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Le 

transport aérien désigne l'activité de


transport de passagers ou de fret effectuée par la
voie des airs, ainsi que le secteur économique
 regroupant les activités principales ou annexes
concernant ce mode de transport.
Transport aérien
 Convention de Varsovie (1929) appliquée largement dans la plupart
des états du monde (plus de 150 pays). Elle met en place des barèmes
d’indemnisation en cas de dommages causés aux marchandises ou
aux voyageurs.
Cette CvI couvre de manière commune les marchandises et voyageurs et
règle la question des bagages.
 Convention de Montréal (1999) mise en place par l’Organisation de
l’Aviation Civile Internationale (OACI) [qui fixe notamment les
conditions à remplir pour être pilote d’avion, pour qu’une compagnie
aérienne garde sa licence de transport aérien, etc…]. Cette CvI est
entrée en application en 2003, pour les Etats qui l’ont ratifiée (plus de
50 pays) et qui permet entre autres de fixer une meilleure
indemnisation des victimes en cas de dommages.
 Convention de Chicago (1944) fixe les règles de l’aviation civile
internationale (rapports d’aéroport à aéroport, lignes aériennes, etc.,
consignes à respecter)
Ce sont les différents intervenants :
entrepreneurs liés par un rapport contractuel.
Le transport aérien fait intervenir plusieurs partenaires :
• l’agent de fret aérien qui organise le transport principal
• un commissionnaire ou transitaire qui effectue les opérations et formalités
nécessaires

le contrat est conclu entre le transporteur :

la
compagnie le chargeur
aérienne
1. Prise en charge de la marchandise Avant de confier la marchandise au transporteur, l’expéditeur ou le
donneur d’ordre doit s’occuper du conditionnement et de l’identification,

2. Déplacement de la marchandise
Dans le cas d’un transport aérien, la Convention de Varsovie prévoit que le transporteur est responsable du
retard sauf s’il démontre que lui et son personnel ont pris toutes les mesures nécessaires pour éviter un
dommage.
Ex : la compagnie n’est pas responsable en cas de faute de pilotage (l’assurance payera mais pas la
compagnie).

3. La livraison de la marchandise
Comme la prise en charge, c’est à la fois une opération matérielle (les marchandises sont remises) et
juridique (responsabilité : garde des marchandises transmise au destinataire).
Le déchargement se fait dans les mêmes conditions que le chargement.
Lors du déchargement, le destinataire peut constater des dommages apparents, son intérêt est d’émettre
des réserves précises sur le document de transport pour établir la preuve de ce qu’il constate et
pouvoir obtenir une indemnisation.
La convention de Varsovie.

 Convention pour l'unification de certaines règles relatives au Transport aérien


international, signée le 12 octobre 1929.
 Elle définit et décrit les mentions à porter sur les documents de transport aérien ou
titres de transport
 Apporte des précisions sur la nature des documents qui doivent toujours
accompagner la LTA (Lettre de Transport Aérien)
 Définie les responsabilités des parties au contrat en cas de dommages corporels ou
matériels
 Définit en cas de litige les tribunaux compétent
 délimite les délais de déclaration du dommage subit et celui de l’action en
responsabilité
 Précise les limitations de son champ d’application dans le cas d’un transport combiné
qui implique outre d’autres modes de transport, une opération de transport aérien.
La convention de Varsovie continue à s'appliquer aux Etats qui ne sont pas parties à la
Convention de Montréal
La Convention de Varsovie
pose les bases du droit aérien

