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ALGER- Quarante-quatre (44) personnes sont décédées et 1358 autres ont été

blessées dans 1110 accidents de la circulation, survenus à travers différentes


régions du pays durant la période du 13 au 19 novembre, indique mardi un bilan
de la Protection civile. 

Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Bordj Badji Mokhtar où 16
personnes sont décédées et 03 autres blessées dans un (01) accident de la circulation,
précise la même source.

Les équipes de la Protection civile ont procédé, durant la même période, à l'extinction de
873 incendies urbains, industriels et autres, les plus importants ayant été déplorés dans
les wilayas d'Alger avec 117 incendies, Blida (76) et Tizi Ouzou (42).

Elles ont également effectué 5347 interventions pour le sauvetage de 316 personnes en
situation de danger et l'exécution de 4694 opérations diverses d'assistance.
Le triangle des Bermudes est une zone géographique de l’océan Atlantique qui aurait été, selon une
croyance répandue, le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d’aéronefs1. Néanmoins, cette
rumeur se fonde surtout sur des informations erronées, embellies ou mal interprétées et non sur des preuves
évidentes, le triangle ne présentant statistiquement parlant aucune anomalie 1,2,3. Ainsi, selon un rapport
du World Wide Fund for Nature en 20134, le triangle des Bermudes ne fait pas partie des endroits les plus
dangereux pour la navigation3.

Zone géographique[modifier | modifier le code]


La zone géographique que représente le triangle des Bermudes est très fluctuante selon les récits rapportés et
les considérations des écrivains qui ont décrit les mystères liés à ce lieu. Selon les auteurs, la zone varie de
500 000 à 1,5 million de kilomètres carrés2, ce qui influe sur le nombre de disparitions qu'on y rapporte.
C'est en février 1964 que Vincent Gaddis dans un article nommé « The Deadly Bermuda Triangle », définit dans
le pulp magazine Argosy, la zone géographique que recouvre le triangle des Bermudes 2. Cette zone se situe à
l'intérieur d'un triangle formé par l'archipel des Bermudes, Miami et San Juan à Porto Rico.
Néanmoins, cette zone géographique n'est pas reconnue par l'United States Board on Geographic Names 2.

Théories explicatives[modifier | modifier le code]


Parmi les diverses hypothèses, on a souvent évoqué des perturbations magnétiques et des flatulences
océaniques, soit des émissions sous-marines d'un gaz hautement inflammable, le méthane dont la présence
sous forme de bulles dans l'eau diminue fortement la densité de l’eau gazeuse ainsi formée jusqu’à provoquer
une perte de flottabilité pour les bateaux (voir hydrate de méthane)14. La présence de méthane dans l'air en
diminue la masse volumique et expliquerait la perte de portance des aéronefs ; si la concentration est suffisante,
elle expliquerait également l'arrêt des moteurs thermiques à piston ou réacteurs 15.
Issus de la décomposition d'éléments organiques comme le pétrole et le charbon, comprimés par la grande
profondeur et la température très basse de l'environnement, libérés lors de la création de failles par
l'activité tectonique, on trouve aussi des gisements importants en mer du Nord où certaines plateformes de
forage, navires et aéronefs auraient été engloutis ou pulvérisés par le même phénomène. Cette thèse a
récemment été renforcée par la publication des travaux d'Anatoli Nesterov, de l'Académie des sciences russe.
Cependant, de l'aveu même de l'auteur, aucune preuve scientifique ne vient étayer cette hypothèse 16,17,18.
On doit cependant noter que de nombreux récits font état de grains blancs dans ce secteur, comme le relate le
film Lame de fond.
L'océanographe Simon Boxall19du National Oceanography Centre Southampton de l'université de Southampton
émet l'hypothèse que des vagues scélérates pourraient être à l'origine de nombreuses disparitions de navires
dans le triangle20.
Par ailleurs, la cartographie par sonar multi-faisceaux a permis de détecter dans une certaine zone un plateau
rocheux sous-marin environné d'affleurements de récifs coralliens. Ce plateau est le vestige d'un ancien volcan
qui formait une île volcanique s'élevant à plus de 1 000 m au-dessus du niveau de la mer. Après l'extinction du
volcan voici 30 millions d'années, l'érosion du vent et de la pluie ne laissa plus qu'un plateau, qui fut presque
entièrement recouvert par l'océan à la fin de la dernière période glaciaire. Aujourd'hui ne subsiste plus à la
surface qu'une petite île, protégée par une barrière corallienne qui entoure le plateau sous-marin (bien plus
large que l'île). La probabilité que ces récifs des Bermudes puissent éventrer la coque des navires est d'autant
plus grande que la mer est calme, car l'absence de vent réduit les courants de la houle qui permettent aux
navigateurs de détecter plus facilement l'affleurement des récifs. Cela pourrait ainsi expliquer les naufrages et
disparitions de certains navires par temps calme, dans cette zone

De 2000 à nos jours

 En juin 2000, un navire coule, le O.B Commander avec ses 125 marins.


