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LA SEULE PERSONNE QUE TU ES DESTINÉ A DEVENIR

EST LA PERSONNE QUE


TU DÉCIDES D’ÊTRE

Ralph Waldo Emerson


Le cerveau, point de départ des pensées et des
sentiments
Se traduira par la suite
par des
ACTIONS et des
COMPORTEMENTS

A la naissance,
Le cerveau contient environ cent milliards de neurones
Les informations de base
concernent les besoins primaires :
boire, manger, etc

Dès la naissance, nous collectons des


informations par les 5 sens
Les sons, les formes, les couleurs, les odeurs,
etc
Des connexions synaptiques (réseaux de
neurones s'établissent :
Les informations travaillent en
Un programme établi passe
collaboration et forment des concepts plus
dans les
complexes
Connaisssances acquises
Association des informations

Processus automatiques odeur+couleur+son ou forme


On ne le remet plus en question =
Création de programmes
une personne (mère, père...) ou un aliment par exemple
Les Les programmes installés deviennent
programmes mentaux des AUTOMATISMES
l'attention consciente peut ainsi se
sont à l’origine des
porter sur d'autres apprentissages
pensées Dans les comportements, on appelle
Ainsi le programme
et des idées. cela une seconde nature
feu+chaleur = douleur
nous préserve d'y mettre la main, plus besoin d'y réfléchir

Qu'ils soient justes ou faux, à chaque


expérience
vécue le cerveau rappelle les
programmes
Cela permet de penser et d'agir d'une certaine façon, mentaux accumulés et
rapidement et sans effort nous agissons et prenons nos décisions
Cette façon de penser crée une SIGNATURE MENTALE en fonction de ces programmes
CETTE SIGNATURE EST LA PERSONNALITÉ
r o g r a m m e
Un p 'installe
me nt a l s
grâ c e à :

LA RÉPÉTITION L'ÉMOTION
Plus on répète quelque chose, plus on le voit Nous apprenons à travers nos émotions.
souvent Une émotion forte peut déclencher en une seule fois
mieux on apprend un programme mental qui ne sera plus remis en question
Refaire de très nombreuses fois quelque chose Peu importe l'évènement, c'est la façon dont nous allons
le vivre
peut devenir un AUTOMATISME On peut aussi parler de CROYANCES
Ils sont issus de :

La culture : coutumes,
règles...

Les autres : imitations du


comportement familial,
Le cerveau se sert de ces programmes pour
agir rapidement sans que l'on en soit
l'entourage, les médias
conscient

Il exécute les ordres pour lesquels il a été Nous-même : Les histoires


programmé, qu''ils soient bons ou mauvais que l'on se raconte à soi-

même, sur soi-même
Notre existence est le résultat d’une série de

programmes mentaux
Les programmes mentaux servent à donner un mode
d’emploi rapide au cerveau ; sans que l'on en soit
conscient, des synapses (réseau de liens entre les
neurones) s’allument instantanément en fonction de
ce qui est en train de se passer pour nous.
Mode
d'emploi

Chaque programme mental ou croyance donne


forme à une PENSÉE
Chaque pensée provoque
une ÉMOTION
Chaque émotion entraîne
une DÉCISION
Chaque décision demande
une ACTION
Chaque action se transforme en
RÉSULTAT
Et chaque résultat s’ajoute à notre SAVOIR
ET CONFORTE NOTRE PENSÉE !
Mais quels effets ces programmes mentaux, ces croyances, ont sur notre vie ?

Chaque fois que nous avons une pensée,


une réaction chimique s’en suit dans le cerveau.

