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Module :
Droit Maritime
Préparé par :
ABDESSAMAD OUAZENTE
AYOUB DOU - TAYEB
RADYA OUAMOU
Année universitaire :
2019 - 2020
LES ÉVÉNEMENTS
DE LA MER
SOMMAIRE
Partie 1 : Le régime juridique de l’abordage maritime
Chapitre 1 : l’abordage maritime fautif
Section 1 : la faute unilatérale
Section 2 : la faute commune
Chapitre 2 : l’abordage maritime non fautif
Section 1 : l’abordage fortuit ou de force majeure
Section 2 : L’abordage douteux
La mer est un élément qui nous attire par ces ressources et permet aussi le
développement des échanges au niveau commercial et des personnes entre les
continents. C’est grâce à l’eau que les Égyptiens ont pu construire leur
pyramide qui reste encore aujourd’hui une des sept merveilles du monde. L’eau
fait naître en nous un sentiment de peur. Cette crainte apparaît du fait que
l’homme n’est pas comme un poisson dans l’eau. La mer sait se montrer
violente. Le droit maritime c’est construit en tenant compte de ce risque de la
mer qui en fait son particularisme.
La navigation maritime, par sa nature, reste menacée par des risques dont le
plus important est l’abordage maritime, cet événement de mer est devenu un
péril plus rare qu’autrefois, parce que les navires manœuvrent mieux, suivent
une route déterminée, sont moins nombreux, plus facile à diriger. Mais en
revanche, quand un abordage se produit, le péril est plus grand qu’il n’a jamais
été. 1
De nos jour, sur le plan interne, l’abordage est régi par le DCCM de 1919 du
28 Joumada II 1337 (31 mars 1919) (B.O.du 26 mai 1919, p. 478 et
rectifié le 15 août 1930, p. 953), et ce, dans ses articles 292 à 299.
Sur le plan international, il est régi par la convention sur R.P.P.A.M de 1972,
ratifiée par le Maroc le 27 avril 1977 et entrée en vigueur le 15 juillet 1977.
1
Roné RODIERE, Emmanuel DU PONTAVICE / droit maritime /Dalloz DE édition 12,p.431
- Au Maroc, en date de 18/11/74, le journal de la marine marchande a montré, dans une publication, que le
nombre des abordages maritimes au Maroc est de 32 cas, après vient la perte des navires qui est de 10 cas.
Pour plus d’information voir ز
200 ص2000-1420-21 الطبعة األولى/ المطبعة و الورقة الوطنية/ فرع التصادم, الوسيط في التأمين البحري/ المختار العطار.
2
24 ص2006 منشأة المعارف/ 1981 لسنة26 التصادم البحري وفقا للقانون البحري اإلمارتي رقم/ يوسف عبد الرحمان,يعقوب.
Le sujet d’abordage maritime occupe une importance, dans la mesure où tout
navire et toute embarcations peut être victime de cet événement de mer non pas
dans la haute mer mais aussi dans le littoral notamment dans les zones
maritimes restreintes et les traits vu le grand nombre des navires et
embarcations qui existent.
Le tout en raison de la faute humaine, car les statistiques ont prouvé que 70%
des abordages sont fautifs, tandis que le reste est non fautifs3.
L’abordage maritime fautif peut résulter soit d’une faute unilatérale soit faute
commune.
C’est l’abordage causé par la faute de l’un des navires, il est prévu par l’article
294 du Code de commerce maritime qui dispose que : « si l'abordage est causé
par la faute de l'un des navires, la réparation des dommages incombe à celui qui
l'a commise. ».
3
.14 ص2005 دار الجامعة الجديدة للنشر/ التصادم البحري/ محمد عبد الفتاح ترك
oblige son auteur à réparer ledit dommage quand il est la cause directe (article
77 du DOC)4.
La faute du capitaine peut consister soit dans une violation des règles sur la
route de mer, les feux et les signaux, fixées par les conventions internationales
et les règlements, soit dans une imprudence ou une négligence quelconque.
