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Katiina Ostrander et I\,4ax Brooke Eric Knight

Éemffi gi xe â? §Ëvsfu&ppËili! §effi fl#ru*flFîCuæ gHËiUTs"5


Corey Konteczka
§{rppL§§t§§r§?AiR.§s
Ryan Brooks, Tim Cox, Daniel Lovat Clark, John Pffi#§UCTâUæ EHË{U-iË
Crowdis, Lisa Farrell et Cregory Koteles \4ichael Hrtr e,,

R§LEC§iJ R.Ë §T R.§ËËRIY§R§ *=*§La=êËlær€


Kris Reisz, David Johnson et N/ark Latham ChrLsliar T Perer':c-

swemlæru §§ {"& p§&*}§.§§r§*N "§§m ?§§?a**§


Chris Cerber Coordrnateur des lesls: Zach Te',',: L',:'-;s The Caplain's
Iable" .lames Taber atec Sea:t -zle:- .'
Dar \"eroneau.
{S§CEpYlGtr §Rep*˧QT.r§ §§ m §Ar{êffi § "Darth Jellyflsh" Chad Rele'" .' ...'-,:rn
Bllss et Nick
EDCE Studio, David Ardila et Chris Beck Willrs. "The Librarians" Pln- \i:-,,e:.::
Ce:-:of \\oudstra,
Keesjan Kleef, Jan-Cees \c:g; :- -,r' s \cogd "Death
€&eË€§pT§§N &§&pHâ8u§ Star Contractors' Cra g .A:i : s : .:: D: -,g Ruii, N4ark
DE É-,ffiTEru§I€}ru Charlesworth, Nathan \ rl k.s.r :.,:s:
J-,rp. "Baltlegroup
::: ..::
t Anchorage" Williarn F Hcs,^
Cnr's Bect. CrysLal Nichors el Duane Nichols S:echanie A.
Hostman, Peter Net'riman. C'::-s l":s,e'.'r ckl Chrislopher,
DIRECTEUR E}E [Â CONCEPTIGN Peter Newman, Tanrn a r'
E l-:s '-:'.
Eieanor \.
GRAPH!qUS Hostman et Jim Blanas. Coie : s F '':s, Rairrer Wlnstel
Brian Schombl.g avec Matthias Jelinek, \la - '':r:: \lanuel VÔgele,
'.,: ;
ErikWinstel et Tlmo V\rrs:e L :'.',\PCs \'1isl'itV"
RE§P*I{§ASLE $§ §,.& §IR˧Y'§TEI Anthony "LibrariaNPC" De\l ''.. li ii
I ebeColt, Sean
ART|§TI8UE Flynn, Steve Ceorge, l\ltclae l',. . er:.lob Tazik
li:::
"The Bargainrng Barabe Brrg:rÊ \:
:r;'r A. Kinney avec
Andy Christensen
Jesus R. Colunga, Chrtstoa'e. R B:irarrron, [t'larshall
rlrREerloN ARTISTIQUE Scott Naylor el "N'lancla ci. \l kÊ Lear. "Team Digi-
Dagger" Selh "Darksicie D3:. ':
;.ec .lason Bunch,
John N/. Taillon
Sean "Starkiller" Kehoe. Br-:' 3.s:er-s Keegan. Rob
Diaz ei Andre\,v lr,4athes
-Es. . li-.'.e:
a: RAV\I". Andrew
I LLUSTRATION IIE COUVERTIJRE "Tiktik" Fischer, Sam Siei,:r', Ê D.':lel Lortal Clark.
MaLL Bradbtry el David Kegg
Yæ.&æ*ffi:*r€ FËÂruÇÂE§§
I LLUSTRATIOilIS I NTÉR! EE,'REË Hêlène Alonso et Tr.s:an Lrromme,
Cristi Balanescu, Ryan Barger, Jorge Barrero, N,4att pour Les \'2i,, e-s ce Edge
B'aoo rry, Caravan Sruoio. SidnatLh ChaLurvedi.
Anthony Devine, N,4ariusz Candzel, David Criffith, ffi.Ë.LECTËJR€ HT qËÉ€Ë g?KËE
Tony Foti, Joel Hustak, Jeff Lee Johnson, David Stéphane u Duck Leacet- ,
Bogar-d. P:errick u Duck
Kegg, Jake Murray, Adam Schumpert, Ryan Valle, Two, Carry et Sand! One, Jr-llten, avec l'aide
u Dttc<
MalL Ze'linger eL les archives Lucastiln précieuse de Kevrn Colr-ots et A:"niand Crelier.

LIC§I§§E§ LUCAS
æ:§E§TR§§§ §§ l§*csæ*eæ ssru§*& ÂDTTiIiltISTRÆY§§§X §§
F§§L!€*r§*rd Jennifer Heddle fHaLae§§N
Carol Roeder Leland Chee et Pablo Hldalgo

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ISBN :978-84 16351 11-8 SKtl : UBISWRI2 Print lD : 0061 FEB 1 6FR

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# cRÉDrrs
AUqrE OtESltOt lil,lSCRÈTE

I
':i ,
décrarai je en euettanr ra réacrion du capi- Nous nous preciplïâmes vers la sortie Au passage, je sub
E §:i;;il:i; tilisai le pistolet d'un client, au cas où, Un breuglemenl relen
' lit; et N/alrik me poussa dans le couloir
Avec un sourire indulgent, il se replongea dans ses cartes..
De l'aulre côté de la lable.de ieu vétuste de la cantina, Bul DÊs t,'s lLrsaienl derr jère nous lo squÊ roJS passâmes
' sar affichait soh habituelie expression imperturbable. Je lui
'
le"coin et je lenlai de me retourner pour faire face à nos
. lrouvais toujours L'air insolent, mats les humains ne sont poursuivants, mais lValrik m'entralna dans le hangar. Ce
pas doués pour cacher leurs émolions. Et puis, à en iuger. dernier semblait vide, el je me délendis légèrement lorsquq
d'après sa chemise criarde, Bulsar n'était pas particulière- les brutes cie Malrik bloquèrent la porle. J'aperçus alors la
ment adepte de la dissimulation. forme famitière d'un Ouarren vêtu d'un pardessus qui des
cendait la rampe d'embarquement. ll tenait un blaster dan5.
- que
Où est ce fichu droldc serveur ? maugréa lqu'un.
chaque main.
Les hommes du capilaine Malrik, lrois humains costauds
qui empestaient comme des launlauns, êtaient en lrain de - Pour qui tu te prends ? aboya.Malrik en braquant son
pistolet sur le visage pourvu de tentacules du nouveau venu,
S tn Odlrcnlef. leUrS vCrteS etaient Vides dep ris presquo ul
.our dc sabact. Le Ou.arren.fut plus rapide. ll pointa ses blaslers et tira.
toi meme, sèchemenl Derrière nous, des membres de l équipage tombèrent avant
Va donc chercher les boissons c1i[
- que leui capilaine n'ait le temps de riposter Lintrus se mit
Malrik à l'un d'eux Tu passes de toule faÇon.
' à genoux, comme pour lui donner une aulre occasion de
Sor vele o lli aussi etarl v de. Je posai ma tair vel.e sul I aball'e. Plre bravade.
.la main brune de Malrik, et lorsque je vis du coin de l'ceil son
Clissant une main dans le gant à décharge qui se lrouvait
équipier se levcr, je la pressai discrèlemenl. Avec un équipage
dans ma poche, je l'abattis sur la nuque de Malrik. ll se dé
aussi mal dégrossi, je craignais un esclandre au comptoir.
lrattil, mais je le forçai à s'allonger.
- Ha I Bulsar abattit sés cartcs sur la lable, où le champ Ne le dcscends pas, Netek, dis je. Ou'il paie les pots
d'interférence les empêcherait de changer
casse:. {u dc I epi( e ?
ll avait une u main de l'ldiot ,. Très approprié.
Pas autant que tu l'avais dit. Il en a déjà vendu ?
I rr l-eur I s crc'a'lo N,4alrik { ouillez le '
Je ne I ai jamais.vL.ie. ll a sans doute exagéré.
'Bulsar leva les mains sans me quilter des yeux. Comme
si j'a lais le sauver. S'il ne perdail pâs pendanl un ou deux
La porte du hangar chLrinta derrière moi. Une lêle de
'mule s'cfforçail de l'ouvrir à l'aide de ses pattes velues. Je
tours, il allail compromellre loule l'opéralion I Les mate
lots le prirenl chacun par un bras poür le forcer à se lever. déêainai le pistolet emprunté un peu plus tÔ|. Nelek bran-
. dil sos n'aste's
Pendanl qu'ils le fouillaienl, ie ielai un coup d'æil a leur ca
marade au bar, occupé à se quereller avec un Cran. Fichu Combien?demandatil,
Bulsar, il m'avait dislraite I
Aucure idce
Excusez moi, .dis ie en mc levant el en caressant
- Bon, pose ce truc, je m'en charge.
l'épaule de Malrik au passagc. Je reviens toul de suiTe.
Je lcvai les yeux au ciel, mais il se dirigeait déjà vers la
Trop Le matelot braillail à propos de crédils dus et
lard porle. E le s'ouvrit en grand. Un Wookie et deux humains
se vanlart à propos d€ la cargaison BientÔ1, loutc la vermlnc
échevelés se précipitèrent dans le hangar. lls n'eurenl pas le
du coin ên voudrait sa parL, ou essaierail de vendre Malttk
lernps d'ouvrir le feu, Netek les abattit aussitÔ|.
.au Hütl â qui il l'avait volée Pas la pei.ne de traÎner ici pour
d leldte oe voir qJêllê ( ala5 rople:r'otoduito I et orCn iet. Viens, dis je. On feratl- bren de sc débartasser du truc
-
\licJ' \atail rÊnl'0 aJ \dis\êdL. au5br vire our-' possible.

Tu nous QU I lr.: I uerranda otuoernnenl [Valr'k .Tournanl le dos à l'énorme transporteur spatial, nous
nous dirigeâmes cn enjambant les corps vers la baie de
Bien sùr que non, réponclis-ie, .ontrarjée qu; l m'ail suivi.
- chargemenL voisine où aLLendait notre cargo. Nel-ck ron-
'
Ne me faisaiL'il pas confiance ? Lcs phéromoncs ne lonc- chonnart.. Toul cela éiait trop simple pour lui. Cerl-alns ne
tionnaienl elles pas ? sonr jama;\ ( on.clts.
' Je jetai un rcgard lmpéricux au malelot furieux. Un groupe Bulsar éLait assts dans la cale, compIant des jetons de crê-
cÔn.nÊT(_a I d Se lOtater dulOUt dp lr,. el dn.t hlnaiTs nOUs dil sur une caisse. ll ne leva pas les yeux.
jelèrcnl un coup d'cril. Si l'un d'eux compren.aiL que la car
J'ai raf lé les mlscs, grogna-t il..J'aurais gagné, de loutc
gaison d'épice dc IValrik étaiI cclle que- venail de n perdre,
lat ot-.
Lrn Hult vindicatif. nous allions avoir des ennuis.

t \4alrik. -'- Tu élais censé les occuper en les faisanl iouer, ]e tan
-- Je dois renlrer au va sscau, d Tu vlens ?
rai le. rr lc plar alots /
J'acquresçai. ll se rett,r;rna pour fatte:igne à scs hommes
Fl a oa:'on,(.llc ld'sair parlic du plal ? T.relai\ ( cnspe
de nous suivrc, jusle au moment où un Wookle agrippalt
lcs garder de bonne humeur.
. nolre grande gueule au cornploir. Un tir de blasler loLlcha
'lc Cran, qur s'écroula sur unc lable et aLlrra d'autres tllcnLs Ot a crr otc tJu patn \ur .a pldn( n(. nLervinl \e lek
slveur plongca a 'abri derriÔrc
rJans la bagarrc. Le r.jroldc tn rorLe.
le compLoir quand d'aulrcs armes jaillirent el que la salle
\oT o,a ddas l(.,hao\.
SJ.E?lfStOXt XOL.SEnO ilEXIE
NOII}NOOUTNI
os sraipueqêrluol sêp uednld el 'êLUouolne luaLUorQrl 'salnor s0l ? lrsnllxo sQlle un luoJne
-uo luoLUOuuorlluol un osodLUr,nb sôlqrssodLUr slrolJO sêl sr0rpueqêrluol sol 'luaLUouJ un rnod sareilê1s s0lr^ras
raSesr^uo,p no sarrEUalr€d sJnol red srtleJl êrlQ,p JênbsU sap larrulo neojnE np sorellals salrel xnE solnor sêll0A
op anb lQlnld sduralSuol luoLuareJ ornp luolua8ueltE,p -nou op 1no[e,1 luepLe]ar slr,nb uge aredseredÂ9,1 ep
oruo8 ol lo 'spuenrl sal rLUred sorel luos olueuuor el srneleSr,rep sop aplrnD el op sJnarel)q xne ur,r-ep-s1od
lo,rnouuol.l,l 'sroJalnol sluord sop lrPd oun,p êSueqlQ sop luosroA slourLUrJ) sle:rpuÂs le saurelrde: surelraJ
's9lunrdua sreuel s;e 1uas ep 3uo1 a1 sesnara8uep sorol
uo a?uuol lso rnl rnb êqrql el êp allrnble,s êdnor8 np
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.rns luarluaruol as rnb, sapueq ua luasrueSJo,s slr 'sroJ sdual un rauSeB Lnod ta sOLQdo.r arlQ,p rolr^Q Jnod saQl
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sêlrnossor sol sed luo,u s.rêrpueqarluol êp dnorneag s"rnolnol luos srarpueqarluor sêl 'sero,uedÂq sepuer8 sal
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lua,tnad snol : IarJQleLU ep anbueLu ue sueB sêlQUUoLl,p
e opueqêrluol el op ;assed 1uo1 sll 'sQqlreLU xnealnou oUJQLU lo anbrqrele3 a"rrdLu3,l 'ollaqaè olu€rllV,l 'suorlp-i
so) rns rasrleqrder ap uUe luêuuolel sal salsrunlroddo odroreBQu-r sel 'arrd9,p rUerl np êlQluorll el lê srnossru
srorpupqorluo: sep'uor39r allê^nou aun suep luollelsur,s -,rnoJ sêl lrodorleds lanb elrodur,u anbsard suep Ire^p-rl
suolo) sap anbs-lo-1 ê,ro)uo luorEsrlrln sel rnb sanBQIlor np rolnorl qned npr,rrpur un 'slleluol suoq sol lale lê
s.rnol op sarpnoJ sol lu€Jrlle,s 'a1rre1 1ue8re,1 op orreJ os 'sed iuanbueur au sloinoq sal srorpueqorluor sap red
rnod uorleroldxa,p saru8eduol saLUQLU xne opupqorluol oOluou,rle 'arQdso"rd er8Qd el 'len) lo leeluêrB 'tuelsnr
ap selsrd souuor)ue,p uorieSorlse,p sa?uuop sol luopuoA ol aLULUol seleugdLur sollopeln sop ^lsuep aLUQIA êJnêr"i
saurelrder surel.raJ snlleq s.rêrluês sap sroLl saprder snld -?lxl êrnprog el op rol sues selqueld xne,nbsnl neÂo51
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salro^no)Qp solnor sollonnou sop 1ua1r1ord sQSn.r srêrp rlsop sel solnol sJa^ serrelgueld sluaLUauralnoB sal no
-u?qoJluol se1 erxeleB el sra^prl p uorleroldxa,p lê uorl anbrl:e1e3 arrdLu3,; Led saleBql1r oururol saOrgprsuor T
-esruolol 0p slroJJo s0l lua^nos lrns 0pueqarluol el sêsrpueq)JPLU sap.rolnlrl luoJ sJarpueqe.rluor sa I
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'''xne sal Jêssreq êrreJ rnl rnod ralselq uos ap sgluesgrd slelqo,p suorlell1rpoLU xne le lueuadrnbg,l
orrLU el sJOAeJl e ruJauuê uos rap;e8er ap urosaq srolred ? 'soLUre sello^nou xns orgJD erxeleB el suep urLUêLj)
e Jorpueqêrluo) un 'lJno) aurnol uorlresuerl aun puenb un raÂer; ês ap srorpueqorluol sal rnod sueÂouL xnea,r
lg rol;pr.trl o3ler un,p sopueurLUol xne,nb 191n1d rreqes -nou srnarsnld ar11o so;d ep s)n.l1 : yy erlrdeqS a-1
êp alqel êun q alueLll es JOluol lrop aurelrder un 'sdual ,l
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-sed -alolsrd sêpnr op no 'slelo3 sleuuorssalord srnonof sQSnr
e.rre1 e sed elru;rl ês au rarpueqêrluol un,p or^ el
êp'suaêlleJ srnoLUJeUl sluesrnpgs op êLUurol'senbrun
'uuez ap urnrlrosuo) êl
lê slueur)sp1 se8euuosred sop JêQJl rnod rrsroqr lue,rned
no JIoN palos ol 'qerourÂ.r3 al oLrLrol suorlesrue8ro sep s;nanoI sa1 anb sglrlerrgds sop ]a solqenoI se:qdse se11e,r
la^e slerluol sep luenbrldLur srêrpueqarluor ep seu8ed -nou srorl aluas?ld sorqll suoJl)a13 : 1 ar11deq3 a-1
-LUEI sop rano[ "rnod arn]uole,p salJoLU€ sep anb rsure
'lerledsradÂq aBeÂo,n al la nal al 'slonp sal luer^nol sorel êLuQql Al rns sornl
-ueuglddns salSQl sep rssne lrurnoJ erauf,sroNr Nous:rno uê^e sêp lo srorpueqoJluo3 sa8euuosred sep roQr) op
lNn)nv êuQls el ap luelêp a1 luotadnr:o slr t_lo solnl arlleuuled tnel lnod 'eurdhrA.r rcr sNuNo) xny,p srnanol
-uole sap rro^aluol lnod no 'adno:3 un suep slalpueq xne lo lfN xne solueuuorssed enb sêOuE^ rssne suorl
-êrluo) sep rar391ur :nod sarresse)QU slllno sêl fN ne -do selle,nnou ep asodold irlu)sroNr Norrsrno rNn)nv
auuop serleJJe sel luos sorleJJe so'I : lll e41deq3 a-1 'or^ ap apoLU un
lsê,l . rarlour un sed 1sa,u arxel
'sQSnr sêJresJa^pe sêp radr-uor1 no sanbrolgq solreJlol -eB e1 ep selnderr sarrd sa1 lo^e rolrerl 1a xneugdr-u1,p
sap rrssn9J 'ru1 ep snld rêsspuJe;nod rasrleuuoslad sel le sellrnorled se1 "ra,trnbsa'êrlne,l e elQueld aun,p rêlo
salnlrqÇ^ xneê^nou op Jr^ros os rssne lua,tned s11 sanbrl
eLuglqoLd suorl€nlrs sap q;addeqro luoLrnod [d sal 'rl ïâi3. :iiii Ji;"î Li
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§HrcN{t3 §!r1
§NUO 3§NTT§3HÀhI§f Tfi
-
tournenl vers les grandes organrsations crimrneLles, qui finvention de l'hyperdrive moderne mil un terme
fournissent des missions régulières. \,4alheureusement, à l'utilisation de l'andris dans le domaine de l'explora
travailler pour des syndicats comme le Crymorah, le So- lion Tou[efois, sous une forme raffinée, elle devrnt un
leil Noir ou un kajidic Hutt soulève d'autres problèmes. stimulant populaire Des organisatrons criminelles et des
Beaucoup de contrebandrers ne comprennen[ le danger entrepnses douteuses engagèrenl des conlrebandiers
que trop tard, lorsqu'i1s se relrouvenI en cavale, traqués pour laire crrculer cet hallucinogène lnterdil aux quatre
par leurs anciens patrons. coins de Ia République. À ce 1our, 'epice narrotrque
reste la marchandrse de contrebande la plus fréquenle,
el de loin. Des organisations criminelles comme celle de
UNE BRET'E HISTOIRE DE Car'das, le Solerl Noir, les cartels Hult e[ Le Consortium
de Zann emploienl des milliers de contrebandiers pour
I.A CONTREBANDE lransporter des quanlltés colossales d'êpice et d'autres
Depuis qu'il existe des lois interdisant la commerciali- marchandises des dunes brtlanles de Tatooine aux
sation de certaines marchandises, des rndividus les en- llèches étincelanles de Coruscant.
freignenl pour laire des profits. Dans la vaste civilisation
galactique, les conlrebandiers contournent posles de
surveillance, blocus ou inspections douanières et dif- 1A CONTREBANDE ET I.A
fusent leurs marchandises dans toute la galaxie. Lart
de la conlrebande a grandi avec la civilisation, et le sel
BORDURE EXTÉNICUNT
d'un monde est le glrtlerstim d'un autre Sur certaines Lexistence mouvementée d'un contrebandier présenle
planètes, même l'imporlaljon d'eau est soumise à des bien plus d'occasions de mourir que de prospêrer. Les
reslrictions I D'autres limitent ou réglementent la crrcuLa- équipages risquent leur peau en esquivant les lorces de
tion d'armes, de matériel médical, de bétail et de gibier l'ordre. en s'atlirant les foudres des barons du crime et
* ou de matêriel industriel Un contrebandier talentueux en s'engageanl sur des routes hyperspaliales lraltresses
* s'efforce de couvrir tous ces besoins. dans l'espoir de gagner de précieuses mrnutes sur leurs
livraisons. Cetle vie périlleuse partage de nombreux
En déplt de la variété des biens susceptibles de faire
traits avec le style de vie de la Bordure Extêrieure, en
l'objel de tralrcs, le produit le plus important, et ce
marge clu reste de La gaLaxie. À la limite de la civilisation,
lur qur a eu l'impacl le plus durable sur l'induslrie de
, survrvre n'est pas une mince aflaire, et d'innombrables
la contrebande, est l'épice. u Ep ce est en rêalité un
formes de trépas particulièrement dêplaisantes vous
lerme générique déslgnanl de nombreuses drogues
guetlenl. Heureusement, Les contrebandiers et ies habr
psychotropes dotées d'une large gamme d'eflets Lob-
tanls de la Bordure Extérieure s'enlrardent pour conti
session de La galaxie pour l'êpice a précêdé de loin la
nuer d'exis[er.
Rêpublique. Pendant des millênaires, les gens ont assai-
sonné leur nonrrilure, lumê du labac ou employé des Certains capitalnes passent des contrals d'exclusivité
produits chrmiques pour se soigner ou se divertir Des avec des avant-postes isolés : ils livrent des produils de
épices onl servi à conserver les réserves des vaisseaux contrebande et repartant avec des marchandises locales
à génération à destination des colonies datant d'avant Les Contrebandiers travaillent avec les lormes modestes
l'hyperdrive, comme Aldérande oLl Kua[. Lorsque Ko- de pègre planelaire et lonl circuler des biens volés vers
ros, un monde du Noyau Profond, décolrvrit le mine- de lointarns avant-postes miniers. Cerlarns lravaillent
rai de carbonite et l'épice andris, celle dernière devint meme avec des employés corporalisles qui rêcupèrent
un élément central du voyage et du commerce galac- des marchandrses u tombées du speeder, dans les
trque. \,4ettre les passagers en hibernation permet[ait mines el raffineries. Les contrebandrers les revendent
Les
aux vaisseaux de colonisation d'entreprendre de longs lêgalemenl et reversent un pourcentage à leur fournis
voyages vers de nouveaux mondes à l'aide de propul- seur, ce qur les pousse naturrellemenl à trouver le marchê
seurs dimensionnels expérimentaux, mais la slase êtait offrant le merlleur prix.
dangereuse et souvent latale. fandris, utilisée comme
mêdrcament, soulageart de nombreurx symptômes L§§ §-Yr§*i{eYs ** {Ëê*Ƨ
du mal de l'hibernation et réduisait sensiblement les Tôt ou tard, la plupart des contrebandiers se retrouvent
risques de l'animation suspendue, ce qui déclencha une
à travailler pour l'une des nombreuses organisalions
nouvelle vague d'exploration et de colonisation.
crimrnelies de la galaxie La pluparl des syndicals du
Au fll de l'évolution des propulseurs dimensionnels, , i^ e po.-eoer . les esso-rceÇ lece :aireq po,r gere
des canons hyperspatiaux et d'autres lechnologies, les des réseaux de contrellandiers à grande échelle Leurs
etres conscients colonisèrent de nouvelles planètes, el u employés » évitent ainsi les querelles inlernes qui
les colons créèrent ou découvrirent de nouvelles varié minent les groupes plus modestes et les frais ruiner-rx
tés d'epices plus puissantes. Malheureusemenl, la plu d'une opêralion indépendante. Ceux qui acceptent
parl des épices provoquent une dépendance, el au-delà de travailler exclusivement pour un syndrcat reçoivent
de leur emploi dans l'exploration, elles furent de pLus des boulots régulrers el un pourcentage des profits en
en plus soLrvenl utilisées comme narcotiques La Répu échange de ce qu'ils lonl le mieux:arriver dans les
blique entreprit de réguler ou d'inlerdire la produclion temps sans se laire prendre. Tant qu'un contrebandier
de la pluparl des variétés. Un lucratif marché souterrain fart le job, l'argent afflue... au moins au début. Dans la
se développa aussitôt pour répondre à I'addiclion crois pègre, les alliances ont tendance à se dégrader avec
sanle des citoyens de la galaxie. le lemps.

INTRODUCTION
AUq,TE ol,E]rflol{ TI{DISCPÈTE

I
rJ.Edfsroxr xoustno tx(Exlll
NOtJ-f,nOOUl-Nt
snld ap uoiler?uOA oun Jnod or^r^Jns os op luoressa soJlne,C sQlnlar snld erorua sorenllues
op lo QqrLlord luourodrnb? Jnol orrnpord ap uue urosaq sep luerQJQrd surelJOJ erxele8 el ap suuuol xne saprorQl
luo sollo luop sorQrLUOrd sarqrleur sal rurnoJ rnel rnod -se,p dLueqr un 'sJêrpueqorluoJ sop alsrd e1 Jns no 'srorp
srorpu?qorluol sop rns luelduo: sarqdse sêl 'uorllurl -ueqêrluol sêp aunl êÇu]Luou uarq el 'eeppells JEN Jns
-xa,1 ç rau8rsgr os op anb lglnld e8euolr ol rns JUOUJaATS enbueld oun,p luolop as srorpueqoJluol xnarqLuou oC
nlrxe asode: uorlrnporder op opour ol luop 'LULUoqy lo
snLUIoJ êuJruol sopuouJ sop rns anbrqdorlsele: 1:edurr §§m&f§wrd §:§T
un na e neo^noN arprO,l êp uorlerellQp e1 sqrde arxeleB
errdLu3,1 red seglrrpg suorllrp
el op ollaL{1Q,1 q a8euolr np uorllrprolur,l 'alduaxa re4
'sorQrluê suorlesrlrAo sap sroped luouLrJepuol serSolou -rêlur sop no sêrQruenop sêrQUreq sop'slueJroqe sluau.l
e13qr sep rêurnoJuo) rnod srarpueqoJluo) sop luerold
qlal saurelrol Lns arrdul3,l Led soreld slrprolur sal
-ure sanbrlreleB suorlerodrore8Qur sol aLUQtA atxeleS
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suorllulsêr sep sudgu.r ne ogLUroJSUeJl eJes el suep lnolred puedgr os allê sreLU 'aLBQd el luourêl
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-êrluol sop luoL.{lneqLUa se1le,nb luop ê^rJre 11 eleuqdul -orluol op sÇlrArlle se1 1a 'xne3g1lr luouuor^op serrAros
oQruJVl ? uorlrnpord rnol ap e8eluerrnod un aJJJauror ap lo suarq ep snld ua snld ep'arxeleB e1 rns eu8rod es
luê^rop no 'errd9,1 ap uorlelnlrn el luessrBQr rnb salruls orossoJ anbrlcele3 arrdru3,1 enb arnsaLu q lo JnJ nV
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rnod slrelred rssne luos orrolsrL{ sues xnorl so3 urosoq luo 1a sauqSourrnlleq sarrdQ xne osso;Qlur,s er8qd el : sasrp
sollê luop IouOleLU np no apueqOrluor 0p sosrpueqlieur -ueqlreur ap sêlJos selnol lual"lodsuell êLUrJl np slelrp
op 'slrpQJl ap e8ueqrQ uo 'solelrue lê saglnlor saruolol -uÂs sep rnod 1ue11rel,er1 rnb srarpueqêrluol sal sêlqel
sap suep a8nlar requeqr lue,rnad grtud elsod-1ue^€ un,p -nrsrp suosre8rer ep;a3;eqJ as e xneroLU luauuOrQ8exa
uorlegJl el ? soJressolou so)rnossoJ sel sed 1uo,u rnb xne3 sa8edrnbg sep srolred luolroJ sll 6 luou-rolrnler8 .tto,ter
'selduor sop JOpupLUOp Jnol luorpuor^ a;8pd e1 op suor -er lned uo,1 enb olr^Jês un:nod:eÂed uoq ronb c'lnol
-€q êp no aLrdlu1,1 ap alrlros ne aurud ap srnasseLll sol sqrdy ;rruas sel ? sJOrpueqolluor sol rerrol lnod saleÂo1
anbs"rol rerldar as Lro sêlloLlre) sap rro,rçLd op oxnl e1 slnoI -Op senbrlcel sop luêsrlrln ar8qd e1 ap suoieq surplro]
-no1 sed luo,u srarpueqêrluol op se8edrnbg slrled eC
'uosre8rer Bl JêsJnoqLUeJ srolp lrop 'uêu
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ap alnop es au rnb 'aurelrder ê-l asrpueqrreur el luolo^ lo
enbor e1 lu€lolsueJ uo lnol uorssruJ eureqrord e1 reg srarpueqolluor sardo;d sos op xneèssre,r sap lueredue,s
-rue1d rnod xnpgpr solrs sop luonlrlsuor puolord ared s1r,nb uge selerrd sap ra8e8ue lerrpuÂs un JroA op oJ€r
-sa,p souoz saur€lurol ap OLUQur no saQuuopueqe sorQru
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luouuop sorlorpQLU snld se1 onb rnod uorJl)rêo) op luêsn
sopuoLu sap lua^nos luar^nol?p srêrpueqorluol sal auul np srneu8ras sal lo sJnossruJnoJ sol ressedrns es
lrlqel9,s lue,tnad seSedrnbg sep r-ro sgroldxaur lua^rop s;êrpueqoJluol sêl 'sêprne sluêrnluo) sep red
aredsa,p surol solqerquouur,p a^norl  uo : alse,r lsa ralo^ oJreJ ol os sues Ire^erl np IoAOJaJ e.ranurluol rnod
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rJral np selod xne oseq rnol luollelsui lo slnos JOluel -?^uo)ur sues sed lsê,u spuenJl sap rnod rallre^e{
TRAVATL HONNÊTE ET manifestent une tendance innée à vagabonder. Associée
OPÉRATIONS DE SECOURS à leur passion pour l'ingénierie, elle leur a permis d'ex
plorer les êtoiles et d'établir des colonies ainsi que des
Toutes les marchandises qui circulent clandestinement
avant postes commerciaux avant même l'invention de
ne sont pas illégales. La vie est dure en bordure de la ga-
l'hyperdrive.
laxie. Certains matériaux indispensables sont difficiles à
obtenir ou rendus inabordables par les taxes planêtaires. Les Corelliens et les Duros pratiquent la contrebande
Parfois, des systèmes colonisés se trouvent si loin des depuis l'êpoque des canons hyperspatiaux, il y a plus de
routes commerciales que la plupart des entreprises leur mille générations. En tant qu'inventeurs de l'hyperdrive
imposent des frais de transport exorbitants, ou refusent moderne, ces deux cultures ont de longues traditions
carrément de les desservir Cela permet aux contreban de spationautes de première classe, toujours prets à re-
diers de fournir un service utile aux colons, prospecteurs pousser les limites et à défier l'autoritê.
et autres habitants de la frontière. En contournant les Dans le Noyau, i! existe des ports fantÔmes, des
blocus planétaires, les inspecteurs des douanes et autres spatioports inconnus des autorités, mais la place y est
fonctionnaires, ils livrent directement les marchandises limitée. Parfois, ils ne sont ouverts qu'aux vaisseaux
à ceux qui en ont besoin. Malheureusement, ce type de sous contrat avec certains cercles de contrebandiers.
service oppose parfois les contrebandiers et leurs clients Pour opérer dans les Mondes du Noyau, le répertoire
à la pègre locale, qui profite souvent des pênuries. de base des trafiquants d'épice de la Bordure Exté-
Voyous et criminels dérobent parfois des marchan- rieure ne suffit pas. Dans la Bordure, la contrebande
dises dans les vaisseaux el les entrepôts coloniaux avant exige certes des nerfs d'acier et des talents de pilote,
de les revendre au prix fort. Lorsque les contrebandiers mais pour travailler dans les régions du Noyau, il faut y
nuisent à leurs profits en livrant davantage de marchan ajouter un sens de l'étiquette impeccabrle et une excel
dises, les criminels se dêfoulent parfois sur la popula- lente maltrise des lois commerciales. Dans ces secteurs
tion locale. Lors des livraisons, il arrive que les colons denses et bien connus où se pressent des milliers de
engagent des équipages pour proiéger villes et villages systèmes solaires, on n'a guère d'occasion de dénicher
contre des gangs de swoops, des bandes de criminels (et encore moins d'utiliser) des routes hyperspatiales
et autres brigands. Les contrebandiers ne savent jamais secrètes. Les contrebandiers doivent donc se fondre
s'ils vont avoir besoin de sortir Ies blasters et d'affronter dans le trafic régulier le long d'hypervoies encombrêes
d'autres pistoleros pour garder leurs clients en vie. et pleines de postes de contrôle militaires.
Le Bureau Officiel des Services Stellaires et les
Douanes lmpériales sont présents dans presque tous
LA CONTREBANDE ET les spatioports du Noyau. Les autorités portuaires cor-
LE NOYAU GALACTIQUE ruptibles sont rares. Faire des affaires dans la région a
un coût : les contrebandiers doivent être impeccables
Cerlains des meilleurs contrebandiers de la galaxie sont en surface. Leurs permis et leurs licences doivent être
originaires des rêgions du Noyau. Les Corelliens par- à jour, leurs caches d'armes et leurs cargaisons clan
tagent leur monde natal avec diverses entreprises : les destines bien planquêes... Si un capitaine est recher-
chantiers navals de la Corporation Technique Corellienne, ché, de faux documents et un code de transpondeur
l'innovant producteur de carburant pour hyperdrive assorti sont essentiels. Lors de l'inévitable inspection,
Black Hole Hypermatter et d'innombrables raffineries il doit pouvoir convaincre les autorités de son statut de
de duracier Leur héritage spatial est si riche qu'ils ont simple voyageur. S'il êchoue, les travaux forcés dans les
la réputation d'avoir du carburant dans les veines. Les mines d'êpice de Kessel l'attendent... ou pire, la saisie
Duros, maigres humanoïdes à la peau verte ou bleue, de son vaisseau !

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trErElsloÈt xolls:rto ilaDillr
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'sudLUol a8edtnbQ 'sqln)êr xnorl sap suep selsod-luele sep rt1qe19 ellnod
'sJ{lle sêp uotleptnbtl eun alsnl 'IedQp op sQllutLtaput,p uorllêqQU e1 slenbsel rns'snuuolut sopuout ap saQUUop
sed lro,rQ.rd eu arrdu.r3,1 'olrlnur luêrAOp lêtpueqorluol al -Jool sol rruolqo rnod sretpueqarluol op 1a suotdsa,p
anbs.rol no 'alueÇLlrO e luoAIJJe slt,nbsrol etllos ap atBQl xn€asQJ srnêl lale luollteleil solloqor srnaleloldxa se6
-erls oun rro,ng:d e, lQrQlul € allUQU?q ua tnb auteitder a1 êlu€rllV,l ep elduot a1 tnod le^nleell ap ap1tn3 e1 ep
'sJrlPJ)nl luauêLUorlxa luos slEJluol sar ts aLug1,1 ssÂg uor1e8or1se,p soguuop êp eseq el olnol gtQdnrOr e er
ep elsrd oglronuol sQJl el no salQJloseJlln selel:gdutt -)eqMaqJ 'uorllaqQë e1 luroler rto,te sgrde 'a1du.lexe re6
soseq sêp rollrelr^er lue,tned sralpueqêlluol sol sêLUQI salerrqdut solro1 sop sonuuolut saletledsradÂLl salnor
-ue1 sllod sêp no solerleds suotlels sep 'sagldnad seuoz sop q sQlle rsur€ lueuuop lnl '0luelllv,l 0p LUou ne
sop suep alrl?,p sopueLuulo) sêp oltnpoJlut rnod xna,p sarrerpQUrJOlur oLULUo) stol;ed iuesst8e sletpueqerluor
srolred lras as ertduu3;1 xnetLgdLul slueuuauBtesueg sep sel 'srnale8r,teu ap sepltnB sasra^tp sêp utas nE sl)eluol
sQrdne slerluol sop ruolqo,p o)uEL{l el rtole lua,tned sJnol € olgrD solQrlos solnol se1 Lns lnol e soOUUop
e.rrdr-u3,1 ? Qllllln rnal iua,tnord tnb seureltder se1
sep rarn:ord as rnod ar8Qd el ap srnele8t,teu sal la
1ero1 ler.rqdur ;neure,tnoS ne suteB sas ep e8el sarlder8olrer se1 'sauteltder sêl Juo^nos eted eruet11y1
-uarrnod un rlls uorq luelloLuor uê salteJJe slnal aLpueld '1yo1
1,nb er enb a1r1n snld lsa lêtpueqoJluol un ltps anb
-a.r .tnod erroSgu lr 'urleLU lso Jatpueqallu0l al tS uoq ap al 'sroJJed suoste8ret sep raltodsuerl lnod anb sletp
rnod sleuruuu: sal ar11eledsrp oleJ ap uge utosoq e êle)ol -ueqoJluor ep sed iue,ues os au solloqor slue8e sel
aleuOdlur uosru..reB el luop uorleLUJolut êrlne alnol lê xnatl 'essalur.rd aun 'lueQL.{)g sEl ol
sap 'sLUou sêp luoJ^rl srolpueqoJluol sol '0llellal lnal
'no sronuJo sop ronle^o rnod terpueqatluor un stolled
e,rpue;d.rnod eluesglns êLULUos eun,p e8ueqrg u! inallos
un,p aro^ 'euuQlsÂs un,p olloLllÇ,1 E slautuJtJl sednor8 sap lueroldura solloqoE sel 'do.tl lueqrordder as eutled1e6
ralêluBLU?p rnod sLarrglo sop no sl1or\ sêp lêAe uteLU el ap so)Jol se1 anbsro-1 xneugdut sapuolu sop rnêle^ êp
suEp urErx srolred luellte,nerl septdnr seuteltder so6 luaul sêlrnossoJ sap oJIeJJxê tnod xna,p llês as luaLUapueu-.1
-erQrlnSÇr 1reÂo1dua sal rnb autrr np lettpuÂs ol alluo) LUoJ lnpH e1 errduu3,l ap snlolq sal êrQlrJap sao89td
rournolar as q sed luêlrs9ll,u lê slgr9lut seldo-td sLnal sollêqoJ sorroJ sêl ..têlltelt^el lnod npt,trput,p aluaB ar q
luer8qlr,rud xnalndnr:s surour sol slatpueqoJluol sal srnolal lueLualeSg E oluetllv;l leqLuo) op sêuoz sop sll^
'sQl-{r€lar êrlo,p luE^e nsut rnol q eQlrod anBuol -n sêl ranlaAO rnod slrodsuell srnal luoslltln no 'e;;an3
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e lueldur un n5e: luo sorlne,p Ja uotlelQ)lelut Jn0l luep
-ued nea,ual ap e8e,tel un rqns luo sutelrêl : so.tteluoloA -nos ap u!le aluerllv,l ap ulou ne lellpÊL.ll IalroleLu np ]a
suorle.r sêp 1uan8-re1 sll uotllaqOÈ e1 tnod arue8rn,p srnol
sed luos au ertduu3,1 ap olt^Jas ne srotpueqoJluo) sal
snol xneugdurr srnêlQJluol srnal ? saluellodu.tt suotleu-t -es solqeurlsaur,p ISSne Juolnsse srêlpuEqarluo) sol
-roJUr sol salnol luenSln,ttp srnd 'sêllêqêè sop alueUUol aÇllLU!l JOrQ^e,s lnad ?lttnros el
e1 reuBeB ap lualroJJO,s'êlue{llV,l rnod slerluor ep luop 'saLUQlusJ suorssrLUSueJl xne Jlrnolal ap all^Q lnêl
êL{lraqroi el e sourelueJ s]lod sal luatuenborl sll outl 1e errdu3,1 op eluelsuo) ê)uallla^rns el l0urnoluol ap
-ed1e6 ap eur39"r np eldu;or e1 rnod êluBtllVl ;euuotd
laurad tnb er'a:uet11V,l op slêrlês uostel^tl ap slutod
-so,p la sêlqnop slua8e,p I^JOS op lueldarre snpl^tpul xne slueruau8rasuar sap luallauJsueJl sratpueqorluol
sêl êrlsruLUB oun,p aBueql? ue ettdt-u3,1 :e,te luesrlred sel'so8rel ep seuteltdet salduts ep tnod tassed lues
sarlnE,p enb srpuel 'uotluoll€,1 dorl ertlle a1le rnod te1 -leJ ês lu0LU0lra^no lu0relnllll sll,s uolluêlle,l l0JIllE
-1re,re;1 enb luasuad surelrêJ uorlloqQE el ap aLUSInille,l
Juarer;nod rnb lerrpgLu IOugleLU np la lueuradrnbg,l ap
E luêurQlJoJ sed luerorr ou srorpuEqarluol sol snol 's0LUre s0p aluerllv,l e luassiuJnoJ sll )or)lB sues rlJros
alpueld el luêLUOUrlsop -saJ uo srnd 'slrodotleds sel la luou.lolltell^er ap slSdQp
-uelr rallrnb arreJ rnl rnod 1uat1r olqeluQ^ rnal JOJJUo)uol sol suep ressrlS es lue,tned sratpusqarluol sal 'sloutuJ
op lue^e - sra8essed ap llodsuerl no suostet^tl - xne8 -rrr sednor8 sop soroJuJêl sop la saleugdrut salltnoJl
-?l slolnoq sap quaida::e srarpueqa:luol sol 'sutlsapuel) -ed sep'saro,n;edÂq sop orpuoJordde eruessteuuo:
sêl op oluosOrd e1 ;elnuurssrp..rnod Jtsra^qns Iau?leuJ np rnal ? orer) arxeleB el sro^eJl e saQsredstp a)uerllV,l
lrnpord rro,re ;nod pualle sol tnb luarutleqr ne reddeLJrQ êp salQrlas soseq sosrê^rp 0p lu0uJ0lllell^er ap eulsql
le IeuOdr-ur êroJurê1 a1 rtnl rnod se8edtnbg sap stolred el suep suollreLU op luêAras srarpueqaJluol sal
luolleluol 'soreJelsoJUol solsr^rl)e sop no 'sêr^næ sal
êp srnalne sal s.rnêpuo^al ap no sJnsuuolllallol 0p aluelllv,l êp luou]opueLULUoJ ln€H
eldruo: e1 rnod seleugdr-ur-r1ue saÇpr,p saouSordur l.re,p a1 rnod 'luoLUê^rsnllxo srolred 're11te,ter1 rnod sotteluoloA
sar^næ sep no enbrsnLu el ap 'ornleJollrl el op 'sêuelp lualrod as a:rdu3,1 sJa^ua êrlqel? uêtq auteq aun,p no
olor-1 sêp J0lnlJD lu0^nos luol srêlpueqOrluol sêl 'lBJouJ suos ur€lJêl un,p sQlop se8edtnbg sep enb e,ttle
'sa]Qrlos suotlergdo sap
rna.radu3,1 raluLUole) ? alstsuor tnb 11 xrLd a1 a"rllau  lneJ lr sre[\
suep luapre,l s1r,nb uge uorlorlsrp;ne1 rnod snuuol sJotp
a11er anb e,ter8 snld lso,u uosuleJl ounlne steu; 'an8uo1
-ueqorluol sêp alnrloJ oluetllV,l 'stolJed osnEl el alputol
lsa aleugdr-ur lol el e salqrssod suorllerJUr sop alstl el
-ar € lue8ernoluo sêl lê xnanluol€l snptnlpul,p êLI)lêql
'souEnop sap sJOr)UJo sa1 e;druo.r.rol ? lo snlolq sop
rournoJUo) q 'seler.rgdrur sellrnorled sol Jalt^Q ? olqerQp êruelllv,l ep sluaulauStesual
-oJ 3l ? arxeleS el lueroldxe
ap sa)r^lês sêl sarlnossor 0p l0 sQIIle,p aLlllalllêr el q
-rsuor sdu;al un luassed s11 arrdur3,1 ep s:r1qnd stulauuo
sap alsrl al Jns rruU sed eu Lnod aLUelorqt^ eun,nb gstnBle luoLUuJelsuol luareldgp ês sollêqoè sal ollauuotluaAUol
rssne iudse,l lo ronernp ap sJJOU sap lo^E lua^top sJOlp anbrtsr8ol oun rlqEl?.p ar]]au;ad es sed tned êu ollêq
-ueqorluol se-1 3uo1 serq ol lê êpJnol uteLU e1 e eltdu"t3;1 oè oluerllV,l 'leugdutt luJOUuo uos ? luoLUêrteJluoJ
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sues or^tA.lns nd luarelne,u sgqueulrgdxa sJOrpueqo.,rluor -grdaL a11a,nb erred lse.: 'aripuedQ.l luêLuaulQllxo lsa
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lolnlsnoq ? sldLuold luos slêrpueqarluol sêl uos ap arileLu ol rso rêrpueqêrluol êl 'rnol snssap-.,red
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e sduel rnêl ap arl"recl e'un .têtlesuol luolt.op s..rêrpueq . sueB ep olnoJaun lueluenbgtl'aLBQd el luotolQl s11 asrnb
-otluol sêl 'atlno u3 'esnalnop QluSglur,l q srnauarda.rluê -le 1uo slr,nb aruaugdxe,l êp slrol 'neasste^ a.rdo.td :na1
sap luolnos luos sluorll sal 1a a|e39;1r lsa opueqêrtuol el ap saurelrdet ruo^op q,nbsnl spuol-seq sap lue8teu?
: lrenerj np ornleu el q luouuarl sanbsu sal aJQurel rnol slr : uau ap lua1led srarpueqalluol sêl 'luonnos uo{B
êp srnol ne suosrL{erl êp la sÔSelueql êp alqLUou luolns -ralueA uo,s ;nod xnatn
sa saurelrder ap orqu,rou 'g11te1ndod rnêl ap lldap u3 ,unLUuJol np sroq êluerl, aun ? oQrl
zasse o,t^th lnê^ lt,s
'soroq salqel.uê4. -osse 'a8e;not ap 1o l!olel op asop ouuoq aun,p ulosêq
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5N oufiIïIr
UNEAFF,AIRE EN OR:
IA VIE t}E CONTREEANDIER
ll n contrebandier reste toujours à l'alftt du prochain au dêbut de l'aventure), ainsi que les compêtences qu'il
ll contrat : il doit gagner sa vie et récolter assez de cré- apporte au groupe. Léventail de spêcialités disponibles
dits pour pouvoir faire voler son vaisseau. ll répond donc permet de créer une grande variêté de PJ.
à l'appel de l'aventure et se retrouve fréquemment dans
Le vaisseau d'un Contrebandier est son gagne-pain, et
les recoins les plus isolés de la galaxie. Ouelquefois, le
bien souvenl son loyer. ll en connaîl Ies forces et les fai-
contrebandier se dégotte un travail stable, avec un pa-
blesses, et sait comment Ie pousser au-delà de ses Iimites.
tron et un itinéraire tixe, mais rien ne dure êternellement.
C'est la raison pour laquelle les Contrebandiers font des
Même s'il inlègre un réseau de contrebande organisée,
négociants efficaces et parfois des Pilotes exceptionnels.
ses tâches varieront cerlainement. Un capitaine qui se
En tant que hors-la-loi, ils doivenl être habiles en Trom-
met au service d'une organisation telle que ie Soleil Noir
perie el en Négociation, et certains jouissent d'une ai
est probablement animé par l'ambition, une motivation
sance extraordinaire en société. Crâce à son êloquence,
qui l'amènera à gravir les échelons et à s'acquitter de
un Vaurien ou un Charmeur peut s'introduire pratique-
miss:ons va iees.
ment n'importe où... et s'en échapper. Avant de devenir
Un contrebandier doit se tenir prêt à aflronter l'adver- Contrebandiers, d'aucuns etaient de simples Voleurs ;
sité, car il ne peut savoir à l'avance où un contrat l'emmè- d ai leurs.a plupart onL trempe dans la oelirquarce â un
nera. Il doit pouvoir compter sur son blaster, sur son vais- moffenL ou â un autre de eur e^islence. Oue qles uns
,* seau, sur son équipage, et par-dessus tout sur lui-même. choisissent de se spécialiser et de devenir des Voleurs
Dans son domaine, il est amenê à faire face à maints professionnels. La vie d'un Contrebandier est forcêment
* dqngers, et puisqu'il opère à Ia limite de la loi, il doit pen- risquée, mais ceux qui aiment par-dessus lout tenter leur
ser de manière non conventionnelle. ll doit également se chance peuvent opter pour Ia voie du Flambeur. Celle ci
tenir prêt à semer ou à vaincre des vaisseaux impériaux, permet au PJ de se divertir tout en remportant quelques
naviguer habilement et connaltre les bons raccourcis. crédits, tant que la chance est de son côté. Si un Contre-
Puisqu'il fait souvent alfaire avec des individus corrom- braroier se doit de garder sor blasre. a po,tée oe main.
pus et malhonnêtes, des trallres en puissance, il doil certains dêgainent carrêmenl au premier signe de gra
pouvoir compter sur sa vivacilé d'esprit autant que sur b.rge: r,r vra P'sLorero dispose generalement de deur
son arme. Pour survivre, un personnage Contrebandier blasrers prets a l emploi au r as oL..
doit s'adapler à toutes sortes de situations, ce qui en fait
Un Contrebandier peut avoir bien des raisons de se
rr PJ caoLivanl â jouer.
retrouver dans une équipe aux carrières diflérentes.
Les Contrebandiers proviennent d'origines diverses, et Dans ce cas, il pourra se rêvêler très utile à l'ensemble
il n'en existe pas deux identiques. Cénéralemenl, un tel du groupe : il s'agit d'un Pilote qui se fie à son intuition
personnage choisit les clients avec lesquels il traite, la mar- et connalt les meilleures routes commerciales. Il est ca-
chandise qu'il transporte, les planètes ou les spatioports pable de dêgoter du travail pour le reste des PJ lorsque
qu'il visite et quels itinêraires il emprunte. Dans le cadre Ia réserve de crêdits s'amenuise et quand les estomacs
d'un contral, chacun met en ceuvre ses propres stratégies sont vides. Il salt également y faire avec les Diplomates
pour exploiter les ressources et les compétences à sa dis- ou ies Voleurs du commun. Enfin, il est susceplible de
position ; quant au moyen de paiement, il varie egalement se dépêtrer des situations Ies plus délicates à l'aide de
d'un capitaine à l'autre. Certains n'auraient jamais imaginé son charme ou de son blaster Les méthodes du Contre-
verser dans la contrebande, mais la vie les a entraînês sur bandier peuvent sembler imprudentes et ses actes sont
cette voie. Une chose est sure : le quotidien d'un Conlre- parfois imprévisibles, mais il finit toujours le boulot.
bandier n'a rien d'ennuyeux. Même le plus discrei vivra
Nombre de Contrebandiers apprécient le style de vie,
tôt ou tard des avenlures palpitantes.
les dêlrs et la relative Iibertê donl ils jouissent en êtant
Les Contrebandiers constituent un ensemble hêté- leur propre patron. Dans certains cas, ils espèrent s'as-
rocl te d ndir,idus el les joueurs seronr confronrés à ur surer une reiraite confortable, mais souvent, la contre-
certain nombre de choix s'ils souhaitent en créer. Lune bande esl une seconde nature dont il est diltrcile de se
de ces dêcisions concerne Ia spécialité de dépari, qui défaire. Pour la plupart, pas question d'envisager une
determ ne e type de Cor -,ebandier intarne 1du noins autre carrière.

