Séisme à San Francisco

1989
1 : contexte, espace concernés et risques
San Francisco, 2e ville la plus dense des États-Unis, et une des plus moderne au XXe
siècle. Elle est menacée par les séismes. Cette menace existe depuis toujours à cause de
la faille San Andreas.
Elle se situe entre les deux plaques tectoniques de l’Amérique du Nord et celle du
pacifique. Du Mexique au Canada, cette faille mesure 1300 km et se déplace de 3 cm/an.

2 : présentation de la catastrophe et mesures engagées contre celle-ci

C’est le 17 octobre en pleine heure de pointe, à 17h04, qu’un séisme du nom Loma Prieta
et de magnitude 6,9, créer une secousse de 15 seconde. Son épicentre se situait près de
la silicon valley, qui aujourd’hui est le centre de grandes entreprises internationales et
technologiques.
Ce risque naturel brise des conduites de gaz entraînant donc une dizaine d’incendies, on
peut donc parler de risques combinés. En plus des effondrements dus au tremblement de
terre, ces catastrophes on fait plus de 20 milliards de dollars de dégâts. Une des
catastrophes des plus coûteuses de l’histoire des États-Unis. À San Francisco, on n’avait
pas eu un tremblement de terre si important depuis un siècle. Cependant, les conduites de
gaz ne sont pas les seules à fuir, mais les canalisations d’eau, non plus n’ont résister au
tremblement. Les pompiers ont du raccorder leur lances sur un bateau dans la baie. Plus
de 20 millions de litres d’eau de la baie on été utilisés pour éteindre les incendies et plus
de cent civils, plus les pompiers volontaires et ceux en repos ont aidé.

3 : Bilan de la catastrophe

On compte aujourd’hui 3 757 blessés, dont 400 blessés graves, entre 3 000 et 12 000
personnes se retrouvèrent sans logement et 67 morts et non les 200 ou 300 morts
annoncés peu après la catastrophe par la presse. Les quartiers les plus touchés sont la
Marina Distric avec plus de 30 immeubles effondrés ou brûlés et South of Market où tout
s’est totalement écroulé. En plus de tout ça, les civils ne savaient pas
réagir à cette catastrophe. Beaucoup se sont sentis impuissant face à ce désastre.

4 : Propositions des mesures de préventions et gestion du Big One (prochain

gros séisme)
Les premières mesures prise après le séismes en 1989, ont été de renforcer les
immeubles, trouver une nouvelle architectures plus adaptée au tremblement de terre.
Après les canalisations fissurées San Francisco a décidé
d’installer environ 180 grandes citernes d’eau souterraines comportant autour des 75 mille
litres d’eau un peu partout dans la ville. Quand on se promène, on les remarque au grand
cercle en brique dans les rues. Même si la menace du Big One qui
devrait arriver dans la trente prochaines années n’est pas prise au sérieux par tout le
monde, de nouvelles formations ont été mises en place.
Que ce soit pour les pompiers, ou une formation des premiers secours pour les civils. Le
but de cette formation est de faire gagner du temps aux peu de pompiers. Car aujourd’hui
, ils ne sont que 300 pour les 2 millions habitants et travailleurs par jour. Cette densité
pose même un gros problème, on ne sait pas encore comment évacuer la ville de ces 2
millions de personnes paniquées. Pour les 28 mille citoyens diplômés, après une
formation de 3 jours, et équipés de casques lumineux et uniformes verts, organisent et
répartissent les blessés selon la gravité. Pour le moment, pour arranger cette forte
densité, la prévention des civils sera faite par un système d’alerte. Plus de 350 capteurs
sont dans la région de San Francisco qui relie à un ordinateur enverra un message. On
est sûr que le message arrive avant les tremblements, puisque l’info va à la vitesse de la
lumière alors que le séisme se répand à la vitesse du son. Le message devrait donc
arriver 60 secondes avant le tremblement ce qui permettrait aux civils de se protéger ou
de se mobiliser. Afin de sauver plus de vie. Des recherches sont toujours en cours pour
mieux comprendre les séismes et ainsi mieux protéger la population.