C’est le demandeur qui doit prouver qu’il y ait une faute par tous moyens en
application de l’article 399 du Doc et l’article 334 du CCM6, dans la mesure où
il n’y a plus de présomption de faute du côté du gardien des choses par rapport à
4
L’article 77 : « out fait quelconque de l'homme qui, sans l'autorité de la loi, cause sciemment et
volontairement à autrui un dommage matériel ou moral, oblige son auteur à réparer ledit dommage, lorsqu'il
est établi que ce fait en est la cause directe.
Toute stipulation contraire est sans effet »
5
Il s’agit alors de la convention de Londres sur le règlement international pour prévenir les abordages en mer
du 2 octobre 1972. En annexe à cette convention, le 20 novembre 1973, l’assemblée de l’OMCI (aujourd’hui
OMI) a adopté des dispositions générales relatives à l’organisation du trafic maritime (Résolution A.284/VIII).
6
L’article 399 du Doc : « La preuve de l'obligation doit être faite par celui qui s'en prévaut. »
L’article 334 du Code de commerce : « En matière commerciale la preuve est libre… »
la responsabilité délictuelle du fait de chose dans le D.O.C d’où l’importance de
la qualification de l’événement un abordage maritime ou pas.
Dès lors, si la collision est considérée un abordage maritime, cela signifie que
le demandeur doit prouver la faute, dans le cas contraire la collision sera
soumise aux règles de droit commun selon laquelle la responsabilité du gardien
de chose est toujours présumée.
Etant donné que l’abordage maritime est un fait matériel, cela n’empêche pas
l’utilisation des moyens de preuve prévues par le Doc dans son article 404. Le
premier moyen est le rapport de mer dressé par le capitaine pour la constations
de ce fait.
7
Ainsi, une préemption de droit accablait le navire en mouvement qui avait abordé un navire au mouillage.
Cette préemption n’existe plus comme telle, mais les juges peuvent prendre en considération cette situation à
titre de préemption de fait : ex. dans Poitiers, 25 juin 1976,DMF, 1977.85. Pour plus d’information voir Roné
RODIERE, Emmanuel DU PONTAVICE/ précité, p.438.
8
En France avant la loi de 1915, l’alinéa 4 de l’article 407 a prévu expressément le droit de recourir à
l’expertise en vue de déterminer la responsabilité, sauf que la Cour de cassation française a considéré que ce
recours n’étant pas obligatoire mais facultatif, mais on a constaté le silence de la loi 1915 sur cette question de
l’expertise , ce qui signifie que le recours à l’expertise en matière d’abordage reste soumit aux règles du Code
de procédure civile française voir :
R. RODIERE, P. LUREAU/ Traité général de droit maritime/Dalloz, 1972,p.99.
Sauf que le problème se pose pour le témoignage, en cas d’un abordage dans
la haute mer, parce qu’il ne peut s’agir que des marins ou des personnes au
voyage à bord, ce qui affecte l’impartialité et la neutralité de leurs témoignages.
La faute commune peut être définie comme une collision résultant de la faute
des deux navires. Aux termes de l’article 295, la responsabilité de chacun des
navires est proportionnelle à la gravité des fautes respectivement commises, si
ce n’est qu’en cas d’impossibilité d’établir cette proportion, la responsabilité est
partagée par part égale. À titre d’illustration un navire qui enfreint les règles de
route et l’autre qui enfreint les autres des signes vocaux ou les signes de
lumières.
La répartition des parts pose une question assez importante, car certainement
l’abordage survenu entraine des préjudices aux tiers dans leurs intégrités
physiques telles que les blessures ou la mort, ainsi on se demande sur la place
de la solidarité envers c’est tiers ?
En effet, l’article 295.al.2 et 3 prévoit que : « les dommages causés soit aux
navires, soit à leur cargaison, soit aux effets ou autres biens des équipages des
passagers ou autres personnes se trouvant à bord, sont supportés par les navires
en faute, dans ladite proportion, sans solidarité à l'égard des tiers.
Les navires en faute sont tenus solidairement, à l'égard des tiers, pour les
dommages causés par la mort ou les blessures, sauf recours de celui qui a payé
une part supérieure à celle que, conformément à l'alinéa premier du présent
article, il doit définitivement supporter. »
Cette règle est tellement négative, du fait que souvent les chargeurs de
marchandises ou les personnes au voyage attaquent le navire qui ne transporte
pas leurs biens pour l’obtention d’une indemnité globale qu’ils nous pourraient
avoir, s’ils attaquent le navire avec lequel sont engagées.9.