H I§TORIQU E DE§ CONTREBANDI ERS


fl haque Conlrebandier est unique, et le joueur dispose sa créalion. Ces exemples sont adaptês aux spécialités
U o une lioerre p esque inlinie pout maginer re passe presenles dans Ie Iivre de règles et aux trois autres dispo-
de son personnage. Vous trouverez ci-après des idêes nibles dans cet ouvrage. Les joueurs peuvent s'en inspirer
d'hisloriques pour étoller un PJ Contrebandier lors de et les combiner avec des Motivations et des Obligations

ÉLECrRoNs LtBRES
At,cI,E qJE'rK,x n[,lsGRÈ1TE
rJ.EtËrstoilr xorrsEfp ilrDlltr
s3uEr-r sNou.|-tl'lJ
'sl€qLUol sêl red suranSe son8oloLUoq sasre^neLu 0p OrJQS oun 'êunl]o] 0p sl3^Ol un 'suloLuUe?N
srnol onb êllolJoLU uorsDQrd oLUoLU el 'salqeprLUJoJ sossol{lu sap luêlnLUnrl€ souuosJOd soulel
op oJluoLU luol assolqou el ep sonbrltlod salnol -ra)'xnolnl o8eluQll un no arrPles un'ule3 un e olgJ]
saxêldLUol sop uors€llo,l ? no Jrsreld ol rnod sluol grslïnrud
-el srnal glule luo rnb sorololsrd surelroJ lerlrLUeJ
rnauuor..{.1 arpualQp rnoo sl0np s0p qr^rl lu0re,u 'soLurP sês
e,nb olueuuol
s1r,nb sulor-u ? 'se;relgueldrolur supJes sop luernp
lreJ ou lo orpuoJ?p ês lrss alDUJIp oluêlslxo oun,p Çdel
s3nbrloxê,xnsurue xn8 êsseL.{) el ? sgulelluê êrlQ -sar oJololsrd un xnoJê8uPp sQrl JOIQ^9r as lua^nad uols
:
I ur el o p soJalolsld s al
.'1nêd:1,!]p§'ê§ Sêqs I e sal I
sarddo,l op lo Qlar^ned el ap sêLulllt^ soralolsld sal
rar?dnrQt sal Q ?utLUrêl 'sl8lop sal arlua
-op anb arle lnad ou nol ne sassoLlrr ses nprad
rassrl8 sno^ q oluepuol êsnaqlBJ oun luo sll,nb slslu
e rnb npr,rrpur lnol 'uUU! lnol al rnod lnol el 'slêrluêsso luos slrpQJl sal ênb lres Il 'llos uê ll,nb Iono
anbsr.r lr,nbs.rol ;eBuep np luonsuo) luoLUaltel 'sêsrJdor solureu ? solEUgLUouQqd soLUulos sop nplêd
-.red lsa JnaqLuell ol 'sloJrpd sor8 luestul uo
srnd QUBeB lre lr,nb olqrssod êu.lQur lso Il apueqOrluor
so;8;au8e8 lnad uo,nb luanes slr sreuJ 'saltep el suep rêluel os .rnod Jnê^olduo uos Jêuuopueqe,p
:l)l[s ê]to^'sluapnJdurr rêlqLUês
,lual,nad lue8re,l ep sgrrnos sreuel lue^e sosnr sanblonb sudde e Ir no oulsel un suep QIlle^
-eJJ JO^e lnod Ir 'uours nê[ ne ?]JOqll es Jêu3e3 êp lue^e
.luos as au rnb sJnoquell sal a^ellso oJlleu lnad rnoqLUelJ ul-l sle^nsuj oLUu]o) uoq
'lueueltnlel8 'luelsur onbsl{l luaLU?suolur lue^l^ sJnaquelJ sal
suU sds e rJAr,p ,'od ralrdrueu o1 'rnl q srnêuQdns oJlorl
ap uoIoLU êl Qlnorl s"rol srndap e 1t
os luarerJnod rnb xnol JOlndrueLU lo lollLUI lles ll : xnêll
sraLU'êlnros oJpuar rn{ ap ureqrord -qrd snld al lnole uos lso JnaLUreql np aletlos 0lueste,l
uos arlure^uor Lnod sltpgrt xne 'lualnoA slr,nb ar Jruolqo rnod uollelndlueuJ El e luel
srnolor rro,te nd e JnoLUr€L1l ui-l -nolar 'saQlrLurl solrnossar sap lê^e ..ll.tos uê,s e sudde
'uorlelnpQ ouuoq oun la lueSLe,l
luo lê sQSelue^esQp sro!ed luassleu ilneuJPqJ sol
luaLn:ord enb eruesre,l op luorl 'ênbruq)ol es aJrejred ap sduel ol na e lo sonblql? suoll
-u9u9q'suroLUUe0u'surelraJ 0lrl
-egr uo luos al eu s;r,nb slueguol -senb ep snld asod as êu o8e ounol snld uos stndop ar^l^
snld arlered rnod sgnop luoLUêl -rns Jnod rêpiedpql 0p e rnb rnêlo1 un snpuedgJ sQJl
srneureq) sal
-Qllnll],red JUos luêLUOSnOJnOqleu luos OTQSILU el suep s0u slnalo^ sol
'aJreurproellx0 'Çssed uos red qdEJlle] sJnolnol elos lll.los ua,s op
alual rnb eSEUUosJOd un 'anbuolstq lal un laAV oleLUJou
Q]êllqeq Jn0l lusrluoLU9p uê arerl
-slp as ap uo5e1 eun 'sduual-essed un lJered rnal loulLUrJl op or^ êun,nb sêlndBr) op luPl ?luenb
-QrJ srolred luo oJnp or^ el no luo Inb sueune^ sal
1Sê lO^ âl 'SêrlnB.p rnod zosse steLU
-e[ 1uo ua.u su]elJol sreLU 'luolro^Uol i sê8elue^e sanblanb êluos?Jd alltelloj ap sBl
s1r,nb a: ap 3ue;edue,s sJnalo sol xnar^ lanb alrodLUr,u rallolÇp arreJ ..lro^nod Iall 0l suep
'slolJlrnoL.r.r snld sa1 êr€J C uêu snld luo,u tnb xner stldluol Â'nocnor lanb
e1.;oduur,u Lalolrd ap selqeder luar-uale"l?u03 luos lse,tedO
lualnos uarq luos sluessrnd sep xnal
salqeluQ^ ap rns luo^nos uarq) .ra1o,t ? erpuetdde rnod
sal lureJluol  se1 no laurLed .rnel a|
alqou ap lnlels Jnè anb a:,ed srolred u'eq-l sourOlu-xno rns anb 'lalduor nd 1uo,u rnb se1o1g se-1
-o"rd ;na1 ap ranol as luaLure suapne1 sol 'rnl )ale êrpual QlÇ sed e,u
or^ el 'lros ue 1r,nb rong enbruuerÂl uorled un red Qltold
anbtlreleg artdLl3,l
-xa no a8e,telrsê uê lrnpQr oJro^ 'Çlar^ned e1 suep nrg,t
3p suorllexa sal Olluo) rallnl ap OllaJrpur
uo5EJ aun lsa uorllaqQU e1 ep aiduor a1 rnod
arlQ-lned e II nlnoq nad anb;anb lo oleuol lua^nos
apueqarluol el ranbrlerd spueLllreLU saurel OlQ^?r 0s QSrJo^€JQp narlrur un,p nssr Jêlpueqorluo] un
'rdel xnarqLuou ap e n€ossreA.rnel enb qssrel 'saro,uadÂq sol Jns xnonepne xnorqLUou op olll€
B.u êpuergplv,p uorllnrlsop e1 : npred lnol luo erualndo,l suep srnol sas ap luelsor êl orlrl ap ]e lod
' ,r',s44û.lld sulelrol xneBqllt soJleJgurlr sal rnod 1ter11e -1rel a1 raL.lloJlOp ap rrodse,l steuu 'asne:aBuep Qlt^tlle
' :t.rsr{-rntrrnSrirrôa
- ,tgd apqeqêJluol elpr ap aJ^A pl
ln o{o^ pr Jrsroql
rcrôlr lned :?pttttoctrrJ
rnerj aSeuuosrad aun lsê êpueqaJluol 3l 'solJa] êlqrlsrso]]r ;erq,re,s lnad
,.-:tÊ1 .'Un èXn1 ap slanol sap êLUruoJ xneêssreA srnal sroJ soureqne,p aurald ar,t oun orluo) olllUllp uarptlonb un
1@:.]11§.llÉ.q e:uelndo,l nuuol tuo rnb se1o114 se-1 le8ueqrq,p uorleluêl el lo oluEL{lÇlle e,ulradsred oun lsa
grSglr,nird un,p opntrlle,l ra^
rorpuEqêrluo] ap OrQrJJel el OlEDraurLUol Olnor Olnol
-Jêsuof ap sê)ueL1l sepuer8 op e srone sas a;prad ap no op llpl?,1 q aunl oun:ns no leugdut Snol ne ostLunos
alQueld oun rns lros a: enb 'arlJns rnol rornsse tnod eqrgl
raprdelrp ap IUEAE êxnl ol suep n:9,r e rnb rorpueqêrluol
-oJ su€s JOllnlluo^rop erxeleS el op soJlo sep iLednld e1
a1 errol3 el la ainlua^e,l rêqlrêql Lnod a:ualndo,p or,t
Jnal xna arQurêp OSSrel luor-LrêrreluoloA luo sun sanblanb §§r§ef{vssü
'sgllrqesuodsar srnol ap s?ssel arprad lnol op luele
0r^ 0ll0q 8l nlÇ^ luo sr0rpueqêrluol surelJ0l ?l0r^ 'uorleur8erur Jnol op gr8 ne srele,ne sJnol lastleuuos
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q oluesre,l ep rnb alrodut,u :assed êreJ lualu -,rad ap sa.lqrl luos lo suorlelrpur ser ralredse: ap snual
-aprder lueaned lue8e,rerlxe et,t ep e1Â1s un no sare1Je sed luos au slr 'suloLUUeQN slalduuor p6 sep ;aqtr tnod
EX-MILIIAIRE Les Vauriens ne refusent jamais de transpo^rter une car-
qu'elle soit légale ou non S'ils ont don-
LArmêe lmpériate, la Marine, les Douanes, et le corps 9?itTli:tit'se'
d:,1: commerce officiel-au début' c'étaii temporaire
. des stormrroopers forrnenr er emptoient prrii.rrr nii l: lî par inrcret Pour un Vaurien' les alfaires
tions d'humain's'et de représentants o'rrtr.i.ipe..r :1.^1i:1'^tl"tt
sont les allai, es er les lois n on L suère d im portance
' üà,i,. li ir' ËiïË;ii des. r ecrues. consacr en r r;;, ;;;;l ;
voiTe leur ÿie. â larmee. certaines sont expLllsees pour Les Voleurs oores d un grand sens de Ihonneur
'mauvaise conduile ou quitLenl le service de teur plein peuvenl avoir étê des crloyers respecLables el doc;les
gré. Les non-hui"nains, quant à eux. reçoivent parfois un avant d'être accusés à tort. À parlir du moment où un.
' entralnement.aq sein dlune armée ou d'une flotte planê- Voleur a franchi la ligne rouge, il peut tout aussi bien'
.. taire plusmode5Ïe. adopter.ce style'de vie et devenir professionnel, Un Vo-
.Les Pilotes qui ont servi dans l'armêe sonl gênéra-
lllt!:lt'iut"deseslarcins'toutenrespèctantuncqde
.lement discip{inés et hautement competenii. un'i.t pl
d'honneur plus slrict que ses victimes'
s'est peul etre tourné vel's une vie de Contrebandier Les Charmeurs ont peut être fait quelques erreurs
pour pouvoit voyager oü bon lui semble. à moins qu il de parcours el sen sonl sortis indemnes. Malheureuse'
n ait telusé de suivre des ordres qui allaient à l'enconlre menL, il sullit parlois d'un seul ecarL pour se relrouvel
de ses convictions pour garder la conscience propre. avec un, casier judiciaire, et c'eSL alors que le desl in a
poussé le PJ vers la Contrebande'
Les Vauriens qui intègrent l'Armée ou la Marlne lmpé-
riale a la techerche d avenLure et d'excilaLion se senLenl Les Flambeurs qui ont lravaillê dans des casinos
. vile pris à la gorge par les règles slricles. Neanmoins. ils connaissenl loùs les bons ltucs. Ceci dit. un pro qui a
y resient genàralement assez long[emps pour beneficier Lendance â lermer les yeux sur les règles de la maison ne
d un enlrainemenr au lir ou au pilotage. tarde pas à perdre sa place. Peut êLre s'est il senli grisê
. Les Voleurs issus de l'armée semblent plutôt rares, par son succès, oubliant que la chance linit toujours par
mais il est possible que certains aient commencê leul Lourner
cattiete dans la Marine impêriale ou dans les Douanes. Les PistolerosonL peul être commis une erreuren ac-
A torce d attaisonner des Conttebandiets. ils se sont de ceplant un travail sans connailre la véritable identité de
plus en plus interessés aux cargaisons conlisquees eL leur client. I'inslincL d un Pistolero lui dicte touiours de . .

aux créoits qu'on pouvail en tirer. . dégainer pour resoudre un problème, et ce réllexe peu{
Les Charmeurs onL probablement occupe des posres lur valoir un casier iudiciaire. quel que soit le do.maine ou
adminisllatils dans l'armée [ouL en tevanl d'une carriète ll exerce
oî.r; üri.r n"i't;;q; p;;;;,.;; èh*;;r;. '
. '#ôll.
des inlermalions cruciales ei la'capacite d'imiter ies oln- CYNTQUE
ciers pour se mêler aux autofités miiitaires. r,meurs glanée! au couri
Les récits àe sés exptolts et les
Les Flambeurs se sont peut-èLre engagés dans làr Qe'ses voyages cohptent pârmi les biens les plus pre
mée à cause d'un pari, puisque leur spécialite ne'les pré ôieux O'un Ôo'ntrebandier .Lhistoire du Contrèbandier'
;;;p"9;ôà'a*uiumil'itaire.Pa|ailleurs,unteI.peràon]cyniquegraviti:autourd,unpointprécis:lemoment'qui.
'nage.peut
avoir ser:vi durant dè longues années, au cours a changé non seUlement le cours de s-a vie, mals aussi
d',:v;'15]ireu-êra r ,son qlrque utn'oo'::l::
Les Pistoleros §euvent aisément tirer .^_^^ i:î:îffi-:üJ.:e'Éli?i,îï'ili§;i.if,3::it,ru
lî:: j:r::; ;:?-
â, ià Ërl r, loi, en t,ordre er en t,êLre humain. Dans une.

s'est pas tout simplement lassé de sa position, incapable personnelle. :-:':,;i:;;:'^:^::


gine
6" ou d une t.iahison
Lr ur
"JUr I t,!
. . de 'vivre sans.violence. ,

RESPECTABLE étê incapables de s'en procure.r. Un Pilote cynique,. long


temps privé du seul appareil néce§saire'pour'exçiloiter
Rten n'emp6che un marchand de passer'sa carrière à
transporler el à vendre des.biens léga.ux en respectant '
sescompétenceselgagnersavie' apportera un soin mê--
ticuleux à toul engin qu'il a la chahce de piloter'
la loi. Néanmoins, les lois chaagent et il est parfors dil
ficile de se rêsoudre à changer àvec elles. Uri marchànà Les Vauriens ne font génêralement pas grand cas des
peut aussi perdre des clienli légitimes et se voir obligé trahisons occasionÉelles, mais ce Gontrebandier a peut- . ' .

d e,argir ses horizons pour gardèr la tele hors de leau. etrê VU l'injusliie a grande échel'le. Peul-elre a l il obser-
'

Ouoi qu il en soi . un cornmerÇant respeclable peut vile ÿé la crJautê de l'Empire de lrop pres ? A présent. il met é
se trans[ormer en Contrebandier.. un poinl d honneur â combaltre le mel el à neltie des Æ
bâtons dans les rouesdes lmpériaux "=*
Les Pilotes qui volent en suivant les rêglementations \æ
ont peut être occupê un poste stable au début de leur Les Voleurs ont pdut-être étê dêpossédés de leur.,:,,i§@É:l
carrière. Un tel individu peut avoir rencontrê un fonction- argent
rent ou de teur Voleur qui a,ètê,rpr!§i€§ffiffi
style de vie, Un Vofeur
leur styte ? ,eÉ,ipl!§i,*læ
ul pol vinr ir garaxie a une dettg
consideler qre ra galaxie
ur cib{e::âfut considêref.:.&re,.la delte en'-,iÆl ....i*t;
\ :î:îr:il".Ïiï#i.iiïïil,§iîJ.î 1e
"slui.
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el e lr8eQr ta arpuardrns e êllruJ!p ts3 rorpueqârtuof 9to -eprde; ourolsrp lrd1ror un suep rpue;3 e rnb alo116 a1
srnolnol e rnb oJêlolsrd un neossreA uos q alolrd un.nb luaLUêjQrlnlrlJed luêuuorlle3le s1r,nb ur8ua un'neassreA
sÇ{1lelle. rssne luos  sralselq ep arred rnel anb asoq: Jnal ap uolnoq êrpuroLU êl luêssreuuol sslolld sêl
. arlne rns rolduror nd sreuel 1uo,u rnb sorelolsld sêl 'Qnop sQJl ]so sreLu sasrpueqlrEru
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luourQlJ oJ ap lUerl a1 enb a;1ne,p uou lleuuol au fd ol'1ros ua 1r,nb
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-yrel e1 rêrllorrQp q nua,tred lsa rnassalQpo.rd uos rs lf jue^e apuEqorluol op orA aun suep sglrdngrd Olg luo
'xud lnol q oluel]l es arlQ-lned e.tolual a^QIO uos 'ounl sreur ']uêuuêr^ sll !o,p sed erlQ-lnad luo^es êu sollne,c
-roJ lrpl sreuel e,u ld un,p roluêLLl al rS preseLl ap hel np slU ua arçd ap Jêrl?ur ol oLUOui luènbrlerd sulelra3
..rnoLue,l e8elugq ua n5a; sroped 1uo srnequelJ'sol . êrA oJlne,p nuuo) srelupl luo,u sJarpupqêrluol surelJaJ
'uor1:a3rad e1 q,nbsnt arpJ,ro^es rnal lue5raxa SONVEiUINOf Tn UnOd EN
lêulerjuo,s ap suorsello,p sed luoranbueuu eu apueq
aJluol el suep anbrldi-ur roluolx un.p no luarecl un.p tatuard ol rêJtl e sed plelrs
sqrdne slualet srnol gddo1a,t9p 1uo 1nb srnelurpr{J sêl . At., 1 1a 'grssar8e luêLUalne1 luor^op asnolnolnop alred
ol!ruJlp sroped iuarngp rolo^ opuortet êu| no u9s1u€rl aun nlÇ^ e tnb o;e1o1st6 un oJpuaJ9p ês
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OBLIGATIONS DES CO ù il I
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ù ril=t*l
IL es Contrebandiers cumulent de nombreuses Obliga Ces iardeaux peuvent étoffer l'histoire du PJ ou définir
tions au cours de leur carrière. lls dépendent de leur son caractère. Sa carrière est risquée, mais puisqu'il
réseau pour trouver du travail, assurer une certaine peut se jouer de ses poursuivants pour ne pas se faire
conlidentialité, ou encore ôbtenir des faveurs et des dé prendre, voyager discrètement et trouver des planques,
lais pour rembourser une dette ou une cargaison êgarée. le Contrebandier peut aussi échapper à ses Obligations
En raison de la nature de leurs activités, ils ne dêpendent le temps que revienne une période plus faste. Même s'il
pas de la juridiction lmpériale et l'ombre des Obligations est susceptible d'avoir des Obligations plus élevées que
plane donc sur chacune de leurs actions. La capacité les autres personnages, le groupe dans son ensemble ne
à jongler avec elles est un atout crucial pour tout bon devrait pas en pâtir
Contrebandier, qui a tout intérêt à garder une longueur
§
d'avance pour êviter les imprévus qu'elles causent. En
La Table l-l : Obligations des Contrebandiers est
i.
général, les Obligations vont et viennent ; bien souvent,
une version améliorée de la Table 2-l
: Obligations de
la page 59 du Livre de règles d'Aux Corurrrus o: r-'Eruprne,
1e PJ n'a d'autre choix que de s'acquitter d'une dette ou
enrichie de nouvelles options liêes au Contrebandier. Cette
d'une faveur en en acceptant une autre. Ceci dit, il finit
liste peut remplacer la Table 2-1 : Obligations si le joueur
toujours par payer son dt, du moins s'il parvient à termi-
souhaite tirer au hasard les Obligations d'un personnage
ner sa mission en un seul morceau.
Contrebandier. En outre, elle peul etre source d'inspiration
Les Obligations occupent une part importante de Ia pour un joueur qui dêsire créer sa propre Obligation, ou
vie d'un Contrebandier, bien plus que pour tout autre PJ. en adapter une à d'autres carrières : du moment que le
Puisque cette carrière s'accompagne souvent de dettes, MJ y consent, rien n'empêche un personnage qui n'est pas
elle entralne également des Obligations plus nombreuses contrebandier de tralner une Mauvaise réputation si son
ou plus élevées que les autres personnages de l'équipe. joueur souhaite appliquer cet aspect à son PJ, par exemple.

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.rarsel al Qo sel nV sgluolne sap uorluallp,l ra..illle lrernod rnb aurr.r: un suep uorle:ridLrr uos lolnutsstp ap arolua
no'snuuol luos alrnpuol ap sl:elg sas 1anbal suep auqlsÂs un ralrng rnod lnolQp un aleJ ap g8rlqo rannorlal as lnad ar-çç
JalpueqarluoJ a1 .a;rer:rpnl.larsel un,p uorlualqo,l suep tQlnld luop êplsgr aurqlqotd a1 'uotle8tlqg alat ap spl al
sueq s9luolne sa{ Jalr^g rnod uop al luo surelal sreLU 'uorlruUgp led slauruJrJl sap luos srarpueqarluoJ sal : lsulruyJ
aglnlar êlQUeld aun :ns a:r1snl ua laulell a1 tnocl i
i alrallo êsuaduolg] aun,nb;arpueqarluoS a1 lnod asnara8uep snld uêrq eras llnH un led asrruo.rd asnargugB aLuud i
I aun 'a:uelquasrer,r aJnol uolag Jsuaclu.rorglel ap arnler el êuLUol lnot'uolteSllqo,l êp rnalE^ e1 ap puadqp-eurucl a1 I eÇ-ge
i slêtpueqarluo' xnotqLLlou ap alQl pl : êrurJd
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êp lueluour êl a.rQUrel rnêl ap erlne un no luêuoLU un q xr.rd e asrLU
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ru§&§§§§il.§-§§ §§p˧§§
fl râce aux trois nouvelles espèces présenlêes dans un court instant Lorsqu'lls émetteni leurs puissantes
fl Ar.u*, ouEsnoN rNDrscRÈrE - les Falleens, Les Colals phéromones afrn d'atlirer un partenaire. Les écailles qui
et les Ouarrens - les loueurs bénêficient de nouvelles op- êpousent leur silhouelte élégante et déliée sont plus
tions et bonus tandis que leur MJ dtspose de dêfis inê- épaisses aulour de leur colonne vertébrale munie d'une
drts à incorporer dans une campagne d'Aux Coruprrs or crête denlelée. Chez les FalLeens femelles. la teinte de la
l'Erraprnr. Chaque espèce présentée ici possède des ca- peau est moins vive, et la crête dorsale moins prononcée
racléristiques et des capacilés spéciales particulièrement que chez des mâles. Leur capacité à laire varier Ia pig
utiles pour des personnages Contrebandiers, mais toutes rnentation de la peau est égalemeni moins visible.
peuvent entreprendre n'importe quelle aulre carrière.
Crâce à leurs traits exotiques, Ies Falleens sont consi-
La circonspeclion des Falleens, l'empathie des Co- dérês comme séduisants par presque toutes les espèces,
tals el t'intelligence des Ouarrens leur permettent de se et leur beauté est largement appréciée dans l'ensemble
fondre aisêment dans la pègre galaciique. Les FaLleens de la galaxie. Outre l'usage des phéromones, leurs jeux
sont des maîtres absolus de l'art de la manipulation, re- de sêduction accentuenI encore cette réputation. Une
courant à de pulssanles phéromones pour embroutller longue chevelure norre et soyeuse souligne leurs pom
l'esprit de leurs interloculeurs et envoûter les impru- me[tes marquées et leurs traits saillants. Les mâles re-
dents. Ce don fait d'eux 1'espèce idéale pour un Char lèvent généralement leurs cheveux longs en houppe ou
meur Les Cotals sont capables de déceler la plus infime en tresse sur le somrnet du crâne, landis que les femelles q
trace de joie ou d'anxiêtê à l'aide de leurs cornes:ces préfèrent arranger leurs mèches ondoyantes en coilfure
dernières Ieur soulflent atnsi quand il faul suivre et quand élaborée, ornée de perles et de peignes décoratifs. Les
# il vaut mieux se coucher. Enfin, Ies lalenls de nêgociateur
des Ouarrens constituent un atout bienvenu au setn d'un
grilfes qui prolongent leurs doigts et leurs orleils sont
taillees, mais sans fioritures.
* êquipage de contrebandiers ou d'un rêseau criminel.
Société : les Falleens se sont nommés d'après leur
Les représentants de ces espèces ne sont pas condam- monde d'origine, ce qui, pour certains, rêvèle leur ar-
nés à une activité illégale, dans la mesure où leurs ca- rogance. Une poignée de rois et une noblesse lêodale
pacilés ieur permettent d'adopter des carrières très règnent sur les classes inférieures constituées par les
variêes Un Négociant falleen de passage dans l'un des artisans, les ouvriers, les esclaves et les techniciens.
lnnombrables districls commercraux de la galaxie, ou à I es lar'l es roo es superr iser. es alla.tes e. es rego
bord d'un croiseur marchand, peut mettre à proltt son ciations poliliques pour I'ensemble cle I'espèce tout en
incroyable présence pour nêgocier au mieux le prix de gêrant les corporations et les intêrêls privés. Bien que
vente de ses marchandises. Un Cotal mal à l'aise dans quelques querelles entre royaumes soient inévitables, es
le bouillonnement energétique de la civilisation trouvera nobles lalleens préfèrent les intrigues et les manceuvres
peut-etre la paix sur les hypervoies ou dans les étendues poliliques à la guerre ouverte.
désolées en lant qu'Eclaireur, Négociant ou Expert en
Face à l'action, Ies Falleens privilégient la raison e[ ]a
survie. Depuis des lustres, à l'instar de leurs votsins Mon
réflexion. Pour eux, les êmotions sont incompatibles avec
Cal, les Ouarrens sont reconnus pour leur savoir-faire
un esprit ouver[ et intelligenl. Les extérioriser est très
dans l'industrie lourde et la conslruction navale. Certains
mal vu : ils rnettent donc un point d'honneur à conlrôler
onl Ia lechnologie dans 1e sang, et sont taillês pour deve-
lous les signes extérieurs de leur état émotionnel. Au fil
nir Mécaniciens ou Techs hors-la-loi.
d'un entralnement intense ponctué de phases de médi-
Retenons que ces espèces procurenl une grande va tation, Ies Falleens apprennent à maltriser leurs êmo
riété de défis d'interprêtal-ion pour les joueurs. Même si iions, à contrôler la couleur de leur peau et à exceller
certaines associations d'espèces ei de carrières ont lail dans l'usage des phéromones pour fasciner leurs interlo-
leurs preuves e[ constituent des choix évidents, élaborer cuteurs. lls jugent que les espèces dont les représentants
un PJ est l'occasion rêvée de composer un rndividu hors sont incapables d'un tel conlrôle constituent des races
norme. Après tout, c'est bien pour ceite raison que son inférieures et ils prêtent généralement peu d'atlention
histoire rnérlte d'etre raconlêe. à leurs activités, bien que certains apprécient l'art des
espêrês p us exubêranle.

EALLEENS Bien que la technologie de leur civilisatlon leur per


mette de voyager vers d'autres mondes, une grande par-
Derrière Ieur laçade sereine el Ieurs traits repliliens sê iie de la population falleen n'a jamais mis les pieds hors
duisants, les myslérieux Falleens lont preuve d'un esprit de sa planète d'origine. Les classes sociales inférieures
affûté et d'une précision chirurgicale. Un Falleen sait re- ceuvrent avec dilrgence pour maintenir I'autosuffisance
courir à la ruse et à des phéromones uniques qui font de leur planète, et lui êviter de dêpendre des espèces
tourner la têle de la plupart des êtres. Ainsi, il réalrse de moins évoluées de la galaxie. Dans ce bul, les Falleens
véritables exploits en manipulant avec aisance les repré ont préféré isoler leur société des influences exlêrieures.
sentants des autres espèces. La vente des esclaves falleens aux mondes exterieurs esl
Physiologie : les Falleens sont des humanoides reptiliens l'une des rares exceptions à cette norme culturelle.
sêduisanls, dolês d'une peau écailleuse mais souple dont À l'occasion d'un rite de passage, les jeunes nob es en-
la teinle varie du ver[ loncê au gris verl terne. Néanmoins, treprennenI un pèlerinage autour de la galaxie connue
leur pigmentation prend un ton rouge-orangê pendant pour en découvrir toute la variêtê et perfectionner leurs

ÉLEcTRoNS LIBRES
AIJCIJI{E OIJE]STIOX IXDISCRÈTE
sêlpn alpuôJ ês rnûd qllaqâu a)uerllv,l sra^ soOlle sop le Ieu?drur rUerl np rnq,prnolne JOluoluol os
sÇulnol Juos ⧠sarlnP,p anb srpuel 'a19ue1d .Ina1 rn1 lrop 'sanbrloxo slrnr1 sêp lo lre,p sor^næ sep relrodLrt
luo SuaêlleJ ul?ljal 'luauluJurl lluuol ol ]ueluêssard rnod sepuour sêrlne sop spueL{lreLU sal red qstltln stpel
'êuo-lqf êp êrrpllals 1od e1 elQueld el q snrolq un Qsod
rêroüqlpp a§ llEllE uorl
LUr e qlor-ro) 'opuoLu Jnol op uros nE arrdu3,l op slQtglul
'BnIs el lulod lenb ? lro^es êp ulol 1uêJet? sl! slarx
'sêu;oq sal qssadgp leAE Qrtdtxl,l anb qlç::qp iuo sal rrluere8 1a erxeleF el op elsor êl rns aluonl1ut Jnol
sro./ sal êpuoL.lr rnol ap sroq sasrpueqlreur sêp uotlel
lueurenbrlserp orrnpQr rnod lueggLU lrar un,p alQueld
-nlrl el allro^ins 1e srnalelndrueuJ op sluolel srnol op uostel
el lueqlêduâ 'qrneil§ul p]ê E sn:o1q a1 puenb
ua su00llej sop OUQLU 0s lnploC rnê110s np JJo[ ] 'L1loU
'ôÏnsu] 'soguËrpur 1uûs ês sêilar'sâu;neÂo.t sal suep
o) uosrf uoollel op laulsnpur rnollos a1 luesrlodouoLn
Iednl)o a"r1dr"u3,1 enb suorlellelsul se1 lnod .:à;{ol',s1 selerLgdur lueLuaddola,rQp op lo aqlroqlor op suotlellel
anb rsuls 'sêlerol sâluBeduro), §êl silâp slrÊd s;nal sur se1 'e.lrduf ,l op olu{?ssrnd ue eQluoLu e1 stnda6
;nod sapuaplÂrp sal lo^ala; êp qssar luo sallo;nb
-s.lo1 'çssed ei' suep sanuuol,luêlsÂE sêlp,nb çallsl 'serQEuerlg suorlerod;or sep
q âlqelqurê§ ruo[Hn]lnjlsol ôp no uoqesruEa.roÊ.r olrAJOS nB solloulsnpur sêuoz srnêl Oreld luo le anbrlreleB
ap aseqd allne êun.nb n,t 1uo'"{,u sâlqôu stlllixq Ol]ourLuol ne êpuoLu rnol lJo^no luo uoêllel 0p solqou sol
sal 'sojlRp sal sajdB §âun' s3l ,ssulsll sêl êslleuoll 'enbrlqndg6 e11urolor Lro,te sqrdy s]uelrq€Lj,p suolllrLLr 0f q
-eu 10 uêalleJ :ns gnb;eqqp e ar1dru3,1 anbsro I ep snld ep uorlelndod oun € êrLUouo1ne,1 ltluereB ernat.r
Qlur uorllnpo-rd e1 seLrneÂor sol suep sarer sed luos ou
'e1e1rder pl 'ouo.rLlj ? aunE[ ]lulslC a1 enb sa11a1 sagnllod
I$r§§rü r{v§ :t ill§l}hil NV solloulsnpur sêuoz s0l 'suroLUUeQN 0ulsnpul,l e s0.llESUol
êlqeuuosrp.r alp?l op sureqrn srnollos sep € ergrS suot8q.t
sep ]lednld el suep sa8rer,t saQlsal luos elQueld êllal op
sSeqdLUO,p lO UOrxOlJUr,p onbueLri ol Jnêl el e o]nol..lQJUl segBreuue seuBeluour sol lo soruUUr seuteld se1 'salertd
lso'sopuoLU sorlnE sop luor^o.rd rnb ol lnol êLULlrol lnoU orl slorol sanbselue8r8 so-l .sue OO0 op sqld stndep
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uodêJ a8euuolQd Jnol op srnol np solQdsê sorlne sol luouuorlorlua su0êllel s0l 'ê.rQrur?LU èu el.1êl êun,c 0uu0rl
lo^e JanbrunuiLUol rnod oroluê no 'so^ellso,nb luel uê lêro] ossed el op urol uou lnploc rnollês e1 elledde uo,nb
sroBuer:lo sol r^ras rnod 'aulSrJo,p opuoLr rnol êp sluetl eglosr e:edsa,p ouoz oun,p rnauÇlur,l Q '0uetpQy\ êrnproE
03?u sal no ler-rQdLUr louuosrod ol lo^r? rSerolur rnod el suep oonlrs :lsa uoollpl olQueld e1 : aup1.to,p apuol
lrseg êl luauuerdde suêêllel sap lrednld e1 : enâue1 'anbreur rnol ..iossrEI Â Lnod sapuout sorlne,L)
'sJOBueilQ oxnl op sollrlie,p Jns Jêlsar ap luopnOp suualqd surelrol 'suroLLtueQN Ql
êpueqorluol el luernsse lo sêAellso sap luel.lodxa 'alQu uQLl luo slr luop sêrrolulol sa1 reule,nnoB rnod sastnb
eld e1 rns lnolLed ned un unoi1 luo xne3911t slLod sep leluourLLrolol sglrrede: srnal 1go.rd € luollaur Iednld
'uorlls?r u3 e8euuelqd uê suêolleJ salqou sop sonuo^ lê e1 'e8eÂo,t rnêl op luorluoJ suualqd se1 enbsLo-1 sluolel
uarren§ lelo9
L
caractéristique de leur langage révèle bien le stoïcisme CAPACITÉS SPÉCIALES
qui imprègne ieur culture, e[ le rend facile à apprendre
pour les autres especes.
Malheureusement, le recours aux variations de cou
leur de la peau et aux phêromones pour pallier l'absence
de modulation de leur langue rend celle-ci impossible â . Seuil de blessure : 10 + Vigueur
vraiment maîtriser pour les autres citoyens de Ia galaxie,
y compris pour les traducteurs riroldes. Le fait que seuls
. Seuil destress:12 r VolonLe
les Falleens peuvent appréhender les subtilités de leur
. Expérience de départ: 90 XP
Iangage ne fait que renforcer I'attitude élitiste qu'ils en'
. Capacité spéciale : les Falleens commencent le jeu
tretiennent vis-à-vis des autres espèces. avec 1 rang en Charme. lls ne peuvent cependant
pas dépasser le rang2 dans cette compétence à la
La vie dans la Bordure : à la périphêrie de la socié- creal ion de per sonnage.
té galactique, les Falleens sont surtout connus pour les . Phéromones trompeuses: en émettant des phé-
membres de leur espèce qui dirigent le Soleil Noir, une
romones et en modulant la couleur de ieur peau,
organisation criminelle qui a æuvré depuis Mustafar du'
les Falleens peuvent susciler des êmotions spéci-
rant la Cuerre des Clones. Les Falleens de la Bordure en-
fiques chez les autres êtres doués de conscience.
tretiennent parlois des liens avec ces individus puissants
Une lois par lest cle Charme, de Tromperie ou de
[ils sont peut-etre tombês en disgrâce après avoir gravi
les échelons du syndicat), mais beaucoup ne sont que Negor ialion elIecLue Lontre ün eIte conscienl à
des citoyens honnêles qui n'apprécient guère que les portee courle. un Falieen peuL. au ptix d une brou
aulres esoèces les considèrent comme des criminels. Ce- tille, subir 2 points de stress pour améliorer un dé
pendanl, quei que soit leur passé, les Falleens n'hésitent de sa réserve. Cette capacité est sans effet contl"e. -
pas à faire usage de leurs talents innés, et recourent à les cibles équipees de masques
leurs dons de manipuiation sur les imprudents pour ob- dé po u rvu es de système resp irato (e,.,.,...:.:,,.i1
i
lenir des positions confortables et s'enrichir sans effort. ..
les nombreuses alro(iLês perpelrees par l'Empire
..:dm "-r--:--1x#

sur leur monde natal onl répandu un dedain alliche


pour l'tmpereur et son régime chez les l-alleens d ori'
gine modesle. Une poignée de cellutes rebeiies, basêes
sur la Station Argenl (dissimulée dans la nêbuleuse c
la Fieur de Dragon loute proche), misenl sur,,:, r :

c e tte ave rs o n e n ve rs ii Em pi re pou r. ra.!:.,:r,l::",:-


i

lier des Falleens à leur cause.,.,:.:.iii,*j&ii'ifl

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ErE.êE SlOXl XOr§:rD LrÈ»nlt
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sop oul8uo,p opuolx ol lns oqluol llnu el snbslol êrQlunl srnol luauQur 1e srlod luos l.redn{d el olA € sarueSouout
op sên8uel ap Çnlluod '9lJe^ luaLUOUuo^el un luasslulnoJ luos lo pre8el ratr-uald ne xnelnouuP luêqulol sll 'luêuJ
sêuuau€lue saunl sal 'salrl0Jlx0 xnap sal Ojlul 0lelol -aler?uÇ3 . uotllnpOs op slanlrJ êp utosêq sed luo,u slt
oJqulouod aun suep ÿ reluv lueê3uold 'ounJ ES l0 sêllol0,p 'luornoluo sa1 tnb sorlQ sop suolloluQ sop sluallsuol
onp uos orluo ossllS asnaze8 alueQ8 €l'SJUOLUOLU SArlne,p alqrsred olL{lleue oun luauuall0rlu0 l0 IlqElÇ JU0LUêlllê^
V sêrQdso sop trednld el op sênllrldo sjrau sêl orlnrlgp noB lnol êp sroLlêp uo luop lualt^ sleloD sêl lllluol
rnod oluEl8noAP luaLuLUesulns ?lrell êun suEp orQllua op oLUioJ elnol Lnod êllarnleu uolslale aun,p sçlop e
lnol êunl el ou8l?q 'êsnozeS êlueQ8 el op orQtldsoulle,l 0p sa1 augS el la olQlol el rallolQp q uolsuedold rno-l Ql
olr^rxollQJ el e aQlnolP leluv,p salloLLlnI sollo]9 sop oTQIUJ
-Qnos rnol ap uotlnloAQ,l suep lel)nll alSl un Qnol luo
nl €l 'suolsello soule!al u: alqelsul luêLuêlneLl ôulnlp sar8reuç xne sêlqtsuos soulol srnêl 0p êple,l e Inllne,p
êll^) un, rsluv e.llqns luo] saunl sarlne sêl la êsnaz suorloLUg sal ral9rd";elul E sleloD sep sQltreder sal
e3 olupQS el red so?nbo^oid soluanbÇrl sosdlll? sol 'le€B êp glt: enbselueE
'uosles op lueLueBueqr rB e1 aLuuro: suotletQLuolSSe sêp sluellqeL,1 sal luoularel
np sJol solelnlq senbtleLutlr suolllpuol sep esoduut 1e enb lueÂolQr ou 'êpuoLu rn0l 0p sonpualQ solsel sal la
sêLuorlxa so?reuJ sep anbo,tord oleLuloue uotllsod ellaJ soglle^ sel lualuedre snJlnoq snplllpul sal sauuall€lue
'auQlsÂs np lettqro ueld ne lrodder red eunl allêl ap seureld sol lueuuollts u0 sêllQ)ue sln0l 0p suolllpeJl s0[
ldnrqe alSue,l Led gsner 'l0nllqeLlul uollelol 0p 0lQpoLU luarouoLl lo êt^ op alÂ1s a: lualleler solqlllnpgrll sulel
un,p uosrer ua artet:e13 olloler op an,unodgp lso , rel --rar 'elQueld lnol lns sglt: srnatsnld lueslnrlsuol 'sQSIlel
-uV 'srer1 leLUIlr ol g"l31e6 xneassrnJ s0p l0 sorQIAIJ sap -uopos luos os sl€loD sol ls oLUolA elueueldrns uotslrgld
'sue9lo sap Led olro^nolor lso êunl e1 ap etrgladns e1 ap aun lole soloq sop lauuorloLUo l€lQ,l lo orqLUou al 'adÂl
% Og op snld steut 'sasneuBeluoru seddels êp lo saQJQe ol rallêl?p le xneadnorl sel 'lalqdeL lnod selqenbreLl
sasnoqreLl seureld op aQnltlsuol lueueledtrur"td lse , lel -er sQlr:eder srnêl luot€stltln slnêsseql sal suotiel8ru
-uv,p ols]rns e-l arnêrr?lul ê]nploB el suep ' l qlueN 0p sol luernp xneLUlue sol lu€^lns u0 : aIQIUeLU Allne êun,p
oleDroLULUol alnol el êp proq 0l rns O?nlls lsa , reluv ornrns rnol rolnssE lualnp salQILUeld suotlestlt,tt: sap
'slueueuLad slueula8ueqr sap Q lalns aulntp o1rÂr un,p srnollronl-srnasseLll sol'eln11nltl8e,1 op gllLUIl sQllns
enb rsure'senbtlerra senbtleutll salQpoLl-r sas ap aurBtlo,l ne o)el apeuou er,n ap e1Â1s un Laldope ? sleloD sap
€ lsa rBluV,p sltolos sop le salQueld sap'sêunl sep exald sêrJQlue sutelutol sel Qssnod e (sa;Ieulq sallol0,p aLUQI
-LUOI Islrqro JlloLll êl JPluv,p LUou np salleulq sallolQ,p -sÂs un suep exelduol Ieltqro a1rÂr uos ap allnsqL tnbl
eurQlsÂs un su€p esnaze8 alue98 eun,p rnolne allqlo , reluv,p alqtst,tgrdut lê opn; luaLu0uuorl^uê,1 : 9191)oS
uo sêunl xts sêp oun,l lsa , )e7uv : eu!â!"to,p epuohl 'êrnllnl .lnol ap sluêu.lopuo1 sal onlllsuol sanbtlouB
0lQpos rnêl suPp ap.l.olp IluE -euJoJllalQ suollPUeLU? sêllne la soleJqolQl sêpuo sêp
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luaLurluos puo1otd un elpuedp.t q Qnqllluol e rnb al
o3 sa1 rnod alqegL8esgp luoluarQllnlllled anbtlgSreuQ ede: rnel s.rnelepQ"rd sap no sÂr,ttnb ap xneadnoll sap
pLUQl.irs un Juo^lns rnb sepuo sop luollourQ souropoLU luaLUOlQrlsrp req:o;dde rnod Qlln:ei olla) ep JU0^ros
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luauBndQL slr sreLU 'solteutpJo€llxê s0llllqeq srn0l 0p san^ lo JnêurnLl,l 'e:uesqtd el laulol ap laLu.rad "tna1 sat8leuç
-.rnodgp serqdse saq ted sruq sluesslplnolÇ senbtlg8reuQ sol rluossor € sleloS s0p 0llnlel PI 'aluelslp allnol v
xnlJ xne s9ldepe luos os slelo3 s0l 'solleu9lllLU sêp lg '0n^ el € r0luêlJo,s
nV q reluv rns sraturLu salsod-lue,te sap lllqelQ q,nbsnl ap sed lualleu.uad au eut8tto,p ounl rnal ep senbtun suotl
OIQ luo slr 'uorlestltAtl rnel raddola,tÇp rnod.sarqdsa lpuol sêl rel 'xnedtlutLd slettosues saue8lo sJnel luanl
sorlne,p lale lleluof retLuard rnol luele ualq 'ar1€los -rlsuol slploD sop saurol sa-1 atS.ieuq,p saLUloJ sasi0Alp
euuQlsÂs rnol op salQueld la saunl sarlne sol reloldxe ? lo orper sopuo xne 'sanbtlqu8euotl:a1q sduleq: xne
rnod luord ? ostLU luo,l s11 senbtutqr suoll)eqr s0l lns solqrsuos sêsno^Jêu suosleulLur0l 0p suollllLU 0p soQl
egpuol er8o1our.1lol oun lueroqelQ ua sgldepe luop luos -op luos D-sollol sanb,tuol seu;ol sassredg,p arled aun
es s11 sanbtuo-r1:e1g slreredde sap luouPt.l-l9 tnb sanbll red eQBuolord êlqrl oun luoloqle slt 'sllllnos ep areld
-gu8euorlrelQ soluorQ]lolut sap luar]Jnos sleloJ sol lo norl uf g8uolle lo xnosso e8est,r lnal luouJo snllrr
'sue oznop ap e39,1 sro^ QltlnleLU rnal €,nbsnl ?ltltq a3,re1 un 1e xnelnqo13 se8nol xneÂ,p elted aun 'sa?tqd
elsur.p sapor.rÇd sep rerç3 srnolnol luêAIop sll sleLU 'sllo^ -orle soulreu saq sapqdtq salsnqot sêl êrAnolêJ ?luol
nod srneq ra^e ar^t^ q luauuerdde slt'olueJUa,l êp olllos suE ne a8req np luetle^ ornrrnoJ esstedq aun , leluv,p
el V aruolelel êp no aJIl9p ap êuJJoJ eun srolled asner sauteld sêp l€LUIII opnJ ne saQnllqeq sJnalll0n)-slnês
alleuosuas a8reqrrns alloJ sluESSOlul sllnLUlls sep re89l -seul op snqul 0p snssl 'êlnrrPl êlioJ oun,p s9lop 0lll€l
-ord as ap salqedetut 'salqeutBerutla selqtssod atBleug,p epuer8 ap sop.loueLUnq sop luos slelo3 sol : e1âo;o1sÂq4
soLLUOJ SAI salnol êp s0plequloq luos sll 'alusssleu el 'aOl.tod rnêl ? slue^
sQC slauQllere:]e senbtlsnel luos s1elo8 sluelua sa1 r^ sarlQ sop êrlQ ualq ol l0 rnoLunq,l llluossol êp 10LU
-red rnel tnb ar 'anbserd no anbrl?3rau9 drueqr ap adÂl
,nod erQuerd rna,ar nb t,,JiliËj:i38:T# i:iii enbeqr ralo-rdrelur,p lo rollolgp ap êrleulploerlxe Qlt:ed
or 'rn.llne,p lUord .ratrl "rnod uop rnel lualtoldxo slPloD -el el luapQssod sll slualel xnotquou xne 1a alnsrlq a8el
surEJro) : luolsrxo suotldarxe sap '1!p Ilol slnolnlolr0l -ad ne eluellte,tuetq e:qdse aun luonllJSUol sleloD sol
-ur srnol rêsstorJ sed eu lnod se,tt1e39u suotutdo sop lauJ
udxe,p luelr,t? 'uotlgJlstp el suep sJletlos suo llBJalul slvro9
Cotals. Ce cornportement orbital empêche les végétaux Il es[ presque impossible de tromper les Cotals, ce qu
de prendre racine, à l'exception de quelques spécimens en fait d'excellents enquêteurs. Leur expêrience de la
coriaces à la croissance rapide lraque, assoctée à leurs dons sensoriels, fatt d'eux de re
dou[ables Chassenrs de primes et lVercenaires. Certains
Langue : les Antariens se fien[ à la lecture des ondes cêt é
se servent de leurs capacités pour lirer prolit d'au[rui,
brales et des auras électromagnétiques pour déchiffrer les rôdanl dans la galaxie en tanl que tricheurs prolession
êmotions et les concepts londamentaitx. Ils complètent nels ou escrocs.
cette perception avec une langue ulilisée pour cornmu
niquer des idées complexes ou abstraites Aux oreilles En raison des idées reÇues sur les capacilés exlralu
des autres espèces, les vocalises antariennes ressemblent cides des Cotals, certains tndividus supportent mal leur
à un gargor-rllis monotone. Pour les Cotals, en revanche, présence. À l'inverse, de nombreux Cotals prêfèrent
elles regorgent d'inflextons grâce aux moduiatlons perma se retirer en marge de la civllisation pour échapper au
nentes que constiluent aL-t[our d'eux les humeurs et les bruit de lond constant des émotions et des technolo-
g!es êtrangères. Pour toutes ces raisons, il est courant
pensées En raison de leur capacité à détecter de ielles
cle trouver des Cotals ceuvrant en tant qu'explorateurs,
emotions avec leurs cornes, les Cotals n'ont pas dolé leltr
prospecteurs et éclaireurs dans la Bordure Extêrieure,
langage de mots pour exprimer des concepts iels que le
voire au delà.
bonheur ou la lristesse Le don sensoriel r-rnique auquel ils
recouren[ pour communiquer rend la maltrise de l'Anla-
6epde{§Yɧ §p âÉei§,L§§
rien inaccessible aux autres etres vlvants

*
Les Colals parlent le Basic pour interagir avec les autres
espèces, mais l'idêe de recourir à un discours verbal pour
exprimer des émotions est trop étrange pour a pluparl
d'entre eux. C'est la raison pour laqueile ceux qul parlent
le Basic emploient des lermes neLltres, dépourvus d'emo
ffiffiffiffiffiffi
a Seuil de blessure : 9 + Vigueur
* tion ou d'emphase. Pour cer[ains, ce discours monotone o Seuil de stress: B + Volonlê
et ennuyeux est d'une sincérlté doLtleuse. Une supersli
a Expérience de départ : 1 00 XP
tion répandr-re prétend que les Cotals sont capables de
O Capacité spêciale : les Cotals commencenl le ieu
lire dans les pensées, ce qui met mal à l'aise les autres avec 1 rang en Percep[ion. Ils ne peuvent cependant
pas dépasser le rang 2 dans celte compétence à la
crêatures et creuse encore le gouffre entre les espèces
création de personnage
La vie dans la Bordure : les Cotals arpenten[ les couloirs Sensible à l'énergie : les cornes contques d'un
de navigation depuis des millénaires et sont donc prêsents Cotal sont des organes sensoriels perlectionnés,
dans toute la galaxie. lls sont capables de dé1-ecter à peu capables de percevoir l'intêgralilé, ou presque, du
près chaque lréquence du spectre électromagnétique, el speclre éleclromagnéiique Une fots par renconlre,
ce don se révèle bien pratique pour une grande variété de au prrx d'une manceuvre, un Cotal peut ressentir la
carrières. Leur tendance naturelle à éviter lout conflit en prêsence et l'état émolionnel de tous les êtres vi
fait d'excellents commercants, diplomates, nêgociateurs vants à portêe tmmédiate.
eI poLiticiens. Les Cotals sont egalement attirês par les
carrières de conseiller personnel et de psychlatre, en tai
son de leur prédisposilion à lire les ondes cêrêbrales et à
ressentir les émotions d'autrui.

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olEqul Êl?r)os el suopeleqM sgledde su leLLl
sorQlrLULreLU souJ,loug sol lo'ê^tllêllo: e:ueBt1la-
ur oun,p sQlop xnourt€lQB serlQ sap'seddeo141 sa
enb slel 'alQueld Jnol op sJuotlsuol sallq sêrln€,p lale
lueressrSeralur slt 'uotsello,l :eq'autBtro,p êpuoLU
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rnol ap sroLu sop puol ns elqtsted oluêlstxo aun luêlnol
suarBnO sêl 'xnet..toLLtQLULut sdual sep srndep : olgl)os
'opuoLU oulQtu ol
lueBelLed tnb 'treuele3
uoL\ sol lo^e uotsuol autEJlol eun enbo,to.td tnb er 'se1st1
'oLUrSgJ êlqe^oltdtul,l rlualnos lnod soluolouul solA -eQpr sornllnl xne olueUUol êrteJ ? sutllua nad puar sal
sop rour..]]es ouruSts Inl lo^e lollle^ell steLU 'osnEl el lnod Qlneu?l a11a3 enbrpoqlÇLU uotlslgtueld eun,p êuJJOl ne
ot^ es ronbsu op anbrldLLil o]Idur!,1 aJlleqLUol sualleno lo onlosqe Olrssolgu led snb essaL8old êu Ql?l)os rnol
op orqLUou .rnod sêluonbgsuol êp prnol ls0 uolleroqel : salsrurrssad le slredsuot-ll lua^nos luos sll ?utlsn[ut
-lol el 1a oluelsrsQr Bl êrluo xloLtrl ol sleu.l 'êlueoSQlle lueue8ueqr lnol q luouloq:nole1 luosoddo,s 1e uotltpe-t1
uos ap ropDOp êp êrqll lso unleq] 'allauuoslad uolllque el ? sQLpepe sQ"rl luos slr 'uotleUtlsqo,l ?,nbsnl sJali lel
red xneuQdLUr s8ueJ sol lutolol luo saJlne,p anb slpuel -uêul rssne sreru'enbrsÂqd suas e1
suep luêLUOlnos u0u
'-1êlslsQrop Qlual luo suoJ.leno \nêrqLUou èp'eleJ uol l 'oluernpuê,p lderuor ol luolJtuuosrod suellenç se-1
rns ordLLrS,l red oQlJoxo uorssorddo,l op sluollsuoJ 'a8eu e1 q asodsrpgld sê 'oLU.lêl arroJ
soorlqno sêrQIUru-i suollelloldxo sop lo sênuuolul e1 rns anb nea,l snos latrdse.l ? sgnltqeq snld 'suarlen6
sollor8 sêp suep lueLilel ês 'srnopuo1ord se1 suep e8nlal sap erqrqdue ornleu el se11r"r8 ep no sasnoluêA op sQl
QrllrêUl luo sêrlne,p enb stpuel 'ertdLul,1 op osttuuleLrl el -op s18rop srorl enb JUo,u otolua soJlne,C sartpuedde
ç Leddeqrg"lnod leleu opuolu Jnal tn3 iuo sutelre3 1erL9d ser ep areld lo notl ua se1;r,r8 ap luasodsrp sueuttlqds
-LUr Iaulsnpur-orelrlruJ exeldruo: np Qllls.loA e1 rasrede,p surBlrol sreuJ 'sosnolue,t sap Led sg8uolord slStop butl
uUe lre^Erl ep sdu;er sop suep sasnetrgrd salJnossol sop ap sêQlop luos suêreno sap sureLu sel arqdse,l ap
lre.rlxo luo suoreno sol 'sêruuol9p xnop luernC e8e,telr sarQJu) sol uolos e1ue11no1si.tod? Qln3oq êun,p lo 'sorel
-so uê salrnpgr luernJ satQdse xnop sol 'JtuU .tnod lnês luêLuoLUQrlxo luos ollololl no êsol nead e1 q snp{^lpul
-srqeAuo,l Q Qlsrsgr xne q luenb luole^e rnb t:eutele3 uoil sol QloqlnoLu unrq no 1re,t stLB lnolnol aun lueluesq;d
xne sOlrLUrsse ?lQ luo suorenO sal 'eltdLu3,1 orluol ollnl snpr^rpur sulelrêl anb stpuel'gsoL eBueto,p suotlell
el suep olueJSrxour enbsard uotle:t1dur rnel gt81e61 eA solrlqns ap oJoqre lo ilnl np o)uelslsuo) e; e nead
'serqdse xnop sal orluo oprol rnel enbrueglo opuoLU rnal op xneo sal suep 0lueste
le,te re8eu ap leured rnel tnb oLUlaJ ornleln)snLu el e
srp op lrlolu neolnou un ?nlrlsuol e elef uo! lLns alld
eldnos sdror un lueluesqrd suol.tenO sep ;edn1d e-1
-LU:,1 op oQ^u.re,l a^rlelar
xted aun la uotleLOdoor e1 ted
'« odlnod op olpl » op
sagnbreLu OIQ luêre sepougd sêrlne,p anb uetq 'llê^no lrlerolOd LUourlls al ralQJUol rnol
lrlJUol ua Qr?u?3Qp luo suorsuaJ sal 'sestlder srnatsnld y e sarQdsa sêsnarqLLlou op sorqLUOLU sop ltlrpuol e 0lll
arleLuoldrp el op loLllQ,l ted s?trerluor luotElg lreLrteleJ osur eruaredde ollo] OSUOlut luouJOlQllnltlred pte8et
uor\ sol 'ornllnl rnel renbtpe;g rnod sutsto,t srnêl ap o^tl un orQJUol rnel rnb xnaurLrnl nolq no estonblnl xnaÂ,p
-pluol oun oLUUrol a?lQrdLalur'ollElÇp .tnal luotBssessêr arred eun alno.rl ês serrpuadde sos ap snssop-nv ltltnou
suêrJenO sel anb srpuel lo sQSnêll luos os lueteredQs es le:enbrunururo: rnod seltsueqgrd xnPtleJ sain)el
se1 rnb sgssol spuolord sa1
.[enbtuegro raq:ue1d e1 rns -uol srnol lo^e êruoLlJlEq uè luêuu0ll)uol lè'êLnJSnulLU
.solnlel
soulur srnal lo sollr^ srnoL suep suÔlleno sol lê 'soluel oLl)noq rn0l lu0rpPluê slueqluerl slorl sr0{
-loU sgln srnol suep ueLUelel uor\ solJ saglost lueu;enb -ual erlenb lue8rer-ug 11o,p erte;nSueul olQl êun,p sQlop
-rqderSoqB luossnJ sel1e,nb uorq 'serqdse xnop sol ê-lluo 1a 'sepodoleqdor ap sluepualsop xnetno8t,t sop.toueLU
enbgrred oluêlsrxaol oun rornelsut,p Oluol luo IleLUei -nq,p erqdse oun luouro] suarleno sêl : otâolots^qd
ef uol^ xnorqu-r0u 0p '0rollrA rnal q Ollns suorJeno erBQd el le anbtl
sop Ielol enbsard luêLUêssrlueQUe,l red qplos lsa,s suoll -r1od e1 'serre;s sal suep suorsseiold ap Iteluo^9 e8rel utr
-esrlr^n xnop sol eriue g8uoloLd le lelnLq lrlJuol o-l
? esodsrpQ.rd sêl sguioq senbtlenbe sop.rouelrnq sol op
'Ireu.teleJ uolAI xne a.r-ranB e1 grellQp anber.oue;ed êrrol'alueuQLU oinleu el ele1eu en8uel rnal
Juo slr 'xnpr,iolural lo sltsser8e . s"latuald sal rnod alqel suep « )EC » no'elel uol,1 enbtueg:o elQueld Pl op sul,r
-roddnsur glQ^QJ lsa,s saldnad xnop sol êrluo so.tnllnl euJ snos sluelrqeq sol luos suollPno sêl 'sQloluo la s.l0ll
sop loUl ol sursro^ s.rnal op erusrLutldo,l E la oLUSrleÇpt,l
? 'Qlr^rlegrl el € oluepuol el e o?trnèq lsJ,s suêlleno sNsUUVnb
Monde d'origine : les Ouarrens sont natifs des profon- fletre*:.Ëâ⧠sp*#EeLffi§
deurs obscures des ocêans de Dac, une planète souvenl

ffiffiffiffiffi§ffi
appelee Mon Cala Ce monde de la Bordure Extérreure
constitue la dernière étape de la Médiane d'Overic,
au delà de l'Amas de Tion. Durant des millénaires, il a
prospéré en tant qu'exportateur majeur de paquebots
slellaires de luxe. Un vaste ocêan recouvre la surface de a Seuil de blessure : 10 + Vrgueur
Dac, et seule une poignée d'îles et de récifs coralliens a Seuil de stress: 8 + Volonté
émergent des vagues. Au cceur de I'écosystème marin a Expérience de dêpart: 95 XP
florissant de Dac, les Ouarrens vivent aux côtés de plu- a Capacités spéciales : les Ouarrens commencent le
sieurs espèces conscientes : les Whaladons [des céta- jeu avec 1 rang en Négociation. lls ne peuvent ce-
cées), ainsi que le peuple idéaliste des l\4on Calamal. pendant pas dépasser e rang2 dans cetie compé
Des citês immenses llottent sur les mers de Dac el tence à la crêation de personnage
en tapissent Ies profondeurs. La ville principale de Mon Amphibien : un Ouarren peul respirer sous l'eau
Calamari, surnommée par certains " la Cité de corail , sans malus, et ne souflre d'aucun malus de dêplace
en raison de ses exquis jardins de corail multicolore, est ment lorsqu'rl êvolue dans l'eau
constituée de districls émergés et de quartiers sous-ma- Jet d'encre : les Ouarrens sont capabLes de cra
rins. Elle abrite le siège du gouvernement planétaire cher de l'encre stockée dans une poche au niveau
D'autres métropoles floltantes, lelles que Foamwander, de leurs branchres. Lencre se drsperse dans l'eau,
Heurkea, Hikahi, Keepiru, Orotoru C'am et Reel Home, créant pendant un court instant un nuage sombre
caractérisées par des styles architecturaux uniques, dé qui peut perturber un ennerni ou leur perrnettre
rivent sur ce monde océanique. Entre les vagues, on dé- d'échapper à un prédateur. Cetle capacitê peut éga-
couvre d'immenses cités abritêes sous des dômes ainsi lement s'employer sur la terre ferme, mais elle s'y
{F que des colonies minrères dans lesquelles les I\4on Cala- révèle neltemenl nnorns elficace dans la mesure où
mari, les Ouarrens et les Whaladons vivent el travaillent l'encre doil être projetée direclement sur la cible.
* en harmonie. Enlin, d'autres espèces pensantes, telle Une fois par rencontre, au prix d'une broutille hors
que la communauté de mollusques intelligenis connue tour, un Ouarren peut subir 2 poinls de stress pour
sous le nom de « Banque de connaissances », nichent ajouter I à un test de combal réalisé par un adver
entre les chaînes de montagnes sous-marines saire à portée courte [sous l'eau, a jouiez I I I au
F Langue : le Ouarren, langue natale de l'espèce, est Llne
combinaison unique de beuglements sourds, de cris flu-
test de combatJ

tês et de croassements capables de se propager sur de


grandes distances sous l'eau. Lorsqu'ils ne peuvent pas
faire circuler de fluides dans ieurs voies respiratoires, les
Ouarrens eprouvent des difficultés à s'exprimer dans
leur langue, notamment à l'air libre. Pour cetle raison,
lorsqu'ils communiquent hors de l'eau, la plupart parlent
le Basic sur un [on rocailleux assimilable à des gargouil-
lis. En raison de leurs interactions fréquentes avec les
Mon Calamari, les Ouarrens sont genéralement capables
de parler le Calamarien.
La vie dans la Bordure : bien que les Ouarrens vivent
cachés et préfèrent demeurer sur leur monde d'origine,
il n'est pas rare de les rencontrer dans toute Ia galaxie.
Cerlains ressenlent le besoin de qultter leur monde pour
êchapper à leur dépendance envers Ies Mon Calamari,
ou à leur servitude envers i'Empire Calactique. Si tous ne
sont pas esclaves, la plupart éprouvenl néanmoins une
grande méfiance vis à vis des lmpériaux.
Cerlains Ouarrens préfèrent rester en marge de la
sociêté et obéissent à leurs tendances naturelles à la
méfiance et à l'agression en s'engageant comrne rner
cenaires, pirates, marchands d'esclaves, contrebandiers
ou espions. Cependant, leurs penchanls conservateurs
et leur mêticulosité en lont d'habiles comptables et ges
tionnaires. Leur nature indépendante et soupÇonneuse
les prédispose à devenir infomarchands, politiciens ou
brarons de la pègre. Nombre de Ouarrens accusent indis
tinctement 1'Empire et la Rébellion de la destruction qu
a ciirectement touché leur monde, et regrettent l'attitude
des Mon Calamari, ouvertement alliês aux Rebeiles. Au-
tant que faire se peut, Les Ouarrens s'efforcent de resler
neutres el de ne prendre parti pour aucun groupe.

