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MÉDÉRIC DUFOUR
Professeur <lc langue et liUiTaluio grecques a rUniversilé de Lille.
TRAITK ÉLÉMENTAIRE
SYNONYMES GRECS
^^OtLM«,,^^
^m r i)^Ot.isw,
%
% '^/^/ANVi^
PAIUS
LIBRAIRIE ARMAND COLIN
5, RUE DE MÉZIÈRES, O
nriijis il<' tc|>rn<]u< liuii cliîe Irailui-tiuii rêsi-rvis |iour tuns |)iiys
A
M. MICHEL BRÉAL
PRÉFACE
i esprit, c'est de
s'instruiiv, de p.irtiriprr à la Aérité.
1. Pour cls luuls-là, nous avons mis à piofil Its iiolts île M.M. H.
\V»'il et T. Rt.'inacli dans leur édition du «epi Mo'jotxrjç. ;Paris,
Leroux, 1000.)
XVI PREFACE.
TRAITÉ ÉLÉMENTAlBi:
I. ACCORD EN MUSIQUE .
accord d'octave.
— 'EfjLjjieXTjç s"a])j)li({ueà des «/r.squi sonnent d'accord;
Êx{jieXf]<;, ;"i des ^^//V.s discordants.
— Suva5etv. cruvwSoç se disent de l'accord des voix
— SuvappLÔTxeiv se dit d'instruments qui jouent d'ac-
cord. 'AppLÔTTEdÔat : accorder un instrument. ('Eitt-
xeivELv : li'nilre une corde, c'est-à-dire la hausser;
[xaXaTTeiv : dctcudre nue corde, cest-cà-dire la
laisser
l
W. ACCORDER, AVOUER.
Ce qui fuit qu'on est làcliti'. lu reconnais avec moi que c"est
la lâcheté? — Oui, dit-il, IC o Sk ItCi.o': eî-x:, liùJ.x ojJtoXoYstxat
Tiapà «7oC; Suvé'firi. IMat., Vrolarjoras 360 C.) — ... à moins, tou-
tefois, qu'ils n'appellent éloquent celui qui dit la vérité; si c'est
SVSOSVMKS onEcs. 1
TRAITE ELEMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
m. ACCUSER.
<7TpaTr,YoC /.al tàiv Ti'/r^nify xal TiâvTwv [j.a/Aov... Mévsiv yàp £^?,v
;
ADVENIR. 3
contre quelqu'un.
Quel rji'ief as-tu contre nous et la cité, pour vouloir notre
perte? -l èY>i2iXôi>vr,a?v /.al tyj 7rô).ci âTiixécpî?; r,[j.ar àT^oXÀ-jvai
Plat., Cviton, 50 D.
:i E.
IV. ADVENIR.
Remarql'K. —
Entre les mots qui servent à si^^iificr ['action
d'un drame, il faut distini^'uer i*,\iOo^: la donnée mythique, le
:
guerre.
TO"j; Te vôfioii; r^]i.iz àîro) £<7a'. v.al Evu.7ra<7av Tr,v ttôàiv to ffbv [jipo: :
... epYw Ô£ ...); êpY*î* signifie en «c/e, d'oîi: en fait {-zib ovt-.
signifie <>« réalité .
•/.aivôv ;
Le trajt-t le fait peur? Mais ne te pro-
Démoslli., IV, 10. ;
-
iiiènes-tu pas chez loi presque loute la journée? Pour aller là-bas,
(Il feras un».* promenade avanl de dîner: une promenade avant de
Tj... soocÏ Tr,v Tcopsîav : ov v.al o-'/o: t/îôôv oAr,v tt.v rjuipav îîEpc-
Ci' jcuiH' liiiiiiiiic, (|iii p.sl /v//?/ depuis peu àAthènes.., tov-tou
8 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
partir).
Oljta^oLt. : jJdi'ti^^ même au sens figunj de mourii
"Vuy. § 542.]
(transitif).
AME. \)
VIII. AME
33. — ^^X^ • ''
"<'>" fff'\^
'"'1 i^aiMicnlicr, le souffle citai ; i)iir
pensi'C, T,.,.
4'^X'''i •• "oCto fo ;(ii>u.îv /.ai aiTOivoaeOa y.al o-.avoo-j-
:j.i.
— Nouç : la ppust^e.
d'eux-mêmes quelle est la nature des choses or, s'il n'y avait en ;
Tiâvta r, s/ei •
xatToi s', [ir, èT-jy/avev a-jTor? è7ri<7Tr,[XYi évouo-a xal
ôpOô; XôY^?) '>"^"''- i'' '^^''"' " r^fjxv tooto Troteiv. (Plat., Phédon, 7.3 A.
St' a/./.r,: Tivô; atfjOrj«3£(oç,... totî... sÀxiTai Cttô to-j aoju.aTo; si;
AMITIK. AMOUR. I I
comme leurs enfants, o Ticp -xal èttI Tàiv ity-n-zCôv (T"j[xpé|3r,xev tio
è'pYou £[X'!/-j-/o-j Ycvo[jivo*j. Mà^tTra ô' l'ato; Toyto Trspl tou; 7roir,Tà|
(T-jaSatvci •
"C);î£paY3t:îii>ot yàp ovItoi xà o'.xsïa iroiT,aaTa, orépyov
te: oW-Ep TÉy.va. (Arist., Éthirjue, 1167 b 33.)
X. ANCIEN.
prédécesseurs.
I
ÂPI'RENDRK, ENSEIONKU. 13
;jor<i.s,:V^n C.
fVoy. § 569.]
MaÔTjTTjç : disciple.
et il pense que le plus sur moyen d'y arriver est de suivre les
leçons, £7ri6"JiJL£Ïv... piot ooy.s'. £Aa6yi{j.o; yr/ÉTOat èv tr, izolei, toCto
oï oi£Tat ol {x.â),i<7'' av Y£v£G-6a'., et <7ot cuYYévotxo. (Plat., Prola-
f/oras, 316 C.)
\II. AUTRE-
— OùCTÎa : l'avoir.
X'e^t-ce pas par sollicitude pour moi et tes autres amis que
tu refuses, dans la crainte que, si lu t'évades,... nous ne soyons
réduits à perdre ou tout notre avoir ou beaucoup d'argent, àpà
Y» [xri ÈfJLOÛ TZÇtO[ir^btï '/ai Tôiv aXXwv è7tiTr,6£t(i)v, }j.r,, ààv o"j àvOévSs
i;é)>0''i?»-- iàvayxaTOdifjLSv r, y.al Trao-av tTiV oùoîav à-o^ia/irv r, n'^y-ty.
•/pr.fjLa-ra ;
(Plat., Criton, 44 E.)
XIV. BEAU.
\\. BLAMER
(ij. — Téyetv : hldnirr. Toyoç : h'.nin»'.
O sont les faibles et la fuiile qui font les lois. Aussi est-ce
pour eux et dans leur intérêt qu'ils les font et quils dispensent
l'éloge et le htdme, rA TiOéfXtvo'. toÙ; v6{jL0*.>r ot àTOevcV; â'v6pto7:o:'
zliji'f 7.7.1 ot 7io/.Aot" 7î|ib; a'JTO'j; O'jv y.al to aû-or; irva^ssov to-^;
T£ vôuLO'jç tiOîvTai /.al tov; èiraîvo-j; è7:a'.vo-j<T'.v -/a"i tov; ^'^^ï^'-*^
<f£Y'^>
'>''&''• 1*1 a t., Gorfiidu, 183 H.)
\VI. BLANC.
jiéXaç :
àpyôç brillant, qui désigne aussi le
)ioir) et :
XVIi. BRILLER.
,
— 'AcrTpàTTTetv : Inncrr dos rrlairs.
Ss.M.S\ JIKS oHE« s. 2
18 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
70. — L'idée de
^^ brillant est exprimc'e par les adjectifs :
XVJII. BRUITS.
\
71. — Tocpoç : bruit, au sens le plus général. Tocpetv :
faire du bruit.
On entendit heurter à L;rancl bruit à la porte du vestibule,
comme font les jeunes gens en partie de plaisir, et une femme
jouer de la flûte, Tr,v aûO.stov 6-jpav xpouo(i.Évr,v tioX-jv «J'^f^v
TixpxayeXv coç xwfjiacrTàiv y.al !X-j\r^xpioo^ z,(x)\r^-J àxo'jstv. (Plat.
Banquet, 212 C.)
culier, à y applaudissement.
j
BRUITS. 11)
f/lr, 21 A.)
XIX. BRULER.
Awee^, 18.)
ÎXT,v y.al TTOA/.oï; tojv TiapôvTor/, Tipb; ifxautôv ô oùv à-icov £)wO*)ft-
^ÔJJLTJV OTt TO-JTO'J IIÈV TOÛ àvÔptoTlO-J Èvà) COSoSTcpÔ; sifl'.. (Plat.,
Apolofjie, 21 D.) —
De mesurer, de compter, de peser, ne sont-
ce pas les moyens les mieux inventés pour prévenir ces erreurs,
pour que ce qui commandi' en nous ce soit, non pas ce qui
paraît jilus grand, plus petit, plus nombreux, plus lourd que la
réalité, mais ce qui a calculé, mesuré et pesé, ap' o-jv oO tô
{jLSTperv "/ai àp'.6u.£tv xal io-Tiva'. ^orfiv.OLi yap'.so-TaTai Tipo: aCtix
28 B.)
XXI. CARACTÈRE.
I
CHALEUR. 23
XXJL CESSER.
-/.ai tarpoù; oCSkv «aOet. l'Plat., (Jorrjias, 491 A.; — Après cette
longue et hillf cunf^'rence, Protagoras cessa de parler, Uom-x-
Yopac... TOTa-jTa y.al TOiaCra i-7:'.oi:: ia-vo: àT:îr:x'JTaTO tov
ÀÔYO'J. Plat.. Pro/ar/oras, 32S I).
lï (xr,, xa).).iw TÔv Ôâvarov «7/.£'!/â|j.£vo; à-a// â-rtoj -roC pto-j. (Plat.,
/>o/.v, 854 G.)