9
410 دار المطبوعات الجامعية ص/ القاننون البحري/ مصطفى كمل طه.48 مرجع سابق ص/ احمد حسني.
L’étendue de la solidarité en cas d’un préjudice physique causé aux
tiers :
Pour des raisons humanitaires, l’article 295.al.2 exige la solidarité entre les
navires en cas d’un préjudice physique comme les blessures et la mort, le
problème est que la personne attaquée dans ce cas peut payer une indemnité
beaucoup plus que la part due, mais il y a une solution, c’est que ce dernier peut
revenir contre l’autre navire pour demander le surplus payé.
Toutefois, pour que ces personnes ne soient pas toujours menacées par
l’action de revendication du surplus, l’article 297.al.2 Le délai pour intenter les
actions en recours admises dans ce cas est d'une année à compter du jour du
paiement.
L’abordage maritime non fautif revêt deux formes, soit un abordage fortuit
soit un abordage douteux.
10
Dans cette perspective, le tribunal de commerce de Seine en date du 09/01/1933 a considéré que : « si la
tempete, en principe, ne constitue pas un cas fortuit, elle acquière cette qualité quand elle devient
insurmontable vu sa gravité anormale » voir, à cet égard :
J. SERVAT/ De la responsabilité en matière d’abordage maritime / thèse de doctorat/ Toulouse, p.1935.
11
Les marins utilisent souvent le terme de brume quelle que soit la visibilité horizontale et le nomment
également fumée de mer quand il s'agit de brume d'évaporation
12
G.RIPERT/précité, p.56.
13
R.RODIERE,P. LUREAU/ précité, p.33.
14
G.RIPERT/ précité, p.28 et R.RODIERE / précité, p.32.
La règle en droit commun est que la force majeure est une cause
d’exonération de l’obligation. Il s’agit d’une règle qui a été connue depuis les
romains Nemo praestat casum aut vim Majorem.
Cependant, les rôles d’Oléron n’ont pas pris de cette règle, de même que les
autres règles qui y sont ultérieures qui ont considéré que chaque navire doit
supporter la moitié du préjudice15.
Toutefois, Emerigon, il s’agit d’une règle injuste, parce que cela ne concerne -
que l’abordage douteux16.
Ledit code dans son article 293 a mis fin à ce débat doctrinal en considérant
que les dommages sont supportés par ceux qui les sont éprouvés même lorsque
ces derniers ou l’un d’entre eux sont dans un état d’accostage lors de la
collision.
Cet article prévoit que : « Si l'abordage est fortuit, s'il est dû à un cas de force
majeure ou s'il y a doute sur les causes de l'abordage, les dommages sont
supportés par ceux qui les ont éprouvés.
Cette disposition est applicable dans le cas où les navires ou seulement l'un
d'entre eux sont au mouillage au moment de l'accident. »
15
G.RIPERT/précité,p.25.
16
D.BURET / L’abordage maritime, thèse doctorat, Paris, 1888/p.183
l’article 299, il s’agit d’une règle applicable pour toutes les différentes formes
d’abordage.
Cet article prévoit que : « En cas d'abordage, le demandeur pourra à son choix
assigner devant le tribunal du détendeur ou devant le tribunal du port d'attache
du navire.
En cas de nécessité, le juge des référés peut, par ordonnance rendue sur simple
requête, abréger dans la mesure qu'il juge convenable des délais de distance
fixés par le Code de procédure civile, sommation de comparaître devra être
adressée au défendeur, le cas échéant, par télégramme avec accusé de réception
expédié par le secrétaire-greffier. »
Cette solution a été adoptée par plusieurs législations comme celle Chilienne
par exemple, tandis que la législation Egyptienne, Turque et Hollandaise ont
prévu le partage de responsabilité entre navires selon la gravité du préjudice19.
Le DCCM a prévu dans son article 293 une nouvelle solution qui consiste à ce
que chaque navire supporte le préjudice subi par lui.
