23
 BIE@UilLLEUR,
ffi§Wffi§Æ§æ%§%ÆtuffiP
Qi la plupart des As de la Rébellion pilotent des véhi- ffi ffi *§ *§§*Yffi e§ æ e4 §**,ee$ æ â.§ ffi
E

ü§cu,es slanda'o enlrelenus par des êouipes oe neca

nos, d'autres préfèrent mener un engin personnalisé au
combat. Le Bidouilleur refuse de courir des risques
sis dans un véhicule lambda : il ne cesse d'améliorer. de
bricoler et de personnaliser son appareil pour atteindre
de meilleures performances et prendre ainsi I'adversaire
au dépourvu.
Au combat, les Rebelles se retrouvent presque toujours
surpassés en nombre. ll n'est donc pas êtonnant que
as-
leurs As aient pris l'initiative d'augmenler leurs chances
en trafiquant leurs véhicules. Les Bidouilleurs ont gé-
néralement le meilleur taux de survie au combat, et
la puissance oflensive qu'ils peuvenl déployer dès Ie
début d'un engagement est susceplible d'y mettre lrn
prématurément.
Les Bidouilleurs ajoutent Artillerie, Connaissance
(Pègre), Mécanique el Résistance à leurs compé-
tences de carrière. Ils bénéficient d'un rang graluit dans
deux d'entre elles s'il s'agit de Ieur première spécialité.
Le Bidouilleur est passionnê par l'âge d'or de l'ingênierle
spatiale qui se déroule sous ses yeux, durant la Cuerre
civile galactique. ll lit les dernières revues techniques et
les publicalions illegales qui traitent de ses ingénieurs
lavoris. ll a beaucoup d'amis dans la communauté des
techs hors-la loi, qui lui procurent des pièces et des kits
à tester sur son vêhicule prêléré. Si son engin est en rade
quelque part, comptez sur le Bidouilleur pour trouver un
moyen de Ie rêparer.
Le Bidouilleur sail surmonter les dêfrs et se tourne
généralement vers la technologie pour trouver une so-
lution aux problèmes qu'il rencontre. !l fait confiance
aux perlormances de son véhicule personnalisé pour
surpasser tout autre appareil sur le champ de bataille.
Par ailleurs, il a passé beaucoup de temps à améliorer
sa vilesse, son rayon d'action, sa puissance de feu et
sa capacité à mieux encaisser les dégâts que l'ennemi.
En dépit de cela, le Bidouilleur est un pilote prudent
qui se lamente sur la moindre bosse ou êraflure su-
bie par son vaisseau au cours du combat. S'il s'aper-
çoit qu'il est surpassé malgre tout, il dispose toulours
d'un atout dans sa manche pour récupérer l'avantage
tech nol ogi q u e.

La présence d'un Bidouilleur au sein de leur unite esl

:&4:: un vérilableatout pour la plupart des héros. Un tel per-
a;:ta:?.1:ta;.1

Ç,axè sonnage procure une expertise technologique qui peut

t13,*î;,1 s'appliquer dans diverses circonslances, et au combat,
§§;; son véhicule devient un engin d'assaut d'une grande
résistance. Les Bidouilleurs sont les seuls As à entrete-
nir des contacts parmi la pègre, ce qui peul se rêvêler
At§.::il
lie* utile pour obtenir du ravitaillement, des inlormations
ft'æq,: et même l'aide d'alliés en cours de mission. Son plus
gros avantage consiste toutefois à offrir un élément de
;ffit surprise lors des affrontements. Les Impériaux ne s'at
tendent jamais à ce qu'on ait remplacê l'emplacement
de I'astromech d'un X-Wing par une soute à bombes.
Toul du moins jusqu'à ce qu'une détonation retentisse
de I'autre côté de la passerelle de commandement
du L'anspo.reu'.

AUX COMMANDES
GELE vERRoI,ufE
 AS : arborescence de Bidouilleur
Compétences de Carrière  : Artillerie, Astrogation, Calme, Distance (armes légères), Mécanique, Perception, Pilotage
(planétaire), Pilotage (espace)
Compétences de carrière bonus de Bidouilleur : Artillerie, Connaissance (pègre), Mécanique, Résistance
CONTACTS AU
MARCHÉ NOIR
Quand vous achetez des
biens illégaux, vous pouvez
réduire leur rareté de 1 par
rang de Contacts au marché
noir. Le coût de l’objet aug-
mente de 50% de son prix
de base par réduction.
COÛT 5
ROBUSTESSE
Augmentez votre seuil de
stress de +1.
COÛT 10
CONTACTS AU
MARCHÉ NOIR
Quand vous achetez des
biens illégaux, vous pouvez
réduire leur rareté de 1 par
rang de Contacts au marché
noir. Le coût de l’objet aug-
mente de 50% de son prix
de base par réduction.
COÛT 15
ENDURCI
Augmentez votre seuil de bles-
sure de +2.
COÛT 20
ENTRAÎNEMENT
Vous gagnez +1 dans une ca-
ractéristique. Cela ne permet
pas d’augmenter une caracté-
ristique au-delà de 6.
COÛT 25
Permission d’imprimer et de photocopier cette page pour un usage personnel. © LFL. © FFG.
SWA25_STAY_ON_TARGET_FR.indb 31
ENDURCI
Augmentez votre seuil de bles-
sure de +2.
COÛT 5
PEINTURE
DE LUXE
Améliorez un dé d’aptitude de
tous les tests de Charme, de
Tromperie et de Négociation
effectués en présence du Véhi-
cule emblématique.
COÛT 10
EXCÉDENT DE
MUNITIONS
Concerne toutes les armes
montées sur le Véhicule em-
blématique du personnage :
la valeur de l’attribut Muni-
tions limitées augmente de
1 point par rang d’Excédent
de munitions.
COÛT 15
SYSTÈME DE
REFROIDISSEMENT
PERSONNALISÉ
Le seuil de stress méca-
nique du Véhicule embléma-
tique du personnage aug-
mente de 2 points par rang
de Système de refroidisse-
ment personnalisé.
COÛT 20
PROPULSEURS
SECONDAIRES
AMÉLIORÉS
La maniabilité du Véhicule
emblématique du person-
nage augmente de 1 point
par rang de Propulseurs se-
condaires améliorés.
COÛT 25
AS DE LA
MÉCANIQUE
Retirez ∫ par rang d’As de
la mécanique à vos tests de
Mécanique. Le coût en cré-
dits pour ajouter des mods
sur des kits est réduit de
moitié.
COÛT 5
VÉHICULE
EMBLÉMATIQUE
Choisissez un vaisseau ou un
véhicule en guise de Véhicule
emblématique. Améliorez un
dé d’aptitude de tous les tests
de Mécanique effectués sur ce
véhicule.
COÛT 10
PROPULSEURS
SECONDAIRES
AMÉLIORÉS
La maniabilité du Véhicule
emblématique du person-
nage augmente de 1 par rang
de Propulseurs secondaires
améliorés.
COÛT 15
AS DE LA
MÉCANIQUE
Retirez ∫ par rang d’As de la
mécanique à vos tests de Mé-
canique. Le coût en crédits
pour ajouter des mods sur
des kits est réduit de moitié.
COÛT 20
SURSIS
Une fois par séance de jeu,
vous pouvez dépenser 1
point de Destin pour éviter la
destruction de votre Véhicule
emblématique.
COÛT 25
ACTIF
PASSIF
PROJET
AMBITIEUX
Le Véhicule emblématique du
personnage peut avoir 1 point
de gabarit supplémentaire
par rang de Projet ambitieux.
COÛT 5
PROJET
AMBITIEUX
Le Véhicule emblématique du
personnage peut avoir 1 point
de gabarit supplémentaire
par rang de Projet ambitieux.
COÛT 10
BLINDAGE
RENFORCÉ
La valeur de blindage du Véhi-
cule emblématique du per-
sonnage augmente de 1 point
par rang de Blindage renforcé.
COÛT 15
ÉTANCHÉITÉ
RENFORCÉE
Le Seuil de dégâts de coque
du Véhicule emblématique
du personnage augmente de
1 point par rang d’Étanchéité
renforcée.
COÛT 20
STRUCTURE
RENFORCÉE
Le Véhicule emblématique
du personnage gagne Massif
1 : lorsque cet engin est la
cible d’une attaque, le niveau
de critique de toutes les
armes employées contre lui
compte comme étant supé-
rieur de 1.
COÛT 25
22/03/2016 16:58:29
ruæffiwffiÆ&ffiK Ketuffi&ffiYffi
! §orci la description de chacun des nouveaux talents Épemords
Wproposês par Crsle vERRourLLÉE. Vous trouverez dans Activation : actif (actionJ
chaque cas les détails en termes de jeu (cf. page 1 39 du Rang: non
livre de base de l'Enr oe u RÉerr-r-ror.rl. Arborescence : Cavalier
Le personnage peut pousser un animal au'delà de ses li-
&§}!§UX €OR§!"Lü§ru§ mites. Lo.rsqu'il chevauche une bete, il peut entreprendre
Activation : actif [aclionJ l'action Eperons en eflectuant un test de Survie Diffi-
Rang: non citeQf ) S'il réussii, la vitesse maximale de l'animal
Arborescence : lele brùlêe augmente de 1 point. Le personnage peul décider de
Ouand il pilote un vaisseau ou un véhicule, le person- mettre un terme à cette action au tour suivant. Cepen-
nage peut entreprendre un Adieu corellien au prix d'une dant, s'il choisit d'en maintenir les effels, la bête subit
aclion pour cibler deux vaisseaux ou véhicules à portée 2 points de stress par tour. La bête ne peut cependanl
proche s'ils sont de gabarit inférieur ou êgal à celui de pas effectuer d'actions ni de manæuvres qu'elle ne pour-
son propre engin. ll elfectue alors un test de Calme Dif- rait entreprendre en temps normal [c'est à dire d'actions
ficile Çf |). En cas de réussile, Ies cibles se percutent nêcessitant une vitesse minimale).
et souffrent d'une collision mineure [cf. page 256 du
Livre de règle de UÈne pp r-e RÉaer-r-ror.r). Épcxorus (eMɧ-§eKÉ)
Activation : actif lmanceuvre)
ADr EUX eORELLTENS {AM ÉLIORÉ} Rang: non
Activation : passif Arborescence : Cavalier
Rang: non Le personnage peul choisir de subir 1 point de slress
Aiborescence : Têle brtlée pour tenter Eperons au prix d'une manceuvre. En outre,
Ouand le personnage enlreprend une action d'Adieu co- la difficultê d'Éperons est réduite à Moyenne Ç).
rellien, les cibles subissent une collision majeure.
Épcmsms {um§rtd§}
§L§3§m&6§ KËfi§F§ReÉ Activation : passif
Activation : passif Rang: non
Rang : oui Arborescence : Cavalier
Arborescence : Bidouilleur Ouand Ie personnage maintient Éperons, sa monture ne
subil que 1 point de stress au lieu de 2.
La valeur de blindage du Véhicule emblêmatique du
personnage augmenle de 1 point par rang de Blindage ÉrEmcnÉrrÉ neNromcÉe
renlorcé.
Activation : passif
üewâq§"§§m lgnn*mrrr Rang : oui
Arborescence : Bidouilleur
Activation : passif
Le Seuil de dégâls de coque du Véhicule emblématique
Rang: oui du personnage augmente de 1 point par rang d'Etanchéi-
Arborescence : Cavalier té renforcêe.
Retirez I par rang de Cavalier êmérite aux tests de Sur
vie effectués pour monter des animaux. §xcl*§§h,Y &ë M&.!ru§Yr&ru§

m§[Jx§Én§Ë §e.reru§§ Activation : passif

Activation : actif [broutille)
Rang: oui
Arborescence : Tête brtlêe
Une fois par rencontre, après avoir elfectué un test de
compélence lmais avant d'en déterminer l'issue), vous
pouvez choisir de relancer un nombre de bons dés [dés
d'aplitude, de maltrise ou de fortune) inférieur ou égal
au rang de Deuxième chance du personnage. Vous devez
accepter le second résultat. Ce talent ne peut pas etre
utilisé pour relancer un O.
mffi.§§§§[rK
Activation : passif
Rang: oui
Arborescence : Cavalier
Le personnage ajoute E par rang de Dresseur à tous les
tests effectuês pour dresser ou dompter des créatures.
Rang: oui
Arborescence : Bidouilleur
Concerne loutes Ies armes montées sur le Véhicule em-
blématique du personnage : la valeur de l'attribut Muni-
tions limitêes augmente de 1 point par rang d'Excédent
de munitions.
FR§M§
Activation : actif [broutilleJ
Rang: non
Arborescence : Têle brûlée
Une lois par tour, lorsqu'il pilote un vaisseau ou un vé-
hicule, le personnage peut subir 2 points de stress pour
frimer lors de son prochain test. Si le test est une réus
site, le personnage ajoute @ au rêsultat. Cependant, en
cas d'échec, il ajoute V. Un @ ou un V ajoulé de cette
manière ne comprend pas le { ou Y qui y est norma-
Iement associé.

AUX COMMANDES
CIBLE VEEROI'LLÉE
 ,_tTtnoùul flal,
53ONVhll,lOl XnV
unLruol ênbrleLUOlqLua olnrlqg un JlsloLll JOSUOdQp lned reruLap ol 'lrnllop lsê oaeuuosJad np
sEd lua^nad ou so8euuosJod xna6 oilessêlQu elê3nl {^A onbrleuJQIqLUa olnlrqQA e1 ts 'nel êp oluEQS led stol eul
aL onb sdLuol al erpuord olnltqQA neêAnou ol.loldepP lê rn0llrnoprB : a)ue)saJoqJv
rourpotA suorlrpuol soruQtu sal luesslldtuol allne un -lPd uou : âueg
roleldLUê.r ol lnod c8euuosrod ol 'lLnjlÇp no nprod lsê [;no1 sloq 'a1ltlnoLq) Jl]le : uollP^tl)V
alnlrLi?^ al no neêssreA ai ls toreddP lol rns onllêlJo §r§§t?5
lr,nb onbruelQLA op slsol sêl snot ap opnlrlde,p Qp un
lueAeu?-rop o.rorlQUJe ll ênbllELUQIquro olnrlLlQA êp asLnS ' op rnor..tQdns luelQ aLUulor eldLuor ln1
t
uê t E IeBQ no rlauQlur lso lueqeB ol luop lo arlelQlrdord arluol soQ^oldLUê soLUre sal solnol op onbllrr) op neo^
ol lsê ltluop olnllLlQA un no lleêssleA un llsloql lnonol 3l -ru ol 'onbelle oun,p êlqD e| 1se utSue 1eo enbslol : ;1ls
Jn0llrnoprB : efue)saJoqJv -s81,,\ êuAeB a8euuosrêd np enbtleuglqLUê olnltLIgA 0l
UOU :8UPU -rn0lllnoplB : a)uef,soloqJv
lrssed : uorle^rllv uou : âueg
3 ** §;:-!f *§§§ § ea§ xr {}}{ #§3c lrssed : uolle^lllv
§§3U§dSl§H 3U$-mfi§l"S
(ssaJls op lrnas 3p sed opQSSod ou ollo ls sorns
.ssêrls
solq op luelne,p tuÇn3 nol snuolqo ft ap enb ssorls op op slurod ep oLUloJ snos ereld es ? luesslq
slurod ap tuetne orQdnlgr ornluoLU es'llssnQ.] ll S (f f) -ns sal uo uorl€rglÇlle,l Q oluelstsg6 op Suel uos ? leSO
ua^ohl (epo;ou9y) oluessleuuo] op ls0l un luenlloJJa no rnêu9Jur êrqLUou un rolnuue ua lnad o8euuoslêd ol
uo luesredv u01 uorlle,l orpuêrdêrlua lnod ll 'leLUlue un '[o]rEluolo^ur no aleluoloA) onbtuelgul ssaJls op slutod
oqlneAêql oSeuuosrod al puenll'arluoluor red sloJ aun sop lrqns a1olrd 1t,nb olnlrqQ^ un no neosste^ un puenO
rêrle^el : o)ue)saJoqJv êQIUq êtOI : o)ue)seroqJv
uou :8ueu rno: SueU
[uo11:e) Jr]re : uolle^r]lv Unol sloq 'oJlllnolq) Jllle : uolle^ll)V
â§'vs§w*Y *d*à nrt e t-r"rf§§1§331f ,"I Y 33 hlwÀ§ §§lU
'QSr euuos.rad luoLUêsslplorlar 0p 0LUQI
, € ele39 no a.lnolr?dns assoll^
s^S op Suer red slurod a op aluall:8ne o8euuosrod np oun lo^e alnlrLl?^ un no neasste^ un led anb êÇstle?l ollQ
onbrleur?lquê êlnl LlQA np ênbruelQLll ssêrls êp Llllos ol lned eu arlnæueuJ êllol o8pluE^e,l orpuoJd op slalla
rn0llrnoprB : of,ua)seroqrv sal rorluol lo ol^næueui op astnA ue uet8otoy luoulêslo^
INO : BUEU -uou un rolnlQxa rnod ssolls op slulod r ap rlqns lnad
lrssed : uorle^r1)V rorurop er'fuorruagg \fl io ruf.'I ep se18qL ap o-1^rl np
3§§TYruâ*ffi§§§d 796 e?ed'll) aBEUUosJod e1 ;ed 91o1td elnrtqq^ un no
-8 ru§i§x§§§æ§*§d§§ §ffi §w§3-§;t§ neossrs^ un rns o8elue,te,1 sud e olresla^pe un,nbslol
eQIUq 0101 : olue)soroqJv
uorllnJlsop 3l uou : âuey
q addeurQ olnlrLi?^ ol no neosstP^ êl luop OTQIUeLU Pl [er,tnaoueuu) Jr])e : uo!]e^!]tv
ôr..irQp ap rnanol ne lo fA ne luarlredde lt 'luoulêuÇ^Q
ruvx §§ § §)l -t"l§§ â{§§ §§§r{ruau
orlne lnol red QSr^ 1sa 1r,5 9rou8l lsa lêJJê uos sleLr-l'QS
-sleluo auQLLr êp lnol lso D-rnlal 'ênbrlul dnol un led 's9rorlQLUe s0Iep
?sr^ lsê lr,s uorllnllsop 3s ,rolrA? rnod urlsoc ep lutod ; -uo)ês srnoslndor; ep 8ue.r red lurod L ep aluau8ne
e8euuosrad np anbrleuQIqLUa olnlrLiQA np QllllqetueLU el
JnalllnoplB : a)ue)sêJoqJv
lno : âueg
lrssed : uo!1e^!1lv
S§Wæ§-1!§ Ww §§§ $W{§ ru*}§§ §æ{3§§-§fi e§*§d
L
'xnorlrqLUe lalol6 ep Bue.l red tutod ac
oleurou e1 q.lneugdns lsa lueqeB a1 luop anb -
:, -eLxQIquJO olnlrLlQA un irsroLll lnad lnanol a-
Jn0llrnoprB : o)uof,seroqrv
rno : âueg
lrssed : uorle^rll\
Kffi § §.r-§ § e'l§W "t-§ f §H d
:: anbtleurglqLUO olnrlq-OA uos op oluosQrd ue anll:
,y, 1a e8euuos.jad al enb uotlet:o3g5 op 1e etradruc,'
.1.,ep 'oLuie!l ap ]so1 lnol ep epnltlde,p ?p un oroll?Ljil
rnaJIInoprB : a)ue)soJoqlv
uou ; Bueg
lrssed : uo!}P^!lcv
3Xn136 §&t"l&hl13d
 Mæry"§WÆXr§ffiffiæ§ æ'&§
flu'est ce qui pousse un As à se ruer au combat quand TAELE tr -Z : MISTIVATltSN ALEÂTI]lRE ü'P,5
§d'autres prendraient la fuite ? Ou'est-ce qui le motive
à mettre les gaz quand ses adversaires sont quatre fois
plus nombreux ? Pourquoi mettre sa vie en danger à 1-) Convlctlon
chaque combat et se battre pour le camp qui semble
désespérément surpassé en nombre et en armes ? <L -lôl
Chaque As a ses propres raisons d'avoir rallié la Rébel-
lion contre l'Empire et d'afficher un comportement fri- r b Otee
sanl l'inconscience. I a ea'l
La Motivation est un facteur essentiel dans la com-
position d'un personnage. Elle aide à mieux cerner ce I 0 Lancez une fors dans deux catégories au choix :

qui l'a poussé à rejoindre l'AIllance Rebelle et influence

la manière dont il se comportera à la fois au combat et
dans la vie. La motivation du PJ doit s'harmoniser avec
son espèce, son Hislorique, son Devoir, sa carrière el sa
spécialité afin de créer un personnage unique qu pren-
dra vie dans l'imagination de lous les ioueurs.
Le Livre de règles de LÈne oe Lr RÉeeLLtoN propose
diiférentes Motivations s'adressant à tous les membres
de 1'Alliance Rebelle, certaines basées sur des croyances,
des contacts ou des quêtes. Si ces options peuvent fa-
cilement s'adapler à un As, Ctelr vennoutl-lÉr comprend
plusreurs N4olivattons spécialement conÇues pour la car
rière et Ies spécialités d'un lel personnage. Elles sont re-
groupêes dans la catégorie : Conflit.
Si un joueur souhaile y recourir, il lui suffit d'en choisir
une ou de la sélectionner au hasard sur la Tàble 1-2 :
Motivation aléatoire dAs, qui remplace la Table 2-5 :
Motivation aléatoire de la page 105 du Livre de règles
de LÈne oe Lr RÉeeLLtor.r. Si le résultat indique Conflit,
le joueur lance à nouveau les dés de pourcentage et
consulte la Table 1-3 : Conflits spécifiques

rA§LE t*3 : e0NF§-§T§ spÉClilquE§

Grabuge : le personnage aime que les choses tournent mal. ll est rare qu'il laisse passer une occasion de provoquer
0j jO unconflitetdesemerlàpagaille,memes'lldoitpourcelacompromettresasanté.Danslescaslesplusextrêrnes, le
pe'SO-1age rilse ld raldd'e rlPl lAle.

Conquête par la force : le personnage doil contrôler lout ce qu'il trouve sur son chemln, ce qui peul également
11 ){.)

Escadron : un As ne connalt pas vraiment ses êquipiers tant qu'il n'a pas combattu à leurs cÔtés. Ce personnage peul
21 30 se rnontrer distant avec les bleus, mais il est d'une loyaütê indéfectible envers ceux qui l'ont accompagnê sur le champ
de balail p

Professionnel : le personnage fait carrrère dans la violence, d'autant que le travail ne manque lamais. ll ne connaÎt pas
31 4A
cl'autre rnanière de gagner sa croule ; pour lui, il s'aglt d'un met er comme un autre.
' "- =a'- "
, Honneur martial : le personnage aclhère à un cocie d'honneur sur le champ de bataille. ll peut s'agir de la lradition
41-50 , ancestrale de l'une des myriades de crvillsations de la galaxre ou de ses croyances lntimes. Ouoi qu'il en solt, son
, honneur dépend directement du respect de ces préceptes, meme quand il s'avère plus pratique de passer olltre

, Le meilleur : toujours être Le mei leur, tel esl e credo de ce personnage. Dans son cas, rl s'agit de surpasser les atltres
5l 60 combattants, de se dresser encore quand tous les aulres sont à terre. Pour âtteindre cet objectif, le personnage esl prêt
, à tout.

Vengeance : le personnage est animé par 1'un des mobiles les plus anciens de la galaxie : le désir de venger lln lort
6l-70 I qu'ilèstime avoir subi. Cette solf de vengeance n'est pas toujours iustifiée, mars elle demeure une rnaitresse froide et
FPa abÊ91,ç[seiereDJ
i Retraite : le personnage a clepuis longtemps perdu son envie cle comllattre. S'11 se bal, ce n'est pas parce qu'ilapprécie
?r oô la v o en.e, ma s simplement parce qu'jL est proche de la retralte. ll veut peut être juste attendre la lln de sa .arrlêr-'
/ I ou
milttaile, arnasser les fonds qut lui permeLtront de s'acquitter de ses dettes ou être enlln quitte avec un ami avanl
, d'abandonner les armes une bonne fois pour toutes.

Adrénaline : L'ellervescence de I'aventure fait baftre le cceur du personnage. ll ne lulte pas pour l'argent, par espril de
Ô I vu vengeance ou par gott du sang, mais lllen parce qu'll éprouve toujours un frisson sublime chaque fois qu'il risque sa v e.

: O"tt" de vie : le pcrsonnage est redevable à quclqu'un el La dette est salée. Sa vle est entre les mains d'un autre et il
g1-100 : doit combattre s'il veut La garder. Oue son quotidien lui plaise ou non, cetl-e motjvation reste plus forte que toutes ses
ô )lte d o dl on-.

AUX COMMANDES
clBrE vERRortLLÉE
il::,..::

::-':
 E1'üloïtrâ EIAI,
s:toNVNr^rot xnv
) ted
s..roLl 0luelsrs0u la roLLr-01-zossrel
: sanbtleLUQlqu.ra sQlDedel xnap
? sQlle auuop sv,p arQrjrel e-l
slu0lel 0p leLlle,l
onb êdDUUd aLUQUJ êl uolos'aluarJ
-QdXO ,l op luesuadop uo suotleroil
-0Lre sos l0 aseq op uorlels0JrueLU el
JAlOqle uê lnod oSPuuoslad
êlu0lsaJoq
0l'slu0lel op
-rE,l e ê9qleller Ql? rsule
e onbrleuolquro QlDpdal
oun,nir sroJ aun onbrl
-euolquro ?lDedsl el op
so^rlle suorlluol sal la^e
luaurêlelrllo^ souStle
luos !nb olualsoroq
-Je,l op ou8rl arQrurap
el 0p slu0lEl s0l snol
ap .rosodsrp ltop ê3eu
-uosrod ol'slualel êp
sêluêlsaroqJe sas 0p
oun,l e ênbrleuJOlqLUê ?ltl
-eder aun roqlBllet lnod
'aJQUrEl
ES êp SluAlel 0p s0lu0)
-soroqre xne,nb loqlellel el lnod ou la arQllJ?l €s op
oJerpgLUrolul,l red anb onbtleLu?lquJa ÇlDEde) êun lu
-Qnble lnod êu a8euuosJod un sluolel op oluêlsoJoqJB
ollne oun ? oosodsueJl no « oQr.llelQp » oJlQ sed ellnod
3u onbrleLUqlqLUê OlDedel allal anb srpuEl 'uorlsênb
=l uo slu0lel ap oluolsoroqre,l ? onbtleLUglqLUO ?lDedEl
arjne,p raL.{)€ller snld ellnod ou lt 'aonllêllo uotlerQdo
h* 0llêl sroJ aun 0rQUJel 0p slu0lel 0p s0luOlsaloqlE s0s
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se1 luen8urlsrp rnb 1e 'asnonllnr1 anbrletd op saOUUe
sep sqrde,nb .r1dr-uorre ratgdsa elnod eu a8euuos;ad
un,nb sessanord ep 1r8e,s 11 sgluer-ur,rgdxe sQll se8euuos
';ad xne sQAJasqi xnerrgds sluolel sop luos sglrreder
sêl arQurel oLUOur ollêl ap senbrleuglquua sglrredet
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L"'# J ;ï ii" :,ii:li,i,' j,' :;: 0
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I

Arborescence de capacité emblématique d'As : Laissez-le-moi

Uncfolsparsessiondeleu. orsquelepersonnagepl otcunvaisseaLl ouunrréhcuc,il peLrtdepenser2pointsdeD-.stjnpourdalterLlnauLreapper.. d.^môme

gabariL.Pendant2totlrs,LesdeLlxadversalressontengagesdansLmdue aucorrrsduqueLlsnepeuvenLpas!serd'auircsennerns.Demerle.aucunautre
rraisseaLr oLr pcrsonnage ne peut es attaquer

I mrnr EAEARTT

La ssez le mor peut

ser dcs
rr Laissez e moi dure I tour Laissez le-moi dure I tour Arné iorcz I de de difficulté
|aisseaux ou des Vehrc! es de plus de plus de toutes es attaques qLl
dotes d un gabarit infércur ou vous vlsenI tanL que La ssez
supérieurde I po nt. le mo est act f

Laissez e mor peut viser des Larssez-le r.oi peut etre Lalssez lc rnoi coute I
polnt I
Amé iorez de de d flicultÉ
va sseaux ou des véhlcriles Lrti isé deux fo s par ses de DesL n au ieu de 2. de toLrtes les atlaques qu
dotés d'un gabaft lnfêrieur ou sion de 1eu. vous vjsenL lant qLre Lâissez
slrpérjeurde I pornt. e mo .ôst actlf.

ffipA€§YÉ §MmL*Mery§qL§ffi ere€6*â-§*ffieY§æ&§§

æ'A§ : t*&§§§§K-L§-tr*læ§
Lorsqu'ils se retrouvent au cceur de combats impliquant
des centaines de vaisseaux, les pilotes doivent oublier Ie
chaos qui les entoure pour trouver les ennemis à abattre
en priorité. Les As sont de véritables maltres en la ma-
tière. Ouand ils se concentrent sur une cible et épient
Laissez-le-moi est assorti de plusieurs améliorations qui
rendenl la capacité plus eflicace et plus stre. Toute amé
lioration qui apparalt dans l'arborescence plusieurs fois
voit ses eflets se cumuler, le cas échéant
Autre gabarit : quand le personnage pilole un vaisseau
ou un véhlcule, Laissez-le-moi peul viser un vaisseau ou
un véhicule avec un gabarit inférieur ou supérieur de 1

leur proie, tout le reste semble disparaltre. Alors que les poinl par rang d'Autre gabarit.
deux combattants s'affrontent en zigzaguani entre les Destin : pour activer Laissez le moi, le personnage ne
vaisseaux et font tout pour rester en vie, personne ne dépense qu'un point de Destin au lieu de deux.
leur prête attention.
Durée : Lalssez-le mol dure I tour de plus par rang de
Durêe.
M&ru§Fffi§Yier,æru æ§ &&§§
Une fois par session de jeu, lorsque le personnage pilote Évitement : tant que Laissez le moi est actif, le person
un vaisseau ou un véhicule, il peut dépenser 2 points de nage amêliore 1 dê de diltrcultê de toutes les attaques
Destin pour défier un autre appareil de même gabarit. qui le vrsent par rang d'Évitement.
Pendant 2 tours, les deux adversaires sont engagés dans Fréquence : le personnage peut recourir à Laissez-le-
un duel au cours duquel ils ne peuvent pas viser d'autres moi deux fois par session de jeu au lieu d'une.
ennemis. De même, aucun autre vaisseau ou personnage
ne peul les attaquer.

AUX COMMANDES
qlBLE VERPo.,LLÉE
 E-t-InOüêrl tl8l,
5f oNVÿ{t^lof, xnv
€
.a^rJle 'ur8ua un.p sanbrlul sle89c sap la onbol ap slg8Qp
lsa red sroLl oluelsrsQE ênb luel ouuorlluol l op
rnêuodns luelQ êLUUJol olduJol rnl e.rluol saQ,{olduro op llnas np narl ne oloq oun,p sanbrju) sarnssalS
soLU"re sol solnol op anbrluJ ôp neo^ru êl 'ênbellP aun,p sêl la êJnssalq êp lrnas al êl)aJJs rPd sroq oluel
olqD el :ISO olnlrLlo^ o) no neossre^ ol onbsrol . uoJuou -srsod 'êlnluou oun q lanbrldde,s rssnE lnad olla
'eun,p norl ne nol op uorssês rPd sroJ xnop red sroq
oluelslsQE runolêr lnod o8euuosrod al : oruanbgrl 3H ::â [,i,T;;iiii#5 :"ii,': ;] 1iiff c
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'ar0s snld lo alelUJa snld glrreder el luopuar rnb suotl sV sol lequrol sroLl orllolu sno,r rnod rosel op un rl i
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ua,p salqrqdarsns suor.IplUlpoLl.t sêsJêAip sol lo s.tnassÊttr1 -olrp ? aluêLuuro) allê 'alxele8 e1 tns asttdua uo§ pualo
sal 'sorel9UEld selnrrqg,n sêl Jns QXV sv,p arQlrrel el 0p uorlloqQU e1 anb uoly 'stue:uodu.tt issne lnol llros 'all!e]
sglrlerr?ds sel -lnod snluor aLue8 lnol ua slueuedtnbg -eq ap du-reqr êl rns luaroqle s1r,nb lalr?leLU o1 enLr tsute
lê auollas êp sollrlrË 'slrlno 'sap.lorp 'salnllLl0A 'srn0s 'lequlol ne luouQul s1r,nb solnrrqg^ sol la xneassle^ 1;
1u.-,1e1 a1
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llplrrle: eleL un s-rnôi,rotano sjlolrd.op r!
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d{ æ§&6æru »
Fabriqué par Merr-Sonn, le DR-45 est issu d'une gamme
de carabines blasters transformables, conÇue à l'inten-
tion des équipages de véhicules et des cavaliers Basé
sur le célèbre pistolet blaster DD6 du même fabricant,
Ie DR 45, surnommé u le Dragon », est une arme poly
valente qui allie la portée d'un pistolet blaster à la force
de pénétralion d'une carabine blaster Pour accomplir
ce prodige, l'arme de base, un pistolet blaster à canon
long, peut-être munie d'une crosse d'épaule amovible en
polycarbonaie et d'un canon accélérateur pour se trans-
former en une carabine blaster très effrcace. La crosse
et le canon sont fixês à l'aide de solides charnières à
relâchement rapide, qui permettent à un utilisateur ex-
pêrimenté de les assembler ou les détacher rapidement.
Encore assez rares, les blasters de cavalerie Dragon com-
mencent à trouver leur place parmi les membres de l'Al-
liance Rebelle, qui les apprécient pour leur polyvalence,
leur liabilité et leur force de pênétration.
Transformer le pistolet DR-45 en carab,ine s'effectue
au prix d'une manceuvre et fait passer la cornpétence de
combat de Distance (armes lêgères) à Distance (armes
lourdes) La faire revenir à son état initial s'effectue êga
Iement au prix d'une manceuvre au terme de laquelle
elle redevienl une arme à distance Iégère.
€&ffi&æ§&§§ §L&§Y§ffi æS
Fabriquée par les usines d'armement Baktoid, I'E5 est
la version carablne de leur vénêrable fusil blaster E-5
*§*
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Plus légère et plus courte que son cousin, l'E-5 fut com-
mercialisêe durant les premiers mois de la Cuerre des
Clones et irès utilisée par les équipages de véhicules ain
si que par les agents spéciaux de la Confêdération des
Systèmes Indépendants. Cette arme qui équipait aussi
les droïdes de combat B1 leur est encore associée dans
tous les esprits. Comme son cousin le fusil blaster E-5, la
carabine E5 était basée sur un ancien concept de BIas-
Tech, qui fut décortiqué par les armuriers de Baktoid afin
de l'utiliser pour leurs droides OOM, B1 et BX. C'est un
blaster relativement fiable qui allie lorce de pênêtration,
encombrement restreint et facilitê de manipulation. En
plus de sa petite taille et de son canon raccourci, l'E5 dis-
pose d'une crosse repliable qui augmente sa maniabililé.
Principalement conÇues pour les droides, les équipages
de véhicules et l'intendance, les carabines E5 souffrent de
quelques défauts notables. Elles ne sont pas très précises
à longue distance, et en raison de coupes budgétaires, un
grand nombre de leurs systèmes sont composés de matê-
riaux de qualité médiocre, ce qui les rend lragiles avec une
iendance à surchauffer en cas d'usage intensif. Si elles ne
sont pas particulièrement appréciées ni bien considêrêes,
les carabines E5 ont êté construites par centaines de mil
liers durant la Cuerre des Clones, ce qui ies rend bon mar-
chô et faciles à trouver, des qualites susceptibles d'attirer
les membres les plus démunis de l'Alliance Rebelle.
Au combat, le Maltre du Jeu peut dépenser (i) <+ (E)
ou ÿ pour lorcer une E5 à surchauffer et l'endommager
d'un cran comme sous l'effet d'une arme dotee de l'al-
tribut Briseur [voir page 169 du Livre de règles de LÈne
or t-a RÉeeluoruJ.
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-rqrxall es 1e lnenBuol e5 t.tronBe Jnoleslllln un,p suleLr-l §rB§'*§*trffi§ d€ æ§ffiwflê§Hæd }}
sal orluê lnolrns'egst,roLdut ouJ.l3,p a:Ulo artel lned xffiwffi * s§w H $3#d §6§&§HÀ3§r§ ruæ"ër * ffi *EY
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aOuBrolQ ltElos uo,s rnb alQq aun neadnoll ne JOUoLUe.l
:nod Lenbelr lteJ uo,l anb 'sallqru xnêp ap LnenSuol eun,p ao lulil ap sa18qL op or^ll np 69 I e8ed rto,t) rnêslr€
alqrxall ê.rQruel auu oun,p oluoLUlns l0 'sêrlQLU xnap l0 lnqulle,l op oglop oLUre êun,p laJJO,l sn0s 0LULUol llPr:
un orluo eue,t tnanBuol el luop anbtl?t-lluÂs alllxol un,p un,p re8euruopuo,l lo loJJneL{llns ? lolJoJ a1 lnod 5 n-
llê^nolê.r no ltnl ua altsodluor oqlueLrl un,p segsodluor (i) (9) (E) rasuedqp lned lt 'arlno ul 4\ no (ë) (É) luesuê.
luos sorQuquElll sal 'lo^ouax lê pll Llrolerlld aLULlOl -Qp uo suotltunu op lrnol € oqLuol gg pp un,nb eilc.
sasudarlua sap led eqnbtrqel srêqluer s0p lêl.l918LU ua orEJ lned naI np a]ller\ êl 'lequol un,p llnol nV
np ollarluosso etqrd aun lsê arQIlqLUeLl: e1 'xneedno.l1 IuoLUOLU artd ne ze8 e1:
sol no rorle^el sues xneLUIue sel reptnS'lnod eqst1t11-1
lrnol € roquol q oluepuol e Il lel'plnol lols€lq l0lolsi:r
§"#s$eê*:l§#*w*§3 un rnoci êLUQLU 'oQrtrp olrnol sQrl aun luepued anb 9sl1t1r-
eLlQ lned ou Og-HH e1 anb lse lQ.lre,p oluesstnd alla:
'(r.rorrrrelg vt lo 3u3.-I ep sa18qL ap ap luoruQ^uolurl elleqle8 e1 rns uotsse;d oldLuls aun p
or^rl np g66 e8ed tto,t) eqst,toldutt eL,ure,nb luel ua,nb sredg snld ol ltnl ol re:";ed lue,tnad suouer xn0p s0s'elê-
oOsrlrln erlQ lnad ou ol o 'sdr-ua1 ap sdel e: luepuêd q arqrD 'ze1 ep e8ue19Lu luessrnd un,p lê QS.leqlrns .rê
'sa8reqrgp xnop ê-lluo luaLL-ra8req:er uos aluasqrdar r)-x un,p 'ltnlrtl olqnop Q olo^orq uan1e8 auqlsÂs un I
rnb 'l
eluol oluopEJ lnqlrlle,l 0p êQlop lsê 0u-r,.le 0ll0l Qlop lso II lalolstd un,p Qllllqelueu el Q l0 olllel allla.
'surELU xnêp q otueLU as ropensrod anbrrl:e1q uolllnBte;1 el q rotsplq IlsnJ un,p uotlellouQd op alrol el 0llle 09-Hl-
'êllnp€ ol 'ouole^el op slnaJI€llÇ sop lo salnllLlql, ep saSedtnb;
QU]eqlQp rolu? I un rènopPUe,p 0.1 oA sop'srorle^el sep sqrdne alrelndo6 Urotselg red luaue
orI006 un roLULUosse,p elqede: e8leq:9p eluesstnd 'luesoc
oun,p no'arnlegrJ aun,p uollualle,l rorllle,rnod arpbtd
leni:e lrnpotd luesstnd snld e1 1e ptnol snld ol
-urr snld a1 Sutod êp rolselq ol 1s0,1 'sêuolJ sap arlonJ
erg391 eun,p oLU-ioJ EI elpue"ld lnêd lnb êlqelle^ ?llsuêl
el luelnp erro13 ep ornêLl uos lnuuol lnb I L fC ralselc
-ur,p anbtLlrelQ eBLeqtQp aun 13LU? ropensrêd 0l '9^rlle
ou rqEre) el la^e soun u-lLuor sen btlsl.tQllel el sêsn0lq LUo "'
sro] aun eluede'lOpttue a?u8rod oun,p Olop lsa suolltnB
êp Olop lo rolselq autqerel aun,nb solS tssne enbso'r3
-tp sop sêpueuuJol sê1 lo olrolleq el ollrqe tnb eqrueLu 'xnaLe8uep snld sal 1a sluesodttt snld se1 xneLUlue sê
ê-l QlruJOrlxo ollne,l q slol-llo.ll sLnetsnld ap lo ?l9l ross€ql rnod lueu:aletrgds n5uor'91aunl uouel e 13
un,p sredg snld aq:ueut un,p êlunLU a:uru e3r1 an8uol aI1re1 epuerS êp prnol rolselq lalolstd un lsa 09-HH a-l
êun uo olstsuol ropensrod al 'saJlQLl xnop op snld ap
Suol sred? lnl ne ellrel apuer8 êp solQq sal .lasrrLlelu *§-§4 M ætr ftæ"ë §æ*"§wê ffi "§"§r*-§"§âd
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SINVISIU Y S31Â|UV: tr-Z I]EVI
 lllU ous trouverez ci-après des combinaisons de survie
en cas de crash cle swoop, des versions renlorcées
high-tech dotées de systèmes de survie intégrés qui se
branchenl directement à un chasseur X Wing et des ca-
paraçons lourds destinés aux montures. Toutes les pro-
tections présentées sont adaptées aux besoins des pi-
,,i '
','"' ,,r; lotes et des cavaliers professionnels.
Crâce à leur construction rolluste et à leurs protec-
tions intégrées, les combinaisons de vol Wing Comman-
der réduisent de I le stress subi par un personnage à
l'occasion des dégâts critiques infligês à son véhicule
(jusqu'à un minimum de 1), tandis que l'enduit ignifu-
geant réduit les dêgâts dus à l'attribut lncendiaire d'une
arme ou d'un leu de 1 .