Notre cerveau et le reste de notre corps est en interaction au moyen de puissants signaux électrochimiques.

activation
IMAGE libération NEUROpeptideS glandes système hormonale
Réseau neuronal dans le sang
NEUROTRANSMETTEURS
activé MENTALE hormonales
PENSéE emotion
Les hormones sont les
emise Signaleurs, liens entre le cerveau substances chimiques
Messagers chimiques et le corps pour ressentir ce associées aux émotions
attisés par le cerveau que nous pensons
Représentation psychique suite à la pensée
d'un ensemble d'idées
propre à un individu

La pensée est devenue tellement réelle que le corps se prépare peu à peu à l’expérience réelle en avance sur l’évènement.
Par conséquent, quand nous entretenons des pensées de joie ou d’amour
nous produisons des substances chimiques qui nous rendent joyeux ou aimants.

Il en est de même si nous entretenons des pensées de peur, de crainte ;


en quelques secondes à peine nous nous sentons négatifs, anxieux.
on voit à quel point l’esprit et le corps sont liés.
Lorsque nous commençons à ressentir nos pensées (par l’émotion qu’elle a générée), nous commençons à penser ce que nous ressentons.
Puis nous ressentons ce que nous pensons… Et ainsi de suite, amplifiant le processus en boucle.

Les pensées sont associées au cerveau et les émotions associées au corps, par conséquent les émotions du corps s’alignent sur les pensées d’un
état d’esprit particulier, l’esprit et le corps travaillent ensemble.
Et quand le corps et l’esprit sont à l’unisson, le résultat final est un État d’Être.

Un état d’être veut dire qu’un certain état mental et émotionnel, une certaine façon de penser et de ressentir sont devenus partie intégrante
de notre identité.

L’interaction continuelle de la pensée et de l’émotion crée un état d’être qui exerce des effets sur notre réalité, notre vie.

Nous nous définissons donc par ce que nous pensons et ressentons dans l’instant présent (je suis fâché, je suis triste, etc..)

Je suis fâché(e)

Quand nous entretenons les mêmes pensées, les mêmes émotions pendant des années, nous créons un ETAT D'ÊTRE
mémorisé que nous considérons comme un fait et par lequel nous nous définissons.

Je suis coléreux(se)

La force que nous aurons à percevoir nos pensée, et à lui prêter attention, peut entraîner chez nous un trait de caractère et donc influencer nos
expériences.
Si tout comportement résulte de l'état dans lequel nous sommes, voyons maintenant ce qui crée cet état.

COMMENT NOUS CRÉONS NOS ÉTATS INTÉRIEURS ET NOS COMPORTEMENTS


On peut se demander maintenant ce qui pousse un individu à se mettre dans un état d’inquiétude, de colère ou de méfiance devant un événement ou un
autre.
La manière dont vous vous sentez ne provient pas de ce qui se passe dans votre vie — elle n’est que l’interprétation que vous donnez de ce qui
vous arrive.
Suivant la façon dont vous avez choisi de percevoir la vie, c’est vous qui décidez de vos réactions mentales et de vos actes

Le mécanisme de nos sensations: Les êtres humains reçoivent et interprètent les informations fournies par leur environnement au moyen de leurs
cinq sens : le goût, l'odorat, la vue, l’ouïe et le toucher. Nous prenons la plupart des décisions qui modifient notre comportement en utilisant surtout
trois de ces sens : la vue, l’ouïe et le toucher.
Le cerveau transforme ces signaux électriques en une représentation interne
Nous avons tous des conceptions du monde, des schémas qui modèlent
notre perception de l’environnement.
.

Si vous vous concentrez continuellement sur ce qu'il y a de plus mauvais dans la vie, vous vous mettez dans un état qui favorise le pire.
Mais n’oubliez pas que nous avons toujours le choix de nous représenter les choses autrement. Nous pouvons ainsi créer un nouvel état et engendrer les
comportements qui en découlent.

A l’origine de toute action, il y a une pensée. Ralph EMERSON


Les croyances sont les filtres organisés, préétablis, de notre perception du monde. Elles sont les directives qui régissent notre
cerveau. Quand nous croyons fermement que quelque chose est vrai, c’est comme si nous donnions à notre cerveau un ordre sur
la façon de nous représenter les événements.

