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Toaz - Info Rapport L3e Marrakech PR
Toaz - Info Rapport L3e Marrakech PR
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Première partie : aperçu générale et
organisation
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Présentation de L3E
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Organigramme de L3E
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Les domaines d’activités du L3E
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Les prestations rendues par L3E
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Traitement des eaux et analyses des rejets liquides urbains
et industriels.
Technique des eaux : irrigation, drainage, étanchéité, etc…
Etudes des environnements géologiques.
Glissement des terrains.
Coulées torrentielles.
Prévision et lutte contre les inondations.
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Deuxième partie : Essais au laboratoire
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Les essais que j’ai effectuent au sein de laboratoire (L3E), Laboratoire
d’expertise d’essais et d’études, est indiquée dans les tableaux ci-dessous.
Granulats :
Equivalent de sable
LOS ANGLES
MICRO-DEVAL
Analyse granulométrique par tamisage
Essai au bleu de méthylène
Mesures des masses spécifiques de la porosité au coefficient
d’absorption et la teneur en eau des gravillons et des cailloux
Mesures des masses spécifiques : coefficient d’absorption et teneur en
eau des sables
Détermination de la masse volumique apparente des granulats
Mesure de coefficient d’aplatissement
Détermination de la propreté superficielle
Sol :
Analyse granulométrique par tamisage à sec après lavage
Détermination de la masse volumique des sols fins en laboratoire
Détermination des limites d’ATTERBERG
Mesure de la capacité d’absorption de bleu de méthylène d’un sol ou
d’un matériau rocheux
Essai PROCTOR.
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Les granulats
Equivalent de sable :
Référence pour la norme : NM 10-1-147
Objectif de l’essai : l’essai équivalent de sable a pour l’objectif de déterminer la
propreté de sable.
Le mode opératoire :
Tamiser l’échantillon au tamis 5 mm, pesé500 à 700 g.
Humidifier l’échantillon s’il n’est pas humide
Déterminer la teneur en eau (W) telle que 3%<w<8%
Préparer l’échantillon pour essai par la relation suivante : 120 x (1+ (w/100))
Siphonner la solution lavant dans l’éprouvette
Verser la masse sèche de matériau dans l’éprouvette
Frapper fortement la base de l’éprouvette sur la paume de la main pour déloger les
bulls dure
Laisser reposer 10 min
Boucher l’éprouvette puis fixer l’éprouvette sur la machine d’agitation
Faire subir à l’éprouvette 90 cycle en 30 s
Rincer les parois de l’éprouvette avec la solution lavante
Laisser reposer 20 min
Mesurer la hauteur h1 du niveau supérieur du floculat par rapport au font de
l’éprouvette
Mesurer également la hauteur h’1 du niveau supérieur la partie sédimentée par rapport
au font de l’éprouvette
Lire la hauteur h2 au niveau de la face supérieure de manchon
Refaire la même méthode pour réaliser la 2ème mesure.
ES=100
L’équivalent de sable visuel est donne par x h2/h1
la formule :
ESV=100 x h’2/h1
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LOS ANGLES :
Référence de norme : NM 10-1-138
Objectif de l’essai : l’essai a pour le but de déterminer la résistance à la fragmentation
par choc des éléments d’un échantillon de granulats.
Le mode opératoire :
Tamiser l’échantillon à sec sur chaqu’une des tamis de la classe granulaire choisie en
commençant par le tamis le plus grand.
La masse de l’échantillon pour l’essai sera de 5000+-5
Introduire avec précaution la charge des boulets correspondant à la classe granulaire
Classe granulaire (mm) Nombre de boulets M. totale de la charge (g)
14-6.3 7 3080
6.3-10 9 3960
10-14 11 4840
10-25 11 4840
16-31.5 12 5280
25-50 12 5280
Faire effectuer la machine 500 rotations sauf pour la classe 25/50mm ou l’on effectue
1000 rotations à une vitesse entre 30tr/min-33tr/min.
