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CHAPITRE 3

1. Si on interprète les différentes intégrales comme l’« aire algébrique » sous la


b b b b
courbe décrite par la fonction, alors ∫ g ( x ) dx < ∫ f ( x ) dx < ∫ h ( x ) dx < ∫ p ( x ) dx .
a a a a

2. Soit f ( x ) la courbe inférieure décrite dans la trace de peinture de gauche et g ( x )


celle décrite dans la trace de peinture de droite. Alors comme la largeur du pinceau
est de 10 cm, les courbes supérieures sont respectivement f ( x ) + 10 et g ( x ) + 10 .
Les aires des deux surfaces sont donc données par

b
=
Agauche ∫ [f ( x ) + 10 − f ( x )] dx
a
b
= 10 x a
= 10 ( b − a ) u2

et

b
=
Adroite ∫ [g ( x ) + 10 − g ( x )] dx
a
b
= 10 x a
= 10 ( b − a ) u2

Par conséquent, les deux traces de peinture couvrent la même aire, soit
10 ( b − a ) u2 .

3. a) ( x ) e x / 3 ≥ 0 , l’aire de la surface S est de


Comme f =

6
= 3 ( e 2 − e −1 ) ≈ 21,06 u2
6
Aire = ∫e dx = 3e x / 3
x /3
−3
−3

b) Comme f (=
x ) ln x ≥ 0 sur l’intervalle 1, e3  , l’aire de la surface S est
e3
donnée par ∫ ln x dx .
1

Intégrons par parties :

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=u ln=
x dv dx
1
=du = dx v x
x

D’où

e3 e3
e3
− ∫ dx= ( x ln x − x ) 1 = 2e 3 + 1 ≈ 41,17 u2
e3
Aire= ∫ ln x dx= x ln x
1
1
1
c) Esquissons d’abord la surface S.

Or, f ( x ) =6 + x − x 2 =− ( x 2 − x − 6 ) =− ( x − 3 ) ( x + 2 ) , de sorte que la courbe


décrite par cette fonction coupe l’axe des abscisses en x = 3 et en x = −2 .
Par conséquent, l’aire de la surface S est de

∫ (6 + x − x ) dx= ( 6 x + 12 x 2 − 13 x 3 ) −2=
3
Aire= 2 125 = 20,83 u2
6
−2
d) Esquissons d’abord la surface S.

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Or, f ( x ) = x 4 − 4 x 2 = x 2 ( x 2 − 4 ) = x 2 ( x − 2 )( x + 2 ) , de sorte que la courbe
décrite par cette fonction coupe l’axe des abscisses en x = 0 , x = 2 et
x = −2 . Par conséquent, l’aire de la surface S est de

2 2

∫ − ( x − 4 x ) dx = −2 ( 15 x 5 − 4 3 x 3 ) 0 =
−2∫ ( x 4 − 4 x 2 ) dx =
2
Aire = 4 2 128
15 =
8,53 u2
−2 0

e) Déterminons d’abord les coefficients a, b et c de la parabole


f ( x ) = ax 2 + bx + c qui passe par les points ( 0, 4 ) , (1, 6 ) et ( 2, 6 ) :

f (0) = 4 ⇒ c = 4
f (1)= 6 ⇒ a + b + 4= 6 ⇒ a + b= 2
f ( 2 ) =6 ⇒ 4a + 2b + 4 =6 ⇒ 4a + 2b =2

La solution du système d’équations linéaires

a + b =
2
4a + 2b =
2

est a = −1 et b = 3 . Par conséquent, l’équation de la parabole est


f (x) =−x 2 + 3x + 4 =− ( x − 4 )( x + 1) et ses zéros sont x = 4 et x = −1.

Esquissons la surface S.

L’aire de la surface S est de

4
( 13 x 3 + 3 2 x 2 + 4 x ) −1 =125 6 =20,83 u2
Aire =∫ ( − x 2 + 3 x + 4 ) dx =−
4

−1

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4. a) Trouvons d’abord les points d’intersection des deux courbes.

4cos2 x = sec 2 x
1
4cos2 x =
cos2 x
1
cos4 x =
4
1
cos x = ±
( 22 )
1
4

2
co s x = ±
2
π
x= ± Puisque, selon le graphique, − 1 < x < 1.
4

Par conséquent,

π /4
=Aire ∫ ( 4cos2 x − sec 2 x ) dx
π
− /4
π /4
=∫ ( 2 + 2cos 2 x − sec 2 x ) dx
−π / 4
π /4
=( 2x + sin 2x − tg x ) −π / 4
π  π π   π  π  π 
= 2   + sin − tg − 2  −  + sin  −  − tg  −  
4 2 4   4  2  4 
=π u 2

π /2 π /2
b) Aire = ∫ [2 − (1 + sin x )] dx = ∫ (1 − sin x ) dx = ( x + cos x ) −π / 2 = π u2
π /2

π
− /2 π
− /2
0 1
c) − ∫ x 1 − x 2 dx + ∫ x 1 − x 2 dx
Aire =
−1 0
1 0
= 1
2 ∫
0
u du − 12 ∫ u du
1
Où u =
1− x 2 ⇒ du =
−2 x dx.

1 1 1
1
= ∫ u du + ∫ = ∫ = =
3
1
2
1
2 u du u du 3u
2 2
0
2
3 u2
0 0 0
2 2

∫ x dy = ∫ ( y + 1) dy = ( 13 y 3 + y ) 0 =
2
d) Aire = 2 14
3 u2
0 0

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e) y 2 =− y 2 + 4 y + 6 ⇒ 2y 2 − 4 y − 6 =0 ⇒ 2 ( y − 3 )( y + 1) =0 ⇒ y =−1ou y =3 ,
de sorte que les points d’intersection sont (1, − 1) et ( 9, 3 ) . Par conséquent,
3 3
Aire = ∫ ( − y 2 + 4 y + 6 ) − y 2  dy = ∫ ( −2y
2
+ 4 y + 6 ) dy
−1 −1

( − 2 3 y 3 + 2y 2 + 6y ) −1 =
3
= 64 u2
3
1 1

∫ [f ( x ) − g ( x )] dx = ( x2 − 25 x5 ) 0 =
2∫ ( x − x 4 ) dx =
1
f) Aire = 3 u2
5
−1 0
5
g) Aire= ∫ x
2
− ( 2 x 2 − 4 x − 5 )dx
−1
5
( 13 x 3 + 2x 2 + 5 x ) −1 =36 u2
=∫ ( − x 2 + 4 x + 5 ) dx =−
5

−1
0 2
h) Aire= ∫ ( x 3 − 2 x − x 2 ) dx + ∫ [ x 2 − ( x 3 − 2 x )] dx
−1 0

( 14 x 4 − x 2 − 13 x 3 ) −1 + ( 13 x 3 − 14 x 4 + x 2 ) 0 =
0 2
= 5
12 + 83 = 37
12 u2
0 2
= ∫ x − 2 x − ( −3 x + x + 10 x )dx + ∫ [ −3 x + x + 10 x − ( x − 2 x )] dx
2 3 2 3 2 2
i) Aire
−2 0
0 2
= ∫ (3x − 12 x ) dx + ∫ ( −3 x 3 + 12 x ) dx
3

−2 0

( 3 4 x 4 − 6 x 2 ) −2 + ( − 3 4 x 4 + 6 x 2=
)0
0 2
= 24 u2
2 4
 14 ( x − 2 )3 − ( x − 2 )  dx + ( x − 2 ) − 14 ( x − 2 )3  dx
j) =
Aire ∫
0
∫ 2
2 4
=  116 ( x − 2 ) − 12 x 2 + 2 x  0 +  12 x 2 − 2 x − 116 ( x − 2 ) =
4 4
2
2 u2
k) Pour évaluer l’aire, il faut d’abord trouver les bornes d’intégration, soit les
points d’intersection des deux courbes.

x x
f (x) = g (x) ⇒ = 2 ⇒ x3 + 4x = 8x ⇒ x 3 − 4x = 0
8 x +4
⇒ x ( x 2 − 4 ) = 0 ⇒ x ( x − 2 )( x + 2 ) = 0
⇒ x= 0, x = 2 ou x =
−2

Par conséquent,

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x x   x x
0 2

∫−2  8 − x 2 + 4  dx + ∫0  x 2 + 4 − 8  dx
Aire =

( x 2 − 12 ln x 2 + 4 ) −2 + ( 12 ln x 2 + 4 − 116 x 2 ) 0
0 2
= 1
16

À la suite du changement de variable =


u x 2 + 4.
= (ln 2 − 12 ) u2
≈ 0,19 u2

l) Pour évaluer l’aire, il faut d’abord trouver les bornes d’intégration, soit les
points d’intersection des courbes.

f (x) = g (x) ⇒ 10 x − x 2 = 2 x ⇒ 8x − x 2 = 0 ⇒ x = 0 ou x = 8

f (x) = h(x) ⇒ 10 x − x 2 = 6 x ⇒ 4x − x 2 = 0 ⇒ x = 0 ou x = 4

Pour évaluer l’aire de la surface S, il faut la diviser en deux parties S1 et S2


comme l’indique la figure qui suit :

Par conséquent,

4 8

∫ ( 6 x − 2x ) dx + ∫ (10 x − x − 2x ) dx = 2x 0 + ( 4 x − 13 x ) 4 =
4 8
Aire = 2 2 2 3 224
3 = 74,6 u2
0 4

m) Pour évaluer l’aire, il faut d’abord trouver les bornes d’intégration, soit les
points d’intersection des courbes.

1
f ( x ) =g ( x ) ⇒ = x ⇒ x 2 =1 ⇒ x =1
3

1 x
f (x) =
h(x) ⇒ = ⇒ x2 =
16 ⇒ x=
4 ou x =
−4
x 16

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On ne retient que x = 4 , puisque le point d’intersection est dans le premier
quadrant. Pour évaluer l’aire de la surface S, il faut la diviser en deux parties
S1 et S2 comme l’indique la figure qui suit :

Par conséquent,

1 
1 4
Aire = ∫(
0
x − 116 x ) dx + ∫  − 116 x  dx
1
x 

( x 2 − 132 x 2 ) 0 + ( ln x − 132 x 2 ) 1
1 4
=
3
2
3

=16 + ln 4 ≈ 1,55 u2
a a a
 a 2 − x 2 − ( a − x )  dx= a 2 − x 2 dx − ∫ ( a − x ) dx
n) Aire= ∫
0

0 0

Or,
a π /2

∫ a 2 − x 2 dx = ∫ a 2 − a 2 sin2 θ ( a cos θ ) dθ Où x a sinθ


= ⇒ dx = a cos θ dθ .
0 0
π /2 π /2
= ∫a = θ dθ ∫ (1 + cos 2θ ) dθ
2 2 2
cos 1
2 a
0 0
π /2
= 1
2 a 2 (θ + 12 sin2θ ) 0 1 π a2
=4

a
De plus, ∫ ( a − x ) dx =( ax − 12 x 2 ) 0 =12 a 2 , d’où= ( 1 4 π a 2 − 1 2 a 2 ) u2 .
a
Aire
0
3 3
o) Aire = ∫ ( y 2 + 3 ) − ( y 3 − 5 y )  dy = ∫ ( −y
3
+ y 2 + 5 y + 3 ) dy
−1 −1

( − 14 y 4 + 13 y 3 + 5 2 y 2 + 3y ) −1 =
3
= 64 u2
3

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5. a) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

0
-4 -2 0 2 4 6

Points d’intersection : 1
4 x 2 =12 x + 2 ⇒ x 2 − 2 x − 8 =0 ⇒ x =−2 ou x =4

∫ ( 12 x + 2 − 14 x ) dx
= ( 14 x 2 + 2 x − 112 x 3 )=
4
=
Aire 2
−2
9 u2
−2
b) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

10

g (x ) = 13 − x 2

5 f (x ) = 36/x 2

0
0 2 4

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Points d’intersection :

36
= 0 ⇒ ( x 2 − 9) ( x 2 − 4) =
13 − x 2 ⇒ x 4 − 13 x 2 + 36 = 0 ⇒ x=
±2 ou x =
±3
x2
Or, comme la surface est située dans le premier quadrant, nous avons
=x 2= ou x 3 .

3
 36   36 
3
Aire= ∫  13 − x 2 − 2  dx=  13 x − 13 x 3 + = 2 u2
 x   x 2
3
2
c) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

20

15

10

0
-4 -2 0 2 4 6 8
-5

-10

-15

Points d’intersection :

2 x 2 − 6 x − 8 =− x 2 + 6 x + 7 ⇒ 3 x 2 − 12 x − 15 =0
⇒ 3 ( x − 5 ) ( x + 1) =0 ⇒ x= −1ou x =5

5
Aire = ∫ ( − x + 6 x + 7 ) − ( 2 x 2 − 6 x − 8 )dx
2

−1
5
=∫ ( −3 x 2 + 12 x + 15 ) dx
−1

( x 3 + 6 x 2 + 15 x ) −1 =108 u2
5
=−

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d) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

10

0
0 2 4 6 8

Points d’intersection :

12 ( x − 2) ( x − 6 ) = 0
= 8−x ⇒ x 2 − 8 x + 12 = 0 ⇒ ⇒ x = 2 ou x = 6
x

6

6
12   x2 
Aire = ∫  8 − x −  dx =  8 x − − 12ln x  = 16 − 12ln3 ≈ 2,82 u2
2
 x   2 2
e) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

0
-2 0 2 4
-1

-2

-3

-4

-5

-6

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Points d’intersection :

x 2 − 2 x − 3 = − x 2 + 4 x − 3 ⇒ 2 x 2 − 6 x = 0 ⇒ 2 x ( x − 3 ) = 0 ⇒ x = 0 ou x = 3

3 3
Aire =∫ − x 2 + 4 x − 3 − ( x 2 − 2 x − 3 )dx =∫ ( −2 x 2 + 6 x ) dx =( − 2 3 x 3 + 3 x 2 ) 0 =9 u2
3

0 0

f) Esquissons la surface.

