Vous êtes sur la page 1sur 8

Sourcier

Un sourcier est une personne qui prétend


pouvoir détecter de l'eau souterraine au moyen Sourcier
d'une baguette ou d'un pendule. Cependant, ce
pouvoir des sourciers n'a jamais pu être
démontré scientifiquement. Au contraire, des
expériences réalisées dans des conditions
rigoureuses, dites à double insu, ont démontré
l'incapacité des sourciers à faire mieux qu'un
1 , 2, 3
choix au hasard .

Histoire et usage
Dans l'Antiquité, la baguette est utilisée comme
moyen de divination pour interroger les dieux  ;
son usage pour trouver de l'eau ou des métaux
remonte au xve  siècle en Allemagne [Quoi  ?] (du
moins en ce qui concerne l'Europe). Les
alchimistes attribuent à cette pratique des
vertus magiques ; en 1517, Luther la condamne.
Au xviie siècle, Martine de Bertereau et Jean du
Châtelet, baron de Beausoleil, utilisent des
baguettes de sourcier pour trouver des mines en
Europe, puis ils popularisent son usage pour
trouver de l'eau souterraine. L'utilisation du Un sourcier du xviiie  siècle dans un liv re français sur
pendule pour trouver des sources ou des mines les superstitions.
date de la fin du xviie siècle.

L'usage se répand en Europe aux xviiie et xixe siècles, puis il se raréfie au xxe siècle.


Disposer d'un
puits était jadis la meilleure façon de se procurer l'eau (potable ou non) dont on avait besoin, et les
seules méthodes pour justifier l'emplacement d'un puits était alors l'approche scientifique, rare, et
le sourcier.

Des sourciers auraient été utilisés par l'armée française et allemande pour détecter des galeries,
des caches et des mines pendant la guerre de 14/18  ; Les résultats ont été publiés [Quand  ?] par
Armand Viré directeur de laboratoire au muséum d'histoire naturelle, Henri Mager et l'abbé
Alexis-Timothée Bouly.(16) [précision nécessaire]
4
Selon Thierry Gautier chaque département français ou presque eut son ou ses sourciers . La
profession se raréfia à mesure que s'étendait le réseau d'eau courante, il subsiste encore quelques
sourciers en France.

Le sourcier dans le contexte religieux


1326 - Le pape Jean XXII condamne la divination à l'aide d'un pendule.
1517- Luther inclut l'usage de la baguette dans la liste des actions qui vont à l'encontre du
1er commandement.
1701- Les divers ouvrages prônant l'usage de la baguette seront mis à l'index par un décret du
Tribunal de l'Inquisition de Rome.

Le Jésuite Athanasius Kircher dans Mundus subterraneus Amsterdam 1665 et 1678 et dans le
Traité de philosophie occulte Paris 1750, déclare que la baguette permet de découvrir les eaux
souterraines.
Le père Jean-François publie à Rennes en 1655 un Traité de la science des eaux
Le père Dechales dans le Traité des sources naturelles et Mundus mathematicus, affirme qu'il
n'y a pas de méthode comparable à la baguette pour découvrir les eaux
L'Abbé de Vallemont : la Physique occulte ou traité de la baguette divinatoire, Paris 1693. Il
décrit la baguette et ses propriétés
Le pasteur protestant hollandais Balthazar Bekker, le Monde enchanté, Amsterdam, 1694 chap
23 « Que ce qui a le plus de ressemblance, et tient cependant le moins à la magie, est le secret
de trouver les sources d'eau, les mines d'or et d'argent,..., au moyen d'une petite baguette, que
l'on tient à la main.
Abbé Pirot « les curés doivent défendre l'usage de la baguette comme une chose illicite » et
d'autres témoignages cités dans l'opuscule de Chevreul « de la baguette divinatoire » publié
intégralement dans les Google-books . https://books.google.co.uk/books?id=kzsAAAAAQAAJ

Instruments
La baguette utilisée traditionnellement par les sourciers, en Europe, était en forme de Y, taillée
dans une branche de coudrier (ancien nom du noisetier). La pratique ayant évolué avec le temps,
les baguettes utilisées aujourd'hui sont plus variées, constituées généralement de bois (noisetier
mais aussi amandier, saule, etc.) ou de métal (laiton, acier, cuivre, etc.), voire de matière plastique
5
ou composite, et peuvent prendre diverses formes.

Baguette en forme d'Y ou de V (bois, métal, plastique, fibre de carbone)


Deux baguettes en forme de L (métal, notamment cuivre)
Une baguette en forme de C
Pendule
Antenne de Lecher

Explications
Dans l'Antiquité, le phénomène était expliqué par l'action des dieux.