Recueillir les granulats dans un bac et éviter les pertes du matériau
Tamiser le matériau contenu dans le bac sur le tamis de 1.6mm
Peser le refus
Expression de résultats :
Le coefficient de LOS ANGLES :
Le mode opératoire :
Tamiser l’échantillon sur les tamis de 10 mm et 14 mm
Laver les fractions séparément, les sécher à l’étuve
Mélanger les deux fractions afin d’obtenir un échantillon de laboratoire modifier
La prise d’essai doit consister en deux éprouvettes d’une masse de 500 g
Ajouter 2,5 L d’eau
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Placer le cylindre dans l’appareil MOCRO-DEVAL
Mettre le cylindre en rotation à une vitesse de 100 tr /min
Lavage de matériaux sur un tamis de 1,6 mm, protéger par un tamis de mailles 8 mm
Séchage de l’échantillon
Enregistrer la masse m du refus à tamis 1,6 mm
Calculer la coefficient MDE.
Expression de résultats :
Le mode opératoire :
La quantité à utiliser doit répondre à différents impératifs qui sont contradictoire :
Il faut une quantité assez grande pour que l’échantillon soit représentatif.
Il faut une quantité assez faible pour que la durée de l’essai soit acceptable et que
les tamis ne soient pas saturés et donc inopérants.
Dans le pratique, la masse utilisée sera telle que : m ≥ 0.2D avec M : masse de
l’échantillon en kg et D diamètre du plus gros granulat exprimé en mm.
La prise d’essai est séchée à (110 à 50C°) jusqu'à masse constante Puis pesée (masse
M1).
On réalise en suite un tamisage par lavage afin de séparer les éléments de dimension
inférieure à 0.080 mm de reste de l’échantillon. Cette manipulation est réalisée après une
période de trempage de 24 heures afin de favoriser la réparation de l’ensemble des grains. Au
cour du lavage, il y a lieu de protéger le tamis de 0.080mm par un ou deux tamis d’ouverture
plus grande (1 ou 2mm par exemple) placés au-dessus. Le lavage est poursuivi jusqu'à ce que
l’eau passant au travers du tamis de 0.080mm soit claire. Si on souhaite étudier plus
particulièrement les éléments fins, il y a lieu de conserver le filtrat obtenu et de séparer les
éléments fins par décantation puis séchage. L’échantillon ainsi préparé est alors séché à (110
+-5) °C. après refroidissement il est pesé jusqu'à masse constante (masse M2) le tamisage à
sec peut alors être réalisé à la moye d’une série des tamis de maille bien défini.
Le matériau séché, de masse M2 est versé sur une série de tamis choisis de telle manière
que la progression des ouvertures soit croissante du bas de la colonne vers le haut. En Partie
inferieur, on dispose un tamis de 0.080 mm sur un fond étanche afin de Récupérer les
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éléments fins qui n’auraient Pas été entrainés par le lavage initial. Une couverte est également
disposée en haut de la colonne afin d’interdire toute perte de matériau pendant le tamisage.
On appellera tamisât le poids de matériau passant à travers un tamis donné et refus le poids de
matériau retenu par ce même tamis. Le matériau étudié est versé en Le haut de colonne de
tamis et on secoue à la main ou au vibreur de tamis, il y aura un passage selon le diamètre des
tamis.
Le temps de tamisage varie avec le type de machine utilisé, mais dépend également de la
charge des matériaux présente sur le tamis et son ouverture. On considère que le tamisage est
terminé lorsque les refus ne varient séquences de vibration de la tamiseuse. On enlève chaque
tamis et on pèse le refus, au fur et à mesure en faisant un cumul sur le tamis suivant.
Le mode opératoire :
Prendre deux prises d’essai :
L’une pour VB
L’autre pour déterminer la teneur en eau (w)
Mais tout d’abord il faut tamiser à voie sec par un tamis de 5 mm et on prend le tamisant
ou bien le passant.
Prendre une masse bien définie dépend l’argilosité du sol et 50 g de l’eau distillé puis
verser l’ensemble dans un récipient spécifique par la suit on utilise un agitateur mécanique
(pour séparer les particules agglomérées avec 600tour/ min pendant 5 min. Puis injecter le
bleu de méthylène le volume injecté dépend la quantité d’argile dans le sol 5 cm3 ou 10 cm3,
régler l’agitateur à 400 tour/min pendant une minute pour 5 cm3 après prélever à l'aide de la
baguette de verre une goutte de suspension et la déposer sur le papier filtre.
