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A la naissance,
Le cerveau contient environ cent milliards de neurones
Les informations de base
concernent les besoins primaires :
boire, manger, etc
LA RÉPÉTITION L'ÉMOTION
Plus on répète quelque chose, plus on le voit Nous apprenons à travers nos émotions.
souvent Une émotion forte peut déclencher en une seule fois
mieux on apprend un programme mental qui ne sera plus remis en question
Refaire de très nombreuses fois quelque chose Peu importe l'évènement, c'est la façon dont nous allons
le vivre
peut devenir un AUTOMATISME On peut aussi parler de CROYANCES
Ils sont issus de :
La culture : coutumes,
règles...
programmes mentaux
Les programmes mentaux servent à donner un mode
d’emploi rapide au cerveau ; sans que l'on en soit
conscient, des synapses (réseau de liens entre les
neurones) s’allument instantanément en fonction de
ce qui est en train de se passer pour nous.
Mode
d'emploi
Notre cerveau et le reste de notre corps est en interaction au moyen de puissants signaux électrochimiques.
activation
IMAGE libération NEUROpeptideS glandes système hormonale
Réseau neuronal dans le sang
NEUROTRANSMETTEURS
activé MENTALE hormonales
PENSéE emotion
Les hormones sont les
emise Signaleurs, liens entre le cerveau substances chimiques
Messagers chimiques et le corps pour ressentir ce associées aux émotions
attisés par le cerveau que nous pensons
Représentation psychique suite à la pensée
d'un ensemble d'idées
propre à un individu
La pensée est devenue tellement réelle que le corps se prépare peu à peu à l’expérience réelle en avance sur l’évènement.
Par conséquent, quand nous entretenons des pensées de joie ou d’amour
nous produisons des substances chimiques qui nous rendent joyeux ou aimants.
Les pensées sont associées au cerveau et les émotions associées au corps, par conséquent les émotions du corps s’alignent sur les pensées d’un
état d’esprit particulier, l’esprit et le corps travaillent ensemble.
Et quand le corps et l’esprit sont à l’unisson, le résultat final est un État d’Être.
Un état d’être veut dire qu’un certain état mental et émotionnel, une certaine façon de penser et de ressentir sont devenus partie intégrante
de notre identité.
L’interaction continuelle de la pensée et de l’émotion crée un état d’être qui exerce des effets sur notre réalité, notre vie.
Nous nous définissons donc par ce que nous pensons et ressentons dans l’instant présent (je suis fâché, je suis triste, etc..)
Je suis fâché(e)
Quand nous entretenons les mêmes pensées, les mêmes émotions pendant des années, nous créons un ETAT D'ÊTRE
mémorisé que nous considérons comme un fait et par lequel nous nous définissons.
Je suis coléreux(se)
La force que nous aurons à percevoir nos pensée, et à lui prêter attention, peut entraîner chez nous un trait de caractère et donc influencer nos
expériences.
Si tout comportement résulte de l'état dans lequel nous sommes, voyons maintenant ce qui crée cet état.
Le mécanisme de nos sensations: Les êtres humains reçoivent et interprètent les informations fournies par leur environnement au moyen de leurs
cinq sens : le goût, l'odorat, la vue, l’ouïe et le toucher. Nous prenons la plupart des décisions qui modifient notre comportement en utilisant surtout
trois de ces sens : la vue, l’ouïe et le toucher.
Le cerveau transforme ces signaux électriques en une représentation interne
Nous avons tous des conceptions du monde, des schémas qui modèlent
notre perception de l’environnement.
.
Si vous vous concentrez continuellement sur ce qu'il y a de plus mauvais dans la vie, vous vous mettez dans un état qui favorise le pire.
Mais n’oubliez pas que nous avons toujours le choix de nous représenter les choses autrement. Nous pouvons ainsi créer un nouvel état et engendrer les
comportements qui en découlent.
Elles donnent des ordres à notre système nerveux. Lorsque vous croyez qu’une chose est vraie, vous vous mettez dans un état qui permet qu’elle le soit.
La croyance n’est rien d’autre qu'un état, une représentation interne qui gouverne le comportement. Il peut s'agir d’une croyance dynamisante ou,
au contraire, d’une croyance destructrice.
Quelles sont les grandes croyances que vous avez sur ce que vous êtes et sur ce dont vous êtes capable? Commencez par inscrire en
quelques mots les cinq croyances qui vous ont limité(e) dans le passé.
1...................................…
2......................................
3......................................
4...................................…
5......................................
Ce qu’il faut maintenant, c'est reconsidérer ces croyances et s’assurer qu'elles nous sont utiles, qu’elles sont efficaces et
qu’elles nous donnent du pouvoir.
Ce que nous devons faire, c’est remplacer nos représentations internes négatives par des
représentations positives
Nous devons recâbler les circuits qui conduisent au bonheur et couper la connexion des circuits de la
douleur.
Consignes:
Pour chacune des phrases suivantes, choisissez la lettre de la réponse qui vous décrit le mieux..
b.J’essaie d’en identifier la provenance sans trop m’en préoccuper. a.Je tiens à ce qu’il me regarde, sinon j'ai l'impression qu'il ne m'écoute pas.
c.Je ressens une tension et j’envoie quelqu’un voir à ma place. b.Son attention me suffit.
c.J’ai besoin de le savoir près de moi.
2. Quand on m’explique des notions importantes: 7. Quand j’entre en communication avec quelqu’un:
a.J’aime qu’on me fasse un dessin, un schéma, un plan pour me guider. a.Je m’arrête beaucoup à l’expression de son visage.
b.Je comprends facilement et m’impatiente quand l’animateur répète, ayant hâte qu’il passe à autre chose. b.Je m’attarde d’abord au message.
c.J’aime prendre moi-même des notes détaillés. c.Je m’arrête beaucoup à l’émotion véhiculée.
3. Pour me détendre, j’ai tendance: 8. Lorsque je fréquente un endroit pour la première fois,
mon attention est d’abord attirée:
a.À lire un bon livre, regarder la télévision.
b.À écouter de la musique. a.Par les couleurs (murs, meubles, tapis), l’originalité des lieux.
c.À m’allonger dans un bain chaud. b.Par les bruits, les sons ou le silence qui y règne.
c.Par l’atmosphère de l’endroit, le confort des meubles.
4. Je préfère suivre un atelier pendant lequel:
9.Lorsque je travaille, un bruit inopiné (comme la sonnerie du téléphone):
a.L’animateur écrit au tableau.
a.Je préfère quand il parle rapidement, qu’il est animé. S’il parle trop lentement, cela a.J’utilise des marqueurs de couleurs différentes, j’écris au tableau, je montre des acétates électroniques,
m’énerve ou m’endort. j’illustre avec des schémas, je donne des exemples.
b.Je préfère quand il parle d’une voix rythmée, qu’il varie son ton. b.Je parle beaucoup, je dicte un résumé, des notes.
c.Je préfère quand il parle lentement, d’une voix calme et qu’il fait des pauses. S’il parle trop vite, c.J’organise des activités, je fais participer, expérimenter, je tente de créer un climat d’échange.
cela m’énerve ou m’endort.