En 1810, le chimiste Eugène Chevreul remarque qu'il n'y a plus de corrélation entre le mouvement
du pendule et l'objet étudié lorsqu'il ferme les yeux et que l'amplitude du mouvement diminue en
immobilisant son bras et son poignet avec un support. Il en conclut qu'on ne peut pas détecter avec
le pendule quelque chose qu'on ne sait pas déjà et que les mouvements sont modifiés par
l'autosuggestion.

Pour le physicien Yves Rocard qui publie en 1962 Le signal du sourcier, la baguette joue le rôle de
simple détecteur d'un tremblement inconscient plus ou moins prononcé des mains et provoqué par
une variation géophysique du champ magnétique terrestre. La présence d'eau en sous-sol
modifierait suffisamment le champ magnétique pour que des personnes « sensibles » puissent les
percevoir. C'est en 1989 qu'il publie son dernier ouvrage sur le sujet : La science et les sourciers.

Entre 1964 et 1966, le comité Para refait les expériences d'Yves Rocard avec un protocole plus
rigoureux en double aveugle et conclut que le sourcier ne réagit pas à un gradient du champ
magnétique. Yves Rocard répond dans La science et les sourciers (p. 250 à 254) : « J'ai de fortes
critiques à faire quant à la conduite des expériences de ce comité belge et plus encore à leurs
comptes rendus falsifiés et stériles ».

Plusieurs expériences effectuées dans des conditions rigoureuses ont montré que les sourciers
n'obtenaient pas un résultat supérieur au hasard.

Pour les sceptiques, les témoignages de réussite des sourciers s'expliquent par une bonne
connaissance du sol et de la végétation, ainsi que par le hasard (l'eau étant généralement présente
sous forme de grande nappe phréatique et non de ruisseaux souterrains). Le mouvement de la
baguette s'explique, quant à lui, par l'effet idéomoteur et l'autosuggestion.

Expériences

Sydney

En 1980, un groupe sceptique australien organise avec James Randi un concours où il faut trouver
dans quel tuyau coule de l'eau, ou savoir détecter la présence de laiton ou d'or, le prix pour le
6
gagnant est de 40  000$ . Les candidats ont vérifié le terrain et leur outil en testant la zone
lorsqu'aucun tuyau ne contenait de l'eau puis avec un seul tuyau connu en contenant. Parmi les 16
participants, aucun n'a atteint le pourcentage nécessaire pour remporter le prix.

Eau : 11 succès sur 50, 22 % de réussite, hasard moyen 10 %, attendu par les sourciers 86 %
Laiton : 0 % de réussite, attendu 87 %
Or : 11 % de réussite, attendu 99 %

Munich

Entre 1986 et 1988, une expérience de grande ampleur commandée par le gouvernement allemand
est conduite à l'université de Munich. Cette expérience avait pour but de déterminer si la
radiesthésie était une méthode de détection fiable. Les organisateurs croyaient en l'authenticité des
capacités des sourciers, et ils ont tout mis en œuvre pour le prouver avec un budget de 400 000
7
deutschmarks .

Méthodologie

Un chariot, qui portait un tuyau dans lequel circulait une masse d'eau, était placé au hasard sous un
faux plancher. Le sourcier devait ensuite, à l'aide de n'importe quel ustensile de son choix (pendule,
baguette…) déterminer la position de l'eau.
Un illusionniste vérifia l'installation pour éliminer les
fraudes possibles ; pendant chaque essai, une personne était présente pour surveiller le sourcier et
noter le résultat, cette personne ne connaissait pas la position du chariot ni le résultat précédent
(double insu).
Afin d'obtenir des résultats statistiquement significatifs, l'expérience fut réalisée
auprès d'un groupe de test où chaque sourcier réalisa 104 séries de 5 à 15 essais.

Plusieurs milliers de tests ont été réalisés pendant la phase préliminaire qui ont permis de
sélectionner les 43 meilleurs sourciers parmi les 500 qui se sont présentés. Ces tests avaient aussi
pour but de valider la méthode pour que la détection soit réalisée dans les meilleures conditions
possibles. Plusieurs essais ont été réalisés avec différentes configurations : vitesse de l'eau dans le
tuyau, eau salée ou contenant du sable ou des graviers et même absence d'eau.