WlII. CHALEUR.
hrûlant ;
y(\iOLpôq : tiède.
leur faut mourir, les cygnes chaulent plus et mieux que jamais,
tout joyeux daller bientôt près du dieu, dont ils sont les servi
leurs, oï ÈTretoàv al'o-ôtovTai oti ost a-j-ro'j; à7ro6avîiv, aôovceç -/.ol:
£v Tô) 7rpô<76îv ypôvto, tote ÔTj TT/.cïo-Ta y.at -/.à/AiTTa aSov>o: TîT''i"
6ÔT£; OTi [xÉÀAO'jG-t 7:apà tov Osov àTriÉvai, o-jTîép sIti OîpaTrovTs:.
Plat., Phédon, 84 E/
cithare ou de la flûte.
Ne faut-il pas que le chanteur accompairnc sa chanson de la
CHANT. MÉLODIK. 25
/tiwnte où il dit que la lui est la reine de tous les êtres, mortels
et iuniiortels, Ôoxsï... ixoiv.x\ Ilt'voapo? aTrsp èvà) liyio âvociv-vuTOx:
un insirumpnl.
La musique m kf^^ douce, soil que je joue de la syrinx,... ào-^ Zi
Remarque —A
mélodie s'appliquent quelques ternies
I. la
techniques, entre lesquels il convient de distinguer: «ptovYi:^©/}.
^ÔOYY^Ç- noie: tovoç : fonalilé: jj.2xa'.pépetv : moduler : ^fzix-
poXri : modulation.
et de la flûte: —
Tfct6apo>5ta et aOXa»Sta se disent du clianl
accompofjné du jeu de la cilliare et de la flûte. Les mots xt6a-
ptaxtxTj et aOXTj-ctiftiri ont un sens moins défini et se disent aussi
bien du chant accomparjné de l'instrument que du jeu pure-
ment instrumental.
Remarque 111. — Au mot ^oj/er correspond, pour les inst/-u-
2}épier.
120. — Pour le chant propre à chaque espèce, les textes
CHERCHER, INTERROGER. 27'
0(5; l^oOXei eîoÉvai to 2îxaiov oTt £ttî- [if, [jlôvov èpu>xa (jLr,6s çs/.o-
xal Tôiv à(7Tàjv xal ^évwv av -riva o'(m\i.x'. ao^ov eïv:;'.. Plat., /i;>o-
logie,23B.]
(Hérod.,'lI, 19.)
XXVIJ. COLÈRE.
La colère dL pour cause une injuslice qui nous est faite devant
COLKRt:. 20
XXVIII. COMMENCER.
faire.
*'Ap)(e(T9at : commencer à faire qï faire en commeneanl. Il
les opérations.
11 faut distinguer encore entre ôtpxojxai /iyc-v :
Je ?/i6
XXIX. COMMERCE.
impjortateur.
13.ÎJ. — KaTTT^Xeîa commerce sur place, vente au détail.
:
XX\. COMMUN.
.
- .V I »'•^^•l^(l de deux plaideurs ou de deux interio-
cnfeurs,
xoLvoç : riniunun se dit de celui qui prèto autant d'atten-
tion à l'un c[u'à l'autre :
crai 6£ï à[i50T£p(i)v. {ir, toov Sk vcifia: l/.aTépo), àXXà Ttû akv c-oito-
\\\1. CONNAITRE.
"Ayvoia : vjnnrance.
Conmie l'ont dit certains sages, il est très difficile, et aussi
très agréable de se connaifrr. yaAETiwTaTov, ÛxjTzzç» xa'i Ttôv aosôiv
Ttve; elpr,-/ca<Ti, tô Yv<i>vat aJTOv, >.at r.SiaTov. (Arist., (Grande
Ethique, 1213 a 13.) — Comme nous n'étions pas d'accord, les
enquêteurs eu.\-nièmes dirent qu'il n'y avaitpas lieu de donner
la question «t décidèrent (|ue Pasion me livrerait l'esclave, O'.a-
32 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
/"
è'Yvtoaxv o; Ilacridi èp-ol TcapaooCivDc. tov uaiôa. (Isocr.. XVII, 16.)
s'Yvoîcav, oTi véot; oOtiv aùio?; âyw xaxbv 7raj7:oTé t-. ÇuvspoOXeuax,
vuvi a-jTou: àva^atvovtar £[xoC xatr,yop£Ïv xal Tip-oipEtTOa-.. ^Plat..
Apolof/ie, 33 C.)
personne.
Il m'a naiîuère, à moi aussi, recommandé comme maître de
musique pour mon fils, un disciple d'Agatlioclès, Damon...,
xal... aJTÔi (Aot ëvay/o; à'vopa îîpoOÇévyjfiâ -rài veï oiZirrAxlrjv
part de ce projet de
X«''noplion, après avuirlu la \eX{.re, fait
voyage à Socrate, 6... Z$vo^(ov sTtiTTOAr.v àvaxoi-
àvavvoù; tt.v
X.WIIf. CONVERSATION.
151.
— 'AvriXé^eiv : contredire. 'AvTtXoyta ; contradiction.
à'jL'^KiPriTO\>at [X£V yap y.al ci' £Ù'voiav ol çf/oi toi; çi/ot;, èpîî^ouot
COURAGE. 37
\\\iV COURAGE.
I
.i;. — 'Av5pEÎa : nniriKjc viril i soutenu par la réflexion :
/pr, Sicôvai Tov |X£>.).ovTa ôtxaio); ôa»«j£'.v. (Plat., Lâchés, 189 B.)
38 TRAITÉ ÉLÉMKNTAIKE DES SYNONYMES GRECS.
(sens ])assif).
trro); 'v.v... oô^eiEv atoTiov etvat, otc or, âyô) toîa [j.£V -rayTa ^'jfx^ou-
).£Ûo) TTîpt'.ojv..., Sr,jxoTia &£ où ToXjJLÛi àvapatvo)'/ si; tÔ 7r).T,6o? to
'j|jL£T£pov ^ju[iou>.îOt'.v -^r^ r<rj'/.i:. Plat., Jpolof/ie^ 31 C)
40 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
XXXV. COURBE.
XXXVI. CRAINTE.
Celui qui «-vit»; tout, qui a peur de tout, qui ne souffre i-ien
avec constance, devient Z^cAf, ô... TrâvTa çs-^ytov -/.ai 9000- [lîvo?
y.al [XT.okv {,uo(ji£vtov SetXôç Yt'yveTa'.. ^\rist., Ethique, 1104 a 20.)
XX.WIl. CRI.
rugir ; —
ppwjJLÔccrôai <4 cyxôcCTÔat) braire; ypuXtÇeiv : :
les oiseau.x ou les gens qu'on rencontre savent ce qui est avan-
tageux à ceux qui recourent à la divination, mais que les dieux
le leur signifient par ce moyen, oZ-o:... v»::o>>a|jL€âvo'jTtv ol toL:
ixévoi;, à).).à to;/; Oîov; O'.à tojtwv altà rrr.uLaivî'.v. 'Xén., Mémo-
rnhl,'s. I. 1. 3.i
à^tu) £ivai TîEpl Aovou;, ôpôôi; /.éywv, w; èya) cpr,(i.t. (Plat., Gorgias^
450 C. )
raisons de quelqu'un.
Toi, crois-tu que cette tradition soit fondée? n\> xoûto to [j.jOo-
(Plat., Gorgias, 524 A.) — Seules, \es preuves font partie inté-
irrante de la rhétorique; le reste n'est qu'accessoire; les autt'ur-
de traités ne disent rien des enthymèmes, qui sont le corps d
û't 6'î TiEpl (Jièv èv6'j[JLT,u.àTa)v ovoév Xéyo'jc'.v, ÔTrsp iaiX o-ùifia rr,;
DKFENDRK. PROTKGKR.
211:!.
— 'A(jLÙvetv : écarter (nu dauber 1, repousser ides
fiiiit'iuisi, d'oii défendre ; à[i(>ve(yQci.i : repousser loin
de soi, se défendre. 'E-Trap-ûveiv : porter secours.
Les Hellènes honneur, quand il fallut
ne se firent pas
repousser veux dire que, d'abord, de ces trois
les Perses, ... je
cités, une seule défendit lllellas; les deux autres étaient à ce
Sxéinr] : couverture.
Cest une belle invention que la cuirasse, qui couvre les
j
f,po); 'Ioo[A£V£-jç, pr.^îv £$' ot àp-^l /iTÔiva |
-/à/y.£ov, oc ol TipoTOev
délibération.
Nous délibérons sur ce qui dépend de nous et peut être
fait, povjXeuojJisOa... ttcoI rwv £3'r,|i.iv xa't TipaxTcôv. (Arist.,
i
DELIBERER, VOULOIR. 40
OTTO); ixr.ôkv a-JTc5v ôcr,a-îi, Tr,; tî étaipia; c'.a) ..Tr,: /.al to^: ivav-
Tt'o-j; èz7:î7î).r,vji.évo:. Tluicyd., 111. 8-2,5.;
Sv:«OSVME-î GRE«.5. 4
1.
a 22.)
XI.III. DEMANDER.
O'.à Tù)v a"jTwv ).6y(j)v àxo-jr^i p-o-j à7roÀoYov[i.Évo-j, St' wvTrsp £Ïw6a
/iys'.v y.a'i sv àyopx £7ri tcov TpaTte^fov... [x/.tî ôaup-à^eiv [xr,T£ Oop-j-
oîVv TovTO-j É'vs/.a. (Plat., Apologie, 17 C.)
drniuuide.
ji,r) 6op*Joeïv, èàv èv to) £'.oj6oti t^otio) to'j; Xoyo'J? 7:oiO'j[jLai. (Plat.,
Apolofjie. 27 B.)
dans so)i hon sms, rpii n'psi pan sain (Vp^prit. [Voy.