La tache ainsi formée se compose d'un dépôt central de matériau coloré bleu sombre
entouré d'une zone humide incolore ; Procéder à des injections successives par pas de 5 cm3 à
10 cm3 (selon l'argilosité du matériau) de solution de bleu jusqu'à ce qu'apparaisse une
auréole périphérique bleu clair, de largeur millimétrique, dans la zone humide de la tâche.
L'essai est dit alors positif.
À partir de ce moment, laisser se poursuivre l'adsorption du bleu dans la solution et
effectuer des taches, de minute en minute, sans ajout de solution. Dans tous les cas, le volume
V doit être supérieur à 10 cm3. Si le volume V est inférieur à 10 cm3, l'essai doit être
recommencé avec une prise d'essai de masse supérieure. Sensiblement il faut nettoyer les
matériels utilisés après l’essai.
Expression de résultats :
Les calculs à exécuter sont :
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Teneur en eau de l'échantillon soumis à l'essai (0/5 mm) ;
W=mh2-ms2/ms2
Masse sèche de la prise d'essai ;
m0=ms1/1-w
Mesures des masses spécifiques de la porosité au coefficient
d’absorption et la teneur en eau des gravillons et des cailloux
Référence de norme : NM 10-1-146
Mode opératoire :
Prendre une masse d’échantillon humide et noter cette masse.
Sécher l’échantillon jusqu’à une masse constante
Imbiber l’échantillon dans un flacon et on le laisse 24h
Eponger avec un chiffon absorbant l’échantillon puis on le peser dans l’air (Ma) et
dans l’eau (M’a).
Expression de résultats :
La masse spécifique :
Msp=(Ms/(Ma-Ma’))
Le coefficient d’absorption :
Ab=100x((Ma-Ms)/Ms)
La porosité :
n =100x((Mw-Ms)/(Mw-M’w)
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On le laisse 24h
On séparer l’échantillon à l’eau mais l’échantillon reste humide on le sèche donc pour
éliminer l’eau
On prendre une partie de l’échantillon et on le placer dans le damer légèrement 25
fois, si l’échantillon prend la forme du cône il faut encore le sécher
On peser la masse de l’échantillon dans l’air et dans l’eau.
Expression de résultats :
La masse spécifique :
Msp=(Ms/(Ma-Ma’))
Le coefficient d’absorption :
Ab=100x((Ma-Ms)/Ms)
Expression de résultats :
Ma=Ms/v
Mesure de coefficient d’aplatissement
Référence de la norme : NM 10-1-155
Mode opératoire :
Préparer une prise d’essai :
La classe granulaire La masse
63 40
32 10
16 2.6
8 0.6
<4 0.2
Sécher l’échantillon jusqu’à une masse constante
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Tamiser mensuellement chaque granulat obtenu sur grille à fente jusqu’à ce que le
refus ne varie pas plus 1% pendant 1 min de tamisage
Peser le matériau passant à travers la grille à fente correspondant
Expression de résultats :
A= (M2/M1)x100
Détermination de la propreté superficielle
Norme de référence : 10-1-169
Mode opératoire :
Préparer deux l’échantillons
Sécher le premier jusqu’à une masse constante et le peser
Tamiser l’autre échantillon sur le tamis 0.5mm du 1.6mm
Récupérer le refus puis le sécher jusqu’à une masse constante
Expression de résultats :
Ms=(M1s/M1h)xMh
m = Ms-m’
P= m/Msx100
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Le sol
Analyse granulométrique par tamisage à sec après lavage
Référence de norme : NF P 94-056
Mode opératoire : (le même mode opératoire de AG par tamisage)
Détermination de la masse volumique des sols fins en laboratoire
Méthode de paraffinage
Référence de norme : NF P 94-053
Mode opératoire :
Peser la masse de l’échantillon
Ajouter la paraffine et peser la nouvelle masse dans l’air et dans l’eau
Expression de résultats :
P=m/v
Détermination des limites d’ATTERBERG
Référence de norme : NF P 94-052-1
NF P 94-051
Objectif de l’essai : Cet essai a pour but de la détermination des deux
limites d’atterberg :
Limite de liquidité.