ÉLEcrRoNs LTBRES
ArrcurE ot Esrrox rErscRÈTE

I
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rrErrrsroxr rorJs:loo It E nlr
sluEt'l sNou_Ll31f
(arqdsa,1 q Ql9Dos el ap
sa?rl sarual?dLLrol xne no snuoq arQr.uel ap se:ua19d e8reur ua "raLçdso.rd ep saleutStLo so-tQtueLU sêp roluoA
-LUol xne areLS) a:ualodLuor a11ar rnod slrnler8 sBuer ur,p lo urol snld sLnolnol .rall€,p rarpueqê.tluoJ np utos
sorlne,p ênUQUQq eBeuuosLad êl rs aLUQLU 'aBeuuosrad -oq êl luE^e uê lêLr-r sOlrlengds se11a,r,nou so) op oun)eLlJ
ap uorle?rl ap ade1q,1 ap srol 6 Suer e1 ressed?p tned 'oralolsrd ne or^ ..rouuop rnod utssessy,l ap uotsr:çld e1
eu arualgdurol aunlne 'lodd€r Jnod nead ;ne1 ra,rnes la^e auuorsnl lPplos np uotssoluol sues uollsulLulalop
luoLULUol arnp el e sudde luo slt 1e 'saLqdt,r op pru olqEl el 'uUU3 olrel orQrurap es €,nbsni renol q sed eteltsOq,u
rJQ^un lso'sêlrllorQlQq sêllornlln) sanbtlerd sês lole rnb enbsr,r ne orr)e la luerAQp a8euuoslad un lnêqLUPll
'eL8qd e1 op opuoLr a; enb lua,tes sJorpueqêrluol sol êl .rauuop rnod luer:o3?N np êreJ roles ne oIQLU 0s rn0l
'seruelQdruor sol op oun,l -o np ouasrournos el luenoSoN np enbo,r,tnbg lno8eq
ne aleuroldrq np rnolero,p suop sal otlosse rnêLU,teqJ
suep sEue"; sop rolaqle rnod arueugdxe,l ap luasuadgp
êl'alqrlsLSO.rrr rnelred neêB Slu€lstxa i'd s0l loIJISIê^tp
slr,nbs-ro1 osrLUar oun,p luor)UOUQq slr 'orlno Ied?p ul no se8euuos.rad xnee,tnou ap Leddole,rgp rnod saluel
ep eruaugdxa,p Lesued?p sues 'n se11a: rr-uted xtoq: -srxa sQlrlenOds se1 luau8roler saltpgut suorldo stoLl
rnêl op sa:uelgduror eLqenb suep Suer un luauenbil
-eLUOlne lue,tro5er srorpueqoJluol o)uellSlA la sol i 0Joluê lrLllllu0,s
auaduro4 'q aLLrqls,{5 '(aredsa) oBeloltd 'uotlde:ra6 ,rorpueqarluol np sqltlettgds ap ltEluê^0,1'atiulstottt
'sellrno8e;1'uorteurproo3'(er8eal oluessreuuoJ luos Notrssno rNnrnv lo^e sreu 'sluElDxa ]a sa19lp seSeu
s.rarpueqOrlu0J sal snol ç sêunurLUol alQlrel 0p solual -uosred sop luoLUêlnEJ raqrr ap çlgp leuLad oll: tutd
OdLuor lrnLl sol alerrlOp uorlenlls oun ? olt?J gltsotugS -l,trf,1 a<I sNuNoJ xnv,p sêluale,rÂ1od snld sap etlred ltej
-ur Jnal ie a8ernor rnol luosrloqLU,{s rnb saruelgduor J0LpuEqOrluol 3p 0rQUrel el 'rnoloA 0p lê uolrneA êp T
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f; égant et sùr de ui, e Charmeur manie la ruse el la
Ë finesse avec aLl[ant de précision qu'un scalpel laser
LE FIN STRATEGE
Plulôl que de recourir à des lentatives d'intrmidation Les Charmeurs allient la langue affutée du Drplomate, la
grossières ou à des actes de vrolence déplalsants pour débrouillardise du Vaurien el la passion du Négociant. Si,
obtenir quelque chose, il consrdère qu'il suffrt de deman pour rallier les autres à sa cause, 1e Diplomate lenle de
der genlimenl. Un CharmeLrr mallrise les arls du langage ies soudoyer voire de les corrompre alrn d'atleindre son
et possède un charisme naturel obleclil, le Charmeur prélère noyer sa cible sous un dé-
qui 1e rend irrésislible. Oue luge de compliments. Tandis que les Négociants misent
l'on soit ébloui par son sou- sur leur habileté à marchander, le Charmeur tenle de
rire éclatant ou par un clin convaincre ses interlocuteurs que la baisse de prix est
d'ceil appuyé, on ne peut leur propre idée. Alors qu'un Vaurien recourl à la lorce et
nen lui refuser à la violence, un Charmeur apporte une louche de subti-
lité à une srtuation en desarmant ses adversaires à l'aide
de sa seule éloquence.
Outre les huit compélences de carnère du Contre
bandier, le Charmeur bénéficie des compélences de
carrière bonus Calme, Charme, Commandement et
Négociation. S'rl s'agil de la spécialité de déparl de son
personnage, le joueur peul choisir deux de ces quatre
compétences, dans lesquelles il gagne 1 rang sans avoir
à depenser d'erpérience de départ.
Larme principale du Charmeur est sans conleste son
charisme dévastateur. Lorsqu'il doit amadouer autrui
polir se faufiler dans un cLub prvê ou dans une zone
interdite, il sail complimenter sans parallre flagorneur
Si par malheur son apparence débonnaire el ses goûts
raffinés ne sufiisarent. pas, le Charmeur est capable de re-
courir à la Négocialion et à la Tromperie pour parvenir à
ses frns, sans se départir de son style et de son élégance
lout en sublililé. ll garde la lête lrolde dans les pires si-
lualions, suscite l'admiration autoLlr de Iui el n'a aucun
scrupule à endosser un rôle de Leader si le jeu en vaut
la chandelle. ll n'esl pas toujours capable de trouver les
mots justes, mais il a I'art et la manière de les prononcer.
Malgre ses paroles mrelleuses, le Charmeur n'a rien
d'un enlant de chceur. En dernier recours, s'il ne peut
pas désamorcer la situation avanl qu'elle ne dégénère
(ou s'il ne parvrent pas à convalncre quelqu'un d'autre de
combaftre à sa place), rl esl capable de se dêfendre Au
cours d'une bagarre, i1 peut laire douter ses adversarres
de leurs motivations pour qu'i1s barssent leur garde Un
Contrebandier doté de la spéciaiité de Charmeur béné-
licie des connarssances requises pour évoluer dans la
pègre, s'évader d'une cellule de prlson ou encore voler
un vaisseau qui Luipermetlra de s'enfurr prêcipilamment.
Pour un Contrebandrer, celte spécialité représenle un
choix judrcieux lors de n'importe quelle campagne, ou
presque Puisqu'rl est porté sur les inleraclions sociales,
le Charmeur est bren utile dans les intrigues jalonnées
de complots. Cecl dit, ses dons u ciassiques, de Contre
bandier, son habileté à négocier avec les marchands, à
distraire des ennemis polenlieLs ou à dêsarnorcer les
situations de combat en font un personnage bienvenu
dans toutes les campagnes consacrées à la pègre, voire
I celles centrées sur le combal.

ÉLEcTRoNS LIBRES
AI.EI.f,{E OTESTTOI{ TETJCRETE
Contrebandier : arborescence de Charmeur ACTIF
Compétences de carrière : Coordination, Connaissance (Pègre), Magouilles, Perception, Pilotage (Espace), Système D, Tromperie,
Vigilance
PASSIF
Compétences de carrière bonus de Charmeur : Calme, Charme, Commandement, Négociation

BEAU PARLEUR SENS DE LA IRRÉSISTIBLE ROBUSTESSE


RHÉTORIQUE
Quand vous acquérez ce Retirez ∫ par rang d’Irrésistible Augmentez votre seuil de
talent, choisissez 1  compé- Entreprenez l’action Sens de à tous vos tests de Charme et stress de +1.
tence  : Charme, Coercition, la rhétorique  ; effectuez un de Commandement.
Négociation ou Tromperie. test de Commandement COÛT 5
Quand vous effectuez des Moyen (π π). Chaque ≥ COÛT 5
tests avec cette compétence, permet à 1 allié à portée
vous pouvez dépenser ± courte de se débarrasser de
pour gagner un nombre de 1 point de stress. Chaque ≤
≥ supplémentaires égal à permet à 1 allié affecté de se AVENANT
votre rang de Beau parleur. débarrasser de 1  point de
stress supplémentaire.
COÛT 5 Lorsque vous effectuez un test
de Charme ou de Négociation,
COÛT 5
vous pouvez décider de subir
un certain nombre de points
de stress pour dégrader au-
IRRÉSISTIBLE SENS DE LA tant de dés de difficulté. BÉNÉFICE
RHÉTORIQUE Lorsque vous êtes la cible d’un DU DOUTE
Retirez ∫ par rang d’Irrésistible (AMÉLIORÉ) test de Charme ou de Négo-
à tous vos tests de Charme et ciation, vous pouvez décider Retirez ∫ par rang en Béné-
de Commandement. Chaque allié affecté par l’ac- de subir un certain nombre de fice du doute à tous vos tests
tion Sens de la rhétorique points de stress pour amélio- de Coercition et de Tromperie.
COÛT 10 gagne ∫ à tous ses tests de rer autant de dés de difficulté.
compétence pour un nombre Le stress subi de cette manière COÛT 10
de tours égal à votre rang en ne peut dépasser votre rang
Commandement. en Avenant.

COÛT 10 COÛT 10

SOURIRE QU’À CELA SOURIRE ROBUSTESSE


DÉSARMANT NE TIENNE DÉSARMANT
Augmentez votre seuil de
Entreprenez l’action Sourire Une fois par session de jeu, Entreprenez l’action Sourire stress de +1.
désarmant  ; si vous réussis- effectuez un test de compé- désarmant  ; si vous réussis-
sez un test de Charme oppo- tence en utilisant votre Pré- sez un test de Charme oppo- COÛT 15
sé contre une cible, vous pou- sence plutôt que la caractéris- sé contre une cible, vous pou-
vez réduire sa défense (au tique normalement associée vez réduire sa défense (au
corps à corps et à distance) à cette compétence. corps à corps et à distance)
de 1 par rang de Sourire dé- de 1 par rang de Sourire dé-
sarmant jusqu’à la fin de la COÛT 15 sarmant jusqu’à la fin de la
rencontre. rencontre.

COÛT 15 COÛT 15

BEAU PARLEUR AVENANT JE PLAISANTAIS ! PRÉSENCE


SAISISSANTE
Quand vous acquérez ce Lorsque vous effectuez un Une fois par tour, au prix
talent, choisissez 1  compé- test de Charme ou de Négo- d’une broutille, dépensez Dépensez 1  point de Destin
tence  : Charme, Coercition, ciation, vous pouvez décider 1 point de Destin pour igno- pour éliminer un nombre de
Négociation ou Tromperie. de subir un certain nombre rer µ généré au cours d’un points de stress égal à votre
Quand vous effectuez des de points de stress pour dé- test d’interaction sociale, ef- Présence.
tests avec cette compétence, grader autant de dés de diffi- fectué par vous ou par un al-
vous pouvez dépenser ± culté. Lorsque vous êtes la lié à portée courte. COÛT 20
pour gagner un nombre de cible d’un test de Charme ou
≥ supplémentaires égal à de Négociation, vous pouvez COÛT 20
votre rang de Beau parleur. décider de subir un certain
nombre de points de stress
COÛT 20 pour améliorer autant de dés
de difficulté. Le stress subi de
cette manière ne peut dépas-
ser votre rang en Avenant. NE TIREZ PAS !

COÛT 20 Une fois par session de jeu,


au prix d’une action, effec-
tuez un test de Charme Dif-
ficile (π π π). En cas de DÉTERMINATION
CHARMEUR-NÉ ENTRAÎNEMENT réussite, vous ne pouvez plus
être visé par des tests de Quand le personnage subit
Une fois par session de jeu, Vous gagnez +1 dans une combat jusqu’à la fin de la involontairement du stress, il
vous pouvez relancer 1  test caractéristique. Cela ne per- rencontre, ou jusqu’à ce que en reçoit 1  point de moins
de Charme ou de Tromperie. met pas d’augmenter une vous effectuiez vous-même par rang de Détermination,
caractéristique au-delà de 6. un test de combat. pour un minimum de 1.
COÛT 25
COÛT 25 COÛT 25 COÛT 25

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FLY_CASUAL_FR.indb 27 22/04/2016 11:53:44


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o'..: .- -.,". - ."!-' 11'ç j.."
aqr-{.15Ê "^ ,-.--* !. . .t ,

I orsque es dés sonl lelés, c'esl le Flambeur qui dicte


LE JOKER
I e5 lcgles ou jeu Auss co,] roiqLe e \o e.r'. I a n e
leurrer ses interlocuteurs et prendre de gros risques pour Le Flambeur maltrise 1a plupart des jeux de hasard popu
le prolrt Aussi maiin que le Négocrant, il laires. Il sait toutelois que connaîlre les règles ne sulfil pas
OiSpoSe d r savoi fai,p Ie.eqsd tÊ poLt pour gagner. Son habilelé à interpréler le langage corporel,
convaincre les autres de se séparer à déceler d'rnfimes lrcs ou des changements dans le ton de
de leurs biens précieux en un lour- la voix et dans le comportement de ses adversaires lui four-
nemain. Le Flambeur cache dans nit loutes les informalions nécessaires pour louer quand
sa nnanche une panoplie unique vient son tour llse targue d'êlre imprévisible el son visage
de tours destinês à duper ses ad de marbre demeure indéchillrable pour ses adversaires.
versarres. Égarés, ceux-ci s'avèrent Au milieu d'une partie de sabacc, d'un pari portant sur une
incapables de délerminer s'il a une course de modules ou d'une tentative pour convaincre un
nnain gagnante ou perdante. Ceci mallrat de ne pas dézrnguer ses compagnons, le Flambeur
dil, il sail qu'il n'exisle en réa dispose toujours d'une astuce ou d'une stratégre pour sur
i lrté aucune main perdante: p end'e \ê- adve rd'tê: à t oup s . .

. :: . savoir tirer profit de loules


., . les siluations permet de La lisle des compétences de carrlère bonus du Flam
'o. beur révèle sa propension à la supercherie et son impres-
oLrs gag ei
sionnante dexlêrité : Calme, lnformatique, Magouilles
et Tiomperie S'i1 s'agit de la spécialité de dêpart de son
personnage, le joueur peul choisir deur de ces guatre
cornpétences, dans lesquelles ii gagne 1 rang sans ar,oir
à dépenser d'expêrience de départ. En doublant la mise
sur des capacitês qui dêsorientent ses adversaires, le
Flambeur s'assure de garder la chance de son côté. Men-
leur chevronnê, il n'hêsite pas à recourir à un sklfler [une
carte de saklacc truquéel pour reporter une manche si
les gains sont particulièrernent alléchanls.
Lapparence d'un Flambeur est parfois anodine, mais
l'habit ne fail pas e Jedi. C'est Lln excellenl acleur, ca
pable d'afticher en permanence un air d'assurance dé
conlraclée. Ainsi, derrière un vrsage apparemment lroid
comrne de la carbonite, il est parlors aussi tendu qu'un
ressortissanl d'Aldérande sur un destroyer rmperial. Un
grand Flambeur ne vend jamais la peau de l'ours avant
de l'avoir tué. Par contre, leindre l'êchec peul désarçon
ner ses adversaires et certains aiment appâter les autres
joueurs en prenant un alr vulnérable pour mreux jubiler
au rnoment de raller la mise. Rien de plus facile que de
délester un imprudent de son argenl : un Flambeur se
fera toujours un plaisir de s'en charger.
Le Flambeur est une spécialité formidable qui offr e un
large éventail de personnages potentiellemenl utiles dans
des situations variées. Un joueur peut créer un honnête
aristocrate du Noyau qui s'adonne à des paris osés pour
*:::;i:.:l se dtvertir, ou encore un tricheur impitoyable qui ratisse
1':,r3.r:: -.. les co onies pour escroquer les joueurs annaleurs, sans ou-
blrer un conlrebandier au bout du rouleau qui mise ces
cinquanle derniers crédits dans l'espoir de gagner de quor
réparer son vaisseau. Le Flambeur ne s'adonne cependant
pas qu'aux jeux de hasard : il s'intègre toul nalurellemenl
à loule avenlure où des montagnes de crédrts et la pro-
messe d'un vrai dêfi sont en jeu. Crâce à ses talents de
négocialeur, il peurt devenir le cerveau d'une opêralion
de commerce ou de contrebande. Un Voleur peut même
s'associer à lui pour s'immiscer dans la haule sociêté et
repêrer les lreur en vue d'un boulot à venir.

ÉLEcrRoNs LTBRES
:ilJQ.f,G, O[.EllTlOX lürlllEREl?
Contrebandier : arborescence de Flambeur ACTIF
Compétences de carrière : Coordination, Connaissance (Pègre), Magouilles, Perception, Pilotage (Espace), Système D, Tromperie,
Vigilance
PASSIF
Compétences de carrière bonus de Flambeur : Calme, Informatique, Magouilles, Tromperie

PERSUASION ROBUSTESSE ENDURCI AUGMENTATION


DE LA MISE
Retirez ∫ par rang de Per- Augmentez votre seuil de Augmentez votre seuil de
suasion à vos tests de Ma- stress de +1. blessure de +2. Aux jeux de hasard ou à l’is-
gouilles et de Tromperie. sue de vos paris, remportez
COÛT 5 COÛT 5 10 % de crédits supplémen-
COÛT 5 taires par rang d’Augmenta-
tion de la mise.

COÛT 5

ROBUSTESSE SECONDE CHANCE ENTRAÎNEMENT TOUT OU RIEN


(ULTIME)
Augmentez votre seuil de Une fois par rencontre, choi- Vous gagnez +1 dans une
stress de +1. sissez un nombre de «  bons caractéristique. Cela ne per- Lorsque vous effectuez la
dés » égal à votre rang en Se- met pas d’augmenter une broutille Tout ou rien, dou-
COÛT 10 conde chance et relancez-les. caractéristique au-delà de 6. blez également le nombre de
± et de µ restants.
COÛT 10 COÛT 10
COÛT 10

SECONDE CHANCE PERSUASION LA FORTUNE VOYOU-NÉ


SOURIT AUX
Une fois par rencontre, choi- Retirez ∫ par rang de Per- AUDACIEUX Une fois par session de
sissez un nombre de «  bons suasion à vos tests de Ma- jeu, vous pouvez relancer
dés » égal à votre rang en Se- gouilles et de Tromperie. Une fois par session de jeu, 1 test de Magouilles ou de
conde chance et relancez-les. au prix d’une broutille, subis- Discrétion.
COÛT 15 sez 2  points de stress pour
COÛT 15 retourner un Point de Destin COÛT 15
obscur du côté lumineux.

COÛT 15

AUGMENTATION AUGMENTATION SOLUTION SECONDE CHANCE


DE LA MISE DE LA MISE ASTUCIEUSE
Une fois par rencontre, choi-
Aux jeux de hasard ou à l’is- Aux jeux de hasard ou à l’is- Une fois par session de jeu, sissez un nombre de «  bons
sue de vos paris, remportez sue de vos paris, remportez effectuez un test de compé- dés » égal à votre rang en Se-
10 % de crédits supplémen- 10 % de crédits supplémen- tence en utilisant votre Ruse conde chance et relancez-les.
taires par rang d’Augmenta- taires par rang d’Augmenta- plutôt que la caractéristique
tion de la mise. tion de la mise. normalement associée à COÛT 20
cette compétence.
COÛT 20 COÛT 20
COÛT 20

TOUT OU RIEN BEAU PARLEUR NÉGOCIATEUR-NÉ TOUT OU RIEN


(AMÉLIORÉ)
Subissez 2 points de stress Quand vous acquérez ce Une fois par session de jeu,
pour effectuer la broutille talent, choisissez 1  compé- vous pouvez relancer 1  test Lorsque vous effectuez la
Tout ou rien afin d’augmen- tence  : Charme, Coercition, de Calme ou de Négociation broutille Tout ou rien, après
ter de 1 la difficulté du pro- Négociation ou Tromperie. au choix. avoir annulé les symboles op-
chain test. Ensuite, après Quand vous effectuez des posés, doublez aussi le
avoir annulé les symboles tests avec cette compétence, COÛT 25 nombre de ≥ restants.
opposés, doublez le nombre vous pouvez dépenser ±
de ≤ restants. pour gagner un nombre de COÛT 25
≥ supplémentaires égal à
COÛT 25 votre rang de Beau parleur.

COÛT 25

Permission d’imprimer et de photocopier cette page pour un usage personnel. ©LFL 2015. © FFG 2015

FLY_CASUAL_FR.indb 29 22/04/2016 11:54:23


ffiffiffiffimffiffiffi
L i,3:'S:ï5;:'J'i';i;,:iî.:'E;: rii::'î:?i:, L'A§ DE LA GAcH ErrE
lous dépoun,us de Lois. se révèlent systématiqLiernenl \4ieur que qurconque, le Plsiolero sait que gagner sa
dangereur La l'ronlière galacllquc regorgc dc crôalurcs vie dans les lerritoires de la Bordure Ertêrieure est une
vicieuses et de crrmrnels sans cceLrr qlr ne rêfléchrssent lutle perrnanente. Pour survirrre, il faul dégarner vile. Il
pas à deux fois avanl d'aballre des civils innocents C'esl ne se sépare jamars de son arme cle poing, el en dissi
celte facctlc dc la galaxic, née du conflil el de la néces- mule parlors une seconde sur lur lorsqu'il se trouve dans
silê, que conna.il le Pislolero ll est le mei leur avec un un cnvironnemenl rrraimenl hoslile el richc en cibles po
blasler en main, et n'hésile lamais à le prouver. Len[iel]es. Se conl'ronter à L1n P:slo ero esl loujor-rrs une
ê ept 5c çJo1 go c, ê. \O LT-ef .p
Les compelences de carnère bonus du Pislolero sonl
Calme, Coercition, Connaissances (Bordure Exté-
rieure) et Distance (armes légères). C'esl grâce à cLles
qu'll survit dans la Bordure. S'rl s'agil de la spécialitê de
départ de son personnage, le joueur peut choisir deux de
ccs quatrc compélcnces, dans lcsquelles il gagne 1 rang
sans avoir à dépenser d'erpérience de départ Le Prs-
lolero ne rate jamars sa cible el son altrtude s'accorde
parlarlemcnl avcc sa précision rcdoLrlable, ce qui en fait
l'un des êlres les plus meurlriers de la frontrère
Un Pistolero entretient un lien loul particulier avec son
arme de prêdilection Son habilelé arrec les armes à leu ui
vaLrt souvent une rêputation de tireur chevronné, alliranl
l'attenlron de bandits â la recherche de conlronlations.
Ce sl-yle de vie esl nne seconde nature pour lui et il sail
garder son calme en cas de danger. Lorsqu'un mallral lui
collc un lllas[er cntrc lcs der-rx 5rcux, Le Prslolero ne ci]le
pas: iL ne se pose pas de queslion el Lire le premier
Un Plslo ero doil loujours rester en mouvernenl pour
échapper à la loi : rl sillonne donc inlassablement la Bor-
dure Erlérieure en quête de lravail. La vre sur La fron-
lrère galactique, quoique dilficile, ne consisle pas qLl'en
une suitc de fusiilades, et un fiingue à louer dolt savoir
s'adapter aux boulots qu'on lur conlie. Le Pistolero
sait donc faire jouer ses conlacLs dans la pègre
pour dégotter des contrats à la solde de
groupes crimrnels vanés ll fail égale-
ment bon usage de ses notions de
Piiotagc pour enlreprendre des
missions de conlrebande ou de
transport de frel.
Un personnage Pistolero peut jouer
une variôlé infinre de rôles au cours d'une
' campagne. Par eremple, rL pourra trouver du
lravaiL à bord d'un cargo lourd pour dêlendre
l'êqurpage et 1a cargaison contre les pirates. Un
Carde du corps peul ajouter la spécialilé Pislole
ro à sa liste de lalents pour dêlendre plus eflrcace
menl sa c ienle Coruscanti gâlée et inexpérimenlée
Un noble du secleur Tàpanr qui prend les armcs au
cours d'un duel pour dêfendre l'honneur de sa
maison del,ra peut-ètre son sa ut à sa spécra-
lité de Pistolero

ÉLEcrRoNs LIBRES
, aliclJxE orrEsrrox r[I§mÈTE
Contrebandier : arborescence de Pistolero ACTIVE
Compétences de carrière : Coordination, Connaissance (Pègre), Magouilles, Perception, Pilotage (Espace), Système D, Tromperie,
Vigilance
PASSIVE
Compétences de carrière bonus de Pistolero : Calme, Coercition, Connaissances (Bordure extérieure), Distance (armes légères)

ROBUSTESSE COUP ÉCLAIR RÉACTION ÉCLAIR ARME EN MAIN


Augmentez votre seuil de Ajoutez ∫ par rang de Coup Subissez un certain nombre Une fois par round, vous pou-
stress de +1. éclair à vos tests de combat de points de stress pour vez dégainer ou rengainer
contre les cibles qui n’ont pas ajouter autant de ≥ à un test une arme, ou sortir ou ranger
COÛT 5 encore agi de la rencontre. d’initiative. Le stress ainsi un objet accessible au prix
subi ne peut pas dépasser d’une broutille.
COÛT 5 votre rang de Réaction éclair.
COÛT 5
COÛT 5

COUP MORTEL ROBUSTESSE COUP ÉCLAIR ARME EN MAIN


(AMÉLIORÉ)
Ajoutez +10 par rang de Augmentez votre seuil de Ajoutez ∫ par rang de Coup
Coup mortel aux résultats stress de +1. éclair à vos tests de combat Vous pouvez utiliser Arme en
des blessures critiques infli- contre les cibles qui n’ont pas main deux fois par round.
gées à vos adversaires. COÛT 10 encore agi de la rencontre.
COÛT 10
COÛT 10 COÛT 10

ENDURCI INVECTIVE ESQUIVE DÉSOLÉ POUR


LA PAGAILLE
Augmentez votre seuil de N’ajoutez aucun ∫ aux tests Quand vous êtes la cible d’un
blessure de +2. de combats concernés par la test de combat, vous pouvez Réduisez de 1 le niveau de
manœuvre Viser. Esquiver au prix d’une brou- critique d’une arme (jusqu’à
COÛT 15 tille, mais vous subissez du un minimum de 1) contre les
COÛT 15 stress qui ne peut dépasser cibles qui n’ont pas encore
votre rang d’Esquive. Ensuite, agi de la rencontre.
améliorez autant de dés de
difficulté du test que de COÛT 15
stress subi.

COÛT 15

APLOMB COUP MORTEL ARMES AU CLAIR RÉACTION ÉCLAIR


Vous pouvez retirer 1 dé de Ajoutez  +10 par rang de Au prix d’une broutille, subis- Subissez un certain nombre
difficulté par rang d’Aplomb Coup mortel aux résultats sez 2  points de stress pour de points de stress pour
aux tests de Sang-froid pour des blessures critiques infli- éviter d’augmenter la difficul- ajouter autant de ≥ à un test
éviter la peur. gées à vos adversaires. té d’un test de Distance d’initiative. Le stress ainsi
(armes légères) lorsque vous subi ne peut pas dépasser
COÛT 20 COÛT 20 attaquez avec deux armes. votre rang de Réaction éclair.

COÛT 20 COÛT 20

ENTRAÎNEMENT FEU NOURRI TIREUR-NÉ PRÉCISION


MORTELLE
Vous gagnez +1 dans une En cas de réussite d’un test Une fois par partie, vous pou-
caractéristique. Cela ne per- combiné à l’aide de deux vez relancer  1 test de Dis- Choisissez  1 compétence
met pas d’augmenter une armes à distance légères, tance (armes légères) ou de de combat au moment de
caractéristique au-delà de 6. chaque coup supplémentaire Distance (armes lourdes). l’acquisition de ce talent.
réussi lors du test peut tou- Ajoutez des dégâts égaux à
COÛT 25 cher n’importe quelle cible à COÛT 25 votre rang dans cette com-
portée de l’arme. pétence à un coup d’une
attaque réussie utilisant
COÛT 25 cette compétence.

COÛT 25

Permission d’imprimer et de photocopier cette page pour un usage personnel. ©LFL 2015. © FFG 2015

FLY_CASUAL_FR.indb 31 22/04/2016 11:55:04


il\N § UTT§Aü.TX TAt§ I§T§
I es pages suivantes décrivent chacun des nouveaux FEU NOURRI
L aleris rrlroo Iirs dar: Aucure ouEsnoN rNDrscRErE. Activation : passif
Chaque entrée détaille Ies applications en jeu Repor Rangs: non
tez vous à la page 127 du Livre de règles d'Aux Coxprr.rs
Arborescences : Pistolero
oe l'Evprne pour plus d'informalions sur les talents.
En cas de réussile d'un tesl combiné à I'aide de deux
ARMES AU CLAIR

ffi
armes à dislance lêgères, chaque coup supplémentaire
Activation : actif [broutille) réussi lors du test peut toucher n'importe quelle cible à
Rangs: non portée de l'arme.
Arborescences : Pistolero
INVECTIVE
Avant de rêaliser un lest de combat combiné avec deux
Activation : passil
armes à Distance légères, le personnage peut dêcider de
Distance : non
subir 2 points de stress pour éviter l'augmentation de
Arborescences : Pistolero
difficulté due à l'usage de deux armes.
Ce personnage n'ajoute aucun I aux tesls de combats
ARME5 EN MAIN (AMÉL!ORÉ) concernês par la manceuvre Viser (voir p. 202 du Livre
Activation : passlf de règles d'Aux Cor.rrrns or l'Eunrnr).
Rangs: non
Arborescences : Pislolero JE PIÂISANTAIS !
*' Activation : actif (broulille, hors tour)
t Le personnage peut utiliser Arme en main deux fois par
tour [au ]ieu d'une seule fois par tourJ. Rangs : non
Arborescences : Charmeur
AUGMENTATION DE I.A MISE Une lois par tour, au prix d'une broutille, Iorsque le per
Activation : passif sonnage ou l'un de ses alliés à portée courte génère V au
Rangs : oui cours d'un lest d'interaction sociale, le personnage peul
Arborescences : Flambeur dépenser un point de Destin pour convertir un seul V ob-
Lorsqu'un personnage gagne au leu, ses gains augmen- tenu en Y. Le cas êchéant, il doit expliquer comment il a
tenl de 10 % par rang dAugmentaiion de la mise. calmé le jeu après avoir fait une remarque déplacêe.

AVENANT I.A FORTU NE SOURIT AUX AU DACI EUX


Activation : actif lbroutille, hors tour) Activation : actif (broutille, hors lour)
Rangs: oui Rangs: non
Arborescences : Charmeur Arborescences : Fiambeur
Lorsqu'il effeclue un [est de Charme ou de Nêgocia- Une fois par session de jeu, au prix d'une broutille, le per
tion, le personnage peut décider de subir des points de sonnage peut subir 2 points de stress pour retourner un
stress. Dégradez un nombre de dés de difficuliê égal au Point de Destin obscur du côtê lumineux [cette broutille
nombre de points de stress subis par le personnage. Le ne peut pas inlerrompre l'utilisation d'un point de destinJ.
slress subi de cette manière ne peut dépasser le rang en
Avenant Lorsque le personnage est la cible d'un test de NE TIREZ PAS !
Charme ou de Négociation, il peut également décider de Activation : actif (action)
subir des points de stress Améliorez alors un nombre Rangs : oui
de dês de difficulté êgal au nombre de points de stress Arborescences : Charmeur
subis par le personnage Le slress subi de cette manière Une fois par session de jeu, le personnage peul effectuer
ne peut dêpasser le rang en Avenant. l'aclion Ne lirez pas ! et réaliser un test de Charme Dif-
OESOLE POUR I.A PAGAILLE
ficileQÇ}). En cas de rêussite, le personnage ne peut
être visê par des tests de comllat jusqu'à la fin de la ren-
Activation : passif contre, ou jusqu'à ce qu'il eflectue lui-même un test de
Rangs : non combat. Le joueur devra expliquer comment il convainc
Arborescences : Pistolero son agresseur de ne pas l'assimiler au reste de son
Le personnage réduit de l le niveau de critique de toute équipe. C'esl au MJ de juger si la ruse s'avère efficace.
arme qu'il porle (à l'exception des armes de vaisseau, et
jusqu'à un minimum de 1) contre les cibles qui n'ont pas QUâ CEIA NE TIENNE
encore agi de la rencontre. Activation : actif (broutilie)
Rangs : non
Arborescences : Charmeur
Une fois par session de jeu, le personnage peut effectuer
un test de compétence en ulilisant la Présence plutôt

ÉLECTRoNS LIBRES
AI'CUE, d,ESTIOX IM'§CFÈTE
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!
'êrluoluêr ei ap uU e1 q,nbs.
'[0 op urnLururur un ?,nbsnl] lueulresop ai,Lnô5 rI arn,
red I ep atrnp?r 1sa faruelsrp ç 1a sdrol ? sdro] ne) alqr-,
el op osuoJ9p Êl 'alrssnQr êp se) uf alrno: agl.rod e alqr,
êun arluol Qsoddo ou,rJeql ôp lsôi un rôsrle9r op lue,\p
Iueu,es,p êr Inos uo tr',r ,:::r;,,ïrj:j:ï:::l:ï;
rno : s8ueg
[uorlre) Jr]le : uor]e^llrv
rNvhruvslo surunos
'arqrln:rlred uorlenlrs ollol êluas
gLder anb UQp ol roluoLurns ap srLujad e rnl QlrsoruQâr;
'sluelsar e1 1uaLuele39 olqnop
A ep te @ ep erqLuou lr uos luoLuurol ranbrldxa lrop lr 'êlros e1 ep lrBe lr,S êlu-:
'uorJ no lnof allrlnolq el q lrnolor eSeuuosred a1 anbsro-1 ?dLuo: allar q o9r)osse luoLUOlELUrou anbrlsr-r91re;e: :
anb lQlnld osnà el luesrlrln ue aruelgdurol op lsol Li-
lnêqLUelj : sa)ue)seloqlv
ron:l)aJJO
lned a8euuos.red a1 'nol op uorssos red s o1 ai,^
uou : s8ueg
lLssed : uolle^rl)V lnoqLUPll : se)uefseloqlv
uou : a)uels!c
Glrrrrn) Nrru no rnor [al]rlnorq) JrllP : uorte^rllv
'sluelsar
* êp olqutou ol rSnrrf,nrsv Notrnl()s
rssne êlqnop 1r 'sgsoddo seloqLu,{s sêl g iluue rro,re sgrde
'uou no lno-L allrlnorq el ? lrnolêJ a8euuos-rad e1 anbsLo-1 O un ralue or rnod Osrlrln orlo sed lnod ;-
lnêqLUell : so)uo)saJoqJv luolel êJ lellns?r neo^nou at taldat:e ltop oBeuuos,r:.:
d l d,leldi sd d JjLP l dp ro.e5 op Suer ,os a ,
uou : sBUBU « s0p suoq » êp êlqLLlou un sQp êp 0Al0sQJ PS suep llslc..-
lrssed : uorle^!l)V eSeuuosrad ol '(nlosQ-r -rroAe,l op lueAe sreu) e:uolQdruc
6uorrrnv) Nrru no lnor êp lsêl un Qnllo.lJO .rro,te sqrde 'êrluoluor red srol rL, -
'stuetso-l op orquou rnêqLLIell : sa)uof,saJoqJv
{.}
ol olqnop 1r 'sgsoddo saloqLrÂs sêl Olnuue rro,re sqrde uou : sÊueg
'olrnsu: t op OllnrUlrp es ralueu8ne "tnod ssêrts op lrssed : uorle^rl)V
slurod 6 xnêp rqns lnad aBeuuosrad al 'lsel red stol eu1 t)NVHf roNofss
rnêqLUel! : so)uo)saroqrv 'uorlle uos .rldurol:e rnc::
uou : s8ueg oluosQrd es q ladde lrBJ lr'erQLlnl lted o:uelsuor"rl oll;l
[allr]norqJ JrllE : uor]e^!l)V suep 'luoLULror ranbrldxe srololnol q op 11 ctuclgdnrc-
Ntru no rnor allar q oQoosse luêLUOleLurou anbrisugl:erel el êr'I
MOTIVATIONS DE CONTREBANDI ER
I es Contrebandjers n'ont pas.la même silhouetle, la
L ,a*. cou'eur de peau ni les memes ctoyances. mais
ils partagent riêànmqins un gott commun pour les ré
compenses. Ce penchant tienl à la nature de leur'acti- d1I} lr/I$$t§
vité:transporter une cargaison puis empocher la paye.
Cette rémunération conslitue la motivation qui [e pousse
12 Amlrition

à risquer sa peau, à se charger de caisses d'explosifs 34 Cause


pour le compte d'individus peu recommandables, à fuir
' l'inf luence de l'Empire ou à éviter les ennuis en général. 56 Re lations
. l1 se tient en permanence au bord du prêcipice, toujours
à deux doigts de se faire capturer, ou pire. Cette vie est . t-9 Récompense

loin d'ê.tre de tout repos, et seule la récompense reçue Lancez une fois dans deux catégories
merite que l'on s'y risque. 10
au choix
Bien entendu, les expêditions de contrebande sont sou
vent bien plus complexes qu'il n'y paraît; à l'instar des in
dividus qui se lancent dans une carrière aussi imprévisible. Un Contrebandier motivé par Autonomie rechignera
La véritable motivation du Contrebandier, la rêcompense peut être à faire confiance à d'autres personnages, et
qu'il convoite vraiment, est parfois plus inattendue qu'un éprouvera des diftrcultes à se plier aux dêcisions collec-
simple salaire. Ouelquefois, il voudra gagner le respect tives. Un autre, motivê par Respect mettra certainement
de ses pairs ou aider sa famille. Pour certains, l'excitation un point d'honneur à aider ses partenaires.
que procurent les missions est une rêcompense en soi.
Tous les Contrebandiers doivent régulièrement encaisser Vous pouvez vous rêlêrer à la Table I -2 : Motiva-
des paiements, car il faut bien garder le vaisseau en état tion aléatoire de Contrebandier duranI la création ou
de marche, mais bien souvent ils ont d'autres objectifs en l'amélioration de personnage, en lieu et place du tableau
vue. La récompense est une motivation personnelle qui équivalent dans le Livre de règles d'Aux Corurtrus oe l'Etvt-
prne. La table du présent ouvrage introduit Récompense,
régit les actes d'un Contrebandier et qui en dit long sur
son caraclère : un Pilote peut vouloir battre le record de une nouvelle motivation.
vitesse d'un raid sur un monde sous embargo, un Char- Dans la Table 1-3 : Récompenses spécifiques de la
meur rechercher les nouvelles rencontres el un Flambeur page suivante, se trouvent les résultats spécifiques de
n'avoir d'yeux que pour les crédits. la motivation Rêcompense. Si un joueur opte pour elle
La motivation d'un Contrebandier explique parfois des ou l'obtient au dé, il peut également déterminer aléatoi
éléments de son passé et elle peut influencer la rement ou choisir la Récompqnse spéciltque qui corres
dont il interagit avec les autres membres de son pond à son Cenf.relrandier idêà1.

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5lu8r'r SNouI)3'lJ
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o.lpuadgpaurnodsallepsasapaltnb:e.s1r'alqrssodanbsqq asodordrnluo,nble^erlunrasnlê,rapnoralda::e.p i 0Ot t6
xloll) êl ro^p lnal rêrpueqarluof al lfol anb sfld aldruo: srnar,la sa.Ldo-rd srnal arllalrurol ap la suorsngp sêrdord i
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al la^e aAe^o^ anlluolrnO anbuglsÂq arr no] un red erapios as saleugdur salroJ sal rrn3:nod lra^no neêqLrol €
alrnsrnod 0un 'rnl la^V allexa,l Aure êles..ra^pp un q aleJ a"rreJ êp a?pr,l lê 'âÊeuuos;ad al lr^Br prpspll ap nal un suep ,
suolssassod sês salnol rasrul ap a,lr1:ads-rad el sggp a[, e:rnos la-a]üesr-r8 sreLLl 'asnaJa8uep sed luop lsê,u a-rQulal i 06-08
e1 salciugd slue,rttde: ap 1r8e,s l! : ulecl auSpB un,nb snlri tualuasOrdar slolnoq sal 'surelrèr rno6 'Larpueqarluo3 i
ap arQu.rel e;-led aLrnpgs]uêu-rQSre assrel as uorlelnxa,p la arnlua^a,p apr,le a8euuos"Lad un : uo11s1p3v3
;;r;,;;,**,;;J - -
êLrflsasorqqunruè.',ap'aldLuorapuuu: xneroursarQlrrsardordsêsuoês'êluêisuoleslalexrecluaarlqlna.,t i
i'lrosuêLrnb ono llad€lrladareeBelra8ueql]êrodsênosêrlnesêl]êpe13.rseldarpuajdlnadrarpueqerluol 0B l-
un alrnpuor êp apol ap n.unodgp 1sa uo.1 anb sed agruErs au lêu Lu rr ap arA êun rauaL! lê snprlrpur.p sal-ros sêlnol ,
J.irlle apuEqa,rlLrot l? s EtLl 'a,rel nllêÀ aun lsa êLUSrnlllE-l ros ua asuaduo:Q.r cun lsa sJ.rlnE sal tapre'sro1rÊcJ : anbtqfl i
SJI-PsSlPurO) èp ld cêr. rede '
ap ênblllallO a8uelglu un,p linol 1r 'qlrlrqeqord alnol uolêS saldnad sarjne,p rar1uoluar sp no xnarl sap.rr^nolqp
op 'olrpgur arSolouq:a1 aun q ra,{essa,s op 'sgir:eder sallê^nou ap 3rpualdde,p luorllaLurad rnl rnll suorssrur sap
e.raqlJaqlar a:uauadxa,l êp "rugnble arsgp rnb rarpueqarluoJ lnol sarpssalgu spuoJ sap sed asodsrp au srelu asrnB 0l 19
es ? êrxeleB el raluâdre êJSQp rnb êSeuuoslêd un rnod aou8rsop alnol arQUrel aun lsa,J sa8p^o^ sos ap aluquQq un
rarl ap la suorlelar sap areJ as ap'snuuolur xnarl sap raro;dxa.p qlrllqrssod el aBEUUosrêd un q aJJJo rarpueqarluol
ap aJQuJBr el "rJ^nol?p ? sa8esÂed ap la sa:Qdsa,p aSroÊar 'axelduol la asuêullur 'arxele8 e1 : a)uâUgdx3
puêlle sal rnb alrrglrp lrp^ell np rnalnELl el e luos a8edrnb? uos lê neêssreA
uos ênll êluaueLurad ua luaualeBQ êrnsse,s sreLU 'rê3uEp ne ale1 sprq sor8 sal anol uorlplrloLu êllal ap asodsrp rnb
rêLpueqêrluoJ un rnrlne,p r sqp êl no srred sas ap uorlerLupe,l luaLua^rlle ral{lrallla; e e8euuos;ed al êSernolua 09 rE
rnb uorle.'rloru aun ênlrlsuor'allauuosred allêql? aun € sreLU gluqglof q alqeredLuo:'asuadruo:g.r allal aSernolue
uos tauuorssa;drur lê glnelu1a la^e lre^erl uos areJ luarualdrurs lnol lnal rarpueqêrluo3 un 'sro1led : lradsa6
'?lap'ne 13 arnair9lxf arnproE Pl
?,nbsnl tuersn-rol srndap aBeÂo,r sarnlua,re sês êp ln?r a1 anb 1na,r 11 anp;ad allg es pueL.llJeLU alilu un ? puar Ir puenb
no aiqeLUrlsaur uosreS:e: aun llnH un q ôr^rl 1i.nbsro1 :rlqnd un,p rasodsrp arglqrd ';e9pr.1 suep 'iê qsrllAD aledsa,l
suep aldo::e lr.nb slerluo: sal ornlluol ap surour ne o8rxa Jl "raluoleJ sal inod {u ranrasqo sal rnod ?l lsê,u auuoslad r0qtt
rs suos urrne luo,u aBeuuos]ad ar êp sassanoLd sal '1rp r:a3 .alqrssodrur,l eJalual ir 'alprQU?B al3?r uê la'xnara8uep
sn d sal lê salDqlrp sn d sal slolnoq saL arlQ-lnad eraldalle ll 'uou un areJ as lna^ rarpueqêrluol al : ?llrq?lqf
i nl a.iluol luonolsqlrlrqeqo-rri sol puenb alrssnQr pL orn:o..rcl
anb uossr..r.1 ol aLllraqrJr lIEU!l nV luaLUêrQ nr I,red lnol alQ.ld ,,1,s êrQ rel ps ap xnêpreseq êrQlle.rEl èl lê 'êlueq ,
: o.ldord es êa.n aEELruos-rêd êl Jlps ]a u tss -1 lros ua,s rnod sra 1n:r1led sllralel sas lgold e a.lllaLr lnad 1r 'sa,r es.ra,rpe.p i
i êdnor8 un q êlel xnolupqr o']llered rnod JêrlJ Jl ê-{ro,\ 'sO} lpdel sas ? Ladde êrrel lnad rnaquell un 'sag,ra19 sas u I
: xfealLedaunluE-rnplo sor8a rêlrodLUa-rêpaluêllr.nbsro-1 rnê^e1esuêarueleqelraq:uadarelrnodoqluelups ' u/ t:
: suEp s.rnol sanblênb srfolnol apleB rarpueqarluoJ al 'nrnolua anbsrL np rnêlnELl el q lsê asuadLr.rolqr e s 'suoilenl c
i saL1a1 ê,c sueC alelrl?p Lrorlenlrs aun no lleqes ap a 1-red aun 'uorssrLLr êun aluas?rdar anb gpp al luaL.LLa,Qrlnrlred '
lLror:!,rdde s-rêrLrupqêrluoJ sur?l-ral sreul 'aOSrE lê olqpls olQrJlEl aun,p ual p,u apupqarluol el : elqelp el lolual
'êlJad es rasn?l rssn? lnad uorle,rloLrL es 'Jnale^ es ;a,lno-td :nod sasnalLuqd suorssrur
sap sJar.]uolo^ aldêlle lr r-'ro arnsaLU eJ supp'suloLUUegN lre^p.ll uos suep uo lla1rad e1 raqltaLllol q olnur,l lnol ua
Jnallraur êl arl?,p urosêq uoS xnespu sa:rpuadde s,1nal snos êlsnl,rêllrnodap sal q no raduLo"rl sal ? 'xna,nb aisnl snld 09 ta
.rJSr^ E no alra snld .rêlo^ q -rnauuoLj,p lurod un lau ll sarasranpe sês ap raqduor.:1 aüre rêrpueqarluoJ al : aJ!ol)r^
-.-1-
I
'sêrlne sal rns êlJaxa 1r,nb g1rro1ne,1 ;ecJ .Lasu3 Lassre; as
ap la'luelrodurr luas os ap lse "Lro,rnod êl red g^rlou-r Jarpueqêrluol un,p alqrruatd uorlrqule: asr"rdua uos ela:laxa j
Lt,nb:na1e,r ap suarq sap lupqorgp uê lsê.1 'rnaloA un Jnod sa-]lnp sa1 luelndrueu uê luessrnd lnol a.rlo lnacl erluas i
ês lr rnallreql un,p 1r8e,s ll,S rloN 1ra1o5 a1 anb allal aluelrodLUr uorlesrue8ro aun,p suolalllg sa1 ;r,le;8 atQdsa,u lr,nb i Of Li
suroLu € 'êpupqarluol ap neasQr a.rclo.rd uos JapuoJ ap uorlrque lnod a;lo lnad e aBeuuosrad a1 : s31xl61 saldr11nu ap i
1g,tar lo,rnod al arxeleB el suep lêrluol ro,rnod un ;a:;axa;nod salessêlgu slleluol sap no a8rlsatd np 'slrpgJl sap
I
'sêluESS]euuol sap 'sa:ualgdLuor sap êu8edLuorle.s lr : lnês sed luar,r au sQllns êl tarpueqêrluol at rnod : .rgorno6
'sg^edLlr sa1 rargdn:gl tnod lo,rnocl uos ua lsê rnb at lnot erêl sl pè-r)
uorl€^rlotu el êp q:]op -{arpueqarluol êl 'luegqlQ spl al arpr sed lsa,u luêLLrêred ap snJêr êl 'xne8ql1r sluaura8uere ,
sêlsuepluaLuarQrln:rlledlnolla'surou-lueQN JrlellnlsQJjralg^grasInêdlten?l1uos'uarqèllrotqQpJS|,slJsalQl
sas e 1sê arupllr pl rS assarglu .l lüaB-re,l lnês 'lros ua Ir,nb rono lreqps ap tod al ral;odurar êp lual^Lra lJnurluol
a,rpr 1r,nb no 'Lrp uos rro.r,arar lueualduJrs ollrna^ 1r.nb alqrssod luaualeS? lsa ll lue^rns lÊ-rluol np rassed ap lr,rene OL_LO
êSedrnbp uos.rl.rnou la neassrB^ uos raredgr ro^nod rnod luêLUêrpd anbeq: glqrrue la^p puo1le lr 'slnoq xnap sal :
oJpurol € aurêd ? luallred lr.g lua8re,p snld srnolnol lna^ lr 'aqlr,1 ?f?p lsa ll,s areles êlrêu aurêd alnol la allnp
êunêLULLolQlr^rlleauflsaapupqalluolel'lnolsQldV ?Âeda:lQq,nbapueuapaurapupqèiluo3a:s1rpgl3 '
lPllm?u :,.rrgUrO
§rffi *§*§]§d5 5§§n §dk*iltl§ : E*T 31trV1
§&peffi M § ffi* ffi&,Y§ 槧 ffi§
§Ye˧ ffi

kffi ffiffi ffiffirewffiffiæ&§wffi§§re


ffiutre les spécia ités qu'un personnage peul choisir
E8 pour. une can lère clonnée, rl a egalement accès aux
capacités emblématiques de cette même carrière Ces
capacités sont des lalents spêciaux réservés aux per
sonnages très expérimentés. li s'agit de prouesses qu'un
personnage ne pourra espérer accomplir qu'après des
années de pratique lruc[ueuse, et qui distinguent les
ma jLtes oes amaf ÊJrs erla Ps.
ACQUrSrrrON
DES CAPACITES
EMBLÉMAmqUEs
Arranl.de pouriorr acheler une capacilé cmblémalique
ou l'une de ses amêLroralions. Le personnage dolt « ral
laclrer, cel.Lc capacrté à la lignc inférieure de l'une de
scs arborescences de lalcnLs de carrière. Une fors celtc
PRÉSENTATION operalion cflcclLlée, rl ne pourra plLls ratlachcr d'aulre
capaciLé emblématique à 'arborescencc d"'lalents cn
DEs CAPACITÉS quesllon. landis que cetie capacilé emllLémaiique
pourra pas être
ne
déta «

æ EMBLÉMATTQUES chée, ou lransposêe


à Lrne autre arbores
Une capaci[é embLémal,ique se cornpose de trots élé
cence de talents.
# men[s: les jonctions qui 1a rel cnt à une arborescence de
talents, la manilestatjon de base de la capacité et plu-
Un personnage ne

t sreurs amélioralions de la capacrté.


peut acquértr unc
capacrtô
malique que
emblé-
par
i*ru ?T#ÿ-* l'in te rméd ra irc de
Chaque capaciLé emblemattque peul com sa carnère et ne
k. porter qualre jonclions dans sa partjc su
péncure Ces lonclions correspondcnl aur
peul la rattacher
qü'aLlx arb.rorcs
qualre talenls de la ligne infôrieure d ltne ar' cences de lalents
borescence de lalenls. Chaque joncllon acl. ve de sa carrière.
esl visible, représentée par une accolade ou-
verle vers e hanl Les jonctions tnaclives n'appa
rarsscnl pas Pour pouvoir ral[acher unc capacilé
emblématrque à nne arborescencc, le personnage
dort, sur La dernière lrgne de l'arboresccncc en ques
lion, disposer de lous les talents allgnês avec les
jonctrons ac1.iri"^s de la capacrtô emblématrque

§e** F §THËë&ËE*F.§ ffi Ë ffi&§H


Ordl6 Ln pelrOîrafoar^OUi,, Lte,dpd Ê--
blémalique, il dorl commencer par en acheLer
la manifeslalion de base. Celle-cr prend loule ia
première ligne de l'arborcsccnce eL s'obl-ient en dé-
pensanl des poinls d'expérrence, comme indiqué

i&tu"i*Lâ#ffi˧"â*ru#
Une fois que le personnage a achelé la manifes
lation de base de sa capacité emblématique,
il peut encore 1a personnaliser par l'intermê
diaire d'amélioralions. Celes-ci s'acquièrent
selon 1e principe des talenls : en dé-
pensant cles pornts d'expérience et
seulemeni si elles sont reliées à la
man lesLaL on de basc o - a ur^
arnéLroration déjà achetée. Le
coût de chaque amélioralion cst
indiqué dans la partie inférieure
de chaque enlrôe.

ÉLEcTRoNS LIBRES
auqrE olJEsrtol{ txDrscRÈTE
ei,ênb âluessSrqlul:lssne
' .. ::âu]?uj.êilê3.l1uo3uâl
aArlpura lle aun anlrJsUor rned alltarn aun jaluoJJlE
la rnJuê,s orjua xroqr al [d un ? ]asslPl 'alxÊuJ ac
tq]làrl)aj'e§,q,,Q3uql:,xnasEw:np uloil al ipÀno}?p '"rêsro) ol no JêlrlDeJ al luorernod Inb soluelsuol
r 1é ,uo1leslê^üol ;nê{ llsres.tnéd neâd el,alleJ lni q .rLl sêl orrnpell rnod sQp êp o^.iosQr el € I no !Lalnole
, squlurjêlêp..r]oN ll.?losi nB s.lejJlÊul: {nâp,,alQlr,rêp :
lned T141 al 'olloq eçddeq13 "ro^llle q luesrA lsêl np s.lol
,,a1gne3,os,,tnb,;tr'un lalduaxê'leà lô-11Ât gat aÈ no
: [99 eSed
sêJ :
jael rrrt.:ed Â,p,pqisls:1oq:: anb lêj' 1ê'ariolal U. t
1'6
,,::suËp æu:el1ôdur sa^llerreu sglroedef rro^l fl4 e1 "led elqe1egrd ne sg,t
apueÉ sqn 1uQlgÀêlrr sajlu0l,UaJ
-nordde a-rlg:]uê^rop'oldruo: np lnoq ne e.rpuarlqo 1t,nb
lellnsOi al la )rldruor:?,p olual eSeuuosrad e1 anb er ep
ollexa ornJeu El êQlrLUrl aginp aun rnod ereueLl eun
ç no re8uep un € ouolr op lnol eddeqrg o8euuosrad
ol prel snld € ÊlLodar luoLl-rolnas'QluoLUlns luouJter^
uorlPrlDuolar el e uot.r sed lsa,u ggp e1 se8euLUop êp rqns sues'e1;auuostad
uê elaprE.u ênÀ êp anplêd .aluÉssleurgl airn,:3a^P êllêqrQ,l ? lequol 0p 0..rluoluar 0un,p luaulêlPIp9u-rLUL
r
ê1$èssel; Eq uJ â u oussJ.a^u ot' auir la1 1,rg 1a: :a qrord trnluo,s lr 'otrssnQ-r op ser u! (ç{r) ellsuJlq o eue}
, .lnln*' Un SUep '[ç[ §ap'sASSno]1'XrlB':l'lBêArlOU Ç e]⧠,'' -sÂ5 ap lsol un .ronllo]Jo rnod ut1se6 ep slutod 6 res
sdu;at râlulê;d u n suep ;âddqq:ére luétÀ;ed adr nbg, 1 uedQp lnad e8euuosLed a1 'nel ep uorssos.,red stol eu1
lênbne sâLiiud ê:p rnassEuJ ut:l:tplBf snld q.]uêulêld
urs laLUaJ el alla 'allnlujlp aun sed llos?l èu alloq ægwffi ffi# ruæEÂwÀ§æÆëruwffi
aqddeq:3 91t:eder el'9lllB9"lrrlf 'êluelrnosilt::alual
-srxê au,n luêtelauQul §raipueq§4qol.sép ledn1d e1 : I Lelgo'ld ue lned eu euuosred ts esuadruoog-t oun llos
'sauqlqojd sa1 snol êlpnos?r ll'?Anod âtrnl e[ Is ]ll§,: ronb q 'lnol sqrdy esselr,r ê:lnol q.rnluo,s q SQUOLUE luê^
I
nos luos srêrpueqo"rluol sêl 'naassre,r np.lnepuodsuetl
llêJ ::aSeuuosjed u:n,p, âllep ei I g§stetruâ'snu0a Tuts êpol xneJ a1 red rasnqe sed luessrel ês êu sQJrrolne sal
slslluegJl sêI anLrslol no iaflxeJje :la ânbsêluë313,::,
a.lnlegJf,, êun.p à1:nan3 e1 §qap Ja§ôd ⧠âp tÙêr^
onb no'IELU êu-lnol êpueqorluol op lolnoq un,nbs-to-1
fieassie^ uos'anb a:^nolêp alp.nbg"rol adinbq,l r
:luaLug(pg.1d Al1Tg 3IddVHf,I
? lne1 p,nb ar 1sê àllqq ê.qddeqr I
. t,:
: rnbuvnilgu{É
izlÀfïJ
lIlfvdTrl
'nrlle lêJll,p suorl
aleDos -e.rorl9rxE,p a:qruou a1 .led
êrluoluêr êun e raddelllg.p aqrld 11nu 'a8euuos.,]ad np
uue êuadulo{ aluêl êsn5 êp rnale^ El E lESg sa"rel
-qduo: el ap êpLe,l q a9^rl -uêurgLddns sQrLle.p arqu.rou
.6 :eartQ tnad allaq aQddeLl:j un tuêtlaJJe allêq êêddeLjrl
snld uou ]a urlsêC êp
turod L apor allêq agddeq:3 QlDedel El êp slêJJa sal
'nrlre lêIrf,p suo l
'(aredsa) erorlQLue,p arquou a1 .led
a8etolrd no (aretêueldJ ê8el êQrldrlnur'a8euuosad np
olld sa:ualgdLuor sap êsnU êp .rnêle^ eL € leBA se]rel êllêq a?o
luaDUQUqq sluednllo sêl allaq a9d uauqlddns s?rlle,p êrqluou deq:] :a,rq:e rnod aluêlqd
luop alnlrLiQ^ un srndap ag,u1 del{lj ra^rlle rnod êrualQd un tuêtlêlle aLlaq aoddpqrl -urol êp slsêl xne I zêrlaE
le arto tnad a1laq agddeq:1 u-ro: âp stsat xne E zêlnolv qlDede: e; êp slêlla sêl
'êlepne,p la uo leur8eu.r,p a.lnard arrel ap uorsello êun
luossuollenltssêl'tuêLUêleqpl (89ê8ed'se^llereusgll)edef,ro^l [tAnpuor]eqordde.l esrLr..rnosluos'LeuUlellnsQ]êl ênllLSurElr durolre,pêtuatêAeuuos
rad a1 anb al ap êllexa êrnleu el a9l!LUrl aornp êun rnod êleuêu eL € no ro8uep ne êu-rQLU ap tnot addeu:Q aSeuuosrad êl plel snLd € oloda: tuauraldu-tts
lsê lt 'nlosgr sed lse,u e[rQlqo]d a-T sa8eLuuop ap rqns sues a1;auuoled aLleqlg.L € lequrol ap êrluolual aun,p tuaurêterpgurrur rnJua,s lnad a8euuogad
êl 'attssnqrapseluf OiOalllgJlqç1euQtsÂSêptselunranl:atrtra'lnodurtsêCapsturodarêsuêd9ptnêdêSeuuosrada; 'nal apuorssês]edsoJau[]
elleq agddeq:3
: ralPueqeJluo) eP enblteruglque 9l!)edef ep efuerseroqrv
i., ,f
$^"
AMÉUORITTIONS Destin :: tri§üFPrtiver.Échappée belle, le personnage n'a
Echappée belle esl assor['e de plusieurs ameliorations tle"soin de dêpenser gue I poini de Destin et non plus 2
qui rendent la capacité plus eftrcace et plus sure. Toute Effet accru : les elfets de la capacllê Échappée belle
amélioration qui apparalt dans l'arborescence plusieurs peuvent également affecter des alliês. Le nombre de
fois voit ses effets se cumuler, le cas echéant.
personnagcs concernés est egJl au rang d'Er happcc
Ajout de fortune : lorsqu'il effectue le test de com- belle, multiplié par le nombre d'améliorations Effcl accru
pêtence pour activer Échappée belle, Ie personnage dêjà achetées.
ajoute l. Réduction de la difficulté : les Lests de compotcnce
Autre échelle : le personnage peut dès à prêsent effec- pour activer Echappée belle sont désormais de rjifficul-
tuer Echappée belle à l'échelle planétaire en recourant à
la compêtence Pilotage [planétaire ou espace) au lieu de
té Moyenne tO Ôl .t non plus Difficile fO O 0l L.
Système D, pour tirer d'affaire un vaisseau avec brio. MJ peut [outefois toujours ajouter I ou I si la sit.uation
l'exige.
Autres compétences : Echappée belle peut etre ac-
tivée à l'aide de la compétence Tromperie (au Iieu de Réduction d'infortune : lorsqu'il elfcctue un test de
la compétence Système D) afin d'échapper à une ren- compétence pour acliver Erhappée belle, Io pcrsonnage
contre sociale. rcLire E

EAPAEITES NARRATIVES

tt e nombreuses capacitès embEmàliques ont avant qu'il avait prevue. En raison de ce risquc, il esL impor-
fl touL un effet narratif qui permet au personnage de tanI qu'un joueur soLrhai[anl recoutir a unc capacite
surmoRter une êpreLlve quand eile se présente. Ces emblêmatique associêe à un elfet narralil consulte
capaciles sonf de puissants outils qui aideront les d'abord le MJ. Les deux se mettent alors d'accorci sur
joueurs et le MJ à conter ensembrle une histoire plus vi- les consôquences de la capacitô alin qu ellcs cadlcnl
vante. ll tuut toutefois que le MJ veille à ce qu'elles ne avec le restc de l'histoire. Commc pour Loul lc restc. lc
fassent pas disparâltre des pans entlers de l'intrigue MJ a le dernier mot.

