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Cahiers de la Méditerranée

Les villages socialistes en Algérie (éléments pour une approche


socio-historique)
Cyrille Megdiche

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Megdiche Cyrille. Les villages socialistes en Algérie (éléments pour une approche socio-historique). In: Cahiers de la
Méditerranée, n°14, 1, 1977. Le Maghreb, les Maghrébins et la France. pp. 81-92;

doi : 10.3406/camed.1977.1433

http://www.persee.fr/doc/camed_0395-9317_1977_num_14_1_1433

Document généré le 31/05/2016


LES VILLAGES' SOCIALISTES EN ALGERIE
(Eléments pour une approche sooïo - historique)

PREAMBULE

La connaissance sociologique que nous pouvons avoir sur les


villages socialistes est doublement déterminée par les sources d 'in format ion 3
dans leur nature variée 3 dont nous pouvons disposer sur ce thème 3 et d'autre
part3 par l'établissement d'une problématique sociologique pertinente,
permettant d'intégrer ces différents éléments informatifs. Ce premier texte
résulte dlune première phase de compilation et de recherche bibliographique
sut le sujet. Il visera donc avant tout à faire le point sur les divers


champs d'information utilisables et substrats méthodologiques
d'exploitation associés : c'est-à-dire à. présenter une information organisée sur le
sujet. Cette première phase de la recherche doit3 dans notre perspective
de travails nous conduire ultérieurement à l'établissement d'une ou plusieurs
problématiques sur la base de laquelle (ou desquelles) sera conduite l'étude
sociologique proprement dite.
- 82 -

I. LES CADRES DE PRESENTATION DES VILLAGES SOCIALISTES

Le village socialiste (V.S) est présenté came action restrucr


turatrice et intégratrice sectorielle (dans le domaine du développement de
l'habitat rural) mais également comme participant d'objectifs
socio-économiques et politiques plus généraux (d'où une multitude de définitions
fonctionnelles reflétant les appréhensions sectorielles de ces mêmes objectifs) , soit
encore par opposition à la réalité socio-économique et politique héritée de
l'action colonisatrice antérieure.
En première analyse, il semble cependant que le principal
référant soit constitué par la Révolution Agraire (R.A) Les villages
socialistes, et 1: développement de l'habitat rural auquel ils sont articulés
directement, seraient donc à appréhender dans le cadre plus global du
bouleversement et des transformations socio-économiques escomptés à la suite du
déclenchement de la R.A.
La terre à celui qui la travaille, la maîtrise de la production
et du produit au producteur, l'augmentation à la fois des ressources du
producteur et des ressources nationales, tels sont les objectifs premiers affirmée
par la R.A. La réorganisation des structures de production Représentée par
les coopératives et le développement de l'habitat rural avec la construction
des villages socialistes, tendent à matérialiser ces objectifs sur le plan
des structures productives et de l'aménagement du domaine bâti, et à
engendrer de nouveaux rapports de production et plus généralement de nouveaux
rapports sociaux à la campagne. La plurifonctionnalité du projet, les multiples
perspectives sous lesquelles sont présentées les V.S et les justifications
idéologiques auxquelles ils renvoient sont génératrices d'ambiguité dans le
contenu sman tique affecté au V.S. lui-même et à sa caractérisation :
c'est ainsi que l'on cherchera à se démarquer des "centres de regroupement"
coloniaux mais la même terminologie va se retrouver dans la caractérisation
des V.S
Le projet des V.S comporte en effet un référant, une filiation historique
directe : il est formulé par rapport aux réalisations coloniales. Ce
sont les résultats d'une enquête générale sur la situation des
regroupements en Algérie qui ont donné naissance en juin 1959, au programme des
1 000 Villages (1) . Au fur et à mesure des destructions des villages, "le
colonialisme créait alors des centres de regroupements (...), en les
appelant "villages de l'avenir" (2)