üæM ærâëeâ§æ§§ æ§ §â.$ffiâf§ § §ffi tL§&⧠frsâæ&L§-§ffi.§ru

é&$€Y§{ffi§* e/§{r Même avec une monture docile et fiable, une bonne selle
Spécifiquement conÇue à l'intention des individus dont la est une composante esseniielle de l'équipemenl d'un
vitesse est le gagne-pain, la combinaison de survie anti- cavalier Déclinêes en dilfêrents styles pour s'adapter
choc A/KT de la corporation Ayelix/Krongbing Textiles per- à toutes les crêalures domesticables de la galaxie, les
met aux pilotes des speeders, speeder bikes, swoops et selles Piccatech Ltd. sont les leaders de ce marché. Une
aulres véhicules atmosphériques rapides de survivre aux sellerie complète comprend une selle robuste conÇue en
pires collisions. Cette lenue est labriquée au moyen de fonction de la monture et du slyle de monte, des étriers,
matériaux synthétiques renforcés par un maillage protec- l'harnachement (bride, licol, mors, etc.) et un plaslron. Si
leur, et se présente sous la forme d'une combinaison inté- la sellerie esl à destination d'une bêle de somme, Ia selle
'grale est remplacée par un harnais, ce qui permet à la créature
très ajustée, pourvLle d'attaches solides, de gants, de
bottes et d'un casque qui s'associeni pour conférer une de tirer ou de lransporter un poids rmportant.
protection maximale à l'utilisaleur. La protection qu'elie
octroie est par ailleurs accrue au moyen de poches rem-
plies d'un gel absorbant, qui sont placées à proximité des
parlies du corps les plus exposées alin d'encaisser les im
pacts. Les matêriaux employés sont en outre imprégnês
de produits chimiques capai:les d'endiguer la progression
des flammes et de limiter la dangerosité des radialions,
ce qui permet au porteur de survivre aux incendies qui se
déclenchent souvent à I'occasion d'un crash.
Crâce à leur conslruction robuste et aux protections
qu'elles intègrent, Ies combinaisons de survie antichoc
réduisent de 1 le stress subi par un personnage à l'occa-
sion des dêgâts critiques infligés à son véhicule [jusqu'à
un minimum de 1), tandis que l'enduit ignifugeant réduil
les dégâts dus à l'attribut lncendiaire d'une arme ou d'un
feude 1.

cffi tuâ æ § &§ia3§æru mffi wær- êef r e*6

flæfêÆ€W&r€ffiffire &l§C?
La combinaison de vol Wing Commander fabriquée par
Ayelixe-Kronbing Textiles est le dernier cri en matière de
confort et de proleclion du pilote Semblable à la combi
naison de survie anlichoc, la Wing Commander est com
posée de lexliles synthetiques robustes renforcês par un
*^i|^^^ ÊL-^^ !,^1,,-i,^i,,- !^ !i^".^-
épars
^^^i^ maillage en
^- libres d'aluminium capable
-^^^Lt^
de disper
ser l'énergie. Pour renforcer la proteclion des parlies Les
plus lragiles, la lenue est dotêe de plaques de blindage
en ferro-céramique et de poches de gel absorbanl. Celle
combinarson est en oulre dotée d'un systèrne de survie
sophistiqué qui donne de bons résLrltats à la fois dans
l'almosphère et dans l'espace. Elle peul êlre scellée au
niveau des gants, des bottes et du casque pour devenir
une combinaison spatiale de fortune en cas d'urgence.
Pour complêter cetle prolection, ies modèles Wing
Commander sont imprégnés de produits chimiques en-
diguant la progression des llammes et la puissance des
radialions pour permeltre à leur porteur de survivre à
l'incendie d'un véhicule

PARÉAU LANCEMENT
CXBLE \,ERRO.,LLÉE

-_tnrxrùüE r E'tsl,
rN3hlSf N\]r',r nv luvd
l8 a8ed saoluosÇrd
ap sQlrleuocl sal rlqns sues rol,llne^êLll ap oSeuuosJOd nE
leLUJOd ll 'slaJJO sallnP sas op snld u:
'oluoLU op xnPLUIUe
sap anb radrnbQ lnod ou H olrQS ouneJPS?,\ LlPpMoU al
'Norllsslu \fl lo euE;I Op SalSQr op o-l^ll np l8u â8ad
soollrelgp ollênllqeq suollllrJSOl sol uolas's0lnllLl0^ xne
soQldepe soulre,p no 'êlJallllre,p salQld xnop no oun,p
slunu ta 's?pullq orlo luo^nod sulelloJ sllpQrl 009
uo.1l^ua,p so]IeluoLU?lddns slel] sap lueuuo^ouJ slnb)e
o.rlQ luo^nod'Âe1y:e,1 oLULUol'luellodLul snld selquueru
op êJqLUOU Un,p saQlop sornleoll xne sQullsop sqepMoLl
saC Çnbrpur xt"ld ne selqtuodstp luos s)lleq,\{ap sêl no
eeqLueej sa1 enb slel sepQdnrpenb sa1 no sepoderigl sel
;adrnbQ ? tue^rês aseq ap sêlQpou sol I e ale8Q no
arneugdns rnanBr,l aun la g q le39 no rnetrgdns lueqeB
un Jro^e llop êloq êun 'L{epÀ\oL,.l
un,p agdlnbp arlQ Jnod
rassorOlul,p elqtldersns luoLUQlQ 0-llnE lnol 0p no soQtlJ
ra1 lueLuenbrlQLUJOLl salloleu ep'saloder op'QlllnlQS
op slualu?19,p lo sller op ltEluo^O e8rel un luop'su0ll
-do sLnetsnld asodold H oll?s e-1 (xnep sap e8uelQu
un no'sostpueqrLeu'sta8essed) uosre8re: ep sadÂl sal
snol lê suotsuaLUtp sol solnol q raldepe,s tnod a:nsaut
rns gnbr.rqel eLlQ tnod lueuadlnbQ loJ OrnleQrl el ap
sop ol rns exg es tnb eLurolaleld a8rel eun ? aLuns?l
es enbrseq snld e1 uorsra^ eS olllel apuer8 op xneLUIUe
sap lo^e luollte^er1 tnb xna:.rnod alqesuedstput 1uau,t
-?lQ un tsa Ltrlotelltd op H atrOS euneieSgLu qepMoq 0-l
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oluoul op sglrleuQd sol.llqns sues loqlne^oq: ap a8euuos
-racl ne laurLad ollo 'sloJJO sarln€ sas ap snld u: oluou.l
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nrl e aluoLU slua8e sep sed a8Qlo;d au ]e anbrlÇuloLl luoLualelol sed
lsa,u ulsêC uo5e;ede: e1 eleuutldo alQIueLU op olnLure,l
ap sprod el rrtred?r .lnod n5uor lsa alqulasuê,1 l0 'sloLll
op rnaqJosqe luoLUOlQ^al un,p sallO^nol0l luos s00pullq
sanbeld sal sluauedtnbQ sallne lo soLlloles sal 'luol1l
-aqleuJell ol 'ollos e1 rnod suollexu êp ?lop lsa ll 'orlno
u! ornleQrl el êp solled sel ia 'ltelltod ol 'sop 0l 'alnl0l
-ua,l 'olQl el luerlnolêl soÇlnlllle a8epurlq ap sanbeld
sap luourol€louo8 pua.rdr-uo: IJlsoC uo5er€der el 'selÂ]s
op lrelua^9 a8re1 un uo ÇulllQC xnerrgdut sradoojlurols
sal.red seglod saprnol leqLUol ap saJnLUre sal suep s0s
-rlrln xnol enb saltsodruol xnelrQleLU sou.lQLU sal el8Qlut
.sornluolu xn€
ll Ja oLLlLUos ap solQq xne e91e39ut uotl
-:alord aun ;e:nlo,td rnod aurapor-u at8olouqrel e1 esll
rln qlolpllrd ted gnbuqel IllsoC ?ulu.lEl uo)eledel a-1
§&es§ffi æru § w.qw§ ru#3w§w*w§
'slualll sal
;g a8ed segluesold nrl e aluoLU
ap sQlrleuQd sal rtqns sues lal{lne^aqr ep a8euuosled ne
leurrecl lt 'slaJlo sarlne sês ap snld ul oluoLU op xneul
-ru€ sêp enb;edrnb? lnad eu ?sseloleLu uo5eleder a1
'leultue,l op sluoulo^noul sap rna1due,1 tu
assolr^ el sed elrr-ur1 ou 1t lo'ulsnol uos onb pJnol suloLU
lo olqelroJuol snld lsa uede3 a1 'lrlsoq ne aqLediuo:
olrnpQr uotlrelold aun êrJJo 1r,5 se11ed sol la sop ol 'llerl
-rod al 'sainedg sol 'alnloluê,1 anb s1a1 'olQq el ap sdlol
np sonbrSolerls sllolpuo sop e soÇnlls aleuoqrerÂ|od ue
arnLUrB,p sanbeld seug ap'led OlloJuoJ 1sa 11 atBleu9,1 "leq
-rosqB,p selqede: LUntutunlE,p saJqU uo aBellteu un q Qll
-osse olueJSIS?t ê1neLl ? anbrl?i.,1luÂs nssll un,p gsoduuol
tsa uede] e1 ' o3-e33eg êp O3l X lollolord Bl e êlqelq
-LUaS lroJUol le uotlrelo.td allue eLqtltnbO luallolxê un
orllo pll r..llolelltd red çnbtLqetr tredeJ Osseleleur alQp
-our êl'prnol uo5eJedel un,nb eldnos snld la re39l snld
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saQluesgrd nrl e oluoLU ap sqltleuqd sal rlqns sues r0l
-uour op a8euuos"ted ne leuled alla'sloJla sarlne sas ap
snld u3 xneLUtue sap anb ladrnbq lnad au ollêllês el
0 0 u ralLPqel alrêllas
H auQS aune]eS?ÿ\ tlBpMoH
I
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roql lue uos eulqLUol
3lUfllTS 13 §l"N3lr{3i.31!'§3UnhüHV : §-Z 31§VI
 &&&TKK§ffi§-
I e matériel spêcialsé est à la lois une bénédiction et
L une malédiction pour ioute profession Les outils et
équipements qui facilitent la tâche des pilotes et des ca
valiers sont toujours extrêmement utiles, mais à force de
lrop compter sur eux plulôt que sur ses propres compê-
tences et son courage, on linit par renoncer à se surpas-
ser. Cette seclion présente une sélection d'ouiils, de vê-
tements et d'équipements pour les As les plus exigeants.
MeYÉm§mL eÆÉm§c&r
Ouand on parle de matériel médical, on songe souvent
aux médipacks ou aux stimpacks, du matêriel pour guêrir
les blessures et maladies des êlres pensants, mais qu'en
est-il des bêtes ? Les besoins médicaux des nombreux
animaux de la galaxie sont tout aussi complexes que
ceux des êtres civilisés. Voici une petite sélection d'équi-
pements vétérinaires conÇus pour favoriser les soins et le
dressage des bêtes sauvages.
*{â3 Vâ*y*âffi * §U&{ mffi pæffiy&æL§ pæ&§§
&&*ëffisq'*"§x æffi &ffier*æ§ ?&ELLË KV§ffi
Le Kit vétérinaire Portable pour Animaux de Crande
taille XVSB (KPAC) est commercialisê par Xenovet, une
entreprise de biotechnologie commenorienne célèbre
pour ses animaux de compagnie haut de garnme et ses
équipements vétérinaires de précision. Conçus à l'inten
tion des professionnels du milieu animalier, comme les
soigneurs ou les éleveurs qui travaillent avec des bêles
imposantes et parlors dangereuses, Ie KPAC procure
tout l'êquipemeni d'une clinique vétérinaire sous la
forme d'une mallette lacile à transporter De la laille d'un
gros sac marin, le KPAC est doté de llancs renforcés et
..:
#.
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_-d5 .-
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ar:
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è;'a-7;,.=
eF.
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#"t' PARÉ AU TANCEMENT
crsl-E vERRot t-LÉE
d'un système de verrouillage. ll contient suffisamment
de médicaments et de matêriel spécialisé pour slabi
Iiser Ies crêatures blessées jusqu'à ce qu'on puisse les
transporter. Ce kil contient êgalement un datapad ren
fermant une encyclopédie médicale et des informations
sur les procédures d'urgence relatives aux espèces les
plus connues, ainsi que des lutoriels pour aider les per-
sonnes dénuées de connaissances médicales à soigner
les animaux.
Le KPAC est un mêdipack pour animal. ll fonctionne
exactement de la même laÇon lvolr page 1 95 du Llvre de
règles de LÈne oe r-a RÉasrrror.r). Lorsqu'un personnage
en utilise un. il eflectue ses lests de Médecine sans malus
et ajoute en outre E à tous ses tests de Mêdecine, Sur-
vie et Connaissance (Xénologie) elfectuês pour diagnosti'
quer ou soigner l'animal.
ffi &Rr€Â⧠æ"§§*"9"§&&§â§ {# §
p§ §æ# ffi Kt&*
Le XV-09 Paciticateur est l'un des produits les moins
communs vendus par Xenovet Considéré par les pro
fessionnels cornme une solution facile à l'usage des
charlatans el des ennemis des animaux, le Pacificateur
esl conÇu pour maltrlser un animal sauvage ou incontrô-
lable à t'aide de produits chimiques plutôl qu'en ayant
recours au dressage. Semblable à un harnais d'êquita'
tion, il est constitué d'un ensemble de bandes de tissu
synthétique robuste et llexible qui entoure les côtes, la
poilrine et les épaules de la créature, avec un injecteur
hypodermique placêe sur le garrot Cette seringue ren
lerme un cocktail de drogues capables de contrôler le
comportement. Elle est connectée à une télécommande
qui peut déclencher la pompe à courte portée, et qui
s'utilise de la même manière que celle d'un bouchon
Kit vétérinaire portable pour animaux
de grande taille XV-38
 t_jfflnorèrêE flsl,
r-Nrÿ.r3lN\r] nv JUVd
- . -i!Ë..iâ
I
qleluqel lll'lN "l/gv
a?sr^ ap ssllaun"l
olqedel onbrlsrleq .lnoleulplo lllod luesslnd un,p solunLU
luos sallounl sol 'orlno u!
.alrelnlo anSllPl el
lo luoLU
-ossrnolqQ,l ornpQJ .rnod saJllu srnolsnld lo QllsoulLUnl
êlqrel op uorlrpuol uê uolsl^ êun 'onbrdolsêlol LUooz êp
xneo^ru sluoroJJlp luaLUOIeS? luorJlo lll It\ sal 'Q)ue^e
op êlnlrlQr un,p snld u: leqLUol
ênbrL.lderSoloU ogsrA
n€ rnallrlre un,p ollle)uJo,l lalollQule lnod sonbluorllolQ
lo sonbrs^Ud soLUQlsÂs sop luoslllln sallf ê0sl^ el q 0l
-uelsrsse,l op ?LllleLU np slapeal sol luos Llloll..lqel Jed
son)uor Ill IA I/DV oOSI^ op sallounl sol '(olnllqQ^ lns 0Ql
-uoLU no ollonprAlpul) aplnol êure,p slue^r0s êtuu.lo) 0l^
rnol luouSeS rnb xnol snol op l0 uOllnos êp sopenolsa,p
s.lnorrl sop 'ouallue,p saSedlnbQ sop saQllgrdde sQ4
&ꧧ-Lë§æW§ 맧"3§W 1/§§
§§§§e §§ §§i"1"§§\§ffi§
sosnO,lQuo Ju0^
-nos 'suorlelurpoul sapJnol op xlJd ne Jnoleslllln ollne
un,p suorlelur)Qds xne soldEpe ollQ lua^nod êrnsoul
rns slrlno sol slsol sou.iQLU sal e I luosslqns Ollne,p
un,nblonb Jnod sn5uol ueu^ournoI sll]no sol roslllln,p
lualuol rnb sêSsuuosJad sol neassleA un no êlnllqÇ^
un 'êLUre oun lnoleulpro un 'lalqo un ]êJedQJ no JluoJ
-orluo rnod sQnlloJjo êluolQdulol ap slsol sol snol e n
oUBEA ueLu^aurnoI slt]no q ossnorl 0un,p rnêleslllln,l
'oleld ua Jlueluleul sol lnod êssnoLU uê
sluou.lrlJedLUo) sop suep sollllu la 'oJnsolu rns o?nblrqeJ
ossnorl êun suep sÇlleqLuo luos slllno sol 'sQpueulurol
sroJ êufl npr^rpur,l ap rolll?^erl ap uo5eJ el o[rQLU ]0 sPJq
op rnonSuol el 'olroJ el 'aslJd el ênb sollol solqelrP^ ap
êrqurou urslrol un lueldepe uo olnsoul rns nSuol lso lll
-no onlleqJ sluorll sêp suorJlnllsul sol uolos sonbUllÇds
sêlQpoul sonblonb luolnolP,s slonbxne ]nosseql un rns
no Jnê1.{lleLU un rns rêllle^eJl lnod sQSIIlln xnol eLUuol
's?srl?D?ds slrlno sol snol luouuordLUol soll! slueaSlxa
slêuuolssêJord sêl rnod san5uol luos slllno ? sêssnoll
sos ronbrnod lse,l rosrllln q olllel l0 olqeu'l0llgleLU
uoq np iosodsrp op onbllneuolleds uê rnoluOBul un no
uoDruelgLU un Jnod luelrodLUl lso ll,nb lles aSellllno
ueur^êu-rnof sluoLUnjlsul,p urosaq e uorllul.{lol ol snld
'oprnol lso olllBl el snld sleLU 'lllno uos aql?l onbeql v
'3ru' §=ææi" e§wffi.e.§ §uôÉft *fl
§§§81wruruæ§æ§d §3§&r§* w §s§§xææe
'lloredde rnal
rns soxoldLuol suorleledQr sop r0n1l0JJ0,p salnrlqQ^ ap
no xneossreA op sololtd xne luelloLU.lod slt1no,p uotl:e1
-gs oun lrJ)gp uotllos allel aQldepe uosteulqulol oun lê
alqeU alnlrqQA un tepqssod anb elottd un rnod lolluasso
rssne lnol lso Jluolorlua s0l lo slllno suoq xnE sQlle rloAV
§"§§effiæ
'lrouJ el arto^'nea^rol ne slgSÇp sep
ranbo,to;d lned xne,p un,l lns sleuleq 0l J0xll sluallsuol
sorlQ sap 1udse,1 tns xnata8uep rêro^e.s lnad steuLeq a1
supp snuoluor senbtutqr slrnpo"rd ep luesstnd a8uelgut
ol 'xneLUrue se1 rns "reBuep unlne e1.todutol ou Il,S leLrl
-rue,l op IJoLU el enbo,toLd rnb er 'lerqgrg) oLUSlr^Que un
no enberprer asul êun aLULUol'senBolp xne anbtqdoLl
-s?tel uortleQr êun rolQIJêr rnod @ no (E) O (E) rosuod?p
lned 1r 'sn1d oC lA np uotlQrlstp el q êlsor 0l)PX0 alnleu
Lnel sen8orp se1 red sqsner sJtle8gu sollepuolas slo11o
srnersnld no un lol?lJOl Lnod et,trn5 ep 1al retu;eld a1
Led ?LQuQB § un rasuedqp tned naf np oJ]let\ 0l plorl
-3ue5 ap slsal sêl snol ç [ ]ueu8eE seQUtled sornle?.ll
sol 'orlno uf sleuleL.l el luellod olQq el raslJLleuJ Jnod
sQntlal1ê êr^rnS op slsol sol snol q ! E olnole 6O-AX al
'olrssn?r op sel uf (epolougy) o)uessleuuoJ ep lsel
un,p ueÂou ne ue.tl un,p oltnp9l ellQ lned lsal ol 3p
?llnlUJlp el lrorpuo uoq nE 1se enButres el enb le lueu.l
atlo,uol o:eld tse 1t,nb rernsse,s rnod $f ) olllgllo
o!^rns op lsol un ronlloJJO ltop e8euuoslad un 'ernleqlr
oun € sr€ureq êl raxu lnod erue8tn,p ser ua,nb lllnolol
lrop ou uo el1enbe1 € ettelodural uollnlos aun,nb ar11o,u
eBe,rnes l€LUrue un tns rn0lelUtled np uoll€srllln,l
'osoproAO
led l"louu es q,nbsnI suas
sos op no llollolut uos op luoulosslplnoBue,l ap'elQq
êun rns saJrepuolos slollo,p orqLUOU -tto,te lueueleBQ
lue,tned sel1a'segBerua snld se1 sornleOr) s01 solllop
orpuor Q luopuol sanSo-tp sol IS aplorp rnod e,tellue,p
qla-Lrorlsv
lu
1O qlaLr-rorlsv
aqstleuuoslad
E 001 slrlno ? assno{
êlnlrq?^ uêrlarlua,p lanuef\
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agsr^ 3p sallêunl
819-AX aI?ul-1010^ lly
60 cnblru q-'
^x sreuJsH
ê^erlu0,p
13tH3j"VN : ÿ'Z 318Vr
 de calculer instantanémenl des solutions de tir, d'rdenlr-
frer et de classer les ennemis par dangerosité, de repérer
des alliés et plus généralement d'augmenter la précision
du tireur tout en réduisant les risques de tirs amis
Lorsqu'il eflectue un tesl d'Artillerie visant un vaisseau
ou un véhicule, l'utilisateur des lunettes considère que le
gabarjt de sa cible esl plus imporlant d'un cran.
M&ru ⧠§L ffi ' §â*Yffi §?§ §tr'§
§â{*&ru §§"§ â-§§-xK&§ â
Ëæ ffi §
Commercialisés par le consortium Verpine Chiles-Zraii,
les manuels d'entretien Foreman sont essentiels à loute
personne responsable de l'entretien d'un vaisseau, d'un
marcheur, d'un speeder ou d'un véhicule terrestre. Dis-
ponibles pour une Iarge gamme de vaisseaux et de vê-
hicules, depuis Ie swoop Flare S jusqu'au système de
contrôle de gravité d'un destroyer stellaire de classe
lmpérial-ll en passant par le YT 1 500, ces manuels lour-
nissent des instructions claires, détaillêes et illustrées
permeltant à tous les mêcaniciens, même les novlces,
d'elfectuer l'entretien d'un vêhicule, d'un vaisseau ou
d'un système spécilique. Vendus sous lorme de da-
tapads verrouillês en écriture, ils contiennent toutes les
informations nécessaires pour effectuer des réparations
ainsi que des diagrammes 5D constamment remis à jour
grâce à une connexion sans fil vers l'holonet galactique.
Iis comprennent également un programme de diagnos-
tic qui facilite Ia maintenance et les réparalions en se
connectant à l'ordinateur de bord du véhicule. Ce pro
gramme d'examen des circuits permet à un mécanicjen
de diagnosliquer les délaillances d'un appareil, de trou
ver les pièces necessaires et de les commander au distri-
buteur le plus proche, en plus de lui procurer toutes les
informations pour les installer.
Posséder un manuel Foreman permet de réduire
d'un cran la difficulté de lous les tests effectués pour
entretenir et rêparer le véhicule ou le vaisseau à I'inten-
lion duquel il a êté rédigé (et celui-ci uniquement). Par
exemple, Ie manuel de rêparalion de l'YT-1300 ne pro
cure aucun bonus lorsque son utilisateur travaille sur un
Y-Wing. À la discrêtion du Maltre du jeu, il est toutefois
possible d'utiliser un manuel d'entretien sur deux vais
seaux ou véhicules apparlenant à la même entreprise
et possédani un grand nombre de pièces en commun,
comme les cargos YT de la Corporation Technique Co-
rellienne. Par ailleurs, la disponibilitê d'un manuel va-
rie en fonclion de la raretê du vaisseau ou du chasseur
oour eque i a e[é reo ge
æ--:?
ffi
§m.§i§§§
À en croire de nombreux pilotes, les seuls drotdes
7 qul gagnent à être connus sonl les aslromechs, ce
qui n'a rien d'étonnanl vu les relations étroiles qu'un
grand nombre d'enlre eux entretiennenl avec ces pe-
tils droides praliques mais souvent acariâtres Cette
sectron présente deux nouveaux dro des astromechs
conÇus pour être utiiisés dans des chasseurs spéci
liques, ma s qui n'ont rien perdu de ces qualités qui les
rendenl bren plus uliles à un prlote qu'un droide de pro
tocole ou de loisir.
G :Ë,?ïffiî',lL
æææ'E槧 &.SYffiæ&§§Ç# Siâffi§ffi ffir €ffiâWetu}
La R7 est la toute dernière série de Ia légendaire sêrie
R d'lndustrial Aulomaton. Spêcialement conÇue pour ac-
compagner le nouveau chasseur polyvalenl E-Wing, la sé-
rie R7 a êtê developpée en secret, en même temps que
le chasseur qui lui est dêdié, dans le cadre d'une colla
boration entre lA et FreiTek Sous couvert de la concep-
tion de la sêrie R6, lA lança le projet R7 pour concevoir
le drolde astromech le plus compêtent et le plus fiable
jamais produit Basée sur une nouvelle technologie de cer-
veau drolde très avancêe et sur les dernrères versrons de
programmalron d'astromech conÇues et testées par lA, Ia
série R7 éclipse même la vênérable sêrie R2 par ses qua
litês d'aslrogateur, de technicien et de pilote de vaisseau.
Le R7 est un tout nouveau modèle qui n'utilise que
quelques pièces et systèmes des premières séries R.
Même s'il a gardé des caractêrrstiques des anciens mo-
dèles, comme 1e corps cylindrique, la tête en forme de
dôme et les deux jambes lixées à hauteur d'épaules pour-
vues de pieds massifs, la ressemblance avec ses cousins
s'arrête là. La slructure interne du R7 est loule nouvelle,
et ses systèmes énergétiques et de calcul sont protêgés
par la technologie de durcissement anli rayonnement
éleclromagnêtique utilisée pour les chasseurs. Le châssis
du drolde est renforcé et labriqué à partir d'alliages plus
robustes el plus légers que les modèles précédents. Loeil
triangulaire esl doté de capteurs optiques avancês qui
perrnettent au droide de voir dans pratiquement toutes
les condilions de lumière, ainsi que de scanner et d'ana-
lyser les matériaux et les struclures à la recherche de
microfractures et de perte de rêsistance au stress méca
nique. Les R7 sont dotés d'une personnalité volontaire
el battante, qui tranche avec les comportements parfois
étranges et revêches de leurs prédécesseurs R5.
Malheureusement, malgré leur technologie avancée et
leur personnalitê cordiale, les capacités des R7 sont limi-
têes. S'ils sont parfaitement adaptés aux nouveaux chas-
seurs E-Wing pour lesquels ils sonl conÇus, il leur esi dif-
Ircile voire impossible de communiquer avec les chasseurs
plus anciens. \4ême les lameux systèmes du X-Wing sont
trop lents et poussils pour qu'un R7 puisse en exploiter
toul le potentiel. Ces droïdes peuvent etre programmés
pour communiquer avec d'autres chasseurs, mais leur
compatibilité n'est jamais fiabie à cent pour cent. En
lermes de jeu, cela signifie que lorsqu'il est connecté
avec un chasseur ou lout vaisseau autre qu'un E-Wing, le
R7 perd les bénéfices de ses talents Cartographie de Ia
galaxie et Dêgats superticiels.
ffiffiffiffiiffim§
1,@\ r,@\ ',
Ll__,r \*flJ \g_l_gi
Compétences : Astrogalion 5, Calme 2, lnformattque 3,
Mécanique 3, Pllotage [espace) 2
Talents : Cartographie de la galaxie 1 lretire I aux tests
d'Astrogalion, et la durée des tests d'Astrogation est ré-
duite de moitiê), Dégâts superllciels (Juste après que le
valsseau spatial a subi des dégâts, vous pouvez dépen-
ser 1 point de Destin pour utiliser Dégâts superficiels au
 ,_rrtnoièRll -tsl,
IC 1Nrÿ{rfN\fl nv JUVd
âi.,1â
aiP.r lso lr 'rnLl,prnolnv snldrns op 9u ap lê au op sdrol
sêp suep s?luBldsuerl la oseq op stlloLUorlse 0uLUol
rollrelerl Q o.rQruELr ap sOu.tLUerSordol luatelQ luolEAI^lns
rnb xnel'leLQuQB u! s?lolueuJgp arlQ lnod y| q s9Âo,t
uor lros 's?lrÂrar :lros stnd 'srnass€ql srnal enb sduel
oLrQur uo lnqar na stu luauelduts luornJ dnotneeg l3
xna]quou op êlrerlor el q êsltu el lueulerlua 'llI srnas
snqLUlN
seql xneolnou sep lgotd ne sQUuopueqe luo.lnJ
sa1 'arrdu3,1 op IUaLUOUQ^e,l le enbtlqndOè el op tuaut0rp
-uollê,1 sQC arxeleB el srole.tl € xnelol slueuaula,tno8
xnp la slr^n xne aroslr?p xtrd un q npuo^ lnl >ilols 0l lnol
lo êQlQ.re 1n;uorlrnpord el 'autteI e] 0p 9V srnassELll
sel rnod lO sap uosrer^tl ep en8e,r olqtue-rd e1 sqLdy
'a1q
eq:ord gLl r slol e,n bsn I uot]elnd?l
ps eLlleluo rnb et'y|,p ortotsttl,l op OlsolQp snld e1 aplolp
al alQpour al êp orLBJ rnod elnole,s tlol lnol lueu8telluor
dorl uarq uêrlo-rluo uos ep ralred sues'euued êp sel uê
LaLedg-r q allluJlp 1e exaldulot dorl erg,re,s lO sop u0ls
-lnd?r ? eurQts,{s a1 'sqnbo,tç ?tOp sauQlqoLd sap snld u;
9y un";a1o1rd anb esoqr orlne ltestel uo puenb xna la^e
rallre^erl ? IeuJ np lte,te uo,nb sgtpOp srnêsseql sJnêl rns
oQsrleloj ls llelo lO sop ?ltleuuosred e1 'sn1d oC xneos
sre^ sop uorlarluê,1 le uotleLed?t el oLUu-rol 'outren el op
sop.rorp sel red sa9n1:oJjê soqlqt sap 1-tedn1d el q eldeul
lrepuar ol 'gE lo fU souQS xne gredLuo:'tnb ar'ute:t1qnd
-?r Ieuasle,l êp solnltLlQA lo xneasst€A sorlne xne reldepe,s
rnocl erresse:çu lauQleu êl lo uotleluUJerSord e1 ltenbueu
rnl Il srnossel.ll sêrlne sol )ê^e olqtleduorur luaultsenb
grpgp larrr3o1 uos lo oLUroJ es 'olltel BS ltepuor lteredde
lol lê^E oArsnllxo ?ltuUlP uos'snqLUtN al rnod ltelled lrelg
lr,s oLUQr\ êQllurll luoLLloulQrlxê ltslq opioJp ltled np
gltl
-r1n,1enb luopr^Q lur^êp lr 's9ltlllluêlxa sos l0 lO ol la^e
lresuerlrLUeJes aurerrlqndgJ aut.telA e1 enb elnseu y
'rno[ 1g as Q]tr?^ olstrl el
no lo'sêproJp srnol op lê 9v slnosseqr sap uostel,ttl ltrd
enbrlqndqp el op êuuet\ el l-lo luotxou.l ne,nbsnI elnp
lO ne ?AJOSQT aLusetsnoqluol olelol asotqurÂs uo lollle^
er1 luarer;nod xnop snol anb ltegtuBrs elas r3l 'a.ina[euu
oQlue^e aun lteluasQlda; enbgrrgds uolq neossls^ un
rnod n)uo: aploJp un ;to,te,nb luetesuad tnb xnel luos
xnaJquroN sqloluorlse sop.r.olp sap luaueddola^Op ol
suep lup^B ua sed puer8 un auJLUol sêgr?plsuol 01Q luo
snqLUrN ol lê^e JuoLUê1tre1 ts renbtunuLUol q g1t:edel es
la oplorp np uorleLULr-telSoid e-1 sattEllllLU Sutuueld np 1e
anbrlsrSol el ap solqesuodser xne nld luauelqtlnrtlred
e rnb lnole un 'lO np oluê^ ap slueu;n8le xnedr:utrd
sop un,l lrelQ 'arnetJQlxa opte sues luauo)elduua uos ep
.rr1.ros .rto,tnod q,nb tsute 'luouloll)eJ ltolnoLU 0s ? lêlulep
er ap ?lrredel pl oprolp un ltlllonlle lnod a:edsa,p
nad ap lresodsrp tnb Lnasseqr olnlsnulLU un 'snqulN np
ollret el red qlrrp ?lO e sdror np u8tsap êl OSlrnJe{ulLU
uorslndgl ? rnalerOuÇ8 un JUeuoluol JnêlrQJUl erqqdstul
OLI un ? ZU un,p slnaldet ap qdtnbg aLUQp ol allosse
rnb'erlqLuetp ap oJlQul un uoJI^ua,p eirelred erqqds
eun,p lr8e,s11 anbruqreq ueld e1 tns enb lanst,t ueld a1
rns elqenkleuoJ ISSne lsa lO e1 'enbodq,1 q sn5uo:
vl,p sLll0tuorlse s0pl.olp sêJlne xne lu0LU0lleJluol
'slt^tl lo satlellllLU slnallos sap lled
el ap olsersnoqluê Irênlle un JUeltfsns 'snqur5 e1 enb
sdual euQur u0 ?lro^?p lnl lO n€o^nou 0l l0 êleJr0lul,p
sar-uQlsÂs sêl rouuotllêJrad q nua,tled lsa VI 'sQleL sadÂl
-olord xnarqLuou ap sgrdy aqrotd JIUoAe un suep QSll
-rln snld ue snlcl op ltpros'sestlderlue xnep sêl uoles'tnb
opQrord un 'rnêssel{l neê^nou al q QlpQp luaueletrQds
oprorp un 9ddo1e,,rgp P Vl 'snqluIN np elue^ouul anbtleru
-roJUr oJnllolrLlrre,l la sanbtuqral suotlergrrgds sal lns
luepuo1 es u! glrleuuosred es le uotldaruor es led y1,p
sLlloLUorlse soproJp sorlne sap an8utlsrp as lO al 'lS)
êp gV snqLUrN uorlle,p uoÂer lrno: q rnelderrelut,l rane
gsrlrln aJlQ rnod luau]alerrgds n5uo3 souol] sop êjlan3
e1 ep anbodg,l q SuueeutSuS sualsÂ5 leny 10 uojeulol
-nV Ieulsnpul erlue asuderluool oun,p ltnJl al lsa 1O 0l
{xw,pccx} d"& §,eæs w}§#**eesw sffi}.&§ffi
g : glalPu
sllp9rl 000 LL:xud
(slrlno ? ossnorJ oun
ou.lurol aldLuor] eQlS?lut uorleledOl êp ossnorl '[s]uES
-srprnolo s19396: lleluol ne egllod: - onblllrl:9 sig8
-ep : sdror E sdJof) lrp Q osnopnos : lueuedtnb3
(seutxol 1a
suosrod sal ojluol QSrunLULLlt 'neo,J snos no 0pl^
ol suep oJAtAJns lned 'eLroq no tê3ueul la-rld
-sêl ap utosoq sed e,uJ êprorc : s91;lede1
I enbor ep
sle8Qp sep enb lQlnld anbruelgrr.
ssarls op slurod sap a8tllur enbe-
le,l lê'slêrlUredns anb gltle?.
uo luatelQ,u xn0llQS JUaLULLIê-,
edde sl!13?p sal tonbrnoc:
anbrldxe opto.rp al elQrluor tnl:
-rnenol a-1 olltlnorq aun,P xtll
 de trouver un O7 en état de marche, et encore plus d'en
dénicher un qui dispose de son corps d'origine. Ceur qui
subsistent se lrouvent genéralement dans des contrêes
isolées où leur laible cout et leurs grandes connaissances
en astromécanique en font un investissement attractif.
,'@\ r@@\ :@l
'*?__l LgJ t!l_p_,
Compétences : Astrogation 3, Calme 2, lnformatique 3,
Mécanique 2, Pilolage (espace) 2
Tàlents : aucun
Capacités : Droïde [n'a pas besoin de respirer, manger
ou boire, peut survivre dans le vide ou sous l'eau, irnmu
nisê contre les poisons et toxines)
Equipement : matériel de réparalion et de diagnoslic
intégré lcompte comme une trousse à outilsJ
Prix:6500crédits
Rareté : B
PMæP§L§ M§WKffi§§§§T§§
F.
rc §
U
ans vêhicule pour prouver sa valeur, un pilole proles-
sionre' n'est rien de p u, qr-, un he'a.b.as dêsceuvrê
obsédé par la complexité des gênêrateurs à rêpulsion ei
Ia lorce de poussée des moteurs ioniques. Ce[te seclion
propose une sélection de landspeeders, d'airspeeders et
de speeder bikes adaplés à la carrière dAs.
W§ffi§C&§L§§ YKKM§§TKM§
La supérioritê êcrasante des forces terrestres impériales
reprêsente une grande menace pour la Rébellion. Mar-
cheurs et tanks lont courir un grand danger aux pilotes
de blindés de l'Alliance. Même les chasseurs, d'habitu-
de en sécurité dans l'espace, atterrissenl pour subir des
réparations ou refaire le plein de carburant. Un AA-TT
impérial peut parfaitement en proliter pour signer I'arrêt
de mort d'un pilote peu méliant.
ffi&æ§w §8"§ ffi &F*Y§eEÉm' §ru yæe§y"y§ffi §&§ ru
TAATT est produit depuis les dernières années de la
Cuerre des Clones et compte parmi les lnodèles les moins
connus de la gamme des marcheurs de la firme Rothana.
Lent et robuste, il est employé par l'Armée lmpêriale en
tant que véhicule lourd de défense aniiaérienne. Long et
bas, ce modèle se distingue des autres marcheurs par ses
quatre pattes trapues qui s'étendent cle part el d'autre de
sa carlingue plutôt que dessous, comme chez les TB TT ou
les TR-TT, et lui donnent Ia dêmarche d'un Iézard plutôt
que d'un mammifère. Ces marcheurs sont pilotés par trois
personnes (pilote, artilleur et commandant) situées dans
un module de contrôle à l'avant du véhicule. Le reste de
l'engin esl dédié aux systèmes d'alimentation et de pilo
tage, ainsi qu'au contrôle de tir.
PARÉ AU LANcEMENT
aBLEvERRot LLÉE
ANTIEN STCIEK
I a majoritê des droides O7 ont depuls longtemps
L été reprograrnmês pour travailler avec d'autres
valsseaux et transiérés dans des corps de droïdes
astromechs plus communs. Ceux qui ont êchappé
à ce sort, et qui officienl encore avec les quelques
chasseurs Nimbus A3 restants, conservent les bo-
nus que leur procure leur logiciel dédié. Les 07
dotês de leur programmation d'origine gagnent les
bonus suivants s'ils sont connectés à un chasseur
Nimbus à l'exclusion de tout autre vaisseau.
As de Ia mécan:que 1 [Retire E aux tests de Mêca-
nique. Le coût en crédits pour ajouter des mods sur
des kits esl rêduit de moitié.)
Dêgâts superficiels [Juste après que le vaisseau
spatial a subi des dégâts, vous pouvez dépenser
1 point de Destin pour utiliser Dégâts superirciel au
prix d'une broutille. Le ioueur qui contrôle le droide
explique pourquoi les dêgâts apparemment sérieux
n'étaient en real'tê que superliciels, et I attaque in-
flige des points de stress mécanique plutôt que des
degâts de coque.l
Lourdement armé pour un marcheur de sa taille, l'AA TT
esl un véhicule lent et peu rnanlable, plus adapte aux
lignes arrière qu'au front. ll est doté d'une tourelle qui
peut être équipêe de canons antiaériens jumelés ou d'une
ballerie de missiles à concussion : un escadron d'AA TT
est capable d'interdire une bonne partie d'un espace aê-
rien aux chasseurs et speeders ennemis grâce à ses sys-
tèmes de vrsée sophrsliqués. Bren qu'ils solent lrès eftr
caces dans leur spêcialité, ces véhrcules sont dépourvus
d'armemenl secondaire, ce qui les rend vulnêrables aux
attaques d'engins terrestres el de fantassins. Par ailleurs,
même s'ils sont équlpês de meurtrières permettant à
l'équipage d'employer ses propres armes, ils disposent de
peu de moyens de délense contre un ennemi terrestre dé
terminé. Par conséquenl, les AA TT sont généralement
soulenus par des uniles d'infanterie et de TR TT.
Type de véhicule/Modèle : marcheuriAA TT
Constructeur : Rothana Industrie lourde
Portée des senseurs: movenne
Équipage: I plo e. I ar ileur I commanoar
Charge utile : 25
Passagers: 2
Coût/rareté : 1 35 000 crédrts (l)/7
Emplacements disponibles : 0
Armes : Canons antiaériens légers jumelés monlés sur
tourelles (portêe proche;arc de tir:tous;dégâls 5;
critique 3;Cadence lente l, Jumelé 1, Sanguinaire 3,
Souflle 4J ou batterie de mrssiles à concussion moniée
sur tourelles [portêe courte;arc de trr:dorsa] ;dé
gâts 6 ; critique 5 ; Brèche 4, Cadence lente l, Munilions
lim jtêes 36, Projectile guidé 3, Soullle 4)
 'a,il.§
Y*
SÇPUIIq ]UêLUêJQ8
-?l ]a allrel alrlod ap sjêpaadsJle sal no srnasseL{l sal
.rôlanbrqlop ap olqedeJ êsuop oAPnu un uo puedQr as
nualuol rnêl lê êouuop ôluejstp oun ? lussoldxa snqo
sal sauaul ror)eJnp ua sallêqlÇlJ sap no sê^lsold
-xa-orlru] salteq sap 'l3ude]L,ls np êurulol salB)eford
sNllurvllNv sNoNEl: 5'z ll8vl
salnlsnurur ap srallltr.rJ ap s9llnoq aJqllel sor8 ap snqo
sop arl uarjQerlue uouef, un 'asseui ap rnêslndord
luessrnd un,p apre,l v sJnol sou ap aSesn ua sêlel.u
-la snld sal la salduls snld sal sualJ?8llue sauQls^s
s3l lurPd êlduoJ la 'oslroloul lo^ np sJnof sJêlLU I
-êJd xne aluou.]âr suotJgetluÊ suoue) sêp ]dêluo3 ê I