Convention pour l’unification de certaines règles relatives au transport aérien


international, signée à Varsovie le 12 octobre 1929 dite
« Convention de Varsovie ».
Adoptée dès l’origine du transport aérien, la Convention de Varsovie a longtemps
constitué le texte de référence des transports aériens internationaux.
 Cette convention a fait l’objet de nombreux protocoles modificatifs (le Protocole de la
Haye du 28 septembre 1955 et le Protocole de Montréal du 25 septembre 1975)
aboutissant à un régime du transport aérien international complètement morcelé.
C’est dans cet objectif d’uniformisation du droit que la Convention de Montréal a été
signée en 1999.
Le champ d’application de la Convention de Varsovie et de ses protocoles:
La Convention de Varsovie et ses protocoles modificatifs continuent de
s’appliquer à tout transport international
 de passagers
 de marchandises et de bagages

réalisés entre États non-partis à la Convention de M État


aréalisésentre États non-partis à la
Convention de Montréal, ou entre un
État ayant ratifié la Convention de
Montréal et un État non-partie.
yat ratifié la Convention de Montréal et un État non-partie.
Les principes et droits énoncés par la convention de Varsovie :
Le régime de responsabilité civile du transporteur en cas de dommage
survenu au cours du transport aérien ; le transporteur ne peut
s’exonérer de cette responsabilité que s’il apporte la preuve soit de la
faute exclusive de la victime, soit qu’il a pris toutes les mesures qui
pouvaient raisonnablement s’imposer pour éviter le dommage, ou qu’il
leur était impossible de les prendre.
 Le passager aérien a droit à une indemnisation plafonnée à 16 600
DTS en réparation du préjudice corporel subi.
 En cas de perte de bagage, l’indemnisation est plafonnée à 17 DTS
par kilo de bagage.
-1. La présente Convention s’applique à tout transport international de personnes, bagages ou marchandises,
effectué par aéronef contre rémunération.
Elle s’applique également aux transports gratuits effectués par aéronef par une entreprise de transports
aériens.
-2. Est qualifié transport international, au sens de la présente Convention, tout transport dans lequel, d’après
les stipulations des parties, le point de départ et le point de destination, qu’il y ait ou non interruption de
transport ou transbordement, sont situés soit sur le territoire de deux Hautes Parties Contractantes, soit sur le
territoire d’une seule Haute Partie Contractante n’est pas considéré comme international au sens de la présente
Convention.
-3. Le transport à exécuter par plusieurs transporteurs par air successifs est censé constituer pour
l’application de la présente Convention un transport unique lorsqu’il a été envisagé par les parties comme une
seule opération, qu’il ait été conclu sous la forme d’un seul contrat ou d’une série de contrats, et il ne perd pas
son caractère international par le fait qu’un seul contrat ou une série de contrats doivent être exécutés
intégralement dans le territoire d’un même Etat.
-1. La Convention s’applique aux transports effectués par :

l’Etat ou les autres personnes juridiques de droit public, dans les conditions prévues à l’article 1 .

-2. La présente Convention ne s’applique pas :

*au transport du courrier et des colis postaux .


1. Dans le transport de passagers, un billet de passage doit être délivré contenant :
a) l’indication des points de départ et de destination .

b) Si les points de départ et de destination sont situés sur le territoire d’une même Haute
Partie Contractante et qu’une ou plusieurs escales soient prévues sur le territoire d’un
autre Etat, l’indication d’une de ces escales .

c) Un avis indiquant que les passagers entreprennent un voyage comportant une


destination finale ou une escale dans un pays autre que le pays de départ, leur transport
peut être régi par la Convention de Varsovie qui, en général, limite la responsabilité du
transporteur en cas de mort ou de lésion corporelle, ainsi qu’en cas de perte ou d’avarie
des bagages .
-2. Le billet de passage fait foi, jusqu’à preuve du contraire, de la conclusion et des
conditions du contrat de transport.
L’absence, l’irrégularité ou la perte du billet n’affecte ni l’existence ni la validité du contrat
de transport, qui n’en sera pas moins soumis aux règles de la présente Convention.