0
-3 -2 -1 0 1 2 3

À cause de la symétrie de la surface,

3 3
y2
Aire =2∫ 2 1 − dy =4 ∫ 1 − ( 13 y ) dy
2

1
9 1
1
= 12 ∫ 1 − u 2 du Où u = 1
3 y ⇒ du = 1
3 dy .
1
3

Or,

∫ 1 − u 2 du =∫ 1 − sin2 θ ( cos θ ) dθ Où u = sinθ ⇒ du = cos θ dθ .


( ) 1 (θ + 1 sin 2θ ) + C
∫ cos θ dθ =
= 2 ∫ 1 + cos 2θ dθ =
2 1
2 2

= 1
2
(θ + sinθ cosθ ) + C

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Le triangle de référence de la substitution est

1
u
θ

1− u2

de sorte que

∫ 1 − u 2 du =12 (θ + sinθ cos θ ) + C Où u = sinθ .

= 1
2
( arcsin u + u 1− u2 ) + C

Par conséquent,

Aire =12 ∫ 1 − u 2 du =6 ( arcsin u + u 1 − u 2 ) 13 =3π − 6 arcsin 13 − 4 3 2 ≈ 5,50 u2


1 1

1
3

g) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.


5

0
-10 -5 0 5 10

-5
Points d’intersection :

y =− 12 x =− 12 ( y 2 − 8 ) ⇒ − 2y =y 2 − 8 ⇒ y 2 + 2y − 8 =0 ⇒ y =−4 ou y =2

2
( y 2 − 13 y 3 + 8y ) −4 =36 u2
Aire =∫  −2y − ( y 2 − 8 )  dy =−
2

−4

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h) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

0
-6 0 6

-6

Points d’intersection :

x 2 + ( 3 x − 5 ) = 25
2
y =3x − 5 ⇒
⇒ 10 x 2 − 30 x =
0
⇒ x= 0 ou x= 3
⇒ y= −5 ou y = 4

4
 25 − y 2 − 13 ( y + 5 )  dy
=
Aire ∫
−5
 

Or,

∫ 25 − y 2 dy = 25 ∫ 1 − sin2 θ ( cos θ ) dθ Où y = 5 sinθ ⇒ 5 cos θ dθ .


dy =
25 ∫ cos2 θ dθ = ( ) 25 (θ + 1 sin 2θ ) + C
= 2 ∫ 1 + cos 2θ dθ =
25
2 2

= 25
2
(θ + sinθ cos θ ) + C

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Le triangle de référence de la substitution est

5
y
θ

25 − y 2

de sorte que

∫ 25 − y 2 dy =25 2 (θ + sinθ cos θ ) + C Où y = 5 sinθ .


y 1
= 25
2 arcsin + 2 y 25 − y 2 + C
5

Par conséquent,

4
 
= ∫  25 − y − 3 ( y + 5 )  dy
2
Aire 1

−5
4
 y 
=  25 2 arcsin + 12 y 25 − y 2 − 16 y 2 − 5 3 y 
 5  −5
= 25 2 arcsin 4 5 + 25 4 π − 15 2 ≈ 23,73 u2
i) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.
4

0
-10 -5 0 5

-4

Points d’intersection :

y 2 = 3x = x + 6 ⇒ x=3 ⇒ y2 = 9 ⇒ y = 3 ou y = −3

3 3
 13 y 2 − ( y 2 − 6 )  dy = ∫ (6 − y 2 ) dy = ( 6 y − 2 9 y 3 ) −3 = 24 u2
3
Aire = ∫
−3 −3
2
3

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j) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.
3

0
0 1 2 3

Points d’intersection :

2
=− x 2 + 2 x + 1 ⇒ − x 3 + 2 x 2 + x − 2 =0 ⇒ − x 2 ( x − 2 ) + x − 2 =0
x
⇒ − ( x − 2 ) ( x 2 − 1) =0 ⇒ x=2, x = 1 ou x = −1

Comme nous nous limitons au premier quadrant, nous ne retenons que


=x 2=et x 1.

 2
2
Aire = ∫  − x 2 + 2 x + 1 −  dx = ( − 13 x 3 + x 2 + x − 2ln x ) 1 = 5 3 − 2ln 2 ≈ 0,28 u2
2

1
 x
k) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.
1

0,5
S2
S1

0
0 1 2 3 4 5

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Points d’intersection :

1 1
= 4x ⇒ x2 =4 ⇒ x=
2 ou x =
−2
x
1 1
= 9x ⇒ x2 =9 ⇒ x=
3 ou x =
−3
x
1 x= 1 x ⇒ x= 0
4 9

Comme nous nous limitons au premier quadrant, nous ne retenons que


=x 0,=x 2 et=x 3.

Pour évaluer l’aire de la surface S, il faut la diviser en deux parties S1 et S2


comme l’indique la figure qui précède.

1 
2 3
Aire =∫ ( 14 x − 19 x ) dx + ∫  − 19 x  dx =5 72 x 2 0 + ( ln x − 118 x 2 ) 2 =ln 3 2 ≈ 0,41u2
2 3

0 2
x 

l) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.


6

0
-2 0 2 4

Points d’intersection : x =
−1 et x =
2

∫( 5 x + 6 − x 2 ) dx =  2 15 ( 5 x + 6 ) 2 − 13 x 3  −1 =
3
2
Aire = 27
5 = 5,4 u2
−1

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m) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.
6

0
-3 -2 -1 0 1 2 3

Points d’intersection :

x 2= 3x 2 + 4 ⇒ x 4= 3 x 2 + 4 ⇒ x 4 − 3 x 2 − 4= 0
⇒ ( x 2 − 4 )( x 2 + 1) =0 ⇒ x=2 ou x =−2

∫( ) dx 2∫ ( 3 x 2 + 4 − x 2 ) dx
2 2
=
Aire 3x 2
+ 4 − x= 2
Fonction paire.
−2 0

( )
2
= 2∫ 3 x 2 + 4 3 − x 2 dx
0
2
 3 2 3 
= 2 x x2 + 43 + ln x + x 2 + 4 3 − 13 x 3 
 2 3 0
Formule d'intégration avancée 36.

ln ( 3 + 2 ) ≈ 5,71u2
8 4 3
= +
3 3

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n) Esquissons la surface et trouvons les points d’intersection.

0 a

Points d’intersection :

2
 x2  x4
y = ax et x = ay
2 2
⇒   = ax ⇒ = ax
 a  a2
⇒ x 4 = a 3 x ⇒ x 4 − a 3 x= 0
⇒ x ( x 3 − a3 ) = 0 ⇒ x = 0 ou x = a

a
a
 x2 
a
 x2   2 a 32 x3 
Aire = ∫  ax −  dx = ∫  a ( x
1
2 )
−  dx =  x −  = 1
3 a 2 u2
0  a  0  a  3 3a  0

6. L’aire As de la surface S s’obtient comme suit :

b
As = ∫ f ( x ) dx
a
b
− ∫ ( x − a )( x − b ) dx
=
a
b
=− ∫ [ x 2 − ( a + b ) x + ab ] dx
a
b
−  13 x 3 − 12 ( a + b ) x 2 + abx  a
=
= −  13 b3 − 12 ( a + b ) b 2 + ab 2  + 13 a3 − 12 ( a + b ) a 2 + a 2b
= 16 b3 − 12 ab 2 − 16 a3 + 12 a 2b

La hauteur du triangle est donnée par

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h=− [ 12 ( b + a ) − a ] [ 12 ( b + a ) − b ]
= 1
4
( b − a )2

de sorte que l’aire AT de la surface triangulaire est donnée par

1 (b − a)  1 (b − a) 
2
AT =2  4 
= 1
8
( b − a )3
= 1
8
( b3 − 3ab 2 + 3a 2b − a3 )

d’où

4
3 AT = 1
6
( b3 − 3ab 2 + 3a 2b − a3 )
= 16 b3 − 12 ab 2 − 16 a3 + 12 a 2b
= AS

7. a)
1

0,5

0
0 0,5 1
b) La surface Sn se rapproche de la surface délimitée par un triangle rectangle
isocèle. L’aire de ce triangle est de 1
2 u2 .
1
 x n +1 x 2   n 1
1 1

c) lim A= lim ∫ ( x − x )1
=
dx
n
lim  − = lim  − 
n →∞ 1 + 1 2  0 n →∞  n + 1 2 
n
n →∞ n →∞
0  n
 2n − ( n + 1)   n −1   n (1 − 1n )  1 − 1n 1 2
= lim  = lim =
  lim  =  =
lim u
n →∞  2 ( n + 1)   n →∞  2n + 2  n →∞  n ( 2 + 2 n )  n →∞ 2 + 2 n 2

Ce résultat correspond à celui auquel on s’attendait en vertu de la réponse


obtenue en b.

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8. Esquissons la surface S, ainsi que les deux surfaces S1 et S2 d’aire égale.

1 S1 S2

0
c
0 3 6 9

c
c
Aire = ∫= =
3 3
de S1 x dx 2
3x
2
0
2
3 c 2 u2
0
9
(18 − )u
9
= ∫ = x=
3 3 2
Aire de S2 x dx 2
3
2
c
2
3 c 2

Par conséquent,

Aire de S1 = ⇒ c2=
18 − 2 3 c ⇒ c2=
3 3 3
Aire de S2 2
3
2 4
3 18
27 9
⇒ c2= ⇒ c= ≈ 5,67
3

3
2 4

9. Esquissons le graphique des deux surfaces.

2
S1

1 S2

0
0 1 2

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Le premier point d’intersection est ( 0, e0 ) , soit ( 0, 1) . On obtient le second en
résolvant e = 2 , d’où x = ln 2 . Le second point d’intersection est donc ( ln 2, 2 ) .
x

Par conséquent,
ln 2

∫ ( 2 − e ) dx= ( 2x − e ) 0 = 2ln2 − e − ( 0 − e )= ln 4 − 2 + 1= (ln 4 − 1) u


ln 2
Aire de S1= x x ln 2 0 2

de sorte que l’aire de S2 correspond à l’aire du carré moins celle de S1 , c’est-à-


dire que l'aire de S2 = 4 − ( ln 4 − 1) = ( 5 − ln 4 ) u2 . On a donc

Aire de S1 ln 4 − 1
= ≈ 10,7 %
Aire de S2 5 − ln 4

Déterminons les valeurs critiques de la fonction f ( x ) = xe − x :


2
10. a)

d ( − x2 ) (1 − 2 x 2 ) e − x = 0 ⇒ x = ± 2
x ( −2 x ) e − x + e − x = 0
2 2 2
xe =0 ⇒ ⇒
dx 2

2
Comme la fonction f ( x ) = xe − x
2
est négative à x = − et positive à
2
2 2
x= , le maximum ne peut être atteint qu’en x = . Utilisons le test de la
2 2
dérivée seconde pour vérifier qu’il s’agit bien d’un maximum :

d 2 ( − x2 ) d (
=1 − 2 x 2 ) e − x = −2 x ( 3 − 2 x 2 ) e − x
(1 − 2 x 2 ) ( −2 x ) e − x 2 − 4 xe − x 2 =
2 2

2
xe
dx dx

 2
de sorte que f ′′  =−2 2e − 2 < 0 , et la fonction atteint un maximum à
1

 2 
2
x= . Confirmons ce résultat en traçant le graphique de la fonction.
2

0,5

0
-3 -2 -1 0 1 2 3

-0,5

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2/2 − 12

∫ ∫e
− x2
b) Aire de S = xe dx = − 1
2
u
du Où u =
−x2 ⇒ du =
−2 x dx.
0 0
0
=12 (1 − e − ) ≈ 0,20 u2
0
= ∫ eu du =12 eu
1
1 2
2 − 12
− 12

11. a) Esquissons le graphique de la surface S, et trouvons-en l’aire.

0
0 1 2 3 4

b π

∫ [f ( x ) − g ( x )] dx =
π
Aire de S = ∫ sin x dx =
a
− cos x 0 =
2 u2
0

b π

∫a x [f ( x ) − g ( x )] dx =
π
( sin x − x cos x ) 0 =
∫0 x sin x dx = π u2

Intégration par
parties.

∫ x [f ( x ) − g ( x )] dx π
Par =
conséquent, x = a
. Ce résultat n’est pas
Aire de S 2
surprenant, étant donné la symétrie de la surface S par rapport à la droite
π
x= . De plus,
2

∫{ }
b π π
1
2 [f ( x )] − [g ( x )] dx =
2
1
2 ∫ sin x dx =
2 2 1 1 ( )
2 ∫ 2 1 − cos 2 x dx
a 0 0

1 ( x − 1 sin 2 x )
π π
=4 2 0
=
4

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∫ {[f ( x )] − [g ( x )] } dx
b
2 2
1
π /4 π
2

=
de sorte que y a
= = . Le centre de gravité de
Aire de S 2 8
π π 
la surface S est donc situé au point  ,  .
2 8
b) Esquissons le graphique de la surface S et déterminons les points
d’intersection des courbes qui la délimitent.