JF.,
_:: ÉLEcrRoNs L|BRES
arrcurc ot Esrrox TDIsGRETE
,. tlj:i,,,, 'Qlêqle oluonbQrl uollerollgLUe,l op Suer red
erieluà:iùglddns srol L oo^llre orlQ lnad npuod op olueql
'nal epr uorssos oLUQu oun,p sJnol nE . af,uanbqjl
'Z snld uou lo urlsoc op lurod t onb rosuodQp op ulosoq
e,u o8euuosrod al 'npuêd op olu€qf la^tlle rnod : ullsoQ
'luE?11r9 sel êl 'rêlnLUnl os slOJJa s0s llo^ sloJ
sJnarsnld oluêlsêJoq.re,l su€p llereddE Inb uollerollQLUP
êlnof orl,rs
snld ]a ere:g1a snld QlDede) el luopuol lnb
suorlerorlQLU€ srnorsnld ap orlJosse lso npuêd ap olueLll
§§-.§§§ÀWææ§T§#§W
'O lo^e eg,{o1dr-ue orlo sed lned au npued
0p Oluell] lneq 0l sJO^ oQurnol luoluallanlle Olel €l
re,te [e13ue un sed) unLUu.lo] uo alQre oun e tnb ol€J oun
lso oluolElpP alEJ aul-l aluerelpe oleJ oun rns 0L.llule
gst^ ôSeuuosrod rnlar red ê^rosoJ 8S ap « ep uoq » un,p lellnsQr a| rereld
ne JOnbrldde,s lua^nod Jrlle oBeuuos UJOJ.rnod urlsêC op slurod f resuedqp lnod oôeuuosrad
-rod ol êpossod onb npuod op olueql ol 'ollrlnorq oun,p xud ne'nel êp uolssos red stol auTl
0p su0rler0 lQLUP s0l s0lnof 0l]n0l êql
§§wffi §ffi ru&§§w&§§.d § §§wkw
rod ? Ênlrs'lueluosuol ?rLle un,p sQp 0p
o^rosQr el rns oQsrlrln êrlQ luoLUOIeS? lnêd
npuêd êp olueql : asnal8eluo) a)ueq) slrpQrl senblanb raqlodLUO auoul la neo,l op sroq
e1q1 e1 leple8 luolno^ slr,s ureu uê utlsêp rnel e"rpuard
'o?loul? onrlle êQlrod op uollerollouJe r8d oQlJod êp
luo^rop s;r : xnerlrqsredns ruo^op op no uatq err lnol anb
neo^ru un,p oluoLUSne sQlloJJe orlQ luo^nod sluEluosuol re.rgdse,p Jros ou uerU olueLll rnol ? la sgllledel slnol e
sgrlle sop ollonbel q aleLUrxBLU aQlrod 3l : enJ)f,e o?uod êlueuuol oireJ € lQl sQrl lueuuerddE sJOlpueqalluoJ sal
'910qle nrlle êr q LUo N suoIleroI IQLU e,p a-lq Lriou
ne IeSQ sêrreluoLUÇlddns s9p êp orqLUou un luol)êJJe np noNsd 30 sfNVHf
uod op olueLlf glDEdEl el op slêlJo sol : 6.13x8 oJquoN
'« sep ste^neLU » sal
: rnbuvhlslg}llr
rallolle luêLUêle8Q lnod npuod êp oruei.{l : nr))e }aJJa XIIfVdTD
êQ1êrllP èn]]]e J9lrod ap
aqlaq.re a]ranb uorleror ?Lre red aglrod cp
Qr! uorlÉr-ro loue led snld nEêitu ut.t,p alrrauÊre sluel
ap slo] êi^LlrÉ a-rlO lnad LrêsLrol sQ L e sêp rall3,,rE « SQP 6 sn d roir
|
npuad ap arueq3 nel ep uors lnad rpuad ap arlreqJ êj onb sre^neLu » sêL JellêJJe luaul ta frlsèC êp lLrod | ê1,0r
sas aLUQtu êun.p s,rnot fv e E aleurxeLU a?llod r:l aleBQ lnad npuêd ap êluellf sno.,r npuad êp êruell
llNlnÙ3uJ J
sê?lêule nrl êl_tnol sêQlêqle |rl
lP êrqüroN sLr0 ]L_r0 lqLUe,p oolrod e qnlrs lLieluêsuol le êrquoN suo le,ro lqLUe p aQlaLlle êlLlêr'li-l
a-rqLLroLr fe 1e8a sareluau-r Q LlÈ un,p sQp cp a^ras ê.rtltlroLr
ne leBê sêi eluênl ?rl uo1ero laue red sf tal
, ddfs sêp êp ê-rqurou Lilr Q,. el rfs êÊslln jrlQ tuêLrl ?lddns sOp êp ê..rctLUou r.rn ap sLoJ êQÀrl)e ê.rl? lnad
|
luêlrêjlr- npLrod Jp JlLreLll ale3a tnad fpuad êp êlreql luallêJle npuad ap arueq3 ripuêd cp arueq3 'nal ap uLr s
?tneder el ap stallê sêl êtDEder et ap slJjJJ sJl sês êtll0LU êun p slnol l-\
a,(oldLua art? sed tnad au npuad êp alueql (telns?r np a lall tfeLl a s-]. ,
çra,re
êÀrêsoresJp«cpuoq»un,plellns?.rararedLr.]arrnodu1se6opsluod6rosuadaplnada3euuos,rarlaL'êLlnorqaun,pxrdne'naiapuossasredso1aLl;
npued eP elueqJ
: JalPueqaltuo] np enblleurglque 9llledef eP aruefsaloqrv
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gr1 snld rJJalle ? aluepu0l luo salQpoul suleJlal sleul
'soLure sarlne.p 1a sen8urll ap alnoJ eun tu:ed ltstoq:
'l3ll^ ulos0q un
lue,tned arQrluorl e1 ep stnan8ulUnoq sal lnollês np
lsa uolsello ênbeqr rnod rolselq uoq np rasodslp 'Jalp eprder snld ol nEassle^ a1 anb xnatLu stoSled lne,t ralselq
ueqorluol un ..lnod (alololord op aprolp un suloLU ne uoq un 'leLLr aurnol uotJlesuell aun,nbsrol 'êlqellAQUl lsa
no) alenby un raluo.tJJe,p PMeI un ? oLUOLI] luPlloulod opellrsnJ eun srolred steLU 'aluêlot^ e1 le satrelle sa1 la3
'sarlooM aLUurol suteLUnLl 'all{e8a,p petd un lns opuotu -uelgLU êp ralrn? luaLuoler?u?3 lualQJQ;d s11 sanbtlreleB
êl lnol luêll0LU sralselq sêl l-To llolp uou op seuoz sallreler sarlne,p q la selqeÂolrdult sautld êp slnasseql
s0p suPp Jallre^erl ? aluepual luo slalpueqaJluol sêl sap ? 'sluolot^ slourtxul sap e 'septdnr sllnH sop e arleJJ?
luêAnos luo rol pl op qlgl stP^neLU np Larpdsol'i1 ap 1
3IDU3N' V SrvuUV lualuol rnb xnal la srnaqLuelj sal 'slalpueqêrluol sa !
F=In-IrIî
'slu0rll sêp uollle]Slles rasuadqp sal
e1 1a uosre8rer aun,p ?ltlntQS el latnsse lnod arueql ap rnod l-rou dorl sale snol IS uarJ lne^ au sllp?ll
anb uorleredQrd ap luelne 1ne1 1t,nb luanes sll sleu 'lJêA lru un lo ';elrodsuerl e1 sed zannod êu st'lo{r
-no êrlQ,p enb pualle,u tnb tos?rl ne a.,l1Jor un lsê alxeJ lras au lossay op ettdQ,l elnol 'Jgs ualfl 'êg
-e3 e1 'srerpueqarluol sol lnod Uaslorl ap olAua iuaLu saglr^Q saqdorlsele) saf"lê xnalnop
gr.ro1 sed luo,u slt,nb snpt^tpur sap anb lsule) luldt f ,1 -uanbgrl e1 iuau.reldr,ue luasuedr-uor suteB 5e1
ro sNrrNoJ xnv,p soralolsrd sal lo slnaqLuell sal 'sololld no sgnop luos tnb xnat lnod 'aluesÂlelpd
sal lassar?lur,p salqtldetsns xneosste^ sop la salnllqQl sJUaLUourap.a?nlruod srolled lse
sap 'saLure sap 'lueuedtnb?,1 ap aluesQrd erltdeq: a3 urlrnoq sap èrA e1 'san8tl.IUt.p lê sa
rêrpueqorluoo 'rnho1 ssdly -
'sêlrec so1;ani;n;; sues
"
ara €tu sanbsu nad ptpt sros alanb ]letpne] ll
'sailcgqwt sa1 tnod lsa,c 'a;q11nFg) e! zt])eÇ a§ »
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LI LJ
?.1 :ARMEs À I]ISTANTE
Nom EompÉtence 0Égâts Eritique PortÉe Enc. Emp. Prix RaretÉ , §pÉdal
Armes à énergie
B laste r

zi:t'l'g=-=,i ul ,,o,..n,n., r o 400 ,5,iïî5irr.,


5 I etouràissant,
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i\lutlateur ,-.,".,^. i I i i I ,chocl lon, l

:dedrorcies ti^:l^'lit::=-^-,
ralnê lÔgêê i tt: 3 Courte I I to5O, siùrLrnrtioni l
-el^oo k . t

À percussion
i Fusil à
ldlspersion Di stance Souffle 3,
i Adostic Arms (arrnes lourdesl
7 6 Courte 3 2 550 4
Renve rsement
I calibre B
L-_____-_
i Rittot.t a
j Munitions
Distance
i fléchettes
j (armes légères) 6 3 Courte I 2 {rl B2s 1 limitées 5,
FWC.5 Projectile guidé 3
Explosifs et autres armes

i Dague de i Distance Munilions


an, e. as( iPnrÊ lat re. egèt csl
+l 2 Courte I 0 65 1
l

j Crenade Di sta n ce
12 NA Courle I 0 1)A 5
I incapacltente (armes légères)

Souffle 10
i Pistolet :i ., Desot.e'tal,or l.
Dista nce
2 4 Courte 1 Z i
,' oL^
Ôru ' Lotroi'>en'rl B'
[armes lêgères]
13t1"!§ë_8,1
Prolecteu r
D istan ce
I
i Encombrant 3
CryoBan
(armes lourdesJ 6 2i Courte 3 0 500 4 : Sanguinaire 2,
TaggeCo I

TRUCS DE PROS
AUq.xE orrErsrKri lt{DlscRÈTE
IJEÙf,St(tl xolJsEaE EI{aÈrnE
soud:lo sfnur
arrelndod lurodde,p oLUle 0un nua^ap lsa sulv elrazJ
op ol-) prnol rolsElq lololsld al 'o^êuoSerc soullld op
rnosseL{l orqQIgl ol led onbuqel êlQpoLU un,p Qrldsul
'n8êssleA un,p ploq
« H§dv§§ §Â§r*§sw§æ }} &1.-3 §lÉ!&W q OInLUrssrp ra,tlrsprnbtl 11 14391 ralselq 1êlolsld un la.t
wls§323 ffixmæT H3§w3ffi "â§1&À§ld -?dar € sQUIlsop uotiderra6 op slsol xne ! ! zolnolv
're39l o3le: un,p luaruenbrBquJO,p all0r
radtA 3^oN un roUlpou] Q no roredÇr e sQUll
sap anbruelQ[,\ op slsol xn€ o]lnlullp êp Qp L zolnolv -essed e1 ep sQ:d no olel eun,p tored el q gqlollle lso
'xnollQ.ld snld sol suolq sos Iulred loldLUo) lr,s lnolrns'rorlqno luoLLtêltl€J 1uo1 a1 rnb lnolred-essed
e:uaredde aun luauuop tnl rêl)e uoillug es la salue89lg
al lo xno)ueql aLULllol lolÇplsuol as lnod JOdIA eAON un seu8r1 sas 'olrnp?r olltel eS s.lnol0s 0p 0LUle 0uuoq op
rns urPur 3l êrllou] e lual^led Inb alQlluorl el ap uo^olll un uor1e1nd9l oun srolpueqolluol sal z0ql Qlllel lso,s l0^
'lnol OJSlen roledQJ q oroluo snld lê llualaJluo e s0lllU -lrsprnbrl
: QLllPl slo^or un luepuodal e olqe^ollul
ll al 'otllleLU uoq 1e eldLuts rolselq lêlolsld
Jlp sQJl luos sll.lnau
uorsDgrd rnol rêpoêds un,p Inlol êlpulalle lnod xud H§'1?!§C§âft&'?
rnal lo soqrroqlêr sQrl luos rodl^ P^oN Srolselq sol suoll sr H§§§T x§i"§ffiæ "L§Tæâ§ld
-ruu xne ossoll el êp lnêlol]lB,l red saQlleLlnos suolldo
's0lQIlllnoLU sêLU.]8
sol solnol olno[e sLUrv.]apred 'orlQulolllLU 0p uolller] aun
€ ogrqrlBl lê suolls^ouul,p êulald 'oQrqlllnb? luaulallelled selrled sec ap eS,ro8er rlou ?qlreLu a1 'stndeq ll, ep
aseq aun rns « rodlA e^oN » l-olQpoN ralselq lêlolsld êl queueS;eqr sor8 un,p le sanbtur{ral seLUQqls sop s0l
'oJ^næ.pJaul uos ap sailelduoxa sêp luesslurnoi lnol ua -edure iuos as solloqaU sop sleu 'xnetlQdLut slua8e
eurnolêr sal II sleu 'q^oldLUo uollue uos 0p sossnoll xne xne luêLUO^tsnllxo rt^ros Çsuol llelg 1l s1uele,ttnb9
soLUud op srnosseql sêrqQlQl srnalsnld eÂo,tue uotleLod salQpour xne luoLuo^tleiedulor lQrl€,p aluesstnd e1 ep
-rol pl 'srnêLUnr sal oltorl uo luoLUêLUle,1 ap lueq8 a1 e,ulergtu8ts ossteq oun led llnperl es anlrre agl;od
V
zor..{l oLusrOS olqelt.rQ^ un enbo,roLd ll '?lOIlos olrlad aldord ellaf eqrocl op oLLllE aun rnod alueuuotssa;drut e?l
es raluel rnod qralselg ellrnb 'etxeleB €l op sralselq slnol -rod aun luouuop tn1 tnb'gt"lessor ap 0llJllo un,p l0
lll
lroLU sop sureJrêl ap -rnaldaruor ol lêpleU uep-rop enbsro-1 gSreqr.raclns noj e ostLU ap alnpoLU un,p esodslp 1 ;.y
aq:ocl ep rolselq e1 'xnetrqdutt sluoBe sel rnod n5uof
« w§d!nwfr*l\l » L";lT§6&&.1â
§IÂüHW X§&§Wæ H§ÀSW,I§ -LH3ü§ld & Lÿ,§b1,§YW3lX3lZ3 3!*3æd ê§ ë§§swæ
'un,nblanb Jns Qlnullsslp 96V un Jal
gg olQpor\ un roUIpoLU no reredqL rnod
enbrue:gy1 op slsol sap ?llnlgllp El I 0p zoslnpQÈ -Odar q sQUllsêp uorlde:ra6 êp slsêl xne zelnolV I I
'a1t,t eslad
s?tgdQr sltl op sel uo oJJneLllJns ap sed luaLutsenb er;nos
au 1r 'sn1d aC ,reredO: ? lo rtuolêrluo € alduts lsa olQpoLU srp as sJtl ses ep at8:auÇ,1 steu'ranl lned oule allol
al 'enbrlsnr la aldu.Lts uotldeluo: es op uoslel u: slnal 'e?lrod allnol sQll v rnoJIl np siSrop sa1 allue essed
-esrlrln sos êp sulosoq xne qldepe lueLuaprdel arlQ lned -gp lnb aiurod eug eun,p 3uo1 e1 e8reql es orlualuol ll
« iosSulllrnO » ol 'suotldo sosna.lqulou ep € argr8 steuu 'uouel un Led segst8laug salnltlled ap uoÂel un.talelold
'sluesstncl snld sralselq sêp olslxê 11 eredse,l ep s"rnenB op nêrl ne steut 'Jalselq un,p xnol € sarlellu.lls sedtrut.td
-urUnoq so1 rured artelndod lsê 9q alQpo[r uuos-]ral4 sop .rns êuuotlluoJ ll uteLU aun,p auned el suep lluol op
ralselq lololsrd êl loutpoLU ? lo lluolorlua q alllel 'elq€li alqede: lso g6V ol 'rêlnurtsslp ? êlllel lo olllel elllad aC
« &§*§â§Â?§3*fih » §§:II§ffi#tÆ §&Y §BU§WW)'&§X3
ru ru&§'§&§ **{ HXÀ§WI § ÀâIæ.t"§§d -LruV§ÂrWUVd XXÀ§îrr*
<< .radeag aÂauoEelq >> O [-J stuJv e1lazJ
OOZ-SI^ xxapuoroJ uotslndLU! g llsnl
<.<:adln enop >> [-al?pol sturv rapleÈ
auprès des chasseurs de primes, des contrebandiers et réduisani à L'état de ferraille inantmée. Bten qu'elle lasse
autres bourlingueurs qui prélèreni 1a puissance de feu à de gros dégâts sur les drol'des et la cybernélique, la dê
la subtililé Plus gros que la plupart des blasters lourds, charge ionique est inolfensive pour les llssus vivants. La
le Dragoneye Reaper est presque aussi meurtrier que cellule ênergétique qui alimente le mutjlateur est com
certains lusils blasters, el ses utilisateurs peuvenl lacile- pacle, el I'arme consomme beaucoup Par conséquent,
ment l'adapter à leurs besoins. Czerka possède les droits elle ne peut faire leu que quelques lois avant de devoir
du Dragoneye Reaper, mais le Modèle X de Caliban et etre rechargée.
le « Renêgat , de SoroSuub, d'autres pistolets blaster
lourds, ont de nombreux points communs avec le C 10,
auquel ils ressemblent énorrnément. ARMES À PERCUSSION
Tout pistolet ou fusil qui tire des projectiles solides est ap-
ffiâƧYffiK æffi §§*e§Sffi §*§ffiL*§§ WffiY-4 pelé « arme à percussron ,. Considérées comme archalqLtes
Le Herloss HBt-4 est plus grand et plus lourd que 1a plu- par la pLupart des gens, ces armes ont toujours une pLace
part des lusils blasters à usage sportif Pour une arme dans la galaxie moderne. Cênéralement moins puissan[es
de chasse civile, il est remarquablement puissant. Conçu ei moins eflrcaces que les blasters et autres armes à éner
pour le gros grbier et les grands prédateurs agressils de gie, elles peuvenl s'avérer tout aussi meurtrières el incor-
Ia Bordure Exlérieure, ce modèle fait l'impasse sur la porer des technologies avancêes qui seraient parlalternent
longue portée de la pluparl des armes de sport et ople à leur place à bord d'un vaisseau spalral.
pour Llne décharge concentrée qui se drsperse assez ra
pidement On trouve souvenl le HBt-4 sur des mondes e*em * çsu* § & P§-§trffi ËYY§§ ˧4$ffi-§
aux terrains diflrciles, tropicaux, à la végétation dense,
où sa portêe rédulte ne constitue pas un handicap Ce Fabriqué par \,4alaran Firepower lncorporated, le FWC-
5 est une version format pistolel des grands Iance-flé-
* blaster de chasse s'est égalemenI lait une place à bord
de certains cargos légers où sa puissance de leu donne cheltes produits par des enlreprises plus importantes
* une sensation de sécurité supplêmentaire à l'êquipage comme Coian Arms ou la corporation SaLus Le FWC 5
lire de petrtes billes pleines de dizaines de pointes mi
p#sËLe §ffipL§§-§§*§ds nuscules qui en lont Llne arme rneurtrière et terrifiante.
Propulsées à grande vilesse, efficaces même face à des
tffiffi*&**§KX Wffi§-pæ& cibles en arrnure, les billes éclalenl lorsqu'elles touchent
F Si les lorces de police antiemeutes ou les chasseurs de
primes emploient souvent des Conrondexr VES 700, il ar
leur crble, projetant ainsi les « fléchetles, à des vilesses
faramineuses Un système de visée laser incorporê à
rive qu'on en trouve à bord des nombreux cargos 1égers l'arme guide les billes vers 1'objectif, ce qui permet d'ajus
qui sillonnent Ia galaxie Celte arme projette une série ra- ter légèrement leur tralecloire en plern vol afrn d'arroser
pide de micro-impulsions selon un schéma de disperslon la cible de lléchetles mortelles. Le FWC 5 a lleau etre Ln

large, ce qui la rend particulrèrement eflrcace dans Ies envi terdit dans de nombreux syslèmes, bear-rcoup de contre-
ronnemenls conlrnes, connme les coursives d'un vaisseau. bandiers en gardent un sous la main en permanence.

M â§Y§ §-&"r§&"§ § ffi ffi ffi §æiæffiS F§L§§§ffiC{{, pu§â L e *§§Ëffi ffis§#ru &ffi ffi sYâü
Produit par Felebreck Electrical Defense Sysiems, e &ffiffis fleL$ffiffi§-#
mutilateur de droides est un pistolet ionisant petit mais Produit par Adostic Arms, ce fusil puissant el de gros
puissanl. Au lieu de simplement dêsacliver les droides, calibre projette une grêle de pelites billes d'acrer. Bien
il les endommage. li ne fonctionne qu'à lrès courte por qu'il soil basé sur la technologie primilive des armes
tée, mais sa puissante décharge peut faire fondre ies cir à percussion, sa pulssance d'arrêt rivalise avec celle
cuits de pratiquement tous les droides non protegés, les d'un blaster lourd. Composé de malériaux légers et

Fusil à dispersion
Adostic Arms calibre-8

TRUCS DE PROS
alrcuilE otrEsrrol{ IxDtscRÈTE

I
rrTd)slotl tolJsltE EI{(Dnl,
soàd 30 slnu-L
'luouolelnrq doll aqtueu no eçâ
eLuuJopuê lso ollo IS ".iouuotlluoJ op têssol lned auLe,1
la snOLd luoLr-rouJorlxo lso xnelsttl sep 1ueruouBLle,l
â6Jeq)9p e sa}}og :sroJOlnol uolluallv s.lrl op srêrlllLU sep lelueutle lned
senbrlels slalolsrd sep enbrtQ8"rauQ olnllot e1 'at8"lau9,p
nad sQ-rl anb lueltssacgu ou xnelstrl sêl ollnpe >llepunF
un êLUOLU lro or)looM un rêstlerlnou q luosUlns seâ;eql
Qp xnôp sreur 'aQl;od alrno: q,nb oltln :ls3,u ll sQBleql
senbr:1:e19oz9rd xnelsur sap Led agLQuQS enbtrl:e19
e8req:9p aluesstnd êun oll enbttels -lolselq 0l t BSS
enbr:lels lolselq lelolsrd ap LUou ol snos qnn5oro5 rec
alrnporlurQJ O:lQ luêLILUêlgr e oLu.le allat'uotle"rodloJ
q:e1sÂ5 olunl?p e1 red serreuqlltLU sêp e  1t 9ddo1a,t96
&-槧 § ffi *§Àwe§ "§-§T æÀ§ld
.ertolertdser euQlsÂs ep son,unodpp
luos rnb no sartole"ltdser senbseut sap 1ua1.rod lnb salqi:
sol rns lêJJo un)ne luo,u saluelrlede:ur sepeueLB sa-1
'sornleQr) sasso;8 op uostel llol€ oLUQLU lue,tned
sollê 'sêluesglns sgltluenb uê soQstltln xneraBuep srnar
-epg,rd sep rernlder ,rnod stolred luoAJos uo,s slêluuo)e-lQ
sal uorsoldxa,p uoÂeL lnol suep sesLrd selqtl sêl llau-rLUos
puolord un suep lueÊuold salla'luesrllrnbueqze? op sè lc
I un,p Çuuolltppe uotlderre6 op lsol un rlssn0J lrop uroU sluêueulLed slgSQp ep LeBtllut tnol sues solqll sJn0ls
a8euuosrad un'sornssneql saldLuts ep enb lQlnld eELeql
-?p € solloq sap elrod un,nblenb enb ranbreuor Jnod rl^ -n1d resrlerlnau op luolloLlllad seluelt:edelul sopeuorb
ros uê,s :nod arqtl uteul aun lto^e,p o-lrPSSOrgu sed ruop sol luolstxo sglrlrqrssod sotJne sêsnêlqulou êp sleLU 'lLL.
auuê un rosrJlJeu,l rnod enpuedçr snld e1 uollnlos PI luos
lso,u lr lo spard xne seQltod luos a8reqrgp q solloq sol
sêluessrpJnol? soure sol -lostlerlnou o1 rnod allesro^pe
'prel doLl lua^nos lso
un ronl op olqelrpqnos IU otlessolgu stnolnol sed lse,u ll
1r
'anbLeuer se1 uo,nbs..to1 la'sêrteulplo solQpoLU ep LanB
-ultslp q selqtssodur luerueletguQB luos solloq sêl 0lqll §&NWÀ§3WdW*ru§ §§§ru§§§
el € luesÂleLed roqr un luee8rllur 'solloLUOS sep sanbtrl 'auue,l 0p ose0
-lalQ slrnl,.rl sêl lo srnêle.t?u93o;ltru sal ro^tl)e,p laured
pard ep dno: uoq un osuoJQp sues ..to^norlor as steuleI ep sle8Qp sol JOUIUl.lê1Qp rnod [1 +] agnbtpul inoleA I
q rnen3r,1 es alnole Jnolesrlrln,l êrtesroAp€ un,p llPluol
luêlnoA au rnb xnel rnod sagnbrtqeJ 'sorer luos a8reqrÊp
q salloq sal 'êlserluol re6 sLetrrlod sol lê sloutLUtrl sal ne luoLUOleLUlou essed as tnb e: ? luoLUO-ltelluol'lsal
np ?llnlUlrp e1 sed elueLrBne,u 'ouuoLlsP toluel 0p
1t
zoLil sluernol luoura^rlelor luos eBLeqrQp € slueB se-l un,nbsro-1
en8ep eun re,te enbelle a8euuosrêd
§*§w§§3sffi § §§§-&*ffi 'rlro^e rn0Jesrlrln un,p suleLU se
'sopr^ sureLU sal JOAITJe sed au luelQlÇld surleLu snld
êJluo sorQulrnou luos soulel sol Tnasstedg,p olnl?lol-
aun,nb snld arnsoLU ou llJ.lnol enb ar q,nbsnI sagsLnBte
sêl 'olqelr^QUr luar^êp a.treBeq e1 enbsrol steLU 'lleluol ne lê rooeJnp ep sagsoduo3 toluel a1 rnod seOLqtltnb;
orlleq os q sed lueuuarl au sJarpueqorluo) sop 1edn1d e-.1
lê soQlsol luos sêuuonse san8ep sal 'rtua,to,td sêOSUOI
luos sallo lenbnp erteutq euQlsÂs e1 sqrde,p SoQLULUo\
rvll9nd 10 sShluv §rd§§§§3§w §§§ruw §ffi §ffi§wffi
soLUUlelJ sêp êrputêlQ-lnod sgnl sQlilrqrssod sosnaJqLUou ep luesodstc
la3jo s?lsrsse slsêl sop srol oleluaLuOlddns ! un alnole srnanBurlLnoq lê slaurLUlrl 'raprulrlur,l luaualduts ap n:
uegoÂ13 .rne1:elord un,p qdrnbg luelsrsse e8euuos;ed Jassolq el sues oLqn oun rosuJleur ap esstSe,s l ,nO Uoi:
enbeq3 noJ un orpurolQ rnod sêAlleluol sos solnol q E -snrrod e oule oun no rolselq un ouluol latlllnêLU luaL..
elnole uegoÂ-rl un,p Qulre e8euuosted un sotpuolut sol -n;1sur un,nb osoLll êJlnE olrssolQu uotlsnlrs el 'stoJrE.
arllequol ? rr^rês lua,rned uegoÂr3 slnal:elord sa-1
'a8eproqe un.lessnodar rnod no otpuelu!,p sshluv srurnv 13
sel ua 'neossreA rnol rns senbt8Qlerls slLolpuê s0p suep
srnersnld JUê^rosuol uo srotpueqolluol op dnorneag sllsoldrct
'sollolroLU sêulre uo sJnêllurlxa sol toLrioJSueLl'tnod ?lt.t
nlOS op sesnq sol rorlêJ uo,p ltesgJns lt,nb eidLuor npua-t neoss ?A un,p enbor el suPP aqlQ-ll
luos ês srnolesrlrln sop sreLU 'luesslptor1o"r tedns anbtLutql oun lrl^no,p lenbsu suES ses sol la so^lstnoJ soJ -lêsa-.
-re lue,tnod solJa rel 'srolselq xne soure sol lu0,tQlÊ i-:
1ue3e un € erg-l8 xnetleds xneosste^ sop proq € sotpuolut
sol o.rpurol? rnod sn5uor luerelQ ueBoÂt] se1 'eut8t-to,1 y sluepuedQpur spupqlreLU ap lo srolpueqaLluor ep dnc,
.
neaE lnlaJ luêlorA uos l l..loLUe
tnb Qnbtlstqdos oLUS
"ffi3§ §§We ru§§*.&ffi 3 & ffi §i.3§ rffi§d €)QLu un,p esodstp uotsradstp e ltsnJ êr'sêulopo,-
capable d'immo_biliser, voire de briser, l'arme de corps à
ARMES DE CORPS corps adverse. Equipé d'un génêrateur d'ultrasons dans
À conps la poignêe airn d'améliorer ses chances de briser le dura-
cier, le brise-lame a tôt lait de désarmer l'adversaire pour
Les blasters et autres armes à ênergie ont beau être om le laisser à la merci de son porteur.
niprésents, l'armement de combat rapproché a louiours
sa place dans la galaxie, surtout sur la frontière oÙ l'on
résout souvent les querelles au corps à corps Moyen
nanl une poignée de crédits, tout le monde a accès à une
infinie variété de lames et de malraques, mais quelle que
soit l'époque, cerlains styles de combat ne se démodent
pas parmi les contrebandiers et les Flambeurs.

§A§U§ e&r.!p"mË-p§Iru§
Une dague coup-de poing, également appelée
. dague impact ou couteau-vrille, est un petit couteau à
lame courle fixé à une poignêe en T, la n vrille ,. Lorsque
' l'utilisateur saisit Ia dague, la lame dépasse enlre ses
doigts. Facile à dissimuler, elle permet à son utilisaleur
de mettre beaucoup de force dans ses coups, assez
pour percer des vêtements épais ou une armure légère.
, C'est une arme dissimulée très apprêciée des Flam-

#
@
beurs, car en général, elle ne déclenche pas les dêtec-
teurs d'armes des tripols qui occupenl les arrière-salles
{} dç nombreuses cantinas.
. Ajoutez ! | aux tests de Perception elfeclués pour
trouver une dague coup de-poing sur une personne. Brise-lame

V!BRORAPIÈRE
Une vibrorapière est une longue vibroépée à la lame fine.
Très équilibrée, elle est conÇue pour les vrais artistes de
I'escrime. Pensée pour frapper d'estoc, Ia vibrorapière
peut perforer à peu près n'importe quelle armure, ce qui
en fait une arme meurtrière entre les mains d'un épeiste
conlirmé. Contrairement aux autres vibrolames qui
êmettent un bourdonnement audible, celle-ci est com'
plètement silencieuse, ce qui la rend particulièrement
utile lorsque votre survie repose sur la discrêtior..

§mr§§-t*§u§
Conçu pour être utilisé avec une vibroépée ou une aulre
arme de corps à corps, le brise-lame consisle en une
vibrolame courte et dentelée, ou en une dague crênelée

TABLE ? _ Z:ARME§ NE TORFS À C§RPS


t'lorn ,fompétence:ltÉqâts ,Eritique:PortÉe :Enr.,Emp::Prix ,HarttÉ,§pÉrial
Armes de pugilat
Bottes à Au Désorientation 3,
Pugilat +0 5 2 0 1 250 5
déc ha rge conta ct Étourdissement 5

Armes de corps à corps


Au Briseur, Parade 2,
Brse-lame Corps à corps +0 4 1 1 2s0 5
contact Perforant 1

Dague Au
+l 3
contact
1 1 75 4 Perforant l
coup-de'poing
Au Parade l,
Vibrorapière Corps à corps +) 2
contacl
2 ) ) 2AA
Perforant 5

# lîi;,Ëffit-x,x,*qrÈîE

â'9. ...1f ! :, , ii :?§


rrr.aEl5lel xou.s5no iltE nE
50ud ro sfnur
I I Ç 0ûz 0 tselq alsa^
L 0 ç 0E9 I lL ,rarpueqêr luor Jp snssêpied
t__
B e a 000 I {rl I
anbrlAurru uosreurqLuoJ
'drq , 'ru3 , xlu , ileurstslPlu3 . àsuel9ll adÂ1
çlajeu
S]HNhIUV:E-ZÏEVI
ag8reqral no agrelduar lros etlelleq es anb
e: p,nbsnl o^rlresgp e1 rnb er 'et8tauQ,p lrnol Q lêqLLr0l
oreJ el rnod a,ttlre enbtlQultru uosleutqLUol 0un,p rnal
.rod a1 red ?nllolla uorlÊJlslC êp ]sêl lanb elodt-ut,u ep
srol 4§ no (È) (É) {E) resuadgp tned ft\ ol e^rlle enbtlgru
-rLUuosreurqLUol oun,p rnalLod e1 red sgnlratrJa uoll0ll
slC op slsal sop srol epnltlde,p sOp xn0p zoroll0LUV
anbrlgr.Ilru.t
uosreurquroJ
'surssesse sal l0 srnêlo^ sêl
'slaurLUrJl sel red segqrLOLl)ot sQll luos sanbtlgu,tlu.l suos
reurqurol sol 'rolnoJl € saltlUJIp 1e sa1e39111 agSreqral
no agreldLuer orlQ lrop alnll0l el 'onulJUol uotlesrlrln,p
oJnêq aun uoJl^ua,p lnoq nv aluaLLllle se1 tnb, 'elnlula: e1
suep agreld lueu-Lelerguq8 'ouêlleq oun lsa,J et8lauQ,p
urosoq luo senb,rlQLutu-r suolslê^ sol sleul 'xnetlgds xnetl
oleLU sap € erglS luêuuollluoJ santlrnJ suosteutqLUol
op sêlQpoLU soJlne.C êlQrlstp snld e;orue luopual el lnb
sanbrl9u8euorlrolg la senbtruteql stneqLosqe,p enb ts
ure uos op srnassrlJoule,p êQlop luaruele8q lsa uosl€ulq
-uol ellêl 'olqrsrAUt enbsaLd olpuol al rnod lnelrod uos
.lêuuosrad
op rnotne arQrLUnl el raLUroJOp ap elqede3
a8ellnouer ap orQlleLU ua atSolouqtel el ap ulnulLUns
e1 aluasgrdaL a113 segnbrldde seluatts ]e etSolouLlral
olneq op xnerJoleLu onosse anbrlguutut uostsulquol el
:I ftbâÀ§ tât t hr ru §§tvtrâ I § !uü3
anbtsÂqd eltlre[o-ld
orlne un no uorssnlred ? oure eun ted Çq)nol lso lnol
-.rod uos anbs.tol luourossreluo ue 6 + euBeB olnLUle,l
'oleLUrurtu uotl:elo;d
ra!pueqaJluo)
ap snssepJed aun,nb arnsse,u e11e 'et8rau9 e soLLUe sollne la stêlselq
xne olel .ar8reug,p sa8reLlr?p sêl rol9r.re tnod a1re1 sed
lso,u ollo sreu 'slauderqs sol lo sÇlalold suqÇp sal 's0ltl
reloLd € soLurp sêl arluor uorllolord aluallatxa aun orns
-s€ olll rnalrod uos Q luoLUOAnoul êp QlJaqrl apuer8 aut:
'luêLuorqLUoluf lueÂor1ro lo lJê^nolQp € sêrqurêLu sal luessrel 'aslol êl
,p slulod r rnod .rolnLU
-rssrp lnod neolusLU o) rnalrod uos op olllnoSeA olual anb a8Qlord ou ollS xnpêssre^ sap a8edtnbg,p soLULUoq
-OdLUol el q sQsoddo luos snssopJed 1a1 un suPp Qlnults sel le s?nb.reqLUê sleplos sel .red enb, lsure 'sertelQueLd
srp lalqo lenb elrodr-ur,u re^noll ? s?utlsap slsol sol êsuol9p op sêlroJ sêp sarquroLU se1 1e suatrrltuu se1 red
eglrod lua,nnos lsô 'srJq?p ap suotlrelord sol lo sêlleq
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sol orluol re8glord rnod en5uo: 'arQBQl elnrute allal
rnoriOlur,l € salleqrod op lo sluourlredruor sltlêd êp
'seqrod op lrê^no) lso II : otSolerls allal op tled ertl.,]etp À§TrT§ §.!"§§A
-ueqorluol ap snssepred ol ollrnoJ eJ ? luoutqlroJ luatel 'elÂls rnal rnale^ uê loLU lo luoLUo^noLU ap glr0q,
-addeqrg saurelrol 'seqrod op zêsse ltefoduo: enuel
rnel sed êlrLUrl au rnb arnulre eun rnod lueldo 1.tednld el
lnel rs anb sr.rduor luo sOSnr
snld se-1 'ednor Â,u euuos 'selleuuosred suorlrelord sel lueLuelQldu.tor 1uaBrl8eu tr I,
-rad )a11rno1 luoJ os sJOlpueqorluol sol snol 'prel no lQf xnol luos solel sreLU 'se1ueÂo,t solnLUte sep Le;od ap 1
u!§ rü ruv§xuJ"ru û) §tr §n§§3§Hïtd luolr^Q srnêqurel! sap lo sJOrpueqorluor sep yednld aI
§3UnruUV5il13Ân(IN
ru § [rvËAux Équ I pHM EIur§
f,l ertaines sllual ons requrèrenl un matériel plus spêcta- æ&s§ §- p§&m.Yæ &*Y æ § 6 §Yd&L
tü llsé qu un blasler ou une bonne vibrolame. Disposer Certains voleurs el contrebandiers estiment qu'il est utile
de l'équrpement adapté se révèle essentiel, qu'i s'ag sse de toujours avoir un passe-partout sous la main... au
de protéger une cargarson ou de la n libérer » QUând sens propre. Un passe partout digilal est un appendice
elle se trouve entre les mains d'aulrui. Les Flambeurs cyberneiique, gênéralement un doigt, équlpê de nom
cherchent loujours à meltre toutes les chances de leur breux pelits outils qui aident à déverrouiller les serrures,
côtê, ei mêrne les Pistoleros ne peuvent pas se conlenler anl pl') siques q t elee tol oues
d'un blaster pour pratiquer leur métier.
Un passe-partout digilal fournit un rang dans Ie talenl
Systèmes de sécurité (voir p. I 44 du livre de règles
AMÉUOnnrroNs d'Aux Corurrns or l'Evntnr).

cYBERNÉnQUES Modèle typique : Cybercrochets Celta Corp n Jailbreak,

La cybernétique et les membres non-organiques sont re


lativemenl courants parmi la populatton civile et respec- DÉTECTION
lueuse des lois. Ils sont toulefois encore plus répandus
chez les individus qui gagnent leur vie en marge de la loi Les contrebandiers ont gênéralement horreur des sur-
galactiqüe On ne comple plus les conlrebandiers pour pnses. lls eniretiennent une relation d'amour-haine avec
vus de prothèses, qu'il s'agisse de remplacer un membre les objels donl la raison d'être est la dêtection. Ces ma-

# perdu pendant une mission ou de prendre l'avantage sur


leurs concurrents.
chines sont très uliles pour repérer et éviier les compll-
cations imprévues. Mais d'un autre cÔtê, la plupart des
* contrebandrers souhaitent que leur présence (e[ leur car
garson illégale) restenl indêtectables.
æ§L âfu,ff-âiÂY§a.§K
Pour bien nêgocier avec ses clients, un contrebandier
t§ffi§-槧&e§ruH§
doit etre capable de connaltre la valeur marchande
d'une quanti[é faramineuse de denrées sur des dizaines, Utilisés dans les spa[ioports et ]es sites sécurisés de toute
voire des cenlaines de planètes. La plupart se contentent la galaxie, les holoscanners sont capables de repérer des
d'eslimations inluitives, mais certarns ne s'y fient pas : objets illêgaux ou dangereux sans fouiller physiquement la
l'intuilion esl beaucoup trop imprêcise. Ou'il prenne la personne ou le lieu où tls se trouvent. Crâce à un mélange
lorme d'un ceil cybernêtique ou d'une lentille implantée, de senseurs, de capteurs énergêtiques et d'imagerle holo-
l'ceil évalualeur associe scanner et outil de comparaison. graphique, ces grands scanners détectent et idenlifient à
En plus d'rdentifier rapldement ei précisément la plupart peu près n'importe quelle forme d'armes ou de produits
des marchandises, il enregislre les prix sur les planèles de contrebande Certains matériaux rares comme le cor
visitêes par son porteur, et peut alors définir les [en tosis ou un vernis d'ombrenuit peuvent tromper un holos-
dances du marchê sur Ies biens en queslion canner, mais les opêrateurs vigilants Ie savent et ouvrent
Un ceil êvaluateur fournil un $ automalique aux l'æil. ll existe des modèles de lormes et de taiiles diverses,
tests de Nêgocialion el de Syslème D donl l'objectif es[ des petits êcrans destinés à inspecler un indivtdu aux ma-
d'acheter ou de vendre un objet. chines géantes conÇues pour scanner les camions spee
ders, les conleneurs oLr même les petits cargos.
Modèles typiques : Neuro-Saac Technologies 028, CEiL
evaluateur Vol[an lnduslries 2lr Un holoscanner relire deux dês de difficullê aux tests
de Perceptron ou de Vigilance destinês à découvrir un
*ew§-r§â fiYe ærer,* ÉY§ Q §§ # objet dissimulé sur une personne, dans un conteneur ou
dans un véhicule. Un holoscanner ne peut pas eraminer
Certains contrebandiers qui ne reculent devant rien pour
un objel ou un groupe d'objets dont I'encombrement est
dissimuler une cargaison précieuse vont jusqu'à la ca-
supérieur au sien
cher à l'inlérieur de leur corps. Faire passer de l'épice
ou de petits objels en les avalant ou en les ltxant sur sot Modèles typiques : le BAS44 à usage des douanes,
esl une méthode banale, et certains individus n'hêsitent l'holoscanner Fabritech HB-2. le SecureScan I 500
pas à placer la marchandise dans des compar[iments TaggeCo., le système de scan Neuro-Saav Technologies
implantês, voire des membres cybernétiques Une cavité 1 32AtH
cvbernétique ne résiste pas à une louille poussée ou à
un holoscan, mais suffit à dêjouer une inspection rapide
ainsi que la plupart des scanners. SECURITE
Une cavité cybernétique fournit un rang dans le talent Lorsque l'on vit sur la fronlière galacliqnc, La sécurité
Compartimenl caché (voir p. 1 54 du livre de règles d'Aux constitue un souci conslant Ou'il s'agisse dc garanttr sa
CoNrrrus or l'EverneJ. Un personnage doté de cette amélio- streLé personnelle et ceLle de marchandises iLlicites, ou
ration cybernéiique peut utilrser le talenl Compartimenl de conlourner les mesures de sôcurjté prises par autrLli,
caché pour dissimuler des objets dans son propre corps. voLeurs et gardes emploienl des précaulions phys qLtes
Modèles typiques : divers et variés ou électroniques

TRUCS DE PROS
At curE olJErsrKrt lxDtscRÈTE
uEÙrstoxl xolJsâno ItaE il(
soud 30 slnÈr
sêluerJeA sêsnêrquou : senbrd^l salQpol l drueqr a1 'gArlle sroJ ou1 olQ..nês erolsêr Qltluopt uos
ouuos-rod oun,p
enb rsure luessrlue;eB 'rnêlrod uos op xro^ el oLUroJÇp
sl8rop sêp lnoq ne onbseLU np oluosord el -rorQdor lnod lê srouuels la srnasuos sep 1ednld el op lêlJO,l onuQlle
êrqLr-ro,p nealueu np dueq: ol so"rou sorqLUo,p osseLU
(OOO§ rueplulru1 uotldacre4 op tsat un rrssnQr êun êLULUol enb snld lleredde,u lr 'o^l^ arQtunl êun snos
lrop eSeuuos.red arresselQU rêr9^e,s lned rnole.tQdo,l
uj aLUQLU : rnolesrlrln uos êp ..rnolne sa:rLlrelo.rd solqQuÇl
ap anbrleLu.rolul a:uelgdurol el lo alenos a:ualgduLor
oun a.rlua gsoddo lsol un'salure:dr-ue,p anbseLr np rnol
ap duieqr un eLQu?3 luêLUêlQ^ ol 'QAtlle lse 1t,nbs-to-l
'êlel ? elel êrluoluêr êun,p srol Lnelrod rnel ep 1euÂu
Lod np reggur ês op suosrer sop e enbttlgLt-torq rauuels
oue,l ro8Qlo.ld lnod sn5uor luos sorqLlto,p xneêlueLU sal
np.lne1er9do,l lS lt np xroul np '(00§) alrrgrq no
1§ $) ueÂo6 ]sal un tuotLSSOlQU sguuotlrelLod snld ffiHffiil.-d#.# {§wHâP*Wffi
srèuuels srA (O) e;rre1 euedruo4 op no auleJ ap
lsol un € e:eL8 oseq op saluterdiua,p srnallêl sel rad « \-t1ua5 êols » 68 sè rêS ltlJlql
uro,rl lue,tnod selelrBtp saluta-tdu;a,p senbseLu sa l e lrrlql rnauqdns alper Lnod tro1-or11ol 'gZ L IC sorlrrnl
sguuotl:e1Lad snld sel sanbtrlçruotq -e5 palerrpuÂS sulol er11orgu8e141 : senbld& salQpohl
srêuupls sol lo s,inêllê1 sal LedLro"rl rnod p6y,p suo11t1 'oressêrQU rso (0 O 0 0 Ç) Iauuotldacx3
ueqlo xnel ap lualrodurol sQluele snlcl sal solQpoLu sol se1;rno8e61 ap lsal un rssnQr 'apre rnol lol€ olrgLU la
'sêgurLuJêlQpQrd no sarroleqle sa;elrBtp selurardua sap 'xner:9ds slrlno sop lretnbar erllorquEeu un,p ornrros
ê9rl lo sQlrLUQ"rlxo
xne ollol os 1r 'eptnbtl lelslil uê uU sQrl eJ ralrol luêLUêrqu-rolu3,p slutod O L uo..lt^uo rêllols
anbrLlguorq ue-ilQ lol rns s13rop sop lnoq a1 enbtldde lua,rned l;ednld el sleLLr 'oue^ ser1Jol sol 0p 0lltel el
uo,l rS Iêr:]uossa 1se se1e1t3tp selutaLdue,p anbseLu un
'alQ-nês Qllluopl ar1o,r repreS q luêLUlE.l^ zêuol sno^ tS r0Lrernp op s0qlnol sal sêllo orluê
lrun rnb rnle: anb lrol rssne uorl un lueOrl'sanbtlou8eu
§§ryj-É * i{: trë"§-tr ˧H* t4§,# § * *§wtsd sdueq:o-r:rur sap eLQuOB Lnb alettQds orn.tlos êun,p
saQdLnbg luos salrod srnel sanbtlgu8eru snolle,t ep
sêr-rlsnpul er-r,{pleqsar3 op
« MopeqS lllels » lnalerQuQB sn,unodl lo rênp.rnp op sallrnor seldt11nu ap sgsodruo:
'I xs ssoluol orqluo,p neotuen : sanbrdÂ} selQpohl luos QLllreu.r np sleuuosrad slro1-sol1Jol sinêllloLu sêl
(0000) lueplullul uogldecle6 ap lsel un lratnbe,t æffis**§§ru#wffi
êrqLUo.p neolLreLU un,p Lnolrod np slrerl sol rourolsLC
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'srsse 0ls0r « olesdaols , d-ro3Unre5 gseqd aLgo: '699
lê arluol
uêr ourl lue,re elsn[ ê.]qLUo,p neolueu-r uos alllle lnêJes -1JS sarlrrnlêS xorlo"roA orllel-oqnf : senbtdÂl solepol
lLln,l luoLUOllonlrqEH sornoLl arlenb luepued LoBLeqroL atlrgJlq sa11lno8e6l ep tsal
os lo rpror1ar lrop lr 'o"rnêLl oun,p lnoq ne,nb allel lse O0O
un lrarnbar Julno sol glrlenb êuuoq êp 1ueua1ergu93
neolueLr.r np arS"reup,p uorleLLrLl.rosuor e1 'sn1d oC lso Ir
luos gseqd êrJJol un lue8Qlord tnb snore,r sel 'saxeld
rnb.ralç,rg-r sues olr^ do.r1 raEnoq no uro dorl La:e1dqp as u.rol tuêLuollouuortdelxa ortQ sues (O C O C O ,",
sed lnod eu Lnal'lod al la 'enbrlels luêLUOArl€lot ornêuiop -uo11derx3 uolldeo;e4 ep lsol un olrssolQU lr^nolQp
al 'êL1lru es suep ?llelsur lso argo: un,nbs"lo1 .let1d sel ep
no orprol sol êp surolr q LLn Og ap snld ep s8uol slelqo p
êrnpo,tlur  sed lnad êu uo srelu 'slalqo ue sluaLUOJq
: i i r'lrc I uoste8re:i LUOlui.p slurod q riualuol lue,tnad sQseLld so.l#ol sol
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elqe;edu;or lo1lo un egrr rnb êl'rnl op rnolne orQiunl ei
sl!1no olrei1Qr Ir 'êJnUê^no,l sQp lô'lnLU al lo^e luêLt-rolQlduo-.
I oc trl sl o utsrssoE puol as ê-rJ1ol ol 'oLlliu êun suep g:e1d 1se lr,nbsLo-1 o:e1
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rns rnol q alueuuo-ilAUa o,lQrLUni Pl luêllaLUSUe"tla-l rnl:
L 0 000 r lr) alurardua,p anbsey,l xner:gds senbrldo sêrqU op srelor sop luouuêrluol qlrE
srneruqBur sal red s91ue,tur sêr1Jol se: ap sro;ed sêl nL.
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I 9rr ltl anbrlguLaqÂr Qlr,neJ arlQ luor^op senbruorl:a1g sno.uo^ se1 1a'en,t9;drut ]ue.
anb;19u;aqÂ3 nol ap erndnol ou1 Qlnullo19,1 ep sed luasodsrp eu mi
sornllnl sop lo slrorpuê sêp olsêr 1r sreu 'enbulrêlQ luES
,'..ËrrqU:, ,,r;jliit1 l!$.i,,i.i'..i*id.i,,, ..ilri.,1,.r'"n: § odurol un luer8Qlur erxe eB el op sornr.ras sap lrednld e-
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Prix t,.,:
Les truands ont besoin d'accessoires variés, banals ou
exotiques, et s'ils sont malins, ils veillent à toulours avoir mpact (dose] Ilt tfq o' 6l
........
les oulils adaptés à la tâche en cours lmpact 'l |l a lltl f li
F&WK ffi*trâ§gëB§E§Y§
[caisse de 1 00 doses] :......''..
Orruor 50 O.
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LEmpire Calactique esl un vaste élat policier où l'ab- -*-- i--'--*";- i -"*:***j''-.-"*--1
sence de document d'identiircation en règle risque d'at l9iTi"l
..^ O" I UU OOSêS- l rrt+oooi
_
3i 6i
tirer l'attention des autorilês. Toutelors, sl vous souhai- "
_,. :

tez garder votre véritable nom pour vous et que vous


êtes disposé à y mettre le prtr, vous pouvez acheter une
lausse identitê el les documents associês. Des faussaires DROGUES
et des slicers créent de lausses rêfêrences, lalsifient des Les contrebandiers lont ctrculer beaucoup d'épice, une
licences et de laux permis sur des cartes d'idenlificalion marchandise à la lois précieuse et lacile à transporter.
electroniques standard. Le résultat peut tromper les ho- La plupart des professionnels évrtent de goûter à leur
loscanners les plus sophistiqués. cargaison, surtoul si elle appartient à un Hutt ou au
Les faux documents rêsistent à la pluparl des inspec Soleil Noir, mais certains succombent à la tentalion el
rc tions superficielles, mais si l'rndividu qui se sert du scan
Ol),
ner réussit un test d'lnformatique Difficile lt

prend conscrence de l'imposture. Sans équipe.ment, ilfaut


quelques-uns deviennent dangereusement dêpendants.

EHPACT
iêussir un test de Perception lntimidant Oit0l
* Dérivé d'un extrait de la nysillim, une plante de Fêlucia,

t Modèles typiques : nombreuses variantes

§â{ëffi§ffi
l'impact est devenu rapidement très populaire parmi
les contrebandiers et autres pilotes spatiaux Lépice
de nysillim est surtoul uiilisée pour ses propriétês cu-
ratives et palliatives, mais lorsqu'elle esi concentrêe et
Un skilter est sans doute le moyen le plus rêpandu de

h tricher au sabacc ll s'agit d'une carte truquêe. Comme


toutes celles du jeu de sabacc, elle dispose d'un écran
électronique capable d'afficher n'impor[e quelle couleur
ou valeur. Contrairement aux cartes normales, il est pos-
chauffée, elle se translorme en impact, une drogue qui
exerce un effet remarquable sur les réflexes de l'utilisa-
leur. Cependant, après un moment, il subit une brusque
descente lêthargrque. En dêpil des efforts de l'Empire
pour l'interdire, la consommation d'impacl ne cesse
slble de progremmer le skjfler pour qu'il affiche la cou
leur ou la valeur désirée, gênêralement en tapant sur un de progresser.
coin de la carte. En glissant discrètement la carte dans Une dose d'impact permet à l'utilisateur d'améliorer
sa main à la place de celle fournie par le donneur, un un dê d'aptitude lors de tous les lesls basês sur l'Agilité
tricheur peut prendre l'avantage... tanl qu'il ne se fait le ternps d'une rencontre. À la fin de celle-ci, une lors
pas prendre. l'effet terminé, le personnage soullre d'un ! à tous les
Lorsqu'il joue lvoir p. 106 du livre de règles d'Aux tests basés sur l'Agilité, la Ruse et l'lntelligence pour le
Corrrrus or l'Euetnr), un personnage qui se serl d'un skil
reste de la séance
f
ter poLlr tricher gagne à ses lests de Magouilles.
*re &4wære
Modèles typiques : nombreuses varian[es.
Lor muon s'obtient en soumettant du lubriliant de

ru ffi re æ g frÂffi &&â§*


moteur à un intense bombardement de muons. Cette
sfle§hé e,§
êpice artificielle aide l'utilisateur à se concentrer tout
Pour les contrebandiers et les marchands !ndépendants, en diminuant ses inhibitions ElLe est populaire parmi
un modeste scanner de cargatson est aussi utile qu'un les conlrebandiers et autres truands qui ne survivent
blaster, voire davantage. Ces petits appareils peuvent ca que grâce à leur astuce Parmr ses effets à long terme
taloguer rapidement une cargaison el calculer sa masse, figurenl une sérieuse dégradation des connexions
son volume et ses dimensions. Si l'on y programme la neurales, la diminulion des capacites cognitives et
taille et la lorme de la cale d'un vaisseau, on peul cal même la sénilité. Mais en raison de ses qualités, l'or
culer facilement les solutions de chargement et de stoc- muon est particulièrement tentant pour de nombreux
kage les plus efficientes. contrebandiers qui ne consommenl d'ordinaire pas leur
Un personnage qui se sert cl'un scanner de cargaison marchandise.
peut effectuer un test d'lnformatique fUoyen Ç f) Une dose d'or muon permet à son uiilisateur d'ajouter
pour augmenter de l0 % la capacité d'encombrement
E à tous ses tests basês sur la Ruse ou la Présence le
d'un véhicule planétaire ou d'un vaisseau spatial doté temps d'une rencontre. À la discrétlon du MJ, l'utillsa
d'un gabarit de 5 ou plus, en rationalisant l'organlsation tion répétée de cette épice peut crêer des problèmes
de son contenu. cognitifs, imposant au personnage un ! temporaire ou
Modèle typique : Scanner de cargaison Fabritech A-1 l durable aux tesls basês sur l'lntelligence ou Ia Ruse.