Toutefois,
 si du consentement du transporteur, le passager s’embarque sans qu’un billet de passage
ait été délivré
 ou si le billet ne comporte pas l’avis prescrit à l’alinéa 1 du présent article des
dispositions de l’article 22.
Responsabilité du transporteur
ARTICLE 17
Le transporteur est responsable du dommage survenu en cas :
de mort, de blessure ou de toute lésioncorporelle subie par un voyageur lorsque
l’accident qui a causé le dommage s’est produit à bord de l’aéronef
ou au cours de toutes opérations d’embarquement et de débarquement.
ARTICLE 18
- 1. Le transporteur est responsable du dommage survenu en cas de destruction, perte ou
avarie de bagages enregistrés ou de marchandises lorsque l’évènement qui a causé le
dommage s’est produit pendant le transport aérien.
- 2. Le transport aérien, au sens de l’alinéa précédent, comprend la période pendant
laquelle les bagages ou marchandises se trouvent sous la garde du transporteur, que ce
soit dans un aérodrome ou à bord d’un aéronef ou dans un lieu quelconque en cas
d’atterrissage en dehors d’un aérodrome.
- 3. La période du transport aérien ne couvre aucun transport terrestre, maritime ou
fluvial effectué en dehors d’un aérodrome. Toutefois lorsqu’un tel transport est effectué
dans l’exécution du contrat de transport aérien en vue du chargement, de la livraison ou
du transbordement, tout dommage est présumé, sauf preuve contraire, résulter d’un
évènement survenu pendant le transport aérien.
La convention relative à l'aviation civile internationale, dite de
Chicago signée le 7 décembre 1944. Elle définie et décrit les
règles d’exploitation des aéronefs civil, des aéroports, les
règles de navigation, la sécurité aérienne, les qualifications
du personnels navigant, les normes internationales en
matière de transport aérien civil et présente l’OACI
(Organisation de l’Aviation Civile Internationale)
La Convention de Montréal
Convention pour l’unification de certaines règles relatives au transport aérien international, signée à
Montréal le 28 mai 1999, dite « Convention de Montréal ».
•Le champ d’application de la Convention de Montréal :
• La Convention de Montréal lie tous les États l’ayant signée et ratifiée (c’est-à-dire 191
États membres, listés sur le site Internet de l’Organisation internationale de l’aviation civile).
 Elle est entrée en vigueur le 28 juin 2004 à l’égard des États membres de l’Union
européenne.
 Elle s’applique à tout transport international de passagers (mais aussi de bagages ou de
marchandises), effectué par aéronef 
on entend ici par transport international « tout transport dans lequel, d’après les stipulations des
parties, le point de départ et le point de destination, qu’il y ait ou non interruption de transport ou
transbordement, sont situés soit sur le territoire de deux États parties, soit sur le territoire d’un
seul État partie si une escale est prévue sur le territoire d’un autre État,
même si cet État n’est pas un État partie.

Le transport sans une telle escale entre deux points du territoire d’un seul État partie n’est pas
considéré comme international » au sens de cette convention.
•Les principes et droits énoncés par la Convention de Montréal :
« L’importance d’assurer la protection des consommateurs dans le transport aérien international et la
nécessité d’une indemnisation équitable fondée sur le principe de réparation » (Préambule)

•Le principe de responsabilité illimitée du transporteur en cas dommage corporel et le droit


à indemnisation du passager :
• Une responsabilité de plein droit :
  le transporteur est automatiquement tenu responsable du préjudice survenu en cas de mort ou
de lésion corporelle subie par un passager 

 Le transporteur ne peut exclure ou limiter sa responsabilité pour les dommages ne dépassant


pas 100 000 droits de tirage spéciaux (DTS) par passager .

