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Anthelme

Chardard

Exercice : pourquoi l’action des hommes aggrave-t-elle les risques en


Colombie ?

Dans ce texte je vais vous présenter pourquoi l’action des hommes aggrave
t’elle les risques en Colombie

Pour commencer la Colombie est fortement exposer au risques naturels


(séisme, coulée de boue, inondation ect …) En 2016 une évaluation des risques
naturel sur les séismes, les cyclones, inondations, sécheresses et montées du
niveau des mers, elle est réalisée dans le monde. Cette évaluation constate
qu’en Colombie se trouve entre 13 et 16 %sur 64% des risques naturels
(sources : Commission européenne, Atlas of the Human Planet, 2017 et World
Risk Index,2019). En 2018 sur une magnitude de 10 la Colombie se trouve à 9,4
sur 10 (source : World Cities Risk Index 2015-2025, 2015 et Inform,2019.

Entre 1989 et 1998 il y a eu 24 catastrophe liée au climat avec 460 morts et il y


a eu 9 catastrophes liées à la tectonique en 1999-2008 il y a eu 38 catastrophes
naturelles provoquant 1329 morts et 14 catastrophes liées à la tectonique
entrainant 1228 morts. Enfin, entre 2009-2018 il y a eu 35 catastrophes liées au
climat et 1675 morts et 2 catastrophes liée à la tectonique (source :
EMDAT,2019)
En Colombie les villes et les villages sont très mal placés. Les populations sont
dans des lieux très peu adéquate. Elles se sont étendues sans planification
urbaine. Cet accroissement urbain s’est fait dans l’ignorance ou même par
appât du gain : les mairies ont laissé construire même dans les zones estimées
à risque. Par exemple, à Mocca entre les Andes et l’Amazonie, comme il pleut
souvent alors la ville est traversée de cours d’eau qui se transforment en
torrents. Lorsque l’averse est trop longue, elle crée des marées de terre et de
pierre. Ainsi, il y a eu des coulées de boue en 1964 et 1972. Par conséquent, la
problématique c’est que la ville a grandi trop vite au détriment des risques
naturels. En montagne, les sols sont très peu solides. Il y a beaucoup de failles
géologiques et des pentes très raides. Mais aussi les arbres qui auraient pu
protéger la ville ont disparu pour laisser place à la culture du café, au bétail et a
la coca. Alors que malgré cela, les autorités environnementales avaient
prévenu du danger. Ils avaient même fait avec les précisions des cartes des
zones à risque

Pour conclure, les agissements humains aggravent les risques naturels


(torrents, coulés de boues …) en Colombie. En effet, les hommes se sont
installés dans des zones a risque sur des terres ou le sol est très peu solide , les
arbres qui pourraient protéger sont retirés avec les conséquences qui en
découlent.

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