TRUCS DE PROS
at culE ot Esrtox txDtscÊÈTE
lJEtttstol{l xolJ.slno lxtExll{
soud ro sfnul
00S I lLl i a8reqlrns dP a^lPA
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s3hlHl,ü 51lH : 5-Z 3lgvl
farred e1] sltpqll 009 : xlld
(eure redl I . soJlessa)9u sluaureceldul
unlne . selqlssod spo141
'atted el1er aP
slrpQrl 091 [lJ : xud sauJrs xnop loAP lequlol un,p slol aLLi..l€ 0puolos El la^e
9 : seJlesso)9u sluoueleldu:l raqlnol rnod stnber {.} ap e;quou el L ep llnpq5 sdual
unlne . salqlssod spoN ouloLU uê sauJe xnop q gnbtldde allq llop : sleJJS
'oLUre,l 'selleuuosred soluetre^ : senb!d& selQpo141
? (L +) luerqLUolul olno[v [9 êu]nos 'luaLUasro^
-uou 'L soollulll suolllunI j : o].]nol aQlrod : I Onb)rllll 'uleul 0un e
: g slg8Qp '(eprnol sêLUre) oluelstC) : artsop 0l lnolesll soLUre sop e,nb gnbrldde erlQ lnad ou lll oJ ulêpuel u0
-rln,l rs lue^rns lgord ol uolês rorll lnêd êLUlE,l : sloJJ3 Jr^ros uê,s op rnêlestltln tnel € leulad tnb er 'seure,p
êledlluud oLUl€,1 oP uouel ol
e;red eun erqrlrnbg uotlel!JlpoLU ella] lelolsld un,p
snos lu0llPlsur,s selnpoLLl sal snof el0soD sêprnol s0lll lo aurel eun,p .resodstp luelqlgLd ouuêtlue,l e snoÂo,t
-snpur sop « rêlooqselqno{ »
uolssn)lêd ? olnpol l '902x sorlne lo slue8orre salettd sutel:al lo'uleul enbeqr
uuos-Jror\ uorssnlrod/uolslodslp € olnpofAi 'e)rêz) 0p suep lalolsrd un JUasstpuelq sorololstd ep dnorneog
«rollo^ol » uorsradsrp ? olnpol^ : senb!d^} selQpol l
'IISnJ §3r§êHwddw §*s§§§
un,p no
lalolsrd un,p êllret el op saLUre sêp ?,nb qxu orlQ lnod slrp?rl OOE | [l) : x!.rd
ou lrl oJ slu€uuorssardut sloJ]o sos lê xlrd olqleJ uos ' sarlessalgu sluerueceldul
rEd SQSSaJQlur sorololsrd lo soullld ap sJnasseql sulel
f
unlne : salqlssod spo6,1
-rol rLUred lrlqnd uos Q^noJl e Il 'Qlllllqns êp ê)uêsqE [rulaw1,r ro
êlelol PS op lldgp uf oure arlne oun lns oQXu dnol sNrrNoJ xny,p se13q"r op ar^rl np l0a d g 9 e1qe1 e1 rtoit,
un q uorssnlrod ? oulle oun lso luEJqLUolu0 ll) aJ suolllunLU op lrnol q lse aule,l 'Qrrl Jlole sqLdy anbe-.
§e§§§e{ ru*§§§§,d§§ffi § 3 §§ms 1e eureqrord e] Lnod , ap sQluaur8ne luos sl939p ses
lo [ ]uoLUêroldQC lnqrLlle,l srole auSeB oure,l ollllnorq
sllpQJr 09ÿ : xIJd aun,p xr"rd ne onJloJJO,s o^le^ Pl ralltnorr0^Qp . slaJJ:l
: seJressof,gu « loqs'ouo » elrozJ eSreqrrns op o^leA : enbld& al?poh,l
[ s]uetue)eldu3
ranuguOq ua lueuenbtSol lnad tnb et8rauq € oLU-lE
oure aror ro^e onrrorjo requro,:? iJ:T::ffiffi'll':f] no ralsalq lnol rns Qllelsut orlQ lned tt>1 oJ 'Jnolelse^Qp
-ueuglddns anbrleLUolne { un alnole : salqlssod spol l rl lnês un uo suotltunLU op o^los9r es alnol re8leqlgp
(E) tÉ op rolselq un,p -tnolestltln,l q ieuLed tlrb fesne-re8uep
luêuionllrlPLUOlne zelnole 'oLUlE êllêl la^e QnllolJo leq 1a) aldLurs uorlelUrpoLU oun lso aSleqlrns op o^le^ ouil
-LUol op lsel;aturerd np s.tol 'orluolua; onbeql Q I slaJJ:l
sêllêuuos]od salueueA : senbldÂl salQpol §*HWW3&**§ §ffi §S{§W&
'aprnol no o.rQ39l nt
1t
'OluotuLUol lte,u
êluelsrp q oure otnol e qnbrldde a"rlo lned ttl al oluol au-.rQLU luele lequol un routLU-lêl lnod no'lltlol aulno-
gp e1 eurad ? luernolJJê uo uolssn)rod q oure oun no JOI uorlenlrs el puenb alelueLu?lddns e8elue,re un,p rolluÇ1.
selq un lo^e JOrJ ap leuLed êulrE,p uolle)UtpoLU ollêl gq rnod sourJe srnêl luoUtpoLU tol el s.roq sep lrednld e-
'« asno{lrnol€{11 olu3l?p » oÇlodde luoLUÇunLULUol snld
:!l5ffivrs rutsH3d aÀru3Às$ SSNUV,O 5rl»
m§ æ uwffi&§.§K §ffË §-t t §[^f L§§
§ e plus importanl poLlr un conlrebandier, resle le autres sites inaccessibles aux cargos lourds Capables
L moven de tr ansporr dont il se sert poLlr laire ctrculer d'atlerrir et de décolLer à la verticale, relativement faciles
ses marchandises rllicites, que ce soit par terre, par ait à manier sans entralnement, ces lransporteurs consli
ou à travers l'immensilê de l'espace inlerstellaire. Avec tuent Lln élémenl vilal du comrnerce galacttque, ainsi
des milliers de conslructeurs proposanI des dizaines de qu'une nécessilé pour les contrebandiers qut Iravai]lent
milliers de modèles de véhicules planétatres el de vats- dans des systèrnes et des secleurs reculês. Le Cargohop-
seaux, la galaxie ne manque pas de moyens de transpor' per 1 02 est livré avec un petil faisceau tracteur industriel
ter discrètement des biens ou des individus. pour laciliter chargements et déchargements.

AIRSPEEDERS
La zone qui sêpare le vide de l'espace de la surface d'une
planète esl très dangereuse pour Les contrebandiers.
Transporler des marchandises sur des années lumière ne Type de véhicule/Modèle : lransbordeur /
sert à rien si l'on ne peut pas couvrtr les derniers kilo Cargohopper 1 02
mètres Ou'ils servent à laciliter le translerl d'une catga Constructeur :
-IaggeCo.
æ son depuis [ou vers] l'orbite, ou qu'ils soient employés Altitude maximale : 300 kilomètres
par les forces de L'ordre dans L'espace aérten d'une pla-
Portée des senseurs : courle
nète, les airspeeders sont des engins que tout contreban-
Équipage : un pilo[e
* dler doit prendre en comple. Charge utile : 75
* Æi§ffi§Pffi ffi ffi ffi ffi ffi ffi Pg:ê*§æ64ë §Yffi â*ËP-3 *
Passagers : 0
Cottirareté : 1 4 500 créditsi3
Autrefois très lréquenis dans les cteux de Coruscanl et Emplacements disponibles : 0
d'aulres mondes du Noyau, I'airspeeder de poursu te Armes : Pelit émetteur de faisceau tracteur [portée
HSP 10 y a élé peu à peu remplacé par des modèles plt-ts courte ; arc de tir: tous ; dégâts - ; critique ; Tracteur 2)
F rêcenls. Au delà de la Bordure lntérreure, il reste arge
ment utilisé par les lorces de sécurité impériales et lo
cales Relativement rapide, le HSP-10 dispose d'une LANDSPEEDERS
purssance de feu suffisante pour alfronter 1a plupart des
Principaux moyens de lransporl sur la plupart des pla-
criminels. e[ nolammenl d'un canon ionique monté à nètes de la galaxie, les landspeeders et les autres englns
l'avant pour neutraliser les véhicules de suspects en fuile.
à répulsron de basse altitude remplissent de très nom
Lors des incidents nécessitant un soutien aérten rappro-
breux rôles dans le commerce el la vie quotidienne. Des
ché, les forces de sécurité patrouillenl souvent aulour swoops à haule performance aux lenis camions de livrai-
des spatioports à bord de ces airspeeders.
son, les appareils d'rnnombrables marques sont pilotés
par d'honnêtes gens... ou des bourlingueurs douteur.

F§Yffi§ffiËæ§L ë **æ=XT-#
Linhabiluelle conception hybride de l'Hyperfoil 1 000
XTC marie la propulsion à répulsion et celle à coussin d'air
Type de véhicule/Modèle : airspeeder/HSP- 1 0 d'un hovercraft. Capable de décoller et de se poser à la
Constructeur : Dromor Motors vertrcale, l'Hyperfoil peut alteindre une altiiude relative
Altitude maximale : 100 kilomèlres ment élevêe pour un landspeeder. Ses points forts sont
Portée des senseurs : courte ses pLrissants rnoteurs, sa maniabilité et sa vaste cale.
Équipage : un pilole
Chargeutile:12
Passagers : 2
Coût/rareté : 40 000 crêdits/6
Emplacements disponibles : 1

Armes : Canons blasters jumelês avant [porlée proche ;

arc de tir: avant;dégâls 4 ;critique 4 ;Jumelés 1), Type de véhicule/Modèle : Landspeeder I 1 000 XTC

Canon ionrque léger avant [portée proche ; arc de tir :


Constructeur : Tion lnduslries
avant , dêgâts 5 ; critique 4 ; lonique) Altitude maximale : 50 mètres
Portée des senseurs : courte
Équipage : un prlote
#reffi §#ffi Yeffi &€Çæ. Charge utile : 25
"æ.eru§ffi üeffi&æ§*ffippffiR §*§ Passagers : 2
Le Cargohopper 102 est repandu dans toule la galaxie. Cott/rareté : 7 000 crêdils/S
Ce pelil airspeeder est conÇu pour transférer des carga - Emplacements disponibles : 5
sons depuis [et jusqu'àJ des spatioports secondaires et Armes : aucune

TRUCS DE PROS

æ AT'CUTE OIJE]sTIOI{ IXDISCRETE


ErEd)s|of,! NolJ.sE(E lilrE nll
50ud ro slnu-L
IL rno])P{
: anbrlrrr : sl93Qp : ê.1QllE : ll ap 31s : aq:oLd
eQlodl rnêllerl nEOlsteJ ep te391 lnolrelo.td : sol.uJv
[1 enbrlur:7 s1g39p: sno] : rLl ap lre: aqrold Uel oprs un lê^e ;) 6 : selqluodsrp sluaurereldrul
êOlrodl ollêrnol rns Oluotu re391 ralselq uoueJ : seulv 9/(rel oprs un rê^e 69g 6) sltpqt: 000 a : glorer/}Uof,
g : salqtuodslp slueuareldurl [rer-ePrs un ]a^e 6) 1 : sreâesse6
E/strporl 00E B : glorerêlof (rel opls un lo^e E L) I : ollln e3;eq3
; : s're8esse6 a1oltd un : eÊedlnbE
ZL:alllna8leq3 aqrord : srnêsuas sep oguod
rnolltlrP un 'e1o1rd un : e3edlnbl sollQul E L : aleulxetu opnllllv
eqrold : sJnesuos sap eguod oupv se)l : Jnêl)nJlsuoS
sOrlQLU z : aleurxetu opnllllv l,ueqLelgTdooMS : alQpol l/oln)!qg^ ep adÂ1
oupv sell : rnol)nJlsuoJ
xz rêuuniuns/-lopoadspuEl : olQpol^ielnllqgn ep edÂ1
(gi \w,) PgelÆl
(#){W1 ,TÉEET
0 0 'lrodsuerl op Qlrrede: es luelne.p alueru8ne tnb
ol'neauler:l oslndgr un rorlruop lned:lo orQllle,l € rnol
nol ap -lerl neols r?J ap rnelte[o-rd ]rled un,p eglop luarueipSg
a)uessrnd ep lueLuglddns un IUOlqo,p xnorlsgp spuenll lso o)jrq repaeds ollal soslpueqlreul sêp no -re8essed
sorln€ lê srorpueqoJluor sap sqrdne,nb tsute oltlod op un ralrodsuerl op lelured tnl tnb a: lel opts un,p gdtnbp
solroJ solrlêd se1 rLured o]lelndod luop alsoJ la ÇqlreLU arlQ lned lr : ollênllqeuur anbtlstrgl:e.tel oun e IÀ'\eqlels
uoq lsê lr sreLU'luêpnoq e1 artdLu3,l op sêQlr-trE salloJ al lednLd e1 anb lneq sutoul oluoLu lt,s oLUOLU 'sdoo,us
sêl soJr€lilrui sel Led gÂo1d9p louQlsLr ol ILUred luoLlloJ sop euo391er e1 suep 1g1n1d ossell ol rnolouJ luesstnd uos
'eJ sQrl êrn3u lr 'eruenbgsuor uf ollleleq op dLUeq) un srelr'êfrq Lapeads oun oLUtllol QlQptsuot luauanbtuqlal
rns rnorellQ,p anb asoqr êrlnE,p "tt,ues rnod QLUre no lso OlQpoll-r 0f Qu)eLU uoq luêtuo^llelêr « llell êp leLU
Opullq luoLULLresglns sed lso,u lt 'luEpuade3 uteqrn 1eq rue » un -rarn:ord ês luoJSQp tnb snpl,ttpuLsal le eluesstnd
LUOI Op olnlrLlQ^ uoq un lsa lloredde lêl'alq€l^naJUeul elrq rapaads aun luaqlJOUl tnb xnel stol el € :luoslnpgs
lo llEduroJ o.rnouQlxf l0 0uatpQr\ s0rnp.toB sap sa"r Lel sIMeUrpls sol 'salqeU 1a senbtlsnp Qllp!Llnq,p srnale^llln)
gueld QlunrÇs êp solloJ sollnP lê sartltu.r sop sqldne no spueqlreu 's8ueB 'sratpueqo.lluol : lrês uê,s 0puoLU
93r1ru sqr:ns un,nb glrodLlar e,u XZ rouunJUnS ol '0u ol tnol arxeleS el elnol suep ole ndod lsa oupv-sell,p
-pv-se)il red lrnpord 00pullq ê:]uelle^
lrAD rauunJUns np IÀleurels elrq repeods e1'egrno"ldq uotldetuo: oun,6
Hë ffi æ r€ &é flê# ffi ê'ê§ &ë 槧*§ffi rdw§ }*#"W$€ffiffi-§ HF§ * ffi ffi reffi §§dS
NOUVEAUX
VAI§§§AUX
[lour ceur qui sil onnenl ]es roules spatiales en es-
I- sayant cie truander a lor au risque d'un désastre
imminent, disposer d'un vaisseau rapide et sûr s'avère
indispensable. Les constructeurs proposent des milliers
de modèles, des engins personnalisables de Corellia aux
solides machines de Kuat, en passant par les fiables ap-
parei'. de Rerdi i

CHASSEURS ET
PATROUILLEURS
Les contrebandiers n'onI pas l'usage de ces vaisseaux
à la cale trop petite, mais es patroutlleurs eL les chas-
seurs reslent importants pour tous ceux qui vivent aux
conllns de la galaxie:iL faut savoir les éviter ou aller
plJS ÿ Ie OU êLX.

Ç#"ru#EU F* âfl Er.€ #" &S§&LBT #tr {Legffi g


.&àtrSSÆ Kffi-§ cq SY&ffi W§ffiffi§ Pa Canons ioniques monlés à I'avant (portée proche ; arc
Conçue par Cygnus Spaceworks, la canonnière d'assaut de tir : avant ; dégâts 5 ; critique 4 ; lonique. Jumelés 1 )
de classe Alpha XC- 1 est un chasseur polyvalenl. Elle ex- Lance mrssiles à concussion montês à l'avant (por-
celle dans Les atlaques spatiales et planétatres, les mis- tée courle; arc de lir: avant; dégâts 6; critique 3;
sions d'rnterdiction, les reconnaissances et les patrouilles Brèche 4, Cadence lente l, Jumelês l, Munitions lrmi
à longue porlée. Contrairement à la série TlE, plus répan lée 1 6, Projectile guidé 5, Soulfle 4)
due, la classe Alpha dispose d'un blindage lourd, de bou-
cliers déllecteurs et d'un hyperdrive. Tout cela a un cout Fffi #&éê§f ffi ffi§ æiiaid&-àd f Ë : r,S î-Ë.s :,&L§§
en termes de vitesse et de maniabilité, ce qui lirni[e son
eflrcacilé en combat rapproché. Lourdement armê, le Ce valsseau a été pensê comme une frégate, mais les
Star Wings est de taille à aflronter la plupart des me Douanes lmpénales l'utilisent comme un gros patrouil-
naces, les neulraiisant avec ses canons tontques pour Les leur Son rôle principal consisle à surveiller les roules
rendre vulnérables aux lroupes d'abordage, ou les pulvé- spatiales et les spatroports de l'Empire. Correctemenl
risant avec ses lasers ou ses missiles à concussion Les blindé el armé, rl peuI aflronler la plupart des plrales et
Siar Wings sont surtout utilisês par la Marine lmpériale, des conlreilandrers qu'il est susceptible de renconlrer.
mais on comrnence à les rencontrer au sein des Doltanes Les frégates des Douanes sonl gênéralemenl comman
lmpériales et de certaines lorces de défense planétaire. dées par un inspecteur des Douanes fvoir p. 597 du livre
de règles d'Aux Corrrrrrvs oe l'ErraRtnrJ, accompagné d'un
pilole, d'un rngénieur, d'un officier de communicalions el
d'un détachemenl de soldats. Ces vatsseaux opèrenl
seuls ou par deux, mais il arrive qu'ils servenl de soutien
à des corveltes égères, plus grosses, apparlenant au But
reau des Douanes Impériales fvoir page 74 pour plus
Type de coque/Classe : canonnière d'assauli d'informationsJ. Les pirales qui parviennent à meltre la
Classe-Alpha main sur une frégale des Douanes lmpériales s'en servent
Constructeur : Cygnus Astronauttque souvent pour arreter el caplurer cargos et transporls
Hyperdrive : primaire [classe 5), de secours [aucune) sans même ouvrrr le feu.
Naviordinateur : our
Portée des senseurs : coLirte
Équipage : r-rn prlote
Charge utile : 8
Passagers : 0
Provisions : trois jours
Coût/rareté : 1 55 000 crédits (l)/7 Type de coque/Classe : palrouilleur/lrégate des douanes
Emplacements disponibles : 2 Constructeur : Rendili StarDrive
Armes : Canons lasers moyens montés à , âvê'.rr lpo HYPerdrive : Pt'naire [cLasse 2), de secours (classe 1 5)
tée proche; arc de tir: avant; dêgâts 6 critique 5, Naviordinateur:oui
Jumelês 1) Portée des senseurs : moyenne

+ TRUCS DE PROS
AlrcUilE q,E]sïrox ImlsltrPÈIE
09 : ellln eS;eriX
e,r,teu/erorrdor' rn'lrnprn*rorrrrii,']t',i',1",: :§i;1Ë
allnol : srnosues sep e?1roà
rno : lnoleulpJo!^eN
(6 1 assel:) srnolês ap '[1 assel:) arteLut,td : anl.lpladÂg
leny 0p sle^eN srallueql : lnol)nllsuo)
loleLU llac
sluspuêd9pul spueqllELU sal la slalpueqarluol sêl 6, l1/lnesse,p neêssle^ : assel3Tenboc ap adÂ1
rujred uorsello,l ap Qql.leLU al lns alA allê^nou aun 9^noll
e 0oçlnM ol sreul 'oolQrre 919 e uoll)npo]d es lBn)
ap slP^eN srêrluellJ sêl 1o qnns0.,los red nuolgp 'Oxnl ap
slLlle^ sop oL{l,.leul np lled aun Jêlllel os q lssngJ sed e,u
lê 'ualllalol rnaJ)os np sJoq êrlelndod sQJl Ql9 slPLUeI e,u
'lueAP,l
lr 'olqESrleuuosJOd sQ.ll la êplde.l llos ll,nb ualE
? êssPdgp Inb Orlua) lldllol un loAB'adnolnos êp
aLurol ua ênbor êun,p asodslp 009 cnM 0l '009 t1^.1
anb lrtad snld I alr?s olssnQr sQ.ll el ap luêtira8rel o^lr
-Op lerleds lllre^ al op uolldoluo) el ouuêlllarol enblu
-Lllol uorlerodrolr el ap srê8?l soSlel op ou.ruleS olqel
-Qprsuo) el ralQldLUol ? oullsop llelo êxnl êp ne0ssle^'ol
oos-onm frf lvlrvds LHlv ,ffiT*,*ffi
. Ielt^ ulosêq un lsê olQpoLU uoq al
rê^no{ srnolês ap onssl olnas es slo]lPd lo uled êu3e3 I
uos 'uosrslx es sloj el q lso neassle^ uos 'luepuod?pul'
aurelrdel un rnod xneSglll sluaLUaaleql slnol Jalrod iliü:ffï":ffitre,odsual.o"".",";
-suerl snld luêrerJnod ou srêrilueqalluol sol la ller0l0.] '
-ie,s anbrlleleB arrauur-uot ol 'slJodsue.ll tu soBLer sue5 I
sruodsNvur rr soguTr:l ,;i;7;';,,";::B:'li.'ii,,'l,'i,ili';'l§;,:.'ü;'o1 t
' (9 enbtltll : 9 s1939P : Proqlrl
(ÿ ag11no5 '9 gprnD'olrlrêtor; 'g6 sa91 . no proqeq'no arQllle no JUEA?. rll Ap )le: ellnol oQl
rurl suorlrunA 'l sgloLUnf 'l Olual êruapel 'ÿ qqlor8 rod) proqul ? un ta ploqeq ? un rêlQure,l e sarlne xnap
: g anbrlur: g sle8op': lus^e:.rtl ap lre: afno: eolrod) 'luene,l q sgluoLu sprhl sresel suouel xnac : saulv
lue^e,l q sÇluoLu sglaunl uotssnluol q sêltsstLU-êluel 6 : selqluodslp sluewereldurS .
/
(; sil9l4 '9 glêuln[ : 9 anbtltrr : I s1939p . 9/(l) slrpQrl OOO 0, | : alaJer/I0of,
: snol : Il op lre I eqrord aollod) sa1;èlnol.lns s?luoul . sroul slolJ : suotsl^oJd
xnap snol lerlua^'un la lEslop raSel-penb un : setulv 91:s;a8esse6.
' t': salqluodslp sluauete;dug
' sues) O, t : al!1n e8.req1
' [sra8essed .
q/stlpg]l 000 09 t : 9leter/luof sauenop sap slueBe x.nap 'slnalllll€
stoLu un : suols!^oJd xrs'suorlelrunuLuoj ep JOlllJlo un'lnatug8ut un'aloltd
9 : sleâesse6 un 'aurellderTsoueno6 sa'p jàalredsur un : e8edlnti3
*&ffi** §-*âeffiffi æffi cLÆs§ffi sre#&s#§sv et bien armê. Il a juste trouvé son public trop tard pour
Produit par une coentrepnse entre la vênêrable Rendi- sauver son constructeur. Ses soutes sont moins vastes
que celles d'autres cargos légers, mais sa vilesse, sa ma
li StarDrive et Surron StarTech, le cargo lêger de classe
niabilité, son excellent armement de série et sa facililé
Starlight esl un hybride entre les conceptions et les tech-
nologies humaines et surroniennes. Les habltants insec d'entrelien compensent amplement celte laiblesse
toides de Surronia sonI renommés pour leurs vaisseaux
spatiaux innovants, mais pour avoir un impact sur les
marchés galactiques, il leur manquait des compétences
de vente el de markeling. Un partenariat avec Rendili
semblait donc destiné à êlre mutuellement bénêfique.
Cependant, dès le déparl, le projet a été perturbé
par des divergences majeures dans sa philosophie de Type de coque/Classe : cargo / Nova Couner YKL 37R
conception. Au boul du compte, les Storlight furent le Constructeur : Chantiers Navals Callofree
seul modèle produit par l'Union Rendili-Surron. Hyperdrive : primaire (classe 2), de secours (classe 1 2)
Néanmoins, la version finale de la classe Starlight est Naviordinateur : oui
un cargo unique qui a remporlé un certain succès. Sa Portée des senseurs : courte
grande aile projetée vers l'avant, son cockpit inspiré des Équipage : un pilote, un copiiote/ingénleur
modèles corelliens el sa coque cylindrique à tribord lui Charge utile : 100

F conlèrent une silhouette caractêristique, impossible


conlondre avec celles des autres vaisseaux qui sillonnent
les routes stellaires Une platelorme de chargement do
tée d'un mécanisme de répulseurs sophistiqué amêliore
à Passagers : 6
Provisions : deur mois
Coût/rareté : I 30 000 6
Emplacements disponibles : 5
rÜ el accélère l'embarquement et le dêchargement de la Armes : Canons lasers moyens dorsaux et ventraux
cargaison. Sa cale est vaste, mais les matêriaux de mê- montés sur tourelle lportée proche ; arc de tir:tous;
* diocre qualité employês par Rendili pour diminuer les dêgâts6;critlque3)
coûts ont eu pour conséquence une fragilité relative de Un lance-missiles à concussion à l'avant et un à l'ar
sa structure, ce qui Iimite 1e poids des marchandises qu'il rière (portée courle;arc de tir:avant ou arnère;dé

t peut transporler. En dépit de leurs laiblesses, les Sfor-


light ant trouvé une niche de marché parmi les mar-
chands indépendants et les contrebandjers
gâts 6 ; critique 3 ; Brèche 4, Cadence lente 1, Munitions
limilées 6, Projeclile Cuidé 5, Souffle 4)

§.effi*YË#& #x'$
lmaginé par Lantillran ShipWrights comme un vaisseau
de plaisance abordable mais luxueux, le CXi esl facile
à converlir en caboteur: il suffit de retirer la plupart des
callines et des amênagemenls pour agrandir sa soute.
Type de coque/Classe : cargoi'Classe Starlight Le CX1 ne s'est pas aussi bien vendu que prévu, mais sa
Constructeur : Union Rendili Surron construction solide et sa fiabilité Ie rendent attrayant
Hyperdrive : primaire (classe 2), de secours (classe 1 5l pour les marchands indépendants et les contrebandiers
Naviordinateur : our qui ne drsposent pas d'un gros budget. ll est équipé de
Portée des senseurs : courle boucliers et d'un armement convenable, mais lorsqu'ils
Équipage : un pilote, un coprloteinavigaleur vivent sur la lrontière, ses propriétaires décident sou
Charge utile : 85 vent d'améliorer son armement pour mieux se défendre
Passagers : 6 lace aux pirates et aux autres dangers.
Provisions : un mois
Coût/rareté : 69 995 crédrtsi5
Emplacements disponibles : 4
Armes : Canons lasers moyens monlês sur lourelle (por-
tée proche;arc de tir:loLls;dégâls 6;crrtrque 3l

fl##ffi ffi§ffi æ ruæwée Y§€L"§?ffi I


Type de coque/Classe : cargo / Caboteur CX1
Dernier vaisseau produit par les Chantiers Navais Cal Constructeur : Lantrlian ShipWrights
lofree avanl leur fermeture, la production du Courrier Hyperdrive : primaire (classe 2), de secours (classe 1 2)
Nova YKL-37R était l'ultime tenlative pour sauver Llne Naviordinateur : oui
entreprise mal en point. Conçus pour concurrencer la Portée des senseurs: courte
gamme de cargos légers de Ia Corporation Technique Co- Équipage : un pilote, un copilote/ingênieur, cleux
rellienne, les Courriers Nova se sont mal vendus avant la stewa rds/ma nute ntionnaires
faillite de leur construcleur Les banques qui ont gérê la Charge utile : 200
liquidation de ses actils ont alors mis ses considerables Passagers : 6
slocks aux enchères à des prix cassés. Beaucoup d'appa- Provisions : un mois
reils ont lini entre les mains de marchands indêpendants, Cott/rareté : 85 000 créditsiS
de contrebandiers ou de pirates. Contrairemenl à cer Emplacements disponibles : 5
lains modèles précêdents de Callolree qui souffraient de Armes : Canon laser lourd monté sur tourelle dorsale
nombreux problèmes, le Courrier Nova est à la fois fiable lportée courte; arc de tir: tous; dégâts 6 , cntique 3)

ÏRUCS DE PROS
AT'CT'ilE OI'E]STIOT IXDISCRÈTE

__l
ErE.êËr§oxr xous:rp ilExnr
50ud 30 slnul-
1.,
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(1 e1uel oluêpe] a aLllQ.lB , 9 rÂ,b,lrr., G s-le8op
: proqul lo proqeq 'arQtrrB no ploqlrl la ploqgq lue^e
: rrJ
ap lre I auuaÂou-r eolod) êrQtrre,l q ]a lue^s,t e salqel
lerlgr sraS?l sraseloqrnt no [9 enbrlrrl:9 s1?3?p: p"roq
ul lê proqeq 'orQllre no ploqlJl la ploqqq 'luP^e : rrl
êp lre :'aqrord ealLodl alQuJP,l ? la luele,l e sêlqBllerl
-Qr sallaJnol .rns soJUour sueÂour sJaselsuoueJ : sauJv
I : salqluodslp sluaruare;du3
, g/sllpQr) 000 91a : alaiel/luoJ
, srou-r xnop : suols!^oJd
65 : s;atesse6
0O0g:e;11naâleq3
a8ed r nbg,p sauuroLl/sr nol I tlrP
xnap lnaruOBurTalolrdot un 'eloltd un : etedlnbl
alrnol: sJnesuas sap a9uod
rno : rnaleulpro!^eN
[E 1 asselr) srno]os op '[Z asseJ]) ortei-ut,td : anllp.redÂfi
srapead5 pue sdoontg lenbqo6 :.lnal)nllsuoJ
y11,117podsuerl : assell/enbor ap edÂ1
'sarrelgudord srnal
ap sl!oB xne sgldepe 'gtrlenb alneq ap sluaua8eupure,p.
lê asnanxnl-eJlln aurolur êrnllêlrql".re aun,p luesodstp
Snof « 5313.11 » SQS Onb OLu.roJ aLUOUT 3l la alllel OulQur
e1 oitow ossoLî e rnb aprder 1e ug lqte un 1se lrered
-de anbeq3 rnalêLlle,l êp sltsqnos sap uotlluol u0 suotl
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lrodsuerl un oLUulol glQptsuol lu0LuêllallU sa1 aldarre,u opneg uou luale8 eu uotllnllsuol Jnal
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alprlU 'arrdug,l ap grSqlrar.rd sareJJe,p e;teuaJ;ed un
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lse 'o3e33e1 errelndod o8re: un lso l lAI a-l S-0rPIl al sa1 rured sarelndod sQ.tl luos s11 senbtun lle,p sêr^næ
êurLUol srneslndgr q slauuostad solnltLiO^ sas;nod nuuol sap lues opnDq assee ap xnetleds slqre sal snol 'op
lqlnJd lse 'anbrpur,l LLtou uos. êuJulol 'tnb stepead5 pue neE lopuot^l ?ûuou alenby un 'anbtlluelxa snllor un,p
sdoon5 lanbqol^ red ltnpord lse uaÂout lLodsuerl al lerleds rerlueqr lrlad el red apueLUu,tol tns sQnbtlqel
rr nbgoht NSAoht ruodsNlrür oonvs fs$nf 30'rvlrvds rHfv
Yffi&ruSffi#ffiy effie*â* ffi§ ffi§-&s§ffi ###Æ#r§ Ëseffiffi# §-**ffiffiffi
Les croiseurs de classe Cozanti ont été bâtis autour des §ffi ffi ffi Lt*sffiÂfl tr ffiYessFdffi ffi*ë
concepts de « so idilé, et de « puissance de leu » plutôt Produlte par CorelliSpace, une sociêté privêe disposant
que de u vitesse »ou de « soules spacieuses ». Ces trans- de londs importants et désireuse de concurrencer la
ports sont conÇus poLtr escorter des porte-conteneurs géante CTC, la série de cargos )égers Cgrnsnor a rencon
non arrnés ou assurer la délense de convois de cargos tré un succès honorable. Ses ventes ne sont jamais par-
contrc les pirates. lls ont été introduits sur 1e marchê par venues à rivaliser avec celles de la séne YT. mais le
la Corporation Technique Corellrenne il y a près d'un de Cgmsnor-3 lui a permis de s'approprier un petit bout du
mr-siècle, mais )'enlreprise a généralemenl sous tra té
marché. Sensiblement dilférent des modèles de la CTC,
leur conslruction auprès de chantiers spatiaux plus pe-
le Cymsnor-3 esl un Iong vaisseau segmenté, muni d'un
tits, no[amrnenl Callofree ]ntenlionnellement trop lents poste de pilotage relié au moteur el à une vaste soule
pour être employés par les pirates, Ies croiseurs Cozanti
pâr" ur.r « cou » étrort En cas d'urgence, le cockpit peut se
sont généralemenl utilisés par les entreprises ou es indi
détacher du resle du vaisseau. Parlait pour transporter
vidus désireux de lransporter des passagers importants
des marchandises, l'engin souffre d'une manceuvrabilite
ou des marchandises de valeur.
méd jocre el d'un large angle morl à l'arrière.

Type de coque/Classe : transport arméiCozanti


Type de coque/Classe : cargo/Cymsnor 5
Constructeurs : Chanliers Navals Callolree et la Corpo,
ration Technique Corellienne. Constructeur : CorelliSpace
Hyperdrive : primarre [classe 3), de secours [classe 1 2J Hyperdrive : primaire (classe 2), de secours [classe 1 5]
Naviordinateur : oui Naviordinateur : oui
Portée des senseurs : lonsue Portée des senseurs : courte
Équipage : un pilote, un copllote/ingénieur
Équipage : un pilote, ,, .o[ilot., un ingénieur, un opera Chargeutile:160
leur communications/senseurs, deux quartiers-maÎlres,
six artilleurs Passagers : 4
Chargeutile:1000 Provisions : un mois
Passagers : 1 2 Cott/rareté : B0 000 crêdits/6
Provisions : un mois Emplacements disponibles : 4.
€oût/rareté: 200 000 créditsi6 Armes : Canon laser moyen sur tourelle [porlée proche ;

Emplacements disponibles : 4 arc de tir . avant, bâbord et tribord ; dêgâts 6 ; critique 3J


Armes : Un quad-laser dorsal el un venlral monlês sur RÈGLEs ADDITIoNNELLES
toureiles rêtractables [portée proche;arc de tir:lous;
dégâts 5 ; critique 3 ; Jumelés 3, Precis 1) Cockpit modulaire . au prlx d'une action, le pilote
peul déiacher le cockpit el abandonner le reste de l'ap-
Deux canons iaser lourds jumelés et rêtractables à pareil. Le Cabarit du vaisseau passe à 2 et sa Charge
bâbord et tribord lportée courte; arc de lir: bâbord or_r
utile tombe à 10 Tout ce qui se trouve dans la partie
tribord ; dégâts 6 ; critique 5 ; Jumelés 1)
laissée sur place (y compris des systèmes et des kits)
Lance torpilles à protons à l'avant [porlée courte ; arc est abardorne.
de tir : avant ; dêgâts 8 ; critique 2 ; Brèche 6, Cadence
lente I , Munitions limitées 6, Projectile guidé 2, Soullle 6l

TRUCS DE PROS
AUCr,ilE ot,EsTIoT ITDISGRÈTE
ll.E'êrlslotl Xo|r.s:flo ilExilr
soÈd 30 sfnHJ-
'QUUopuBqe lsa (slr>1 sêp 10 sêLUQlsÂs sep strduor Â)
a:e1d.rns agssrel et1:ed el suep alnoll os tnb erlnol 0L E
0unlne : satulv aqLUol olrln aBLeqS es lo f e essed neasste^ np llreq?D 3l
q : selqtuodstp sluerueceldru3 lreredde,l ap olsor al lauuopueqe te ltdlror ol roLllel9p
6;r(11 slrPçL: 000 0Z L : glerer/l0of lnad alolrd êl 'uotlle eun,p xtrd ne : orlelnpotu 1ldrlcof
stoLL.l
xts : suols!^o.ld s3llSNNOIllOOV 5319!U
Y : s.raâesse4
OOI : alrln a8leq3 [9 enbr]ur :9 slg8qp: snol: rll ap rre: aqlord
rnaleEr,reuialolrdor un 'a1o1rd un : aBedtnbl eQlLod) olornoi lns gluouJ ueÂoLu "lesel uoue3 : sauJv
slrnol : sJnesuos sap eguod E : selqruodsrP slueuereldul
rno : rnaleulplo!^eN g/slrporl 000 96 : ?larPr/luof
ler assellJ srnolos op 'Il ossel]) orteLUL,ld : entlp;edÂg sloul un : suolsl^oJd
ouuor llê-rol en bruq:ag uorletodto3 : lnol)nllsuo3 9 : sle8esse4
000 L-yMHio8rel : essel)/anbor ap edÂ1 OgL:alltne8reqS
LnatugButTeloltdol un 'alolrd un : e8ed;nb3
êllnol : sJnasuos sap o?uod
rno : rnaleulplo!^eN
[g | êssel]) srnolês ap '(6 esselr) erteruud : elt.tp;adÂg
eced5t11e;o3 : lnelf, nllsuoJ
y-rousuÂ37o3r€l : assel)/onbol ep adÂ1
'sJ0rpueq0rluol 0p
no slnouuorllollol op suteLU sol aJluê IUU luo so8let sal
ap irednld el ornouQlx: oJnplo€ el êp xneosgr sr0Alp
er^ salQpou.l sal npua^ luou-têlQrlstp e 313 'salrad sas
;esuaduro: rno6 6-pre1Âe;1,p a8eluout op sêuleLll sol
Lns sedÂlolord ap soureluol srnatsnld ep uotleltrq€J el ?
lrnpuol e enbrler:nea;nq e8ellrnoler un stELU 'uotlrnpoLd renoLdde,l q aluepual luo
uê luourollonlJJo grtua sreute[ 1se,u O00l )jMH ol s]nas un luapqssod ua tnb spueq:leLU sol 1a seloltd sal sleLU
seql surelro) enb eprder tssne o3:el un,p ?qlreLU al Jns 'uorllarol aredsa,l op sroLlap uo alQpoul at ap sut8uo,p
êsrLU el sed luare,rno,rdde,u tnb 'sa1etL9du.tt s?ltlolne sap ned e,tnorl uO llf el rêtuo.tlnluo: ap ered5t;1a,loJ ap
suorlrolqo sel lue^op lelord el ]uorQuuopueqe uorlelod o^Qi np se13 a1 guuos e laqr9 uo5 sra8ql so8re: sap 9ql
-rol el êp soJpPl sêl sreLU '06r-)MH np rnossêllns alqls reLU ol .rns lrlerqruBrs lredut un ne sed e,u 1-toustuÂ3 a1
-sod ar "rnod srnelleuroLd luetelg gl.llreLLr êp sapnlg s0p 'srnessergpg'rd sas ? lroddeL red saluelLodLUt suolJeloll
la olueLUroJJOd ep stsal sop slpllnsQr sol 00Ol )MH -9rue srnarsn;d êp lld?p u: sêlneuorJeds sap i.ledn1d e1
auQS êp orQLUnu np s9lop sedÂlolord srnetsnld lues c QddeLl:? sed e,u rnb 1te19p un'1touÂtu un,p êllênoLlils
-rnrlsuor ')MH êuQS el Jolnsnssêr tnod sueld sap essaJp ?l auuop rnl lredse lol ltollg nol un ted sdLol ne gqr
313 'anbruor uorslndoLd el ep sQl8otd se1 ted gSeLnor el:le (suorsra,t seluepQrQrd sal Jns oLUuot 'ot^lns op alns
-uf êssolrl êp so^QJ srnal Jt€JO)nexe tnb aug êllanoLllts der ap lr,ues lue,rnod tê alqeLl)el9pJ ltdlror un.p olunLrl
el ? eprder lrodsuerl un,p oQpl,l QUUopueqe steuuel 1uo,u olueloA alre aun,p oLLuoJ el lueldope uo sluepQlo;d salQp
ouuarllêroJ enbruqrel uorlelodto3 e1 ap stnelderuor -ouJ sol la,re ldruo.t 11 a:edgtl1eLo3 ep soÊLer ap au;ueB
sol sreLU ')MH orrQS e1 ap 1e391 soBLer sep salua,t el ap alQpour roru.top 1a eurqtLlenb ol QIQ 3 y-rousuÂ3 e-]
sal Jê]quos lrel e sauol] sap Orlon) el ap lnq9p 0-l #-æ # re § â.qé** #3w* § *Tr ë tr #*
üüÉr-?Ëffi+{ }â} &BSBT ü§SW} æ§*æT **æW§
c"e*&# u*æsæ YY-**** c)asse lnterdicfor. Bases sur les crolseurs loLlrds de classe
Prévu pour représenter le couronnement de la sêrie YT, Vindicotor, ces grands vaisseaux en forme de pointe de
l'YT2000 est, en tout état de cause, un cargo lêger im- flèche ressemblent au premier coup d'cetl aux puissants
pressionnant ll conserve la forme de soucoupe et les destroyers stellaires lmpériaux, mais ils rempltssenl un
puissants rnoteurs Cyrodyne des modèles précédents rôle très spécrlrque. En projetant dans l'espace local une
ainsi que leur cockpit centré, ce qui lui donne une allure ombre de gravitê, êgalement connue sous le nom de
symétrique. Lyl2000 es[ mieux armé, plus « puils gravifique » ou de « champ d'interdiction », les
manceuvrable, et dispose d'une soute plus vaste que ses croiseurs lnterdictor simulent 1a présence d'un corps cé
préd.Âcesseurs Malheureusement pour la Corporation leste massif. Cela empêche les vatsseaux pris dans le
Technique Corelllenne, une opération d'espionnage in- champ d'entrer dans l'hyperespace et attire dans l'es-
dustriel a fait tomber les plans de l'apparetl entre les pace normal les vaisseaux qui s'y trouvent. Les croiseurs
mains de la concurrence. CTC a donc décidé de lancer la lnterdictor apparliennent à la Marine Impêriale, mais ils
productron de l'Yl-2000 avanl d'avoir pu rêsoudre tous patrouillent souvent sur les roules commerciales, neutra-
ses problèmes d'avionique el d'intégration des compo lisant les contrebandiers qui tentent de prendre les auto
sants. Du coup, ce cargo se monlre plus capricieux que rités de vitesse.
les autres YT, et ies mécaniciens el ingénieurs chargés de
son entretien onl tendance à s'arracher les cheveux.
l\4algré tout, le vaisseau a élê bren accueilli par le public

# et ce modèle s'esl bien vendu avanI que CTC n'en arrête


la fabrication au prolit de I'YT2400, dont les plans ont
élé précieusement conservês sous clê jusqu'à ce qu'il
soit au poinl. Type de coqueiClasse : croiseur lourdiClasse lnterdictor
* Constructeur : Syslètres de I olte Srenar
Hyperdrive : primatre (classe 2), de secours (classe 1 2)
* Naviordinateur : oui
Portée des senseurs : longne
Équipage : 2 BO / o rr in . pi o'"r eL hon Tne< o êqJ pagÊ

p Type de coque/Classe : cargo/YT-2000


Constructeur : Corporation Technique Corellienne
Chasseurs: 24
Chargeutile:6500
Passagers : B0 soldals
Hyperdrive : primaire (classe 2J, de secours (classe 12) Provisions : seize mois
Naviordinateur : oui Coût/rareté : 1 5 400 000 crédits (ll/B
Portée des senseurs : courte Emplacements disponibles : 0
Équipage : un pilote, un copilote/ingénieur Armes : Toure les quad laser, ctnq dorsales, ctnq ven-
Chargeutile:170 trales, quatre à bâbord, quatre à tribord el dcux à
Passagers : 7 l'arrière [porlée proche; arc de tir: avanl ou avant et
Provisions : trois mois bâbord ou avanl et tribord ou arrière , dêgâts 5 ; cn-
Coût/rareté : 1 20 000 créditsiS lique 5 , Jumelês 5, Précts 1)
Emplacements disponibles : 5
Armes : Canons lasers jumelés monlés sur tourelles RÈELEs AoDITIoNNELLES
dorsale et ventrale (portée proche, arc de tir r lous ; dé- Massif 1 : Lorsque ce vaisseau est la cibLe d'une at-
gâts 6;crilique 3 ;Jumeles l) taqLle, le niveau de critiqr-re de toules les armes em-
ployées conlre lui comple comme êlanl supérieur de I .

VAISSEAUX CAPITAUX
Rares sont les contrebandiers qui pl otent des engins
plus gros qu'un cargo léger ou qu'un transport moyen, PROJETTE§RS BE
et ceux qui onI accès à des vatsseaux de guerre capi PUITS ERAVTFTQUES SFS E7-X
laux sonl encore moins nombreux. Toutelois, les plus
prudents mémorisent 1e profil de ces énormes appa n termes de jeu. les croiseurs de classe lnterdic-
reils Lourdement armes. Même les contrebandiers les fL forgenèrenL une bulle de gravilé centrêe sur eux,
plus experimentês et les plus audacieux tiquenl à et qui s elend lusqu'à la porlée exlrême. A I inte.
l'idêe d'affronler un navire de guerre impérial ou une rieur de cette bulle, aucun vâisseau ne peut péne-
corvette, et la plupart préféreraient balancer leur car rrer dans I hyperespace jusqu â ce qu il depensc
gaison dans le vide plutôt que d'aüirer I'attenlion d'un le nombre de mancÊuvres nécessaires pôur passer
vaisseau hérissé d'armes et bourré d'impiloyables au dela de Ia porlee exLrême.
stormlroopers.
Les eflets sur les navircs a"rachês à l'hyperesoace
sont largement laissés à la discrétion du Maître du
trffi#âsffi#ffi iltëiffi* Jeu. S'il le desire. et si la siluation l'exige. il peut lais
L&§*ffi §tr'Ftrtr#J*?-##
ffi ffi fl
ser les joueurs essaver d'echapper a la bulle de gra
Pour un contrebandier, le speclacle le plus elfrayanl vité d'un lnterdictor, mais Ies personnages devraient
de ia galaxie est l'apparition d'un croiseur lourd de avoir une três bonne raison d y parvenir I

TRUCS DE PROS

æ AT'Ct.|ilE OI.IE]STIOII If, DISCRÈTE

i
t*; ffiiHirf*r,'üEx*
'y ep rnauqdns juelg olruo: eldr-uor Inl alluol segÂo1d
ua soulrp sol solnol ep anbrirrr op neontu el 'anbel
le aun,p alqn el lso neêssrel ar enbsLol : , Jlsse4
srl1r N NOlrloov s3'lDlÈ
uotlrtpunI lnal suep saslpueL]lleLU
[9 lna]re4:-enbtltll
: sap uorlelnlrl el la luerl ol luollra^rns suollels sal '001U
- sleS?p : orQUre la proqul 'JUe^e no oJQr.re lo proqeq
'lue^e : rl op lre I auueÂou egpod) proqtrl ? lê proqgq rue aroruadÂq eun,p 3uo1 al no alQueld oun,p lnolne luel
-rqr6 uor8gl aJSeA aun "rns lauuosrad uos êp lo xneossleA
e soluour sprnol srnOlrerl xneêlsleJ 0p sJnallêul0 sloll
sas ap suorlergdo sal Jêuuoprool ap uUe sauQlsÂs sutel
[9 e1;no5 'f QplnD alttrelotd 'g I sa9]rultl suolttunlA ral op uros ne saseq aurLUol Uas uo,s 11 saluesodut snld
'L alual êluapPl'9 aqlQr8 : 6 anbrlrrr : 8 slg8op : snol soursnol srnal ap orqLUou urelrar un,nbr rsute 'dnorneaq
: Jtl ap lJe: ollnol eQuod) xnelluo^ xnap l0 xnesrop 'soltPpuol
Qlorlle e ue seleugdurr souenoq sap olt^lês al
srorl'allo.lnol rns sgluoLU suolo.td q salltdlo1-arue1 as sêlrs ap lo solueuodurr surou-t salQueld op êsuolQp el
I t o]uol a)uapel q egn391er QIQ e I ueloS e1 neÂo5 np sêpuoul xnedt:uttd
'9 aL{lQrB : an8uol aguod : g anbttur : 0L sl98op : aJQU sap la luersnrol op rnolne arqurou puer8 ua arno;l uo,nb
-re lo proqul 'JUeAe no oJQlJre la proqeq 'lue^e : lll ap 'sogu.lre xnorLx lê sessol8 snld'111 ueloD lo ll ueloD osual
:re : en8uol aglrod) proqrrl e azrolenb la proqeq q ollar -Qp op saLUrol seleld sal-ted agsselrns Ol? e I ueloD el
nol rns sOluoLU sueÂout sJasel-oqtnl êzroleno : setuJv 'septder anbelle,p xneassleA lo srnês
7 : salqluodslp slueuece;drug -seL.ll roluoJJJe,p selqeder srnelltnorled op la srnasseql
6/[l) s]rpQrl 000 000 9f : 9larer/luof, ap asodsrp allo 'lsê snld rnp sra3gl srnestot: la sele8
sue xnêp : suolsl^oJd -QJJ 'solla^rol sal auurol sltled snld xnelrder xneasste^
OO0Ot:sre8esse4 sap e alel sprod a1 luarue8rel arolua JteJ slelu 'saurap
000 0f : a;11n eâ;eq3 oru sorellojs slaÂorlsap sop lo ollteleq êp srnostoll sap
salla^eu ellenb la
noJ op oluessrnd e1 p aleJ alllel ep snld lsa,u ollS elran8
srnellrnorled arlenb '3lI srnosseql ,a : slnesseq)
op lroJ3ê,1 rnod lequo: op xneassreA sap r0l?qtl ap uUe
aBedtnbq,P
sauolJ sap oJJonD el luepued agut8eut glQ e I ueloD el
soLxLxor.l la salolrd 'sraou;o OO0 q : a8ed1nb1 'selue];odrur suorlrsod sop no solQueld sap re8?lord tnod
an8uol : sJnasuas sep a?Uod
ên.luqf 'sur,lv uploD red se?sodord asuoJQp êp suollels
Pt lsa '00purlq la ê0ure lu0LU
êun 'l ueloS el
,1"
;., 't
,::1 I
Krrs oe vÉnlculEs ET §§ffiB.fffieâ.§ æmæi*§ ffi§
p § LæYeæ § r&â.§ræ MeY§
æâ* §
DE VAISSEAUX Un cerveau droide dédié au pilotage automatique est
Il n'erlste pas de vaisseau de contrebandter u de série,, plus sophistlqué que les pilotes automatiques standards.

t;æ leurs propriélaires passanl leur vie à es moclifier, les bri-


coler et les améliorer, voire à les rebâllr.
C'est une amêlioration populaire, entre autres parmi les
contrebandiers. Ce genre d'engin est capable de piloter

ffi TAHLE 2.7 : HIT§


Hit, ',, ,, ' .,, ,r , .-,
I][ VÉIiIEULE§
l PfiX, ,' . Fareté ,Emp.
un véhicule ou un vaisseau avec une compêtence raison
nable. Il est possible de communlquer à distance avec Iui
via une balise d'appel, ce qui permel de faire venir l'appa-
reil même si l'on se trouve à des centaines de kilomètres.

ffi
: Canon blaÿer de dêfense ii i i Modèle typique : cerveau droïde de pilotage automa-
2000: i
iausolAX-IOBuCround 5: I i

B j,//^. " tique CD-1 2a Co Corp


ri

Effets : le cerveau drolde peul elfectuer des tests de
a,dro
,JitrroeuliÀr-
rr
: 75oo 6 o. Pilotage, grâce une compétence de Pilotage (planétaire)
ou de Pilolage [espaceJ de 2 et une Agilité de 0 [s'il n'est
I ;
iffiff:;;i;i;,iü,. r ooooi
i de
Cerveau droTcie
i
oa) assiste i larce @@t
s
Mods possibles : augmente Ia compétence de Pilotage
'o Da. r^ o. [planétaire) ou Pilotage (espace) de 1 [2)

rc r conLiebande
tVa.,a e,r lao oe ale
Àasquos
:
{ll 2 200

irlsoor
: 4

3,
i Emplacements nécessaires : 0
Prix : 6 000 crédi s
i;;'à;;; L

{r \lo , ,\' .. ll ,. r u0
CÂru*ru ffi1"&S?ER §E ESEF§zu§Ë AU SæT
e3€.§*& « Ëffi$UsHæ ËUâësffi aa
{k Systèmeclediffusion
1le'ir Ltê
, gOO, a, , LAX 1 0B n Cround Buzzer , de BlasTech a êté conçu pour
assurer la défense antipersonnel d'un vaisseau spalial au
Unité de confort de bord 750, 3: I
sol. ll est populaire parmi les propriêtaires qui anticipent
i Vernis d'ombrenult |U3500 8l I des problèmes. Rêtractable, l'AX 108 se replie dans un
k. '
compartirnent dissimulé sur la coque du vaisseau. Sa
cadence de feu est élevée et ses dêcharges puissantes.
Larme peut être maniée depuis le cockpit ou comman-
fr §mv§&u æ mæiffi ffi æ"&§Y§æ§&r§æru
dêe à distance.
Pour accompagner son cerveau drolde de pilotage au-
tomatique, Co-Corp a proposê le CD-132, un cerveau Modèle typique : canon blaster de défense au sol
droide d'astrogation. ll s'agit d'un astromech installê di- AX 1 08 u Cround Buzzer ,
rectement dans la coque du vatsseau. ll peul effectuer Effets : voir la Table 2-8 : armes de véhicules ci-des-
des calculs d'astrogation indépendants, mais il esi plus sous ; peut tirer automatiquement avec une compêtence
utile comme assistant du pilole ou du navigateur. En dê Distance farmes lourdes) de 2 et une Agilité de 0 (s'il
pit de Jeurs origines communes, Ie CD 1 5z a tendance à n'est pas assisté, il lance @@) Cette arme fonctionne à
se quereLler avec le pilote automatique CD 12a lorsqu'ils l'échelle individuelle, pas à l'échelle des véhicules.
sonl ins alles sLr ut meme raissealt Mods possibles : augmente la compétence Distance
(armes Iourdes) de 1 [2]
Modèles typiques : cerveau droide d'astrogation Emplacements nécessaires : I
Cù-132 Co Corp Prix:2 000 crédits
Effets : le cerveau droTde peut effecteur Ies tests d'As-
trogation avec une compétence de 2 el une lnlelligence
de 0 [s'il n'est pas assisté, il lance @@)
{§âC†€ æ€ §æffi Yffi 槧&ru ffi sre Me§&Ëj *Ë
Ë

Mods possibles : augmente la compêtence d'Astroga- Dans toute la galaxre, les contrebandiers se servent de
tion du cerveau droide de 1 [2J compartiments secrets. Cefie version améliorée est plus
Emplacements nécessaires : 0 difficile à découvrir que le modèle « siandard ». Dou-
Prix:7500crédits blées d'ombrenuit, les caches de contrebanclier rrras-
quées peuvent tromper [ous les senseurs excepté les
plus sensibles.