Limite de plasticité.
Mode opératoire :
Préparation de l’échantillon pour l’essai :
Après échantillonnage du sol et homogénéisation par brassage
on prélève une masse en gramme supérieure à 200×la dimension
du plus gros élément du sol
Le matériau est tamisé par voie humide au tamis de
400µm, l’eau de lavage est le tamisât sont recueilles dans
un seau
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Après une durée de décantation d’au moins de 12h, sans
aucune additif, l’eau claire du seau est siphonnée sans entraîner
des particules solides
Evaporer l’eau dans l’étuve.
Limite de liquidité
Régler l’horizontalité du socle S’assurer que le pointe du cône est propre et lisse
Malaxer sur la plaque afin d’obtenir une pate homogène et presque fluide
Remplir le récipient à l’aide une spatule et éviter la présence des bulles d’air
Araser la surface afin d’arriver à une surface plane
Mettre le récipient sous le cône et le positionner au centre
Libérer le cône et le laisser s’enfoncer durant 5 s puis le bloquer et l’enlever
Prélever l’échantillon à partir la zone de la pénétration du cône et le mettre dans une
coupelle de masse connue, peser immédiatement et est placée dans étuve afin de
déterminer la teneur en l’eau Répéter ces démarches quarte fois avec de teneur d’eau
différentes donc préparer 4 échantillons.
Limite de plasticité
Roulez une petite quantité de sol mouillé entre les paumes de vos mains jusqu’à ce qu’il forme un long
ruban cylindrique, semblable à un fil d’environ 3 mm d’épaisseur. Evaluez la plasticité de la manière
suivante :
1 Faiblement plastique, si vous parvenez à former le fil mais s'il peut être cassé facilement et
retourné à son état initial.
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2Plastique, si le fil se forme mais si, après avoir été cassé et être retourné à son état initial, il ne peut
être formé une seconde fois.
3 Très plastique, si le fil se forme et ne peut se casser facilement et si, quand on le casse. Il peut être
roulé de nouveau entre les mains et être reformé plusieurs fois.
Expression de résultats :
Ip= Wl-Wp
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Mode opératoire :
On prend 5,5 kg à 7 kg de sol préalablement préparé qu’on verse dans un bac. On ajoute une certaine
quantité d’eau (*) proportionnelle au poids du sable utilisé. À l’aide de la truelle on malaxe bien le sol.
On remplit le moule Proctor normalisé en trois couches et Cinque coches pour le moule CBR, puis
après avoir versé chaque couche on compacte l’aide de la dame Proctor normal en 25 coups pour
moule Proctor et 56 coups pour moule CBR, en respectant la hauteur de chute et en assurant une
répartition équitable des coups sur la surface à compacter. On procède de la même manière après la
mise en place de la 2eme et 3eme couche…
Une fois le moule rempli, on arase le sol avec une règle à araser, on comble les vides laissés à la
surface jusqu'à arriver à une surface plane.
On prélève ensuite un échantillon d’environs 100 g à la surface du moule, puis on retire la base de ce
dernier afin de prendre un 2eme échantillon d’à peu près du même poids.
À la balance, on évalue les masses des deux prélèvements puis on les fait passer à l’étuve au moins
pendant une durée connu.au termes desquelles on va repeser les échantillons.
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Conclusion
Ce stage fut une expérience
enrichissante, il m'a permis de découvrir
le travail en entreprise, d'acquérir de
nouvelles connaissances et de pouvoir
mettre en pratique les modules étudiés au
cours de ma formation.
J'ai pu manipuler les diverses des
essais d’identification du sol (valeur au
bleu, analyse granulométrique…) et me
familiariser avec les matériels des essais
géotechniques.
J’aimerai bien de revivre cette
expérience au sein de L.3.E
En fin, je trouve que la période de
stage a été une bonne occasion pour voir,
22
savoir, améliorer et enrichir mes
connaissances requises.
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