1 Points d’intersection :

x = x2 ⇒ x = x4
⇒ x4 − x =
0
⇒ x ( x 3 − 1) =
0
S
⇒ x= 0 ou x= 1

Les points d’intersection sont donc


0 ( 0, 0 ) et (1, 1) .
0 1

b 1
Aire de S =∫ [f ( x ) − g ( x )] dx =∫ ( x − x 2 ) dx =( 2 3 x 2 − 13 x 3 ) 0 =13 u2
3
1

a 0

b 1

∫ x [f ( x ) − g ( x )] dx = ∫ x ( x − x ) dx = ( 2 5 x 2 − 14 x ) 0 = 3 20 u
5
1
2 4 2

a 0

∫ x [f ( x ) − g ( x )] dx 3
Par conséquent, =
x a
= =
20 9 =
20 0,45 . De plus,
Aire de S 1
3

∫ {[f ( x )] }
b 1
− [ g ( x )] dx = 12 ∫ ( x − x 4 ) dx = 12 ( 12 x 2 − 15 x 5 ) 0 = 3 20
2 2 1
1
2
a 0

∫ {[f ( x )] − [g ( x )] } dx
b
2 2
1
2
3
de sorte que =
y a 9= 0,45 . Le centre de
20 = =
20

Aire de S 1
3

gravité de la surface S est donc situé au point ( 9 20 , 9 20 ) . Ce résultat n’est pas


surprenant : étant donné la symétrie de la surface S par rapport à la droite
y = x , on devait s’attendre à ce que le centre de gravité se trouve sur cette
droite.

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12. a) t = 0 , t = t1 et t = t 2
t2

b) Comme v A ( t ) > 0 sur l’intervalle [0, t 2 ] , ∫v A


( t ) dt représente l’aire sous la
0

courbe v A ( t ) au-dessus de cet intervalle. De plus, en vertu du théorème


t2 t2

fondamental du calcul intégral, ∫v A


( t ) dt
= ∫ s ′=
( t ) dt
A sA ( t 2 ) − sA ( 0 ) . Cette
0 0

dernière expression représente la distance parcourue par le mobile A au


cours de l’intervalle de temps [0, t 2 ] , soit pendant les t 2 h après le départ du
mobile.
t2 t2 t2

c) ∫ v A ( t ) − v B ( t )  dt = ∫ v A ( t ) dt − ∫ v B ( t ) dt , ce qui représente l’écart entre les


0 0 0

distances parcourues par les deux mobiles au cours de l’intervalle de temps


[0, t2 ] , soit la distance qui sépare les deux mobiles après t2 heures.
d) La distance entre les deux mobiles est la plus grande lorsque l’« aire
algébrique » comprise entre les deux courbes décrites par les vitesses est la
b
plus grande, soit lorsque ∫ v A
( t ) − v B ( t )  dt est la plus grande. Cela se
0

produit en t = t1 .

L 2 2
5 5
13. a) M =∫ δ ( x ) dx =∫ dx =− =− 5 3 − ( −5 ) =10 3 kg =3,3 kg
0 (
0 x +1) 2
x + 1 0

cos (π x ) 
1

L 1
b) M= ∫0 [2 + sin (π x )] dx =
∫0 δ ( x ) dx = 2 x − π 
0

1  1  2
=2 + −  0 −  = 2 +  kg ≈ 2,64 kg
π  π  π
14. On a
R
M = 2π ∫ r δ ( r ) dr
0
4
= 2π ∫ re − r dr
0

2π ( −e − r ) ( r + 1) 0
4
= Intégration par parties ou formule d'intégration avancée 2.
= 2π ( −e −4 ) ( 5 ) − ( −1)
= 2π (1 − 5e −4 ) g
≈ 5,71 g

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b 4

∫ ( 2x + x 2 − 1) dx= ( 12 x 4 + 13 x 3 − x ) 2=
4
T= ∫ F ( x ) dx= J= 136,6 J
3
15. a) 410
3
a 2

 sin (π x / 2 )
1
 πx  x 
b 1
2
b) T = ∫ F ( x ) dx = ∫ cos   + e  dx =  π / 2 + ex  = + e − 1 ≈ 2,35 J
a 0 
 2   0 π
2
16. a) F ( 0,05 ) = k ( 0,05 ) = 2 ⇒ k = = 40 N/m
0,05
b) F ( 0,1) 40
= = ( 0,1) 4 N
b y

T ∫ F (=
x ) dx
y
c)=
a
∫=
0
kx dx 1 =
kx 2 0
2
1
2 ky 2 J

17. a) Comme la fonction f ( t ) est continue et que sa dérivée existe partout, alors la
valeur maximale du courant s’obtient lorsque la dérivée première est nulle :

dI d (
=
0 ⇒ A cos ωt + B sin ωt ) =
0
dt dt
⇒ − Aω sin ωt + Bω cos ωt = 0
⇒ Aω sin ωt = Bω cos ωt
⇒ A2 sin2 ωt = B 2 (1 − sin2 ωt )
B 2 cos2 ωt =
⇒ ( A2 + B 2 ) sin2 ωt =
B2
B2
⇒ sin ωt = 2

A2 + B 2
B
⇒ sin ωt =
A + B2
2

On ne conserve que la valeur positive


du sinus pour obtenir le maximum .

Par conséquent, lorsque le courant atteint sa valeur maximale, on a


B
sin ωt = . De même, en vertu d’une identité trigonométrique bien
A2 + B 2
connue, on déduit que le courant atteint sa valeur maximale lorsque
B2 A2
cos2 ωt = 1 − sin2 ωt = 1− 2 = , c’est-à-dire lorsque
A + B 2 A2 + B 2
A
cos ωt = . Comme le courant est donné= par I A cos ωt + B sin ωt ,
A + B2
2

 A   B  A2 + B 2
on a I max = A + B = = A2 + B 2 .
2  2 
 A +B   A +B  A +B
2 2 2 2

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ω 2π / ω 2 ω 2π / ω

( Irms ) = ∫ ∫ ( A cos ωt + B sin ωt )2 dt


2
b)= I dt
2π 0 2π 0
2π / ω
ω ( A2 cos2 ωt + 2 AB cos ωt sin ωt + B 2 sin2 ωt ) dt
=
2π ∫
0
2π / ω
ω  A2
( ) B2 ( 
= ∫  1 + cos 2ω t + AB sin2ω t + 1 − cos 2ωt )  dt
2π 0
 2 2 
2π / ω
ω  ( A2 + B 2 ) t A2 sin2ωt AB cos 2ωt B 2 sin2ωt 
=  + − − 
2π  2 4ω 2ω 4ω 0
ω  ( A2 + B 2 ) 2π 
=  
2π  2ω 
A2 + B 2
=
2

A2 + B 2
de sorte que I rms = . Par conséquent, I max = 2 I rms .
2

18. Le prix d’équilibre ( p ) correspond à la valeur de l’offre (ou de la demande) lorsque


l’offre est égale à la demande, c’est-à-dire lorsque O ( q ) = D ( q ) . Le point
d’équilibre est noté ( p, q ) . Le surplus des producteurs est donné par
q q

∫  p − O ( q )  dq et le surplus des consommateurs est donné par ∫ D ( q ) − p  dq .


0 0

a) D ( q )= O ( q ) ⇒ 12 − q 2 = q ⇒ q 2 + q − 12= 0 ⇒ ( q + 4 )( q − 3 )= 0

Comme q doit être positif, puisqu’il représente une quantité, on ne retient que
=
q = 3 , de sorte que p O= ( q ) O=(3) 3 .

q 3
( 3q − 12 q 2 ) 0 ==
∫ ( 3 − q ) dq =
∫  p − O ( q ) dq =
3
Surplus des producteurs = 9
2 4,50 $
0 0

q 3
Surplus des consommateurs= ∫ D ( q ) − p  dq= ∫ (12 − q − 3 ) dq
2

0 0

( 9q − 13 q 3 ) 0 =
3
= 18 $

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100
b) D ( q )= O ( q ) ⇒ = 1
20 q + 10 ⇒ 100= 1
20 q 2 + 15q + 1000
q + 100
⇒ 10 000 = 1
20 q 2 + 15q + 1000 ⇒ q 2 + 300q − 180 000 = 0
⇒ ( q + 600 )( q − 300 ) =
0

Comme q doit être positif, puisqu’il représente une quantité, on ne retient que
=
q = 300 , de sorte que p O= ( q ) O ( 300
= ) 5.

Surplus des producteurs =∫  p − O ( q )  dq =∫ ( 5 − q + 10 ) dq


300
1
20
0 0
300
400 10 500
= 5q − 40 3 ( 120 q + 10 ) 2  0
3
= − ≈ 254,97 $
3 3

q
 
300
100
Surplus des consommateurs= ∫ D ( q ) − p  dq= ∫  − 5  dq
0 0  q + 100 
( 200 q + 100 − 5q ) 0= 500 $
300
=
99
c) D ( q ) =O ( q ) ⇒ =q + 6 ⇒ q 2 + 10q − 75 =0
q+4
⇒ ( q + 15 )( q − 5 ) = 0
Comme q doit être positif, puisqu’il représente une quantité, on ne retient que
=
q = 5 , de sorte que p O= ( q ) O= ( 5 ) 11.

q 5
Surplus des producteurs= ∫  p − O ( q ) dq= ∫ 11 − ( q + 6 ) dq
0 0

( 5q − 12 q 2 ) 0 ==
5
= 25
2 12,50 $
q
 99 
5
Surplus des consommateurs= ∫ D ( q ) − p  dq= ∫  q + 4 − 11 dq
0 0

( 99ln q + 4 − 11q=
)0
5
= 99ln 9 4 − 55 ≈ 25,28 $
d) D (q ) = O (q ) ⇒ 800 − 2q = 100 + 2q ⇒ 800 − 2q = 100 + 2q ⇒ q = 175 ,
=
de sorte que ( q ) O (175
p O= = ) 450

( 450 − 100 + 2q ) dq
175
Surplus des producteurs =∫  p − O ( q )  dq = ∫
0 0
175
=  450q − 13 (100 + 2q ) 2  0 = 375 2 + 1000 3 ≈ 863,66 $
3

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q

dq ∫ ( 800 − 2q − 450 ) dq
175
=
Surplus des consommateurs ∫ D ( q ) − p =
0 0
175
 − 13 ( 800 − 2q ) 2 − 450q 
3
=
  0 =3 2 ≈ 648,18 $
1375

19. a) R ( q ) =pq =( 300 − q ) q =300q − q 2


b) Appliquons le test de la dérivée première :

π (q ) = 300q − q 2 − ( 600 + 2q 2 ) =
R (q ) − C (q ) = −3q 2 + 300q − 600

de sorte que

π ′ ( q )= 0 ⇒ 300 − 6q = 0 ⇒ q = 50 ⇒ p= 300 − q = 250

De plus, comme π ′′ ( 50 ) =−6 < 0 , il s’agit bien d’un maximum. Par


conséquent, la quantité et le prix qui maximisent le profit du producteur sont
q = 50 et p = 250 .
q

c) =
Surplus des consommateurs ∫ D ( q ) − p  dq
0
50

∫ ( 300 − q − 250 ) dq= ( 50q − 12 q ) 0=


50
= 2
1250 $
0

20. a) R ( q ) = pq = ( 260 − 8q − 2q 2 ) q = 260q − 8q 2 − 2q 3


b) Appliquons le test de la dérivée première :

π ( q ) = R ( q ) − C ( q ) = 260q − 8q 2 − 2q 3 − ( 200 + 20q + q 2 )


=
−2q 3 − 9q 2 + 240q − 200

de sorte que, puisque q > 0 ,

π ′ ( q ) = 0 ⇒ − 6q 2 − 18q + 240 = 0 ⇒ q = 5 ⇒ p = 260 − 8q − 2q 2 = 170

De plus, comme π ′′ ( q ) =
−12q − 18 ⇒ π ′′ ( 5 ) =
−78 < 0 , il s’agit bien d’un
maximum. Par conséquent, la quantité et le prix qui maximisent le profit du
producteur sont q = 5 et p = 170 .

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q

c) =
Surplus des consommateurs ∫ D ( q ) − p  dq
0
5
= ∫ ( 260 − 8q − 2q − 170 ) dq
2

= ( 90q − 4q 2 − 2 3 q 3 ) 0 = 800 3 ≈ 266,67 $


5

fA ( 0,4 ) = 0,8 ( 0,4 ) + 0,2 ( 0,4 ) = 0,208 . Les 40 % les moins bien rémunérés
2
21. a)
des individus exerçant la profession A reçoivent 20,8 % des revenus gagnés
par l’ensemble des individus exerçant cette profession.
b) Notons GA , GB et GC les indices de Gini de chacune des professions A, B
et C. Alors

1
 1,6 3 
1 1
GA =2∫  x − ( 0,8 x 2 + 0,2 x )  dx =2∫ ( 0,8 x − 0,8 x 2 ) dx = 0,8 x 2 − x  =0,26
0 0  3 0

1
1
 2 3x  2
GB =  1 ( )
2∫  x − 2 3 − 1  dx =
 x −
x
+ x  =−
2 ≈ 0,18
0  ln3 0 ln3

1 1
Gc =2∫  x − ( 0,6 x 4 + 0,4 x )  dx =2∫ ( 0,6 x − 0,6 x 4 ) dx
0 0
1
 1,2 5 
= 0,6 x 2 − x  =0,36
 5 0
c) Plus l’indice de Gini est élevé, plus la répartition des revenus est inégalitaire.
Par conséquent, la profession C est celle dont la répartition des revenus est
la plus inégalitaire, alors que la profession B est celle qui présente la
répartition des revenus la plus égalitaire.

b 11
1 ( )
3 11
1 ( 2x + 3 ) 2
b − a ∫a ∫3
22. a) f = f x dx =1
8 2 x + 3 dx = 24 3
=49 12 ≈ 4,08

b π π
1 1 1
=
b) f ∫ f ( x ) dx
= ∫ =
cos x dx = sin x 0
b−a a π0 π 0
b 3
1
f ( x ) dx
b − a ∫a ∫x
=
c) f = 1
3 x 2 + 16 dx
0
25
= 1
6 ∫
16
u dx Où u =x 2 + 16 ⇒ du =2 x dx.

