Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
R)
1. Ramener les moments d’inertie de divers éléments J1, J2,…JN dont les vitesses
de rotation sont n1, n2,…nan à la vitesse de l’axe du moteur n0
2. Si on a un treuil, ramener l’énergie cinétique de la masse m (élément qui
influence le démarrage) à la vitesse linéaire vp de l’axe du moteur
3. Ajouter le moment d’inertie du moteur
Le moment d’inertie de l’ensemble est alors donné par la relation
2 2 2
30 vp N
n
J = J0 + m +
π
∑ Ji i
n0 i =1 n0
R) Pour que la marche soit stable, il faut que la variation du couple moteur par
rapport à la vitesse soit inférieure à celle du couple statique par rapport à celle de la
vitesse.
dCm dCs
Ceci s’exprime par l’équation ci-après : ≺ ce qui signifie :
dn dn
Exemple, au choix (voir cours de machines électriques avec la stabilité d’un moteur
shunt)
3) Comment évalue-t-on la puissance des moteurs de translation des ponts
roulants ?
Si le poids total du pont roulant avec tous ses éléments comme par exemple le
chariot et avec la charge transportée est G, et s’il faut applique à ce pont une force
horizontale F pour le déplacer, nous pouvons exprimer cette situation par la formule
suivante : F = Ct .G où Ct est le coefficient de la résistance à la traction
(Ft + Fd )v 2f +µ d a Gv
Pmax=P+2Pd = = (K + )
η D g η
4) Définir :
- arbre électrique
- L’éclairement
- lumière
- angle solide
- efficacité lumineuse d’une source
- laser
R)
- Arbre électrique : est une connexion électrique entre les balais des moteurs
des roues de gauche et de droite d’un portique roulant pour éviter que celles-
ci ne se coincent (égalisation des vitesses)
- L’éclairement : L’éclairement E en un point d’une surface S est la densité
superficielle de flux lumineux, il est donné par :
Ω S
Par définition l’angle solide d Ω sous lequel on voit une surface élémentaire dS à
partir d’un point donné O est
R)
R)
Nous commencerons d’abord à préciser que tous les fours à induction sont
caractérisés par la transformation de l’énergie électrique en utilisant le schéma
employé dans le transformateur. L’enroulement primaire dit inducteur est alimenté
au réseau, la pièce à chauffer constitue l’enroulement secondaire. Le courant
secondaire est la résultante de l’ensemble des courants de Foucault induits dans la
masse à chauffer.
Sur la figure ci-dessus nous voyons comment est réalisé le bobinage inducteur qui est
au fait constitué d’un ensemble de spires s’adaptant ainsi à la géométrie de la pièce à
chauffer. Si nous considérons la formule ci-dessous, nous comprenons que la
fréquence d’alimentation électrique constitue le paramètre essentiel.
Nous citons en passant deux types des fours à induction
Inconvénient
R) Nous tenterons ici de donner les étapes importantes pour la réalisation d’un tel
projet, le choix se fera dans l’ordre suivant :
φµ
∪ =
φ τ•
ESδ
φ=
η∪
12. Puissance de la lampe ou encore par source (calculer le flux lumineux par
source)
φ
f =
N
13. Valider le nombre de lampes
9) Dire ce que vous savez des termes suivants :
- entraînements électriques
- câble d’équilibre
- luminance
R)
• En langage technique courant, l’entraînement électrique embrasse la
machine entraînée, les transmissions, les embrayages, le(s) moteur(s)
électrique (s) ainsi que tous les dispositifs qui rendent possible le
fonctionnement de l’ensemble. L’entraînement électrique sert à la
transformation de l’énergie électrique en énergie mécanique.
• C’est un câble que l’on utilise par exemple dans des puits de mines
pour compenser le poids du câble qui supporte la charge dans le cas où
la longueur du dit câble serait consistante. Donc le câble d’équilibre
sert à compenser ce poids.
• C’est le procédé de recalculer la puissance du moteur si les conditions
d’utilisation changent
• On appelle courbe photométrique la courbe des intensités lumineuses
émises dans un plan contenant l’axe de révolution du luminaire équipé
d’une source de 1000 lm.