LANDSPEEDER
AV-21
Produit en peLite quanLité eL
adore par es ous de vitesse, le
'::
f
Mobquet AV-21 est un landspeeder
qui privilégie la vitesse pure plutôt que les
manoeuvres délicates. Avec sa silhouette êlancée
et sa taille de guêpe, il donne l'impression de filer même
lorsqu'il reste immobile. Ce speeder ressemble à un petit
chasseur, et sa section de coque avant à un cockpit de
Y-Wing, mais en moins large. LAV-21 dispose d'un ha-
bitacle biplace bien équipé, situé au milieu du véhicule,
tandis que sa poupe est dominée par des ailerons de
contrôle fins comme des lames de rasoir, ainsi que par
deux énormes propulseurs ioniques contenus dans des
nacelles fuselêes. Tous les panneaux sonl conÇus avec
précision et montés à la main alrn de rendre la coque
aussi lisse el aérodynamique que possible, et de tirer le
maximum de vitesse des puissants moteurs.
Si l'AV-2 1 est très recherché par les mordus de vitesse
et de sports mécaniques, il l'esl aussi par l'élite la plus
lortunée qui le considère à la fois comme un symboie de
réussite et comme le fleuron des landspeeders. Étanl
donné que tous les AV-21 sonl presque entièrement faits
main dans une usine spécialement dêdiee, ces speeders
s'avèrent assez rares. ll faut paiienter plus d'un an pour
TANK IMPERIAIÀ
RÉPULSION 1.L
M
ru
i:isil:,ï[il?itïi;,J#ii.', î::;
le tank à répulsion le plus léger et le
IW .iJ:iJ;iJ'is,ii;,:;;t''3:§;il3'::
coque [rapézoïdale esl dotée d'un blin
dage et d'un armement lêger. Le I 'L est
un tank de cavalerie généralement déployê en
éclaireur à l'avant des autres unités blindées pour at-
taquer des véhicules plus Iégers et de plus petite taille.
Manæuvré par un équipage composé de trois membres,
l'engln est plutôt rapide et leste pour un vêhicule de
combat blindé, et complète à merveille ses cousins 1-M
el I-H
Larmement de base du 1-L se compose d'un canon
blaster léger monté sur une tourelle située à la poupe du
véhicule. Contrôlêe par l'artilleut cette arme dispose
d'une portée et d'une force de frappe remarquables. Elle
permet à un escadron de tanks à rêpulsion légers de se
débrarrasser facilement de véhicules blindés ennemis.
Malgré son faible blindage, la conliguration de la coque
du L 1 lui permet de repousser les tirs de blaster ou d'ar-
tillerie et procure une assez bonne protection à l'équi-
page. De plus, le tank bênéficie d'une bonne isolation
contre la chaleur, le froid, les radiations, les agents
chimiques et biologiques. Une fois l'engin fermé hermeti
quement, l'équipage est protégé des contamina[ions
étrangères et le système de survie du tank peut fournir
de l'air frais et de l'eau pendant 72 heures.
Type de véhicule/Modèle : landspeeder/tank à répul-
sion I -L
Constructeur : Ubrikkian
Altitude maximum : 5 mètres
Portée des senseurs : courte
Équipage: 1 pilote, I artilleur, I
 ETrpeEll llglt
J.N3ÿ131N\fl nV lUVd
G
snld solQpoLU sol Jed OSSed"rns lso li lo
onbreqlre ouJLUol QrQplsuol lsa ropaodsrre Jêl 'osnel
uo êrlloLuor € s?d luos ou QlDeluJo uos lo oluessrnd
es rs uorlluoj oLUQLU êp lo od^] êuQLu êp sropoadsle
sop lrpdnld el anb êprder snld êlsar Il 'xnerleds sursnol
sos onb luêl snld lsê Ea9 Bld ol IS oLUQr\ sêlrssrlu sal
lo srnaldolralur sol rassnodor rnod sroSgl Jasel suouel
sal lo srolselq'olne sol Jnod soxu sluoLUêlelduo sop lo
ssllornol sop puardLUol Jêpoods êl 'lorJgleur ol ap srlld
uf allonsr^ o?lrod el op ?lap-ne ognlrs alqD oun tns
sprnol salrssrLU sop ro..ill op luellsLUrod Qnllrlsrqdos Jrlel
or rn0luel un ourQur no 'prPpuels uorssnluol € no suol
-ord E sêqLUoq sop ralrodsuerl êp alqedel arelnpoLLl
olerluo^ êlnos aLUrouo oun,p êsodsrp 9a9 Bl_d ol 'ênb13
-Qlerls luoLuopreqLUOq op suolssrLU sol rnod n5uol
'Olu0urLuu_.r uorsrllo) 0un
tuatlolgp lo^ op s.rnolPUrpJo sol puPnb so?llolQ luos la
luoLUsnllrleLLrolne luollêls os sollo : aSedrnbQ,p oJquouJ
ênbeql rnod srnoras op solnsdel op sOdrnbQ rssne luos
Ea9 BId sol oural 3uo1 q suorssrLu sal Lnod asnqLuel
elnlsnurLU 0un l0 ne0,p rn0lnqr.rlsrp un's0ll0qlnol xnôp
luorluol slueurq;edu-rol sol allua auoz a1r1ed aul Surod
êp aLUre oun lo les lrlad un relrodLuo rnod alsod anbeqr
? aredsa,p zêsse êlsn[ )ole'sOS]Jnsserd slueLurlredruor
slrorl? xnêp suep serlredgr seuuosred buo ep e8edrnbq
un re1;odsuerl lua,rned srapaedsrre sa3 a8elesnl np
olrnJ op proq ol rns spluour eruessrnd elneL{ q senbruor
sineslndord rrs red gluaurle'êlre,p êLr-roJ ua repeadsrre
ou.r;ouQ un lsa 'ordqns/LUolul slrnpord sa;lne sop luoLLrol
'elrper otrelQ,s u8rsep al tuop'gf g-gld al Ogg-BlN lel
-rqro rarpreqLUoq 0l la 01 L fàv 0luessreuuoler 0p "rnas
-selll al enb sdlual oLUQLU uo'ur^e^ op ollreleq el luple
Zf uo ourplrlqnd95 auue1,1 el op IeuosJe,l suep lrnpoJl
-u1 QIQ e gag Bfd ol 'prnol anbuQqdsou.rlp rarpreqLUoq
oLUurol n5uo3 er,uas op soruualgp sap 1ue.lnp sasud
-aJ sosnorqLuou op ? JnolBA es g,rnold e rnb repaadsLre
Irorn un lsa,f ordqns/uorul esudatluool el ted slrnpord
sprnol lequrol ep sur8ue srorl sop erlred 1re1 gf g'BId ol
gffi
§§§-ffi âd {rffi ffi ffir ffi §$ §wæ âtrffi ffi
'0unln8 : sauJv
g : selqguodslp slueurereldu3
g/strp9rl 00E q : 9larer/lnof
0 : sJoeessed
I rallln aâleq3
eloltd
0unlne : sJnasuos sap a?uod
SOJ]QLU 099 : tunulxetu apnl!}lv
1anbqo],4l srepeed5 ]a sdoor,r5 : JnallnJlsuoJ
p-uo1nqa517doo,\ls . el?pol trielnlrq?^ ep edfu
f--z ) aE 'r
\1gw@y' .@
0l-l-10
elrorp auBrl ua e1uern31n1 assal
-r,t aun eddola,rgp glrlr8e elqeÂorrur,l q lraredde 1rled a:
'sn)uol luaurolrejJed êlgrluol ap suorêlrB,p 1a uorsr:grd
olnpL.{ op sanbruor,re sluesoduo: ap n,nLnod 1uaua1e33
'0llas 0un €
?xu JnêlleQ] un q lu0LU0ll0rlu0ss0 0LUnsgr 0s
O-uolnqoN e1'sanbruor srnasserduro:oqinl xnop êluoLu
-r1e rnb I lg:V rnolleQr np luêLropuor lneq ? uors-ro^
rnLl,prno[ne aun red gslndoL6 sallauuorssaJold sdooir,rs êp osrnol
ep sedrnbQ sol lo ourleuQrpe,l q soJlle sal luaLUallarluos
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-srnd snld sa1 1e saprder snld sel sdoo,r,rs sop un,l lse lenb
-qon op O-uolnqaN ol 'slouuorsso1ord esrnor ep selolrd
sep le sdoo,us ep s8ueS sap 'snoÂo,r sap grrgLdde sq4
&-ruæreæææru ;æseâr?#3 §æ €§*3æefl{§
'0unlne : seuJv
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aqrord : sJnosuas sap egyod
s0ilQLUolrl 00 l : unulxeu epnllllv
qnnsoros : Jnal)nrlsuo)
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srepaedsrre ser ep 1edn1d e1 'sluessrnd sal lê soLilr sal
red sglro,nuoJ sroql luoulêulOrlxê lê sor€J sroJ el ? luos
surBue sel'lrel ar op lo'luarll np suorlBllJpods sep uorl
-luoJ uo gsrleuuosLad lê lrnrlsuol lso Or-nS enbeq3
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QlrllqerueLU e1 1a ernd assêllA el ra1391r,trLd rnod rnalreQ,r
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-.ro1rad elneq srepeadspuel sal rured alduor tZ AV,l lS
*§-ffi§ ffi3r*wffi§ffisææd
§ÂffiYffi W§ææææd§§*W
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-ar selolrd snuê^op rol el ap slua8e xnarqurou aC alse^
luaruelqeÂol:ur 1sa arxeleB el ep selQueld sol solnol tns
sluas9rd suou9€ salnlrqgn sop Çlrsro^rp el 'srarpreqLuoq
sol auLuol 'sor8 sn;d se1 1e 'sdoo,us sol ourLUol 'sgluel?
1e seprder surÊue se1.er1u! sêluorOJlrp luouolelol soluol
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-Oe olnrrqQ^ un êJlua sapnlrlrLUrs sosnorquou se1 9r31ep1
SNsrrrv selnf rFr9^
polyvalents, ainsi que par les petlts chasseurs
d'assaut spécialisés, plus rapides. Cependant,
malgré leur âge et leur utililê limitêe, de nom
breux PTB-625 sont encore employés par
l'Alliance Rebelle, qul recourt à leurs services
chaque fois qu'une importante puissance
de feu est nécessaire pour détruire des
installations lourdes et des infrastruc-
tures planêtaires impériales.
0l-l-10 @)
(3)
@
| ls
Type de véhicule/Modèle : airspeeder/PTB-625
Constructeur : ncom/SubPro
I à l'avant (portêe proche; arc de lir: tous; dégâts 5 ; cri
Altitude maximum : 100 kilomètres
Portée des senseurs. moyenne
Ëquipage: 1 pilote, 1 copllote, 1 ingénieur, 2 opérateurs
de systèmes d'armement
Charge utile : 100 lsans projectiles)
Passagers: 1 Largueur ventral de brombes à protons ([N.B : cette
Coût/rareté : 1 30 000 crédits/6
Emplacements disponibles : 2
wreffiffiffituffi ffiffiw&§§ffiffi&ffiK
n peut trouver des As dans presque tous les vaisseaux
ffi
EË d une flotle Depuis les Artilleurs qui manceuvrent les
batteries des vaisseaux capitaux jusqu'aux Têtes brûlées
aux commandes de petits chasseurs, les As sont au cceur
de lous les combats spatiaux.
§Ê
t:'''§
)
Armes : Canons laser légers jumelês montés sur toureiles
tique 3 ; Jumelé ll ;
Auloblaslers jumelés ventraux et dorsaux (portée
proche ; arc de tir : avant ; dégâts 3 ; critrque 5 ; Aulo
matique, Jumelé 1)
;
arme ne peut être utilisée que contre des cibles au soll
(portée proche;arc de tir:ventral ;dêgâts 7 ;critique 2 ;
Brèche 8, Munitions limitées 24, Soulfle 7).
CFüA5§ffiUR§ ET NAVETTE§
Les duels spatiaux qui émaillent les batailles de Sfor
l4lars sont le domaine de prêdilection des As. Pour sur-
vivre et s'imposer, ils doivent pouvoir compter sur tous
Ieurs atouts, notamment ceux de leurs chasseurs. Ou'il
s'agisse de vieux vaisseaux datant de la Cuerre des
Clones ou d'appareils uniques et expérimentaux, la flotte
de l'AIliance regroupe un vaste arsenal de chasseurs.
fr ffi ffi pffi Ê-Vw&§-§âl*Y ffi -y ffi -kw§ &â ffi
ess ffi a§
Produit par FreiTek, une nouvelle branche d'lncom, le
chasseur polyvalent E Wing est le tout nouveau chas
seur de l'arsenal de la Rébellion. De taille et d'apparence
semblables au T-65, l'E Wing possède un fuselage long
et êtroit avec un nez surbajssé. Deux ailerons fixes qui
s'étirent en biais, à bâbord et à tribord depuis le ventre
de I appa'ei , p"enrenL naissarce à peu prs5 au niveau
du cockpit. Chaque aileron est doté d'un moteur de
poussée à fusion JSLF signê FreiTek, similaire au cêlèbre
FfE 4L4 qui alimente l'X Wing, ainsi que d'un canon laser
moyen Taim & Bak lX9. Un troisième lxg est monté jusle
au-dessus du cockpit, devant le compartiment sellê ré
servé au droïde astromech, un emplacement bizarre qui
 ryr-lnqêrarâ rlsr)
.LNlt^ll)N\fl nv f àvd
lt*-;s'.!.i 1*
a : salqruodslp slueue)elduf 3ur,tr-g xne luêurarerluoJ e8lel snld el lutod uos q 'neos
qislrpQrl aao zL L : ?lareriluo) sreA np norlrLU ne sgnlrs sanbruor srnolour atlenb aluau.t
0urelros 0un : suols!^old -r1e rnb egssnod epuer8 e rnalleOr un,p n,trnod aLUPI uo
O : sJaeessed e8elasnl 3uo1 un lsê Og H np Jnaol ol 'rnossallns uos êp
(sa1t1:elo,td sues) a | : eltln e8leq3 rnlol ouu.loJ sanbrun senbrlsuç1rere) ap orqLUou utel
luouroLUre,psoLr-rQlsÂs ap-rnaqelgdo 1'41o1id I : aâedlnbl ral un,p Olop lo olre,p êLUroJ uê rnêsseL{l sor8 un,p 1tBe,s
eq:ord : sJnosuas sep agyod Ir 'olloqoU êluerllV,l ap Surg-g ne aluessreu r0uuop ltelle
unlne: Jneleulplo!^eN rnb edrnbg,l Led n5uo3 uorlelndor auuoq oun,p ltnol rnb
unlne : enupredÂg sreLU'lueJnol nad sreur.rosgp prno{ anbel1e,p rnosselil
lrdLoy ç u,{e15 : .r6s136J}suoJ un 1sa lrdroy ç uÂe15 ap lseduual al 'sauolJ sap orlanD
09 H lsadLuallrnêsseql : olQpol^/eln)1qgn ap adÂ1 el ap uU el q anbrlqndQè el op ouuer\ e1 :nod 9ddo1a,t96
*s-$§ §§§dre§Â ffiHmffiT æffi§ffiffiwæâ&*ffi
{ zt \ a:171
GE r-FIFr (9 oUJnoS : 6 gptn8 e;t1relol; : B soQl
-rLUrl suorlrunl Il Ql0unf 0ruOpel : g aqlQrE
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{&}{J*;,-L;" 1, H:IItgE ) : a onbrlul : g s1ç39p : JUeAe : êp lre : olJno) êQl
rl
- SulM-B sol 'slopel sLnal ap atuB
-Lodl 1ue,te,1 q sQluoLU suotord Q selltd.tol-aruel
: (f QlêLrrnf : 9 anbrlrrr : 9 sl?8Qp :lue^e :rrlop IJE I oqlord
eduol uo o.rnauQlxf ornproB el suep 0ruetllV,l luêÂJêS
slr 'rnq,p:nolny sêruualgp sep srndap uorspllo p xnpês eÇ1lod) lue,te,l q soluour suaÂou rosel suoue3 : sotuJv
sre^ êp s:red sep no sossel sêp suep luetesst.t.,tnod la ; : salqruodsgp slueruereldur3
a:rdLr;,1 op IUoLUOUQ^e,l € nlQ^rns luête^e tnb g9 ;1 seLer 8/slrpQr] 000 09 L : 9laJPr/lloJ
se1 eLrdordde,s uorlloqQU pl 'êlnlrpu xud un rnod luêLU aureLUOs oun : suols!^oJd
olnês suorpelse,p aguBtod oun,p uoster^ll el sQlde and O: slatessed
uJor..rolur 1n1 a11a,nb uorq rs'ouLelr1qnd95 eutLe6l e1 ap
g : elrln e8leq3
ures ne sanbrlrlod serLallreu;eLll sêp 1a uotle:gtueld oste,t qlêulorlse I'aloltd 1: atedlnbg
-neur êun Led eQqrnlred 1n1 rnelleuo,td rnosseLll al êp aqrold : sJnesuos sop aguod
uorlrnpord e1 'luepuada3 xnelLder xneêssren slual op ql0LUo.llse
êroluo no auolueJUr,p slueruadnor8er sêp's?putlq sap epr.orp rnod luauarelduue unlne : lnaleulpJo!^eN
/
'saxg suorlrsod sop rns ran8rel sal lo'seQprnB uou la sêOp (unlne) êrepuolos'IL asselr] a;teurud : enllp;edÂg
-rnB saquoq sep Le1-rodue lre,tnod n rnlêJ soquJoq IAjrOJl : rnel)nJlsuoJ
ep eBeS;e1 op ll?rlual auQlsÂs un q s?nosse 3ur41-37.rnasseL{l : alQpo6/eln)lq?^ ap edÂ1
salrlraloLd op srnoluel lê suol € suoupl 'srês
.s, P SUOUEI S]èArp Ap onltlsuol llelQ lnasselll a-T..-t ftft
r-i- so-l3 ar èp luèLroule,1 'eutBLlo,l V lLUauuo nêJ l] @r' ,|U@lDt
'' ne no luêurouuo-r^uo,l ? snp luetos slr,nb'slg8 -ll
t.
Ê ap soLu.louQ,p tassrpluo lnad lseduel el 'eQr
-roluar anbor oun,p Q:lop la gu.ue luoLUOpJnol
'snlosQJ saLLrQlq
lu0rnl
proqqq êp -ord ser ep 1ednld el 'alduor np lnoq ne 'luepued
rnlo: srndep :IUauJaLUJe,l lnol êlOrluol tnatugBut un,nb oJ lo^ ua,nb rar1e1e,1 ? sdLual ap tuelnp rassed ltestel
srpue.l proqr.rl q 1rd1ro: a1 srndap Io^ op sêurQl rnel rnb oArsuolur olueuêlurpLr êun lue:]rssalQu'sa1tBer1
-sÂs sas la neossre^ ol apueLULUol alolrd al
'anbor e1 op QlrLUQrlxa aun ? unleql slraredde,p uorlelndQr aun luaLqBLol oS SJnoss€Lll xrlBOÀ
nou sal 'êrrAros op sroLU senblenb u3 Surg 3,p sadnor8
sgxg slrd>1ror xnêp ap asodsrp sreruard sol rns seuqlqord sêp luorQuleilua aptde.t
a1'sgnbrlsrLldos
lsaduel do;1 uorlrnpord aun le luaurouuorsr^ordde,p s91lnrg1rp
snld 1e seurepour snld sop'luaLUesnoJnoLlle[N eQIeSQur enbr]:el aruale,tÂ1od
oun arQJUol rnl ar8raug E saLUre,p le sellrd"rol op leuosJe
uos lo'ossell es ep slreredde soJlne sol snol op xnol
- luessed.lns oJro^ - luosrJEAu rnêsseql np srarl)noq
sa1 1e a8epurlq a1 elerleds gluouQdns eJ rarnsse rnod
enb enbelle,l rnod uarq rssne Ollrel lse Surg-3,1 '3ulM X,
êLULUOI
luale,tÂlod rnosseLll un ruêAap ? QUrlsoC
'sluelsrxo 3ulM-X,p solQpour sap xnol êp
.rnoI q sesrur sop no saurapour suorsrê^ sap ]uos
/
rl êp lo anbruor,ne olQJluor ap seuqlsÂs se-1 \
'aJJU0^ UOS SnOS 'nPASSre^ np n0rlrLU ne 0?nl
-rs 0JrElnpour luaLLroure,p 0req 0un suep
sgqrru suolo"rd q sel;rd.ro1-eruel xnap ap
9drnb9 rssne lsa Sur^^-3,1
orQu,r0^ el 0p êlnllO^no
anbeq: ? Qtloq?p lros
uou€l ol enb alrsse:Qu
 Armes : Canons laser moyens montés à l'avanl [portée sa construction robuste el son grand rayon d'action, font
proche ; arc de lir.
avanl ; dêgâts 6 ; crilique 3 ;Jumelé 3J ; du H-Wing un appareil parlait pour les patrouilles Ioin-
Canons à ions jumelés montés à l'avant (porlée taines, les attaques de convois commerciaux et les vols
proche;arc de lir:avant;dégâts 5 ;critique 4; lonique, en solo.
Jumeié 1) ; Conçu par Koensayr pour remplacer les Y-Wings vieil-
Lance-torpilles à prolons monlé à l'avant (porlée lissants au sein de l'arsenal rebelle et devenir ainsi une
courte ; arc de lir: avant; dégâls I ; critique 2 ; Brèche 6, alternalive aux nouveaux B-Wing, le H-Wing est cepen
Cadence lente l, Munitions limilées 12, Projectrle gu - dant peu rêpandu au sein de l'Alliance. Même si de nom- -
dé 2, Souffle 6J ;
breux facteurs peuvent expliquer cette méfiance, la rai-
son principale est que cet engin est un nouveau chasseur
Largueur de bombes à protons ventral lN.B. :cette
de grande taille, cher et complexe, qui tente de se faire
arme ne peul être utilisêe que contre des cibles ter
une place dans une niche dêjà occupêe par deux appa-
restres ou des vaisseaux capitauxl [portêe proche ; arc
reils fiables et appréciés, dotés d'une infrastructure d'en-
:
de llr:ventral ;dégâts 7 ;critique 2 ;Brèche 8, \4uni-
tretien bien établie En l'état des choses, les rares H-Wing
tions limilées 1 2, Souflle 7).
employés par lAlliance sont utilisés en [ant qu'escortes
pour les convois de cargos et comme palrouilleurs dans
{ffi&,§§ffi # ffi æ"&§?&ËeJ ffi é1 Lt-ru æ ffiêY*ru les systèmes stellaires détenus par 1a Rébellion.
é
m'&flY**ru *Yë-§Aâ {.; H"1#Ëru# l;
Succêdanl au populaire chasseur Y Wing de Koensayr, le
H-Wing BTS A2 est un chasseur triplace conÇu pour les
lrappes à longue porlée et les missions de défense Le
t
H-Wlng ressemble à un Y-Wing encore plus lourdemenI
blindé et armé. Équipé de systèmes avionrques et de lrrs
modernes, slable el fiable, il esl capable de s'allaquer à Type de véhicule/Modèle : chasseurrH-Wrng BTS A2
bien plus gros que lui grâce à un large éventail d'armes Constructeur : Koensayr
énergétiques et de torpilles Bénêficianl des ense gne Hyperdrive : Primaire (classe 1J, secondaire [aucun)
ments tirés du vénérable Y-Wing en matière de produc- Naviordinateur : oui
lion et de longévilé, 1a coque du H Wing esl consliluée Portée des senseurs: courte
d'un large fuselage aérodynamique qui se distingue par Équipage . l prlole, 2 opérateurs de systèmes
son double cockpit. Celui de bâbord abrite Ie pilote du d'armement
vaisseau tandis celui de trrbord accueille les deux opéra Chargeutile:15
leurs d'armemenl. De plus, un minuscule compartiment Passagers: 1

pourvu d'une couchetle, d'une douche chimique et d'une Provisions : un mois

cloison insonorisée esl situê à l'arrière des cockpits pour Cott/rareté : 225 000 crédilsiG
les longs trajets dans l'hyperespace Propulsé par une Emplacements disponibles : 1

paire de R440 de Koensay, des turboréacleurs ionrques Armes : Canon laser moyen montés sur lourelle [portée
re alivement nouveaux dotês des célèbres évents à ai' proche ; arc de tir: tous ; dégâls 6 , critique 3) ;

letles de poussée de la marque, 1e H Wing est remarqua- Canons à ions jumelês légers montês à l'avant [portée
blement rapide pour un chasseur aussi lourd. D'autres proche;arc de tlr:avant;dêgâts 5 ;critrque 4; lonique,
syslèmes bien connus des piloles et techniciens d'Y Wing Jumelê 1) ,

sont utilisés dans ce modèle, comme une version amélio-

Lance-torpilles à prolons montês à l'avant [portée
rée des senseurs Fabrilech ANx Y ainsi que e successeur
courte ; arc de tir: avant ; dégâts I ; critique 2 ; Brèche 6,
du système de vol gLobal SubPro NH-7.
Cadence lente 1, Jumelé 1, Munitions limitées 12, Pro-
Avec son arsenal varié, l'H Wing est parfailement jectile guidê 2, Souflle 6)
adaplé à son rôle de chasseur d'attaque. Larme pnnct
pale du vaisseau est un canon laser moyen dorsal montê
sur une lourelle Tai & Bak KY12, qui lui oflre de bonnes
chances d'endommager les vaisseaux et les blrndages les
plus rêsistants. Les systèmes d'armement secondaires
comprennenl deux canons ioniques légers jumelês
Ar\,4ek montés à l'avanl e[ deux lance-torpilles à protons
Arakyd Cet équipement polyvalenl, ainsi que ses
puissanls boucliers, ses systèmes fiables,

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ds'-:.::-

PARÉ AU LANcEMÊNT
CIBLE VEPROT'LLÉE
 alTllxrüarl rlal,
J.NSNflN\rr nVlÈVd
allrullp :luourêLrQrlxa uotlESl^
?u 3l luêpuêr rnb sopol ap srnorlo,p grrnoq l0 OlQlosq0
lso rnêleulprotAeu uos op lêrllSol ol 'o^lrplêd^11 un,p Qd
rnbÊ lros 3ur1,11c1 anb uetg Q-lQpoLLr TLUOUUê noJ un sn0s
rêqrql € alueLrrele oluPpuêl êun luêlsêJIUeLu lo'lanol
sQSuol luos s1r,nb elqr a1 rnod sreSOl doLl luos rnosseql
r.rp srêrllnoq sal sluerqdsexê steLU s.rnêulLU soLuQLqoLd
êp glqelle a^norl os le'Qltlenb e;lQtd ap lê QqlrELU uoq
sluesoduor êp uorlestltln,l op orllnos lt reloLtd q xna'taB
uep lros 8ur,q1e1 anb alp sed lnad ou uo,l ls oLUQA
sollêtluossê souoôQlel op êrqLUou ulelr0l
un suep sounlEl sa,te;8 ep ?ltle?r uo eluasgLd 1t 'letrgdutt
..rnêsseLll lenb a1todLur,u .roluorJJe,p alqedel lsa 3ut111
al ouooLll ua lS ollotiolle,t agssnod op Q)uele eLuQlsÂs
un,p osn 'lesrop uoJêl e,l op lêLrLU0s ne ?llelsul 'êtuQls
t ro.,l1 e1 anb srpuel'solre sop sQltLUQrlxo xne sQluoLLl luos
xnêp : II )lLA fq )-H uorlsnquo:1sod q sanbtuot srnoloLr
srorq red gslndord 1sa 11 a,rrsser8e oJnlle, q neess e,r 1t1ad
un 1so 8ur,r'r1 el 'ezQde-rl Jp êu rol ua rnaln8ue a8elas
-nJ uos lêAV suotleLgdo,p oseq es ap sqrd Lergdo rnod
nSuor'uorlle,p uoÂeL lrnol q aptdet uotlua,ualul,p ln0l
-de:ra1ur un qsa 3ut611 a1 '3ut,1,1 V,l raluo-trnluol QSUêl
'LOSSa)-qlsraoH op ?u raturop êl tso O9p a1'ra391
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-rod) lue,te,l e QluoLlJ uotssnlu0l q sallsslu-r 0luel
: (onbruol :y enbtlt-tc: q s1q39p:lue^e. rll êp lre
: oqlotd aQlLod) lue^e,l ? soluoLll sle391 suor q suouel
: IL Ql0Lunl-
: g onbrlul: E s1939p: lue^e. rt op lre: aq:oLd oQlrod)
solre sop lnoq ne sgluoLU sreEQl tasel suoueJ : seuJv
a : salqluodslP
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alloqoè êruerllV,l op urês ne quergdo srêseUlrelS op
suorpelso sorer sol 'Lnq,prnolny sollêtlqno xne en3g1
êr ol la Lr-U xnêrnoLlleuJ np uotllnpoLd e1 lrdruorrel
ur y p 'ardu.r3,l ap .luaLUOUQ^e,l êp srol QssedÊp ?loc
'gldurorsa sQllns ol sreutel e;luoluor au .têseLlllels ol
ronbrnod luanbrldxe'enbrlreieD enbtlqndgS el op olnL{l
el luernoluo soeLll ne l0 sauolf sap OllonD el 0p aluêlor^
el ? s9lno[e 'slneJOp se3 sa,tlrsod suotsseldut sarqrLu
e"ld ep la alqerQptsuor êlue^e aun,p etlUQUoq 1anbe1
'solQl ap rnosseqJ np allêl anb e,ttpLel snld uatq uollesll
-enrouJurol aun luarQnbo,to-td uorlrnpo.td op splelol sap
'oJlno uf selolrd srnal op Iednld e1 "led s1ue1o,t sltanr
-rol solqeluo^ ap ou.lLUol sQrÈplsuo) luêlPlQ slr 'olues
-srnd alqre1 ap srarlrnoq sap 1a auueÂou.l Oltltq€l^noouELU
aun led orJno uo sgstleuod t.tlnou luôLrtouuaÂoul .ltl 4
un snos rerS9lurs?p os e oluepuol lte,te enbor Lnel 1a
sQpullq lueLua,rQBQl luatetQ raseL.llrets sa1 'q1g sanbtu
-or srnoJoLU sep egssnod op ulnLUtxBLU al rolll rnod
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'ouQS ollo) ep pre39,1 q rtlqnd np 1qL
Qlur.l luorQlrull stluossoJ no slêgr seuqlqotd ap orqLUou
urelror un '96-z q 'luêrnluol uos e êleJ saluelulo;led
sauuoq op lreqluJe la LnelleLuo"rd sQrl ltelq Joseillrels al
rS sluelsrsOJ snld sa; seBepurlq sal lo xneasste,t sa1 raBeru
-LLropua,p leuled tnl leuasle la3 lue^e,l ? sQluouJ uols
-snluol € solrssrLU ap rnaluel un,p le steFQl suol € suouEl
op'salre sop lnoq ne sgluoul sre8g1 tesel suouel xnop 0p
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'1ua8te,p lrnor
 Malgré ces délauts, H-K n'a pas ralenti la production
de l'appareil et conlinue de chercher un marché pour son
intercepteur au rabais. Alors que le commandement de
l'Alliance Rebelle reluse catégoriquement de l'inlêgrer à
sa flotte, une poignée d'agents tiers opérant dans les ter-
ntoires de la Bordure Extérieure ont montré de l'intêrêt
pour le T-Wing, en raison de son faible cott et des réduc-
tions consenlies par les commerciaux de H-K sur les
pièces el I'entretien.
chasseurs au niveau des modèles légers modernes. Cha-
cun a été débarrassé de tous ses systèmes, puis entière-
ment remonle en utilisant des mises à jour quand elles
étaient nêcessaires et de nouvelles pièces quand elles
étaient disponibles. Les quatre faibles moteurs à lrssion
ionique 2a de Incom ont été remplacés par deux mo-
teurs de X Wing, et un emplacement pour droide as-
tromech ainsi qu'un hyperdrive oni élé ajoutés. Les ca
nons laser légers montés sur l'extrémité de l'aile ont êté

ITIII'-Èl7üiffilË
r ;*r-(F,r{T)
échangés contre des canons laser moyen T&B Kx5 et le
chasseur embarque êgalemenl un système de lance mis
siles à cadence alternée qui permet au pilole de tirer un
flot constant de missiles à concussion. Le résultat esl un
appareil polyvalent, léger, performant, facile à piloter et
qui allie vitesse, protection et puissance de feu.
Type de véhicule/Modèle : chasseur/T-wing R-60
Constructeur: Hoersch Kessel Drive, lnc.
Hyperdrive : Primaire lclasse 5), secondaire (aucun)
Naviordinateur: oui
Portée des senseurs: proche
Equipage : 1 pilote
Charge utile : 5 Type de véhicule/Modèle : chasseur/Z-95 Iourd
Passagers: 0 Constructeur : lncom/SubPro
Provisions : deux jours Hyperdrive : Primaire (classe 2J, secondaire (aucunl
Coût/rareté : 95 000 crédits/7 Naviordinateur : aucun - emplacement pour droïde
Emplacements disponibles : 1
astromech
Armes : Canons laser légers montés à l'avant [portée Portée des senseurs: proche
proche ; arc de tir : avanl ; dégâts 5 ; crltique 3 ; Jumelé 1 )
,
Équipage : 1 pilote, I droide astromech
Lance-torpilles à protons monlés à l'avanl fpor- Charge utile: 6
tée courte; arc de lir: avant; dégâts 6; critique 3; Passagers: 0
Brèche 4, Cadence lenle 1 , Munitions limitées 2, Projec Provisions : ure semaire
tile guidê 3, Souffle 4). Cott/rareté : 85 000 crédits/S
Emplacements disponibles : 1

§ffi&§§§â§ffi p*Lw&LËruY Armes : Canons laser légers moyens au bout des ailes
X"ry§a&§4"F* €.t ç§ Læ*Jffi*àF fportée proche ; arc de tir: avant; dégâts 6; critique 3 ;

Le chasseur Z-95 lourd est Ie résultat d'un rêcent pro- Jumelé 1);
gramme de modernisation pour les Chasseurs de lêtes Lance-missiles à concussion à cadence allernée mon-
servant dans lAlliance Rebelle. Le projet visait à prolon- tés à l'avanl lportêe courte; arc de tir: avanl; dégâts 6 ;

ger le temps de service des Z-95 en effectuant de nom- critique 3 ; Brèche 4, Munitions limitées B, Projectile gui
breuses améliorations et révisions alin d'élever ces vieux dé 3, Souflle 4).

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sallaqar soSrel ap sourelrdel sop lo srnosseql ap sololld
sop LUep puer8 ne 'J!s uorq 'r)al olq€nbJeuror odde,iJ op
alroJ 0un q Çlrlrqer^naoueLU la assall^ luellle uo 0lQr uos
luoLUOlrs]red lrldLUOr lr 'lueuolnoll op operS al suloLU ne
lue^e sQluêLUrJodxo sleplos sop red luoLuonblun Qlolld
'lsqLUol ne alqBlnopor lê rslolrd ? allleJ 'alqeu oLUurol
t Qroprsuol efop lsa.lnosseql neo^nou ol"nod slndep onb
xnerrQdLUl sêl red ?^oldLUa lso,u rossor8v,l IS êLUQLA
'sorrelos sJnoldel sap snossop uê slnollQlxê sju0LU
oleldLua sop rns sQluoul luos suo^ou rosel suouel xnêp
' raredde,
I I ap lueuuorssaJd LU I luauloLUJe,l .rololdulor I nod
'rnasseL{l ol op oledllulJd aLule,l anllJsUOl lnb 10 lnollll
-re un red o9J^næueur Olesrop ,iosel olloJnol Oun,p olunLu
oQBuolle onbol oun,p osodstp rossar8v,l 'ul/llf ne luotu
aJrerluoJ sarrelos srnoldel ? sêlle saSJBI sal lo ênblJ?Llds
luoLUapueLULLrol op alnpoLU ol 'sQloLUnI sênbluol s]naloLU
sol 'aArJprod^L{,p no rarllnoq op alu0sqe,l 0LUulol 'llf 0p
souQs sol sê]no] ? sunurLuol sluoulQl? sonblênb luellod
-u.lol o)eldrq Jnass€ul un lso llêlPdde lol 'leLurou ul/:ll
un,nb Suol snld ïoAQl soôrel sol a"rluol slnesse xne lo
sollrnorled xne QldEpe 1uêurorQllnlllred lo QUJre luoLUap
Jnol êprd€l ênbelle,p rnosselll un lsê rossol8v,l 'aluelllv,l
aldLuol ol rnod sosrpueulJeLu sap (uou no êle8Ql) uollelnr
rD el op ossneq alroJ el ? êrel oIeJ rnod Qddolo^9c sQl
-ue^B fll op uorler9u?8 arQrurêp el e lueuêlredde uaÂouu
anbelte,p .rnêsseul un lsa ;osser8v 8e/lll al 'ut^e ap
ollreleg el lue^€ elsnl eleuQdt-ul ouuelA el suep 9Âo1dqq
« ffi*§s§Hffiw FF §w/§Ê-L ê*§*§§§SWH*
'arnauQlxf ôrnpro8 el ap sêpuoLu
sureJJaf op snssop ne oluolle uê slauuollluoJ 0..lol
-uo xnpauue sop .ralnoll ap olqrssod êlsa"t lt 'lnqal
n3 stlu olQ sdLualâuol srndap luo sn5uot QlÊ luo
sp slonbsel rnod slraredde sa1 anb srole'tnq,prnol
-nv el: lo Elloc 'eqdly srnasseL{l ap suorpe)sa,p
splop sêpuolx op snssap-np alq;o ua Qreld luauel
-erQuQB lse lueuuedrnbrQ loJ :luosrlrln sa1 tnb stnes
-s3ril xne olqelrêdsai lnes op oltreder oun luarj]o
xneouue sa) 'alell1;a rnaleurpror^eu ltlad un ? sQtt
ossv L ossell rolseuduunl 11'>1y1 ar,upradÂq un la
sluessrnd senbruor srnaloLU xrs lueuerdi-uor aldu;ts
luaura^rlelar slQpoui un lso
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ep aluap?rord uorlerguOB el red gstltln 1g a"lnt1Â5
np rnassallnS t-eqdlV snqLUrN lê f-el! srlrv srnol
-da:re1ur so1 ;nod n)uol uê^ou uorlre,p uoÂer e
!'jË'ffi8j3 J:3";j";:i:J,,i Tff ;l,iiï I lrnpord eurerrlqndgg auuel,\ el op uoll)e,p uoÂer 1;nor
5ÿ-lunllÂs
N gIS]NdOHdU]dAH,B NV]NNV
[, aulnos 't ?p
-rnB alrlralo.rd ', soOlru.lrl suotltun,\ ', 0LllQrB 'L 0luêl
aruape3 : g anbrlul : g s1939p : lue^e :rllap lJe I alnol
oQlJod) luele,l ? s?luoLU uotssnluol e s0ltsslul-êluel
: [9 êlêLUnl
: g onllrlul : g sle8Qp : lue^e : rll op lle : aqrold êOlrodJ
selre sêl rns sQluotLr sglaLunl s:a8gl .iasel suoueJ : sotuJv
'. ; J,i,jii T iii'ri';Ëï:,',ii l
lnol un : suors!^oJd
g : sla8esse6
g :elrln a8leq1
qloLuorlse oplorp L'e1o1td 1 : etedlnbJ
eqrord : sJnesuos sep o?Uod
op1oJp op luar-uereJdure - unlne
Lll0ulollse
: lnoleulpJo!^eN
unlne : e4lpredÂg
Suuaaur8uS suelsÂS leny : Jnel)nllsuo)
snqLUrN gv/rnosseql : alepoÿ\l/aln)tq-en ep adÂ1
'sleqEl ne ênpu0^ no lnq0J ne êsltu
1n1 Surg-,1 ap orQrluo olloll el la uotlt.iedde lnal lSluarq
luoJU !ll srnosseUl xneonnou sal 'luepuedef sdLuel
enblanb luepued eler"rgdr-u1 oulrelA e1 red stnd 'souolf
sêp oJronD el op ulJ el ?,nbsnl enbtlqnd96 el op êulrelA
e1 :ed s9Âo1duuo orlQ,p JUOrQnutluol SutM-A sal aulêp
-oLU lllrnesseql un,nb selrôe 1e septder tssne enbsald
luos slr'aqssnod olJoJ ? 15y senbtuot sJneloLU ap
salQporu srarure;d sep elted aun:ed qslndoL6 sa,tnetdq
serrd xne JêlsrsQr ep salqeder'sn5uor uotq uoll
-eluoLurle,p saruQlsÂs op 1o optlos enbor aun,p sn,tlnod
'sêlsnqor sJnosseL{l sêp suloLU sed luos ue,u 3ut6-,1
srnaldeuelur sa1 'ra8g1 sQLl e8eputlq un,p sgloc
'lo^ uo suorleJedgr senuau
op rênllêJlê,p le sauQlsÂs sal ralQJluol op uUe '10 êl
'L{lauollse oprorp un suroulue?u a;odr-ue 1t 'eredsatad
-Âq,1 suep rolnes op alqederul Qlrlrqer^nêoueu alqeÂolc
-ur oun SulM-A ne re;nlo.rd rnod sgrue,te slouuotllêrtp
srneslndord sap ? luaurqLUol os lo soltlelol seuuroleleld
sop rns soQluoLu luos sêLllel op ouJroJ u0 Olqelle^ ê{JlQul
-oQB q selre sêS neossre^ np aQlneosrq enbor e8rel e1 ap
aJQure,l ? urol Çnlrs lesrop ereldouour ltdyrot un la^e
'l-ellêC 35y r4391 rnaldalalut,l alladder ut8ua,l 'sarueu
-rotrred sas le lredse uos red lueqeB er ap sltaredde sep
;nod selsnqo.r luer-ualqenb.leuaJ ISSne steu'se1t8e 1e
sololO^ luaLualdr-urs sed 1uate19,u SulM-A sal '01 L-fUV
srnêsseul sel enb sra89l la septder snld 6l-A luarrol
srneldar:a1ur sêp êluessrllror^ ouQS e1 leteldLual lnod
souolJ sap or.lênD el op uU el ? aulJel4 e1 red gpueuuu.to:
op urou al snos nuuol tssne 'y-eqd1y snqLUIN
1n1 '3ur711-,1
e1 '3ur:aaur8u3 sLualsÂS leny .red sQlrluenb sapuer8 ue
q rnalderalur ledrrur"rd ol lnj snqLUtN-gV êlqer0uQ^ 0l
{4 §ru§§&*& },& §ft§K§t§u
€-W$§d"§§ H tr§§ J"˧â3§§-LN :
 1rî-
t
\\
\
\
\
\\