25
= u 2 1= =
3
1
9 6
61
9 6,7

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b 6
1 1
f ( x ) dx
b − a ∫a ∫ 3 x + 2 dx=
6
d) =
f = 1
4
1
12 ln 3 x + 2 =
2
1
12 ln 5 2 ≈ 0,08
2
b 2
1 ( x ) dx
2

b − a ∫a ∫=
=
e) f f= 1
4 x dx3 1=
x 4 −2 0
16
−2

b 4
1
f (=
x ) dx
4

b − a ∫a ∫ 3=
23. a)=f 1
4 x dx 2 1= 3
4x 0 16
0

f ( x ) = 16 ⇒ 3 x = 16
2
⇒ x= 4
3 3 ≈ 2,31
b π π
1 1 x 2 x 2
b) f = ∫ f ( x ) dx = ∫ sin dx =
− cos =
b−a a π0 2 π 20 π
2
x 2 x 2 2
f (x) = = ⇒ ⇒= arcsin
sin ⇒ x = 2arcsin ≈ 1,38
π 2 π 2 π π
b 9
1 1
f =∫ f ( x ) dx =
9
8 ∫ 2 dx =
− 18 x −1 1 =
c) 1 1 =0, 1
b−a a
9
1
x
1
f (x) = 1
9 ⇒ = 1
9 ⇒ x2 = 9 ⇒ x=3
x2

24. a) La distance d’un point sur le demi-cercle à l’axe des abscisses correspond à
la valeur y de l’ordonnée, de sorte que

4
1
4 − ( −4 ) −∫4
y= y dx

4
= 1
8 ∫
−4
16 − x 2 dx

4
= 1
4 ∫
0
16 − x 2 dx L'intégrande est une fonction paire.

π /2
= 1
4 ∫ 0
4cos θ 16 − 16 sin2 θ dθ x 4 sinθ
Où = ⇒ x 4cos θ dθ .
d=

π /2
=4 ∫ cos θ dθ
2

0
π /2
= 2 ∫ (1 + cos 2θ ) dθ
0
π /2
= 2 (θ + 12 sin2θ ) 0

≈ 3,14

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b) On cherche la valeur de x telle que π , de sorte que
16 − x 2 =

16 − x 2 = π ⇒ 16 − x 2 = π 2 ⇒ x = ± 16 − π 2 ≈ ±2,48
c) La distance d’un point sur le demi-cercle au centre de ce dernier est
constante et représente le rayon du cercle. Par conséquent, la distance
moyenne correspond à la valeur du rayon du cercle, soit 4.

25. a) La distance moyenne d’un point de la parabole à l’axe des abscisses


correspond à la valeur moyenne y de l’ordonnée, de sorte que

a
1 (
ax − x 2 ) dx
a − 0 ∫0
=y

a
1a 2 1 3 
=  x − x 
a2 3 0
1  a3 a3 
=  − 
a 2 3 
2
a
=
6

a2
b) On cherche la valeur de x telle que ax − x 2 =, de sorte que
6

 3
a 1±
3  = a (3 ± 3 )
2
a± a − 2 2 
x= 
a 2 a
x 2 − ax + =0 ⇒ x= 3

6 2 2 6

9
1 400
( 400 9 ln t + 1=
)0
9
26. =
Q ∫
9 − 0 0 t +1
=
dt 400
9 ln10 ≈ 102,34 tonnes

5
1
=
27. V ∫ 5 000 e=
0,02 t 0,02 t 5
dt 50 000 e= 50 000 ( e0,1 − 1) $ ≈ 5 258,55 $
5−0 0 0

60
(  160 ( 20t − 4 200e − t / 30 )  =
) dt =
60
60 ∫ 20 + 140e
− t / 30
28. T = 1
0
90 − 70e −2 ≈ 80,53 °C
0

20
5 000 ( e − 1) ≈ 8 591,41$
20
29.= ∫ 5 000e = dt 5 000et =
t / 20 / 20
V 1
20 0
0

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12
12
 π    60 π  
30. T = 16 ∫  20 + 5 sin  ( t − 10 )   dt =  16  20t − cos  ( t − 10 )   
6  12    π 12   6
5 ( 3 − 1)
=
20 − ≈ 18,83 °C
π
5
4 (1 − e − ) ≈ 1,57
5
5 ∫ 2e
− t / 10
Q= −4e − t / 10 0 =
dt =
1
31. 1 2

10 − 50 9

∫ ( 20 + 5te ) dt = 2t 100 − 9 2 ∫
−t 2
32. N= 1
10
/ 18
e u du Où u =
− 118 t 2 ⇒ du =
− 19 t dt .
0 0

u − 9
50
10 − 50
=
2t − 9 2 e 0 0
=−
49
2
9 e
2
9
≈ 24,48 unités

10

∫ ( 4t + 3t − 10t + 6 000 ) dt= ( t 4 + t 3 − 5t 2 + 6 000t ) 5=


10
33. N= 1
5
3 2 1
5 7 975 individus
5

34. Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

0
0 1 2 3 4
La coupe transversale du solide selon x = k est un carré de côté y = 1 − 19 x 2 , de
sorte que l’aire A ( x ) d’une tranche du solide est de A ( x =
) (1 − 19 x 2 )
2
. Par
conséquent, le volume V du solide est de
b 3 3
V =∫ A ( x ) dx =∫ (1 − 19 x 2 ) dx =∫ (1 − 2 9 x 2 + 181 x 4 ) dx
2

a 0 0

( x − 2 27 x + 1405 x )0 =
3
= 3 5 8 u
5
3

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35. Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

y
3
y
2

0
0 1 2 3 4 1
2 y 1
2 y

La coupe transversale du solide selon x = k est un triangle équilatéral de base


3 3
=
b= y= sin x et de hauteur h = y sin x , de sorte que l’aire A ( x ) d’une
2 2
 3  3 2 3
tranche du solide est de A= ( x ) 1= 1 (y )
2 bh  = y =y sin2 x . Par
 2 
2
4 4
conséquent, le volume V du solide est de

b π π
3 3 (1 − cos 2 x ) dx
=V A ( x ) dx
∫= ∫ =
sin 2
x dx ∫ 1
2
a 0
4 4 0
π
3 3
=( x − 12 sin2 x ) =π ≈ 0,68 u3
8 0 8

36. Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

5
0
-4 0 4

-3 2y

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La coupe transversale du solide selon x = k est un triangle isocèle de base
=
b 2=y 3 2 16 − x 2 et de hauteur h = 5 , de sorte que l’aire A ( x ) d’une tranche du
solide est de A= (x) =
2 bh
1 1
2 ( 2y )=
(5) 15
4 16 − x 2 . Par conséquent, le volume V
du solide est de

b 4 4 4
V= ∫ A ( x ) dx=
a

−4
15
4 16 − x 2 dx= 2∫ 15 4 16 − x 2 dx=
0
15
2 ∫
0
16 − x 2 dx

π /2
= 15 2 ∫ 16 − 16 sin2 θ ( 4 cos θ ) dθ Où x = 4 sinθ ⇒ 4 cos θ dθ .
dx =
0
π /2 π /2
π /2
120 ∫ cos2 θ dθ =
= 120 ∫ 1
2 60 (θ + 12 sin 2θ ) 0
(1 + cos 2θ ) dθ = 30π u3 ≈ 94,25 u3
=
0 0

37. a) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

12

0
-3 0 3

La coupe transversale du solide selon x = k est un carré de côté


9 − y = 9 − x 2 , de sorte que l’aire A ( x ) d’une tranche du solide est de
) ( 9 − x 2 ) . Par conséquent, le volume V du solide est de
A ( x=
2

b 3 3
V =∫ A ( x ) dx = ∫ ( 9 − x 2 ) dx =2∫ ( 81 − 18 x 2 + x 4 ) dx
2

a −3 0

= 2 ( 81x − 6 x 3 + 15 x 5 ) 0 =
3
1 296
5 = 259,2 u3

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b) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.
12

3
9
(9 − y )
2
6 9−y

0
-3 0 3
1
2 (9 − y ) 1
2 (9 − y )
La coupe transversale du solide selon x = k est un triangle équilatéral de
3 3(
base b = ( 9 − y ) = ( 9 − x 2 ) et de hauteur = h ( 9 − y=) 9 − x 2 ) , de sorte
2 2
que l’aire A(x) d’une tranche du solide est de
 3 
A ( x ) = 12 bh = 12 ( 9 − x 2 )  ( 9 − x 2 )  = 3 ( 9 − x 2 ) . Par conséquent, le
2

 2  4
volume V du solide est de
b 3 3
3( 3 (
V = ∫ A ( x ) dx = 9 − x 2 ) dx = )
2 2
∫ 4 −∫3
− 2
9 x dx
a −3
4
3 1 296
= Voir la question a.
4 5
= 324 5 3 ≈ 112,24 u3
c) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.
12

6
4
3

0
-3 0 3 9−y

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La coupe transversale du solide selon x = k est un triangle isocèle de base
b = ( 9 − y ) = ( 9 − x 2 ) et de hauteur h = 4 , de sorte que l’aire A ( x ) d’une
tranche du solide est de A ( x ) = 1 (9 − x 2 ) ( 4) =
1 bh = 18 − 2 x 2 . Par
2 2
conséquent, le volume V du solide est de

b 3 3

∫ A ( x ) dx =∫ (18 − 2x ) dx = ( 36 x − 4 3 x 3 ) 0 =
2∫ (18 − 2 x 2 ) dx =
3
V= 2
72 u3
a −3 0

d) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe


transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.
12

0
-3 0 3 ½(9 − y )

La coupe transversale du solide selon x = k est un demi-cercle de rayon


r = 12 ( 9 − y )= 12 ( 9 − x 2 ) , de sorte que l’aire A ( x ) d’une tranche du solide est
de A ( x ) = 12 π r 2 = π  12 ( 9 − y )  = π ( 9 − x 2 ) . Par conséquent, le volume
2 2
1 1
2 8

V du solide est de

b 3 3
V = ∫ A ( x ) dx = ( ) dx = π ∫ ( 9 − x 2 ) dx
2 2
∫ 8π 9 − x
1 2 1
8
a −3 −3

= ( 8π )(
1 1 296
5 ) Voir la question a.
= 162
5 π ≈ 101,79 u3

38. a) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

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0
-1 Côté du carré = 2x
1

-1

La coupe transversale du solide selon y = k est un carré de côté


2 x 2 y + 1 , de sorte que l’aire A ( y ) d’une tranche du solide est de
=

(2 y + 1) = 4 ( y + 1) = 4 y + 4 . Par conséquent, le volume V du solide


2
A(y ) =
d 0
est de V = ∫ A ( y ) dy = ∫ ( 4 y + 4 ) dy =( 2y 2 + 4 y ) −1 =2 u3 .
0

c −1

b) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe


transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

0
-1 1 3 ( y + 1)
Côté du triangle = 2x

2 y +1

-1 y +1 y +1

La coupe transversale du solide selon y = k est un triangle équilatéral de


base =
b 2=
x 2 y + 1 et de hauteur
= h 3 ( y + 1) , de sorte que l’aire A ( y )
(y )
d’une tranche du solide est de A= 1 =
2 bh 3 ( y + 1) . Par conséquent, le
volume V du solide est de

d 0
3 ( 12 y 2 + y ) −=
3 3
∫ A ( y ) dy= 3 ( y + 1) dy=
0

c
V=
−1
∫ 2
u 1

c) Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe


transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

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0
-1 Base du triangle = 2x
1

-1 2 y +1

La coupe transversale du solide selon y = k est un triangle isocèle de base


= x 2 y + 1 et de hauteur h = 4 , de sorte que l’aire A ( y ) d’une tranche
b 2=
(y )
du solide est de A= 1 =
bh 4 y + 1 . Par conséquent, le volume V du
2
d 0 0

∫ A ( y ) dy = ∫ 4 y + 1dy = 3 ( y + 1)
3
solide est de V = 8 2

−1
= 8
3 u3 = 2,6 u3 .
c −1

39. Traçons d’abord la base du solide et marquons les dimensions d’une coupe
transversale qui nous permettent de déterminer l’expression de l’aire de cette
dernière.