• Méthode de rapport R :
C’est l’une des méthodes utilisées dans le calcul de l’éclairage routier
qui fait référence à une classification des propriétés photométriques
des chaussées, l’autre méthode étant la méthode de luminance
ponctuelle où il y a le calcul point par point dans lequel on calcule les
éclairements en différents points de la surface à éclairer.
Pour ce qui est de la méthode de rapport R, le principe de base est le
suivant
On commence par chercher :
La luminance moyenne, l’uniformité, la classe d’éclairement
ainsi que l’indice du confort
Hauteur de feu h, type d’implantation (unilatérale, en
quiquonce, en opposition, axiale)
Espacement
Puissance de feu
Eclairement moyen de la chaussée
Emoy (lux)
R=
Lmoy (Cd / m2 )
V = V1 iV2 =
(Flux émis par l’appareil après un an)/flux émis initialement
Choix de la lampe
l • e • Lmoy • R
φlampe =
V • fµ
Il faudra donc rechercher :
- le courant de démarrage
- les avantages
- les inconvénients
R)
5. Démarrage rotorique
6. Démarreur électronique
Pour les autres sous questions, choisir un mode dans le tableau ci-dessous
11) A l’aide des figures, montrer comment calcule-t-on le coefficient
d’utilisation pour une implantation d’éclairage routier dans les cas où
l’avancée de feu est respectivement positive et négative.
φµ
Il est donné par : f µ =
φt
12) Donnez toutes les sortes de sources lumineuses dans une classification
cohérente.
R) Les pompes centrifuges sont plus répandues que les pompes à piston surtout pour
des grands débits. Une grande qualité des pompes centrifuges par rapport aux
pompes à piston est leur couple résistant uniforme et la possibilité de
fonctionnement aux grandes vitesses de rotation. Lors du démarrage des pompes
centrifuges, la vanne sur le tuyau refoulant est fermée, donc la charge de la pompe
égale à zéro et la puissance absorbée n’est utilisée que pour compenser les pertes et
pour augmenter la vitesse de rotation.
C’est-à-dire que
Dans une pompe réelle, il y a des pertes supplémentaires qui occasionnent une chute
de pression. A cause de cela, la relation réelle H = f (Q) diffère sensiblement de la
droite théorique Hth = f (Q).
La chute de pression du liquide dans une conduite est proportionnelle au carré de la
vitesse
• Indice du local
• Température de couleur d’une source lumineuse
• Indice de rendu de couleur d’un luminaire
• Electrothermie
R)
Par exemple, des lampes d'une température supérieure à 5300 K offrent un blanc
bleuté
(Couleur froide). Des lampes d'une température de couleur comprise entre 3300 et
5300 K procurent un éclairage blanc et neutre. En deçà de 3300 K, la lumière est dite
chaude (blanc rosé).
C’est un indice qu’on assigne à une source après une évaluation de la distorsion
caractérisée par son rendu de couleur, ce dernier étant l'aptitude d'une lampe à ne
pas déformer l'aspect coloré habituel des objets éclairés. Le rendu optimal est de 100
(lampe à incandescence).De manière générale, si l'indice IRC d'une lampe est égal ou
supérieur à 90, le rendu est excellent. Un indice inférieur à 70 est considéré comme
mauvais.
• L’électrothermie est la transformation de l’énergie électrique en énergie
thermique. L’électrothermie s’est répandue grâce à des qualités telles que :
- la transformation sans réaction chimique, sans pollution résultant de la
combustion ;
- la facilité d’un réglage rapide et exact de la température, ce qui rend possible
l’automatisation
R) voir Question 18
R)
• En raison de leur piètre rendement lumineux, les lampes VM ne sont plus
préconisées pour les nouvelles constructions, ni pour les modifications ou
rénovations.
• À cause du mercure qu'elles contiennent, les lampes VM exigent des
méthodes spéciales de mise au rebut. Il est donc impératif d'entrer en
contact avec les autorités locales de gestion des déchets spéciaux pour
connaître les méthodes approuvées d'élimination
.
18) Décrire succinctement le démarrage étoile-triangle d’un moteur électrique.