L f inauguration par le Président BOumedienne de chaque village


terminé, et les séminaires nationaux sur l'habitat rural (3) montrent 1'
importances et l'ampleur que l'Etat accorde au succès de ce programme.
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"Le jour viendra où tous les taudis, héritage d'un passé à jamais révolu
seront bannis là où ils se trouvent (4)".
Or, il est iirportant de noter que la presse algérienne
emploie souvent le terme de regroupement ; mot qui évoque de sinistres
souvenirs. Il est aussi utilisé par le Président Boumadienne (...)
"opération de regroupement des populations" (...) "la philosophie de la
révolution exige un tel regroupement" ( ) "il doit y avoir un maximum de
regroupement" (5) .
- c'est bien le même caractère d'ambiguité qui peut
rendre compte de la diversité et de l'évolution des
qualificatifs employés pour désigner ces villages.
- Depuis l'année 1972, les expressions attribuées par la
presse algérienne aux villages sont : village pilote,
village agricole, village agricole de la R.A. ,
village agro-pastoral, village pastoral, village agricole
socialiste et enfin, village socialiste.
Officiellement on peut retenir deux appellations :
- l'une : village de la R.A. , émanant d'une instruction
de la C.N.R.A. (6) et adressée à toutes les
Commissions de Wilayate.
Cette terminologie veut dire, dans l'esprit du Pouvoir,
que les villages sont partie intégrante de la R.A. "la
politique d'habitat rural vise à lier le développement
de ce secteur aux actions de restructuration et de
modernisation du système de production agricole" (7) . Les
logements étaient donc réservés aux seuls attributaires
de la R.A.
- l'autre : village socialiste émanant du discours du
Président Boumediene, lors du séminaire national sur
l'habitat rural. Il s'agit donc là d'un changement
définitif dans la terminologie .
"lies campagnes algériennes ne pourront entrer dans l'ère
du développement véritable que par la voie des villages agricoles que dès
à présent nous pouvons appeler, et à juste titre, les villages socialistes "
(8) (souligné par nous) .
Te but de cette nouvelle appellation est la suppression des
disparités existant entre ville et campagne et plus loin des inégalités
nées de la division du travail social et la constitution d'un nouveau
cadre de justice d'où seront bannies toutes les formes d'exploitation. C'est
donc l'affirmation de l'option socialiste qui sera sans cesse réitérée dans
les circulaires et instructions.
- 84

Sur le plan pratique cela veut dire que les V.S. ne sont
plus réservés aux seuls coopérateurs de la R.A. , mais aussi aux ouvriers
des domaines autogérés , aux commerçants, aux artisans / aux militaires...
Nêrve si la présence des coopérateurs reste une priorité, elle n'est plus
le seul critère dans la décision d'implantation d'un village. Malgré cette
teminologie -et ceci de façon définitive-, la presse algérienne continue
d'utiliser tantôt : village aaricole, ou village agricole socialiste ou
V.S. (9).
Il est significatif que la tentative visant à appréhender
de façon synthétique l'ensemble des objectifs et finalités poursuivis au
travers des V.S. s'était traduite par la définition suivante (10) :
"C'est le lieu où s'actualise la R.A. dans toutes ses implications ; c'est
un modèle où sont réalisées par anticipation sur les transformations qui
doivent toucher le pays tout entier, la suppression de tous les rapports
d'exploitation et la mise en place des rapports sociaux nouveaux fondés
sur la solidarité entre producteurs égaux et responsables ; c'est le centre
de rayonnement à partir duquel la conscience des responsabilités
collectives pour le développement, issue de l'effort productif effectué en commun,
pourra
paysannes" se . répandre et transformer le niveau de conscience des masses

Les modalités selon lesquelles s'opère la mise en


application et l'économie générale du projet sont: rëvélatricesdVun autre ordre de
réalité du V.S. : sur le plan de sa réalisation effective et en tant qu'elle
représente une sélectivité entre diverses options potentielles. En effet,
l'élaboration du projet aboutit à la mise en exécution d'un projet
technocratique représenté par un habitat groupé, homogène et hiérarchisé et à une
structure d'équipement et de services publics reflétant un certain ordre
dans la dépense, et un système de normes de référence technico économiques
et de besoins définis par des experts non résidents.
Ce rapport est technocratique, en tant qu'il est défini par
le haut, et constitue un complexe d'options sélectives sous divers plans
et à différents niveaux. Ces considérations apparaissent plus clairement si
l'on s'intéresse à deux caractéristiques essentielles des V.S. programmés
ou réalisés : la formule du village lui-même et la structure d'équipement
retenue .