 En décembre 2001, l'avion M.P Plane avec Mikael Paré comme commandant.
 En décembre 2002, l'avion Piper PA-23 s’abîme en mer à 15 km au Nord de Freeport, Bahamas.
 En mars 2004, l'avion Piper PA-32RT disparaît des écrans radar à 25 km à l’Ouest de Freeport, Bahamas.
 En mars 2004, l'avion Piper PA-32-300 disparaît et n'est jamais retrouvé.
 En septembre 2005, l'avion Beech BE-58 disparaît.
 En mai 2006, l'avion Cessna 402C s’abîme à la suite d'une panne du moteur droit. 2 personnes ont été
tuées, 6 légèrement blessées et 2 indemnes.
 En octobre 2015, le cargo El Faro disparaît lors de l'ouragan Joaquin, avec 33 personnes à bord.
TsunamiNiveau de risque :  Modéré  ?
Dans la zone que vous avez choisie (Viêt Nam), le risque de tsunami est modéré, d’après les
informations de modélisation actuellement disponibles. Probabilité de plus de 10 % qu’un tsunami
susceptible de causer des dommages survienne au cours des 50 prochaines années. D’après ces
informations, les conséquences d’un tsunami devraient être prises en compte dans les étapes du
projet et pour toutes les activités situées à proximité du littoral. Les décisions relatives à la
planification du projet, à sa conception et aux techniques de construction devraient tenir
compte du risque de tsunami. Il convient d’obtenir des informations supplémentaires détaillées
afin de bien prendre en compte le niveau d’aléa.
Effets du changement climatique : Les zones exposées à un risque de tsunami s’étendront avec
l’élévation mondiale du niveau de la mer. Selon le GIEC (2013), l’élévation mondiale du niveau de la
mer dépendra de divers facteurs, et les estimations pour 2100 sont comprises entre environ 20 cm et
près d’un mètre. Les projets situés dans une zone côtière de faible altitude, comme un delta, ou sur
une île, devraient être conçus pour résister à l’élévation projetée du niveau de la mer.
Recommandations
  EXPERTISE TECHNIQUE : Faites appel à des experts locaux ou internationaux ayant de l’expérience
dans la zone concernée, afin de déterminer le risque de tsunami pour votre projet. Sollicitez leur
aide pour planifier la conception, la mise en œuvre et l’entretien de vos installations afin de
minimiser les conséquences d’un tsunami. En savoir plus

  RÉGLEMENTATIONS : Vérifier auprès des autorités l’existence de réglementations locales sur le


risque de tsunami et d'éventuelles conséquences. Veillez à ce que votre projet respecte les règles
relatives aux zones tampons anti-tsunami, la réglementation relative aux inondations et toute autre
disposition ou plan existant d'alerte et d’évacuation. En savoir plus

  IMPACT LOCAL : Tenez compte de l'effet qu'une destruction ou un grave endommagement des
bâtiments et des infrastructures liées au projet pourraient avoir sur la population locale et sur
l'environnement. En savoir plus

  SERVICES FOURNIS PAR LES ENTREPRISES DE RÉSEAU ET ACCÈS : Songez aux répercussions


possibles d’une inondation due à un tsunami sur la disponibilité et le fonctionnement des services
de transport, de communications, d’approvisionnement en eau, d'assainissement, d'énergie et de
santé publique dans la perspective de l'exécution continue du projet. En savoir plus

  INFRASTRUCTURES CRITIQUES : Si le projet prévoit la construction d'infrastructures critiques (par


exemple, hôpital, caserne de pompiers, lignes électriques), songez aux effets en cascade sur les
réseaux vulnérables dont dépend le projet (par exemple, approvisionnement électrique et réseaux
informatiques et de communication) et qui pourraient lui nuire, même si le site du projet n'est pas
lui-même inondé. En savoir plus

  SYSTÈMES D’ALERTE PRÉCOCE : Un système d'alerte précoce pourrait s'avérer nécessaire pour
permettre l'évacuation des lieux en toute sécurité et l'arrêt temporaire des opérations si cela permet
de réduire les dommage ou d'éviter qu'ils ne s'aggravent. Examinez les moyens d'assurer
l'évacuation du site du projet en cas d'alerte (par exemple, transport, itinéraires d’évacuation,
refuges) ; planifiez les mesures à prendre et organisez des exercices d'évacuation. En savoir plus
  ASSURANCES : Envisagez l’achat d’assurances pour couvrir les pertes éventuelles sur le
projet. Même si l’assurance n’empêche pas les accidents ou les décès, ou sauver des communautés,
elle peut indéniablement réduire les pertes financières et permettre au projet de se remettre des
effets d’un tremblement de terre et de reprendre ses fonctions plus rapidement

Les services de la Sûreté de wilaya d’Alger,  représentés par la première sûreté urbaine de
Tessala El Merdja, relevant de la sûreté de la circonscription administrative de Birtouta, ont
procédé à l’arrestation de 4 individus dans une affaire de détention de drogues dures et de
possession d’armes blanches sans motif légitime, a indiqué un communiqué de la Sûreté de
wilaya publié ce samedi. L’affaire a été menée sous la supervision du parquet territorialement
compétent, suite à l’exploitation d’une information signalant des individus qui s’adonnaient
au trafic et à la vente de drogue à bord d’un véhicule. Suite à un plan bien ficelé, les mêmes
services ont arrêté les suspects âgés entre 20 et 49 ans, originaires de la wilaya d’Alger, a
précisé la  même source. Après la fouille corporelle des suspects et le contrôle du véhicule
utilisé pour le transport de la drogue, 16 sachets de drogues dures (tchouchna) et deux (02)
morceaux de cannabis ont été saisis, en sus d’un montant de 9500 DA, ajoute le communiqué.
A l’issue de la perquisition des domiciles des suspects, une quantité de  psychotropes, ainsi que
4 armes blanches  (grand gabarit) ont été saisis. Après parachèvement des procédures légales,
les mis en cause ont été déférés devant le parquet territorialement compétent, a conclu le
communiqué.

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