R) Le procédé consiste à démarrer le moteur avec une tension étoile simple aux
bornes de chaque enroulement. Ensuite lorsque le moteur est lancé, on applique aux
bornes de l’enroulement une tension composée triangle.
Ce mode de démarrage s'applique au moteur dont le couplage prévu pour le
fonctionnement en régime permanent est le couplage en triangle (Δ).
A l'aide d'un commutateur spécial, les enroulements statoriques sont couplés en
étoile pendant le démarrage Le schéma de principe se présente de la manière
suivante
∪ − IR a
n=
Kφ
Il y a trois paramètres sur lesquels on peut agir pour régler la vitesse :
- U : la tension d’alimentation du moteur
- Ra : la résistance du circuit principal du moteur
- Φ : le flux
Remarque :
- La tension peut augmenter ou diminuer
- La résistance ne peut qu’augmenter
- Le flux ne peut augmenter que légèrement de peur de saturer le circuit magnétique
- La valeur du courant résulte de la charge et il est difficile de la varier selon nos
besoins de réglag
Lorsqu’on veut régler la tension, on agira sur le générateur qui alimente le moteur.
Cette action peut se faire sous plusieurs formes :
- Agir sur l’excitation d’une génératrice dans le cas des systèmes Ward-
Léonard, ou d’un alternateur alimentant le moteur à travers un pont des
redresseurs
- Par insertion d’une résistance dans le circuit d’induit (solution adaptée aux
petits moteurs)
On a recours à ce réglage chaque fois qu’il est impossible d’agir sur la tension
d’alimentation du moteur ou lorsqu’il est nécessaire d’ajuster la vitesse de plusieurs
moteurs alimentés par un
Générateur unique. Il existe deux limites de réglage :
- Première limite : il est impossible de diminuer la vitesse d’un moteur par ce
moyen car le circuit magnétique se sature rapidement dès que l’on augmente
fortement l’excitation et la diminution de vitesse correspondante est très
faible. De plus, l’augmentation du courant d’excitation entraîne un
échauffement supplémentaire des bobines inductrices.
- Deuxième limite : il existe un flux minimal en dessous duquel on ne peut
descendre sans compromettre à la fois la tenue mécanique du moteur et sa
stabilité ainsi que sa bonne aimantation.
Par désexcitation, il est normalement possible d’augmenter la vitesse dans le rapport
de 1 à 2.5 pour autant que la variation de vitesse ait été prévue lors de la
construction de la machine. On peut augmenter cette variation au niveau de la
conception en adoptant des dispositions constructives spéciales telles que :
En choisir un à expliquer
Moteurs shunt
Si l’on décharge la cabine jusqu’au moment où Gc +Gch −Gcp devient nul, alors U = E′
(car le courant devient nul).
Si l’on continue à décharger, la somme précédente deviendra négative (Gcp > Gc
+Gch), le moteur se mettra à tourner en génératrice. Il va donc produire un couple
résistant qui va freiner la descente de la charge (U < E). C’est donc le freinage par
récupération.
Dans le cas d’un moteur shunt, le freinage par récupération a lieu lorsque la machine
fonctionnant en régime moteur, est entraînée par la machine commandée avec une
vitesse dépassant la vitesse à vide n . Dans ce cas, la force contre-électromotrice E′
devient supérieure à la tension du réseau et le courant change de signe, le signe du
couple développé par le moteur change également, la machine commence à tourner
en génératrice
R)
• Lumen, c’est l’unité de la quantité de lumière émise par une lampe(le flux
lumineux)
• Fluorescence : Lorsque qu’un rayonnement monochromatique atteint une
substance photoluminescente, une partie de son énergie est transformée en
chaleur tandis que le reste apparaît sous forme d’un spectre continu dans des
longueurs d’onde supérieur et dont la distribution dépend de la nature de la
substance. Cette dégradation du rayonnement primaire constitue le
phénomène de fluorescence qui est utilisé pour récupérer les radiations
émises dans les ultraviolets en les étalant dans le spectre visible. La couleur
de la lumière observée dépend alors de la nature, du dosage de la poudre
fluorescente qui tapisse l’intérieur du tube ainsi que de la pression qui y
règne.