Résultats
Deux ans et 843 essais plus tard, l'analyse des résultats démontra que les radiesthésistes
obtenaient les mêmes résultats qu'une détection effectuée au hasard. Cependant, les sourciers
notèrent que 6 radiesthésistes avaient obtenu un taux de succès significatif, et prétendirent que
sur les 43 sourciers du test, seulement 6 avaient de réelles compétences mais l'expérience fut tout
de même considérée comme un échec par les autorités allemandes. Les statisticiens démontrèrent
que sélectionner uniquement les sujets ayant eu un taux de réussite élevé était une erreur
d'analyse.

Après cet échec, Tom Napier de la Philadelphia Association for Critical Thinking (PHACT) retenta
8
l'expérience . Même méthode et même groupe test. Mais cette fois, tout est simulé par ordinateur.
Un ordinateur place virtuellement le tuyau d'eau et un autre ordinateur donne, au hasard, la
position du tuyau. Les résultats sont équivalents à ceux obtenus par les sourciers lors de
l'expérience de Munich. De même que 6 sourciers avaient obtenu des taux de réussite significatifs
lors de l'expérience de Munich, 6 sourciers virtuels ont obtenu de bons résultats lors de
l'expérience de Napier.

L'expérience menée avec un échantillon représentatif de sourciers démontre que les résultats
obtenus suivent la loi normale, tout comme l'expérience par randomisation. De fait, selon cette
expérience la méthode radiesthésique ne permet pas d'obtenir de meilleurs résultats que si l'on
opère au hasard.

Cassel
9
En novembre 1990, une étude scientifique organisée par le GWUP a eu lieu à Cassel en
1 0, 1 1
Allemagne , avec la collaboration du sceptique James Randi et la Hessische Rundfunk (chaîne
de radio/télévision du Land de Hesse) qui enregistre les tests. À la suite d'une annonce faite dans la
presse, une centaine de sourciers prennent contact avec le GWUP. L'échange de questionnaire
permet de cibler les capacités des candidats, la majorité d'entre eux disent pouvoir détecter de
l'eau dans des tuyaux et quelques-uns différentes substances (métaux, charbon, pétrole, aimants,
etc.).

Méthodologie

Deux protocoles en double aveugle sont organisés :

1. Le but est de déterminer s’il y a ou non de l'eau qui coule dans un tuyau souterrain connaissant sa
position. Les participants font 30 essais et doivent obtenir au moins 25 bonnes réponses soit
83 % de réussite.
2. Trouver parmi dix boîtes en plastique celle qui contient l'objet préalablement choisi par le
candidat. La condition de réussite est fixée à 8 bonnes réponses sur 10 essais.

Si un candidat réussit, il doit repasser le même test une seconde fois, s’il atteint à nouveau le seuil
de réussite, il gagne le prix de 20 000 DM.

Les hypothèses par rapport au hasard sont les suivantes :

1. Les sourciers peuvent dire dans au moins 83 % des cas si de l'eau coule dans un tuyau en
plastique alors que le hasard attendu est de 50 %.
2. Les sourciers peuvent dire dans au moins 80 % des cas dans quelle boîte se trouve un objet
préalablement choisi alors que le hasard attendu est de 10 %.
Avant l'expérience, les candidats signent un document indiquant qu'ils acceptent le protocole, qu'ils
ont eu la possibilité d'ajuster leur technique aux conditions du test pendant la phase préliminaire, et
12
qu'ils se sentent capable de le réussir .

Résultats

1. Les 19 participants ont réalisé 30 essais chacun et ont obtenu entre 11 et 20 bonnes réponses
(37 % à 67 %), au total cela fait 298 bonnes réponses sur 570 essais soit 52,3 %.
2. Les 13 participants ont obtenu entre 0 et 2 bonnes réponses sur 10 essais, au total 14 bonnes
réponses sur 130 essais soit 10,8 %.

Le seuil de réussite fixé dans les hypothèses n'a pas été atteint. Les résultats sont très proches du
hasard attendu et donc ne confirment pas l'hypothèse que les sourciers sont capables de faire
mieux que le hasard. Le résultat du meilleur sourcier pour le test de l'eau (20 sur 30) reste
probable puisqu'il y a 24 % de chance que deux personnes ou plus obtiennent ce score au hasard.

Argenton-sur-Creuse
1 3, 1 4
En mars 2007, l'Observatoire zététique (OZ) a réalisé une expérience avec deux
radiesthésistes dans la ville d'Argenton-sur-Creuse pendant deux jours. L'objectif était de
retrouver un échantillon de métal disposant, selon les sourciers, d'un «  taux vibratoire  »
exceptionnel. Trois expériences successives n'ont pas permis de mettre en évidence une capacité
des radiesthésistes à identifier effectivement cet échantillon particulier.

