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: THEORIE DU CONSOMMATEUR

Un consommateur disposant d’un revenu, veut acheter 2 biens, alors comment va-t-il repartir son
revenu entre les 2 biens. Son calcul consistera à faire en sorte que le partage qu’il effectuera entre la
consommation de chaque bien lui apporte le maximum de satisfaction. On suppose que le
consommateur est rationnel et qu’il ne subit pas l’influence de l‘environnement (de la publicité). Ce
problème peut être résolu de 2 façons.

1eremethode : le principe basé l’égalisation des utilités marginales (méthode cardinale)

2emethode : le principe basé sur les courbes d’indifférence (méthode ordinale)

La méthode ordinale

Certains hypothèses utilisées dans la solution de l’équilibre du consommateur basées sur la


comparaison ou l’égalisation des utilités marginales (méthode cardinale) ou critiquable notamment 
2:

-la mesurabilité de l’utilité : cette hypothèse suppose que l’utilité d’un bien ou la satisfaction
procurée à un individu par la consommation d’un bien peut être mesuré.

Les auteurs : stanley jevons, leon walras, alfred marshall ; ces auteurs croyaient à la mesurabilité de
l’utilité.

-la divisibilité d’un bien : cette hypothèse suppose que tout bien est divisible. Un bien
économique est divisible quand on peut le fractionner en unité aussi petite que l’on veut. Cependant,
certains biens n’existent qu’en une certaine taille et ne peuvent être indéfiniment fractionné. Expie :
un barrage est collectif et non divisible.

Ainsi le rejet de ces 2 hypothèses allait conduire certains auteurs à rechercher un chemin
diffèrent conduisant aux mêmes conditions.

Pareto et EDGE WORTH ont développés une théorie des choix aussi satisfaisants que la précédente
en sautant par-dessus l’obstacle de la mesurabilité et de la divisibilité. En introduisant la notion de
courbe d’indifférence. Ainsi l’on est passé de l’utilité cardinal à l’utilité ordinal.

I. Les courbes d’indifférences


Un individu consommant 2 biens X,Y est capable de dire à tout moment les différentes doses de de
combinaison de X et Y qui lui procure la même satisfaction par exemple 4 unités de Y et une unité de
X ou bien 2 Y et 3X… les différentes combinaisons qui procurent la même satisfaction aux
consommateurs lui sont indifférente C’est lieu géométrique sont appelé cour d’indifférence.
a) Les postulats fondés à la base de l’analyse des courbes
d’indifférence.
 Les courbes d’indifférence sont convexe sont un espace euclidien et toutes courbes
d’indifférence situé au-dessus de l’autre, autrement dit plus éloigné de l’axe ou origine
apportent à l’agent économique plus de satisfaction.
 Les préférences sont transitives. Pour cela supposons trois combinaisons et la relation est
préféré à >, supposons que la combinaison (X+Y)>(X+Y) et la combinaison (X,Y)>(X ;Y) alors
(X°,Y°) est préféré à Y°°° ; de même si (X°,Y°) est indifférent à (X°° ,Y°°) et que (X°,Y°) est
indifférent à (X°°° ,Y°°°) alors (X°,Y°) est indifférent à (X°°°,Y°°°).
 Deux courbes d’indifférence peuvent se coupés en un point. Ces deux courbes sont confondu
en d’autre terme ils ont la même satisfaction

b) Le taux marginal de substitution


Il peut tout en cherchant à garder le meme niveau de satisfaction passer d’un point à un autre garce
à une combinaison. Dès lors, le taux marginal de substitution de bien X ou Y càd la quantité DY de
biens Y doit ètree compensé par l’addition d’une quantité suplémentaire DX pour maintenir le
consommateur sur la meme courbe d’indifférence ou le taux marginal de substitution noté
TMS=DY/DX. Ce rapport est négatif car toute variation de Y dans le sens de la diminution ou d’une
augmentation implique une variation dans le sens contraire de X. La pente de toutes courbes
d’indifférence est donc négative.

c) La contrainte budgetaire
Si le sujet économique (consommateur) ne rencontre aucune contrainte il aura tendance dans la cas
où il résonne sur deux biens à obtenir les quantités qui lui procurent la plus grande satisfaction. Mais
le budget donc il dispose l’en empêche, il en est limité et dans ce cas il ne pourra se procurer les
quantités illimités de ces deux biens. Si les prix des deux biens X et Y sont Px et Py le revenu est donc
R=XPx+YPy

On considère que l’individu utilise tous sont revenu à la consommation des X et Y la droite des
budgets a pour équation Y=-(Px/Py )x + (R/Py) la pente de cette équation est –Px/Py

d) L’équilibre du consommateur
Le consommateur disposant de son revenu et de deux types de bien X et Y, se vendant au prix Px et
Py respectivement. Dès lors le consommateur va confronter sa ligne budgétaire avec les divers
courbes d’indifférence matérialisant les combinaisons possible, finalement il va se situé sur la courbe
d’indifférence lui procurant le max de satisfaction compatible à son budget. La satisfaction ou la
relation préférable (le maximum) se situera au point de tangence(le point ou les deux droites se
coupent) entre l’une des courbes de différence et la droite de budget

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