Toù; TToXi.oy;, oO; or, t-j {Aacvoti.évo\>ç y.a/.sï: : (Plat., Second Alci-
hifule, 139 D.,
Quand je pense ainsi sur vous et sur moi, il est évidtînt que je
suis fou, f|ue je perds la tête, 6f,),<5v v£ ôr, rt-i o-jtoj S'.avooûasvo:
/al TTEp't è|xauTO'j y.al TTspl 0[xô)v ixaivoua-. y.al «xpanaiw. Plat..
Itant/iie/, 17 i K.
nous appelons des fous: ceux qui l'ont un peu nioindre, nous
les
disons que ce sont des simples et des cerveaux félés^ outw;... Tr,v
àspcic-jVT,v St£t/.T,9dT£; e'.aî, xai to'jç (xàv ttaeicttov aù-rf,; [xépoç s^ov-
Ta; [iaivo[jL£vo-j: y.aAoCfjLev, toù; 6' ôÀtyov ë),aTTOv yj>,i6(ouç xal
èjxjipov-crj'covjç. (Plat., Seco;<(/ Alcibiade. 140 G.)
furieux.
Ce qui maintenant le pousï^t: au pillage des temples, ce n'est
Ceux qui ont créé le genre humain savaient hien quelle intem-
pérance serait en nous touchant le boire et le manger et que,
par appétit déréglé, nous prendrions beaucoup plus que la mesure
et le nécessaire, Tr,v ào-oixévrjv èv r;(xtv tiotwv xai èôscToiv àxo).a<n'av
DESIK.
XLV. DERNIER.
Le libre choix n'a rien de commun avec ce qui n"est pas rai-
sonnable, mais le désw et Tinclinalion peuvent avoir ce carac-
tère; l'intempérant agit selon son désir, non selon son libre
choix: le tempérant, à Tinverse, selon son libre choix, non selon
son désir, oO... xoivôv r, TrpoatpETi; xal tôv àXôywv, £n&Ou{j.îa ôî
y.al 6-^(xôc. Kal o àxpa-TT,; è:ïtOu{Jiâ>v [asv Tcpâ-tsi, Trpoaipovjj.cvo;
ô' O'j •
ô èvxpaTT.çô' àvâTia/.'.v TrpoaipoûaEvo: ;;iv. èj:t6v>jAÛiv o ryS.
DEVKNin. KTRE. •T
2'i\.
— Tiy^zaQoii : nailre, devenir. Févediç : naissancp.
Févoç : i'sjiri-i\ genre, famille.
2t.*î. — Eîvat : être, r.cister.
Tj^xv, Ovr,-:à ok vévr, oO/. r^'^. 'ETTîior, ôè y.al to-jtoi; */?ovo; ^>.6cv
maison e.sl sur la ruute: cette ville esten Grèce, etc.) correspon-
pondent des verbes d'un sens plus précis, par exemple Tcôîo-Oai
(»u -AîïTbx:, rjl/.fjoo[i.t'.'7bx'., ol/.i'.Gba.:, etc. La phrase même justifl-
mortelle, pour obéir et être esclave? où Soy.îï ctoi to {xèv ôeîov o?ov
ap'/eiv T£ xal r,Y£pLovej£'.v îtî^'jxévxt. tô ok Ovt.t'ov apySTOa; tî y.a :
[Voy. §077.]
à/.aaOai aCtôv (JLSTà tov çôvov tr,; [Ar|Tpô?, tov 'Atioàào) xa'jXYjv tt,v
vr,v xP^cat olxsTv. (Thucyd., 11, 102, 5.) — Cylon consulta l'ora-
cle de Delphes, et le dieu lui répondit de s'emparer de l'acropole
d'Athènes, pendant la plus grande fête de Zeus. xpu>jji.£va> 6à to»
K-jÀtovt £v Aî).ro?; àvîiÀsv ô ôsb; èv t/; to-j Atô; x'^ (j-sytorr, éopT?;
2j1.
— 'Avatpetv : réjtondre (en j»arlant dun oracle.)
Chéréphon osa demander à la Pythie s'il y avait un homme
plus sage que moi. Elle répondit qu'on ne saurait trouver per-
DEVOIR, FALLOIR. r.O
-cpi Ttôv 7ro'.r,Ttov èv ô/îvw toCto, oti o-j «ro^t'a 7îO'.oÏ£v a Tioioiev,
àA>.à q-*j<T£t Tivl xa'i ivOovc'.à^ovTe;, wiTrep oî OeoiAXVxec; y.ai ol
prophète.
Q;ian(l K'S maladies et les épreuves les plusi^raves, suites d'an-
ciens furfails. venaient fondre sur certaines familles, c'est Texal-
talion projtliéli<iur (pij lions a des remèdes pour Cfux <pii en
avaient l>esoin, à/.>.x [j.r,v •/ôcii)'/ ys -/.A ttovwv twv [xsyto-Ttov, à or,
TTaÀaiàiv £•/. [jLr,vtij.iTO)V tîoOsv sv tit: T'ov Yivàiv r,v, [xavta èvrôvo-
(lévr, y.-/'t rpO'frjTeOiaax o?; zos-. à-x// ayr^v r,-jp£TO. (I*lat., l*hèdre,
244 D;,
xarà TT-jV ttôaiv xal twv Xôvwv, olç ôet -/pc>Stji.svov ô[iiÀ£Ïv èv toï:
(TUjj-JiJoAatoi; TOiç àvOpo'»7îoi; xal îoia xal oViaoTix xal Toiv r,oovc5v t£
xai £7ri6u[xi(uv twv àv6pw7î£t(.)v xal iSùifjryr^u Tàiv r|6tov. (Plat.,
Covfjias, 484 C.
la bienséance
L. DIRE, PARLER.
DIKK. PARLER. 63
:i(i'j. — Aôyoç :
jt' lani/agc. en l.iiil (|u il sci'l à é'iionccr un
jngenicnL .'i .'iltifinci' on ."i nici': d'oii. m iri'.nnin.iirt'
oratoire.
.
— <i>T)(JLT) : rç ^ue /'o» dit, nouvelle, hruil, rumeur, et
aussi : parole divine, réponse d'oracle. [Voy. § 728.]
£v ot; Tw ovTt olxr,Tà; Oso'j; slvat, zal cpYiJJ-aç ts -/a'i aavT£''a; y.al
al<TÔr,o-st? Tôiv ôewv y.al TOia^ra; o-.>voj'7:a; ^('.•'vtnHy.: aCtoï; Tipô:
aCToû;. Plat.. Phédoii, 111 15.
.
— ^pàÇetv (///-e, e.vjtUqucr ev i\\\y' \'()\\\)<:W:i(\ pnrler
:
.
^ "Ettoç : parole, mol. En j)arti('iili('i- : l'hexamètre
dnclifiniue, et, par exlciisioii, an ])lurit'I. Vépopée.
composée dans ce mî'tre. Les mots eûéireia, eùeirTjç
s'appliquent au nomhre, à {'harmonie du discours.
Pour la première fois que je converse avec vous, je suis confus
de ne pouvoir conduire l'entretien par degrés, en répondant
mol pour mot, alScô; t!; ll' ïyii to vCv TzpôiTov (tuyyîvoixîvov -Jixïv
(XT) xaTa a|xr/.pov Iîcoç Tcpb; ênoç TTO'.îÏTOai tt,v a-jvo'ji7:'av. Plat.,
Sophiste, 217 D.) — Si l'on mettait ïŒdipe de Sophocle en
autant iV hexamètres qu'en contient ['Iliade..., sï tt; -r'ov OIocttoviv
OîtT) TÔv — o^oxAÉo'j; iv lîîeotv oo-o:; r, 'D.tâ;,... '.\rist.. Poétique,
1 102. b -2.) — Les autres abandonnèrent Ve'pope'e pour la
j)oèles
tragédie, pan-t; qm- cette forme darl avait plus d'ampleur et de
noblesse, oï oï àv:i twv èntov -:pa7fi>&oo'.oâTxa/.oi "îyÉvovto otà tô
LI. DOMINATION.
suprématie.
Dès que la divinité eut donné aux Lacédémoniens la supré-
matie maritime, vous fûtes tout à fait dans leur dépendance,
ÈTtei... 6 6e6; eotoxé ttote a-jTo?; xarà OâÀaT-rav èîîtxpaxvjoat, evOu:
ôt:' èxîivoi? TravTc/.w; â-j'évEG-Oe. (Xén., Helléniques, Vil, 1, 6.
tyrannies, àp/vj '/.£•; i-xi... r,... o-3 /.arà 7:poa:pî'7'.v y.ivîïTa-. -u.
"jopt^r^Ta; |xt,6£v •
r^ ôà xupawiç... Tipbç oOôkv àTTopXéTrst xoivôv.
LU. DORMIR.
mirait.
Ils reposaient chacun où il se trouvait, empêchés de dormir
pour venir ici, imior^... Tâyio-râ \ie âx toû xottou 6 O«voç àvf,/.£v,
DORMIR. 71
LUI. DOULEUR.
I.IV. DURABLE.
LVI. ÉDUCATION.
(Démosth.,XXII, 3.)
1. 5.
l'.LuuL'hNi.L. I /
I.VIIf. ÉLOQUENCE.
êer^TÔai, [xr, Ctt' èaoC èU7raTr,0r,-:£, o>: Ôstvo\> ô'vtoç XéYetv. Plat.,
Ajiolofjie. 17 A.)