1 - La formule du village lui-même


La formule retenue représente un choix à différents niveaux :
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a) Le choix d'un habitat groupé


Le souci de rentabilité est le plus souvent avancé pour la
justification de ce choix ; alors que la plupart des études faites en milieu
rural montrent que la préférence des paysans va à un habitat dispersé ou tout
au moins à un groupement lâche. Peub-on dire que l'Algérie de ce point de vue
constitue une exception ? La rentabilité est elle le seul critère déterminant
pris ou à prendre en compte , et par qui ? D'autres types d'habitat ont en
effet été proposés par les paysans.

b) Le choix des villages neufs


En principe 1000 V.S. seront terminés en 1978 ÛL]). En octobre
1975, le bilan des réalisations est de 26 V.S. (12). Ce programme à lui tout
seul , immobilise un capital financier considérable.
Le coût unitaire d'un logement de deux pièces, cuisine ,
salle d'eau, VT.C, a été fixé à 20 000 DA (13) . A cette somme il faut ajouter
30 % du montant cumulé des logements et équipements collectifs; , pour les cons-~
tructions des V.R.D. Une autre circulaire (14) précise que le financement
est assuré par l'Etat jusqu'à concurrence de 30 000 DA. Mais nous pouvons
constater que dans presque tous les cas, cette somme est très en dessous de
la réalité. En effet, au V.S. des1 Quatre-chemins, lors d'une visite, un
conducteur de travaux nous donnait le chiffre de 60 000 DA -coût d'une maison
seule-. Le nombre de logements par village, ainsi que le coût des
infrastructures, doivent tenir compte du critère de rentabilité et du "souci de ne pas
alourdir les charges d'investissement" (15). Or nous avons chiffré le coût
approximatif d'un seul village primaire afin d'avoir une idée plus juste sur
le financement réel de cette gigantesque opération.

100 logements au prix de 30 000 DA l'un 3 000 000 (16)


équipements 1 250 000
V."r.D. 1 275 000

Total ... 5 525 000 DA


A supposer qu'il n'y aura que des villages primaires, l'opération coûtera :
1 000 x 5 525 000 = 5 525 000 000 D.A
Comme les villages primaires sont en minorité, nous pouvons sans nous tromper
multiplier ce résultat au moins par 10, ce qui nous donne un capital non
directement productif et immobilisé de l'ordre de 55 250 000 000 DA. Ceci au profit
seulement d'une minorité de la population algérienne. Ne serait-il pas plus
rentable, pour reprendre le même critère f de rénover l'habitat existant, de
maîtriser les moyens de production et ensuite d'occuper éventuellement de
groupement d'habitations.
- 86 -

c) Le choix d'un type homogène et 'hiérarchisé d'habitat


Le village se compose de logements et d'une sér,ie
d'équipements variant selon sa taille. La dimension des différents types de villages
"est déterminée en fonction de l'unité économique considérée, du nombre de
personnes actives par ménage et du pourcentage de population active pour les
emplois suivants : agriculture , industrie de transformation ou de
conditionnement, autres activités (commercialisation de la production, artisanat,
entretien du matériel, emplois administratifs, etc..) (17)
On a établi une hiérarchie déterminée de villages types. La
hiérarchie des villages présente un caractère d'homogénéité du point de vue
de la répartition de la population et des activités économiques :
- village primaire : 100 à 200 logements, soit une population de 700 à
1 400 habitants
- village secondaire : 250 à 300 logements, soit une population de 1750 à
2450 habitants. Il se distingue du premier par les activités
supplémentaires de distribution, de services et du fait de facilités
^communication avec un plus grand nombre de centres voisins.
- village tertiaire : 400 à 700 logements, soit de 2 800 à 4 950 habitants.
C'est un pôle d'attraction de toutes les activités et il constituera un
"chef lieu de commune". (18)
Quel que soit le type de village, on trouve toujours les
équipements suivants : une grande place publique, une mosquée, une école,
un centre de soins et une antenne administrative. En dehors de ces
infrastructures, d'autres équipements peuvent s'y trouver ; dans les villages
secondaires et tertiaires : un café, une télévision commune et une chambre
de passage. La structure d'habitat retenue consiste donc en une sipructure
homogène et hiérarchisée, et ceci, quelle que soit la zone d'implantation
retenue. B.ien au contraire, c'est en fonction de la structure définie
ci-dessus que seront déterminées les Zones et Cartes d'implantation.
Il y a bien là choix fondamental : la structure d'habitat
doit-elle à terme, consister en un ensemble diversifié résultant d'une
adaptation aux cadres écologiques, aux structures sociales, et des initiatives
locales ? Ou bien traduire, sur le terrain la projection d'une structure
théorique homogène et hiérarchisée au terme d'un processus où ce sont les
structures sociales antérieures qui se seront coulées de façon plus ou
moins imperative dans le moule prévu à un échelon plus élevé ? Ne peut-on
par exemple, allouer les mêmes masses budgétaires par région (ou autre
cadre local) en laissant à chaque collectivité potentielle le soin de
s'organiser et de se structurer à tous les niveaux, y compris dans le domaine
de l'habitant, pour bénéficier de cette aide ; en prévoyant seulement un
contrôle des affectations a posteriori ?
Ceci pose les problèmes essentiels de la prise en charge des
intéressés par eux-mêmes, de leur auto-organisation, de leur concertation...
- 87 -