TA§LE 2.8 : ARMES BT VÉHITULES


Eabarit.
Jtlsm [Ég' §pÉrial
IEqUr§
I Canon blaster de i ; Aulomatique,
r défense au sol AX- I 0B
tDrstance ^ iFchotte
i [armes lourdesJ
12 3 Moyenne 2 000 o : individuelle, 5,10
« Cround Buzzer »
j Perforant 2

TRUCS DE PROS
a[rqJxE ot Esrrox lrpEERÈTE
!rEl)$q{r ilolJ.slno lxlExlE
soud ro sfnul.
'sQltAut srnol q gltleltdsoq ornollloul êun
ru11o,p sluednllo sês € leuu;ad lroluol op Qllun oun.p
gdrnbg neesste,t un : nad lualrodutt s{lel9p sol (uou no)
saQsrloolle suossloq ap rlduraL req un,p sallne,p rnod
'sJorlrLUeJ s1eld ap eurald uot1e"r93tL19r ap gllun oun,p
1r8e,s 1r 'surelrol rnod ltolpua l0l un,p 0Jpualle,p lloJp
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üææ§ i*§ ÀH&.*&læ3 §G §À§ffiffi
slrpÇrl 009 9 (l) : xud
L : saJlessaf,gu sluetuaceldug
IL) i eP n€ossle^
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'llnu0rqLU0,p sluloA
slrpQrl oo9 I [l) : xud
L : SOJIessOf,gU sluêuaf,eldu3 êp lro^nolor o.n^eu un,p eruasg"td sl rallalgp 0p alual
unlne : solqrssod spol l lr.nbs-ro1 ILUnLUIUILU ne'aq:o.td q,nbsnt) ue]l un,p 0llnpQJ
r01101?p ol Q sQUllssp JSa neossre^ un,p sltssed sJnosuês sep aQlLod el :^sleJJl
slssl xne QllnluJlp op sop a olnole uo '9 € aleSQ no ornolr solrlsnPUl P^Ierv,P
-oJUr ossalr^ oun € êlPIdQp ês neossle^ o! onbsrol : sleJJ3 êprlrLlQA rnod ltnue;qruo,p stuJOA : enbldfi elQpo6
0^lrcrPls 'srorpueqa.rluo: se1 red Qqlrot..lloJ sQrl 1s0 llnu0JqLUo,p
rlrpuou op lsnrLlfrodslLlM rnalofN : enbld^l al?poN srura^ al 'e1eu9dur uorlelst8gl e1 Led a91tult1 luoLUolqe,l
'JllerodroJ lnol -gprsuol luelg uollesllellJaLULUol es l0llOlQp e, ollruJ!p
las np Qluolnv,l op ulos ne alerlual uolllsod es € olcJS sQrl neassre^ un orpual lned 11 slnasues se1 ,iaq'tnlred
êrolua pua^ uo IIIpuoè 'oJIduJl,l led sllprolul êrlo neoq q QUrlsop
lsa 'sarllsnpul pÂ1ety ted glue,tut 'sluraA 0J
luo sJnêloLU so] srnosuês sal lns n€ossle^ np olnlPu8ls Àt f3 NEt g kl§0,ü 5È N u;lÀ
el rênuQlle rnod Jnallêllop Jlllsodslp un lo splol]-lêdns
ze8 sop oroldLUo Inb anblutLUnlqns rnoslndold un 1se sllporr 008 : luof,
lsnrql"redsrq,q JnoloLU ol 'a^trCrels tltpueg red llnpoJd L : saJlessolgu sluaureceldurg
*L§ m§ **-L§§d § I F§§§ § *r§À§ t,!§ un)ne : selqgssod spo141
'neosste^ np proq q lurod I op e8edtnbg,p
slrP?rl OOE (l) : xpd orqLUêLU enbeqr op sso;ls op lrnos e1 alueLu8ne : sleJJa
L: seresso)gu sluaueoeldug o3e33e1 op rnouOlul uotsnlJlp ep euLQlsÂS 'dtof-ellef
( L) uorl:e aun,p esuedgp e1 s.tnolnol êltssal?u sleuJ 'lsol ap qnb.requ..ra l€ltsnLU aLuQlsÂS sanbldÂ1 salQpoIAl
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1rd>1ror êl la olel e1 stndap oLllrBLU uo stLU êJlQ lned 1llls ;nod auuorssed as xne,p un,1 ts aldruexe red 'e8edtnb9,1 ep
odsrp e] alnos el supp o^noll es tnb ar lnoi la1:alg lto,t so]qlualx sal 0rlu0 olqeJgplsuol suolsuêl op êfrnos Oun
-nod rnod uortre,nb tuet uê Q ) ueÂo6 enb1uer9141 .luê^op rssne lned olellsnur uotleu;uelSotd el luestede
ep lsol un JOnl)a1Ja,p JOtpuPqêlluol ne leLured : sleJJ3 1êJJO un rto,te lned a1le'enbtsnu.t el op xtoLll e1 luatrpld
uosleut uorleltlqeJ . senbtdÂ1 salQpot l -de sre8essed sol rS neosste^ lnol op pJoq € rêsn11lp uê,p
',renbUerl p ronutluol ep laur;ed rnb eLuQlsÂs un luop luallelsut seuteltder ap dnor
1e uostrd e1 q tad
deUrO.p ueÂour Jnes e1 1sa uosreBLel el ap losselreqOp neog ollornllnl êruarOJQr oun lo aluellodut uotl:ellstp
as 'srolred sleuJ
'rlros uo,s Jno^ ou ouuoslod (uou no 19.t op oLUroJ êun sroJ el ? lsê anbtsnu e1 'sarqdsa sosnêlq
-re,l e lros neossre^ e1 enb) nueluor el luaueptdel .loluel -u.lou êp
rnod xnê la^e sJuor-LlosstlJo^tp slnal lualodsuell
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luedrnbQ sJOrpueqorluol xnorquou op sleut '1tnpo.td Hf§§§§§e§Ë Ns§§ffis§§§ §§ §e§§À§A§
ep elue8 er anbuqel alle,nb leLupe,u estrdarlue ounlnv
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L : salresse)Ç)u slueuace;duE
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soJlessef,gu slueurereldul slurod qZl e.rrelueuglddns Qlrreder : selqlssod spo141
L:
unlns : selqlssod spo141
'lueutllediuo: a1
neosslEA lnal rr^no)Qp Q sQUrlsop slsol xne Qllnrgllp ap sgp 9 alnole
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red sQnl:alJa uorlet:o395 ep 1e etraduo4 op 'oLUrELlf -duior ap anurluol elol luou.ttl;edLuor ted luêLuorqulol
op slsol sêp srol apnltlde,p Qp un orolIOLUe : sleJJ:l -u3,p slurod g6 q,nbsnl rtuoluol lnad eqrer Bl : staJJf
o3a33e1 ep luerQSttlOr lueuutledu.lo3 saulsnpul pÂ1e;y,p
'sêrrlsnpul ealsoJ op snldrêqsarJOU : senlotdÂ1 sol?pol l lrnuo.rquo lueLurl-reduor op ornlqnop : enb1dfi olQpot l
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êleBQ tuê^nod sailne sal 'èSeuuostêd .rp êruè3 al Jnod ap sluapn-rdLul sol -lêtsalQp q luosodstpQ-td sctuelQd
sanluol jLroros sêl8Qr sal ênb ue rB .rêlpuPqoiluol cp ol^ u-rol srnêl anb'srrroLrreLtJ xne lo srnaloA xtt.ll Llatq
. el op senilrleLuQlquro sollAllle sa.llnE,p onb lsule rêlselq lueLUarQrlnlrlied luor,tuol arnBg op sel aJ Uodsuerl
ne slonp sop 's33enbe-rq sop lo sênbPLllP sèp aledsaJ uos lue^B luoureS-req: np uotleLgdntQt el t7 scOrlesLlol
od^rl,l suep so8p^o^ sap euQls uo êrlloLU inod sltosuol a"r1q lue,rned so.;nluo^p soulel rèl uollJ..llstp Jltrol uo la
cp sorlJosse sa13q-r sê11a,rnou op t-Al ne le srnonol xne ltu luau:aprde"r uor:leurlsêp aun ar putolle,p xnat tsçp sreBes
rno; sarleJJe sel luos saJleJJe sa-l : lll at1;deq3 e1 sed sep uorsello,l q ornllur lnad rnb'e1t:t11r uosreBlet \
eun,p luoiuele-rQuQ3 lr8e.s 11 g 1u ocl un e.nbstrl V turori
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1ne1 lr,nb e1a:. q zolnoly sradooLlLrrols sQIIle s.tnèL tê lo neossre^ e;dord uos ap osodstp steur 'n,n-inodgp lso uc
sauÈnop sap s-iênUJo sal JOrlqno sues 'salqeÂoltdut la rnb adnorS un rnod to 'elop anbtlerd el latpueqarluol
saqrnol srnaÂoldLua sep q,nb tsute xne,ru sluesstnd ep ep a8euuosrad un alltent:e tnb edinbQ aun,nb rnod
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I es personnages joueurs d'Aux Conrttrs oe I'EvptRe telles hrstoires : par exemple, des règles pour détermi
L peuvent se tourner vers la contrebande pour de multi ner le paiement de la cargaison et des options supplé-
ples raisons. Bien entendu, les Contrebandiers sont par- mentaires consacrées aux risques professionnels de 1a
ticulièrement susceptibles d'entreprendre ce genre d'ac- contrebande. Cette partie inléressera aussi Les PJ qui
tivité. Ceci dit, tout groupe qui dispose de son propre souhailent dissimuler leur idenliié ou faire porter le cha
vaisseau peul voir dans la conlrebande une occasion de peau à un adversaire, avec des règles permettant de re-
gagner quelques crédtts ou de réduire ses Obligations. configurer le code transpondeur de leur vaisseau.
Avec les trois nouvelles options prêsentées dans cel ou La section Voyages hyperspatiaux propose des règles
vrage, Aux CornNs or l'Euptne propose un total de six étendues pour déterminer si les personnages parviennent
spécialitês pour la carrière de Conlrebandier, assorlies à damer le pion à leurs rivaux ou finissen[ par se perdre
de compétences et de talents variés qui permettent de dans les profondeurs de l'espace. Arnaques et escro-
créer des personnages uniques el captivants. queries et Casses et intrusions fournissent au MJ les
La seclion Raconter des histoires de Contreban- règles nécessaires pour proposer des délts adaptés aux
diers fournil des indications aux joueurs qui désirent Vauriens, aux Voleurs et aux Charmeurs. Ces options Ieur
aclopler une spécialilê en accord avec leur style de .1eu offrent le moyen d'erprimer leur don pour se remplir les
Le MJ y lrouvera quant à lui des idées pour concocler poches au délriment de leur prochain. Fusillades et
des aventures à la hauteur des atlentes de ses joueurs. duels concerne les Pistoleros et autres valeureux combat-
Une partie de la section est consacrée aux différentes tants, tandis que les Flambeurs et tous les PJ inléressés
pourront faire monter les enjeux el tenter leur chance
t compétences et capacités des Contrebandiers, ainsi qu'à
la manière dont elles peuvent affecter les aventures où grâce à la section Paris et jeux de hasard. Celle ci com-
prend les règles du hiniaro, un jeu populaire qui a lait et
!t le transport de biens illicites ne joue pas un rÔle prépon
dérant. En outre, elle s'attarde sur Ies autres carrières et dêfait la fortune d'innombrables habitants de la galaxie.
propose quelques pistes pour tirer profit de leurs capacl Les parties Némésis de Contrebandiers et Réseaux
tés durant des aventures de contrebande. de contrebande fournissent au \4J des archétypes de

k Mener une aventure de contrebande propose au


MJ des pisles concrèles pour crêer sur mesure des ses
sions (voire des campagnes entières) pour Ies person-
nages Conlrebandiers. I1 lrouvera dans cette section des
la pègre et des autres institutions, pour confronter les
PJ à des ennemis ou des alliés récurrents et mémo
rables, comme dans n'lmporte quelle bonne histoire de
Stor Wctrs. Pour finir, la section De gros bénéfices olfre
outils efficaces oour conter de des pistes pour récompenser les opêralions de contre-
bandes réussies. Les PJ qui atteignent leur but peuvent
devenir immensément riches, se faire connaltre detout
le milieu, voire obtenir des rêcompenses encore plus
:intéressantes...


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sêl orlurEAUol ap Jo^esso luoLUêle3? zo^nod sno^ ro^ed -qLU ne arl rnêl rau8e8 êp Qluolo^ el l0 ?luoln€,1 op
? xud un luoLuQlroj ou]erluo olqellodsoj uo5eJ el onb sr"rdgu urelrel un'êrqrl ludsa un'senbtlsuglrerel
srpuel 'leur luournol sêsoql sal rs JOrlnlrlrsd uê 'osnaroS sourBlJol lue8elred lLednld el rs o[rQryarQr]rel ollol
-uep snld ral?^9r ês lnod « QlrlDeJ » €T op aro^ el 'uorlenl sre,t srnenoI sol or]le rnb e: uotst:9rd ra,te JOU.têl êp
rs êllêl aun sueC orQrLuord e1 ep sa8elue,tesgp sal rns ollrUllp a"llQ lned lr '« rorpueqarluoJ » 3p uot1e1ladde,1
luelsrsur uo lnol'uêune^ np'aL.{lnol snld'e11er lo « alqeu snos suder se8euuosred op QlOueA allal oun lo^V
-oAUOf » Apoqlgur êun arluê xtol1) êl ednot8 ne luJJo e
eu8edue: el op sarluoluol
aJSrsuol êlnlsp oun de:rpueq un oLULUol alleqer ludsa sol roroqelQ lnod asnanqrd queuaulqtlxo alQAO.r os uotl
uos luoluossol ou soJlne se1 anb sues uouneA un,p lnanol -eLU.rolur a11a3 a8euuosrad uos;nod errsgp rnanol el enb
ol roluoluol ep uaÂolu un JO^norJ q Lrue,ued llop lf,\ ol sêrnluo^e,p edÂl el anbrpur xroql ol enb lse,r 'ft\ np anl
.alqeredLuorur
e1Â1s uos
aqllerluolop opnlrlle uos
la ap lurod np'luelrodLur snld a] arxeleB el ap stuelrqeLl
le,re la8uere lnol red sLno[no] lrulJ uouneA êl sren fd sêrlne sol rnl rns luorêJ;od anb pre8aL e1 êJnsaLu êulel
sêrlne sop uep puer8 ne srolred 'uorlle,l op Jêorl op lo rol aun su€p ourLUralgp a1le 'eSeuuosred np s91t:eder
orprosop urelJêl un ruolorlua,p leLured uouneA un Jonof sêl JrugQp ap snld uf fd nea^nou un êgrl tnb "rnenol un
'aurOLu-rnl errdLu3,1 oro^'êLUul np uorEq un'artelgueld rnod aiuelrodLUr uorsoQp aun lso êrQurel el 0p xioLll ol
lueuaure,tno8 un orlQ lned uotlsenb uo gluolne,l luoLU
-alQr)srp snld no luoLUêlro^no lros a: enb 'QluolnE,l oU ô USIONVSSUINOf
-gp a8euuosLad uos enb luoLuourelJêl o-rsgp uêune1 un
oure)ur rnb rnla3 osnLUE,s apuoLU al lnol enb uUe lllJUol N O-rNI l/\3 0 rNI l^l Dll Of
op salrnos sap ralno[e luerure slr,nb luauelduts steru
'nal elreqLnlLed ap lrlrelqo rnod luo s1t,nb sed egruBts eu 'sê^rlprlnl suorssrLU sep rern:o.td lue,nnad
elo3 srnuuo sal JUO^nos luoqlrêql ÇltlenQds alle: rnod lrqslP aLLTQLU np xne0s0.r sê.rlne.p êpnl llnur 0un 'npu0l
lueldo rnb srnenol sol algr al raLUnsse rnod sertessergu uo uorB ssoluol 1e:rpuÂ5 ol no sllnH sap srtptle>1 sal
serualqduroc sol sêlnol ep luesodstp lê Inl ap r1s 'anbt1 onb s;e1'sanbrlreleB slalrel sop rnod no saluelrodutt
-eusueqr 'lueulreL{l : rol-€l-sroL1 lrelred e1 lso uauneA ol sallourLUul suoriesrue8ro sep inod rollte^eJl ? sguoLUe
e-rlQ lnad luorês ld sol 'slnoq xnop sol erputol rnod
ru§§&ffi§c{ : asneraSuep lo olelrlgp 9lr^rlle oun lsê apueqorluo) el
'luepuede3 xneSOllr slolnoq ep eBroBeL atxeleB e; Les
sgirlrqrssod sorlne sol re8rlSqu
sêrpe,s rnb q le JOLll.roLIl r_'ro êqles uo,1 anb ned tno4
sed lneg au 1r 'e8euuosrad uos ep lreredde,l ap lrdlror a1
srndep sarlQdrLQd sap « oJ^r^ )) êp luor.Lrolqeqord er:Qrdde
1r,nbuarq sre,\ 'eurlpuQrpe,p saprnoq uorlle,p souQls sol SUEIONVEIUINOf SIl
;nod ;nenol np lueqrued un luoLUOler?uq3 enbtput g1t1
-errÇds eller êp xroql êl leLr êurnol uorlpnlrs e1 enbsrol
UNOd SsUNINTAV
êrreJJe,p ednor8 e1 reLrl rnod alolrd uoq un .rns relduor 5ro ulor\EfNof
srnolnoi ze,rnod sno^'neossre^ un,p rosel uouel np oprp,l
q suorlerroSgu sap raÂndde rnod no olelrl?p uorlenlrs aun 'xno lo^e lrlJuol
suep fd sop e arlros ap epod êun rrurnoJ rnod lros o) onO u0 r0rlu0 ? no sJ0rpueqêJluoJ sal l0^e rêr0qellor q uoll
rrlros uo,l rnod rssne sreLu 'uu19d ol suep edrnbQ,l êp olsêr -rsodsrpg.rd oun luaJluour sqlrler:9ds lo sêrQu-rEl sourel
elra8uold :nod unururo: np srol1 Qlrreder aun,p luesodsrp rol r_1o oJnseLir Bl suep'edrnb9,1 ep anbrLreu,{p e1 rns
salolrd sol aredse,l êp Jnæl ne sleqLuo) sep q redrrrlred 0luenlJUr 0un 0LUQLU luorne xroql sêl rêrpueqêrluoJ
errel a1 e.rqdsa 1r,nb 1se,r 'ouêllrlrV aruolçdu.ror e1 rnod lnod selnlua,te sap auQul la lro5uor 1r,nbs"rol lQ-r?lu1,p
aldo 1r,5 assalr^ epuerS q selrns;nod op no srnoluoJ op sorluol la suorsnQp srnoL op eldruor rrual lrop ft êl
sasrnol op srol lros er enb 'elrrr sQrl 'olr^ e1lre eBeuuosrad 'luenbgsuor re; srnenol sol luolreLjnos anb er luauuQr
uos anb êl e puolle,s glrlerrgds ellar puerd rnb rnenol u1 -ro1 anbrpur g1r1er:9ds el ap xroLlr a1 '[a1o1r6
'e1Â1s :e,te erpua; Â,s rssne ]ê uounE
lso,l 'arlne un e lroJpuo un,p 'rnêloA'oralolsrd r naqLUeLl ) nêLUr eLlll seBeu uosred ep
orpuêr os JUOLlrolnos sed 1se,u ar 'ololrd ar13 erxeleB e1
lrpluaAQ a8rel rs un eluesq-rd rorpueqorluol ap orQrJrel
suep inol.red ê^norl uo,l enb surBua sap 's.rap-aads.r e,p 1e e1 enbsrnd: soQrr Qlg 1uo sa8euuosLed sel luop orQru
srepeedspuel op soQlop sedrnbç sa1 rnod xnarrgrd rssne eLU el op rarrdsur,s tueuraleBQ lnad fL\ ol 'lrp elo) rap
lnol luos s11 eredsa,l suep luêLuarQrlnrled 'dnorneaq -ueu0p rn0l êl ? luaLULUapr^9 alsrsuol r0urLLUalQp 0l êp
a8e,{o,t rnb ednor8 un rnod slorluosso luos sololrd sol uo5e1 ernellreLU el 6 srnenol sos or^r^ luo-iisQp arnl !ï
;â.1æ3sd uole,p olros a1lenb 1r-1res nef np orl!€r\ un lueLuLuo {
§3§§t§Hs3IHÀN§3 §t§
§§§H r(}§r Fr §H{r u§rt{o3Tf,u
vffir€u§ traÆMmffiEJm
En règle gênérale, les Voleurs sont les Contrebandiers Pratiquer Ia contrebande est un jeu dangereux, mais

k
Ies plus subtils Un joueur peut opter pour la spécialitê de toutes les spécialités, c'est celle de Flambeur qui
de Voleur parce qu'il rêve que son PJ se glisse là où rassemble les personnages les plus casse-cou. Les pJ
aucun autre personnage n'est capable de s'aventurer. Il qui suivent cette voie adorent ressentir le frisson du
veut Ie voir se faufiler derrière des sentinelles, déjouer danger, pas seuiement dans Ie cas de périls physiques
des systèmes de sêcurité ou escalader des surfaces (bien que ies enjeux d'une situation de vie ou de mort
abruptes. Parfois, la négociation et la bagarre sont des soient forcément les plus élevés), mais aussi en pre-
options inenvisageables pour résoudre un problème. nant parl à des paris hautement risquês dès qu'ils
Dans ce cas, le PJ peut se mouvoir sans bruit, détour- en ont l'occasion. IIs peuvent miser sur Ieur capacité
ner l'attention d'un individu ou contourner l'obstacle à dégainer plus rapidement qu'un certain chasseur
autrement. De manière générale, les Voleurs font appel de primes, ou sur la capacité des rêacteurs modifiés
à la rêflexion pour éviter les problèmes et s'épargner de leur vaisseau à fournir l'accélération désirêe sans
les affrontements ou les conlrontations directes. Dans qu'il ne se disloque. Les talents uniques des Flambeurs
la mesure où elle est taillée pour ce genre de déli, la sont spécialement conÇus pour rêcompenser les pr ses
spécialité attire des joueurs qui souhaltent jouer un rôle de rrsque.
indispensable dans le succès du groupe sans pour au-
Ceux qui choisissent cette spêcialité pour leur person-
tant occuper le devant de la scène au cours des affron-
nage seront enchantés si le MJ les confronte à des défis
tements ou des rencontres sociales.
ou à des obslacles périlleux qui ne peuvent être surmon-
Le MJ peut contenter les joueurs de PJ Voleurs en leur tês qu'en jouanl Ie lout pour le tout. Ce genre de situa-
proposant des ênigmes liées à des systèmes de sécuri- tion donne au joueur avide d'action et de grands enjeux
té [mécaniques ou technologiques) Même si leurs mé- une motivation concrète pour remettre son sort entre les
* thodes pour rêsoudre les problèmes ne sont pas aussi mains du destin.
impressionnantes que les tirs de blaster d'un Pistolero ou
* les slratagèmes d'un Flambeur, les Voleurs surmonten[
les obstacles d'une manière unique, qui n'est pas à la
FI§Y§L§Rü
portêe des autres personnages. Là où les autres se battent pour simplement remporter
la victoire, le Pistolero veut vaincre avec panache. Cette
F spécialité constitue un choix idéal pour les joueurs qui
cHÂm#§§[.§R recherchent un style de combat au i:rio incomparable.
Un joueur qui choisit la spécialité de Charmeur pour Sa conliance et son habileté se révèlent dans sa préfê-
son personnage cherche les occasions de briller lors des rence pour les paires de pistolets blaster, au détriment
interactions sociales : soutirer par la flatterie des infor- d'armes plus encombrantes. Créer un Pistolero esl
mations à une propriétaire de cantina, ou convaincre un choix évident pour un joueur qui souhaite que son
des chasseurs de primes de rengainer leurs armes par Contrebandier brille au combat. Crâce à son penchant
exemple. Bien que les êchanges de tirs de blasters ne pour les confrontations et les fusillades fvoir page B5J,
soient pas rares dans une campagne de Sfor Wars, le un tel personnage occupe toulours le devant de Ia scène
Charmeur tente de résoudre les problèmes sans recou- blaster en main.
rir à la violence... dans la mesure du possible. Cela peut
Pour rêpondre aux attentes d'un joueur qui choisit
être liê à de nobles sentiments, ou dêcouler simplement
d'une attitude pragmatique : les combats sont dange- cette specialité, rien de plus simple ! Il sulirt que le
reux, alors pourquoi risquer sa peau sans réelle obliga- MJ permette à son personnage de prouver sa supé
tion ? ll est possible qu'un loueur qui crêe un Charmeur riorité lors des aflrontements au blaster. Pour ce faire,
soit rebuté par la perspective d'un combat, mais il peut il faudra l'opposer à des adversaires dignes de lui et
porter une attention loute particulière à la création
simplement vouloir essayer un type de personnage iné-
dit autour de la table de jeu. Le MJ doit prendre soin de ces PNJ Bien sûr, il ne faut pas seulement se pen-
de discuter avec lui de ses préfêrences, et les garder à cher sur leur profil technique [caractêristiques, compê
l'esprit pour élaborer des rencontres personnalisées. Le tences, etc.), mais aussi sur leur personnalitê et Ieurs
joueur, quant à lui, devrait se souvenir de ne pas trop motivations. Pour un joueur, quoi de plus satisfaisant
que de voir son personnage remettre à sa place un
c0mpter sur Ie MJ pour éviter au PJ tout combat. Il doit
avant tout iirer profit des compétences et des talents de adversaire prétentieux, exaspêrant ou franchement
son Charmeur pour parvenir au rêsultat attendu.
maiélrque ? Cardez à l'esprit que bien que Ia violence
soit rarement la meilleure option, les Contrebandiers
Le MJ peut employer I'astuce qui consiste à étoffer qui frêquentent les spatioports sordides de Ia Bordure
les motivations et les secrets des principaux PNJ. Cela Exlérieure sont souvent amenés à régler leurs comptes
crée un « terrain de jeu , parfait pour un Charmeur. Lors en combat singulier
de la conception des rencontres importantes, il s'avère
toujours intéressant de prendre en compte les forces et
les faiblesses des rivaux politiques et mondains, exacte-
ment comme pour les PNJ destinés au combat. ll n'est
cependant pas utile de s'intéresser d'aussi près à chaque
sbire et à chaque personnage secondaire.

LES AFFAIRES SONT LEs AFFAIRES


euq.E orrEslox ltDtscnÈ1E
Wa.
s" ' larluêpguor lrodder un lo^e luesdrl:Q,s
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lueuolqo ue 'eg,tud uorleslo^uol oun,p slol
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!' lr,nbsLol oluorQlJrp Pl olnol êrteJ lu0LUol
$ e8O lned II rnollos ap sLe8uep sêp ortleu
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rnal Jêrnsse lned rna1o,1 ol 's?tlosse suotlue
srnêl op orQlol el q no rol e; ep etuessrnd e1
? ollnq uo luolnorl os fd sal enbsto-1 suotl
enlrs sorlne sasnarquJou op suep edtnbg,l ep
sQllns nB ranquluol lue,tnad sallo 'Uêloqle,l
ap enb snld elrodder uosteS;et oun rostltlqnsJ
opueqêrluol op osrpueqlreLu eL ap rern:ord as rnod
solrln lnolrns luos rnoloA un,p sçqrredet sol IS oLUQf,\
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I steuel ltes
ou uO lueJJnlq ua rlros uo,s ap reÂesse stnolnol
lnad lr 'glrlrln ounlne,p snld lsa,u eruetlQdxe uos t-ro
uorlenlrs oun su€p olnorlor as fd ol ts'uUU3 ednotB
ol suep rerlnrrlred elstlet:Qds un,p a)uasqE,l ua uotl
-re,q q essed uorJnp1 un,nb 'luepuoder 'elel sed lsa,u
ll el luoLlrour ar p estnber e:uelQdruor el suep sgnop
snld p4 sêrlne,p JIUêlnos ;nod sutout ne 'suollsnlts s0p
a OlQl uos 0p sêluelll sol sêlnol Olllaul c lsa,u 0l yednld el suep solrln lualQA?r es s1t 'sglqtltnbç saBeuuos
rs lueuJOU]erlua,l 1o oluolrodxa,l 'solualgdLUol sol ll^.los -rad ap lueuelerÇu?3 1tBe,s 1t,nbstn6 soJleJJe s0p erteJ
ualq lua^nad ronb € 'lnol sQrdv sQllns op soluel{l sornêl rnod enb ))eqes ap olqel aun € no oxtr aun,p sJol soltq
IroLU SOp Osodsrp rnaqLUell ol anb sanbslJ sop lueuald -eq rssne 'lnol-?-011)nol sêlqelrJ0^ op luos su0llneA sal
uo lsê,) 'surouruegN oourlsnl slolred uoluldo êun anbll
Ul uorlBnlrs êun q êlej oloê8nl op onbuPLU un,p no F*§§§grw&
oluBJroqe êsrlQq oun,p '?rnsêLuop llonSJo,p a^nard êun
'apuadgP ua
aLULUol êpnlrlle ollol rolQJdrolul luoJrnod sunlne,c noI
uo luos sor^ sop onbsrol sudluol  'suotlenlts sol salnol fd sop or^ e1 enb e,tu;e 1r 'nng;d ou.lLuol sed assed es
enbsard op rlios as ep lerured ued un lesodord enb la au lnol puenb: elqea8rlSgu uou lnolp un lsê assolt^ el
'asuedLuorgr olroJ oun,p esseuuo.td el e lualsrsOl snpt^ 'asserd sdLuel e1 anbs-to1 uorleutlsap q adtnb9,l resodÇp
-rpur,p nad enb lres rnoqurell êlqelrrQ^ u[l olloln]eutns rnod rssne sreLU 'opupqaJluol op suotsslLU sêL luelnp
anbsard olueL{l aun,p lo ouoqrnoJ ap 'arn1se,p e,tnaLd seleugduur sallrnorled sal rolu€lslp rnod salqesuedstput
luoJ slr 'oJrej ol rnod saQupA suotlenlts sêp suep ednolS luolQ^?J ês sêlolrd sol OSrLUolsnl lueue8rel 1a xnattt"ld
np alsor ne olrlrês erpuar lned tnb aruele,tÂ1od eutel -el nolnol un JOlo^ eLrel tnod no sêltLUIl sos ap ?l0p-ne
ra) oun luaqluje srnoqLUell s0l 'su0lJneA sap relsul,l v aursn,p olQpoLU un ressnod rnod ltos ar anb 'lteledde
un,p rnollrour e1 rarrl lnad guuor^êr..11 ololtd un lnês 'êseq
Hr§§ffissffi§ ap suorlou senblanb ep srotrred luasodstp seBeuuosred
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Çproqe lso or^eu e1 puenb . uorlenlts e:td e1 suep eurgu H"E"ffi"r$d
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se1 sed eurnol as êu rnoureq3 uoq un 'slleluol ses renol nat ap
lreJ uouna4 al anb le solueuu sep e8reqr as iuetroSgp a1 suorldo,p le sQlrrede: op QlOue^ apuer8 oun IoJJO ua
anb 'neassrea np ednrro,s alolrd ol anb stpuel oureJlalut luernrord rnal salqruodsrp sQlrletrQds xrs sol salqelq
onssr,l € leqLUo) un supp leSe8ua,s ap rualsqe,s lleJ^êp -LUOS xnap sed alsrxe ue,u lr,nb rêLLUUUOI lned eluanb
'eoredQrd uorq oLUQLU 'adrnbQ oun 'lnol sq:dy arualotrt e1 gr1 ue enbuo:rnb 1a (uou no eledtruud Olt^tlle tilel ltos
? srnolor lnol rêlrlg € lo suorsuol sa1 rastede ? luoLuêl€l opueqortuol e1 enb) sadnor8 sol snol ? soltln stualel
'QuOB luernred êlrqeL.{ TnoLUJBLIJ un 'leu luaulnol sêsoUl sap lo sorualgduor sep luelrodde sJOlpuEqarluo] sêl
sol rslf t-d sêp lorOlul,l ra8?lord lê alqero^eJ onssl aun
rrluereB rnod a1r1n luaLUOLUoJlxo srno[no1 alQ^QJ as ..]naul iIaHwl,T 10
-reL.{J un'a1e3911r arreJJe oJlne alnol no êpueqorluol
ep le.lluol un LerroSgu ap luouroLU ol luot^ puenO SNITNO] XNV SNVO
HfrEKruHWffi3 susroNv8rurNof 531
p*§Y#Lmmæ €&§-*ru
Les Pistoleros peuvent
briller dans toutes les avenlures Les Colons ne sont pas lrès à l'aise avec ia contrebande
qui mettent en scène des combats (ou qui risquent (du moins dans un premier temps), ce qui ne veut pour
d'en comporter), qu'elles soient consacrées à la contre tant pas dire qu'ils n'ont rien à offrir dans ce domaine.
bande ou pas. lls se concentrent sur ie savoir'faire et la Les Diplomates jouissent d'un don précieux pour apalser

fr,,u*
ffi#
vitesse d'exêcution, privilêgiant les pistolets aux armes
plus lourdes appréciées par les Mercenaires, comme
autorités ou des rivaux, évitant ainsi
Ies tensions avec les
à l'êquipe de recourir trop fréquemment à la violence

ffi les fusils et Ies carabines. Dans la Bordure Extêrieure,


les armes de poing sont rarement interdiles Par consé
quent, les Pisloleros conservent toute leur elficacité
quand les autres personnages n'ont pas accès à leur
[et donc de finir derrière les barreaux] Les Érudits pro-
curent lacilement des informations sur la valeur des mar-
chandises inhabituelies et savent comment les obtenir.

ffi
Enfin, les talenls d'un Médecin se revèlenl extrêmement
armement préféré. Lorsque la situalion dêgênère, iis prêcieux lors d'une fusillade iniense, ou lorsque les ani-
gardent Ia tête lroide. Leurs nerfs d'acier et leur assu- maux transporlés illêgalement par l'équipe sont munis
rance frisant l'arrogance se révèlent par[iculièrement de crocs acérés.
utiles lors d'une échauffourée, d'une négocialion len-
due ou de n'importe quelle mêsaventure aux frontières ffixpL*§§r"€âiffi
de l'Empire
Crâce à son éventall de capacitês, un Exploraleur peut
apporter une aide bienvenue lors de trafics en tout genre.

ffi LES AUTRES CARRIÈRES


DANS LES AVENTURES
Comparables à celles du Contrebandier, les compétences
du Bourlingueur lui perme[tent de donner un coup de
main pour le pilotage, la navigation hyperspaliale et les

# DE CONTREBANDE négociations avec des employeurs potentiels. Cela dit, au

t Un Contrebandier occupe lorcément le devant de


scène dès qu'une aventure comporte des trafics divers
la
sein d'une même équipe, un Contrebandier et un Bourlin-
gueur devraient chercher à développer des compétences
et des [alents différents de manière à compenser leurs
De ce fait, son joueur aura tendance à insisler pour que faiblesses respectives. Pratiquer la contrebande dans la
le MJ propose souvent ce type de scénario el il peul Bordure Extérieure revient souvent à s'aventurer dans des

k s'avérer difficile pour les autres personnages d'avoir leur


moment de gloire. S'il n'est pas rare qu'un PJ conslitue à
lui seul le point ceniral d'une intrigue fce qui est parfai-
tement acceptable pour peu que le Maitre du Jeu s'as
environnements périlleux pour traiter avec des seigneurs
du crime, à récupérer des produits dans des planques ou
à se cacher pour échapp-er à des poursuivants. Dans ces
siluations extremes, un Eclaireur se révèle toujours très
sure que ce ne soit pas [oujours le même], le MJ devrait ulile Les Nêgociants, quant à eux, fonl des compagnons
faire en sorte de donner à chacun I'occasion d'utiliser ses idéaux pour les Contrebandiers, tout particulièremenl si
compêtences et ses lalenls, sans laisser aucun joueur en ces derniers aiment prendre des risques sans etre douês
dehors de l'action. pour les allaires ou l'étiquette Après loul, qu'est-ce que 1a
Le MJ peut recourir à des stratégies variêes pour im contrebande sinon un commerce à haut risque ?
pliquer les PJ dans des avenlures de contrebande Si les
envisager toutes en ces pages relève de l'impossible, cer- M§Kfr§T§AâRË
taines carrières oflrent des compétences el des lalents Si la mission de contrebande idéale se déroule sans ac
extrêmement utiles dans certaines situations crochage, il est rare que les êvénemenls se déroulent se-
lon le plan quand rl esl questron d'activilés illégales. Le
cffie§sffiMffi§ æffi pffi§§wffis rôle principal du Mercenaire consisie à protêger la car-
Bien que les Chasseurs de primes et les Contrebandiers gaison contre les pirates et les pillards, mais sa présence
soient par défaut des adversaires notoires, leurs capa- suffit souvent à dêcourager d'éventuels adversaires. Dans
cites se complètent harmonieusement. En traquant les les rudes spalloports de la Bordure Extérieure, même les
hors-la-loi qui s'adonnent à la contrebande, les Chas- forces de l'ordre préfèrent éviier de molester les colosses
seurs de primes rêcoltent fréquemment des informations en arrnes et les combattants à l'aspect redoutable En
bien uliles sur la pègre galactique et le commerce illé- outre, un Mercenaire menaÇant peut se révéler être un
gal. Cela peut donner un bon aperçu des mélhodes des atout apprêciable lors d'une nêgociation tendue, et dis-
con[rebandiers concurrents, et il est même possrble de suader un employeur ou un client de trahir le groupe.
les retirer de la circulation tout en empochant des primes
au passage. T§Cr§ru§e§§ru
La simple présence d'un Chasseur de primes peut se La présence d'un lèchnicien constitue un atout consi-
révéler bénéfique lors d'une opération de conlrebande : dérable pour toul Contrebandier En effet, ce dernier ne
les autorités ne tiennent pas cette carrière en haute es- peu[ opêrer sans son vaisseau, et disposer d'un Mêcani-
time, mais elles ne s'attendent pas à voir un de ses re cien talentueux permet au prêcieux engin de voler sans
présentants s'adonner à une telle activité. Avec un peu accroc Chacun sart qu'un appareil ameliorê est la clé de
de chance, elles fermeronl même les Veux sur le tralrc Ia rêussile pour un Contrebandier, et avec un Tech hors-
de l'êquipe. la-loi à bord, le capitaine peut réaliser des économies

LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


AUCT.IE OIJEITIOT IXDISCRETE
rrEdfstof,l xolJslno txn:xlu
srurvrlv s3'l l-Nos 5lÈtvlrv s3-r
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'l0l..rOJU0r 0s êp rOss0l lu0^ 0u suoll sln0l rrnour sueB sêp n^ luo slr,s lnolrns 'a1e8g11t Qlt^tlle oun
'orrsJJe,p -rêrl os rnod QLUrs uorq lroredde rnol ap solueLU rolrêxo q ouQLU rnb er erpuerdLr-rol op selqeder stolted
- ro]Jad sal rns JOldLUol ro^ap luo^ slr Qo apueqoiluol êp luos oJnouQlxf ornproB el suep tpuelS 1uo tnb suolo3 sel
suorlerodo sop lu nv sê9^ud souoluesteld sop ? soluor 'llp lrol rarpueqorluoJ np Iol el ap 1ue:8e11 st-tdQu el te
-oJÇr op 13 onbruqrêl uoSreI op oSuelQLu un,p onjl]suol so?r?prsuolur anbsu ap sesud sa1 luoLUêulelrol eta,rnold
'slnês xna,p srJdLUol oSeSuel un ? oluesslEU lêuuop desQp er8Qlur eleuo1d16 un no enbQulotlqtq es suep
red luossruU slr 'suorlerorlOLUe,p lo suoll€ledgJ êp 'aBel sdLual uos assed rnb lrpnr! un 'osnolepupls luaLuetdotd
olrJq ap orol q luagrl ua no'ul8uo rnol ap sQlllUluol QIL^rlle oun lso 0pueqOJluol el'suoLol sulelr0l Jnod
-xo solrlad sal luêr^nolQp soJQduror sol onb êrnsou] v
'orpuordLUol sR§*Y#§ À§ §ffi æ $ffi reWæ§â§"§-ruffi*
luo^nod spuolas so! slnês onb luêLUOl.l)elle
un 'neossre^ lnol E êrQlurs uorlloJ]e 0un lu0no^ slalLU rêpe^? 0Jrel êl
ard sol ureLUournol un uo QlltLUP,p luo^nos luoll os Inb op lue^e euud e1 req:odure rnod letpueqerluo3 ol rêr^tl
'suêDruLllol xne lo srorpueqoJluof xnP gldepe luotllorQll
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nltlred lsê ê3epe lêf « olqLUOSSE,s olquJêssoJ oS IllQ » -qr1nrr1"red sedrnb? sop'orlno ul solueuuorssed suotlenl
§§§ t§ ruW§§SÀ§§ æ3 'rs sêp orlleu e'lre1 lua,nnad lo IeLr op sed luol ou suolsuol
§ ruâ §3 I § Fa3=À -8"=
senblanb 'luplÇ elôf lorpueqêrluo3 fd un orluol louinol
i luopllle .led uos er es ç serur.rd op rnêsseq3 p6 un sed luouQL! ou slua[J
-re8rel el o8euuJopuo lrslndLUr o8euuosrêd un IS luotuoJ ouQ^Q sol anb elros uê oreJ e- gll^u! lsê fl4 0l '0lt€Jluol
-Qrlnlrlred lnol'odrnbQ,l op utas ne uolsuol ouleJrol oun sel ol suep sreLU'aur0lul lllluol lêl un,p l0poulLLlolle,s
rruolêrluo luo^nêd suorsuassrp sollol oc xnelnrq luoLUOJ lue,tned sLnanol ap dnorneeg a,tnaLdg opnt ? otrapereu
-El allol êrllaLU op alqrlde:sns lso êsuoduJolgl essor8
Qrlnrrlred sorrEUêlrêl/\ sutelrêl êp êpnlllle,l ls^e uollllp
erluol uo -ra.rlua JUOAnod s1uelot,t-uou srolpueqolluol oun,p ossêulord e1'edtnbg oUJQLU el suep luellte^erl
sap suorJ)l^uol sêl 'luepuodo] u slutod sol lueldLUol » uê solqrl)êJOpur suêrl sop rossll lue,tned sa8euuosred
uo orro^'sanbrlPqorle srrl sol luBlldlllnLU uo arln€,1 ênb ap sedÂl xnêp sêl rS rorpueqortuol fd un,p a.rnlde: e1
xnarLU orrEj € oqlr0r.ll unlPql'srol sQC êL?)ltuB Qllle^lr rnod ag,telq esuedL-uolgl eun esodord tu.touua un,nbslol
oun rêddolo^Qp lua^nod slr 'êtQl e olQl luolleqLUol ]a luassr8rns slrl1uol slol 0C ll0l eqog no opêorD lole
olqLUOSUo Srnuuo sol luoqlroqr slt,nbsrol [xtoqr.lnel olos ueH op sêroq9p sêl êrQprsuol uo,1 ts lueueldlns
êp êLUrE Olnol no) ralselq un la^e Qlollqell rnal êp 01 op uau 8,u elaJ srêlpueq0rluoJ sêl lO^e lllJUol uê lu0A
-nos luorluo seu;ud ep srnasseq3 sol'sêrteluoulQlduor
-reg apue;3 oun luoll sêrreualJOLN sol la soJOlolsrd sol
JUa^nos luêros sêluêlQdLUOr lê sluêlel slnol anb uatg
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rol-el sroLl Âæ §ê§æËffiruwæ§ffii"&.*æ3
aurelrdel un p sQlrArlle se1 ted QSUOJJO luaLUOpuoJOJd
stD/\A tDlS erxeleB el suep alqeUrlu0pt luêu.loltleJ ls0
e:lQ-lnad eres e1e3ç1 le enbrLpg orQruBLr op arJêLtiLUOl
uos ranbrlerd ep an8rel as rnb npr,upur un 'êulue^oJ uf êlQr ol luop sedÂ1qq:re sop e luopuodserror sorQrlEl
'lolnoq oLes np no enbrlsr8ol el ep 'eSeloltd np adnrro,s sêl 'lnol sqLdy edrnbg,l op sêrqLUaLU orluo sêrnlnJ suotl
lerolur sol radr:11ue,p luellaured sêltput sop ltutnoJ
1r,nb rnod rorpueqêrluol un e;reuelred oLULUol euuald
'sopueLl)reLLr suorllesuprl sêl rns Qrluê)uor'luetroSgy sarQuiel sop xroql a1'enbrun lros p6 anbeqr enb uatg
un,nb rssne ê^ure II guBrolQ olsor uo sQluolnp sep p.teB 'saBeuuosred
-ar e1 enb UUE opueqorluor ep uorle;gdo aun ? QllLUltlSQl sorlne sop sollal ? sagnBnluor sarugut nal ep sgltltqtssod
.edtnbg
êp sruro^ un"lalrodde lned elqelredser lue5reruu-rol un sop luoJAno suolllE 1a sgir:ede: 'sopnltlle slnel
: srarpueqêrlu0J s0l la^e Olualuê,p ureroJ un J0^n0Jl eun,p enbrueuÂp e1 suep luo^ulsur,s slr luop oTQIUeLU el
ep salqrldersns luos s1uerro3951 srneleroldx3 sa-1 rorpnlQ,p luel.todu,rr lueLreleSg orQAe,s It steu'ednoLB ne
se111n sglrreder 1e sarualgdruol sêsilorqLLlou ep luelrod
Qtgnos el êp lo lol Bl op a8reu ue rergdo -de s11 -rr8ereiur lue,rnad s1r rnb ra,ne lNd sol tured no 16
lo 'neassre^ a:doLd rnel ap êlQl el q erueLQlQLd op 'orlne,l sêp uros ne lros ol anb'rutan1,r ro sNllNo) xny,p seu8ed
? opuouJ un,p ra8eÂo,t luarQlO.ld sJOrpueqorluoJ sêl 'nu -LLrel sêl salnol enbsard suep lueLn8g srêrpueqoJluol
-uolur,l suep 1uo3uold srneleroldx! sal rs 'aqlue^êJ uf
sal 'sJDl!1 -ro15 erxeleS e1 ap senblleuqlque saSeuuos;e6
uorlpsrlr^n e1 ep leier urplrol un le e8eÂo,t e1 rnod lueqr
-ued un 'erq11 ludse un unLULLrol uo luo solQlre: sar rnod
lueldo rnb snpr^lpur sêl snl{loll soLuole sap luorlnol rdtnbg,'t SNVG
op ês srnêlproldx3 sa1 la srarpuEqarluoJ sal 'luolnoS SUSIONVSIUINOf, 5T1
§æ f§§-*"w§ *
æTdK§ Àæ §§3 § r"§wffi §ffi "§"F* *3
rê}ls un,p arLel-Io^es êl
'unl?ql op suorllrAUol sol lo Qlrl€uuosrecl e1 uoles 'qtiture .lerrQrdde ? êlr^ sQrt e-rpueLdde ll 'SSOS np uorlredsut,l
oun arro^'xnê aJJUa ned q ned reddole,tgp es lnad lred e 0rll0LUn0s 0s sues neossre^ np 0luelll el lalêAnouol
-sêr un : rêrpueqorlu03 un rnod solrln sêluêlQduror ep no suorlelsore sês ep a)erl olnol ra:e114 elteqnos tnbr
luassrnol seleuuoldrq se1 nduoror lueueura,tnoB un,p ednol8 ne luenO OIQ-r uos -rrldLue"r Lnod grure le aptdet
Snol e1 snos mJJnos no leu9dlut snlolq un € olrns ureJ op luêLULr-resUJns lros urBuo,l enb elros uo luest€J uê lnol
TRAVAILLER trANS 1.A
C§NTRE§ATUN§
fI rava ller dans la contrebande n'est pas donnê à tout et les lrouver peul nécessiler l'inlervention du resle de
le monde : il s'ag t d'une aclivtté délicate et dange 1'êquipe, toul en donnant à ses membres une occasion de
reuse, et ceux qui la pratiquent se retrouvent bien sou briller dans une mission relative à la contrebande. La plu-
vent pris en tenaille entre les représentants de la lot et parl du temps, les PJ devronl employer ieurs [alents, acti-
les barons du crime. Seuls des individus lalentueux et ver leurs réseaux, se procurer la marchandise eux-mêmes
capables de garder la lête froide peuvenl s'acquitter des ou s'appuyer sur leurs avenlures passées. Dans certains
dangereuses expêditlons et empocher les crédits qui cas, un Contrebandier peul accepter de transporter une
viennent récompenser les risques encourus. Nombre de cargaison dangereuse pour s'acquitter d'une Obligalion.
Contrebandiers se contentent de maintenir leur vaisseau
Les chargements qui lransilent le plus souvent par les
en état sans aggraver leurs dettes. D'autres nourrissent
des ambitions plus affirmées:certains convoilent réseaux de conlrebande sonl nalurellement illégaux:
un
les lrafics d'armes et d'épices constituent des activités
nouvel hyperdrive ou ont dans l'idêe de bâtir leur propre
particulièrement lucratives. Tous les objets du marchê
empire du crime.
noir présentês à partir de Ia page l85 du Livre de règles
d'Aux Corurlrus or l'Errrprne peuvenl conslituer une car-
LE BUSINESS DE gaison potentielle. Par ailleurs, les Contrebandiers trans-
portent régulièrement des marchandises légales pour le
* 1A CONTREBANDE compte d'organismes criminels, ou parlois de corpora,
Un PJ Contrebandier a besoin de deux éléments pour lions légitimes qui veulent dégager un meilleur bênêlrce
{F en évitant les laxes et autres tarils douaniers. D'autres
faire son lravai] :un vaisseau et une cargalson. Selon
toute vraisemlllance, il dispose dé1à d'un appareil, le sien indjvidus, motivés par des considérations plus nobles,
peuvent tenter de livrer du matêrieL mêdical à une pla

t
ou celui qu'il partage avec le reste du groupe. Mais il lui
'dL,r erco e rett"e la 'na.r sur ute ca ga so,. nète placée sous blocus par l'Empire, de libérer des es
claves, ou encore de transporter des informalrons ou des
agents pour e compte de I'Alliance Rebelle.
irffi *§"âês§æ * {§ "rffi&BP&§ L
ti
Les Contrebandiers expérimentés ont accumulê des rela
§§{§àâ#§ ffi ë_§ p,&* ffi &€ §ru?
tions au sein de la pègre, des connaissances qui peuvent
leur confier directemenl une cargaison ou les diriger vers La Table 5-l : Commission sur la cargaison indique
un client intéressé par leurs services. Les chargements aux PJ le proirt qu'lls peuvent espérer tirer des missions
les plus inléressants ont parlois des origines inaltendues, de contrebande. Pour déterminer la rareté e[ la valeur to-
tale des biens concernês, le MJ doit se reporler au Cha-
pitre V : Matériel et équipement du Livre de règles
d'Aux Corurrrs or l'EvprRe (ou au supplément dans le-
§AR6B THARTE§ quel 1'objet concernê fait son apparilion) Ensuite, il peut
délerminer le pourcenlage du total que les PJ recevronl
ll n cargo charter est un vaisseaLt cargo qui ne suit à la livraison, en se réfêranl à la lable Table 5-1. Si ne
ll pas d'il'inéraires rêcurrents. ni ne rejoint de port cessaire, iL adaptera la raretê de la cargaison en lonction
O aLtache patticulier. Pour des raisons evidentes la de la destination (voir p 1 50 du Livre de règles d'Aux
pluparL des vaisseaux de conLrebande opèrenL olfi Corurrr'rs oe l'Err,ternr). Selon que ie chargement est iilégal
ciellemenL en lanl que cargos charler. Ce staIut leur ou pas sur le monde de destinalion, le Maltre du Jeu
permet de se dêplacer libremenL de potl en por[ devra se reporter à la colonne adéquate
eL de planète en planête sous couverL de Iégitimi
Des négociatrons réussies (ou calamiteuses) avec
le. Cela elanl. emprunler un ;Linêraire ( onnLL peuI
l'employeur polenliel, ainsi que divers autres lacteurs,
se rêveler avanLageux pour ùn Contrebandier, dans
peuvent influer sur le profit des PJ. Une fois que le MJ
la mesure ou son appareil arlire moins laLLenlion
a dêtermrné la récompense par dêfaul qui leur sera of-
des aLrloriles porluaires. Fn elfet, quand ces der-
nières voienl certains vaisseaux rêgulièremenL. elles
ferte à l'lssue du contrat, li peut se référer à Ia Table
s'en me[ienl beaucoup moins pour peu que les 3-2 : Modificateurs de commission pour déterminer
quel pourcentage de cetle valeur de base ils peuvent ga
equipages ne so enl pas des [auleurs de Lroubles
gner [ou perdre) à la table des négociations. Leur perlor-
notoires. Bren souvenl, les ConIrebandiers qui se
retrouvenl aux commandes d'un cargo charler ont mance durant 1a mission alfecte également le rnontant
débuLe leur carriere dans le Lransport de tret of li de la commission. Le MJ peut utiliser cette Table comme
cier, arpentant des roules prédelinies. Par la suite,
poinl de départ, et y ajouter les facteurs qu'il considère
ils onL dù accepter une cargaison « speciale » sous pertinenls ou intéressants au sujet du travatl en cours.
la press on d individus ou de groupes criminels. par Une fois le momenl venu de payer Ies PJ (générale-
nécessirê linancière oLr toui simplement par appal ment à la livraison), le MJ applique à la commission tous
du garn. les modificateurs tirés de la Table 5-2 : Modificateurs
sarlQrd ep ou.lLuol suoster sel ralQplsuol ? aluepuol
luo srarpueqêrluol sol luatoldrue tnb suotleslue8ro se1
lê aLUul np suoreq sol 'luoLuosnarnoqlel4 eletlqdrut
allrnorled oun,p asnel q uoste8ter el ap losselleqQp 0s
ap alurerluol 919 e adrnbg,l no 'seleLtd sep red Qploqe
Ql? êrlolnad e neassre,r a1 : luaLla8r€Ltrl uos Jêlnll ap
suep stol;ed ê^norl os eSedtnbQ un
91r1rqrssodrur,1
ru*#üwtrêÉ3 Ë# s§ffiæTffi#æÆ
'opueqêrluol aP lg€rl nP slradse
soJlne sal snol red luessed uê aJUa^ el Q luêLU0u
-uorsr,nordde,l ap suotlergdo sLnal rt8relg rergdse
lue,tned 'seluelrodrut sallnossar ep la uotlelndQ-t
aprlos êun,p luesstnoI tnb xnar 'sgluaut.tgdxe snld sa1
srarpueqarluol sol slnas 'elerguo8 el8qL u3 xtrd ep sroq
sanbrpunl srolltosuo) sap no snduuot.tol slallUJo s0p
'sollêurLUul suotlesrueS:o sêp slo^uê suotleBtlqg sa11e,t
-nou ap ;elderre erlQ-lned luolnap le 'sOr?dsa sltpÇl:
.:;li', :: OOUdolddB OBnl sap 91r1er391ut,l arlo^ 'etyed eun arprad ap salqtldersns
nA al ê'b atrtseu- êrlr? d,'or e è)?l èilel ro luê|, ' ,n luos saBeuuosrad sel 'suorlenlts sê1101 0p onssl,l Y ld sal
,pd vrr.l p âqr rrJlJ 2 ê rr .0è ênb,ll^no)êO idtüO-Ll8'e ;ernlder lo srnaloLlle sap lnod ressed allel as lue,tned
xneugdr-ur slua8e sep no 'sQlltoln€ sol la^e eSnqelS lnol
sal suollellldLLlol sol a,\nou op ua^ou ne oJlolslq,l llLll relr,to rnod ur,t-ap-lod luelodrur un ;aBtxe lê ollolllêl
IJUê,p olueql oun aL!LUOI sleLri'uolllund êun oLULUOI uos rns euQu.r ednot8 al enb s9lr,trlre sep lenbsn,qo,s
lnad euuur np uorEq un solUguQq stnel:alouBuB ep uge
ïli'.i:'*,i:331;,X'iiliJi,ïifl i?.'i.igiJ'liiii.: sallarluelsq ns s u otlerrld u.to: sap êll nporlul,p orql I lso f lA
sas la,rna,,\oliLr-ra,l ap glrleuuostad el 'suotq sêp lnêleA êl lo 'luerl np ade19 enbeqr ap reSleqr es sed eu ep
el alduo: ua a-touard tnad [[,\ ol 'êln]eu rnêl op rêpll suosrer sasnorquou ap luo srolpueqaJluol sol 'J0s uolE
Êp rnod saLqe9r8esÊp saruanbgsuo: sop.llqns € êrpuol 'lEurdr ra,r ro sNrrNoJ xny,p sa18q.r op a]All np gg 1 d e1 q
-le,s luo^Lop sLr '(luol ol s I.s aLUQLU stoj.ied la) uollPnlls êlroLUuJol al rns salSQr sal rlo^J solUQUQq s;na1 relluoB ap
e1 luaruaprdeL sed luessatpal au so8euuosLad sal t5 selqeder luoros slt 'sauJoLu-xno alpual al op io rnoloqle
'ln0le^ 0p lu0Ll.l un ro^norl êp luele 'lerre]9rrdo.rd luepo:OLd rnel red
-e8req: un p aUed el êp solqesuodsaL lueuallauuosrad soQuuopueqe luoLuollanluo^Q no soQlo^ soslpueq)rPLU
rnod [,] sal ?rpuotl rnaÂo1due,1 'sel sêp fednld el sueC sep) lrpQLr lnas un rosJnoq?p sues 'suaÂouu saldold srnel
'a:uerled lna1 rnod sÇlndOt sed luos ou slt lo'sosnlxo recl luaura8reql un luouuotlqo se8euuosled sa1 t5 sor8
ap xr.rd ne uoste8ler el luolQqle slt,nbsrol no 'lnepuo^
un lo rnolaqle un allua êJI3lpÇu]lOlul 0LUulol JUêl^næ
'uosle;lel uolsslLU
[sa]rad sal uolas) s1r,nbs.ro1 ruolqo tergdsa lua,tned 16 sel anb
snld no 9,0 gy - e1 ep ar;ed aun luap:ad ç6 sa1 -LUol el luenbrpur L t olqel el ap sê8eluêlrnod sol
p.rElêr ap IroL 'uorlsanb ue uosteBLel e; rnod
_ied oo aL suep an,rgLd êl?p el sQrde lua^ure fd sal
'lPrtuol al
sJnolleJ sol BrourpoL! fl/N 0l 'lue0qlQ sel êl 91êrer ln0l
atue,ne,p-lnol
led o/b + suep en,rgrd alep el lua^e tuaÀurs ld sal no JnêleA rnel radLuuB eltel iue,tned sonpuolleul solelol
0l s?^010 luOLU0rQIlnlll
'anouollan o soluelsuollll sorlnE,p'slnollle led
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aun,p asr.rdura,l snos lsa uotleutlsap Pl op êpuoLu e1 anb sutoru e 'lU€Jl un,p 1elqo,1 JuoLUaJer
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SHnltYlllNmllhl I a-E l1§vt Ntl§SlWtr{01 : }-E :llgVl
LES RTSQUES DU METTER sonl passés en revue. Chacun de ces aspects esl regi par
des normes innombrables qui changenl en permanence.
Ouoi qu'on en dise, pratiquer la contrebande ne per- Tout capitaine, mêrne avec les meilleures intentions du
met pas de s'enrichir aisément, et ceux qui alfirment le monde, est susceptible de violer sans le savoir l'une ou
contraire sont des menteurs. Les contrebandiers passent l'autre de ces lois obscures.
leur temps à se prêcipiter au-devant du danger et ren Les Douanes constituent avant tout une lorce de po-
contrent de nombreux obstacles imprévus dans l'exer- lice : elles ont touie autorité pour confisquer Ies carga
cice de leurs activilés : même une course apparemmenI sons, arrêter l'équipage et les passagers, voire saisir les
simple peut se révéler terriblement compliquêe quand appareils. En outre, leurs olficiers n'hêsitent pas à laire
il faut agir dans l'urgence. Un bon capitaine doit savoir ouvrir Ie feu sur ceux qui ne se plient pas à leurs direc-
ajusler son plan de vol en cas d'événements inattendus. tives. Si les contrôles d'immatriculation des vaisseaux et
Pour quiconque pratique la conlrebande, il existe un en- des capitaines reviennent aux agents des douanes, c'est
nemi encore plus redoutable que les rivaux, les pirales le BOSS qui conserve el gère ce genre d'informations
et les chasseurs de primes:l'appareil bureaucratique
qui supervise les voyages spatiaux et le commerce ga- Læ æ#ffiKé{§J æTF§q*§L ffiffi§
lactique, avec sa ribambelle de règles et de régulations.
§§mw'§ §§§ §?ffi §.1ê§ m§§ {ffi ffi §§}
Si le ministère de l'Espace Impérial inspecte et certifie
L§ æ§Râ&§"§ §E§ §&&§&ru§S IMPEM'&Lffi§ les ports et les stations spatiales, le Bureau Ofliciel des
Pour un contrebandier, le Bureau des Douanes lmpê- Services Spatiaux, plus connu sous l'acronyme de BOSS,
riales représente l'une des menaces les plus sérieuses, esl l'organisation non gouvernementale qui fournit leur
mais il s'agit égalemenl du facleur principal qui rend Ia atteslation aux capitaines et immalricule les vaisseaux.
contrebande si lucrative. Le BDI est l'agence chargee ll enregistre aussi tous les codes transpondeurs ainsr que
{} de faire respecter les lois et les régulations sur le com- les modifications apportées aux appareils, ce qui com-
merce inlerstellaire, de collecter Ies taxes douanières et prend l'armement et les boucliers. Pour plus d'informa
* de sanctionner le trafic de marchandises illêgales. Même tions sur ces sujets, voir p 584 du Livre de règles d'Aux
si la Marine lmpériale prend souvent en charge Ia lutte Corurtus or l'Evprnr.
contre la conlrebande, 1a galaxie est bien trop vaste pour
qu'elle puisse en surveiller l'intêgralité Elle ne dispose lValgré sa taille et ses moyens, le BOSS ne peul pas
constituer d'archives efficaces sans Ia coopération des
tout simplement pas des ressources nécessalres pour
êquipages : Ie nombre d'appareils en service dans la ga
surveiller chaque hypervoie et chaque spalioport, tout
laxie est bien trop important. Les capitaines qui ont mo-
particulièremenl dans la Bordure Exténeure. Le Bureau
difié leur vaisseau eux-mêmes ou avec l'aide de techni-
des Douanes s'en charge donc à l'aide de sa propre floite
ciens hors la-loi peuvent échapper quelques années aux
de corvettes et de vaisseaux de patrouille lêgers. Certes,
inspections du Bureau, mais tôt ou tard, lLs doivent mettre
ces vaisseaux sont netlernent moins intimidants que les
à jour le dossier de leur engin et leur licence de vol Dès
destroyers impériaux, mais ils n'en sont pas moins ca
lors. ils sont confrontés à un dilemme:se soumettre à une
pables de surpasser en vrtesse el en puissance de feu
inspection ou laire falsifrer quelques documents. Pour les
la plupart des navires cargos utilisés par les conlreban-
contrebandiers, qui ont souvent des douzaines d'infrac-
diers, Ies pirates et même les Rebelles
tions à leur actif et volen[ à bord de vaisseaux modifies
La plupart des systèmes soumis à des patrouilles des illégalemenl, le choix se résume à une seule possibilité
Douanes lmpériales disposent d'au moins un vaisseau
Pour falsilier les archives, il faut employer un slicer assez
qui y stationne de manière permanente. Cependant, les
doué pour s'introdurre dans le réseau du BOSS. Iorga-
syslèmes majeurs et les plaques tournantes commer-
nisalion, véritable struclure familiale forte d'une histoire
ciales accueillent de veritables flottilles douanières. Tout
monde qui pratique un commerce lêgal régulier ou traîne
de I 8 000 ans, se targue de maintenir la corruption à
un niveau beaucoup plus bas en son sein que Ies aulres
une rêputation de laxisme à l'égard de la contrebande
administralions. Cela drt, elle n'en est pas à l'abri pour au-
doit s'accommoder d'un bureau ou d'une présence
quelconque des Douanes lmpériales. Selon le lleu, elles tant et avec un peu de chance, un bureaucrate du BOSS
peuvent ceuvrer depuis un modeste bureau inslallé dans acceptera un pot-de-vin s'il est sufisamment alléchant
un spatioport stratêgique ou depuis leur propre station TAELETTE DE BORD DU BOSS
spatiale, voire Ies deux.
Tous les vaisseaux disposent d'une tablette de bord oftr-
La loi impériale autorise les patrouilles clouanières à cielle qui renferme loutes sortes d'informations utiles sur
intercepler et à aborder lout vaisseau. Elles n'ont pas le vaisseau et son capitaine. Lorsqu'un appareil est abor-
besoin de motif, ni même de soupÇonner l'équipage d'un dé par les lorces impériaies, les oflrciers des douanes ou
appareil d'activités illégales. Les équipes d'intervention, la police locale, l'équipage est supposé la présenter Les
qui comprennent parfois des stormtroopers dans les lonctionnaires et les militaires disposent d'un accès direct
zones notoirement riches en lrafic clandestin, vérifient aux archives du BOSS. Si les informations qui figurent
que le vaisseau s'est soumis aux formalités légales : dans la tablette ne correspondent pas aux archives, le ca-
conlormité des codes de transpondeut validité des li- pitaine risque gros. Pour cette raison, un contrebandier
cences et des immatriculations [comprenant une tablette qui souhaite faire laisifier les archives doil agir direcle-
de bord issue du BOSS, cf. plus bas). Par ailleurs, Ies mo- ment à la source. Malheureusement, s'introduire dans le
dilications techniques de l'appareil, le respect des règles rêseau informalique du BOSS est pratiquement impos
de sêcurité, la cargaison, l'équipage et les passagers sible. Cela dit, si l'agence à l'origine de l'enquête n'a pas