Ofi).£YOVTa" £'. [JL£v yàp toûto Xiyovaiv, ci(xo).OYOÎr,v "àv £vwy£ oC y.x'x
toÛto-j; £lva'. ^rjxiop. Plat., Apoloffle, 17 B.) — Ce. que vous
devez considénT, ce à quni vous dcv.-z faire attention, c'est si
ce que je dis est juste ou non c'est la la vertu du juge, et celle :
I
;
tlSCLAVE, SERVITELl!. 70
yàp Tapa^wor,; xal ô 9ÔÔV0Ç £«7tIv xal èirl £-j7cpaYta, à).).' où toO
àva^t'o-j. à),)à toj î'tou xal oaoîou. (Arist., Rhétorique, 1386 b 9.)
Celui qui, «''tant homme, est, par sa nature, non à soi, mais à
un autre, est naturellement esclave, ô... (at, aO-oj çj'7£i, à),/.
qui, avant d'être pris, étaient esclaves^ o-jx k'çï) iauTou ye fx^yn^-
To; oûôîv' av 'E).Ar,vtov àvôpaîîoStoOvjvat. Tf^ S' C<7T£pata toù;
txkv àÀEvOÉpouç à?r,x£, tou; 5à Tôiv 'A6Yiva;o)v cppoupou; y.al xà
àvÔpiîtoSat Ta SoO.a Tràvra aTréSoTO. (Xén., Ildléniques, 1,0, 14.)
gages.
I.XI. ESPACE.
LXII. ESPÉRER.
l.Xm. ÉTRANGER.
3»l. — 'AXXoTptoç : étranger à (iu<d([u*un, r/i//' «p lui
appartii'iil jnis en propre, ipii )i'est pas de sa famillr
Stxomïmes gbk ! (3
82 TRAITK ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
père pour la mort d'un étranger, eçTiv... 8rj xàiv ociieîiov Tt? ô
TcÔvEto; iiTZO ToC (JO'J Tia-rpôç r, &f,Àa or, où yàp av tto-j ye UTisp
;
•
Des compatriotes sont plus attachés que des gens d'un auh •
Cy7*o/>pV//>. Vni, 7. M.
du métier, professionnel, i
)
EXERCER. 83
[AlV. EXEMPLE.
3.;i.
— "EvSeiyfjLa -.preuve, document.
A mon sentiment, toutes les suites actuelles de ces redditions
de comptes sont comme une preuve de la bienveillance des
dieux pour notre cité, -ipoTiov... t'.v' oi'oij.a'. /al tavCv <7-j[jLPî3'i>t'î'^3'
LXV. EXERCER.
Si l'on fie peut rie-n fain- di' ce qui incomlte au c<»rps, .sans
l'y assouplir au préalable, je vois que, de même, l'on ne peut
rien faire de ce qui incombe à l'àme, si l'on ne prend soin de l'y
84 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
2,19.;
la séparation de Tàme
du corps?... Donc, les vrais philosophe-
et
1-25 a 9.)
saiii vX maladif.
Pourquoi les grands excès sont-ils malsains'.' N'est-ce pas
parce qu'ils produisent ou un excès ou un défaut? Or, c'est en
cela que consiste la maladie, Stà xi al [xsyàXa'. -JTispooAa'i vooto-
ôetç ; r, oTt CiTTcpliioAriV y, tù.v.'l'.^i -o'.oOt-.v ; tovto ok r,v r, vôao^.
(Arist., Problèmes, 8VJ a 1.)
lAVJl. FATIGUE.
<•'_•• — Kàjxaxoç t'sl pn>''tiijHe au sens de faliijue n''sid-
t.iiil (rnii li.iN.iil in\ d'un elfort prolonge'. M.iis il est
86 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
ô).tYOv -£ 9t).ov T£ I
ïp'/0[i.' ï'/j>iv èni vf,aç. È7ir,v xex,(ji{j.b> 7co)i£[xt^tov.
vovxaç ta (juy[i.7.-y. ;
— Ilapà toÙ; -arpo-j;. (Plat-, Gorgias, 478 A.)
I
o-jÔ£ Ta ydvaTa x6noç éXei p,o'j xaji.a'CYjpoç. ''Aristoph., Lysis-
Irala, .^41.)
LXVIIl. FIN.
citoyens qui auraient dignement achevé leur vie (1), après avoir
accompli de belles et difficiles actions, twv Tro/.iTôiv ôtiotoi xéXoç
senible-t-il pnsii toi aussi que le bit'H est la fin de toutes les ac-
tions? apa y. où col ct'jvooxeï outto, "céXoç ôlva'. aTraTtôv to)V irpâ-
^£'i)v TÔ à-j-a^ôv; (Plat., Govgias, 499 E.)
p/iTaTÔa'. <l»0.'.7:7rov, Tr,v 6à xeXeuxirjv ouTav y or, iTzzp to-j ar, TTaOîî'v
150 E.)
LXIX. FLATTER.
l'our et! qui est des relations agréables de la vie, celui qui
est agréable connue il faut est ami et le juste milieu est l'amitié :
celui qui va à l'excès, sans chercher son intérêt, est cor/t/e/; celui
qui cherche son inté-rèt est flatteur, Trep't... ih aoitcôv rfi'j tô iv
90 TRAITÉ ELEMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
-lOi {ii(jù ô (Jt.£V w; Ô£Ï TjOUs wv cpiÀo; y.ai fj uLsaoTTi; cptXta, ô S' Cuôp-
paAAiov, el |xsv oùêevb; Ëvôxa. ipeoxoç, et oï wcps/.etaç Tf,ç aCtoC,
xôXa?. (Arist., Kthifjue, IlOS a 26.)
378.
— 'TiroxopiÇecrBat : flatter avec des diminutifs, donnrr
de petits noms tendres (6^0Kopi(T|jL6ç).
De même encore l'habitude des diminutifs. Le diminutif e^t
ce qui rend plus petit le mot qui désigne le mal ou le bien. C'est
L.W. FLOT.
L.WF. FOIS.
lAXII. FORCE.
LXXIII. FORME.
objective.
120 A.
FORME. 1J3
ôcrîou TravToç èvavriov, a-jTO Zï aura) ofxo'.ov •/.al è'/ov ixiav Tivà
SSéav xaià t-)-,v àvo(Ti6Tr,Ta ttôcv, o ti uep av [xÉ).),r, à^oo-tov elvai ;
souvent même une couleur? eaxt xotç Trpâyixaai cpwvri xal «JX^{J.a
ixiixo) xal /pôijià ys ttoXaoi; (Plat., Crafijle, 423 D.)
;
LXXIV. FOUDRE.
LXXV. FRAPPER.
^Aectre.
que les.\ttiques aient dit xÔKxetv tt.v Ovipav, mais non xpoûetv
Tr.v 0-^pxv.
LXXVI. FROID.
LXXVn. FUMÉE.
aller en fumée.
porer.
414. — 'Atjxoç : vapeur humide. 'Arp-iÇeiv : répandre des
vapeurs.
GAUCHE. 97
Ions \
;
5^pci>[j.aTix6v : ch)'omali(jue (—L - ^
h —^ tons],
èvapiJLÔvtov : enharmonique
ont que
,
(
I
—
- 1
-^
1
h -^ tons
y
H'.K - 2û(TTT){jLa : mode.
JAXIX. GAUCHE.
Sv'«0>V>|FS l'.RF.i S. 7
U;S TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
LXXX. GEMIR.
(alat '.
surtout de la femme).
430. — 'OtotûÇeiv : pousser le cri de douleur et d' effroi.
LXXXI. GÉNÉRATION.
781 C.)
G70 D.)
BISLWTHECA
100 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
443. — Tewatoç : bien né^ et, par suite, (jiii a les qualilés
Qu'il soit petit ou grand, beau ou laid, bien ou mal ne, èâv
Té v£<7[X'.xpbç r, [AÉyac r,, èàv t£ xaVo; yj al(T-/pô;, eTt Te Y^watoç -^
LXXXir. GOUTTE.
444. — STaY(ii)V : goulle, et aussi : liquide lombanl goutte à
goutte. STaXàxTeiv : verser, et aussi : tomber goutte à
goutte. STaXayjJLoç : écoulement d'un liquide goutte
à goutte.
LXXXIII. GRIS.
gris cendré.
LXXXIV. GUÉRIR.
HABITUDE. dOl
|i,ot eïpyaTTai, oj; ëo'.xîv... xai elfit et; '(i)rjXo^ latpô; tû)[i.£voç
LWXV. HABITUDE.
't'.A.
— "E6oç : hahiludt'. rri^ultunt de la répt'tition dun
nirinr acte. 'EGîÇeiv : hahilucr. EicoGévai : avoir
riiahilude.
'»:i2.
— "EÇtç (sens inlransitif de é/s'.v : maaière d'èire,
4:i:{.
— 'Ejiiretpia, l{j.icetpo<; se discnl de l'r.vpérienre, d('
la ronufiissanrr r)npiriipn'
Ce rjue l'on prend poin" un art n'est pas... ait. mais e.rpi'rience
et routine, o coxeï |jl£v slvai 'éyyr,.... rjCv. ït-: -ré/vr,, à/./.' èfAJcet-
pt» /.al xpiÇ-yj. (IMal., (iurf/ids, 463 H.)
,
£X TÔiv Ttpb; avTÔv, êx^P* ^^ ""^"-^ ^'^^'-^ "^oC upôç a-JT<5v av yàp
{»7ro>,a|jLoàv(o[i.£v cTvai to'.ovo£, (xi(to'j(jl£v. (Arist., Rhétorique,
1382 a 2.)
HASARD. i03
lAXXVII. HASARD.
Toû o-jjAjîâvTo; evcxa Y£vr,Tat wv £;{o -rô aïtiov, tôtô à7:ô xaÙTO{i.A-
TO\> )iyo[jL£v, àTtô TÛ/Tiç oï TOjto)v oTa àTrô xaù-cojxi-cou -;iut-x:
Twv Trpoa-.pîTwv Toî; e'/ovTi 7rpoaîp£<7tv. (.\rist., l*/rtjsiijue, 107
I. 18.)
104 TRÂ1TI-: ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
lAWVIII. HISTOIRE.