2y
b
3y
a
0
y y

La coupe transversale du solide selon x = k est un triangle équilatéral de base


2b 2 b 3
=2y =
a − x 2 et de hauteur 3y a 2 − x 2 , de sorte que l’aire A ( x )
a a

A ( x ) 12 ( 2y ) ( =3 y) =
3 b2 ( 2
d’une tranche du solide est de = 3 y2 2
a − x 2 ) . Par
a
conséquent, le volume V du solide est de
a a a
3 b2 ( 2 ) 2 3 b2 ( 2
∫ A ( x ) dx ∫ a − x 2 ) dx
a 2 ∫0
=
V = a − x 2
=
dx
−a −a
a2
a
2 3 b2 2
= 2
( a x − 13 x=
3
) 4 3 ab2 u3
a 0 3

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40. a)
9

0
0 1 2 3 4
b 3 3

∫ π r dh = ∫ π ( 9 − x ) dx = π ∫ ( 81 − 18 x + x ) dx
2
Volume = 2 2 2 4

a 0 0

= π ( 81x − 6 x 3 + 15 x 5 ) 0 =
3
648
5 π ≈ 407,15 u3
b)

0
0 1 2 3 4
b 9 9
Volume =∫ π r dh =∫ π ( x ) dy =∫ π ( 9 − y ) dy =π ( 9 y − 12 y 2 ) 0 =812 π ≈ 127,23 u3
2 9
2

a 0 0

c)
2

1,5

0,5

0
0 0,5 1 1,5

b 1 1
Volume= ∫ π r dh= ∫ π ( x 2 + 1) dx= ∫π (x + 2 x 2 + 1) dx
2
2 4

a 0 0

= π ( 15 x 5 + 2 3 x 3 + x ) 0 =
1
28
15 π ≈ 5,86 u3

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d)
5

0
0 5 10 15 20
b 4 4
) dy π ( 15=
∫π (y = y5 ) 0
4

∫ π= ∫ π ( x=
)2 dy 2 2
=
Volume r 2 dh 1024
5 π ≈ 643,40 u3
a 0 0

e)
2

0
0 1 2 3 4

b 3 3

∫ π ( 3 x − x ) dx= ∫ π (9x − 6 x 3 + x 4 ) dx
2
= ∫ π r dh=
2 2 2
Volume
a 0 0

= π ( 3 x 3 − 3 2 x 4 + 15 x 5 ) 0 =
3
81
10 π ≈ 25,45 u3
f)
2

1,5

0,5

0
0 0,5 1 1,5

b 1 1

∫ π ( y − 1) = ∫π (x + 1 − 1) dx
2
∫πr =
2
=
Volume 2
dh dx 2

a 0 0
1
dx π ( 15 x 5=
)0
1
= ∫π x = π ≈ 0,63 u3
4 1
5
0

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g)
5

0
-2 -1 0 1 2

b ln 5 ln 5
π r dh ∫ π ( e ) dx
2
= ∫=
Volume = x 2
∫ πe
2x
dx
a −1 −1

π ( e 2 x ) −= π ( 25 − e −2 ) ≈ 39,06 u3
ln 5
= 1
2 1
1
2

h)

0
0 1 2 3 4 5

b ln 4 ln 4 ln 4
Volume = ∫ π r dh = ∫ π ( x − 1) dy = ∫ π ( e − 1) dy = ∫ π (e − 2e y + 1) dy
2 2
2 y 2y

a 0 0 0

= π ( 12 e 2 y − 2e y + y ) 0 = π ( 3 2 + ln 4 ) ≈ 9,07 u3
ln 4

i)
1

0
0 1 2

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b π /2 π /2 π /2

∫=
π r dh ∫ π ( cos=
x ) dx π ∫ cos= π ∫ (1 + cos 2 x ) dx
2
=
Volume 2
x dx 2 1
2
a 0 0 0
π /2
1 π (x
=+ 1 sin2 x ) 1 π 2 ≈ 2,47 u3
=
2 2 0 4

j)
1

0,5

0
0 1 2 3 4
b 5π / 6 5π / 6

∫πr ∫ π ( sin x − ) = π ∫ ( sin x − sin x + 14 ) dx


2
=
Volume 2
=
dh 1
2 dx 2

a π /6 π /6
5π / 6 5π / 6
= π
π /6
∫ [ 12 (1 − cos 2x ) − sin x + 14] dx= π
π
∫ (
/6
3
4 − 12 cos 2 x − sin x ) dx

5π / 6 π 3 3 2
π ( 3 4 x − 14 sin2 x + cos x ) π / 6 = −
= π ≈ 0,85 u3
2 4
k)
2

0
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4

b 3 3 3

∫ π r dh =∫ π ( y ) dx =4π ∫ (1 − 19 x 2 ) dx =
8π ∫ (1 − 19 x 2 ) dx
2
Volume = 2

a −3 −3 0

8π ( x − 127 x 3 ) 0 =
3
= 16π ≈ 50,27 u3

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41. a)
Points d’intersection :

4
(x) g (x) 12
f= ⇒ 7=
−x
x
3
⇒ 7x − x =
2
12
2 ⇒ x 2 − 7 x + 12 = 0
⇒ ( x − 4) ( x − 3) = 0
1
⇒ =
x 3 ou=
x 4
0
0 1 2 3 4 5 6 Les points d’intersection sont donc
( 3, 4 ) et ( 4, 3 ) .

b 4

 12 
2

= ∫ π ( R 2 − r 2 ) dh
= π ∫ ( 7 − x ) −    dx
2
Volume
a 3   x  
4
 144   144 
4
= π ∫  49 − 14 x + x 2 − 2 = dx π  49 x − 7 x 2 + 13 x 3 + 
3
 x   x 3
= 1
3 π ≈ 1,05 u3

b)

1,5 Points d’intersection :

f ( x )= g ( x ) ⇒ x 3= x
1
3

1 ⇒ x9 =
x
⇒ x9 − x =
0

0,5
⇒ x ( x 8 − 1) =0
⇒ =
x 0 ou= x 1

0
Les points d’intersection sont donc
0 0,5 1 1,5
( 0, 0 ) et (1, 1) .

b 1 1

∫ π ( R − r ) dh = π ∫ ( y ) − (y )
 2
 dy = π ( y 2 3 − y 6 ) dy

3 2
Volume = 2 2 1


3

a 0 0

π ( 3 5 y 3 − 17 y 7 ) 0 =
1
= 16 π ≈ 1,44 u3
5

35

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c)

Points d’intersection :
10

8 x3 = 8 ⇒ x =2

6 et

4 x3 = 0 ⇒ x =0

2 Les points d’intersection sont ( 2, 8 )


et ( 0, 0 )
0
0 1 2 3

b 2
( 2) ( 9 − x 3 )2 − ( 9 − 8 )2  dx
= ∫ π − = π ∫
2
Volume R r dh
a 0
2
= π ∫ ( 80 − 18 x 3 + x 6 ) dx = π ( 80 x − 9 2 x 4 + 17 x 7 ) 0 =
2
744
7 π ≈ 333,91u3
0

d)
4 Points d’intersection :
3
f (x) = g (x) ⇒ x2 − x = 3 − x2
2 ⇒ 2x 2 − x − 3 = 0
⇒ ( x + 1) ( 2 x − 3 ) =
0
1
⇒ x=
−1 ou x =
3
2

0
-2 0 2 Les points d’intersection sont donc
-1 ( −1, 2 ) et ( 3 2 , 3 4 ) .
-2

{[3 − x }
3
b
− ( −1)] − [ x 2 − x − ( −1)] dx
2

) dh π ∫
∫ π (R − r =
2 2
=
Volume 2 2 2

a −1
3
2

= π ∫ ( 2 x 3 − 11x 2 + 2 x + 15 ) dx
−1

= π ( 12 x 4 − 113 x 3 + x 2 + 15 x =
) −1
3

π ≈ 77,72 u3
2
2 375
96

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e)

0
0 2 4

b π
= ∫ π ( R 2 − r 2 )=
dh π ∫ 22 − ( 2 − sin x )  dx
2
Volume
a 0
π π
) dx π ∫ [ 4 sin x − 12 (1 − cos 2 x )] dx
= π ∫ ( 4 sin x − sin2 x=
0 0
π
=π ( −4 cos x − 12 x + 14 sin 2 x ) 0 =8π − 12 π 2 ≈ 20,20 u3
f)

0
0 1 2 3

b 1 1

∫ π ( R − r ) dh= π ∫ ( 2 − x ) − ( 2 − 1)  dy= π ∫ ( 3 − 4y + y ) dy


2 2
=
Volume 2 2 2 4

a 0 0

= π ( 3 y − 4 3 y 3 + 15 y 5 ) 0 =
1
28
15 π ≈ 5,86 u3

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g)
1,5

0,5

0
-1,5 -1 -0,5 0 0,5 1 1,5
-0,5

-1

-1,5
π /4

∫π {[sec x − ( −1)] − [0 − ( −1)] } dx


b
= ∫ π ( R 2 − r 2=
) dh π 2 2
Volume
a − /4
π /4
= π ∫ ( sec 2 x + 2sec x ) dx
π
− /4

= π ( tg x + 2ln sec x + tg x ) −π / 4= 2π 1 + 2ln ( 2 + 1)  ≈ 17,36 u3


π /4

h)

3 Points d’intersection :

f ( x )= g ( x ) ⇒ x= 1
2 x
2 ⇒ 4x = x 2

⇒ x ( x − 4) =
0
⇒ =
x 0 ou=
x 4
1

Les points d’intersection sont donc


0
( 0, 0 ) et ( 4, 2 ) .
0 2 4

b 2
Volume = ∫ π ( R 2 − r 2 ) dh = π ∫ ( 2y ) − ( y 2 )  dy
2 2

a 0
2
=π ∫ ( 4 y 2 − y 4 ) dy =π ( 4 3 y 3 − 15 y 5 ) 0 =64 15 π ≈ 13,40 u3
2

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42. a) L’équation du cercle est x 2 + y 2 =
4 , d’où x 2= 4 − y 2 , de sorte que

3 3
= ∫ π ( x 2 − 12 ) =
dy 2π ∫ (4 − y − 12 ) dy
2
Volume
− 3 0

=2π ( 3 y − 13 y 3 ) 0 =4π 3 cm3 ≈ 21,77 cm3


3

b) L’équation du cercle est x 2 + y 2 =,


R 2 d’où x=
2
R 2 − y 2 . De plus,
r 2 + ( 12 h ) . On a donc
2
R=
2

h
2
= ∫ π (x − r 2 ) dy
2
Volume
h

2
h
2
= 2π ∫ ( R 2 − y 2 − r 2 ) dy
0
h
2
= 2π ∫ ( 12 h ) − y 2  dy
2

π h3
h

= 2π ( 14 h 2 y − 13 y 3 ) 02= cm3
6

43. a)
1

0,5

0
0 1 2

b π
= ∫=
2π rh dr 2π ∫ x sin ( x ) dx
2
Volume
a 0
π
= π ∫ sin u du Où u = x 2 ⇒ du = 2 xdx.
0
π
π ( − cos u ) 0 =
= 2π ≈ 6,28 u3

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b)
1

0,5

0
0 1 2 3 4
b
Volume = ∫ 2π rh dr
a
π
= 2π ∫ x sin x dx
0
π
= 2π ( sin x − x cos x ) 0 Formule d'intégration avancée 8.
= 2π 2

≈ 19, 74 u3
c)

0,5

0
0 1 2 3 4 5
-0,5

-1

-1,5

b
Volume = ∫ 2π rh dr
a
3π / 2
= 2π ∫ x ( − cos x ) dx
π /2
3π / 2
−2π ( cos x + x sin x ) π / 2
= Formule d'intégration avancée 13.
= 4π 2

≈ 39,48 u3

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d)

0,5

0
0 0,5 1 1,5

b 1 1
= ∫ 2π rh dr= 2π ∫ (1 − x ) ( x − x ) dx= 2π ∫ ( x − x − x + x ) dx
3 2 3 4
Volume
a 0 0

= 2π ( 12 x 2 − 13 x 3 − 14 x 4 + 15 x 5 ) 0 =
1
7
30 π ≈ 0,73 u3
e)

4
Points d’intersection :

3 f (x) = g (x) ⇒ x2 − x = 3 − x2
⇒ 2x 2 − x − 3 = 0
2
⇒ ( x + 1) ( 2 x − 3 ) =
0
1 ⇒ x=
−1 ou x =
3
2

0 Les points d’intersection sont donc


-2 0 2 ( −1, 2 ) et ( 3 2 , 3 4 ) .
-1

-2

3 3
b 2 2

= ∫ 2π rh dr
Volume = 2π ∫ ( 2 x 3 − 5 x 2 − x + 6 ) dx
= 2π ∫ ( 2 − x ) ( 3 − x 2 ) − ( x 2 − x )dx
a −1 −1

= 2π ( 12 x 4 − 5 3 x 3 − 12 x 2 + 6 x ) −1 =
3

π ≈ 57,27 u3
2
875
48

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f)
4

0
0 1 2 3
b 2 2
dx 2π ∫ ( x 3 − 2 x 2 + 3 x ) dx
dr 2π ∫ x ( x − 1) + 2=
= ∫ 2π rh=
2
Volume
a 0 0

= 2π ( 14 x 4 − 2 3 x 3 + 3 2 x 2 ) 0 =
2
28
3 π ≈ 29,32 u3

2
 3 
b 2 2
−2
= ∫ π= r dh π ∫  = dx 9π ∫ ( x + 1) dx
2
44. a) Volume
a 1
 x + 1 1

−1 2
−9π ( x + 1) 1 =≈
= 3 π
2 4,71u3
 3 
b 2 2
x
b) Volume ∫=
= 2π rh dr 2π ∫ x  =  dx 6π ∫ dx
a 1
 x + 1 1
x +1
u −1
3
= 6π ∫ du Où u =x + 1 ⇒ du =dx.
2
u
 1
3
= 6π ∫  1 −  du = 6π ( u − ln u ) 2 = 6π (1 + ln 2 3 ) ≈ 11,21u3
3