CHASSEUR POLWALENT
TIE^/HU « HUNTER »)
Aprèrs le désastre de Yavin qui culmina avec la destruction
de l'Etoile de la Mort, la Marine lmpériale prit conscience
de la gravité de la situation et en vinl à deux conclusions
majeures : la première était que i'AIliance ne se rêsumait
plus à un méli-mélo de bons samaritains et d'agitateurs
Type de véhicule/Modèle : chasseur/série TIE révolutionnaires qu'on pouvait mêpriser ou intimider à
Constructeur : Système de Flotte Sienar volonte. La deuxième, e[ la plus êvidente, étail que l'Em
Hyperdrive : aucun pire avail besoin de chasseurs bien plus efficaces et plus
Naviordinateur : aucun puissants que les TIE/ln pour contrer les redoulables
Portée des senseurs: proche X Wings. Le premier problème fut réglê assez facilement
Equipage : 1 pilote, I opérateur de systèmes d'armemen[ en opérant quelques changements dans l'organisation
Charge utile : 7 et Ie déploiement des forces impériales, el le deuxième
Passagers: 0 grâce au développement du TIE/hu u Hunter,.
Provisions : une semaine Combinant les points forls du TIE/ln, du TIE/in el du
Coût/rareté : 75 000 crêdits (l)/9 TIE/ad, le TIE Hunter est le premier chasseur vêritable'
Emplacements disponibles : 0 ment polyvalent à avoir servi au sein de Ia Marine Im-
Armes : Canons laser légers jumelés montés sur tourelle périale. Crâce aux données collectêes au fil d'innom-
(portée proche ; arc de tir : bâbord, tribord, arrière ; dé- brables affrontemenls avec les chasseurs de I'Alliance.
gâts 5;critique 3;Jumelé l); Sienar conçut un tout nouvel appareil doté de sVStèmes
Canons laser moyens montés à l'avant [portée proche ; internes, de boucliers et de systèmes de survie plus ro'
arc de tir. avant;dégâts 6;critique 5 ;Jumelé l). bustes. Lengin est aussi doté d'un hyperdrive et d'un

PARÉ AU LANcEMENT
58' SBLE rrEpRorrLLÉE
 -_rrtrlodTtl rlsl,
J-Nrÿ{f)N\n nv luvd
'DpqwDl asseQ 'a,rupradÂq,p sn,unodg6 'l11 sêrlne se1 enb sqputlq luolu
op orslrtrln olla^eu el luenbo^9 oJQrueu êun,p êSelosn] -oprnol snld luos rollrprêlul 311 sal 'luau.la8reqt rnel ap
np rnolne sgsodsrp luos llf Jnêldêlrolul un,p xnor ? sprod ne onp Qlrlrq€r^næueu.r êp alred el ap la sÇnbreq
sarPIrLUrs sarelos srnêldel sro{ neêssreA np olr^lllnJ LUê luoLUOLUJe,p sauqisÂs sep xt.td np nual elduuof
ap saLuQls^s sol lo srnêlerÇu98 sêl 'srnalour sêl luPllJqe 'atxeleB el sralell ? luetldtllnuu es tnb
orelnSueul êQpullq anbor aun q Êllêr 'fll el ap f^ so8 salloqêr soseq sêl rosellQ q 1e ranberl € Qlr:ede: rnal.red
-rer sop xnêl q arrelrLUrs gnbuorl ouQl un lso lldllol alerLpdLul oulrelA e1 q salqesuedstpul sglQ^e luos as loJ
al sprBpuPls flf sougs sop u8rsop np lueluOle)lper -lrpJOlul llf sal 'rurouuo noJ al snos soqLUoq srnel ren8lel
olrP)9,s oLUQluBj al 'llêdse,p êlqelnopaë aQleSQUI ol^ ep salqede3 rnasse:9pgrd uos anb selrlralord ep snld
-rlrnj op glDedel oun,p ?]op la suorle)urpour soprnol op
srol arlenb ruoluor lnad ll/Ill al 'es/:lf enbttrel retp
rqns lue^e B9A lnesse,p rnasseql un lso oLLIQluPl :lI 0l reqLUoq np olQpour el lueuardeU salellals sreÂollsap
'suosleJ soLUQur sol rnod soluoLUlr?dxa snld sol sololld
sêp q solqrssol)eur souoz sep reuuoltd rnod gstltln plnol
xnE QUUoI luaLUOnbrun la'soLUQls^s sos op QllxaldLLlol rorpreqLUoq un lsa iollrprêlul lll êl 'ul^e ap 0llqro,l
el op 1o l0ol np uosrer uo sêolrLUrl solrluenb uo llnpold suep 0luerllv,l ap 0luESSrnolq0 êJIollr^ el 0p ureLU0pu0l
aleugdLUl ourreAl EI rPd Q^oldOp lllrnl lnosseq) ralu ne aQddole,t?p s?lue^e lll sop olr9s el êp oluetle^ artnv
êrd ol lso eJ /Ill_ ol ':lI oiJOS el op êsnora8uep snld
PI alueuurê1 snld el oluerJE^ allo^nou €l allQ-lnêd €€ ææÂ3§ffiffi§gruâ » -tu§d§ââ er*槧wF§3
la
44 ffikæÇFâruw§ §& wdfffi§-§. &E§æ3w&ii?æd (9 êUJnoS '6 gptnB a1t1
*râ§*.&s e§ffi§s§w**§ -relor6'g soqlrLUrl suorlrunlA't 0l0LUnf 'L ê1uêl 0luapPJ
'g oqlQrE : Z anbrlul : g s193çp : tue^e : rllop lre : olrnol
[1 êU]noS oOlJodl lue^e,l € sQluouJ suolold q selltdlot aruel
'9 | sê?lrurl suorlrunÿ\ : L ?loLLrnf 'B ou)Qr€ : a onbllul
: (l ÇloLunf: g anbrlu: :9 s1q39p : lu€^e . rl êp lre
: l slgSgp:lerluê^:rll op lre:oL1)ord aQl]od) [sar1sa.t : sueÂoul Josel suoue]
aL{lord agyod) luene,l ? sOluoLU
-,rol solqn sap êrluol enb egstltln eLlO lned ou aLUle
:IlQIaLUnf 'anbruol
ollol : E Nl suolord ? soqluoq op lerluol rnen8rel
: , anbrlur : g sle8Qp : lue^e . Il ap lrp : eqrord o9lrod)
: (9 olllnos 'Z ?plnB alriralo"r; 'Z I saQlrLUrl suotttunl l
lu€^e,l € sQluouJ sQleunl sra391 suot ? suouel : saruJv
'g glaLUnf 'l aluol aluope3'g oL{lQlB : 6 enbrlrrr :g s193 g : selqruodsrp slueueoeldug
op: lue^e: rl êp lre: oljnol oolrod) suolord ? salltd.tol 6/(l) strp9rr 000 9la : glorerilgo)
sop lros [, aU]noS 't OplnB elttralo.td 'f I soQttLUIl suotl êu]BLUêS êUn : SUO!SI^Ojd
lunl l '9 QIOurnf'l êluol aluopel ', aqlQr6 : 9 anbttul 6 : s;e8esse4
:g s1g8gp:lue^E. rrl op r.re: olrnol eglod) uolssnluol 9 : al!}n aâleq3
q sêlrssrLUsop lros luerrl lue^e,l ? s9luour sJn0luel elo1td ; :etedgnbg
: [ | glaLUnf aqrord : sJnesuas sap aguod
: g anbrlul : g s1g39p llue^e :rrl ap lre:êLlrord oolJod) unlne : JnalPulpror^eN
lue^e,l ? s?luolu sglaunl sre8ql lasel suoue] : sotuJv [unrne) orepuo]os '(Z assel)) erteut-td : enlrpledÂg
O: solq!uods!P slueueceldu3 ieuots alloll ap auQlsÂS : Jnel)nrlsuo)
l/[l) s]rp9rr 000 99f : gtorer/l4oJ !llougs/rnasseq) : olepol l/elnllq9 ep adÂ1
srnol xnaP : suols!^old E
g . s;e8esse4
Ol :allln eBleq3
etoltd t :e8edlnbg
alrnol : sJnosuas sep e9uod
unlne : Jnoleulpror^PN
'lrerolreL{nos e1 eu aletrgdu;1 aurLe6 e1 enb
unlne : en1;p;edÂg
reuêrs alloll ep euQlsÂS : Jnol)nrlsuoJ sduel ep snld pue:d suorpelso sêp rrlgq lo 'slnqQp sos
p,nb a-rorue lso uo,u olQpoLU al op uorllnpord e1 'se11eq
:11 auQS/rnasseql : alepo4/oln)lqg^ ap edÂ1
-eg se1 rnod surour np'luêLLlosnornoH Luolul,p g91ol
suduro:,{'eruer11y,1 op leuêsre,l op rnosseql lenb alrod
-LUr,u ap rnolnell el q ru-rêuuo un lso rolunH e1 'suolord
p se1lrd"ro1 o)uel xnop ep 1e senbtuor suouel xnop op
'sglaLunI sua,{oLu rosel suoue] arlenb ep gLuLy 3ut,14-y
- np xnal ? sanbrluepr lueLursenb olqeueA eulQLuog8
solqD sos q slCËQp êp LUnLLI ? S suorolrB sop lreJ uê luos sorrelos srnelder sel enb lto5
-rxeLu ur.l reSrlluLrnod sglaLrnlserreldurexa xnop uo sreLU
-rede,s uo 'sqrd snld ep rapLeBaL V sauçs sap enbt"r
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-9Llds e8elolrd op ourqel asnoLueJ^ el op lê srêsel suouBl
I ll rêrprequoq ol QU.le uos enb sêqLUoq ap o8e8rel ep op soQlop an8ep ep euJoJ uê sêlrelos srnalder q selte
auQls,{s oLUQlu np qdrnbg tsa rotlrpralul 311 a1 'snld e6
erlenb ap sn,rLnod luos sll 311 srnelde:rolut xnE luaLLl
Iuo]ssrLU el op uorlluol uo) uorssnluol e solrssrLU sop lros
'suolord q sal1rdro1 sop lros rerrl lue,tnod sqlaLrLnl sLnor olrol luoLqLUOSSar
JêlunH 311 sal 'pre8e-r ratueld ny
'xner.t gdu-rr sopueLULUolurJols 0p sQltun
uel ap souollsq xnêp op anb rsure'lue^t?,1 q sgluoir sreE
-01 r0seL suousl slênlrqeq sap ?nlrlsu0l lsê luouJ0LU]e xne srnêssPLlr xnea^n0u solqelnopêr sol JO]IOJJ€,p epll
rno-l uorleurlsap rnoL L-rarq lueuBrolqe sa8.leq: srnal anb Qp Olnerrue.l 'sluenlluol sQrl slsêl sreruerd sap sprdy
rornsse,s Lnod s.rorlrnoq ap seruqlsÂs sep luapQssod slr 'solrsslLU-êluel ap 1a erBreug q saLUre,p QIreA luoLUrlrosse
 * EÉNÉRATEUR O'O TEU LTATII]N
Lourdement armê, le Fantôme est doté de cinq canons
laser légers jumelês montés à l'avant (trois au bout des
ailes et deux sous le cockpit). En outre, il est équipé de
systèmes de survie, d'un hyperdrive, de boucliers et de
nombreux aulres êléments indisponibles sur d'autres va-
riantes de TlE, ce qui peut paraltre étonnant vu la doc-
!*t trine de la Marine lmpériale et la valeur qu'elle accorde
,- =-:n à ses piloles. Mais le plus surprenant reste le gênérateur
d'occultation aux cristaux de stygium, une technologie
redêcouverteilyapeu.
Prohibées par la République Calactique quelques dé
cennies avant l'avènement de l'Empire, la production el
I'utilisation de génêrateurs d'occultalion utilisant les cris-
taux de stygium d'Aeten Il étaient durement sanctionnêes
par les autorités. Avec Ia chute de la République et l'avè-
nement de l'Empire, I'interdiction tomba en désuêtude en
même temps que I'interet pour les technologies d'invisibi
litê. Cependant, après la bataille de Yavin, l'Empire com-
mença à exhumer d'anciens modèles de vaisseaux et à Ies
analyser pour essayer de trouver des technologies utiles.
Au cours de cette quête majoritairement vaine, les îngé-
nieurs de Sienar redécouvrirent les plans d'un génêrateur
d'occultation miniaturisé aux cristaux de stygium qui pou-
vait être monté dans un chasseur ou une navette, et s'em-
ployèrent aussitôt à perlectionner ce dispositif. Seule une
poignêe de TIE Fantômes est actuellement en senrice, et
même si personne ne sait exactement où les appareils
sont slationnés ni qui les emploie, la Rêbellion en a conclu
" , .':€:
æ'::'
.i#:-
æ
3=ê=='-
*-
æ -ë='.
€==
;'3= - PARÉ AU LANcEMENT
É*. GIBLE VEPRoI,LLÉE
I e gênérateur d'occultation au Stygium Mk lll de
L Sfi .rL le prem,er dispositif d invlsibilirê à Ionc-
lionner sur un chasseur. Crâce à des cristaux de sty-
gium placês dans un réacteur à haute énergie, cet
engin peut dissimuler un appareil presque intégrale-
ment et le rendre indéteclable par des senseurs ou
à l'ceil nu. Seule une Iégère déformation demeure à
l'endroiI où se trouve le vaisseau dissimulé, un signe
révêlateur extrêmement difficile à repérer dans le
noir profond de I'espace.
Activer le génêrateur d'occultalion sur un TIE
Fanlôme s'opère au prix d'une action. Une fois acti-
vê, Ie vaisseau esl indétectable. De ce faia, toute per-
sonne tentant de le repérer doit effectuer un test de
Perception ou de Vigilance lntimidant (000O
Une lois l'appareil dêtectê, considérez que son gaba'
rit est égal à 0 contre toute attaque qui le vise lant
que le genérateur d'occultation est activé.
Utiliser le genêrateur d'occul[ation entraîne de
lourdes consêquences pour le TIE Fanlôme. Tant
qu'il demeure actif, le vaisseau voil sa vitesse rô
duite de 5. De plus, le pilote ne peui utiliser ni scan-
ner, ni comm, ni arme. ll peut dêsactiver le génêra
[eur au prix d'une manceuvre.
qu'en dépit de leur éventuelle dangerosité, ces chasseurs
faisaient courir moins de risque à l'Alliance que d'autres
menaces impériales plus immédiates.
IEIIT]EIEE(ffii(E
Hldrffi---;@;,T.
Type de véhicule/Modèle : chasseur/série TIE
Constructeur : Système de Flotte Slenar
Hyperdrive : primaire (classe 1), secondaire [aucun)
Naviordinateur : aucun
Portée des senseurs : courte
Équipage : 1 pilote, 1 copilote/artilleur
Charge utile : B
Passagers: 0
Provisions : deux semaines
Cott/rareté : 365 000 crêdits fl)/9
Emplacements disponibles : 0
Armes : Canons laser moyens montés à l'avant (portée
proche ; arc detir : avant ; dégâts 6 ; crltique 5 ; Jumelé 4)
 I-âTIrX,iUÜ3^ ÏIAl,
-LNf r^r3fN\fl nv JUVd
G
srnêsseqr B, : xneossle ep uodua,p ?llledef
o8edrnbo,p soJqLUOLU la sêlolrd 'srorlujo Ogf : aAedlnbA
en8uol : sJnasuos sep e?Uod
tno : JnolPurpJo!^PN
(6 I assep) êrepuo)os '(6 essel:) e;teurt.td : enupradÂ;1
uotletodio3 qnnsojos : Jnal)nllsuoJ
arrl resenO/Uodsuerl : alQpoN/eln)1qgn ap adÂ1
'oluo8Jn uo êQpueulap lso
srnosseql êp uorlerluêluol opuer8 eun,nb sqp sgÂo1d
-9p 1e arxeleB el sro^eJl p sglltdredg 'glr^lllB ue slnol
-nol luos soJlne xnarqurou op 'lEqu.lol ne snprêd 9lo
luo aur8r.ro,p xneossreA sop xnap rs 0L!0[N xno ]o srnês
-seLll op uosreSJEl esnarrgrd rnêl 'JOSQloJd sal rnod
sJnasrorl 0p l0 saJQruuouel ap 0lllloJ?lqq allolJ êluES
-srnd aun,p s?uBediuorre srnolnol Tuos a-ltJ-JDSDnO
osspl) op sl.rodsuerl salr8er; se1 'se8edtnbq la seuteltdeo
srnal red sgpreB luau.resnolel le olloqêJ asnEl e1 rnod
xnarcgrd luoLUOurorlxl oluerllV,l ep suotlergdo sap
QlnelUJO,l grorlgure luaua8rel luo xneêssreA sal 'olEIl
-9dr-u1 auue61 el ap llpl-uof ossell el êp sall0l ? olqer
-eduor lrodue,p Qlrreder oun,p la eruesstnd eun,q
sgsrlerrgds srnosseL{)
ep sl"rodsuerl uo soLUroJSUerl 'sroLU srnetsnld op lnoq
nP '10 s0lOlueuQp luau0lelol lu0JnJ sll l_'lo Jêllueql un
suep egÂo,rue lnJ xneossreA ep agu8tod allaf (serlne
se1 anb sdural aLuqu ua ra^rJJe 1ue;çdsa ua luaulol
-uorJJe un,p norl al Jns lueuugredgs êpuêJ os uorpelsê
anbeqr enb nerl ne) arueualurer,u ep s:eBueLl sap luE.l
-nrord rnel uo lnol leqLUo) ne sJnosseLll sep reÂo1dçp
rnod aprde; 1e aldurrs ueÂour un,p ol{lrotlloJ el ? êllêq
-ar 1uaÊe un red serqqruo xne oluo^ oun,p srol srnbre
luatnJ aJrJ JDSD1O ASSPII SrnlnJ S0l xnBr)rourLUol saxe
xnednur.rd sol Jns sluoLUa8reqr sprnol ep ralrodsuerl
rnod sn)uor luorelQ xneassleA so)'orelnpoLU sJnou
-eluor-al;od uorlf,os ourou? aun q 1e1d la e:telnBueul
redsa pue.r8 un red agrlêJ lue^e luoLuêpueuLuol op
alleressed alrled aun ra,te'sluea8e8ue ne4 qnnSoJoS
red slrnpo.rd srernber,t solsopour ap anb luarel?,u alloq
-aU aluerllV,l op êlro)so,p slrodsuerl sa1 'eurBrio,l y
§#§§ #w§wffi& xggmp xæ
§-L&*3§æ,æ â§æd§ft{Wæ&
' qo rnol ne,nbsnl ernpred uorlenJrs alloJ rallrnoJled rnod
; ap rnaugdns luelg oLULUor elduror rnl orluol
segÂo1due sêur€ sol solnol op enbrlur op nea^ru êl
'anbelle aun,p olqn EI lso neossre^ e: anbrs,rol : l J1ssen
§§"nn§ N n§§lÀlü§v §41 9lu
[7rnelre4:-anlrrlur
: slqSop : snol : Il ap lre : ernor eolod) enbor e1
- srnOsselll s0l 'êIelrlrLU auullop es uol0s 'sJnollre,c QSrletl
sQluoLU sueÂou-r JnêlleJl uoÂer ep srnallourÇ orlenO
: (, Aprn8 e1r1ra[o.r6 ', olJJnoS '
'oLUnl'L oluol êluêpef'ÿ êqlQrB : 9 anbrlur : g sle8Qp
: snol : rll op lJe : alrnor eglrod) 9--1,1 sa,rr8o,p tna)uel
: IL OIaLUnf : 9 anbrlur : g s1q39p : ]ue^eto pJoq
-lll no luE^e lo pJoqeq : JII êp lrs : olJnol aglodl rue1,t
anbeqr .ins sglaurnl sreS9l ;esel suouel bu13 : ssuuy
9 : solqluods!P slueueleldwg
t7(1J slrpçr: 000 009 I : ?lerer/lBo)
ue un : suols!^oJd
sleplos ggg : sratesse4
0006:a;11na3;eq3
sarrelrlrln solnrrLlg^ le luauanbreqQp ap xneêsste^
sallaleu sosnorqLUou : saln)rqg^ ap yodua,p 911rede3
srnosseLll a1 : xnpessrpn ep podue,p 91grede3
e8edrnbQ,p
sarqLUOLU la selolrd 'srotlUJo 000 ÿ : e8edtnb3
en8uol . srnosuas sep egXJod
rno : JnelEulpJo!^eN
(a I asselr) êrepuolos '(a ossell) arteut.td : enl;p;edÂg
len) êp sle^eN srolluel{l : Jnê}lu}suoJ
>1
1e1-uolTlrodsuerl : ol?polN/aln)rq?^ ep edÂ1
Ilel-uo1 ossell el reÂoldure
? Qluouluol e eleugdul êuuel^ e1 enb stndep s1e]1ns
-Qr suoq sQJl êp euuop
enbtlrel êllof arLUouuo uolJeLU
-Joj el slellQ uo JOlo^ luoJ srnosseql se1 enb slpuel sJnol
-1re rerlde.l es ep srnd 'rLUauuê,1 luorEJlsrp sorQIUUouEl
sal la sale8QrJ se1 anb luepuad slnosseq) ses lueu-Leptder
JOq)el op 'olrolso,p xneossre^ slrled ses lana stulouuo
slraredde,p ednor8 un,p narlrur ne rr8rns êp luollolurod
rnl uorsrrgrd apuer8 aun.p a,tupradÂLl uos le Jnoleutprol^
-eu luessrnd uoS SUoilerQdo sas luepued lua8Qlord
e1 1e rndde.p srrl sêp luêsslurnoJ rn1 tnb serqtuuouel op
la sele8QrJ op 'salla^rol op êllrllolj eun,p sgu8edulorce
luaruelerÇug8 luos slreredde sa) 'uorssrur Jnal op arnleu
el ap lê xnelrder xneossreA sap ;nod ra8g1 luaruaLure rnel
ap lrel nC suapruqlol sop lê uorloJlue,p sedrnbg sap
'salolrd srnol ap olquosuo,l enb rsure 'solQpou.r sluoJQlJIp
0p srnosseqr r1 0p lBlol un lros'unleLlr xnEossls^ Oznop
ap suorpelso xrs : f 11 sJnosseL{f ap arQrluo OJpelsê êun
ralrodsuerl ep selqeder xneosslp^ slrled snld sê{ luos ol
'sJnosselll ep lrodsuerl op lo lueJl np alQrluo) op
oJQrleu uo s9lneo^nou soJQrurop sep sgdrnb3 senbtuot
srnalour soLurouÇ,p snssap-ns êrQule,l sra,t eltl9,s rnb gB
-uolle uorolre un,p srunLU lo'xnop se13ue xne'sprnol 'soJ
-Jel xneossle^ sor8 ap luos Ilel-uol êssell op sl,rodsuerl
sal 'leny op srnaualuor al;od radns xne solqBlqurêS
IIel-uoI 0p snss0p-ne soll0qor srnassPql 0p
agu8rod eun ;ed allue?ue 1n1 eleugdur allolJ oun alnol
no xneassreA sor8 sas re8?lord rnod anb srnosssqr sal
luesrlrln,u 'oluesEJlg or..roJ oun,p oleuoLU el ralr8e,p le
'oJrollrA ossBll op orrellols raÂorlsep ol oLUuro) 'sJrsseu-l
xneossre^ sep reÂoldua,p luop lreluoluol as auuelA al
'erxe1e3 el srê^erl errdlu3,1 op êlroJ elralelo"rd ap uaÂour
ç
un aLUurol uou lo soJrossa))e aurLuol sQJoprsuol luorel9
rns
-9ds srnesseqr-elrod un .reu8rle ? IQJ?lul,p erqnB 1re,{o,t
t Ol eu e1eu9dul ourJelA el 'Ilej-uof op ollreleq el lue^V
;#?wd"tr#c 槧w33 §{§
§&&&3§3,ffi J.§ffidS§€WæÂ
§wx§m§ §æ Kmffi§§§wn
Capacité d'emport de véhicules : nombreuses navettes,
vaisseaux de débarquement et véhicules utilitaires
Chargeutile:5000
Passagers: 1 50
Provisions : un an
Coût/rareté : 1 750 000 crédits [)/6
Emplacements disponibles : 4
Armes : Deux batteries de turbolasers legers montés à
l'avant [portée moyenne ; arc de tir : avant ; dêgâts 9
critique 5;Brèche 2, Cadence lente 1);
Deux rayons tracteurs moyens montés sur la coque
(portée courle ;arc de tir:tous;dêgâts
- ;critique -;
Tracteur 4).
RÈGLEs ADDITIoNNELLES
Massif I : lorsque ce vaisseau est la cible d'une attaque,
le niveau de critique de toutes les armes employêes
contre lui compte comme étant supêrieur de 1 .
TRANSPORT DE COMBAT
DE CLASSE SECUTOR
Le gigantesque transport de combat de classe Secutor,
qui est peut-être le plus grand lransport de
spécialisê de l'arsenal impérial, est un vieux modèle da-
tant des premiers jours de la Marine lmpériale Ostensi
blement membres de la famille des destroyers stellaires,
ces vaisseaux longs de plusieurs kilomètres ont plus de
points communs avec les premiers transports de classe
Venator de la lVarine de la République qu'avec n'importe
quel modèle CNK de l'Ère impériale Comme tous les des
troyers stellaires, le Secutor possède une coque en pointe
de flèche facilement reconnaissable avec deux hangars
venlraux béants. Sa particularité demeure Ia passerelle
de commandemen[ montée au milieu du vaisseau [plutôt
qu'à l'arrière, à proximitê des moteurs ioniques), une ca
ractéristique qui le distingue encore bien plus que sa taille.
;
Dérivés d'un ancien modèle de croiseur de combat,
les Secutor sont armês jusqu'aux dents et prêsentent
une grande variété de turbolasers, de canons ioniques
lourds, de lance-lorpilles et de rayons tracieurs. lls se
révèlent très lourdement blindés et Ieurs boucliers
peuvent facilement encaisser les tirs de toute une flotte.
Leurs immenses hangars contiennent deux escadres
complètes de chasseurs [soit 1 44 TIE de tous modèles),
ainsi que de nombreuses navettes et de vaisseaux utili-
taires. De plus, les Secutor transportent la cargaison
habituelle de marcheurs, de troopers, de vêhicules d'as-
saut blindés et autres équipements : de quoi assiéger
toute une planète. lVême s'ils sont relativement rares
dans la Marine lmpêriale moderne, les Secutor et leurs
flottes d'escorte ont toujours une fâcheuse tendance à
chasseurs
apparaître subitement pour semer le chaos sur un
monde-forteresse rebelle, ou pour fournir du soutien à
une flotIe impériale assiegêe.

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un,p lnole,l êp rolUord luo^nêd solnlrLlOA no xneêssle^
sap lrpdnld el lo^ ua suorleredOJ sêp onjla]Jo lo 'uolle8 ,7
orlsP,p slnllel sop arQdo'sluoLUnrJSur sol alll0^rns'lPq
silN: 9-Z llgvr LUO) n€ OlOIrd OI OlsrssE Ir 'rsurv luoLUOLUje,p lo tuLUol
slrp9rl000t:luo3 op soLlrQls^s sêp rnolerQdo,p lo rnoruQSur,p 'ololrdol êp
==ê".;§1
suorlluoJ sol llldLUar oprorp ol 'luauroleldLUa lol suep
z : saJlessof,gu slueue)eldu3
I Ll QSrtelu OqrrN dLUols areJrêlui rnol q êlCrB neossre^ np soluQls^s
-olne oprorp op uorllolQ,p oLUQts^s : selqlssod spo141 sJo^rp xne rêpQlre,p uoleurolnv leulsnpul,p u OrlQS el op
dLuor5 uos er^ qlouJOrl xnol oLULUol soprorp sop q luollalurod sll sropoêdsJls
-ss aplojp un ? grlor orlQ,p neossleA ne lêLUrod : leJJl sonblonb lo 'sollê^eu sop 'srnosseLjl sop lns sqloLUOtlse
uolPurolnv ieulsnpul I IA qloulorlse,p soprorp op sluoLualeldLUO sop luoLUOlerQugS e^noJl uo
luoLuôleldua : selqruodslp salQpotu ap salduaxf $"*3æffi§*æesw §æÂæffiæ
'suorle.redQr sop € ropQlord luasstnd sll,nb uUe æ 93 æ6* Æ-F*§ §eé ffi §Wf d æ æ
or^eu np rno rQlxo,l q raÂo1d9p sal rnod sêLUQls^s ap lo
sqlêLuOrlse srnersnld raluqe,p alqeder reSueq un,p 1ue,t slêu uolssoJord
nos luesodsrp xnelrder xneossrB^ sa1 slueu..rare;due sorelrlrLLl sê]o1rd sal Jed sollelsur luouQunLULUol SllI 0p
srnarsnld rêllssalQU lned ll>i ol 'luesodut snld neesste,t uorllol?s oun osodord uorllas êllo] soluPLuloJrod sês
un rns ?llelsul eredsaredÂq,l suep lnes ap slnllel sop.rol rarorlÇue rnod 13 JOSrlPUUosrod ol rnod sroj el q qLglold
9do,p glrreder e1 q,nbsnl QrotlQLUe sl?8Qp sap êlQrluol alnl{qÇA rnal luêulpo[1 ]rdllol un suep no lueloA un 5u
un srndep'lueLre:eldua,l suep OlJBlsur rorurop ol stoJ orQUrop ot^ rnal luouSeS rnb snpr^rpur sap lrednld e §
§Krer§re§re§&reffi &ffi
KffiW§ffi §W& reffi ffi ruffi §effi æW §Æ ffi ffi
: (t QloLunf 'f otuol oluope] 'ÿ êLllQrB : g enbtlu:
z êp rnêirQdns luelQ oLUUor alduor rnl orluol se9Âold : L t stqSqp : proqut tê proqgq 'tue^e . rrl ap lle : on8uol
ua soure soL sêlnol ap enbrlu3 op nee^tu ôl 'onbel agl,rod) xnesrop sprnol sroseloqrnl op seualleq but3
le êun,p êlqn el lsê neossrel e: anbsro-1 : Z ]!sse[ l : ( | QIoLUnf 'a otuêl
§§r1:§ *,9 &j *§&§§ ætf §§1 ʧ e êluopel ', oqlQrB : 9 anbrlr"rr : 1 1 s1939p : lue^e lê proq
-ul no lup^e lo p.roqCq :..rll op lJe: en8uol eolLod) ruell
[9 ]notle{ enbeqr Jns sprnol s.roseloqrnl op sor.rolleq bur3:53uuv'
:- anbtlrrr: slg8Qp:snol:rll op l]e:olrnor oÇlrod) 6 : salqluodslp slueueceldug
anbor e1 ,.rns sQluoLU sprnol srnêllerl suo^er oznoc 11(1) s1rp9:r 000 000 00f : glarer/1no)
:lonbLuol :yanbrl sue xnop : suols!^oJd
-.rt l9 s1939p: proqr-rl no proqEq : .rrl op lrp:êtrnol odnorl op sourLr-roL1 OO0 , I : s;eâessed
ffi a91odl lueU onbplll rns sue,{oru suor q suouel lrnH O0O gf : ell1n eâleq3
: IL QlaLUn{-'enbruol 'Z atuol êluopel 'g oLllQ.rB I , ênbitul
s0rlsOJ.r0l lnesss,p s0lnlrLl0^ l0 11 sailÇs sop srnaLll..teLlr
'sorrelrlrln solnlrqg^'luauenbLeqgp ap xneessre^'sollo^
: 6 sl?8op : pioqul lo proqqq 'lue^e : lll op lre : ouuê^oul
ffi a?l-rod) suor € suouel op solerluo^ sor.rolleq burf
eu sosnoJqLuou : saln)rq?^ ap yodrue,p gllredef,
srnosseql ,, [ : xneessren ap podrua,p ?]r)pdef,
:[onbtuol e8edtnbg,p
'a aluêl aluêpel'g oLllQrB:I enbrlr.r]:6 s1939p:luerte
sêTqLUOLU la selolrd 'srooUJO O0O O, : e8edlnb3
lê proqt-tl no lue^e la proqgq: rl] ap lre: ouuê^otu ogl an8uol : sJnasuos sep e?]rod
'.rodl :ue11 enbeq:.r1s suor ? suouel ap sa1lerno1 burS rno : JnaleulpJor^eN
: Il o]uol oluêcel'a êqrQrE : 9 anbrlrL: : 6slCBQp : lue^e (ÿ | osseLrl orapuolos'If osselr] arteult,td : en1;p;edÂg
no p"roq rl 'proq?q :.rll ap lre l auueÂoLu eg1lodl 1ue,te,1 len) sle^eu slollueLlJ : Jnol)nJlsuo)
e bur: le luell onbeLll rns sra39 sraseloqrnl bur3 rolnlos/lrodsue{irnosrorl : ol?pol tr/aln)1q9n ep edÂ1
 §.§NC§&§ffi §§ M§F§§§ §§eW§F§æ&§§§
Les mines gravifiques sont de petits engins anti véhicules
produits par un certain nombre de fabricants d'armes. Si
chaque marque utilise sa propre technologie, les disposi-
tifs de lancement ont plusieurs points communs. La taille
des mines peut aller de celle d'un datapad à environ un
mètre de diamètre selon I'utilisation prévue, et elles ren-
ferment un générateur avancé de puits de gravité. Une
fois déployées, les mines gravifiques créent un champ de
forte gravité capable de réduire la puissance des propul-
seurs à répulsion, voire de les désactiver totalement et
ry: d'arreter net un speeder. Si elles sont souvent employêes
dans les installations militaires pour restreindre l'accès
des zones sensibles ou pour crêer des couloirs de tir
destinés à accueillir des emplacements d'armes, elles
peuvenl aussi etre utilisées pour des opérations de sa
botage, ou pour tendre des pièges aux vaisseaux ou aux
airspeeders. Un lanceur de mines gravifiques ressemble
à une simple bolte. Monté sur un landspeeder, il permet
à son équipage de crêer un champ de mtnes avec une
relative facilité.
Le personnage pilotant ou manipulant les armes d'un
vêhicule êquipê d'un Ianceur de mines gravifiques peut
déposer une mine au sol, n'importe où à portée proche
du véhicule, au prix d'une action. Une fois dêployée, Ia
mine se fixe à tout vaisseau ou véhicule à répulsion se
trouvant à portêe. Une mine fixée à un véhicule utilisant
rc la compétence Pilotage (planêtaire) réduit sa vitesse de
1 . Il en faut deux pour obtenir le même effet sur un vais
seau utilisant la compétence Pilotage (espace). Pour se
dêbarrasser d'une mine, le personnage doit effectuer un
test de Mécanique Moyen
Q).
Exemples de modèles disponibles : générateur de gra-
vité à impulsion UltraMass SoroSuub XBOa, mines à puits
de microgravité Taim & Bak modèle I 9
Effet : permet au véhicule de dêployer des mines gravi-
fiques n'importe où au sol, à proximité du vêhicule
Mods possibles : augmente la portée de déploiement
iusqu'à courte l1l
Emplacements nécessaires : l
Coût:3500crédits
ü§K€â$ü3§ mEeâ§æRC*§
Les tensions imposées au système électrique d'un vais
seau ou d'un véhicule, qu'elles proviennent des équlpe-
rc ments reliés ou de l'usure quotidienne, sont énormes.
Tout ce qui puise dans I'énergie d'un rêacteur, depuis le
chargeur du datapad du pilote lusqu'aux systèmes d'ar-
mement embarqués, exerce des contraintes sur chaque
câble, chaque disjoncteur, chaque jeu de barres entre Ie
système et la source d'alimentation. Les circuits renforcés
-=ëi
E;- englobent une large gamme de matêriel de transmission
F* êlectrique qui, une fois installé, amêliore Ie système élec-
trique d'un vaisseau ou d'un véhicule et lui permettent
de supporter des charges plus intenses que la normale.
ê::
Exemples de modèles disponibles : bus d'alimenta-
iÉf lion diélectrique à haute résistance Santhe/Sienar mo-
dèle 30, disjoncteurs triphasés thermomagnétiques
Fabriiech, Module de commutation hybride SF/6 de la
Corporaaion Technique Corellienne
EË-<n Effet: augmente le seuil de stress mécanique de 2 points
E-
*-.
æ
F PARÉ AU LANcEMENT
crBt-E vERnoutrÉE
.:
ÉE
Mods possibles : augmente le seuil de slress méca-
nique d'un point [2]
Emplacements nécessaires : 2
Coût:4500crédiis
m6&§Ë§§.Y ffi § §ü&§ Htq§§§LL§
Même les vaisseaux bon marché et les moins trables
sont des appareils résrstants, conÇus pour supporter
les mauvais traitements provoqués par des décennies
de voyages spatiaux. Renforcer la coque ou la quille est
un rnoyen facile d'accroltre la longêvité d'un véhicule ou
d'un vaisseau. Les très vieux appareiis, comme la plupart
de ceux déployés par l'Alliance Rebelle, peuvent béné-
Ircier d'une nouvelle jeunesse si l'on consolide les élé-
ments endommagés ou vieillissants, et si l'on ajoute des
supports à des endroits stratégiques.
Exemples de modèles disponibles : divers modèles
Effet : augmente le seuil de dégâts de coques de deux
poi rts
Mods possibles : augmente Ie seuîl de dégâts de
coques de deux points [2]
Emplacements nécessaires : 2
Codt r 2 500 crédits par point de gabarit
üs §§r§§§+Æ §§âJ K§§ p§Y§ q § §i §s
Comme les contremesures êlectroniques, les contreme-
sures physiques sont conÇues pour dérouter les scanners
et rendre les vaisseaux ou Ies vêhicules plus difficiles à
toucher. Alors que les contremesures électroniques af
fectent les senseurs des vaisseaux et véhicules enne,
mis, Ies contremesures physiques sonl spécifiquemenl
conÇues pour aider l'appareil à esquiver les missiles ou ies
torpilles. Elles se prêsentent sous trois formes : paillettes,
balises thermiques et capsules de missiles anti-ogive. Les
paillettes sont des petits bandeaux en alliage à haute ré-
flexion réunis dans un tube doté d'une charge explosive.
Après la dêtonation, le tube crée un nuage de paillettes
étincelantes qui brouille les systèmes de déteclion et
déroute les missiles guidês les plus basiques. Les balises
thermiques sont déployées en groupe grâce à des Ian-
ceurs spéciaux et consislent en de petits engins qui repro-
duisent la chaleur des moteurs d'un vaisseau ou d'un véhi-
cule, de manière à duper les missiles ennemis pour qu'ils
les suivent plutôt que leur cible d'origine. Les capsules an-
ti ogives sont semblables aux balises, mais elles tirent un
bouquet de petits missiles à laible intensité conÇus pour
intercepter et délruire les projectiles ennemis.
Même si tout vaisseau équipé de contremesures phy-
siques en transporle assez pour survivre à la plupart des
rencontres, s'engager dans un combat de longue haleine
peut rapidement épuiser le stock. Le N/altre du Jeu peut
dépenser {j} {;} ou @ sur les tests d'Artillerie effectués
au moyen de missiles, de roquettes ou de torpilles visant
le vaisseau pour faire en sorte que le lanceur tombe à
court de leurres et soit inutilisable jusqu'à la lrn de la
rencontre.
Exemples de modèles disponibles : pack de mi
cro-missiles anti-oglves A4M u Poivrière , de Loronar
Défense, Distributeur de paillettes XN/-150 de Oriola-
nis Defense System, Distributeur de balises thermiques
N,4JU-9C « Phénix , de Conner Ship
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'xneassre^ ep sarrelqrLdord xnarqurou ouollrlrv,p slsel sol snol ? I elnole : salqlssod spo141
.NSASSIPA
op êlueU?ur e1 luepuede: luolnsns slr'xnorlrLU surellol
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ffi ..ro^rlle,p luolloLUrod oseq op suorsraA sol « lodde,p asrl ]ua^rns uôrsrllol el êp slaJJê s0l 'airssnQr ap s?l ul
-3q » glsdde lo lurlurol ne arrelrurrs lrlrsodsrp un,p ueÂour 'fxrorrualg \fl 3c suf.'l op sa18qr sop 0]Arl np Bye
ne olelol opueurLLrol red g,rr1:esgp no ?^rlle ollq lnod a?ed'ç-1 ôlqet el rroa) aËe1uene,l arpuêJd uortre,l
ffi nb snq un erl neossre^ un,p saLrqlsÂs sol snol
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IUOpUeLULUOI SI^lêSSe Sllnl.lll SêJ '«Ololld?JOl » nO « OnblU QilnluJlp el rssnq: o8elolrd êp :lsa;l un,p :lê uorlle
or]re19 eloltdoJ , op LUou ol snos sQuBts?p stolred êluel aun,p xud nc êJreJ a1 lnad 1r 'qlrurxo;d q lraredde
-srp q sgnbreqLUO sourQlsls sluêrallrp saL.TJUUoLIJUOJ orel 0rlne un Jr:InoquJo 0lrpr.{nos oBeuuos.rod un rS xnal
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-qo,l ap la nal op el^ls np luoLr.tLUepuodopur 'Not]]]atu rnal ap lred êun luolJr..]]es aluetllv,l op aQulre,l luêu8iol
\fr ro ru3;'l ap ou8eduel êun suep sv sol ror8Qlur tnod -or rnb xnêl 'luaL.uLUOprA: uotle)o^ êllol e sJnonol sêl
soQpl,p luelne luos slueAtns saldLUêxo sal 'll^ al lnod ralrLurl ap rapreS êslrs]^op l^l^ al 'sluelleqLUol op solg./
QpeiS lanb oljodLxt,u ap sou8tp solulrl?s sap sêp sJêA luêLuollaJnleu luo8r-]lp sol êtQUrel êp solual?d
e rluasuor lua^nos uorq luo slr 'sallaqat s0lt^D sêluê3e
sal rnod lua]^næ rnb xnol ? luenO altdL.ul,l op Snol np §:"i l'J Jïff iJijil JT,i,?i 1ï^g J' :1,';ï'll 0
5USil UsUDlrNt
sv,p arQUre) el 0p
sglrler:gds xne sagtl sasuadr-uotgl sap enb rsure eu8ed
-uel op soêor sop uorsstul ap suorlsaSSns sap pua,rd
-uuo: arirdeqr al 'uUul [ê?lpAp uotlras el suep Otite]ap
srnallre.p tso sêrnlea» sêl ôp sêutellal ap lgord èù ÿoM
-/ris êp sJô^rur.l ap senbrrleualqLUO xnpulrue sap oluoLU
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q lu€lnE luedr:rlrBd p4 sar anb larnsse,s rnod 'UUUO la
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-uar sêp uololuol rnod sernluar,e sas suep sy sal lal391
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sêllrluv a8paM
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ffi .A
T
-a
 §&§§wm,§ t§§ &3K§Kffi§:
§-'&ms*çÉx mg L AtuJtrueE
Lors du développement d'une campagne sur un fond mi-
lilaire, le MJ peut aisêment faire en sorte que la plupart
des PJ (voire tous) soient engagés dans la meme arme.
Au sein d'une équipe, les spécialités des As se révèlent
bien utiles pour déterminer quelle branche de I'armêe
de l'Alliance est la plus pertinente pour l'ensemble du
groupe. Lencadrê de la page 395 du Livre de règles de
LÈne oE Ln RÉeplllorl fournil d'excellentes suggestions
quanl à la raison d'êlre et au fonctionnement d'une
équipe sur le long terme. Voici quelques idées concrètes
pour inclure les différentes spécialitês dAs dans l'organi-
sation de lAlliance Rebelle, et pour intégrer les PJ dans
une campagne de style militaire :
r Les Pilotes et les Têtes Brûlées de l'Alliance re
lèvent le plus souvent du commandement de la
Chasse. Le MJ peut affecler ces personnages à une
équipe préexistante en tant qu'escorie à bord d'un
vaisseau séparé ou en tant qu'équipage sur le vais-
seau commun. Les Pilotes peuvenl aussi apparle-
nir à la Marine et servir sur les précieux vaisseaux
' capitaux, au front. Ce dernier cas est plus rare,
mais il reste envisageable si la campagne du MJ se
concenlre sur les opérations d'un vaisseau capital
Les Artilleurs sont les As les plus courants dans
les forces armées de l'Alliance, capables d'endosser
n'imporle quel rôle dès qu'un armement lourd entre
en jeu. Ainsi, le MJ peut intégrer un Artilleur
groupe en l'affeclant à la branche de l'armée donl
au
font partie la majorité de ses membres. Si un joueur
préfère que son personnage appartienne à une
arme séparée, le PJ peut rejoindre l'équipe au titre
de spêcialisle (à condition que l'histoire s'y prete).
Les Bidouilleurs s'intègrent aisémeni aux unitês
qui dépendent des états-majors de lArmée ou de
la Chasse. En effet, leur capacité inégalée à amélio-
rer les machines et à les pousser dans leurs derniers
retranchements s'exprime bien mieux à échelle rê-
duite que sur I'ingénierie complexe des ponts sur-
dimensionnés des vaisseaux capitaux. Lors d'une
campagne centrée sur les Forces Spéciales ou la
Marine, le MJ peut doter l'équipe d'un Bidouilleur
transféré depuis son unité originelle. ll pourra ainsi
mettre ses capacitês au service du groupe à la ma-
nière d'un Artilleut en lant que spécialiste.
Les Fonceurs, experts des véhicules planêtaires,
trouveront parfaitement leur place dans une êquipe
.Æ
centrée sur l'Armée de Terre ou sur les Forces
-æ1+
ffi=.
w
i.:: :.
Spêciales. Certains Fonceurs peuvent prendre les
commandes d'un airspeeder pour fournir un sou-
lien aêrien rapproché. Pour le N/J, integrer cette
spécialisation dans des opérations dominêes par la
=.€==
.+,j=:
*:it;:- Marine ou la Chasse s'avère plus diffrcile, dans la
:ë=_':l: mesure où les compétences du Fonceur sont liées
aux limites de l'atmosphère planétaire. Si un Fon
ceur prend parl à des opérations de la Marine ou
de la Chasse, un escadron d'airspeeders est une
Æ,+
æ=,'
g
affectation toute désignée.
soRTIEs PÉRILLEUSES
GBLE rrERRou[ÉE
,4'
Æ:
LEs AS OANS LES RANES
I
L
es Pilotes oui dêmarrent leur carrière dans la
chasse de l'Alliance reÇoivenl le rang d enseigne.
ce qui risque de faire d'eux les plus grades de
l'êquipe. En toute logique, les Fonceurs ont proba-
blement un grade plus modeste, particulièrement
s'ils assurenL un role de soulien aêrien rapprochê.
lndépendamment des grades, il existe des rÔles
spécialisés pour chaque type de personnage, qu'il
soit habilué à donner des ordres ou simplement
à en recevoir La page 595 du Livre de règles de
LÈnr oe Le RÉeeLLtoN fourniL de précieux conseils
permetlanI de conserver léquilibre enLre les eri
gences de la hiérarchie et les nêcessités du role-
play au sein de l equipe
Les Cavaliers, à l'instar des Fonceurs, peuvenl
prendre naturellement part à une histoire consacrée
aux Forces Spéciales ou à des unités de lArmée. Au
vu des compêtences et des talents des Cavaliers, les
campagnes mettanl en scène ces personnages se
déroulent principalement à la surlace d'une planète.
Dans le cas où la majorité de son équipe est rattachée
à une autre arme, le Cavalier s'intégrera plus facile-
ment s'il provient d'une unilê des Forces Spéciales.
k epp§k mm L& ffiffiffiK?'§ :
tffi §§Rw§§§ §§w§L
Si leur carrière Ies incite à exercer une aclivitê militaire,
les As n'en sonl pas morns présents dans toutes sortes
d'entreprises civiles. Le MJ amené à développer une
campagne non militaire impliquant cette carrière dispose
de nombreux secteurs stratégiques supervisés par le
gouvernement civil de 1'AIliance, et où les spécialitês de
la carrière d'As sont très demandées : industrie, ravitaille'
ment et relations diplomatiques en particulier Plusieurs
options s'offrenl à lui dans ce cas :
En dehors de l'armée, les Pilotes el les Fonceurs
sont requis pour transporter des informations, des biens
et des passagers via les réseaux de communication de
l'Alliance. Si le rôle de coursier ne paralt pas particuliè-
rement valorisant pour un pilote de chasse, il s'accom-
pagne néanmoins de complications et d'intrigues bien
diffêrentes de celles d'une campagne militaire. Ces élé
ments constituent des idées d'aventures intéressantes
pour le MJ. De la même manière, le transport d'ambas-
sadeurs ou d'agitateurs est un bon prétexte pour inté-
grer des Pilotes, des Fonceurs ou des Têtes Brûlées
dans une histoire centrée sur le monde civil. Ouant aux
Bidouilleurs qui ne peuvent s'empêcher de traftquer
leur êquipement, ils excellent dans les aventures aux cô
tés des coursiers. En effet, ils peuvent améliorer la puis-
sance de feu ou la vitesse de l'engin d'un Pilote afin que
ce dernier puisse rempl r sa rrission.
Les capacilés des Cavaliers pour enlralner et monter
la faune indigène se révèlent extrêmement précieuses
quand iL s'agit de communiquer avec les populalions