1 '^
LXXXIX. HUMIDE.
mouiller.
47 i. — Aeùeiv : imprétjner.
XC. HUMILIER.
çôûye', ùtz a-JToC i^riTsT ok aC-r, y.aO' xCtriV Yivv.î-rOa'.: Plat., Vliédon,
65 1).;
/.al /.éysiv à^' oi; atTX-jvr, è<7ttv t<jj 7râ<TxovT'., [xr, tva t: yh'"'^!"*'
av-rw a>.).o r, oTi èY£veTO, à/.)/ otto); r,c-67)'
y*P àvTtîroioûvTcÇ où/
ot
vp a: ai ion.
La vexation est un empêchement aux volontés d'autrui, non
J
pour en tirer avantage, mais contrarier ses projets, k'aTiv... ô è«7j-
pSX9{A6^ ifiTTOOiTiJ-b: Taïç [io'jXriTôT'.v, (xr, l'va ti aùtfi), à),A"t'va ij-t,
XCIl. INJURIER.
XCm. JAUNE.
XCIV. LANGAGE.
-ÏOO. — rXûTTa : langue; puis: une forme de langage
ilancienne langue :ir^ àp/a-'z yXioTTai; on grammairo,
expression insolite (lo contraii-o est xbptov ôvofia :
mot usuel).
cpGoYY^ :
^'"<-
L^"y- .^ 118, R'.j Quand il s'agit du
Ihonime, (fBéyytaQai signifie faire entendre (des
paroles, une plainte, la vrrit»'', etc. : cpGoyYoç signifit-
surtout le ton.
Les enfants font entendre leur vuix, dès quils sont .sortis du
sein maternel, Ta... Traiôîa.. £?£/.66vTa... edô-j; çôÉYYê'cott- i Arist-,
Histoire des Animaux^ 587 a 25. —Si j'avais loreilie dure, lu
sentirais la nécessité de hausser le ton, pour fentretenir ave<-
moi, £[ ÈT-jy/avov CtiÔxioio: wv, mov av -/pf,vat, eÏTiEp £(X£À>i; (jlo:
Qora.s, 331 D.
vogelles.
La l'ojj- est un son émis par un Ttrc anime, r,... cpoovy) 'I/ôio:
XCV. LARGEUR.
XCVI. LENTEUR.
493. — BpaSuç : lent de corps et d'esprit. Bpa5ùTT]ç :
lenteur.
XGVII. LOI.
OépLCç £(7t' ,
0-jô' et xay.tojv c-éôôv £a6o'., ]
Eeïvov àTi[i.f,<Tat. [Odyssée,
XIV, 56.) — Tu entends les paroles de Théodoros; tu ne voudras
pas... lui désobéir; ce nest pas la règle que, pour de telles
|j.£-/pt... TT,; ÉTÉpaç Tcepiôôo'j Etvai à7rr,|jLova. (Plat., Phèdre, 248 C.)
Ce n'est pas Zeus qui a fait publier cet arrêt par le héraut ; ce
n'est pas non plus la Justice, qui habite avec les dieux d'en bas,
MAINTENANT. Hl
i|iii a fixé do toiles lois parmi les hommes, où vâp tî (xot Z-i; r,v ô
•/.r,p-j^a; TâÔ£, I
o-j5' r, ^vvo'.xo? twv -/.à-roj Oîàiv Atxr, | to'.o-j<7o' èv
àvOpojTTO'.Ttv o'ip'.TEv vo^iiouç. (Sopli., Aniiffone, 450.
XCVIll. LOUER.
([u'un.
Sucrate. il est honorable puiir toi déde loué en ces termes
par des honmit.-s di|,Mies de f<ti et pour de tels actes, w Soj-xpatec,
ouTo; jJLÉvto'. 6 eiïatvôç io-rtv xa/.ô:, ov t'j vCv ènaivs? -JTr' àvoowv
àEt'ojv Tï'.-Ttôj^TOa'. y.ai i'.: taCTa. s!: à oCto-. ènxcvo\iatv. Plat.,
Lâchés. IHl H.
XCIX. LUMIÈRE.
C MAINTENANT.
."jor,. — At) cl fjST) lat. yVn») entrctit dans un certain
iininlut' (h- ln(iiti(»ns. cnfrt' Icsqutdlos il con\ient de
• li^tiiiuiii'i'. Nijv 5tj ^.' i'aj(jiMi-li' à lavcnir : iminitr-
12 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
CI. MAISON.
cJvai : àpa otteo o&xîa r^ xal o<7a ri; eEto Tf,ç oixiaç xéx":r,Tai,
MEDIRE, CALOMNIER. H
.jlU. — Oixo56|JLT)(JLa : rdi/irr.
Cil. MARIAGE.
;jll. — Tà[j.oq : maiint/i'. ra{j.eîv T-.va : .y'' nifirier, on |mi'-
lant (le \'hi)inm>\ ra(JLeÎCT6at tiv. : .se mari<'i\ on parlant
de la femme.
Ménéclès me cherchait une leniine, affirmait que je devais
tue )na)ie)\ è^xÔttei ô Mcvîx/.f,; y'j'joi.'.Y.i 11.01 /.al k'çr, |j,e ypr^yx'. yr^-
SY50XYMES r.BEi !»
8
114 TRAITÉ ÉLliMENTAlRE DES SYNONYMES GRECS.
calomnie.
Ce qu'ils veulent, ce n e>l pas, si je suis coupable, le prouvir
et me faire appliquer une peine méritée, mais me calomnier,
tout innocent que je suis, pour me faire frapper d'amende et
bannir de ce pays, xal ojx £)iy|avT£ç, eî' ti ào'.xw, otxatw; \lz
poOXovTai T'.|i.u)p£?<76ai, à).).à ôtaPaT^ôvxeç, xal zi (XT,gàv àôtxài,
^r,jxtâ)(7a'. xal ilzliax'. ix tt,; yr,: tx-^t-/):. Antiplion, VI, T.j
Apolorjip, 22 fl.
CV. METS.
:<2:\. — Stxa : le hic récolté ciroq : lu blé sur pied , don
i» />////?, et, on *,n''néral, les alinicnls véf/élaux.
CVI. MONTRER
.'i28. — Aetxvùvai : riimilrrr «In doi^^l , dési'jurr.
è'pYO) a-J èvS£tÇâii.Yiv, oti i\).o\ GavaTOU \j.h [lilei... o-jô' ôtioCv.
(Plat., Apolofjie, 32 D.)
Remarque. —
Dans le droit atticiuf, svôet^tç désigne la
dénonciation dune infraction à une interdiction légale, cette
procédure permettant d'appliquer la peine sans jugement.
r.arv [X£v tôo" ecprive TÉpaç [j.£ya [j.r,Tt£'a Z£"jç. {Iliade, II, 321.)
oTt ôixatov £<TTt Tov à[j.£tvto TO'j -/ctpovo; 7i>.£ov £-/£tv. (Plat., Gor-
f/ias, 483 D.)
MORT. HT
Tous les autres verbes, qui sh/nifienl des actions, -a/za oo-a
Trpdt^si; oTfipiatvet or,jj.aTa. Plat., Sophiste. 262 B.)
CVII. MORT.
CVIII. MUR.
NÉGLIGENCI']. 119
CIX. NÉGLIGENCE.
Hkuarqck. —
Des idées voisines sont exprimées par r.ty.
oOosvô; TCOiecoOab «e /"«//e aucun cas de; oCosva ^.ôyov r,rnt'.-
:
•25. -2.
120
vavi;
TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS
Il faut que vous voyiez que de tels actes, punis de mort par
nos ancêtres, ne vous émeuvent même pas, Set... 'JiJ.âç toztv ott
ÈTtl Toî; TOio'uTOtç Epyo'.r pa6v>{j.£Îxg, o)v Ôâvaxov y.aTSYvwxadiv ot
1, 2:^.)
3, 1.)
oO'te o-j 9Y,; a âpwToi ootô àîcô<frj(;. Plat., Protagoras, 360 IJ.
iiOl .
— 'Avaveûeiv : fairr un sl(jnp de hUo yi^WYdnc nmt ou
rrfusrr.
(itunme j'avais répondu non, tu me demandas encore s'il
CXI. NOIR.
'M'd. — MéXaç miir. :
CXII. NOM.
.'ifi'». — "Ovo[ia : nnin. cil ui'.immaii'r : suhsinniif.
De ces instants, hien (Mjurts i)onrtaiit. il vous rcslira un nom;
t't ceux qui voudront injurii-r nnln- cité' vous accuseront d't'tre
ôvo{JLa sEsTc xat al-rtav Ctto tùv ,3o"jÀo[jl£v(«jv Tr,v 7r<>).'.v Aotoopeiv,
w: Swy.pâ-r, àîiôx-ovaTe, à'vôpa (joiov. (Plat., Apolofjie, 38 (!.) —
Le «o>/î est un son produit par la voix, significatif par conven-
tion, mais sans indication de temps, et indivisible en parties
ayant une signification propre, 6^o\i.(k... èo-ti otovr, (Tr,[i.avny.r,
xatà o-uv6yiy.r,v ave'j -/povo'J, r,; {j.r,6£v [lÀpo^ èttI o-/,(xavTiy.ôv v-î/oj-
piTuivov. Arist., f/e r Interpréta/ ion, 16 a 19.
comme nom. —
'AvTwvujjiîa pronom. napc«)vu|jLÎa : — :
lK»nln'Ui-.
'Apt<TT(55r,|j,o; fj
iv.y.fo; è«txa).oOjj.£voç. Xt-n.. Mémorables, 1,
.
—Katvoç nouveau, inqiliqne l'idée de quelque
:
p,etv, xatvoTOjjiîa.