 Au-delà de cette somme, le transporteur n’est pas responsable des dommages s’il prouve que le
dommage n’est pas dû à une négligence de sa part, ou qu’il résulte uniquement de la négligence
d’un tiers (article 21). Cette limitation de responsabilité ne s’applique pas s’il est prouvé que le
dommage résulte d’un acte ou d’une omission du transporteur (article 22).
•La responsabilité de plein droit du transporteur en cas de destruction,
perte ou avarie de bagages enregistrés et le droit à indemnisation du
passager :

•Le transporteur est automatiquement tenu responsable du dommage


survenu
 en cas de destruction
 perte ou avarie de bagages enregistrés, par cela seul que le fait qui a
causé la destruction,
la perte ou l’avarie s’est produit à bord de l’aéronef ou au cours de toute
période durant laquelle le transporteur avait la garde des bagages
enregistrés.
Toutefois, le transporteur
n’est pas responsable.

si et dans la mesure Dans le cas des bagages non


enregistrés, notamment des
où le dommage
effets personnels,
résulte de la nature
le transporteur est
ou du vice propre des
responsable si le dommage
bagages
résulte de sa faute ou de celle
de ses préposés ou
mandataires (article 17).
La responsabilité du transporteur est limitée à la somme de
1 000 DTS par passager
* sauf déclaration spéciale d’intérêt à la livraison faite par
le passager au moment de la remise des bagages
enregistrés au transporteur et moyennant le paiement
éventuel d’une somme supplémentaire.
Dans ce cas, le transporteur sera tenu de payer jusqu’à
concurrence de la somme déclarée, à moins qu’il prouve
qu’elle est supérieure à l’intérêt réel du passager à la livraison
(article 22).
Cette limitation de responsabilité ne s’applique pas s’il est
prouvé que le dommage résulte d’un acte ou d’une omission
du transporteur (article 22).
La responsabilité du transporteur en cas de
retard et le droit à indemnisation du passager :
Cependant, le
transporteur n’est pas
responsable du
dommage causé par
Le transporteur est un retard s’il prouve
que lui, ses préposés
responsable du dommage et mandataires ont pris
résultant d’un retard dans toutes les mesures qui
le transport aérien de pouvaient
passagers, de bagages ou raisonnablement
de marchandises. s’imposer pour éviter le
dommage, ou qu’il leur
était impossible de les
•La responsabilité du transporteur est limitée à la prendre (article 19).
somme de 4 150 droits de tirage spéciaux par passager
(soit environ 4 878 € à la date du 21 décembre 2011).
Article 1er - Champ d’application
1. La présente convention s’applique à tout transport international de personnes, bagages ou marchandises,
effectué par aéronef contre rémunération. Elle s’applique également aux transports gratuits effectués par
aéronef
par une entreprise de transport aérien.
2. Au sens de la présente convention, l’expression transport international s’entend de tout transport dans lequel,
d’après les stipulations des parties, le point de départ et le point de destination, qu’il y ait ou non interruption de
transport ou transbordement, sont situés soit sur le territoire de deux Etats parties, soit sur le territoire d’un seul
Etat partie si une escale est prévue sur le territoire d’un autre Etat, même si cet Etat n’est pas un Etat partie. Le
transport sans une telle escale entre deux points du territoire d’un seul Etat partie n’est pas considéré comme
international au sens de la présente convention.
3. Le transport à exécuter par plusieurs transporteurs successifs est censé constituer pour l’application de la
présente convention un transport unique lorsqu’il a été envisagé par les parties comme une seule opération,
qu’il
ait été conclu sous la forme d’un seul contrat ou d’une série de contrats, et il ne perd pas son caractère
international par le fait qu’un seul contrat ou une série de contrats doivent être exécutés intégralement dans le
territoire d’un même Etat.
4. La présente convention s’applique aussi aux transports visés au Chapitre V, sous réserve des dispositions dudit
chapitre
DOCUMENTS ET OBLIGATIONS DES PARTIES RELATIFS AU TRANSPORT DES
PASSAGERS, DES BAGAGES ET DES MARCHANDISES
Article 3 - Passagers et bagages
1. Dans le transport des passagers, un titre de transport individuel ou collectif doit être
délivré, contenant :
a) l’indication des points de départ et de destination ;
b) si les points de départ et de destination sont situés sur le territoire d’un même Etat
partie et si une ou plusieurs
escales sont prévues sur le territoire d’un autre Etat, l’indication d’une de ces escales.
2. L’emploi de tout autre moyen constatant les indications qui figurent au paragraphe 1
peut se substituer à la
délivrance du titre de transport mentionné dans ce paragraphe. Si un tel autre moyen
est utilisé, le transporteur
offrira de délivrer au passager un document écrit constatant les indications qui y sont
consignées.
3. Le transporteur délivrera au passager une fiche d’identification pour chaque article
de bagage enregistré.
4. Il sera donné au passager un avis écrit indiquant que, lorsque la présente convention
s’applique, elle régit la
responsabilité des transporteurs en cas de mort ou de lésion ainsi qu’en cas de
destruction, de perte ou d’avarie
des bagages, ou de retard.
5. L’inobservation des dispositions des paragraphes précédents n’affecte ni l’existence ni la validité du
contrat de
transport, qui n’en sera pas moins soumis aux règles de la présente convention, y compris celles qui
portent sur la
limitation de la responsabilité.
Responsabilité pour les indications portées dans les documents
1. L’expéditeur est responsable de l’exactitude des indications et déclarations
concernant la marchandise inscrites
par lui ou en son nom dans la lettre de transport aérien, ainsi que de celles
fournies et faites par lui ou en son nom
au transporteur en vue d’être insérées dans le récépissé de marchandises ou pour
insertion dans les données
enregistrées par les autres moyens prévus au paragraphe 2 de l’article 4. Ces
dispositions s’appliquent aussi au
cas où la personne agissant au nom de l’expéditeur est également l’agent du
transporteur.