LE5 AFFAIRES SONT LEs AFFAIRES


AT.ICUI{E OI,ESTK'X IXDISCRÈIE

I
3rEÈ)stOXl tolJsgno r{n:»mÉ
s3Ètvrlv sl'l rNoS sfulvllv 53'l
i lroreddE rnol rns ulou un arlloul sed asslnd ou uo,nb lsa os sll^n xneossreA sep llednld 3l 'êltssn9l êp se) uf nuo^
luelrodurr,l 'soleSQIll sQll^lll3 srnol luouQUJ sll,nb srole rerLuard np aQlLod el ? sed 1se,u ltoldxa lal 'sloJalnof
uorluolle,l ,rorrlle,p olrodLUlrnol nêd : onbsll al êp u luoJ 'un luoLUerQrlue .rereldulal uê,p no'sertelueurglddns
srêLpueqarluol surelral srnêsuos op oglrod Q soLUlrd op srnapuodsueLl sopol op neassl€^ un lolop ap selqed
srn0sseLll s0p no sQllrolne s0p uolluêlle,l :lu3[ra]elpQul -pl luos xnênluêlel luoLrtorQllnltlred sle:t;s sulPlraJ
u-il eJêrrlle lo olqrsrA sQll lsê ênblleld ollol aun 'orlno sunsoNodsNvur Sroof 530 ullrnorv
ul ,raursleJ ol êp ênb le8olll ISSne lso rilopuodsuell êpol
un rolnLLlrssrp '1p Ilêl (| ) ueÂo6 enbruer9141 ap AArC-l un juoLUOltlUJtp eroltLUl 1r,nb sleLu 'enbtleurolut
no anblleuroJul,p lsol un altssolQu luelstxa 0pol un leu8rs uos tueUlpoul ua OOg L1^ arlne un rnod Lassed
ioqlel neolnou un .toQll ue,p enb neosslPA un,p lnop êreJ os q Jtssn?r 0p solueql sasnolrQs êp e 00911^
-uodsuerl êpol êl .;enbseul op oltrel snld lse Il 'uUU: raBQI o8rer un,nb agtuBrs Plêl 'luou.lolQrruoS 'anbtluept
enbserd « alulêrduJa » oun luaSslrPd (alduexe led elQp
rurdrara,'r ro sNIlNo3 xny,p sa18ql op êlAIl np
-ou.r oLUQLU un,p xneossle^ xnopl salqelqLUas slneslndord
gg6 d sanb111;r s19â9p sop slellnsgu : 6-t alqel el
ep sgcltnbg xneêsste^ suteJlêl steL-u 'enbtun lse arnleuSts
rns 1al un srole zonllêl1! rnoloLU ne salqe.ledglrl se8eut
anbeq3 srneloLU sap QltAIlle,l op onssl allenptsQr anbtl
LUop sop ra3r11ur lnad @ enb srpuel'anbtuelÇLU ssarls
g8reuq arnleuBts aun le (« rnapuodsuEll opol » 0p ulou
ap slurod sap rouuotsel:o lue,tnad lsol np slol sQrQuOB
(0OOO) al snos JUOurure;nol lueu8rs9p salneuolleds sol ênll oll
.ë) set '[4 np uor]Çrrsrp elv lauuolldacxl enbrleurolut leuBts un : satlred xnap op Juasodu-Lo: as
lsel un lrarnbar xnoutunlo^ snld lteredde un,p arnleuSts
un
n xnal 'sopor sap uotl€lUISleJ el lolt^O rno6 1e3911t 1ueu,t
e1 rerdor 'oqlue^ar ul (l O | ) rueRpultul lsot -olplol rssne lso,l 'êLUQul-tn1 uorslndo.rd ap ouuQlsÂs al
alrssalOU êssell oLUQLU el ap alQpoLU un rnod neossle^
re8eruruopue,p luêLUêlnas sed anbstt au rnapuodsuerl
e1 ressed orel ap -rotuêI fd sap lieredde,l op ollol 10
un renbge4 e8erLeugp rnêl sQp arueueu;ed uo suoll
are1o-rluol e neêssreA np anbtlgSrauç elnleuSls el olluê -eLUroJUr sol luêsnJJlp lê neossl€^ un,p senbtutLunlqns
oluo.r?llrp e] ap puadgp enbtuecgl4l ep lsal np gllnlU
srnoloLU sol suep sQ;3?lur luos srnopuodsuerl sal
Jrp el sluêueurad saSeruuop sop rouuolsello,p anbstr
'saleloi sQll".l0lne s0p
ne'rnoloLr-r al rol1neLllrns srol.red 1uo1 seQl"todde suotl
-ellJrpoLU sal . asnareBuep lê oltrUltp 1se uotlelndtueu aQIod el € luoLuoier luos sasnêl!01 l0 s0Qlue^P ISSne
ollêr sreLU'slreredde sêllne,p enbrlQ8reuQ ernleu8ts e1 salrnossêr sêp !o 'sglnlal sopuoLu sal lns lel^ snld elor
relrL-urrnod rnêlou-r al raUIpoLU ap elqtssod lso II ê^llElêl uo lsa,J erlleurad a1 es sed lue,tned ou slolluo soLUQl
êtnol lsê seldrllnLu sQltluopr sop ÇttlelUJO,l 'elqereduror ollo^'se1queld souleJral ap sQlilolne s0l
s,(s sureJrel ap
e-tnleu8rs êun lueluosgrd srneloru ep luesodstp etxele8 : sa^rLllre sap lnoI q soslu] sêp ]ueloqollLu 1!ol 0l lêLr-rns
el suep xneossre^ sanblenb slnas enbstnd 'oLllueAêJ u3 -se luo,tnad errlod e1 1a seletrgduut solioJ sol solnos 'êlBl
'srnapuodsue;l sêpol xnolqLUou ep leutse8eutuua lned -9uç3 e13qL ul SSOB np sa^tLjl.tP sol la^€ apor e1 lueled
-LLrol uo elqrssod 1sa eqssnod snld uotle:gu9A aun sleLU
lerteds Lreredde
un (0 lf ) rueRtutlul anb11er.u.ro;
-ul.p lsêl un rssnO.l ltop lL 'nPOAnou un red lnepuodsuerl 'aseq ep suorleLUloJLlt sal enbtunuruol rnopuodsuEll
opol un Lareldue; rnod (l I f) attrUltq anbluer np leuBrs o-l rla 'orrelQtrdo"rd uos ap Ollluopl,l 'edÂl uos
-9ÿ\l ap 'neasste^ ilp u]ou 0l :sêllln suolleLUloJUI sêSl0^{p 0ull0J
lsal un ronllollè ltop eBeuuosrad un'neas
-sreA un,p srnapuodsuerl saLuQlsÂs sol êlputolle rnod -uer 11 s;reredcle serlne sop s.tnêsuos xne lêLUSUe.ll Il,nb
'urBua,l ep Qlrluapr,p olrpl el eluesoldar apol oJ ralrol
uorJe,llstutLUpe,l ç glrodar QIO sed e,u lros
-,redQ.rsel op la outsn,p luoltos tnb xneesste,t sol snol
al luop srpur 'lrnrl9p ?l? e tnb utSua un,p soOUUoprool p .lnepuodsuerl opol un Lau8tsse,p a8req: es SSOB al
sal relunrdure lue,nnad slt 'srnolllB led SSOB np ne0s0-1
ne ra-r8Qlur,l rnod ralls un q ladde orteJ op lue^e Qllluopl unS0NodsNltul 30(,f
êssne1 oun ruop lueuuo)e1 os statpueqolluol xnolqLUou
(69 a8ed sdnploq te seâenbe;g no '51 e8ed sallanb
oC oQluo^Q luaureprde-r er1q,p enbstt êsnr rnêl 'uol39l e1
-oJ)so la sanbeu.ry lto^J Jjnlq ne utulaltrl un raÂer1 Â,s ap
suep lLlle lso ?lrluapt luelunrdua fd sal luop nPOSSIP^ al Is
'npuatuo uol€ no SSOB np aQSun)Çs uotlellelsut oun suep errol e1 red
OO ueÂo61 enblleur.ro;u;,p lsel un,nb orrnporlur,s op .roluol lue,tned p4 sa1 : elqlduo) oJnlua^e
rsure 'so-rressolgu luos sarnêLl srnotsnld 'elqtledLuor lueru
.neossts^ aun ronlrlsuol lned le 'ltqele ollne lnol un,p astLde;1ua
-a1re3red lra.redde un rê^norl rnod etdotd rnal ap
0un lsa ssoB np nEês?r 0l Jns luêLLloJl0llp rlua^rOlul
rarssop êl rosrlenlle la se?ssed sgllltlle slnol op 0lQrluol
un rrqns luo^rop slartuelod sJnolaq)e sal 'selQH SSOE ne 'se?rlst8arua sêOUuop sol raUtJQ^ ? JUeslA sêlual
slrpgrr OOOL lu€sro^ ua [saggtssep uou sollo] lueuenb -Çdr-uor op slsol suteqro-rd sop OllnllJJtp el arollOLLle IlaJ
-run) rnol € sosrLU sêquuop sel lueueleBQl rtuolqo lue,tnad 'uorluo^roJUr uos êp ote-ll oun osstel eSeuuos;ed e1 anb
.êlt^l0s sJoq
se8euuosred sa-1 e8ueqr êl rauuop tnod eqtold luoLlluJes egru8rs @ 'olrssnor 0p sel u! luolua^llluU?p
r11ns rnapuodsuell op lgo.ld ne sut8ua,p aqu8rod aun,nb 1e agl1uB tso a1êlqet e1 anb egtu8ts 4\'laLllQ,p sel u3
arxeleB el suep aJSrxê,u 1t,nb alqeqord lsê lt steut 'pres Oll|) luppttuttul enbtlerulo;u;,p lsal un êlrssolqu
eq ne sud olQpoLU oLUQLLT op lre"ledde un Lnod.le1do L6s allê qel ei rele.l d 'ê)nlse,p nad un:a,te luarueleBç11t alqtu
uerq lue,rnad sll SSOB np solrql.re xne ropQlle luo^lop -odsrp '5599 np uorxouuol ap ltltsodstp un,p oluosqe,l
u3 lenqds ornlulQ,p llod un,p anb tsute 'prepuels
ornllol
fd sol lolrLUr € elqtledLuo: neossteA un ltsloql rnod
ep 1lod un,p luesodstp SSOE np pr0q 0p s0ll0lqel s0l
SSOE ol red grlst8arue ?lÇp la enbtluapt enbsard rnal
oui ne lreredde un,p retssop ne luepuodsalo: lnapuod rnol q iuauelrelled 1se neas
-suerl 0pol xnel un .lOQrl ? êJSlsuol uollnl0s alnolllêLU sle^ np proq op êllolq€l e1 enb a19.r1uor ne luepQrord tnb
e1 sdural op uau un uo ot.taLllrodns e1 eltr,tnorAp SSOB xnêl orlure^uor ç rtue,ued lnad lnalred neêq un 'soQUUop
np so^rLllrp xn€ sQlle un,p luetlgOUQq ltodotleds un no op soseq sos op soJQllnSgl -rnol q sostLU sa1-ternsse;nod
lraLedde un sreLU 'opol neonnou e1 red reuteq luorêsstel uorlesrue8ro,l red seg8txa solueloqortut soLUulos sal 9Âed
LEs VOYAG E5 ITATUs L'HYPERESFACE
e succès des missions de contrebande
IL vitesse repose sur la TABLE 3-3 : MBIIIFIIATEURS
En plus de I'habitude qu'ont les clients d'im-
poser une date buloir, il ne faut pas oublier que plus le H'AsTRt] EATI I]N 5UFPI.ÉM ENTAI RE5
lravail se prolonge, plus l'équipage est susceptible de se Modiftrateurs " Exemple
faire prendre. S'acquitter d'un contrat rapidement per-
met en outre d'impressionner les employeurs, ce qut Ajoute .{:} Uastrogateur a effeclué des
automatrque au recherches supplémentaires à l'aide
augmenle les chances d'obtenir de nouveau du travail
de competence d'une carte stellaire.
et un meilleur salaire à l'avenir Bien que de nomlrreux
lacteurs influencent la durée d'une course, un capilaine Ajoute {:, {:)
habile et un hyperdrive rapide sont toujours bienvenus. Lastrogateur a lui-même emprunté
automatjqLles au lest
l'itinéraire récemrnent.
Si l'équipage connaît les bons raccourcis hyperspatiaux de compétence
et possède les compétences pour emprunter ces itiné-
Des débris spaiiaux prêsenls dans
raires risqués mais rapides, il aurait tort de s'en priver. Ajoure (§)
I'espace ordinaire projettent une
aulomatique au test
ombre massive non rêpertoriée sur la
de compêtence
LîRT DE L'ASTROGATION
A oute (ë (ô)
trajecloire du vaisseau.

Un êvénement célesle important a


Planifier un itinéraire à travers l'hyperespace nécessrle
F de rêussir un tesl d'Astrogation selon les dlrectives de
automatiques au tesl
de compétence
sérjeusement affecté la route depuis
la dernière vérifrcation.
la page 247 du Livre de règles d'Aux Conrrrus oe l'Ev-
prne. Cênéralement, c'est le naviordinateur d'un vaisseau Lhlrperdrive du varsseau est
* qui prend en charge les calculs requis pour eflectuer un
Améliore un de de
difflculté du test de
défectueux, ou l'apparell a pénétré
dans l'hyperespace trop près
* saut, mais ces syslèmes sophistiqués ne sont pas infail
libles. De nombreux facteurs, comme un naviordinateur
compétence
d'une planète.

endommagé ou une bulle gravitationnelle créêe par un


croiseur impérial de classe lnterdictar, peuvent augmen-
sont dangereux et complexes, et toutes sortes de cala-
ter la diflicullé d'un voyage à travers l'hyperespace. Afin
mités peuvent s'abattre sur un vaisseau. En revanche, le
de voyager sans risque, les contrebandiers ont tendance
talent d'un astrogateur, les performances d'un navlordi-
à alfuter leurs compétences ou à s'olfrir les services d'un
nateur ou un coup de chance peuvent avoir une inlluence
astrogateur qualifiô.
positive Pour détermrner i'issue d'un voyage dans I'hy-
La'l'lable 3-3 propose une nouvelle liste d'événemenls perespace, le MJ et les joueurs peuvent dêpenser les
dont Ie MJ peut se servir pour modifier Ie jel ou le résultat symboles obtenus lors du lest pour déclencher des elfels
d'un test d'Astrogation. Les voyages dans I'hyperespace positifs et négatifs, repris sur laTable 3-4.

TABLE 3-4 : UÉPEN§ER Lts t},, *, {§} ET ÿ t-ü§5 §E§ TE5T5 ü',ÂsTRE§AT§üFt
,f!ût' Bption:
$ Le personnage ajouteIau prochain test d'Astrogation qu'il effectuera sur Ie même itinêraire
{:,{? Le voyage se passe sans lncident. Chaque personnage à bord du vatsseau élim ne 2 points de stress

ê ou {} {i} {:}

ô rnême ittnéraire hyperspalial. Nombre d'individus et d'organisalions sont prets à payer cher pour drsposer des
coordonnées d'un tel raccourcl, lout particulièrernent s'il concerne une hypervore très fréquenlée

llYPerdrive subit une surcharge d'énergie. Le vaisseau subit 1 point de stress mécanique. Le personnage ajoute
! au prochain test d'Astrogation qu'il effectuera sur le même itinéraire.
Le voyage se passe particulièrement mal. Chaque personnage à borcl du vaisseau subit 2 poinls de stress.
Le vatsseau heurte un débris au sortir de I'hyperespace, ce qui inflige I point de dêgât cle coque à l'appareil.
Des mynocks se sont agrippés au vaisseau avant le saul dans l'hyperespace, ou duranl une escale clans l'espace
ordinaire. Lappareil sublt 3 polnls de stress mécanique. En outre, les PJ seront peut etre obligees de se
débarrasser eux memes des mynocks [voir p. 41 3 du Livre de règ]es d'Aux Corurrrvs oe r-'Erraprnr).
...........--.
En cas d'échec au tesl, les erreurs de calcul font dériver ie vaisseau. Celui ci émerge de I'hr,perespace clans un
ar!1rô
autre c\/ctÀfrô
système nr,
ou Àrnc
dans ln. profondeurs
les nrnfnnÀn,,ra glacêes
^l--^^-
n^ l'^.^--^
de i'espace, au
^,, chotx du t\4J. '

En cas de réussite au test, une ombre gravitationnelle oblige le vaisseau à quifier I'hyperespace prérnaturement
(I) (E) (E) ou V Une fois l'appareil dans l'espace ordrnaire, les personnages doivenl entreprendre un nouveau test dAstrogatron
pour atteindre leur destlnation d'origine
l

Le valsseau atteint sa deslination rnoins vite que prévu, ce qut allonge de 25 orb
[cetle
le temps de trajet estirné [cetle i
qu'une fois par tesr).
lgPu§:qlgll_t"lg -s9lgllpnnée
V Lhyperdrive s'arrête pour éviler une omllre gravitationnelle, mars ne ressort pas inciemne de a manceuvre Une ;
fois le vaisseau sortr de l'hyperespace, l'hyperdrive est hors d'usage jusqu'à ce qu'il soit réparê. i

Le vaisseau enlre en collision avec l'ombre gravitationnelle d'une planète oll subit un phénomène similaire.
vv Lappareil est contraint de sortir de I'hyperespace {probablement dans un endrott dangereuxJ. En outre, le
vaisseau subit immêdiatement un dêgât critique. Effectuez un jet sur la Table 7-9 : Résultats des dégâts
critiques de 1a (page 245 du Livre de règles d'Aux Corurnrs oe r-'Euerne) et aloutez +30 au résultat.
luc,tttttd ttrb sn,tlttclLlt soP
sltn sotti,r;onb onb ltlos ou
lneq snlri sltrtcP sltutelrlolrl
sc1 uotlr:3ot1se,P scllB.) si)l
rno[ q orilitur tnod sccÂPldt.ttc
i\rlU,rs
lllr,\ Sll^rll'llllr)lllr \J I I r
sreA sop F)tupue1s o8et tcL.ue.p
setnpc.rotcl scp tlotsello,l E uoll
. eilt,rr:tt cp stni)sttos silp soguuop
scl ollollol lerrodul oledsl,1 oP
o-lQlslultr ill 'li)lle u: oJLluop oto,uad
Âq aun rns scllessr:d sep otucnbgll
, el suPp il[)ls!r 0lqelolt .]nolJuJ allne un
steu 'sa8eÂo,t scp .luuoÂoui o.llnp el ..lns
ronol lue utcl.lol lned tlc:) ltqere oLr-lQLu np
qcuJLUou')llrl \.)rlllt' l,) .rll\Pl,l,rp r11'11 5,rp
raï^e,p uup srnolQp scnblanb .tJnllo1lo,p e-lles
-salôu sto1led lsc lt 'ôLUaLlt cC êlleulp.lo aledso,l
,: . '
suep luêAol q necsstpA ill .rclloJ luo,tnad soletled
-sradÂLl np sollêuuotle1t,nr:r8 scllPllloue sop otLll,Llo:)
, .salQueld sel i).r.1uo
sJnolleJ xno.tqLrlou op'sutoLLlLllJON
enbrsÂq<1 o)uElstp el cl) ltlJLUèll,rtlltesso ptl'rrlop co.rnp I?'l
arxelBS El ap se lel)lotl.lLLlol solnol sapue;3 snld but: scl
Jns sQnJrs ÿr.)/M tDlS ap s.lrlbtleu-lolquro sapuot.ll sulEllol
aJlu0 o8e^oA un,p cuuaÂoù o!).lnp el anblpul '91 e8ed
.'seqblpeleâ sorlElgull! xned!)uud : 9-9 olqel 'el
sêllê,nb solqËlou selQueld sol onb tsute 'ctxeleâ e1
. 1üor1gr
'o8ernno ap sonuuol snld sal êpuPq..lluol Jp s.rlo^ s.-rl.ra1uqrdule.
luasPld nP
gl
ê8Ed anb tsute ']urd] f ,1 30 Lnod éstnbar auuoÂou.L oQJnp el enbrpur epueQelluor
SNHNoJ xny,p sol8qr op ar^rl np ap sor!er9u!l! lo sornoultu salnou : s-9 alqel Pl
, .; tr1 oBEd snon-layodor 'uolleulro1 'aouuop uorleutlsap aun otputo[e; rtrod esscltn
-ur.p snld lnod lne§ o1 rèLedgrd rnod gstl e p p..rolol êl arlleq op luêluê1 tnb xnat lLtos xnarqt.uou
. eQr uol]PËollsv,p lsal np uollluo] u0 nualqo "'
1o seurelrd.e: so1 rured eu8qr uorltladuto) el renbstr as
lellnso.r clloUrpoLU stnd 'hsossle^ np anlrprad^Ll,l ap e slnos sol luos s1r sellanbsol tns sasnatJBuep IUo^nos
assell el red qnbrpur oseq êp sduiol ol zarldtllnuL 'assell saro,tradÂq.p lt8e.s lt sossed sol :1c St)rno)leJ sêl : suorl
q nlos sorlne,p Jns"a]llBqer os lu0Alop slalpueqalluol s.l.l
.êllnE oun,p aple,l leferl un,p allo?J oalnp el all]euuol
lnod L assell op anuplodÂq oun.p uolleslllln,l lns csod qo xneôrr'uud sarrerg'ut1t sal rns 1uc11rnôtled scural§Âs sop
or sErde r'r olrnlirpur se8eÂon sop auuoÂou oQ]np el êlpro,l e p scrrol sal 1a artdLt-t3,1 'luepuedo3 'opueqctluol
. .sêrergurll sulel.lèl Jrls eQlnp ap r.rra].2l1,p el e npuêlua uatq 1a 'onbr1te1e3 atre uurç1 ns s.tlqesuèd
sop -roule.rluê lnad rnb el'a-llne,l suep enb suos un suep -slpu! luos salp»raluuol salnol sal 1a saro,uadÂq sc1
soQlunrclue snld luos soJnol sêule!êl ênb re llqnc, sues
'xnpuel scl ê.rlua suorleuBA sop êlstx0 ll xnPasslBA ellua E
uorsrllol clnol ralrAg rnod sQredQS luos sleul uolleullscp
au?LU el luo8elred rnb slrled snld xneuel ua êqstlip ro ssurTrurNlrl
faredsarqdÂq,l op ]ê) aledre,l op êpueq,o8jel aun Lns r3 srlvlfurlllhlo)
' puotQ,s aro,tLodÂq eun 'a1ergu93 ,êl8ar u1 o?uuop êlQu
-e1d aun aJpuro,o'l rnod ertessetQu sdual al rot..lP^ ortÈJ sSrnou '531o^ü3dAH
uo;,{aqa15 'elnH laN sarnall z r"1'3
**TïuerLUloo
êuroopLsy 'ellor-.ls oE reN 'ellnH leN arnêq E'l Loqed
ezzeD uot\ 'lruPll 'leluraf sarnaLl Er', ]luPIl ap salldg sap alnoJ Êl
urêz'lêssê) êrnall 9' l lêssê) ap leD-raurLuol llolnol al
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ROUTE
Ossus 1 25 4.5 5.5 9 6 6.5 o 6 I 10.5 1.5 4 9

TO14MERTNLE Roche I 15 4.5 85 5 5.5 B 55 95 6.5 3


PERLEMIEI'INE zt
Taanab 2 1 2 1s 55 5 1.5 45 15 8 6 ) 1

Coruscante 4 3 2 15 5.5 2 2.5 55 2.5 5 6 5 0.5 4.5


PASSE
TORELLIENNE
Corellia 55 4.5 5.5 1.5 4 0.5 I 4 15 4 5 6s 2 35
Tatooine 9 B 7 5 4 4 6 8 6 6s 15 ll 55 6

Duro 55 45 35 15 0s 4 3 4 ) 4 55 6.5 ) 35
v0rE
MARCHANOE Bestine 6 5.5 4.5 25 15 55 t5 3 I ) 4 I 55 2.5
EORELLIENNE
Bespin 8.5 B 1 5 4 B 4 2.5 3 3.5 5 t1 65 3.5

Thyferra 6.5 6 5 3 2 6 2 05 2a 2 3.5 35 25


RI]UTE
tIE RIMMA
Sullust I I 5 55 6 4 ) 3.4 ) 2 l1 5.5 05
:--' Kal'sebbol t0 9 B 6 5 1.5 5 4 4.5 3.5 2 1t 6.5 1.5

Bonadon 6 55 6.5 1l 1 1.5 r0.5 10 5 il5 4.5 95


: v0tE
VOlE
).5
Brentaal 3.5 1.5 1 2 5 3 6 3.5 5.5 6 5 5
HYBIENNE
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Eriadu otr 1.5 65 45 6 3.5 2a 3 2 05 t5 9.5 45

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slëtvllv s3l J-Nos s:lÈlvllv s3'l
tolnoq êl ueld np uoileroqelÇ,1 q olqLUêsuo êllrp^e,ll opu0LU 0l lnol
E -Jepuêd arpuolle,s lrop odnorS al slonbxne'xnellos anb xneru lne^ Ir 'uosrp.r allol rnod ereldLuor sQll .ltuoA
e. Y':- ap lo salnlsnurui enb sonbrlul tssn€ sltel0p 0p olnoJ 0un
-3 sonbrs^L{d sroJ el q'sallelsqo sal .lns suolleulroJUl
sêl lê uooBld np oluequol EI rauSeB rnod sollessolOU TaILSSOIQU lnad anbeu'le eu;1 s"rnenoI sal ]o ;A ol slol el ?
*A#,4
r
E slêuuoslêd slrelop sol ..rolD lnod uo'solellA solrnossor
sêl rlrired uolq e rauoLu êl rnod ulosoq luorne ld sal
opre uorxol1gr op oseq êLULUo) saseqd sar ap .il^rês oS
'orlros
l0 lu0LUêssrelu0 uuua lê
luop sêlrnossor sorlne lo suorleLUJolul 'slolqo sêl snol 'uorlerrldLuo:'eqrordde'uotleredgLd'uoeBtd ol ro^noll
E êp uorluolqo,l 1o saselld sailne sal oqol8uê Inb ueld : sêseLld bur: ue sêgsrAtp eLlQ lue,nned solnol sl8LLl 'luêLU
un,p uorldoluol el lnllur alll uooStd ôl olleluol ou -QLluouQ luarJe^ euenbor:sa êun auQls uo luellotLi o-tnl
ê8esr^ êl onb lue^p ror^rl os luê^top s.tnênbeule sol -uo^e êun,p slrelQp so-l sel olrns sgsr,tordLut slueLualsn[e
æ slonbxne slrleredQrd sol snot adnor8or oseLld olloJ sap luonnos lueuerduo: sadelg srnatsnld ue luetoldQp
E es sanbeuLe sol osnornolnop llolu êun q no uostrd e1
Norrvuvdsud ïn E'lêr-lJQ,l € sQUur€puol luos OLedQrd lueruasneu8tos
ry ueld un sues arnJUO^e êllol oun suep luanbrequta,s
'« uooSld ne rnb slrorpeleu slorlso sêl 'uoo8rd np lueLue"l9dLual
sosseL{l » soldord sos -.rouoLU êp lê suotlsanb sap tasod ol uolas llnH un,p osnJ el lo uat8rnrtql un,p uotsrrgld
æ ap 'urpLU e1 arpuerd ap ednor8 ne erllarured tssne lnad e1 a8rxa rnb 'ale:rlQp uorleL?do êun lso anbeu;e au1
* ll nrl uos op arnluole eun rnod êltoute oLULUOI ld xne
lerluelod uoe8rd un reluesoLd lnad nel np arlle[ ] al unl TNbVNUV INN
-ne oro^'sÇp op sraluel ep ned lo^e'uotlelleu e1 red
@ aseqd elle: lueuelerOuOB 1uerq3 srnanol se1 1e |-y1 e-] 3N3f,5 NI IUILSITI
æ anbeule rnel 'orQJ or rossopr.
rrssn?.r op sê)ueql op luo slr snld 'tn1 Jns suotleLUJoJUI,p
rn.oln,n,ros sacueigdLuol sauuoq op
Qlop e8euuosred lanb al:oduut,u steLU 'la;nleu lnol a8es
luo fd sal snld lQrQlu{,p sarJuol sês lo luoLUe:Qdruel -r^ ap xr0Lll un lsa rnêLUreq3up uoeôtd np olueguol el
uos'sQnosse sos la soluesslSuuol sas'elnolua,l rnb Ql
.rauBeS ? « ê8esr^ » np êlnedel e1 "rns esodar asudetlua,l
-rinlgs el 'sosuoJOp sês 'êlqrl el op solueuu sal rns rauS
op sQllns ol 'oreJJe,l op neo^ral a1 sed 1sa,u It,s eLUOfN
rasuor os lnel ll uorlle,l q ressed op lue^e ro^rasqo,l 'ednor8 rtp « aBesr,t » ol eres tnb'eJuelute,tuor 1a anbtleru
êp no lorluolod uoo8rd inal rns soqlroqlar sop êJleJ _s, e Lr r o u r
uosr ad a u n s u o Lu . r
.r,.iiri::r:
ep sduuel a1 luauuerd srnenbeure sêl 'luoutêlel0uQJ
's9luolne sa1 lueurelduts
i.ï:r#l*
lned oLBQd e1 ep ureLred un no oreuuorlluoJ un rns oJreq
lnol no 'sagnrLd glunlQs ap solroJ sep 'seutt.td ap srnas ro,te 'sue8 selrlad sep lros al rêrorlgrue rnod no rlqltr
-seLll sop renbrldLur la 'soLUroJ sa1drl1nu ap erpuard lned -ue,s rnod olros uê,s ednor8 ol onO xnelol suaÂo1tc sel
aruea8ua,r rnol orA e1 rr:rnod rnol op sueÂouu sol luo sll
iosrlElnJq op ossol 1r,nb no apueqoJluol ep suotlelÇdo
'p6 se1 red sgnbeure QIQ luo s1t,nb luauuerduor s1t,s re:
srnêl rns xna sel eu.ra1 1r,nb rnod relueqr ertel e1 stnd
'xnareBuep suoe8rd sop luoJ sluessrnd sol lo soq)u sol
'1er:gdrur êle-nneêrnq un ranbo;lse luo^nod ld se-l solel
'sroJOlnoI solrnossor salsE^ op luep9ssod no oLlltl lotq
-oLU oLUQLU no sallêuuosJêd suoste; sep lnod anbeute,l
rB un rns xroql uos relrod ap lerlnrl lso 1t 'xnet:gtd ep
luenbrlerd seuuosrad sourelrol 'luepuade3 oullllt^ eJ êp
asoq: enblenb rruêlqo ? olsrsuol uotlergdo,l op lnq ol suêrq sol no slrpoJl sol rolp erleredsrp ap enb uotltqute
Io a]nsoLU €l sueC sllEl?p xnêrqLUou ep rns reqrued es aJlne,p p,u Illa'loJlso,l a,trloLu rnb glrprdnr el lso,l'luê^
luolrop s:nenbeu;e se1 'uoaBrd Jnol JISIoL{l ap lue^V -nos snld e1 rellrnodçp ol ap lnq ol suep npr^rput un,p
'lUeUaSnet:tpnl oluel3uol e1;eu8eô ? olsrsuo) enbeure eun rallqdre;
rrsroql luop lua^rop fd sol uorq essed as lnol rs enbeu redr:rlred ap a8euuosLed ep sadÂl sorlne,p
-re,l op erêllnsgr rnb lueurassreluo,l op arnleu el ISSne
Q leured rnb ol 'soluol?dLUol sêldrllnu op ? ledde 1tej
lluU?p oll: solue^rns sade19 se1 êuuorlrpuol lo xiotjl anbeule ouuoq oun 'rLls uorg ourrl ap arue8 e: P sQl
surelrêl elruurJ uoaBrd np olrluapr,l 'uorlestue8io aun,p -depe sluelel sap QUUOp luo rnol erueugdxe,l no utlsêp
no nprArpur un,p assrBe,s 1t,np ueld rnêl QlnLU.loJ lo^e,p al re) 'suaune^ xne lo srnaureL{J xne 's..rnolo^ xne JUOtu
lue^3'sor.llraqlor sal raluoLLrLUol suroLU ne no'.itua,tled -arprlnrrlLed 11eld lolnoq ap e:ue8 oJ u ênbeure,p » oleq
 tue,r,rop slr'sdural np ;ednld e-1 uoe8rd rnol ra^no..rl
o13 uorlergrlenb e1 snos 'neI ue luarlue sur]rel ap sourJoJ
luo^rop slnanbeu;e srnlnJ sol 'raruotLrtuol êp lue,,ty so.rlnE lo euenbor:sa,1 '1o,t e1 enb nr lso,J suotlestue8ro
sop no snpr^rpur sop € lueuêlredde suetq sol luoqorQp
NOrDrd e1 u3^nour slr 'Jnêloqle uos E rnêpuo^ un,p sasrpueL{}eur se1 ralrod
-suerl op sed luelualuol os au slr : urol snld luo^ sorlne,C
'suorle;gdo sop luaual 'sed luorenbuelu rnl ou slrpgrr sanbqanb se: steru 'ned
norQp al .raredQLcl e ]a euL{]fu a1 iap-reB q 'euorqruÂs ra1 un pred  eLrdiu3,1 'sêlroJ Ouuosred q leLu ep lteJ êu
sor e apuoLU ol lnol êpre ednorB np uorlerrlduur,l ? relllo sêxel êp reÂed sues uosre8ler eun ralrodsue{ soLUtl
au8edurer es op arppl ol suep ouuorlluoJ rnb ueld un lrl sues soLUrJl sop otuLUol luorQprsuol slr,nb e: lns
rêJloluol q srnenol sol ropre lo 'surosoq sal uolês sluelq
sêl rolqLuol rnod selrln slrel?p sap ru-tno1 lned 114 e-1 l:':iT1i::ïi,g:3i:'*",i?i1i"i§'i"',i,ilJ::d
§3nburuHu Àr §3 tHsnb(}uf,§il
EuttlSElL AU MJ : IMPLIQUEZ T0lrS LES JBUEUfiS
Il ne arnaoue de lonsue durêe est une aclivité intense En jeu, les PJ en question pourron[ inlerrenir et appor-
ll ei chronophage pôur ics PJ. Ou elle forme la basc ter au groupe des compêtences auxquelles les autres
d'une avenlure ou qu'il ne s'agisse que d'une étape n'avaienl rneme pas pense.
d'une opêration plus vaste, il laudra certainemenl au En plus des arnaques de iongue durôe qui monopo-
moins une \eancc pour la Lermrner. Pendanl cettc pe
lisenl- une séance ou une aventure, les Charmeurs,
riode, le visage du groupe, certaincmcnI un Charmeur lcs Vauriens el autres personnages sociables eL sans
ou un Vaurien, sera très souvent sous ies proiecteurs. scrupules peuvent se servir de leurs capacités pour
Cenlrcr Lerl,aines pJrl ies sur un seul pcrsonnagc n esL organiser de courtes arnaques au cours d'aventures
pas une mauvaise chose en soi, à cr.,rrdition que tous sans rapport, ou entre deux séances. Cela ne prend
les PJ v aienI droiL arcur lour el qL]e perso,rnc rrc se généralement que quelques minLrtes de temps de
senle exclu. Pour cela, la meilleure môthode consiste à 1eu. donI loojccLit esl de depouiller un PNJ des cre
confier un rôle à jouer à tous les PJ Sr les joueurs ont dits qu'il a sur lui à ce moment'là. Cela permet éga-
du mal à imaginer des responsabilitÉs et des tâches lement au Contrebandier de se laire un peLr d'argenl
pour lcurs personnJges lors de ia phasc dc prepara. de poche pendanl que le reste du groupe esi en-
iion, le MJ devrail pouvoir leur proposer des sugges- gagc dans des acliviles qui nc requiêrcnt pas ses
[ions basées sur leurs compéLences e t leurs capacités. lalcnLs parliculrers.

À ce stade, les PJ développent le plan détaillé de leur tourne mal, ils risquent de tout perdre. Pire, mettre la
* arnaque. Cela inclut les déguisements et les fausses iden- puce à l'oreille de la cible risque de leur valoir des ennuis
tites dont ils se serviront, ce qu'ils veulent obtenir du pi- avec les autorités.
* geon et ce qu'ils vont lui offrir pour obtenir sa coopéra-
Le succès de l'approche repose souvent sur le visage
tion. Dans la plupart des cas, le groupe n'a pas l'intention
du groupe, mais un autre PJ peut se charger du contact
de tenir ses promesses, mais parfois il faut s'y résoudre
initial et arranger une rencontre avec le pigeon et le vi-
afin de gagner la confiance de la cible.
sage. Dans tous les cas, les lests de compétences sociales
F= Pour les personnages autres que le charismatique louent un rôle capital. Tromperie est bien str importante,
«visage, de l'arnaque, il s'agit d'une bonne occasion mais les personnages peuvent se reposer sur Charme si
de contribuer à l'opêration. En fait, si les préparatifs le groupe dissimule l'arnaque sous un vernis de sincérité.
doivent mettre les PJ en contact avec le pigeon et ses Si I'opération prend la forme d'une proposition d'affaires,
associés, il est prêfêrable que le visage reste hors de Négociation peut également entrer en jeu.
vue, histoire que le groupe n'abatte pas ses cartes trop
vite. Selon les préparatifs nécessaires, le MJ peut de-
mander des tests de Connaissance [pour déterrer des I.A COMPLICATION
informations supplémentaires grâce à des recherches),
Contrairement aux autres phases, la complication ne
des tests de Perception (pour évaluer l'efficacité des lait pas partie du plan des arnaqueurs. Aucun plan ne se
surveillances et des lilatures), ou des tests de Négocia-
déroule sans accroc I Les escrocs peuvent en anticiper
[ion ou de Système D [pour obtenir les informations ou
certains, mais d'autres sont impossibles à prévoir Les
le matériel requis)
PJ sont susceptibles de faire face à de nombreux dêfts
et même de subir des revers au cours d'une arnaque,
L APPROCHE mais la complication, en lant que phase, se réfère à un
problème grave qui peut tout gâcher à moins que Ie
Au cours de cette phase, un ou plusieurs arnaqueurs, groupe n'agisse vite et bien pour la surmonter. Ouelques
gênéralement le ou les visages du groupe, entrent en exemples : un individu qui connaît la véritabie identitê
contact avec le pigeon Le plus souvent, la rencontre est du visage fait son apparilion, un événement se produil et
soigneusement chorégraphiée pour ressembler à une le pigeon commence à poser des questions pénibles, un
coïncrdence, afin de persuader la cible que la personne tiers s'empare de ce que les PJ convoitaient... Lorsque
qu'elle vient de rencontrer est digne de confiance. Selon la complication survient, quelle qu'elle soit, les person-
le plan, l'approche peut prendre une infinitê de lormes, nages ne peuvent pas l'ignorer lls doivent résoudre di
depuis un u désolé de vous avoir bousculé, dans un rectement le problème, modifier leur plan pour l'intégrer, I
bar jusqu'à des impostures élaborees (parent éloigné, ou lâcher complètement l'affaire Cénéralement, la com-
connaissance d'un ami ou d'un emptoyéJ. plication surgit lorsque l'arnaque est bien avancée el que
Le succès d'une arnaque repose énormément sur la les PJ sont proches de leur objectif, ce qui fait encore
réussite de l'approche. Maladroitement menée, elle monler les enjeux.
risque d'anéanlir le plan le mieux conçu. À ce stade, La complication peut naître naturellement du dérou-
les arnaqueurs ont sans doute investi des crédits, du lemenl de l'arnaque. Le MJ peut aussi faire survenir des
temps el des efforts dans leur entreprise. Si l'approche évênements ou des personnages inconnus qui menacent

LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


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rolse{q un lone uoa8rd al :enberq ? slrnpQ..r orlQ uo,p lo rnoJro olnos oun,p osnel ?.rorpuollo,s enbeu.le, rosstel
'suorlualur srnol ral?^Qr op onb uorlnlos oJlne,p ,rro,te sed sreLuel lrer,tap ou l^l4 ol slQrQlut serdoLd ses e;luo: lrBe
au ap luenbsu fd sal 'selrnpo.rd luos os sen,rg.rdutr suorl ;nod elsLsuL no arpnosQr el € onoqrg adnor8 êl rs Jnes
-errldLuo: sop rs lnolJns'sel sute1lêl sueq sa11rno8e1,1 'auanbo.t:se,1 rolrole e.tre1 snld uou sed lrop ou ollo steu
no olenos aruelgdLuor oun lo^e QnlloJlo lsoJ un suroLU ';6 sal rnod UQp un raluesgrder lrop uorle:rlduor e-1
ne lrernbar luêLUassreluo,l 'soluelsuoltn sol uolas Jru
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-olqo ? luê1.,1lraL1l s1r,nb ar ap uorssessod luoruêlQllstp 1se aseqd
ol ollol 'êluolor^ e rns luaLUOre; luesodar « onbBUJe,p »
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ollo,nll olred llos'luoL{llorllor slt,nb ol luoLUêlleluolo^ êllo'olueQS elle:.]uepuad o?qruêllQp QIQ e [d sêp un,l
a.rlloLUOJ rnel lned olqn el 'sluellodLUt oluolQdLUol op ep uorle8rlqg,T lS o^ urald ue ueld e1 -reso;dxo orp1 op
ffi*e§§ffi§ KY §reYKW§§ære§
§! e nombreu < contrebandiers gagnent leur vie en trans- difficultê de I'action. Dans les pages sutvanles, les en-
É! portant des marchandises pour le compte d'autres trées consacrées à chaque système indiquent la ou
personnes, qu'rl s'agisse de puissanls parrains de la les compétences nêcessaires pour le neutraliser ou Le
pègre Hutl, de discrets agenls de L'ALliance ou du redou- conlourner Elles précrsent également la difficultê pour

ffi table Soleil Noir Certains réalrsenl qu'ils peuvenl aug-


menler leurs prollts et jourr d'une plus grande liberté en
se procuranl leurs propres marchandtses au lieu de ser-
vrr d'intermédiaires Malheureusernent, cette approche
y parvenir en ternps normal. Comme toujours, Le MJ
peut toutefois modilrer le tesl pour tenir compte de la
situation ou pour représenter des versions plus ou moins
avancées d'un système. Cénéralement, un personnage

ffi
impose des inrrestissemenls exorbitants... à morns que peut déjouer une rnesure de sécurité grâce à un seul lel
la cargaison ne soil gra[uile Un Voleur peut rapidement de dês mais certaines, particulièrement complexes ou
devenir riche et cêlèbre grâce à des braquages de grande dilllciles, peuvent en exrger plusieurs. Un système qul
envergure, mais plus le buirn est important, plus Les comporte plusieurs élémenls peul êgalement nécessiter
risques sonl grands des tests séparês por-rr neutraliser chacun de ses com
posants. Toutelois, si certaines mesures dêpendent d'un
appareil dêclencheur, le PJ peut se contenter de le neu-
PI.ANIFIER UN CA55E traliser ou de le con[ourner pour désacttver l'ensemble
rc Une effraciion est à la porlée de n'importe quel Voleur,
mais un vrai pro planifie minutreusement son cambno
Parfois, l'erpertise de la personne qui a inslallê le sys-
tème de sécurité joue un plus grand rôle que la nature
lage. Pour lui, tout se déroule bien lorsqu'il s'tntroduit des éléments qui le composent. Un véritable pro connaÎt
* rapidement sur les lieux et sort sans que les victimes ne les trucs des voleurs et peut adapler son système pour
se soient rendu compte de rien [avanl qu'il soit déjà lotn les contrer. Au chorx du MJ. une telle mesure de sécuritê
{F en tout cas). Disposer d'un plan se révèle indispensable peut nécessiter un test en opposition. Cela peut s'appli-
pour déjouer les multiples mesures de sêcurtté qut pro quer à des systèmes de n'importe quel type ou presque,
lègenl les bulins les pLus rnleressants de la serrure mécanrque à une barrière laser Dans ce

p Comme une bonne arnaque [voir page 79), un bon


casse rnet en ceuvre les compêlences el les capacttés
cas, au lieu de vous servir de la dtfftculte s[andard dêcrite
plus lorn, déterminez-la en fonctron de la compétence du
personnage qui a installé le système La compétence
de lous les membres du groupe, pas juste celles du \b dépend du syslème, mais les plus courantes sonl lnlor-
leur ou du Contrebandier. Avant l'inlrusron. les Eclaireurs matique, Mêcanique et Survre (cette dernière fonctionne
jouenl un rôle capital dans la reconnaissance du site. Les pour les pièges rudlmentaires, co[nme ceu\ crêés dans
Érudits peuvent lournrr la minuscule inlormalion qui lera un environnement naturel)
toute la dilférence enlre le succès et l'échec, Lexpertise
des Techniciens sert à désacliver les systèmes de sécuri
té. Les Charmeurs peuvenl distraire gardes et passants. OBSTACLES
Les Mercenarres se montrenl uliles si toul lourne mal et
Les obstacles sont généralement des systèmes passils
que les PJ doivent prendre la fuite Enfin, les Négociants
conÇus pour dêcourager les voleurs en bloquant leur
s'assurent que les objets de valeur seronI revendus avec progression. lls peuvent être marntenus aclils en per
un bon bênêfice.
rnanence ou, dans certaines installations, s'armer après
L'heure de la fermeture Parfois, es obstacles ne se
LEs MESURES DE meiteni en place que si un inlrus active un détecleur ou
un déclencheur (voir page B5l.
sÉcuRmÉ
6æffi.$q#ffiffiË
Des palais des hors la loi de la Bordure Extérieure aux
gratte-ciel des Mondes du Noyau, les mesures de sécu Crocheter une serrure requiert des oulils appropriés et
rilé varient énormément. Elles peuvent aller de simples un [est de Magouilles. Sur les Mondes du Noyau [entre
serrures accompagnées de muscles à louer jusqu'aux autresJ, des systèmes êlectroniques sont ajoutés aux ser
dispositifs technologiques sophistiqués chapeautés avec rures conventionnelles ou les remp acent entièrement
prêcrsion par des droides Cette seclion vous fournit un Crocheter une telle serrure requrert un test de Ma-
échanlillon de ces mesures, mais leur variété est infinre gouilles lntimidant Ollll Un passe-partout élec-
et il n'est possible que d'en couvrir une petjte partie. lànt tronique [voir page ]79 du livre de règles d'Aux Corvnrs
qu'il y aura des voleurs, des techniciens spécialistes es- or l'Everne) réduit la difficulté de deux niveaux
saieront de les contrer... et il y aura toujours des voleurs. En général, échouer à un test de Magouilles Iors d'un
crochetage représenle une perte de lemps, ce qui peut
meltre le Voleur en danger si des gardes patrouillent
CONTOURNER dans la zone. De plus, si le PJ obtient un V, le MJ peut
IÂ SÉCURffÉ en proliter pour briser la serrure pendanl la tentative Si
le Voleur a raté son tesl, il doil trouver Lln autre moyen
La nature exacte d'une mesure de sécurilé détermine d'enl-rer S'il 1'a réussr, la serrure s'ouvre mais ne peut
la compétence requise pour en triompher arnsi que la plus elre relermée, ce qui risque de donner l'alerte.

LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


ATJCUTE OIJESTIoI{ IilDISCRÈTE
rrTrf,$oxl xoLlsSlD ElllExlll
slurvrrv 5r'r J-Nos s3ulvllv s3'l
'apueulLrol ap rallloq un Jed s?^llle no sQp uorlda)rad êp lsal un al ssêl9U eun rerqdar uf snssap
-:, :- -. .:: a:uasg,td el luollêlQp uotsse]d
-ueLULUolQlQl êrlQ luo^nod sll o.llelnlsnLU aluesslnd rllêl lusLrtta-..
? sanbe :dl f,UJ9., cL suep
;rr 3L >utr P orpuoJ os Lnod sen5uo3
lros onb ollonll snplAlpul sêl l0 sêlnleQrl sal ê-lluol sêlel
'ulê êr]Q,p loLUrod rnol lnb al 'sêlqel3or luos aQSlêAul ld
td VSEnblfId
uorslndQr op dLileql ap s.lnollalord êp dnolneo8 sorlQLU
rluol xrp op sosslPdQ luos lo oluBnbul) êrlQLU un 'lns (olQJluol aP alsod un lassed
orlQLU un luornsoLU lnb so.lleln8uPlrêr sanbEld op oLUroJ alselq sJnal op anbtlg8roug olnllol el oldulaxo
el snos luoluosQ.rd os 'sLUrv ueloD op a-l rolellredElul,L rslr.s) sa8euuoslod sol Jed sêsud suollnelgJd
êurLUol 'sluP.lnol snld sol solQpoLU sol sleLu 'luêlreA 0lllel u ua slsal sês lolJIpoul lo 'uolldolrêd op aluêl
rnol lo oLUroJ rnol lanl Pl sues êlqll êun "l0slllq0LULUl,p r rêuuefs ne iouuop op JOpllgp lssne lnod fl4
ul1e ouoz oun suep êQlual!8ne Çll^er8 op dueql un red ralnes lneJ l!,s aLUSllgltllv,p no 'uollgr3stc
luoQ-l)'« oLLrLLloL.l ç se39td » op ulou ol snOS snuuol luêLU raalxa lnad lauuolllarlp l0uuels un,p nEolsleJ
-êleBQ'oQSro^ut uotslndg.t op dLr-reL1r op srnallêlord sêl
f 'aulel alualqdulo) es op Jl^los es lnad p6
§s§ffiæ§qffi§ ffi*§sTffid§æ §ffi slnod un êuulof 'a8uosuêLu op sauBIS sêp l0l
#ffiw§4§ §* s§§§ë"১flæHd )d nSuol lnosuasotq un P olel roddeqlg rnêl
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srêuuefs sal 'slt-luatos sguuotlleiled Issny
rnl o-lluol lEqu-rol op lsol un ltssnql aBeuuos-red
un,nb sqp ltnrlQp lso ll lê'O op llLeqe8 un e all-rQls\s 'a^ofle aun suep sÇlnullsslp no soiqlsl^ 0l1Q
êl uorleLULUerSo;d lnel op s.lol sallqelQ suorlLpu0l s0p auuels sa1 luelndtueul rnb sepleB sal olllel ES
Q êsuodQr uo no :]uaLUêllênueuJ O^llle o-1lQ lnad ll "r0sel saro: aurglsÂs lal un,p ?lllaluJo,l le e?lrod el
so8Qrd sol rnod alqtuodslp lsê luesslprnolQ aBelSQr êl sêrlQtuoll) sop luol^nol l0 sl0uuolllallpluulo
a]uel lllos p enb srole êl.tnol sQll e91lod eun,p luasod
[soprnol soulJe)
-src eruel?druor eldord es op IJOS as epre8 ol 'sel êl : : : .. : -:,,lS SUlel]Ol XneJt,l SaUStS SaS q O:qLB
-: - : . .' : :-QCSê,I luêUlluopl tnb a-tlleds e3.le1
sueC sopueutLUolQlOl erlq lua,tnad resel seBQtd sulelrol
'[sopJnol saure) oluelslC ê]uolQdLUol el suep Suel un :,. .feul xne,nDsnI sJêlselq
leu xne,nDsnl solnlla)
rloll9dluu9 sdlrrlldr
sJê]selq sap i)anbtlg8leuQ
reu8rs et luatQdet rnb sgsrlerrQds sêlQpoul sa1 stnd
lo Z êp qlrlr8y eun lueÂe euuo: s0?lgplsuol luos s0lll
'(ruraw3,r io sNuNoJ xny,p sel8qr êp ar^ll np g9 1 d Lto,t)
rolselq lrsnl un,p lgoLd np luesodstp soLUJe sol salqrl s0s
ouuorllelqs lê ossell resel a8qld np gnbleque lnoleulp
-ro,l 'snrlul un,p oruesgld el luallolgp sJnêsuas sas enb s as n o-raBu e P
e:red no epLeB un led lros ar enb'9,tt1ce 1sa ll,nbslo-1 :: -. .:
-- ll ap no sallelsqo,p esstSe,s 1r,nb
'orpulolle ? s0lllullp solqll sop llel ' - ' ''-. I, rtrêÀlllE no oJeuêLll aun,p aluasgld
uo lo rolnLUISSrp p seldurs puor sol e11re1 e1t1ed rnol
'slnol 'I -: ai sêl"rol sal lueuuat,lq.,]d sll sleu 'ln0l
-lle,C l-ro alrodLut,u sQreld arlQ rto,rnod ep eBelue,te,l luo , .. :::.i -rcl e1 sed luesstlualPr 0u sll snrlul
slr 'xno € locldeL Jed soplorp op no sluell^ sepreB ep . .::. -r ? ,ua.,]Qdel slnaLllual)Qp :10 sln0llolQC
snld ue no slnos taÂoldue sa1 lnad uO LllaISelB êp l^
osselJ rosel lnelralot4 ol ou.lLUol 'sQSlleLUolne slelselq sunrH)N3]fao re
sop QlrlEgr uo luos Losel se8Qrd sol 'LLlou rnol op lldOp ul
&§§ffi s§§ëâd
sune-ul3rlo
'rnoloA un ? enbtltt: ornssalE eun laBlllut rnod
resoddo asstnd uo,1 anb xna;e8uep snld sa1 QllrnlQS op a ,", -,asiladgp lned fn ol lo 'orleluoLLrQlddns sl?8Qp
:c,:-. :c , anbo,'rord lsol ne enlleq3 sl?8Qp ap slutod
saLuQlsÂs sep etlred luoJ sll snllul sêl ronl no rassolq .lês
-rlrqouLUr Lnod q1 luos saBQrd sol la s1llle sei-uQlsÂs sel . ., :r's ap aLlad snos Qf ^) "tlr$ltO,uolleulprooJ
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5Jt-UlV SSluilrs^s êlr,rrir?s el ap sêlqesuodsel se-1 seuued sal lo oJJneLlllns
'in0qluêllQp uos .lo^llle p rar,\Q.r uge s-rerln8gL solle^lolul q luoLUoAQIrq rednor
sal ? aÊt qo 'lase1 sltelrod se1 retlnrrlred ue s0LUQl
sues telqo,L ralndrueiu lnecl 1t 'lrssng"r êl ll,S (0 lf O 's,is ser ap ar8reug,p uolleuJLUosuo: eluelrodutt,l
tueplullul sel1lno8ey1 op no uolleulplooJ ep lsêl
'xno la^e llSluol
un ronJlaJJO lnad 1t'lleluol lnêUlu0llQp un.p êlual
srxo.l op lliernol ne Jsa e8euuosred e1 lS rêLlln0l êp uê orlua ttrb a: lnol luer8Qlurs?p Lesel sltelrod se1 anb
enbsu snrlut un,nb satellns sêl:lne,p lns l0'ln0uêluol srpuel'anbtsÂqd atqt"rLeq êun ouJulol'e8essed at ranb
ep no alLod ep seguBrod sêp Jns uotssard op srnêllê1Çp o q op oluêluol as reruard a1 enb 1se sdrueq: ep sad,{l
slrlad sa: luollalsut OltlnlQS ue sl.ladxe sa1 uotsserd q xnêp sol ê-lluo oluarQJJlp eledlrutld 8l sollplêlul sêuoz
anbeld e1 êp uotletreA 0un ls0 lleluol -lnaLlru0llÊp ol sop q sQlle,l .tanbolq .lnod s9ÂoldLL-to sêlqesslLllue-IJUI
er8leug p slnu-t sêp luos '« olro1 ap sdureql » solodde
(t I I O luenlurlul uorleu luarueleEQ Lasel slLelrod sal 1a et8roug,p sdu;eql se-1
-lpJoof, ap lsal un e8txe roLlluopop e1
sues uotsseld q
enbeld aun reqLuelu3 OIO allruJlo aoue;r311 ap no eÈë§wÏ §''§§§.À#ffi* Àffi ffi§*H§ru§,# s#Ë*ê.tf#§
Echapper à un champ de répulsion inversée exige un
test dAthlétisme lntimidant $OlO Un person-
nage qui n'est pas maintenu par le piège peut le désacti-
ver sans elfectuer de test à condition de pouvoir accéder
au boîtier de commande. Sans lui, dêsactiver le projec
€u teur exige un test de Mécanique ou d'lnformatique
Moyen Q)
t *
E
!r æ§p§'§§§§,$§§ *§ æex
Lorsqu'ils sonl aclivés par un détecteur ou un déclen-
cheur (voir page 83), les diffuseurs de gaz projettent
des produits chimiques en aérosol, conÇus pour tuer
ou neutraliser les inlrus. Pour augmenter leur efficacité
et réduire les dégâts collatéraux, leur mise en marche
déclenche souvent la lermeture de portes étanches. Le
diffuseur lui-même peut etre dissimulé derrière la grille
d'un évent de venlilation ou dans un autre appareil.
ll existe une variêlé infinie de gaz, mais les plus com-
muns ont des effets similaires : soit ils font perdre connais-
sance à l'intrus, soit ils le tuent. Dans tous les cas, lors de
chaque round d'exposition, un personnage doil rêus-
sir un test de Résistance Difficile tf f ). S'it Ie
rate et s'il a affaire à du gaz incapacitant, il encaisse
5 points de stress, plus 1 par §. S'il s'agit d'un gaz
mortel, il subit lrois points de blessures plus 1 par
(E) [l'encaissement ne s'applique pas) Le MJ peut
dépenser V pour infliger une blessure critique au
personnage. Les respirateurs et autres êquipemenls
du même ordre immunisent contre les effets des gaz.

