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#QCM

#contrôle_de_gestion

Q. 1- Le contrôle de gestion :

A. Est l’unique mode de contrôle dans les organisations,


B. Permet la décentralisation.
C. Permet d’appliquer un langage commun au sein de l’entreprise.

Q. 2- Le contrôle de gestion a une mission d’aide à la décision.

A. Vrai
B. Faux,

Q. 3- Le contrôle se limite aux actions de surveillance ou de vérification.

A. Vrai,
B. Faux.

Q. 4- Le contrôle de gestion peut se résumer à la comptabilité de gestion (analytique et


budgétaire).

A. Vrai,
B. Faux.

Q. 5- Le contrôle de gestion :

A. Est un ensemble de procédures qui a pour but de permettre à la direction de s’assurer que les
objectifs sont atteints de manière efficace et efficiente.
B. Doit s’assurer que le comportement des individus est cohérent avec les objectifs de l’entité.
C. Doit non seulement être appréhendé dans le sens de « vérification », mais aussi dans celui
de«pilotage de l’organisation ».
D. Les trois réponses sont exactes.

Q. 6- Le processus du contrôle de gestion implique les phases :

A. De prévisions budgétaires, pour indiquer la direction à prendre et le niveau de performance à


atteindre.
B. D’évaluation des performances, grâce au système analytique ou à la comptabilité de gestion.
C. De contrôle budgétaire, caractérisé par le calcul et l’analyse des écarts entre les réalisations et
les prévisions ajustées aux réalisations.
D. Les trois réponses sont exactes.

Q. 7- Un processus est :

A. Un ensemble d’activités inter-reliées pour atteindre un objectif donné.


B. Un ensemble de tâches cloisonnées
C. Aucun des deux

Q. 8- Les phases du système budgétaire sont consécutivement :

A. Prévision – budgétisation – contrôle.


B. Budgétisation – contrôle – prévision
C. Contrôle – prévision – budgétisation
Q. 9- Relevez les propositions qui peuvent caractériser le contrôle budgétaire :

A. Il est l’étape première de la gestion budgétaire


B. Il permet de rechercher les causes d’écarts.
C. Il permet d’apprécier l’activité des responsables budgétaires.
D. Il est constitué de deux activités principales : mises en évidence d’écarts et mise en œuvre
d’actions correctives.

Q. 10- L'écart c'est la différence entre :

A. La prévision et la réalisation,
B. La réalisation et la prévision.
C. La prévision et l'estimation,

Q. 11- La comptabilité analytique est un outil utile...

A. …à la comptabilité financière
B. …au contrôle de gestion.
C. …à la comptabilité nationale

Q. 12- L’approche "contingente" consiste à affirmer l’existence d’un "one best way" unique :

A. Vrai,
B. Faux.

Q. 13- Le programme des ventes définit les ventes en quantités.

A. Vrai.
B. Faux,

Q. 14- Un « programme » :

A. Est une prévision d’activité à court terme pouvant être exprimée en unités physiques.
B. Est une prévision stratégique engageant l’entreprise sur le long terme,
C. Est un logiciel informatique de gestion utile au contrôleur

Q. 15- Le budget déterminant c'est :

A. Le budget de production.
B. Le budget de trésorerie
C. Le budget des ventes.

Q. 16- Le budget des ventes est :

A. Le deuxième budget à élaborer


B. Le troisième budget à élaborer
C. Aucune réponse n'est juste.

Q. 17- Le benchmarking…

A. …est une méthode de diagnostic et d’analyse qui consiste à se comparer aux meilleurs.
B. …est une méthode de diagnostic et d’analyse de la concurrence
C. …est une méthode de calcul des coûts complets
Q. 18- Le reporting est l’action qui consiste à faire remonter des informations principalement
chiffrées, mais non uniquement, au siège ou à l’établissement principal.

A. Vrai.
B. Faux

Q. 19- Le budget de production est le point de départ de tous les autres budgets.

A. Vrai
B. Faux.

Q. 20- Un découpage en centres de responsabilité permet :

A. Détecter des coûts et des performances à différentes entités qui travaillent ensemble
B. De valoriser les échanges entre des centres,
C. De motiver les dirigeants par une responsabilisation plus grande.
D. De repérer les centres qui dépensent et les centres qui rapportent.
E. La construction des budgets

Q. 21- Un centre de responsabilité est :

A. Une unité de fabrication en amont d’un processus conditionnant les autres activités
B. Une unité de décision décentralisée dans le domaine de la production ou de la
commercialisation pour être plus efficace
C. Un groupe d’acteurs avec un responsable qui doit atteindre un objectif assigné.
D. La visualisation de la hiérarchie au sein d’une entité

Q. 22- Dire si les affirmations suivantes sont vraies :

A. Un centre de coûts doit réaliser un bien ou un service au moindre coût.


B. Un centre de recettes doit maximiser un chiffre d’affaires d’un bien ou service.
C. Un centre de profit doit dégager une marge maximale en tenant compte du coût des moyens
investis.

Q. 23- Les différentes entités d’un groupe peuvent se livrer des prestations en interne :

A. A titre gratuit.
B. A titre payant.
C. Toujours à titre payant

Q. 24- Les prestations payantes à l’intérieur d’un groupe sont valorisées à un :

A. Tarif de commercialisation interne TCI


B. Prix de cession interne PCI.
C. Taux de crédit internalisé TCI
D. Participation compensatoire interne

Q. 25- Le choix des tarifications entre entités doit permettre :

A. Une juste évaluation de la performance de chaque centre


B. Un pilotage de l’efficacité de l’ensemble des entités.
C. Un respect de l’autonomie de gestion des centres de responsabilité.
D. Une mesure du respect du budget de l’entité.
Q. 26- La tarification des prestations internes est liée :

A. A des choix stratégiques de localisation de la performance dans les entités.


B. A des choix fiscaux et sociaux
C. Au degré d’intégration de l’entreprise
D. Au degré de concurrence sur le marché

Q. 27- Les prestations internes payantes à l’intérieur d’une organisation :

A. Génèrent automatiquement une dynamique de groupe et une performance de toutes les entités,
B. Permettent un optimum local et un optimum global.
C. Induisent automatiquement des conflits d’intérêts

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