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OLUOLU
SUsS OI]Q.P UIOI ]SO OIIO IS
'o^tlerlnl sQrl êro^ ollol luorê^norl lrssnoJ lre^eJl op od^l
êl rnll e xnol orxeleB €l op spuoJ-spq sal suep luen8r^eu
uê lnol osnEl el rruolnos lreJrnod oluerllv,l op alr^JOS
ne a8edrnbQ un arolsrq aLUQtu oun suep :IUIdNA.'I lo
sNHNo) xnv,p 10 Norrla€lu \fl ro ruf;I ap sluoLu0l0 sop
ra8uelÇu] rnod alreJred uorsel)o oun êluosoJdeJ sorres
-rol sol rns êQJluol auSPdLUel aun 'êJJno uf .sêrelQueld
sprer xne sQnlrqell soJresrol sol rLUJ€d oleld Jnol luoJo^
-noJl srorle^e] sol la srnaluol sêl auQI/ l luoLUêldurs
lnol sEd luo8urp sol ou slr puenb 'sluepuêdqpur sê8ed
rnbQ sêl Jnod salqerQprsuol slnole sêp snol luonlrlsuol
srnêllrnoprg l0 srnollrlrv's0ÇluB solof 'sololrd sarlesro)
sap s8ueJ sol suep sêlnoj luê^noJlor ês sv,l op solrlellods
sol 'sorQUrEl sorlne sop sollol êuru]o) lnof odrnbg aun
ropnos ap uê^oLU luollalxê un.p lr8e,s Il 'fn un Jnod
'slueL.llglle sluord sol red Qrlle aJlo,p
lnolins onbsu sreLU 'ollêqêr asnel el rr^ros lsure lnod rnb
m 'oresrol ne uorq luoLUêrQrlnlrlred luouuor^uo) sopoLll
-?rx so] oluerllv,l ap uorlelnd?r e1 roLlleluo Jrellnod
rnb uorssrur orlne alnol rnod no 'o?lqD opupqêrluor op
ffi suorlerodo sap JauoLU rnod soJresjol êp sa8edrnbQ sap
rêlnr)al luaujêle8Q lue^nod luoujallrelr^€à np êrQlsru
æ grSleur
ILU êl lê rolelu-lelf,l auolelld op sêlle,p lnol
lr8e,s lr 'o)uerllV,l op saJJJol sol rrlduor luallre spreJ sêl
luernp sgrÇdnloJ suorq sap 7o og ç 0r onb uar8.aSed
inbo,l ap olednuud osuadLxolqr el oluosordor a8ellrd êl
ênbsrnd oSessed ne Jr^ros os op rorlqno sues 'solerJOdurr
luaLUallrelr^er op sau8rl se1 Leqrnyed ap lso sorresro) sap
olrleDods el oluerllv,l ep alduo: ol rnod sreLU oluPpuod
-Opur orQrueLU ap 'a.lrdi-u3,1 ap slQr9lur sal êrluol suorlel
-gdo sap JauoLU ? seSedrnbq sêl asrJolne luauJnlop oJ
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olnrl0r uorllêqQU el 'lu0LU0llrelr^PU np aJQlsruru np uors
-r,tLedns el snos suorllulsar senblanb ep xrLd np 'suorlEr
-gdo srnel uorq € rauoLU rnod soqluerJ so?pnol sal luo
l0 Oluerllvl 0p luoluopuEurujol 0p êJnl)nrls PI êp slu?p
-uedgpur luos lrqele lol ap so8edrnbQ sal 'lreJ oC sorres
Jol onb luel uo adrnb9,l op saJqurour sêl Jalllelerl areJ ?
Olsrsuol alloqar ssnel el 0p Olr^Jês ne sosjo^rp sOJQUrel
op lreluo^o un rolqLUOSSeJ;nod enbrlerd ueÂour erlne u1
§3NW§3rW,r
umæd 3§§§w§§&3
'unlroddo elsod erlne lnol no arrelrlruered olJolsa
'ÇlrJnlÇs ep lauuosrad np sarquour 'lerluol snos sd;or
np sep;e8 enb luel uo s;nêllrliv sop êJnllur lned pp1 e1
'enbsu lneq E ouoz oun suep olr^n uorlerQdo eun puard
-uor eu8edLuer eun,nbs.io-1 uou no elloqoJ 'êguJe aun
suep rlros lueuelqeqord luo sll 'JUOrueu s1r,nb luau-rad
'rnbg,1 ep uosr€r ug sJnolluv sop êllol lso lr^ll luourou
-uorrAUO un suep re:8glur € alerlQp snld el Olrlerrgds el
êluerllvl € s0lrln lu0ur
-a11ar1ua1od soglnlar sauoz sop reroldxe rnod sgÂo1due
sêreJrlrLx uou sJnoJrell? oLULUol JruoAJOlur lue,tned srerl
-e^e3 sêl 'lr^n arpel al sueC srerlelrdsoqur sJUaLUauuoJ
-r^uo xne sQnlrqpL{ ned serressrLug sap rnod srnoJJolsê
1e seprnB sluollarxê,p 1re1 ua sa8euuosred sar op or^Jns
pl ? luoulou.LeJluo;l sr0s sopuorx sop JrlqElQ rnod aruerl
-1y,1ep senbrleruoldrp s1,ro11e xne redrrrl"red op lo sêlelol
 Bien enlendu, l'inconvénienl majeur, source intaris
sable de rebondissemenls pour l'hrstoire, est le respecl
lrès re alrf que l'Allrance témoigne aux corsaires. ll esl
de notoriélé publique que les officrers à la têle de a
Flotte Reb,elle en onl une pièlre oprnion et les consi
dèrenl comme une bande de contrebandrers et de cri
minels. Pour certains, les corsaires ne sont rien de plus
que des pirales déguisês en agents politiques légitimes
et respeclables. Cetle répulalion a un fond de vérité, el
.: ni l'Empire ni plupart des auloriles planêtarres ne font la
dislinclion entre un corsaire et un pirate Le MJ lrouve-
ra dans les hisloires de corsarres mainles possibilitês de
scénarios sur les thèmes de la rédemplion. de la loyautê
el de I'honneur.
a p.*i kæ5j&,Ê&F *§a 4 g*iÈ
*æ8 3mg æ::Èæ §É # s =#
Le choix du Devorr d'un PJ ne doil pas être néglrgé.
Ou'un As opère dans le domaine mililaire ou civrl, son
Devoir aidera le MJ à L'intégrer dans I'histoire, sans men
tionner qu'il conslilue égalernent sa porte d'cntrée dans
l'Alliance Rebelle. Les joueurs sont lrbres de choisir parmi
les drflêrenls types décrrts dans la table 2-3 : Devoir,
page 41 du Livre de règles cle LÈne or rn RÉerluor\r,
ainsi que page 19 du présent ouvrage. \lornenl impor
tant de la crêalion de personnages, le chorx du Deroir
délermine en grande partre le passé d'un As ll oflre
égalemenl au \4J des options pour exp oiter drfférenls
lhèrnes et rnclure le PJ dans sa campagne. La Lrsle qu
suil reprend les dilfêrents lypes de Devoir pour es As,
el propose quelques idées pour intégrer leurs ihèmes à
une campagne.
r Victoire militaire/Supériorité terrestre : ce De-
voir concerne des slluatrons où le mouvemenl et
la disposilion de troupes terreslres, toules larlles
conlondues, jouent un rôle déterminanl. Démontrer
sa supêrioritê par la lorce des armes, tenir une pos
lion clef au sol ou dans l'espace, défendre un point
stratégique ou même anlicjper les mouvemenls de
lroLrpes ennemies sont aLilant d'objectils que le lVlJ
peuL proposer alin quc L'As accomplissc c Devolr'
qu'il a choisl.
r Contre-espionnage : avec ce type de Devoir, les
leurres et les lausses pistes sonl élevés au rang
d'art. Les personnages qui disposent de 1a spécialilé
Bidouilleur peuvent recevoir l'ordre d'améLrorer l'ef
frcacité d'un s5rstème de brourllage êlectronique ou
la lurtrvilê d'un vaisseau. Les Têles Brulées dolées
æ de ce Devorr peuvenl mener des raids lapageurs, qui
attireront l'altenlion sur elles landis que des opôra
tlons plus critiques se dêroulent en loute discrétion.
*:=:_è-
-æ::- Les Prlotes el les Fonceurs peuvent recevoir l'ordre
F- de transporler des individus imporlanls dans des
zones cruciales el de les en larre sortrr dans le plus
grand secret Le \4J peul imagrner loutes sortes de
secrels el d'rnformalions que es PJ devront proté'
ger conlre diverses rnenaces.
o Renseignements : on ret[ouve souvent les As ]iés
par ce Devoir au sein des nnrtés chargêes de la ré
colte d'informations Si les services de renseignc
menl de l'Alliance peuvenl êlre impliqLlés, chaque
ÆTÉ
.€
æ=-
§ soRTrEs PÉRTLLEUSES
æ GIBLE vEnRoLxLLÉE
.<;ffi.
TESMORILLE BE THASSEURS
I a plupart du lemps, les joueurs forment une
L equipe constituêe d une variêLê de carrières, qul
permetlenI de varier les plaisirs au cours de l'aven
ture. Si ce cas de figure est le plus courant, il n'est
pas impossible que la majorité des membres du
groupe choisissent la carrière d'As pour leurs per-
sonnages. Fort heureusement, une équipe intégra
Iemeni conslituêe dAs fonctionne sans problème :
Ie MJ peut meltre en scène un escadron de chas.
seurs, éventuellement sous les ordres d'un Commo-
dore ou d'un Chef d'escadron. Les missions seront
principalemenl cenLrêes sur la floLte: les PJ pour
ront entreprendre des missions de reconnaissance,
explorer des voies hyperspatiales secondaires. es
corter des vaisseaux ou mener des assauts. De tels
groupes seront probablement amenés à passer plus
de lemps dans un cockpit que les membres des
êquipes mixtes et le MJ devra certainement conce-
voir des rencontres ou le combat aêrien occupe une
place prêdominante. Vous trouverez à partir de la
page 7 7 plusier,rrs conseils sur la gesLion des corn-
baLs aériens.
composante de l'armée est susceptible de mener
des missions de reconnaissance, que ce soit à la
surface d'un monde ou dans l'espace. Les Pilotes
peuvent procéder à des survols à haute altitude de
cibles stratégiques ; Ies Bidouilleurs peuvent s'em-
parer d'alouls technologiques de l'Empire pour les
étudier puis les neutraliser ; et même un Cavalier
peut mettre en ceuvre ses capacités spéciales pour
surveiller les mouvements de L'ennemi et évaluer
ses effeclifs. Un MJ confronté à ce type de Devoir
doit fournir aux PJ l'occasion de récolter des infor-
mations qui auront une incidence sur le resle de
l'histoire, ou qui aideront à mettre au point une
nouvelle tactique.
Sécurité interne : ce Devoir est atypique pour un
As, quelle que soit sa spécialitê. Peut-etre a-t-il etê
trahi par un membre de son escadrille et consacre-t
il ses efforts à s'assurer de la loyauté de ses compa-
gnons Pilotes. Un Bidouilleur lié par ce Devoir peut
prendre des précautions [outes particulières pour
éviter les sabotages et les pannes. Les Têtes Bru-
lées peuvent se considérer comme l'ultime exemple
de loyaulé envers la cause, et inierprêter toute re
ma'que \agJemerl erdarcie ,se comme ure ir-
sulte personnelle Le MJ qul désire se concentrer sur
ce Devoir aura pour lâche d'invenier des intrigues
sous jacentes qui permettront aux PJ de découvrir
- et de contrer - toute menace de révélation, tout
acLe de Lrah.son or de subrersion.
Secours : ce Devoir s'accorde avec toutes Ies spê-
cialilés d'As et s'adapte aussi aisérnent aux groupes
militaires que civils Un PJ Iié à ce Devoir prolè-
gera instinctivemenl ses compagnons d'unité ; il
leur offrira meme une couverlure el une diversion
pour assurer leur sécurité. Les pilotes seront les
 E11nolrafl l.lel,
s35n3t'lruJd s3lJ-u05
'n^9rd oLULUOI lUALUOlel lUOSSed OS SOSOl..ll
s0l 'npuoluê uarE olunlQS slnol u0 uosler^ll êun
rornsse,p ooSreLll eras adlnbo,l r-1o'luoLLlalllell^eè
np 0JQlsrurLU np no êluerllv,l 0p oluepu0lul,l 0p rnol
-ne sornluêAe sêp o.llnrlsuol lnod ft ull lrod uoq
€ êAUre uorlnos ol onb rolllsse,s € soSeuuoslod sol
assnod Jro^oc ol 'solrnossor 0p uolluêlqo ? Olqelq
-u]ês urosoq € ua uo Llo ?l luoLUOllrBllAel ol raleld?p
Jnod serq op utosaq srnolno] e olu?rllv,l : UoJuaU
'sv xne lrl)olqo oLULLlo)
sollo^nou soraolouqral êp uolllslnble,l uollellsQLl
sues rosodord lnad [r\ êl oQIIe]sul 0rl0,p luol^
aseq oun fo olQUeld oun rns solJO^nolop souQSlpul
solQdso,p aLU,IoJ el arpuord elrnod olôolouqlol PI
'aLl)u€Aar uo 'srolle^eJ sol rnod orldull,l ? roqlel
-re,l ap arro^'ollo^nou alSolouLllêl oun rns asseq
ureLU orrEj ap luollnolÇl ês Io^oc al q s?ll saglLlJB
salol 1o sJnoluol'srnolllllv'sololld'srnalllnoplB
oluerllv,l eluord luop souleqne sopuelS snld sop
oun.l lnl q9-f LUorul,l 3p uolllsrnble,l onb lles unl
-Eqr 'lnol sQrdv luaLUallêrlp lolluQUoq luo^nêd
slr luop arSolouL{lal oun Jns uleLU el êJlloul e rêll
-nlrlrEd lnol lQJQlur un Juo.lo^norl sv sol llo^Oc
ap od^l o) e sêSeuuosJêd sop roll rnod êleQpl lso
sênllr8olouUlol sluoLUOddolo^Op slalulêp sol rns
êgrluol êrtolsrLl aun,nb êJIp suES aA 1l : o!âolouqlal
sllelQp êp snld
rnod or^rl û op LL o8ed el e sno^-zolroda.l : suolrQe
slEqurol s0p 0luelqLUasrer^ êln0l uolês luolnllul
sOJluolu0r s0l 'sel 0l suec êsseLlJ El êp luaurap
-ueuruJoJ np sorpjo xne snol onbsard luos rlo^êc al
e sQll sv sol D-rnla) u0rq lsa,l 'srnêllrlrv s0l lo solol
-rd sol 'sogluB sê]QI sêl rnod ornsoLU lns ogJl rloA
-oc un olsrxo
lr,s : alerleds/auueuge gluougdns
(e8esn,p srou êJllaLU
el ap'suroLu np noJ rêlnes êleJ pl op gltltqtssod e1
ru]lo rnêl êp luele fd sep eglod q asnet8llserd alqt:
æIrI eun rereld ep enb eldu.ls snld op uou'fA ol rnod
.rluos lrel uo,s urosoq a1 puenb sgst,to;du;t sltsoldxe
- rnod.rro,re6 ol êp rr^rês es lnad fr\ ol saturau
sap ore1 ua;nod slrsuoJ1our slraLedde sap rauJnolop
=#
ep luar:9rdde srnollrnoprB sa1 ertdLu3,1 ep sanbtB
-?lerls slnole sol arnJl9p op alol'reqlnlled ep sy
ffitl xne suorsello sasn0rqurou 0p luOrJJo saJlsollal lê
xnerleds 'suêuge sprer sal Lneleu alQr un Qnol ]uo
sy sa1 ellenbel lue.rnp e8eloqes ap uotsstul eun,nb
êrlne,p uêu trelQ,u lror\ el op 0lroll,l êrluo) 9u0tll
xnonepne prer e1 'elduor op uU ua : ateloqes
'seL1ne,p lured
o?pr oun lso'puueqrl ze8 ep uosteBLel esnetrgrd es
relrodsuerl rnod aro,t oun ll^nofQp ap luetn tnb
'olqessrsresur aleuqdLut êllê^Jol eun ranbetl .,tto,n
-a(l êl e sOrl fd sop renbtldLut rnod slueuuq19 sel
.suorlelgdo sos oJAtns
snol op reLrdsur,s lnad lr\ e1
-rnod ap rLUauua,l luo^nos uarq eqrgdula tnb 1a
'sa,rnard sos lreJ e tnb anbtlrel oun lsa'soltellltLu
auLUol sêlrAD 'luêLUollrelrAeJ 0p s0lo^ s0l rllllessv
rollrJq op suorsello,p sed anbueu eu sy,1 'selertd
ep senbelle sol orluol êlnol ap lt^lês ap 0rolu0
no'eredsa,1 suep no le,l suep'los ne lu0LU0ll{ell^er
ap sauBrl sap ra8Çlold ap asstBe,s lt,nO o)uetllV,l
êp sQl)ns a1 rnod alelr^ uotlluoJ oun suloLU sed 1t1d
LUOJ uê,u rroAOC op edÂl a: ? Oll sV un sleLu'suols
-srLU sop aluellexo snld e1 sed lsê,u s.loIUel sap J0l
-lolso 'onl erqruraLd ? : sef,rnossoJ ep uolluelqo
selolrd saunel eP
ralnrlor rnod arugpe:V,l op ut0s ne 0lu0nlJUI rnal
op rosn no dLuer ap reBueqr ap san8qllo: suollue
sJnal orlureAUor JIolno^ lua,lned artdul3,1 l^ros JUo
rnb sV sal oluetllV,l etputola: ç sQsodstp sleptp
uer sop e8Qlold no 'slualPl xnea^nou ap a,tnerdo,l
€ loLU la aqlrêl-ll sy un sallenbsop slnol ne suols
srLLl sop .rro,tgrd ruop lned 14 e-1 a1oltd etlne
un,nb elolrd un,p luêlPl np.ra8nl e elde snld lse,u
auuos;ed'1er9u93 stle,l ltoJl uo uo tS eltduu1,l
.ted lueuelnrroJ Jnel luele 0tLUQpelV,l ap sQt..{l
neq?p ?l? luo no slnolr0s0p sop luos Oluelllv,l
ep selolrd srnollroLU sel enb anbtlqnd ?lQt..lolou op
lsa ll Oluorrd êlqpluQ^ êun nua^op lsa leqLUol ne
salde sen;re; sap 1a selolrd sap s8uet sa1 ralluoB
'olloll es Jns oQrluêl lnol lu3^e etSOle.lls êun suEp
e8e8ue,s oluerllV,l anb e;nsaur e : lueualnJ)eg
'leu rssssse,p sa^ll?luêl
sal orroA 'uorlelndÇr rnal têL{leluo tnod sa,ttleluel
sel 'sanbrlrlod sar^næueLU sol êlluol ltunugld es
alnop unlnE sues luoJ^Op ?lÇllol0u êp neêAlu lal
un lurolle quo rnb sV so-l oluelllV,l 0tlUOUQq lu0p
uarlnos ol JOrroJUar ? ooutlsap anbtltlod eu8eduuet
oun,p lall luaurOlg un luauele8q lualuesQtde.t
'slanlrqeL{ solQr srn3l roJnsse,p slu0lu0l uou'ld
sap el1enbe1 luernp opotJQd eun rns aolluol orlQ
lnad arQrlua lnol êrnluo^E au1 attduu;,1 rnod
oJlleqe € solqn sop rssne sreu'sluesstnd s1t1no
sop snuo^op luos slr 'lueuenbtltlod uotlestueB
-JO.l êlnol êp êrrure^ 0p ?luolo^ el l0 leqLUol ne
a
lualel êl luaurBlur êlloqoU oluelllV,l ep saloltd sel
'ur^E^ êp arollr^ e1 stndep : enb11t1od uollnos
'saBeuuostad sap
alqLUasuo,l 1r.rgd ua lour no'uorssruJ el ep sarlQLU
-ered sep oJluolue,l Q ?^ nprlrput lnes un,p a3e1a,t
-nes ol rs ednorS np uros np uotsuêl el roluoLU êlteJ
ue seu8rl sêl orQurop soquol sololtd sal relgdncQr
Lnod;esodxa,s ep alqtssardQrl utosaq ol rtluêssoJ
luorrnod slno)uol sal glunlos olnol ua ouuol^êl
edrnbg,l enb rernsse,s Lnod neesste,t un,p at^lns op
saurqlsÂs sol luoLULLrElsuol raJotlQLLle,p le renb11ell
ep sqBrlqo erlQ-lnad luorluos os srnolltnoptB sol
'êlrns el red raller8ar Juare;rnod s1t,nb er'lequtol
ne roqLuol ap suou8eduol srnol teq:gdua tnod
senbsr.r sosuoLULUI,p luorpua"rd so?lUB solOI sal
uorlrpred uê arlrns ap selnsder sep ta,tno;1el .inod
ollreleq auteld ue sareJUolo^ laltod as q sretuterd
 §reffituwreffi tuffi%
Æeffiwffiffiwffiffi§4ffi
Q iun As est amenê à piloter un chasseur, il y a de
tl grandes chances qu'un drolde astromech l'accom-
pagne;d'ailleurs, on dit souvent que plus le droïde est
performant, plus le pilote se révèle eflicace C'est spê-
cialement vrai à bord des engins qui disposent d'un em-
placement dêdié et dont le fonctionnement nécessite
l'emploi de ce genre de petil droide robuste Ouoi qu'il
en soit, ces unités soni indépendantes du vaisseau aux
quelles elles sont raccordées et peuvent donc être des
PNJ ou des PJ. Plus que de simples composantes des
systèmes de l'appareil, ces droïdes agissent comme de
vérilables copilotes. Dès lors, les interactions entre l'as-
tromech et Ie vaisseau [ou son piloteJ nécessitent une
aitention toute particulière. Voici quelques indicalions
relatives à l'emploi des aslromechs dans une avenlure
de LEnp or l-e RÉerruolr.

&§Ym$ffi§r§&§w
C'est de leur capacité à interagir avec des vaisseaux de
toutes tailles que les astromechs tirent leur nom. Ceci
dil, ils jouent un rôle particulièrement important à bord
des chasseurs pourvus d'emplacement dédiés. Les en
gins construits dans cette oplique ne disposenl génê-
ralement pas de cerlains systèmes importants, comme
la capacitê à naviguer seuls sur les voies hyperspatiales.
Selon son modèle, un astromech peut stocker jusqu'à 15
destinations prédéfinies dans ses programmes d'aslro-
gation. Ces itinéraires sont programmés dans la mê-
moire du droïde avant le début de la mission. S'ils ne
le dispensent pas d'elfectuer Ies calculs en fonction de
la posilion actuelle du vaisseau au sein d'un syslème
donné, ces ilinéraires intêgrés n'en lacililent pas moins
Ies opêralions. Lorsqu'il prévoit une course à I'aide d'un
md§&ruffi&§§rm˧ mffi§
ASTRTMECHS
Dans l'absolu, un astromech est capable de piloler un
vaisseau : il peut exécuter toute manceuvre de pilote si
l'occupant du cockpit est incapable de s'en charger ou
s'il est occupé. Vous trouverez une liste des manæuvres
qu'un astromech peut entreprendre en tant que pilote à
partir de la page 245 du Livre de règles de LÈne op m
RÉseLLroN. En règle générale, Ie drolde assiste Ie pilote
du vaisseau. Dans ce cas, les seules manceuvres qu'il
peut exécuter en étant connectê sont Réorienter les
boucliers déflecteurs, décriie page 246, ainsi que la
manceuvre individuelle Assister, page 214. De plus, les
astromechs peuvent réaliser cette nouvelle manceuvre :

itinéraire préprogrammê, le pilote ou le droide réalise

un test dAstrogation Simple (-) avec les modifica-
teurs appropriés à la place de la dilficulté habituelle.
Les complications surgissent lorsque le pilote demande
à son copilote mecanique de calculer un itinéraire qut ne
fait pas partie des donnees stockées. Vues les iimitations
de l'astromech, le pilote et le droïde utilisent donc l'êqui-
pemenl d'observation et les senseurs du vaisseau tout en
extrapolanl à partir des voies enregistrées. Calculer un
itinéraire absent du programme d'astrogation du drolde
nécessite un test dAstrogation Difficile
Çf $
l'ajout de modilicateurs [à la place du test Simple).
avant
1:-., :..
æ"
E*
f
§ru§Y§&YrWffi
.=i,: Au cours d'un combat slellaire, un PJ astromech réalise
un test d'iniliative ordinaire, avant de jouer son lour dans
g:=:ë:'
le crêneau qui lui est assigné dans l'ordre d'initiative
È.
Lorsque le pilote et l'astromech sont [ous deux des PJ
el travaillent ensemble sur le même vaisseau, ils peuvent
choisir de coordonner leurs actions en prenant des crê-
neaux d'initiative proches.
mHæâffiE&æffi e& puâ§s&§§trffi
Manæuvre de pilote: non
Gabarit : 0-3
Vitesse : toutes
Cénêralement, les moteurs d'un chasseur sont optimisés
pour olfrir à la fois vilesse et maniabilité. Un astromech
peut exécuter une manæuvre destinée à rediriger une
partie de la puissance depuis les autres systèmes vers
les moteurs. Ce stratagème est utile lorsque la vitesse
est préférable à la maniabilité, tout particulièrement
pour êchapper aux vatsseaux les plus rapides de l'Em
pire, ou lorsque les moteurs ont éte endommagés et
qu'un regain de vitesse s'avère nécessaire. Malgré les
dangers et la pression qu'eile impose à la mécanique
du vaisseau, cette accélération bienvenue peut laire la
différence enire la vie el la mort. Lorsqu'un asiromech
exêcute Rediriger la puissance, le vaisseau subit 2 points
de stress mêcanique et sa vitesse maximale augmente
de 1 pendant un nombre de rounds égal à I'lntelligence
de I'astromech. Cette manceuvre a néanmoins un incon-
vénient: la maniabilité du vaisseau est réduite de 2, et le