OBÉIR. I2:i
CXIV. NUAGE.
CXV. OBÉIR.
CXVI. OBLIQUE.
.j8o. — nXàytoç : (yi^i t'a c/e côté (et non ]).ir 1 • ligne
droite).
CXVIF. OBSCURITÉ.
Uemaholf.. —
l)i>liii|4iic'r rentre «xotwÔTjÇ rjtii ne réjnmd :
fait dans les ténèbres, secret rjy.o-rxroç (teniijorel : qui ^^u t'iiit :
/tendant la nuit.
<T9ai : offusquer.
C.WIII. ORDONNER.
'
manière effective. Moi, je comprenais quil m'eiifjuyeuU à faire
ce que je faisais auparavant, qu'il inexliorlail à contutuer, à la
façon de ceux qui encouragent les coureurs, w Stôxpa-î;, e'^r,,
Ixo-jTiy.TiV Tzot'ct xat âpyj^ou. Kal iyo) sv ys -o) Tipôo-Oîv '/pôvo) ô Ttsp
'o'j\).
— KrjpÛTTEtv ; ftiirr jniUier un orclrr prir la voix du
livrant.
Ce iTt'Sl pas Zt-us qui a fait publirr cet arrêt. oO vyp -J. ao:
7.1-^1 Y-iV o xvipO^aç Tioî. Sopli.. Anlif/one, 150.;
àvaîià; £7rl tov ïzttov Ta t.x\-'x si; Ta; -/ïipa? Taxos, toï- t£ a>.>0'.;
fixetXaç QCTTX i[îo-j),ôTO, tx; u.kv -'-jvxry.x: /.x- t^ TTX-.ot'x xtt-.évx: ixÉ-
xéXXùj : uecouiitlir .
èniTéXXei ïiTispt twv 7:atoajv r, Trep't xaaov to-j. oti av (70'. tto'.OwVtî;
Sy:«oxyjies cnEM. U
130 TRAITÉ ÉLÉMENTAlKli: DES SYNONYMES GRECS.
TOi; véoir ;
— TtOG>ii.ev, ë?r,. (Plat., République, ï)21 tl.)
oTTtoç 7rcpiY£vr,Tat (jo'J xal ).oy(i) xal ï'pYw £"J Tioitov. (Xén., Mémo-
rables, llv 3, 17.)
CXIX. OUBLIER.
609. — 'ETTtXavGàveaOat : perdre le souvenir de, oiihlii-r.
Tt; tôv avÔptoTio^ /.al àxv tc; p-ot (Aaxpàc Àsy^p èîÇtXavOAvoiAat Ticpi
ta; -J-OT/éTct;, es' al; tt,; e'.pr,vr,; ïx-jyev. (Démosth., VI. ]2.
CXX. PALE.
CXXI. PARESSE.
ôrivxa -à; àXXaç T£'/va?, àXXà jjLÎav -zx-li-r^v, [j,r,Ô£v â/.aTTO-jTOai tcov
6.34.)
I
Gi.j. — 'Pa6u[i.îa, pûcOujjLoç, potOuptelv so disent de la légè-
reté. \o\. § 554.]
Par rapport au vrai, appelons véridique celui qui est dans li:
juste milieu et vérité ce juste milieu; quanta la feinte, en mieux.
c'est la vantardise, et l'homme qui a ce caractère est le vantard:
en pis c'est la faiblesse feinte et le faux faible, itspl... xb à>.T,6£:
ô (xàv |xé<7o; àXr,6r,ç ti; y.al r^ ixeaÔT/); àAT,9eia XEyé<76a), rj oÈTipoT-
îTOtVjat; T, (X£v ItzX to (xeï^ov à),arov£Îa xal ô r/*^'' a-jTT,v à).aCtov, r, ok
pi:inf:. d33
CWH PEINE.
t.r.i. — 'Avta : prin(\ au sons do mauvais offirp.s. 'Aviav :
7:o).).à |JLefjt;jivav /al t'o |xr, ry'jvxahxi r^fj-j/ixv 'i'fv.-i. 'Xén., Ctp'o-
pvdir. VIII.7. l-.>,
nalin-rl dans un tel fteuil. oOôkv uivj txo'. èÀôcivôv zWr,v.. fo; s-.xô;
av ViXz'.ti civai TcapôvTi îîévôet. (Plat., Vkcilon. L'J A.
/éyoua', Tiapà Tr|V aC-Twv ôoçav. (Plat., Lac/iès, 178 A.) — La pen-
sp'e e.st le principe de la science, vôvjotç- àpx^i â7tio-Tr,[ir,ç. ([Plat.],
T/) AÉËei xal toi; lvOv>{ji.';fi[JLao6v £-/r, xaxôi;, op-w; a-jraïç Ta?; eùp-O-
[xîai; xal Taïç cr'j{/,u.£Tptaiç •I/'J/aYfoyo'JO'i tou; àxoûovTa;. (Isocr.,
Écagoras, 191 A.) — i/enthymème est le syllogisme dont les
iiqv.es, 70 a 10.)
{ita Toiv xa-rà [J-spo; èTriTTrifiôiv.... oote yàp 7:spi tiôv àîl ovtojv y.al
TTcpl o)v àTTOpr.Tctcv â'v Tt; y-al pouXtûc-aiTO. Aiô Tiîpl Ta xi-y. uAv
TT) 9povr,<T£i £<7Ttv, Q-Jx ËaT'.v ÔÈ TO a-jTO OUV656 ; xal çpôvr,<7',ç.
àôâvaTOv xa'i (ocrajto); £'/ov, xal w; (T'jyvryr,; o-JTa avToO àsl Uct'
èxEÎvou T£ Y:YV£Tai, 0Tav7r£p a-jtr, xa6' auTT,v -^vrr-.x: xal ï\r^ x\,-.r^.
xal TiÉTtauTat t£ toC tiXxvou xal (oTuep èxetva àcl v.x-.x -x'j-.x
CXXIV. PERDRE.
oévTeï/£ irapà ôô^av tt) Ta).at7:(i)pra. (Thiic, 11, 49. t\. — Observe
làrne..., si l'injustice, cuiuiiie tout autre vice, y entre, sa i)ré-
sonco et son contact ne sulfiscnt-ils pas à la corrompre et la
flétrir? xal 'h^jyr^-i <7xÔ7r£'.. 5pa èvoCaa Iv avr/j àôt/.ta /.al r^ a),/,-/)
[j-kv Trpdcvixa-ro; xal âXaTTOvo; [xeTal'j a'j$r,<Tiç xal ?p6co6;, xal xaXoC-
[jL£v rj'jTd) TÔ [j.£v aOïàvîTOa'.. TÔ ok ^Oivetv. Plat., P/ié/ton, 71 B.
è[i.oO 7rpo{/.y,6£'. xal Tôiv aXy.tov £7:f:r,8£tajv, [xr,, èàv «rù èvOfvSô £^£>.6r,;
o\ o-uxo^pâvTai f,[j.ïv upayu-aTOc 7îapÉ-/œ<Tiv, w; ^à èv6£vo£ èxx/i'laG-iv,
xal àvaYxa'76(o[X£v r, xal TcaTav ttiV ov^i'av ÂnoPaXelv r, G"j/và
•/pr,}j.aTa. Plat.. Cri ton, M E.
CWV. PEUPLE.
(•'lO. — *'E6vo<; : pni/tlp, roinine exj)iT'ssioii iiéorfraph'njue
(Ml elhnofp'aphique.
Le peuple cri-tois : -rô Kpr.Tôiv éOvoç.
CXXVI. PIETE.
é-/.o-j(Tioç, Tîspl ôeôiv TCJJLT,!; UTrÔAri'l/i; ôpôr,, è7:t<7Tr,[xr, ty,? Ôeôiv Ttp.
CXXVII. PITIÉ.
accessible à la pitié.
auquel on peut s'attendre pour soi ou l'un des siens et qui ap]i;i
raît proche, eo-tw... IXeoç "k-jizt] tiç èttI çatvofxfvto xaxôi çOapTixo) r,
7ra6îïv r, xu>\ x'j-ryj T'.va. xal toCto oTav TÙT^nwi zx'vir-.x:. Ari^t.,
Dinanpi.". I. lio.
C.i'ux ipii l'ont rire plus cpiil ne faut semblent être bouffions
el grossiers; ils s'attachent à faire rire coûte que coûte, visant
à exciter le rire, plutôt qu'à dire des choses bienséantes et à
142 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GUECS.
railler sans blesser... Ceux qui badinent avec mesure sont dits
gens d'esprit: tels sont ceux qui ont bon caractère, ol... tw
YeÀot'o) C/TrsppàAXovTeç Pu>ji.oXôx06 ooxoCîa-iv thon xai çoprixot,
§ li'ô.]
Faut-il dc'finir Ihonime qui sait plaisanter celui qui ul- dit
ritn qui ne soit digne d'un homme libre, ou celui qui ne Messe
pas, et même charme celui qui l'écoute? TuÔTepov. . -rbv vj cxu»?:-
xovxa ôpiOTÉov TO) lijtiy (jlt, dcTcpsuf, iXcUÔspûi), r, tw ij.r, à^-îTv tov
àxoûovTa 1^ xal TÉpirôiv ; Arist,, Éthique, 1128 a -25.;
xal "Ilpr, i
xepxoii.îotfj' i-ÉîTTs A:a Kpovior.v èpiOi^ov. Iliade, V,
•JIS.
lises par la loi, £7it|X£>.£; {ikv o-jv so-tw toiç ap/o-^ai [irfivj iif,7z
CXXIX. PLAISIR.
661. — Xapà :
joie ; )(atpetv : goûter de la joie, se réjouir.
111,3,59./
CXXX. PLEURER.
À£*Jov xai coCvat tio Tiaioio) tÔv titOôv, l'va T.OL-i'jr-y.: xXaov,
fLysias, ], 1^.