2 - La structure d'équipements retenue


Tel qu'il ressort de sa mise en application , le projet de V.S
se réalise essentiellement à travers une structure hanogène et hiérarchisée
d'équipements. Or , celle-ci n'est pas neutre et matérialise là encore une
sélectivité dans les options possibles et une série de choix au moins à
deux niveaux :
a) Quant à la construction elle-même , dans les formes et les
matériaux utilisés. Il ne suffit pas d'attribuer la conception et la
réalisation des V.S à des nationaux pour éviter les "erreurs d'ordre
sociologiques" (19) . Tout le. problème consiste à savoir s'il y a, ou non, et à quel
stade, participation des paysans, dans la chaîne qui va de la conception à
la réalisation de sa future maison.
Pour le paysan, sa maison est aussi un outil de travail, et doit
être bâtie en conséquence. Or, la structure d'habitation retenue tend à
dissocier l'habitat de l'outil de travail.
De la même manière, le choix des matériaux utilisés dans le
domaine bâti tend à installer le résident dans une configuration de consommation
homogène , dont le fonctionnement présuppose l'existence d'un marché de biens
et de services décentralisé . De ce point de vue , un choix a bien été effectué
par rapport à une autre option qui aurait pu consister à utiliser au mieux
des ressources locales, souvent plus limitées, mais existant à proximité
immédiate. Ici, la demande risque de précéder l'offre. En effet, cette option
engendre une série de besoins nouveaux qui prë-suppose l'existence d'un
marché intérieur nettement élargi et décentralisé par rapport à la situation
présente et bien plus encore, un certain niveau, de revenu sans rapport avec
les possibilités actuelles des attributaires»
On peut se demander si ce type de consommation a réellement été
voulu dans ses multiples aspects, par les résidents et si, de toutes manières,
ils ne risquent pas d'avoir des difficultés à l'assumer (si l'on tient compte
de leur niveau de revenu) . En fin de compte, on peut se demander si le choix
qui a été fait n'intéresse pas principalement d'autres secteurs publics ou
même privés de production et de services, dont les objectifs et voies de
développement propres passent, par l'élargissement du marché intérieur.
^■' IdË~JBJl?tjê'e ï)es0^ns e~t de rapports sociaux qu'ils sont destinés
\jl^e^±3±^L* £€T"tYpe d '"équipements réalisés et les services publics implantés,
r* f 1 c i~ ~ - certains choix considérés comme prioritaires au niveau des dépenses
jT^'4ic^ et par rapport à une gamme de besoins sociaux et de relations
sociales à satisfaire.
Or, là encore, le choix apparait essentiellement défini par le
haut. C'est ainsi, par exemple, que le paysan algérien est en règle générale
très croyant mais que par ailleurs on ne trouve à travers les campagnes
algériennes pratiquement pas de mosquée. Pourquoi alors a-t-on construit une
mosquée par V.S. ? Est-ce pour faire "comme en ville" ? Supprimer la disparité
ALGERIE OU NO£D

l/S.ooo-ooo

WiLAYATE
DU SAHARA
J/2o.ooo.ooo

REPARTITION DES VILLAGES


SOCIALISTES PAR WfLAYA

Nombre de VS réalisés

/\ ----...-.. en construction

........ ... projetés

D'après une liste pubfiée par Algérie- Actualité au \\f\7 janv. 1976
( liste non exhaustive pour les projets)
- 89 -

ville-campagnes, ou pour d'autres raisons ?