.;
-éâ'
4Eæâ
w-'
FÉ-
SORTIES PÉRILLEUSES
CIBLE VERRoI,LLÉE
 ElTlrroèrafâ 31s1,
5l5n3'l'rrurd 5ilJ-uos
êp nea^nou ? ratuat êp rue^e rorualred L:lroË';3!';:ifâ
un slanbsal luErnp sJnol op arqutou eI enbtput (ë) onbeqf
'tset al red sQLOugB d) {^.} Led ertetueruQlddns rnol L êp
e8uolord os lo lnol L ornp olqn e1 ap e8elltnorra^ al nu
-e1qo rarurard np snld ua * X enbeqr rnod arrelueulgld
'dns I un,nb rsute 'oQ]ellQp olqtl €l erluor a1oltd np eu
-ellllrv,p slsol xne relnote,p ]euurad olqrl el JOlllnorl0A
* I
uorlle,l 'alrssnQr op sel uf solqtr sap Oltrtldtllnru el ? la
luerqus soeql ne luepuodselol I op olqLuou un zol
-nole 'snssap-n lu)Qp 'i lplpgtutu! ;atue6 rnod auuoS
'lNorlras]U \fl io eu:l;I ep se18qr op oJ^ll np 996 a8ed
e1 q s1g;eqeÊ sep uoste;eduo) : g-f elqel rto^J Olqlr
neossre^ np rnlol ? qlaLUollse,l êp neossle^ np ltleqeS
el lueredr-uor ua ooutLUrolQp Qllnlullp eun,p enbtleutrol
-ul.p lsêl un osrlegr stnd 'elqtr eun euBtsgp L{laLUorlse,l
'uorl)e ollol rosrleQr rnod salltdrol sop lo sallssltu sop
uorlse8 el e elolrd el red Qu8tsse lso optorp ol 'sel êl
sueC Iennrl rrl un ronllêJJa lnod e1t1n lueuetQtln:tlred
lso uorJre ollof olqrl es ep eBe11rnor..to^ un lestlegr lnod
JnosseL{l np srouuels sêl lê oosl^ ep sauqlsÂs se1 Les
-rlrln lnad LlloLUo;lse un '0suaJgp êp suotlle sêl aJlnO
trTffi §3 §fr æffir"ë§ffi ffi*ffi ædq
III q,nbsnl atnole sa]log ortuo leqLUol un
suep sollorluê1od sareueru op g^êlQ oJqLUou un,nb stpuel
'unlnE eralrssolou u0,u sêlreslê^pB xn0p aJlu0 0leJ-?
-êleJ un luprqLUe soeql np lo ollteleq e1 ap rneldLue,l ep
uorlluoJ uo slsêl xne sQlno[e a.r1g lue,tned ! srnatsnld
no un qrêLUorlse,l op rnol uteqrold ne,nbsnI osuêJOp
op ouoz oun rns e-rrelueuOlddns asuolgp ap lutod I ep
allUguQq neêssre^ e1 'd( anbeqr rno6 çlttotrd el roulLU
-rolop ua lo soluoururu.lr saleuoLU sep regrluapt lnod
Q ) ueÂo6 enbrleruro;u;,p lsal un osrlegr L{loLuorl
-se,l srol el E suorlloJlp sol solnol suep llo^ ap alqed
-el lso aprorp êl larurêp ol êp oleJluor ne. e1o1rd e1
rnod salqrsr,tur soleuoLU sep luaueptder têlJIluêpt ISUte
lned le 'rnossel.ll np a?srA ep seuuqlsÂs xne Ja srouuels
xne lloJrp sQlle un,p esodstp Qllêuuol t..{laLUotlse un
§ew§ffi§§§ffi§ w§ffiruwffi
: s00^rês0J luos rn0l snossap-D s0ll0uuolllppe suoll
-le sol orJOIlrlrv,p slsol sop JOSIIeQT lua,tned sL.llou.lorl
-s€ t-d sol 'alqruodsrp lso luoLlloLure un IS 'ollno u3
S 0J nSo u]-0JlU
ILU0UU0,l JêuUels
SrnOllêlJQp SJolllnoq SOI JOIUOIJoQè
aBeloltd o{ ralsrssÿ r
0reJ0urlr,l J0)E{
sl?8Çp sap olQrtuof
: SA]UEAINS SUOI]]E SOI IASIIEQJ
lned rnesseqr un ? QurrJe Lllourollse fd un 'Notlrtslg \fl
'a8elolrd êp lsol ureqro;d uos e
Iluelnole ue 'a11au
-uortua^uol snld uo5e1 ap stuetsa; {.} {}sat tesuad
^gp op allnsua êplrgp ll rnol uteqrord ne,nlrsnf 1 ap
âsualgp es aluaur8ne rnb ar '; lplpgultul laâue6
ar^næueur el ap Jêngqu?q rnod d} () {} resuedqp
ap rsror{l t^rc i {:} f.} ô f.} fJ} tueuuorssardurt
un sreuJ 'sQlfîs unlne luallqo,u lê sqp sol aluBl
Il sgp op ê^JasQr es q I alnoie tÂr6 'fNd êploip
uos '61'gU q alçJ) olesra^pe uos rns eteluele.l
arpua,rd ap alual Ir 'uo!se^g.p oJ^næueN aun
Olnr?xa "rone sqrde 'rnot uos Y ul/llI slnêsseLll
xnap -red Qnbele lsa âlolld êl 'lequol np rnæ)
urald u3 neassre^ uos ç Qu.lJ.le lsa 'qlauJolise I-Nd
un'61-çd la letleds lBqurol un,p nollllll neaq n3
8uM-X uos op sapueuu:ol xne 1sa 1Â:q : elduexg
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dl un)ne lê X la^e lssnQl E
êp.lorp al anb erqprsuor uo '1s41 un allssalqu olsloql
uorlls,l r5 eluioi alsll el êp qlauloilse,p suotlle sop
Jo saJ^naouELU sap slajJa sop rallugu?q rnod (p no
f.l {.} f.} resuedqp ap qirlrqrssod el e aloltd al 'sQl
-et sgp sa1 srol sun :no1 ted e1o1td np orualqduo:
op lsal un Q I;alnole,p leu.Lled rnb el ';a1s1ssy
êr^næueur êun rastle?J Ç luat^al e1e: 'anbtle;d
u3 .alolrd np rnol nP suorlle sas la sol^næueul
ses ar8Qlut {-Nd al 'ê^lletltut,p nPauQJl atdo;d uos
ap ror)l1?uçq ap nârl nV [d ]uale^tnbg uos ep tn;
-ar ep luar?J1tp luauaiqSgl lsê lnasseql un e I
?LLlUre L{laurorlse fNd un,p luêuJauuollluoJ a I
sHllhl0utsv tNd
ro aulil ep sa139.r op oJ^ll al uolêS senblue8jo suotlSed
-uuor ies ? relolrd op ulos ol suloulueQU esstel 1t 'sdua1
np ;edn1d el oJp,ro,l auuop ua tnl uo IS no 's0pueLULUol
xne lsa,u auuosrad rs e8eloqrd op uorlle eun lestlegt lned
qlêLUorlse,l 'sor^næueLU sep sel al susp 0u]LUoJ 0Jlel
-lols leqLLrol un,p norltul ne e8edrnbO,lnêl êp le saloltd
sep eqlrod el e suorlle sol llelQp uo luo^rll?p Notlllslg
vr ro ruf;I ep se18qr ap or^r-l np 29e-gr1 sa8ed sal antl
-erlrur erdo.ld rnol op suorlle sap a;puerdatlua lue,tned
la saleqra^ sapueLULUol xne luer-uepldel luepuodQ.t slt
'0lu0irsuol êp s9nop luos sLllauJoJlsB sapr0lp s0l l_To
arnsaLU el sueC ollreleq el êp rnæl ne Sues êp 1o.rleql op
serreuelred srnal ap sarueuu,tol;ad sol luoLUOlq€lQptsuol
luorarorlO[Je rnb sanbur:gds suot]le s0p lolnl?xo,p
selqeder queueleSg luos slr steLU 'Jelslssv allanpt^tput
or^næueLU el JOlnlQxo r0s uorq luaitned s11 lort uleld ue
seiolrd ep oruelsrsse,l suep lu0llê)xo sL.llou.loJlsE s0l
sffimffiMæwe§w
OJ r
sffiffi §ruæ§e3w
.
. 'aluesstnd e1 .reSrrrpap ap suotlestltln slnetsnld
êp luoLuQuellnurs roouOUQq sed lned ou neassten ull
o i ossêlr^ el êp lso tnb er ;nod SulM-V un lêAe luslsul
lJnol un luepued rosrle^u ep 3ur14-X un ç leuled tnb ar
. 'ze8 sure14 luolel ol lo^e o?utqluor a,rlQ lned or^nooueLu
a11ar : salolrd sal rnod aloN rnol oLUQLU np slnol nE
rell)noq al raglsuolul rolnlQXê,p elqederut lsa aptorp
 t§§ RENCONTRE§: IlrlpLlQUER LESA§
â voir un As dans I'êquipe signifie qu'il va falloir impli-
ll qr.r. son joueur et donc crêer des rencontres spéci
fiques. LAs ne se contenle pas de transporter le groupe
d'un point à un autre:c'est lui qui garde Ia tête lroide
au poste de contrôle lorsqu'une llolte de destroyers
stellaires émerge de l'hyperespace ou quand les nêgo
ciations ont échoué et que des vagues de stormtroo-
pers menacent de submerger la position de l'êquipe
Dans tous ces cas, il est bien utile d'avoir un As aux
commandes I Bien sûr, cette carrière ne se limite pas à
conduire le véhicule de repli de l'êquipe. Les quelques
sections suivantes présentent les points clel que le MJ
devrait garder en tete pour développer des rencontres
incluant des As.
L,AVHruTUF.E.-
a.tp4-ry ! Ëtr:=Sr-riF
t EE ! LE. WL'E'àEIË.
Dans les films Sfcrr Wars, les voyages sans histoire sont
représentés par un fondu entre deux plans ; I'action saule
d'urie partie de la galaxie à I'autre ou d'un personnage
au suivant. Cet interlude est une astuce qui permet de
faire avancer l'intrigue. Néanmoins, Iorsqu'un As rejoint
Ie groupe, le MJ doit s'assurer de maintenir un intêrêt
constant durant toute la parlie. Il ne suffil pas de parvenir
à destination, il laut egalement envisager le trajet : com-
ment l'équipe est-elle arrivée là ? Après tout, Ies person-
nages de lJËne or La RÉeeLLroNr ne sont pas de simples
négociants qui transportent leurs marchandises, ils s'op-
posent de toutes leurs forces à l'Empire et à ce qu'il re-
présente. Ouelle que soit la tâche à réaliser, l'aventure
consisle à atteindre la cible puis à filer sans trop altirer
l'atlention. Pour un As, cela signifie parfois naviguer aux li-
mites d'une pluie de météorites pour se dissimuler à la vue
d'une patrouille impériale, ou braver la pression écrasante
d'une géante gazeuse pour mener un raid surprise sur une
exploitation de gaz tibanna. Laclion qui se déroule à l'ar-
rivée du groupe sur son objectil n'est pas tout : le voyage
peut êgalement rendre I'aventure mêmorabl-o.
§d§§§t* m un §ffi§-Lm
Dès qu'une campagne inclul un As, le groupe n'est jamais
bien loin de son moyen de transporl. Ouelle que soit leur
spêcialité, les As sont liés à leur véhicule, à leur vaisseau ou
à leur animal de monte d'une manière tout à fait unique
ils développent une relation presque symbiotique avec lui.
De nombreux pilotes parlent de leur vaisseau comme si
æ:
§" celui-ci était doté d'une personnalité propre. Ils accordent
une telle conlrance à Ieur véhicule qu'ils peuvent sans hé
siter se fier à leur instinct dans Ie feu de l'action. C'est
pourquoi les As se sentent perdus lorsqu'ils sont loin de
leur appareil ou de leur monture de prêdilection.
Même si l'inlrigue entralne bien souvent les PJ hors
de leur zone de confort, le MJ doit veiller à garder la
composilion de l'équipe à l'esprit. Un Pilote incapable de
voler se sentira aussi inutile qu'un Espion qui ne peut pas
.æ soRTlEs PÉRTLLEUSES
crBLE vERRorrLLÉE
*€
-:€Ë;
æ=*'
fureter en toute discrêlion. ldéalemenl, Ie MJ peut ponc
tuer l'aventure de quelques rencontres riches en rebon
dissemenls, qui Iaissent s'exprimer les talents et 1es ca-
pacités des As. Dans la pratique, Ie MJ devraii s'assurer
d'inclure des rencontres basées sur les véhicules au mo-
ment de planifier son aventure, ou de préparer une liste
d'événements prêts à l'emploi qu'il pourra sortir de son
chapeau au moment voulu. Cetle dernière astuce est ca-
pitale : l'intérêt porté à la session de jeu peut s'étioler au
lur et à mesure, ou les PJ peuvent prendre une décision
inattendue. La page 334 du Livre de règles de UEne oe t-n
RÉsrllroÀr fournit des conseils pour insêrer quelques re-
tournements de situations qui relanceront le moteur de
l'aventure. Lors d'une campagne avec des As, le danger
inattendu que représente une patrouille de passage ou
une soudaine pluie de débris orbitaux peut injecter une
tension bienvenue dans la partre. Évitez cependant d'in-
troduire un combat spatial lorsque le seul As de l'équipe
est un Fonceur I Cardez à l'esprit Ies forces de l'équipe
Iorsque vous préparez des aventures.
§§ c§ffi§-§ m&ru§ L§
W§§§ffiK: mffi§§§§§&§Ym§§
pæ&§ffi L§§ e§
Puisque la majorité des rencontres conÇues pour les As
incluent des véhicules, il est important que le MJ mène
l'aventure d'une main assuree et sache exactement où
il veut en venir Faites autant parler votre imagination
durant les rencontres de véhicules que durant les af-
frontements ordinaires, et encouragez Ies joueurs à se
montrer créalifs dans leurs actions. Une rencontre entre
personnages devient beaucoup plus inleressante lorsque
les PJ interagissent avec leur environnement, et il en va
de même à bord d'un véhicule. Voici quelques conseils
pour tenir les joueurs en haleine.
ffi*§"§&§a g
Les manceuvres de vol et de conduite liées à la vitesse
d'un vaisseau indiquent le nombre de niveaux de portée
que ledit vaisseau peut couvrir duranl un tour. Ceci dit,
ces manceuvres fonctionnenl grosso modo de la même
manière que celles des personnages. Ces mouvements
permettent de changer de direction, de se réfugier der-
rière un objei ou d'indiquer où pointent les canons de
:
l'appareil. Si celui-ci tourne le dos à un adversaire, Ies
armes montées à l'avant ne peuvent pas êlre utilisées,
mais Ie pilote peut engager son airspeeder dans un bos-
quet d'arbres pour déjouer Ies plans de ses poursuivants.
Dans les faits, cette stratêgie est similaire à celle d'un
Saboleur qui se précipite à pied dans Ie dédale de la
section d'ingénierie d'un grand vaisseau, louvoyanl entre
les tuyaux pour semer ses poursuivants et se mettre à
couvert. En tant que MJ, donnez I'exemple, tout parti-
culièrement si les joueurs sont novices : dêcrivez les
mouvements des adversaires dans leurs véhicules, même
s'ils ne font qu'executer une manceuvre de vol ou de
 t_rTtlxrèlèlE Ilslt
s35n3'r'rrÈJd slltÈo5
'uolle^rêsqo,p slsod uos ap uolllsod
3l ru^nolÇp op lual^ lnb èpnereLU uo uê)lsq sprsl
-lrd op opueq oun rassnodêr ? ê?ulLUrolop'solellodS
sêlrol sop aolue^e odlnbQ êun rouJelul luo^nod fd
sol o?Seururopua ê^llprod^q un loredQl êp luoLU?l
-QClsês?p êlual êSedlnb?,1 onb slpuel'91 UD lrod
-suerl un ranbelle ? s?dnl)o 3lf s-rolp.reqLUoq 0p
an8e^ oun ollleqE ? sOUêLUe allQ luo^nad sV sal
'oQUUOp Olqr) oun ollnrlQp e no roSeulLUopu0 ? l0l
-nldel ? sQUtullolop slusnbelle sop rossnodar êp
luêluêl ld sol ênb oulu8ls uoll)olord op uolsslLU oun
'sêsnêllQJd luoLuaLUorlxa luop la 'aJldLUS,l Op sollal
€ lrodder red soQllLUIl luos soll0 'sêlqer?plsuol orlQ
neaq luo uollloqoE el 3p solrnossor sol : rat?lord
'alduaxa re6 adtnbç,1 êp lQ.i?lul,p sarluaf xnP ]e
a xn?llgdLUI SIUOUO^nOLU SOI l0lllo^lns
Jnod êlEOpl uorllsod aun sro^ alnluolu es luoulauJl€l
rêuou.l lr l-e.lrnod lêlleAeJ êl a onbllQSJouQ AlnleuS
-rs es alral?p au êLllo,ldde uo olllnorled el onb lue^E
neassre^ rnêl op rnolou] np êluesslnd el arlnpQl €
slr-luorpuol^rEd 16 se1 tuiauua,l op 0nA ap sloq lêl
-sa; rnod urerol np aBelue,re luoLLl0llqeLl r0rll 'sV sal
rnod 'egru8rs tnb er 'ratgder orteJ os suBS rlolnoLU as anb lue,te OiunlQS ua ollloLu 0s lu0^l0p Td sal : lel
ap lse lriralqo,l 'êrluo)uor ap edÂ1 al sueC ollos 0un -nlsocl e: rns asoda-t alrnl el oluesellQ suloul sed
no irdl:or un stndep luêLUarQllnlllred lnol 'ossauu êlsor uê,u errdLu3,1 ap eruesstnd e1 'la,tnold q snld
lo asnr luepuadol luellssolou suolsslLU sêllal lsa,u olloqoE aluelllv,l 0p 0lll?rulo,l ls 0LUQu]: Jlnl .
a6 errdu3,1 êp oqreq El C lo zou ne rtSe ? gltred : saqPr sonblanb lelnole,P laurad
-el es rns luasoder o)uelllV,l op sQllns 0p 0rquoN
'êJno^erq ep a,tneld oJnolllaLU e1 stolled olQ^9r 0s salnrrqQ^ ep eruasgld el steLU 'sQlre^ sllJS ualq luos sV
sol rns saQrluêl sêrluoluar sap s1t1:e[qo sal
']oqlQ un
uollQlsrp e1 'sanbtuerqLu sop rêlnoJ sed au ap egpl,1
p au8tqrar o?l1uq olQI oun ls oI-LIQLU : rolgneJ aS red aplos os êllo rs no atssnQr ls0 uolssLLU el ls l0urLUrêl0p
'raLU uo auuol-a1e1d eun e luaLuelesÇ erapte Qrnllnlls nal ep atlLed aun luernp
roluoLurns e ollPlsqo un no Orpulolle ç lnq un fd xne
asode.r 1anba1 rns uo{lnos ap neolsleJ al no'slroJUêl rouuoc i êlroj uo .lluo^a] € êluepuêl asnalll9J 0un luo
sep ialedde rnod asrlrln aseq eun,nb uolJPllunLULUol n-xnal srpLU '!lf srnêsseLll ep eQu8rod oun roulLUll0,p
ap 3rlrsodsrp êl 'êltellals leÂo;1sap un,p laillnoq elqeder 1sa s8ur1,1-y,p uorpelsa u1 eq1e39ut el8olou
ap rnalerQugB el erlQ lnad alqll e-l olquasuo uos Ulol el q lo olqLUOu ue rnatrgdns êllesJalpe un orluol
suep uorssrur €l ap sQ)lns e1 ttlueleB lnod eÇutlutlQ soOUOUJ'saOnbsu sasudatlua sôp luo^nos uolq luos
no oJrnu op lelg,p srotl ostLU arlQ llop tnb 'argtlnrtl oruelllv.l op suolsslLU sol orleslêApe,l rollLlluue,p l0lu0l
-.red alqrr eun luau8rsgp fd sol no l1,\ ol : ;adderS
€ raLrns?r as sed luotet,top au leqLUol êp sêlluoluêl sa l
e1o1rd np aqlgl el rosJor luoualqtln8uts *#*Hft#a H*Y #T-t}§Ë##
lua,tnad oJlellals reÂollsep un,p alueuê^old ue sltl Pd* #æ*#ftrtâ H§ç##*âc#
sêp no suqop ep duueqt un,nb tatlqno sues 'elduuts
rs secl lse,u rLUauuo neêssle^ un luEssnodol uê lnol 'sQlle^ sêlxoluol sêp suep alnl:ur lua,tnad
eredseredÂq,1 suep lnes un lonl)aJJo la r0lnllel p4 sal anb salduexe sanblanb puarder 11a1ed el € sualr
l!suar€ xne,p lueredr-ua,s eu seletrgdLul salloJ sol -?e slequol sap luauauuoJl^u:l uolllas el ulelrol n8
se9r1 sesLLdrns senblanb op loA ol ranlruod Lnod ul1se6 ap
slurod sap rêstltln luorJnod i-n el le srnonoI sal 'o,l]no u:
'slolnlpu sra8uep sap sn;d uo slatlUtl-re sllqQp sluleLU luop
olqrer e:edse,l la solleugllrLU sap sttrdep alxeleB el luasroA
erl sêlros sêlnol ap satqdse sa-1 lt8erelut lua,rnad
;6 se1 lanbol la^e luoLUauuoll^uê ull elnl:ut srnoI
, -nol lrel,tep 'aredsa,l ap srnapuoloLd sal suep
,,.uo;:a:'? op no rnosseql un,p proq ? OLUQLI 0p eA u0
:..':.-.,..'
. ,-]::, l{ Oluessel OllA OlQ^Ql oS 0llê : Ourêl lrnol
,. ; --.;^ ' e allalroLu luoluauQllxo luoLualnos sed lsa,u
ÈF, b''r sa8euuosred êlluo opelllsnl êun 'lrolnolop V
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.pp e1 Lnod lo.iQlut rnal erollla^Q lo 'suollle serdoLd srnal
êrrl9p g s:nenol sal ela8e;no:uo olnlse olloJ allnpuol
 au cours d une renconlre. Lnc mission
exemple, se situe à mi-chemin entre la lg,rtê et la pro toutpendantquelesautresobielgent, invitezles joueurs
tection, tandis qu'une rencontre centréetur: la furtivitê à corsulter Ia table 7-4: Actï&rs supplêmentaires
peut rapidement
rapirjement se doter d'un
ri'un objeclif dç frappe si une
objetil dgrfrappe des vaisseaux et véhicules page 249 du dü Livre de règles
surprend I'équipe..,6u cours d'une
patrouille ennerni.e surprend de llEnr or Le RÉseLuorv. De plus, encouragez-les à ulili-
rencontre, des .qdettiÈ clairs retiendl+r[ l'âttention des ser les talents de leur PJ de façon crÉative. Par exemple,
joucrrrs Lout grfËtimulanr eür oeattgté plulol QUe d alfecler un Agitaleur aux tourelles de lir.
Æ#.'' - ,;6"..., il sera plus judicieux de lç placer devant la congole de
, #,§{:; ,{-; communicalion pour qu'il tente rje démoraliscr"les pi
é#.);1, n lotes advcrses au moyen de sa Répartie caustique.

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-up^e.l e.rpuata ap slsêl sal snol ap ollnlulrp op I zor arlQ iuê^nad lo sluernol sQrl luos slJq9p ap sdueqr se-T
--_æo,1pu-ràl attnpgiaUtqrsrl : se1e1r9ds sanb11s1lg1re.re3 sêlrotg sop anbsatueBrB
snld e1 q lueqruâlsur snld a1 auq8
i#:- .anbrror orpÂq,p êLr-role,J srndep's1afqo,p souos selnol ap llduue-l
æ- ",,ffi anbruor uouer
uouet un,nb
un nb ::1p1t:f^'9:::r :i9:f":1'lnf::l',"Î: ::^':?l^:0"'l:*'l
æàry ,_:_ -l'l^!.i.'^"li^'"^'^,'^:^ï tse aredta,t 'luJ,-u9ro3 sed anbrpur.l au urou uos alriluol
æ AIQIUeLU èt.Uaul el 0p neASSleA un.p saulQlSAS Sal erêq
-"rnlled rnb 'enpuelleut uotsoldxa aun no.tlellQ un Jalgu
-?3 lnad aluesstnd e8leqr aun slcnbsal suep 'enbt1e1s sru8Io ro sdl^lvHf
Qloullêlg,p s.raÂo; sap Juo^nos luos sluaLUauuoll^ua
'Nor'r]3alu v] ao
*:{
sar'snld aq alqtssodLlr,l osltJ atlellols 0snêlnqQu êun,p §|
rnêof ne arlÊrgulll Ia^nou un ralP4 sasuêp luOs sa8enu. rul,'I ep salSQ; op ê,l^ll np 9gf e8ed 'uorsrllor ap se;8ql
sêl tS a)uolQJOr op sollolQ sep re.igdor op nple snld 1sa seierleuuot uerq luaua;e39 llop 16l al 'rrr sa9luasard
ll lel 'slelllOp snld luos snuuol sollelOUlll sap:nod uotl sêlqel xne luaLUalQllP.led suotlle sal lê sol^naoueu sal
'e8orlsv,p slsal sol anbtluapt luaulanbtleld lso lalla,J .1nod snuoq sap enb lsulE 'ulerrol nP SêQIl SuolJllllsâr
'sorellals xneassre^ sol luolon a1;enbe1 q assoll^ el ? sap iuesodo.rd se11; Non'uslu vi 30 ru3;l ep sa18qt
'suroulupON sarrelgueld sanbuOLldsou.rle sauQLlrouOl.{6 a0 al^ll np LE6 a8ed el op sallal q relnole,s luauuêlA
sal anb sosuop sutoLU luêLxalel?uaB luos sasnêlnqou sêl snossôp-p suorlJas sol suep sealuesetd salqel sol
'eredsa,1 sueC OltllqrstA el luestnpgr pJelllnorq un êurJoJ
anb,rsselr alerleds allreleq
ue aprnbll no zeB 'orqrssnod) orqrleLu e1 11o
Iuorsuadsns
;ii::ii:i#,:#j::!J:,1"',ffiiriii: ;fiJ,",i:J,: 'l j,p.'î1".j;i1:t:îol,y^',I^'::::ï::î?,,"1?i:?"'?,1?l
ï,",,1;";';:i;àJ,';,;"';;p il"#;;à ;;;;;i",;;;
-rJ)uuJ drrrelrrL{du durr )ucP rru eàtrezsu "-""t";;;; :::1'.'?^:::1'3îiî1i-'?:'1:l:1"y.'j'^':,f:j:
rssne lueleddEl sluaLUOlg sop laluosOld lned letleds
saSenu sol suep'los êl ,lns ltos al ênO Otlellals lu orrr rrerrnrrr rnr.r rrrorril rrn n
:;;;;;..i.";;;o ;à :,;;àl;;;;,i;'ü;iü;;;;;,; l1?T:l!:ll: :!-:'1 :"a11 ':?i:1'^ 1l:,9,i::i'l"ii:
-r^ oun ro^e rêllrnorq?p os rnol un ]rop aloltd enbeq3 sedÂt xnep
.;ql;i;;ffi'.i:r;ri"ïî:*"rn*ü^r;-,p
sol suep Jruolrolut luou-reletouQô luennad s1t 'sonbgrr
3sniln -pds sa"irelqueld no xnetleds salxaluol sap q s?tl luauJ
:
-ollêrnteu tuolquas snossop-ll sllrlgp $uaulglê sal ls
saln]tUê^ ap sêlluoJUar sal laslueu^p ap UUE
.pffif el p aüqA
[olq!)
ranoJ ar^næueLU er.rêrnrQXê sqd.rua^nad ,, trloirà!Ëâ ;;,Éàr;là i.Ïr't,i"toïili;;i;;;;;p,$ep istrrrlh- Ji'ë"' ê
'uolse^g.p er^næuel l,p saruarcq sal tuaLuanbiieuuoi. lua,tnad rnb sluauauuorrAuê artenb tuaLuanQrLq luen
-" §
-ne oprolle srrqgp op dueqt un sra^ell e rornnæue,llLl,:§!.-ulQp uô'NottttsïU v"l to 3uI;I êp-rsêl8Ql,êp a;1.]]tré@- ë
anbrlela lo^ op ueld : sa;epgds sanblls!.rglrereS;f,@lSZ lS6 so8ed sop selsel?3 saugruougr;d la'ülÈJlej§ É
'alrnsrnod aun,p n,lltLU ne tuolxorQll.l*ied el,^lu:tQldLuol slueAInS slualu6l? sa1 ulerlal
.*klf)ês =
t::l;ti'#î,ïtiî*.Hil": jii'si'#+#;ffiIr.rirlj:ii:ï:ii:iF.ffi arlua lequror ap sêrltJo,..r,,[ar
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sanbelexnereddeqrgeoL:tQ'tnedtuorapLeipriëir.,Ë,,l ,',^?,.
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su€da:xa scnblanb Q'stD/\ rois ap';}j,94luÊ'l"-1.'*ê'iq*,r,
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UII -lelllJeJjd lrop SdlrullllJ.]d Sdr/\lldruulll l:,rltffi
enb sanbite;a r.rnnJiü - .,.. a " I
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Sê|.SOp]'o]êlSe.psduleq:Sd|lUêloSenbxneta3ueplSSnV§t
sêl 'sêpr.oJ?lse,p sdLreq: sèl luêtos enb xnera8uep lssnv ,,,,t,ii!ffi e '"'"':,:,:- ;nanâuo1.et Ç\ I
neaqste^uos,aSeuu-ropuo tnocl so.Szasse tuosrnbxna: rnssg§lroesleqLUolsêptJl?lul.l lo.^-tosuol,lèsuoll'rêdOJ
q"
,oln1àd op1alr^Q lnod lualel êp la Qltsotug8ur,p srosgll .§, grnod lrr?r uosrape^ g fÀ"at rnod alstsuor Uan ;!:,
olqrssodur '1i
aIeJ ltop a1o1rd un lo 'arrpgrd q alqrssodr-ut
sep q ladde ale1 a;tuoluEl ap adÂ1
al arluolual
lffi#ffi a-l êd^] êr Suq. elanbreLu?p
al su€€. e;anbreugp êsas ','
lsa1alqo anbeqr ap lonprlrpur luoruo^nou: êl sosuêp rori sorl ,l:lffiuarq
ffiuorq sV un 'unlelll ep sglrre@ sol a,tnetdo,l E- E
sleroLuolsSe sop luarolQl se93e3qp luaLua^rlelêr seuoz .,ffitqnluQ^ leuu
sêuoz 'l,ffi1qeltrQ^ lêLU rnb
tnt: 'a1qe.;nsuauLu&ur gllnlgllp,: ë
:. ,
sap lnaluesade uê : sêLLuoJrun luoLUê.rer luos suqÇp .p ,,,.êffiilêxa un 1so onbrlgugrl allreleq e1§1 aun - t"red
'san)a;r.Qp, xneluoLuêrrerluol
sdlueqrsal 'san)a;soQpt *nâlueruêrrertuol erxele8el *muouQe lequot
e,*e1eànl ap -ffiuouQe lequor un,p lnæl uteld§ue annorle:rl;i.,
ureld§ue annolle:'1j.,
sgllqer1 sêpuour sap rednld el êp rnolne aliqLo ua La,rnorl ,tffiq aun,nb luene sdual ap uorlsa+;flb aun.nb 6
tnad uo.l anb stoq:Qp ap sa8enu sot aLuuro) slonl]rtre.:ffi'Norl'Irslu \fl io ruï;l eR euflq$der aun sue l,l
La=
5 t{I;-] !îf,30
IN3 l^N3
ïA§Lf 3-1 : uTlLlSATX§f\i
I}AN§ LEs EHAMP§ A'A§TÉRNiAES §u LEs THAMP§ NE BɧRIS
.]-
I3E§ {Jp, QH, {§} ET v
Écran : le valsseaLr contourne un amas de défiris. Ajoutez ! au pr ocht n test d; ni àtug" O, personnage actrf ou
{:.} ou Ô d'un personnage allié.
Zigzag:d^teorê/ldol ,o5^ot'le' .oA l^i.ri-otê.di .-edL ro,dLoo.td..o-t u,pi o,a
{.} {_} ou ê
Trouée : dêg_radez I
dé de difliculté de tous les tests de compétencc lusqu'au prochatn tour du personnage actif.
$ t, {:} Densité variable : lo t,isçeau \Ê ^lendgÊ u, or..rga :" .. ocbr . Lo o'o(l ain te, ilo D lotage 6;
or@ oe'oinage ti .n,s d^ difficulté moyenne "n
â, Qf).
Attention | : oblige un vaisseau ennemi à subir une collision mrneure avec un obstacle que e personnage actlf
. Pr oL 1.. ê d..i pl
@
Je te tiens ! : le vaisseau du personnage actif bénêl'icie des effe[s de L'action Prendre 'avanLage sur une cib e de
son choix, après avoll manceurrré habilement au cceuI du ter rain
Feinte:l^\aissêdJarri-rot ôlrtea\ê( oe.lêr'eL.grosd-ra\clpo,br,..oLLr \d\sêaudo\e.<n,dpas
ô@ repêré. Forc." un valsseau ennemi à portée proche à sul:1r une colitsion ma.1eure.
MouChOirdepoche: ôt ô'gaop^tono1u.êO,pt OêCla,. p anpdeCleO: ,. ô i.Olddt^noal
Alouter ! au prochain test d'Artillerie ou de Pilotage effectuc pour ce \alsseau.
(-6) ou ÿ Crêle de gravier: le vaisseau traverse une plule de dêbrls de petlte tailLe. Ajouterlau prochain Lest d'Artillerie
ou de Pilotage effectuê poLlr va.ilseau ;c-eiur-ci subrt
le I Pollt de stress mécanrque en d.épit cle son bll1.dage
Danger I : des débris de grande taille entrent en collision à proximitê du vaisseau actif, 'enveloppant dans un
êpais nuage de pousstère. Amélrorez I de de difficulté du prochain test de Pilotage effectué pour ce valsseau.
(5) (i) ou V
Légère explosion : un astéroide installle ou une cellule énergêtique explose non loln clu varsseau actif, qui
LanQ.r el ,.rb t po 1l d^ St eqs rTp, dn qLê oar § gôre e.
Oups ! : un fragment heurte légèremenL le véhicule actll. qui subtt une collision mineure et réduit sa vltesse cJe l.
V+
test réussi Boum ! : un lrnpact au sein du champ de débrrs ou l'explosion d'un réservoir d'énergie en perdition envoie une
onde de choc puillgnte vers.le véhicule actifr qul sull t 2 points de stress mêcgni:que- par (i) gênéré
Accrochez-vous ! : le vêhicule percute un astéror'de ou un fragment de grande tal le. I1 subit une collision
V + test ratê maieure et part à la dérive. Le varsseau souffre immédiaternent du dégât critique Dévié (volr page 258 du Livre
de règles de llEnr or re RÉaruroruJ.

TAELE 3"2: UTlLtSATttSN IIES {?, @, *§; ET ÿ 0AN5 tjNE },tɧt LEUSE

{i.} ou @
Éclaircie : ta visibitirê au cceur de ta nébuleuse s'arnêtrore p.nàunt r. .;;;ii;;; ÀË;iur-;, procÀain iôsi
de Pllo.-lage du personnage actif ou d'un personnage allié.
Fondudanslebrouillard:d^lêorê lddrT.,l edo'o.r. ç,pcr6{, lê Ê,/,,d, le 61..porl,5qLdu
{i} {i} ou Ô pr ,Ào lu-' du o lolê.
(?{?(} Disparu : un vaisseau ennemi est retrré de la renconlre, mais reste inlact. Un V obtenu par la suite peul être
OUÔ ulili:ê pour le rlmenel dans la lrataille.
Latêtedanslesnuages: ê\oi5.êdJoroe\o -âg., . oê, êoe\p psoÊ o,to.ptpto.e.d.d.dgê
ê sur une cible de son chorx, après avoir manceuvré habilement au cæ!rr d! !elfaLnl
' Ça fait des étincelles I : bénéhctezdes effets de La tête dans les nuages. En outre, Ie vaisseau actif émet une
ôô décharge d'électricité statique qui heurte un vaisseau ennemi à portée proche, choisi par le pilote. Les dégâts
O, , aq Ont P\ OI /êSOOTOenl à L-e ( O iq Ot T ,-eLr
Silence radio : une légère dêcharge d'ênergie émerge du nuage et perturbe lcs contrôles cju rrajsseaLt.
, Aioutcz I au prochaln tesl, d'Artillerie ou de Pilolage effectué à son borcl. ll subit 1 point de stress mécanique
(È) ou ÿ ignorant Le bitndage.
Ébloui : un éclair iaillit du nuage. I est trop lointain pour abimer le valsseau, mals assez bl lant pour désorienter
le lellonnaqg actif Amélrorez I Qe Oq Olfrçq[e du procharn test de_ P] otage effectuê pourr.e \a sseau
I Sans crier gare : un nuage de débris surgit dc nulle part sur la trajectojre du vaisseau actif. La difl'iculté
du prochain lest de Pilotage sera fondée sur les règles relatives aux phênomènes célestes (livre de règles
: page 2541.

(È) (E) ou V , Trop proche : Ie brouillarcl se lève brièvement et révèle un amas de débris ou un vaisseau ennemi situê à bout
portant. Le personnage actif doit immediatement realiser un test de Pilotage dont la difficulté est fondée sur les
règles des phênomènes celestes (livre de règles page 2541. lbut échec se solde par une collision mineure.
Légère explosion : une décharge d'énergie.jaillil de la nébuleuse et frappe le vaisseau actif, qui tangue et subit
I ooin dp .r re)s -re ar io ,e pa (§) gerere.
V+ Forte explosion : une violente décharge d'énergie jalllit de la nébuleuse et glisse sur 1a coque du varsseau acttl,
tCSt TéUSSi qui sublt 2 points de s[ress rnécanrque par § généré.

- Dommages système : lp ,ai.seou subi l^c ê''et' oê Forte explosion. I n oJrrÊ la oe.-d,g^ d erc,gie e9 lpo
ÿ + lest ralé ' temporairernenl l'alimentalion à lrorcl. Le valsseau sublt imméàiaternent le dôgât critique ùoteur eùommàge
(vq1rpag9 258 du Livre de règles de l-Ène or ra RÉaeuroruJ.

soRTIES PÉRILLEUSES
CIBLE VERROT'LLÉE
 =TmoèRtE
rlal,
srSnrTïuJd sStJ-Èo5
flequ]ol êp slsol ap oQUBrod oun rns luêuJênbt8ol orluoluol os uollle,l
.-. :leld el ? 'selelleds solllPlEq sapueJa sel suep ';JD/M tDlS SUrIU sol suec ê.lluoluar el lueJnp nEossleA
,: ra (É)'Q'4.| sep uollesllllnt 9-2 alqel el 0p 0p1e,l onbeq) lo Jrl anbeql oldurol ua alpuord op orlessolQU
: -cuêr lso leqLuol ua saure sas 0p lolla,l'ulerral un sed lso,u ll 'lf! ol rnod assrered auQls ap oJUOS a) onb
-,-lrol 9-rgprsuol lso neossreA un r-'lo sel ol suep) slasel alueprurlur rssnv suotllojlp sol salnol suPp luosloll os
:lrnl sêl rnod lrlod do{ i (ol)elsqo oldLUls un JUPUo^op sJnêsseql sol lo suor.r?elluP sal loseloqrnl op suo^el
srl
-,rlsonb uo neassrPA al '[d sop suol]le xne s€d ll8eoJ au sal 'suqQp s0l 'slnESSe sal 0p srnol nv uallnos êp sll0,l
-3 ollreleq el op soeLl) ol red Qdnllo lso olros el 0p Ql{erl -edde,p lo sJnosseLll op srotlltLU sap arto^'sêulelu0l
a,il^eu lnol op a8edrnb?,1 urerJol un êLUulol sQrgplsuol sêp lo xnelrdel xneossreA sosuoulLUI,p o]lua ênbsêuel
arlQ lua^nad , lueqeS êp xnol anb soJS snld xneossle^ rl luouoluorJJe,l q pter sorS np luo^ souuollQe sêllleleq
sal) sollosur solqerosrA : selell9ds sanbllsugllelef, sol onbrlerd uo atSolerls ollêl luallotx lnll sV sal luos
'fd sop rnolne : ronlrs ês llop ê) lo:luele,nb selJreleq ap snld uetq q luadtrrlred tnb
ollo r-ro ql uorluolle,l orluolar xlot.ll ol nai op luoJd lnal 'leqLUol êp xneêssre^ sos lns snld ua snld ap aslul êllo
uolês ênb lQlnld sollslsqo,p lo sra8uep op QLUOSJSd uler 'ul^e^ q orrollr^ es srnde6 uotllêqqè e1 rnod QInEO^nou
r4 -.rêl un aLULUol sQlrerl luos xnelld€l xneossleA sol 'êipel oun luoluosg.rder selloU o.lluo sallreleq sapueLB sa1
ol suec suorlE)rldLUol sol Jêll^9,p loLllJOd lê luesuJns
lso luêssrSerolur srnanoI sal slonbsêl ]a^e sollslsqo sal s3rWEÀUd5
la luouauu0Jr^ua,l rns « eroLUel » El lallu0J olquêsuo,p
on^ el op luolrulQp ne 'QUUop luêLUoLU un ? xnsossle^ §§T3§W&W§ §§ee§W§§
:t*o,lir"iu; r; r"ii ep saLBar dp èr^t np gE6 aBecl r o^) 9r^9c anbrtr-rr t?3op
np luaLr.lalerp?r-L.tut arllpos neassleA êl ê^rJ?p el È tLed srnd êrna[eu] uorsrllol aun ]rqns Ll uatlaP leqLUol un,p qter tsêl + z\
9r9uo8 (ë) red anbtuet?u
ssa;ls ap slutod f lrqns rnb'JlJte neassr?^ êl lulalle uorsoldxa alualor^ êun.p lolll ap apuol : uolsoldxa eyol ISSN9J ]Sê]
'I op osssll^ es llnp?J la alnaulu-l +4§
u:lsltoraunrl:n=fb JltraêtnrtLle al tïaluorasÊt arnlrnrlsr:ln:
-alrnê1 :ononea::le Lp]r"r8nrjlr,i:w
.neêssre^
al rnod qnllêll3
êrJallrtrv,p no aEe1olr6 ap lsal uteU:ord np qllnrgJlp ap qp I zêrollQLUV (ênblll.ll êp nea^lu ap sed 's193?p no (E) (Q (E)
ap slurod gJ ua^oLU rêsel uouel ap npJad ']rl un red aqlnol lsa 1rlre aBeuuosrad np neassreA al sluelleqLUol
A
l
'9rauQ3 (E) red anbruelgu-l ssa.lts ap lutod
lrqns la anâuel tntl'Jrlle neassrp^ np sqrd asoldxa uorlrprad ua anbrlgS;aug alnllal aun : uo;soldxe a;q391
'a8epurJq uos lue.iou8t anbor ap 1939p I ttqns tl tnlêl neassle^ al
rnod gnl:age aBelolrd ap no aualltlrv,p lsat utPLllold np gllnrgJlp êp 9p l zaJoll?LU? : splnol sllt sal suep slrd 6 no (+ (E)
{rEa ê8ed salSQr ap ar^llJ salsalQl sauQuouqqd xne sa^rlelar
selSQt sal lns agpuol erês neassre^ np a8elolrd ap lsel ureq:oLd np Qllnlglrp el lrlle neassleA np altollale]l
er Lns r1es:llLns arntr.nrtsradns p sns.:]..sL-rq?p.sa] : anbluqrel
1Tn :o feasslel ï,p l0rsordxa,t :p :tual:o:td
nEêssre^ ar ap a8eto ld èp lsal u eq;ord np gtlnrgltp êp 9p I
zarorJQLUV Uorsr^ ap dLreq: uos suep uotsoldra êun.p lell?,1 .led gluatrosop lsê 3lolrd al : aluel8ne^e alQlun'I
A no (9)
a8epurlq uos arou8r rnb ênllruelglr.t ssalls ap lutod 1ltqns t: nlal
: neassre^ a: rnod ont:aJJe aBelolld êp 3U:ryrv.l rsar:rleqrord nelzalnole : s-r*rl:rl, sal su:p sud
:o
uorsuadsns uê sr-rqgp solS un lale no '1e1rde: nPosst?A un.p
a;nt:n:w1dns ey uot:l]lor rlqns q aq:o-rd ? !LUauua un a8l]:o : 1 e5 spue;6 oe
1a,re l1leLu 1un lalrod :_P_lssl:
'neassre^ soj8
snid un,p uorltas aun no alsapoLu êllrpl ap lelrdel neassre^ un luêLUêLrqeq gurnoluol tto,re sq.]de'xloLll uos êp
êlqn aun rns ê8p:lup^e,l orpuard uorlle,l ap slaJla sêp atluguQq ltl:e aSeuuosrad np neêss e^ a : i suall et êf
rêlr^q,p alsnl lnol lual^
tllle a..3euuos11d êL êr,l lr atrersq: un r.a^P êrna!tLr.r uotsLllor aul.rlqns ? luJêuua un , i uo11To}lv
lEassl:l _rnllq:
ffi êllreleq ei suep roualLrer a| rnod gstltln arto tnad altns e| led nuatqo 4§ un Qno
lrelur slsar sreLLr 'arluoruar e] ap erlral rsa nea:sl:^ un êru:lqLut n] è stl no= ô{.} 4.}
lusuul i:lt.,i:r :u:o ' Luos
a1o1rd np
ffi Q no {.} 4.}
rno1 ureqro.rdnenbsnl nEasstr?^al rues!^atrallllrvpstsêlt...n*rp:]lfrqllpapApunzarollgLUe:allU^
9111e a8euuos.rad un,p no Jllle a3euuoslêd np a8eloltd ap lsêl uleqlold
neIralnoly ê]qLUêsua uos suep ollretEq el ro.ra:rade 9 uo5e1 ap auuortrsod as atoltd êl :
g]lell ap luelsut
Q no {.}
aloltd np tnol uteq:o.rd ne,nbsnI nBossreA êl ]uesrA arjallrlrv,p slsal sal snol ? zalnolv lra^nol q êJllaLU
I
ês rnoo s1q9p ap seLUe un no neassteA allne un luaLual qell au..rnoluor Jrlle neassreA al 'lpqu.rol urald ua :11sen3
sllvtlyds sllltvlvs stuNvus stl sNvrr 6 rr {§}',Q',Ô 53u N0lrvslllrn : E-E llsvt
 Lffi§ rcffiffifuffiffi MONTURES VOI.ANTES

t a plupart des creatures capables de voler

ffiffi ffi&%setuffire§ffi L peuvent atteindre une vilesse surprenante dans
les airs. el un grand nombre préscnLenL unc phy
siologie peu adaptée à la terrc ferme. Pour reflêter
§ 'univers de Sfor l4/ors regorge de crêalures élranges cette particularilé, toule monture possêdant la ca
&r el exlraordinaires. D'un bout à l'autre de la galaxie, pacité Crêature volanle dispose d'une vitesse en vol
toutes les espèces pensanles lont usage d'animaux de- êgale à son Agilité, mais d'une vitesse de 1 sur le
puis l'aube de leur hisloire. Ou'un monde dispose de ré
sol. En outre, sauf mention contrarre, les montures
pulseurs et d'une lechnologie avancée ou qu'il s'agisse
volanLes ne soni pas capablcs d eltccLuer un vo sLa.
de la plus reculée des planèles de la Bordure, on y em- lionnaire el doivent se poser dès que leur vitesse
ploie quotidiennement des bêtes de somme. En plus de
esL réduile à 0.
leur ulilité dans l'agriculture, les transporis ou les loisirs,
les animaux lont parlie inlégrante de l'art de la guerre
depuis des temps immémoriaux. Les seclions qui suivenl
presentent les règles concernant la monte des diverses
bêles de Ia galaxie, aussi bien pour le simple lransport
que pour des usages plus guer'ers

Les bêtes sont des crêatures organiques et sont repré

sentées dans le jeu par un prolrl de personnage stan-
dard, à l'image des profils de créatures de la page B5
Néanmoins, dès qu'elles sont ulilisêes en tanl que mon-
tures, elles doivent êlre traitées comme des véhicules.
C'est la raison pour laquelle les bêtes ernployées ainsi
par les personnages reçoivenl des slalistiques dif-
férentes, habituellement réservées aux véhicules
En oulre, les montures sonl contrôlees de la même
* manière que les véhicules, selon les indications du
chapitre VII du Livre de règles de L Ène pe Le RÉerr-
luoru. Certes, monler une bete et piloter un airs
'f' peeder ou un chasseur sont deux choses
bien dilférentes : les créalures vivent,
; respirenl et sont dotêes d'un esprit
el d'un instincl propres, desquels
un cavalier doit s'accommoder bon
.\ gré mal gré. La différence principale
entre ies animaux et Ies véhicules repose
sur ce point : un cavalier ulilise sa compélence
de Survie au lieu d'une compétence de Pilotage.