22) Pourquoi place- t-on une lampe dans un luminaire ? Expliquer les
différents paramètres photométriques d’un luminaire d’intérieur
R)
Une lampe est d’habitude placée dans un appareil appelé luminaire qui est un
complément indispensable de toute source lumineuse, Le luminaire assure une
triple fonction de nature électrique, mécanique et photométrique.
• Electrique : il doit servir de liaison entre le réseau et les lampes qu’il contient
avec les accessoires ;
• Mécanique : il doit protéger la lampe contre tout agent extérieur (intempérie,
poussière, choc, corrosion, etc.…) susceptible d’entraîner une détérioration de
ses qualités optiques ;
• Photométrique : il doit assurer une répartition spatiale de la lumière afin de
réaliser un éclairage allant du type intensif au type indirect selon la nature du
local et son utilisation.
Il doit aussi permettre de limiter la luminance des sources, cause principale
des phénomènes d’éblouissement.
Fonctionnement à charge constante nominale d'une durée suffisante pour que l'équilibre
thermique soit atteint. Fdm (facteur de marche) = 1 et n (Nombre de démarrages
équivalent par heure) ≤ 6.
B) Service temporaire - Service type S2 :
C) Service intermittent
25) Expliquer les différentes démarches qui conduisent au choix d’un moteur
en service intermittent
• La compatibilité électromagnétique
Cd : couple de démarrage
Cm : couple d’accrochage
CM : couple maximal ou de décrochage et Cn : couple nominal
3. Il faut vérifier le type de service pour le moteur
27) 1.Donner à l’aide d’une figure toutes les grandeurs métriques (distances)
qui permettent de réaliser l’implantation de l’éclairage routier.
R)
1.
2)
1. Unilatérale : c’est le cas des chaussées relativement étroites bordées d’arbre ou
présentant une courbure au quel cas l’implantation se fera à l’extérieur de la courbe
afin d’assurer un guidage visuel permettant d’apprécier l’importance du virage.
L’uniformité transversale de luminance sera assurée pour des valeurs de h telle que
h ≥ l.
3. en opposition : pour les chaussée très larges où lorsqu’on est tenu de respecter
une certaine hauteur de feu. L’uniformité transversale de luminance nécessite
cependant h ≥ 0.5 l
4. axiale : utilisée dans le cas des chaussées double à terre-plein central. Cette
implantation permet de n’utiliser qu’un fût pour deux crosses, ce qui simplifie
également l’alimentation électrique. Dans l’alimentation par caténaires, les
luminaires sont suspendus axialement à des câbles d’acier tenu par des mâts
supports assez espacés. Il reste à noter que les travaux d’entretien seront ici source
de gêne pour la circulation, de part le stationnement des véhicules à nacelles
élévatrices.
28) Comment choisit-on le moteur électrique de levage dans une grue. Donner
les courbes de vitesse, puissance et couple du fonctionnement.
Il n’est pas facile de calculer J. Admettons que nous connaissons le moment d’inertie
de tous les éléments rotatifs (sauf le moteur) car nous avons déjà choisi les éléments
à titre préliminaire. Mais nous ne pouvons pas connaître le moment d’inertie du
moteur, car nous ne connaissons pas encore sa puissance.
Comme première approximation, nous admettons que la puissance du moteur est
égale à (1.1 – 1.3) P où P est calculée en régime permanent.
Si nous connaissons la puissance du moteur, nous pouvons le choisir et trouver son
moment d’inertie. Ensuite nous calculons le moment d’inertie total ramené à l’arbre
du moteur et l’énergie Ec′.
L’énergie cinétique Ec'' , nécessaire à donner une vitesse v aux masses en mouvement
linéaire (cabine, charge, contrepoids) est :
Nous avons admis que l’accélération reste constante, donc le couple dynamique
restera aussi constant. Comme la puissance augmente, l’énergie cinétique croîtra
linéairement. La valeur de cette puissance à la fin du démarrage vaut 2Pdmoy
N.B : Ne vous contactez pas uniquement de ces questions, commencez d’abord à
maitriser le cours.