XA-Jcsi. TO-j ;^T,v à7:b aCt:/,; àp/oaîvov ;... /.aAT.o-ai [).ïy O'jTrw 8-Jvâ[JLe-
CXXXI. PLUIE.
CXXXil. POURRIR.
0r,G-ov, el' Ttva e'xei; ÔOvajJitv. (Plat., Lâchés, 194 G.) — Parlons
de la poésie en elle-même, de ses genres, des proprie'le's de cha-
cun... Ttspi TTOtYjTiXT,; aÙTr,ç T£y.alTà)v elSôiv aÙTr,ç, f,vTtva ÔOvajAtv
sxao-Tov Ë-/£u.. îiywfxev. (Arist., PoeV/^we, 1447 a 8.)
679. — Oîoç sivai : êZ/v homuu' <'i\ fil |hirlaii( (ruiic chose:
ètro propre à.
de'l.
230 C.)
CXXXIV. PRENDRE.
CXX.W. PRIER.
/i\t (i(tulr€ recours que toi, upô; vjv 6c(ov, to Isïv;, [X-<^ {J- à-rifi-â-
CXWVI. PROMETTRE.
l(»l.;i.
lo2 TliAlTK KLÉMKNTAIRK Dl-S SYNONYMES GUKCS.
CXWVII. PROMPT.
CXXXVIH. PROXIMITÉ.
lenue, dr la dricncr.
Elle se fit alors remarquir daburd par sa laillr. puis par sa
Ijonne tenue, bien que sa nnse fût pauvre o'.r,viY-/.s âvTaCOa 7:pw-
Tov (A£v -l'i [Lt'^'i^zi, ÏTzti-x cï /.xt tr, eOcxTiHi-oa'Jvrj, xatTcîp iv
taTTîr/»;» T-/r,aaTi ÉTTr^x'^ïa. X('n.. (.'
fjroj,êdie, V, l..'i.
1383 b 13.;
Remarque. —
Distinguer ato/poç qui fait éprouver de lu : :
CXL. RACONTER.
silion détaillée.
•24 S I).
Cf.'.st, sc'Iuii moi, l(j Imt vers lequel il tant rcf/arder dans la
vie, o-jTO; è'[j,otY£ Soxet ô axoTïôç slvai, Trpô; ov pXéJîOvxa Ô£Ï ^r,v.
iPlal.. lloi'fjhis, 507 D.;
CXMI. REPENTIR.
oùv y.al TOTî Tipôi-ov xal v*jv ô',a|j.âyou.a'. ij-r, jJ.eTaYVÔI>vat û[jLa: ta
7:pooc00y!J.Éva. Tliuc, III, 40, 2.)
repentir.
CXLIII. RÉPONDRE.
bien sur les songes? eÎt oùx èyà) So-j; ù-'y ô^olio \>.:<7bJ}'70^on \
CXLIV. REPRIMANDER.
CXI.V. RÉPUTATION.
Que celui qui m'instruira soit plus jeune que moi, qu'il n'ait
pas encore de. réputation^ je ne m'en soucie pas, £:... vciuT=po; ô
C'.SiTx»i)v ea-rat T) ixyjirwév SôÇtj w'v.., oCÔ£v aoi iJL£)£'.. Plat., Lâchés,
IHO A.)
ÔTi TTAôiTTOv oiaçÉpEt ^r\'^'f\ xal cru-/.ocpavTta. «l*'')!*'»! (j.£v yàp o-j
célébrité, de la gloire.
624 B.)
llKMARguE. —
TtiATjotçn'tjslpas synonyme deTitxr,, rnaissignifii-
C'!y.r,v ô:0MV, O'jtoi 6' Oti'o Tr,? àAr,Oôta; à)?).r,-/.6-:£ç [xo/Oriptav y.al
moins qu'on ne doit. Celui qui la recherche trop est dit ambi-
tieux; celui qui ne la recherche pas assez, *«ns ambition; il n y
a pas de mot pour qui se tient dans un juste milieu, eativ... w;
os? opé'ftGba.i TifJLYÎ; xal [i.aAAov r) 6eï vtal ïjttov, Xé'fBia.i 8' à [x'îv
tiire et. sans rnaiiLrer ni buirt-, (\v cliaiitcr tout aussilùt lI jusqu'à
leur mort, -ô -zixlyoyj yavo; ulît' i/.cïvo if-jexx'., ^épaç -oCto 7:apà
Mo-JTÔiv ),aêov, [xr,6kv Tpo^r,; ôsÏTÔai vevôficvov, àX/.' aa'.-rôv tî /.xl
-i-oTov £-JO-j: jloî'.v, s(i): "iv TE/.E-jtrTY-,. Plat., Phèdre, 2.59 C.)
• »ii <ri>it avitir droit nus. éfjarfis <\f: Ceux qui nous sont iufe-
rieiiis par la naissance, le pouvoir, la vertu, upoo^Y-xeiv... oiov-rai
CXLVJl. RICHESSE.
1-2.)
GXLVIH. RJRE.
CXLIX. ROND.
7.;(). — Ileptcpepfjçso dit duno surfacr ronde. Ileptcpépeia:
périphrrie.
CL. ROUGE.
7 ii. — 'Epu9p6ç rouge. :
C\A. RYTHME.
7:i7. — 'PuGfjLoç : rgthme.
7.is. — Distinguer evra^tç : combinaison nithmique;
el5oç : genre rgthinique.
7.!). — Xpovoç : temps.
7(;o. — 'AywyT) : mourement.
16* TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
cuil. SANTÉ.
CMV. SAVOIR.
.
(Arist., Ktliiriiie, lliJlt h lit.
7(i6.
— 'EÇeiricrcaciôai : savoir à fond, savoir par ccrnr.
Tlat., Apologie. 19 C.
CLV. SCULPTURE.
dieux (ayaXiJia).
772. — 'AvSptavTOTTOLoç : celui qui fait des statues
tuaire, sculpture.
i
StMBLKR. l'AHAITFîE. 167
CLVf. SEC.
Palamède d'Elée parlait avec un tel art que les mêmes choses
apparaissaient à ses auditeurs comme semblables et dissem-
blables, unes et multiples, fixes et mobiles?... Donc l'art de sou-
tenirles contraires ne trouve pas seulement son application dans
les tribunaux et les assemblées, mais, comme il résulte de ces
concordances, dans tous les genres de discours également.
oO/.oOv ô T£-/vr, TO-JTO ûpwv noirf<Tei ^avïjvat to a*Jto toï; a-l/Toi:
TOTE [jlÈv Siy.atov, orav oï ^o\^'/.r^1a.•., aôtxov;... xal âv 8yj|xyjYopta or,
TYJ TTOASt ôoxetv Ta a-jtà totÈ \).h/ àyaGà, totè o' a-j xàvavTta;...
Tôv O'jv 'E>,sat'.7Ôv naÀa[j.r,ûr,v XÉyovTa o-Jx ït\lzv T£-/vr,, {ùtj-z
^atveoôac toï; àxo-jo-jat Ta aÙTa cifxoia xai àvôfxota xal ëv xal
Tiou.oL, [iÉvovTà Te aO xal ;;£po(j.£va ;... OOx apa (j.6vov Ttepl 6txa«TTr,-
pia T£ £<7T'.v r, àvTiÀOYixr, xal tzzoI ot, [j,r, yopiav, à/,).', (oç eotxg. 7i£pl
CI.VIII SÉPULTURE.
à
j
SKRvin. 100
îfiaTs'wv al.o-jT'.v oCckv ëooTav el; Tf,v xacpfiV, àÀÀà tcôv ç-Xtov [lvj
CMX. SERVIR.
eÙEpYéTT]<; : hienfatleur.
avantage^ un profit.
11 calcule que... si quelqu'un a dans 1 ïime, partie plus pré-
cieuse que le corps, beaucoup de maladies incurables et sil doit
vivre ainsi, ce n'est lui procurer aucun avant a (je que de li'
oTi 0V7-..- S'!'... Ti; apa àv tw toO <7i6[JLaTo; Tt|JLitû-£pa), tt^ 'Vj-//;,
TCOAÀà voTr.aaTx iyî\ y.al àviaTa, -o-j-fo oï puotî'ov èorlv, y.ai toCtùv
ôvTjCet, av TE iv. OaÀaTTr,;, av tô èx ôixa(TTr,p'!o*j. av te à'ÀAoOEv
Gorfjias, .')12 A.)
c,7:o6evo*jv dûiar,. ^Plat..
ment et n'être là que pour faire ce qui leur plaît? èttI TuoTÉpav...
{JL£ :rapaxa/.Eï; TT,v Oepa:ïetav tt,; 7i<))eo):, oiôpio-ov {loi '
tt,v to-j
521 A.)
[Voy. § 57.J.J
CIA. SILENCE.
obstiné, ladlurnr.
ClAI. SOIGNER.
Tisï. (Plat.,
homme, qui,
xà Tôiv eÀeuôéptov voiTr,[j.aTa
Lois, 720 D.)
à ce que
—Tu
OeparceOsc
vas donner ton
tu affirmes, est
âme
un sophiste,
te xal
à traiter k ui i
èirto-xo-
"m
tJ^éUei; tyiv
CI.XIl. SOTTISE.
798. — "'
kyoxiq : (fui est inintelligent ; oLyoïoL : inintelligence;
àvoTjToç : qui agit sans intelligence ; àvorjTottvetv :agir
sans intelligence.
Il faut accorder qxxitV ininteltigence o?,i\ine maladie de lame
et qu'il y en a deux variétés, rétrarement et l'ignorance, vfirrw...
.
soïTisi:. i:;i
i'o^ac'.v oti ç'jTc'. ts xal t-j-/t, toi? àvOpwTroiç y'ï"^^'*'-^ '^ y.x/a y.al
tivavTÎa -tovto'.:. 'Plat.. Prolafjoras. :^-23 D.)