æËYæruÆr§â§ffi§
Certaines personnes ou organisations prélèrent détruire
leurs biens plutôt que Ies laisser [omber entre les mains
de voleurs, surtout si les objets renfermenl des infor-
mations incriminanles ou dangereuses. Dans ce cas, la
chambre ou le conteneur employê(e) peut être garni
de détonite ou d'un autre explosil, donl la mise à feu
sera déclenchêe en cas de manipulation non conforme
ll est possible de délinir l'importance de l'explosion pour
F qu'elle détruise uniquement 1'objet .. ou qu'elle englobe
le cambrioleur Tous les
r également personnages au
contact avec l'explosif quand il se dêclenche subissent 1 5
points de dégâts et doivent effectuer un test de Coor-
dination ou de Perception Moyen Q ) ChaOue )f
obtenu réduit les dégâts de 1 Le l\lJ peut dépenser ÿ
pour infiiger une blessure critique à un personnage.
Le détonateur peut etre relié à n'importe lequel des
dêtecteurs prêsentês page B5 afin de déclencher l'explo
sion selon certaines conditions. Une bolte ou un conte
neur peut aussi êlre piégé[e) pour exploser à l'ouverture.
Désarmer ce type de dêclencheur exige un test de Ma-
gouilles Difficile OI O ou un test de Mécanique
Moyen (f f)
IrElrsoill tolr.'Slp SxfExllr
sSutvllv 5f1 J-Nos Ssulvllv s3'l
I
' ...! titJrrs
SêJÀf OLrPU.r Sêp rau8ea no sollledel sêp .la^llle lnod ssê-lls aI -,t :,ad a1
(raule8p( : Z adelf ,l eP . - -- -'';d aul
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.oule3 : t .. ,.- ,) ap uue 'laluold ol louleSop
sop alueuQdxo,l op lo QllsoAJOU el op uollluoJ uf
Qp aJresrê^pe,l onb luêululolled luepuêlle uo lnol lonl - - . : , :, r s3p unlelll 'lonp un,p srol
-e^Q,s ap no ropru]rlul,s op luêluol lo êleJ luoJ os so8?u .-. - :- ., alnol onbsoJd suep nuuolol
-uosrêd xnop sal 'lonp un,p odPlÇ êrQlLuord e1 luepua4 .. . . .: a -.:s1l-te:'OUIEBQplLuauuA,lOnb
§§vs§-§3wd §"§: t §dwi.§ .. .::. : :.-a-.?ta]luol xnalqLuou ap'sêlBl
: - -- : I S3l ieLU IUASSIeUUOI Sll,nbslOl
: soJu€^lns sodelQ sol uolos olnoJQp 0s lênp al'lr^{ np : :- :. :. 3sJêlQp oLUIllSQI el lonbo^Ul,p
xroLll ne 'sQrd snld sloJled slelu 'olrnol êQlrod Q luo^nos : - .. : '- 3 I Cnl rArQAe,S lnod ll 'aleugdLul
'olBl luoJ ês solslllanp xnop sêl onbslol êluouJtllol lnol . :- - :.. .:ie '-:,j sal suep stld lsa ll,s aurQn
'urleur ol oIeJ llerpnoA ollne,p un,nlllonb llo sel ne - - .-. : . -. rs a-lio,\ 'arÊllelul lo^nolla-] 0s op
.- .- - - -,.,r sr?s ?roqtl ollQ,p slojled laLulêd
'luêlel urelrol un,p eSelelQ êJIej op luoLLIOlESg JUêl^uol
. - : ::r.: .l:e, ue,p adÂ] ol onb lualsêlle Inll
II 'OUrU) un orJlauulo) sues lllqnd uo oJlesro^pe lnêl ,
. r-: - :, - i . \el?8 el op s91l3e snld sol sulol
arlleqe,p uue lolluord ua JOJII op sleLu puolas uo laule8
-Qp op uorlualul,l luo xnêp sol snol êleJ luoJ 0s 'xnap : _ :- :::r :,: -?l durol ap JPILI sed loll^O,p laLU
luourolerQuQS sol olnqop Il luop
luos lnb 'sluellequlol
: -,::- . . - .- e salQUPld sosnalqLL]ou op lns
orQrueur el JBd ênbrssell lsqulol un,p orQJJIp lonp un ,rauLeS?P e QSSnod luo,l lnb xnêl
sê eJB snld dnorneaq slnuuo sêp loJllle,s 3p onbsll
lrno 31 l aureaqp rnb rnlêJ af uêlol^ el ? sJnoloJ np sêll0ll
':l:ljal soll
safuo'a::rjal SluêllSUO) lolsOl
SOp sluêllsuo) Snol
lols0l lua^lop snol
'''lnol np sEd orrl êu ll,nb olqrssod uêiq lsê ll 'a.llerluol .p sluaLuou.l sêl
-.>-3; êU-lOllxo.ll retrg.rdde
sor ,lotlQJdde
sE) al suep onb olred .lalll € rolLUOld el eLlQ rssrD lna\ bsnf auqru ]uo^ 'soralolstd sêl JOllnltlled ua 'sute1:e3
'sJadooJlurJols sap auQut no soullJd op sJnassELll sêp
olsruoSelord onbeLll ll-1s uol€ allellods np Lalgo,c
Jnod êglquosser olnoJ êun lue^ap 0llo^ '0n"r el suep no 'sJuarrnfuol sêp arluol rollnl ap ossl8e,s ll,nb 'loll9ur
eurlu?l aun suep 'suloulQl lue^op Jalnol9p 0s llop uoll np sanbsu sêp at]led lleJ opelllsnJ oun suep ?nblldul
-etuorJUol €l 'luaLUOlPOpl osuoJQp ouJtllSQI op uoLlenlls la^noJlêJ ês ênb luosuad slerpueqelluol sap llednld El
§T!InG tll s3flIr1ïI§nl
uefques secondes tranche de * * obtenus. Le joueur et le
vélerans soni ca- dépenser des symboles sur la Table 3-7
dàns leur esprit à s!, @, l§) et V dans un duel, page 85.
"::r..... r.' ' 'i i:: ri..
personnase
.:
:r:!:::È::J::ii:i:::::ll:::r:r

' :Durffiffip{*I']jelfac-e:à-face,
Dui#&tÉ$ȧt'.I1tlefs:à;faèâ, chaque ctiaqre pers-onnage ErrrrE.;
ETAPE 2 : L
I'une des :ôÈlËionS.
options rneinri0nnêes 86:: Evaluer
mentionnées page 86
choisit llùnerdestption§.rlleÀlionnêes Évaluer lôt
ToL ou tard, les nerts
nerfs de l'un
l un des duellistes
duellisl es frnissent par
ou Intimider. làcher cr il saisit son blaster. Cràce à ce geste d agres.
-
Évnt-urn
ErrÀr
rÈË r
lautre personnage peut dêgarner
sion. l'autre
sion, dégainer sans risquer
sans .nsquer
o .nnriil"eu,i*. i;t ;;r;d;i;r,i àËir.rr ,LL.niiÀ
quelq,ies centimètres parce que les
Les deux pistoleros ont la main à quelques combattanls bougent
lés combattants bougenI frès "t,.à -
lrês vite.
vi[e. ,
\ de leur blaster, et le
[e personnage essaie
;saie jauger
de.iauger
de iauger tgn
son pour deLerminer
.prr, æt.*lner lliniti*five,
déLermine
adç-
ad-
19,
deux personnaç
l'initiative, les deuxr personnages e[-
I
versaire. cherchant Ia taille qui lui permettra
^^rM^l
iÿ-
de
^^
prendre
^.^;À"^
f-.,iËr,
r".,iË., ,i'Ëi;";;;i',"!i,ür
,i',ËriÏ àË CrlrJ avec une difti.
l'avantage. ll peut repêrer un minusculie tic nerveux, un
personnalisé, uu.5ililLruriltrilr
rurSrer per5urildr5e,
holster ou rcrndrLtutrr ,,LlilI: '
de l'Ëtape I : Face à ftce. Le pt
d'appuide son adversaire s'ir déchifrre mar ces.,r9l:-*
r:':YTil ;;. Ë;ir", àurrà.r"q* eL renre

faudra llll:gy: et9:rirer. il,.9YÏ]j-9i:i"3xl1F:


:'blll: dégainer Le, pg*§ra§effeçrug " rà,r,Ëi;,0Ë *À carme
,l l:tl #;r;;;* ëi;ü;;; ;;i;;; degaine

:?pï: 9: l:::g!,'?t,o1de
s-vljerne-D conrre re cl11 p,l*i.,ià,i
;J;;;1"j",."1. ,
de son adversaire. S'il rêussit,,'il aifrê[oie un dé d^ ^^
rêserve rors du rest de carme dérer.minanr ,,, ,,,^j: ': arme [s'il veuI s'en servir]avanL
Etape z
IlÉtape 2 : uegalner,
Dégainer. et oenellcle
benêficie o
d uïle
r'lniriarive
une arrlellordtlorl
amélioratlon pour
;ï,""ir;.;. :; mettre
Viser, se Lorr,o àà.^,,\/êrr
couvert ou
: ffi;j;;';:;ü;;;';;il;i &;ii;i'i.;
liair !Ëc;*ï
ti,rer à n'importe
ca livrer
nrr se n,imnôrr ê

Deuvent (-)eDenseI Oes svrlluoles sut f


::iÏ.ïi::'j:'.:,s,';J,h3:[ïT;, la +#iJ::i
lapte 5-, u] I,.ir- ,.'i'iiu ;;;;,;;bË;;;; *.*;,;;
:: qe-
p"nru.f:l
.r"lr.". f'l O
ô la et M duel Bh
<eletVdansunduel.pageS5. rtans un nape de combat reussi inlligedesdégâtsno'maux.
LeSt decombatreussi
UnLest
Un inllige des dégâts no'maux.
Le joueur et Ie MJ peuvent dépènser'{:}, ê, (É} et V de
INTIMIDER r,rr;;Ët;.!iài.iÏroitr.lËr, prr: îerrü'qrirrgurenr
Oue ee soit en se moquant de lui ou agitant les doigts 5-7 : dépenser $, Ô, (E) et V dans un
dans la liable
\ . en
àÀ direcrion
Oirecfion de son uirtt.i,là
biaster, le personnige
ô;r;offig; uriàt.
essaie âi.-
d:in- duel
duel, page.85.
page 85. Tous deux peuvent.
peuvent, aussi utiliser immé-
immé

"1 ilmider son adversaire ou de l,induire én erreur afin dialemenl les options de cette lable oblenues à l'issue
pàri* r;ir"r.ioni.Àrrr des tesLs de lÉtape I : Face à face ei de l'Étape 2 :
;;]il;écrir;-r. rârL"roii
ffi iiop iri i.ite-Lentative, il risque de perdre Ou ur. Dégainer, ou les garder pour plus Lard lors du combaL.
- ,:'-".11,: iqTl:l],.j^iîrY.: Le MJ peut depenser V conlrc,re pe,sonnase vain
% 9:^l:^i1r1,:i:, I dg§âv,gp:§$ê,§ll.! ,.,ti.liçeur,:dLrr,test.,d:initiative
ce qui Ie pour indiquer qu'il agit prê-
effectue un teslOppgF.q..dS. .'::,ràatt*,€màAt, dêgainant et tirant en premier. Ceia rr'en
nâluS aux lests de compétence pendant le
; peul avoir des consequences sociales eL

de son adversaire, le personnage


lrefld son premier tour, selon les

fois, si les deux personnages survivent à l'Étape 2 :


Dëgainer, le combat se poursuit normalernent, à
un détail près : si MJ estime que c'esl appropriê,
les personnages peuvent avoir recours aux options
de la Table 5-7 : dépenser C), @, (E) et V dans
un duel, page 85. Les personnages qui se joignent
au combat à ce stade effectuent des Lesls de Calme
ëà
pour déterminer leur initiative.
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sgp sol JOluêsQrder lnod sgp sJnol luoluel rnb 'stnanol sal
ted luauuelrarlp IUUgp tso orelulq,p otllueu aun,p lellns
-g; a1 'naf np sonbr.rOr.lduOd sllodse sor1ne,p ie sued sc1
rêluanllur luesstnd salualgduol ap slsol se1 enb uorg
Suldlllr,'l 30 sNllNo)
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sol snol !a1uau3ne,; êp no osltx e1 rns lau3t1e,s ap xlol,ll ;nanol un '?p rnal gluÊlar luo luatelsQp o1 tnb xnar snol
êl llel e uorplur.l,l anb srol aun 'olqel ap rnol np uU el V anb srol êun lrlruU0p lso lellnsq.l puolas 0l 'luoJ 0l sll,S
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lot.{f,nol as no osrLx allalnou e1 -lns leuÊt1e,s lrop lue^rns oun sOp sêp un,l .ra)uelêr ap Qlrlrqtssod e1 ep luesod
,,.r,.,Jnanof al 'uolelult..i,l ap alloJp q a^norl as rnb rnenol a1 -srp srnanol sol srnal sêl luauroletQugS luatueu saltBSJa^
:', .'::t€d lue5ualuulol uo 'ertelueuglddns êulu.los aun toued pe sol 'sareurpro sorl.red ap srol sleu 'srnanol so1 tnod
luar.ned slr 'sQp sol Qluel luo slnonol sel snol enb sloJ sul^l s9p sal êluel uosreu el 'oursel nv ullsap np sQp xnêp
eruel .rnenol enbeqr 'oJelurr..l,p oqlueu aun,p s"lnol nV
Sluvd 531: r3dvl; 'sonbtun saloquL,{s
oJ el u lt.l, I xne xner:qds urlsap np sQp sap astltln otElulq alqe:ltJQ^
suep s9srlrln urlsêp np sgp xne luapuodsalLor tnb '!! al sreu 'prepupls urlsop np sgp sop luaroldua saggtldutts
aruel -rneno[ enbeqr'saQn]rallê sostLu sal stoJ êu1 solueue^ sac sagsrprepuels sa13q; saluQur sol luoLxalel
-Ou?8 luesrlrln srna8eÂon xnarqurou ap lassed lueton tnkt
sgo srl usfN\fl : E 3dvl, sqlneunL.uLUol sarlnE la sl.rodorleds sal steuJ 'saleuotBq.t
'aqlueLU eI ra)uel salupue^ sop olsrxê 11 selqueld srnotsnld rns sQnbtletd
sêrrelrLUrs xnel ap ,rrl"rBd e Qnlo^Q lre 1t,nb elqeqord snld
rnod lod ne aslu.r êun êsro^ rnanol anbeqr 'uorelu!tl,l êp
surouueOu lso ll ?lruraled el lualndstp uo,s tnb'uts
eqrneB el q ê^norl es rnb rnenol e1 red 1ue)uautuol uf
-]o] no eMzeq) Jns 0u lreJas lr 'sapuotu xnaJqluou 0p
SISll,llSSl:ZIdVII rns arrelndo; urlsap np sQp sop rene anol os ore]ull,l,l
orelurL{,1 Le:ue1 ap stnd OUVINIH,'I
'[lnos un ]a) Qp un raluelar ap glrlrqtssod e1 1uo s.lnanol
se1 anb raJnsse.s ap 'sued la sasrLU Jallallol ep QBreqt
nal ep e1qe1 aun q snpred no squ8
lsa ll arluoLx aun,p sa11rn3re sop suas al suep laLUSUeJl os -PB olg luo selQueld sop la sall sop otuoul no xneossle^
olQJ ol lo 'alllueu anbeqr e uorplutq,p a8ueqt uo 'ollaLU
sap 'sounlroJ sêC osrLU alrol ? set]led sep qlueJndod el
ro1 suror.u arlred eun sueq rardnorr np srnolno1 enbserd
'sêlJel op eryed aun suep rnouuop raLxrlsa-snos sed 1ne1 au lr srelu 'sa'trelndod suollleJlstp
1r8e,s 1r 'ourspf nV sap luos preseLl ap no luaJel ap xnal se1 'enbsald no xnal
ne lnerrrnbq Inb'(l'Nd un orlQ lned tnb) uorelurq un xna -ua sues quano[ as slt,nbsro-1 etxeleS el alno] enbsard
ruured luessrsroqr srnenol sal 'êqlueLU el ap lnqgp nV
suep sqnbrle.rd luos surelrer la 'xnel sap € a]uessreu
NOUVINIH,'I UISIOHf : t SdVI! Quuop luo suorlESrlr^r) sêl salnol s0u]JoJ ap apnllllnLU
: orelu!1.{,p oqlueu eun.p seseqd salualglllp sol llloA 3i; Li?l!,§,n -ili:îlii,iJu"Ts,;,3i,:ffi i :: 0
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Tukar to Kulro *)*{?{? tt,'

Tukar Tukar :xx 3'

Krr ro KLr ro I {:} {:} 4" I


I

€Y&Pffi S: ffi§**&ffi§§ffi a*xeapæ 6 : L&F*€§§ë É-"Ë{ë*§§&ffi# §?


Une fois que tous les joueurs ont examiné les jets de reffi * ru ffi ffi Lffi Weê ruæ⧠§§.§ ffi
ffi ââYffi
leurs adversaires et misê, chaque joueur peut décider Une fois que tous les joueurs ont relancé un dé ou re
de relancer un dé. En commenÇant par le joueur situé fusé de le faire, l'hintaron lance un dê d'lnfortune pour
à sa gauche, l'hintaron demande à chaque joueur s'il représenter le dé du deslin spêcial de l'hintaro. Chaque
veut relancer Y [Hin) annule un * (Tukar) et chaque (§) [Taro) annule
un {J} (Kulro)
ffi Comme le dê lancé lors d'une partie d'hintaro ne lait
pas parlie d'un test, il n'est pas modifié par les talents
ou les aulres capacités qui affectent ce genre de jet. En
Une fois les annulatrons elfectuêes, comparez les sê
nes de symboles restantes aux entrées de la l'lable 3-9 :
revanche, 1a capacité emblématique Chance de pendu résultats d'hintaro, afin de définir leur classement. Une
,# s'applique à [ous Ies lancers de dês. Un Contrebandier sêrie qui n'apparaît pas n'a pas de rang et ne peut pas
.
expérimenté peut donc s'en servir pour modilier les ré gagner. Le meilleur rang, du premier au quatrième, rem-
sultats pendant une manche d'hintaro. porte la manche et la totalitê du pol En cas d'égalîté, le
pot est partagé. Si personne ne gagne, 1e pot reste sur la
lable pour la manche suivanle.

F
ffi ffinffi ffi§§§ pæ&§ re §ffi §wYffi§ffi&*w ffi § ffi ffi§
f, a vie d'un Conirebandier est pleine de conllits, de dé-
L robades et de tromperies. Les alliés sont rares, les en- LE PATRON
nemis abondent.. et parfois, c'est sur ces derniers qu'il Le Patron est une lrgure puissante, directemenl liee à
faut compter en I'absence d'autre soulien I En fait, un la contrebande. ll est ou a été l'employeur d'au morns
Contrebandier ne se demande pas s'il va s'attirer l'ini- un PJ, et l'Obligatron de ce dernier définit la nature de
mitié d'un adversaire puissant, mais plutôt quand et Ieur relation. En général, le Patron est un parrain de la
pendanl combien de temps. Toutefois, ce qui rend un pègre, mais il peut aussi s'agir d'un capitaine pirate surgi
ennemi vraiment dangereux n'est pas son identité, mals du passé du personnage, du propriétaire d'un casino ou
les motivations qui l'animent et ce qu'il reprêsente pour d'un cadre supérieur doté de contacts douteux. Souvent,
le Contrebandier. Un tel PNJ devient mémorable lorsqu'il la relalion avec lui comrnence sur une note positive, ou
quitte le rôle d'ennemi unidimensionnel dont la seule au moins prolrtable. Cependant, au fur e[ à mesure que
fonction est de servir d'obstacle au groupe. D'ailleurs, le lemps passe, elle commence à se gâter, à dessein ou
les n mechants , rêussis donneni même aux joueurs l'oc- à cause des circonstances. Bientôt, les PJ se relrouvent
casion de ressentir de l'empalhie, parce que leurs moti- pieds et poings liés et assignés à des tâches dangereuses
vations restent compréhensilrles. Selon les actions des ou impossibles. S'ils rompenl la relation, le Patron utilise
PJ, cerlains adversaires peuvent rester dans les coullsses ses ressources pour leur rendre la vie impossible
pendanl ionglemps : ils leur mettent des bâtons dans les
Les motivations classiques d'un tel PNJ sont le pouvoir
roues, mais n'interviennent en personne qu'au momenl
et le contrôle. Ouelle que soit Ia manière dont il a obte-
idêal. En précisant pourquoi l'ennemi jurê agil comme il
nu sa lortune et sa position, il a bien l'intention de les
le fait et comment il s'y prend, le MJ le rend de plus en
conserver et d'accroître son influence. Cette dynamique
plus intêressant au fil de I'histoire.
fonctionne tant que ses subalternes restent à leur place.
Vous lrouverez ci dessous une liste de stérêotypes de Ceux qui font preuve de trop d'ambition sont perÇus
PNJ qui peuvent devenir des adversaires récurrents dans comme des menaces, et il réagil en conséquence, que
une campagne basee sur les contrebandiers. ce soit pour les garder sous contrôle ou pour éliminer
des rivaux. Si les personnages oni l'rntention de farre un
gros coup, ou s'ils y arrivent, le Patron réclamera sa part.
Dans le conlexte d'une campagne, ce PNJ peut etre tour
à tour un allié et un adversaire, mais au bout du compte,
le bien-être des personnages ne le concerne pas.

LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


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-se sluepuodOpul sol salsloAQ slQrQlul s-lno rloAnoLUoJd
Jnod onb nlDls np la arpro,p lualred sndLUor.lol snld sêl
sluoBe sol o[]Qt\ ênA op lulod êl sed luoBelled êu lilb
xnal ralQ.uE,p luolual sll lo'?ll-lnl?s eJ la ê.lpJo,l 'xled
el luouSQ.r onb luolna^ lol el luêAlos lnll xnoJ Qlglros
el cp uorsgtlo) el luernssE slu0LU?lQ,p luElne êLlltllol
lroirod sêl ll lc'sosllQrd suoslel sop rnod Juolslxo
slucruolSQr le solSQU uollllplrnl es suep Êllrolne,l 0p
lladsê-r i.rp lo onb rlDJS np'a-lplo,l êp lnol lus^e odnllo
Qrd os rol el op lueluos?rdar ol 'ou8edLUel êun sueC
olue^e,p nod un rcplES
op,ro^esso Q sdLUal rnêl luêLUaulel.]êl luorêssed sll lo
'sêlqelr^Qur luos ro l el la\e salluoruo.r sèp 's0llP-l0LUQl
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ol?ualu êun lso « tol el » OlP]o,l 0p sol"lo] xlle OJlel]e
luo srêrpueqarluol s0l snol'ê-llne un € no luêLUou] un v
lol v!
'. . ...:1,'

La Némésis de la Loi a accès à des ressources consi LE§ ÉUÉmrn,m


dérables, ce qui la rend particulièremenI dangereuse.
Un simple ollicier peut réquisitionner une pelile équipe our beaucoup de Conlrebandiers, les
pour l'aider dans son enquele, alors qu'un agent doté Il- innom
brables dangers de la galaxie représentenL des
des bons contacts au sein de l'Empire peut disposer d'un dêfis à part entiêre. Contrairement aux âutres Né-
deslroyer stellaire en cas de nécessité l mêsis, les Elémenfs sont des ofrskeles physiques
Cela dit, la Loi n'est pas aussi monolithique que l'Em- associês à la carrière de Contrebandier. ll peut
pire le voudrart. Au cours d'une enquête criminelle, plu- s'agir de naviguer dans les terrifiantes régions qui
sieurs agences entrent souvent en conflil. Ce qui est cnlourent la Cueule, d'esquiver les neebrays mantas
important pour un individu peul s'avérer secondaire, ou geantes de la nébuleuse de Kaliida sur la passe de
même gênant, pour l'enquête d'un autre. Une Némésjs Balmorra, ou de se frayer un passage dans un vieux
liée à la Loi s'impliquera activement dans ces conflits, champ de balaille orbital datant de la Cuerre des
qui font parlie de son travail. llest rneme possible qu'elle Clones. Les Elêments pÊuvent être la Nêmêsis des
contrevienne aux lois locales pour atteindre ses objectifs. PJ au même titre qu'un individu. lls ne les suivent
pas, mais ils existent pour les empêe her d'atteindre
certains objecliis.
L,AMI.ENNEMI
Les Contrebandiers peuvent mener une
existence étonnamment sociale, pleine La prêsence d'un Ami ennemi dans une campagne
de partenarials de circonstance et d'une de Contrebandiers permet de maintenir le groupe
camaraderie nêe d'expériences parla- sur le qui vive, incapable de savoir à qui accorder sa
gees. Les capitaines qui se livrenl confiance. S'il ne s'est rendu coupable que d'une tra
à la contrebande entretiennent hison modeste, le PNJ peut intervenir plus tard pour
sauver la mlse des PJ et se racheter à leurs aux yeux
;§,,'"iX?#,1§' :iil'*i:l:"[?' S'il les a vraiment doublés, les PJ peuvent se lancer à
.*:',:,r! Pendant, en raison de la sa poursuite pour découvrir finalement que leur « amt ,
I.=1,,.: nature même leur profes- s'est en fait altiré des ennuis avec la Loi ou avec un
.:, sion, la confiance est une Patron, et qu'il a agi sur leur ordre. D'un autre côlê, il
denrée rare chez eux. Dans peut aussi s'agir du veritable ennemi de l'histoire. La
le passé, u l'Ami ennemi , a raison d'être d'un Ami-ennemi est de faire en sorte que
bâti une relation lorte avec au les PJ restent sur le qui-vive et que le MJ dispose d'une
moins un des PJ, mais celui-ci situation intéressanle l

ne peut pas lui faire conliance, car


il ne sait jamais à l'avance ce que
son « ami , lui réserve. Celui ci peut
se prêcipiter à la rescousse du
groupe avant de s'emparer du bu
tin et de prendre le large De toutes
les Nêmêsis qui encombrent la vie
d'un Contrebandier, l'Ami-ennemr esl
la moins orévrsible.
Contrairement à la Loi ou au Patron,
lAmi ennemr est souvenl un contacl
personnel et régulier de l'équipe Cette
Némésis fail preuve de motrvalions com-
EXEMPLE II'AMI.ENHEMI :
plexes el souffre des conflits iniérieurs. Elle B-§lÀril V05!
est poussée par ses Obligations tout autant
que les PJ. Elle peut avoir n'importe quelle I cladi Vosi csl une arnaqucusc-néc. Depuis son
Motivalion disponibte à la crêalion de per lI cnfance, elle porte le poids d'une detle énorme.
sonnage, el dispose certainement d'une Pour survivre, elle a appris à se montrer impitoyable
Obligation qui la pousse au conflit avec à sâ manière : plutôt que de rÊcourir â la violence,
les PJ, directement ou non. Un Ami en elle préfère disparaitre avec l,'argent avanl quÊ ses
nemi lourdement endettê peut estimer partenaires ne se mclntrÊnt. Extrememenl. ehâr-
que la manière la plus rapide de rembour- ffreuse, elle persuade souvent ses âssociôsrqu'eile
ser consiste à s'emparer du chargement est vraimenL lcrrr amie. En tait, ils sonl peut êLre
des personnages. Un autre, dotê de res- vraimenl ses seuls am!s, ri I'on eonsidere la situa-
ponsabilités familiales, risque de dénon- lion d'un cerlain Boinl cle vue. Mais cela ne l'em-
cer le groupe aux autorites s'il parvient pôche pas de les dépouiller. Ceux qui apprennent
ce faisant à garantir le bien-êlre de ses â cünnailre Vosi peuvent dôgolter de nombreuses
proches. Parfois, même ses u lrahisons , missions gràce â elle, et ceux qui an[icipent sës trâ-
sont en réalité destinées à sauver la vie hisons peuvent même réussir,à gagner tie l'argenl.
des PJ sur le long terme. en travâillant aver: e lle-'.

LEs AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


AUq,lE ot Eirrox NDrscRÈTE

I
':turdhl3.-l Eo SNlJNo)
xny.p salBqr op oJ^ll np 0Bg d e1 q sno,n zelroda;
F- 'LruEZ ap urnrl.iosuoJ ol rns sllelÊp ap snld rno6 rrprley un,p serllot
ÉE 'solel luaLUir,lQtlnrtped luos sallê 'oldruo: uos sol suep rolnorlor ês OSuol lse uoste8rer e1 ep lgold np
æ" rnod soguau opueqêJluol ap suorlerQdo xne luenO % Eg e- 09 : oo^ol9 sQrl lua^nos lso olu9u?q np led lnal
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sop luouuar^rns enb no IeLU oulnol orQluenop uorlrad
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-qr a1 onb arolu0 lualg.t snld 'anbrl:eleB a;8qd e1 1 ouJLUol lua,nto5red es sednot8 sarlne,p anb srole'sn1d
suep nu0A neÊAnou un lsa uuez ap Lunrlosuo3 a I oC êllrelerl 1r rnb rnod luoLUallexo ires 1t 'rtptley un lo^e
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1A SIU€puodQpul-lLUos soulelldel op sogsodLLlol solnllsl sêp on^ ap lurod np apu€qorluol el op n5;ade un leu
op Çnlrlsuo) lso I{ sreLU 'qsllPrluol êdnor3 un sed lso,u -uop sno^ rnod q1 luos JUa^tns tnb seldutaxa sol 'oJlelQU
sep,reJ op neosgJ al sê^ellsa,p luerl 0l 0ll^Q II 'suolleul -e1dra1ut lourLUIrl loller êl le lneuardelluê,1 'Qlgllos el
-roJUr,p oluê^ el suep la (elrodsuetl leuuosrad uos anb 'allrLUel el: saluelrns sertoSgler ellenb sep oun,l suep
ar sed lrnpoLd ou I{l salroll sastpueLllleLLl ap uosleJAll el luaJluo srerpueqarluol ap suotlESIue8lo sap 1-tednld el
suep ÇsrletrQd5 eledtruttd Qlt^lll€,1 lsa êpueqorluo) el
'sep,rel op neosOJ e1 tnod 'aledt:utrd Qlt^llle êun luoul
-êrQoueuU roprlosuol rnod apueqarluol el op luoAJOS SNOI.LVSINVDUO,O
es rnb slerrpuÂs sarlne,p dnorneaq ? luaLUaJtPlluoJ 531d1^1ilC3
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'salnlsnurur s0rQllelEl e.rre1 rnod anb lualstxa,u ê,lto^'soluellodut snld dnor
uo sosnell ap sureld sleJluol sap Lau8ts e êlpuolle,s neoq sollêulurtrr suotqergdo sep p sepe5eJ ap luê^ras
luê^rop odnolS ar rnod luolltelell tnb srarpueqelluor sasude;lue sourelrol 'ulJUf apueqa;luol el q sêlrnos
so-l olroJ e1 ap a8esn,l e rrnolol ap anb lQlnld ratro8 sêr srnol ep arlred aun luallesuo: l.todsuetl op s9lQllos
-?u arQJOLd sreuu 'sed no IeBQI ltos ar enb 'sanbruouolg solQuuoLi,p 'lolJ € lolsêJ Lnod '1ue,tnos sQ{ 'soJleJJe s0p
slQrglur ses lros rnb et 1no1 suep a8e8ua,s ll lUoLd ne ale] lnol rnb rnod sa.ltole8tlqo sasuedqp sop ollred luol
lnol lue^e rossarQlut,s ep e:llaured es lned lertpuÂ5 eI urn-ap-slod sêl lo sopuaLUe sol 'xno rnod uollelnllll el
'lainouQ]xf êrnproB e1 suep) ttleg rnelcas a1 suep'artd lnol q.r8leLu luaUrQdrua stLuLed sa1 rns slueutelSqr sal no
-LUl,l ap a8reu ua luoLUOAlleloJ ?nltS all^JOS enbeqr sexaldLuor ou€nop ap sllorp sêl luop se1e8q1 sestpueqr
;nod s;naJlaLrp sop la leL?uo3 rnollorp un lo^e 'suotleJ reur sop luelQ8 rnb sa1e391 satrelle sop luos sasuderl
-od"ror sep qrrdsur arqreJQIq op alQpoLU un ltns ssolu0f -ua salrlad sap Qluoleur apuet8 el soulloJ sêlqelqLr0u
op uorllorrp el soxel le slgdu.tt lue,ttnbse uo saslpueq) -ur,p snos luolsrx0 sJ0lpueq0rluo) ap xne0s?l sal
rpLU sos ralodsuerl ? lr0s tnl êpuEqarluol el s0llêu roqlnol s1t,nb sqq:reu sol lo s0slpueLll
€ luoLllroqr
-rLUul s?lr^rlle sêsnorqLUou ep elneedeq: lr 'osstlnol uo -reLU slnal 'slu0rll s0s 0rl0J sl0lpueqOJluol êp neos9l un
sreLU'olQUUoLl ?lQIlos oun lso lertpuÂ5 al lnouQlxê,1 ap 'ollrel es lros anb êllonO utlsêpuel: ltodsuell np olllsnp
nA 's1Qr01ur sos rolu€^e 0JIEJ 0p uue OpueqaJluo) €l ? -ur,l lone.lelrerl red lru!J suotlneA sap olsllenpt^tput snld
êQrlesuol ornlfnrls oun sotlne e;lue erQB tnb eutltSoI ol oLLrOur 'glrsso)QU red olueur)ue1 uotledn:roqrd eun
asude;1ue,p elduuexe un 1se (autanE.l 3o sNllNoJ xnv,p êlsor lolnoq ureqrord ol lo^norl 'sluepuodgput se: lnod
sa18q: ep ar^rl np gg9 aSed lo^) ssoluaf lerlpuÂ5 e-1 sreu 'neossre^ Jnol ? lo a)nlse lnol q a:913 all lnêl G
§§üTü§3i" ew3ëffiruÀ§ §.§ t æ&§&3ffi§ wT lualuêsnorJoqel lueuSeB srotpueqorluor ep dnoonea fl
§uTI lü HrfHiIuÀNo3 3I§ XnTriX§§U §H"l
§-ffi fi&ffi§§t cffiâ*#§&{§L autorité portuaire, voire marchand d'antiquités. Même
*ruY§ffitrt§ru§§§&§ffiffi: §-§ §§L§§L ruæ§ffi si elle se limite à une façade, elle offre un point d'accès
à son versant clandestin. Le groupe peul être organisé
Le Soleil Noir, prêsenté page 37 4 du livre de règles comme une petite entreprise, avec une poignée d'em
d'Aux Corurrrus oel'Euprne, est l'archélype d'un immense
ployés, des contacts et une direction centrale. S'il est
conglomérat criminei pour qui Ia conlrebande n'est
qu'une opération parmi lanl d'autres. Son succès et plus important el dispose d'un réseau de distribution
plus vaste, des hiérarchies plus complexes peuvent
sa longévité, il les doit essenliellement au secret. Aussi
considérables et diversifiées que soient ses activités, il apparaître. D'autres, moins inspirés des entreprises,
excelle surtout lorsqu'il s'agil de mener des opêrations oplent pour la décenlralisation, avec des capitaines et
discrètes. A bien des égards, le Soleil Noir fonctionne des équipages géranl leurs propres navires tout en en
comrne un actionnaire majoritaire discret, présent dans voyant un pourcentage à la direction.
de nombreuses filiales. Une grande partie des posses
sions de l'organisation esl composée d'entreprises lé- qâi§L §§§ L.smJffiY
gales dont les employés ignorenl l'alirlialion criminelle. ffi§ â {æN§ffiffiffi&§1*§§ ?
Si les PJ viennent à travailler pour Ie Soleil Noir, il est On peut affirmer sans exagêrer que les contrebandiers
peu probable qu'ils en aient tout de suile conscience. Le [ransportenl tout et n'importe quoi. Lépice est bien sur
groupe se retrouve à collaborer avec une petile sociétê la marchandise qui vient à I'esprit, mais pendant une
qui a accès à des contrats inhabituellement lucralils. La journée impériale standard, le trafic de l'épice ne reprê
véritable allégeance de leur employeur n'apparalt que s sente qu'une inlime portion de ce qui circule en secret
les personnages creusent un peu . ce qui risque d'être
æ mauvais pour leur santé
sur les routes spatiales. Pour s'en tenir aux catégories as-
I
sez vastes, une organisation peut tralrquer des marchan
dises, des informations ou des gens. Parmi les premières,
* CRÉER VOTRE on trouve de la nourriture, de l'êpice ou des armes. Les
informations peuvenl prendre la forme de copies phy
* PROPRE RESEAU DE siques ou électroniques. Dans ce cas, elles sont conser
vêes dans la mémoire du vaisseau ou dans un espace
CONTREBANDIERS de stockage séparé. Parmi les personnes, enfin, lrgurent
La galaxie abrite des millions de mondes habités el d'in
les esclaves, les réfugiés, ou tout individu qui cherche
F nombrables elres intelligents. Sur chaque planète, des à échapper à quelqu'un. Plus l'organisation est impor-
tante, plus il y a de chances qu'elle produise êgalement
centaines, voire des milliers de cargos transportent des
marchandises, légalement ou non. La galaxie est im les articles qu'elle trafique. La nature des marchandises
qu'elle passe en contrebande définit souvent sa manière
mense et contient par conséquent une quantité iniinie
de marchés et de biens, ainsi que des individus prets à de percevoir le monde, et les risques qu'on encourt à
payer le prix fort pour presque n'importe quoi Le MJ travailler pour elle.
peut créer son propre réseau de contrebande en rêpon
dant aux questions suivantes. pætrmqL§æ§ F&ëY"§§-
*Ë L& gffie§Yffiffi#&§*&§ ?
ffie§ §ffi §§§'#§"r-âL ? En rêsumé, l'objectil d'une organisation de contreban-
Tout réseau de contrebande dispose d'une base diers consiste à transporler discrètement des marchan
d'opérations, qu'il s'agisse d'un monde, d'une station dises rentables pour laire du profit. \4ême sr une car-
ou d'une route hyperspatiale particulière. Un groupe galson donnée est légale, son propriétaire peut décider
centré sur Coruscanl sera fondamentalement différent de la faire passer en contrebande afin de contourner
d'un aulre basé sur Kessel. Son environnement déter des taxes ou d'êchapper à des sanctions. Dans cer-
mine le caractère et la nature clu réseau. Par exemple, tains cas, Ia mo[ivalion peut être humanitaire, quand
ceux qui opèrent sur des routes très frêquentêes se des individus sont prêts à violer la loi pour aider leur
lont passer pour des entreprises legales. lls dissimulent prochain. Le plus souvent, c'est simplement l'appâl du
leurs marchandises illicites dans des cargaisons com- gain qui pousse les gens à s'adonner à la contrebande,
merciales el paient les pots-de-vin nécessaires pour car il y a beaucoup d'argent à se faire en contournanl
êchapper aux contrôles. En revanche, les organisations les canaux officiels. La demande excède l'offre dans
qui desservent des lieux reculés prélèrent se fier à la presque tous les domaines, V compris celui des mar,
discrétion et à Ia vttesse pour faire circuler leurs mar- chandises illêgales ou d'accès restreint. Certains sont
chandises illêgales. Les groupes qui travaillent sous prêt à payer des sommes exorbitantes pour qu'on leur
la menace des forces de I'ordre développent vite un livre ce qu'iis désirent.
certain talent dans l'art du subterfuge, alors que ceux
qui se trouvent à des annêes-lumière des autoritês *#E€Fæ§ffiY Ë&§Y-§I
agissenl ouvertement. ffi§ L& Cæffi§,ffi§ffieruffiH ?
Beaucoup d'organisations engagent des pilotes qui dis-
ü#M§dffiruY §§Y.*§- æmeeru§§§ ? posent de Ieurs propres transporls de grande capaci-
Les rêseaux de contrebande sont rarement entière- tê. C'est probablement ainsr que les PJ se retrouveront
ment souterrains. La plupart exercenl sous couvert en contact avec un rêseau de contrebande. Cepen-
d'une activité commerciale légale : société de livraison, dant, les lechniques utilisêes changent beaucoup d'une

LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES


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sues allêurLUUl uorlesrue8ro osso]8 oun lnoc: : : el eJdtuor salued sap oun,l ts Jlo^es êp sÉd 1s0,u
êpueqêlluol è0 nedsor L'.rb èlcrlssoo .-)o * . .
uoxlsanb rl 'san8ulul sal red saQdes 1ê sêrQu?qd9
'oJQruenop orlerlnearnq ollonb ol"rodLUL,u a. '' -, -- lua.\nos luos sa?Doô?u suorlnlos sel 'sel?H salllol
sluellnolo rssne sluaLUal8qL sep lo sêLÊ?j s3. ::-: .- -ne sap uorluaue.l rêrrlle,p PrôllAQ 1A SâlJnoSSaJ êp
sêlla sleLU'sluel.rodLUr snld soLl)reur sop ? s:ll: ,. -= aâellldse8 al eralrurl rnb anbtleLuoldrp lueu:a8uet;e
srorlnS?J sluoJd sop luarnsse suolleslueS-]o sis-r,,: :. un luaqrraql sednolS sal ap suojled sal '1uar,no5
'sluonb?suol snld sluord op o8ueLllQ uê ?r-,;r .: -: 'uorlnlos anbrun,l luatuQlro] sEd lsa.u ê)uêlÔl^ Bl
arlred oun ? Jaluouor lrop lr 'aluelrodul sn c ,,: -,,: :: 'alelnrq luauarQrlnlrl.red relqng'l as lnêd s8ue8 sap
ro oun lurolor êpueqorluol ap neêsQr lrlac :,r- . - . -
arran8 êun 'sel sal snol suec sêullsalul sallêranb
* t-ffiw"§"§*s$§§ sffi-§* sal ied sagnolas sed luos ou sallo puenb 'sallê aJlua
àw*§#ruÀ§ ruffi § §âre§.*#w lualndsrp as suotjestuP8ro sal 'slolJed 'ajlollljal lnèl
=È"à==
'uosreSreJ oun,nb asnorlQJd LSSne oLl-lLUol srl0.l i3'."',',ïi :ffi:,:il,ii :3 :lsi.iff ;:: tÎj^i : :
-suroJUl,p uorllsrnblE,l orQprsuol'êIdLUOXO r3d'sep.rel
I
êp neosQr ê1 onb Jruo^nos os q sQll^ul lu0s fLA sol uoll
erQdo,l op ollsl?uouJ-uou oluQuqq un puolle uolleslueS
s3lvntu lllNv8lulNCIl 3{l
ro,l onb lso,l 'seq sQJl lso ?sodord oSeluorrnod al LS SNEIIVS|NVSUB S31
§}H GR§§ §ÉruËMCE§
Q urvivre en tant que Contrebandier impose de trou- dépenser leur argent durement gagné en améliorant
Ü ver un équilibre entre le risque et les récompenses: leur cargo actuel plutÔt que d'investir dans un nouveau
les bénéfices sont à la hauleur des risques encourus. Le modèle flambant neuf, même si à long terme l'entretien
commerce clandeslin attire les risque toul. Ou'il s'agisse d'un vieil appareil s'avère plus cotteux.
de transporter un chargement d'épice, de rafler le jack- Les rêcompenses liées au vaisseau peuvenl com-
pot dans une partie de sabacc ou de faire disparaÎtre une prendre la « gratuité , de la maintenance et des rê
relique ultra-protégée, tout est une queslion de retour parations, voire l'assislance gracieuse de mécanos
sur investissement. Même quand la situation tourne à la compétents qui installeront des kits d'amélloration ou
catastrophe, lenter d'êchapper aux conséquences peut procêderont à des réglages afin de rendre l'appareil
constituer une avenlure palpitante en soi. Vivre une vie encore plus performani. La plupart des améliorations
aussi lrépidante sufftt au bonheur de nombre de contre- sont couvertes dans le livre de règles d'Aux Corurtus oe
bandiers, mais la plupart des capilaines préfèrenl ac- l'Enaprnr ou page 62 de ce livre. Le MJ peut en imagi
complir des missjons Iucratives. Après tout, l'adrénaline ner d'autres pour l'engin du groupe. Elles ne seront pas
ne paie pas les factures I
aussi tangibles que l'installation d'une amélioration sur

# Dans Aux ConnNs oe l'Evptns, les PJ sont toujours


entre deux missions, celle donl ils se remettent à peine
et le gros coup qui devrait les remeltre à flot mais qui
leur êchappe sans arrêt. Le MJ doit s'arranger pour leur
olfrir des récompenses assez imporlantes pour les mo-
la coque ou 1e moteur, mais elles peuvenl s'avêrer loul
aussi précieuses.
Er voici queloues tnes:
Une autre identité pour le vaisseau : pour un
dr liver, mais pas suffisamment pour qu'ils se ramollissent contrebandier, 1'un des moyens de garder ttne lon-
ou prennent leur retraile. Lencadré de la page 1 51 du gueur d'avance sur les autoritês consiste à enre
* livre de règles d'Aux CoNrtrus oE l'Etuptnr vous donne un
gistrer son navire sous plusieurs idenlités. Pour un
excellent point de dêpart et plusieurs idées pour slimuler capitaine de cargo désireux de passer inaperçu,
Ies loueurs en permanence.
l'anonymat est un grand avantage:s'il a trafiqué
le transpondeur du BOSS pour que celui ci diffuse
Parmi Ies rêcompenses possibles pour n'importe plus d'une ideniitê, ses chances d'échapper aux au
quelle aventure figurent de I'équipement, des vaisseaux, torités lorsque le besoin s'en lalt sentir augmentent
des armes, et bien sur des crédits, mais d'autres rêcom lorlemenl
penses uniques sonl susceptibles d'intéresser les équi-
pages contrebandiers. Un appontage sûr dans un port fantôme : les
ports clandestins sont un havre pour les capitaines
el les êquipages qui désirent respirer un peu. Ces
LE VAISSEAU endroils tranquilles leur permettent de transfêrer
une cargaison illêgale, de laire réparer leur vais
En matière de récompenses matêrielles d'une aven seau ou de trouver Ieur prochain travail. Au fur et
ture. rien ne vaut le vaisseau d'un contrebandier. Bien à mesure que la réputation de l'équipage s'accroÎt,
plus qu'une pièce d'équipement, c'est l'incarnation d'un le groupe peut se voir offrir la possibilité d'appon-
mode de vie. Plus l'engin est ellicace, plus l'équipage a ler dans un port clandesttn parmi les centaines qui
de chances de lrouver des boulots lucralifs. Améltorer existenl dans la galaxie.
son appareil ou en acquérir un nouveau constitue une
rêcompense en soi. D'un autre cÔté, les couts d'entre- Un nouveau membre d'équipage : les PJ devraient
tien et de réparation nêcessitent une lutte permanente, normalement assurer les tâches importanles à bord
qui grignote sans cesse les bénéfices donl rêve tout bon de l'appareil, mais leur charge de travail peul être al
contrebandier. Les capitaines vivent souvent une relation lêgêe grâce à un personnage d'appoint, et plus par
d'amour-haine avec leur vaisseau : beaucoup préfèrent ticulièremenl par un droide. St aucun des PJ ne peut

AU-BELÀ NES RTVENUS ET OE TEXFÉRIENTE

our les contrebancliers, les récompenses les plus Lêquilibre est la clé : ne rendez pas la vie d'un contre-
IF courantes restent l'argent et 1'expêrience, mais le bandier trop ruineuse sans lui donner des rêcom-
MJ devrait monlrer a.ix joueurs qu'elles constiLuent oenses alLernalives. Les ioueurs onL besoin de recevoir
un moyen et non une iin. Une fois que les coûts de quelque chose en contrepartie de leurs efforts I S'ils
maintenance ei de carburanl, les taxes d'apponiage ne sont pas assez récompensés, ils vont se sentir frus-
et les pots-de-vin ont élé payes, le bênêfice d'un lrès três. S'lls le sont trop, ils vonl devenir suffisants. Un
lucratif chargement d'épice peut passer de 40 000 à MJ devrair en disculet avec le groupe eL Lrouver une
5 000 crédils, que les membres du groupe devront se solution qur convienne à [ous.
partager. Les joueurs pourraient finir par trouver les
récompenses alternatives plus satisfaisantes.
trE'à)sloxl xolJs:llE ilExrll
s3urvrrv s3'l J-NOS SSUlvilv Sf'l
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sgsoddo sloJJO sêp luoJne suollse sêute]]a] uilo NVE S UINO] NfI,Q
'orJne un red IêulLUUl aldulls un êujtuol ilap 3) N3 n"lJ N t,o s=uEl.lds §E?
-rsuo) eJes odnoJS un,p solQI-.{ êl 'J0s ualB rnsd
el op ardsul JIleSou luêur0uÊ49 un la '01neu 'Qlnd?J snld
nLUUJO) el Ap ulos ne uollellLup8 , :a - - - I . cs luêssrsrot{l lleqes ap 0lqel 0un
-so.l ap orrdsur Jrlrsod luêLUau?^Q un 'ler9u93 uf Inp un rau8B8 'nEassle^ un Jalolld lnod
'soQUloluol solQLlds s3 -:-':a -- qlraqr rnb xno] 'suolllpuol saJnêlllêu.l
uorlelndÇèl rnal .lonulullp lnod [A ol 'srnal?r \' . ': '- , -
lêpre.l 91uq9lQl es anb orQdso Il 'lqouoy
-{itriiaii . tualltw uoznDl np sêlueLUroJJAd sAI
!.1::,,1.:l s1?3gp sêp no leul ournol lnb ossel un 'rlr[ ,, i.,': ) -.
srol 'sêArJeJlnl sollEJJe sop sro^ rau
leurssesse,l la uoslq€ll el oLULUol )nelau 1 -zÊ3,.
-auo^o un € sQDosse luêLUOnbllqnd luos s .s Ç-!,- 3lqeurLU slolnoq sol JOIIqno,p luolloLUJOd
un,C [96 o8ed 'uol]elnd9u el ap sloJJe : 0t-t êIqEI r suarq sap luos 010lJo1ou EI l0 ulouol
e1 ro^l saQurêluol solQqds sêl suep | ê. -,:,:- :: t lr,nb sêsrpueLlnEul sal onb aluElrodull
ap1eè\Ul'Jl,è.JdLU3re]rdo|L\êr],,l,: 1Sê UorlelndoJ el 'rolpueqaJluol un Jnod
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dtno, èun lrs plolèl leJA'oL ,' :oo s : .- l^loN 31
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'Jrlrsod luoLuouQAQ un q sQllossE luêLr-lsnlli qnc l-? -
fd SAI lS 'Jllelleu llP Un,p ro 0Jl1lU0r\? aun p u! ? \ s3,;.1-r3 \e sop ar,\r^ rnod alpulolol ol olleLl
[d sop uol]31rrd |ros lê ê]Q-r al ilLdlrrar lnod lnll [Nd un lar]uoluol
Qr el rns lledLUl un llo^E lnod oluElrodtul êu lsapuerl no l. ?uLrol r s lnb apro-lp un llo^êlêl lilod odnoJS
uollsJQdo olnol sleLU'oQuuop oluonlluL,p arQqds aun oL []ols nr no uotls8orlse uo lrêdxo 'lellpQLU uoll
suep nuuol orlQ,p suo^oLu solqelqLUOUul,p alslxa ll ruqlol olclLUaxs rPdl oQUuop oqrg:l oun,p rodnllo,s
TABLE 3-10 : EFFETS IlE I.A RÉPUTATION
,,trù*iië*i,i:i

J
Adulé : Ajoutez nÜn aux tests de Charrne et de Nêgocration. Aloutez III à tous les tesls de Coercrtion. Un PJ
peut dépenser un pornl de Destin pour dénrcher une piste qu lui permettra de décrocher une nrission de contrebandier
[ou r]ne autre aullainel, ou de retrouver un lndividLl qu'il souhaite rencontr.^r. Des PNJ inconnus contactent soLrVent es
PJ pour leur proposer des lloulots ou leur dernander des servlces I ucratils ou nonl.

Renommé : Ajoutez[! aux tests de Charrne 0t dc NagLrciation. Aloutczllà toLls ]es lesLs de Coercition. Uf PJ
peut dcpenscr un polnL de DesLrn pour den cher L-rne piste qu lLrl permettra d.. décrocher un.. misslon de contrcllanal er
2
(oLr une autre occasion corr,.spof daf t à ses corf péicnccsl Dcs PNJ inconnus corrtar.tÙrt paffors ..s PJ pot.r eLrr
proposer des boulols ou eur clemander des serrrlces l Lrcrat fs ou nonl

Respecté :Ajoulez!aux tesLs de Charme et de Négociation. Aloutez!à tous les tests ôe Coercrtion.

Neutre : OLre oft un passé turTrLl lucux oai se rClent actes altrurstes
(e soit parc.. qu ils sof t anof!n-..s, ou parce qu is
0 etcrueLs,lesrnconnusrear:rgneftpas esPJeLfe esadnrrefLpasnonpLrs.(Commetoulours ajoLrtcz!ouIen
fonct on des interaclions personneLles et des relat ofs ét.rbLies cntre es PJ et es PNJ.I

Craint :Aloutezlaux tests de Coercjtron. Aloutezf aux tcsts de Charn'lc et dc Ncgociatron.

Tristement célèbres:AloLrtez[!aux tests de Cocrcition. A].rutczIIaLrx tcsts de Charrne.ôi de N-Égociation. Un


2 PJ pÊut dapenscr Lrn pornL de DesLjf pour qu'un rndi\ridu non mp iqf e gnore un.. artlof nraLhonnêLe m neure qu' L a
corfrn se, par peur de sa terrjllle réputatiof.
Redouté :AloutozEEEaux tesls de Coercltion. AjoulezIIIaux tests de Charme et dc Négocialion. Un PJ peut
3 dépenser un pornt de Destin pour qu'un indivrdu non impliquê Lgnore une act on ma honnète mineure qu'jl a commise,
ou pour farre fuir un PNJ sbire lors d'une rencontre avec Lu , en raison de son épouvantallle rêpulation.

'Ces
effets s'appliquent en plus des bonus et malus que . Si les PJ sauvent un politicien des griffes de pirates,
les PJ reçoivent en raison de relations personnelles. Bien il se sentira urie dette envers eux. Il pourra leur four
sûr, parfois, les histoires qui circulent à propos d'une nir ultérieurement des contacts ou des ressourcqs
figure de légende ne pèsent pas lourd pour quelqu'un de valeur.
qui connalt personnellement l'individu en question. Par. . Au cours d'une aÿehture, les PJ ont récupêré un
exemple, si les personnages sont Tristement célèbres
datapad surnüméraire. C'est'.lroccasion de fournir
dans une région de l'espace, mais qu'ils ont un ami qui y
vit et leur fâit confiance, les E E à leurs tests de Charme . spontanêment à ùn infomarchand des inlormations
précieuses. En échange, il leur doit une faveur.
et de Nêgociation ne s'appliquera pas aux tests avec
cette personne. De même, les PJ qui font des efforts pour o Après une.partie de sabacc où il a cassé la baraque,
agir de manière anonyme ne profiteront pas de leur Ré- un PJ prete un peu d'argent à un joueur malchan
putation... Elle n'évoluera pas, en bien ou en mal, tant ceux niais doté d'un bon carnet d'adresses. Le prêt
que leurs actions resteront discrètes. peut être remboursé avec des intérêts, servir à ne-
gocier l'accès à une zone hors limite, ou être converti
EN NOUVEAUX CONLACLS.
I.A DETTE Les possibilités ne sont limitées que par l'imagina
LObligation esI une dvnamique cenlrale d'Aux Corrrrrrrrs Lion des loueurs et du N4J. Elles peuvenL servir dans le
oe r'Erraprne. Toul- le monde doil quelque chose à coniexte de I'aventure en cours, ou devenir une faveur en
quelqu'un. Les PJ commencent le jeu avec une Obliga- suspens. que 1e groupe pourra se iaire rerrbourser en cas

.-;:.,,:.
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- *"{
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LT BT BtlLT
'EU
lll lEi très
l-l EJ lointaine...."
lLrll ll,Ol,l 18...."

sonl lc* .Jeuy taçes d'une meme pto, e. al dans


da une
ceux qui sont prets à.prendre des risques peuvent
Les contrebandiers trafiqudnt;porqi les' étoilès
paur gagner quelques crédits. Ces hors:la-loi, ces
jouent le tout paur le tout dans I'espoir de [rouve{
de réussir'à joindre les deux bouts.
rôle Aux Corurrrus or r-'ErurÉrne offre de nouvelles options
ainsi qu'.a lous ceux qui cherchent la lortune et
de se plier aux lois iniques ei aur.exigences de la sociélê.
misez gros pour rem§orter d ênor mes sornmes ou livrez
des hors-la-loi trislement céièbres.

., .De nouvelles oapàcitês emblêmatiques qu.i permettiont aux persoanages


Contiebaridiers de deher Ie sôir et de surmohre, n'rmpone qLlel ob,sla( le

. Des conseils permettant âu maltre du jeu d'introdui re


' dans sa campagne des rencontres, des hisloires
' et
êi r-Jêc thèmês liés :rrv Conlrebandiers.'
liéc aux Contrphzndierc' I
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des thèmes
1.
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