Méthodologie

Pour chaque essai, une équipe était chargée de placer l'échantillon sous une des dix boîtes tirée au
hasard. Les radiesthésistes devaient, à double insu, déterminer sous quelle boîte se trouvait
l'échantillon à identifier. Dans ce protocole les radiesthésistes, sous la supervision de deux
assesseurs, étaient libres de travailler comme ils l'entendaient et le temps pour chaque essai n'était
pas limité. L'analyse statistique a permis de comparer leur performance avec ce qu'aurait pu être
une performance réalisée au hasard. Trois expériences de 7, 10 et 32 essais ont été réalisées.

Une demi-journée était consacrée aux essais à blanc et à la vérification des conditions
expérimentales. Pendant celle-ci, les radiesthésistes ont identifié les points de la salle qui
pouvaient, pour une raison quelconque, influer négativement sur leurs recherches. Ils ont vérifié, à
l'aide de leurs instruments, qu'ils pouvaient correctement identifier les échantillons et ont réalisé
des tests leur permettant de s'assurer que leur performance serait optimale.

Résultats

Aucune des trois expériences n'a donné de résultat significatif. Lors de la première expérience, sept
essais ont été réalisés. Le résultat attendu pour considérer que celle-ci était un succès était de
quatre réussites. L'échantillon a été retrouvé une fois. La deuxième expérience comprenant dix
essais, cinq réussites étaient nécessaires pour considérer que celle-ci était un succès. L'échantillon
n'a été retrouvé que deux fois. La troisième expérience a porté sur 32 essais. Un minimum de neuf
réussites était attendu. L'échantillon a été correctement identifié quatre fois seulement.

Ce protocole expérimental a été mis en place sur la base de deux affirmations. La première était
que les échantillons testés disposaient, selon la terminologie radiesthésique [réf.  nécessaire], d’un
«  taux vibratoire élevé et inhabituel  » [Quoi  ?]. La seconde était que, grâce à ce «  taux
exceptionnel  », ces échantillons pouvaient être mesurés et/ou identifiés par des moyens
radiesthésiques. S’il est impossible de prouver logiquement que les échantillons ne
« vibrent » [Quoi ?] pas, ni que les radiesthésistes n’ont pas de sensibilité spécifique, la tentative de
mettre en évidence la particularité de ces échantillons par la radiesthésie s'est soldée par un échec.
Les résultats sont proches de ce que donnerait, en moyenne, une performance réalisée au hasard.

Notes et références
1. Radiesthésie (http://zetetique.fr/index.php/dossiers/71-radiesthesie), Observatoire zététique.
2. Dowsing (http://skepdic.com/dowsing.html), Skeptic's Dictionary, Robert Todd Caroll.
3. The Matter of Dowsing (http://www.randi.org/library/dowsing/), James Randi Educational
Foundation.
4. Thierry Gautier - Le Guide du chercheur d'eau : comment évaluer sa sensibilité aux énergies de
la nature pour une nouvelle rencontre avec l'eau. - 2003 - Éditions Guy Trédaniel -
(ISBN 978-2-84445-500-0)
5. Jean-Yves Durand, « La baguette du sourcier, du coudrier aux matériaux composites, et retour »,
Lieutaghi P. & D. Musset (dir.), Plantes, sociétés, savoirs, symboles, t. II, L’Arbre dans l’usage et
l’imaginaire du monde. La plante, de l’aliment au remède, Mane, Alpes de Lumière / Musée
ethnologique de Salagon,‎2004 (lire en ligne (https://repositorium.sdum.uminho.pt/bitstream/182
2/5316/3/La%2520baguette%2520du%2520sourcier.pdf))
6. (en) Australian Skeptics Divining Test (http://www.skeptics.com.au/articles/divining.htm) par
James Randi
7. (en) The Failure of the Munich Experiments (http://www.csicop.org/si/show/testing_dowsing_the_f
ailure_of_the_munich_experiments/), J. T. Enright, 1999
8. (en) Dowsing is as Easy as Pi (http://www.phact.org/phact/dowsing.htm) par Tom Napier
9. (de) www.gwup.org (http://www.gwup.org/) Gesellschaft zur Wissenschaftlichen Untersuchung von
Parawissenschaften
10. (en) The Kassel Dowsing Test, par Robert Konig, Jurgen Moll, et Armadeo Sarma partie 1 (http://
geotech.thunting.com/cgi-bin/pages/common/index.pl?page=lrl&file=info/kassel/kassel1.dat),
partie 2 (http://geotech.thunting.com/cgi-bin/pages/common/index.pl?page=lrl&file=info/kassel/kas
sel2.dat)
11. (de) GWUP-Psi-Tests 2004: Keine Million Dollar für PSI-Fähigkeiten (http://www.gwup.org/psitest/)
12. « I declare that I have been given sufficient information about the tests by the GWUP and by James
Randi both verbally and in writing. In pre-trial runs, I had the opportunity to adjust myself to the
conditions, and I feel physically and psychically able to succeed in the test under the given
circumstances. I declare that the tests were conducted impeccably. The test conditions and the
schedule have in no way impeded me during the tests. »[1] (http://geotech.thunting.com/cgi-bin/pa
ges/common/index.pl?page=lrl&file=info/kassel/kassel1.dat)
13. (fr) Protocole expérimental : radiesthésie (http://zetetique.fr/index.php/dossiers/103-experience-r
adiesthesie), par l'observatoire zététique
14. (fr) Documents et données du protocole d'Argenton (http://www.zetetique.fr/argenton), par
l'Observatoire zététique