àÇûvexoç cïvai xal à$i(û<T£i Tcpoy.xr,, XéyEi âîc' aÙTOÏ; ETtatvov tôv
TTOETTOvTa. Tilucvd.. Il, Ml. •;.,
174 TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DES SYNONYMES GRECS.
\ù\ ôûvacôat /ovi^îTÔa'., OTt {/fj-sï? (aÈv ôv-tô; TîOÀtTaî p-ou ûô*/ ot'oî
T£ èYév£ff6£ £V£YX£tv -:à; èjJLà; S-.aTp'.êà; xal tou; ^ôyo-j;, àXX' Cfiiv
[iap'jTepa', yeyovao-iv xal âTri^OovcoTspai, cotte ^rjTEÏTE aCiôiv v^vl
à7:a).).ayf,vai. "AÀÀoi It apa aOrà: otTo-jat paoûo;; (Plat., Apolo-
gie, 37 (^j
ctvat ;
— 'A).À' et àut(7T0ir,v..., oOx av dixojïoç £Ïr,v. (Plat., Phèdre,
229 c;
SOTTISE. iTo
Apolof/ie, -2-2 D.
Si ces actes ont été commis par ineptir. par simplicité ou par
une ignorance quelconque, je laisse aller Eschine et je vous
conseille d'en faire autant, et TaO-r' -jtz' àpeX-cepcaç r, o-.' cOr.Oc'.av
vi ôt' à>.).r,v OL-riOi<X'é r,vT'.voûv ouTto TiéTrpa/.Ta'., aOtô; t' à5;r,tx" Ai'7-
[Jo*j/.0|xév(«)v TTiV rô'Aiv, (o; à'p' où'-ri) 'I':/'.t:-ô; ètt'.v o:o: ttot" r,«7av
CLXIII. SOUDAIN.
vous. T'.... jjj,£?ç.-. ïïejïôvôa'ce Ctto -côv £{/,<ôv xaTriyopcov, oùv. oî6a.
(Plat.. Apolof/ie. 17 A.) — .l'appelle ^///W7/o// !<• désir, la colère
7
SOUFFRIR, Éi'ROUVER. Il
o-jT(i); àÀôytTTÔç 3ljJ.t, wttô ar, c-jva<T6at Aoyî^eo-ôat. ot: iii-J.z ixkv
ovTc; TîOÀiTat tjLO'j o-jy oio: Tî £v£vsg:6ï IveYxei'v tx; £u.à; otaTCiêà:
y.a'i Toù: Aoyou;.. à),).' Cji-ïv pap-jTccat Y-Y'JvaTiv y.al £7:i56ovajT£Gai,
o)<7T£ :^Y,-:£ÏT£ al-àjv v-.vl àTra).).a7T,va'.. "AÀÀo- oï i'pa aC-Tà; oÏTO'ja:
pa6i(i>:; IMal.. A/tolof/le, 27 D.y
xéxXvjy.aç |
C/Trkp àvôpo; àvTciTiEiv, oç r,txàç 7to),),à y.axà oÉopa/.sv;
(Aristû[»li., Femmes aux Féfesde Ce'rèfi, 514.)
GLXV. SOUVENIR.
èfAOÏTiv I
à'-/vjTai, ÔTcTioTc Ttç jj-v/jor, xcovoïo avaxTOç. (Odijsse'r.
XIV. 1(>7.
monument.
à
.
SOUVENIR. 179
CLWI. SUFFIRE.
tpment à un besoin.
Les eau.v du fleiivo firont délaiit et \ut au ffirent pas a l'annûj
et aux bêtes de somme, ÏTziXim to péeOpov oùo" àîîéxp'y)<ïe
«TTpxT'.v; -z y.xX'.uXa'. 7.Tr,vscri Tiivoasvo:. (II<TOd., ^'ll, IM.)
CLXVn. SUIVRE.
TEMPS. 181
CLXVIII. TEMPS.
xal TîD.Aa, oaa k'v T-.vt irr-'.u. '.Vrist., Phfjsirjur. •2-21 a "28.
832. — Aiâ)v- si;^^niii(' l.i durée d'uno rie Innnainr t't, par
rxtciision, tout le cours du temps; alwvtoç : perpèturt^
éternel. [Voy. § 869.]
448 C. —
Ayant pris de sages résolutions, non seulement en vue!
(lu danger présent, mais encore pour tout Vavenir,... où [ao'vov eîçj
TÔv Jiapôv'ra xîvô'jvov, à)./' si; cxTravra tov actovx pov>.£"j<7â(/.cv6ij
ûpav ToC e-o'j: te xai -f,; r,{ji£pa;... (Plat., Phèdre, 229 A.) La —
belle saison de ce qui est tien cesse : toi, tu commences à fleurirJ
Ta.-. (Tx av;ei ôipaç. au 6"
à'pxît àvôsîv. Plat., Premier Alcibiadel
131 E.)
CLXIX. TOUCHER.
don.niE.)
/ion).
CLXXII. TUER.
CL.WIII. VARIE.
dcrie).
CI.X.XIV. VENT.
Opxxîaç : du uonl-nord-esl
vent xxcxiaç vent du noril- : :
coule dans un pays chaud et que ces vents sont dus à des amas
d'humidité, aTib {jl6vo-j... toC Neîao'j ûoy.oy<7iv ovx àTroîivsïv aùpa^
r^ â/.àyio-rai, O'.ôf, 6cp[j.b; 6 totto; xal s; ou xal et; ov peï" a\ 6" aùpxi
7z-j/.vo-j}ji.Évo"j ToC {-vpo-j £ta-',v. '
Thé( )phraste, Fragments, V, 3, 2.j.)
856. — ouragan.
'EpicoXïj :
CLXXV. VERT.
CIAXVI. VIE.
dépérir par soi-même, ^^wtjv... >iYO[i.£v tt,v St' ajxoû Tpo:pr,v te vc:
a'j;r,G-tv y.al çOt'otv. (Arist., De lAme, 412 a 11.) — Une vie hon-
nête et sensée, ^<o^ç àvaOf,!; te -/.ai ê'jJLçpovo;. Plat., Iié]jul}li(/ue,
521 A.)
VIK. 187
passe-temps, distraction.
Tous ceux qui passent leur vie à philosopher, o<toi èv ?t).o<7o-
zi'j. StàYOoo:. (Plat., Tliëétè/e, 174 A.)
CIAWIII. VOISIN.
[iorj^f.Tai jj.T, TîavTdcîrao-iv aTTÔpo); o-^vaivr' av. (Plat., /-o?.ç, 737 C.)
879.
— "Ofiopoç : qui est, se fait à la frontière. Ilpdcjopoç :
.Sv.XO.fYMES GREi;.S.
194 INDEX.
AaD.a-^, 85.'
Kv£î;a4, .787.
Kvi<Ta, 412. Aa/.îïv, 279.
Kvi^âv, 412. Aa).îa, 27l>. Miôr.jia, 49.
Ko'.aâTftai, 298. AâÀo;, 279. Mà6r,(7i<;, 49, 354.
200 INDEX.
Me>.(i)oia, 115.
INDEX. 20r
^'£*jSo<rTO[j.£ïv, 519.
"ûpa, 833.
'Lipaïoç, 546, 833.
I
Xpr,(Ta(j)5ctv, 252.
ESPÉRER, 31-2-313.
AME, 33-37. COURAGE, 15f>-164. I
ÉTRANGER, 341-319.
AMITIÉ, 38-11. COURBE. 165 167. : ÊTRE, 244-248.
AMOIR, 38-11. CRAINTE, 168-181. ÉVIDENT, 870-874.
ANCIEN, 1-2-48. CRI, 185-186. EXEMPLE, 350-353.
APPRENDRE, 49-.')-2. CRIS d'animaux, 187. EXERCER. c54-3.56.
ARRIVER, -2-2-32. CROIRE, 18S-197.
AUTRE, .')3-.'»6.
FAIBLESSE, 3.57-361.
AVOIR, 57 .'»9.
FAIRE, 18-21.
AVOUER, 5-8. DÉDAIN, 198--200.
FALLOIR, -2.55- -265.
défendre, -201-205.
FATIGUE, 3o2-3ô4.
DÉLIBÉRER, 206-215.
RKAU, 00-61. FIN, 365-871.
DEMANDER, 216-224.
BIENS, 57-.59. FLATTER. 372-378.
DÉRAISON, -225-234.
BLAMER, rr2-ni. FLOT, 379-383.
DERNIER, -23.5-237.
BLANC, 65. FOIS, 3S4-386.
DÉSIR, -238-213.
BRILLER, 66-70. FOLIE, S25--234.
DEVENIR, 214-218.
BRIITS, 71-86. FORCE, 387-390.
DEVIN, 249--254.
BRI'LER, 87-90. FORME, 391-394.
DEVOIR, •255--265.
FOUDRE, 395.
DIRE, 266 -283.
FRAPPER, 396-401.
" \i.i;uLFR, 91-95. DIRE OUI, 16 17,
FROID, 405-409.
' \;.n\|NIKR, 511-517. DOMINATION, -281--292.
FUMÉE, 410 114.
<.si'ACiïK, 671-681. DORMIR, V93-301.
cara<:tère.96-9S. DOULEUR, 302- 301.
CESSER, 99-101. DURABLE, 305 ;:'07. GAMME, 415-419.
CHALEUR, 102-110. GAUCHE, 4-20-4-22.
CHANT, 111-118. GÉMIR, 4-23-4 2.
CHANT DES OISEAUX, ÉCOUTER, :;08-3i3. GÉNÉRATION, 433-143.
119-1-20. ÉDUCATION, 314-31(5. GOUTTE, 441-146.
CHERCHER, 1-21 -126. ÉGALITÉ, 317 3-23. GRIS, 417.
COLÈRE, 1-27-132. ÉLO(^UENCE, 324-3^0. GUÉRIR, 448 450.
208 TABLE DES MATIERES.
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