2 
u
b 1

∫=
2π rh dr 2π ∫ xe − x dx
2
c) =
Volume
a 0
−1
= −π ∫ eu du Où u =
−x2 ⇒ du =
−2 xdx.
0
−1
−π ( eu ) 0 =
= π (1 − e −1 ) ≈ 1, 99 u3
b π /2 π /2
Volume = ∫ π ( R − r ) dh = π ∫ (12 − sin2 x ) dx = π ∫
2 2
d) cos2 x dx
a 0 0
π /2
π /2
= 1 π ( x + 1 sin2 x )
π ∫ 12 (1 + cos 2 x ) dx = 1 π 2 ≈ 2,47 u3
=
2 2 0 4
0

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b π /2 π /2
e) =
Volume ∫ 2π=
rh dr 2π ∫ [ x − ( −1)] (1 − sin=
x ) dx 2π ∫ ( x + 1) (1 − sin x ) dx
a 0 0
π /2
= 2π ∫ ( x − sin x − x sin x + 1) dx
0
π /2
= 2π  12 x 2 + cos x − ( sin x − x cos x ) + x  0 = 1
4 π 3 + π 2 − 4π ≈ 5,05 u3
b π /2 π /2
Volume = ∫ π r 2 dh = π ∫ (1 − sin x )2 dx = π ∫ (1 − 2sin x + sin x ) dx
2
f)
a 0 0
π /2 π /2
=π ∫ [1 − 2sin x + 2 (1 − cos 2x )] dx = π
1
∫ ( 3
2 − 2sin x − 12 cos 2 x ) dx
0 0
π /2
= π ( 3 2 x + 2cos x − 14 sin2 x ) 0 = 3
4 π 2 − 2π ≈ 1,12 u3
g) Point d’intersection des deux courbes : sin x =cos x ⇒ tg x =1 ⇒ x = 14 π .

b π /4 π /4
Volume = ∫ π ( R 2 − r 2 ) dh = π ∫ ( cos2 x − sin2 x ) dx = π ∫ cos 2 x dx
a 0 0
π /4
= 1
2 π sin 2 x =
0
1
2 π ≈ 1,57 u3

b π /4 π /4
h) =
Volume ∫ 2π rh=
dr 2π ∫ x ( cos x − sin x )=
dx 2π ∫ ( x cos x − x sin x ) dx
a 0 0
π /4
= 2π [( cos x + x sin x ) − ( sin x − x cos x )] =
0
1
2 π 2 2 − 2π ≈ 0,70 u3
b
( 2)
1
 2 π  2
Volume = ∫ π − = π ∫ sin  2 x  − ( x )  dx
2 2
i) R r dh
a 0  
1
= π ∫  12 (1 − cos π x ) − x 4  dx
0
1
 1 
= π  12 x − sin π x − 15 x 5  =3 π ≈ 0,94 u3

10
 0
j) Point d’intersection des deux courbes :

2 − x = x 2 ⇒ 2 − x = x 2 ou 2 + x = x 2

de sorte que

x 2 + x − 2 =0 ⇒ x =−2 ou x =1 ou x 2 − x − 2 =0 ⇒ x =−1 ou x =2

En observant le graphique, on constate que les points d’intersection des deux


fonctions se trouvent en x = −1 et x = 1 . Par conséquent,

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b 1
Volume= ∫ π ( R 2 − r 2 ) dh= π ∫ ( 2 − x ) − ( x 2 )  dx
2 2

a −1

Or, comme l’intégrande est une fonction paire, on déduit que

1 1
dx 2π ∫ ( 4 − 4 x + x 2 − x 4 ) dx
= 2π ∫ ( 2 − x ) − x 4  =
2
Volume
0 0

= 2π ( 4 x − 2 x 2 + 13 x 3 − 15 x 5 ) 0 =
1
64
15 π ≈ 13,40 u3
b 1
k) =
Volume ∫ 2π rh=
dr 2π ∫ ( 2 − x ) ( x 3 − 3 x + 4 − 12 x 2 ) dx
a −2
1
= 2π ∫ ( − x 4 + 5 2 x 3 + 2 x 2 − 10 x + 8 ) dx
−2

= 2π ( − 15 x 5 + 5 8 x 4 + 2 3 x 3 − 5 x 2 + 8 x ) −2
1

1161π 3
= u
20
≈ 182,37 u3

45. La surface en rotation est une portion du disque délimité par la droite y = −20 et
par le cercle centré à l’origine de rayon 30, soit le cercle d’équation x 2 + y 2 =
302 ,
de sorte que

b −20 −20

∫ π ( 30 − y 2 ) dy = π ( 302 y − 13 y 3 ) −30
−20
Volume = ∫ π r dh = ∫ π x 2dy =
2 2

a −30 −30

8 000π
= cm3 ≈ 8 377,6 mL ≈ 8,4 L
3
2
 df 
b 4
Longueur = ∫ 1 +   dx = ∫ 1 + ( x 2 − 14 x − 2 ) dx
1 1 2
46. a)
a  dx  1
4 4 4

∫ ( x 2 + 14 x )
2
∫ 1 x − 12 + 116 x dx =
∫ x + 12 + 116 x dx =
−1 −1 −
=+
1 1
2
dx
1 1 1
4

∫ ( x 2 + 14 x ( x
) dx = )
4

= + 12 x =
31 =
1 1 3 1
2 2
3
2 2
1 6 5,16 u
1

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2
 df 
b 2
Longueur =∫ 1 +   dx =∫ 1 + ( 3 4 x 2 − 13 x −2 ) dx
2
b)
a  dx  1
2 2
= ∫
1
1 + 9 16 x 4 − 12 + 19 x −4 dx= ∫
1
9
16 x 4 + 12 + 19 x −4 dx

2 2

∫ ( 3 4 x + 13 x ) dx =
∫ ( 3 4 x + 13 x ) dx =
( 14 x 3 − 13 x −1 ) 1
2 2
−2 −2
= 2 2

1 1

= 23
12 ≈ 1,92 u
2 π /3 2
 df   1 
b
c) ∫a 1  dx  dx =
Longueur =+ ∫0 1 +  sec x sec x tg x  dx
π /3 π /3 π /3
=∫ 1 + tg x dx =∫ 2
sec x dx =∫ sec x dx
2

0 0 0

= ln ( 2 + 3 ) ≈ 1,32 u
π /3
= ln sec x + tg x 0
2 2
 df   1
b 4
d) Longueur =∫ 1 +   dx =∫ 1 +  14 x −  dx
a  dx  2
 x
 1
4 4
1
= ∫
2
1 +  116 x 2 − 12 + 2  dx=
 x  ∫
2
1
16 x 2 + 12 +
x2
dx

2
 1  1
4 4
=∫  14 x +  dx = ∫  14 x +  dx
2
 x 2
 x

=( 18 x 2 + ln x ) 2 =3 2 + ln 2 ≈ 2,19 u
4

2
 e x − e− x 
2
 df 
b ln 4
e) ∫a  dx 
Longueur =+1 dx =∫0 1 + 
 2
 dx

2
ln 4 ln 4
 e x + e− x 
ln 4

∫ 1+ ∫ 4e ∫0  2  dx
−2 x −2 x
= 1
4 e 2x
− 1
2 + 1
4 e dx = 1 2x
+ 1
2 + 1
4 e dx =
0 0
ln 4
ln 4
 e x + e− x   e x − e− x 
= ∫
0

 2 
= 
 dx
 2
=
0
15 =
8 1,875 u

2
 df 
b 2 3
 ( ) 2
1

Longueur =∫a 1 +  dx  dx =∫1 1 +  x x + 2  dx


2
f)

3 3 3
= ∫ 1 + x 2 ( x 2 + 2 ) dx = ∫ x 4 + 2 x 2 + 1 dx = ∫ ( x 2 + 1)2 dx
1 1 1
3
=∫ ( x 2 + 1) dx =( 13 x 3 + x ) 1 =32 3 =10,6 u
3

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2 8 2
 df   −2 x 
b 9

g) ∫a 1  dx  dx =+
Longueur =+ ∫1 1  1 − x 2  dx
9

(1 − x 2 )2 + 4 x 2
8 8
9 9
1 − 2x 2 + x 4 + 4 x 2
= ∫= dx ∫ dx
(1 − x 2 )2 1
9
1
9
1− x 2

(1 + x 2 )2
8 8
1 + 2x 2 + x 4 9 9

= ∫= dx ∫ dx
1
9
1 − x 2
1
9
1− x 2
8 8 8
1+ x 2 9 9
 2  9
 1 1 
= ∫ dx= ∫  −1 +  dx= ∫  −1 + 1 − x + 1 + x  dx
1 1− x  1− x 2 
2
1 1
9 9 9

( x − ln 1 − x + ln 1 + x ) 19 =− 7 9 + ln 68 5 ≈ 1,83 u
8

=−
9

1 2
 −x2 
2
 df 
b2

h) ∫a  dx 
Longueur =+1 dx ∫0  2 1 − x 2  dx
=+ 1

4 (1 − x 2 ) + x 4
1 1
2 2
2 − x2
= ∫= dx ∫2 dx
0 4 (1 − x 2 ) 0 1− x 2
π /6
2 − sin2 θ
= ∫
0 2 1 − sin2 θ
cos θ dθ Où x = sinθ ⇒ dx = cos θ dθ .

π /6
= ∫ ( 2 − sin θ ) dθ
1 2
2
0
π /6
= 1
2 ∫ 2 − ( 12 − 12 cos 2θ )  dθ
0
π /6
= ( 3 4 θ + 18 sin2θ ) 0
π 3
=  + u
 8 16 
≈ 0,50 u
2
 df 
b b

∫ ∫ 1 + ( x n − 14 x − n ) dx
2
i) Longueur = 1 +   dx =
a  dx  a
b b

∫ ∫
−2 n
= 1+ x 2n
− 1
2 + 1
16 x dx= x 2n + 12 + 116 x −2n dx
a a
b b

∫ ( x + 14 x ) dx =+
∫ ( x 14 x ) dx
−n −n 2
= n n

a a
b
 x n +1 x 1−n   b n +1 b1−n  a n +1 a1−n  
= +  =  + −  +  u
 n + 1 4 (1 − n )  a  n + 1 4 (1 − n )  n + 1 4 (1 − n )  

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47. a) L’aire du dessus de la table étant de 1 unité2, l’aire du motif représente la pro-
portion de la superficie totale que le motif occupe. Il suffit donc d’évaluer l’aire
du motif :

1
Aire =∫ ( x − x 2 ) dx =( 2 3 x 2 − 13 x 3 ) 0 =13 u2
3
1

Le motif occupe donc le tiers de la surface de la table.


b) À cause de la symétrie du motif, la longueur L du pourtour correspond à deux
fois la longueur de l’arc décrit par la fonction f ( x ) sur l’intervalle [0, 1] . Par
conséquent

2
 df 
1 1 1
2∫ 1 + ( 2 x ) dx =
2∫ 1 +   dx = 4∫
2
L= 1
4 + x 2 dx
0  dx  0 0
1
= 4  12 x x 2 + 14 + 18 ln x + 1 2 
4+ x  Formule d'intégration avancée 36.
0

= 5 + 12 ln ( 2 + 5 ) ≈ 2,96 u

48. Il faut d’abord déterminer la longueur du trajet parcouru par le mobile :

2 2
 dy  1 x
4 4 4
1 1 x2
Longueur= ∫
1
1+   dx=
 dx  ∫
1
1 +  −  dx=
x 4 ∫
1
1+ 2 − +
x 2 16
dx

2
1 x 1 x
4 4 4
1 1 x2
= ∫
1
+ +
x 2 2 16
=
dx ∫
1
 +  dx
x 4
= ∫  x + 4  dx
1

= ( ln x + 18 x 2 ) 1 = ln 4 + 15 8 ≈ 3,26 m
4

Comme la vitesse du mobile est constante, on a

distance distance 3,26


=
vitesse ⇒ =
temps ≈ ≈ 6,52 s
temps vitesse 0,5

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49. a) La représentation graphique de la trajectoire du projectile est
30

25

20

15

10

0
-100 -50 0 50 100
Pour trouver les coefficients de la trajectoire f ( x ) = ax 2 + bx + c , il faut
résoudre les équations obtenues de f ( 50 ) = 0 , de f ( −50 ) = 0 et de
f ( 0 ) = 25 , soit le système d’équations linéaires

2 500a + 50b + c = 0
2 500a − 50b + c = 0
c = 25

La solution de ce système d’équations est a = − 1100 , b = 0 et c =


25 , de
sorte que l’équation de la trajectoire est f ( x ) =
− 1100 x 2 + 25 .
2
 dy 
50 50

∫ ∫ 1 + ( − 150 x ) dx
2
b) =
Longueur 1+   =
dx
−50  dx  −50
50
= 2 ∫ 1 + ( 150 x ) dx
2
L'intégrande est une fonction paire.
0
1
= 100 ∫ 1 + u 2 du Où u = 1
50 x ⇒ du = 1
50 dx.
0

( )
1
= 100 1
2 u u + 1 + 2 ln u + u + 1
2 1 2
0

Formule d'intégration avancée 36.


= 50  2 + ln (1 + 2 )  ≈ 114, 78 m

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h−0 h
50. a) La pente de la droite est=
m = , et l’ordonnée à l’origine est 0. Par
r −0 r
h
conséquent, l’équation de la droite est y = x .
r
b) La longueur du segment de droite correspond à la distance entre les deux
extrémités du segment, soit r 2 + h 2 u .
c) Il s’agit d’un cône circulaire.
d) r représente le rayon de la base du cône, et h, la hauteur du cône.
h
π r 2y 3 π r 2h 3
2
 ry 
h h
e) = ∫=
Volume π x dy ∫ π  =  dy =
2
u
0 0
h 3h 2 0 3
h
2π r h 2 + r 2  y 2 
2 2
 dx   ry  r 
h h
f) Aire = ∫ 2π x 1 +   dy = ∫0  h   h 
2π 1 + dy =  
0  dy  h2  2 0
= π r h 2 + r 2 u2

2 2
 df   1
n 5 5
51. a) Aire =∫ 2π r d  =∫ 2π x 1 +   dx =∫ 2π x 1 +   dx
m 1  dx  1
x
x2 + 1
5 5
= ∫ 2π x = dx ∫ 2π x 2 + 1 dx
1
x2 1

( )
5
= 2π 1
2 x x + 1 + 2 ln x +
2 1 x2 + 1 1

Formule d'intégration avancée 36.