2. L’expéditeur assume la responsabilité de tout dommage subi par le transporteur


ou par toute autre personne à
l’égard de laquelle la responsabilité du transporteur est engagée, en raison
d’indications et de déclarations
irrégulières, inexactes ou incomplètes fournies et faites par lui ou en son nom.
3. Sous réserve des dispositions des paragraphes 1 et 2 du présent article, le
transporteur assume la responsabilité de tout dommage subi par l’expéditeur ou par
toute autre personne à l’égard de laquelle la responsabilité de l’expéditeur est
engagée, en raison d’indications et de déclarations irrégulières, inexactes ou
incomplètes insérées par lui ou en son nom dans le récépissé de marchandises ou dans
les données enregistrées par les autres moyens prévus au paragraphe 2 de l’article 4.
RESPONSABILITÉ DU TRANSPORTEUR ET ÉTENDUE DE L’INDEMNISATION DU
PRÉJUDICE
Article 17 - Mort ou lésion subie par le passager - Dommage causé aux bagages
1. Le transporteur est responsable du préjudice survenu en cas de mort ou de lésion corporelle subie par un
passager, par cela seul que l’accident qui a causé la mort ou la lésion s’est produit à bord de l’aéronef ou au cours
de toutes opérations d’embarquement ou de débarquement.
2. Le transporteur est responsable du dommage survenu en cas de destruction, perte ou avarie de bagages
enregistrés, par cela seul que le fait qui a causé la destruction, la perte ou l’avarie s’est produit à bord de l’aéronef
ou au cours de toute période durant laquelle le transporteur avait la garde des bagages enregistrés.
Toutefois, le transporteur n’est pas responsable si et dans la mesure où le dommage résulte de la nature ou du
vice propre des bagages. Dans le cas des bagages non enregistrés, notamment des effets personnels, le
transporteur est responsable si le dommage résulte de sa faute ou de celle de ses préposés ou mandataires.
3. Si le transporteur admet la perte des bagages enregistrés ou si les bagages enregistrés ne sont pas arrivés à
destination dans les vingt et un jours qui suivent la date à laquelle ils auraient dû arriver, le passager est autorisé à
faire valoir contre le transporteur les droits qui découlent du contrat de transport.
4. Sous réserve de dispositions contraires, dans la présente convention le terme « bagages » désigne les bagages
enregistrés aussi bien que les bagages non enregistrés.

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