Il est à noter que certaine législation dont relève celle espagnole n’a pas prévu
l’abordage douteux, selon elle l’abordage peut être soit fortuit ou fautif, ce qui
signifie que tout abordage douteux revêt indirectement la forme pour elle d’un
abordage fortuit.
18
Voir ce qui est précité encore, p. 09.
19
ED. VERMOND / Manuel de droit maritime, 4 ème édion / recueil Sirey, 1915,p.358
Voire à la différence de la législation marocaine, certaines législations
comparées n’ont pas fait de l’abordage douteux un abordage engageant la
responsabilité, au motif que les causes de cet abordage sont inconnues, il en est
ainsi de la législation américaine, Allemande, Italienne, Belge.20
20
G.RIPERT/ précité,p.108.
PARTIE II :
Avarie commune,
assistance et
sauvetage maritimes
En droit maritime au contraire, s’il existe des dommages qui sont soufferts
seulement par le détenteur d’une chose, il peut également se trouver des
dommages qui sont endossées par toutes les personnes impliquées dans le
voyage par mer. La responsabilité du transporteur n’est donc pas mise en jeu
dans tous les cas.
21
CA de Versailles du 15 janvier 2009, BTL n°3257 du 2 février 2009, p. 76 et 77.
22
Loi n°67-545 du 7 juillet 1967 relative aux événements de mer (droit français)
Ainsi, selon les dispositions de l’article 313 du Dahir de 1919 : « Sont avaries
communes, à la condition d'avoir eu un résultat utile, les dommages soufferts
volontairement et les dépenses extraordinaires faites pour le salut commun du
navire et de la cargaison23».
23
Code de commerce maritime (28 joumada II 1337) (B.O. 26 mai 1919 et rectif. 15 août 1930).
24
Règle A
25
Article 312 du Dahir 1919
dépense supportée par celui qui l’a subie ou exposée, et qui ne donne lieu à
aucun recours.
Les sacrifices et dépenses réalisés par le capitaine vont donner lieu, non à une
réparation – qui suppose la couverture intégrale du préjudice –, mais à une
contribution versée à celui/ceux qui a/ont subi les pertes consenties afin de
sauver les biens des autres intéressés à l'expédition maritime.
La contribution est due par tous, qu’il y ait assurance ou non. Ceux qui sont
assurés seront remboursés par leur assureur de la contribution qu’ils auront
payée, tandis que les autres devront la conserver à leur charge.
Quant à la masse débitrice ou passive, elle est composée de toutes les valeurs
sauvées à la fin du voyage. Il s’agira donc du navire et de la cargaison sauvée.
26
Ce sont les engins flottants et les navires en état de non-flottabilité et qui sont abandonnés par leur équipage
qui n’en assure plus la garde ou la surveillance.
27
Loi n°67-545 du 7 juillet 1967 relative aux événements de mer.
Le Code de commerce maritime de 1919 a consacré onze articles (article 300
à 309 bis) à l’assistance, notamment à la question de la rémunération.
Ensuite, certaines conditions sont requises pour admettre que l’on est en
présence d’une assistance maritime :
L'assistante doit être portée à un navire : il doit s’agir d’un navire. Il est
important de souligner que tous les engins flottants sont assimilés aux
navires. Le secours par voie terrestre ou aérienne n’est pas assimilé à une
assistance maritime.
L’existence d’un danger : L’existence d'un péril, dans les eaux maritimes,
reste une condition essentielle. L'assistance doit avoir été prêtée à un navire
ou un bien en danger de se perdre. Si un navire qui se trouve dans une rade
sûre demande de l'aide à un autre navire, il n'y a pas assistance.
L ’acceptation de l’assistance : L'assisté devra soit avoir solliciter l'assistance
ou l'avoir accepté expressément ou tacitement, en tout cas sans équivoque.
L’absence d’une obligation contractuelle de secours : enfin, l'assistance
maritime exige qu'il n'y ait pas d’obligation contractuelle de secours. Dans
l’hypothèse inverse, on serait en présence d’une convention de remorquage28.
N.B : Si plusieurs navires se proposent de porter secours à un navire en détresse,
ce dernier doit indiquer celui ou ceux dont il souhaite l'assistance et les autres
sont libérés de leur obligation.