É.iLFti;êÏfl"

r'
r -.
il.
Le gabarit des créatures s'inscrit à la même echelle
l que ceux des vehicules et des vaisseaux stellaires,
et fonctionne de la même façon. Une bete a un ga
barit de 2 par défaul, à moins que son prolrl n'in
§â
æ==
dique une valeur différenle. Les créatures de ga
barit I ou moins ne
peuvent pas ser
vir de monture,
saul indication
rc ffi
§i'l,r,,ïi
conlrai re.
q
r!
-

b=.=
 .anpualleur uoltlêr!p aun
suep a3;eur tr'al1er anbr sleut 'olQq el ap sop al rns.,tol
-sa.r ? luar,red,.rorle^el a1 anb ranbtput lnad A luenllul
rssnQr lsol un êrJal ? lalle^el êl êJluol olQq el êp allq
-ns anbelle aun q puodselol 4§ un .totle^Êl np alnLil
aun red aplos as lal{lq tnof oluolo ap lnale^ 3s ?
snp I xne e]nole,s r)al alqq el op asn6 0p lnêlel Pl
ç 1e39 911n:grp ap sop êp arqulou un zalotlotuE 'êlQq
EI Op sop al rns ?nlla]lê lsal ]no] rnod 'sJnellre Jed
'Non'usl6 vr ro ruI;I ap sal8qr ep ollll np 916 a8ed
qnbrpur auJu;ol '§Q1 uaÂo6 olruns ap lsat un êtrs
-salgu QSSaJp uou Ieulue un raqlrnoJuf xna;a8uep
Jal?^QJ as lnad elpq el Jêssa.Jp ep sdLual e1 etpuard
sues êdelg allal JalneS roluoul e1 asstnd anbuortnb
tæ enb :lue,te êoulerluê orlQ ltop 'agnbtlseuop aurou-t
"r*-.-tl 'êlnlB?rl olnol : gssaJp uou leuluP un JaluoN
'lJoul sdLUal ap sêpolr
-gd xnap Jns BJpual?,s tnb 'êSessarp ap oseqd a11an
-nou allêl rnod syoge,p snld srol xnop rttso^ut llop
rnassaJp al anb atua.roJJlp el e 'snssop-tl gpqrotd o1
zeiQdgu êgssa;p arnluolA oltrede: es .lalorlgue rnod
êrnluoLU êun rauleJluê,p elqrssod lueLualeËo lse ll
'aqssarp arlo lnod
a8e,lnes dorl luauualduls jsô uollsanb ua alnluoLu
el 'gler lsê lsal al IS 'luôutêuJe;luo,l lue;np anbtltr:
êlnssâlq aun lrqns rnêssêlp e1 anb ranbtldLUl lnad ê
tunrNllbü 3]]ilnBN lNn UISSTUE
op sod^l sauour sol rosro^erJ luo^nod lo srnêqlreu sop
oLurxol luassrSe soJnluoLu sop lrednld el 'rê8eu no JêloA
lo^nod op surou.l y (sornluoLu sap luoulodtnbg.l rnod
gy-7y sa?ed 'Jl) arnteoJl op sop q sontlalJO erualgduo:
op slsol sal snol op QllnruJrp 0p 0p I zoJollQLue '0rleJluol
ser ol suec srnbar ariallas op sluoLLrolÇ sap egdtnbg pigp
lsê êloq e1
anb enbrlduur Jêrle^el e1 red sudetluê lsêl lnol
'slsol sop sLol eâe1o114 ecuelodruor e1 ap areld 1e netl
uo luor^rolur rnb e|run5 erualgdt-uor 9l lso,l 'ploqe,p
lnof solqelou saluorg3Jlp sonblanb op lld?p uo 'luaLu
-0uuorlluoJ Jn0l suep sarÊlrLUls solle s0p luos NolllEE3u
\n ro rua;I suep olnlrLtrOA un relolrd lo otoq oun Jaluol4
§ëmew§3 §m §§§ w
§ ru ü §e3w
-t§ §§w,&m§} §uww
'ssoJls ua
lueluour ouJQuJ ol lrqns êllê 'enbruergu ssarls np lqns ?
aÊuoLLre lso olgq aun 'enbuorlenb uoster eun rnod 't5
'sa8euuosad oJluo lequrol np olQpoLU ol rns luouuotlluo1
alqn rnod lueuuard el rnb senbe11e se1 1e anbtuergLu ssoJls
ap no enbor ep sleSop op lrnos un,p sed ruop esodstp au
êlnle?ll el luoLuossrelua,p rnolEA es enb tsute 'aluelstp ?
1e sdro: q sdro: ne esualQp op srnol€^ sos 'ssarJs êp lo solns
salq ap slrnês sos olrosuol oloq aun g8ueqrut eiser lgord
uos ap alsai e1 sreru 'eSeuuosrad a1 red guaxe olQrluol np
lê allleleq ap du-ieqr êl rns sluoLuolnour sop pre8ar ne elnr
-(..1Q^ un auru-rol ogrgprsuol lsa aloq 0un 'QlrpoLUurol Jed
ïloud no E&§§u Er
'auluenêr ul Z agsserp arnluohl oltreder el lratnb
-le êloq e1 lenbnp êulrol ne 'tssngl luaulatQtlnrtlled
luourouleJluê un arQSSns Q'arlno u3 luelne,p Ielgp
al atuêr]l8ne (E) {E} ânbPLll anb stpuei 'auleu]ês aun,p
êgrnp a11êl ttnpQr qlqug8 {.} {:} anbeqf o;ntuotu Pl
ep saipede: xne J a?ssarp ornluoN talno[e,p iaut
-rad la'l,roru sduLel np uU el e rarlenel un ]a allôs êun
reldarre ?le;d lsa leulus,l anb ênbtpul ISSnor lsêl un
a19q el
êp Qluolo1 ap Jnêlp^ e1 q 1e39 tsat el op ?lnlUllp ap
sQp êp orqLuou un zaJortQLUV (0 0 §) otltt JlO a!^
-rns op lsal un OsllE?l lnassaJp fd al sarnlua^e sal
êrlua sl.lou.l sdr-ua1 sal luEJnp nêrl e a8essetp e1 'nal
np aJpel al suBC lrpleJl op sauteuas a;lenb ap sQrd
a8rxa ;arlele: un rnod êlQq aun lêssaJp 'arlogt..ll u3
'suorle.rgu?3 sep s!ndep
luoluoLx sol la lua^QIo se1 rnb 'atxe1e3 e1 ap sluesuad
sêJlQ sêl red s9nbrlsauop giA çhp luo xneullue xnorq
-urou ap 'luaLUêsna.rnaq lrol soJlne,p anbr slalluol
-o,t snld luelQrd Â,s sa;n1egr: sauteJlêf ie 'a8esse;p
ap sUOp sardord sas elues?ld a:Qdsa anbeql luoul
-auuolr^uê rnal e segldepe luauolla]nleu sauQSlput
sarQdsa,p aLtr)raqlêl el ? luos sralle^el sêl 'aluelllvl
ap uros nV êllapuelll el lnel ua naf a1 steu ]atlelel
un relda:re,p rapensrod al 1o leuJIuP un Jassêrp I
rnod alueLg,tgs;ad ap asop êuuoq aun sto]rEd lnEJ I I
'lueqL.llQ sel 0l 'Qllllq
erueLU op enbrlsrLQlrerer e1 red sgrnrotd aunlroJUl,p lo
aunliol op sQp xne lualno[o,s s?p sê] sop op a^lasol el
? relnole C n ap orqLUou ne luepuodsellol rnaleA oun,p
êr^rns lso agsserp oJnluo6 ?ltreder e1 'uotldtrrsep es
sue6 raBurp e1 rnod sgnl)ajlo ot^JnS êp sls0l s0l snol
q snuoq un reÂor1ro,p 1ei1a rnod e tnb ar 'tl-tnlal lane
erqdoor rarlenel un Jlo^a)ar rnod egssatp alQq 0un
?lllrqelueur 0p rnale^ €l lsê Ieuu 1e]
-lnsQ.l ol gluolo ap la lueqet op srnole^ sol ua-zortJal
lo êlQq e1 ep 911ypy,p rnale^ el zauerd 'aquuop olnluoLU
êun,p Olrlrqprueu ap anbrlsrJOllerpl el rautLUrolQp Jnod
glrlr8e uos op lo ollrel es êp luoLUQLUtouÇ pued?p ernl
-soJl oun,p glrlrqerueu.r el '0rlno u3 i so,p l0 rlEL{l ap alQq
aun,p orrp anb srole'lueu-rergdual erdord uos e neosste^
rnal enb oJrp q luoprolre,s seloltd op orqLUoN sluorÇl
Jrp luaLU0lqrsu0s solDroxo xnap luos lnoqlleLU un no
rnosseLl) un reloltdlê olQq oun Joluoul 'npuoluo uotB
ffi§=ËæwëruwF*
'Z op assalr^ oun ErnE g op
OllllSV oun,p 01op unelunel un
'alduexe re4 rneuqdns rarluo,l ? otpuole 'OltltBV,p ero:s
uos op QrlroLu €l q e1e3g lsê arnluoul oun,p oleultxeLu
assolrl el aQldepe ned eutqreuu oun q no lnês uteLUnL.l un
? solqrssalleur sluoLUOUuor^ua sop ras.ta^el1 ap salqedet
luos solnlegr) sal 'JUO^nos uêlB sQIlS^ sulellol sop lns
rêrlenel uos q ern:o.rd a11e,nb esselt,t ap a8elue,te,l lso aJnl
-uour oun Lesrlrln rnod suorleArlour seledtrutrd sop oun,l
§§§§ÀE&
 TENEBII4BREMENT
À nOs EE IRÉATURE
! ouL animal qui peuL
elre monle peuI aussi servir
I de bete de somme. Puisque de lelles créaLures
sont considérablemenl plus grosses que la plupart
des humanoîdes, elles peuvent aussi lransporter
une charge plus lourde. À titre indicatif, le seuil
d'encombrement d'une bête est de 5 plus son
score de Vigueur, multiplié par son gabarit. Par
exemple, un dewbrack doté d'une Vigueur de 4 et
d L,n gabarit de ) aura un seuil d encombremenl
de 18. Cela lui permet de lransporter un cavalier et
du matériel. ou un cavalier eL un passager sans ris
quer la surcharge. Les règles d'encombrement sont
détaillées page 1 65 du Livre de règles de LÈns oe
r,c RÉenuoN.
terrain qu'eux. Lencart Tèrrain et véhicules terrestres
page 265 du Livre de règles de LÈne oe Ln RÉeeLlrolr
résume l'influence des diffêrents types de terrain sur la
réserve de dés d'un cavalier Comme les véhicules, les
montures ne disposent pas de leur propre créneau d'ini-
liative, à moins qu'elles ne soient prrvées de Ieur cavalier
au cceur de I'action. Dans ce cas, elles retrouvent leur
profrl personnel ei fonctionnen[ comme des PNJ.
Un cavalier peut exécuter toutes les manceuvres et les
actions des pages 245-241 du Livre de règles de LÈne
or Ln RÉerLLroN comme s'il était un pilote, à l'exception
des suivants :
r Réorienter les boucliers déflecteurs
. Barrage de protection
r Barrage concentré
. Barrage dévasLaLeur
. Actions supplémentaires des vaisseaux et véhicules
Ces manceuvres et ces actions sont spécifiques aux
véhicules et ne concernent pas les montures. Par ailleurs,
le contrôle des dêgâts fonctionne dilféremment : la com-
pétence Médecine ou Survie remplace Mécanique pour
Simuler I'appr;ç31191 de soins.
Un cavalier peul se servir de l'armement naturel de
sa monture et réaliser l'aclion Effectuer des tests de
combat avec I'armement d'un véhicule au moyen d'un
test de Survie. Par ailleurs, il peul effectuer un lest de
æ combat à l'aide de ses propres armes à distance ou au
corps à corps.
aè
Outre les manæuvres et les actions ci-dessous, le ca-
.æÈ2.:-:
æ-
æÉ-
valier et sa monlure peuvenl êgalement exéculer les ac-
F tions suivantes : si indique que le cavalier est parvenu à calmer la
#t[ht$ËË* *LÉ Ë&Urfrq
*ې s- Action de cavalier : oui
#-
# Gabarit:Soumoins
Vitesse : 2 +
Les montures dont le profil comprend la capacité spê
ciale Grimper peuvent être utiiisées pour escalader
æ:='
Y
Æ;
Ææ
æ-
z#*:
æ- SoRTIEs PÉRILLEUSES
€ crBl.E vERRoulrÉE
Æ:
-Æ:
les obstacles ou les traverser d'un seul bond. Pour gui-
der sa monture au delà de l'obstacle tout en restant
en selle, le cavalier doit rêussir un test d'Athlêtisme
Difficile O I tl modifiê selon les circonstances à la
discrétion du MJ. Le succès du test permet à la bête de
traverser l'obstacle [ou de commencer à Ie faire, dans
le cas d'une longue ascension). Un échec signilie que
I'animal n'est pas parvenu à sauter correctement ou à
terminer son ascension. Chaque V du lest peut etre
utilisé pour faire tomber le cavalier de sa monture, que
le tesl so L reJSSi oJ non
pæ⧧§ffiffê.
Action de cavalier : oui
Gabarit: 2 +
Vitesse : 0-1
Les animaux de grande taille sonl capables d'uliliser
leur masse comme une arme. Un cavalier dont la bête
dispose de la capacitê Piétinement dans son profil
peul convaincre l'animal de pousser des objels ou des
véhicules hors de son chemin. Si le gabarit de l'objet
à pousser est identique à celui de la bête, le cavalier
doit effectuer un test de Survie Difficile Of lt. Si
la bete est plus grosse que la cible, retirez 1 dé de diffi-
cullé par point de diffêrence entre les gabarits. Au prix
d'un test de difficulté lntimidant O i 0 l), ,ne
bête peut tenter de pousser un objet de gabarit supé
rieur de I au sien. Un test rêussi signifie que Ie cavalier
a convaincu la bête de bousculer l'objet encombrant
pour dégager la voie.
LES MONTURES ET IT PEUR
tL 'un des cas de Êrgure les plus oangereux pour un
cavalier se produit lorsque sa monturepanique.
Les animaux peuvent êire effrayés par des bruits ou
une situation stressante On considère en gênêral
qu'un cavalier est conscient du danger potentiel et
a dresse sa monture en prévision des situations ef
frayantes courantes. Dans cerlaines circonstances,
une bele peul loLlLefois èLre surprise ou apeurêe,
et le cavalier doil alors elIectuer un Iest de compé-
lence pour calmer sa monture.
Reportez vous aux conseils consacrés à la peur aux
pages 514-515 du Livre de règles de lJÈne oe r-n
RÉeeLLroT.i. Cependant, au lieu de rêallser un tesi de
Sang-lroid ou de Calme en utilisant le prolrl de la
béte. le personnage doit eltectuer un test de Sur-
vie conlre la même difiiculté que Ie lesl de peur de
sa monture pour en garder le conl.rôle. Un test reus-
créature, et peut utiliser {} pour réduire son propre
stress. Toul (ë) génêr0 correspond au nombre de I
à ajouler au prochain test de Survie que devra ef-
fectuer le cavalier. En cas d'échec, l'animal prend Ia
fuite, ce qui oblige le cavalier à lenter de nouveaux
tests de Survie pour en reprendre le contrôle Un
V peut correspondre à une chute, que la monture
s enfuie ou non.
 E_=TrtqdllE ,1glt
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[r uot]eluêuosoc : lleluor ne aQlrod la ên!r-,. : :: : . r-rl :un,p sQlop luos sQlelol sol 's..l0u]
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L olqelrlsauroc '[0 L op Q]ueLu8ne lso seqlueq sop luolU
arqLuoluo,p IInos alJ O I oLULUos op olQB : s911rede3 ,,, -r'-i.tra,t ap larlualod rnol op 1a stred ep
unfne : slualel XneAS;., Sl ,': ,:-: l' ,ira ap UOlllUoJ uO Olnpoul lSe xLld
Z êluelsrsOE' ; 1e1t8n6 :serualgdtuoS rna l; s,:.1-.r :'- I l'01n8êq luos'oldLuexe led'eslnor
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ffiffiffiffiffiffi n0lq lrEI 0lqelrLUlur rn0l le s0Qq
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E rnal rnod soJqQl?l luos lê 'snpr^rput but:-13ut,t q,nbsnl ê-rns3'r E -: -, r c a .' ll ]lso-l sed lsa,u uolllas ollo] 0lxel
luelduror rnb xneadnorl ue luednor8er es seLllueq eË ? ôI: 3 3-,re: I ? sê.rer lu0lQ^Q.r os sreuJ sLUIU sol suep
m- sol êrnluou] oLULUol sJerluoloA luêsrlrln s0l '0uloolel 0p luêss e,?:rj? .r-?lunel ol oLULUol 'xneuJtue sal 0p sutel
ueysnl sprellrd sal enb s1a1 'saldnad sutelroJ alnlulnou --raJ aLal-.r,:\.a p .r,r-rês êp uUe soOluosgld luos slDt\4 tDlS
êp alJnos ou-ru.lof lo êurtuos op solQq aLUulol s9tr?rd êp s,i3, Lrr a!
sanb leurQlque sarqdse sanblanb selnas
ffi de lueureledrrur,rd luos slr lonbrlsauop ? soltlel u0t1 'l el a-r Jp t3 ; qissodiut,l êp o^Qlo.1 saBed sar ellue
-eldepe,p ?lrreder rnol luoJlsnllt tnb selueue,t ap sourel SêlrrOl Ari-,lap Sê-l êLULUoS 0p S0lQq 0u-lUJOl no SêlnlUOLLl
-uol uo luaurlrÇp ês lo sopuour op slêtlltLU sap lueldned a Lji Lr o ss ar p
-r sa? ar I O I u a,rn I
ad sêl nle OJ I sa q Pl q LU o u u r, p
sel{lueq sa1 'erxeleE pl suep sluasgldtuu.to sêJQJILUutet\ 'n-sêL êl u.red al.ros olnol êp soleLrlue setqdsa,p ry
{=æeræ3 Y*&ruwæ luaBLoFar a re e3 el ap sQltqPLl saLuQlsÂs ap suorlltu sa §
3t)ffiw§wx §g 3-tNouit !tæ §§&§§
 Ëffi §v&L {âqq#â ru#§ §3ffi âæ§veL3
En Basic, u cheval , est le terme générique désignant un
large éventaii d'espèces quadrupèdes à sabot simple
que l'on lrouve dans toute la gaiaxie. Également quali
liées d'équinoïdes, ces espèces partagent une physiolo
gie commune, une iaille et une vitesse semblable, ainsi
qu'une prédisposition au dressage comme monture ra
pide. On rencontre de nombreuses variêtés d'équinoides
dans la galaxie, car leur commerce lleurit depuis des gé-
nérations. Les plus gros spécimens sont laillés pour tirer
de lourdes charges et fonl de bons animaux de lrart, lan
dis que les plus petits peuvent se montrer très obstinés.
De telles bêtes sont plus fréquemment réunres en atte
lages que montées. Le profil suivant correspond à une
monture équinoïde standard :

ffiffiffiffiffiffi
,@,..@@l" ,@-
i.-_q*L!-,'
L--5*=,r L_LL,
Compétences : Alhlétisme 2, Coordination 1

Talents : aucun
Capacités : Domesticable 2 (dégradez 2 dés de diffi-
culté des tests destinês à dresser un cheval), Cabar\t 2,
l\4onture dressêe 2 (ajoutez E E aux tests de Survie ef-
fectués à cheval)
Équipement : sabots durs [Pugilat ; dégâts B ; cri
tique 4 ; portée au conlact ; Renversement) ,:,,,

ffi&Lææ §re§V-aAL3
Créature native d'Onderon, l'imposant dalgo est appré
cié depuis bien longtemps comme bête de somme, mais
aussi comme monture puissante. Semblables à leurs cou-
sins êquinoides, les dalgos sont des herbivores plus
grands et plus lourds, dont la bouche large est garnie de
courles défenses. S'ils font des montures satisfaisantes.
ils sont souvent obstinés et s'elfraient aisément pour peu
exportés depuis des géneratrons. En raison de leur ré-
que leur cavalier manque d'expérience ou de sang-froid.
sistance, ces créatures sonl apprêciées par les forces
/
ffiffiffiffiffiffi
mililaires de l'Empire comme par celles de l'Alliance.
Dans le corps des stormtroopers, les soldats des sables
tirent profit de leurs atouts dans les zones arides. Au
r@E : ,'i@E@^ r@': sein de l'Alliance, les dewbacks sonl dêployés dans le 4"

\_J) t_l!_-/ r0t0_l rêgiment des Forces Spéciales

§
Compétences : Athlélisme 2, Pugilat
Talents : aLrcun
1

Capacités : Cabarit 2, Monture dressée 2 [ajoute

aux tesls de Survie effectuês à dos de dalgo)
E I
ffiffiffiffiffiffi
.- r@fuffiir ,,,@,r
'*J-]J
1@
-æ;.:,,: Équipement : sabots durs (Pugilat ; dégâls '/ , cri '-:19-,
æ tique 4 ; portée au conlact; Renversement]
Compétences : Pugilat 2, Résislance 2
Tàlents : aucun
*Ë'wæ&*E€ Tffi§'Çôe.tj Capacités : Domesticable 1 (dégrade un dé de difficul
Originaires de la \,4er de dunes dc Tatooine, les dew té des lests destinês à dresser un dewbackJ, Cabarit 2,
backs sont de grands reptiles quadrupèdes adaptês Marcheur des sables lretire I à tous ]es tests elfectuês
aux environnements désertiques. Faciles à domesti pour traverser un terrain sablonneux ou un désert à dos
quer, ils sont utilisés comme bêtes de somme. En oulre, de dewbackl, l\4onture dressêe 1

ils font égalernent de,., m9,',1rrat hardies sur lesquelles Équipement : crocs [Pugilat ; dégâts 7 ; critique 2 ; por
on peul compler A i'instar des banlhas, ils sont tée au contact; Enchevêtrement 2)
æ::=j'
æ="

æÆ.
F- soRTrEs PÉRTLLEUSES
CIBLE vERPorrLLÉE

Æ-e,
 =TTTRÉ^ -TC'
-;^!-- Èld sll.l-uos
icluêl alu0pel
_ -,,1,E I lleluol ne agirod
: :- --;l : at ste8Êp : 1e1t8n6)
:_-,:saCjLUt slOJl : luauad!nbJ
.,'.. el ôp slêllo s0l O"rluol sQSlu
'-,.-LrL luos seeqLUeJ sol) lnad sues
,trreqeD '(Oe ap ?tuaLUEne lsa
s?equ.reJ s0p luêLUêrqLLlolua,p llnas
all 0Z êLULUos oP olQÊ : sg1tcede3
unJne : sluelel
t êluelslsQE
1 1e1r8n6
'Z aulef : sef,ualgdtuo)
.,
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sr
a-s-) a,@DJ
\a@:*z
ffiffiffiffiffi .leqLuol ne sla8essed slnats
-nld relrodue,p salqedel sOSSerln) sqepMoLl
sap no suou?l sop 'slêll)noq op slnolelougS
sasuoLUu,n,p rallodsuetl ;nod lueie,uas ua,s
sueBun3 sol 'stpef olltBleq autald ua euqu
'lrnrq ne sêlqtsuês ned le segÂerJJo luoLUOr
-er 'solDop solnleQll s0p luos êl '0lllel rnal
9131e4 sauo13 s0p 0rr0nD el lue^e saQuue,p
ourezrp aun ueBunB êQulrv 0puerJ el suep I^ros luo
lo 'Jrllollol lLodsuerl e1 rnod saJnluoLLl sêuuoq 0p lu0ul
aleSÇ luol sll oulu.los op sê1Qq oululol s9ÂoldLua luaul
-elerQuOB luos seeqLueJ sal 'soro^lqraq selnleQll anblS
-o1orsÂqd an^ op lurod un,p saqro"ld steu 'sllled snld
dno:neeq 's)leqMap xne stolled aleduror sal uO uor0p
-uO luop 'sopuoLU sorlne slnolsnld rns sprezql sêsuaLU
urr sel luasgld Q o^noll uo lê'onuuol ualq lsa êllolsll-.1
[luaLuasra,tua6 : ]leluol ne aQllod I 9 anbtl
a11af ooqeN tns seeq[]eJ soLUJouQ se1 ranbtlsaulop q ur : q stqSop : 1e1r8n6) srnp sloqes : lueuedlnbg
snua,ued luos sueSun3 sol 'so?uue,p sl0tlllu.l sap P ll [atdo9 un ]assorP ?
sOUrlsêp stsot sêp OllnlUl!p êp ?p L a"rorlgLle) 1 n131
'[atd
âtwnce$} wwffi&qw;*
oQ,p sop q sgnlloJJa êt^rns op slsal xne E olnole) L êQS
sorp arnluolA '[etdo9,p sop ? ]rêsQp un no xn0uuolqes
urerJOl un rêsro^erl tnod slsal sol snol q orll0ll salqes
I
sop rnaqlrer\ 'Z llreqPf '(q ap glueur8ne 1sa setdoq sep
JUOLUarqu-toluê,p ltnês ol) E oLULUos op olQB : s91trede3
unlne : slualel
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rTTo)
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"@Wùt ,@
ffi
ffiffiffiffiffiffi 'nEo sues srnol stnetsnld LaB
eÂo,t ap salqeder 1e 'sanbrlasgp suolllpuol xne sgldepe
luaualtelled luos sll orrorl e lteral"rod eu eppueButSgp
ffi ollanoqlrs;na1 anb sasnoulurnlo^ snld uatq sa8;eql
sap "rayodsuetl ap salqede: aLLlLl-los êp salQq saluall0l
xo.p luol setdog sa1 'êntOl olnleu rnal 9r31e;11 êLlarnleu
rnopo olrol rnol lê ollolpEleLl oqlJsLUQp -rnel la,te 's1ue3
-91qur nad enblanb luos s11 eut8uo,p elQueld rnol 'ouloolef
rns ourLUos op sêlQq Ja sarnluoul aLUulol sQSlllln solsnqo,l
luourLUeuuol9 sreut sluesed xneullue sap luos setdoP sa1
â=wxcawS {æ*F.æ"a§ **wæ} æ aæææ
 . ..tta

â{t&&§â§ rRÉ?d§,L3 ;{Yl**{,â.{ {§i?ià1"1

Parfois comparés aux ptétrneurs craciens ou aux kybucks, Rapides comme l'éclair el prêsentant de bonnes prédis
de
les kaadus sont des reptaviaires bipèdes agiles à bec posilions au dressage, les kybucks sonl natifs des
canard, onginaires des marats de Naboo. A l'instardes plaines de Woolwarrica sur Kashyyyk, patrie des
fambaas, ces bêles amphibies ont été dressées avecbrio Wookies. lls ressemblent vaguement aux taunlauns,
par les Cungans pour rendre clivers services. Lesguer mais sont plus petits, dotés d'un pelage court qrli varie
riers gungans considèrent les kaadus comme des mon du brun roux au brun foncé, d'une petite queue et
tures dtgnes de conlrance, et dêveloppent souvent un d'éparsses cornes. Contrairement à la plupart des mon
lien êtroit avec elles. Des lambaas et des kaadus ont tures bipèdes, les kybucks présentent des sabots fen
même pris part à la bataille de Naboo en 32 av. BY En dus plulôt que des griffes ou des coussinets. Il
revanche, les Cungans rechignent à vendre leurs kaadus s'agil peut-être là du secret de leur vitesse surprenanle
et préfèrent exporler d'autres espèces de montures. Contrairement à beaucoup de montures, ils ne sont pas

ffiffiffiffiffiffi
\-4 ,,iî. iÏîî'
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-:
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**'#ffiffi*
fuffiMffifoÉfuffifuffi
r@ r@\ @l
|-*A) i*-ll*: r'9*|qJ
compérences: Arhrérisme 2, vigirance 2
ïalents : aucun
Capacités : Amphibie fles kaadus peuvent respirer sous Compétences : Athlélisme 2, Pugilat ] , Survie 1

l'eau et ne subissent jamais de malus lors d'un dêplace- ïàlents : aucun

ment aquatrques), Domesticable 1 (dégradez 1 dé de dif Capacités : Cabarit 2, Pied sûr (les kybucks ne sn
liculté des tests destinés à dresser un kaadul, Cabarit 2 brssent;amais de malus lorsqu'ils se déplacent en terrain
Équipement : patles (Pugilat ; dégâls 7 ; critique 4 ; por accide ntéJ
tée au contact) Équipement : cornes (Pugrlat ; dégâts 6 ; crttique 5 ;

portêe aLr contact; Dêsorientatton 1)

. !tir.'.,*" ;,i.,' l-l ,

Les origrnes du Narglatch sont nimbées de myslère.

OLroi qu'rl en soit, celte créalure est utilisée comme
monture par les TaLz dans le froid polaire d'Orto Pluto-
nia. En outre, cette espèce se décline en plusleurs va-
riélés sur d'autres mondes à travers la galaxie, y com
pns dans les marais de Naboo. Jamais véritablement
domestiquées, ces félinoldes peuvent être entrainés
pour devenir des montures loyales et redoulabies,
quoique lêgèremenl obstinées. Conlralrernent à la plu-
part des animaux de monte, les narglatchs sont de
grands prédateurs aux inslincts de chasseur, qu se
meuvent en toute discrétton pour surprendre
leur proie.

ffiffiffiffiffiffi
,r@i» !@@\ i@igitù\
\**E-; \*A) \!_I_q-r
Compétences: Athlétisme 3, Discrêlion 2, Percep-
tionl,Pugilat2
Talents : aucun
Capacités : Adapté au froid fles narglatchs sont immu
nisés contre les eflets du froid et des environnements
gelés), Bond féroce (si le nargiatch exécute La manceuvre
Vrser, il bênéficie des elfets de Renversement pour sa
prochaine atlaque), Cabarit 2, Sans peur (Les narglatchs
sont lmmunisés contre les elfets de la peur)
Équipement : griffes (Pugilat ; dêgâts 9 ; critique 2 ; por
tée au contact, Jumele 1, Sanguinaire 3J

=Æ SoRTIES PÉRILLEUSES
ffi-' GIBLE vErrnour-l.ÉE
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xnerQUrLU xne alcrJ se8reqr soptnol ap lLodsuerl ne eQl
àqr u ee -depe surour puaJ el steLU'puoq ln0s un,p s0lqeJ0prsuol
saluelsrp sop rr^nol ep laulad tn1 enbtlsuql:erel êlloJ
'atueuardrns glarQSQl oun,p lsa o^el ap arnd e1 'ueÂoLu
aplournbç,1 anb essol8 snld lueuelqeloptsuol llos
§§§n:NEl*j 53m X!§d : ÿ-§ 3"f §W* e11e,nb uarg autBuo,p opuoLU uos ep anbruerlo,t luaul
-ouuo.lAUa,l suep êJ^t^lns rnod Qldepe lse,s tnb lueQB
epodorqlre un JSO ouuaueJelsnlu olel ap a:nd e1 'atxeleB
(luauresle,tua6 I lleluol ne eollod : ÿ anbll
: lueuadlnbE el êp salrlosur snld sa1 so.tnluoLU s0p 0un,l lu0LUalqeqord
-lt : Zl sle8Qp : 1e1r8n6) srnp sloqes
[o1uol ap sop ? sQn]lêlJo Ot^rns op slsol {ïwecæ3 §ruru§*æw*wâËffiffi æ,&w= §* æ=rE#
xne ! zeinole) | egsseLp ornluo[,\ 'aileqeD'(oluor un
rossorp Q sOUltsop stsot sap ÇlnlUJIp ap 9p t zapeLSgp) (6 uorlelueuosoc : lleluol ne aQllod
I olqelrlsoLUoC'(0 1 op gluaLuBne lsa soluoJ sêp lu0LU 'g enbrlrLr:B steS9p:1e1r8n3) enenb'(lreluor ne e91.tod
-orquro)ua,p lrnos alJ O t ou.rulos ap alOB : s911oede3 : Z onbrlur : g s1g39p : 1e1r8n6) sel3tr8 : luauedtnbg
unlne : sluolel Iuot]erl rneutlgtd ap sop q sQnllaJJo
f orAJnS : secuelgdtuo3 or^rns op slsol xne [ ! alnole) a a?ssaJp orn]uor\ 'a llr
eqe3 'Iuarrerr -rneutlgtd un ]assoJp ? sQUIlsêp slsal s0p
?lnlUJIp op Op un eperSgp) L olqeltlsouloq : sg1lrede3
aTIl :--11
.@/ un)ne : sluelel
\@l
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6 1e1r8n6
'1 uorldaua6 'g uorlgrlstC ' L oLUIef : secuelgdtuo3
ffiffiffiffiffiffi /*_s--)
qlneÂo1 rnal luatr?rdde t@t ,t@@D_,t
r'0To) ,.a sI ir/)
xno lo^e luallre^erl rnb xnar lê autoolef ap s1.todot1
-eds se1 suep lueJnol alrelrads un sutoLU sed luolnoul
-êp uo,u xneuirue so)'€lal gr31ep1 teÂel33e sa1 lteLrnod
rnb ur8ue un e sQluoJluor orlQ,p sed luenbst.l au slt Io ffiffiffiffiffiffi
'segldnad ned seuoz sêl suap sOSIlrln luau.lelqrln39l luos sêlloqou s.rarle^eJ sel rnod
soluoJ sol '1ÂÂÂqsey lo outoolpf 'atqnN luop sapuoLU sêleQpr sornluoLU sap lrel ua rnb el'alqenbteiuar ellernl
.sosno^JOU
xnorqLUou êp rns sluosgrd enb uetq sarer -eu uorlOrlsrp oun lê^e luareld?p os suatleJl sLneurlQtd
UJO sarnluoLu sop aJlo rnod sÇlndot luos soluol sêl se1 'sed enbrpur,l ou LUou rnol auJLUoJ qloH ap sunelunel
'SEMEI SOp êu.lLUOS 0p SO]Qq OLUu.lol sOJ0prsuol lua^nos se1 quelladder lo spror1 sluaLUêuuolt^uo xne sa9ldepe
ffi luouJOrQrlnlrlJed luos 3uo1 lrod q s?lgtreA se1 sltod srnal
âreweaæ3 *eruææ
ap rnanSuol e1 ied lueualedtrurLd an8utlstp uo,1 anb
'sagUeA saler u0 luaurlr0p 0s sll s0QSSêrp s0llr0lo xne l0
ffi l]reluor ne aQlrod xneoseu sa8rel xne aQSuolle oleJ aun lueluasQ.td stnau
I 9 anbrlrrr : g s1939p : 1e1rBn6) st:soqord : lueuedlnbl
-rlgrd sel seluesstnd lo sêArsseLU erQtrLe selled sap la
g lrLeqep '(e,te;
salueq)uerl se11u3 ep sorunuJ lue,te selled sop lo^e )noB
ep ernd oun rossarp ? sQUrlsep slsal s0p QllnlUJtp 0p 0p
uo"r sol8 un lo Ielaql un orlua luoLrasro.ll un ? lualquês
I zepeL8gp) l olqelrlsêuroq '(xneluozuoq no xnelllJa^ -ser sapQdrq so.lo^rqrêLl sa3 arxeleB Pl suPp senpuedgr
slnes sêp rosrle?r rnod e,te1 ep sarnd sêp oulsll?lLjlV,p
snld sal so.rnluoLr sêp oun,l luas?-td q luos suotlell srnou
stsat sol snot € E ! zelnoÇ) puo6 '(stueluq sluoLuau
r19rd sel 'lrlerodLor rnollos al suep 'tlPrl êp sQlrodx3
-uor^ua sap l0 rn0l€Lll el ap slaJJ0 s0l 0Jluol sêQSlunLULLll
luos a^el ap sernd sel) rnaleqr e1 q 91depy: s91lrede3 â=erruæ3 ruæ â3Y*** tr æE ru EÂ* i€§
 ffi§.§p§e§§ §R§&§eL3
Les rupings d'Onderon, au vol noble et gracieux, sont
dressés comme montures volantes depuis des généra-
tions sur leur monde d'origine Plus sveltes que les thran
tas dAldérande, ils ont éte employés comme éclaireurs et
montures de cavalerie lors de la bataille d'Onderon, du-
rant la Cuerre des Clones. Capables de voler en altitude,
les rupings sonl dolés de deux paires d'yeux qui peuvent
se river simullanémenl sur un prédateur et sur une proie,
ce qui leur procure une conscience exceptionnelle de leur
environnement. Bien souvent, ils flairent le danger bien
avant leur cavalier, el sont rarement pris par surprlse
ffiffiffiffiffiffi'xffi'ffiKffi.H
E Ë MÉÊMâÉ4ÉÊ˧
L_J:r
Compétences : Coordination 2, Survie 5, Vigilance 5
Talents : aucun
Capacités : Créature volante fles rupings sont capables
de voler, voir page 21 4 du Livre de règles), Gabarit 2,
Monlure dressée 1 (ajoutez E aux tests de survie elfec-
tués à dos de ruping)
Equipement : grilfes (Pugilat ; dégâts 7 ; critique 3 ; por-
tée au contact)
SORTIES PÉRILLÊUsEs
GIBI-E vERRor,LLÉE
TAUruTAUN [RilfALI
Natif descontréesglacéesdeHoth, letauntauncommun
est le plus gros replo-mammifère bipède connu. Ces
bêtes emblématiques sont herbivores : elles se nour-
rissent du lichen et des pelits végêtaux qui poussent
dans les cavernes et les autres endroits réchauffés par
l'énergie géothermale de Hoth. Leur êpaisse fourrure et
leur couche de graisse leur permettent de survivre à la
température glaciale de leur planèle, excepté Iors des
plus rudes tempêtes. D'une taille qui peut aller jusqu'à
2m50, les tauntauns lont d'excellentes montures (un peu
bornêes, certesJ pour mener des missions de reconnais
r@'r r<@E@l
\-1-s:-l L!-UJ
r@v.
Compétences : Résistance 3, Survie 1 , Vigilance 1
Tàlents : aucun
Capacités : Cabarit 2, Monture dressêe 1 (ajoutez I
aux tests de survie effectuês à dos de tauntaunJ
Équipement : cornes [Pugilat ; clégâts 7 ; critique 5 ;
Désorientation 1)
Yffiffi&r*3R §ffi§WeL}
À prêsent menacés d'extinction à cause de la destruction
de leur planète, les thrantas étaient jadis nombreux dans
les cleux d'Aldérande. Conlrairement aux autres créatures
volantes, ils n'utilisent pas leurs ailes pour dêcoller : Ieur
corps produit naturellement de l'hydrogène dans des
poches internes, ce qui assure leur portance. ll s'agit cer
tainement de la raison pour laquelle les thrantas ont êvo-
1ué pour devenrr des créalures purement aêriennes, qui
n'onl plus besoin de pattes pour atterrir Avec le lemps,
les habitants d'Aldérande oni domestiqué plusieurs varié-
tés de cette espèce pour les utillser comme montures.
Aujourd'hui, on estime que seuls les thrantas communs et
Ies thranlas à lanons ont survêcu. Lun des rares mondes
où on peul encore en lrouver est Bespin, la géante
gazeuse connue pour sa production de tibanna.
ffiffiffiffiffiffi
i.._L,z@,@æiar\ @
i_tr; ,.0 I o l
Compétences : Calme 1, Coordination 1
Talents : aucun
Capacités: Créature volante fles thrantas sont ca-
pables de voler, voir page 214 du Livre de règles), Do-
mestiqué [la difficulté pour dresser cette bête n'est pas
améliorée), Cabarit 2,lnsiable 4 (lorsqu'un thranta subit
une blessure critique, ajoutez + 40 au jel de blessure cri-
tique), Vol stationnaire (peut rester en l'air malgré une
vitesse rêduite à 0),
Équipement : bec [Pugilat ; dégâts 5 ; critique 5 ; portee
au contactl
 =TrËtrl llslt
:::^:'t't uld SltrÈos
sornluê^e sarln€,p )o^e sv xn€ saldold suols
.- -,']oluasQrdo,.l llop ll 'nol op onb -.!- . '. - , :f
i i -lourqLLol rnod 19 oSed sv sal JeJeglul uolllos
ap lurod np 1o 'sv,l orllequo) rnod uoslel a ,i.o
ir-.\ \ zal..rodoè 1JôrqqrTil el
7âr tôd3! uorsslu.l Jnc olqluodslp
pt lns lnêllllle no
âtcllllod§lo ln0llllle
- :sJê^pe,l 'arolslq,l op onl
sie,rpe,1 'arlolslq,l onA ap lutod :. .. ..
n:: :
lulod n: ..-
:-- l.'-:lêU-.]
: .'-: lêu.l of llos o8euuosJod lal un,nb lnod salueql
: JASSêJ9lUI,S
JaSSêJglUr,S op alrssolqu
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AllSSolqu rul3uua un lajoqe[f SaUoJ ap e II ']lpl alêC aJQure) 3u.lgul el lUoAInS
{t saniiQllol^Ap
lnO SAndQllOl ap ]UUSIOIJ
luêslorl eu0u lo saJUJ sli^ll )V
luu5 >lu\rJ
sêJeJ luos sal
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slt3uil3 sgg H3Eu3 rnal'uloJ anb lual ua suorlerlaJJa xne lê àsna.ra8uep
.t 3er o,\ êlneq op oSelolld al led luess€d ua 'llnl
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.. ,ialuasgrdar op êLr-rQLU Q la SA OE-;a - - .. - -3 s-;nall lre no sslolld sluollolxo,p aluosgrd
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. . -: :r I pt;ê-) aÊtpt sntd st.tolsslLLl aD lLSluêAa
LUOI ? s?uoLue slojred luos olL Ê [ ::
ênp Un Sed luanllut,U SUOISSLLLj S: :- : 'l-las ll,no êSnel el nO Uolles
SUeC SV SOp Sêllol Ç SOJniLtlr
-: - - - .: :.: .- :- -:a S a lualod SllOAOp Sap êlllPd lle]
-lledel SOI luop SQluouJ]Qd\: ,r ,.-,. : - .: .-::\ :'3'D lqnd suolltledde SOp luenlloj
:: ::r: a SAllalle -]O^nollOl OS OLUQLU
l^d sop sQlppdef sêt lê^p sed tuasrreÂu au se.leslix\pe luautad satqQlql salolld sol oslnboJ lsa olJêdxo uolllol
- - .-:;-.,.1,5.0d sollnE,p'llp llo] uolloe
ssru sap ç lred luaulolerouoS luouuord
"31jrrqs ap êrlo; aun q no'êrretrlrluered no orrelrlrLu uorl
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luauuêrredde Inb t.iÏlj:
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5V S30 SNOl§§§§n§ §3§3
Ig e"rreurnBue5 ']leluol nP oQlrod
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I e1:nod salqeluourJnsut sollelsqo sap Jopelelso,p
llêurad Jnol Inb ssluBsslnd sa11tl3 ep slunLU luolll
r3o luos sll -aluelstp oJJnol oun Jns JêpoadsJle un
e assalr^ ap roslle^u ap salqedel luos sll,nb oulQtx
oler uo la sa.rnluour saluollolxê,p luos s1Âlrelen
'sr^eslêB ap le IÂÂÂL{se) ap soSe^nes sonpualQ s3l
luop 'sêpuotu êp QIQIIPA epuer8 aun rns luop olnoJl sal
uo la 'saouue.p slêllllul sop slndop soloq sol olrodxo
ug 'alueuerdlns Qlrlr8e rnol lo ossoll^ rnel lnod sOlndQl
'nol Suol ne sêpQdn]penb sorl€l^eldar sop luos sl^lleJ
-E^ sal 'nBdeln.p !Pln sol lPd sqnbllsourop lo SQSSaJC
[rvruu] lÂl:tvüvl
 Chaque combattant a ses raisons de participer à
une bataille. Même les attaquants apparemment
anonymes ont un objectif à l'esprit. L hisloire dé
termine quelles sont les forces ennemies suscep-
t bles de se morlrer : .l peur s agr' d'Jn e)( adron
de pilotes moyens dirigé par un chel talen-
tueux ou d'un appareil solitaire qui délre ,,,1
'As. Les crilères de sele, 'ion de. i ais
seaur ennemis sonL abordês oans la se,^
lion suivante. ldéalement, Ies pilotes et ,,,,ili"Fl
les autres adversaires dépendent de l'ob-
jectif que cherche à atteindre le MJ dans +#
le cadre de la rencontre, mais aussi du récit ,::E§
dans son entier.
Comme toujours, les PNJ devraient être do- :,:r'
tés d'une personnalilé propre. Si leurs émotions ôu
leurs ar^Lions ndividuelles ne sorl .er lainemen pas
visibles depuis le cockpit du vaisseau d'un PJ, Ie
style de vol ou de combat rêvèle cerlains aspects
de la personnalité de l'ennemi. Celui-ci peut être
agressif, sur la défensive, impétueux, têméraire, ti-
mide voire maladroit...
avec un ou deux talents dignes d'intêrêt. Certains sont
d'un PNJ dans le jeu devraient cor
Les caractêristiques particulièrement doués en Pilotage ou en Artillerie, ou
respondre à ces éléments Des adversaires aux capacités présentent dans leur profil des faiblesses spêcifiques que
relativement égales à celles des PJ sont susceptibles d'al- les PJ peuvent découvrir et exploiter.
longer la durée d'une rencontre de combat, dans Ia me-
sure où ils seront amenés à porter sensiblement le même ru*fssâ§s˧
nombre de coups que les personnages. Le MJ peut se
Une Némésis est au moins l'êgal d'un As surentralné.
rêiêrer aux statistiques des ennemis choisis, véhicules et
ll devrait s'agir d'un personnage que le PJ connait dejà
pilotes inclus, pour estimer la dangerosité et la durêe des
(au moins de nom), ou qu'il va très vite apprendre à
rencontres de combat. Les ennemis faibles ne tiendront
connaltre. Selon toute probabililê, il pilote un meilleur
pas longtemps, tandis que les adversaires qui leur sont
vaisseau et bénéficie d'un équipement améliorê. ll aura
supérieurs peuvent imposer aux PJ une retraite précipitée.
également ses délenseurs personnels (par exemple, des
PNJ de niveau rival comme ailiers), ce qui signifie que les
§æ§m˧
PJ ne seront peut-être jamais amenês à se llatire contre
Souvent peu doués, les sbires se battent en nombre lui en personne Dans cerlaines aventures, 1e garder à
pour compenser leur inexpérience el leurs competences l'arrière, à l'abri du feu ennemi, peut lui permettre de
limitées. Cependant, même un sbire solitaire represente survivre pour louer un rôle crucial dans l'histoire avant
une menace non négligeable s'il est en possession d'une qu'un PJ ne l'êlimine grâce à un tir particulièrement réus
arme ou d'un valsseau de même niveau que ceux des PJ. si ou sur un coup de chance.
Puisque ses capacitês sont limitées, un sbire ne touche
pas souvent sa cible, mais lorsqu'il y arrive, il est capable En lhéorie, les capacités de la Nêmésis sont au moins
d'infliger les mêmes dêgâts qu'un pilote plus expérimen- égales à celles de l'As, voire supérieures. Les compé-
té. Les sbires sont peu susceptibles de récupérer des tences avancées de la Némésis en font un adversaire
degâts reÇus ou de compenser les dommages subis par rêellement dangereux, et susceptible de survivre à de
leurs véhicules. Cénêralement, lorsque les PJ rencontrent nombreuses batailles. En outre, ce personnage devrait
des escadrons de combattanls adverses, la majorité des bénéficier d'un ou deux talents capables de le dêmar-
vaisseaux sont pllotés par des sbires. quer de ses ennemis et de ses alliês.