Elles donnent des ordres à notre système nerveux. Lorsque vous croyez qu’une chose est vraie, vous vous mettez dans un état qui permet qu’elle le soit.

La croyance n’est rien d’autre qu'un état, une représentation interne qui gouverne le comportement. Il peut s'agir d’une croyance dynamisante ou,
au contraire, d’une croyance destructrice.

Quelles sont les grandes croyances que vous avez sur ce que vous êtes et sur ce dont vous êtes capable? Commencez par inscrire en
quelques mots les cinq croyances qui vous ont limité(e) dans le passé.
1...................................…
2......................................
3......................................
4...................................…
5......................................

Ce qu’il faut maintenant, c'est reconsidérer ces croyances et s’assurer qu'elles nous sont utiles, qu’elles sont efficaces et
qu’elles nous donnent du pouvoir.
Ce que nous devons faire, c’est remplacer nos représentations internes négatives par des
représentations positives
Nous devons recâbler les circuits qui conduisent au bonheur et couper la connexion des circuits de la
douleur.
Consignes:

Pour chacune des phrases suivantes, choisissez la lettre de la réponse qui vous décrit le mieux..

1. Devant un bruit inhabituel:



6. Lorsque je parle à quelqu’un:
a.Je vais voir immédiatement d’où provient ce bruit.

b.J’essaie d’en identifier la provenance sans trop m’en préoccuper. a.Je tiens à ce qu’il me regarde, sinon j'ai l'impression qu'il ne m'écoute pas.
c.Je ressens une tension et j’envoie quelqu’un voir à ma place. b.Son attention me suffit.
c.J’ai besoin de le savoir près de moi.

2. Quand on m’explique des notions importantes: 7. Quand j’entre en communication avec quelqu’un:

a.J’aime qu’on me fasse un dessin, un schéma, un plan pour me guider. a.Je m’arrête beaucoup à l’expression de son visage.
b.Je comprends facilement et m’impatiente quand l’animateur répète, ayant hâte qu’il passe à autre chose. b.Je m’attarde d’abord au message.
c.J’aime prendre moi-même des notes détaillés. c.Je m’arrête beaucoup à l’émotion véhiculée.

3. Pour me détendre, j’ai tendance: 8. Lorsque je fréquente un endroit pour la première fois,

mon attention est d’abord attirée:
a.À lire un bon livre, regarder la télévision.

b.À écouter de la musique. a.Par les couleurs (murs, meubles, tapis), l’originalité des lieux.
c.À m’allonger dans un bain chaud. b.Par les bruits, les sons ou le silence qui y règne.
c.Par l’atmosphère de l’endroit, le confort des meubles.
4. Je préfère suivre un atelier pendant lequel:

9.Lorsque je travaille, un bruit inopiné (comme la sonnerie du téléphone):
a.L’animateur écrit au tableau.

b.L’animateur fait un exposé oral. a.Me déconcentre.


c.L’animateur échange avec les participants et favorise le travail en petit groupe. b.N’affecte pas ma concentration.
c.Me fait sursauter.
5.Quand j’écoute un conférencier, un professeur ou un animateur: 10. Quand je fais un cours ou que j’anime une rencontre (ou si j'avais à le faire):

a.Je préfère quand il parle rapidement, qu’il est animé. S’il parle trop lentement, cela a.J’utilise des marqueurs de couleurs différentes, j’écris au tableau, je montre des acétates électroniques,
m’énerve ou m’endort. j’illustre avec des schémas, je donne des exemples.
b.Je préfère quand il parle d’une voix rythmée, qu’il varie son ton. b.Je parle beaucoup, je dicte un résumé, des notes.
c.Je préfère quand il parle lentement, d’une voix calme et qu’il fait des pauses. S’il parle trop vite, c.J’organise des activités, je fais participer, expérimenter, je tente de créer un climat d’échange.
cela m’énerve ou m’endort.

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