28
L’activité de remorquage consiste en la fourniture par un ou plusieurs remorqueurs à un navire de la puissance
lui permettant de se déplacer ou de manœuvrer sans que ce service ait un caractère d’assistance ou de sauvetage.
En d’autres termes, c’est lorsque qu’un navire prend en remorque un autre navire, et s'engage à le déplacer de
son point actuel à un point déterminé. Ici on ne parle pas d’une assistance, même si le remorqueur sauve de fait
le navire.
L’assistance et le sauvetage maritimes étant des services rendus aux navires,
aux personnes et aux biens, on est en droit de se poser la question de savoir
quelle est la contribution que le bénéficiaire apportera à l’assistant ou au
sauveteur. De façon assez nette et directe, il y a lieu de se demander si
l’assistant ou le sauveteur a droit à une rémunération et à quelles conditions ?
La première condition pour que l’assistant ait le droit d’être rémunéré est que
son action ait eu un résultat utile, c’est-à-dire pas de résultat, pas de
payement. L’article 301 du Code de commerce maritime stipule : « Tout fait
d'assistance ou de sauvetage ayant eu un résultat utile donne lieu à une équitable
rémunération. Aucune rémunération n'est due si le secours prêté reste sans
résultat utile ».
Ensuite, il convient de relever que lorsque des personnes ont pris part aux
opérations d’assistance malgré la défense expresse et raisonnable du navire
assisté, elles n’auront pas droit à une rémunération30.
En outre, la rémunération est payée par les assureurs. Ces derniers prennent à
leur charge le payement de la rémunération, parce que c’est grâce à l’assistance
qu’ils ont évité la perte du navire ou de la cargaison.
29
Article 301 du Code de commerce maritime
30
Article 302 du Code de commerce maritime
Le montant de la rémunération est fixé par la convention des parties, et à
défaut, par le juge31. Il faut préciser, cependant, que lorsque la rémunération est
fixée par le tribunal, des éléments de calcul entrent en considération. En premier
lieu le succès obtenu ; les efforts et mérite de ceux qui ont prêté
secours ; le danger couru par le navire assisté, par ses passagers ou son
équipage, par sa cargaison, par les sauveteurs et par le navire sauveteur ; le
temps employé ; les frais et dommages subis et les risques de responsabilité et
autres courus par les sauveteurs ; la valeur du matériel exposé par eux, en tenant
compte le cas échéant de l’appropriation spéciale du navire assistant ; toutes
mesures prises pour prévenir ou limiter les dommages liés à
l’environnement. En second lieu, la valeur des choses sauvées, le fret et le prix
de passage.
31
Article 305 du Code de commerce maritime
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
LES OUVRAGES :
- Dibas-Franck, Eric, Le droit maritime dans la zone CEMAC, éd.
L'Harmattan, 2018
- Delebecque, Philippe, Droit maritime, Ed. 13, 2014
- Cherkaoui Hassania, Le Droit Maritime – Marocain et comparé,
A.M.D.M.A, 2014
- Piette, Gaël, Droit maritime, Ed. 1, Gualino, 2018
- Venturelli, Nadine, Pons, Hugo, Le transport maritime, éd. Le Génie
Editeur, 2018
- Rodière René & du Pontavice Emmanuel, Droit maritime, Précis Dalloz,
12ème édition 1997
THESES DE DOCTORAT :
- BURET (D.) / L’abordage maritime, thèse doctorat / Paris, 1888.
- Georges RIPERT / étude des conventions de Bruxelles 1910 / thèse
doctorat / université MARSEILLE 1911.
- SERVAT (J.), De la responsabilité en matière d’abordage maritime,
Thèse Doctorat, Toulouse, 1935.
TEXTES OFFICIELS, LES LOIS :
- Loi n°67-545 du 7 juillet 1967 relative aux événements de mer
- Dahir du Code de Commerce Maritime (DCCM), 31 Mars 1919
SITES INTERNET :
- http://www.logistiqueconseil.org/Articles/Transport-
maritime/
- https://actumaritime.com/2014/02/11/les-aspects-
juridiques-du-sauvetage-rempr-et-de-lassistance-en-
mer/
- https://www.ires.ma/
- https://www.ca.dsv.com/fr-ca/telechargements-et-
services/assurance-facultes/avaries-communes
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