m§w&§.§x ËHL#trT'il 43ffi e* €s* L§6 k{&*ËS#&#H

En règle générale, les rivaux sont des chefs d'escadron,
des commandants de batterie de tir ou des individus
d'un niveau de compêtence approchant. lls peuvent
commander un groupe de sbires, agir seuls, en binôme
ou même en petit groupe. Ils représentent un défi plus
important que les sbires, et ont plus de chances d'infli-
ger des dêgâts et des blessures graves. Les rivaux sont
souvent des personnages rêcurrents, ou d'un type que
les PJ sont amenés à rencontrer souvent. Ainsi, le profil
d'un rival chef d'escadron peut être réemployê plusieurs
lois, à bord de vaisseaux semblables. Les statistiques des
rivaux devraient s'avérer assez similaires à celles de l'As,
Dans l'absolu. les vaisseaux el vêhicules exercent une in
lluence plus importante sur une bataille ou sur une scène
que leurs pilotes Un mauvais appareil sera une gêne
pour le meilleur des pilotes, et un modèle supêrieur pro
curera un avantage meme à un êquipage de dêbutanls.
En général, l'hisloire détermine quels types de vaisseaux,
de vêhicules ou de bêtes apparaltront dans une ren
contre. Le I\4J peut surprendre les PJ en améliorant ou
en remplaçant un varsseau ennemi, tout particulièrement
lorsque ces changements permettent de contrer le talent
favori ou la stratêgie de prédileclion d'un PJ. Ceci dit,
à moins que l'histoire ne permette au groupe de forcer

SoRTIEs PÉRILLEUSES
GIELE vERRorrLLÉE
 T_ftrrloü?El tlalt
s3snf"r'ïd3d sf t1Èos
r-ë lrodd€J rnol ollel in:l
*=-=
"-i 3luerllv,l ap )o ne rsurnolor luor^êp sll 'sel sol sr-,-
suec sluoluolQlx slauruJul sop red lQroJ el sJêÂE-i- !
3SSeLll UO Sud arlQ-lnad luorê^ os no 'xneSolll sluoLLl3 j
-inbQ sap Jornlord os rnod luaLUa8ue]le un Jotlo8gu :'a
?lrlrqrssod el sJolB luorne [d sol xnolrn] sal l03€lnc,rlr
rnod « aleuodLUr » ope5eJ êllal lluoluleul e luoll ulei.l: l
al la rou ?rllreLU ne leuQduJl aJlellllul lolrglsLU np êlpr.=
-rnod luesQrd ? luo^ros uo,s sloulLUl]l sol uopuEqE :
saQSSrel e sol oJrdujf,l onb sQJde suollellelsul sop Qrec -=
lsa,s lelol oLUUI np uoreq un,nb llr^no)op Jed luoss,.-
so8euuosrod sol xneuQdLUl sap ? lnol np sed luolq--..:
-sêr au lê luoL.LrasnorJn) luossrSe xnPrJodLUI sal 'llo]l ,':
êc guuopueqe 0lqur0s rorur0p 0l sl?LU '0rlOle,l: r:
np axoldlxol osuourujl,l luor^nolQp fd sol : t alued
,.t ._:.
sopuos sêprorp op sallrnorled sap roll^?,p olulerluo, -
os êllê rel 'aroleJoqel np lusLUareldLUa,l ap êLllc,;
odrnbg,l anb ornsêLu e oJoluo anbrldluol as uottz
el 111O3
rnol ? sQrl srnêutl?td sal ra^norl luolq[ras -:-
srr?rd la septder saro^rure) sêp : s1s391 oune; el t3 :
cJS.o \ne luauaprdel tua\nollJ, èS slt lLoL, c'
leN QlSrop la^e ornJUou] rna{ rêuour q ê3llqo sêl a
urerol al tQroJ êssredQ,l susp luarlQuod ;6 se1 : z êluEd
errdiu3,1 ap srnala\
-JASqO SIOTIUOIOd SOp xno^ xnE OrnlrOAnO) rnê1 J3 JêSUOf
€ rollro^ le srnaurlord rnal alo^ ou auuosJod onb Jarnsse.s
lua^rop sll llelQq op spueqlreur sap Lnod ressed
la aLlrord oruolol oun rns luanbreqgp [d sal : I
oQlt_lrB olQf 'rolle^eJ : s91t1etr9d5
'sauuau0erlue l0 sorlsoJr0l
sêsu0JÇp s0p -.>- '
? neassrE^ ua no lopaods uo lresreJ os ollo IS uoi-:,
-xa,l luaLUalroJ lreJanbrldLUor rnb er 'osuap lQro, 3-'
n0rlrLU ne0q ne o^norJ as uorlellelsur;l 0losr lE ,, r
Orrolsroqsl un ro^noJl e aQurlsêp êluessreuuolor 3. ,
-srLU oun edrnbg,l ? oUUol êluelllv,l suone.n sin;,. ,
sap roluoLU rnod sqnop luouraurgJlxo luos sv s-:
§3ru&f*§âw*i ***3§æ æëë &ffi ;§ ru §â§ l*
eBellorOp np alrssngr el lo 'srl ap solej€r sêp s'-':
sal suep Q8req: lsa uouel al êQTJUO uos ê,1 E-
srnosseql op uoJpelso un lrsroql anb luauc--.
lsê,J xneossrpA sol orpurolle rnod elrorp aLti -
el ap Srol aSSeLll U0 Sallêq0U sal lu0uu0,i0 :.
salrq repaeds op aureznop au1 o8re: XIEêSS r
ua o^uJE roluor ol anbsrol a,nQl as alQdruol . : t êlued
'stuessat?tur snlri p56 sal clpuor
ap ta srnanof sap talelur.l ,ranbrd ap laur;od alnlsp
aljal 'piesell -Jed alanno:op luo I-d sol .?nb auualf
-ue uollestll^D aun p sa.rquJau so1 raluasgtdar ap
uqe salrrou sJarJJanS sêp e raileAUJ ap stuolel sop
ratnofe inad fl\ al 'alduaxa JEd : sôSeuuos;od êp
sadil rnearnou ap e sgnbrldde oJ]O rssne lua^nad
salr;er:ads saureiJal ap sllodse sal 'sluaulo lsille
sanbiant) lrJeuuaÂonl'srnol xne sclq el q LU 0s slu cl B.l
sap ta saiireder sap lualuasgrd tnh-r sa8euuostad
sap ? salualgdtuo: slnal lcrnsaLu ap uotsg)lo,l
lajja u3 tuorne rd sal rNd xneo^nou êp Jluêl
-3ft',;.',i',â,i1iÏ#i,,3Ë',J':,;T','jr:iJ]:1,1d
sJllu]tulrlv sv rNd
'xner?tellol s1p39p se1 Jatt^9,p alqls
lueSrole,s uo solnrrl.lg^ srnol êlpuaJgp
p,reu8eluour xneoueq sa1 red luessBd
au sal JrlualeJ ap lualual J0 sJollnor
yelsurxneuqdul sol 'oJpuêlle snld sue5
aleugdur e11rno.r1ed oun 'rnolor np ulul
Jr.uopuê solnlrqgA sêl ê1eL{ e1 q lueLedqr
isal rns sêgqlelgp sarqrd sal luesstlred
: luerQdn:Qr fd sol : Z olued
-: :il,'no suorl€l3dQ.r sêp luo8lxo la
. -::-:Cs sun?lral aluplleq ornld pl lo
- , : .,,T'r SOI IEd S?PJE]O] ]UOS SOIN]I1,1
snld elrssargu e8eÂo,t al oQUUop
3jlp ua rO^uol êl raluel 0p lue^€
I seprder sreu sgredgs saJtelgutJt
:-: - ,. -: :o nb et'xneu8eluoul utelleJ
: ::-: ,r s0uuol]ue,p
SOUUOllUe D lo SOlnol
SêIUAIOJ solnor
l0 sêlualQJ
l-- a : l s0llrel s0lnol ap lê sQLUrs si0p
.. . , -: --:ls aluerenb ap roldLua,l lretnb
: -. ,:.']: un,p l"rodsuell ol : I olued
: .. : - .r rnêllrlrv lnoluoj: s91t1etcgd5
o1e xnarrgrd ;ne1 arp:ed ep anbsu ne
I aJpuêlle.p ar11er-ured os luolnêd ou
xne lod al luoJ^nolÇp xneugdul se1
l uorlsenb aun,nb lsa,u er la 'luer-ueB
, -,...:.lnl9r elnol luaq:QdLue aqrord
, , - -.-ed sap la ue8erno ull soqlpl
' -.'- r--snl oouuopueqe olteualloLu
odsuerl 0l luo^rop sreur 'aqlJeu ap
un rns UrELU Pl srLU luo sall0q0E sol
SNO V ÈiON\D nvssunoS
'NOI.r]]8JU \fl IO
0l suep l0 0unlo^ or suep solues
) Qlgue^ epuer8 oun lo^e sêlqrl
:l- : r, -:-: sornluo^e,p sagpr senblanb rrro,1
.
5N O rSSrhr I3 §§H§T-&?t§ï§rkW
:: 3p laurLUos ne lso a..ilesra^pe,l
: :.rln?0q luos ssleuu s0llreleq
:: .', Un,p ll^lêS 0S q 0lleslê^pe,l
 §-§§ m§§&Mp§e§§K§ m§§
§ ar dêfaut. es rêcompenses des As sonl similaires à l'efiicacité des rencontres qu'il propose. Si I'aventure n'a
I celles des autres carrières, lout particulièrement lors-
qu'ils sonl intégrés à un groupe aux carrières e[ aux per-
sonnalités héléroclites. Ceci dit, les campagnes centrées
sur les As sont généralement portées sur les combats,
qui risquenl d'être particulièrement fréquents. La sec
tion suivante allorde la gestion des XP en général, et se
penche sur les moyens dont un MJ dispose pour modifier
le syslème de récompenses dès lors que la campagne est
tournée vers les actions militaires.
LE§ &§ ET tE5 XP
Lorsque les As travaillent aux côtôs d'autres carrières,
r tous les personnages reÇoivent sensiblemenl le même
nombre d'XP selon les indications du Livre de règles de
L'Ène or Le RÉerLLroNr. Le MJ peut accorder quelques XP
supplémentaires aux As sl ceux-ci se sont illustrés dans
des rencontres spécifiques. Dans le cas des Piloles et
des Fonceurs, c'est probablement la compêtence Pilo-
tage, et peut etre Artillerie, qui sera récompensée. Les
Artilleurs peuvent faire preuve d'une habileté excep-
tionnelle, ou diriger et coordonner avec succès les lac-
tiques de l'équipe, améliorant ainsi l'efficacité générale
du groupe. Les Cavaliers peuvent faire des prouesses
sur le dos de Ieur monture, prouver leur maîlrise dans
des circonstances extrêmes, ou aider des cavaliers
moins expérimentês à mener leurs bêtes. Les Bidouil
leurs peuvent être rêcompensés pour leurs bricolages
astucieux, des constructions plus complexes ou qui leur
,-..* ont demandé plus de temps, ou encore des modifica-
-§§-l':ë
-j' tions avancêes qu'ils ont reussi à implémenter en un
-æi
#- temps record.
Atlribuer des XP supplémentaires doit rester excep
tionnel, à l'occasion d'une bataille ou d'une renconlre
.,:-.=.=i
importante durant laquelle lAs s'est illuslrê par une per-
'.=,:-:==i:-':
formance remarquable. ll est rare d'octroyer un bonus
=-:.1=:=-
d'XP au terme de chaque session de jeu ou de chaque
aventure D'un autre côté, si le MJ se rend compte qu'il
n'a pas octroyê d'XP actditionnels depuis plusieurs ses
sions de jeu, il lui faudra peut être remettre en question
*&=.ÉiÂ
,F=== .i= SORTIES PÉRILLEUSES
!F=
€ CIBLE I'ERROT'LLÉE
i?
Æ#1 .
A§
pas permis à un As de gagner des XP supplémentaires, le
MJ peut lui donner une aulre chance dans une rencontre
suivante Des performances médiocres peuvent justlfier
de faire I'impasse sur le bonus d'XP Dans ce cas, le l\4J
pourra conseîller le joueur au sulel des points ou des
tactiques qu'il a manqués. Si le joueur a fait des choix
sensés mais qu'un manque de chance ou des rêsultats
dêfavorables aux dês sont à l'origine du problème, le MJ
pourra accorder un bonus d'XP symbolique.
LE§ XP *&&&§ #&é§ {§âMP&&ffi§
fr§ruTffi§âE §L!R tE f,üh{æ&?
Le Livre de règles de lJÈne or Ln RÉeeLLroN part du
principe que les aventures sont composêes de ren-
contres de types variés, où les combats apparaissent
en nombre limité. En règle générale, les personnages
ont la possibilité de dépenser Ies XP récoltês grâce à
leurs efforts pour amêliorer des compétences et des
talents de leur choix. Lors d'une campagne ou d'une
aventure centrée sur les combats, Ie MJ voudra peut-
être modilrer ces condilions et ces attentes. Les PJ
qui prennent part à des combats de longue durêe ou
à des batailles épiques passent naturellement plus de
temps à résoudre des rencontres et des sessions de jeu
consacrées aux combats tactiques. Alors qu'une ses-
sion d'aventure classique peut couvrir des heures, des
jours voire des semaines dans l'histoire, les renconlres
tactiques monopolisent un long temps de jeu pour une
situation qui ne dure que quelques minutes à peine à
l'échelle des PJ. Les As risquent dès lors de récoller
beaucoup d'expérience tactique d'un seul coup, au dé
triment des autres compélences.
À la discrêtion du Mallre du Jeu, les opiions suivantes
peuvent etre envisagées, ou adaptées à un type de jeu
centré sur 1e combat :
Réduisez les XP octroyés durant les aventures de
combat, ou la fréquence à Iaquelle ils sonl distribuês.
Dès lors, Ie PJ améliorera ses compétences plus lente-
ment, tout en passant la plupart de son temps à com
battre. Cette astuce reflète la différence de durêe entre
 zsTrnqênr3n glal,
SrSnrrruld sfrJ-ëos
æ
'ssSeuuosrod srnal lêrotl?LUe,p lnq
anbrun,l suep sTLUOUUa sop rênbelle,p soluol s€d luoras
au ld sol lo 'suorlednlfogrd sap orlual ne luorêJSOJ uols
-srLr-r el lo êrolsli..l,l 'rsulv sêlnlrL.trQ^ êp no xneossle^ ap
'sruauuo,p arquou urelJOl un nlule^ JUauoJdLUls Jlo^e
rnod sOnqr.rlsrp orlQ sed luarer^êp ou dX sal 'uotldolxa
alr?l lnad rnêleLu ILUêuuo un ]ns olrollr^ el ts lequrol
ne srLUauua,p sodnoJS sop no snpr^lpur sop nluleA rlo^e
rnod luauonbrun dX sap roprolre,p eJall^Q fr\ al 'lollo
uf sênbrssell sornlua^e sap sJol êlJOJJo êllal ? aleS? orlQ
r :-J 3un Jlo^êlêr e S0uaLUe luor lrer^op sv xne s?^oJllo dx,p Qlrluenb el 'luoLUale0pl
dX,p 0lllttr?'a ;,c
'sêglroldxo
os slr 'uorssrLrr -i': :c l:-13.: op solqesuodsoJ luos slr,s luouJaurald êrlQ .rnod untnj dx,p suoddP
'suroLU uegN sa?? -, -. : :,.: I : :,-'r e p sorlorpQLU salueur-roJ sap arlQ-lnad luorolrssolQU sesrnbls rsure soluPSSIeuuol
,ad sop -rrl?d s:l - ,: =-. ::-.=l-ltol?l lnôl 'soleluls 919 sêl|ê^nou sol luêLuoujErluo,p suorssês sêll0l ap srnol ne
,
luo fd su{elra-r s - ,: ..' -.--? rlpêl suep soSEuuosrad JOSUOdQp SOI rnod saluopÇlord sarJuoluêr sêp srol sQllol
sol red Qnol o a.. = ,-: :: .. l, ie duer np êrollr^ el -Qr dx sêp orlred oun ro^rêsor op srnonol xne rêpueuop
lns lUêLUêlQllUa -,:: l=. :?l -,: ?-1.\êp êU SIIOJJO dX Sêl lnêd ft\ êl puodQp lr luop uorlesrue8ro,l ap no roluoLU
'sêllleleq Sapue.: :- -. ... : -\ . srluoq un r0qlorl?p uos op lred Pl op 'solLrelsq sêl êrluo luêLUOUlerlua un IoA
ap luolloluloc ":, :, - r': :-: -,.:s axaldLuol êr8?lerls -olor srnoIno] lnad sv,l 'sêluêl?dLUol op suorlerorl?LUe
AUn UOrq q l0Uê-- - : -' : =--a. -?7UJA) 0p SUOlllpUOl sap ? luêLUêlDUlrp êlQrd os orolsiq,l rs soluolgdLrol
sapqroldep?S .- : -, :: -.- =. ,rxêldLuol el e dx sarlne,p roror|QLUe,p fd xne erlloLurod rnb al 'leqLUor op
Ud SdSUJd UO O, , suorssos sol orluo soQAOl orlQ luornod suotllulsor sol
=--? a]tQ tnod llN ol
'sO..li?s,: :,:: - - -,='a ., ? sqll luatos olueliSrA la ar^rns 'êrSolerls 'oluelsrsou 'teltSnd '(oriel
d\.o s'uoo :, :: ,?quol sroL{ -?ueldl o8elolrd'uorldolrad'(sêpinol soulJe) oluelslC
sasuadLuolQ.] sa: - -. - -. - ::,lo.P nad lUo '[sarq8ql soLU]e) oluelsrC'uorlgrlsrC'ourldnsrC'uorleu
s.rnollrlrv sêl s::. - -.,: a .-? s?rsdLUol . rprooJ'luêuJ0pueLULUoJ'uorlDr00J'êLUIef '0LUSrlQlLllv
soluolodLUol xnE ?lrLUrl oJlQ lnad rêrlPAel un'ornluoLU
es rns leqluol un E QdDrlred ro^e sQrdP'rsure :sênbu
DQds sêluolQdLuor sap q sogrl luos sQlrleDQds sourel
! sêpel sosouls:,.--,:- --j - ::
-JOl 'orlno ul oluelrSr^ lo orSQlerls '(oredsê) oSelolrd
æ 'uorldêlrad'ênbrlpLUroJUl'ourldDSrC'luoLUOpueuLUoJ
:SP un rluê^aQ ,c \l uorl 'oLLrIeJ' uorleSorlsv'auolIrlrv,nb sal lal solualgdLLlol sap
-esrueSlo uos aa .. p trnol ? QllLUll o]lQ lnod sv ololrd np suorlr?rorloLr.re,p xloLll ol
noJ se,nb lur?t ,.: : ' bs-lol . 'srnosseLll orluo leqLUol un sQrdP'êldLUêxo red olllel
: sel sur8ltêt s- '0ll0u u0 rl eq el luernp sa?srlrln soluolQdLUol xnP uorq no'Quuop
'dalxa relsar -.:: o snlure^ solualQduol op xroLll un ? dx,p uorlesrlrln,l zallLull . lêl
-orlQLUp lnêd ld al onb soluêlQduJOl sal zêu8rarlsoÈ
srLl]0uu0,p a[_-.,. lo lu0uJ0l
-l0uuorsellc ?,.'-' qA sop no 'so
llaAn o u
l 1 XNEOSSIE,\ S-:C ,,': I luos s0lll êp orpuordde uo no soluolQdLuor sLnel rororloLUe rnod
'se,p suorlrpuo) sdLUêl êp suroLU op luêsodsrp fd sol sollênbsop srnol
lêDl_]. r.- -
op luouÊEa*,::: '1!p Ilaf ne 'sanb,rllel sarluoluor sol lê sênbrssell so]llluo^e sal
 Les personnages militaires peuvent être promus
§Kffi§§T§ §Y E&§Yffi§§
§-K§ el profiter des avantages associês à Leur nouveau
RECOMPENSE§ grade : un meilleur salaire, un poste de comman-
dement et la possibililé de solliciter une aflectation
Les As reçoivent des primes, mais aussi une multitude particulière. De telles promotions restent relative-
d'autres récompenses. Les crédits sont toujours po- ment rares.
pulaires, mais un PJ peut aussi se voir offrir des êqui-
Les personnages peuvent recevoir des honneurs,
pements, un vaisseau, des bonus de réputation, une
tels que des médailles soulignant leur courage Iors
amélioration de sa valeur de Devoir ou encore une pro-
de campagnes militaires spécifiques.
': motion. La nature exacte des recompenses dêpend de la
situation personnelle de l'As. Les grands as sont précédés par leur rêputation. Le
. PJ peut obtenir une certaine notoriêtê auprès d'une
Les As rebelles reçoivent une paie standard, mais
organisation militaire, d'une force ennemie, du public,
pourront décrocher une prime s'ils se portent volon
de leaders influents ou de tous ces groupes à la fois.
taires pour une mission rsquee Elanl donné la situa-
tion financière compliquée de IAlliance, une prime La valeur de Devoir peut être augmentée
modesie constitue souvent une récompense de taille. (cf pages 46 et325 du Lvre de règes de UÈne oe
r Les As qui font olfice de mercenaires sont payés en
l-n RÉeeu-rorrrJ.

conséquence et reÇoivent parfois une prime en re-

.
connaissance d'un lravail exceptionnel.
ætrEru§ffi e*ru.e§
Les As indépendants sont payés « à la mission ». Ce
type de lravail est diflérent de celui du mercenarre, Taut pilote de chasseur ou artilleur professionnel caresse
puisque les As agissent parfois seuls e[ eflectuent Iespo_ir de se faire un jour appeler as, ou de recevoir le
une variété de missions qui ne reposent pas systê !'lfe équlv?len-l au sein de son organisation Plusieurs
matiquemenl sur la desiruction de l,ennemi. étapes sont nécessaires avant d'atteindre le niveau de
reconnaissance et de compêtence associê :

L§§ ffi §âtr*§b§ pffi §r§§æ§

M&§a€§ë âLL§ffi
Les vaisseaux, les véhiculeset les équipements emprun
tés ne font pas partie des récompenses de lAs, dans Ia
mesure où ces objets doivent être restitués s'ils n'ont pas
été perdus. Néanmoins, un PJ peut gagner Ie droit de
garder ces équipements en récompense d'une mission
réussie. La plupart du temps, les As n'ont pas l'occasion
de piller un champ de bataille (ils n'y sont d'ailleurs pas
encouragés) ni de s'enfuir à bord d'un vaisseau dérobé
aux vaincus. Néanmoins, s'ils le font, les biens obtenus
feront partie de leur récompense.
Au sein d'une organisation militaire, les As sont assl-
gnés à un vaisseau dont ils sont rarement propriétaires,
tout particulièrement en ce qui concerne les chasseurs.
Dès lors, les récompenses matérielles peuvent prendre
la forme d'une amélioration du vaisseau, ou du prêt d'un
appareil de meilleure qualité pour les missions lutures.
Le MJ peut influencer la valeur d'un vêhicule proposê en
jouant sur son état de vêtusté. Les PJ pourront ainsi ac-
quérir des véhicules en dehors de leur budget, si ceux ci
sont en mauvais êtat.
r Reloindre une organisation mililaire ou paramilitaire,
avec une structure et une hiérarchie dêterminée
. S'entralner pour devenir pilole ou artilleur et être
alfecté par la suite à un escadron, à un vaisseau ou
à un vêhicule actif.
. Dêtruire, n descendre », ou vaincre un nombre dé-
terminê de vaisseaux ennemis. Cênéralement, ce
nombre esl fixê à 5, avec quelques variantes selon
l'organisation concernêe. Certains groupes ne font
pas de différence entre les cibles, quel que soil leur
type, Ieur modèle ou leur configuration. Parlois, les
as sont séparés en diflêrentes catégories en fonction
du lype de cible abatiu : chasseurs, vaisseaux capi-
taux, speeders...
Certaines organisations ne prennent pas en
compte les victoires oblenues à I'aide de systèmes
automatisés, tels que les missiles à têle chercheuse
ou à ciblage automalique

ê-§§ mxâcæM p§r*§§§ ruYe*§§

§ â § L§§
En général, les récompenses intangibles se présentent
d'elles-mêmes en cours de jeu plutôt que d'être prêvues
d'avance et octroyêes à la fin.
. Le succès des missions peut permettre aux per-
sonnages de monter en grade et d'obtenir des
missions plus importantes. Ces rêussites peuvent
ouvrir de nouvelles perspectives à exploiter lors
d'aventures ulterieures.

SoRTIES PÉRILLEUSES
CIBLE VERR T,EÉE
 =TrrtE \ tE,
=3-:- =: = -:OS
oqlord olqll êun r 'sP,p êrlll al ll05ar l{ 'sall0ll
..'^ .r0LU,luuol ap louri=i - : --: dLUol sorollrA ap uosteulqulol êllonb
-.--.-srSaruê sêp no srLUa,. - , :c sooLuroJ no 'solQldluol sêllolll^ g êp
:. ., 3lralQdnlol'suorse: . - rxellgr os rnollrlr€,1 no alolld ol onllsrol
. -.'r-) 0Io^ 'soouuop s: 'sêlJoSSP SlnèUuO,.l SAI
llOj
:. .. ? sorl saLUQlqord e: :- ruenbell€ un ? oÇrl orlo nd e olqrl oun,p
. :---rllr^ sroJJed luos s-l'-: -::: ?l ap olrlrqesuodsar aurold el anbsJo-l
sallorlJEd sollolll^
. .-..,n0[ sol onbsrol sO-]-- , a;.,: xnEOSSle^
: . - -r srnale^rOsqo,p slêr-: luoLUarQrlnSQJ luos xn€lldel
: -._-2 Un,p sJnosuas s0p :- ..-: proq Q sJnollrlre sêl ollollled a.llolll^
.-- lulle erê^ 0s au srn0llllre saJlne,p )o^e
. . ,;o,l onb orer sed l:- -: cl ua olqD oun llnrlQp lnb lo lli op oll
-, . --.cs lu€nbellP neoss: . - -,' no allêJnol oun suep ?lsod rnallllJe un
-: -: Sal'lUaAnOS Snld ê- .. 0l
:- rlrQrx el 0c arollr^ 0ll0l ep llpQll
*J. rrJ -, -,eA lua^nod rnb's; . - : r 3s lroredde anbELtrl op sololld sol 'srnos
. ::lcrL8^ OrlQ luo^l0p s=. - '-cr .r?d llnrlop lsa nBOSSIeA un ls 'olduêxo
s3G NæaÀWW*-§#W*H - ---,?d êJrollrA aun luaprolf e suotlestue8lo
-. r- d el 'soldrllnLu solrnos op slll sêp Jed
. _- =a srno) ne sê.ilolll^ 3a : -. , ;-? e srELU 0QLUIUUOI ISA 0llolll^ el ls
- ::,,uorldêlxa sololld s!, ! .- 'lElol ne s3d luaLUêlel?uo3 olnole,s
. - :...10 suolleslueSlo sa,; :- - r : qeqord » arloJlr^ onb luel ue luêlJollodgl
's3-- - j,Lrol sed luouuorl uê,u suollEslueSlo sop
:- . , : :-,-il SluOlQJllP OSSle-., - r : ê?uruuol olo sed e,u êJlolll^ aun ls
-. - . .:: ,.::-lo,l Onb SUIOLU e :- .: t:?d 'ser!ol)!^ sap uolleeolorüoH Jl) lnal
: 'l alolrd ne salnorJglxê sêlJnos slnolsnld
:: . , : - -:-, 3U SE SAl 'OI€JQUQE . :- .- ,:C OQLUTUUo) orlQ lrop olollt^ anbeqf
'll-tnlal :.:'€ -,-'-âd salelruJe suorlelor srnal 'lê8uep uo êl^ es
s-: --=--:--; sap erasodojd lo sugp sap aii-:3-' - -:-- -3 qrllp un assalq rnb rnora aun lleJ a8euuos
?-=:-a - ie,\u uos êp suollelo^oJd xne 3-;[-- ] :t .,1 is aQldulolsa êpte.l lro^alar sues êllreleq
-?-
=[ >:c eJê]ualuol os au fd al 'leQpi-. a-:: ;-'": jr.ræl nE slnolas ne arlne,l alladde xna
:---:.x un,l ls rapeJ8gp as lnacl grlrure rnol sgll
lrou et e'Ù: ::5;-
TNd un,p : ''?.\u sal arluê suolleler sal rollo]Je lua^nod
-
-? - ,3'C.2 luarerJnod rnb sluoLUaua^o.p 4.,= :- : ----aUQ^? SUIeIJAI 'SUOlSSlll,l Sêp Sln0l [ÿ r
.?,2::,i jnad lr 'aur?L! allê,p rêlnorgp as ;'! - 'rNd np glladsol lule q olnI luauuê,p
-- . -5srel arQlord ll,s lll?r np êlgrluol a 's- z
-=c-z? ta arolsrll,l ap luêujêlnolgp al al-z': i:;?l irernod [d ol aro'lsrt..l.l ap lu nv salqe^olld
.îe.\r.I allua xneDel8 saSueql?,p êultuol slLue
? -a-].uEld lnad fn êl 'sluourêuQ^q sai ja- --i -
:---: uortelnurQ êures êun,p r8e,s lnod
c,2-<?'-lal .jassrEl ap rolr^o rnod nredsrp ; : z fd np ll
:-l--3 Sal JUeSlLUlull-Ll UA nO lUelllBl UO lnOl 'AllS
r-l? aio.r un rldrxêr Jnod uorlle,l ap rau?ii i.: - -
'.-rjap np saqloid sap sQrdne rapuauJe.s -. r '- ' '!-:- 3rdo./d es luêtuorQrlnSOr ralue^ lnêd IE^lr al o
'xneArJ s0p
irad rl 'uosrer B no lrol e lnara uos rê-r,:,1--
:rr lua^nad Jnanof aôeuuosrad np uo-c€]s-: , - -1]?rll luPUolnos « suell » xnop uê êdlnba,l ap
suou8edurol sêl IJ0LU es êp alqesuods+. "'-l -- :r?nofsa,l êp alsêJ al rasr^rp lnad luaLUalrod
nual allQ luaulallanlua^o :lnad ll la.\nes : - l -* - -'al un ouallrue.p no êSElolrd oD slloldxa sep
s?d e.u lr.s qlrtrqedlnl el ap rluassar inal :c =r .:s :?r ap ld ol tuauanbrlqnd rauop tnad lno8€d
'sallaqar sêl]oj sop êrnlurod aun.p no ara.-t*s -
--- :. .e un asnêlloranb rnaunq.p lualuês os sll,s
-eql uoipelsa,p lêqr un,p 'luared un.p ':;: -- : --:..33e8ua un,p narlruJ urald ua aro^ 'uolsslul
lressr8e.s Il,s luaLUêJQrlnSrlied lnol -rd rr --.:* :'f=rl arlua sarroJlr^ ap slllladssJ sslo)s slnal
,- ,:-zJ-rol luo^nêd le^rJ uos 1o Td êl se lueJldse
opuolord rallêJJe lnad grlle le u un.P ur -
'saJnlnJ
-' : rlole^ arreJ êp al$Jo alleJ ]nêd ?llle le^u un .
suolssl- sff -:
suorsDop sop rns arlo-lnod luoranuur lnb sJ: -? :" ::-c1llOds suorssrur op srol sarËloduel salstuo8elue
sap aJrnrlsuolor ap [d xnP uolse]lo.l lauLsc -':,1 ::c 3.lnpollur no 'au8edulel aun lueJnp sluessol?lul
arrolsil-l,p arua8 aJ êsrê^pe dule: a| 3jtü --':i :: s=:zJJosjad sap iaorl lê xne^ll xne sdlo) rauuop
uorldôl9p asuêlur aun rns uorpelsa lros -al-'c -'r:l fl\a-l 'lD9r un,p l!l ne suorlEnils ap lê sâSeuuos
auQu lrer.rnod se [Nd êl 'anbl]euielp 1llêi.u3j?,,';1 jï,15 :liÏ
-rlred arn8g êp sel un suec 'steuief e saAiliri; aj;Ê ff : i' T,:', J§,1"i:f;:i i,l ;J iru; i :: ll
rlnlv Jü]v ru n uln0r
 JOUER I.A RIVALITÉ ENNEMIE
! ntêgrer eflrcacement des rivaux ennemis dans le
I jeu peut se revêler complexe, dans la mesure ou
le PJ doit avoir des occasions d'interagir âvec son
adversaire.
. [même Iocalement), des as ennemis peuvent se
l\4ême s'ils ne se sont jamais rencontrés en per
sonne ou ne se sont jamais adressé la parole, des
piloLes adverses peuvenl se reconnailre grâce â
leur vaisseau, à leur marquage, à leurs codes de
lranspondeur ou à leur style de vol. Si les rivaux
arpentenl syslématiguement les mêmes theâtres
d'opêralions, ils pourront se croiser à Ioccasion
de multiples missions
o Les as ennemis des unilés non militaires [ou en
tout cas moins disciplinées que t'armée) peuvent
interpeller leurs ennemis par comlink et les défier
dans un comi:at aérien. Cela permet au Maltre du
Jeu de mener une conversation au milieu d'une
baLaille. Ias adverse peuL avoir n'impor[e quelle
§&iËvE æffi§ w*flY**ffiæ§
Les victolres sont répertoriées par l'organisation concer-
née ainsi que par le pilote lui même. Certains pilotes
ajoutent des symboles au pochoir sur leur vaisseau pour
représenter un type de victoire spécilrque. Le symbole
trgure génêralement sous la vitre du cockpit ou sur une
autre zone bien visible. Le symbole peul représenter la sil-
houette du vaisseau vaincu, ou simplement l'organisation
à laquelle appartenail la cible Par exemple, les pilotes
rebelles utilisenl parlois de discrets symboles impériaux
pour représenter les appareils abattus. Les vlctoires pro
bables ne figurent pas sur les vêhicules, pas plus que les
partielles. Néanmoins, certains pilotes représentent une
victoire parlielle par une moilié de symbole, pour ensuite
ajouter l'autre moitié lorsqu'ils en remportent une autre.
Les vaisseaux capitaux peuvent recevoir des symboles
de victoire Iorsqu'ils sont responsables de ia défaile
d'autres vaisseaux capitaux, sans pour aulant saluer la
performance des artilleurs individuels. Ces symbole ap-
paraissent sur le pont ou sur une autre zone bien en vue,
plutôt qu'à I'extérieur du vaisseau. On ne représente gé-
néralement pas de symbole de vicloire pour marquer la
défaite de petits vaisseaux tels que les chasseurs ou les
navettes. Certaines organisalions homologuent la des-
tructron de petits appareils et les attribuenl aux artilleurs
lorsque les responsables sont connus.
*æ.=
gæ'
Bæ §aâ*p#YeYsæâ*
F
Les as aimenl suffisamment la compétition pour cé
lêbrer leurs victoires à grancls cris. A mesure que leur
rêputalion se répand, ils s'attirent nalurellement des
rivalitês à l'intérieur même de Ieur organisation, ainsi
qu'auprès des as du camp ennemi. Le N4altre du Jeu
peut en profiter pour ajouter des interactions spéci
. :::
trques aux aventures centrées sur les As. Reporlez vous
aux encarls Jouer la rivalité alliêe à la page 95 et
Jouer la rivalité ennemie à la page 96 pour intêgrer
au jeu ce type de relation.
3G:
æ=§.:'-
æ- SoRTIEs PÉRILLEUSES
€ GIBLE vERRorrLLÉE
4;î
-e1+f
personnalité choisie par le MJ, sans oublier de
prendre en compte la confiance absolue des as
en leur s prop! es capacitês.
Si le PJ jouit d'une belle réputation en tant qu'as
lancer à sa recherche et le délier en combat singu'
lier. Ces rivaux Lenleronl peuL elre simplemenl de
nuire directement au PJ encore et encore jusqu'à
ce qu'ils le battent ou se fassenl eliminer.
Les renconLres en lace â lace soni possibles de
temps à autre, mais reposent largement sur les
circonstances du recit. Fn regle genêrale, il lau-
dra expliquer pourquoi les deux personnages se
retrouvent au meme endroit, et pourquoi ils ne
se contenlenL pas d'echanger des tirs â distance.
La mort d'un as ennemi peut inspirer un dêsir de
vengeance chez ses allies. Le PJ peuL devenir une
cJble prioritaire, voire être désigné par la propa-
gande ennemie comme un individu dêtestable.
Une amêlioration de la réputation d'un As peut entral-
ner les conséquences recensées ci-dessous. Une baisse
de réputation entraînera l'elfet contraire :
. La reconnaissance de ses pairs, d'abord au sein de
son unité puis dans les unités extêrieures.
Le respect, et parlois une jalousie non dissimulôe, de
la part des pilotes moins lalentueux.
Une réputation solide, qui permet à un as indépen-
dant de solliciter une paie plus élevée ou une assis
tance plus eflicace.
Des propositions de recrutement par de meilleurs
escadrons, groupes mercenaires ou commandants.
A l'occasion. des services rivaux ou des factions cri
minelles pourraient essayer de s'approprier les ser
vices de l'as.
. Le soutien de l'opinion publique.
r Des attaques dirigées contre l'as durant les mis
sions, ou l'envoi de commandos d'assassins dans les
cas les plus sêrieux.
r Laffectalion à des mîssions plus importantes et/ou
plus dangereuses.
. La possibilitê de choisir certaines missions.
. Des promolions, des mêdailles et des primes.
r Un accès à de meilleurs vaisseaux et à un entraine-
'nen- plus pe sonral:se.
r Loccasion de diriger un escadron ou un groupe de
PJ et de PNJ similaire.
o La capacité à inspirer de la peur aux adversaires
faibles. Le MJ, à sa discrétion, peut occasionnelle-
ment ajouter I aux altaques des sbires ennemis
visant l'as. Cette peur peut aussi justilier l'utilisation
d'un poinl de Destin pour influencer Ie récit.
 .STNR.UAIT§,
n*
DE LII
I

,\
tt tru Dt B0tE
l, 1r aL O,en it=,']ii11t..-'.- 1l.:, elfil'-S r: - '-
,ill:"';ta":n.= i:èS: 'l,n'.::-l iL-" ..

En pleine Cuerre Civite C;otoctique. d audacieux pilotes de chasse risquent

leur vie pour la cause de la liberté. Dans le hangar, en selle ou aux com-
mandes de leur engin, ces braves prennent I'offensive contre I'Empire.
Sautez dans le cockpit de votre chasseur avec CreLe VennourllÉe. Ce sup
plément du jeu de rôle LÈne oe u RÉeeluon présente de nouvelles options
aux personnages As, ainsi qu'à tous ceux qui cherchent à maîtriser les in
nombrables véhicules de l'univers de Sfor Wars. Engagez le combat contre
de redoutables adversaires dans l'espace, domptez les bêtes sauvages de
planètes lointaines el couvrez-vous de gloire au nom de la Rébellion I

Cet ouvrage conllent :

o De nouvelles opllons de création de personnage, parmi lesquelles des

motivalions, des obligations, des espèces et des spécialités inédites
. De nouvelles capacités emblématiques permettant aux As d'exceller
dans leur carrière.
. De l'équipement et des véhicules uliles à tout personnage déterminé
a en decoudrÊ au\ ( ommardes de so^ appareir.
Des regies oe morle el oe tavale ie ai.si q.e res .s
Ichesde:rroT|ureS|esp,trsrêpa.duesauseitroe
lArl,ance Reoelle. t
:H+ t!-.-
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