  5 + 26  
= π 5 26 − 2 + ln    ≈ 80,15 u
2

  1+ 2 
2 2
−y
 ∫ 2π x 1 +   dy=  
n 4 4
dx
b) = ∫ 2π r d=
Aire ∫ 2π 25 − y 2
1+  dy
2 
m −3  dy  −3  25 − y 
4 4
25
∫ 2π 25 − y ∫ 10π dy =
10π y −3 =
70π ≈ 219,91u2
4
= 2
dy =
−3
25 − y 2
−3
2
 df 
n 2 2
Aire= ∫ 2π r d = ∫ 2π x 1 +   dx= ∫ 2π x 1 + ( 12 x 2 − 12 x −2 ) dx
2
c)
m 1  dx  1
2 2
= ∫ 2π x 1 + 14 x 4 − 12 + 14 x −= ∫ 2π x x 4 + 12 + 14 x −4 dx
4
dx 1
4
1 1
2 2

∫ 2π x ( x 2 + 12 x −2 ) dx = ∫ 2π x ( x 2 + 12 x −2 ) dx
2
= 1
2
1
2
1 1

2π ( 18 x 4 + 12 ln x ) 1 =
(15 4 + ln2 ) π ≈ 13,96 u2
2
=

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2

 ∫ 2π y 1 +   dx
n 2 2

∫ 2π ( x − 18 ln x ) 1 + ( 2x − 18 x ) dx
df 2
d) = ∫ 2π r d=
Aire = 2 −1

m 1  dx  1
2
= ∫ 2π ( x − 18 ln x ) 1 + 4 x 2 − 12 + 164 x −2 dx
2

1
2
= ∫ 2π ( x − 18 ln x ) 4 x 2 + 12 + 164 x −2 dx
2

1
2

∫ 2π ( x − 18 ln x ) ( 2x + 18 x −1 )
2
= 2
dx
1
2

∫ 2π ( x − 18 ln x )( 2x + 18 x ) dx
−1
= 2

 ln x 
2
= ∫ 2π  2x − 14 x ln x + 18 x − 164
3
 dx
1
x 
2 2 2 2
ln x
= 4π ∫ x 3 dx − 12 π ∫ x ln x dx + 14 π ∫ x dx − 132 π ∫ dx
1 1 1 1
x

Évaluons chacune des quatre intégrales :

2
2
4π ∫ x=
3
dx π=
x 4 1 15π
1

2
Pour évaluer − 12 π ∫ x ln x dx , utilisons l’intégration par parties :
1

=u ln=
x dv xdx
1
=du = dx v 12 x 2
x

d’où

2
1 2 2
2

− 2 π ∫ x ln x dx =
1 − 2 π  2 x ln x 1 − 2 ∫ x dx 
1 1

1  1 
− 14 π ( x 2 ln x − 12 x 2 ) 1  =
2
= −π ln 2 + 3 8 π

2
2

= ∫ x dx 8π x 1
= π.
2
Par ailleurs, 1 1 3
8
1

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Enfin,

2 ln 2
ln x 1
− 32 π ∫
1 − 132 π ∫ u du
dx = Où u = ln x ⇒ du = dx.
1
x ln1
x
− 164 π ( ln 2 )
ln 2
− 164 π u 2 0 =
2
=

Par conséquent,

2 2 2 2
ln x
Aire = 4π ∫ x 3 dx − 12 π ∫ x ln x dx + 14 π ∫ x dx − 132 π ∫ dx
1 1 1 1
x
= 15π − π ln2 + 3 8 π + 3 8 π − 164 π ( ln2 )
2

= 63 4 π − π ln2 − 164 π ( ln2 ) ≈ 47,28 u2


2

2
 df 
n 6 6

∫ 2π r d= ∫2 2π x 1 +  dx  dx= ∫ 2π x 1 + ( 12 x − 12 x −1 ) dx
2
e) =
Aire 
m 2
6 6
= ∫ 2π x 1 + 14 x 2 − 12 + 14 x −= ∫ 2π x x 2 + 12 + 14 x −2 dx
2
dx 1
4
2 2
6 6
= ∫ 2π x ( 12 x + 12 x −1 ) dx = ∫ 2π x ( 12 x + 12 x −1 ) dx
2

2 2
6

∫ π ( x + 1) dx = π ( 13 x + x ) 2 =
6
= 2 3 220
3 π ≈ 230,38 u2
2
2
 df 
n 3 3
π ∫ ( 3 − x ) x 1 + ( 12 x − − 12 x )
2
Aire = ∫ 2π r d  = ∫ 2π y 1 +   dx =
1 1
f) 2
3
2 2
dx
m 1  dx  1
3
= 2
3 π ∫ ( 3 − x ) x 1 + 14 x −1 − 12 + 14 x dx
1
3
= 2
3 π ∫ (3 − x ) x 1
4 x −1 + 12 + 14 x dx
1
3
( )
2
2 π (3 − x ) x
=3 ∫ x − 2 + 12 x
1 1
1
2
2
dx
1
3
2 π (3 − x ) x ( 1 x − 2 + 1 x ) dx
=3 ∫
1 1
2
2 2
1
3 3
= 1 ( )( ) =
3 π ∫ 3 − x 1 + x dx
1 ( 2 )
3 π ∫ − x + 2 x + 3 dx
1 1

π ( − 13 x 3 + x 2 + 3 x ) 1 =
3
= 1
3
16
9 π ≈ 5,59 u2

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2
 dg 
n 2 2
( ) 1 ( e y − e − y )  dy
2
g) Aire = ∫ 2π r d  = ∫ 2π x 1 +   dy = π ∫ e y
+ e −y
1 + 
 2 
m −2  dy  −2
2
= π ∫ ( e y + e − y ) 1 + 14 e 2 y − 12 + 14 e −2 y dy
−2
2
= π ∫ (ey + e−y ) 1
4 e 2 y + 12 + 14 e −2 y dy
−2
2
π ∫ ( e y + e − y )  12 ( e y + e − y )  dy
2
=
−2
2 2
( y − y ) dy π ∫ ( e 2 y + 2 + e −2 y ) dy
2
= 2π ∫ e + e =
1 1
2
−2 −2

π ( 12 e 2 y + 2y − 12 e −2 y ) = π ( 8 + e 4 − e −4 ) ≈ 98,30 u2
2
= 1
2 −2
1
2

2 2
 df   −1 
n 2 2
1
h) Aire =∫ 2π r d  =∫ 2π y 1 +   dx =2π ∫ 1 +  2  dx
m 1  dx  1
x x 
2
1 1
= 2π ∫ 1 + 4 dx
1
x x
1
4
1
= −π ∫ 1 + u 2 du
1
u
1 2 2 1
Où u = ⇒ du =
− 3 dx ⇒ − x 2du = − du.
dx =
x2 x x u
1
1
=π∫ 1 + u 2 du
1
4
u

Or,

1+ u2 1 + tg2 θ
∫ u
du = ∫
tgθ
sec 2 θ dθ Où u = tgθ ⇒ du = sec 2 θ dθ .

sec 3 θ sec θ (1 + tg2 θ )


= ∫ tgθ dθ
= ∫ tgθ

sec θ sec θ tg2 θ


= ∫ tgθ dθ + ∫ tgθ dθ
= ∫ cosec θ dθ + ∫ sec θ tgθ dθ
= ln cosec θ − cotgθ + sec θ + C

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Le triangle de référence de la substitution est

1+ u2
u
θ
1

de sorte que

1+ u2
∫ u
du ln cosec θ − cotgθ + sec θ + C
= Où u = tgθ .

1+ u2 1
= ln − + 1+ u 2 + C
u u

Par conséquent,

1
1
1  1+ u 2 − 1 
= π∫
Aire du π  ln
1 + u 2= + 1+ u2 
1 u
4
 u  14
 2 −1 
= π  ln + 2 − 14 17  ≈ 5,02 u2
 17 − 4 

dx dy
52. a) Si x = 5 cos t , alors = −5 sin t . De même, si y = 5 sin t , alors = 5 cos t .
dt dt
Par conséquent, la longueur de la courbe définie de manière paramétrique
par ces deux fonctions est

2 2 π
 dx   dy 
b

∫0 ( −5 sin t ) + ( 5cos t ) dt
∫a  dt  +  dt  dt =
2 2
Longueur =

π π

∫ 25 ( sin t + cos t ) dt =
π
= ∫ 5 dt = 5π u
5t 0 =
2 2

0 0

L’aire de la surface de révolution est donnée par

2 2 π
 dx   dy 
b
=
Aire ∫a 2π g ( t )  dt  +  dt =
 dt
 ∫ 2π ( 5 sin t )
0
( −5 sin t )2 + ( 5cos t )2 dt

π
π
50π ∫ sin t dt =
= −50π cos t 0 =
100π u2
0

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dx
b) Si x = et cos t , alors= et ( cos t − sin t ) , et si y = et sin t , alors
dt
dy
= et ( cos t + sin t ) , de sorte que la longueur de la courbe définie de
dt
manière paramétrique par ces deux fonctions est

2 2 π /2
 dx   dy 
b

∫ [e ( cos t − sin t )] + [et ( cos t + sin t )] dt


2 2
Longueur= ∫   +  dt=
t

a  dt   dt  0
π /2
= ∫e cos2 t − 2 sin t cos t + sin2 t + cos2 t + 2 sin t cos t + sin2 t dt
t

0
π /2
π /2
= 2 ∫ e=
dt t
2et =
0 2 ( eπ / 2 − 1) u ≈ 5,39 u
0

L’aire de la surface de révolution est donnée par

2 2
 dx   dy 
b
=Aire ∫ 2π g ( t )   +   dt
a  dt   dt 
π /2
= 2π ∫ et sin t [et ( cos t − sin t )]2 + [et ( cos t + sin t )]2 dt
0
π /2
= 2π 2 ∫e
2t
sin t dt
0

On peut évaluer cette dernière intégrale en effectuant une intégration par


parties, ou encore en utilisant la formule d’intégration avancée 10. On a donc

π /2
2π 2e 2t ( 2sin t − cos t ) 2π 2 ( 2eπ + 1) 2
π /2
=Aire 2π
= 2 ∫ e sin t dt = = 2t
u 84,03 u2
0
5 0 5

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53. f ( x ) =ax 2 et f ( 5 ) =1 ⇒ 25a =1 ⇒ a = 125 ⇒ f ( x ) = 125 x 2

Par conséquent,

2
 df 
n 5 5
Aire =∫ 2π r d  =∫ 2π x 1 +   dx =∫ 2π x 1 + ( 2 25 x ) dx
2

m 0  dx  0
5
= ∫ 2π x
0
1 + 4 625 x 2 dx
29
25

= 625
4π ∫
1
u du Où u = 1 + 4 625 x 2 ⇒ du = 8 625 x dx.
29

= πu 21
= π 29 − 625 6 π ≈ 81,60 u2
3 25
625 145
6 6

x2 y2
54. a) + =
1
400 25

5
4
3
2
1
0
-25 -20 -15 -10 -5 -1 0 5 10 15 20 25
-2
-3
-4
-5

b) À cause de la symétrie de la figure, le volume du ballon correspond à deux


fois celui du solide engendré par la rotation, autour de l’axe des abscisses, de
la surface comprise dans le premier quadrant.

b 20 20
= 2∫= ∫ y dx 2π ∫ ( 25 − 116 x ) dx
π r 2dh 2π= 2 2
Volume
a 0 0

= 2π ( 25 x − 148 x 3 ) 0 = 2 000 3 π m3 ≈ 2 094,40 m3


20

c) Évaluons d’abord l’aire de la surface extérieure du ballon. À cause de la


symétrie de la figure, l’aire de la surface extérieure du ballon correspond à
deux fois celle engendrée par la rotation, autour de l’axe des abscisses, de la
portion de la courbe située dans le premier quadrant :
2
 dy 
n 20
= ∫m 2π r d  2 ∫0 2π y 1 +  dx  dx .
Aire 2=

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Or, en effectuant une dérivation implicite, on obtient

x2 y2 2 x 2y dy dy x
+ =
1 ⇒ + =
0 ⇒ =

400 25 400 25 dx dx 16 y

dy
Toutefois, comme à x = 20 on a y = 0 , la dérivée n’est pas définie et
dx
n’est donc pas continue, de sorte que l’aire de la surface correspond plutôt à
2 2
 dy   −x 
a a
= 2 lim− ∫ 2π y 1 + 
Aire =
 dx lim− 4π ∫ y 1 +   dx
a → 20
0  dx  a → 20
0  16 y 
a
256 y 2 + x 2 π a
 x2 
lim− 4π ∫ y
4 ∫0
= = dx lim− 256  25 −  + x 2 dx
a → 20
0
16 y a → 20  16 
π a
π a
256 ( 25 ) − 16 256 ( 25 ) − 15 x 2 dx
4 ∫0 4 ∫0
= lim = x 2 + x 2 dx lim
a → 20− a → 20−

π 15 256 ( 25 )
a
= lim−
a → 20 4 ∫
0
15
− x 2 dx

a
π 15  x 256 ( 25 ) 256 ( 25 ) x 15 
= lim  −x +
2
arcsin 
a → 20− 4 2 15 30 16 ( 5 )  0
Formule d'intégration avancée 35.
π 15  a 256 ( 25 ) 256 ( 25 ) a 15 
= lim−  − a2 + arcsin 
a → 20 4 2 15 30 16 ( 5 ) 
π 15  20 256 ( 25 ) 256 ( 25 ) 20 15 
=  − 202 + arcsin 
4  2 15 30 16 ( 5 ) 
160π 15 15
= 50π + arcsin ≈ 1 012,44 m2
3 4

L’enduit protecteur coûte 10 $ / L et chaque litre couvre 5 m2, de sorte que


l’enduit coûte 2 $ / m2 . Le taux horaire est de 20 $ et l’employé couvre une
surface de 20 m2 par heure, de sorte que le coût de main-d’œuvre est de
1$ / m2 . Par conséquent, il faudra payer, en matériel et en main-d’œuvre,
3 $ / m2 . Pour recouvrir le ballon de l’enduit protecteur, il en coûtera donc au
total 3 (1 012,44 ) $ ≈ 3 037 $ .