D'autre part, si l'on veut bien considérer que la vie collective
se réalise au travers d'un complexe d'habitat et d'un tissu de relations
sociales que l'on peut analys tiqaement orienter selon deux axes :
verticaux et horizontaux, il ressort des réalisations actuelles que l'axe
vertical a été privilégié : ce qui manque dans tcus les villages, ce sont :
les transports, les locaux pour des organisations politiques -à ne pas
confondre avec la salle polyvalente-, et surtout des ateliers pour
artisans. Si l'organisation de la vie quotidienne doit être étroitement liée avec
l'organisation de la production agricole, artisanale et industrielle, la vie
collective ne peut se réduire à ces relations fonctionnelles, mais passe par
le développement de relations horizontales, intra et inter-villageoises et
de leurs substrats d'équipement (lieux de rencontre, transports etc..)
Or, à la lumière des V.S. déjà habités, il ressort que l'accent a
été mis surtout sur les infrastructures associées à des relations verticales,
au détriment des relations horizontales sans lesquelles une vraie vie
collective est inconcevable. De fait, et c'est une considération que l'on peut en
partie lier à la précédente, la structure de communication qui s'actualise
actuellement dans les V.S apparaît principalement orientée de haut en bas,
hiérarchiquement et rarement sur un plan êgalitaire (des responsables, dans
leurs fonctions diverses, vers les interlocuteurs de base) . De plus les V.S
lient le paysan à son unité de production donc à la terre, comme le foyer-
hôtel (20) lie le travailleur à l'usine et donc à son patron. Il y a là une
situation de dépendance dont il faut analyser les conséquences.
Dépendance aussi du V.S par rapport à la commune. Tel qu'il est,
sur le plan juridique, le V.S. n'est ni plus ni moins qu'un hameau ou mieux
un lotissement communal. Les V.S. sont créés sans statut ; on ne sait toujours
pas ce qu'ils vont devenir.

Cyrille l^EGDICHE
u

NOTES

(1) - Algérie. Délégation Générale du Gouvernement en Algérie.


Direction du Plan et des Etudes Economiques. Plan de Constantine
1959-1963 : rapport général. Chapitre : le développement rural.
Section I, la transformation du Bled, pp. 179-187
(2) - Boumedienne (Président Houari). Séminaire National sur l'habitat
rural : Discours d'orientation. Alger, mars 1973, p. 5
(3) - Séminaire National sur l'habitat rural. Alger, mars 1973,
naire national sur l'espace maghrébin, Alger, février 1974.
(4) - Boumedienne (Président Houari) . Discours du 2/7/1973 au 3/12/1974
Alger, ministère de l'Information et de la Culture, Tome V, p. 36
(5) - Volontariat des étudiants dans la R.A. , brochure éditée par la
rection de la Réforme Agraire, sans date, p. 27
(6) - C.N.R.A. , op. cit. p. 1
(7) - C.N.R.A. , op. cit. pp 1-2
(8) - Boumedienne (Président Houari) Discours d'orientation, op. cit.
p. 4
(9) - Ceci est peut être dû au fait que dans les V.S. achevés, les autres
catégories professionnelles non agricoles, ne sont pas représentées.
(10) - Définition empruntée à Chauiet (Claudine) , lors d'une réunion de
travail au Centre National de Recherche en économie et sociologie
rurale. C.N.R.E.S.R. - mai 1975.
(11) - Visage de l'Algérie, n° 23, p. 47
(12) - El Moudjahid du 15/10/1975
(13) - Circulaire n° 1670 du 9/7/1973, émanant du Secrétariat d'Etat au Plan
p. 4
(14) - Circulaire n° 3890 du 11 octobre 1974
(15) - Circulaire n° 1670 op. cit p. 2
- 92 -

(16) - Circulaire n° 1670 ; op. cit. Annexe 1; 1 DA sensiblement égal à


1,01 FF
(17) - Commission Nationale de la Réforme Agraire (C.N.R.A.) : instruction
relative à l'élaboration d'un projet de carte d'implantation des
villages de la R.A. Instruction n° 15230 du 25/7/l972/p. 3
(18) - C.N.R.A. op. Cit., pp. 3-5
(19) - Circulaire n° 1670. op. cit. p. 4
(20) - Megdiche (Cyrille) - Le mode de vie des travailleurs immigrés en
Foyers-hôtels , thèse de doctorat de 3ème cycle en sociologie.
Directeur J.C. Passeron, université de Paris VIII, juin 1973, 324 p.
Bibl. critique, annexes.

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