15 expériences russes :N. N. Sochevanov & V.S. Matveev 1967 à 1971 ou Сочеванов и
Матвеев B.C.

Geologia Rudnykh Mestorozhdenii N° 4 ,1974 p 116 & N° 5 ,1974 p 77


http://zolotodb.ru/articles/geology/location/10471;
1. Sochevanov NN, VS Matveev méthodes
biophysiques dans les études géologiques -. Geology of Ore Deposits 1974, № 5. 2. Sochevanov NN,
les champs électromagnétiques VS Matveev que la cause des effets biophysiques. - In: Les
problèmes physiques et mathématiques et biologiques des champs électromagnétiques et
l'ionisation de l'air.. t II. -M. Nauka, 1975. Matveev, sur les méthodes biophysiques en géologie -.
Annales de l'Académie des Sciences de la RSS du Kazakhstan. Ser géologique. 1967, № 3.

16 Année 1920 Volume 17 Armand Viré pp. 189-208 Bulletin de la Société préhistorique de
France site Persee.fr
17 Christopher Bird The Divining hand 1978 (traduit en français).

Voir aussi

Articles connexes
Radiesthésie (sourcellerie)
Géobiologie (radiesthésie)
Pseudo-science
Parapsychologie
Divination
Magnétisme animal
Hydrologie
Jacques Aymar-Vernay

Liens externes
Notices d'autorité : Gemeinsame Normdatei (http://d-nb.info/gnd/4190295-6)

« Les sourciers détecteraient l'eau à l’aide d’un pendule ou d’une baguette en bois » (https://ww
w.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/les-savanturiers/les-sourciers-detecteraient-l-eau-a-l-aide-
d-un-pendule-ou-d-une-baguette-en-bois-3041011), Les Saventuriers, France Inter, 6 août
2022.
Dossier Radiesthésie ou la perception extrasensorielle grâce au pendule ou à la baguette (htt
p://zetetique.fr/radiesthesie-ou-la-perception-extrasensorielle-grace-au-pendule-ou-a-la-baguett
e/) par l'observatoire zététique.

Expériences

(en) Testing Dowsing, The Failure of the Munich Experiments (http://www.csicop.org/si/show/test


ing_dowsing_the_failure_of_the_munich_experiments/) Descriptions, analyse statistiques et
schémas.
Chevreul, La baguette divinatoire (https://books.google.co.uk/books?id=kzsAAAAAQAAJ),
1854
(en) The Kassel Dowsing Test: Part 1 (http://geotech.thunting.com/cgi-bin/pages/common/index.
pl?page=lrl&file=info/kassel/kassel1.dat) Détails de l'expérience avec schémas et photos.
Expérience d'Argenton. Rapport expérimental de l'observatoire zététique (http://zetetique.fr/prot
ocole-experimental-radiesthesie/) Descriptions, analyse statistiques et schémas, documents et
données (http://www.zetetique.fr/argenton), photographies (http://www.zetetique.fr/argenton/phot
os).
Bibliographie
Yves Rocard, La science et les sourciers ; baguettes, pendules, biomagnétisme, Paris: Dunod
1989, (ISBN 2-10-002996-7).
Yves Rocard, Le signal du sourcier, éditions Dunod, 1962 (épuisé).
Yves Rocard, Les sourciers - Collection Que Sais-je n° 1939 (Presses universitaires de
France).
Anne Jaeger-Nosal, Le Grand Livre Des Sourciers

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Sourcier&oldid=195903948 ».

Vous aimerez peut-être aussi