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La compression
Benauda Rahma
Abada Abdelkader
Becharef Amina
Introduction
Avantages et inconvénients de la compression
Outils/technologies qui utilisent la compression
Définition de verre
Structure et Principaux composants de verre
Les propriétés de verre
Compressions de verre
Resistance de la compressions du verre
Valeur de la Resistance de compression du verre
conclusion
Introduction
La compression est une réduction du nombre de bits nécessaires pour représenter
les données. Compresser les données permet d'optimiser la capacité de stockage et
la vitesse de transfert des fichiers. Elle réduit les coûts dans ces deux domaines.
La compression est effectuée par un programme qui utilise une formule ou un
algorithme pour déterminer comment réduire la taille des données. Par exemple, un
algorithme peut convertir une chaîne de bits (des 0 et des 1) en une chaîne plus
petite de 0 et de 1 en utilisant un dictionnaire, ou encore en insérant une référence
ou un pointeur dans une chaîne de 0 et de 1 déjà détectée par le programme.
Le principal inconvénient de la compression est son impact sur les performances, car
les ressources d’une machine et sa mémoire sont sollicitées pour compresser et
décompresser les données.
De nombreux fournisseurs ont conçu leurs systèmes pour minimiser l'impact des
calculs gourmands associés à la compression. Si la compression est effectuée « en
ligne » (« in-line »), avant que les données soient inscrites sur le disque, le système
peut décharger la compression pour préserver les ressources système. Par exemple,
IBM utilise une carte d'accélération matérielle distincte pour gérer la compression
avec certains de ses systèmes de stockage d'entreprise.
De plus, comme les données doivent être initialement inscrites sur le disque ou les
lecteurs de stockage flash sans compression, les économies en stockage physique
ne sont pas aussi importantes qu'avec la compression « en ligne ».
Le verre
Définition
On peut distinguer deux définitions du verre :
un matériau dur, fragile (cassant) et transparenta, à base de dioxyde de
siliciumb et de fondants1.
Cette définition est celle du sens commun et c'était aussi celle des
scientifiques jusqu'au XIXe sièclec. Avant le XXe siècle en effet les verres
silicatés (verres sodocalciques) étaient pratiquement les seuls matériaux
transparents que l'on savait produire industriellement, et encore aujourd'hui
ce sont les verres produits en plus grande quantité (vitrages, vaisselle et
verrerie de laboratoire, notamment). Cette définition est porteuse de toute la
symbolique établie de la transparence présentée par le verre2 ;
un solide non cristallin présentant le phénomène de transition vitreuse.
Cette définition proposée par Jerzy Zarzycki3,4, est celle qui fait aujourd'hui
consensus au sein de la communauté scientifique.
Structure
Le verre est un matériau amorphe, c’est-à-dire non cristallin. De ce fait, il présente
un désordre structural important. Sa structure microscopique est telle qu’il n’existe
aucun ordre à grande distance dans un verre. En cela, il est assez analogue à un
liquide. Prenons l'exemple de l'eau pure, constituée de molécules d'eau (H2O). Si
on isole chaque molécule d'eau, autour de chaque atome d'oxygène, on trouvera
toujours deux atomes d'hydrogène : c'est un « ordre » (c'est reproductible d'une
molécule à l'autre) à courte distance (à l'échelle de la molécule d'H 2O). En
revanche, si on prend deux molécules distinctes d'H 2O en référence à un
instant t et que l'on regarde leurs voisinages, c'est-à-dire l'emplacement exact des
molécules d'H2O voisines, on obtiendra deux résultats complètement différents
pour nos deux références. Il n'y a pas d'ordre à grande distance (à une distance
supérieure à l'échelle de la molécule). On appelle fonction de distribution radiale,
ou fonction de distribution de paires, la fonction donnant la probabilité de trouver
une particule (dans cet exemple la molécule d'eau) entre un rayon r et r + dr de la
référence. La diffraction de neutron permet, par exemple, l'évaluation
des fonctions de distribution radiale d'un matériau, pour chaque élément, et
montre des pics plus élargis pour des verres que des cristaux, soulignant le
caractère aléatoire de la position des voisins de l'élément atomique de référence,
dans les verres12.
La résistance à la
compression du verre
La résistance à la flexion du
verre
Un vitrage plan soumis à un effort de flexion (effet du vent, de la
neige, ...) a une face en compression et une face en extension.
f g ; c = 600N/mm2
ã M ; A = 1.8
fg c d ; ;
fg c ;
ãMA
Conclusion
Le verre est donc bien présent présent en grande quantité dans
notre quotidien mais aussi dans divers domaines scientifiques.
Il est composé dans la plupart des cas d'oxyde de silicium en
majorité, mais il existe d'autres types de verres à partir
d'espèces chimiques différentes.