Données :
La constante de pesanteur terrestre g 10 m.s-2 ; le nombre d’Avogadro est NA 6,0.1023 mol-1 ;
La constante de gravitation universelle G 6,7.10-11 SI ; la constante de Planck : h 6,0.10-34 J.s ;
La charge élémentaire e 1,5.10-19 C ; la célérité de la lumière dans le vide c = 3,0.108 m.s-1 ;
−7
La perméabilité magnétique du vide μ0 =4 π .10 SI ; la norme du champ magnétique terrestre BT = 2,0.10-5 T.
La réaction libère :
a- 28,4 MeV.
b- 17,8 MeV.
c- 10,6 MeV.
d- Cette réaction ne peut se faire qu’après impact d’un neutron sur le tritium.
e- Cette réaction de fusion libère 50 fois plus d’énergie que la fission d’un noyau d’uranium 235.
Exercice 2 : (1 point)
Un atome émet une radiation de fréquence ѵ lorsqu’il connaît une transition des niveaux d’énergie 3 à 1. Ce même
atome émet une radiation de fréquence ѵ‘ lorsqu’il passe du premier état excité (n = 2) au niveau fondamental (n = 1).
La fréquence de la radiation émise lorsque l’atome passe du niveau d’énergie 3 au niveau d’énergie 2 vaut :
a- (ѵ – ѵ’).
1
b- ¿).
2
1
c- ¿).
2
d- (ѵ + ѵ’).
Exercice 5 : (1 point)
On place une aiguille aimantée en un point O à l’intérieur d’un solénoïde de longueur L = 20 cm et comportant
N = 100 spires. Lorsqu’aucun courant ne circule dans le solénoïde, l’aiguille aimantée prend la direction de la
composante horizontale ⃗ BT du champ magnétique terrestre, perpendiculaire à l’axe du solénoïde.
O
axe du solénoïde
a- Lorsqu’un courant circule dans le solénoïde, dans le sens indiqué sur le schéma, les lignes de champ à
l’intérieur du solénoïde sont orientées vers le haut.
b- Le pôle Nord de l’aiguille dévie vers la droite.
c- Lorsque I = 20 mA, le champ magnétique créé par le solénoïde en son centre vaut environ B b = 12 µT.
d- Lorsque I = 20 mA, le champ magnétique créé par le solénoïde en son centre vaut environ B b = 2,4 µT.
e- Le vecteur ⃗ Bb est caractérisé par sa norme.
y
S
α
A
h
x
O
P
Données : h = 3,00 m ; yS = 4,50 m ; xp = 10,5 m.
2
Concours EFOM 11 mars 2010
t
a- A partir de la solution de l’équation différentielle : uc ( t ) =
E –
τ
e
R
b- Graphiquement, en déterminant l’abscisse de l’intersection entre la tangente en O à la courbe u C(t) et
l’asymptote uc ( ∞) = E.
c- D’après l’observation des oscillations d’uc(t), on accepte que le régime permanent est atteint au bout de
τ
d- D’après l’observation des oscillations d’uc(t), le condensateur est chargé à 63% après un temps égal à .
2
e- Aucune de ces méthodes n’est acceptable.
R/2 C D
A B
R
R R
R 2R
Exercice 11 : (2 points) :
3
Concours EFOM 11 mars 2010
−E 0
Données : En = 2
n
a- La fréquence d’un photon émis ou absorbé est reliée aux énergies E n et Ep de l’atome considéré par la
hλ
relation de Bohr : ∆ E=|E p −En|=hν=
c
où c la célérité de la lumière, h la constante de Planck et λ la longueur d’onde.
b- L’énergie d’ionisation de l’atome d’hydrogène est l’énergie minimale qu’il faut fournir à cet atome dans son
état fondamental pour arracher l’électron, soit 13,6 eV.
c- Si l’atome d’hydrogène passe du niveau d’énergie correspondant à n = 5 au niveau n = 3 alors la longueur
d’onde de la radiation émise est de l’ordre du micromètre.
d- Lors de cette transition du niveau n = 5 au niveau n = 3, la radiation émise appartient au domaine de
l’infrarouge.
e- La fréquence du photon absorbé lors de cette transition est différente de la fréquence du photon émis lors
de la transition inverse.
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Concours EFOM 11 mars 2010
-El /A
X1
X2
X4
X3
d
θ1 I
T
θ2
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Concours EFOM 11 mars 2010
Exercice 18 : (1 point)
On considère un pendule formé d’une bille assimilée à une masse ponctuelle m de centre d’inertie G, suspendue à un
fil de masse négligeable de longueur l, fixé en un point J. A l’équilibre, la bille est en A d’altitude 0. On déplace G d’un
angle α, le fil restant tendu. L’altitude de G est alors égale à h > 0.
d- T0 = 2π
√ h
g ¿ ¿
¿
e- La période d’oscillation est assimilable à la période propre pour toute valeur de l’amplitude des
oscillations.
Exercice 20 : (1 point)
Soit une onde de fréquence f et de longueur d'onde λ. Sa célérité est c 0.
a- La vitesse de propagation d'une onde mécanique est proportionnelle à l'amplitude de la perturbation.
f
b- La relation qui lie ces grandeurs est : λ= .
c0
Un faisceau de lumière monochromatique, de longueur d'onde λ, arrive sur une fente verticale d’une largeur a de
l’ordre du mm.
c- On observe alors sur l'écran, situé à une distance D une figure de diffraction verticale.
2D λ
d- La tache centrale de diffraction possède une largeur L égale à .
a
e- Une lumière polychromatique est une onde composée de radiations de plusieurs couleurs.
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Concours EFOM 11 mars 2010
+ i
E C
a- qA = C.UAB.
b- qB = - C. UBA.
t
c- qA = ∫ i . dt
0
dq B
d- i = –
dt
e- Lorsqu’on ferme l’interrupteur, l’éclairement de la lampe augmente progressivement et atteint une valeur
maximale.
Exercice 22 : (2 points)
On schématise le mouvement d’une luge supposée ponctuelle de masse 1,0 kg lâchée sans vitesse initiale à partir du
point haut A et descendant le long d’un parcours AM décrit sur la figure ci-dessous.
La dénivellation h est de 500 m. On négligera les frottements.
Arrivé en B, le mobile effectue un mouvement circulaire de rayon r et est repère sur sa trajectoire par le point M et
l’angle θ. La loi fondamentale de la dynamique nous permet d’écrire :
m (⃗ a T )= ⃗
a N +⃗ P+ ⃗
R où ⃗
R représente l’action du support.
2
−m v m aT =−mg . sinθ
b- On a alors : =−R +mg .cosθ et
r
mv ² m v B ²
c- Le théorème de l’énergie cinétique permet d’écrire : − =−mgr ¿
2 2
2 mgh
d- La norme de ⃗
R est : R= +mg ¿
r
e- Le poids du mobile est une force dite conservative.
Le produit h.c, exprimé en eV.nm (où h est la constante de Planck et c la célérité de la lumière dans le vide), vaut
environ :
a- 100.
b- 101.
c- 103.
d- 10 -25.
e- 10 -19.