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55. Lorsque la vitesse angulaire est suffisamment élevée pour amener l’eau au point
ω 2 ( 30 ) ω 2 ( 30 )
2 2
(
de débordement, on a f 30 = ) 50 = H+ ⇒ H= 50 − . De plus,
2g 2g
comme le contenant cylindrique est rempli à 80 % de sa capacité, soit jusqu’à une
=
hauteur de h 0,8= ( 50 ) 40 , le volume d’eau qu’il contient est de

= π=
Volume r 2 h π 302 ( 40 )

Par ailleurs, ce volume correspond également au volume du solide engendré par la


rotation de la surface sous la parabole au-dessus de l’intervalle [0, 30], lorsque la
vitesse angulaire est celle qui amène le niveau d’eau au point de débordement.
Par conséquent, une autre expression du volume d’eau serait :

b
 ω2x2 
30 30
 ω 2 302 ω 2 x 2 
Volume= ∫ 2π rh dr= ∫ 2π x  H +  dx= ∫0 2π x  50 − 2g + 2g  dx
a 0  2g 
30
 50 x 2 ω 2 302 x 2 ω 2 x 4  2 ω 2 302 
= 2π  − +  = π 30  50 − 
 2 4g 8g  0  4g 

En comparant les deux expressions du volume d’eau, et en isolant ω , on obtient

 ω 2 302  ω 2 302
π 302 ( 40 ) =π 302  50 −  ⇒ 40 =50 −
 4g  4g
ω 2 302 40g 10g
⇒ 10= ⇒ ω 2= ⇒ ω=
4g 302 15

56. a) Faux. La fonction f ( x ) = cos x n’est pas toujours positive sur l’intervalle
π
[0, π ] , de sorte que ∫ cos x dx ne représente pas l’aire recherchée. En fait,
0
π
l’aire de la surface donnée dans le problème correspond à ∫
0
cos x dx .

b) Faux. Dans le cas d’une distribution parfaitement égalitaire des revenus, la


courbe de Lorenz est décrite par la fonction f ( x ) = x , de sorte que l’indice de
Gini vaut alors 0.
c) Vrai. Si on applique la méthode des tubes, l’expression du volume du solide
4

∫ 2π x ( 4 x − x ) dx . Tel n’est pas le cas si


2
est simple à formuler et à évaluer :
0

on souhaite utiliser la méthode des disques troués comme vous pourrez le


constater si vous essayez de le faire.

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d) Vrai. Si a est une constante non nulle et que f ( x ) est une fonction impaire
a
intégrable sur l’intervalle [ −a, a ] , alors ∫ f ( x ) dx = 0 , de sorte que
−a
a

∫ f ( x ) dx
0
=
f −a
= = 0.
a − ( −a ) 2a
e) Faux. On peut également recourir à l’intégrale définie pour évaluer le volume
d’un solide de section connue, le volume d’un solide de révolution, la
longueur d’un arc de courbe, l’aire d’une surface de révolution, le centre
géométrique d’une surface plane, etc.
f) Faux. Le graphique suivant devrait vous convaincre que le surplus des
consommateurs peut être supérieur au surplus des producteurs.

Surplus des
consommateurs

Surplus des
producteurs

57. a) La représentation graphique du réservoir est la suivante.

4−y
x
y =x

-4 0 4

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À une hauteur y, la coupe transversale selon le plan y = k est un cercle de
rayon r = x , où y = x , de sorte que l’aire A ( y ) de la coupe transversale est
A (=
y ) π=
x 2 π y 2 . La hauteur du réservoir est h = 4 . Le travail requis pour
pomper entièrement l’eau du réservoir est

b 4 4

∫ ρ g ( 4 − y ) (π y ) dy =
∫ ρ g ( h − y ) A ( y ) dy = πρ g ∫ ( 4 y − y 3 ) dy
2 2

a 0 0

64πρ g
= πρ g ( 4 3 y 3 − 14 y 4 ) 0 =
4
J ≈ 656,8 kJ
3
b) La représentation graphique du réservoir est la suivante.

3
9−y

x
y y =x
2

-3 0 3
À une hauteur y, la coupe transversale selon le plan y = k est un cercle de
rayon r = x , où y = x 2 , de sorte que l’aire A ( y ) de la coupe transversale est
A (=
y ) π=
x 2 π y . La hauteur du réservoir est h = 9 . Le travail requis pour
pomper entièrement l’eau du réservoir est
b 9 9

∫ ρ g ( h − y ) A ( y ) dy = πρ g ∫ ( 9 y − y 2 ) dy
∫ ρ g ( 9 − y )(π y ) dy =
a 0 0

243πρ g
= πρ g ( 9 2 y 2 − 13 y 3 ) =
9
J ≈ 3 740,7 kJ
0
2
c) La représentation graphique du réservoir est la suivante.

5
5−y

x
y

-5 0 5

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À une hauteur y, la coupe transversale selon le plan y = k est un cercle de
rayon r = x , où x 2 + ( y − 5 ) =,
25 de sorte que l’aire A ( y ) de la coupe
2

transversale est A ( y )= π x 2 = π 25 − ( y − 5 )  . La hauteur du réservoir est


2

h = 5 . Le travail requis pour pomper entièrement l’eau du réservoir est

b 5

∫ ρ g ( h − y ) A ( y ) dy ∫ ρ g ( 5 − y ) π 25 − ( y − 5 )  dy
2
= 
a 0
5
= πρ g ∫ ( 5 − y ) 25 − ( 5 − y )  dy
2

0
0
−πρ g ∫ ( 25u − u 3 ) du
= Où u =(5 − y ) ⇒ du = −dy .
5
5
= πρ g ∫ ( 25u − u 3 ) du
0

= πρ g ( 25 2 u 2 − 14 u 4 ) 0
5

625πρ g
= J
4
≈ 4 810,6 kJ

58. a) Les équations s’obtiennent à partir des valeurs de la fonction :

f (0) = 0 ⇒ d = 0
f ( 2 ) = 1 ⇒ 8a + 4b + 2c = 1
f ( 3 ) = 0 ⇒ 27a + 9b + 3c = 0

De plus, f ′ ( x ) = 3ax 2 + 2bx + c et f ′ ( 2 )= 0 ⇒ 12a + 4b + c = 0 . On obtient


donc un système d’équations linéaires de trois équations à trois inconnues
(puisque la valeur du coefficient d est connue). La solution de ce système
d’équations est a = − 14 , b = 3 4 , c = 0 et d = 0 . Par conséquent,
f (x) = − 14 x 3 + 3 4 x 2 =1 x 2 (3 − x ) .
4
b) Le centre du cercle est situé à 10 unités à gauche de l’origine placée au bas
du talus, soit à x = 0 . Il faut évaluer le volume du solide engendré par la
rotation, autour de la droite x = −10 , de la surface sous la courbe
f (x) = − 14 x 3 + 3 4 x 2 au-dessus de l’intervalle [0, 3] . Utilisons la méthode des
tubes :

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b 3 3
Volume= ∫ 2π rhdr= 2π ∫ ( x + 10 ) y dx= 2π ∫ ( x + 10 ) ( − 14 x 3 + 3 4 x 2 ) dx
a 0 0
3
= 1
2 π ∫ ( − x 4 − 7 x 3 + 30 x 2 ) dx
0

π ( − 15 x 5 − 7 4 x 4 + 10 x 3 ) 0 = 1593 40 π m3 ≈ 125,11m3
3
= 1
2

c) Formulons d’abord l’intégrale permettant d’évaluer l’aire de la surface à


gazonner :

2
 dy 
n 3
Aire = ∫ 2π r d  = ∫ 2π ( x + 10 ) 1 +   dx
m 0  dx 
3

∫ 2π ( x + 10 ) 1 + ( − 3 4 x 2 + 3 2 x ) dx
2
=
0

On peut utiliser les commandes Maple pour évaluer cette dernière intégrale.
On obtient alors une aire d’environ 275 m2 , de sorte qu’il faudra débourser
environ 1 100 $ ( soit 275 × 4 $ ) pour gazonner le talus.

59. a) La zone gazonnée accessible correspond à la surface ombrée dans le


graphique.

L’équation du cercle délimitant l’enclos est x 2 + y 2 =


25 et celle du cercle
délimitant la zone accessible est ( x − 5 ) + y 2 =
2
4 . On obtient les points
d’intersection en résolvant simultanément ces deux équations. Si on isole y
dans chacune des équations, on obtient

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y 2 =25 − x 2 =4 − ( x − 5 ) 25 − x 2 =4 − ( 25 − 10 x + x 2 )
2

⇒ 25 − x 2 =−21 + 10 x − x 2
⇒ 10 x = 46
23
⇒ x=
5
2
 23  4 6
⇒ y=
± 25 −   ±
 5  5

À cause de la symétrie, la zone gazonnée accessible correspond au double


de la zone située au-dessus de l’axe des abscisses. Par conséquent l’aire de
la zone accessible (si on utilise des rectangles horizontaux) est

4 6

( )
5
 25 − y 2 − 5 − 4 − y 2  dy
=
Aire 2 ∫
0
 

Si on utilise Maple pour évaluer cette intégrale, l’aire accessible est d’environ
 5,75 
5,75 m2 ce qui représente environ 7,32 %  soit  de l’aire totale de
 25π 
l’enclos.

b) La zone gazonnée accessible correspond à la surface ombrée dans le


graphique.

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L’équation du cercle délimitant l’enclos est x 2 + y 2 =
25 et celle du cercle
délimitant la zone accessible est ( x − 5 ) + y 2 =
2
64 . On obtient les points
d’intersection en résolvant simultanément ces deux équations. Si on isole y
dans chacune des équations, on obtient

y 2 = 25 − x 2 = 64 − ( x − 5 ) 25 − x 2 = 64 − ( 25 − 10 x + x 2 )
2

⇒ 25 − x 2 = 39 + 10 x − x 2
⇒ 10 x = −14
7
⇒ x= −
5
2
 −7  24
⇒ y=
± 25 −   =
±
 5  5

À cause de la symétrie, la zone gazonnée accessible correspond au double


de la zone située au-dessus de l’axe des abscisses. Toutefois, plutôt que
d’évaluer cette aire directement, évaluons celle de la zone non accessible qui
est plus simple à évaluer :

( ) ( )
24
5

= 2 ∫  5 − 64 − y 2 − − 25 − y 2  dy
Aire non accessible
0

de sorte que l’aire accessible est

( )
24
5

Aire = 25π − Aire non accessible = 25π − 2 ∫ 5 − 64 − y 2 + 25 − y 2 dy


0

de sorte que la fraction de l’enclos que la chèvre peut brouter est de

∫ (5 − )
24
5
Aire 2
=−
1 64 − y 2 + 25 − y 2 dy
25π 25π 0

À l’aide de Maple, on découvre que la chèvre peut donc brouter environ


80,9 % de la surface de l’enclos.
c) On cherche la longueur c de la corde telle que la surface qui peut être
broutée corresponde à la moitié de la surface totale.

L’équation du cercle délimitant l’enclos est x 2 + y 2 =


25 et celle du cercle
délimitant la zone accessible est ( x − 5 ) + y 2 =
2
c 2 . On obtient les points
d’intersection en résolvant simultanément ces deux équations. Si on isole y
dans chacune des équations, on obtient

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y 2 = 25 − x 2 = c 2 − ( x − 5 ) 25 − x 2 = c 2 − ( 25 − 10 x + x 2 )
2

⇒ 25 − x 2 = c 2 − 25 + 10 x − x 2
⇒ 10 x =
50 − c 2
50 − c 2
⇒ x=
10

L’aire accessible à la chèvre correspondra à la moitié de la surface de


l’enclos si l’aire de la surface A correspond à l’aire de la surface B.

Or,
50 −c 2
10
 25 − x 2 − c 2 − ( x − 5 )2  dx
=
Aire de la surface A ∫
0
 

et
0

∫ c 2 − ( x − 5 ) dx
2
Aire de la surface=
B
5 −c

Il faut donc trouver la valeur de c qui satisfait à l’équation


50 −c 2
10 0
 25 − x 2 − c 2 − ( x − 5 )2 = c 2 − ( x − 5 ) dx
∫ ∫
2
  dx
0 5 −c

En utilisant Maple, on trouve que la longueur de la corde doit être d’environ


5,8 m.

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